Les "clés libératrices" en ligne font l'objet de constantes mises à jour et nouveaux enrichissements. Leur formulation n'engage que leur auteur, qui puise tant dans ses recherches et sources d'information que dans son imaginaire leurs révélation et libre mise à disposition suivant la forme et la rédaction retenues.
Il n'y a de ce fait rien à prendre pour argent comptant, seulement à laisser faire en soi le processus d'ouverture de conscience par le discernement, soit le juste équilibre entre cœur et raison. Celui-ci conduira à les invalider, à les valider, à les compléter par d'autres ajouts et compléments. Il est ainsi conseillé de se référer à des relais ou officines de la doxa scientifique officielle tel Psiram.com, le Wikipédia des croyances irrationnelles, dont l'objectif est de discréditer tout ce qui ne correspond pas à sa ligne de pensée académique, et de prendre le contre-pied sur des sites comme la chaîne web Odysee.com ou la plateforme de vidéo en ligne canadienne basée à Toronto Rumble, ou encore le site d'hébergement de vidéos "alternatif" Crowdbunker.
Sans prendre parti pour une croyance contre l'autre, il s'agit de prendre de la hauteur et de se forger sa propre opinion, par son propre travail de recherche, libre et indépendant. C'est ainsi que procède le chercheur de vérité.
Une ligne directrice dystopique n'est pas un terme standard. Elle se réfère à la ligne directrice d'une œuvre dystopique, soit des faits, directives et règles oppressants en vigueur au sein d'une société dystopique, autrement dit une société indésirable car effrayante. La dystopie elle-même décrit ces sociétés cauchemardesques et opprimantes, souvent nées de la transformation d'idéaux utopiques à l'initiative du corpus prédateur régnant*. Elle constitue une mise en garde contre les dérives sociales, politiques, religieuses et technologiques d'une fin de cyclicité civilisationnelle.
* Cf. Compréhension de la conspiration prédatrice, Les acteurs de la Matrice falsifiée & Le sens caché du jeu d'échecs.
Cette ligne est constituée d'événements, hiérarchisés de menière chronologique selon leur degré d'importance, qui se sont déroulés pendant le premier quart de siècle du nouveau millénaire.
C’est le point de départ d’un siècle d’illusions, d’un récit fabriqué qui a justifié guerres, surveillance, torture, Patriot Act*,...
Ce fut l’acte de naissance d'une nouvelle ère impériale fondée sur le trauma découlant de la peur et de la sidération, et le faux drapeau, soit les opérations réalisées sous fausse bannière ou sous faux pavillon avec l'utilisation de marques de reconnaissance d’un tiers, souvent d’un ennemi. Leur usage constitue des ruses de guerre courantes destinées à tromper les observateurs tiers.
* Le USA PATRIOT Act (Uniting and Strengthening America by Providing Appropriate Tools Required to Intercept and Obstruct Terrorism Act, en français "Loi pour unir et renforcer l'Amérique en fournissant les outils appropriés pour déceler et contrer le terrorisme") est une loi antiterroriste qui a été votée par le Congrès des États-Unis et signée par George W. Bush le 26 octobre 2001.
Des l'avènement de la société numérique, des lois sécuritaires et de la censure
. Transfert progressif du pouvoir depuis les États vers les firmes globales entre 2000 et 2025. BlackRock, Nestlé*, Google, OpenAI, Pfizer... agissent aujourd’hui comme des États sans frontières, avec une armée de juristes, de data, et d’influenceurs. Le citoyen a été remplacé par le client surveillé. C'est la souveraineté par la gestion algorithmique du consentement. Les entreprises multinationales à 2 000 milliards $ (Apple, Microsoft, Aramco) pèsent plus que des continents. Ce ne sont plus les nations qui dictent la loi, mais des bilans trimestriels.
. Avènement des monnaies numériques de banques centrales (CBDC), voyant le contrôle financier individuel devenir possible en temps réel.
Chine, UE, bientôt USA : tout est prêt pour conditionner les libertés à la conformité idéologique. C'est un crédit social mondial qui se met en place sans dire son nom, la grève des camionneurs au Canada en 2022 l'attestant (les comptes bancaires ont été gelés par décret bancaire).
. Invasion numérique de l’enfance entre 2010 et 2025, contribuant à l’effacement progressif de l’innocence : écrans dès 2 ans, pornographie dès 9 ans, algorithmes dès 11 ans, "identité de genre" avant la puberté. C’est un crime doux, mais généralisé. L’âme de l’enfant est devenue la première cible. Des enfants deviennent millionnaires sur TikTok : l'enfance est désormais un produit, la caméra étant la nouvelle berceuse.
. L’influence devient religion, entendant que le néant parle plus fort que Platon. Ainsi les millions de followers (suiveurs en français) pour de prétendues stars vides ! Et que dire du succès du Squid game, où des personnes en difficultés financières sont invitées à une mystérieuse compétition de survie. Participant à une série de jeux traditionnels pour enfants, mais avec des rebondissements mortels, elles risquent leur vie pour une grosse somme d'argent. Ou quand la misère devient spectacle...
. Victoire d’AlphaZero contre les champions humains et logiciels entre 2017 et 2018, démonstration silencieuse que l’intelligence humaine ne domine plus. AlphaZero, entraîné sans données humaines, bat les meilleurs. L’IA devient créative, intuitive, stratégique. Le jeu de Go, art millénaire de la stratégie, s’incline. C’est le début d’une ère où l’homme n’est plus le joueur, mais la pièce.
. Loi Avia sur la haine en ligne (France, 2020), où dire devient suspect.
. Loi européenne contre les contenus terroristes (2021) : un robot censure, aucun recours.
. Lancement de l'entreprise états-unienne de services et d'édition logicielle spécialisée dans l'analyse et la science des données Palantir (2003) : Big Brother devient un service privé.
. Proclamation officielle de l’IA comme "partenaire stratégique de gouvernance" entre 2023 et 2024, l’ONU, l’UE et le WEF ayant décidé d’intégrer l’IA dans leurs processus décisionnels. Cela crée un pouvoir désincarné, non élu, non humain, mais responsable de nos vies. C'est une nouvelle Babylone numérique, bâtie avec enthousiasme par ceux qui n’ont plus de foi ni de limite, comme le retour de la torture via l’IA émotionnelle permettant de lire les expressions, de détecter les mensonges, de condamner sans preuve. L’émotion devient preuve, et la machine juge...
. Retour officiel des "fake news" comme outil de pouvoir (post-2016), toute parole dissidente étant progressivement devenue suspecte, puis censurée. Ce que les élites appellent fake news, c’est souvent l’antichambre de la vérité. Cela marque la guerre déclarée contre la réalité non autorisée.
. Explosion de la censure algorithmique entre 2021 et 2025, période où les machines ont commencé à décider ce qui est vrai, ce qui est "complotiste", ce qui est autorisé, à l'instar de l'effacement de Kanye West pour dissidence (quand un prophète pop sort du script, il est psychiatrisé). Les géants des techs Google, Meta, YouTube, TikTok, OpenAI, Grok contribuent à ce que la vérité soit calibrée, filtrée, interdite. Les GAFA (Google, Apple, Facebook, Amazon) fixent les normes morales : ce qu’on peut dire, vendre, croire, est décidé par des plateformes. Le droit devient ligne de code. Le mot "complotiste" efface toute pensée dans la sphère médiatique : un mot, et plus besoin de répondre. C’est la censure qui se prend pour un vaccin.
La parole libre ne tient qu’à quelques poches de résistance, comme le rachat de Twitter (X) par Elon Musk en 2022, tentative la plus visible de rendre la parole libre à nouveau possible dans un monde entièrement muselé même si l’expérience a été vite réencadrée par les algorithmes. Ou la révélation Wikileaks en 2010 par Julian Assange, qui a dévoilé la machine à tuer et à mentir des USA, documents à l’appui. Le sort d’Assange prouve que dire la vérité est plus puni que commettre des crimes de guerre. Cela n'empêche pas l'émergence des Justes numériques - lanceurs d’alerte, anonymes ou radiés -, qui au milieu de la censure ont tout risqué : médecins, soldats, analystes, paysans, anciens agents, exilés, croyants. Ils sont les nouvelles figures de la vérité nue. Ils ne veulent pas la gloire, mais le monde réel de retour.
Autre fait de résistance du fantasque Elon Musk, sa création du premier système spatial autonome non étatique, en rupture avec la lenteur publique. SpaceX se veut le modèle d’une technologie souveraine et anti-bureaucratique, l'espace devenant le terrain de ceux qui désobéissent aux normes de Davos (le World Economic Forum).
. Destruction symbolique du droit d’asile avec la création des "Zones d’attente étendues" dans l'UE à partir de 2024, qui voit le réfugié comme un suspect, le migrant comme une variable logistique, l'humain comme un stock à trier. Cela enterre l’idée même de dignité dans le déplacement.
L’asile est mort tandis que le tri algorithmique est né.
. Les villes deviennent des laboratoires sociaux : Smart Cities, Zones à faibles émissions (ZFE) qui voit l'écologie exclure les pauvres, vidéosurveillance, QR codes… C'est un espace d’expérimentation comportementale, où chaque trottoir est une matrice de contrôle. Le citoyen est redéfini comme flux. Il faut le réguler, le segmenter, le nudger. Ce n’est plus l’État qui commande, mais des algorithmes croisés entre sécurité, écologie, et marketing social. La démocratie disparaît dans l’infrastructure, et la ville devient le camp pilote du monde qui vient.
Sans oublier l'interdiction des médias Russia Today et Sputnik en Europe (2022), la liberté d’informer devenant optionnelle; la loi sécurité globale en France (2021) où filmer devient offense; la loi anti-voile en totale contradiction avec le port du masque obligatoire en 2020; le Certificat cryptographique (NFT) associé à un objet numérique (image, vidéo, musique…) dont l'authenticité et la traçabilité sont garanties par la blockchain (tout peut être simulé); le Pass carbone testé en Suède (2025) où chaque achat devient un casier judiciaire.
* La montée en puissance de Nestlé comme acteur géopolitique est continue depuis 2020. Nestlé contrôle l’eau, l’alimentation infantile, la santé, le rapport au vivant. Elle est à l’alimentation ce que BlackRock est à la finance, un cheval de Troie ultime du monde post-maternel.
C’est l'exemple type du mensonge parfait. Aucune arme de destruction massive comme exposé à l'ONU par le secrétaire d’État états-unien d'alors Colin Powell en brandissant une fiole d'anthrax, mais plusieurs centaines de milliers de morts civils et militaires pour la mainmise yankee sur les champs pétrolifères et l'émergence par la CIA et le Mossad israélien de groupes extrémistes comme l'État islamique.
Ce fut l’avènement du chaos planifié, de la guerre permanente, et du droit du plus fort. Elle a aussi constitué une guerre opportune pour Israël dans son projet de "Grand Israël", au nom de la démocratie...
La chute de Mouammar Kadhafi en 2011 incarne le viol absolu du droit international : un État souverain est détruit au nom d’une "zone d’exclusion aérienne". La France, la Grande Bretagne, les USA, l’OTAN, les instigateurs complices, ont menti. Kadhafi voulait sortir du dollar et de l’euro, créer une monnaie africaine. Il a été éliminé avec barbarie, et exhibé comme un trophée. Depuis, la Libye n’existe plus. Et l’Afrique s’est soumise ou a fui.
Quant au Président syrien Bachar el-Assad, sa chute fut plus lente, s'étendant de 2011 à 2025. Au départ, malgré toutes les tentatives de l’axe USA–Israël–OTAN–Qatar, il a tenu bon grâce à l’alliance russo-iranienne, marquant l’échec du projet de redécoupage final du Proche-Orient par les Anglo saxons et les Français.
Mais Israël n’ayant jamais cessé de viser Damas, la chute d’Assad a fini par se produire en 2025. Elle n’a pas apporté la paix. Elle a simplement ouvert un nouveau corridor de feu. Car le régime qui lui a succédé n’est pas une énigme stratégique : c’est un pion, placé là pour ne pas résister. Un point de tension maîtrisé, instrumentalisé pour justifier la prochaine phase du plan, dont l’objectif n’a jamais changé : l’élargissement d’Israël au nord-est, jusqu’à Damas, puis jusqu’à l’Euphrate. Non pas frontalement, mais par vagues. Par proxis, par milices, par purges ethniques. Une ethnie après l’autre. Une enclave après l’autre. Ce n’est plus une guerre. C’est une recomposition biblique, menée au nom de la sécurité, mais avec la carte d’un empire enfoui dans les Écritures. Et une fois encore, le monde lobotomisé par le narratif chanté à satiété regarde ailleurs...
L'inattendu vainqueur républicain au détriment de la favorite démocrate corrompue Hillary Clinton a fait sauter le vernis, révélant que le système médiatico-politique établi à Washington - le "marais" ou Deep State - ne tolérait pas le moindre électron libre contraire à ses intérêts.
S'il n’est aucunement le Messie tel que vénéré par sa base électorale - l'Amérique profonde - et par la mouvance QAnon, il fut un révélateur de l’hystérie pathologique des élites gouvernantes. Il a déplacé également le centre de gravité du monde, comme avec la reconnaissance de Jérusalem comme capitale d’Israël en 2017. C'était une déclaration de guerre symbolique, une négation absolue de l’histoire palestinienne et le tapis rouge pour les velléités expansionnistes d'Israël. Cette reconnaissance a ouvert la voie aux Accords d’Abraham*, et à la normalisation de l’apartheid dans les colonies de Cisjordanie. Autrement dit, elle a constitué une gifle infligée au droit international.
L’élection du démocrate Joe Biden en 2020, dans un contexte d'élections plus que suspectes, incarnera le retour du Deep State, déguisé en vieil homme gentil. Le monde a pu voir l’absurdité d’un président absent, élu dans des conditions opaques, couvert par les médias, et téléguidé à distance. Le théâtre démocratique a explosé. Si la marionnette a remplacé le tyran, la main dans le dos est restée la même.
La réélection de Donald Trump en 2024 voit l'ancien outsider d’hier devenir l’homme du compromis, sinon du renoncement. Il est revenu au pouvoir en sacrifiant Gaza, l’Iran, la vérité. Son retour marque aussi la fin du vernis sinon furoncle démocrate, et la montée d’une colère intérieure irrésolue. L’Amérique se fracture irréversiblement, à l'image de la plaque tectonique dite faille de San Andreas, située en Californie. Le "big one", en cours d'éclatement !
* Série de traités de normalisation des relations entre Israël et plusieurs pays arabes, dont les Émirats arabes unis, Bahreïn, le Soudan et le Maroc. Ces accords ont marqué une rupture géopolitique au Moyen-Orient par l'établissement des liens diplomatiques et le renforcement de la coopération régionale contre l'Iran.
Élu avec 66,06 % des voix, signature explicite des forces diaboliques sur un plan ésotérique, son sacre voit l’avènement d’un pouvoir sans racine, sorti du quasi néant (son anagramme est Norcam, le seigneur du Néant), sans visage vrai, à la fois techno, occulte, et symbolique. Macron incarne la fusion du contrôle numérique, du pouvoir financier, et du mensonge sacralisé. Il constitue la matrice d’un monde inversé, tel que l'expose le couple qu'il forme avec son initiatrice "Brichel".
Un événement qui se révélera totalitaire dans ses effets.
L’affaire Brigitte Macron (2023–2025)
Elle révèle l’invention d’un interdit, le transgenrisme, devenu absolu en dépit de la moindre preuve tangible. Elle s'est traduite par une plainte pour "cyberharcèlement d’État", médiatisée dans le monde entier, à partir d’un soupçon biographique. L’affaire, au départ tabou, est devenue ensuite bouclier pour le couple présidentiel, puis censure totale, avant que de donner place à une action en justice sur le territoire américain. Ses mots clefs : Xavier Poussard, Natacha Rey et Amandine Roy, Candice Owens, Tucker Carlson… C’est une "nouvelle" affaire Dreyfus, cette fois-ci inversée, avec l'interdiction de douter de la bonne foi invoquée tout comme des arguties acrobatiques de la défense.
C’est le point de bascule visible de l’effondrement intérieur de l’Occident. Ce jour-là, le 15 avril (il correspond à l'arcane 15 du Tarot, le Diable...), la foi s’est consumée dans la pierre, le spectacle a remplacé le sacré, comme une célébration de la sécheresse spirituelle puisque désormais réduite à des valeurs culturelles marchandes... Comme le toit est ce qui permet à un édifice de le protéger de toutes intempéries ou adversités extérieures, il nous indique qu'il n'y a désormais plus de protection, l’esprit, le mental, les pensées étant par le feu du couvre-chef libérés et livrés à eux-mêmes, ouverts sur le ciel, l'astral, soumis plus que jamais à ces influences néfastes...
Nos croyances étaient déjà à la dérive, et désormais nous naviguons sur un flot d’illusion et de tromperie qui atteignent le chœur/cœur de notre vie et de toute vie. Nous sommes véritablement à la croisée des chemins, ne pouvant plus compter sur quelques protections divines. Macron parlait déjà de "reconstruire plus beau", comme si l’âme était un chantier...
Depuis, tout a basculé, la réouverture de Notre-Dame en 2024 étant une mise en scène d'un sacre républicain, avec le couple présidentiel au centre, dans un décor "chrétien" vidé de Dieu. Ni foi, ni silence, ni repentance : juste une cérémonie du pouvoir.
L’inversion est totale, le temple ayant été repris par César.
Il ne s'agissait nullement d'une crise sanitaire liée à un virus chinois nommé Covid-19. Ce fut une opération mondiale d’obéissance expérimentale, un test de consentement globalisé par le discours hystérique martelé ("Nous sommes en guerre"). Attestations, vaccins (plus exactement injections géniques), passeports, mensonges, censure, inversion... le monde hystérisé par les propagandistes institutionnels à pied d’œuvre, corrompus par leurs conflits d'intérêts avec leurs mandants business, s’est soumis à une biopolitique algorithmique.
Ce fut le moment zéro de la société sans contact et sans conscience.
La nouvelle biologie
L’arrivée massive de la technologie à ARNm déployée entre 2020 et 2021 à l'occasion de la "plandémie" sanitaire constitue une rupture biotechnologique radicale, qui a été imposée à des milliards d’humains, sans recul, sans consentement éclairé. L’ARN messager n’est pas un médicament, c’est un changement de paradigme biologique. C’est la fin de l’immunité naturelle comme fondement, la chair devenant programmable. Le "biohacking" explose, le corps devenant logiciel, à l'instar de l'utérus artificiel validé en laboratoire (2023). Qui plus est, la biologie ne définit plus le genre, ce qui constitue un changement radical d’anthropologie. Le corps devient un terrain à façonner, non un socle à reconnaître. Derrière les slogans d’inclusion se cache une mutation ontologique : ce n’est plus la nature qui parle, mais le ressenti. Et ce ressenti doit être reconnu par tous... même quand il nie l’évidence. Résultat, l’enfant n’est plus protégé dans sa construction. Le réel est accusé de violence, et la vérité d’exclusion. C’est l’humanité elle-même qui est redéfinie à l’envers : le corps devient une opinion, et la nature un obstacle.
De son côté, l’agriculture vivante voit les milliardaires comme Bill Gates acheter les terres agricoles - celui qui possède la terre contrôle la faim - et être remplacée par le contrôle industriel. Il s'est traduit par l'abattage massif en France de troupeaux bovins, ovins, et volailles entre 2022 et 2025, sous prétexte de grippe aviaire, vache folle ou zoonose potentielle. Des millions d’animaux sains exterminés, ce n’est pas de la prévention, mais une destruction méthodique des réserves alimentaires naturelles. Tandis qu'en parallèle, on promeut les steaks synthétiques, les farines d’insectes et les OGM comme la norme agricole*. Le vivant devient brevet, la semence appartenant à ceux qui la vendent. Nous assistons à la disparition silencieuse des espèces animales, végétales et locales (indigènes), entendant que le monde s’éteint. Personne ne regarde, sauf pour les suicides médiatisés d’agriculteurs en France depuis 2019. La célébration toujours et encore de la mort, non du Vivant...
Et que dire de l'échec mondial des COP (en anglais Conference of the Parties, en français Conférence des Parties) pour laisser place à l’imposition d’un écologisme punitif. Le climat a été instrumentalisé, non pour sauver la planète, mais pour imposer des passes carbone, des interdictions, des sacrifices unilatéraux, des guerres pour les ressources vertes (Congo, Cambodge), des incendies géants et des grands projets (pendant que la forêt brûle, les contrats tombent), le greenwashing comme industrie mondiale (plus tu pollues, plus tu peux investir dans le vert), le repentir écologique se monnayant sans vergogne. Tout ceci entend que le capitalisme climatique tue aussi. De leur côté, les réfugiés climatiques sont instrumentalisés comme levier géopolitique, la souveraineté étatique se dissolvant dans les flux. Si les COP échouent, la contrainte écologique prospère, la terre étant punie pour que les élites achètent leur salut, pendant que le chauffage au bois est interdit dans certaines villes, les pauvres ne devant plus polluer. Ce n’est pas l’air qu’on protège, c’est l’ordre social !
L’écologie est devenue religion d’État, en tout cas dans l'UE, le péché carbone remplaçant le péché originel. Et chaque loi est une liturgie.
Comment s'étonner alors de l'effondrement de la fécondité dans le monde développé*², le soi-disant progrès rendant... stérile !
* Cf. Conscience nutritionnelle.
*² Cf. Nouvelle génération.
Elle signe la fin de la Pax Americana*, et le retour du réel dans les rapports de force depuis la chute du mur de Berlin et la dissolution de l'URSS d'alors. La désormais Fédération de Russie ne joue plus selon les règles de l'hypocrite soft power jusqu'alors en vigueur par le jeu des services secrets et de la diplomatie d'opérette : elle dénonce les mensonges, les bio-labos, les armes, les trafics d'enfants et d'organes, les ferments toujours actifs du nazisme, les agissements expansionnistes de l'OTAN jusqu'à ses frontières. Et elle s'en donne les moyens, l’émergence du missile russe "Orechnik" en 2025 redéfinissant les règles : furtivité, vitesse hypersonique, ciblage IA, capable de frapper en silence et sans interception... plus qu’une arme, c’est une dissuasion narrative ! Il suffit de le nommer pour que l’ennemi doute.
Le conflit a été initié par la révolution de Maïdan en Ukraine (2013–2014), point de rupture entre l’Ukraine et la Russie. C’était un coup d’État maquillé - "une révolution de couleur" -, organisé par les USA version démocrate et l'Open society mondialiste de George Soros, avec une mise en scène démocratique. Ce fut la première opération hybride moderne, mêlant ONG, réseaux sociaux, tireurs embusqués et diplomatie fantoche à l'instar des guignols menteurs Merkel-Hollande. Il s'est notamment traduit par le massacre d’Odessa en 2014, avec de nombreux brûlés vifs par les milices ukro-nazies, dans un silence européen assourdissant, sans oublier les quinze mille russophones du Dombass tués par les forces ukrainiennes pour cause d'indépendance culturelle. Sans Maïdan et ses conséquences, pas de guerre en 2022.
Cela a révélé l’hypocrisie totale du "droit international", déjà mis à l'épreuve dans le retour de la Crimée à la Russie en 2014, une frontière réécrite par l’histoire et non par l’OTAN, le bras armé impérialiste occidental. Il se caractérisera notamment par le sabotage des gazoducs Nord Stream 1 et 2 en 2022, véritable acte de guerre contre l’Europe par ses propres "alliés". Si "tout" le monde sait preuve à l'appui que les USA sont derrière, l’Europe se tait, preuve ultime de la soumission stratégique, énergétique et morale de l’Allemagne.
La guerre en Ukraine, c'est plus de 200 milliards $ d’armes occidentales. Jamais une guerre n’a été autant financée… sans déclaration de guerre. L’Ukraine sert de champ de bataille externe, de proxy sacré, de théâtre idéologique. On ne combat pas pour elle, mais contre tout ce qui gêne l’Empire occidental : la Russie, la multipolarité, l’idée même de résistance. Les Ukrainiens meurent dans une proportion de 1 à 15 en dépit des chiffres assénés par la propagande otanokiévienne pour la minorer, les armuriers prospèrent, et les peuples paient, en impôts, en énergie, en vérité. C’est la guerre invisible d’un monde qui ne veut pas dire son nom, une fracture irréversible dans l’histoire du continent, d'autant que les soldats nord-coréens ont rejoint les Russes dans le Donbass en 2025. Autrement dit l’armée la plus isolée du monde a rejoint l’ours russe contre l’Occident collectif. Le conflit ukrainien est une bascule stratégique profonde, en dépit des bombes. Ce basculement géopolitique majeur, quasi biblique, a vu en effet la réunification des bannis, constituant un tournant dans l’échiquier de la guerre. Une prophétie asiatique s’est accomplie...
* Pax Americana est le terme associé au concept historique contemporain soutenant qu'une longue période de paix relative a débuté vers le milieu du XXᵉ siècle, et qu'elle résulterait à l'échelle globale du pouvoir prépondérant exercé par les États-Unis d'Amérique.
Ce fut le déclencheur central d’un génocide planifié. Sans ce jour-là, rien de ce qui a suivi, ni les bombardements massifs, ni l’effondrement du droit international, ni l’indifférence des puissances, n’aurait pu être justifié.
Or, ce 7 octobre est tout sauf clair. Trop d’incohérences. Trop de complicités passives. Trop de silences gênés. C’est un Pearl Harbor inversé, un 11 Septembre fabriqué aux portes d’un ghetto, un prétexte sanglant tombé à pic… dans une zone pourtant ultra-surveillée, où pas même une mouche ne passait sans être ciblée, sauf ce jour-là. La veille encore, les drones quadrillaient l’air, les radars israéliens balayaient tout, les commandos étaient en alerte. Et soudain, comme par "miracle", la frontière s’est effacée, les patrouilles se sont retirées, les alarmes se sont tues. Ce jour-là, le ghetto de Gaza n’était plus une prison. C’était un piège ouvert. L’histoire retiendra que ceux qui avaient le devoir de protéger leurs citoyens ont laissé faire, pour ensuite tout raser, sous couvert de la Shoah comme voûte narrative. Impossible de parler sans elle : c'est la sacralisation d’un drame, et la neutralisation du débat.
Pour autant, il en découlera la procédure de la Cour Internationale de Justice, non reconnue par les Etats-Unis et Israël, lancée par l’Afrique du Sud contre Israël pour génocide (2023). C’est le premier acte d’accusation véridique porté par une nation contre Israël, devant le monde entier. Ce n’est pas une victoire juridique. C’est une brèche dans l’immunité divine autoproclamée. Cela a permis à des millions de gens de ne plus se taire, notamment nombre de figures juives elles-mêmes : Norman Finkelstein, Ilan Pappé, Gideon Levy, Miko Peled, et d’autres. Quand la conscience parle contre l’impunité, c'est le début d’une rupture dans le champ sacré de l’accusation.
Elle sera suivie par un mandat d’arrêt de la CIJ contre Benjamin Netanyahu en novembre 2024. Même symbolique, il a rompu un tabou absolu. Un chef d’État israélien poursuivi pour crime contre l’humanité ? C’était jusqu'alors impensable. Et cela ouvre une ère nouvelle de désacralisation des intouchables, qui pourrait élucider nombre d'actes d'ingérence ou de sabotage non élucidés comme l’explosion du port de Beyrouth en 2020, qui a ravagé un peuple, un port, une mémoire...
La guerre de 12 jours contre l’Iran et les frappes sur ses sites nucléaires se sont déroulées entre juin et juillet 2025. Ce fut la plus grande opération militaire israélienne depuis 1973, avec la complicité tacite des USA et le silence de l’ONU.
L’Iran a vécu l’un des moments les plus humiliants de son histoire contemporaine, ses installations stratégiques de Fordow, Natanz et Esfahan, le cœur de son programme nucléaire, ayant été frappées et détruites. Non pas par surprise, mais sous les yeux du monde, sans riposte, sans défense, sans condamnation internationale.
Ce n’était pas une simple frappe : c’était un message, une démonstration, un acte de domination. Ce message était clair : l’Iran n’a plus les moyens de se protéger. Car une puissance régionale qui est incapable de protéger son propre ciel, malgré ses discours, malgré ses alliances, malgré ses missiles balistiques, a prouvé ce que ses ennemis savaient déjà : il ne maîtrise pas son espace aérien. Des escadrons entiers d’avions israéliens, parfois américains, peuvent le pénétrer, le survoler, frapper à volonté, et repartir… sans perte. C'est un désastre stratégique, un vide politique et spirituel, d'autant que tous ses chefs militaires ou politiques de poids ont été éliminés depuis 5 ans : Qassem Soleimani (2020), Ebrahim Raïssi (2024), Hossein Salami, Ali Shamkhani, et d’autres figures charismatiques… Tous, morts, neutralisés ou réduits au silence. Ne reste que l’Ayatollah Khamenei, vieillissant, isolé, sans dauphin incontestable.
Le régime tient par réflexe, non par vision. C'est la fin de l’axe de la résistance chiite. Avec la Syrie retournée, le Hezbollah affaibli*, et l’Irak sous influence américaine, le fameux "axe de la résistance", censé relier Téhéran à Beyrouth, n’existe plus que sur les cartes anciennes. Il ne reste que des ruines, des divisions internes, et une population iranienne épuisée, désabusée, désarmée. Ce moment est un avertissement global : quand une puissance régionale perd ses figures, sa foi, sa technologie et son ciel… elle devient une proie. Et les charognards sont déjà là.
Car si l’Iran a tiré, ses missiles ayant visé Israël, les dégâts ont été largement exagérés. Les aéroports israéliens fonctionnent parfaitement, Tel Aviv n’ayant jamais cessé de vivre comme si de rien n’était (même pendant la soi-disant "guerre des 12 jours", les plages étaient ouvertes, les services publics opérationnels, les élites sereines). Pas de chaos, pas d’exode, pas d’état d’urgence prolongé, avec qui plus est le bénéfice de cessez-le-feu "unilatéraux" (on arrête quand on veut, on frappe quand on veut)...
La vérité est cruelle : le champion présumé n'est qu'un tigre en carton, un lion d’opérette incapable de changer le cours des choses, simplement utile pour donner à la foule un dernier espoir. Et pendant qu’elle chante cette légende, Israël avance. Vers Damas. Vers l’Euphrate. Vers l’effacement de tout ce qui pouvait encore faire peur...
Motif d'espoir cependant pour l'Iran, les BRICS+ qu'il avait rejoint officiellement en 2023. L’entrée d’une nation sous embargo permanent dans une alliance mondiale alternative, avec la Chine, la Russie, l’Inde, le Brésil et d’autres, signe la fin du mythe de l’Iran isolé. Le yuan adossé à l’or dans les BRICS, c'est un petit tremblement pour la finance, mais un premier pas vers l’après-dollar.
* L’assassinat de Hassan Nasrallah en 2025 voit l'élimination du dernier symbole vivant de la résistance arabe face à Israël. Sa disparition marque la fin d’une ère, et laisse le Hezbollah décapité, sans chef spirituel ni politique. C’est un tremblement stratégique, mais aussi spirituel.
Attentats aux pagers, ou l'opération silencieuse du Mossad contre le Hezbollah (2024)
Ce fut l’une des campagnes d’assassinats les plus massives et les plus invisibles du XXIe siècle : plus de 5000 attentats ciblés via des pagers "rétro-modifiés", utilisés comme mouchards, traceurs, puis détonateurs. Ces armes dormantes ont été infiltrées au cœur des cercles militaires et religieux du Hezbollah, chaque bip devenant une condamnation, chaque vibration une sentence.
L’opération, d’ampleur inédite, a décimé la hiérarchie intermédiaire du Hezbollah, sans déclarer la guerre, sans drone, sans tribunal. Juste des ondes, juste des morts.
Cette guerre de l’ombre a montré que dans le monde moderne, ce sont les objets familiers qui tuent le plus sûrement, et que la technologie n’a pas besoin d’être futuriste pour être létale. Un massacre chirurgical, une signature israélienne, et une fois encore un silence mondial.
Ses points marquants sont nombreux.
. Attentat contre Charlie Hebdo (janvier 2015) : il a été le déclencheur d’un basculement émotionnel mondial, utilisé pour sanctuariser la "liberté d’expression" version occidentale, tout en renforçant la surveillance, la peur, et l’islamophobie d’État.
Ce fut un attentat ambigu, instrumentalisé, et dont les zones d’ombre persistent tout comme l'autre méga attentat sur le sol de France qui s'en suivra (Bataclan).
. Mort de George Floyd suivie de l’onde Black Lives Matter en 2020, constituant le moment de récupération la plus massive d’une colère légitime transformée en idéologie mondialiste. Il en a découlé la naissance du wokisme, de la censure, de la paranoïa raciale. Le vrai combat pour la justice a été instrumentalisé.
. Passage de l’avortement en droit constitutionnel (France, 2024) : c’est un basculement anthropologique majeur, voyant l’État ne plus protèger la vie, mais protéger le droit de l’interrompre. Le sacré bascule. La vie devient conditionnelle. Et la justice se fait bio-politique. C'est un renversement dans la hiérarchie des valeurs.
. Verrouillage des élections en Roumanie et Moldavie (2024–2025) : c'est l'atlantisme imposé, avec une abstention citoyenne massive. C'est la consécration de la démocratie vitrine à la sauce UE.
. Changement de nature de la dissuasion nucléaire française (2025) : la doctrine passe de la "sanctuarisation du territoire" à la capacité de frappe préemptive sur des zones non étatiques, voire civiles. La France entre dans la stratégie de dissuasion floue et post-nationale, le feu sacré devenant outil de négociation.
Fabrication du crime civilisationnel parfait : mode d'emploi
Le crime parfait n’efface pas les traces, il les norme. Il fabrique la loi, réécrit la mémoire, déplace la colère et baptise le tout "sécurité". Les naïfs ou manipulateurs mandatés (relais institutionnels et mainstream médiqtique) appelle ça du hasard, et la plupart du temps nous y croyons tant nous avons été habitués et dressés à détourner le regard par l'écran qui remplace le réel, le langage faussé, la distraction et l’habitude. Tout a été anticipé pour que nous devenions compromis, résignés, lâches… voire idiots. Or le crime repose sur un plan qui, dans un temps où le mensonge n’a plus besoin de se cacher, se présente comme vérité et se fait loi. Ce plan, patiemment conçu, vise à coloniser les corps, puis les mémoires, et enfin les esprits. Chaque silence, chaque omission, chaque scandale effacé, chaque colère attisée, chaque loi nouvelle, est une marche dans un escalier obscur. Et cet escalier mène toujours au même lieu : le trône du Mal, qui veut s’asseoir sur le monde.
Sept indices clés permettent de l'identifier et de le comprendre.
1. Le silence des complices : en langage codé "Nous savons, mais nous ne dirons rien." Les opérateurs ont compris qu’en fragmentant, en divisant, en dressant les uns contre les autres, ils créent un chaos permanent, un chaos qui sert leurs intérêts, un chaos qui leur permet de se cacher derrière les colères qu’ils provoquent. C'est pourquoi le silence des complices est nécessaire : il ne s’agit pas d’ignorance, il s’agit d’un choix, d’une discipline, d’une stratégie, car ce silence fait de chaque crime une étape possible. C’est lui qui rend supportable l’insupportable, qui habille de neutralité la barbarie, et qui prépare déjà la suite : d’autres guerres, d’autres divisions, d’autres lois.
2. Le patriotisme falsifié : le drapeau est brandi à droite, la reddition signée à gauche. Ses thuriféraires chantent des hymnes et réclament des frontières fermées au nom de la souveraineté. Mais ce patriotisme n’a rien d’authentique. Il n’est pas amour d’un peuple, encore moins fidélité à une terre. C’est un patriotisme falsifié, fabriqué de toutes pièces, qui hurle contre l’étranger, mais qui se courbe devant les maîtres invisibles.
En le regardant bien, ce faux patriotisme n’entre jamais en conflit avec le sionisme des esprits. Au contraire, il l’accompagne. Pourquoi ? Parce que les fils sont tenus ailleurs, parce que les partis qu’ils contrôlent, qu’ils infiltrent, qu’ils manipulent, sont déjà colonisés de l’intérieur. Les loges, les lobbies, les sociétés secrètes y ont installé leurs relais. Et ces relais obéissent. Toujours. Ce faux patriotisme est une passerelle : il attire les désespérés, il canalise la colère, et il la renvoie, domestiquée, au service de ceux qui détruisent la nation qu’ils prétendaient sauver.
3. Les vies humaines, transformées en paris comptables. Il en est ainsi des migrants. Jamais comme des hommes, jamais comme des femmes, jamais comme des familles, mais toujours comme des numéros dans une immense loterie. S’ils s’intègrent, s’ils rapportent, on les garde. On leur promet qu’ils financeront les retraites, qu’ils rempliront les usines vides, et qu’ils disparaîtront ensuite poliment, sans bruit. S’ils échouent, s’ils ne produisent pas ce que l’on espérait, on les jette. Comme des déchets humains. C'est le cynisme absolu. Et pendant ce temps, on fabrique la colère des peuples, on agite la peur de l’invasion, on attise le ressentiment. Pourtant, la vérité est simple : les migrants ne sont pas responsables de ce chaos. Ils en sont les pions. Les vrais coupables sont ceux qui les instrumentalisent, qui organisent la confusion, qui transforment l’accueil en piège et le rejet en arme. C’est un commerce de peur, un commerce de colère.
4. Le génocide qui vient : Gaza est aujourd'hui un laboratoire, un modèle, comme hier la plandémie sanitaire. Ce sont des manuels d’instruction. Les mêmes mains qui organisent ces barbaries travaillent déjà à importer le chaos dans nos pays, feignant de ne pas comprendre la colère des peuples, la laissant enfler, l’attisant même car elle est utile. Utile pour préparer le choc, pour amener ce qu’ils appellent déjà la tempête parfaite. Un chaos si violent qu’il justifiera des mesures extrêmes. Un chaos qui permettra de faire voter des lois d’exception, présentées comme des remparts, mais conçues pour protéger les bourreaux. Tout est déjà en place, et (presque) tout le monde le voit. Mais peu osent le dire, car nommer cette logique, c’est révéler que nous sommes colonisés, non plus seulement dans nos frontières, mais jusque dans nos consciences.
5. La tempête parfaite, des marchés financiers comme du terrain miltaire : c'est le chaos utile, pour des lois d’exception taillées sur mesure. Rien n’est improvisé. Ce que nous appelons "crise", ils l’appellent "étape". Ce que nous pensons être une explosion imprévisible, eux l’ont soigneusement planifiée, car ils savaient que la colère des peuples finirait par jaillir. Ils l’ont voulue, ils l’ont attisée, et maintenant, ils la laissent éclater. Cette colère est l’ingrédient principal de la tempête parfaite. Une tempête qui ne vise pas à renverser l’ordre établi, mais au contraire à le renforcer. Car lorsque la peur devient incontrôlable, les peuples acceptent tout : des lois d’exception, le sacrifice de leurs libertés, et même que les véritables coupables soient protégés. Voilà le piège : le chaos comme alibi, la tempête comme outil, et les lois comme verrou. C'est un projet millénaire, une réalité sans retour. Voilà pourquoi Gaza et Paris, New York et Jérusalem, sont liés par le même fil. Voilà pourquoi tout s’embrase maintenant, et pas hier. Parce que nous entrons dans la phase finale, et que cette phase porte un nom : le chaos contrôlé, méticuleusement déclenché, pour accoucher d’un monde verrouillé.
6. L'oubli programmé : les scandales sont absorbés, les preuves digérées, les témoins éliminés (au propre comme au figuré), les indignations recyclées. Le chaos seul ne suffit pas, il faut aussi contrôler la mémoire. Il n'est qu'à regarder l’affaire Epstein : un scandale d’une ampleur telle qu’il aurait pu faire s’effondrer tout l’édifice - des présidents, des princes, des financiers, des réseaux de corruption et de perversion exposés au grand jour -, et pourtant, plus rien. L’affaire a disparu, comme avalée par un trou noir : les noms ont été effacés, les preuves enterrées, les médias détournés vers d’autres histoires. Voilà la méthode : provoquer le choc, puis effacer les traces. Faire exploser l’indignation, puis la noyer dans l’oubli. Les scandales éclatent, puis s’évaporent. Les peuples se révoltent, puis on réécrit leur colère. Ainsi se construit une mémoire falsifiée, une mémoire amputée de ce qui dérange, colonisée par ce qui arrange. Notre mémoire est programmée, par un logiciel installé dans nos consciences qui supprime les dossiers gênants et archive seulement ce qui renforce leur pouvoir. Le véritable génocide n’est pas seulement celui des corps, c'est celui de la vérité. Un effacement méthodique, qui transforme les crimes en rumeurs, les bourreaux en sauveurs, et les victimes en coupables.
Voilà pourquoi tout est lié : Epstein, Gaza, les migrants, le faux patriotisme, les colères des peuples. Tout est une même opération d’ingénierie.
Tout converge vers un seul but : faire disparaître les preuves, pour que jamais les peuples n’osent voir ce qu’ils ont vu de leurs propres yeux.
7. La colonisation des têtes : plus besoin d’armées quand les esprits sont conquis. Nous ne sommes plus colonisés par des armées, mais par des récits. Non plus par des chaînes visibles, mais par des idées qui nous habitent malgré nous. La colonisation véritable est désormais celle des esprits : on a pris nos consciences comme on prend une forteresse, remplaçant nos mémoires par des slogans, et substituant nos choix par des illusions. Nous croyons décider, mais nous répétons un scénario écrit d’avance. Nous croyons résister, mais nos colères sont captées, recyclées, redirigées. Nous croyons penser, mais ce sont leurs mots que nous utilisons, leurs images que nous retenons, leurs indignations que nous consommons. C’est ainsi que nous avons été colonisés par la tête, et c’est pourquoi tout nous semble confus : les migrants comme tickets de loterie, le faux patriotisme qui brandit le drapeau en livrant la nation, les scandales effacés comme Epstein, le génocide de Gaza nié sous nos yeux, la tempête parfaite déjà en marche. Rien n’est le fruit du hasard, tout procède d’un dessein. Un dessein qui n’a plus peur de se montrer : les Khazars, les pantins, les lobbies, les sociétés secrètes. Ils avancent désormais à visage découvert.
Des suspects récurrents sont à observer :
— Les veilleurs, qui ne veillent que les lampadaires.
— Les patriotes en papier glacé.
— Les savants qui parfument la cage.
— Les faux dissidents qui crient "feu" en tournant le dos à l’incendie.
Et deux mobiles apparaissent à l'esprit de l'observateur aiguisé : sanctuariser un pouvoir ancien sous un visage moderne, et transformer la domination en évidence légale.
Mais il y a dans ce crime civilisationnel une faille. Car si l’on peut coloniser un territoire, si l’on peut coloniser une mémoire, on ne peut coloniser une âme qui choisit de rester libre. Et c’est par la tête aussi que viendra la délivrance : quand l’œil s’ouvrira, et que le mensonge, enfin, sera vu pour ce qu’il est !
Réalité migratoire 2025, l'accélérateur du chaos
Le mouvement anti-immigration, perceptible dans la montée en puissance de parti politiques dits d'opposition sinon dans les mesures impulsées par l'administration Trum, prend une tournure désormais mondiale, des manifestations anti-immigration massives éclatant en septembre 2025 à travers le monde de Londres à Sydney en passant par Tokyo. Elles provoquent une onde de choc parmi les gouvernements qui pensaient jusqu'alors pouvoir ignorer la population. Ce que les élites qualifiaient autrefois de "marginal" est aujourd’hui un raz-de-marée. Ainsi en Australie, où des dizaines de milliers de personnes se sont rassemblées pour protester contre les politiques qui entraînent le chaos dans le logement, la criminalité violente et l’effondrement social. Des familles, des anciens combattants et même des immigrants assimilés se sont joints aux marches, pour être ensuite qualifiés de "nazis" par des responsables désespérés au point de les discréditer de manière outrancière. Le Japon est aujourd’hui confronté à sa propre révolte après avoir dévoilé ses "villes d’origine" pour les nations africaines, suscitant l’indignation et des milliers de plaintes. Et tandis que des Australiens sont contraints de vivre dans des tentes, l’Inde envoie des travailleurs construire un million de logements dont beaucoup craignent qu’ils ne soient jamais attribués aux citoyens. Si presque partout en Occident les dirigeants protègent les migrants tout en punissant leur propre peuple, la réaction est là, et elle s’accélère...
Des décès, éliminations, assassinats et autres suicides de personnalités
. "Suicide" du prédateur pédocriminel ami des élites Jeffrey Epstein (2019 - photo 1 en compagnie de sa comparse Ghyslaine Maxwell) : ce moment de vérité le plus gênant pour l’élite mondiale a été étouffé en direct. Epstein, au centre d’un réseau de chantage sexuel, financier et politique, est mort au moment précis où il allait parler. Le système s’est auto-protégé. Et rien ne prouve qu’il soit réellement mort.
L’affaire Epstein, comme les affaires Dutroux, McKinsey en France, FBI aux USA... révèlent une constante : les réseaux de pouvoir protègent les pires crimes tant qu’ils servent leurs intérêts. Ces scandales, étouffés, sont des révélateurs systémiques. Et chaque témoignage qui filtre est une alarme pour le peuple.
. Assassinat du Premier ministre du Japon Shinzo Abe (2022 - photo 2) : il ne s’agit pas seulement d’un meurtre politique, mais d’un signal envoyé à toute figure alternative au Japon. Abe préparait un retour pour s’opposer à l’alliance USA–OMS–Big Tech. Son élimination publique, en direct, rappelle qu’aucun dirigeant ou ex souverain n’est à l’abri. Et que la démocratie asiatique est une façade fragile.
. Mort de la Reine Élisabeth II (2022 - photo 3) : un monde s’efface sans faire de bruit. Si elle incarnait la retenue, son successeur incarne l’effacement (photo 4).
. Eviction publique du Président de la république populaire de Chine et Secrétaire général du Parti communiste chinois Hu Jintao (photo 5) par Xi Jinping (photo 6) lors du Congrès du Parti Communiste Chinois (octobre 2022) : cette scène, surréaliste et glaçante, marque la fin du consensus chinois post-maoïste. Xi Jinping montre au monde qu’il gouvernera seul, sans partage, sans passé. C’est la naissance du nouveau Léviathan asiatique, un moment de bascule stratégique : la Chine sort de l’ambiguïté.
. Mort du Pape François (photo 7) remplacé par Léon XIV (2025 - photo 8). C'est la fin visible d’une Église catholique devenue minoritaire en Occident, de ses dérives (le Vatican bénit les couples LGBTQ+, et a accueilli en septembre 2025 plus d'un millier de catholiques LGBT+ et leurs proches à un pèlerinage dans le cadre de l'"Année sainte", l'année jubilaire de l'Eglise organisée tous les 25 ans) par une doctrine devenue variable d’ajustement, avec l’arrivée d’un pape formé au management, à l’IA, au Talmud, et à Chicago. Léon XIV incarne et consacre l’infiltration de la Tradition par le monde (le FBI classe les catholiques tradi comme menace intérieure, le sacré inquiètant plus que le chaos). Ce fut un événement d’apparence discrète, mais à charge eschatologique massive. La foi se courbe désormais devant la norme.
De la dénaturation du sport
. Le sextuple vainqueur du Tour de France cycliste Lance Armstrong (photo 1) a perdu tous ses titres. On a découvert, plutôt ouvert les yeux, qu’un héros était un système à la performance suspecte. Et cela continue, le succès populaire cautionnant cette hypocrisie. On a les champions que l'on mérite...
. Le champion de tennis serbe Novad Djokovic (photo 2) a été enfermé en Australie en 2022 lors de la crise Covid. Son corps sain était devenu suspect, car il refusait le soi-disant vaccin salvateur. La gloire ne protège plus, pas plus que la liberté de décider pour soi en matière de santé.
. La Coupe du monde de football au Qatar (2022 - photo 3), avec un désert transformé en hologramme. Foot, gaz, esclavage : même combat.
. Les JO d’hiver en Chine sans public (2022 - photo 4) : tout est propre, tout est froid. C'était un événement sans âme, comme le monde qu’on prépare.
. La mise en scène des Jeux Olympiques de Paris 2024 a constitué la plus grande opération de propagande mondiale orchestrée sous surveillance militaire, avec un discours de paix, de diversité, de technologie et de performance, pendant que des enfants mouraient à Gaza.
Les JO de Paris sont la vitrine mondiale d’un empire en décomposition, une liturgie païenne sous drones.
. La première championne olympique XY aux JO de Paris 2024 est l’événement anthropologique par excellence : un homme biologique, de nationalité algérienne, est devenu médaillé en catégorie féminine (photo 6). Puis disqualifié après avoir été célébré. Ce cas illustre l’effondrement de toute frontière entre réel et norme, le sport devenant un terrain d’expérimentation transhumaniste.
. Le MMA* détrône la boxe, entendant que le noble art cède à l’arène algorithmique : plus besoin de tactique, juste du sang, du buzz, du clash... et des foules abêties qui s'agglutinent derrière les écrans.
* Arts martiaux mixtes (MMA), c'est un sport de combat tridimensionnel qui regroupe des techniques issues de nombreux Arts Martiaux et sports de combat (judo,boxe,karaté) pour former une discipline singulière avec ses propres spécificités.
Le monde ne cesse de glisser en silence, chacun croyant que ce n’est pas encore arrivé...
L'actuelle marche du monde en chanson : Il Ragazzo Della Via Gluck (Le Gars De La Rue Gluck)
Questa è la storia Ceci est l'histoire
Di uno di noi, D'un gars comme vous et moi,
Anche lui nato per caso in via Gluck, Lui aussi naît par hasard dans la rue Gluck,
In una casa, fuori città, Dans une maison, loin de la ville,
Gente tranquilla, che lavorava. Quelqu'un de tranquille, qui travaillait.
Là dove c'era l'erba ora c'è Là où il y avait de l'herbe à présent il y a
Una città, Une ville,
E quella casa Et cette maison
In mezzo al verde ormai, Alors au milieu de la verdure
Dove sarà ? Où sera-t-elle ?
Questo ragazzo della via Gluck, Ce gars de la rue Gluck,
Si divertiva a giocare con me, S'amusait en jouant avec moi,
Ma un giorno disse, Mais un jour il dit,
Vado in città, Je vais en ville,
E lo diceva mentre piangeva, Et il le disait alors qu'il pleurait,
Io gli domando amico, Moi je lui demande mon ami,
Non sei contento ? Tu n'es pas content ?
Vai finalmente a stare in città. Tu vas finalement t'installer en ville.
Là troverai le cose che non hai avuto qui, Là-bas tu trouveras les choses que tu n'as pas eu ici,
Potrai lavarti in casa senza andar Tu pourras te laver chez toi sans aller
Giù nel cortile ! En bas dans la cour !
Mio caro amico, disse, Mon cher ami, il dit,
Qui sono nato, Ici je suis né,
In questa strada Dans cette rue
Ora lascio il mio cuore. Maintenant je laisse mon cœur.
Ma come fai a non capire, Mais comment fais-tu pour ne pas comprendre,
È una fortuna, per voi che restate C'est une chance, pour vous qui restez
A piedi nudi a giocare nei prati, Les pieds nus à jouer dans les prés,
Mentre là in centro io respiro il cemento. Pendant que là-bas dans le centre moi je respire le ciment.
Ma verrà un giorno che ritornerò Mais viendra le jour où je reviendrai
Ancora qui De nouveau ici
E sentirò l'amico treno Et j'entendrai mon ami le train
Che fischia così, Qui siffle ainsi,
Wa wa !
Passano gli anni, Passent les années,
Ma otto son lunghi, Mais huit ans c'est long,
Però quel ragazzo ne ha fatta di strada, Cependant ce gars en a fait du chemin,
Ma non si scorda la sua prima casa, Mais il n'oublie pas sa première maison,
Ora coi soldi lui può comperarla Maintenant avec l'argent il peut l'acheter
Torna e non trova gli amici che aveva, Il rentre et ne trouve plus les amis qu'il avait,
Solo case su case, Juste des maisons sur des maisons,
Catrame e cemento. Goudron et ciment.
Là dove c'era l'erba ora c'è Là où il y avait de l'herbe à présent il y a
Una città, Une ville,
E quella casa Et cette maison
In mezzo al verde ormai Alors au milieu de la verdure
Dove sarà ? Où sera-t-elle ?
Ehi, Ehi,
La la la... la la la la la...
Eh no, Eh non,
Non so, non so perché, Je ne sais pas, je ne sais pas pourquoi,
Perché continuano Pourquoi ils continuent
A costruire, le case A construire, les maisons
E non lasciano l'erba Et ils ne laissent pas l'herbe
Non lasciano l'erba Ils ne laissent pas l'herbe
Non lasciano l'erba Ils ne laissent pas l'herbe
Non lasciano l'erba Ils ne laissent pas l'herbe
Eh no, Eh non,
Se andiamo avanti così, chissà Si on continue comme ça, qui sait
Come si farà, Comment on fera,
Chissà... Qui sait...
La vraie thérapie, c'est à tout moment, en toutes conditions, et certainement pas guidée par quelqu'un que nous payons, mais par sa propre guidance supérieure qui place les expériences dont nous avons précisément besoin sur notre chemin.
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