La formulation de ces clés n'engage que leur auteur, qui puise tant dans ses recherches et sources d'information que dans son imaginaire leurs révélation et libre mise à disposition suivant la forme et la rédaction retenues.

Il n'y a de ce fait rien à prendre pour argent comptant, seulement à laisser faire en soi le processus d'ouverture de conscience par le discernement, soit le juste équilibre entre cœur et raison. Celui-ci conduira à les invalider, à les valider, à les compléter par d'autres ajouts et compléments.

C'est ainsi que procède le chercheur de vérité.

 

 

Libération émotionnelle

 

Complément à la publication L'expérience émotionnelle et à la clé Processus de transformation de conscience

 

La réussite du processus de transformation de conscience* demande à ce que nous soyons libéré de toutes les croyances humaines qui nous lient à la matrice de 3ème dimension, notre actuelle dimension de réalité, et qui nous empêchent d'accéder à Qui Nous Sommes vraiment. Cela entend que l'accès et l'existence dans une dimension de densité/réalité supérieure, la 4ème + (mode évolutif) avant le passage en 5ème, sas libérateur de sortie de la caverne entropique, n'a absolument rien à voir ni avec notre mode de vie actuel, ni nos valeurs actuelles, ni notre façon de penser actuelle, ni même avec notre environnement actuel.

Il ne peut donc pas y avoir d'alternative : changer de conscience sans changer de dimension de réalité. Nous pouvons certes nous éveiller en conscience, mais penser que ceci va changer quoi que ce soit au fonctionnement de notre matrice actuelle est une illusion. Nous serons simplement plus lucide, moins naïf, plus détaché, mais tout aussi impuissant à en changer concrètement le mode de fonctionnement établi, le "Service de Soi".

Aussi s'engager dans le processus de transformation de conscience a pour résultante, à terme, un inéluctable changement dimensionnel. Tant mieux, puisqu'il doit nous permettre d'échapper à l'entropie vers laquelle notre monde actuel nous conduit, inéluctablement*².

Cf. L'état de cohérence, voie de sa liberté & Processus de transformation de conscience (1).

*² Cf. La nouvelle religion universelle & Prophétie du changement.

 

Thérapie émotionnelle contemporaine

Les mécanismes enclenchés dans le cerveau par les pensées conduisent de manière électrique à une traduction émotionnelle, autrement dit à une réaction. Si ces mécanismes du cerveau archaïque sont indispensables à la survie de l'être humain, ils se traduisent très souvent par des réactions excessives ou inappropriées, qui le poussent à agir de manière directe, brutale, sans réflexion adéquate (par exemple par un courriel de réponse en colère parti trop vite sans avoir lu ce qui nous était adressé, ou la colère manifestée au volant lorsqu’un conducteur nous colle de trop près ; etc). Toutes ces réactions sont en fait le fruit de la peur induite par le stress, actionnée par notre double involutif, ténébreux.

Les travaux du médecin chirurgien et neurobiologiste français Henri Laborit (1914/1995) menés sur des rats dans les années 70 ont démontré qu’il y avait chez ces animaux trois types de réactions face au stress : la fuite ; l’agressivité ; la résignation. Les psychologues se sont aperçus que les êtres humains avaient des réactions semblables à celles des rats : la peur qui fait fuir ; la colère qui fait attaquer ou lutter ; la tristesse qui empêche la personne d’agir, qui la rend prostrée. C'est un système éprouvé depuis fort longtemps, en l'occurrence depuis le Pléistocène, ce moment de la Préhistoire qui a vu pour les scientifiques académiques la naissance des homos sapiens*. C'est pourquoi la question qui se pose traditionnellement est de savoir si ce serait mieux de maîtriser ses émotions. La réponse en l'état est oui et non, partant du principe que ce système est plus fort que nous, c'est-à-dire de notre raison, puisque gage de la survie de notre espèce au sein de la réalité terrestre, dans l'ignorance de sa gouvernance par les Forces de l'Ombre et des Ténèbres.

S'il est un "bon" système, fait pour nous éviter des dangers réels, il présente un inconvénient majeur, celui que le corps ne fait pas nécessairement la différence entre vraie menace et fausse alerte. Et à chaque fois que notre corps mobilise des énergies inadaptées contre ces menaces, il s’épuise inutilement, jusqu'à ne plus pouvant y faire face. C’est alors la dépression, le burn-out ou épuisement. Aussi pour les scientifiques et thérapeutes, il convient en l'état d'apprendre à apprivoiser ses émotions et à en limiter les effets délétères sur notre organisme (erreurs, maladresses, perte de sang-froid, fatigue chronique, flot émotionnel, incapacité à prendre des décisions rationnelles à tout moment...). Les solutions "anti-stress" et de traitement ou régulation de la dépression et de l'épuisement sont ainsi devenues à la mode, mettant en avant l'empathie, l'alimentation, la capacité à déjouer le piège des organisations sociales modernes en redonnant du sens à son travail et à son existence. Regroupées sous le vocable "d'intelligence émotionnelle"*², elles ont pour objectif de donner à l'être humain les moyens de parler à son corps afin de rétablir le lien avec l'esprit, et de l'empêcher de prendre le contrôle total des émotions.

Pour ce faire, il s'agit de "retrouver" les mémoires enfouies, oubliées, liées à des traumatismes subis à l’occasion de la naissance, ou à des peurs vécues lors de la petite enfance sources de traumas. Au système archaïque de défense se sont ajoutées la mémoire des émotions, ce que démontre depuis les années 90 l’imagerie cérébrale par la mise en relation de certaines zones du cerveau avec nos différentes capacités cognitives, émotionnelles et comportementales (ce que l'on appelle l'amygdale du cerveau ou système amygdalien, soit deux noyaux à la forme d’amande situés au cœur du cerveau) par le nerf vague.

* Cf. Vérité civilisationnelle.

Cf. L'expérience émotionnelle.

Cf. en complément Catherine Aimelet Périssol, "Apprivoiser son crocodile" (1996) et "Émotions quand c’est plus fort que moi" (2017) ; Antonio Rosa Damasio "L’erreur de Descartes" (2010) ; Anne Everard, "Guide du Burn-out" (2017).

 

La conscience repose sur le combiné mental-émotionnel constitutif du petit Moi, l'égo, dont la connaissance* et la maîtrise permettent l'accès à la supra-conscience, le Soi supérieur, levier du changement dimensionnel. Aussi c'est sur ce combiné que le corpus prédateur involutif agit à travers l'inconscient par la fabrication du comportement social humain*². Ce conduit de la prédation est basé sur deux grands principes émotionnels, les attaches et la culpabilité.

* Cf. Fonctionnement du corps biologique & Décryptage de l'Ego.

Cf. Prédation manipulatoire & Le contrôle du robot biologique.

 

Le conduit de la prédation : l'émotionnel

Les attaches

La culpabilité


 

Ces deux piliers paralysent littéralement le mental de l'impétrant - l'expérienceur - dans son ouverture de conscience à un mode potentiellement "Service d'Autrui" et non plus "Service de Soi", ce dernier étant la caractéristique de la dimension en 3-D sous contrôle du prédateur égotique. Ce sont ces émotions propres à l'humain de 3ème dimension, se manifestant à travers les différents états ou modes du moi immature ou non individué - bourreau, victime, sauveur -, et les mémoires porteuses des différentes blessures psycho-émotionnelles liées au voyage de l'âme* qui en découlent.

Elles entravent le développement de sa conscience supérieure, l'empêchant ainsi de penser, d'agir et de développer sa psyché dans le sens du véritable "Service à Autrui" caractéristique de la 4ème dimension évolutive (4-D +) et préalable au passage à la 5-D, dimension de la nouvelle civilisation humaine - la sixième - en voie d'émergence. Attaches et culpabilité sont les béquilles du déni de soi, le talon d'Achille de l'humain personnalité.

* Cf. Le cheminement de l’Âme.

 

Exemple de manipulation émotionnelle religieuse : charité et dévotion.

Charité et dévotion constituent selon l'ensemble des religions mondiales la vertu qui provient de l'effort de l'humanité pour "sortir" de son statut d'autonomie, présenté comme de l'"égoïsme", dans le but de faire le don de soi à autrui et/ou à un Maître ou un Avatar comme par exemple Jésus, Mahomet, Bouddha... Cette vertu inculquée à l'humanité depuis des millénaires est un aiguillage de détournement mortel de l'indispensable processus d'individuation, la conscience christique (le Kiristos) étant en Soi, et Soi étant un fragment de l'Unité, La Source, Ce Qui Est. C'est également un conditionnement, qui, par cet effort soi-disant vertueux, conduit l'être humain à s'oublier lui-même, pour ne pas dire à se sacrifier, tout comme son "modèle" Jésus. Par sa "mort individuelle", l'adepte ou fidèle rejoint ainsi la légion des dévots qui servent la "cause" commune. Mais quelle cause ? Celle d'une humanité libre, ou celle d'une humanité asservie par la manipulation spirituelle perverse des soi-disant "docteurs" de la Foi...

Cf. Prédation spirituelle et voie de sortie.

 

La stratégie "Coronade", en quelques principes méthodiques

Le virus SARS Cov 2, qui a provoqué en 2020 la maladie Covid-19 source d'hystérie planétaire, a bel et bien été créé en laboratoire, ce qui constitue désormais une réalité incontestable pour les scientifiques objectifs non acoquinés au système institutionnel psychopathe régnant continuant à la récuser, contenant des séquences courtes identiques à celles du virus du sida, celles-ci ayant été ajoutées volontairement par des chercheurs travaillant sur un éventuel vaccin contre le virus du sida. Ce fut l'hypothèse non sans fondement du célèbre Professeur français Luc Montagnier (1922/2022), traité alors par d'aucuns de fou, vieillard sénile, et devenu paria de l'establishment scientifique en cours jusqu'à son décès sans l'hommage républicain du à ses services émérites rendus (Prix Nobel pour ses recherches sur le virus du SIDA)  .

Ce énième virus Corona, aux effets très similaires à la grippe, a de ce fait été manipulé et élaboré entre autres dans un laboratoire à Wuhan en Chine, en partenariat avec les États-Unis (via l'Institut National de la Santé) et la France (via l'INSERM et l'Institut Pasteur), et dans lequel des animaux ont été amenés comme des chauves-souris. Aussi ne s'est-il pas propagé naturellement à l'homme, en connaissant une évolution virale accélérée pour devenir une maladie systémique, si ce n'est sous l'effet des ondes de la technologie 5-G compte-tenu de ses particules de graphène associées aux adjuvants contenus dans les "vaccins saisonniers", dont les fréquences respectives affaiblissent l'immunité des "individus ordinaires" inconscients des effets destructeurs de ces ondes. D'aucuns diraient une véritable technologie extraterrestre, plus exactement extradimensionnelle, révélée progressivement par les équipes de la Quinta Colonna, ce collectif de recherche indépendant et radicalement interdisciplinaire même si traité comme il se doit de complotiste par les officines institutionnelles et médiatiques "bienpensantes" !

L'objectif du "corpus prédateur", composé d'entités énergétiques se nourrissant de l'émotionnel humain dénaturé sinon vicié (colère, haine, mépris, envie, peur...) sévissant dans la psyché de l'être humain ignorant de sa réalité et relayé par les scientistes sans âme terrestres qui en dénient l'existence, est double. Le premier fut mercantile, la création d'un opportun "vaccin" décliné en moultes doses et rendu obligatoire à l'échelle planétaire pour rapporter très gros à ses initiateurs et à leurs obligés à la tête de puissances industrielles pharmaceutiques, source de corruption pour les décideurs institutionnels par le financement de leurs activités politiques comme de leurs loisirs privés. Le second correspond à la mise en œuvre de cette fin de cyclicité du calendrier entropique astral, dite "fin des temps"*, qui voit émerger progressivement une nouvelle civilisation humaine (la sixième) en 4ème dimension de réalité, amenant la possibilité pour nombre d'êtres humains dotés d'une âme de la clé libératoire de leurs esclavage et aliénation. Sa mise en œuvre a de ce fait été facilitée par nombre d'autorités étatiques, la plupart de leurs représentants étant sous contrôle mental ou effet-hypnose comme par exemple par la méthode dite Greenbaum, autrement dit sous dissociation psychologique*², ou trouvant là matière à satisfaire leur nature profondément psychopathe.

La psychose planétaire compte-tenu du matraquage politique et médiatique effectué, et de son flot incessant de mensonges proférés, a ainsi correspondu à une programmation d'ampleur à l'échelle collective d'un état de panique avec comme effet de terribles conséquences psychologiques par les mesures de confinement décidé et autres impératifs (port du masque, isolement des personnes âgées...). Nombre d'êtres humains en ont considérablement soufferts, fragilisant souvent de manière irrémédiable leur protection innée immunitaire. D'un autre côté, l'effondrement des économies et l'impression d'une gigantesque couverture monétaire destinée à les relever a conduit à une inévitable inflation des prix source de dévalorisation de la valeur argent, et qui au final ne voudront plus rien dire, à l'instar de ce qui s'est passé lors de la République de Weimar (l’impression monétaire allemande sous la République de Weimar de 1918 à 1933 était censée empêcher une révolution bolchevique ; à la place, il y a eu les nazis !) ou plus récemment au Venezuela ou en Argentine. Le confinement universel est l’une des erreurs les plus monstrueuses jamais commises par des autorités gouvernementales, les probabilités de décès étant 1 000 fois plus élevées pour un homme de 80 ans que pour une femme de 30 ans. Il aurait été relativement plus simple de protéger les groupes vulnérables jusqu’à ce que la menace s’estompe, d'autant que dans cette catégorie d'âge, la plupart des individus sont déjà à la retraite, ce qui n’aurait pas coûté grand-chose à l’économie.

Le résultat final est que cette triple peine - sanitaire, économique, sociale - s'est traduite par nombre de conséquences sociales, y compris des révoltes suite aux pénuries alimentaires à venir au regard des nouvelles pathologies découlant de ce virus mutagène et à la paupérisation généralisée des peuples-, à même de justifier la reprise en mains musclée, totalitaire, d'un monde institutionnel devenu aux abois. Et comme les populations seront devenues parfaitement vulnérables aux maladies, le corpus prédateur imagine bien en récolter les bénéfices par l'imposition musclée de son Nouvel Ordre Mondial et son système de contrôle associé, basé sur l'Intelligence Artificielle, comparable au "modèle" communiste chinois en vigueur du contrôle social, la surveillance généralisée par la reconnaissance faciale et à terme la puce inoculée dans le corps.

Cette maladie dite Covid 19 puis Covid-21 avec ses variants bien plus dangereux comme le Delta, Omicron..., qui se propage partout dans le corps dès qu'elle y trouve un terrain favorable par déficience immunitaire des individus (il est prouvé que 99% des personnes décédées souffraient d'au moins une maladie chronique), a le potentiel de dégrafer le génome, signifiant que l'enjeu était bel et bien au départ d'empêcher l'être humain de s'adapter aux évolutions de son environnement et de devenir plus fort, les êtres humains partageant depuis toujours dans le cadre de leur évolution naturelle des bactéries, des staphylocoques, des streptocoques, des virus, afin de développer une réponse immunitaire quotidienne à ces "choses" naturelles. Car tout virus, de par la loi de la dualité, porte en lui les deux polarités du Vivant. Et en tentant de le modifier par un virus source de terreur, l'objectif est d'éviter l'inévitable dévolution du virus et de ses effets pour conduire les individus à accepter de se faire vacciner, introduisant alors en eux le véritable poison de leur servitude définitive sinon de leur mort à plus ou moins moyen terme, logé dans un vaccin avec une micro-puce réceptive à la technologie mortifère de la 5-G (importance des débits de données véhiculés sous forme d'ondes). Au prétexte de prévenir le risque épidémique, celle-ci les tracera à chaque instant, lorsqu'elle ne favorisera les effets délétères du poison injecté dans le système immunitaire... Mais lorsque les psychopathes scientistes ont compris que, tout au contraire, le virus permettait une immunisation à même de renforcer le pouvoir des individus, ils ont accéléré le confinement et les mesures autoritaires (interdiction de se soigner via la naturothérapie, l'hydroxychloroquine et l'ivermectine, imposition de porter un masque à graphène,...) pour tenter désespérément la mise en œuvre. L'arroseur arrosé !

Il en résulte que la plupart des mesures prises au nom du principe de précaution sanitaire n'ont pas visé à aider à prévenir l’infection. Ainsi les gens qui ont porté ou continuent de porter des masques toute la journée ne font en effet qu’augmenter leur charge virale, réduire leur niveau d’oxygène parce qu’inspirant de nouveau le dioxyde de carbone, amplifiant ainsi leur propre charge microbienne et diminuant le système immunitaire de leur corps. D'autre part, enfermer les gens a abouti à provoquer stress, suicides, augmentation des maltraitances conjugales et infantiles, dépression, faim, et sur le plan économique une rupture complète de la chaîne d’approvisionnement pour toutes sortes de biens et de services… Un véritable génocide pour l’espèce humaine, accentué par l’absence de test en masse, ce qui a conduit à l’illusion d’une mortalité accrue.

Quant à l'entrée en jeu du milliardaire Bill Gates, convaincu d'être un bienfaiteur de l'humanité à travers sa Fondation "Bill & Melinda Gates", il s'agit d'une manipulation supplémentaire, ce dernier manipulé également par contrôle mental étant utilisé à détourner l'attention des véritables commanditaires ! Il n'est en réalité qu’un "simple" pion jetable, aisément remplaçable, servant de paratonnerre en attirant toute la haine et tout l’opprobre à son encontre…

* Cf. Fin de cycle (1) : Fin du temps ou fin des temps ?

Cf. Contrôle mental.

 

Manipulation vaccinale émotionnelle

La promotion à tout va de la vaccination censée protéger du coronavirus vise à influencer la décision que chaque individu sera amené à prendre comme décision importante pour sa santé. Elle repose sur nombre de ruses, qui sans accréditer certains arguments anti-vaccin irresponsables, interdit de faire un choix responsable et éclairé. Car la décision, quelle qu’elle soit, ne doit pas se baser sur des opinions ou des convictions personnelles, mais uniquement sur des faits.

L’exemple de propagande le plus marquant est sans doute la vidéo pathétique de la première personne vaccinée en France, relayée le 27 décembre 2020 par tous les grands médias. La mise en scène de la pauvre Mauricette (photo 2), qui visiblement ne sait même pas pourquoi elle est là, est grotesque, avec les soignants l'entourant qui à peine l’écoutent, les rires forcés des infirmiers, les applaudissements à la fin… Les médias diffusent aussi des vidéos de chefs d’Etats, comme celles aux USA de Joseph Robinette Biden ou l'ancien président Gerald Ford lors de l’épidémie de grippe porcine de 1976, qui se font vacciner devant la presse pour l’exemple (photos 3 et 4). Il y a également la recherche de "l’effet mouton", les journaux télévisés qui s'enchaînent à un rythme frénétique grâce aux chaînes d'info continue montrant des personnes qui se font vacciner un peu partout dans le monde. Ayant alors l’impression que tout le monde le fait, le citoyen ne peut qu'être conduit à se dire "si tout le monde le fait, pourquoi pas moi ?"

Pour promouvoir le vaccin salvateur, les autorités ont le temps qui joue en leur faveur, les mesures drastiques prises sous diverses formes de confinement plombant le moral de la population qui aimerait un retour à la normale au plus vite. Aussi il est normal que de nombreuses personnes soient prêtes à se faire vacciner pour "qu’on en finisse une bonne fois pour toutes avec ce virus", ce qui bien sûr est totalement illusoire.

Cette propagande n'est que de la manipulation émotionnelle autour des grandes caractéristiques de ses composants :

La peur : "vous pourriez mourir ou contaminer vos proches si vous ne vous faites pas vacciner."

La solidarité : "faites-le pour protéger les plus fragiles !"

La culpabilité : "c’est égoïste de ne pas se faire vacciner."

L’espoir : "c’est le seul moyen d’en finir avec cette crise."

Le stress : "il faut agir rapidement avant qu’il ne soit trop tard.

Le sentiment de privilège et de rareté : "vous faites partie des rares personnes à avoir le droit de vous faire vacciner, alors profitez-en !"

Etc.

Et bien entendu, les personnes qui s’opposent au vaccin utilisent souvent le même type de procédés, jouant sur la peur en nous disant que le vaccin est très dangereux, ou encore qu’il contiendrait une puce pour nous surveiller, même si leurs arguments ne sont pas dénués de fondement.

Le résultat est qu'il est pratiquement impossible de prendre une décision en toute connaissance de cause, alors qu'il apparaît absolument ridicule, pour ne pas dire répréhensible, de vouloir vacciner de force, ou d’imposer des contraintes revenant à une obligation de fait, à toute la population de moins de 50 ans sans problèmes de santé et dont la mortalité par Covid est infinitésimale*. En revanche, il ne faut se faire aucune illusion sur la fiabilité de vaccins fabriqués à la hâte, testés de façon évidemment insuffisantes, portant sur des centaines de millions de doses. Cette production de masse organisée dans un contexte hystérisé, sur la base d’informations scientifiques possiblement incomplètes ou falsifiées, pour vacciner 100 % d’une population en un temps record, ne peut en aucune façon écarter tout risque de catastrophe. Si le mensonge et la vérité sont bel et bien devenus impossibles à distinguer, l’histoire a toutefois montré à de multiples reprises que, dans ces moments obscurs, il suffit qu’une seule personne garde son intégrité et continue à s’efforcer de dire ce qui est vrai, pour que soudain, comme une traînée de poudre, la vérité se répande et éclaire à nouveau le monde...

* Depuis le début de l’épidémie en France, seuls 0,5 % des décès concernent des 15-44 ans, la quasi-totalité ayant des facteurs de risques importants. Les complications graves étant rarissimes, il est mensonger d’affirmer qu’ils risqueraient de saturer les services de réanimation des hôpitaux. En tout et pour tout, il n’y avait au plus haut de la seconde vague que 235 patients Covid de moins de 50 ans, soit 10 %.

 

Il est à ce stade utile de rappeler que le cheminement en orientation "Service d'Autrui" est un apprentissage très difficile pour une psyché humaine qui, depuis toujours, est conditionnée et piégée dans une dimension de l'univers complètement en mode "Service de Soi", puisque gouvernée par une nature prédatrice extra-dimensionnelle qualifiée suivant les "écoles traditionnelles" d'archontique, de reptilienne, d'insectoïde..., ceci étant bien sûr viscéralement rejeté par la bienpensance de l'appareil politico-religieux-scientifique académique.

 

Ne pouvant que réfléchir et imaginer de cette manière, une approche toute autre risque de faire grincer des dents et titiller l'égo là où nous n'en avons pas forcément envie. Aussi, en partant du principe que dans un monde unifié à Sa Source, où TOUT EST UN*, l'autre n'est que le reflet de soi, il est important d'être indulgent avec soi-même, car lorsque nous ne le sommes pas à son égard (l'autre), c'est que nous ne le sommes pas du tout envers nous-même.

Si nous n'acceptons pas le principe que la conscience de la 4ème dimension + est totalement différente de celle de la 3ème dimension, qui fonctionne sur le principe incontournable de la dualité*², nous nous heurterons à un mur en lisant des informations étrangères à notre référentiel programmé. Ce "mur" n'existe en fait seulement qu'en fonction de nos propres résistances.

* Tant que cette Loi universelle majeure n'est ni comprise ni conscientisée, tout le reste - ses pensées, ses paroles et ses actes - restent sous l'emprise de l'ego-mental dénaturé, autrement dit du prédateur intérieur. Le présumé éveil de conscience n'est alors qu'un placebo.

*² Cf. La dualité décodée.

 

L'attachement et son dépassement

L'attachement émotionnel est le principe le plus difficile à surpasser pour l'entendement humain en mode "Service de Soi", tout un chacun ayant tendance à confondre cet attachement avec l'amour. La notion d'attachement est souvent considérée à tort comme le ciment de l'amour. Mais elle n'en est qu'une distorsion et, en aucun cas, une preuve de cet amour. Ces formes d'attachement proviennent de sentiments affectifs déséquilibrés, parfois inconsciemment destructeurs envers autrui.

 

Les sources de l'attachement

 

Combien d'entre nous sommes attachés à notre famille (conjoint*, enfants, parentèle...), les célébrations donnant lieu à des réunions de famille (Noël, jour de l'an, anniversaire, pâques, mariage, naissance, enterrement, etc...), notre animal de compagnie, notre métier ou activité professionnelle, notre patrimoine matériel ou immatériel, notre nourriture solide et liquide, nos addictions toxicologiques, notre religion et voie/technique spirituelle, nos icônes du sport ou du divertissement, notre sexualité, nos supports technologiques d'information et d'évasion... ? Si nous nous posons sincèrement la question de ce qu'ils nous apportent, non de l'authenticité de notre amour, nous constatons que cet attachement émotionnel procure du réconfort, de la sécurité, un soutien psychologique, qui plus est en cas de coup dur.

* Dans le langage des oiseaux, l'attachement d'une femme ou d'un homme à son "con-joint(e)" signifie "joint à mon sexe", donc à ma qualité animale propre à la 3ème densité d'appartenance. Sans conscientisation, il permet ainsi le prélèvement du quota énergétique quotidien nécessaire aux prédateurs de la 4ème dimension...

 

Ainsi l'humain parsème son existence de multiples attachements. Il s'attache aux autres, à ses animaux de compagnie, à ses croyances, à ses blessures, à ses biens matériels, à ses rituels familiaux et sociétaux... pour combler un manque, contribuant ainsi à se créer une multitude de liens de dépendances et se sentir vivant. Il croit offrir son amour de façon inconditionnelle, alors que l'amour humain n'est jamais inconditionnel. L'humain offre ou donne, parce qu'il se procure toujours une satisfaction personnelle, des émotions ou des sensations agréables en retour. Il en découle irrémédiablement un sentiment qui est soit de l'attachement envers autrui - et son revers le rejet -, soit de la culpabilité à ne pas l'honorer. Souvent même, ces deux aspects de l'émotionnel restent indissociables l'un de l'autre. Il se croit en mode "Service d'Autrui", qui n'est que déguisé en "Service de Soi". En effet, le don humain fait toujours partie d'un processus d'échange énergétique qui, dans un sens ou dans l'autre, d'une façon ou d'une autre, ne fait que conduire à un soutirage d'énergie. Parce que l'amour humain est toujours soumis à des conditions, il n'est qu'une illusion de plus dans le grand jeu de la matrice, la manipulation de l'humain. Il est une distorsion de l'Amour, qui se situe à un tout autre niveau de conscience.

 

Aussi ces formes d'attachement proviennent de sentiments affectifs déséquilibrés, parfois inconsciemment destructeurs envers autrui pour sa libération. Ils modélisent une forme de possession qui conduit à vouloir aider l'autre, à s'en soucier, à le soulager de sa peine... mais aussi paradoxal que cela puisse paraître, ce comportement faussement altruiste nous freine dans notre avancement en mode véritable "Service d'Autrui". C'est tout particulièrement le piège spirituel* des praticiens thérapeutiques professionnels et des auteurs et conférenciers, toutes et tous agissant en mode sauveur, état du moi égotique non individué !

* Cf. Prédation spirituelle et voie de sortie.

 

La drogue du prédateur

 

Lorsque les liens d'attachement sont coupés, par exemple sur le plan affectif (rupture amoureuse), l'individu se retrouve seul avec son prédateur face à un immense vide. Et les lois de la Matrice, que chaque humain parfaitement conditionné trouve tout à fait normales, lui inculquent, par la notion de bien-être, la nécessité de renouveler son "shoot" (addiction) quotidien. La sensation de plaisir qui découle d'une relation affective est ainsi du même registre que la satisfaction d'un "drogué" qui s'injecte son produit dans les veines, dans les poumons (cigarette), dans le foie (alcool) voire dans le bras (vaccin prétendument salvateur).

 

Ce sont nos programmes en mode "Service de Soi" qui nous conditionnent à obéir à cette quête effrénée du bien-être supposé, qui ne fait que combler les besoins nutritionnels et manques de notre prédateur de 4ème dimension. Son mode de fonctionnement, et donc le nôtre, est celui de l'addiction. Et c'est pourquoi nous croyons dur comme fer que le sens de la vie est d'être heureux. Il suffit d'observer l'interaction entre deux personnes partageant un moment de complicité affective, amicale ou amoureuse : elles se quittent en se souhaitant l'une à l'autre d'être heureuse… En aucun cas elles se souhaitent de plonger dans les épreuves douloureuses que leur présente la vie afin d'en tirer l'Enseignement pourtant libérateur* ...

Ce sont bien des programmes-implants qui transmettent l'information dénaturée à notre cerveau consistant à fuir la sensation désagréable pour s'accrocher à la sensation agréable, celle de retrouver le bien-être. Ce mode de lecture binaire, comme celui d'un ordinateur, apparente l'humain à un robot et prend le dessus sur toute autre forme de lecture. L'information duelle et rigide de la force électromagnétique ne laisse aucune place à l'information objective et fluide véhiculée par la force faible. Nous en retrouvons le mode de fonctionnement dans notre cerveau à travers les effets bio-chimiques qui traduisent l'ampleur et la profondeur de cette programmation matricielle.

* Cf. Le chemin alchimique.

 

Fonctionnement neuronal

Ce fonctionnement voit à la terminaison de l'axone (le long prolongement fibreux du neurone qui conduit l'influx nerveux) l'impulsion électrique être convertie en un produit chimique, le neurotransmetteur. Celui-ci inonde la zone entourant les "récepteurs" (ou dendrites) du neurone adjacent. Le neurone récepteur a ainsi de nombreuses petites fibres destinées à la réception des signaux en provenance des neurotransmetteurs, lui permettant d'entrer en communication avec des milliers d'autres neurones.

Il y a des forces atomiques qui font qu'une molécule est attirée vers une autre. Les récepteurs fonctionnent comme des molécules sensorielles – des scanners – tout comme nos yeux, nos oreilles, notre langue. Lorsque le ligand, ou neurotransmetteur, se lie au récepteur, s'y adaptant comme une clé dans une serrure, il provoque une réaction de réarrangement, un changement de forme, ce qui provoque l'ouverture de la porte de la cellule. Il y a ensuite une espèce d'échange de potentiel atomique qui constitue l'information qui est envoyée vers la cellule… Le récepteur qui a reçu un message transmet celui-ci de la surface de la cellule vers l'intérieur de celle-ci, où le message peut changer spectaculairement l'état de cette même cellule.

Au même titre que des colons sont capables d'endoctriner un pays, le neurotransmetteur artificiel (la croyance) ou "colonisateur" vient s'imbriquer dans le récepteur cellulaire à la place du neurotransmetteur naturel, ou "indigène" (le produit chimique naturel en provenance de notre Âme) et interfère totalement le déroulement évolutif de l'organisme. L'information colonisatrice et parasite rend la population de ce pays/organisme accro aux effets plaisants et envoûtants des croyances imposées. Ainsi, la nouvelle valeur parasite qu'est l'attachement apporte une certaine jouissance des sens et est perçue, par l'être qui ne sait voir l'entité colonisatrice opérer, comme de l'amour...

 

Ainsi notre fonctionnement physiologique nous enseigne que lorsqu'une information est acceptée par nos récepteurs, celle-ci à le pouvoir de métamorphoser l'organisme. Si des drogues court-circuitent ces centres générateurs de plaisir, c'est parce qu'elles se fixent sur des récepteurs. Il en découle que lorsque nous absorbons certaines drogues, qu'elles soient mentales (manipulation informationnelle) ou chimiques, notre cerveau agit dans une certaine mesure comme si des neurotransmetteurs naturels inondaient le système...

 

Se lier soi-même à ce qui est faux peut indéniablement produire temporairement un sentiment de bien-être. A long terme, cela ne bloque pas seulement la possibilité de se lier à la Vérité, mais réduit automatiquement la faculté de percevoir/se lier à la Vérité. Il en découle que chaque choix d'accepter quelque chose pour vérité, de faire la moindre hypothèse, est un ligand psychique qui se lie avec un récepteur spirituel. Si ce que l'on croit est un mensonge, cela équivaut dans le cerveau à se lier avec un faux ligand, comme de l'héroïne. Après un certain temps, il n'y a plus de place pour aucune vérité...

 

Types d'attachement

 

Trois niveaux caractérisent l'attachement.

 

Le premier est celui de l'attachement "animal" - manger, copuler... - qui résulte des conditionnements reçus dans la 3ème réalité d'existence. C'est l'instinct de survie dicté par le cerveau reptilien. Pour l'imager, c'est la partie magnétique "femelle" poussée à "se reproduire" avec la partie électrique "mâle" par une pulsion l'exhortant à chercher sans relâche le mâle sans qui elle est en danger. De son côté, le mâle protecteur est guidé sur le plan hormonal vers la femelle afin d'assurer son rôle de reproducteur.

C'est ce niveau qui suscite chez l'humain asservi à son petit Moi jalousies, guerres, peurs de l'abandon, jeux de séduction, envie d'avoir des enfants, "assurer" en trouvant un travail pour la sécurité matérielle de sa famille, etc.

 

Le second niveau correspond à l'attachement "karmique", soit des liens constitués dans d'autres vies* dans les différents états du Moi égotique (bourreau, victime, sauveur). Ce lien se réactive lorsque deux âmes se retrouvent physiquement, provoquant des remontées de mémoires depuis l'ADN à travers les cellules. Il s'exprime par l'émotionnel (le binaire "J'aime/Je n'aime pas") jusqu'à, peut-être, parvenir à sa conscientisation (rarement sans accompagnement spécifique).

Ces remontées sont le résultat des expériences vécues en commun sur d'autres lignes temporelles et qui ont laissé leurs empreintes. Celles-ci pourront alors amplifier ou annuler l'attachement animal. Tout dépend de l'aptitude de chaque individu à boucler la boucle de l'expérience.

* Ces autres vies sont parallèles, le temps absolu étant un éternel Présent, seul le temps relatif propre à notre matrice terrestre limitée au champ de l'astral créant l'illusion du Passé et du Futur.

 

Le troisième niveau est celui de l'attachement "multidimensionnel". Sa particularité est que des âmes sont liées par un contrat depuis un plan de conscience élargi. Par exemple, une âme ayant déjà parcouru le processus karmique en mode "Service de Soi" jusqu'au mode "Service d'Autrui" peut décider de retourner dans le grand jeu de la Vie en 3ème dimension pour accroître son expérience et répondre à l'appel d'autres âmes qui veulent s'en sortir*. Pour cela, elle choisit de se replonger dans le voile de l'oubli imposé par la Matrice asservissante, au risque d'y rester à nouveau piégée par le voile de l'oubli incontournable de l'incarnation en 3-D...

* Cf. Le cheminement de l’Âme.

 

Dépassement de l'attachement

 

Contrairement à ce que peut penser une conscience humaine de 3ème dimension, arrêter de nous préoccuper du sort des autres relève nullement d'un comportement égoïste. Ce programme d'ingérence dans la vie de son prochain n'est qu'un "vestige" du cerveau reptilien, provenant d'un réflexe de survie qui légitimait le contrôle d'un groupe*.

* Cf. Le modèle pyramidal décodé & Contrôle mental.

 

Ce genre de comportement – qui consiste à s'inquiéter et à s'angoisser du sort d'autrui (génération d'émotions) – est une pure conception de l'esprit "Service de Soi". En mode "Service d'Autrui", le détachement émotionnel envers autrui, afin de lui permettre la liberté d'éprouver ses propres choix, est un acte d'amour inconditionnel qui suppose le respect de son libre arbitre, dans son état de conscience du moment. De la sorte, vouloir assister ou aider autrui en pensant qu'il s'agit de son plus grand bien, alors qu'il n'est pas prêt à assumer un cheminement requérant un nouvel état de conscience, constitue une ingérence dans le cheminement de l'autre, dans son processus d'individuation. C'est la posture du sauveur, celle qui, au même titre que le bourreau ou la victime, relève d'un moi égotique non encore mature, non encore totalement individué.

 

Même si une telle attitude peut relever de la "non-assistance" pour l'humain de 3-D, de l'indifférence cynique, mettant alors en branle le mécanisme de la culpabilité, la conscience "Service d'Autrui" s'est dégagée de ce genre d'attitude, car elle reconnaît la souveraineté totale de l'Esprit, du Soi de l'autre. Sa valeur est l'entier respect du rythme d'évolution d'autrui et de sa capacité d'acquisition de la Connaissance, le respect de la Loi universelle du libre arbitre propre à tout un chacun. C'est une relation d'égal à égal, d'Âme à Âme, avec tout être vivant.

Toutefois, il est de son devoir de répondre à une demande d'aide véritable, seulement lorsqu'elle est exprimée par un individu qui fait réellement l'effort d'éveiller sa conscience.

 

En mode de conscience "Service d'Autrui", les émotions humaines ne se reflètent plus à travers le monde extérieur, chacun au travers de sa supra-conscience étant générateur de sa propre sécurité. Il n'a plus besoin de la rechercher ni en autrui, ni d'une façon quelconque à l'extérieur de lui-même.

Et c'est justement sur ce besoin de sécurité issu de l'égo-mental - lié au cerveau reptilien - que s'appuie le prédateur. Il conduit l'humain à offrir ou donner, parce qu'il se procure toujours en le faisant une satisfaction personnelle, des émotions, des sensations agréables comme des espérances en retour. En fait, le don humain fait toujours partie d'un processus d'échange énergétique qui, dans un sens ou dans l'autre, d'une façon ou d'une autre, ne fait que conduire à un soutirage d'énergie*. Parce que l'amour humain est toujours soumis à des conditions, il n'est qu'une illusion de plus dans le grand jeu de la matrice.

* C'est ce qu'ont parfaitement compris les réseaux d'affaires type "Business Network International" ou "Rotary Club", basés sur le concept de donner pour recevoir à partir d'un parrainage initial sélectif pour rejoindre le "club", cela valant pour tous les réseaux (ainsi la Franc-Maçonnerie ou certains clubs de détente chics et sélects). Il ne s'agit ni plus ni moins que d'une pratique mafieuse typiquement propre au mode "Service de Soi", qu'une célèbre saga cinématographique mise en scène par Francis Ford Coppola rappelle sans cesse à notre conscience.

 

Combien de gens ainsi entretiennent des relations avec leur famille parce que c'est normal, c'est un devoir, par tradition, parce qu'il le faut, parce que "quand même ce sont les parents ou les enfants",… parce que "ça ne se fait pas", parce que...  

Le "parce que" est la réplique incontournable à la culpabilité, la réponse-réflexe pour "justifier" le comportement de tout individu conditionné par le système matriciel humain. Cependant, il n'y a pas lieu de se juger par rapport à cela, tant il est difficile de triompher de l'attachement envers autrui et de la culpabilité qui en découle, ces émotions faisant intrinsèquement partie de l'expérience humaine en mode "Service de Soi".

 

Le cheminement "Service d'Autrui" enseigné par le Christ

34 Ne croyez pas que je sois venu apporter la paix sur la terre ; je ne suis pas venu apporter la paix, mais l'épée.

35 Car je suis venu mettre la division entre l'homme et son père, entre la fille et sa mère, entre la belle-fille et sa belle-mère ;

36 et l'homme aura pour ennemis les gens de sa maison.

37 Celui qui aime son père ou sa mère plus que moi n'est pas digne de moi, et celui qui aime son fils ou sa fille plus que moi n'est pas digne de moi ;

38 celui qui ne prend pas sa croix, et ne me suit pas, n'est pas digne de moi.

39 Celui qui conservera sa vie la perdra, et celui qui perdra sa vie à cause de moi la retrouvera.

 Matthieu 10:34-39

 

Le véritable amour inconditionnel n'a absolument rien à voir avec ce pseudo amour inconditionnel de tendance "amour et lumière" du New Age. Il est de ce fait insupportable pour l'humain, tant celui-ci est complètement à l'opposé de ses représentations de l'amour. Il est basé sur l'équilibre, le respect, l'équité, la liberté de chacun étant sacrée, quel que soit leur état de conscience.

Pour l'atteindre, il est impératif de se défaire de tous les mécanismes à l'œuvre derrière les différents types d'attachements que nous cultivons envers autrui, et de détecter les schémas de culpabilité (auto-jugement, remords, embarras, honte, empathie...), que nous entretenons envers notre propre relationnel. Le relationnel sain, juste et évolutif entre individus est complètement exempt de possession, de dépendance, d'envie, de jalousie, de besoin de reconnaissance... Il est équilibré, libéré de tout lien.

 

Devenir responsable de soi, pas des autres.

Nous devons lâcher la grappe aux autres, humains comme animaux, pour les laisser vivre leurs aventures... Nous devons pour ce faire apprendre la RESPONSABILISATION entière de notre être. Se détacher du comportement de l'humain de 3ème densité est ce qu'il y a de plus dur, mais c'est ce que nous DEVONS faire maintenant.

Nous devons prendre conscience que toute la souffrance supposée que nous projetons sur les autres est la nôtre. Aussi nous avons à franchir un palier d'envergure par rapport au contrôle. Dès que la moindre énergie de contrôle se met en branle, nous devons la repérer et la stopper, en cessant de vouloir faire en sorte que les choses s'arrangent selon notre point de vue. Ce que nous imaginons bon pour l'autre n'est pas forcément bon pour le besoin d'expérience de son âme… Seule notre capacité à lâcher le contrôle de la situation déterminera nos actions. Ne pas agir est la plus difficile des actions pour quelqu'un comme nous, programmé avec beaucoup de contrôle. C'est normal, car ce dernier, selon la réalité de 3ème densité, représente nos chances de survie.

En lâchant ce contrôle lié à la survie, nous apprenons à ne plus "sur-vivre", de ce fait à mêler la peur et la vie, mais bien à Vivre avec une connexion qui s'aiguise avec notre Soi Supérieur, notre "nous-même" sur une autre ligne temporelle, l’Âme, qui nous guide à traverser une à une nos peurs, à transcender notre contrôle afin que la séparation entre ces existences s'estompe.

Ce palier est très important. C'est pourquoi nous avons à cultiver notre vigilance, notre discernement et notre force. Ils nous préparent pour la suite, le passage dans une nouvelle dimension de densité/réalité cette fois-ci évolutive, car ayant mis fin à l'infernale ronde/roue karmique dans le royaume des morts-vivants…

 

Le désengagement émotionnel des réalités de la matrice tridimensionnelle

Celles et ceux qui prennent au sérieux les déclarations et les actions des marionnettes politiciennes et médiatiques mondialistes de l’État profond qui nous gouvernent, et ils sont nombreux, sont englués dans le piège de la matrice terrestre d'appartenance, placée sous le sceau de la mort.

C'est pourquoi ces individus sont même à leur corps défendant les complices de leurs crimes !

Outre le soutien souvent naïf à leurs actions, persuadés qu'ils sont faits pour le bienfait de l'humanité, voire pathologique lorsqu'ils en connaissent le prix à payer, nombre d'individus éprouvent lorsqu'ils condamnent leurs actions un sentiment d’impuissance à changer quoi que ce soit, qui conduit à un sentiment de désespérance. Dans tous ces cas de figure, les individus abaissent leurs vibrations, ce qui aggrave encore la situation en modifiant implacablement l’arrière-plan énergétique général de la Terre compte-tenu des propriétés explicatives de son fonctionnement*. Autrement dit, chaque fois qu'un individu ressent de l’indignation, de l’irritation ou toute autre émotion négative à la vue de l’absurdité qui se produit autour de lui, il augmente mentalement la distance entre les deux réalités qui existent actuellement sur la Terre.

Bien sûr, les enseignements ésotériques insistent sur les diverses pratiques comme les méditations ayant pour but de neutraliser les énergies négatives et de dissoudre la matrice tridimensionnelle avec tous ses programmes inhérents. Mais le grand obstacle à franchir est celui de la confrontation à ses émotions, le fossé entre les deux réalités existant actuellement sur la Terre étant très grand. Aussi la clé de salut réside dans une façon de penser et de se comporter qu'il convient de fixer dans sa conscience en l’amenant à l’automatisme.

Il est de ce fait primordial de se sentir aussi clairement que possible dans la réalité de ce nouveau monde émergeant sur Terre, de se sentir éloigné énergétiquement de l’ancien en voie d'être dépassé. Pour ce faire, il est à imaginer de différentes manières, selon son imagination, et ce jusqu’au fait que la Terre de la Cinquième Dimension se sépare de l’ancienne tridimensionnelle. Ce vieux monde entrain de disparaître est à observer de loin, calmement, sereinement, en dépit de ses attaches avec celles et ceux décidés à y demeurer. Ils ne sont que des "marionnettes" de différents "calibres" indispensables à son fonctionnement, chacune remplissant son propre rôle en étant contrôlées sinon zombifiées par les marionnettes de l’État profond qui influencent leur conscience par tous les moyens à leur disposition. Ils sont tous victimes, consciemment ou inconsciemment, mais dans tous les cas, c’est leur choix qui ne peut être influencé.

Si la conscience de l'âme se trouve déjà dans d’autres dimensions, les jeux primitifs du monde tridimensionnel ne peuvent plus l'intéresser.

Cf. Compréhension structurelle de la Matrice d'appartenance.

 

Lorsque nous comprenons la physique du piège de la Matrice involutive, soit la complémentarité entre l'emprise de la force électromagnétique - les polarités masculine et féminine - et notre point d'assemblage psycho-émotionnel bloqué sur l'auto-contemplation - le mode "Service de Soi" -, nous pouvons nous mettre en mouvement par la force faible, soit la conscience intuitive, la ressource intérieure individuelle et intelligente, afin de nous dégager progressivement de sa nasse involutive en cessant de se faire soutirer de l'énergie émotionnelle et de se faire grignoter la couche brillante de conscience.

C'est une question de vie ou de mort pour l'âme, que les véritables chamanes ont compris depuis longtemps. Ils savent que la préservation de leur énergie est une condition sine qua non à la découverte de la sortie du labyrinthe, du dédale, de la Caverne. C'est à cette fin qu'ils appliquent à chaque instant une discipline spécifique, consistant à affronter sereinement les difficultés imprévues. En d'autres termes, l'art de faire face à l'infini sans broncher ... Car à partir du moment où les prédateurs ne la mangent plus, notre couche brillante de conscience se développe et retrouve progressivement sa taille normale*.

* Cf. Carlos Castaneda, "Le Voyage définitif".

 

"L'énergie ne manque pas du tout et elle n'a jamais manqué. La vraie énergie c'est la Force cosmique. La Force [faible] est comme un feu, le Feu cosmique qui pénètre le cœur de chaque atome, donc de chaque corps, incluant le corps humain. Le Feu cosmique est à la disposition de tout être humain ; c'est la ressource intérieure, individuelle et intelligente que chacun peut utiliser. Chacun doit apprendre à l'utiliser, c'est à dire apprendre à agir avec sincérité et transparence."

Giuliana Conforto, astrophysicienne italienne, "L'Univers Organique"

 

L'animal comme manipulation émotionnelle

 

De tout temps, l'humain a domestiqué des animaux, pour l'aider dans son travail, lui tenir compagnie, chasser le gibier, servir à la guerre, surveiller les troupeaux, monter la garde, tirer traîneaux et charrettes... En échange de quoi, ils étaient nourris et hébergés. De nos jours une grande majorité de gens adoptent un animal de compagnie afin de réduire leur sentiment de vide existentiel.

Être possesseur d'un animal implique généralement de le soustraire de son milieu de vie et de ses congénères (de sa famille, de son espèce), et de s'approprier la vie de cet être pour en tirer un quelconque bénéfice personnel. Cela sous-entend que cet animal domestique sert tout bonnement au plaisir ou au confort de l'homme.

Quoi qu'il fasse, l'humain face à son animal domestique subsiste dans un rôle de prédateur, c'est à dire dans une attitude de "Service de Soi". Il s'agit-là d'un comportement qui relie irrémédiablement tout propriétaire d'un animal à la matrice de 3ème dimension, qui découle tout simplement de la prédation de 4ème dimension de conscience (la 4-D -), celle du corpus prédateur involutif qui se nourrit au travers l'émotionnel de souffrance de l'humain, au même titre que l'humain se nourrit de l'animal.

 

En ces temps précédant l'effondrement de notre système matriciel actuel préalable à l'instauration d'une nouvelle gouvernance mondiale dans une nouvelle dimension de densité/réalité,  la "4-D -"*, les animaux suscitent de plus en plus d'attachement de la part des humains. Or, quoi que ceci puisse choquer les âmes sensibles et enfermées dans le déni car illusionnées*², les animaux n'ont pas besoin de la protection des humains. Ce sont eux qui croient qu'ils les protègent. Ils sont utilisés pour susciter des attachements à notre détriment, tout attachement nourrissant le corpus prédateur par les puissantes fréquences vibratoires émises.

Il ne s'agit pas bien sûr de se débarrasser de nos animaux favoris, simplement d'être conscient du jeu de la prédation. Quand nous supposons que la capture et l'emprisonnement d'êtres - les animaux - qui ont moins de capacités que nous participent de "leur bien", pourquoi ne pas s'attendre à ce que ceux qui ont de plus grandes capacités que nous - la prédation de 4ème dimension involutive - n'agissent pas de même envers nous ?

* Cf. Préambule de compréhension.

Fabrication de l'illusion et voie de sortie.

 

Un changement de dimension de conscience cette fois-ci évolutive (passage en "4-D +" préalable à la bascule en "5-D") conduit l'être humain à surseoir au principe de s'approprier la vie d'un Être, quel qu'il soit, pour son propre bien-être. Il ne cherche ni ne s'autorise plus à s'approprier, ni la vie (l'énergie) de quelqu'un, ni celle d'un animal.

La souveraineté de l'existence de tout Être vivant lui revient de droit, qu'il soit humain ou animal.

Pour parvenir à cette prise de conscience de la profondeur de l'attachement envers un animal (cela est valable aussi envers une personne), il est important de se poser les questions suivantes : Pourquoi suis-je possesseur/propriétaire d'un animal ? Que m'apporte-t-il ? Quel vide comble-t-il ?

On ne dispose pas d'un animal pour faire plaisir à l'animal, mais on le détient uniquement soit pour notre plaisir personnel, soit parce qu'on est en manque d'amour, soit parce qu'on a besoin de combler sa solitude, soit pour le travail ou pour en faire commerce.   

Lorsqu'un individu croit donner de l'amour à un animal, c'est qu'il est en manque d'amour envers lui-même et de lui-même. L'ego humain nous laisse croire que l'animal a besoin de nous, de notre aide, de notre amour, de nos soins. Mais ce que l'homme souvent dénigre à voir, c'est qu'il ne fait que projeter son propre manque d'amour à travers son animal de compagnie. C'est le principe de l'effet-miroir, outil thérapeutique de première importance ("ce que je projette sur autrui n'est que le reflet de mon intérieur profond, ordonné ou désordonné").

 

Cet exercice n'a pas pour but de conduire à cesser toute relation au monde animal, simplement de conscientiser la nature de l'attache et de la manipulation émotionnelle dans laquelle nous tombons à travers la "possession d'autrui". Et cette expérience prend fin rapidement d'une manière ou d'une autre dès lors que nous nous rangeons résolument à l'écoute de notre supra-conscience (notre double supérieur évolutif).

C'est un travail progressif que d'arriver à se défaire de ses réflexes et ses comportements de prédateur, ce choix conscient contribuant à modifier inéluctablement notre réalité suivant les principes de fonctionnement des lois physiques de l'univers* propres à notre matrice d'appartenance !

* Cf. Compréhension structurelle de la Matrice asservissante.

 

Faire face à la perte d'un compagnon animal

La perte d’un compagnon animal peut être profondément émotionnelle. De plus en plus de recherches attestent de cette douleur, à commencer par une étude historique réalisée en 1990 par Laura et Martyn Lee, pionniers du deuil des animaux de compagnie, et publiée dans leur livre Absent Friend : Coping with the Loss of Your Pet ("Ami absent : Faire face à la perte de son animal de compagnie"). Si plus de 70 % des personnes interrogées ont indiqué qu’elles étaient "dévastées" par la perte de leur animal, seuls 10 % d’entre eux cependant en ont parlé à quelqu’un. La plupart des gens ont fait cavalier seul.

Un examen systématique des recherches menées entre 1970 et 2015 a révélé que les animaux de compagnie sont généralement considérés comme des membres de la famille et que les liens étroits ne se limitent pas aux chats et aux chiens, mais s’étendent à toute une série d’espèces. Ces relations sont importantes pour nous, mais ne sont parfois pas comprises par les autres humains qui nous entourent. Aussi il n’est pour quiconque vit avec un animal que les gens décrivent sa perte comme étant aussi douloureuse que le deuil d’un être humain. Ils qualifient souvent le chagrin d'"intense" ou de "profond".

La douleur est particulièrement aiguë pour les personnes qui vivent seules. Et si la plupart des gens reçoivent l’aide d’un vétérinaire pour faire face à la mort de leur animal, ils sont souvent laissés à eux-mêmes pour surmonter leur chagrin.

Voici quelques affirmations utiles pour aider à honorer l'amitié inter-espèces et à commencer à guérir son cœur brisé.

1. Que je me souvienne des moments de joie avec mon animal en même temps que du chagrin que je ressens en ce moment.

Lors d’un deuil, il est facile de rester bloqué sur les dernières minutes ou les derniers jours de la vie d’un animal. L’image qui reste alors est celle d’un chien ou d’un chat en souffrance. Dans le cas d’un accident, il se peut que nous repassions en boucle les événements de cette tragédie.

Si vous vous retrouvez coincé dans une boucle, utilisez cette affirmation pour vous souvenir de moments joyeux, comme jouer à la balle, courir sur la plage avec votre compagnon, ou une blague amusante qu’il a faite. Se souvenir de la joie n’a pas pour but de repousser ou d’invalider nos sentiments de tristesse.

Il s’agit de nous aider à équilibrer nos émotions et à reconnaître l’ensemble de la vie de notre compagnon animal, plutôt que de réduire leur vie riche aux événements de quelques jours spécifiques.

2. Que je puisse comprendre que le chagrin va et vient et devenir un surfeur flexible d’émotions.

L’une des expériences les plus courantes que les personnes en quête de soins partagent à propos de la perte d’un animal de compagnie est l’imprévisibilité des émotions pendant le deuil. Vous pouvez vous sentir bien à un moment donné et vous effondrer en larmes l’instant d’après.

Cela est normal et naturel, et nous n’avons pas à nous excuser lorsque nous montrons des émotions. Notre perte est réelle, et nos sentiments sont valables. Il convient d’imaginer chaque coup de chagrin comme une vague, de se sentir en train de surfer sur la vague, un peu chancelant, mais en sachant que notre tête restera hors de l’eau. La vague suivra son cours pour nous retrouver en eaux calmes.

3. Que je puisse être ouvert à des liens durables. 

Alors que les premières recommandations pour faire face à la perte incluaient la recherche d’une fin, la recherche suggère maintenant que la création de liens durables peut être bénéfique. C’est ce qui est appelé les "liens durables".

Nous reconnaissons qu’un animal a quitté son corps, mais en même temps, nous pouvons nous sentir appelés à lui parler de temps en temps ou à lui écrire une lettre que nous laisserons sur un autel. Nous pouvons créer un jardin commémoratif afin d’offrir des prières à un chat ou à un chien disparu. Nous laissons des photos et partageons avec plaisir des souvenirs de nos animaux de compagnie. Dans l’ensemble, nous transformons notre relation avec eux en une relation qui laisse place au mystère de ce qui se passe au moment de la mort et après.

4. Que je ne me précipite pas pour adopter immédiatement un nouveau compagnon animal afin d’éviter la douleur que je ressens. Au contraire, je dois laisser suffisamment de temps pour la guérison.

Il est beaucoup trop facile de se précipiter et de vouloir combler le vide que nous ressentons en amenant un nouvel animal dans notre foyer le plus rapidement possible. Cela peut créer un "deuil incomplet" qui peut causer des problèmes par la suite.

Ce n’est peut-être pas juste pour le nouvel animal, qui peut être désorienté par nos débordements émotionnels. Au lieu de cela, pendant un certain temps, nous pouvons consacrer du temps à faire du bénévolat dans un refuge pour animaux, un sanctuaire ou une entreprise de promenades de chiens.

 

Face à la souffrance et la maltraitance animale

Dans notre 3ème dimension, tout événement "émotionnellement bouleversant", quel qu'il soit, ne se produit jamais par hasard. Il n'est que la résultante de la mécanique de cause à effet (le karma) qui régit son fonctionnement. Il découle d'une loi universelle, dont seule la compréhension permet l'accès à une dimension supérieure de conscience, et par-là même de réalité.

De ce fait, si quelqu'un se trouve confronté à de telles situations, c'est que ses mémoires/programmes viennent indéniablement en résonance avec celles-ci. En d'autres termes, les programmes de maltraitance d'un individu vibrent en lui pour qu'ils se projettent, s'impriment et se matérialisent dans son environnement, sa bulle de perception. Ses programmes se densifient dans la matière, afin qu'il puisse les conscientiser et s'appliquer à les neutraliser, non pas à l'extérieur de lui (par exemple en militant pour sauver les animaux), mais en lui. Il lui revient la responsabilité de désamorcer les programmes projetés à travers son ADN vibrant dans ses champs énergétiques. Cela implique qu'il puisse accepter qu'en d'autres incarnations, il était – en tant qu'Âme/conscience en apprentissage – lui-même à l'origine de violences sur les animaux (loi de cause à effet).

Recueillir ou sauver des animaux abandonnés ou maltraités, traduit un comportement quasi-instinctif qui touche la majorité des humains, puisqu'il fait partie intégrante du jeu de la 3ème dimension. En recherchant un peu plus loin, le contexte familial en constitue souvent le creuset. Ainsi combien parmi les gens portés par leur pulsion à venir en aide aux animaux, ont eux-mêmes été abandonnés, délaissés, méprisés, rejetés, en manque d'amour, parfois même battus durant leur vie passée – actuelle ou karmique –, notamment pendant leur enfance.

À chaque fois qu'un individu ignorant des Lois universelles du karma entreprend de dénoncer, condamner ou combattre une forme de persécution quelle qu'elle soit, ou même de militer pour une bonne une cause, il oublie que "l'extérieur", c'est à dire le monde contre lequel il lutte, ne fait que refléter ses propres mémoires inconscientes, le karma. Celles-ci ont été adroitement programmées par son propre "Soi" prédateur de 4ème dimension, afin d'arranger des circonstances pour s'approvisionner en énergie. 

Le monde extérieur – celui que nous percevons avec nos cinq sens – n'est que l'exact reflet de vos croyances et programmes karmiques.

 

Voir également l'exemple de la manipulation émotionnelle en matière de nutrition dans Conscience nutritionnelle.

 

L'enfant comme manipulation émotionnelle

Dès les premières heures de notre enfance, à notre arrivée en ce monde, dans ce meilleur des mondes qu'est celui de nos parents, nous sommes manipulé. Si nous en observons la mécanique sans le fatras sentimentalo-naïf que notre esprit hyper conditionné et moraliste veut nous imposer, nous comprenons que le but familial est l’Autorité, non l'Amour. Ce principe en est la base et l’unique orientation, le but ultime de l’inconscient familial n'étant pas l’amour, simple cautère illusoire. Cela dérange, tant mieux...

L’enfant, et plus tard, l’adolescent, bénéficie de "l’amour" de ses parents s’il accepte leurs conditions, s’il se soumet à leur autorité, à leurs règles du jeu. La mort de sa véritable personnalité est alors prononcée*. S’il n’accepte pas ce chantage, s’il refuse la soumission à cette autorité pseudo-bienveillante, les parents vont alors tout tenter pour le mettre en échec, en déployant un arsenal de techniques diverses et subtiles, une "science" raffinée héritée de milliers d’années "d’évolution".

* Cf. Compréhension structurelle de la Matrice asservissante & Symbolisme des neufs premiers nombres - Le nombre 7.

 

Comme l’enfant qui vient au monde n’est que pur amour - c’est sa nature profonde et essentielle -, il va le rechercher désespérément sa vie durant, à commencer auprès de ses parents. Il va tout naturellement mettre l’accent sur ce mode de communication. Mais les parents, téléguidés avant tout par l’impératif d’autorité déguisé sous l'habit de la tendresse, de l'amour filial, vont revendiquer de manière inconsciente sa soumission complète et définitive. Peu importe d’ailleurs ce que cet enfant deviendra par leur faute - ce sera bien sûr de la sienne -, sans compter la dose de colère et de frustration engendrées de part et d’autre.

 

Si l’enfant accepte et se plie aux conditions familiales, il bénéficiera dans le meilleur des cas d’un climat familial relativement équilibré imprégné d’amour certes, mais un amour simulé. Les parents ont en effet un besoin à la fois instinctif et culturel de répondre à une bonne image de soi : jouer les parents modèles est à leurs yeux capital, parfois une question d’honneur. Et chaque noyau familial a sa propre notion de la perfection.

Les parents de celui qui aura refusé l’autorité vont patiemment faire croître en lui le sentiment que sa vie est une suite d’échecs, une vie ratée en somme. Lorsqu’il l’aura lui-même admis, cette "confession" sera tenue pour preuve par ces derniers qu’ils lui sont bel et bien un élément indispensable : il aurait dû les écouter. Sans eux, sans leurs bons conseils, leurs principes, leurs bonnes vieilles valeurs, il n’est rien ou bien peu de chose.

Dans les deux cas, l’individu aura développé une quantité incroyable de complexes, un fort sentiment d’infériorité, une profonde mythomanie (plus ou moins consciente), et sera constamment dans la dévalorisation malgré des apparences trompeuses. Dans les deux cas, les parents n’auront de cesse de lui faire croire année après année qu’ils lui sont indispensables, que leurs bons conseils et remarques sont incontournables. Ils comptent sur le grand manque de confiance de l’adolescent, induit par la destruction méticuleuse de l’amour-propre du "rebelle", pour le voir un jour finalement abdiquer, vaincu.

 

Pour obtenir le contrôle absolu, les parents vont agir sur plusieurs cordes sensibles à travers la manipulation de l’énergie vitale et de l’instinct grégaire, cette tendance instinctive qui pousse des individus d'une même espèce à se rassembler et à adopter un même comportement. L’énergie vitale étant double, destructrice ou bienfaitrice, elle constitue notre essence active élémentaire, indispensable à l’assouvissement de nos besoins quotidiens. Dupés par une culture axée sur l’empire du prédateur destructeur depuis des millénaires, les parents privilégient inconsciemment l’éducation qui met l’accent sur les valeurs de ce dernier.

En tant qu’élément indispensable et incontournable du tissu social, l’instinct grégaire représente aux yeux des parents une corde sensible de premier choix. Ils vont ainsi mettre à profit ce besoin de lien à l’autre pour leur propre compte, en rendant leur enfant dépendant d’eux, alors que la démarche inverse visant à l’aider à gagner confiance, indépendance d’esprit et autonomie lui serait bien plus profitable.

L’instinct grégaire se fait l’instrument de leur empire affectif exclusif : chaque fois que l’enfant se détourne d’eux, immanquablement il revient à eux. Ce principe fort prisé des sociétés à caractère tribal est largement exploité par les entreprises et autres groupements à caractère religieux, politique, économique, militaire..., qui attirent à elles les éléments humains nécessaires et les maintiennent sous leur contrôle*. Entre l'emprise familiale et l'emprise sociétale, les barreaux de la cage asservissante sont dressés.

* Cf. Le modèle pyramidal décodé & Contrôle mental.

 

Avec l’âge adulte, s’ajoute une pression de plus, les dits parents jugeant l’heure venue pour eux d’être grands-parents. Encore une merveilleuse trouvaille pour garder le contrôle et, coup double, faire définitivement perdre de vue à l'enfant devenu adulte son identité réelle...

Nous venons ainsi au monde pour être littéralement sacrifié. La personnalité originelle, son énergie individuelle et singulière, promesse d’un être unique et merveilleux, ne doit surtout pas exister pour elle-même et s’épanouir librement. Son développement est saboté, avorté. Celle-ci est détournée pour servir la communauté, et se diluer dans cette force globale incroyablement puissante dont les parents sont, en coulisses, les médiateurs à leurs dépens, celle-ci les dépassant. Elle traduit l’exploitation de l’énergie humaine, mise en place aux origines de l’humanité*, méticuleusement organisée par les élites en charge de la gouvernance de la société, alliées du consortium prédateur de la 4ème dimension de réalité qui les dirige.

Il en découle que la méthode pour plier, formater l’individu est et demeure l’autorité, qui s’exprime à travers la soumission complète ou partielle. Le but de cette harcelante intimidation est la destruction de l’amour-propre. Tout le reste, tout ce que la société a su créer pour rassurer, "guérir", "aider" à accepter cet état de fait n’est que foutaises grotesques, expression du cynisme des bourreaux ou de la naïveté des thérapeutes sauveurs*.

* Tout particulièrement depuis Freud et l'institutionnalisation de la psychothérapie, le corps médical spécialisé dans l’absorption des troubles constitue le relais attitré de l'autorité parentale, détournant (quasi)définitivement l'individu de son pouvoir personnel afin qu'il ne s’en sorte plus. Se plaçant en tant que médium, et de ce fait relais de la prédation, il empêche la seule cure possible résidant en la reconquête par l’individu de son identité propre. Les réponses explicatives rassurent, donnant au patient l’impression d’exister. Mais celui-ci, sans compréhension de la force prédatrice trans-dimensionnelle qui l'asservit, demeure au fond "malade", un patient à vie. En définitive, ce complexe et inextricable labyrinthe d’explications et de systèmes de pensée conçu pour étiqueter nos "maux" ne fait que renforcer le fossé qui nous sépare de notre véritable grandeur.

 

Automates
Automates

Cette force globale prédatrice qui utilise les parents pour sévir à la surface de cette planète est la véritable détentrice du pouvoir absolu. Vivant au-delà de nos capacités psychiques et sensorielles, elle nous est inaccessible, car nous ne pouvons nous la représenter même si nous pouvons parfois la percevoir à travers de furtifs ressentis. Elle est dramatiquement néfaste et destructrice et utilise le genre humain pour s’abreuver de son énergie et survivre, pour asseoir en lui sa propre volonté.

A travers l’Autorité instillée en nous par nos géniteurs, par leur action obstinée et aveugle combinée à celle de la société, son mécanisme s’active dans notre propre corps afin de faire de nous des êtres automates combatifs, compétitifs, agressifs et conquérants. Il en découle les sombres et virulentes valeurs et forces dont nous nous enorgueillissons sottement : autoritarisme, volontarisme, agressivité, hyper-activisme, engagement personnel égocentré, brutalité et perfidie. Privé de lucidité et d’objectivité, seuls comptent à nos yeux les objectifs, le rendement, le profit. Sa vitesse d’action quasi instantanée prend d’assaut nos cellules, notre cerveau, nous réduisant à l’état d’automate qui nous voit répéter les mêmes gestes, les mêmes rituels tous les jours de notre vie, en nous croyant "performant", "efficace".

En réalité, nous sommes absent à notre réelle identité, tout en étant convaincu que cette "force" est notre identité réelle. Psychiquement et physiologiquement dopé par cette énergie électrique, nous ne nous sentons exister que lorsque nous sommes dominé par elle.

 

Se connaître réellement implique bien des sacrifices et des efforts, que peu d'humains sont désireux et/ou capables d'accomplir. Sans commencer à saisir un fil conducteur, peu importe par quel bout, à tirer à eux le fil d'Ariane de tout un tissu d’informations choquantes et démystificatrices, ils ne peuvent sentir la présence électrique destructrice de leur véritable identité. Ils passent à côté du seul but de la Vie, le retour à soi, au Grand Soi, pour évoluer.

 

L'argent et le travail comme manipulations émotionnelles

Dans la 3ème densité de réalité terrestre, la circulation de l'énergie vitale est dépendante en partie de l'argent, "l'art des gens" tel qu'instillé dans leur psyché par la prédation. Il en découle que les individus travaillent ou font travailler pour survivre, et ce aussi longtemps qu'ils ne comprennent pas que pour (bien) vivre, il est d'abord nécessaire de démanteler la manipulation effectuée à leur encontre. Car en dilapidant leur énergie vitale au travail comme en persistant dans leurs croyances à vouloir accumuler et thésauriser de l'argent, ils perdent la force, le discernement et l'énergie vitale indispensables à leur quête intérieure.

 

"Il n'est pas d'erreur plus fatale que de perdre sa vie à la gagner."

Henry David Thoreau (photo 2), philosophe, naturaliste et poète américain (1817/1862)

Pourtant, nous ne sommes pas obligés de nous épuiser - physiquement comme psychiquement - au travail. Bien au contraire ! Il s'agit avant tout de nous libérer de nos peurs, de notre conditionnement d'être humain asservi par les Intelligences inter-dimensionnelles involutives, et de nos croyances par rapport au monde du travail, avant de nous occuper de savoir comment l'argent va tomber dans notre porte-monnaie ou escarcelle. Et lorsque nous réussissons à nous détacher de notre émotionnel qui nous lie à la matrice de l'argent, autrement dit à la perception que nous en avons, il est absolument inutile de l'amasser, le préserver, l'économiser, le posséder, l'accumuler.

 

L'argent épargné ou bloqué (image 3) représente l'énergie qui a cessé de circuler, autrement dit le chaos. Il est une entrave à l'équilibre naturel de la circulation de l'énergie dans l'Univers. Que ce soit l'argent ou toute autre forme d'énergie matérialisée, il/elle devrait toujours s'échanger, "circuler à flux tendu".

Si cette forme d'énergie-matière demeure au "Service de Soi", elle ne peut s'élever au "Service d'Autrui", appelée à rester sous sa forme entropique. Il ne peut y avoir d'"expansion" propre à surgir de ce chaos, nous ramenant ainsi sans répit sur la ligne temporelle qui trace notre déplorable destinée*. Dans la mesure où la Conscience crée la gravitation, elle ne peut en la matière que s'orienter vers l'entropie ! Nul(le) ne s'étonnera alors du rôle des banques et autres institutions financières dans le déclin de notre civilisation de par leur contribution à stocker l'argent.

L'argent n'a ainsi de valeur que pour le système prédateur, puissant outil de manipulation usant de l'émotionnel pour nous coincer entre passé et futur. Il est l'un des moyens d'enchaîner l'humanité à la Matrice de 3ème densité, et ce par la peur du manque, sauf si elle parvient à la dépasser, les prédateurs trans-dimensionnels demeurant incapables de pénétrer notre moment présent*² ! Nous ouvrons alors les portes inter-dimensionnelles, prémices à d'autres horizons...

* Cf. Le cheminement de l’Âme.

Les prédateurs de la 4ème dimension de réalité - (le mode "Service de Soi") sont des parties de nous-même dans notre "passé", qui tentent constamment de nous ramener sur la ligne de notre "futur" entropique prévu. En tant que Maîtres de la Matrice asservissante, ils connaissent notre avenir le plus probable (celui attribué par le Zodiaque de Denderah), sauf lorsque nous parvenons à nous centrer dans le présent en nous alignant sur notre double lumineux, le Soi supérieur.

 

Travail libérateur ou asservisseur ?

Dans le monde de la réalité terrestre, le couple argent-travail est indissociable. Il en découle que le travail est "héroïsé" comme levier de réalisation et de survie aux règles du jeu de la Matrice asservissante dominée par le génome aryen/arihmanien de ses maîtres ordonnateurs, les "mages babyloniens" (Cf. image ci-contre). Il met ainsi en scène une multitude d'individus se répartissant dans les rôles de bourreaux, victimes et sauveurs et qui, au propre comme au figuré, se tuent au travail, se débattent contre la Vie à travers les obligations du système, et essaient tant bien que mal de s'en sortir ou de préserver comme accroître leurs acquis. Sans cesse, l'Histoire a démontré que le travail indiquait inévitablement à l'être humain la porte d'entrée de sa propre prison existentielle. Malgré toute la verve des discours philosophiques humanistes - l'accomplissement de soi par le travail - encourageant le déni collectif, ce fonctionnement productiviste est celui d'un monde perverti car profondément contre-existentiel. Il est celui, incontournable, de cette réalité terrestre sous la coupe du corpus prédateur involutif (incontournable pour la sortie du bac à sable de la conscience) qui entraîne le mal-vivre (stress), la non-reconnaissance de sa version la plus élevée (le Soi), les obligations, les faux-semblants, les mensonges, les politesses hypocrites... et ce qui en découle : tensions, dépressions, maladies, suicides...

Tout au long de son existence, l'être humain doté d'une âme agit et fait en fonction de ce que d'autres attendent de lui soi-disant pour son bien, de ce que la société attend de lui, de ce que ses "supérieurs" attendent de lui, etc. Il doit plier si possible sans broncher aux injonctions, menaces et à ce qu'on veut qu'il fasse, sinon il prend le risque d'être sanctionné et exclu de ce jeu pervers. S'il s'y plie dans la plupart des cas, c'est en raison de la peur qui gît, entretenue à son insu par son prédateur, au plus profond de sa psyché : il redoute de manquer d'argent pour vivre, pour manger, pour se loger, etc. Aussi est-il conduit à se motiver à travailler la matière en "bossant" dur pour gagner sa vie, pour éviter d'être "rien" (un looser dans le langage managérial contemporain), personne, non reconnu ni par la société ni par autrui.

La réalité est la peur d'oser vivre, d'être soi-même, autrement dit la culpabilité de ne pas faire comme tout le monde et d'être pointé du doigt. Il est ainsi conduit à nourrir le système prédateur par les traumas psycho-émotionnels en découlant : comme bourreau à l'encontre d'autrui (et de ce fait de lui-même) pour faire fonctionner ce système ou/et y défendre sa place ; comme victime en acceptant un travail dégradant et mal rémunéré, comme les compromis passés avec l'éthique et la morale (coucher pour accéder ou conserver un emploi, participer à une grivèlerie ou une escroquerie ou se taire en en ayant connaissance...) ; comme sauveur en imaginant la plupart du temps avec sincérité aider les autres, faute de s'être regardé avec lucidité dans le miroir, de regarder sa part non involuée - le mode bourreau ou le mode victime - se dissimuler derrière celui du sauveur, et d'utiliser l'ensemble de ses capacités cognitives (l'équilibre entre l'intuition et l'intellect) pour comprendre que nul n'est obligé de travailler à "la sueur de son front", d'en être esclave et d'en souffrir.

Ainsi jeté le voile de l'oubli de Qui Il Est sur sa conscience - celle de son âme reliée au Soi supérieur -, l'être humain profondément illusionné ne fera que tourner en rond durant toute sa vie, à se dérober à sa version lumineuse pour servir son pendant ténébreux qu'il prend pour la lumière, la (fausse) "réalité". Parfois, sur le lent chemin de l'éveil pour répondre aux appels incessants de son âme, il s'inventera une conscience spirituelle par l'adhésion à une religion ou à une fraternelle humaniste, alors qu'elle constitue un détournement par la manipulation prédatrice pour qu'il ne regarde pas au fond de lui-même le grand mensonge de sa contribution à ce monde corrompu comme son incapacité à y mettre un terme, par peur et par déni de Qui Il Est vraiment*. Ce faisant, il reste engoncé dans le monde des morts-vivants, dans l'incapacité d'en trouver la véritable sortie. Il n'a tout simplement pas conscience, avec le courage qui va avec, que dans la vie, nous avons tous le choix : celui par notre libre arbitre de répondre à ce que les autres attendent de nous, ou de répondre à ce que nous dicte notre conscience, celle reliée au Soi supérieur, l'Esprit universel !

* Cf. Prédation spirituelle et voie de sortie.

 

La dualité, source première de la manipulation émotionnelle

 

La compréhension du fonctionnement de la psyché duelle et de ses implications illustre le mécanisme de manipulation usité par le système à travers ses relais institutionnels.

Dans l'inconscient (le subconscient) des personnes qui sont sur un cheminement spirituel, à quelque stade que ce soit, subsiste inévitablement la notion du bien ou du mal. Leur mental-ego est en effet originaire de la 3ème dimension de densité, caractérisée par la dualité*. Ce concept bipolaire est profondément ancré dans nos croyances judéo-chrétiennes, le christianisme découlant du judaïsme. Si nous prenons le cas d'une personne convaincue d’être gentille et de faire le bien, elle pense automatiquement qu'elle ne mérite pas le "mal" étant donné que dans ses croyances elle agit pour le bien, en pensées, paroles comme actions. De ce fait, lorsqu'une situation déplaisante se manifeste dans son quotidien, elle se retrouve incapable de l'accepter, son mental-ego émettant un jugement par rapport à cette situation : "C'est pas juste." "Pourquoi cela m'arrive et non à telle ou telle ordure/enfoiré ?" "Qu'est-ce que j'ai fait au Ciel/Bon Dieu pour mériter cela ?"...

Il lui est très difficile d'accueillir cet événement tel qu'il se présente, puisque sa notion du bien et du mal l'empêche d'avoir le recul nécessaire pour comprendre la raison pour laquelle cet événement se manifeste. Elle n'a tout simplement pas saisi que cette difficulté se présente dans sa vie à cet instant-là, car elle est porteuse encore de ce programme non résolu dans les champs d'énergie de son ADN. Elle résonne ainsi en attirant à elle cette situation non pour la subir dans la souffrance et l'incompréhension, mais pour "guérir" cette fréquence par sa conscientisation. La possibilité de comprendre un schéma de vie récurrent lui est pourtant offerte par son âme.

* Cf. La dualité décodée.

 

Aussi, chaque fois que cette personne rejette cette opportunité en projetant à l'extérieur son incompréhension et sa détresse, son âme va lui reproposer indéfiniment des situations similaires dans son quotidien, jusqu'à ce qu'elle se remette en question et comprenne le sens de l'expérience qu'elle se crée par le biais de ses propres champs d'énergie. Or cette personne comme la majorité des individus n'ont pas connaissance de ce processus, le "système" tout particulièrement éducatif se gardant bien, également par ignorance ou par volonté délibérée, de l'enseigner.

De ce fait, elle s'évertue à mettre toute son énergie à "faire le bien" afin de "mériter" et d'attirer par la loi d'attraction le bien en retour. Ce processus de croyance n’aboutit jamais à une libération, mais enlise la personne dans ses propres schémas de dualité. En conséquence, elle entretient un perpétuel sentiment d'injustice et de culpabilité pouvant la mener jusqu'à une profonde dépression.

Ce serait conduire à l'effondrement d'une grande partie du business de la santé (médecine et pharmacopée), conçu sur l'entretien de malades imaginaires, et à l'accélération de la désertification des églises, temples et minarets, et des deniers du culte.

 

Le Confessional par Edouard Cibot
Le Confessional par Edouard Cibot

Ce schéma psychique est bien connu de l’élite prédatrice qui domine le monde. C'est pourquoi il est exploité par les religions qui y ont assis la notion de péché depuis deux millénaires*, enchaînant la conscience de l'humain dans ses propres schémas de dualité. Et c'est ainsi que la personne reste littéralement prisonnière de ses propres programmes-mémoires qu'elle transporte de vie en vie dans ses champs énergétiques. Nous pouvons d'autant mieux comprendre pourquoi les religions ont progressivement gommé l'enseignement de l’Âme et du cycle des incarnations. Quant à la déclarée Raison des "lumières" contemporaines, elle l'a définitivement relégué au rayon du délire mystique.

La plupart des personnes, dans des cas semblables, partent à la recherche de quelqu'un(e) - un sauveur - qui puisse les aider, lorsqu'elles ont compris l'inefficacité et la dangerosité de la médecine chimique (antidépresseurs, anxiolytiques...). Elles se tournent vers une foultitude de soignants potentiels : thérapeute psy ou énergéticien, chamane, gourou indien, maître bouddhiste, religieux, guérisseur, médium/channel, mage, coach en développement personnel ... Autre piège du système, tous ces "thérapeutes" même sincères et de bonne volonté dans leur grande majorité, sont la plupart du temps limités par leurs propres croyances duelles*².

* Cf. Le mythe du péché, ou la mise sous tutelle de l'humain.

Dans le langage des oiseaux, nous entendons à l'énoncé du vocable soignant "Soi niant", tout comme pour le soigné "Soi nié". Autrement dit, soignant comme soigné sont encore au stade du "Moi immature" dans le processus d'individuation, quelles que soient par ailleurs leurs aptitudes et qualités. Ceci entend qu'ils/elles n'ont pas réalisé leur unité intérieure pour sortir du schéma dualiste soignant/soigné.

 

Ainsi le discours des thérapeutes, channels et guérisseurs appartenant au mouvement New Age - c'est le cas de la thérapie angélique à la sauce "Doreen Virtue" (la liste est longue des thérapeutes guimauve/marshmallow s'en revendiquant) - dépeint soit un monde archétypal de bien-être, de bonheur, de plans angéliques ou archangéliques, de maîtres ascensionnés affirmant que la Terre est en danger et qu'il faut se réveiller pour la sauver, soit que tout va bien, que tout est déjà réalisé, qu'il n'y a plus de karma, que le monde est amour, paix, lumière, etc... ou tend à le devenir.

La vérité est que la plupart d'entre-eux sont incapables d'expliquer que chaque individu, quel qu’il soit, est simplement créateur et spectateur de son propre univers, et que, quoi qu'il puisse voir, entendre ou percevoir dans sa vie, il ne fait que décrypter le scénario que son programme d'incarnation vibre à travers ses propres champs d’énergie. Autrement dit, ce qu'il attire à lui est à même de lui permettre d'évoluer, et non s'inscrire comme bourreau, victime ou sauveur du théâtre de la Vie en 3ème dimension.

C'est bien sûr la découverte et la compréhension de cette Vérité qui représentent le plus grand danger pour le système élitaire en place. L'individu qui prendrait conscience de la nature de cette réalité deviendrait tout simplement un électron libre dans ce monde de dualité. Il se détacherait alors automatiquement de l'illusion de cette Matrice falsifiée pour s'émanciper et devenir véritablement créateur de son nouveau monde unifié*.

* Cf. Processus de transformation de conscience(1) et (2).

 

De ce fait, la stratégie de manipulation du psychisme humain utilisée consiste à mélanger les vérités, les non-dits et les mensonges, afin d'embrouiller l'individu dans sa recherche et l'obliger à prendre parti pour l'une des polarités proposées dans tous les aspects du fonctionnement sociétal (politique, religieux, économique, scientifique, philosophique...), sous forme de bien ou de mal, c'est-à-dire de pour ou contre. De cette façon l'individu est piégé. Incité à choisir, à se positionner, il ne peut pas s'en sortir. Ce principe de propagande qui mélange le vrai et le faux est d'une efficacité redoutable.

De cette façon, l'être humain est perdu dans sa recherche spirituelle, allant à la recherche d'une porte de secours extérieure pour trouver de l'aide, une réponse salvatrice. Il est ainsi attiré par l'idée d'une collectivité spirituelle, afin de "s'en sortir ensemble".

Entre les églises des religions du Livre, les sociétés ésotériques occultes et secrètes, et les "communautés de lumière ou îlots de lumière" du New Age, le panel est large pour le capter dans les filets de la prédation. Il oublie tout simplement la voie intérieure, celle de tous temps enseignée par les grandes consciences, la seule à même de le "sauver" du piège mortifère de l'involution et de son maintien en asservissement au fin fond de la Caverne.

Cf. Prédation spirituelle et voie de sortie.

 

Voie de sortie

 

Dans cette fin de cycle de la conscience*, l'espèce humaine subit une crise d'identité extrême. Il lui est désormais impossible de procéder à son changement de conscience selon les procédés qui lui sont suggérés par les acteurs officiant dans les 3ème et 4ème dimensions. A plus petite échelle, d'une façon ou d'une autre, tout individu veut croire pour se rassurer qu'il possède le contrôle sur les événements que la vie lui propose. Il ne se rend pas encore bien compte qu'il est englué dans des schémas inconscients qui le freinent dans son accession à de nouveaux paliers de conscience, bien supérieurs à son intellect humain.

En sortant de son état de rébellion contre le "Grand Tout" et ses soi-disant imperfections ou injustices, il n'y a plus lieu de vouloir absolument baigner dans la joie, d'y consacrer une recherche frénétique, de bannir tout "mauvais" sentiment de notre vie.

Cesser toute quête obsessionnelle du bonheur, un des conditionnements principaux de l'homme-machine, permet de se libérer de l'horreur qu'engendrent l'ignorance et le déni. Il ne s'agit donc plus d'être simplement gentil, bon, serviable, généreux, altruiste, empathique, mais il est désormais essentiel d'accepter de voir aussi et surtout tous les aspects difficiles et refoulés en soi pour les conscientiser. Alors seulement peut débuter un processus de libération. Ce n'est que de cette façon-là que chacun pourra surpasser les événements bouleversants qui de plus en plus se précisent.

Cf. Fin de cycle : la guidance éclairée de sa vie.

 

Les 9 portes libératoires de la voie chamanique

L'enseignement chamanique livre les 9 clés de sa transformation :

1. La prise de conscience du miroir, l'égo (la "petite mort", soit la naissance au monde des illusions).

2. La volonté : l'engagement déterminé à mourir à son moi illusionné.

3. La motivation : un travail de tous les instants de rencontre avec ses peurs et souffrances et leur transmutation.

4. Le courage : la rencontre avec ses peurs les plus profondes.

5. La confiance dans la perte de son apparent libre arbitre (absence de contrôle).

6. L'abnégation : l'acceptation de se mettre dans les mains de quelque chose qui peut nous tuer (le prédateur asservisseur).

7. La certitude qu'il y a au fond de nous quelque chose de très puissant qui nous soutient, en l'occurrence le prédateur enseignant derrière lequel se tient l'Esprit universel.

8. L'acceptation de la "grande Mort" à la 3ème dimension, palier de notre véritable naissance à Qui Nous Sommes.

9. La compréhension et la réalisation de la symbiose de son propre ADN à celui de la Nature*.

* Le centriole (structure cylindrique creuse qui intervient sous forme de centrosome dans la formation des fuseaux mitotiques lors des divisions cellulaires), est formé de 9 microtubules agencées 3 par 3 entourés de nombreuses autres protéines. Il participe de la dynamique de création du Vivant, propre à la règle mathématique du 3 6 9 (Cf. Symbolisme des neufs premiers nombres).

 

Identifier son prédateur

 

La prédation trans-dimensionnelle, via notre égo-mental et les mémoires logées tant dans notre subconscient que dans les programmes de survie implantés dans l'ADN, inocule son propre système de croyance dévoyé dans la psyché de l'individu qu'elle parasite, et ce par de multiples possibilités permettant de raviver une blessure et de la maintenir présente. Si nous pouvons en déprogrammer simultanément une, deux, trois composantes, la prédation qui nous connaît par cœur, ayant envahi notre réalité psychophysique, a des dizaines de leviers qu'elle actionne en même temps pour contrer nos efforts, nous reprogrammer ou renforcer la programmation. L'être humain qui en est la cible, devient ainsi la proie de son ingéniosité, qui utilise tout type de stratégie pour conserver le contrôle de l'esprit, et par-là même, de l'âme cadenassés. Elle s'attache à rendre l'éveil de conscience impossible.

Elle se manifeste sous forme d'entités dites les "Ombres noires" que les religions et traditions populaires qualifient de puissances démoniques et sataniques. Sous leur déguisement, elles sont intrinsèquement actives au sein du mental humain et, immanquablement, orientent sa psyché à rester au service de "son maître l'égo", le "petit soi" de l'individu. L'humanité en 3ème dimension est complètement assujettie à ce mode de fonctionnement centré sur soi. C'est la raison pour laquelle leur mode de fonctionnement est qualifié de "Service de (envers) Soi".

Généralement, chez un humain dit "équilibré" par la construction de son individuation - relation équilibrée aux polarités du masculin et du féminin -, leur manifestation est discrète, se contentant du rôle du "petit diable", du tentateur, du saboteur, du dominateur… que tout individu peut endosser dans son quotidien.

 

Ces entités prédatrices ont vraisemblablement réussi à contrôler totalement l'esprit de plus des trois quarts de l'humanité par le leur, qui est fourbe, mesquin, hypocrite, désagréable, et surtout hanté par la peur de manquer de nourriture énergétique. Elles ont inculqué des faux concepts du bien et du mal. Au pire, elles développent chez leur hôte leurs propres ambitions par l'orgueil, la cupidité, la vanité, le pouvoir sur autrui, la malhonnêteté, l'avidité, les comportements sociaux inhabituels...

À plus grande échelle, ces mêmes entités usent d'un double jeu, qui en générant une dynamique de peur, de guerre, de chaos, de terreur... incite les peuples à réclamer la sécurité et la paix. En prétextant le changement à venir, elles motivent l'humanité à attendre un sauveur, à rêver d'un monde meilleur peuplé d'îlots "d'amour et de lumière", au lieu d'orienter les hommes à réaliser leur "libération par eux-mêmes, par la force de leur Êtreté intérieure". Elles empêchent sournoisement l'humain de se libérer de ses programmes d'esclavage, afin qu'il ne puisse pas apprendre à devenir lui-même créateur de son propre monde sur un nouveau plan de conscience.

En l'enfermant dans un système de croyances, elles le conduisent à ne pas voir ce qui est réellement en train de se passer de façon objective. Elles ne lui permettent pas de mettre en doute ses observations et ses expériences, à laisser place à d'autres explications. Les choses qui ne collent pas sont soit ignorées, soit écartées.

 

Si son avenir dépend de sa capacité à se libérer de cette prédation, peu de gens acceptent de voir, ni encore moins de réaliser le cheminement laborieux de la libération de l'Âme, les concepts d’Âme comme d'entités trans-dimensionnelles étant totalement bannis de l'enseignement initial comme de l'information grand public dispensée par les médias marchands, totalement inféodés par leur gouvernance au corpus prédateur. Le temps de cerveau disponible doit être consacré à tout autre chose...

Aussi tant que l'humain, par manque de Connaissance, n'aura pas reconnu son existence, il ne pourra s'extirper du piège mortifère tendu. Nous pouvons ainsi mesurer la difficulté de fuir les paradis artificiels entretenus par le système pour aborder une démarche totalement à rebours, nécessitant de déconstruire un à un, et souvent très douloureusement, tous les fils tissés de ses croyances, conditionnements et illusions. Autant dire que les candidats au "Voyage du Héros", les "élus" des prophéties bibliques*, ne se bousculent pas.

* Cf. Prophétie du changement.

 

Apprivoiser son prédateur

Jusqu'au moment de sa prise de conscience, l'être humain a été guidé dans ce monde de dualité par des forces qui étaient invisibles à ses yeux. Sous leur influence, il s'est forgé sa personnalité, son identité. Ses caractère et tempérament se sont formés et renforcés par les pensées et les expériences vécues, pour se conformer aux lois de la matrice de 3ème dimension. Ainsi, au travers du jeu de l'égo, ces forces ont décidé de son cheminement et déterminé les parts de joie ou de souffrance qui étaient à expérimenter, et ce tout au long de ses incarnations, afin de répondre à la loi universelle du Karma (loi de cause à effet).

De ce fait, leur présence au moment de l'éveil peut être très déstabilisante. Leur manifestation est d'autant plus amplifiée qu'elles vont s'attacher à retenir l'humain désireux de changer de trajectoire, accentuant ses peurs et déclenchant, parfois, des symptômes psychiques et physiques douloureux. C'est la phase de test, celui de la détermination à transcender la peur et à assumer la souveraineté de l'Êtreté.

 

En comprenant que notre potentiel galactique contenu en notre génétique est une réelle menace pour la suprématie reptilienne de 4ème dimension, nous pouvons réunifier consciemment notre arbre généalogique/karmique cosmique en nous pour sortir du voile de l'oubli qui nous maintient prisonnier. Et la branche de l'arbre sans aucun doute la plus conséquente à visiter est celle de nos origines reptiliennes. C'est depuis cette branche en effet que l'ange que nous sommes (notre Soi supérieur) a chuté en 3ème densité de réalité et perdu ses ailes. Si nous voulons les retrouver, nous n'avons d'autre choix que de grimper à la sueur du front sur l'arbre de la Connaissance, l'arbre de Vie, et visiter chaque rameau de la branche imposante qu'est notre identité reptilienne, et sa part spécifique mâle qui contraignit l'humanité à sommeiller en prison*. L'escalade de l'arbre de la Connaissance est périlleuse, et nous chuterons plusieurs fois avant de pouvoir acquérir l'expérience et la stabilité nécessaires pour y parvenir.

* Cf. Comprendre et apprivoiser la prédation.

 

Pour mener à bien ce travail, il est déterminant de prendre conscience d'une nuance fondamentale : d'un coté nous avons l'archétype du serpent qui est le symbole de la vie (le caducée d'Hermès, la kundalini)*, de sa multidimensionnalité et de la connaissance dynamique, et de l’autre, nous avons des races prédatrices reptiliennes qui, parce qu'elles ont aussi leur place dans l'univers, ont pour but, et finalement pour fonction inconsciente, de participer à notre initiation en se saisissant de l'image du serpent et en la falsifiant. Ainsi ces intervenants, servant le processus malgré eux, vont même jusqu'à se servir de leur forme reptoïde pour renforcer le mécanisme d'écran psychique qui nous voile la porte de sortie de l'initiation. Cette ruse consiste à détourner l'image alchimique du dragon-serpent (leur propre reflet contenant la synergie des polarités qui offre une clé) en une image essentiellement négative et effrayante. Cette ruse ne peut que dissuader d'y fourrer notre nez, et plus largement conditionne l'humain à ne pas accepter le reflet complet de sa véritable identité. Pourtant, c'est bien celle que nous devons apprivoiser et transformer si voulons retrouver nos origines pour sortir du piège de la matrice involutive.

* Cf. L'état de cohérence, voie de sa liberté.

 

Finalement, ces forces/entités de la prédation sont nos plus grands grands enseignants. En en triomphant, nous renonçons à leur domination, les ténèbres s'effaçant toujours lorsque la lumière jaillit. Toutefois, nous sommes entièrement livré à nous-même, placé face à nos responsabilités, afin que nous puissions apprendre à cheminer de manière autonome dans notre nouvelle dimension de conscience. Vaincre ses propres démons et les démons trans-dimensionnels est la seule Voie pour mener à la libération de l'Âme. Le changement de densité ne se réalisera que lorsque nous aurons complètement transformé notre conscience et dépassé ses programmes humains limitants. C'est alors le moment où la conscience en mode "Service d'Autrui" se manifestera, celui de la 5ème dimension.

 

Sortie de la lutte

Ainsi, l'expérience émotionnelle* – à l'exemple de la maltraitance animale ou humaine –  qui se présente à un individu a pour objectif de l'enseigner. Il a quelque chose à comprendre, une leçon à apprendre. S'il réagit émotionnellement en éprouvant de la colère ou de la haine, c'est qu'inévitablement ses mémoires/programmes karmiques n'ont pas été conscientisées et neutralisées.

Qui plus est, en observant avec recul les choses, il se rendra à l'évidence que dénoncer ou lutter (par exemple la maltraitance animale ou humaine) n'a jamais résolu grand-chose. Ces "luttes" ont plutôt contribué à renforcer la répression à l'encontre des militants de tout poil, et ceci dans un seul but : générer de nouvelles sources de conflit, de violence et de colère par lesquelles le corpus prédateur se ravitaille en énergie négative. C'est toute la gamme d'émotions à fréquences denses (colère, ressentiment, haine, chagrin, tristesse, révolte, jalousie...) qui est attisée, par toutes sortes de moyens, tout particulièrement au travers des médias (films violents, reportages bouleversants, images choquantes...).

Plus nous nous offusquons ou luttons contre quelque chose, en y accordant toute notre énergie émotionnelle électrique de colère, de rage, de hargne, plus nous donnons de la force à cette "chose" et alimentons en énergies "négatives" la grille magnétique de la prédation trans-dimensionnelle via le prédateur logé dans notre psyché, l'ego-mental. Celle-ci se développera alors, jusqu'à ce que l'individu épuisé, par une forme de maladie ou une dépression sévère, se remette finalement en question. Ainsi, plus l'individu se drape dans le déni du jeu de la prédation, plus l'inconfort de la situation (la maladie ou dépression) se renforce et proportionnellement s'aggrave.

* Cf. L'expérience émotionnelle.

 

Fonctionnement électromagnétique

Dans un cadre général, l'électromagnétisme se définit par les phénomènes électriques et magnétiques. Ces fréquences s'expriment en hertz - Hz -. Les champs électromagnétiques exercent sur la matière des actions mécaniques. Qu'ils soient d'origine naturelle ou artificielle, ces champs électromagnétiques sont omniprésents dans notre quotidien : téléphone portable, ordinateur, wifi, télé, sans oublier les orages, la foudre et autres conditions météorologiques. Des champs de hautes fréquences voire très hautes fréquences peuvent être mis en action. Ils touchent la physique quantique.Par expérience, cette énergie peut se déplacer - exemple la foudre, les orages, les éclairs par temps très chaud -. Tous ces phénomènes sont connus et bien expliqués scientifiquement dans une gamme de fréquence très large de 1 Hz a 500 MHz.

 

Pour cesser de donner notre énergie à des entités sans âmes, il est nécessaire de faire un travail sur soi pour identifier et intégrer notre subconscient, notre part sombre, le robot pilote par lequel ces entités nous manipulent. Ce n’est qu’en identifiant et intégrant notre part sombre que l’on arrive à se connecter au Soi supérieur, l’Âme, et par là-même à la Source, et s'extirper de la matrice en guérissant nos blessures intérieures. Or se connaître soi-même est une démarche que peu de personnes ont le courage de faire… C’est en effet plus facile d’attendre un sauveur externe ou espérer en la venue d'un évènement favorable que de travailler sur soi.

Dès qu'un individu parvient à résoudre le programme qui jusqu'alors était dissimulé dans son inconscient, et qui alimentait son prédateur en énergie "négative", dès qu'il sait au préalable aller jauger son petit saboteur en mode "Service de Soi" - son propre orgueil, sa suffisance, ses peurs, ses besoins de contrôler, ses attachements/culpabilités, son propre déni -, dès qu'il observe et contient ce mental qui cherche toujours à se faufiler entre mensonges et utopies afin de pouvoir continuer à croire à l'illusion, il se libère définitivement de ce programme mémoriel/karmique qui, constamment, le confrontait à des situations de "maltraitance".

 

Les exemples de Notre-Dame-Des-Landes et du barrage de Sivens 

Les écologistes ont le sentiment de se battre contre les "robocops" de la force policière. Ils sont inconscients ou dans le déni de l'existence d'une troisième force en présence, financée de manière occulte, sous la forme d'activistes extrémistes infiltrant le milieu écologiste ainsi que celui des forces de l'ordre*. Son objectif est de contribuer à faire dégénérer ce genre de manifestation et à semer la confusion et le chaos. Ce qui explique que même des manifestations pacifistes s'achèvent la plupart du temps dans des affrontements sur le terrain ou des combats de rues dans les villes.

Ainsi, au lieu de se retirer du jeu, de s'avouer vaincus et de pleurer de désespoir, si l'ensemble des manifestants écologistes se mettaient à contacter sincèrement leur émotionnel et leur égo saboteur intérieur, ils sortiraient gagnants et libres de ce conflit. Car tout simplement ce genre de conflit ne pourrait exister dans leur création.

S'ils pouvaient avoir une vue "aérienne" du fonctionnement de l'égrégore égotique qui s'affronte dans les deux camps, ils se rendraient compte qu'il existe un troisième élément dans ce jeu. Ce sont ces "forces de l'ombre" symbolisées par les activistes extrémistes.

Ce groupe d'écologistes pourrait alors comprendre qu'ils ne font que se confronter à leur propre égo et, ainsi, réaliser que ce ne sont qu'eux-mêmes qui nourrissent le jeu de leur propre égrégore égotique symbolisé par "les robocops d'en face".

* Ce sont pour la plupart des portails organiques, soit des entités sans âmes ou à l'âme embryonnaire, qui sont spécialement enrôlés parmi ces soi-disant forces d'élite. C'est pourquoi ils ne font preuve d'aucun discernement et d'émotion. Cf. Les acteurs de la Matrice falsifiée.

 


Le bal vampirique de la soufrière jaune

Les maîtres de l'entropie - les Forces de l'Ombre - et leurs relais terrestres soumis connaissent parfaitement la puissance des symboles solaires et en détournent le sens à leurs fins mortifères, tout particulièrement par l'organisation de gigantesques rituels "sataniques" programmés dans leur agenda occulte destinés à servir et à assurer leur nourriture de survie*. Ainsi le mouvement des "Gilets jaunes", d'aucuns diraient les moutons jaunes, qui a embrasé à partir de novembre 2018 la terre de France et tout particulièrement son centre "luciférien" Paris, la ville de la fausse lumière. Manipulé et parasité à l'insu de son plein gré par la prédation astrale de 4ème dimension de réalité, le troupeau des révoltés se mobilise au nom de revendications qui, si elles apparaissent comme légitimes pour leurs soutiens illusionnés - du travail, plus d'argent, plus de concertation et de considération -, ont pour finalité toujours et encore de faire le jeu pour ne pas dire la fortune des élites prédatrices, tout particulièrement dans le domaine juteux de la sécurité (les biens d'équipement professionnel comme les gilets en font partie). Alors que l'être individué a pour seule raison d'être de travailler à la libération de ses chaînes terrestres par son épuration intérieure et sa connexion à l'intelligence de l'Esprit souverain, il contribue par son combat extérieur contre les représentants terrestres des Forces de l'Ombre - les "RoboCops" des forces sécuritaires (militaires, policiers, gendarmes, CRS) - à renforcer les geôles de sa prison. Il est incapable de voir que la majorité des humains sont honorés de célébrer leur lien de subordination à un dominant - patron, entreprise, multinationale, institution,... -, se félicitant et se pavanant d'être parfois parvenus à gravir les échelons de la réussite et méritocratie sociales et de gagner de l'argent, parfois beaucoup, ou à l'inverse de pester et de fulminer contre le manque de reconnaissance et de soutien du système à leur égard. Homme endormi, hypnotisé et enfermé dans son déni, il est dans l'incapacité de se regarder tel qu'il est dans le miroir, un esclave au service d'un système totalement vicié, y compris lorsqu'il se pense du côté des "gagnants", corrompu par les forces de la matrice astrale de 3ème densité qui agissent en lui, et par là-même avide de pouvoir, d'avoir et de paraître, la trinité mortifère.

Dans ce nouveau rituel sacrificiel des agneaux/moutons sur l'autel de la prédation, il a "simplement" oublié par ignorance que son âme (pour les "humanoïdes" qui en disposent*²) s'est incarnée uniquement pour que son individualité apprenne à retrouver sa légitime souveraineté existentielle, et être un créateur libre et inspiré en toute conscience par l'Esprit universel de sa réalité. Et si l'or est un métal porteur des qualités divines, il est par la loi de la dualité aussi associé au démiurge, la formation de ses gisements (comme ceux du platine ou le molybdène) étant due à la présence d'une forme de soufre, l'ion trisulfure*³. Et c'est bel et bien cet or sulfureux qui irradie en cette fin de cyclicité civilisationnelle !

* Cf. Symbolisme de la Matrice.

Cf. Les psychopathes qui nous gouvernent.

Cf. Le chemin alchimique.

 

Croire qu'accepter les mensonges et continuer à vivre dans des chimères en espérant que le monde va s'améliorer est un leurre. Nos univers ne peuvent changer ainsi. Seuls ceux qui en ont conscience peuvent changer leur propre réalité intérieure, qui aura pour effet de modifier la réalité extérieure. En conscientisant leurs responsabilité et culpabilité dans ce qu'ils expérimentent, ils peuvent se retirer du jeu de pouvoir qui provient uniquement de leur propre ego. Ils laissent ainsi s'installer naturellement les forces réparatrices et équilibrantes de l'Univers. La pollution et les bouleversements terrestres ne font que traduire les luttes incessantes entre egos humains.

 

Sortie du programme mémoriel de la prédation

La conscience humaine de 3ème dimension en mode "Service de Soi" ne peut migrer telle quelle en 4ème dimension de conscience, encore moins en 4ème dimension de densité/réalité. Elle s'autodétruirait instantanément à cause de son émotionnel déséquilibré et de son mode de croyance provenant du codage trop primitif de son ADN biologique et de la prédominance des fonctions de son cerveau reptilien.

Vu au travers des croyances limitées de la conscience humaine, les "Ombres noires" de la prédation* qui nous assaillent sont censées appartenir aux forces des ténèbres, la non-lumière, et doivent être vaincues ou repoussées aux moyens de prières, de rites d'exorcisme, de désenvoûtement ou de purification. C'est ainsi que les croyances des religions comme du New Age préconisent toutes sortes de recettes plus ou moins farfelues, afin de repousser ces entités, allant de l'enfumage à l'aide d'encens ou de sauge, jusqu'aux prières aux anges et utilisation tous azimuts de la flamme violette. Ce ne sont là que des méthodes très restreintes, qui font uniquement appel à des plans de l'astral, en aucune manière aux plans supérieurs divins.

Aussi est-il important que l'humain progresse par étapes - les petits pas -, de manière constante et déterminée, par la conscience de Ce qu'Il Est vraiment, vers la 4ème dimension, qu'elle soit "Service de Soi" ou "Service d'Autrui", peu importe. Pour ce faire, seule la remise en question de ses croyances et conditionnements au moyen de la connaissance des Lois universelles le permettra. Il est simplement nécessaire d'y procéder maintenant. Lorsque la collision dimensionnelle*² se produira, il sera définitivement trop tard ...

* Quelques illustrations en images des Ombres de la prédation par les artistes Johann Heinrich Füssli ("Le Cauchemar" dans ses 2 versions), Ferdinand Hodler ("La Nuit"), Eugène Thivier ("Le Cauchemar").

Cf. Fin ce cycle : la guidance éclairée de sa vie.

 

La sortie du temps linéaire

Sortir de l'illusion et par là-même de l'enfermement du temps linéaire* fabriqué par la Matrice entropique asservissante*², qui cache des cycles se répétant, est une nécessité impérative. Lorsque des événements ou situations relationnelles se répètent, c'est qu'ils sont porteurs d'un enseignement que nous devons conscientiser afin de nous libérer du schéma prédateur qui s'y cache et se répète. Celui-ci est symbolisé par la figure de l'Ouroboros, tel que l'illustre sur l'image ce petit lézard Sud-Africain se mordant la queue pour se protéger.

Il nous appartient de lâcher la protection illusoire de la carapace reptilienne afin de sortir du cycle ...

* Cf. La falsification de la réalité en 3-D.

Cf. Compréhension structurelle de la Matrice asservissante.

 

Les Ombres noires de la prédation correspondent en fait à un "manège karmique", soit la somme de nos expérimentations à cet instant de notre vie de la réalité de 3ème dimension, dans les différents états propres à la construction du moi égotique, c'est-à-dire se croyant séparé au sein de l'Univers de La Source Créatrice à cause de la manipulation génétique réalisée par les entités du corpus prédateur involutif aux origines de l'humanité. Ces états - bourreau, victime, sauveur - ont entraîné nombre de blessures psycho-émotionnelles infligées à notre Âme, notre Soi supérieur. Tant que nous ne les conscientisons pas à travers les événements et jeux relationnels que nous vivons, nous ne pouvons nous en libérer et continuons à être porteur de souffrances envers nous-même comme autrui, alimentant de ce fait la prédation de notre égo-mental*.

Pourtant, nous bénéficions d'un atout, la Loi Universelle de rétro-causalité*². Elle peut se traduire de la manière suivante : "Tu n'as pas saisi le message ? Ce n'est pas grave, la leçon revient. Tu n'as toujours pas saisi ? Et bien, elle revient encore et plus fort ! Etc."

Nous avons à comprendre que les projections du prédateur basées sur sa stratégie habituelle, nous maintenir dans la peur et tout ce qui y est lié (culpabilité, agressivité, possessivité...), nous reviennent d'un futur anticipé pour influencer nos émotions présentes en modifiant notre passé. Il renforce ainsi sa stratégie qui détermine notre passé, c'est à dire notre conditionnement. En prenant conscience des divers aspects de la temporalité, notamment cyclique et karmique qui accompagnent nos expérimentations, ainsi que la possible manipulation du temps, nous pouvons modifier notre compréhension des événements et commencer à en pacifier les manifestations émotionnelles intérieures. Alors seulement nous pouvons nous engager vers un nouveau futur, une nouvelle histoire. Le serpent (l'Ouroboros) cessant de se mordre la queue quand l'Oméga termine le jeu et de le recommencer en tant qu'Alpha, nous pouvons passer à la spirale suivante de l'évolution, soit un nouveau futur, vierge et imprévisible... Sinon, la boucle reste fermée et l'ancien futur se produira une nouvelle fois.

* Cf. Décryptage de l'égo.

Cf. Fin ce cycle : la guidance éclairée de sa vie.

 

Si à force d'entraînement nous parvenons à nous relier à cette force intérieure source de discernement qui nous rend capable d'observer le stratagème de la prédation et d'en saisir l'enseignement, alors le cercle fermé de la boucle involutive s'ouvre et se transforme en spirale. Le manège karmique intègre ainsi une réalité pluridimensionnelle. S'il est toujours cyclique, il est désormais évolutif pour notre chemin d'Ascension*.  Nous pénétrons l'intemporalité de la supra-conscience, celle de notre Soi supérieur, notre Âme, soit le présent de la créativité de notre vie*². Nous devenons insaisissable aux griffes du passé et du futur programmées par l'égo-prédateur.

* Cf. Le chemin de l'Ascension.

Cf. Le processus création décodé.

 

Mise en lumière des émotions refoulées

 

Elle se fait au moyen d'une technique appelée "le principe du miroir". Lorsque nous nous regardons dans une glace, ce que nous voyons n'est que notre image inversée, celle-ci inversant la lumière/énergie qui est émise par notre corps. Ce même principe s'applique lorsque nous entrons en interaction avec autrui. En effet, celui-ci par son comportement va répondre instinctivement aux impulsions de notre propre champ vibratoire. La plupart du temps, ni l'un ni l'autre n'en ont conscience.

Ainsi, notre interlocuteur, en réponse à l'énergie que nous émettons à travers la vibration de nos corps énergétiques, va déclencher en nous à travers son comportement une réaction émotionnelle que nous nous devons d'observer et de conscientiser. Dès l'instant que nous en acceptons le principe, un schéma karmique récurrent, jusqu'alors logé dans le subconscient, peut alors émerger à notre conscience. Le jeu des âmes peut être de ce fait mis en évidence et décrypté.

 

Observer signifie qu'il nous faut accepter que l'autre nous renvoie notre propre image inversée afin de déclencher en nous une émotion occultée qui peut devenir le vecteur d'une prise de conscience. Il devient pour ainsi dire le messager. Nous pouvons alors    concevoir et admettre que les paroles de l'autre, ses attitudes, ses gestes... sont une retranscription inversée de l'énergie "inconsciente" que nous émanons et que nous avons besoin de voir pour en prendre conscience. Ce miroir quantique permet à chacun de s'ouvrir à sa propre vérité pour accepter de voir celle des autres et inversement. Si nous admettons sans jugement ce que "l'autre" nous renvoie, nous acceptons de reconnaître la "lumière" (l'Information) transmise par son Soi supérieur. Nous sommes alors en mesure de nous accepter tel que nous sommes. Grâce à notre ouverture d'esprit, nous nous permettons d'accueillir notre propre "lumière sombre" qui peut alors se transmuer en "lumière divine" ou en énergie qui va accroitre notre conscience. A l'inverse, si nous rejetons ce que nous voyons de l'autre (son comportement, ses paroles...), nous rejetons alors automatiquement ce processus de transformation et renforçons davantage le prédateur égo.

 

L'indispensable régulation des émotions négatives

Parce que l'être humain est câblé pour se défendre contre les menaces et les pertes dans la vie, il a tendance à donner la priorité au mauvais plutôt qu’au bon. Bien qu’il s’agisse d’un mécanisme de survie logique pour qu'il reste hyper vigilant dans un environnement dangereux, ce "biais de négativité"* est contre-productif. Les émotions négatives (tristesse, angoisse, détresse, colère...) nécessitent ainsi à la différence des émotions positives l'établissement d'un dispositif interpersonnel de régulation portant sur les individus (figures d'attachement) qui en sont la cause, même si telle n'est pas leur volonté consciente.

Les émotions négatives découlent de différentes sources : le désir d’être aimé, de s’intégrer, d’avoir des amis ou d’être approuvé; le chagrin personnel lié à un traumatisme émotionnel comme l'abandon, la dispute, la trahison, l'abus physique et/ou mental; le manque de soins, les privations et la pauvreté. Tous ces éléments comme bien d’autres encore peuvent conduire à un manque d’amour de soi, de confiance et d’estime de soi. Comme une prophétie qui se réalise d’elle-même, les comportements que nous adoptons pour y faire face peuvent poursuivre le cycle de la négativité, entendant que celui-ci est engendré par les croyances négatives et le manque d’amour pour soi-même. Rester dans le déni ne fera que perpétuer ce cycle et la possibilité de faire les mêmes erreurs, d’attirer le mauvais type de personnes, de manquer d’abondance financière, de continuer à être malade ou de poursuivre le cycle de l’abus. Le monde est ainsi accablé par la négativité des gens, ce qui entraîne des bouleversements majeurs à l’échelle mondiale.

C'est pourquoi il est nécessaire d'être attentif à leur manifestation et signal déclencheur. Leurs racines résidant dans l’estime de soi, il convient de la rétablir par leur conscientisation, la désidentification*² et le pardon mémoriel octroyé. En effet, les émotions négatives dérivant d'attitudes négatives, de sentiments d’impuissance et de désespoir mal gérées ne sont pas bonnes pour la santé, pouvant engendrer un stress chronique qui perturbe l’équilibre hormonal du corps, épuise les substances chimiques du cerveau nécessaires au bonheur et endommage le système immunitaire. Le stress chronique peut en effet réduire notre durée de vie, la science ayant désormais identifié qu'il raccourcit nos télomères, les "extrémités" de nos brins d’ADN, ce qui nous fait vieillir plus rapidement. Une colère mal gérée ou réprimée est également liée à une série de problèmes de santé, tels que l’hypertension, les maladies cardiovasculaires, les troubles digestifs et les infections.

C'est pourquoi la scientifique états-unienne Barbara Fredrickson, universitaire renommée dans le domaine de la neuropsychologie, a montré que les émotions positives peuvent élargir notre perspective du monde, et inspirer plus de créativité, d’émerveillement et d’options. Se développant au fil du temps, elles créent une résilience émotionnelle et un épanouissement durables. Elles permettent une récupération plus rapide du stress cardiovasculaire, un meilleur sommeil, moins de rhumes et un plus grand sentiment de bonheur général. Afin d'atteindre cet état émotionnel harmonieux, elle propose de ressentir trois émotions positives pour chaque émotion négative.

Il en résulte que les attitudes positives – telles que l’enjouement, la gratitude, l’admiration, l’amour, l’intérêt, la sérénité et le sentiment d’être connecté aux autres – ont un impact direct sur la santé et le bien-être, que nous pouvons développer avec de l’entraînement. L'aide d’un guérisseur, d’un médium ou d’un conseiller pourra bien sûr aider à démêler la cause des problèmes si l'individu manque de force intérieure pour entreprendre par lui-même le travail de retournement de ses pensées et émotions.

Cela vaut la peine d’y consacrer du temps et des efforts, car libéré des traumatismes émotionnels et des bagages du passé, nous devenons libre de poursuivre notre vie sans fardeau supplémentaire.

* Le "biais de négativité" signifie que nous passons trop de temps à ruminer les petites frustrations que nous connaissons – les embouteillages ou un désaccord avec un être cher – et que nous ignorons les nombreuses occasions que nous avons d’éprouver de l’émerveillement, de l’admiration et de la gratitude tout au long de la journée.

La désidentification est définie en psychosociologie comme une troisième voie, proposant une alternative à la binarité entre identification et  contre-identification, et qui permet l’invention par le sujet d’identités hybrides, mouvantes.

 

Le miroir multidimensionnel reflète nos différentes expériences d'incarnation encore non résolues (le karma). Elles se représentent par séquences, qui ne se déroulent pas forcément de façon chronologique. L'ensemble de ces incarnations s'inscrivant dans notre vie d'aujourd'hui par le biais de l'ADN, tel un programme informatique, le subconscient y résume et concentre toute notre multidimensionnalité. Elles s'expriment dans notre quotidien par nos comportements inconscients, et cela souvent de façon répétitive. Cela signifie que toute personne en désaccord avec sa vérité intérieure pose des actes en non-conscience, par habitude, par peur, ignorance, réflexe... Son déni se retourne littéralement contre elle-même, aussi longtemps qu'elle n'accepte pas de le voir.

Tant qu'ils ne sont pas conscientisés, transcendés et libérés pour revenir à la neutralité, l'univers que nous créons à travers nos champs d'énergie nous renvoie inlassablement dans notre présent des situations et des contextes similaires à ceux de nos "multiples vies d'incarnation ". Pour nous permettre de comprendre le fonctionnement du subconscient, qui est intrinsèquement lié aux mémoires cellulaires de nos multiples incarnations, ces "autres moi" expriment exactement les paroles et les comportements que nous avons besoin d'entendre ou de voir. De ce fait, chaque résolution karmique avec une personne ou une situation ouvre la voie à de nouvelles compréhensions et à de nouvelles possibilités s'inscrivant dans notre conscience.

 

Nous sommes tous les miroirs des uns des autres. Cela signifie aussi que nous sommes tous intimement reliés les uns aux autres, et que nous avons besoin des uns et des autres pour nous libérer de nos "liens karmiques". Nous sommes en effet tous des fractales d'une Conscience supérieure, reliés par la loi de l'UNité. En devenant attentif aux surprenantes synchronicités que nous amène le flux de la vie, nous pouvons entrer dans une sphère de conscience qui nous apporte la sécurité. L'UNivers subvient alors à tous nos besoins pour notre plus grand bien. L'Esprit s'incarne désormais en nous. Nous devenons un réel miroir de vérité.

 

Soin du féminin intérieur réprimé

La répression du féminin intérieur orchestré depuis des millénaires par les institutions patriarcales dominantes, entre autres par l’Église judéo-chrétienne*, a conduit à induire dans la psyché le sentiment de victimisation et par-là même de révolte, tellement prisée par le prédateur vampire. En effet, lorsqu'une ou plusieurs femmes reprennent le flambeau tyrannique du fonctionnement patriarcal, c'est généralement motivées par une vengeance camouflée envers la toute-puissance masculine. Cela concerne bien sûr plus directement les femmes, mais touche inévitablement les hommes dont la personnalité possède aussi une composante féminine plus ou moins prononcée. Cette dévalorisation avilissante est entretenue par une société qui continue à stigmatiser le féminin (culte de la beauté, pornographie, ménagère en charge des achats...), et qui en aucun cas n'encourage réellement ses membres à adopter un angle de vue qui leur permettrait de sortir de cette source de conflits intérieurs et extérieurs.

Une fois la compréhension de l'insidieux mécanisme faite, il ne s'agit plus de se rebeller et de lutter comme une amazone "femen" ou autre "chienne de garde" contre cette injustice du système, piège tendu par le prédateur diviseur, mais de mettre à nu ses résistances intérieures jusqu'alors inconscientes et de les dénouer avec compassion jusqu'à cesser de s'identifier à une victime. Le prédateur patriarcal, d'ennemi viscéral jusqu'alors devient l'enseignant des blessures enfouies. Il permet de rééquilibrer sa polarité féminine au même niveau que sa polarité masculine jusqu'ici exacerbée (lutte en réaction). C'est cet état d'équilibre harmonieux en soi qui permet d'assumer pleinement son rôle, débarrassé des affres des états du moi séparé (victime, bourreau, sauveur).

* Cf. L’Église romaine décodée.

 

Viviane et Merlin, où comment le féminin maintient prisonnier le masculin

La Tradition mythologique raconte comment une femme parvient par la manipulation sentimentale à accéder aux " secrets " de la puissance d'un homme que nul ne peut défier, et dont elle use pour le maintenir prisonnier à jamais.

Une année durant les chevaliers de la table ronde cherchent Merlin. Gauvain entre un jour dans la forêt de Brocéliande, et découvre un étrange phénomène, une sorte de vapeur face à laquelle son cheval refuse obstinément d'avancer... Entendant soudain être appelé par son nom, il reconnaît la voix de Merlin qui lui explique la prison d'air dans laquelle Viviane l'a enserré pendant son sommeil. Viviane - le féminin sacré - venait de prendre Merlin - le masculin sacré en otage grâce aux pouvoirs qu'il lui avait légués ... Tant qu'elle ne se réconcilie pas avec son bourreau, la prédation les maintient tous deux prisonniers des boucles involutives du temps.

La femme, par la complétude de la dernière paire de chromosomes XX, possède en elle bien mieux que l'homme et sa paire amputée - XY - la clé qui lui confère la capacité d'ouvrir les portes de son équilibre par sa capacité d'introspection et de remise en question supérieure. Par le développement de ses facultés à utiliser de manière optimale les "quatre pattes" chromosomiques (celles du X), en sortant de l'attachement à une croyance et de la culpabilité liée induite en elle par le système patriarcal et sa contrepartie accusatoire (passage inconscient de l'état de victime à ceux de bourreau - la révoltée - et/ou de sauveur - la mère protectrice -, soit la boucle enfermante), elle peut alors communiquer par ce déblocage épigénétique à l'homme les codes et le mode d'emploi lui permettant à son tour de "faire repousser la jambe" qui lui manque (Y), et qu'il confond illusionné par le système avec celle qu'il a entre les jambes... Le principe féminin initie toujours la danse, et le principe masculin se joint à lui pour mener à bien cette œuvre.

Cf. Symbolique des nombres.

 

Évolution de couple

Le potentiel féminin se communiquant naturellement au masculin (c'est la femme qui donne la vie par ses spécificités chromosomiques), le partenaire masculin a le choix : réceptionner ce potentiel de transmutation par l'énergie féminine ou pas. Si l'homme est trop fortement dominé par son prédateur égotique, lui ordonnant implicitement de ne surtout pas s'ouvrir émotionnellement, il ne pourra rien en résulter. Le risque est que la femme continue de ressentir ses intuitions profondes, tandis que son prédateur relayé par son partenaire masculin (effet miroir) la renvoie systématiquement à un état de contrôle. En somme, elle ne sait plus à quel "Saint" se vouer et devient schizophrène...

Toute cette organisation très stratégique des maîtres de l'entropie fonctionne généralement à "merveille" : l'individu du couple le plus sujet aux manipulations de son prédateur, donc faisant office de canal très efficace, permet à cette énergie de s'infiltrer dans les failles de l'autre, lui-même bien préparé à la réceptionner par son prédateur. L'effet du couple est ainsi à double tranchant : il peut nous propulser de l'avant ou nous mener tout droit à l'entropie, tout dépend des connaissances acquises en matière de prédation et de la force intérieure nous permettant de les appliquer. Seul un gros travail en chacun des partenaires est requis pour sortir du cercle "infernal".

 

Lâcher-prise

 

Lorsque l'égo résiste au changement, à sa propre transformation, il se manifeste des troubles physiques et psychologiques tels des états de fatigues chroniques, des confusions, des malaises, des conflits, de la souffrance, pouvant aller jusqu'à générer toute sorte de maladies. L'humain a peur de son futur parce qu'il a appris à croire qu'il ne se résume qu'en un seul choix, une seule direction. Aussi, lorsque nous conscientisons et intégrons que notre futur n'est limité qu'en fonction de nos croyances et de l'emprise de l'ego, nous pouvons nous ouvrir à toutes les possibilités que nous offre la conscience de l'Esprit. Nous cessons de refouler les véritables informations et d'entretenir le mensonge. En acceptant de retourner en nous, nous apprenons à nous accepter tel que nous sommes et comprenons comment "décoder" notre propre "fonctionnement". Nous découvrirons notre véritable nature.

 

Si les expériences que nous vivons ne nous conviennent pas, il est inutile de lutter pour tenter de les "maîtriser". Acceptons que nous en sommes le seul responsable, et que nous devons apprendre à changer notre point de vue pour en tirer leçon. Nos croyances vont pouvoir se modifier, grandir, évoluer. Nous changeons alors peu à peu de mode de fonctionnement, de manière d'agir, de penser, de réfléchir et progressivement les expériences difficiles ne se représenteront plus.

Si l'être humain ignore ce que signifie lâcher-prise, que cette perspective provoque instinctivement dans sa psyché une peur-panique extrême, c'est parce que le subconscient relié à sa multidimensionnalité "sait" déjà que le lâcher-prise, ce saut dans l'inconnu, induira sans retour possible un prodigieux changement de réalité.

Contrôler, maîtriser, gérer, dominer... appartient au monde de l'ego qui ne veut pas du changement. L'humain ayant peur du changement redoute sa propre transformation. Confondant lâcher-prise et résignation, il persiste à croire que parce qu'il fait l'effort de se résigner, il parviendra au lâcher-prise. C'est ainsi que beaucoup encore essayent de tester l'efficacité de leur lâcher-prise en extrapolant un résultat. Tel que "je vais essayer pour voir si j'y arrive à tel ou tel résultat". Mais "essayer, tenter, tester" n'est point faire confiance à la guidance intérieure. L'ego tributaire de sa peur, veut toujours vérifier si son lâcher-prise peut fonctionner.

Dès que l'égo reste en attente d'un résultat, il ne fait qu'alimenter puis renforcer l'illusion. Cette forme de lâcher-prise-test n'a strictement rien à voir avec la Foi en la guidance du Soi intérieur. Le véritable lâcher prise sous-entend d'embrasser une situation telle qu'elle se présente, sans désirer qu'elle change, mais étant curieux de l'apprentissage qu'elle propose.

Cheminer vers une dimension de conscience supérieure n'autorise aucun test et requiert un lâcher-prise effectif et définitif. Ce ne sera qu’après ce grand saut dans l'inconnu, qu'une nouvelle réalité, une nouvelle manière d'être, s'imprimera dans notre nouveau quotidien.

 

La volonté

 

Notre libération de la Matrice de 3ème dimension nécessite le recours à nos origines trans-dimensionnelles, c'est-à-dire galactiques, pour dépasser la résistance inouïe du prédateur au changement. Elle est nommée la "Volonté Léonine", que symbolise l'animal roi, le lion. Grâce à la discipline du chaman appliquée au quotidien, elle vient automatiquement modifier notre épigénétique.

Cette Volonté provient de la quatrième voie, complémentaire au travail simultané sur les trois voies décrites dans les enseignements de Georges Gurdjieff : la voie du fakir, travaillant principalement à dépasser les limitations du corps ; la voie du moine, se focalisant sur la délivrance de toute emprise émotionnelle ; la voie du yogi, quête de savoir concernant les lois universelles. Ces voies s'opposent à notre vie de tous les jours, fondée sur d'autres principes et assujettie à d'autres lois. Là est le secret de leur puissance et de leur signification.

En effet, dans une vie ordinaire, si prise soit-elle par des intérêts économiques, philosophiques, scientifiques, religieux ou sociaux, il n'y a rien et il ne peut rien y avoir qui offre les possibilités contenues dans les voies. C'est pourquoi la quatrième diffère des autres en ceci qu'elle pose devant l'homme, avant tout, l'exigence d'une compréhension. L'homme ne doit rien faire sans comprendre. Plus il comprend ce qu'il fait, plus les résultats de ses efforts sont valables. C'est un principe fondamental de la quatrième voie. Les résultats obtenus dans le travail sont proportionnels à la conscience que l'on a de ce travail. Ainsi, lorsqu'il atteint la volonté par la quatrième voie, il peut s'en servir, parce qu'il a acquis le contrôle de toutes ses fonctions physiques, émotionnelles et intellectuelles. La quatrième voie est appelée parfois "la voie de l'homme rusé". L'"homme rusé" connaît un secret que le fakir, le moine et le yogi ne connaissent pas.

 

Narcissisme et empathie, le lien toxique

La relation toxique risque de naître lorsque deux personnalités bien spécifiques se rencontrent, telles le narcissique et l'empathe.

La première a une haute opinion d’elle-même. Elle ne pratique pas l’introspection. De ce fait, elle ne connaît pas les scrupules, les regrets, les remords. Elle est persuadée de ne jamais commettre d’erreur. Si elle échoue, c’est forcément de la faute des autres, jamais de la sienne. Quand quelqu’un est accusé à sa place, elle évite de se dénoncer. Elle n’éprouve pas de compassion pour la personne injustement accusée mais, tout au contraire, un sentiment de supériorité, celui d’avoir été "plus maligne".

La personnalité empathique de son côté doute d’elle-même. Elle se pose constamment des questions sur sa valeur, ses mérites. En cas de conflit, son réflexe est de croire que c’est de sa faute. Elle s’excuse, se fait des reproches, se remet en question. Elle pense que c’est à elle, et uniquement à elle, de faire des efforts pour changer. Elle prend sur elle la responsabilité de restaurer la paix et l’harmonie, même s’il faut se sacrifier.

Chaque fois que surgit un conflit, le narcissique impose son point de vue et n’hésite pas à accabler l'empathe en lui faisant porter la responsabilité, celui-ci n’osant pas répondre de peur d’aggraver la situation. Il va chercher des excuses au narcissique, car il déteste les conflits et s’interdit d’avoir une mauvaise opinion des autres. Il va même jusqu’à s’inventer des fautes destinées à expliquer l’attitude injuste du narcissique à son encontre.

Voyant que l'empathe se remet en cause, s'adapte, et fait tout pour éviter le conflit, le narcissique s’engouffre dans la brèche et redouble d’exigence vis-à-vis de lui. Et l'empathe alors se remet encore plus en question, ce qui nourrit ses doutes sur lui-même. Il finit par se consumer en questionnements, se demandant pourquoi, comment, "ce qui fait que" l'autre est si méchant. Il ne comprend pas qu'il profite de la situation.

Comme le narcissique n’a jamais de scrupules ni de remords, il n’éprouve aucune culpabilité à obtenir des avantages au détriment de l'empathe, tout à sa fierté de le dominer. Il voit dans sa soumission un signe de faiblesse, le confortant dans son "mérite" d’être exploité. L'empathe a le réflexe inverse, ne pouvant imaginer que quelqu’un soit indifférent à la douleur des autres et à l’injustice, puisque lui-même y est si sensible. Mais le narcissique n’a aucune intention de l'aider, continuant de l’exploiter tant que ce sera dans son intérêt et tant que l'autre ne réagira pas. Et c'est facile, car il est probable que l'empathe refusera tout secours de l’extérieur, ayant une image si dévalorisée qu'il pense que les personnes qui cherchent à intervenir pour le protéger se trompent, qu’ils ne se rendent pas compte que tout est de sa faute. Enchaîné dans une relation toxique avec le narcissique, il ira jusqu'à prendre sa défense contre sa famille, ses amis ou collègues qui cherchent à la protéger et qui lui veulent du bien. Et c’est ainsi qu’il se retrouve isolé, à sa merci.

Pour sortir de cette situation, il convient que l'empathe comprenne l’arme fatale dont se sert le narcissique, et qu’il la neutralise. Cette arme s’appelle l’identification projective, soit le fait d’attribuer aux autres des sentiments inavouables que l’on éprouve soi-même, mais qu’on ne veut pas reconnaître. Par exemple, une personne brutale qui ne se reconnaît pas comme telle, mais qui voit partout des personnes brutales. Les personnalités narcissiques utilisent ce mécanisme de défense constamment. L’identification est ce que ressent la victime du narcissique. La victime est capable d'empathie. Ayant le cœur ouvert, elle absorbe facilement, inconsciemment, les projections du narcissique, et les identifie comme siennes. Ainsi, lorsque le narcissique projette ses émotions négatives sur sa victime, cette dernière éprouve instantanément de la honte, de la culpabilité, un sentiment d’illégitimité, d’incompétence, de dévalorisation. Et le narcissique en profite pour l’isoler, l’exploiter, lui extorquer des faveurs (sexuelles, financières ou symboliques comme l’admiration et la reconnaissance…). La victime s'étiole et perd encore plus confiance en elle-même. Ses mécanismes d’autodéfense, faibles au départ, s’érodent encore. Elle se sent de plus en plus dépendante du narcissique, engluée dans le cycle mortifère de l’identification projective.

L'empathe peut briser cette chaîne en prenant conscience du mécanisme. Sa compréhension la protégera contre les distorsions du narcissique, qui lui fait croire qu’elle est coupable et responsable de sa situation. Le processus de guérison est toutefois long et douloureux, car l'empathe ressentira encore la honte d’avoir été victime du narcissique. Il se sentira nul et faible vis-à-vis du narcissique, qui a su l’exploiter et semble sortir grand gagnant de la relation. C'est pourquoi il est très important alors qu’il comprenne que ce ne sont pas ses défauts, mais au contraire ses qualités (empathie, bienveillance, générosité, sens de l'honneur et du devoir...) qui l’ont rendu vulnérable. Que ce n’est pas à lui d’avoir honte, mais au narcissique.

Ce dernier n’a aucun mérite d’avoir abusé de lui. Son absence de scrupules n’est pas une marque de force mais de faiblesse. Son énergie n'est tournée que vers lui-même, n'ayant pas assez de force pour tenir compte des besoins et des droits d'autrui. Il est dans l’imposture, puisqu’il doit ses succès à une autre. Le narcissique a besoin de se nourrir des qualités des autres, sorte de vampire qui piétine ou régresse car il ne se confronte pas à ses limites. L'empathie pourra retrouver son assurance en comprenant que sa capacité à regarder en face ses faiblesses et ses failles est une marque de courage et de force. C'est cette lucidité lui permet de progresser.

En portant un regard vrai sur le narcissique, il s'apercevra d’ailleurs qu'il a besoin de lui, alors qu’il n’a pas besoin du narcissique pour vivre. Et  lorsqu’il décidera de mettre fin à la relation, le narcissique n’aura de cesse que de maintenir un lien avec lui, ou de le remplacer par une autre victime. De son côté, l'empathe aura tiré les leçons de l'expérience, ne risquant plus de tomber entre les griffes d'un autre narcissique. Il aura souffert, mais il aura progressé. Il se sera renforcé !

 

Libération de la matrice

 

D'un point de vue d'une conscience humaine, la matrice de 3ème dimension est une prison. Vu d'une conscience supérieure de 5ème/6ème dimension, cette même matrice permet grandement d'accélérer notre évolution en tant qu'humain. Elle devient une véritable école où est délivrée une multitude d'enseignements pour celui/celle qui est apte à les recevoir. Ceci entend que lorsque nous nous libérons de la domination des "agents" de la matrice*, même s'ils nous perçoivent toujours comme leur ennemi, nous pouvons les utiliser comme professeurs.

* Cf. Les acteurs de la Matrice falsifiée.

 

Passé un certain stade d'ouverture de conscience, la prédation de 4ème dimension qui nous asservit dans notre dimension de réalité en 3-D n'a plus d'emprise sur certaines personnes. Pour en comprendre les effets, nous pouvons établir l'analogie avec le prisonnier qui parvient à s'échapper, les gardiens ne pouvant se permettre de le pourchasser en dehors du périmètre de l'établissement, au risque de laisser s'enfuir les autres détenus en laissant la prison sans surveillance. Ainsi, lorsqu'un individu parvient à s'extirper des croyances de la matrice, les "Ombres noires", ses gardiens prédateurs, ne se risquent jamais à le tourmenter très longtemps, car ils se mettraient alors eux-mêmes en grave danger.

 

Tout individu qui s'éveille véritablement à sa supra-conscience, son Soi supérieur, qui parvient à transcender la programmation inoculée dans sa psyché (peurs, mensonges, fausses croyances, etc), augmente inévitablement sa fréquence de résonance dans un univers tout énergie. Il devient alors "dysharmonique" avec les fréquences de 3ème dimension, et de ce fait asynchrone avec celles du corpus prédateur involutif de 4ème dimension. Il est intouchable, tant pour la prédation humaine de 3ème dimension que celle de 4ème dimension. L'individu affranchi est "infréquentable" pour ses semblables encore sous influence psychique. C'est pourquoi il sera automatiquement banni par ceux qui réfutent leur processus karmique et sont restés assujettis à la matrice "Service de Soi".

Ceci est la raison pour laquelle son relationnel social fond comme neige au soleil. Cela signifie aussi qu'il est fin prêt pour supporter le changement fréquentiel qui le propulsera dans l'autre monde, celui de la 4ème dimension "Service d'Autrui". Le voyage du Héros touche alors à sa fin, en tout cas dans celle de la dimension en 3-D...

 

La leçon majeure est que si l'énergie entropique provenant des mondes de la prédation est correctement perçue et utilisée par une conscience humaine orientée "Service d'Autrui", elle se transforme "mécaniquement" en énergie bénéfique pour sa propre élévation. Les Ombres noires deviennent alors des "enseignantes" qui participent à renforcer notre Connaissance.

Ainsi, tout individu qui lors de son incarnation parvient à devenir quelque peu supra-conscient, s'offre lui-même de se préserver de ses prédateurs qui ne sont que ses "autres Soi", émissaires d'un jeu karmique trans-dimensionnel et situés dans d'autres dimensions et espace-temps. Il aura de ce fait nul besoin d'attendre désespérément un sauveur extérieur, ayant compris qu'il était son propre sauveur.

Toutes les clés de la Matrice ont été données à l'être humain dans The Prisoner (Le Prisonnier), série télévisée britannique en 17 épisodes, créée par l'écrivain et ancien agent des services secrets George Markstein, diffusée de septembre 1967 à février 1968. Seuls les illusionnés du divertissement et par son formatage cérébral n'en ont tiré aucune leçon.

* La bulle (Cf. photo 5) indique que dans la 3ème dimension de conscience, nos perceptions sont limitées. Elle représente notre matrice, notre propre enfermement. Tant qu'elle n'est pas fissurée, cette bulle ou coquille dimensionnelle nous empêche de voir la réalité de ce monde telle qu'elle est, c'est à dire hyper-dimensionnelle.


 

"Vous ne réalisez pas votre propre situation. Vous êtes en prison. Tout ce que vous pouvez désirer, si vous êtes sensé, c'est vous évader. Mais comment s'évade-t-on ? Il faut percer les murailles, creuser un tunnel. Un homme seul ne peut rien faire. Mais supposez qu'ils soient dix ou vingt, et qu'ils travaillent à tour de rôle : en s'assistant les uns les autres, ils peuvent achever le tunnel et s'évader.

En outre, personne ne peut s'échapper de la prison sans l'aide de ceux qui se sont déjà échappés. Eux seuls peuvent dire de quelle façon l'évasion est praticable et faire parvenir aux captifs les outils, les limes, tout ce qui leur ait nécessaire. Mais un prisonnier isolé ne peut pas trouver ces hommes libres ni entrer en contact avec eux. Une organisation est nécessaire. Rien ne saurait être achevé sans organisation.

(…) chaque prisonnier peut un jour rencontrer sa chance d'évasion, à condition toutefois qu'il sache se rendre compte qu'il est en prison."

Piotr Ouspensky (1878/1947), philosophe russe transmettant les enseignements de Georges Gurdjieff (1877/1949), compositeur russe, dans "Fragments d'un enseignement inconnu ".

 

La connexion libératrice à l'Esprit universel par l’Âme

 

L'Univers est électromagnétique, et nous sommes des êtres électromagnétiques. Cela veut dire que nous attirons à nous, tel un aimant, uniquement ce que nous émettons et vibrons. Ce sont en l'occurrence des programmes-mémoires dans nos champs d'énergie, qui servent à expérimenter la dualité propre à la 3ème dimension de réalité, ce dont nous ne sommes généralement pas conscient. En conséquence, nous reviennent par un phénomène de résonance - l'effet miroir - des situations ou des personnes appropriées qui, par leur rôle, peuvent nous permettre d'élever notre conscience humaine vers une conscience supérieure, l’Esprit universel - le Soi supérieur ou supraconscience -, une fois l'âme unifiée par sa dépollution mémorielle astrale*.

* Cf. Le cheminement de l’Âme.

 

Ainsi, à ce palier de compréhension, il n'est plus utile d'attribuer à l'autre (personne ou événement) la cause de notre malheur, de nos difficultés, car celui-ci joue simplement le rôle de réflecteur sur lequel, instinctivement, nous projetons nos propres souffrances et conditionnements inconscients.

Dès que nous acceptons que la personne ou la situation nous renvoie notre propre vibration - il suffit pour ce faire d'imaginer que c'est nous qui parlons à nous-même -, nous comprenons que "l'autre/nous" manifeste à notre attention ce que nous n'arrivons pas à conscientiser en nous-même. Nous sommes alors en mesure d'admettre que tout ce que nous expérimentons, en bien comme en mal, nous en sommes les seuls responsables. D'ailleurs, comme par magie - l’Âme agit -, l'autre ou la situation s'efface dès que nous cessons d'émettre la fréquence qui l'avait attirée à nous.

 

Être responsable de SA vie, cela signifie que nous admettons que nos formes-pensées sont la source de notre propre souffrance. De ce fait, nos croyances sont constitutives de nos propres formes-pensées exprimées qui apparaissent "matériellement" dans notre quotidien.

Aussi est-il essentiel d'arriver à cette compréhension du fonctionnement des lois de l'Univers. C'est alors le stade de L'ACCEPTATION, autrement dit le repos de l'égo-mental prédateur, l'abandon de toute lutte ou résistance, le "repos du guerrier". La guidance de l'Esprit universel peut alors placer des synchronicités tout au long de notre parcours, pour nous permettre de faire les rapprochements entre les événements extérieurs et notre problématique intérieure. En acceptant de faire ce rapprochement, la libération peut alors s'effectuer...

 

Après avoir visité toutes les facettes d'une problématique, elle se libère enfin de notre champ d'énergie et la problématique en question disparaît de notre chemin de vie. C'est ainsi que nous attirons toujours toutes sortes d'expériences pour que notre Âme puisse apprendre à en tirer des leçons. Comprendre comment nous générons des expériences duelles nous offre la possibilité de découvrir comment nous en défaire.

Un programme de dualité ne s'exprime non pas seulement à travers des formes-pensées/programmes dites "négatives" comme par exemple la peur, la colère, la vengeance, l'arrogance, l'orgueil, la souffrance, le malheur, l'échec, la méchanceté, le rejet, l'ignorance, le déni, la jalousie… Il se cache aussi dans certaines formes-pensées dites "positives", en engendrant des comportements de soumission, d'adoration, de dévouement, d'admiration, d'attachement amoureux, amical ou familial, de vénération, de dévotion, de charité, de sacrifice, d'idolâtrie, etc.

 

La pleine conscience

L’esprit est un outil puissant, qui aide à accomplir des choses, à se réaliser comme créateur inspiré*. Mais il a aussi le potentiel de rendre malheureux lorsque l'individu se laisse entraîner dans le tourbillon des émotions*². En effet, s'il se sent triste, en colère, inquiet ou anxieux, il lui est facile de supposer que ces sentiments sont vrais. Même s'ils peuvent être vrais dans certains cas, il peut apprendre à reconnaître quand ses pensées provoquent des émotions, et à les contrôler. Car l’esprit a l’habitude de vagabonder de son propre chef, avec une forte tendance à se projeter sur des choses qui ne se produisent pas maintenant ou qui se sont déjà produites, et qui sont donc de nature imaginaire. Le problème de ce vagabondage de l’esprit est qu’il crée de la souffrance émotionnelle. Lorsque quelque chose ne va pas au travail ou dans une relation, le premier réflexe est généralement de se rendre responsable de l’échec, ou de l’accepter comme faisant partie de la vie. Aussi ce type de pensée ne mène à rien de positif, maintenant l'être humain dans un cycle de pensées négatives ayant un impact négatif sur son humeur comme sur son comportement. Ceci indique que nous n’avons pas le contrôle conscient de ce qui se passe dans notre tête, cela se produisant sans que nous ayons à faire quoi que ce soit. Ces pensées sont ensuite transmises à travers les couches de notre conscience, jusqu’à ce que nous agissions en conséquence.

Pourtant, nous pouvons utiliser notre esprit non comme un serviteur mais comme un maître. Et c’est nous qui décidons ! Plus nous utiliserons  nos pensées comme des serviteurs, et plus nous serons heureux et réussirons dans la vie. Il convient de "penser nos pensées" comme si elles étaient distinctes de nous, les émotions étant le résultat de nos pensées et non la réalité elle-même.En changeant notre façon de penser, alors vous pouvons changer ce que nous ressentons et nous diriger vers une vie heureuse et réussie ! En renonçant à nous accrocher aux pensées malheureuses, nous changeons notre façon de penser, en étant en mesure de voir les choses sous un angle différent et de les aborder différemment. Ceci nous permettra d’obtenir de meilleurs résultats dans n’importe quelle situation.

C’est là que la méditation s’avère utile, permettant de voir clairement tout à la fois, sans distraction et sans parti pris pour un résultat particulier.

C'est une aide à prendre du recul par rapport aux événements de la vie, en ramenant notre attention sur le moment présent. Nous pouvons ainsi prendre de meilleures décisions fondées sur la compréhension que nous avons de nous-mêmes et des autres, plutôt que de réagir par peur, colère ou tristesse à ce qui s’est passé dans le passé ou même dans le présent. Elle favorise la pleine conscience, soit la capacité à prêter attention au moment présent et à ne pas laisser son esprit s’en éloigner. Elle permet d’être conscient de ses pensées et de ses sentiments sans les juger. Sa pratique aide les gens à gérer le stress, à cultiver la compassion envers les autres, à accroître la conscience de soi, et à prendre de meilleures décisions. Elle est également associée à une amélioration de la mémoire, de la concentration, de la créativité, de la résolution de problèmes et même de la santé physique. Grâce à elle, nous sommes attentif, à même d'identifier notre véritable moi, qui est le Maître. Et ce moi supérieur, la supra-conscience, ouvre à lui seul toutes les portes de la félicité, qui nous donne amour, paix, bonheur et prospérité !

* Cf. Le processus création décodé & La pensée création.

Cf. L'expérience émotionnelle.

 

Du Code Jedi

 La philosophie connue sous le nom de Code Jedi, mise en scène tout particulièrement dans l'univers des films de George Lucas Star Wars ("Les Guerres de l’Étoile"), fut instituée afin d'aider les jeunes étudiants "Jedi", animés par les Forces de Lumière, à résister à l'attrait du Côté Obscur. A la base, il fournit de simples instructions pour vivre en accord avec cette Force, l'impétrant n'utilisant jamais la Force pour acquérir des biens ou du pouvoir. Au lieu de cela, il l'utilise pour acquérir la connaissance et l'illumination, comprenant que la colère, la peur, l'agressivité et bien d'autres émotions négatives mènent au Côté Obscur. Le "Jedi" est encouragé à rechercher des solutions non violentes chaque fois que cela est possible, devant agir avec sagesse, utilisant les conseils et la persuasion plutôt que les pouvoirs de la Force et la violence.

Toutefois, lorsque tout le reste a échoué, ou pour sauver une vie, il doit parfois se résoudre à se battre afin de solutionner une situation particulièrement dangereuse. Mais ce ne doit jamais être la première option à explorer.

La première règle est : "Il n'y a pas d'émotion, il y a la paix". Elle met clairement en contraste la distinction que chacun doit faire entre la confusion des considérations émotionnelles et la pensée éclairée durant une méditation pacifique. Il s'agit indubitablement d'une valeur de qualité, obligeant l'étudiant à ne pas ignorer certains facteurs à même de lui faire connaître un état émotionnel. Il ne pourrait être véritablement en paix, simplement ignorant.

La seconde règle est : "Il n'y a pas d'ignorance, il y a la connaissance." Ceci enseigne de rechercher à comprendre toutes les situations, tout particulièrement avant d'agir, afin d'éviter des erreurs de jugements. Mais bien connaître une chose peut parfois mener à s'y absorber intensément. Une obsession permanente obscurcit l'esprit. D'où la troisième règle: "Il n'y a pas de passion, il y a la sérénité".

Connaître une chose objectivement signifie la connaître comme le fait la Force. De nombreux étudiants argumentent ce fait en indiquant que la seule véritable objectivité est la non existence, autrement dit la mort. Est-ce qu'une personne n'affecte pas quelque chose simplement en l'observant ? C'est pourquoi l'on trouve la quatrième règle: "Il n'y a pas de mort, il y a la Force". La Force connaît toute chose objectivement, elle est sereine, et n'est pas engluée par les émotions.

C'est ainsi que le Code Jedi enseigne qu'avant d'entreprendre une action quelconque, l'élève sur le chemin de la Lumière se doit de prendre en considération la volonté de la Force. S'il peut agir sans émotivité, en pleine connaissance de cause et avec sérénité, il est certain d'agir en harmonie avec la volonté de la Force.

 

"... Venu des profondeurs du cosmos, un prédateur est là qui toute notre vie nous maintient sous son emprise. Les êtres humains sont prisonniers et ce prédateur est notre seigneur et maître. Il a su nous rendre faibles et dociles. Il étouffe toute velléité de protestation ou d'indépendance et nous empêche d'agir librement. [...] Je tourne autour du pot depuis longtemps en te laissant entendre que quelque chose nous retient prisonniers. Nous sommes effectivement tous prisonniers !"

Carlos Castaneda, anthropologue états-unien (1925/1998) - Le Voyage Définitif

 

 

La vraie thérapie, c'est à tout moment, en toutes conditions, et certainement pas guidée par quelqu'un que nous payons, mais par sa propre guidance supérieure qui place les expériences dont nous avons précisément besoin sur notre chemin.

 

 

 

 

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