Les "clés libératrices" en ligne font l'objet de constantes mises à jour et nouveaux enrichissements. Leur formulation n'engage que leur auteur, qui puise tant dans ses recherches et sources d'information que dans son imaginaire leurs révélation et libre mise à disposition suivant la forme et la rédaction retenues.

Il n'y a de ce fait rien à prendre pour argent comptant, seulement à laisser faire en soi le processus d'ouverture de conscience par le discernement, soit le juste équilibre entre cœur et raison. Celui-ci conduira à les invalider, à les valider, à les compléter par d'autres ajouts et compléments. Il est ainsi conseillé de se référer à des relais ou officines de la doxa scientifique officielle tel Psiram.com, le Wikipédia des croyances irrationnelles, dont l'objectif est de discréditer tout ce qui ne correspond pas à sa ligne de pensée académique, et de prendre le contre-pied sur des sites comme la chaîne web Odysee.com ou la plateforme de vidéo en ligne canadienne basée à Toronto Rumble. Sans prendre parti pour une croyance contre l'autre, il s'agit de prendre de la hauteur et de se forger sa propre opinion, par son propre travail de recherche, libre et indépendant.

C'est ainsi que procède le chercheur de vérité.

 

 

Prédation manipulatoire

 

En psychologie, la manipulation mentale est une méthode qui mène au contrôle des actions d'un ou plusieurs individus, sinon de foules entières, sans leur accord, via un rapport de pouvoir ou d'influence. Les méthodes utilisées ont pour objectif de fausser ou d'orienter la perception de la réalité de l'interlocuteur en usant d'un rapport de séduction, de suggestion, de persuasion, de soumission non volontaire ou consentie.

Utilisée depuis des millénaires, elle reste cependant mal connue, sous-estimée voire déniée par un grand nombre d'individus, sinon balayée d'un revers de manche au nom de l'accommodant fourre-tout du "complotisme" ou "conspirationnisme" (les néologismes à la mode), et ce malgré les nombreuses expériences réalisées et concepts développés quant à sa mise en œuvre (influence sociale, ingénierie sociale, soumission librement consentie, domination, séduction, propagande, harcèlement moral, etc.)*. En tant que concept scientifique, elle est principalement étudiée en psychologie sociale et en philosophie.

* Cf. Contrôle mental.

 

Histoire

Si l'art manipulatoire a toujours fait partie de la panoplie des gouvernants, qualifié de ruse (la mètis grecque) ou d'habileté rhétorique (le jeu des ambassades), la dimension psychologique de la manipulation est apparue au XVIII° siècle avec l'émergence des sciences cognitives. Ses ancêtres au Moyen Âge sont qualifiés de "manigance" et d'"imposture", avant que la sémantique ne donne leur sens figuré aux termes de "manœuvre" et de "manipulation" en faisant référence aux fins et non plus aux moyens utilisés dans l'obtention du consentement de l'autre.

La Révolution des Lumières va ainsi porter sur le devant de la scène de nouvelles exigences, obligeant progressivement l’État à la prise en compte de la transparence et de l'éthique, nouvelles exigences citoyennes en démocratie, d'autant plus avec le développement de la presse écrite qui, paradoxe, n'échappe pas à son application quant à ses intérêts économiques et d'audience.

Puis la manipulation va se déporter opportunément sur le terrain économique par l'émergence du libéralisme. En rendant ainsi le sujet politique autonome, cela permet d'autant plus la manipulation, la démocratie libérale du XIX° siècle se parant de l'honnêteté par l’État de droit et de la tartufferie de fait. La révolution industrielle entraîne derechef la soumission de tous les acteurs à l'appareil de production, certains - le plus grand nombre - plus que d'autres. C'est pourquoi l'historien allemand Karl Marx (1818/1883) rejette le capitalisme comme une aliénation dans laquelle le prolétaire reste un esclave moderne en vendant sa force de travail, et le philosophe hongrois Georg Lukács (1885/1971) parle de réification, l'ouvrier échangeant sa liberté contre sa nourriture. Il en est de même pour toutes les autres strates de l'échelle sociale, seul le degré d'illusion variant suivant la nature des prébendes octroyées (rémunération, avantages divers, titre...).

Le terme de manipulation va désormais consister à décrier les méthodes de conditionnement psychique de plus en plus sophistiquées apparues au XIX° siècle, avant que d'exprimer l'échec du droit à apprivoiser les comportements humains au lendemain de la Seconde Guerre mondiale, le transfert du savoir-faire nazi au sein de l'empire soi-disant démocratique états-unien le démontrant* sans ambages. Il en découle que les théories de lavage de cerveau et de manipulation mentale - mind control - sont issues des recherches sur les programmes de pays totalitaires et de leurs méthodes d'endoctrinement, les démocraties de façade se les accaparant tout en les dénonçant, avant que de positionner le curseur à partir des années 1970 sur les sectes, certaines jugées moins fréquentables que d'autres...*²

Lorsque les chantres bêlant à pleins poumons l'idéal démocratique proclament la fin de la manipulation avec l'avènement de la "société de communication", la chute du mur de Berlin ou encore la médiatisation des sectes, d'autres soutiennent leur continuité sinon renforcement. Ils sont alors en règle générale tancés de complotisme aigu... Autrement dit, ce qui est avancé par ceux qui ne veulent pas que l'on réfléchisse à ce qui se passe vraiment, en l'occurrence une large majorité des journalistes médiatiques officiants et des "experts" invités de leurs plateaux, et qui, par effet miroir, sont des comploteurs !

* Cf. Contrôle mental.

Cf. La nouvelle religion universelle.

 

Même si à l'évidence le diagnostic est difficile, conduisant certains telle l’American Psychological Association à considérer la théorie de la manipulation mentale comme manquant de rigueur scientifique et d’approche critique, celle-ci fait bel et bien partie de l'ADN des civilisations comme l'Occident moderne où systèmes de pouvoir, conflits d'intérêt et rapports de force sont omniprésents. Elle se développe à partir de l'état de conscience de soi-même - en l'occurrence celui relatif à l'égo* -, du langage et de la hiérarchisation de la société, qui produisent un grand nombre d'interactions et dont beaucoup veulent tirer parti à leur profit. Il s'agit d'une compétence apprise, d'un savoir-faire qui part de la culture ambiante, et que chacun connaît et utilise dans sa vie personnelle ou professionnelle, de façon consciente ou inconsciente. Dans une telle civilisation, toute communication peut de ce fait être une forme d'influence ou de manipulation.

Il existe ainsi toute une palette de méthodes allant de la ruse, une action qui peut être légitime, aux formes les plus dégradantes de manipulations psychiques, en passant par toutes les sortes de mensonge. Quel qu'en soit le mode, la manipulation mentale induit un rapport de pouvoir aboutissant au contrôle psychique d'une ou de plusieurs personnes par la modification de leur état mental dans le dessein de leur faire faire quelque chose. Autrement dit la fabrication d'un consentement par le conditionnement psychologique.

* Cf. Décryptage de l'égo.

 

Le conditionnement

Dans le domaine de la psychologie sociale, on parle de "conditionnement", outil de la manipulation. Il représente les conditions mentales ou psychiques nécessaires à l'exécution d'un comportement. L'historien des médias Fabrice d'Almeida, spécialiste notamment de la propagande par l'image et de la manipulation, classe les différents types de conditionnements sociaux en rapport au libre arbitre.

Réification

Elle nie l'individu, sa soumission étant obtenue sans son consentement. Elle correspond aux camps de concentration où l'homme-objet n'a aucun libre arbitre et meurt s'il n'obéit pas.

Aliénation

L'individu accepte sa condition et se conforme lui-même à la communauté, sa liberté se limitant aux domaines définis par celle-ci.

Instrumentalisation

Elle décrit le cas où l'individu renonce volontairement à son libre arbitre. Par exemple quand il s'engage dans l'armée professionnelle.

Manipulation

Il n'y a pas d'accord de fond, uniquement un consentement.


 

Il est nécessaire de distinguer la manipulation de l'influence. Même si elles utilisent les mêmes outils et ressorts psychologiques, elles sont tout aussi difficiles à déceler. En effet, l'influence implique une motivation transparente - pratique des lobbys par exemple qui agissent pour le compte de leurs mandants clairement identifiés (même s'ils peuvent également manipuler en dissimulant tel ou tel élément) -, alors que la manipulation inclut l'idée de tromperie sans aucun avantage pour la personne manipulée. En psychologie, l'influence se définit comme une action secrète sur une personne ou un groupe de personnes. Tout l'art de la manipulation consiste à priver le manipulé de sa liberté sans qu'il s'en rende compte, et qu'il soit persuadé d'être libre. Tel est le cas dans les domaines suivants :

- la propagande ou la publicité, qui cherchent à mobiliser le comportement des masses à court terme en utilisant parfois des moyens irrationnels;

- la désinformation, considérée selon son utilisation comme une arme de guerre. La désinformation est probablement une des manipulations les plus difficiles à déceler et à identifier, constituant un des principaux points faibles de la société de l'information;

- le conditionnement de long terme, formant des habitudes et jouant sur l'affectif, autrement appelé endoctrinement. Celui-ci peut s'adresser aux croyances et à l'intelligence.

La manipulation est par essence une violence morale, parce qu'elle a pour unique but de rompre l'autonomie de la personne par une contrainte, tout en restant masquée. Elle consiste à entrer par effraction dans l'esprit de quelqu'un pour y déposer une opinion ou provoquer un comportement, et ce sans que ce quelqu'un sache qu'il y a eu effraction...

 

De l'impact des contacts

Du latin contactus dérivé du verbe contingere, "toucher", le contact est un état de deux substances qui se touchent se traduisant par une sensation. Autrement dit, le contact crée une relation avec la réalité pour l'établir. Dans la réalité terrestre mise en oeuvre par les chefs orchestrateurs "babyloniens", marionnettes des puissances occultes qui les dirigent, le contact ayant pour but la création d'un impact revêt quatre grandes natures : événementiel, religieux, économique, "politicosocial". Chacune d'entre elles en épouse une cinquième, EMOTIONNELLE, destinée à nourrir le canal de prédation gage de survie de l'égrégore entropique.

 

"En politique, rien n’arrive par hasard. Chaque fois qu’un événement survient, on peut être certain qu’il avait été prévu pour se dérouler ainsi".

 Franklin Delano Roosevelt (1882/1945), 32ᵉ président des États-Unis de 1933 à 1945.

 

Ses relais et officiants

 

Dans la Matrice involutive de la 3ème dimension de réalité, la manipulation est la marque de fabrique du système prédateur, puisque découlant de la prédation psycho-émotionnelle établie à l'encontre de l'espèce humaine par le corpus involutif logé dans la 4ème dimension de réalité*, sur une échelle de fréquence non perceptible pour les sens physiques de l'être humain. Autant dire qu'elle en constitue une "seconde nature", profondément ancrée dans le subconscient par les mémoires qui y sont logées, ses manifestations variant d'intensité suivant l'éveil de conscience réalisé. S'en extraire est un long travail à réaliser sur soi-même par la réinterrogation de toutes ses mémoires cellulaires et des différents états caractéristiques du "petit moi" - bourreau, victime, sauveur -, afin de cesser le vol d'énergie à autrui et prétendre à évoluer sur une nouvelle dimension de conscience*.

* Cf. Compréhension structurelle de la Matrice asservissante & Les acteurs de la Matrice falsifiée.

Cf. Processus de transformation de conscience (1).

 

La notion de manipulation s'applique de ce fait à tous dans le vécu relationnel, et bien sûr à toutes les institutions et à leurs activités. Elle commence au plus haut par l'État, qui impose une discipline normative aux citoyens à travers la bureaucratie, conditionnement social nécessaire à son fonctionnement*. Dans ses activités spécifiques comme les prisons, les internats, l'armée ou les asiles d'aliénés qui régissent par la contrainte le temps et le comportement de celles et ceux concernés, le conditionnement tente de mettre par des pratiques coercitives les individus en conformité avec les besoins de la communauté.

L'État est inévitablement dans une situation schizophrénique, qui met l'individu dans une situation contradictoire en voulant lui garantir son autonomie par le biais d'une politique de contrôle menant ainsi à une dépendance. Par ailleurs, sa stratégie d'influence extérieure sur le terrain géopolitique va le conduire à influer sur ses propres départements (sécurité intérieure, défense nationale) pour favoriser ses objectifs, engendrant par là-même d'inévitables carences dans la conduite de sa stratégie intérieure comme extérieure.

De même, les partis politiques, les entreprises, les associations tels les clubs de sport, l'école et l'université, l'armée, la police... sont des structures de nature pyramidale qui, pour leur fonctionnement organisationnel, demandent une forme particulière de conditionnement afin de maintenir leur cohésion. Elles nécessitent sinon exigent des signes d'identification et les insufflent à travers leurs pratiques rituéliques*². Nul(le) ne s'étonnera alors d'y trouver, tout particulièrement à leurs postes de commande, des individus à propension psychopathe plus ou moins prononcée...*³

* Cf. Le contrôle du robot biologique.

Cf. Le modèle pyramidal décodé.

*³ Cf. Les psychopathes qui nous gouvernent.

 

Du concept d'États voyous

Le concept d'état voyou (rogue state en anglais) est né sous la présidence de Ronald Reagan dans les années 1980 pour qualifier le régime et la politique adoptée par la Libye du colonel Kadhafi, son dirigeant d'alors. Elle est à rapprocher de la qualification de l'ex Union des Républiques Socialistes Soviétiques - URSS -, désormais la Russie, comme "empire du mal" utilisée à la même époque par le président américain. L’État voyou est ainsi une expression, un mot d'ordre. Il s'agit d'accuser, de dénoncer le déviant ou le pervers, de le marquer d'un signe distinctif, d'un mot. L'expression est utilisée par les démocraties occidentales à l'égard d'un sujet (un Qui), d'un État (un Quoi) ou d'une institution hors la loi, qu'il faut mettre hors d'état de nuire.

Elle annonce une sanction, par le droit ou la force, contre un État qui ne respecte pas les règles dominantes du droit international. Entre Etats, le modèle démocratique, tel qu'il se traduit par un vote à l'ONU, n'est qu'apparent. Seule compte la raison du plus fort. Pour le philosophe français Jacques Derrida (1930/2004), nous vivons l'époque des États voyous, celle où d'un côté certains États souverains s'arrogent le monopole de la légitimité, et d'autres qui se constituent en "voyoucraties" menaçant l'ordre public par des contre-pouvoirs, des actes violents ou "terroristes". 

C'est pourquoi ceux qui ont inventé la rhétorique des rogue States sont précisément ceux qui ignorent le droit international et déclenchent des guerres pour défendre leurs intérêts. Parmi eux, les plus pervers, les plus puissants, sont les États-Unis. Ce qui est à venir, virtuellement possible, peut toujours être pire. S'il n'y a plus de sécurité pour les États dits normaux ou souverains, si la guerre ne se distingue plus de la paix, alors c'est l'angoisse ou la panique qui montent. La fin du système des États voyous serait encore plus terrorisante.

Le concept a ensuite évolué dans la rhétorique américaine jusqu'à la reprise par le président Bush de l'expression "axe du Mal" lors de son discours sur l'état de l'Union le 29 janvier 2002, expression issue des milieux néoconservateurs.Ces notions ont servi de base idéologique à l'intervention des États-Unis en Afghanistan et en Irak.Le terme d'État voyou est applicable aux États-Unis, car ce pays pratique la torture, intervient militairement sans mandat de l'ONU, soutient des régimes dictatoriaux et ne respecte pas les accords de Kyoto sur la pollution.

 

Quant aux institutions qui refusent de se séparer des individus, elles sont appelées "organismes conditionnant". Ce sont les groupements à caractère religieux, liés aux grandes religions institutionnelles ou non. Si nombre d'entre eux permettent une expérience personnelle libre en dehors de l'institution de référence, d'autres peuvent inclure dans leur conditionnement des pratiquants des entraves psychiques. Ils sont alors qualifiés de sectes.

 

Dérive sectaire

La théorisation de la manipulation mentale, appelée mind control (contrôle mental) ou thought reform (réforme de la pensée) dans les pays anglophones est très liée à la question des sectes dans l'acception contemporaine de ce vocable associé à la manipulation mentale présentant un caractère dangereux. Cette association de l'expression "manipulation mentale" avec le terme "secte" a eu pour effet de transformer le champ du vécu social, de modifier le droit et la législation, d'induire un nouveau professionnalisme du psychisme, et bien sûr de rejaillir sur l'existence de communautés humaines.

Quand bien même la qualification de secte au sens contemporain découle de sa nocivité appréhendée par la manipulation mentale avérée, la destruction sociale de l'individu et l'escroquerie aussi bien morale, intellectuelle que financière, elle occulte les causes amont de son existence, à savoir un fonctionnement sociétal réglé par le droit commercial universel (libéralisme économique) et son substrat technologique, contribuant "à ouvrir des plaies que la secte viendra exploiter, en opposition complice avec sa grande sœur globale"*... Ne pas reconnaitre que la société fonctionne dans son ensemble sur la base de la manipulation relève de la tartufferie, quand bien même les dérives sectaires à caractère mystique constituent une dangerosité autrement plus nocive pour les individus, les sectes faisant plus appel à l'émotion qu'à la raison*².

Ainsi, dans un monde manquant singulièrement d'humanité au sens profond du terme et non superficiel, les sectes revêtent suffisamment de masques pour couvrir l'ensemble des rêves de l'humain moderne à la recherche de son "êtreté". Aussi est-il aisé d'exploiter ses interrogations, fragilités, détresse, en lui proposant de pseudo réponses enrobées d'amour et de bienveillance qui vont le rassurer et qu'il va s'approprier. Une fois embarqué, les techniques de manipulation vont progressivement l'empêcher de développer son sens critique et lui vider l'esprit (par exemple par la récitation en continu de "mantras", tels que prisés dans le bouddhisme). L'isolement et la déshumanisation vont annihiler ses convictions et, parfois, le mener à accomplir des actes répréhensibles ou tabous qu'il n'aurait pas commis en temps normal. La secte montre de ce fait une nature totalitaire en voulant représenter la vérité absolue contre tous ceux qui sont à l'extérieur de son giron "protecteur". Pour assurer sa survie, elle doit éliminer tout espace de liberté, faire le vide, faire régresser. Les rapports sexuels sont soit interdits soit forcés, les liens affectifs n'ayant pas de place car entièrement voués à ses ordonnateurs, en règle générale qualifiés de gourous. Bien entendu, l'adepte est maintenu dans la dualité "mortifère" : il subit comme victime la manipulation mentale, et comme bourreau l'impose à son tour aux autres. Ainsi fonctionne en permanence le vol d'énergie dans la Matrice involutive, autrement dit le "rapt des âmes" selon les termes du psychologue et écrivain français Tobie Nathan.

* Cf. Travaux du sociologue Denis Duclos.

Cf. Prédation spirituelle et voie de sortie.

 

Dans ce monde dominé par la prédation extra-dimensionnelle quoique ignorée par la plupart des individus, personne n'est de ce fait à l'abri de la manipulation mentale ou "sujétion psychologique" à partir des attachements qui la mettent en œuvre*. Certes tout le monde n'est pas manipulable par une secte à caractère délibérément nocif, loin s'en faut. Mais l'enfer étant pavé de bonnes intentions, certaines structures à vernis extérieur apparemment très honorable peuvent tout autant caractériser l'emprise sur un individu par de la manipulation mentale (une église, une loge franc-maçonne ou rose-croix, un réseau ou club d'affaires, une association, une entreprise...).

C'est la raison pour laquelle celle-ci demeure si difficile à établir comme délit pénal, sauf lorsque "l’abus frauduleux de l’état d’ignorance ou de faiblesse" existant (article 313-4, livre III du code pénal) est parfaitement caractérisé à travers des activités ayant pour but ou pour effet de créer ou d'exploiter la dépendance psychologique ou psychique des personnes qui participent à ces activités, d'exercer sur l'une d'entre elles des pressions graves et réitérées, ou d'utiliser des techniques propres à altérer son jugement afin de la conduire, contre son gré ou non, à un acte ou une abstention qui lui est gravement préjudiciable.

Qui plus est, d'éminents experts réfutent la thèse de la manipulation, qui notamment postule que l'individu choisissant d'entrer dans une "secte" n'exercerait en fait aucune volonté autonome. Celle-ci, apparentée au libre arbitre conscientisé, serait-t-elle plus vertueuse si elle ne fait que traduire la soumission d'un sujet au conformisme reconnu et autorisé par l’État ? Dans les deux cas, la prédation manipulatrice s'exerce, seuls les formes et le contenu changeant...

C'est bel et bien la question de la responsabilité individuelle qui est posée. Celle-ci est fortement mise en valeur dans notre société, permettant habilement de disculper le système quant à sa responsabilité sur l'absence de conscientisation profonde de son essence première. Imaginer que l'éducatif parental puis institutionnel sont à même de donner à l'individu les clés du discernement relève, ô paradoxe, d'un profond manque de discernement... Et c'est pourquoi le sujet est extrêmement difficile à règlementer, tant la cause ne se situe pas à l'échelon individuel, mais collectif... C'est la marque de fabrique du monde de la 3ème dimension de réalité !

* Cf. Comprendre et apprivoiser la prédation & Libération émotionnelle.

 

Stratégies manipulatoires

Le philosophe et linguiste états-unien Noam Chomsky (photo 1) est devenu célèbre pour avoir travaillé sur la manipulation de(s) masse(s) à travers sa violente critique de "la fabrication du consentement" (Cf. livre Manufacturing Consent : The Political Economy of the Mass Media - "L'économie politique des médias de masse", Pantheon Books, 1988), par la mise en œuvre de grandes stratégies de manipulation qu'illustrent régulièrement les exemples fournis par l'actualité. Ses recherches ont joué un rôle crucial dans ce que l'on appelle la "révolution cognitive". S'il est un militant activiste, tout particulièrement contre la guerre, et sympathisant du mouvement anarcho-syndicaliste, voire éclaboussé par l'affaire Epstein pour avoir été un de ses invités à plusieurs reprises sur l'"île aux plaisirs"*, lui valant nombre de vives critiques et de contestation, il est considéré comme une figure intellectuelle majeure du monde contemporain, celle qui appelle à la "responsabilité des intellectuels" (The Responsibility of Intellectuals) contre toute forme d'autorité illégitime, celles et ceux qui gardent le silence à propos de ce qu'ils savent pour obtenir les prébendes du système - postes gouvernementaux, chroniques dans les médias... - étant encore plus coupables quand la société dans laquelle ils vivent est libre et ouverte. Bien entendu, chacun jugera la pertinence ou non de ces stratégies en son âme et conscience...

Cf. Conscience et dépassement de la matrice sexuelle.

 

L'actuelle stratégie de manipulation par excellence est la propagande conduite pour la "Grande Réinitialisation", Great Reset en anglais. Elle vise à renforcer la confiance des citoyens dans le WEF (world economic forum) de Davos et d’autres institutions mondialistes type OMS, FMI, OCDE, Banque mondiale... en présentant des plans de gouvernance complexes d’une manière simpliste que les masses peuvent digérer. Elle utilise pour ce faire subtilement la peur et les messages subliminaux pour créer une hiérarchie dans la société, en programmant l'être humain pour qu'il croit en une classe de sauveurs composée de dirigeants d’élite et de célébrités complices, qui lui rabattent constamment les oreilles avec des messages d’insécurité et d’alarme*. Elle présente la crise sanitaire, la crise climatique ou la crise géopolitique comme un événement fortuit, qui s'avère exactement le genre d’opportunité nécessaire à la mise du monde entier sous la coupe du socialisme à la sauce woke*² géré par l’élite mondiale.

La confiance dans le système de gouvernance mondiale dépendant entièrement de l’abandon de la logique et de la rationalité, ceci explique que le Forum économique mondial et ses cohortes créent une propagande de haut niveau pour convaincre les gens que l’autoritarisme est de l’humanitarisme. Et ce n’est bien sûr pas le cas.

* L'écrivain Eric Zemmour en est l'actuel prototype, candidat potentiel aux élections présidentielles françaises de 2022 avec l'assentiment des médias mainstream et des instituts de sondage d'opinion lui ouvrant largement la voie. Ceci s'appelle, au magasin de farces et d'attrapes de la démocrature, de l'opposition contrôlée.

Le woke ou wokisme, du verbe anglais to wake up ("se réveiller") - les pseudo éveillés -, est la nouvelle idéologie de l'élite mondialiste incarnée par l'extrême gauche états-unienne (elle a gangréné lentement le parti démocrate pour en devenir l'expression contemporaine) et le Forum mondial (WEF) de son promoteur Klaus Schwab, et relayée désormais à l'échelle occidentale par les gouvernements inféodés (le trudeauisme au Canada ou le macronisme en France).

 

Il y eut pourtant d'opportunes et clairvoyantes mises en garde préalables contre les plans des mondialistes ou globalistes, comme celle de la journaliste d’investigation autrichienne Jane Burgermeister. A l’approche de la date de mise sur le marché du vaccin contre la pandémie de grippe porcine (H1N1) de Baxter, prévue pour juillet 2009, elle a averti le monde que le plus grand crime de l’histoire de l’humanité était en train de se produire, portant plainte auprès du FBI contre l’Organisation mondiale de la santé (OMS), l’Organisation des Nations unies (ONU) et plusieurs hauts responsables de gouvernements et d’entreprises, en les accusant de bioterrorisme et de tentatives d’assassinat collectif. Elle a également préparé une injonction contre la vaccination forcée qui est en train d’être légiférée en Amérique. Ces actions faisaient suite aux accusations qu’elle a portées en avril 2009 contre les sociétés Baxter AG et AVIR Green Hills Biotechnology (Autriche) pour avoir produit un vaccin contaminé contre la grippe aviaire, alléguant qu’il s’agissait d’un acte délibéré visant à provoquer une pandémie et à en tirer profit.

 

La stratégie "Coronade", en quelques principes méthodiques

Le virus SARS Cov 2, qui a provoqué en 2020 la maladie Covid-19 source d'hystérie planétaire, a bel et bien été créé en laboratoire, ce qui constitue désormais une réalité incontestable pour les scientifiques objectifs non acoquinés au système institutionnel psychopathe régnant continuant à la récuser, contenant des séquences courtes identiques à celles du virus du sida, celles-ci ayant été ajoutées volontairement par des chercheurs travaillant sur un éventuel vaccin contre le virus du sida. Ce fut l'hypothèse non sans fondement du célèbre Professeur français Luc Montagnier (1922/2022), traité alors par d'aucuns de fou, vieillard sénile, et devenu paria de l'establishment scientifique en cours jusqu'à son décès sans l'hommage républicain du à ses services émérites rendus (Prix Nobel pour ses recherches sur le virus du SIDA)  .

Ce énième virus Corona, aux effets très similaires à la grippe, a de ce fait été manipulé et élaboré entre autres dans un laboratoire à Wuhan en Chine, en partenariat avec les États-Unis (via l'Institut National de la Santé) et la France (via l'INSERM et l'Institut Pasteur), et dans lequel des animaux ont été amenés comme des chauves-souris. Aussi ne s'est-il pas propagé naturellement à l'homme, en connaissant une évolution virale accélérée pour devenir une maladie systémique, si ce n'est sous l'effet des ondes de la technologie 5-G compte-tenu de ses particules de graphène associées aux adjuvants contenus dans les "vaccins saisonniers", dont les fréquences respectives affaiblissent l'immunité des "individus ordinaires" inconscients des effets destructeurs de ces ondes. D'aucuns diraient une véritable technologie extraterrestre, plus exactement extradimensionnelle, révélée progressivement par les équipes de la Quinta Colonna, ce collectif de recherche indépendant et radicalement interdisciplinaire même si traité comme il se doit de complotiste par les officines institutionnelles et médiatiques "bienpensantes" !

L'objectif du "corpus prédateur", composé d'entités énergétiques se nourrissant de l'émotionnel humain dénaturé sinon vicié (colère, haine, mépris, envie, peur...) sévissant dans la psyché de l'être humain ignorant de sa réalité et relayé par les scientistes sans âme terrestres qui en dénient l'existence, est double. Le premier fut mercantile, la création d'un opportun "vaccin" décliné en moultes doses et rendu obligatoire à l'échelle planétaire pour rapporter très gros à ses initiateurs et à leurs obligés à la tête de puissances industrielles pharmaceutiques, source de corruption pour les décideurs institutionnels par le financement de leurs activités politiques comme de leurs loisirs privés. Le second correspond à la mise en œuvre de cette fin de cyclicité du calendrier entropique astral, dite "fin des temps"*, qui voit émerger progressivement une nouvelle civilisation humaine (la sixième) en 4ème dimension de réalité, amenant la possibilité pour nombre d'êtres humains dotés d'une âme de la clé libératoire de leurs esclavage et aliénation. Sa mise en œuvre a de ce fait été facilitée par nombre d'autorités étatiques, la plupart de leurs représentants étant sous contrôle mental ou effet-hypnose comme par exemple par la méthode dite Greenbaum, autrement dit sous dissociation psychologique*², ou trouvant là matière à satisfaire leur nature profondément psychopathe.

La psychose planétaire compte-tenu du matraquage politique et médiatique effectué, et de son flot incessant de mensonges proférés, a ainsi correspondu à une programmation d'ampleur à l'échelle collective d'un état de panique avec comme effet de terribles conséquences psychologiques par les mesures de confinement décidé et autres impératifs (port du masque, isolement des personnes âgées...). Nombre d'êtres humains en ont considérablement soufferts, fragilisant souvent de manière irrémédiable leur protection innée immunitaire. D'un autre côté, l'effondrement des économies et l'impression d'une gigantesque couverture monétaire destinée à les relever a conduit à une inévitable inflation des prix source de dévalorisation de la valeur argent, et qui au final ne voudront plus rien dire, à l'instar de ce qui s'est passé lors de la République de Weimar (l’impression monétaire allemande sous la République de Weimar de 1918 à 1933 était censée empêcher une révolution bolchevique ; à la place, il y a eu les nazis !) ou plus récemment au Venezuela ou en Argentine. Le confinement universel est l’une des erreurs les plus monstrueuses jamais commises par des autorités gouvernementales, les probabilités de décès étant 1 000 fois plus élevées pour un homme de 80 ans que pour une femme de 30 ans. Il aurait été relativement plus simple de protéger les groupes vulnérables jusqu’à ce que la menace s’estompe, d'autant que dans cette catégorie d'âge, la plupart des individus sont déjà à la retraite, ce qui n’aurait pas coûté grand-chose à l’économie.

Le résultat final est que cette triple peine - sanitaire, économique, sociale - s'est traduite par nombre de conséquences sociales, y compris des révoltes suite aux pénuries alimentaires à venir au regard des nouvelles pathologies découlant de ce virus mutagène et à la paupérisation généralisée des peuples-, à même de justifier la reprise en mains musclée, totalitaire, d'un monde institutionnel devenu aux abois. Et comme les populations seront devenues parfaitement vulnérables aux maladies, le corpus prédateur imagine bien en récolter les bénéfices par l'imposition musclée de son Nouvel Ordre Mondial et son système de contrôle associé, basé sur l'Intelligence Artificielle, comparable au "modèle" communiste chinois en vigueur du contrôle social, la surveillance généralisée par la reconnaissance faciale et à terme la puce inoculée dans le corps.

Cette maladie dite Covid 19 puis Covid-21 avec ses variants bien plus dangereux comme le Delta, Omicron..., qui se propage partout dans le corps dès qu'elle y trouve un terrain favorable par déficience immunitaire des individus (il est prouvé que 99% des personnes décédées souffraient d'au moins une maladie chronique), a le potentiel de dégrafer le génome, signifiant que l'enjeu était bel et bien au départ d'empêcher l'être humain de s'adapter aux évolutions de son environnement et de devenir plus fort, les êtres humains partageant depuis toujours dans le cadre de leur évolution naturelle des bactéries, des staphylocoques, des streptocoques, des virus, afin de développer une réponse immunitaire quotidienne à ces "choses" naturelles. Car tout virus, de par la loi de la dualité, porte en lui les deux polarités du Vivant. Et en tentant de le modifier par un virus source de terreur, l'objectif est d'éviter l'inévitable dévolution du virus et de ses effets pour conduire les individus à accepter de se faire vacciner, introduisant alors en eux le véritable poison de leur servitude définitive sinon de leur mort à plus ou moins moyen terme, logé dans un vaccin avec une micro-puce réceptive à la technologie mortifère de la 5-G (importance des débits de données véhiculés sous forme d'ondes). Au prétexte de prévenir le risque épidémique, celle-ci les tracera à chaque instant, lorsqu'elle ne favorisera les effets délétères du poison injecté dans le système immunitaire... Mais lorsque les psychopathes scientistes ont compris que, tout au contraire, le virus permettait une immunisation à même de renforcer le pouvoir des individus, ils ont accéléré le confinement et les mesures autoritaires (interdiction de se soigner via la naturothérapie ou l'ivermectine, imposition de porter un masque à graphène,...) pour tenter désespérément la mise en œuvre. L'arroseur arrosé !

Il en résulte que la plupart des mesures prises au nom du principe de précaution sanitaire n'ont pas visé à aider à prévenir l’infection. Ainsi les gens qui ont porté ou continuent de porter des masques toute la journée ne font en effet qu’augmenter leur charge virale, réduire leur niveau d’oxygène parce qu’inspirant de nouveau le dioxyde de carbone, amplifiant ainsi leur propre charge microbienne et diminuant le système immunitaire de leur corps. D'autre part, enfermer les gens a abouti à provoquer stress, suicides, augmentation des maltraitances conjugales et infantiles, dépression, faim, et sur le plan économique une rupture complète de la chaîne d’approvisionnement pour toutes sortes de biens et de services… Un véritable génocide pour l’espèce humaine, accentué par le refus d’utiliser la chloroquine, et par l’absence de test en masse, ce qui a conduit à l’illusion d’une mortalité accrue.

Quant à l'entrée en jeu du milliardaire Bill Gates, convaincu d'être un bienfaiteur de l'humanité à travers sa Fondation "Bill & Melinda Gates", il s'agit d'une manipulation supplémentaire, ce dernier manipulé également par contrôle mental étant utilisé à détourner l'attention des véritables commanditaires ! Il n'est en réalité qu’un "simple" pion jetable, aisément remplaçable, servant de paratonnerre en attirant toute la haine et tout l’opprobre à son encontre…

* Cf. Fin de cycle (1) : Fin du temps ou fin des temps ?

Cf. Contrôle mental.

 

De la création du virus en laboratoire (1)

Est installé dans la ville de Wuhan un laboratoire classé P4, signifiant "pathogène de classe 4" correspondant à des micro-organismes très pathogènes (labos nommés en anglais BSL 4, soit "biosafety level 4"), construit par une alliance franco-chinoise et financé notamment par les États-Unis*. C'est un des rares labos opérationnels de ce type en Asie... Ces agents de classe 4 sont caractérisés par leur haute dangerosité (taux de mortalité très élevé en cas d'infection), l'absence de vaccin protecteur, l'absence de traitement médical efficace, et la transmission possible par aérosols. La protection maximale exigée pour manipuler ces germes est désignée par le sigle NSB4 (niveau de sécurité biologique 4). Son équivalent aux États-Unis se situe à Fort Detrick, situé dans la ville de Frederik dans l’État du Maryland, qui est un centre de recherche médicale militaire américain notamment pour la détection des cas de grippes et de pneumonies, tout en poursuivant un programme de recherche d'armes bactériologiques soi-disant abandonné depuis 1969 (il n'est qu'à se souvenir que la souche d’anthrax, nom anglais de la "maladie du charbon" qui forme des sortes de gros abcès cutanés et qui a été utilisée comme arme terroriste à différentes reprises dans les années 2000, a été produite dans un laboratoire du gouvernement des États-Unis à l'initiative d'une branche spéciale belliciste hors contrôle du Congrès, ce qui a fini par être reconnu officiellement).

Après de long mois de dénégations et de mensonges, voyant la plupart des experts avoir fermement nié que les origines du virus étaient autre chose qu’une infection naturelle passant des animaux aux humains, un document de 22 pages rédigé par le professeur britannique Angus Dalgleish et le scientifique norvégien Birger Sørensen, publié dans la revue Quarterly Review of Biophysics Discovery, affirme preuve à l'appui que les chercheurs ont trouvé des "empreintes digitales uniques" dans des échantillons de COVID-19 qui, selon eux, ne peuvent provenir que de manipulations en laboratoire. Celles-ci reposent sur la recherche du "gain de fonction", consistant à modifier des virus naturels pour les rendre plus infectieux afin d’étudier leurs effets potentiels sur l’homme. C'est ainsi que les scientifiques chinois ont pris la "colonne vertébrale" d’un coronavirus naturel trouvé chez les chauves-souris des grottes chinoises, et y ont ajouté une nouvelle "pointe", le transformant en COVID-19, un virus mortel et hautement transmissible à même de provoquer des lésions vasculaires, des caillots sanguins, des accidents vasculaires cérébraux et d’autres lésions tissulaires tout en attaquant les ovaires, les testicules, les glandes surrénales et les tissus neurologiques. Le COVID-19 n’a ainsi pas d’ancêtre naturel crédible ! Qui plus est, l’étude fait également état de "destruction, dissimulation ou contamination délibérée de données" dans les laboratoires chinois, notant que "les scientifiques qui souhaitaient partager leurs découvertes n’ont pas pu le faire ou ont disparu".

Tout ceci est depuis le début de l'opération Covid parfaitement connu dans les milieux d’informations indépendants, démontrant qu'avec la participation américaine et française via l’institut Pasteur la Chine a délibérément conçu le virus du coronavirus comme une "arme biologique". C'est ce qu'a réaffirmé fin juin 2023 dans son interview dans le Jerusalem Post un chercheur de l’Institut de virologie de Wuhan (Shan Chao), précisant que ses collègues ont été chargés d’identifier la souche la plus efficace pour se propager parmi diverses espèces, y compris les humains.

Il a souligné que, pour autant, ces révélations ne représentent qu’une fraction de l’ensemble du puzzle de l'agissement des labos mondialistes aux  ordres des USA, en Chine comme en Ukraine voire ailleurs, consistant à étudier et créer des gains de fonction à un virus de la grippe dont le but est de faire un génocide par un faux vaccin avec comme conséquences : la mort quasi immédiate, la mort à moyen terme, des séquelles rendant infirme à vie, la stérilisation de 75% de plusieurs générations ! L’argent du contribuable américain (photo 8 du bandeau ci-dessus) a bel et bien été utilisé pour expérimenter des coronavirus provenant du laboratoire chinois considéré comme la source de la pandémie de Covid, et ce plus d’un an avant l’épidémie mondiale. Il est désormais incontestable que les National Institutes of Health (NIH), sous la direction du Dr Anthony Fauci, ont infecté 12 chauves-souris frugivores égyptiennes provenant d’un zoo du Maryland avec un virus "similaire au SRAS" appelé WIV1 dans un laboratoire du Montana en 2018, qui a ensuite été expédié au laboratoire de Wuhan...

* Les National Institutes of Health (NIH), EcoHealth Alliance et plusieurs universités américaines ont acheminé de l’argent, notamment à l'attention du scientifique militaire chinois du nom de Zhou Yusen et de ses collègues parmi lesquels la "Bat Woman" de l’Institut de virologie de Wuhan Shi Zhengli. Ce sont des dizaines de millions de dollars des impôts des contribuables américains qui ont ainsi été utilisés pour modifier génétiquement (OGM) le coronavirus de chauve-souris dans le but de développer des armes biologiques, ce qu'a corroboré Peter Daszak de l’Alliance EcoHealth qui a mené ces expériences d’armement de virus par gain de fonction dans une vidéo découverte par The National Pulse, le site d'information du très controversé activiste politique Raheem Kassam.

Voir en complément l'enquête de la journaliste et auteure australienne Sharri Markson parue dans le magazine The Weekend Australian, et le livre "Genetic Entropy" du phytogénéticien américain John C. Sanford dans lequel il explique que les seules véritables mutations observées en laboratoire sont négatives, comme entropiques…

 

Troublante demande

Le gouvernement des États-Unis, via le ministère de la Défense (DoD), a attribué un contrat spécial à Labyrinth Global Health INC., une entreprise ukrainienne* fondée en 2017 (bureaux situés à Kyiv), pour mener des "recherches sur le COVID-19" dans les mois précédant la libération du coronavirus de Wuhan (Covid19), et ce à partir du 12 novembre 2019, soit environ un mois avant que le virus présumé ne soit connu, et trois mois avant qu’il ne soit officiellement annoncé comme Covid-19 sur la scène mondiale... Comment est-ce possible si le Covid est apparu pour la première fois en Chine ? Si nul n'a répondu à cette question à ce jour, cela valide le fait que l’Ukraine est une nation d’externalisation d’armes biologiques pour l’OTAN, et que le gouvernement américain avait connaissance de la "grippe" dite de Fauci avant que le monde ne le sache, payant une entreprise ukrainienne pour la rechercher.

* Cette entreprise collaborait alors avec l’EcoHealth Alliance de Peter Daszak et Metabiota d’Ernest Wolfe (Fondation Gates).

 

De la création du virus en laboratoire (2)

Peter Daszak, le zoologue britannique et expert en écologie des maladies et notamment en zoonoses (maladies infectieuses passées de l'animal à l'homme), est l'homme clé de la supercherie planétaire Covid. De manière illégale car non validée par l'administration à l'époque de Donald Trump, il a profité de la recherche sur le gain de fonction avant de s’emparer avec la complicité de l'immunologue américain Anthony Stephen Fauci, alors directeur de l'Institut national des allergies et maladies infectieuses (un centre de recherche du département américain de la Santé) d’un récit autoritaire. Tous deux ont coordonné une campagne de censure pour aider à cacher les origines du SRAS-CoV-2.

La preuve est qu'avant que la pandémie de coronavirus n’arrive aux Etats-Unis, un groupe de 27 scientifiques semblait avoir tout compris sur les origines du virus SRAS-CoV-2, ayant à cet effet publié dans la revue The Lancet le 19 février 2020 une lettre dans laquelle ils s’accordaient à dire que le COVID-19 est un virus d’origine naturelle, passé de la faune à l’homme. Non seulement ils ne se sont pas contentés de promouvoir leur hypothèse sans l’intention d’en vérifier la validité, mais ils ont exigé que le reste de la communauté scientifique se rallie à leurs hypothèses. Aussi ont-ils condamné toute nouvelle recherche ou investigation sur les origines du SRAS-CoV-2 en laboratoire, écrivant qu’ils "condamnaient fermement les théories du complot suggérant que le COVID-19 n’a pas d’origine naturelle"... A leurs yeux, comme repris par la suite par les autorités officielles, les médias et factcheckers crétins aux ordres, toute personne posant des questions sur l’agent causal présumé et sur les inconnues entourant un réservoir animal naturel pour le virus était considérée comme un "propagateur de désinformation". Ils condamnaient en outre les questions supplémentaires, écrivant que "Le partage rapide, ouvert et transparent des données sur cette épidémie est maintenant menacé par des rumeurs et des informations erronées sur ses origines."

C'est bel et bien la lettre du Lancet de février 2020, rédigée par Daszak, qui a servi de base à la censure et à la dissimulation des origines du COVID-19.

 

 

La construction d’un récit destiné à faire peur

Le directeur de recherche et sociologue Laurent Mucchielli a analysé le discours, autrement nommé doxa majoritaire, qui n'a eu de cesse depuis de long mois d'abreuver les canaux médiatiques mainstream. Il est organisé autour de quatre grandes affirmations :

1. Il y a une pandémie gravissime qui se propage, porteur d'une maladie aussi grave que les grandes pestes d’autrefois. Des centaines de millions de personnes vont mourir. Ainsi était-il prédit au Royaume-Uni plus de 500 000 morts en quelques mois, lorsqu'en en France le chiffre de 400 000 morts rien que pour le mois d’octobre 2020 a été évoqué par le Président de la République.

2. Il n’y a pas de traitement, ceux qui fonctionnent comme l’oxygène, le zinc, la vitamine D, l'Ivermectine* ou l'hydroxychloroquine, ou mieux comme les plantes naturelles type Artemisia annua, étant dénigrés, vilipendés, passés sous silence ou interdits.

3. Puisqu’il n’y a pas de solution médicale, il faut des réponses sociales fortes coercitives : le confinement, le couvre-feu, les masques.

4. Seule la vaccination à grande échelle peut nous sortir de ce piège.

Ces affirmations étaient pourtant inexactes voire fausses pour de nombreux observateurs. Qu’importe ! Elles ont été martelées de manière répétée via quatre canaux officiels qui leur ont donné une apparence de vérité : l’Organisation Mondiale de la Santé dont le premier financeur privé est la Fondation Bill et Melinda Gates; les responsables politiques occidentaux qui se sont imités les uns les autres à l'exception de la Suède;

les médias conventionnels et leurs chantres respectifs pour nombre hystérisés qui ont répété à l’envi ces affirmations; les géants du numérique YouTube, Facebook et Twitter qui ont censuré à tour de bras les vidéos et pastilles jugées dissidentes. Et tous bien sûr y trouvaient leur intérêt : l’OMS dans son rôle de sauveur du monde, les gouvernements aux fins de contrôle de leurs populations, les médias comme vendeurs de leurs audiences monétisées, les Big Data dans leur contrôle du  quotidien de tous, et Big Pharma pour sa pantagruélique goinfrerie.

 

Du mensonge éhonté sur l'ivermectine

Les fondateurs de l’ivermectine ont reçu le prix Nobel, plus de 4 milliards de doses ayant été administrées en toute sécurité à des patients humains depuis 1998. Les recherches ont révélé que l’ivermectine a été prescrite en toute sécurité par des médecins à des humains pendant 25 ans, dans le monde entier, et que seuls 28 cas d’effets indésirables ont été signalés pendant cette période.

L’information selon laquelle l’ivermectine est sûre, efficace et digne du prix Nobel a été enterrée, censurée et littéralement rendue illégale pour les médecins. A comparer aux médicaments de Big Pharma, y compris le Remdesivir mortel que nombre de scientifiques (Fauci et ses cohortes) ont poussé avec acharnement en menaçant les médecins de poursuites judiciaires et de perte de leur licence médicale s’ils prescrivaient ou même s’ils mentionnaient simplement l’utilisation de l’ivermectine pour traiter le Covid, et ce relayé par les médias de masse qui ont complaisamment véhiculé le récit erroné selon lequel l’ivermectine n’est qu’un médicament pour chevaux et qu’il est dangereux pour les humains de le prendre. 

L’ironie est que l’ivermectine peut également sauver les gens des "vaccins" mortels à base de protéine de pointe, en empêchant la protéine de pointe de se fixer aux membranes cellulaires humaines et aux globules rouges, contribuant ainsi à prévenir les caillots sanguins.

 

Manipulation vaccinale émotionnelle

La promotion à tout va de la vaccination censée protéger du coronavirus vise à influencer la décision que chaque individu sera amené à prendre comme décision importante pour sa santé. Elle repose sur nombre de ruses, qui sans accréditer certains arguments anti-vaccin irresponsables, interdit de faire un choix responsable et éclairé. Car la décision, quelle qu’elle soit, ne doit pas se baser sur des opinions ou des convictions personnelles, mais uniquement sur des faits.

L’exemple de propagande le plus marquant est sans doute la vidéo pathétique de la première personne vaccinée en France, relayée le 27 décembre 2020 par tous les grands médias. La mise en scène de la "pauvre Mauricette" (photo 2), qui visiblement ne sait même pas pourquoi elle est là, est grotesque, avec les soignants l'entourant qui à peine l’écoutent, les rires forcés des infirmiers, les applaudissements à la fin… Les médias diffusent aussi des vidéos de chefs d’États, comme celles aux USA de Joseph Robinette Biden ou l'ancien président Gerald Ford lors de l’épidémie de grippe porcine de 1976, qui se font vacciner devant la presse pour l’exemple (photos 3 et 4), ou encore des ministres en charge de la santé (le français Olivier Véran en photo 5) ainsi que des chefs de gouvernement européen (photos 6 et 7), ceux-ci en fait ne faisant que recevoir une injection de solution saline à blanc… Il y a également la recherche de "l’effet mouton", les journaux télévisés qui s'enchaînent à un rythme frénétique grâce aux chaînes d'info continue montrant des personnes qui se font vacciner un peu partout dans le monde. Ayant alors l’impression que tout le monde le fait, le citoyen ne peut qu'être conduit à se dire "si tout le monde le fait, pourquoi pas moi ?" Il y a aussi  par la voix des politiques comme des médecins de plateau radio-TV la stigmatisation continue des personnes non vaccinées, destinées à être mises au ban de la société comme à culpabiliser pour leur attitude irresponsable et incivique. Ainsi les phrases assénées par le premier Ministre Jean Castex "Il n'est pas admissible que le refus de quelques millions de Français de se faire vacciner mette en risque la vie de tout un pays et entame le quotidien d'une immense majorité de Français qui a joué le jeu depuis le début de cette crise", ou celles du Ministre de la santé Olivier Véran "Le passe vaccinal est une forme déguisée d'obligation vaccinale, mais c'est plus efficace qu'une obligation vaccinale" et "Il y a ceux qui sont censés être des sachants et qui répandent de la fausse information. Ceux-là doivent payer pour ça, car ils ont du sang sur les mains. Les gens qui disent impunément des éléments qui incitent les Français à ne pas se faire vacciner ont une culpabilité particulière et puis, il y a des gens qui sont fragiles", ou encore celle du Ministre de l’éducation Jean-Michel Blanquer "[il est] normal de mettre la pression sur les personnes non-vaccinées... si tout le monde était vacciné, nous n'en serions pas là", le même qui décide si les enfants vont un peu plus ou un peu moins à l’école et qui les fait bâillonner toute la journée. Cela n’évite pas la transmission du virus, mais cela permet de faire taire les individus dès le plus jeune âge...

Pour promouvoir le vaccin salvateur, les autorités ont le temps qui joue en leur faveur, les mesures drastiques prises sous diverses formes de confinement plombant le moral de la population qui aimerait un retour à la normale au plus vite. Aussi il est normal que de nombreuses personnes soient prêtes à se faire vacciner pour "qu’on en finisse une bonne fois pour toutes avec ce virus", ce qui bien sûr est totalement illusoire.

Cette propagande n'est que de la manipulation émotionnelle autour des grandes caractéristiques de ses composants :

La peur : "vous pourriez mourir ou contaminer vos proches si vous ne vous faites pas vacciner."

La solidarité : "faites-le pour protéger les plus fragiles !"

La culpabilité : "c’est égoïste de ne pas se faire vacciner."

L’espoir : "c’est le seul moyen d’en finir avec cette crise."

Le stress : "il faut agir rapidement avant qu’il ne soit trop tard."

Le sentiment de privilège et de rareté : "vous faites partie des rares personnes à avoir le droit de vous faire vacciner, alors profitez-en !"

Etc.

Et bien entendu, les personnes qui s’opposent au vaccin utilisent souvent le même type de procédés, jouant sur la peur en nous disant que le vaccin est très dangereux, ou encore qu’il contiendrait une puce pour nous surveiller, même si leurs arguments ne sont pas dénués de fondement.

Le résultat est qu'il est pratiquement impossible de prendre une décision en toute connaissance de cause !

 

La non transparence voulue de l'opération vaccination

Tous les laboratoires qui ont vendu leurs vaccins à l’UE refusent de montrer leurs contrats aux députés, ou les montrent émaillés de nombreux paragraphes raturés, démontrant une entente implicite avec les élites institutionnelles. Et pour cause, l'Europe a déjà payé pour leurs vaccins un montant total de 2,9 milliards d’euros, les députés européens ayant voté pour valider ces contrats n'ayant obtenu aucune réponse avant de procéder au vote à leurs 11 demandes de transparence de la part de la Commission européenne retranchée derrière le "secret des affaires". In fine, des journalistes italiens qui ont réussi de manière illicite à obtenir les contrats complets des labos montrent que 6 négociateurs inconnus ont fait le lien entre la Commission européenne et les laboratoires, et que la lecture de ces contrats montre que les fabricants ne sont pas responsables des dommages éventuels liés aux vaccins, que s’il y a procès, les frais de justice des laboratoires seront payés par l’UE (nos impôts), et qu'aucun contrôle n’a été prévu sur la manière dont cet argent public va être utilisé par les laboratoires.

Les labos sont donc tout-puissants, assis sur un marché de plus de 12 milliards d’euros. C'est pourquoi ils ne gagneraient rien à  divulguer de manière transparente aux citoyens le prix de leurs vaccins pourtant payés par l’argent public de ces derniers, qui plus est en révélant de manière explicite les potentiels vices qu'ils préfèrent cachés (effets secondaires plus ou moins graves déjà recensés, paralysies de Bell, chocs allergiques graves, décès chez les personnes plus fragiles…), tout en rappelant de fâcheux précédents*. Et bien sûr, ils devraient reconnaitre que ces mêmes citoyens en paieront la facture à leur place pour dédommager les victimes de ces "vices cachés" !

Il en découle que le couple décideurs politiques institutionnels et labos de big pharma veut que nous soyons des millions à être vaccinés, sans savoir quel va en être le coût, tant sur notre santé que sur notre porte-monnaie. Et pour les récalcitrants, qui plus est sous la pression des vaccinés chaque jour plus nombreux, le passeport vaccinal se dessine lentement et sûrement pour tout le monde, dessinant la mise en place d'un monde de parias et de pestiférés, rappelant les pages sombres des lépreux, Cagots, porteurs de l'étoile jaune et autres victimes de la ségrégation raciale comme religieuse à travers le monde.

Pour ceux qui se raccrochent encore aux illusions de l'utopie démocratique, il convient enfin d'ouvrir les yeux et constater combien ce qui en relève s'est effondré en quelques mois, le culte de la menace étant pratiqué sans vergogne par les psychopathes qui nous gouvernent*² : désinformation, revirements sur le masque, mesures de distanciation hasardeuses, solutions thérapeutiques bannies, manque de transparence…

Ne reste-t-il plus alors comme choix que de croiser les doigts pour ne pas avoir à accepter le mauvais vaccin !?…

Le vaccin contre la grippe porcine aurait paralysé à vie 450 personnes, et en aurait tué 30 rien qu’aux États-Unis; le vaccin contre la polio, testé et validé par la communauté scientifique, a vu entre 1955 et 1963 entre 10 et 30 millions d’Américains avoir développé des cancers (poumons, os) à cause de ce vaccin contaminé; le vaccin contre le H1N1 a vu 650 personnes devenir narcoleptiques après l'avoir reçu vaccin en Europe. Si d'aucuns considèrent que ces effets sont finalement minimes au regard de la population concernée vaccinée, il est objectif de rappeler que ce ne sont que les chiffres déclarés, autrement dit l’arbre qui cache la forêt.

*² Les psychopathes qui nous gouvernent.

 

Du confinement...

En choisissant le confinement, les gouvernements conduisent par-delà de nombreux autres errements et inepties les gens à détruire leur capital santé, notamment par le surpoids généré par la malbouffe (glucides en excès à travers sucreries, confiseries, sodas...) compensatrice du stress, de l'inactivité et d'une respiration d'un air insuffisamment régénéré naturellement. Plus grave, sur le plan social et psychique, on assiste à une vague de détresse, de suicides et une hausse des internements en hôpital psychiatrique de personnes jeunes. A force d’affoler les populations et de diffuser des messages anxiogènes dans les mé(r)dias, les Autorités (dont le ministère de la Maladie, non de la Santé) provoquent une panique et une déstructuration complète de la société, notamment économique, en faisant croire aux gens qu’il est plus sûr pour eux de ne plus s’approcher les uns des autres, de ne plus se toucher. Enfin, le confinement conduit à une explosion de la grande précarité par l'augmentation significative de demandes de Revenu de Solidarité Active (3 000 en moyenne par jour), près de 1,3 million de personnes ayant de leur côté sollicité à l'issue du premier confinement l’aide du Secours populaire parmi lesquelles nombre d'étudiants, dont 45 % étaient jusque-là inconnues de l’association, ce qui a conduit une autre association caritative, les Restos du cœur, à être de plus en plus sollicitée pour apporter une aide alimentaire aussi bien vers les étudiants que les actifs plus ou moins jeunes et de moins en moins actifs faute de travail. En d'autres termes, l’État schizophrène qui donne des millions à ces associations (en sus des aides de Bruxelles) pour qu’elles puissent acheter de la nourriture pour la redistribuer gratuitement, manie la carotte et le bâton. En gérant les pénuries qu’il ont eux-mêmes créées, les gouvernants psychopathes contribuent par cette incohérence à la déliquescence mentale. C’est l’illustration de leur incompétence profonde : mentir, puis punir. Ils ne savent faire que cela, puisque programmés comme tels !

Les confinements qui se succèdent ont bel et bien pour objectif de rendre les gens complètement impuissants et mécontents, et avec toute cette colère et cette frustration qui s’accumulent en eux, ce ne sont que des barils de poudre qui attendent d’être allumés ! Ceci explique que même en Allemagne ou en Suisse, comme en Italie, aux Pays-Bas ou au Danemark, des manifestations éclatent contre le port du masque et contre une instrumentalisation de plus en plus apparente de la pandémie à des fins politiques. Les conséquences de ces déflagrations sont connues par avance : l’instabilité politique, chaque changement brutal de gouvernement apportant son lot d’incertitudes et souvent de mauvaises surprises, et l'apparente "solidarité" ou "redistribution des richesses" visant simplement à donner des habits respectables à une spoliation des richesses par l’État pour acheter la paix sociale ou pour continuer à engraisser les innombrables mammouths bureaucratiques qui broutent l’herbe des pays mis en coupe réglée.

Dans tous les cas, il ne faut jamais oublier les vertus créatrices de la violence et des ruptures historiques, même si elles suscitent en chacun beaucoup de peur et parfois beaucoup de souffrance. L’Histoire est toujours tragique, surtout en France où les Gaulois réfractaires, peuple de rêveurs poétiques et galants s’il en est, ont toujours répugné à faire des efforts quand ils espéraient pouvoir s’en sortir par la fête et l’insouciance.

In fine, la tentation révolutionnaire qui nous guette, et qui prend déjà forme, se soldera par une grande désillusion et par un retour résigné à la discipline contrainte. Ce qui a été semé en 2020, c’est le chaos financier*, politique et social. A présent, 2021 promet une récolte abondante d'amertume, de pertes financières et de perturbations sociales comme sociétales, la vaccination, la "distanciation sociale", l’interdiction de se rassembler et le passeport sanitaire étant pensés pour être permanents, d'autant que la chimérique bataille de la vaccination est déjà perdue compte-tenu des variants annoncés sud-africain et brésilien de la mutation du virus (appelée E484K). Cet avenir sombre est à mi-chemin entre la dictature sanitaire, la dictature écologique et la dictature technologique, la lutte contre la pandémie justifiant toutes les mesures liberticides, la dictature écologique au nom du sauvetage de la planète justifiant toutes les rapines fiscales, et la dictature technologique permettant d’asseoir tout cela avec du contrôle social et du crédit social afin de rendre les masses bien obéissantes. En d'autres termes, l'instauration du socialisme cauchemardesque par son promoteur instigateur emblématique, l'"Être suprême", le nouveau Robespierre psychopathe !

* La facture française de la crise Covid s'établit à 185 milliards d’euros de déficit pour 2020, auxquels se rajoutent un coût de 2.8 milliards d’euros pour des tests erratiques sinon inutiles, pour un total global estimé en 2021 à 424 milliards de dettes nouvelles ! Ceci équivaut de 20 à 30 points de dette en plus, le principe étant que la dette se rembourse et qu’il faut le prévoir. De son côté, le produit intérieur brut (PIB) de la zone euro a subi une chute historique de 6,6 % en 2020.

 

...et de ses inepties, errances, mensonges, censure et dissimulations

La liste est longue de ce "chemin des Dames"* de la guerre anticovid, la "guerre macronienne", avec dans le désordre : les fameux "Le virus ne viendra jamais à nous", "Nous sommes les mieux préparés" et "Les masques ne servent à rien" pour couvrir leur absence; la croquignolesque "déclaration de guerre" du nouveau Général Gamelin décidé à tout prix à protéger sa pourtant chimérique ligne Maginot, le conduisant bis repetita à perdre la guerre avant même d’avoir livré la première bataille; le port du masque généralisé imposé, qui crée en fait un terrain propice aux mutations et à l'intensification de la maladie (le corps est empoisonné par les effluves découlant du port du masque, ce qui le transforme en décharge ambulante du fait de ré-inhaler ses propres déchets, toutes sortes d'agents pathogènes s'installant et prenant le dessus), d'autant que nombre de travaux scientifiques concluent que 90% des infections du SAR Cov2 se sont faites à l’intérieur et qu’à l’extérieur le risque d’apparition d’un foyer d’infection est très faible; la non politique volontariste de tests préventifs, itératifs ou en "pooling"/groupé sous forme salivaire (qui d'ailleurs pour le test PCR ne décèle ni le virus ni aucun pathogène vivant selon son inventeur feu le biochimiste américain Kary Mullis), 60 millions de tests RT-PCR ayant été seulement réalisés en un an pour un coût de 4 milliards d’euros (soit un test par Français); l'absence de "rétro ou backward-tracing" permettant de remonter la chaîne de contamination; le non confinement strict limité aux  individus à risque; la confusion entretenue quotidiennement par la communication institutionnelle et médiatique sur les chiffres des malades*² et l’ambiguïté concernant les "positifs", qui font partie de l'immunité collective tant recherchée;  l'interdiction sous menace de radiation faîte aux médecins de prescrire à leurs patients des traitements naturels et des compléments immunitaires pour rétablir les paramètres faibles (vitamines D3 et C, zinc, magnésium, oméga, cachets d’ivermectine combinés à de l'azithromycine...); la destruction méthodique de l’hôpital public depuis un quart de siècle, et l'incapacité voulue ou subie à doubler la capacité des hôpitaux en lits de réanimation; des transferts totalement surréalistes de malades de la région parisienne en province alors que s'y trouvent toutes les infrastructures possibles et imaginables, y compris des milliers de mètres carrés vides dans des hôpitaux puisque nous y fermons des lits depuis des années; la fermeture erratique des stades, des lieux de culture, des commerces "non essentiels" et des restaurants vs les écoles, les cantines scolaires et les transports en commun laissés ouverts; la réouverture des parcs d’attractions… mais sans les attractions; la non prescription volontariste des anticorps de synthèse et la classification comme produit dangereux de l'hydroxychloroquine soixante ans après sa commercialisation et jusqu'alors recommandée par l'OMS; l'imposture fortement coûteuse du vaccin antiviral mutagène Remdesevir du laboratoire Gilead comme solution miracle; la duperie concernant l'efficacité réelle du vaccin du laboratoire anglo-suédois Oxford/AstraZeneca (littéralement le "tueur d'étoiles") rebaptisé "Vaxzevria", approuvé par l’Agence britannique de réglementation des médicaments et des produits de santé qui pourrait n’avoir qu’une efficacité d’environ 8% chez les personnes de plus de 65 ans, chiffre bien inférieur à l’efficacité globale de 70 % rapportée ensuite à 62% par les chercheurs en 2020, et présentant parmi nombre de nuisances (types caillots sanguins générateurs de thromboses) une possibilité de fixation d’éléments dans l’ADN en des emplacements non souhaités; les doutes croissants quant à l'efficacité du vaccin à ARN messager du laboratoire Pfizer BioNTech contre le Covid-19 conçu dans la précipitation qu'un développement en cinq à dix ans élimine (il contient qui plus est des séquences d'"obéissance"), et ce au détriment en parallèle de la recherche sur les antiviraux (la recombinaison génétique de chaque individu étant unique, les fournisseurs de vaccins à ARN messager n'ont pas bien considéré le fait que certains individus pourraient être transformés via les péplomères ou rétrovirus endogènes résidant dans leur ADN en usine à mutation, amplification et production de masse de quelque chose de bien pire que la Covid, et ce d'autant que les précédents candidats-vaccins à ARN contre le MERS et le SRAS ont été arrêtés parce qu'ils augmentaient la vulnérabilité à d'autres virus); la non-utilisation de capteurs de CO2 dans tous les lieux clos partagés (écoles, entreprises, etc) assortie de la mise en place de purificateurs d’air; la mise en avant de la notion de variant, alors que la première souche virale (Sars-cov-2), selon les propres admissions de la Centers for Disease Control and Prevention (CDC) américaine et la Commission Européenne, n’a jamais été isolée en laboratoire selon les méthodes scientifiques habituelles; l’absence quasi totale de grippe ou de pneumonie dans les statistiques officielles depuis mars 2020; le silence médiatique comme scientifique sur les 7 millions de morts annuels dus au tabac, qui pourtant n'ont jamais soulevé une pareille mobilisation, tout comme ceux dus à la pollution de l’air ou la malbouffe, ou sur les pesticides qui tuent les abeilles indispensables à la pollinisation et les perturbateurs endocriniens qui provoquent des cancers par millions; l'absence de tout compte-rendu des fameuses réunions du dit "Conseil Scientifique" préalables aux décisions gouvernementales; le contenu des 10 ans d’études de médecine qui voit les futurs praticiens n’étudier quasiment pas la santé comme la vie, comment les conserver et comment les rétablir, pour n'étudier que des pathologies, disséquer des cadavres, le tout sous égide des subsides de "Big pharma"; les médecins incités moyennant paiement de 2 à 4 euros supplémentaires à dénoncer leurs patients et leurs familles atteints du coronavirus durant le confinement, et l'étant tout autant pour la pratique vaccinale appelée à se généraliser par le versement d'une prime de la sécurité sociale... sans compter la chape de plomb mise sur les nombreux médecins dans le monde entier accusant les gouvernements de crime contre l’humanité, ainsi que les avocats réunis en collectifs qui déposent des plaintes dans tous les pays pour le même motif contre les gouvernements et les labos pharmaceutiques.

Les confinements et couvre-feu tels que pratiqués n’ont en fait peut-être pas pour objectif la lutte proclamée contre la/le Covid, mais bel et bien de conduire à l’effondrement de l'économie, de forcer à la faillite des centaines de milliers de personnes, pour ne pas dire millions à l'échelle planétaire, et par ce lent et sadique abrutissement de la population, d'en finaliser son définitif asservissement à l’emprise totale de ses maîtres entropiques !

* Route départementale française (RD 18 CD) dans le département de l'Aisne entre Laon, Soissons et Reims, entrée dans la mémoire collective pour avoir été le théâtre de plusieurs batailles très meurtrières de la Première Guerre mondiale.

La sensibilité des tests tels que pratiqués met en exergue une épidémie de faux positifs ou vaguement positifs. La réalité est qu'il n'y a pas aux alentours de 20 000 malades chaque jour, mais "seulement" 3 000 individus en réanimation (20 000 par jour sur 15 jours équivalent à environ 300000 personnes infectées officiellement, soit pour seulement 3 000 d'entre eux en réanimation un taux de 1 %). C'est en fait le taux de réanimation par rapport au nombre de malades effectifs qui est de 10 à 20 %, et c’est justement ce chiffre qui "panique" les autorités et peut mettre le système de santé en tension.

 

Réalité hospitalière française

La dite cinquième vague d'infections au covid de fin 2021 a servi de prétexte à un tour de vis supplémentaire, voyant progressivement l'obligation d'injection de la 3ème dose s'étendre à la population pour ne pas perdre le bénéfice du passeport sanitaire, en fait vaccinal selon l'aveu même du professeur de médecine français spécialisé dans l'immunologie et président du Conseil scientifique Jean-François Delfraissy. Celui-ci est censé assurer l'accès aux libertés d'aller et de venir, de consommer et de se divertir, uniquement pour ceux souscrivant à la piqûre. Pourtant, les hôpitaux ne sont pas surchargés, ce que démontre le graphique publié par la très sérieuse institution officielle Santé publique France (ci-dessous à gauche), tout comme celui qui démontre que le nombre de décès liés au Covid-19 diminue, 96,6% des malades sortant de l'hôpital au bout de quelques jours grâce à la maîtrise des cas aigus (ci-dessous à droite). 

Le Covid-19 a représenté selon l'ATIH (Agence technique de l’information sur l’hospitalisation) 2% des hospitalisations en 2020, les patients Covid ayant représenté 5% des patients en réanimation. Cela veut dire que 98% des patients n’ont pas été hospitalisés pour le Covid-19, et que 95% des patients en réanimation y étaient pour autre chose que le Covid-19. Autrement dit, toutes les souffrances infligées aux Français, toutes les libertés supprimées, l’état d’urgence permanent, le Parlement exclu des débats, les écoles fermées, l’économie en berne, tout cela s’est fait pour… 2% des patients.

 


 

Des tests PCR

Le journaliste canadien d'investigation et réalisateur de documentaires primés Dan Dicks, fondateur d'un média indépendant connu nommé Press for Truth, a révélé par le biais d'un document* de la FDA (Food and Drug Administration), administration américaine ayant le mandat d'autoriser la commercialisation des médicaments sur le territoire des États-Unis, que le protocole de test du covid-19 établi l'a été par l'utilisation de cellules humaines combinées à des fragments du virus du rhume (de la morve pulmonaire) cultivés dans du sérum de sang de vache, et ce compte-tenu de l'absence d’échantillons physiques du virus Covid SRAS-CoV-2 disponibles. Les tests (59 tests PCR différents depuis le début de la fausse pandémie) conçus pour la détection de l’ARN du 2019-nCoV ont été testés avec des stocks caractérisés d’ARN complet transcrit in vitro (gène N; accession GenBank*² : MN908947.2) de titre connu (copies d’ARN/µL) injectés dans un diluant composé d’une suspension de cellules humaines A549 et d’un milieu de transport viral (VTM) pour imiter l’échantillon clinique. Autrement dit, il a été inventé des séquences génétiques synthétiques, sorte de soupe entièrement fabriquée en laboratoire, la communication (propagande) institutionnelle disant que ces séquences étaient proches de la séquence du SRAS-CoV-2 ! Aussi est-il évident que ces tests ne donnent pas de résultats fiables.

C'est la raison pour laquelle toutes les sociétés vendant de tels produits dits "isolés" comme BEI Resources (Biodefense and Emerging Infections Research Resources Repository), qui est la principale source de réactifs, d'outils et d'informations pour l'étude de la biodéfense et des infections émergentes, l'admettent par des avertissements étranges tels que "ce produit ne convient pas comme préparation d’antigène de cellule entière car la teneur en protéines est largement fournie par la cellule hôte et le fœtus bovin". Elles ne peuvent en effet produire aucune garantie ou représentation quant à l'exactitude du produit dans sa raison d'être telle que promue au grand public. Elles rajoutent qui plus est que les citations de la littérature scientifique et des brevets sont uniquement fournies à titre informatif...

Il en découle que sans matériel de référence physique à utiliser pour l’étalonnage et la confirmation, le test n’a aucune base scientifique dans la réalité physique. Toutes les analyses PCR basées sur ce protocole sont de ce fait frauduleuses, signalant des personnes comme "positives" au Covid alors qu’elles possèdent simplement de minuscules quantités de fragments d’ARN d’autres souches de coronavirus circulant dans leur sang.

En substance, l’establishment médical a simplement pris toutes les personnes qui auraient normalement été diagnostiquées avec des rhumes et des grippes, et les a déplacées dans la catégorie "COVID" afin de pousser un récit d’hystérie de masse COVID qui pousserait les gens à se faire vacciner. Les vaccins ont été formulés avec des nanoparticules toxiques à base de protéines de pointe pour provoquer la vague de panique "delta", qui se produit en grande partie chez les personnes inoculées. Ces analyses PCR n'ont d'autre but que de fournir le carburant nécessaire pour entretenir l’hystérie de masse, sans occulter le fait que les médicaments et les produits chimiques qu'ils contiennent peuvent priver les cellules de nutriments vitaux, cette privation pouvant les tuer...

Qui plus est, les écouvillons nasaux des tests PCR sont en réalité des armes qui contiennent de l’hydrogel DARPA, un composé notamment d’oxyde d’éthylène développé par l’Intelligence militaire. Car ces cotons qui viennent de Chine ne sont pas véritablement en coton, mais composés de fibres de nylon et d’oxyde d’éthylène qui est un poison pour le corps humain. Lorsque le "coton" du PCR pénètre la muqueuse à 30°, il se passe une réaction chimique car l’oxyde d’éthylène bout à 10,4°. Ceci explique pourquoi c’est si douloureux, l’oxyde d’éthylène qui fond littéralement dans les muqueuses créant des ulcères au fond de la barrière rhino-pharyngée. Il en découle de nombreux dégâts.

Qui plus est, ces hydrogels sont des nanomachines souples et flexibles qui sont injectées sous la peau pour effectuer une surveillance. En effet, l'hydrogel comprend une molécule spécialement conçue qui envoie un signal fluorescent à l’extérieur du corps lorsqu’il commence à combattre l’infection. Ce signal peut ensuite être détecté par un capteur fixé à la peau qui peut ensuite être envoyé à une application ou même au site web d’un médecin.

* Document disponible sur le site FDA.gov, intitulé "CDC 2019-Novel Coronavirus" (2019-nCoV).

La séquence GenBank n’est qu’une définition de bibliothèque numérique étiquetée "COVID", qui n’a pas non plus de matériaux de référence dans la réalité physique.

 

Du "pass et port" vaccinal, la nouvelle boîte de Pandore

La mise en place de "passeports vaccinaux" qui ont succédé aux passeports sanitaires, relativisés avec le concept de "simple pass", destinés à  empêcher la propagation du Covid-19 et de ses variants sur le sol des nations s'en prévalant, est un concept qui n’a pas que de bonnes répercussions en matière de libertés individuelles*. Si le concept se veut simple, disant que les personnes ayant reçu un vaccin "anti-Covid" peuvent avoir accès aux voyages internationaux, aux déplacements au sein d’un même pays, aux bars, aux restaurants, aux arènes sportives ou aux salles de concert, cette mesure étend les règles de confinement pour ceux qui ne l'ont pas reçu, et ce indéfiniment. C'est pourquoi cette mesure pose un grave problème d’État de droit, l'imposition de la vaccination étant difficilement compatible avec le concept de liberté individuelle, qui fait par exemple que les choix médicaux sont des choix personnels. Qui plus est, même si les gouvernements n’imposent pas le vaccin, ils ne devraient pas non plus restreindre la circulation et les libertés de ceux qui ne l’ont pas reçu. Un modèle de citoyen de seconde classe est profondément "illibéral" ! A cela se rajoute le risque de conflits frontaliers au sein de l’Union Européenne, les pays exigeant le passeport rendant impossible la poursuite de l’"idéal Schengen". Outre que l'externalisation de l’obligation de vaccination aux compagnies aériennes ne sera ni pratique ni nécessairement légale, qu’en est-il du franchissement des frontières maritimes en ferry, du franchissement d’une montagne à vélo, ou simplement de la conduite d’une voiture? Les passeports de vaccination seraient, en substance, vérifiés par des contrôles aléatoires, autrement dit des contrôles illégaux*², ceux-ci s'exposant à leur contestation compte-tenu des multiples nouvelles clauses relatives aux droits de l’homme et restrictions constitutionnelles pouvant remonter jusqu'à la Cour de justice européenne. Ceci explique le nombre de recours déposés par des collectifs d'avocats, notamment en Allemagne, décidés à traduire leurs promoteurs exégètes devant des tribunaux réellement indépendants de toute soumission étatique, à l'instar de la Common Law Court, dont l'existence et le reconnaissance officielle par les États-Nations sont bien évidemment tenues au secret, en tout cas à la discrétion...

Il ne s'agit en fait qu'une étape supplémentaire vers la fusion des technologies numériques et des systèmes biologiques. D'ailleurs, le 27 août 2021, l’Organisation Mondiale de la Santé a publié un document d’orientation pour un certificat numérique pour le statut vaccinal COVID-19. Financé par des organisations telles que la Fondation Bill Melinda Gates et la Fondation Rockefeller, il est prévu que ce système d’information numérique soit utilisé pour mettre en place un passeport vaccinal dans chaque pays. Ce programme qui sépare les personnes en fonction de leur état de santé, créant de ce fait un système d’apartheid médical et socio-économique, voit ces laissez-passer de santé à code QR émis par le gouvernement destinés à être utilisés pour lancer un programme gouvernemental autoritaire à la chinoise. En effet, grâce à l’utilisation des mégadonnées, de la technologie de reconnaissance faciale et de l’apprentissage automatique, le système chinois de crédit social surveille et régule le comportement des gens, les classant en fonction de leur "crédit social", récompensant les "bons" citoyens tout en punissant les "mauvais". Sous une gouvernance algorithmique qui impose l’obéissance et la conformité, les êtres humains sont appelés ainsi à devenir des automates, incapables de prendre des décisions indépendantes sur leurs propres actions. Cette convergence de l’identité biologique et numérique ne vise rien d'autre qu'à entraîner une transformation radicale de l’être humain ! Et, cerise sur l’indigeste gâteau, ils transfèrent bien naïvement par leur libre consentement à cette expérimentation généralisée leur souveraineté biologique première, cette thérapie génique étant brevetée par des entreprises privées (les laboratoires pharmaceutiques) en collusion avec les Etats et organisations supranationales. Autrement dit, ils renoncent à leurs droits patrimoniaux premiers (ainsi l’immobilier), étant dépossédés par ce tour de passe-passe luciférien de ce qu’ils imaginaient garantis comme propriété exclusive. Beaucoup vont désormais en faire l’amère expérience face à des juges leur renvoyant à la figure leur lâche renoncement pour avoir voulu conserver à tout prix l’illusion de leur liberté par l'injection consentie...

La réalité est qu'aujourd’hui, rien n’empêche l’État d’étendre l’application du pass à d’autres vaccins. Le plus "évident" est le vaccin contre la grippe, des projets de vaccins mixant anti-Covid et anti-grippe étant en cours de développement, notamment au sein du laboratoire américain Novavax.

Et il y a bien sûr tous les autres vaccins, du DTP aux oreillons en passant par la rougeole, et certains nouveaux-venus comme le Gardasil, ce "fameux vaccin" contre le papillomavirus. En fonction de l'année de naissance, l’intégration numérique du carnet de vaccination attestant que le citoyen est à jour de ses injections paraît ainsi hautement probable. Il en découle que ce "pass vaccinal augmenté" pourra, à terme, faire partie intégrante du projet d’identité numérique officiellement porté par l’Union Européenne. En sachant que ce projet inclut un accès "facilité" aux comptes bancaires, la fusion des deux projets (pass vaccinal et identité numérique) pourrait conduire au gel des avoirs en cas de non mise à jour de ses injections !

C'est la raison pour laquelle l'instauration inéluctable de ce passeport vaccinal constitue bel et bien une nouvelle boîte de Pandore, qui dans la mythologie grecque vit Zeus punir Prométhée d'avoir volé le feu aux dieux de l'astral pour le donner aux hommes, créer par Vulcain une femme dotée de nombreux dons dont l’art de la tromperie et de la séduction. Elle se nommait Pandore, signifiant en grec "dotée de tous les dons", finissant malgré l'interdit par ouvrir la jarre remise le jour de son mariage avec Epiméthée, le frère de Prométhée, dans laquelle se trouvaient tous les maux de l’humanité. Il ne resta seulement au fond du récipient que l'espérance, ne permettant même pas aux hommes de supporter les malheurs qui s’abattirent par myriades sur eux...

* Les contrôles de cartes d’identité ne sont déjà pas légaux dans tous les États membres de l’UE, car les forces de l’ordre ont besoin d’un soupçon raisonnable pour demander une carte d’identité. Seules la Hongrie (disposition ayant expiré le 28 janvier 2021), le Danemark, la Norvège et la Finlande ont exigé des dérogations formelles à l’accord de Schengen.

Les contrôles de cartes d’identité ne sont déjà pas légaux dans tous les États membres de l’UE, car les forces de l’ordre ont besoin d’un soupçon raisonnable pour demander une carte d’identité. Seules la Hongrie (disposition ayant expiré le 28 janvier 2021), le Danemark, la Norvège et la Finlande ont exigé des dérogations formelles à l’accord de Schengen.

 

Au final, il a été définitivement établi en 2022 que les mandats de vaccination étaient principalement rationalisés par la croyance que plus le taux de vaccination était élevé, moins le virus se propagerait, justifiant notamment l'obligation faite aux travailleurs de la santé de se faire injecter pour ne pas transmettre la maladie. Le 10 octobre 2022, un porte-parole de Pfizer a en effet déclaré au Parlement européen que les "vaccins" (thérapies géniques) n’avaient en fait jamais été testés pour prévenir la transmission... De ce fait, la plupart des individus ont été amenés à croire cette fadaise parce que des menteurs voulaient tromper les masses pour pouvoir imposer leur volonté, bénéficiant de la complicité des médias "grand public", tout particulièrement des principales plateformes de médias sociaux comme Twitter, Facebook et YouTube qui ont toutes censuré ou supprimé le contenu qui remettait en question les "récits officiels acceptés" sur le Covid.

 

  "A mon sens, est complotiste celui qui refuse que l’on réponde aux bonnes questions"

Docteur Bernard Kron, membre de l’Académie de Chirurgie, vice-président de l’Association des anciens Internes des Hôpitaux de Paris, auteur de "Blouses blanches, colère noire" (éditions Max Milo)

 

Le Docteur "bien" nommé

Le Dr Anthony Stephen Fauci est un immunologue américain, directeur depuis 1984 de l'Institut national des allergies et maladies infectieuses (NIAID), un centre de recherche du Ministère américain de la Santé. Son travail réalisé comme chercheur a permis des avancées importantes dans le domaine du Sida et autres cas d’immunodéficience. Il a été nommé durant la pandémie de Covid-19 aux États-Unis à la tête de la cellule de crise de l'administration Trump sur le coronavirus (White House Coronavirus Task Force), jouant un rôle de premier plan tant en termes de communication sur le virus qu'en termes de stratégie et de conseil pour le combattre.

Son nom, italien, est porté en Sicile, où l'on trouve plus fréquemment la forme "La Fauci", signifiant "la gueule". Mais, en sicilien, le mot "fauci" désigne une faux, équivalent de l'italien falce. C'est ce dernier sens qu'il faut retenir. Faucheuse tire son origine de faux (une faux étant le nom donné à l'outil de jardinier dont la fonction est de faucher, couper l'herbe au sol), le personnage de La Faucheuse étant toujours muni d'une faux (voir photo). Historiquement, La Faucheuse est un personnage imaginaire en forme de squelette habillé de noir et muni d'une faux, censé rendre visite aux personnes pour leur annoncer leur mort, c'est-à-dire symboliquement leur faucher la vie.

Il est ainsi frappant de constater que Anthony Fauci est présent dans sa fonction au moment du virus covid 19 dans le pays ou il y a le plus de décès du Corona virus, Corona voulant dire Couronne, funéraire ou mortuaire* il va sans dire...

Des e-mails remontant au début de l'hiver 2020, obtenus par le site d'information et société américaine de médias Internet BuzzFeed via le Freedom of Information Act (le Freedom of Information Act - FOIA -, en français loi d'accès à l'information, est une loi américaine signée en 1966), montrent d'ailleurs de manière explicite qu'il "a soutenu les expériences grotesques et dangereuses qui semblaient avoir rendu l'épidémie de Covid possible", et s'attachant à éviter que le public ne pense que le virus provienne de l’Institut de virologie de Wuhan en Chine. Il a également assuré aux monopoles technologiques des GAFAM que le coronavirus ne pouvait pas être d’origine humaine, ceux-ci fermant le sujet et bannissant ceux qui, comme le professeur biologiste Luc Montagnier en France, soutenaient qu'il l'était. Enfin, selon les e-mails, il a également admis que les personnes qui ont eu la Covid étaient susceptibles d’avoir une "immunité substantielle", ce qui signifie qu’elles n’ont pas besoin du vaccin, alors que ces derniers ont pour objet d’améliorer la propagation de la maladie*²... Mais bien sûr il n’a jamais admis cela en public, ce sinistre personnage n'ayant eu de cesse depuis longtemps de manigancer toutes formes d’impostures scientifiques allant systématiquement dans le sens du scientisme de Big Pharma, afin de favoriser la vente de produits pharmaceutiques qui après études, semblent avoir causé la mort de plus de patients que la maladie elle-même, des études médicales menées dans le monde entier n'ayant qui plus est de cesse de montrer que l’immunité naturelle offre une protection jusqu’à 27 fois supérieure à celle des "vaccins" Covid. Après avoir menti au Sénat américain, dans la presse et au monde entier, la vérité se fait jour, depuis la publication de sa correspondance à travers ses emails !

En effet, grâce à une requête FOIA cette fois-ci du magazine en ligne d’investigation The Intercept créé en 2014 par le groupe de presse américain First Look Media, la preuve irréfutable a été établie qu’Anthony Fauci a bien dirigé le financement des NIH (Instituts américains de la santé) pour la recherche d’armes biologiques sur le SRAS-CoV-2 via des expériences de "gain de fonction" par l’intermédiaire du Dr Peter Daszak de EcoHealth Alliance et développée par le Dr Ralph Baric, et ce avec la complicité du Parti communiste chinois. Les 900 pages de documents autrefois secrets confirment également que le gouvernement des États-Unis est à l’origine de la recherche sur les armes biologiques et l’a financée jusqu’à son terme, et ce en dépit de leur interdiction par le président Donald Trump. Ces recherches illégales ont consisté à transférer la technologie en Chine à l’Institut de virologie de Wuhan, et ce en blanchissant l’argent des contribuables américains par le biais de l’Alliance EcoHealth, organisation façade de la CIA également impliquée dans le financement des bio-laboratoires en Ukraine, pour financer les recherches sur les coronavirus de chauve-souris. La recherche d'un total de 3,1 millions de dollars a également impliqué le dépistage des personnes qui travaillent avec des animaux vivants. La National Institute of Health (NIH) a finalement admis avoir financé ces recherches controversées sur les virus à gain de fonction à Wuhan en Chine, de nombreux indices laissant à penser désormais en 2022 que la première version de l'arme biologique Covid-19 ait été achevée en 2015 dans le cadre d'un effort conjoint des Etats-Unis et de la Chine. Il en découle que Fauci a menti sous serment lorsqu’il a affirmé n’avoir jamais financé de recherche sur les gains de fonction, l'’ensemble de la "pandémie" COVID ayant été construit comme un programme d’armes biologiques dès le début.

Comme lorsqu'il s’est présenté devant le Sénat américain le sénateur Rand Paul a fourni des preuves détaillées sur la dangereuse gamme de recherches de Fauci en matière de virologie à gain de fonction, ce dernier a commis un parjure, en niant l’essence même de la recherche dont il est l’auteur. De son côté, la publication LifeSiteNews est une publication d'actualités et de plaidoyer canadienne contre l'avortement a rapporté que l’Université de Pittsburgh menait des recherches médicales en greffant des scalps de bébés avortés sur des rongeurs pour étudier le système immunitaire, soutenue par le National Institute of Allergy and Infectious Diseases (ou Institut national des allergies et des maladies infectieuses) -NIAID- du Dr Fauci. Il est à ce titre jugé coupable d’expérimentations humaines inhumaines, en plus d'être tenu responsable du développement d’armes biologiques et de virus chimériques conçus pour exploiter le système immunitaire humain, à quoi se rajoute qu'il a également selon les sites www.naturalnews.com et www.thegatewaypundit.com, ainsi que l'Incarnation Children’s Center (ICC), mené à New York au début des années 2000 une expérience gouvernementale et pharmaceutique dans un hôpital sur des enfants pauvres issus de "minorités" et de foyers d’accueil. Celle-ci a entraîné au moins 25 décès mineurs pendant l’étude et des centaines de décès après coup, soit environ 30% des enfants cobayes (la ville de New York a engagé un Institut - VERA - en 2005 pour rédiger un rapport final sur les essais de médicaments, sans que celui-ci ait accès aux dossiers médicaux des enfants utilisés dans les essais, publié en 2008). Et comme toujours, aucun paiement ni aucune compensation n’ont été accordés aux enfants qui ont été utilisés dans les essais, pas plus qu'à leurs parents...

Enfin, il lui est reproché d'avoir contribué à une opération de maltraitance animale, où des chiens ont été torturés et assassinés dans des conditions particulièrement sordides toujours au titre d'une expérimentation gouvernementale et pharmaceutique mais sans avoir reçu l'assentiment du Congrès, c'est-à-dire des représentants du peuple américain.

Il apparaît bel et bien que le Dr Fauci est une créature maléfique, synthèse du Dr Frankenstein, du Dr Moreau et du Dr Mengele*³Et même s'il a fini par amorcer un début d'aveu sinon de mea-culpa en reconnaissant en novembre 2021 dans une interview parue dans le podcast du New York Times que les vaccins ne fonctionnaient pas (ceci fait suite à des mois de propagande vaccinale prétendant que les vaccins avaient "95 % d’efficacité", qu’ils étaient si sûrs et efficaces que tout le monde devrait être piqué plusieurs fois), qu'ils mettaient gravement en danger la vie des vaccinés, et que les Américains étaient en danger en raison de la baisse de leur immunité (la mort commence maintenant à concerner tous les groupes d’âge, la liste sans cesse croissante de jeunes professionnels du sport qui meurent littéralement sur les terrains de sport du monde entier le démontrant tout comme l'augmentation continue des accidents de la route constatée), il ne reste plus qu'à lancer des inculpations criminelles contre Fauci (la commission du renseignement de la Chambre des représentants des États Unis ainsi que nombre de membres du Congrès ont demandé sa poursuite en justice) et les milliers de co-conspirateurs qui ont été complices de cette opération, ce qui inclut les PDG de Big Pharma, les scientifiques en virologie présents sur les plateaux des médias mainstream, et les politiciens hostiles à la liberté qui ont et continuent d'utiliser tout cela comme une excuse pour imposer des armes biologiques toxiques à la population par le biais de mandats de "vaccination", les vaccins étant conçus pour affaiblir le système immunitaire et préparer l’organisme à réagir de manière excessive à la libération future d’une variante virale qui déclenchera une réaction immunitaire excessive. Confronté à l'inéluctable, ce haut dignitaire franc-maçon, adepte dans ses apparitions du signe du voile des maîtres (Cf. La nouvelle religion universelle), a fini par annoncer sa démission en août 2022 de sa responsabilité de directeur du NIAID et conseiller médical en chef du président Biden.

Qu'en déduire en conclusion, si ce n'est que quiconque continue de croire que ces "vaccins" lui offrent une protection contre une pandémie est manifestement véritablement retardé sur le plan cognitif par l'altération de ses facultés intuitives, ou opère sous un sort de contrôle mental quelconque... Il ne fait qu’accélérer sa destruction biologique, faisant le jeu des mondialistes de la dépopulation qui cherchent à mettre fin à la viabilité de la race humaine sur la planète Terre !

* Couronne de fleurs ou de feuilles que l'on dispose aux obsèques d'un personne, puis sur sa sépulture, pour exprimer son deuil, son hommage et ses regrets, et pour rappeler la couronne triomphale que le défunt reçoit dans l'éternité.

*² Le 28 février 2020, William J. Buikema, chercheur associé à l’Université de Chicago, a demandé à Fauci pourquoi les vaccins encore en phase de test précoce ne pouvaient pas être utilisés en cas d’urgence pour protéger tout le monde contre le virus chinois. La réponse de M. Fauci a été de demander à la directrice adjointe de l’Institut national des allergies et des maladies infectieuses (NIAID), Cristina Cassetti, d’informer M. Buikema que "les vaccins sont en fait des promoteurs de la maladie".

*³ L’Île du docteur Moreau (The Island of Dr. Moreau) est un roman de science-fiction écrit par H. G. Wells, publié en 1896 ; Victor Frankenstein est un personnage de fiction apparu pour la première fois dans le roman Frankenstein ou le Prométhée moderne de Mary Shelley en 1818 ; Josef Mengele (1911/1979) est un officier allemand de la Schutzstaffel (SS), criminel de guerre, qui exerça comme médecin dans le camp d'extermination d'Auschwitz durant la Seconde Guerre mondiale, contribuant à la sélection des déportés voués à un gazage immédiat et réalisant diverses expérimentations médicales meurtrières sur de nombreux détenus (après la guerre, il s'enfuit en Amérique du Sud où il mourut sans jamais avoir été jugé pour ses actes).

 

Du changement frauduleux de la définition du vaccin et de la vaccination

Avant le scandale du covid-19, un vaccin était défini comme "un produit qui stimule le système immunitaire d’une personne pour produire une immunité contre une maladie spécifique." En septembre 2021, les autorités de santé états-uniennes CDC ont modifié cette définition dans la mesure où les vaccins à ARNm ne stoppaient pas l’infection, ne transmettaient pas l’immunité et ne correspondaient donc pas à la définition traditionnelle d’un vaccin.

Après le changement de définition du CDC, un vaccin  a été désigné comme "une préparation utilisée pour stimuler la réponse immunitaire de l’organisme". Si beaucoup de choses peuvent stimuler une certaine forme de réponse immunitaire, surtout lorsque ces substances sont injectées,  cette augmentation artificielle ne démontre pas automatiquement qu’un produit expérimental confère une immunité ou qu’il s’agit d’une immunisation sûre et efficace.

Le CDC a également simplifié la définition de la vaccination. Depuis 2011, le CDC définissait la "vaccination" comme "une injection qui prévient une maladie." Après ce changement, le CDC a affirmé qu’une vaccination est "l’acte d’introduire un vaccin dans le corps pour produire une protection contre une maladie spécifique." De plus, les responsables du CDC ont défendu d’une manière moqueuse ce changement de définition, affirmant que les "légers changements n’ont pas eu d’impact sur la définition globale" des vaccins et que la nouvelle définition était plus simple à comprendre pour le public.

Ce détournement de vocabulaire pourrait être décrit plus précisément comme une tromperie et une fraude, les Américains commençant de plus en plus à remarquer que les vaccins expérimentaux à ARNm ne répondent pas à la définition du CDC d’un vaccin. La réalité est qu'il n’a fallu qu’un mois pour que le CDC change la définition de la vaccination jusqu'alors admise !

 

Aveu tardif de la corruption du système de santé

L’audition du Dr Fauci, le M. Santé devenu le M. Vaccins ARN de l’Amérique, par le Congrès américain mi-juin 2022 à la suite de l’autorisation expresse du "vaccin" de Moderna contient tous les ingrédients du plus grand scandale sanitaire du XXIe siècle, et probablement depuis que les vaccins existent.

Le docteur Fauci a en effet reconnu que les services qu’il supervise avaient validé l’usage d’un produit ARN sur lequel ils ne disposent d’aucun recul, sur la base d’une efficacité supposée – uniquement attestée par les labos qui le produisent – liée à la production d’anticorps (n’importe quel vaccin le fait) dont personne ne sait s’ils sont efficaces spécifiquement sur les variants du Covid.

En ce qui concerne la "confiance" accordée par ses services aux labos, lesquels n’ont fourni que des données très incomplètes et peut-être "insuffisantes" sur l’innocuité du sérum en question, le docteur Fauci a fait cet aveu vertigineux au sénateur républicain Rand Paul qui l’interrogeait : "Les scientifiques qui ont approuvé l’injection pour les tout petits ne sont pas tenus par la loi de dévoiler la nature et le montant des ’soutiens financiers’ dont ils bénéficient de la part des labos." Cela revient à reconnaître que le risque de corruption des "validateurs" de ces médicaments est énorme et, même si cela paraît insensé, ce scandale potentiel reste non sanctionnable dans l’état actuel des lois américaines. Autrement dit, plus c’est gros plus ça passe !

Pourtant, le président démocrate Biden continue à s’accrocher à sa stratégie, et accélère donc avec le vaccin infantile au mépris de rapports de plus en plus documentés et alarmants concernant le nombre et la gravité des "effets secondaires" suite aux injections ARN qui entrainent un signalement de "perturbations physiologiques sérieuses" pour 800 injections, ce qui statistiquement est énorme, d'autant que beaucoup de médecins bloquent la remontée d’informations cruciales à ce sujet pour des motifs qu’eux seuls connaissent... Et le plus inquiétant, c’est la spectaculaire hausse de la mortalité des 16/40 ans par AVC, cancers foudroyants et crises cardiaques "inexpliquées", hâtivement baptisées "mort subite de l’adulte", un syndrome jusqu’ici non répertorié dans les annales de la médecine et qui frappe de façon singulière des sportifs professionnels) qui se chiffre en milliers d’individus aux Etats-Unis.

 

De l'étrange contrat antérieur à la connaissance du Covid-19

Si le monde a commencé à entendre parler d’un nouveau coronavirus au début du mois de janvier 2020, lorsque des rapports ont fait état d’une nouvelle maladie de type pneumonie qui se serait propagée à Wuhan, en Chine, que l’Organisation mondiale de la santé a officiellement nommé  Covid-19 en février 2020, les données du gouvernement des États-Unis montrent que le ministère de la Défense (DOD) par le biais de son département spécifique la Defense Threat Reduction Agency (DTRA) a attribué un contrat le 12 novembre 2019 au laboratoire Labyrinth Global Health INC, une petite entreprise dotée d’une expertise approfondie et d’une expérience avérée dans le soutien d’initiatives en faveur du progrès scientifique et médical pour la "recherche sur le COVID-19" et dont l’un de ces bureaux se trouve à Kiev en Ukraine. Qui plus est, ce contrat n’avait pas seulement pour instruction de se dérouler en... Ukraine, mais faisait également partie d’un contrat beaucoup plus important pour un "programme de réduction des menaces biologiques en Ukraine" portant sur un montant de 21,7 millions de dollars. Et bien évidemment, ce laboratoire collabore avec l’EcoHealth Alliance de Peter Daszak, partenaire de l’Institut de virologie de Wuhan, ainsi qu'avec la société Metabiota  depuis 2017 dont le dirigeant Nathan Wolfe est un Young Global Leader du Forum économique mondial !

En résumé, tous les principaux acteurs de ces différentes organisations ont travaillé depuis au moins dix ans à l’étude des coronavirus, et ont  contribué à la création de Biolabs en Ukraine, utilisant tous des fonds du ministère américain de la Défense pour le faire. Autrement dit, si le gouvernement américain finançait la recherche sur le Covid-19 avant que son existence ne soit publiquement connue, cela suggère que soit il connaissait l’existence naturelle du Covid-19, soit il a participé à la construction de ce virus en laboratoire.

En outre, un accord de confidentialité entre les fournisseurs Moderna et le National Institute of Allergy and Infectious Diseases (NIAID) stipule le transfert des "candidats coronavirus jjab à ARNm" développés et détenus conjointement par le NIAID et Moderna aux bénéficiaires The University of North Carolina at Chapel Hill le 12 décembre 2019 avec un accord de transfert de matériel, là encore avant toute connaissance de l’émergence présumée du nouveau coronavirus. 

 

De son côté, la journaliste, essayiste, réalisatrice et altermondialiste canado-américaine Naomi Klein (photo 3 du premier bandeau), mondialement connue pour avoir pointé les défaillances du capitalisme, du néolibéralisme et de la mondialisation, publie en 2007 The Shock Doctrine : The Rise of Disaster Capitalism ("La stratégie du choc : la montée d’un capitalisme du désastre"). Elle y indique qu'un traumatisme collectif, une guerre, un coup d'état, une catastrophe naturelle, une attaque terroriste comme virale plongent chaque individu dans un état de choc. A son issue, l'être humain redevient comme un enfant, désormais plus enclin à suivre les leaders qui prétendent le protéger*.

S'il est une personne à avoir compris très tôt ce phénomène, c'est Milton Friedman (1912/2006 - photo 4 du premier bandeau), Prix Nobel d'économie en 1976, et fervent soutien de l'ultralibéralisme. Il conseilla ainsi aux hommes politiques d'imposer immédiatement après une crise des réformes économiques douloureuses, et ce avant que les gens n'aient eu le temps de se ressaisir. Il qualifiait cette méthode de traitement de choc, et c'est ce que Naomi Klein a qualifié de "stratégie du choc". Il est à noter les décès simultanés de Milton Friedman et d’Augusto Pinochet en 2006, ainsi que l’émergence à deux reprises (1973 et 2001) d’un capitalisme du désastre à partir de la date fatidique du 11 septembre*², jour utilisé comme un choc "utile" !

* Elle y examine comment les politiques néolibérales développées par Milton Friedman et l'École de Chicago ont été appliquées au Chili sous Pinochet et en Russie.

Ce jour correspond tant aux attaques du Word Trade Center le 11 septembre 2001 qu'au coup d'État du mardi 11 septembre 1973 au Chili, événement sanglant marquant de l'histoire de ce pays (photos 5 et 6 du bandeau d'ouverture du chapitre), qui voit la mort du président Salvator Allende démocratiquement élu parce qu'il nuisait et faisait peur à la politique étrangère et aux multinationales américaines. Henry Kissinger, via la CIA, est très fortement suspecté d'avoir organisé le coup d'Etat qui débuta par la chute de symboles forts à Santiago : la destruction par des avions de deux tours, celles de Radio Portales et Radio Corporacion.

 

Axiome de la communication de crise

Les guerres modernes sont, qui plus est à l'heure des technologies du numérique et de la variété de ses supports d'édition comme de réception, des guerres de l’information : chaque camp raconte sa version et la diffuse par tous moyens pour récolter des soutiens. Il est capital, sous peine d'être berné, profondément dupé, d’être conscient que l’enjeu n’est en aucune façon ce qui est pompeusement et subtilement nommé par ses commissionnaires menteurs patentés (politiciens, journalistes, experts prétendus) la vérité, mais de convaincre le citoyen incapable tant par son manque de discernement et d'intériorité profonde que par son ignorance des influences multidimensionnelles d'y accéder. Dépendant par ses sens désordonnés car manipulés, il va prendre parti pour une version ou pour l’autre, la dualité* régnant en maître dans cette dimension de conscience terrestre limitée. Tout naturellement, la guerre sera gagnée par le camp qui rassemblera le plus de gens convaincus, prêts aux plus grands sacrifices, aux plus grandes folies pour gagner, ce qui, sauf éveil collectif de grande ampleur, est déjà réalisé dans le calendrier occulte de la matrice asservissante*².

Ce mécanisme prend racine dans le fait existentiel que l’homo sapiens sapiens n’est pas en l'état une espèce encore pacifique, contrairement aux croyances d'une prétendue civilisation moderne avancée nourrie aux mamelles aveuglantes des pseudo "Lumières". Ce qui prime en fait, ce sont les artifices matérialistes que sont le confort, le bien-être, le niveau de vie, les droits de l’Homme. Mis sous chloroforme par les déclarations enfiévrées chantant les louanges des prétendues vertus acquises (démocratie, République, liberté, égalité, fraternité...), il oublie qu'il demeure avant tout conditionné par ses gènes tronqués, sa biologie dénaturée et par là-même par ses instincts primaires, qui ne sont rien d'autres que ceux d’une espèce animale belliqueuse, stimulée par les cris de guerre, l’odeur du sang, le bruit des coups et du canon, l’euphorie de la cavalcade ou des missiles adressés. Il se transforme ainsi facilement en fauve sanguinaire, jouissant d’écrabouiller ses ennemis à qui il inflige, avec sadisme et sans le moindre complexe, les pires souffrances. N'est-il pas depuis sa plus tendre enfance nourri par les images incessantes des médias et autres jeux en ligne par la promotion d'un héros qui fait mourir impitoyablement le "méchant" (le sauvage à la peau cuivrée, le terroriste barbu, le slave aux yeux d'acier...), dévoré par les requins, écrasé par un rouleau-compresseur, brûlé, noyé, déchiqueté… Et tout cela ne choque personne, puisqu’il s’agit du méchant désigné subrepticement destiné à faire ressentir en tremblant de la haine et son corolaire, la volonté de vengeance.

Il oublie alors tout à sa fièvre de vengeance meurtrière une chose fondamentale. Le méchant, c’est lui, c'est nous... effet miroir oblige de par les fondamentaux de la loi de création*. La vie n’est pas un film, sauf pour l'individu endormi. Quand éclate une guerre, s'il part part du principe qu'il est le "gentil", son double ennemi, en face, a l’opinion contraire. C'est pourquoi, à la joie qu'il éprouve en pensée de l'imaginer se faire "écrabouiller" par "ses" forces armées, l'autre répond son impatience avec la vigueur de lui infliger la même chose, tout décidé à lui faire rendre gorge. Il n'est rien d'autre que le méchant !

Et c'est ainsi que se met en route la logique de l'escalade et ses conséquences tragiques pour notre humanité profonde, alors que la solution au conflit, à la guerre, est simple, toujours la même lorsque nous nous disputons avec nos voisins, nos amis, notre famille, nos collègues. Elle est de toujours s’efforcer de voir le problème à travers les yeux de "l’adversaire", notre reflet miroir, pour comprendre ses motifs, rétablir une communication et une compréhension authentique avec lui, et s'efforcer de trouver une solution en parlant, en réfléchissant ensemble, en faisant des concessions volontaires, plutôt que de s’empoigner et de se taper dessus. Cela demande bien sûr au départ un effort sur soi énorme, mais une fois compris le rôle de la prédation glissée dans notre biologie et dans notre psyché dénaturées, cela devient évident, comme un jeu d'enfant.

* Cf. Le processus création décodé & La pensée création.

Cf. Compréhension structurelle de la Matrice asservissante.

 

Tout ceci fait suite aux travaux menés dans les années 50 par le Docteur psychiatre américain Donald Ewen Cameron (1901/1967 - photo 7 du premier bandeau), connu tout particulièrement pour sa participation au projet MK-Ultra de la CIA*. Il avait mis secrètement en place une technique dite de "confrontation psychique" du patient, généralement ayant des troubles mentaux, technique basée sur les électrochocs sur le corps, l’internement dans le noir, la soumission aux bruits et aux images entraînant la phobie générale de l’individu. Il croyait avec sa technique détruire les anciennes structures psychologiques du patient afin de recréer un "homme nouveau", vierge sur un plan psychologique de son passé et doté d’un esprit désormais modulable et malléable mentalement grâce à son retour brutal à une infantilisation forcée. Et ce sont ses méthodes que réutilisa la CIA, qui les enseigna à son tour aux régimes de droite et d’extrême-droite...

* Cf. Contrôle mental.

 

La Division

 

La politique de la division, wedge politics en anglais, consiste à lancer un débat social sur des enjeux portant à controverse dans le but de polariser une population. Elle s'applique également à l'encontre d'un groupe politique ou représentant de la société civile (syndicat). Ce débat est amené par ses promoteurs étatiques dans la sphère publique en vue de fragiliser l’unité du groupe visé, dans le but d’inciter certaines personnes à accorder leur soutien à leur opposant. Il s'appuie notamment sur des thèmes populistes ou culturels (délinquance et criminalité, sécurité nationale, sexualité comme par exemple le mariage gay, la race ou les pratiques religieuses).

 

De la pensée "woke"

Bien que remontant au panafricanisme protestataire du début des années 1900, lui-même nourri des antiesclavagistes du XIXe siècle sous la présidence d’Abraham Lincoln, le terme woke est issu des problématiques de justice sociale et raciale aux Etats-Unis dans les années 1960, visant à dénoncer le racisme et les violences policières*. Devenu une idéologie, il est devenu une expression fourre-tout, utilisée pour chercher la différence à même d'opposer les gens, notamment en s'opposant à l’histoire conventionnelle. Passé simple du verbe anglais to wake, qui signifie en français "se réveiller", ce mot désigne le fait d’être conscient des injustices subies par les minorités ethniques, sexuelles, religieuses, ou de toutes formes de discrimination, entraînant une mobilisation à leur sujet.

Ses figures et égéries au XXI° siècle sont parmi d'autres la chanteuse américaine Erykah Badu, le groupe de rock féministe russe Pussy Riots (dont des membres ont été condamnés à la prison pour "incitation à la haine religieuse"), le mouvement pour l’égalité femmes-hommes #metoo, les mobilisations lors des marches pour le climat, et le mouvement Black Lives Matter avec les émeutes de Ferguson (Missouri) en 2014 faisant suite au meurtre d'un jeune noir de 18 ans tué par la police. Ce dernier a fait émerger une nouvelle génération de militants antiracistes, plus présents sur les réseaux sociaux, qui dénoncent le racisme systémique et appellent les citoyens à être "éveillés" contre l’oppression subie par la population noire aux États-Unis.

Depuis, le mot s’est répandu à travers le monde au sein d’autres sphères militantes pour dénoncer toutes formes d’injustices subies par les minorités, qu’elles soient sexuelles (personnes lesbiennes, gay, bi et trans), ethniques ou religieuses, en invitant les minorités à s’unir autour d’une perception et d’une expérience partagées des discriminations. Indépendamment de la façon dont les attitudes individuelles ont pu changer, les personnes "woke" estiment que les sociétés à travers le monde demeurent inéquitables et parfois destructrices pour certaines minorités, et qu'il est nécessaire de s’attaquer aux inégalités structurelles afin de rendre le monde plus sûr et meilleur.

Ses détracteurs mettent en avant la montée d’une intolérance à l’égard d’opinions opposées et la tentative de muselage de la liberté d’expression, se traduisant par le déboulonnage de statues d’esclavagistes, l'annulation de conférences universitaires, la pression à démissionner pour nombre de responsables, ainsi que l'application d'une "cancel culture" (la culture de l’annulation) visant à ostraciser de l’espace public toute personnalité dont un propos, ou une action, est considéré comme "offensant" à l’égard des minorités.

* La grande figure du mouvement des droits civiques américains, Martin Luther King, avait exhorté les jeunes Américains à "rester éveillés" et à "être une génération engagée" lors d’un discours à l’université Oberlin, dans l’Ohio, en juin 1965.

 

Du rôle diviseur des "Straussiens", les néo-conservateurs démocrates états-uniens

Les Straussiens sont des individus, tous juifs khazars*, mais absolument pas représentatifs ni des juifs états-uniens, ni des communautés juives dans le monde. Ils ont ainsi scellé une alliance avec les sionistes révisionnistes (leur fondateur est Ze’ev Jabotinsky) lors d’une grande conférence à Jérusalem en 2003. Ils ont été formés par le philosophe allemand, Leo Strauss (1899/1973 - photo 1), réfugié aux États-Unis lors de la montée du nazisme et devenu professeur de philosophie à l’université de Chicago, qui avait constitué un petit groupe d’élèves fidèles auxquels il dispensait un enseignement uniquement oral, expliquant l'absence d’écrits à ce sujet. Il leur expliquait que le seul moyen pour les juifs de ne pas être victimes d’un nouveau génocide était de constituer leur propre dictature. Désignés sous le nom d’Hoplites en référence aux soldats valeureux de Sparte (ou Lacédémone), cette ancienne ville grecque du Péloponnèse rivale d'Athènes, il étaient envoyés pour perturber les cours de ses rivaux. Il leur enseignait la discrétion, et faisait l’éloge du "noble mensonge". Sa fraternité étudiante s’est depuis sa mort perpétuée.

Les Straussiens ont commencé à former un groupe politique en 1972, tous membres alors de l’équipe du sénateur démocrate Henry Scoop Jackson, tels  Elliott Abrams (photo 2), Richard Perle (photo 3) et Paul Wolfowitz (photo 4). Ils travaillaient étroitement avec un groupe de journalistes trotskistes également juifs qui éditaient une revue intitulée Commentary, surnommés The New York Intellectuals (Les "Intellectuels new-yorkais"). Ces deux groupes était très lié tant à l'agence de renseignement la plus connue des États-Unis, la CIA (Central Intelligence Agency) qu'à la Rand Corporation, le think tank du complexe militaro-industriel. Ensemble, ils rédigèrent et firent adopter, en pleine crise du Watergate*² (1974), l’"amendement Jackson–Vanik" qui contraignit l’Union soviétique à autoriser l’émigration de sa population juive vers Israël sous peine de sanctions économiques. Ce fait constitua leur acte fondateur. En 1976, Paul Wolfowitz, un des artisans de l’"équipe B" (Team B) chargée par le président Gerald Ford d’évaluer la menace soviétique, rendit un rapport délirant qui accusait l’Union soviétique de se préparer à prendre une "hégémonie globale". La Guerre froide changeait ainsi de nature : il ne s’agissait plus d’isoler (containment) l’URSS, il fallait l’arrêter pour sauver le "monde libre".

C'est ainsi que les Straussiens et les Intellectuels new-yorkais, tous de gauche, se mirent au service du nouveau président de "droite" élu, Ronald Reagan, l'appartenance à un camp idéologique (républicain ou démocrate) n'étant en aucune manière sacralisée, l'importance étant l’infiltration  au cœur du pouvoir. Par exemple, l'avocat Elliott Abrams devint assistant du secrétaire d’État, et comme diplomate conduisit une opération au Guatemala où il plaça un dictateur au pouvoir. Il expérimenta, avec des officiers du Mossad israélien, la manière de créer des réserves pour les Indiens Mayas afin, à terme, de faire la même chose en Israël avec les Arabes palestinien. Il continua ensuite ses exactions au Salvador puis au Nicaragua contre les Sandinistes avec l’affaire Iran-Contras. De leur côté, les Intellectuels new-yorkais, désormais dénommés "Néoconservateurs", créèrent le Fonds national pour la Démocratie (National Endowment for Democratie — NED) et l’Institut des États-Unis pour la paix (U.S. Institute of Peace), dispositif qui organisa de très nombreuses révolutions colorées, à commencer par la Chine avec la tentative de coup d’État du Premier ministre Zhao Ziyang et la répression qui s’en suivit sur la place Tienanmen.

À la fin du mandat de George H. Bush (le père), Paul Wolfowitz, alors numéro 3 du secrétariat à la Défense, élabora un document autour d’une idée forte : après la décomposition de l’URSS, les États-Unis devaient prévenir l’émergence de nouveaux rivaux, à commencer par l’Union européenne. Il concluait en préconisant la possibilité de prendre des actions unilatérales, c’est-à-dire de mettre fin à la concertation des Nations unies. Wolfowitz est sans aucun doute le concepteur de l'opération militaire "Tempête du désert" (Desert Storm), opération de destruction de l’Iraq qui s'étala du 17 janvier au 28 février 1991, permettant aux États-Unis de changer les règles du jeu et de tenter d'organiser un monde unilatéral, fondement de ce Nouvel Ordre Mondial que tant de dirigeants libéraux (Sarkozy, Macron, Markel, Trudeau...) appellent dans leurs discours et déclarations. C’est à cette époque que les Straussiens ont valorisé les concepts de "changements de régime" et de "promotion de la démocratie", dont la mise en œuvre va s'appuyer notamment sur le réseau de fondations "philantropiques" du grand manitou noir George Soros.

Pour renforcer leur corpus idéologique dictatorial, l'activiste politique Gary James Schmitt, l'universitaire Abram Shulsky et Paul Wolfowitz ont pénétré la communauté du Renseignement US grâce au "Groupe de travail sur la réforme du Renseignement", The Consortium for the Study of Intelligence’s Working Group on Intelligence Reform. Ils critiquèrent à cet effet l’a priori selon lequel les autres gouvernements raisonnent de la même manière que celui des États-Unis, avant que de critiquer l’absence de conduite politique du Renseignement, le laissant errer dans des sujets sans importance au lieu de se concentrer sur ceux essentiels. Politiser le Renseignement, c’est ce que Wolfowitz avait déjà fait avec l’équipe B et qu’il recommencera avec succès, en 2002, avec le "Bureau des plans spéciaux" (Office of Special Plans), permettant l'invention d'arguments en faveur des nouvelles guerres contre l’Iraq et contre l’Iran. C'était bel et bien l'application du "noble mensonge" de leur mentor diabolique feu Leo Strauss.

S'ils furent écartés du pouvoir durant le mandat de William Bill Clinton, ils réussirent toutefois à s’introduire dans la plupart des think tanks de Washington pour préserver leur funeste influence. C'est ainsi qu'en 1992, le journaliste et éditorialiste américain William "Bill" Kristol (photo 5) et le politologue Robert Kagan (photo 6) publièrent un article dans la revue de référence et à l'influence internationale Foreign Affairs, y déplorant la timide politique étrangère du président Clinton et appelant à un renouveau de "l’hégémonie bienveillante des États-Unis" (benevolent global hegemony), entendant que les forces armées états-uniennes ne devraient plus gagner de guerre mais en démarrer un grand nombre et les faire durer le plus longtemps possible. Il s’agirait de détruire toutes les structures politiques des États ciblés afin de ruiner ces populations et de les priver de tout moyen de se défendre face aux USA, stratégie mise en œuvre depuis vingt ans en Afghanistan, en Iraq, en Libye, en Syrie, au Yémen…. L’année suivante ils fondèrent le "Projet pour un nouveau siècle américain" (Project for a New American Century — PNAC) dans les locaux de l’Institut américain de l’entreprise (American Enterprise Institute). Gary Schmitt, Abram Shulsky et Paul Wolfowitz en étaient membres. Tous les admirateurs non-juifs de Leo Strauss, dont le protestant Francis Fukuyama (l’auteur de La Fin de l’Histoire), les rejoignirent immédiatement.

"Débranchés" à nouveau sous la présidence de Donald Trump ayant amorcé le désengagement progressif des États-Unis dans ses opérations de gendarme du monde, les Straussiens "néo-cons" ont repris les rênes du système avec le retour de Joe Robinette Biden à la Maison-Blanche avec lequel ils avaient travaillé sous l'administration Obama en sa qualité de vice-président. L'avocat Jacob Jeremiah Sullivan, dit Jake Sullivan (photo 7), est ainsi devenu conseiller national de Sécurité, tandis que le haut fonctionnaire Antony Blinken (photo 8) est secrétaire d’État avec la diplomate Victoria Jane Nuland (photo 9), épouse de Robert Kagan, la même qui a menacé d’écraser l’économie de la Russie si celle-ci n’obtempérait pas aux injonctions occidentales dans le conflit armé l'opposant à l'Ukraine, constitutif du début de la crise actuelle.

Pour le comprendre, il faut revenir au changement de régime à Kiev en 2014 qui fut organisé par les Straussiens. Victoria Nuland avait soutenu les éléments néo-nazis du parti politique ultranationaliste ukrainien Secteur droit (the Pravy Sector) fondé par Dmytro Yaroch, et superviser le commando israélien de "Delta" intervenu sur la place Maïdan. Par ailleurs, ce sont "Jake" Sullivan et Antony Blinken  qui placèrent le fils du vice-président Biden, Hunter (photo 10), au conseil d’administration d’une des principales sociétés gazières, Burisma Holdings. Ce dernier, junkie notoire, n'a fait que servir de paravent à une gigantesque escroquerie au détriment du peuple ukrainien, en l'occurrence le pillage du gaz ukrainien par le biais de diverses sociétés avec à leur tête des hommes de paille (ce sont ces gens là que le président Vladimir Poutine a qualifié de "clique de drogués") sous le contrôle du parrain mafieux Ihor Kolomoïsky (photo 11), la troisième fortune du pays (bien que juif, il finance les gros bras du Secteur droit, cette organisation politique néo-nazie qui travaille pour l’Otan), et qui a fait nommer le chef de Secteur droit, Dmytro Yarosh (photo 12), comme secrétaire adjoint du Conseil national de Sécurité et de Défense ukrainien (les deux hommes seront rapidement écartés de toute fonction politique).

En l'état de leur influence, le bilan des Straussiens s'établit à plus de un million de morts !

* Cf. Le Judaïsme décodé.

Le scandale du Watergate est une affaire d'espionnage politique qui aboutit, en 1974, à la démission de Richard Nixon, alors président des États-Unis.

 

Le débat a pour but de produire des effets tels que des conflits virulents au sein du parti d’opposition, produisant chez le public une impression de débâcle; la défection de militants de la faction minoritaire du parti d’opposition, au profit du parti initiateur, ou d’autres partis considérés comme jouant le jeu du pouvoir; la légitimation de sentiments qui, bien qu’ils couvent dans la population, sont généralement considérés comme inappropriés ou politiquement incorrects (délation ou stigmatisation par exemple). Les critiques de l’opposition apparaissent dès lors motivées par des groupes d’intérêts ou des idéologies extrémistes, contribuant à la décrédibiliser. Dans certains cas extrêmes, la politique de la division peut contribuer à l’éclatement effectif d’un parti et amener la formation d’un nouveau parti dissident, entraînant avec lui un certain nombre d’électeurs potentiels. Afin de se prémunir de ces risques, le parti visé par la politique de la division peut décider de prendre une voie pragmatique et de soutenir officiellement les vues de sa propre faction minoritaire. Par contre, ceci peut entraîner la défection de militants de la faction majoritaire vers un tiers parti.

 

De l'application machiavélique du principe de division dans la gestion étatique de la crise sanitaire
Le Dr Frédéric Badel, médecin psychiatre spécialisé dans le stress post-traumatique, a établi que la population est désormais scindée en deux groupes. Le premier, hétérogène, est composé des personnes favorables au vaccin, qui, par conviction ou par lassitude, sont prêtes à s’y soumettre pour sortir de la crise. Il abrite ainsi les personnes qu'il a été possible de sensibiliser, qui croient sans hésitation au message relayé par les ondes. Celles-là resteront réceptives à tous les messages de danger et agréeront la méthode de sortie de crise, fût-elle assortie de privations pérennes de leurs droits. On trouve aussi dans ce groupe les personnes qui se sont coupées de toute information depuis longtemps, pour se protéger, et qui sont devenues indifférentes à tout discours. Pour elles, l’essentiel est de ne plus entendre parler du sujet. Elles ont disqualifié tous les avis pour les neutraliser. Ainsi le leurre des tests conduisant à une épidémie de cas, sans morts ni malades, ne parvient plus à leur entendement, comme si leur cerveau avait été débranché. Leur priorité est de mettre un terme à la maltraitance qui leur est infligée en se coupant de toute nuisance.
Le second groupe rassemble les détracteurs du vaccin, ceux qui ont échappé à l'influence du matraquage médiatique, qui ont souvent pris des avis ou cherché des informations hors des sources classiques, tout en restant sensibles à la réalité de leur environnement (services hospitaliers non saturés, nombre de morts comparable aux années précédentes, mesures prises non proportionnées, amenuisement des droits fondamentaux sans justification etc.). Ces personnes ont également intégré qu'une vaccination n'exempterait pas des mesures de distanciation sociale et, par conséquent, que la convivialité ne serait pas rétablie, que le gouvernement garderait de façon arbitraire le contrôle de la population et de ses activités. Elles observent avant tout l’immixtion toujours croissante de l’État dans leur quotidien et dans leur vie privée.
Ces deux groupes sont désormais séparés par une ligne qu'il sera difficile de faire bouger, la manipulation étant parvenue à son objectif, la scission sociale. Ces groupes sont en effet figés, leurs effectifs immobilisés, et peu importe les arguments avancés, les scandales établis ou les preuves apportées, ceux-ci se noyant dans un récit national inaliénable impossible à dénoncer sauf à être traité de complotiste. Les mots se sont substitués à la réalité et, utilisés à contre-emploi, ils ont perdu de leur sens, véhiculant des idées en rupture avec les faits. Le pouvoir en place pourra même avouer ses mensonges, le peuple des soumis serviles l’acclamant, incapable de le croire mal intentionné et persuadé qu’il est au-dessus des soupçons. Il n'est donc plus temps de publier des résultats d'études prouvant l'efficacité de tel produit, le mensonge sur tel autre, de produire des courbes démontrant le caractère infinitésimal du risque sanitaire et disproportionné des réactions de peur. Surdité et aveuglement règnent en maître chez les personnes qui, conditionnées, sont privées de jugement et incapables d’admettre que des faits objectifs puissent démentir la réalité qu’elles ont construite.
Organiser l’affrontement de ces deux groupes de la population est ainsi une possibilité, une opportunité, pour encourager une organisation sociale qui opposerait bons et mauvais citoyens, gens sains, dociles, responsables et vaccinés et gens toxiques, rebelles, inconséquents et non vaccinés. Ce système de bons citoyens est présent en Chine. Il repose sur la délation et l'obéissance à la règle. Il traduit le bon usage par le gouvernement de la graduation dans la contrainte et la soumission du peuple, qui ont conduit à l’acceptation d’une vaccination inutile dont la toxicité n'est pas évaluée et pour laquelle les laboratoires, compte tenu de la rapidité d'élaboration des produits, ont déjà négocié de ne pas être tenus responsables de potentiels effets secondaires, obtenant des États qu’ils répondent de telles conséquences. Les gouvernants et parlementaires, de par leur pouvoir et leur influence, sont désormais à même d'inciter toute une population à faire un geste dont l’intérêt n’est pas démontré et dont les conséquences ne sont pas mesurées. Ils se présentent ainsi en sauveurs, dont le sacrifice exigé est présenté comme salvateur. La réalité ensevelie sous les messages quotidiens discordants, culpabilisants, a laissé la place au délire dans lequel les liens logiques se dissolvent. Ce sont exactement les moyens dont se servent les sectes, les techniques de lavage de cerveau employées : isoler les individus en les coupant de leurs liens sociaux et familiaux, rendre les gens dépendants en les privant de leurs moyens de subsistance, propager un discours univoque martelé dans des grand-messes permanentes, évincer toute pensée divergente, présenter les opposants comme des nuisibles qui ne comprennent ni leur propre intérêt, ni l'intérêt commun supérieur. Le cap étant franchi par les lignes de partage clivantes de la population, ce gouvernement n'a plus la possibilité de revenir à des positions plus raisonnables et proportionnées. Pour ceux qui, rebelles, refusent d’adhérer, d'autres méthodes plus coercitives encore s'imposent.
Aujourd'hui, une partie de ce peuple est plongée dans la pauvreté, le désarroi, les "non-essentiels" commencent à se suicider, les troubles psychiatriques se multiplient et… le conseil scientifique continue d’assurer sa grand-messe à une armée de fidèles hallucinés. Le résultat est que désormais n'importe quel virus, réel ou fictif, pourra de nouveau semer la terreur chez des populations prêtes à se faire vacciner pour conserver un peu de liberté. Et comme les tests actuels sont encore utilisés contre toute logique, même les populations vaccinées seront positives et resteront contagieuses. Les mesures de distanciation resteront la règle. Tout lieu de convivialité a disparu, les gens sont plus isolés que jamais, ils souffrent de mesures iniques imposées par une poignée de dirigeants, sans aucune concertation, sous couvert d'assurer leur salut. Ce qui fait l'humain, sa capacité à tisser des liens, son besoin d’entrer en contact avec l’autre, est progressivement éradiqué. Le tissu social s'est dissout dans les mesures imposées par un régime devenu fou, hors de contrôle, déroulant une feuille de route établie de longue date en dépit de toute considération du réel. Les mesures prises altèrent la santé de la population et tuent. Elles sont anti-sanitaires. La dictature est en marche. Les premiers constats montrent bel et bien les signes de la réalisation d'un nouvel ordre mondial !

Rwanda-Covid, le sinistre parallèle

L'esprit de division qui émane aujourd’hui de la part des pouvoirs publics dans le traitement médiatique de la crise sanitaire prend appui notamment sur la volonté d’obligation vaccinale, plus exactement d'inoculation d'une thérapie génique pour trois prétendus vaccins sur les quatre disponibles, stratégie thérapeutique consistant à faire pénétrer des gènes dans les cellules ou les tissus d'un individu pour traiter une maladie. Elle a pour effet d'opposer les citoyens entre pro et anti "vaccinés", de briser le lien social et de diviser jusque dans les familles.

Cette technique est comparable à celle qui a été mise en mise en œuvre en Afrique à l'occasion du drame du Rwanda en 1994 entre avril et juillet, l'entreprise de division ayant été volontairement organisée pour provoquer la guerre ethnique entre les Hutus et les Tutsis, deux peuples qui avaient pourtant longtemps vécu en paix au sein du même pays, les uns comme éleveurs (Tutsis), les autres comme agriculteurs (Hutus), ce qui n'est pas sans rappeler le mythe biblique et l'opposition entre Caïn et Abel, les deux frères issus d'Adam et Eve, Abel l'éleveur et Caïn l'agriculteur... Les tensions* entre ces deux peuples étaient initialement apparues à l’époque coloniale belge, où les intérêts financiers de ceux qui voulaient piller le pays ont sciemment amené ces deux peuples à s’opposer, en vue de diviser pour mieux les piller. Si la communauté internationale a maintes fois été avertie des tensions croissantes entre ces deux communautés, elle n’a pour autant rien fait. Même lorsque l’ONU est arrivée pour assurer la paix, les informations alarmantes n'ont cessé de remonter du terrain pour prévenir d’une guerre civile à venir. Mais ses représentants militaires qui dirigeaient les opérations n'ont pas été autorisés, et ont assisté impuissants à l’escalade croissante des tensions, jusqu’à la guerre civile.

À l’époque, la Radio-Télévision des Mille Collines (RTLM), qui était un peu comme BFMTV, LCI ou Franceinfo (TV) en France aujourd’hui, a joué un rôle funeste désormais bien identifié et attesté. C'est ainsi qu'elle a diffusé la haine, timidement d’abord, puis de façon totalement assumée, n'hésitant pas à divulguer le nom des personnes à abattre, d'offrir des primes en échange de cadavres, et en exhortant les miliciens à massacrer avec des messages comme "Vous allez mettre le feu aux Tutsis et ils vont regretter d’être nés… Faites du bon travail !" ou "Les fosses sont encore à moitié vides, vous devez les remplir !". Le bilan est que 800 000 Tutsi et Hutu modérés ont perdu la vie (selon l’ONU). 

Que dire de nos médias aujourd'hui qui, à l'instar du "bien-pensant moralisateur" journal Le Monde, jouent un rôle de désinformation du grand public en s'appuyant notamment sur des chiffres honteusement manipulés pour tenter de justifier une telle obligation, contribuant à la division entre pro-vaxx et anti (libre)-vaxx. L’histoire se répète, conduisant inéluctablement à une guerre civile, en France comme en Europe. Or, le narratif pro-vax en vue de rendre la vaccination obligatoire, universelle et indifférenciée, ne prend nullement en compte les statuts biologiques individuels, ce qui correspond bel et bien à une aberration à la fois biologique, sociologique et médicale. Et si comme au Rwanda jadis certains scientifiques et juristes de bon sens alertent les pouvoirs publics sur les risques sanitaires et sociologiques de cette obligation qualifiée à tord de vaccinale, ils ne peuvent en l'état rien faire, assistant impuissants à la division croissante de la société entre les présumés "bons" citoyens qui respectent les mesures sanitaires et se soumettent à l’injection vaccinale par altruisme, et de l’autre côté les "mauvais" citoyens qui remettent en question la politique liberticide menée, considérés comme des "criminels sanitaires" parce qu’ils refusent de se faire vacciner. En réalité, les "mauvais citoyens" sont avant tout des gens qui pensent et qui doutent de l’argument sanitaire déployé et martelé pour imposer la vaccination obligatoire. Ce sont des gens qui doutent fortement de son bienfondé pour leur santé et celle de leurs proches, constatant de plus en plus d’effets secondaires fortement problématiques parmi leurs proches, leurs voisins… sinon parfois directement.

Il est un fait que jamais dans l’histoire de la vaccination un vaccin ne semble avoir été aussi dangereux (décès, thromboses, accidents cardiaques), s'apparentant ainsi à un crime perpétré tant contre l'intégrité physique que contre les valeurs de pays se disant démocratiques car respectueux des valeurs et codes éthiques constitutifs, avec comme issue une possible guerre civile entre pro vax et libres Vax assimilés aux anti Vax, assortie d'un véritable désastre sanitaire mais aussi social.

* Le premier massacre important des Tutsis au Rwanda a eu lieu en décembre 1963.

 

Injectés vs non-injectés, ou l'inséparable fossé

Il est un fait constaté, indubitable : quels que soient les malaises et les maladies dont elles souffrent, les personnes vaccinées refusent obstinément d’établir une corrélation entre leurs problèmes de santé et les "vaccins" qu’elles ont reçus, et ce parfois à plusieurs reprises. A la question de savoir pourquoi une telle attitude de déni, la réponse est qu'au fond d'elles-mêmes elles s’en doutent, mais la peur de l’admettre une fois pour toutes s’est déjà profondément enracinée dans leur subconscient. Elles ont intérieurement compris l’irréversibilité du processus d’influence de la préparation expérimentale sur elles, et ne peuvent accepter leur responsabilité de ne pas avoir pu l'empêcher, quelles qu'en soient les bonnes raisons.

De plus, les informations sur la nocivité de ces injections leur parviennent de telle ou telle manière et, bien que cette opinion soit présentée par les médias comme une théorie du complot, défavorable et intolérable, elles commencent à être harcelées par le doute. Les découvertes de médecins et de scientifiques indépendants concernant les ingrédients de ces vaccins sont particulièrement douloureuses pour elles, ce qui les conduit à enfoncer encore plus profondément leur peur du déroulé à venir de la vie dans leur subconscient. Elles sont également effrayées par les statistiques de mortalité qui ont désormais dépassé toutes les limites admissibles, ce que démontrent les statistiques fournies par les autorités de santé de la plupart des pays. Et comme tout cela se déroule dans un contexte géopolitique de chaos croissant, leur monde habituel ne peut que s’écrouler sous leurs yeux.

C’est la raison pour laquelle de nombreuses personnes vaccinées tentent de trouver une certaine stabilité dans l’affirmation selon laquelle, grâce aux préparations "miracle" tant du corps médical que des thérapeutes de circonstance, elles seraient à coup sûr protégées contre les horribles virus à venir. Il en découle qu'elles traitent de manière très agressive tous ceux qui tentent de les en dissuader.

Un tel comportement unit presque tous les groupes d’habitants vaccinés de la planète, et ce quel que soit leur niveau vibratoire "de départ", bienveillant ou non. La conscience et le comportement de ces personnes se réduisent à un "dénominateur" commun : tenir bon et censurer les personnes non vaccinées, surtout si ces dernières apportent la preuve effrayante que les "vaccins" sont nuisibles à la vie et à la santé des êtres humains.

Par conséquent, dans la tirelire de l’idéologie favorite des mondialistes "Diviser pour régner", se tient désormais cette nouvelle forme de dissidence entre les "adeptes" de la vaccination et ses opposants, dont ils tirent profit pour monter profondément les deux groupes de la population de la Terre l’un contre l’autre.

 

La révélation du complot

La société de gestion et de conseil en gestion allemande Langemann Medien a publié en septembre 2021 sur sa chaîne YouTube un entretien avec un jeune mathématicien et expert-informaticien souhaitant rester anonyme. Assisté d'un analyste politique familier de médias alternatifs (Thomas Röper - photo 1), il a passé au crible depuis six mois plusieurs millions de documents grâce à des logiciels spécialisés, permettant de mettre à jour le modus operandi des pilotes de la manœuvre de cette politique sanitaire "anticovid" afin de d'élaborer une politique de la peur, du contrôle social, de division de la société et de sabotage de l'économie du quotidien, associée à une culpabilisation-répression systématique de la population (masques, gestes, vax, pass)*. Tous deux démontrent qu’il s’agit d’un réseau tissé très étroit à la manœuvre depuis au moins 2017, et chargé d’une mission précise : obliger par tous les moyens la population mondiale à se soumettre au dictat d'intérêts privés sous prétexte de "santé publique" à l'ombre de figures notoires telles que Bill Gates ou Klaus Schwab - photos 2 & 3 - (ONG, universités, entreprises, Commission européenne, Facebook, Chatham House, l'OMS, l'Hôpital de la Charité...). Tous les documents consultés sont dans le domaine public, et les logiciels utilisés disponibles à l’achat dans le commerce, entendant que l'on ne peut lui reprocher ni acte d’espionnage, ni indiscrétion, ni illégalité. Aspect à souligner, à aucun moment les auteurs ne spéculent sur les origines du virus ou sur les objectifs plus ou moins occultes de ces réseaux, se cantonnant à leur propre domaine d'expertise et au factuel.

Au centre de la toile étudiée se trouve le baron Peter Piot (photo 4), originaire de Belgique, directeur de la London School of Hygiene and Tropical Medecine depuis 2010. Cette école a en 20 ans reçu par 143 fois des "dons" de Bill Gates pour un montant total d'au moins $US 185 millions. Peter Piot est conseiller de la Commission européenne en matière de Covid (Advisory Panel on Covid-19), conseiller personnel en matière de Covid-19 de sa présidente Ursula Von Der Leyen, membre de l’Académie des sciences allemande Leopoldina, membre de CEPI, membre de Conseil de Novartis, membre de l'Académie française de médecine...

De son côté, le professeur de droit international à la Faculté de droit de l'Université de Chicago Francis Anthony Boyle (photo 5) a déclaré avoir la preuve irréfutable que le coronavirus Covid-19 "Wuhan" a été spécifiquement conçu comme une arme de guerre biologique offensive, destinée à exterminer les êtres humains. Il s'agit d'une étude publiée dans la revue à comité de lecture Antiviral Research (vol. 16) d'avril 2020 intitulée "La glycoprotéine de pointe du nouveau coronavirus 2019-nCoV contient un site de clivage de type furine absent des CoV du même clade"*². Elle révèle en effet que le coronavirus Covid-19 contient des caractéristiques uniques qui lui permettent de fonctionner comme un système d’arme plus efficace pour la transmission interhumaine, ce qui contribue à expliquer pourquoi le virus a été impossible à contenir même dans des conditions de "quarantaine" qui ont toutes universellement échoué. En d'autres termes, ce clivage de type furine lui fournit un gain de fonction pour une propagation efficace dans la population humaine, se traduisant par une pathogénicité plus élevée et des symptômes neuraux comme respiratoires prononcés. Cela signifie, en substance, que le virus tue plus facilement et cause des dommages au système nerveux en infectant les cellules nerveuses (de nombreuses victimes en Chine ont souffert de violentes crises et d’un arrêt total et quasi instantané du système nerveux, s’effondrant littéralement en quelques secondes). En outre, l’article scientifique indique que le coronavirus Covid-19 n’a pas d’ancêtre viral connu, ce qui signifie qu’il n’a pas évolué dans la nature. Il a été créé par génie génétique, les auteurs de l’article scientifique affirmant en outre qu'il contient des éléments du MERS-CoV (coronavirus du syndrome respiratoire du Moyen-Orient découvert en 2012, hautement pathogène car provoquant en particulier un symptôme de pneumonie aigüe), ressemblant de ce fait par ses effets à d'autres armes biologiques comme le SRAS (syndrome respiratoire aigu sévère responsable de l'épidémie de syndrome respiratoire qui a sévi de 2002 à 2004) et le VIH-1 (virus de l'immunodéficience humaine responsable du syndrome d'immunodéficience acquise rendant le système immunitaire vulnérable à de multiples infections opportunistes)...

Les auteurs de l’étude expliquent que les personnes qui ont déjà été exposées à d’autres infections virales peuvent avoir une immunité renforcée contre le coronavirus dans la mesure où les cellules hôtes qui sont infectées par un certain nombre de virus provoquent une réponse interféron pour inhiber l’activité enzymatique des enzymes de type furine. En d’autres termes, les personnes qui interagissent régulièrement avec le public et qui sont exposées à une grande variété de virus circulant dans la nature ont automatiquement la possibilité de renforcer leurs défenses en surmontant d’abord d’autres infections virales, alors que les personnes qui se font vacciner (y compris contre la grippe) voient leur corps exposer à des souches virales affaiblies. 

* Cf. rapport Netzwerkanalyse Corona Komplex en langue anglaise, à compléter par le livre du journaliste Philippe Aimar "Enquête sur un virus: Manipulations, Vols, Meurtres, Influences et Guerres Médiatiques" (mars 2021) et les révélations du président du Rassemblement des Droits de l'Homme Philippe Argillier sur son site https://lerdh.fr/?fbclid=Iw.

Le résumé et le PDF complet (payant) de l’étude sont disponibles via le lien sur ScienceDirect.com https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S0166354220300528.

 

La fabrique de la Peur : l'exemple du "Great Reset"

Cliquer pour agrandir
Cliquer pour agrandir

 

Les gouvernements utilisent la peur pour contrôler et manipuler leurs citoyens. C'est ce que viennent d'admettre en mai 2021 les membres du Scientific Pandemic Influenza Group on Behavior (SPI-B, "Groupe scientifique sur le comportement en cas de pandémie de grippe"), un sous-comité qui, au Royaume-Uni, conseille le Scientific Advisory Group for Emergencies (SAGE, "Groupe consultatif scientifique pour les urgences")*. Ils sont bien placés pour le savoir, car ils ont plaidé en faveur du projet "Covid-19", et déclarent aujourd'hui que c'était une regrettable erreur, leur travail s'étant révélé "contraire à l'éthique" et "totalitaire". Le SPI-B a notamment averti en mars 2020 que les ministres devaient augmenter "le niveau perçu de menace personnelle" représenté par le virus chinois, étant donné qu'"un nombre important de personnes ne se sentent toujours pas suffisamment menacées personnellement".

Il n'est qu'à voir la succession d'évènements terroristes destinés à l'amplifier auprès des foules anesthésiées par la propagande institutionnelle des grands médias aux ordres. Et si le vingt-et-unième siècle est fertile en la matière, démarré en fanfare avec l'attentat des Twin Towers et du Pentagone dans les Etats de New-York et de Washington le 11 septembre 2001, c'est que nous sommes à la fin d'un cycle civilisationnel. Le corpus prédateur aux commandes, via ce qui est nommé le Deep State ("L'Etat profond"), adepte de la pensée maçonnique ordo ab chaos ("du chaos vers l'ordre"), accélère ainsi sa résistance par tous moyens à sa chute programmée, comme en 2023 avec les tremblements de terre en Turquie et au Maroc, les incendies en Grèce ou sur l'île de Maui dans l'archipel d'Hawaï, ou l'attaque de l'Etat d'Israël par le Hamas palestinien*² prétexte pour raser la bande de Gaza par le premier en représailles, quelques esprits éclairés comme la journaliste israélienne Efrat Fenigson, ancien agent de renseignement des forces de renseignement, excluant que l’armée israélienne n’ait été au courant d’une attaque d’une telle ampleur en amont...

* Cf. Livre A State of Fear : How the UK Government Weaponised Fear During the Covid-19 Pandemic ("Un état de Peur : comment le gouvernement britannique a instrumentalisé la peur pendant la pandémie de Covid-19") écrit par Laura Dodsworth. 

*² Le Hamas est un mouvement de la résistance islamique issu de la branche jordanienne des Frères musulmans, constitué d'une branche politique et d'une branche armée. Il a été fondé en décembre 1987 avec le soutien financier d'Israël, au tout début du premier soulèvement palestinien appelé "intifada". Il s'agissait pour l'Etat hébreu de contrer l'emprise du dirigeant palestinien Yasser Arafat et de son parti nationaliste souverainiste Fatah, qu'il avait créé en 1959, visant l'Organisation de libération de la Palestine (OLP).

 

Les autres organes relais complices

En premier l'équipe de la BVA Nudge Unit, organisme gouvernemental semi-indépendant qui applique "les connaissances comportementales pour informer les politiques, améliorer les services publics et obtenir des résultats positifs pour les personnes et les communautés". Cette équipe conseille également les nations étrangères.

Puis l'Unité de recherche, d'information et de communication (RICU) du Bureau de l'Intérieur, une composante de l'Office for Security and Counter-Terrorism du Royaume-Uni, l'équivalent du "Homeland" aux États-Unis, qui conseille des groupes fantoches déguisés en organisations publiques soi-disant "populaires" sur la manière de "manipuler secrètement les pensées des gens".

Ensuite l'Unité de Réponse rapide, lancée en 2018, qui opère à travers le Bureau du Cabinet britannique et le bureau du Premier ministre. Familièrement appelé Number 10 comme dans l'adresse physique 10 Downing Street à Londres, elle a pour finalité de contrer les mauvaises informations et la désinformation. Cette Unité travaille également pendant les crises avec l'Équipe de communication de la Sécurité nationale pour s'assurer que les "informations officielles" bénéficient d'une visibilité maximale.

De son côté, la Cellule de lutte contre la Désinformation qui est un service du ministère du Numérique, de la Culture, des Médias et des Sports, surveille comme la précédente les médias sociaux et combattent les "fake news" portant sur la science en général et le Covid-19 en particulier, les "fake news" étant tout ce qui contredit les directives de l'Organisation mondiale de la santé.

Enfin le Quartier général des communications du Gouvernement (QCHQ), une organisation de renseignement et de sécurité, fournit des informations au gouvernement et aux forces armées du Royaume-Uni. Son personnel est composé de "sockpuppets", littéralement, des "marionnettes faites de chaussettes" et de "trolls" pour combattre les messages anti-vaccins et anti-confinement sur les médias sociaux.

En tout, il existe au Royaume-Uni au moins 10 ministères différents qui collaborent avec des "équipes spécialistes de la psychologie comportementale" pour manipuler le public à partir de techniques subconscientes le privant effectivement de ses choix.

 

La guerre psychologique est bel et bien réelle, la militarisation de la psychologie comportementale étant de nature dystopique. Ses chantres et maîtres artificiers sont manipulateurs par l'exercice du pouvoir conféré, jouant sans cesse avec les racines du totalitarisme en nourrissant quasi quotidiennement les citoyens à partir d'informations effrayantes (ainsi l'affichage d'un bandeau en continu détaillant le nombre d'hospitalisations et de décès), et censurant comme supprimant les informations qui auraient permis de contrebalancer les mauvaises nouvelles (comme les taux de guérison et le nombre de soi-disant "cas" qui n'en étaient pas car n'ayant jamais présenté le moindre symptôme). Ils ont également refusé de replacer les données dans leur contexte, par exemple en examinant si le nombre de décès différait réellement de manière significative par rapport aux années précédentes. En lieu et place, chaque nouveau cas a été traité comme une urgence et le signe d'un désastre imminent.

Ce déluge de données contenant uniquement des mauvaises nouvelles, manipulées à outrance et de diverses manières, ont pour effets la peur et l'anxiété destinées à maintenir les individus dans un état de confusion et de vulnérabilité psychologique et de l'empêcher de penser rationnellement.  Au lieu de se sentir en confiance pour prendre des décisions, ils finissent par attendre les instructions du gouvernement. Il s'agit ni plus ni moins d'un scénario de torture, le mode de pensée illogique en résultant facilitant la manipulation !

 

Manipulation du réchauffement climatique

Le Royaume-Uni a lancé un nouveau programme visant à manipuler et à pousser les gens à accepter "une société nette zéro" comme solution au soi-disant "changement climatique". Il a été sous l'égide du Behavioural Insights Team (BIT) en 2021 avant d'être repris par l'organisation caritative indépendante autoproclamée axée sur l’innovation Nesta, auteur d'un "guide" décrivant certaines des techniques utilisées pour provoquer psychologiquement le grand public afin qu’il accepte une nouvelle norme pour lutter contre le réchauffement climatique.

L'objectif est de considérer les émissions de gaz à effet de serre comme un mal devant être supprimé par le gouvernement. L’un des moyens d’y parvenir est de lancer une "unité d’incitation" pour amener le troupeau humain à embrasser un avenir rempli de fascisme vert et de perte de toutes les libertés, soit un lavage de cerveau des individus pour qu’ils vivent enchaînés de peur. Ce sont leurs choix de consommation dans la vie quotidienne qui sont visés : ce qu’ils portent, ce qu’ils mangent et en quelle quantité, comment ils se rendent au travail, si cet emploi est "respectueux du climat", comment ils voyagent en général, où ils vont (par exemple, en vacances). La finalité est de pousser activement les citoyens vers la "transformation sociale". Sans oublier la possibilité de réorienter les comportements des gens par le biais des applications de leurs smartphones en leur rappelant, par exemple, de commander moins de plats à emporter parce que les emballages polluent la terre.

Cette "société nette zéro" signifie inéluctablement que les gens devront manger beaucoup moins de nourriture, et surtout beaucoup moins de viande. Pour ce faire, les influenceurs des médias sociaux jouent un rôle dans ce domaine afin d'indiquer à leurs adeptes comment adopter des "comportements verts" plus respectueux de l’environnement, contribuant à stigmatiser notamment les possesseurs de voiture individuelle et à les orienter vers les transports publics, ou encore à inciter les clients des établissements de restauration à commander des portions plus petites de produits alimentaires "durables" tels que définis par les mondialistes.

 

La peur est depuis longtemps l'outil des tyrans. Son efficacité consiste dans le fait qu'elle se propage d'une personne à l'autre, comme un virus, les réactions de détresse émotionnelle étant transmises comme chez les animaux dotés de fortes structures sociales (abeilles, fourmis...) par des phéromones émises par diverses sécrétions corporelles telles que la sueur et la salive.

Lorsque les individus sont effrayés ou stressés, ils produisent des signaux chimiques pouvant avoir un impact inconscient et  amener autrui à éprouver aussi de la peur ou du stress. Et comme l'être humain a tendance à imiter les sentiments de ceux qui les entourent, pour le meilleur comme pour le pire, ce phénomène constitue un mécanisme supplémentaire par lequel une émotion peut dans une communauté ou une nation entière se répandre comme une traînée de poudre. Les psychologues comportementaux désignent ce phénomène par le terme de "contagion émotionnelle".

Et si les émotions positives et négatives sont contagieuses, certaines se propagent plus rapidement et plus facilement que d'autres, en l'occurrence celles contenant un "niveau élevé d'activation" telles que l'émerveillement (émotion positive fortement active), la colère ou l'anxiété (émotions négatives fortement actives). Elles sont plus "virales" que les émotions à plus faible niveau d'activation, telles que le bonheur ou la tristesse.

C'est pourquoi les psychologues exploitent les données des médias sociaux type Twitter afin de mieux comprendre comment les émotions se propagent et quels sont les types de messages dont la propagation est la plus rapide. De leur côté, Google et Facebook volent les données privées et les utilisent pour manipuler le comportement.

 

La société de la peur

La peur est sans aucun doute la plus puissante des émotions contagieuses. Véritable poison de l'âme comme de l'esprit pour l'homme endormi à sa véritable nature profonde, elle interpelle son instinct de survie lorqu'il sent que son existence est menacée. Et lorsque deux poisons puissants et violents se succèdent en peu de temps, un virus invisible et une guerre lointaine, elle contribue à son enfermement psychique dans les filets de ses maîtres entropiques prédateurs*.

La peur a ainsi joué un grand rôle durant l’épidémie de Covid-19, s'appuyant sur l'égrenage des morts quotidiennes dans les médias par le croque-mort attitré, le caractère initialement inconnu du virus, le discours martial institutionnel proféré. Ce virus était idéal pour provoquer cette "contagion de la peur", s'appuyant sur les mémoires transgénérationnelles de la peur héréditaire des grandes épidémies de peste, de choléra ou de grippe espagnole qui ont jadis décimé nos ancêtres. Et comme il était invisible, qu'il pouvait se trouver n’importe où, sur n'importe qui, il constituait un puissant ressort à même de modifier le comportement d’un individu comme d'une population.

Le brouhaha autour de la guerre en Ukraine repose sur des ressorts similaires. Si celle-ci existe bel et bien - des soldats russes et ukrainiens s'affrontent, des civils sont jetés sur les routes de l’exode, des familles sont détruites, des innocents sont tués -, nous ne la vivons pas, si ce n'est par interposition, par procuration aux journaux télévisés quasiment non stop, à la Une des journaux, sur les réseaux sociaux.

Nous sommes en fait drogués à la peur, notamment de la menace de l'arme atomique. Et comme toute drogue, toute addiction, nous oscillons entre dégoût et plaisir malsain à la consommer, à s'en délecter, quoi que nous disions. Une partie de nous aime avoir peur, frissonner, le succès durable des films d’épouvante, des romans horrifiques, etc., l'illustrant sans conteste. Et nos fournisseurs de cette maudite et abjecte came ne sont rien d'autre que ce petit nombre de profiteurs, les psychopathes institutionnels qui nous gouvernent, auxquels se rajoutent les prophètes et autres hallucinés de l’apocalypse et les "hommes de la situation" en charge d'y faire face. Systématisée, la peur permet de faire de bonnes affaires, faisant gagner de l’audimat aux chaînes d’info et des fortunes aux marchands de canon. Et surtout, elle transforme les populations en pâte à modeler, prête à accepter n’importe quel sacrifice au nom de sa sécurité.

Les conséquences ne peuvent qu'être graves, pour notre équilibre émotionnel comme social. La peur brise en effet notre volonté, détruit nos espoirs, déchire nos familles et cercles relationnels, et ce avant même que le danger que nous redoutions ne se produise, si toutefois il se produit... Qui plus est, elle fait perdre la tête, coupe le souffle, attaque le cœur. La peur rend malade. Elle est immunosuppressive, épuisant l'organisme, affaiblissant peu à peu les défenses immunitaires, rendant tout simplement plus fragile, plus faible, moins volontaire.

C'est pourquoi, pour ne pas demeurer esclave dans ce royaume des morts-vivants, il nous appartient de nous débarrasser de cette peur, radicalement. De faire en sorte qu’elle ne dicte plus nos existences. Sans illusion ni désillusion : tout simplement pour retrouver notre sang-froid, notre jugement, notre dignité, notre humanité, notre véritable souveraineté existentielle.

* Cf. Préambule de compréhension.

 

De l'immunisation contre la contagion négative

 Il existe trois moyens efficaces de se vacciner contre les contagions émotionnelles négatives.

 . La distanciation des médias mainstream publics comme privés qui, à l'image de la grande majorité des figures politiques, sont incapables de faire preuve de pondération.

. Projeter ses propres émotions positives sur la source de la contagion négative afin d'inverser le mécanisme.

. S'exprimer auprès de la personne qui répand involontairement des "ondes négatives", le fait de lui expliquer ce qu'il est en train de faire pouvant l'aider à comprendre les implications de son comportement (cela ne fonctionne pas si la source répand sciemment et à dessein la peur ou l'anxiété).

 

Au niveau mondial, le niveau démesuré de la peur publique est le résultat d'un système de boucle de rétroaction catastrophique dans lequel les figures politiques et les médias mainstream disséminés véhiculent la peur auprès du public, ses craintes alimentant ensuite les médias mainstream — la peur fait vendre —, ce qui incite les figures politiques à prendre des mesures,

ce qui génère d'autres messages de peur. Et ainsi de suite, la boucle est bouclée.

Néanmoins, il arrive un moment où ce moteur de la peur commence à s'essouffler. Aussi, pour la faire perdurer, on a fait appel à des universitaires porteurs de prédictions apocalyptiques dont le rôle est d'effrayer les politiciens et de fournir aux médias toujours plus de tambouille pour alimenter la peur. Ces universitaires sont soutenus en coulisses dans leur mission — voire encouragés ouvertement — par des organisations non élues et non démocratiques telles que l'Organisation mondiale de la santé (OMS), le Forum économique mondial, les Nations unies (ONU), le Fonds monétaire international (FMI), la Fondation Bill & Melinda Gates et les géants de Big Pharma.

 

Il s'agit d'une élite technocratique parmi laquelle on compte nombre de psychopathes et autres suiveurs autoritaristes, non élue, qui prend des décisions pour le monde entier. Cette force antidémocratique, qui dispose de ressources financières apparemment illimitées, d'une influence politique et d'une capacité à contrôler le contenu des communications mondiales, a pour mission de dérouler un programme globaliste dont le but ultime est d'obtenir un contrôle total en supprimant les Droits de l'homme et les droits des pays. Pour ce faire, elle a recours à la "biosécurité", soit l'établissement d'un nouveau "contrat social" qui lie chaque personne au moyen d'un identifiant électronique lié à son compte bancaire et à ses dossiers médicaux, et d'un identifiant de crédit social qui finira par dicter toutes les facettes de sa vie*².

L'objectif est bel et bien de compter, puis de gérer et de contrôler efficacement toutes les ressources, y compris les populations, à une échelle sans précédent, avec une précision numérique sans précédent, pendant que les membres de l'élite se livrent à la poursuite de leurs plaisirs, profitant de vastes parcelles de nature préservée, débarrassées des paysans souverains inutiles et de leur imprévisibilité. Il n'existe pas un seul domaine de la vie qui soit exclu de ce plan de Grande réinitialisation, la réforme prévue ayant un impact sur tout, du gouvernement, de l'énergie et de la finance à l'alimentation, la médecine, l'immobilier, le maintien de l'ordre et même la façon dont les individus interagissent avec leurs semblables en général.

* Une technocratie est en essence une société technologique gérée par l'ingénierie sociale, la peur n'étant qu'un des nombreux mécanismes de manipulation au même titre que l'accent mis sur la "science". Chaque fois que quelqu'un s'y oppose, il est simplement accusé d'être "anti-science", toute science entrant en conflit avec le statu quo étant déclarée "science ridicule".

Cf. Livre Technocracy : The Hard Road to World Order ("La technocratie : le dur chemin vers l'ordre mondial") de l'auteur Patrick Wood.

 

Reconnaître que la peur que nous ressentons a été soigneusement fabriquée peut nous aider à nous libérer de son emprise, et une fois que nous — en masse — ne croirons plus les mensonges qui nous sont servis, le moteur qui alimente la peur et la panique finira par s'essouffler.

 

La Diversion

 

Élément primordial du contrôle social du "bétail humain", la stratégie de la diversion est d’inspiration romaine et antique, panem et circenses (du pain et des jeux), maxime tirée de la Satire X du poète latin Juvénal. Comme toute science, elle est essentiellement un moyen, celui de la connaissance, vers un but, le contrôle. Le bénéficiaire est l'oligarchie financière supranationale*, soit les 1% de l'hyperclasse aux commandes du grand capital financier mondialisé, autrement dit les fermiers exploitants qui s'attachent à tondre et traire les animaux de leur ferme*². Elle applique scrupuleusement le principe de base du pouvoir, de l'influence et du contrôle sur les gens tel qu'il est appliqué à travers l'économie : "Lorsque vous prenez l'apparence du pouvoir, les gens vous le donnent bientôt." Autrement dit la confiance aveugle que les créditeurs aux artifices proclamés - liberté, égalité, fraternité... - attribuent naturellement à leurs déclamateurs...

* Cf. Le modèle européen décodé (2) L'idéologie mondialiste.

Cf. "La Ferme des Animaux", roman de George Orwell (1945).

 

Et elles sont légion les diversions des citoyens destinées à masquer les turpitudes des élites gouvernantes, y compris dans nos démocraties d'opérette. L'actualité ne cesse de les charrier à grandes brassées, comme récemment en France au printemps 2023 l'interview du Président Emmanuel Macron au magazine trimestriel français de bande dessinée pour la jeunesse Pif Gadget (il porte bien son nom) pour détourner l'affaire de ses comptes de campagne ayant vu la non-facturation par la société de conseil américaine McKinsey de son aide précieuse (elle sera largement récompensée par nombre de contrats publics, dont le pilotage de la campagne sanitaire liée à l'épidémie Covid-19), ou encore l'interview donnée au magazine de charme Playboy par la Secrétaire d’État chargé de l'Économie sociale et solidaire et de la Vie associative Marlène Schiappa destinée à détourner l'attention populaire des généreuses attributions sous forme de subventions tirées du Fonds Marianne créé après la mort tragique de l'enseignant Samuel Paty en 2020 afin de soutenir des acteurs de la lutte contre la radicalisation (notamment en ligne), et ayant bénéficié à nombre de complices du pouvoir macroniste dans leur oeuvre de propagande visant à discréditer les opposants gênants... 

 

George Soros, grand manitou noir de la diversion

George Soros, né György Schwartz, est un financier milliardaire juif américain d'origine hongroise, ouvertement sioniste. Il est le financeur des causes dites libérales, nourries de doctrine néo-conservatrice déguisée en gauche démocrate, se traduisant par des "révolutions colorées" et des coups d’État associés au moyen de mouvements de protestation initiaux qui conduisent à aggraver les situations politiques. Par exemple, il a financé via son organisation l’Open Society Foundations (OSF) la branche militaire du Hamas, l'organisation politique palestinienne, à hauteur d'au moins 15 millions de dollars via diverses organisations de nature humanitaire ou autre, ce qui pour un sioniste déclaré interroge quant aux conséquences pour le peuple d'Israël...

Grâce aux milliards de dollars logés dans son fonds dit "philanthropique" le Open Society Fund créé en 1979 et actif dans une trentaine de pays, il tire les ficelles de son oeuvre diabolique. avec ses milliards de dollars, soutenant entre autres le Global Disinformation Index (GDI), organisation à but non lucratif basée au Royaume-Uni s'efforçant de priver les médias conservateurs de revenus publicitaires (GDI décrit sa mission comme étant de "perturber le commerce de la désinformation")*. Affirmant sans vergogne (sentiment de honte) que "les Etats ont des intérêts, mais pas de principes", il explique froidement qu’une "société ouverte" idéale à vocation à supprimer les intérêts nationaux spécifiques, tandis qu'en parrallèle une structure politique et financière internationale prend la responsabilité de la défense du bien des gens.

C'est ainsi qu'il dote ses organisations philanthropiques de liquidités financières, lui permettant d'"acheter" ensuite d’importants secteurs de la population appelée à se déchaîner pour faire tomber tout gouvernement qui essaie de maintenir une "société fermée". Les exemples sont nombreux, comme les manifestations du "Printemps arabe" qui ont commencé en décembre 2010 en Tunisie, avant de s’étendre à d’autres pays musulmans : Maroc, Algérie, Libye, Mauritanie, Egypte, Soudan, Djibouti, Jordanie, Oman, Yémen, Arabie Saoudite, Liban, Syrie, Palestine, Bahreïn, Irak, Somalie et Koweït. En ajoutant Chypre du nord et l’Iran, 22 pays au total ont été touchés à des degrés divers par ces manifestations. Et ce "Printemps arabe" a eu un lien tout à fait direct avec les évènements qui se sont produits en Europe centrale à partir de 2001, notamment en Serbie, en Bosnie, en Ukraine, en Géorgie au Kirghizistan et en Biélorussie…

Mis au pas par les subsides financières allouées les maintenant en (sur)vie, les médias occidentaux ont présenté les manifestations eurasiatiques de l’époque comme des "révolutions pacifiques" de populations aspirant adhérer à un système occidental synonyme de liberté et de démocratie, et mettre un terme définitif à leur passé soviétique. Pourtant, ces "révolutions" désormais appelées colorées n’avaient rien de spontané. Elles étaient des coups d’État camouflés sous des manifestations "pacifiques" sponsorisées, payées et orientées, faisant partie d’objectifs géopolitiques destinés à asseoir la maîtrise et le contrôle sur le continent eurasiatique des Forces entropiques qui gouvernent.

Autre savoir-faire de diversion diabolique, George Soros finance des médias et des "fact checkers" pour faire taire les dissidents et s’assurer que personne ne conteste ses visées libérales. Il s'est associé pour ce faire avec Reid Hoffman, le cofondateur de LinkedIn et tout comme lui milliardaire gauchiste, dans un projet baptisé Good Information Inc*². En outre, à l’approche des élections de mi-mandat au Congrès de novembre 2022, il a appelé dans une lettre ouverte les PDG de Big Tech à prendre des mesures "immédiates" pour diffuser la soi-disant "désinformation électorale" destinée à empêcher le "sabotage" de la démocratie. Comme l’a révélé la publication hongroise Remix, sur les 11 organisations de fact checking approuvées par Facebook pour l’Europe centrale et orientale (PolitiFact, Snopes...), huit ont été financées par Soros. Comme c’est le cas aux États-Unis, ces groupes de fact checking sont largement critiques envers la droite politique et six fois plus susceptibles de défendre le camp démocrate dans leurs "fact-checks" que de vérifier ses faits. C'est ainsi entre autres que Facebook et d’autres réseaux sociaux ont censuré tout article suggérant que le virus COVID-19 a fui d’un laboratoire de Wuhan, et ce en se basant sur les démentis de scientifiques qui avaient un conflit d’intérêts. Idem pour l'ordinateur portable d’Hunter Biden, qui a été censuré parce que les responsables du renseignement ont dit qu’il "pourrait être" de la désinformation russe alors qu'il ne l’était pas. En militarisant le "fact checking", il s'est doté d'une puissance de frappe pour faire pression sur les réseaux sociaux pour qu’ils censurent toute nouvelle qu’il n’aime pas.

Désormais, compte-tenu de son âge avancé, la feuille de route de son œuvre destructrice est assurée par l'un de ses cinq enfants, son fils Alexander âgé de 37 ans, à qui il a cédé le contrôle de son empire de 25 milliards de dollars. Et pour ce fils de crapule, le démarrage fut en fanfare avec, suite à sa rencontre avec Emmanuel Macron à l'Elysée courant juin 2023, la tentative avortée de révolution colorée avec l'embrasement des banlieues et quartiers dits zones de non droit en France suite au décès d'un adolescent de 17 ans prénommé Nahel. Par l'observation attentive du déroulé de cette tragique farce relevant de l'ingénierie sociale, tous les éléments étaient réunis pour une tentative de bascule de la société à la George Floyd*³, avec comme objectif visé l'instauration d'un état d'urgence et la censure et le contrôle renforcé des réseaux sociaux.

* Pour ce faire, GDI dresse des listes d'organes d'information à "haut risque" - majoritairement de droite et antilibéraux - et les transmet aux annonceurs, qui refusent à leur tour de diffuser des publicités sur ces sites. Selon une enquête récente du Washington Examiner, GDI a reçu plus de 200 000 dollars du National Endowment for Democracy et environ 100 000 dollars du Global Engagement Center, deux entités du département d'État américain. Ces financements s'ajoutent à des montants non divulgués provenant du financier milliardaire Soros et du ministère britannique des Affaires étrangères, tous deux cités comme donateurs sur son site web.

Cf. Matt Palumbo, auteur de "L’homme derrière le rideau : dans le réseau secret de George Soros".

*³ En mai 2020, l'Afro-Américain George Floyd est décédé à Minneapolis apparemment asphyxié sous le genou d'un policier blanc. Filmée, son agonie avait choqué le monde entier, provoquant des manifestations de masse contre le racisme et les violences policières et donnant au mouvement protestataire de la gauche radicale Black Lives Matter une vitrine d'envergure.

 

Vote électronique sous contrôle

Bien avant celles de 2020, les élections américaines précédentes ont posé la question de leur caractère potentiellement frauduleux. En effet, Smartmatic, une entreprise de technologie de vote basée au Royaume-Uni ayant des liens profonds avec George Soros, assurait le contrôle sur les machines à voter dans 16 États, y compris des zones de combat comme l’Arizona, le Colorado, la Floride, le Michigan, le Nevada, la Pennsylvanie et la Virginie. D’autres juridictions affectées étaient la Californie, le District de Columbia, l’Illinois, la Louisiane, le Missouri, le New Jersey, l’Oregon, le Washington et le Wisconsin.

En 2005, Smartmatic avait racheté l’entreprise californienne Sequoia Voting Systems et était entrée dans le monde des élections américaines. Son site internet comportait un organigramme décrivant comment l’entreprise a contribué aux élections aux États-Unis de 2006 à 2015, avec "57.000 machines de vote et de compte déployées" et "35 millions d’électeurs assistés". Toujours selon le site internet, "en moins d’un an Smartmatic a triplé la part de marché de Sequoia" et "a offert des services de technologie et de soutien aux commissions électorales de 307 comtés dans 16 États".

Le président de Smartmatic est Lord Mark Malloch-Brown, qui siège à la Chambre des Lords britannique ainsi qu'au conseil d’administration de l’Open Society Foundations de George Soros. Il était précédemment le vice-président du Fonds d’investissement de Soros et même vice-secrétaire général des Nations Unies quand il travaillait comme chef de cabinet pour l'ancien diplomate ghanéen et septième secrétaire général des Nations unies de 1997 à 2006 Kofi Annan (1938/2018).

Il en découle que si un nombre suffisamment élevé d’États utilisent des machines d’une entreprise dirigée par l’un des hommes de main de Soros, le résultat ne peut être conforme à la réalité du vote des citoyens, ce dont Donald Trump a fait l'amère expérience fin 2020.

 

Mise sous tutelle par les vautours financiers

Un groupe de grands investisseurs internationaux, contrôlé par les Rothschild et hors coordination avec le Fonds monétaire international (FMI), avait racheté en 2015 à bas prix les titres du gouvernement ukrainien, s'emparant ainsi de sa dette internationale pour une valeur nominale de près de 5 milliards de dollars, soit près d’un cinquième des obligations d’État internationales en circulation dans le pays. Il en a été de même avec l'Argentine, la Grèce et bien d'autres Etats-nations encore. Agissant sous le déguisement de respectables "fonds d’investissement", les vautours achètent à bas prix ces titres dont la notation est faible, pour exiger ensuite le paiement intégral de l’émetteur. Et en cas de non paiement, le pays risque d’être impitoyablement pillé ! Comme le montre l’expérience mondiale, les défauts de paiement sont rarement impromptus, car ils sont normalement planifiés, les préparatifs pouvant durer plusieurs années. Ils ont pour finalité de permettre la gouvernance du pays incapable d'honorer sa dette par un "duumvirat" comprenant le gouvernement américain et l’oligarchie financière mondiale, entraînant progressivement la privatisation complète du pays, y compris le reste de la propriété industrielle d’État, les terres et les ressources naturelles. C'est pourquoi les experts estiment que la représentation illégale est beaucoup plus efficace pour inclure de nombreux individus et entreprises contrôlés par les familles Rothschild ou Rockefeller, les deux groupes financiers prédateurs tentant de diviser leurs sphères d’intérêts.

 

 

La stratégie de la guerre cognitive

Qu'est-ce qu'au fond un système prédateur si ce n'est un concept de ferme d'élevage, dont l'exploitation consiste à traire le bétail au bénéfice des fermiers. Il a pour raison d'être le formatage à caractère involutif des sociétés et des masses qui les constituent, en l'adaptant à chaque fois aux cycles d'évolution de la conscience humaine. Celle-ci amorçant depuis quelques temps un nouveau cycle, décisif sur le plan de l'émancipation de l'être humain*, de nouvelles pratiques tel l'engineering social ont émergé pour en empêcher la réalisation. Elles consistent en l'étude des comportements sociaux à l'aide d’ordinateurs puissants, sans cesse perfectionnés et dotés d’un système ultra-rapide de traitement de l’information. Pour incorporer ces données naturelles dans cette perspective analytique des systèmes d'information, l’humain doit être chosifié, réifié, réduit à devenir une simple machine, réduit au bon vouloir des expérimentateurs. C'est la raison d'être du transhumanisme, qui voit le software (la pensée) soumis au hardware (le corps)*². Ces expérimentateurs de la pensée se servent systématiquement de chocs, de décharges électromagnétiques, pour observer les différentes réactions de leurs sujets de laboratoire.

L’humain moderne est ainsi comparé à une "boîte noire", à une machine électronique avec des entrées (Inputs) et des sorties (Outputs) qu’on manipule par l'envoi de "shock-tests" au niveau de ses stimulus entrants pour mieux observer les changements provoqués dans son comportement psychosocial. Les résultats de ces observations obtenus grâce aux instruments de mesures psychométriques de plus en plus complexes permettent ainsi d’extrapoler par l’inférence in fine des modèles algorithmiques de nos comportements sociaux avec une prédictibilité de plus en plus affinée.

Ces armes cognitives de destruction massive peuvent également servir à mener des guerres de propagande médiatico-politique pour le compte de certains réseaux d'influences exerçant le pouvoir de manière invisible.

* Cf. Fin de cycle (1) Fin du temps ou fin des temps ?

Cf. Conscience du XXI° siècle.

 

Fausse invasion révolutionnaire

Les médias s’en sont donné à cœur joie quant à la présumée invasion "insurrectionnelle" du Capitole à Washington en janvier 2021 quelques jours avant l'investiture de nouveau président américain élu, rajoutant sans compter leur pathétique écot à ce scénario rocambolesque. "Insurrection" pour les journaux, "invasion" pour les commentateurs, "révolution" pour les analystes, jusqu'à "Pearl Harbor", "terroristes nationaux", "profanation" et "coup d’État" pour certains inspirés clownesques. Car selon la propagande distillée, le Capitole US serait le cœur de la démocratie américaine, voyant les représentants du peuple s'y rassembler pour débattre solennellement des sujets importants auxquels est confrontée la nation. Ils pèsent bien sûr à cet effet soigneusement le pour et le contre, les coûts et les avantages, mettant de côté leurs propres préjugés et intérêts afin de parvenir à des décisions justes, proportionnées et équitables qui bénéficient à tout le pays.

C’est évidemment faux, dans la mesure où le Congrès US est une assemblée de 535 "ronds-de-cuir" préoccupés avant tout de leurs propres intérêts qui, à de rares exceptions près, approuvent des lois impliquant des milliers de milliards de dollars écrites par des lobbyistes et des compères, sans même les lire.

La réalité est que si le temple, la basilique, la Mecque ou le saint des saints des illusions démocratiques a été souillé, cet autel révéré des touristes estivaux, il le fut par une foule de laissés-pour-compte, même si se trouvaient parmi eux quelques individus "respectables" type gestionnaires de hedge funds (fonds financiers spéculatifs) ou professeurs de sociologie amateurs d'exotisme urbain... Ce n'était qu'une énième escroquerie, cette "révolution" étant télévisée comme un spectacle de téléréalité ou de catch professionnel. Tout était faux dissimulé derrière l'apparent vrai. Ces gens n’étaient pas des "terroristes", des révolutionnaires ou des insurgés. Seulement une foule de désespérés ou d'êtres légers. De vrais terroristes, révolutionnaires, seraient venus équipés en conséquence, pour tuer quelques membres du Congrès et prendre le reste en otage, ou tout simplement incendier le bâtiment du Capitole. Non pour se balader "simplement" dans le temple, en admirant ses magnifiques œuvres d’art, en laissant des papiers par terre et en renversant quelques tables et chaises. Ils l'auraient saccagé et détruit, en tuant, violant, torturant, brûlant et pillant*. Ils auraient été guidés par un vrai leader révolutionnaire, résolument tendus sous sa verve vers une vraie révolution. Quelles que soient les manigances démocrates*² et la bêtise congénitale des contempteurs médiatiques, Donald Trump n’est pas Vladimir Lénine, Che Guevara, Fidel Castro ou Maximilien Robespierre. Il n’est pas révolutionnaire du tout, l'ayant d’ailleurs prouvé à la Maison Blanche pendant quatre ans où il a tenté de mener un programme visant à "rendre sa grandeur à l’Amérique"... Il n'a réussi au final ni à assainir le marigot, ni à étancher le flot de richesses allant des masses vers l’élite. Il était seulement la personne idéale pour mener un "coup d’État" factice destiné à perpétuer l'illusion. D'ailleurs la manipulation commence à émerger, un député du Parti républicain (Clay Higgins) ayant affirmé courant novembre 2023 avoir des informations selon lesquelles le FBI a fait venir des agents déguisés en partisans de Trump au Capitole le 6 juin, ceci devant conduire à une réouverture du dossier après le coup d'éteignoir établi par le parti démocrate et son ancienne dirigeante Nancy Pelosi.

En fait, la vraie révolution reste à venir, celle de la destruction de l’empire américain !

* Comme le temple de Salomon rasé par les Babyloniens en 586 av. J.-C.

Il a été démontré depuis, selon une enquête menée en 2023 par la nouvelle chambre des représentants à majorité républicaine, que les forces de l'ordre disposaient ce jour du 6 janvier 2021 d'au moins 40 informateurs infiltrés parmi les manifestants qui dénonçaient des fraudes électorales (déclaration de l'avocat d'un des accusés de l'émeute), dont 8 pour le FBI et 13 pour la police métropolitaine de Washington.

 

Faux manifestants

Malgré la tentative de la gauche (parti démocrate) de le nier, les sources de l'affaire Wikileaks ont révélé que certains manifestants anti-Trump ont été payés pour se présenter aux manifestations organisées, dont un certain nombre issus de sociétés du secteur des technologies. Selon Chronicle, le quotidien de Thunder Bay dans l'Ontario au Canada, un nombre croissant d'entreprises avaient ainsi dévoilé des politiques permettant aux employés de prendre un congé payé pour des activités politiques ou civiques, telles que la protestation, le sollicitation, le vote, le volontariat ou même la tenue d'un poste de direction. Les médias du système en place ont de leur côté insisté avec complaisance sur les manifestations apparaissaient dans différentes villes pour contester la validité de l’élection de Donald Trump en 1996. Cette contestation n’était pas si spontanée qu’annoncée, le site de petites annonces très populaire aux États-Unis pour ses annonces de recherche d’emploi Craigslist affichant des annonces qui proposaient un job consistant à manifester contre Donald Trump (la prestation payée à l’heure rapportait entre 10 et 35 dollars de l’heure).

De même, dans la correspondance de l'ancien conseiller d'Hillary Clinton John Podesta dévoilée par WikiLeaks, un échange avec le milliardaire mondialiste George Soros évoquait sans ambiguïté le financement de l’organisation MoveOn.org qui poussait aux manifestations anti-Trump. Juste après l’annonce des résultats des présidentielles le 9 novembre 2016, elle avait publié un communiqué de presse où les Américains étaient appelés à manifester : "Les citoyens états-uniens sont invités à se rassembler par centaines afin de participer à des rassemblements pour exprimer solidarité, résistance et convictions face aux résultats des élections. Des centaines d'Américains et des dizaines d'organisations appellent à se réunir de manière pacifique, aux abords de la Maison Blanche et dans les villes et mégalopoles de tout le pays."

 

Les techniques de contrôle mental* mises en place dès la fin de la seconde guerre mondial par la CIA américaine (Central Intelligence Agency), fondée en 1947 par le National Security Act (NSA), et étendues à nombre d'agences étatiques sécuritaires comme le Mossad israélien, sont les puissants leviers de cette guerre de l'ombre. Il en résulte que les soi-disant groupes terroristes sont soit la création des agences de renseignement elles-mêmes, pour les rendre responsables de menaces sur l'existence de leur nation, soit infiltrés pour n'être que les marionnettes de ces agences. C'est ainsi que les relais de l'Etat profond se sont rendus en Afghanistan et ont armé les talibans avec 80 milliards de dollars d’armes américaines. Aujourd'hui, ils ont installé un régime communiste au Brésil, le plus grand pays et la plus grande économie d’Amérique du Sud, par le biais d'élections truquées et la manipulation de son armée pour s'assurer de sa soumission.

Qui plus est, un certain nombre de boucs-émissaires et d'individus isolés programmés par hypnose font partie du plan d'action de ces agences, que ce soit en enflammant leurs sous-vêtements ou en réalisant un "attentat suicide".  Il en résulte l'hystérie de l'opinion publique, entraînant plus de crédits affectés à la défense et à la sécurité, ainsi qu'une législation toujours plus draconienne. Et pour les groupes pacifistes irritants qui menacent de retourner les gens contre ce plan, il suffit grâce à la législation type NDAA (Loi Nationale d'Autorisation de la Défense), votée annuellement par le Congrès des États-Unis, de les infiltrer afin de les relier à des "groupes terroristes connus", avant que de les incarcérer indéfiniment pour leur présumé soutien aux terroristes. Et ça marche !

* Cf. Contrôle mental.

 

Cliquer pour agrandir
Cliquer pour agrandir

Des raisons cachées du voyage sur Mars

Mars est la quatrième planète par ordre croissant de la distance au Soleil et la deuxième par ordre croissant de la taille et de la masse. Comme la Lune, sa conquête a depuis longtemps constitué un défi de taille sur le plan scientifique, suscitant de la même manière un enfièvrement imaginaire.

Le temps mis par un vaisseau pour parcourir le trajet Terre-Mars dans la configuration la plus favorable tout en réduisant la consommation de carburant au minimum est de 258 jours. En mars 2020, une mission spatiale d'exploration de la planète a été lancée par le JPL - Jet Propulsion Laboratory (littéralement "Laboratoire de recherche sur la propulsion par réaction"), établissement de l'agence spatiale américaine, consistant à déployer l'astromobile Perseverance (Cf. photo ci-contre) sur son sol martien pour en étudier sa surface, avec une arrivée "triomphale" saluée comme telle fin février 2021.

Par-delà les raisons avancées, il s'agit pour le corpus scientifique de comprendre l'âge réel de la Terre, qui se chiffrerait non en milliards d'années mais en millions. Le système solaire tel que compris pour la planète Terre remonterait en effet à environ vingt-cinq millions d'années tout au plus, ayant vu le passage de la fin de la "vie martienne", faisant jadis partie de la quatrième civilisation racine humaine - l'Atlantide - à notre présent vécu civilisationnel. C'est ce que montre l'orbite actuelle de Mars, plus particulièrement les orbites de Phobos et Deimos (ils orbitent à quelques milliers de kilomètres de celle-ci), à savoir les traces de la collision entre le gros satellite de Mars et le planétoïde. Depuis deux à trois millions d'années, les tempêtes de sable de couleur ocre effacent les traces trop voyantes de cette Atlantide martienne qui évolua jusqu'au moment où la vie habita les premières molécules auto-duplicatives terrestres, pour tout recommencer encore une octave au-dessous, à 120 millions de Km du Soleil... au lieu des 175 que cette vie venait de quitter.

Si les premiers Martiens eurent un degré de conscience très élevé, cette intelligence se fractionna de plus en plus au fur et à mesure qu'ils se multiplièrent (ce n'est pas sans nous rappeler notre actuel vécu),  jusqu'à n'être, par créature, qu’une conscience fragmentée au point de perdre totalement la mémoire de son origine. Et comme c'était la première fois que ce processus se produisait dans le système solaire, aucun Martien ne fut en mesure de réaliser cette involution, en dehors d'une poignée qui transmirent leur expérience à l'espèce humaine appelée à renaître de ses cendres (95 % des êtres vivants furent détruits). Là encore, c'est un enseignement de ce qui se passe actuellement pour une "poignée" d'élus préparant leur évolution dans une dimension de réalité supérieure, et qui transmettront à la nouvelle humanité à venir - la sixième race racine - les clés de la connaissance et du savoir.

L'astéroïde destructeur et régénérateur eut notamment pour effet d'excentrer l'orbite de Mars de quelques millions de kilomètres du Soleil, entraînant une dépressurisation de l'atmosphère martienne assortie d'une augmentation du pourcentage d'oxygène libéré de l'intérieur des roches. Si la civilisation martienne fut anéantie, toute l'intelligence planétaire libérée se retrouva dans les survivants tout comme dans les animaux marins et montagnards qui survécurent aussi, ayant muté comme eux en une seule génération. L'évolution proprement terrestre a alors commencé, telle que ce qui est raconté depuis...

Nous sommes en quelque sorte une répétition améliorée d'évolutions déjà vécues sur les précédentes planètes, en l'occurrence la dernière grande civilisation martienne, située à l'octave en dessous (la "3-D") de ce niveau évolutif de la conscience humaine... 

Cf. Travaux de Pierre-Henri Barnezet, auteur de "La Radioactivité c'est la vie" (1991), "Les mystères du système du monde" (1997) et "Le fil invisible des perles sans trou" (2017).

 

Les élites psychopathes ne sont intéressées que par le pouvoir, n'ayant pour ce faire aucun scrupule à recourir à de "faux drapeaux" ou "fausse bannière", à provoquer des guerres, des conflits, à utiliser la terreur et la peur, tout cela pour avoir la domination et le contrôle sur la population. Elles n’ont donc aucun scrupule à chercher une excuse pour faire la guerre à une autre nation, généralement un adversaire plus faible, et pour cela orchestrent une "attaque" de celle-ci contre une autre avant de la blâmer, ayant ainsi une justification pour l’attaquer...

Au cours de l’histoire, de nombreux événements ont changé le cours des choses grâce à ces fausses bannières, comme le naufrage de l'USS Maine à Cuba en 1898 qui a conduit à une guerre avec l’Espagne, les naufrages du Lusitania (1906) et du Titanic (1912) comme hors d’œuvre au conflit de la 1ère guerre mondiale, l’attaque de Pearl Harbor en 1941 comme préalable à la destruction atomique des villes japonaises d'Hiroshima et de Nagasaki, la destruction des Tours jumelles à New York aux États-Unis en 2001 comme prélable à la guerre en Irak, et bien d’autres encore comme les attentats du marathon de Boston (2013), de Charlie Hebdo et du Bataclan à Paris (2015) et de Nice (2016) en France, la guerre en Ukraine ou en Palestine, tous ces événements ayant un objectif précis et visant également à semer la mort et la terreur.

Les assassinats de grands personnages, d’activistes, d'hommes politiques ou de membres de la famille royale soucieux de leur peuple qui ont modifié le cours de l’histoire (Abraham Lincoln, Roosevelt, Gandhi, Luther King, Eva Perón, l’impératrice Elizabeth ou Sissi, Pancho Villa, Allende, Grace Kelly, Lady Di, les Kennedy*, Frei Montalva, Shinzo Abe, Ayrton Senna et bien d’autres) étaient justifiés ni plus ni moins par la menace qu'ils représentaient pour la domination de l’élite mondialiste, celle-ci n'ayant pas hésité à leur ôter la vie pour défendre ses intérêts.

* L'assassinat le 22 novembre 1963 à Dallas au Texas du populaire président John F. Kennedy a vu les protecteurs des services secrets affectés à l’arrière de sa limousine ouverte recevoir l’ordre inexplicable de ne pas faire leur travail, conduisant le président Kennedy à avoir la tête éclatée lors d’une exécution publique. Lorsque le juge Andrew Peter Napolitano a demandé au président Donald Trump pourquoi il n’avait pas publié tous les dossiers encore secrets sur cette exécution, celui-ci lui a dit : "Monsieur le juge, si vous aviez vu ce que j’ai vu, vous sauriez pourquoi je ne peux pas les rendre publics"...

 

Fausse bannière, le levier camouflé de la guerre

Les opérations dites "sous fausse bannière", ou sous faux pavillon, parfois désignées sous l'anglicisme false flag, sont des actions menées avec utilisation des marques de reconnaissance de l'ennemi. Cette ruse de guerre, y compris sous la forme du déguisement, a toujours fait partie de l'arsenal du guerrier ou du soldat. L'ancienne devise de l'agence de renseignement de l’État d'Israël le Mossad ne signifie-t-elle pas "tu feras la guerre par voie de tromperie" (בתחבולות תעשה לך מלחמה) que d'aucuns préfèrent en "avec prudence" ou "par l'intelligence la guerre se gagne", plus politiquement corrects.

Ainsi les célèbres opérations de L’incident de Mukden en 1931, planifié par l'Empire japonais qui accusa la Chine d’avoir perpétré l’attentat, donnant ainsi le prétexte à l’invasion immédiate du sud de la Mandchourie par l'armée impériale japonaise ; l’opération Himmler le 31 août 1939, monté de toutes pièces par les Allemands pour servir de prétexte à l’invasion de la Pologne par l'Allemagne ; en septembre 1942, trois détachements anglais du Long Range Desert Group, commandés par le colonel David Stirling, ont investi Tobrouk dans le but d'enlever Erwin Rommel, le commandant du Deutsches Afrikakorps ; l'affaire Lavon en 1954, pendant laquelle un réseau israélien constitué de 13 juifs égyptiens commit une série d'attentats à la bombe incendiaire contre des édifices britannique et américain au Caire et à Alexandrie, l'objectif étant que ces actes de terrorisme soient attribués aux nationalistes égyptiens afin d'empêcher tout rapprochement entre l'Égypte nassérienne et les puissances anglo-saxonnes ; l’opération Northwoods, un projet de 1962 qui consistait notamment en l’organisation d’une série d’attentats contre les États-Unis par l’état-major interarmées américain lui-même, de manière à en imputer la responsabilité au régime cubain afin de justifier aux yeux de l’opinion américaine une intervention des forces armées américaines contre Cuba et d’obtenir l’appui diplomatique, voire militaire, des nations occidentales* ; le 4 décembre 2002, le Premier ministre d'Israël Ariel Sharon justifia les opérations militaires contre les habitants de la bande de Gaza en prétendant qu’Al-Qaïda y avait établi une base, alors même que les services secrets israéliens avaient tenté de créer de fausses cellules Al-Qaïda dans la bande de Gaza en y recrutant des Palestiniens au nom d'Oussama ben Laden ; le 5 février 2003, à l'Organisation des Nations Unies, le secrétaire d’État américain, Colin Powell accusa Saddam Hussein de détenir des armes biologiques grâce à des laboratoires clandestins fabriquant des agents atroces (peste, gangrène gazeuse, anthrax, botuline, bacille du charbon ou virus de la variole), ceci reposant sur les dires d'un ingénieur chimiste irakien ayant menti aux services de renseignements allemands, mais que la CIA utilisera pour fournir à la Maison-Blanche les éléments constitutifs de la guerre qui aura entre autres pour conséquence la mort de 100.000 civils en dix ans . Beaucoup d'autres opérations bien que non démontrées avec certitude sont néanmoins plausibles, comme l'assassinat de John Fitzgerald Kennedy le 22 novembre 1963 à Dallas attribué à Lee Harvey Oswald qui aurait agi seul (sic), la série d'attentats dans la région de Moscou en 1999 attribués aux Tchétchènes pour servir de prétexte au déclenchement de la seconde guerre de Tchétchénie par la Russie... Il en serait de même pour les constitutions d'Al Qaïda et de Daesh, créations présumées de la CIA, à des fins tant impérialistes que d'orchestration préparatoire à l'instauration d'un Nouvel Ordre Mondial*². Quant aux 11 septembre 2001, Bali, Londres, Madrid, Paris (Charlie Hebdo, Bataclan), Le Thalys Paris-Bruxelles, Bangkok, Bombay, Oslo, Nice (Promenade des Anglais du 14 juillet 2016)... chacun(e) estimera en ses âme et conscience de quoi ils relèvent.

* Cette opération s'intègre dans ce qui est appelé "L’opération 40", opération clandestine montée par la Central Intelligence Agency créée au début des années 1960 par le président des États-Unis Dwight D. Eisenhower et dirigée par le vice-président Richard Nixon pour empêcher la prolifération des idées communistes dans les pays voisins des États-Unis, tels que le Mexique, l'Amérique centrale et les Caraïbes.

Cf. La nouvelle religion universelle & Prophétie du changement.

 

Cliquer pour agrandir
Cliquer pour agrandir

Du cinéma à la sordide réalité

Le film American Gangster réalisé par Ridley Scott, sorti en 2007, met en scène la réalité des dessous du trafic de drogue, levier d'importance de la stratégie mortifère du géant psychopathe étoilé. Elle voit les barons et autres parrains en assurer la mise en œuvre avec la complicité d'officiers étatiques disséminés dans les agences gouvernementales.

Le trafic de drogue permet en effet de financer entre autres des mouvements contre-révolutionnaires, comme ceux du Nicaragua (les "Contras" en lutte contre les "Sandinistes" de 1979 à 1990), la CIA en plein accord avec la Maison Blanche ayant couvert ce trafic. Ses avions transportaient alors des armes destinées aux contre-révolutionnaires, avant que de repartir avec des chargements de cocaïne destinée au marché nord-américain. Sans parler de l'"Irangate" dans les années 1980, une affaire particulièrement tortueuse dont le but consista tout autant d'obtenir la libération des otages américains détenus au Liban que de financer les achats d'armes des Contras, ainsi que de la production de drogue de l’Afghanistan décuplée depuis l’intervention des forces de l'OTAN (cette guerre dura de 2001 à 2014), cet argent permettant le financement discret des nombreux programmes secrets des services de renseignements militaires/politiques (les "black programs" dans le jargon de la CIA) qui échappent à tout contrôle parlementaire démocratique... Qui plus est, beaucoup de nos  "élites" érigées se remplissent les poches avec le fruit de ces trafics de stupéfiants, l’argent de la drogue étant  devenu essentiel pour le système financier mondial.

Résultat des courses, l'émergence sur le sol même du territoire national de puissantes organisations criminelles transnationales comme le MS-13, aussi connu sous le nom de Mara Salvatrucha*, qui génère des millions de dollars de profits tirés de ses activités criminelles aux États-Unis. Ce gang sophistiqué et sans pitié a été fondé par des migrants fuyant la guerre civile au Salvador, et depuis applique ses méthodes brutales dans les rues de Los Angeles comme dans 46 États américains (il compte plus de 10 000 membres), tout particulièrement dans l'État de Washington et dans le nord de la Virginie, régions qui comptent comme la Californie du Sud une importante population d'origine salvadorienne. Ses membres sont accusés de crimes graves incluant des meurtres, des enlèvements, de la prostitution forcée, du trafic de drogues et du trafic de personnes, d'autant qu'il est allié à plusieurs cartels mexicains et d'Amérique centrale de narcotrafiquants. Il cherche désormais à étendre ses opérations en Europe.

* La Mara Salvatrucha, de "mara", argot pour gang en espagnol, "Salva", une abréviation de Salvadorien, et "trucha", pouvant se traduire par malin, a pour devise Mata, roba, viola, controla ("Tue, vole, viole, contrôle"). Ses membres, reconnaissables à leurs nombreux tatouages recouvrant parfois le visage, infligent aux nouvelles recrues le même rite d’initiation, un passage à tabac de 13 secondes.

 

De la narco-économie afghane

La narco-économie de l'Afghanistan occupe la première place au palmarès du business de la drogue, ce pays au coeur du "Croissant d'or" étant un puissant producteur d'opium et haschich. Sa production annuelle est estimée à 150 milliards de doses d’héroïne et 30 milliards de doses de haschisch. Elle est la plaque tournante du narcotrafic en Asie, l’opium faisant vivre plus de 2 millions d’Afghans et générant des recettes estimées à 2,5 milliards de dollars américain, soit 35 % du PIB de l'économie de l'Afghanistan. Plus d'1,6 million de personnes sont impliquées dans ce secteur d'activité, le pavot de par sa résistance à la sécheresse rapportant bien plus que les cultures traditionnelles. À lui seul, le pays assure plus de 75% de la production mondiale (les champs de pavot à opium ont métastasé de 7600 hectares en 2001, début de la guerre américano-OTAN, à 224 000 hectares en 2016). Pourtant, dans le cadre de la lutte américaine contre la drogue, la destruction des champs de pavot par les États-uniens est pratiquée essentiellement en Amérique latine...

Cette économie de l’opium en Afghanistan alimente la flambée du marché américain de l’héroïne, voyant le nombre d’héroïnomanes aux États-Unis augmenter de façon spectaculaire. Il y avait ainsi 189 000 utilisateurs d’héroïne aux États-Unis en 2001, avant l’invasion de l’Afghanistan par les États-Unis et l’OTAN, ce nombre étant passé en 2016 à 4,5 millions (2,5 millions d’héroïnomanes et 2 millions d’utilisateurs occasionnels). Les décès dû à l’héroïne sont passés de 1779 en 2001 à 10 574 en 2014.

Ironiquement, la soi-disant opération d’éradication américaine en Afghanistan a coûté environ 8,5 milliards de dollars aux contribuables américains depuis le début de la guerre entre les États-Unis et l’OTAN en octobre 2001. La guerre est vraiment bonne pour les affaires, l’économie de l’opium afghan alimentant un commerce lucratif de stupéfiants et de blanchiment d’argent.

 

Le palmarès des guerres contre les peuples

Le Rapport sur les victimes des guerres publié en mai 2017 par l’Institut international d’études stratégiques (IISS), un cercle de réflexion respecté basé à Londres, a désigné la guerre que se livrent les cartels mexicains de la drogue comme le deuxième conflit le plus meurtrier en cours, derrière la guerre en Syrie qui a causé la mort de 50 000 personnes en 2016. Ce conflit "à bas bruit" au Mexique vient juste après dans ce sinistre palmarès avec 23 000 morts, surpassant par le nombre de personnes tuées les guerres en Irak (17 000 morts) et en Afghanistan (16 000 victimes). D'autres pays d’Amérique latine comme le Salvador, le Honduras et le Guatemala, suivent, pour peu qu’on les regroupe (16 000 morts). Sans oublier le bilan en vies humaines ne cessant de s'alourdir entre Israël et la Palestine, les événements tragiques d'octobre 2023 augurant de sombres perspectives. A noter que l'organisation islamique Le Hamas a utilisé des armes fournies par les États-Unis pour attaquer Israël, alors même que Washington s’apprête à augmenter son aide militaire à Jérusalem, la seule question étant de savoir si les armes du groupe militant palestinien provenaient de fournitures américaines détournées de l’Ukraine, de l’Afghanistan ou de l’Autorité palestinienne en Cisjordanie.

 

Le masque de rituels à caractère "sataniste" (magie noire)

Les attentats dits "sous fausse bannière", comme l'attaque du World Trade Center le 11 septembre 2001 aux États-Unis, les attentats en France de Charlie Hebdo du 7 janvier 2015 ou la fureur terroriste sanglante du 13 novembre 2015 au Bataclan à Paris (photos 1 à 3), peuvent constituer de gigantesques rituels sataniques à caractère national comme international selon le biais de lecture cognitive choisi ("je" me contente de la version officielle donnée ou j'exerce mon discernement pour voir de l'autre côté du voile). Dans ce cas de figure, ils ont deux objectifs : extraire l’énergie émotionnelle des participants (victimes, témoins, téléspectateurs...), et ouvrir certaines portes inter dimensionnelles (franchissement de la barrière de l'espace-temps limité de la 3ème dimension) dans le but de faire rentrer dans notre continuum d’espace-temps certaines entités sans âmes*.

Ces rituels utilisent un mélange de technologies - énergie libre, système électromagnétique... - dont la maîtrise est déterminante par les maîtres-artificiers les utilisant, qu'ils combinent avec des rituels de magie noire qui vont les accentuer. Ceux-ci ont été mis au point par l'occultiste britannique Edward Alexander Crowley, dit Aleister Crowley (1875/1947) dans son ouvrage "la Loi de Théléma". 

Ainsi, concernant le 11 septembre 2001, le premier avion à percuter la tour jumelle est selon la version officielle le Vol AA 11 qui, en magie noire selon Crowley, est le chiffre (11) utilisé pour démarrer un rituel. Le second vol à percuter les tours jumelles est le vol UA175, qui lui (175) signifie l’invocation. Au moment où l’avion percute les tours jumelles, Georges Bush le président états-unien était dans une école de Floride (l'école élémentaire Emma E. Booker de Sarasota) en train de lire "Ma Biquette" (My Pet Goat), autrement dit l'adaptation enfantine de "Oz Le Livre de la Chèvre" du sorcier sataniste Crowley. C’est l'histoire d'une jeune fille et de sa chèvre qui mange tout sur son passage. Celle-ci représente le Diable, le démiurge (Lucifer dans sa polarité +, Satan dans sa polarité -). La chèvre représente donc symboliquement l’invocation du diable. De même, les enfants dans l’école étaient en train de lire des mots tels hit, plane, must, steel... annonciateurs d'une guerre de conquête et de génocide avec à la clef plusieurs milliers sinon millions de morts (Afghanistan, Irak, Syrie...), puisque l'avion (plane) doit (must) frapper (hit) le métal (steel)... En d’autres termes, dans cette école de Floride, les enfants étaient en train de prononcer les phrases d’un rituel de consentement adressé à l'inconscient. Le monde entier était tout simplement en train de se faire programmer à la version officielle du 11 septembre !

Qui plus est, l’école était située à quelques kilomètres du lieu où Mohammed Atta, le soi-disant "pirate de l’air", était en train de prendre des cours de pilotage (selon la version officielle) dans une école de pilotage tenue par… la CIA. Quasiment au même moment, le Pentagone à Washington (le pentagramme est avec sa forme en tête de chèvre le symbole du démiurge) était percuté par le vol AA77, le chiffre 77 étant le chiffre de la... chèvre. Il correspond également au nombre de dieux de l’enfer dans la bible satanique. Quant au vol UA 93 il porte le numéro 93, numéro sacré dans la magie de Crowley car il permet de conclure un rituel satanique. A un autre niveau, la tour 7 (la 3ème tour qui s’est effondrée à New York) était appelée la tour des frères Salomon. Or le temple de Salomon joue un rôle important dans la Franc-Maçonnerie. 

En résumé, la connaissance de la magie occulte permet à l'initié de comprendre que le jour du 11 septembre - tout comme Charlie Hebdo et le Bataclan en France en 2015*²  - correspond à un rituel satanique de très grande ampleur, qui visait à ouvrir les barrières de l'espace-temps symbolisées par les deux tours jumelles de New-York - les Twins - pour accueillir des entités à caractère entropique destinées à faire baisser la vibration de la planète Terre en agissant sur le subconscient des individus (peurs, colères, tristesses) par les symboles glissés. Elles permettent ainsi l'extraction de l’énergie nécessaire au système prédateur de la 4ème dimension, tout en empêchant aux êtres humains de s'éveiller en conscience par sa reconnexion à leur âme et au champ de l'Esprit supérieur divin. Ceux-ci demeurent alors prisonniers de la Matrice asservissante. Nous pouvons comprendre comment cet effet produit sur des milliards d’individus contribue à faire baisser la vibration de la planète … C'est toute la raison d'être des rituels à grande échelle (cérémonie d’ouverture des JO et autres évènements sportifs planétaires), qui même s'ils n'ont pas le même caractère dramatique, célèbrent la mort, non le Vivant.

Bien évidemment, aucun média officiel n'est habilité à en parler, sauf à traiter de complotiste ou conspirationniste celle ou celui s'attachant à proposer une autre approche de la Vérité. Et bien entendu, chaque année depuis 20 ans, tous les mois de septembre, les chaînes de télévision du monde entier font des soirées spéciales "11 septembre". Ce n’est certainement pas pour les victimes de cette tragédie ni celles des génocides en Irak et en Afghanistan qui ont suivi cet attentat. Il s’agit de perpétuer le rituel, et de continuer à reprogrammer le subconscient des masses par le symbolisme qui y est injecté…

* Cf. Les acteurs de la Matrice falsifiée.

Les évènements de Charlie Hebdo ont commencé le 7 janvier, considéré comme une fête satanique associée au sacrifice humain (jour dit de "Winebald"). La fusillade a eu le lieu dans le 11ème arrondissement de Paris (chiffre 11 correspondant au début d’un rituel). Le numéro de Charlie Hebdo visée est le numéro 1177, soit la combinaison début de rituel et invocation de la chèvre. De même, le dessin en première page du numéro de Charlie Hebdo est signée Luz (photo 3), qui signifie la lumière, le porteur de lumière étant Lucifer (Satan - le démiurge, la chèvre - dans sa polarité négative)... Qui plus est, 2 des tueurs sous contrôle mental ont été abattus dans le département 77.

Quant au Bataclan, qui s'appelait à l'origine Ba-Ta-Clan, une salle de spectacle parisienne édifiée par l'architecte Charles Duval en 1864, son nom fait référence à Ba-ta-clan, opérette d'Offenbach. Cette salle que la famille Touitou possédait depuis 1976 a été vendue un ... 11 septembre par son détenteur parti en Israël, cédée au groupe Lagardère.

 

Délit d'initié

Peu de temps après le 11 Septembre 2001, nombre de médias* ont révélé qu’American Airlines et United Airlines, les deux compagnies dont les avions furent détournés, firent l’objet de vives spéculations à la baisse sur la valeur de leurs titres dans les jours qui précédèrent les attentats, permettant d'engranger de colossaux profits. Des investisseurs avaient eu connaissance de l'imminence des attentats qu’ils ont exploitée sur les marchés pour en tirer des profits colossaux, notamment en spéculant à la baisse sur les actions des compagnies aériennes dont les avions seront détournés. En dépit des évidences*², les enquêtes officielles ont conclu qu’il n’y avait pas eu délits d’initiés au motif que les spéculateurs n’étaient pas liés à Al-Qaida. Et pourtant, dans les jours précédant les attentats, tous ceux qui travaillaient sur les marchés d’options et qui étaient connectés au Chicago Board, avaient su que quelque chose se tramait, une réalité confirmée par le célèbre magazine d’information 60 Minutes (magazine d'information américain produit par CBS News et diffusé sur le réseau de télévision CBS depuis 1968) : "Des sources ont confié à CBS News que l’après midi précédant les attentats, des sonnettes d’alarme ont retenti soulignant le niveau anormalement élevé des transactions effectuées sur le marché américain des options" (CBS News, 19/09/01). Prétendre que la CIA ignorait tout de ces achats massifs alors que la communauté financière avait bel et bien été alertée est inconcevable. Comme l'a dit un Grand Reporter, c’est "aussi absurde que de nier les lois de la gravitation universelle" (Eric Laurent, sept. 2005, pp.60-61).

* Associated Press (18/09/01); Bloomberg News (18/09/01); San Francisco Chronicle (19/09/01); Le Monde (19/09/01); Reuters (20/09/01); San Francisco Chronicle (22/09/01).

Le 10 septembre, la veille des attentats, ce sont 4516 options de vente d’actions American Airlines qui sont acquises contre 748 options d’achat (Associated Press, 18/09/01), près de 11 fois la moyenne quotidienne enregistrée les mois précédents (Chicago Tribune, 19/09/01). Aucune autre compagnie aérienne n’a fait l’objet de telles spéculations à la baisse sur sa valeur boursière. Et les titres United Airlines et American Airlines ne sont pas les seuls à avoir fait l’objet de transactions financières suspectes à la veille des attentats.

 

Des mystérieux passeports

NEW-YORK 2001-L’agent du FBI Dan Coleman a raconté la façon dont on lui a remis le fameux passeport de Satam Al-Suqami retrouvé intact au pied du World Trade Center. "Quelqu’un avait tendu le passeport [à l’inspecteur de police du quartier], et quand il a relevé la tête, le type s’était enfui", relate Dan Coleman. "Dans n’importe quelle investigation, on aurait cherché à en savoir plus sur la personne qui aurait trouvée le passeport", s’est étonné le réalisateur et producteur de reportages et documentaires pour la télévision journaliste David Carr-Brown. "Toute l’enquête se base ensuite sur ce passeport donné par on ne sait qui", a-t-il fait remarquer au site web satirique français d'information journalistique Bakchich (disparu en 2016). Selon le rapport officiel de la Commission d’enquête sur le 11-Septembre, ce passeport a été ramassé par un passant un peu avant que les tours du WTC ne s’effondrent et confié à un inspecteur de la police de New-York du nom de Yuk H. Chin, qui l’a lui-même ensuite remis personnellement au FBI.

FRANCE 2015- Voici après le passeport la carte d’identité malheureusement oubliée par l’un des terroristes de Charlie Hebdo dans la voiture qu’ils ont abandonnée à Pantin pour brouiller leur piste. Il est vrai qu’hier soir, "ils" (les policiers par ricochet) avaient déjà les noms des terroristes avant-même d’avoir eu le temps de commencer à mener une quelconque enquête un tant soit peu sérieuse. Alors, ce matin, "ils" se devaient d’expliquer un tel miracle. D’où le coup de la carte d’identité oubliée dans la première voiture de fuyards suffisamment intelligemment préparés pour mener sans coup férir une telle attaque terroriste, mais suffisamment idiots pour prendre avec eux leurs cartes d’identité, dont chacun sait bien qu’on la laisse toujours à la maison quand on doit mener une telle opération.

 

Des attaques à l'Anthrax

Le livre paru en anglais The 2001 Anthrax Deception ("La tromperie de 2001 sur l'anthrax") de l'auteur Graeme Mc Queen, qui ne sera sans doute jamais traduit ni publié en France faute d’éditeur intéressé, dévoile, preuves à l’appui, que les fameuses attaques à l’anthrax d’octobre 2001 ne sont qu’une gigantesque manipulation, étroitement liée aux attentats du 11-Septembre, et qu’elles ont probablement été menées par le même groupe de personnes au sein même de l’administration Bush.

Le 18 septembre 2001, une semaine après le 11 septembre, la première lettre empoisonnée à l’anthrax est livrée à une agence de presse en Floride. Les semaines suivantes, plusieurs autres lettres contenant des spores d’anthrax sont envoyées à d’autres agences de presse à New York, ainsi qu’à deux sénateurs à Washington DC. Vingt-deux personnes sont contaminées. Cinq d’entre elles meurent. La peur et la panique règnent. Pour la première fois dans l’histoire moderne, le Congrès des Etats-Unis est fermé.

Le 11 février 2003, le secrétaire d’État Colin Powell intoxique la "communauté internationale" pour justifier l’invasion de l’Irak. Il affirme au Conseil de sécurité que Saddam Hussein abrite un chef d’Al-Qaida, Abou al-Zarkaoui, et une usine d’armes chimiques.

L'Anthrax ou maladie du Charbon, fabriqué aux USA dans des laboratoires ultra-modernes, a en fait été envoyé à certaines personnes qui en savaient trop, et qui désiraient faire connaître la vérité sur l'arnaque terroriste du siècle. Des stations de télévision et des hauts fonctionnaires ont été ainsi mis au pas très rapidement, aux yeux de tous, pour que cela serve de leçons.

* L'anthrax est une maladie infectieuse grave causée par des bactéries à Gram positif en forme de bâtonnets connues sous le nom de bacille du charbon ("Bacillus anthracis").

 

Rapine institutionnelle (1)

Mouammar Kadhafi (1942/2011), le guide libyen, était très méchant. C'est pourquoi, les gentils - Anglais et Français associés - devaient intervenir, leurs guerres étant forcément justes, les morts semés sur les champs de bataille n'étant que des dégâts collatéraux bien navrants. C'est vrai que l’État français l’avait reçu en grande pompe à Paris, lui ayant laissé planter sa tente de bédouin dans la capitale. Mais à ce moment-là, il était un ancien méchant, qui avait notamment dézingué le 18 septembre 1989 un avion de ligne français d’UTA au Niger, provoquant la mort de 170 personnes, dont 54 Français. Notre chef d’État de l'époque voulait toutefois en faire un gentil fréquentable. Pourquoi ? Parce qu'il était assis entre autres sur un tas d’or aussi bien financier que pétrolier*, son fonds souverain détenant un petit magot de 400 milliards d’euros... et qu'il avait nombre de champs pétroliers utiles pour nos pays "oléo-dépendants", d'autant plus à un moment où l’on pensait que le pic pétrolier allait nous mener à la catastrophe et à la pénurie très rapidement.

Finalement les associés filous se sont demandé pourquoi fallait-il payer quelque chose qui pouvait être pris gratuitement, hormis le coût de quelques tonnes de bombes et de munitions et des quelques heures de vol de leurs avions. Ainsi a été fomenté en 2011 un vol d’État, celui des ressources d’un pays et de son épargne, avec l'aide comme souvent de l'ami américain. Comme d'habitude nombre de mensonges ont été proférés, comme le soi-disant bombardement par l’aviation libyenne de manifestants pacifiques qui défilaient à Tripoli en solidarité avec Benghazi diffusé par la chaîne Al-Jazeera, la voix du Qatar (qui mettra tout son poids financier et diplomatique pour neutraliser Mouammar Kadhafi), ou les soi-disant charniers refermant 6.000 corps (Timisoara bis repetita), aucune photo n’étant venue confirmer cette information. Quant à la reconnaissance du CNT (Conseil National de Transition) le 10 mars, dont on n’avait jamais entendu parler jusqu'alors, il tombe le jour où une soi-disant colonne de chars fonce sur Benghazi pour la rayer de la carte, que ni les satellites, ni les avions d’observation n'ont vu progresser dans une région totalement désertique, aride et parmi les régions les plus photographiées à ce moment-là. Et c'est sur la foi de cette menace que le 19 mars la France enverra ses Rafales attaquer, non pas une colonne de chars qui se dirigent vers Benghazi, mais quatre chars qui sortaient de la ville et qui avaient déjà été mis en déroute par des rebelles armés... Les forces spéciales ont fini par capturer le guide en octobre, qui a été vite achevé, histoire qu’il ne parle pas, ce qui valait mieux pour la tranquillité d’esprit de certains des tristes commanditaires qui n'hésiteront à bomber le torse, fiers de la forfaiture démocratique accomplie.

La mort a été semée et le chaos créé par ce printemps arabe qui a mis fin au règne de Mouammar Kadhafi et laissant le pays divisé selon des lignes de démarcation tribales et régionales. Quelques beaux philosophes, cheveux au vent, sont venus parader dans le désert, servant cyniquement comme chiens médiatiques de propagande d'alibi et de caution morale à de pseudo démocraties déclarées. Et contrairement à l’intervention militaire de la Russie en Ukraine en 2022, les puissances occidentales n’ont reçu aucune sanction, malgré leur œuvre de destruction dévastatrice, et la presse internationale ne les a pas condamnées. Aujourd’hui, le français Total et l’anglais BP (British Petroleum) exploitent le pétrole libyen dont nous nous sommes disputés les dernières gouttes de pétrole, sang vital de notre économie capitaliste basée sur la consommation de masse (la production de pétrole brut y varie entre un million et 1,1 million de barils par jour). Mais nous ne sommes pas arrêtés là. Dix milliards de fonds libyens sur les seize gelés en Belgique en 2011 par l’ONU ont été évaporés des comptes d’Euroclear Bank SA (dont la Libyan Investment Authority et sa filiale Lafico sont les bénéficiaires économiques) entre fin 2013 et fin 2017, tel que vient de le révéler la presse belge, et ce sans autorisation de dégel accordée par la Trésorerie du SPF Finances belge. Où sont donc passés les milliards de Kadhafi ? Il n’y a pas à dire. Nous sommes vraiment des "gentils"...

* Nicolas Sarkozy, qui nie les faits qui lui sont reprochés, a été inculpé le 21 mars 2018 après une information judiciaire ouverte en 2013 pour "corruption passive", "financement illégal de campagne électorale" et "recel de fonds publics libyens", et placé sous contrôle judiciaire.

 

De l'autre mobile de l'assassinat de Khadafi

La Libye sous le prétendu dictateur Kadhafi était un pays riche et stable avec les acquis sociaux les plus élevés de toute l’Afrique. Qui plus est, Kadhafi avait osé prendre l’initiative de refuser le Dollar et l’Euro, appelant les nations arabes et africaines successivement lors de conférences en 1996 puis dans les années 2000 à utiliser une nouvelle monnaie à la place, le Dinar Or, c'est-à-dire une monnaie africaine unique fabriquée à partir d’or. Il avait suggéré en effet d’établir un continent africain unifié, dont les 200 millions d’habitants utiliseraient une seule monnaie… Cette initiative a été mal vue par tant par les États-Unis que l’Union Européenne, aucun ne voulant une monnaie solide concurrente au dollar, dans la mesure où ce dernier couvre près de 90 % des transactions monétaires internationales, 60 % des réserves de change, et près de 40 % de la dette mondiale. Cela confère aux États-Unis et par là-même ses vassaux un pouvoir extraordinaire sur presque tous ceux qui importent ou exportent quoi que ce soit, où que ce soit.

Plusieurs pays africains s'étant montrés enthousiastes à l'idée de mettre en place une monnaie unique africaine à même de rivaliser avec l'Euro et le Dollar, la réalisation de cette initiative n'aurait pas manqué de redéfinir la balance économique du monde, la richesse des pays dépendant de la quantité d'or dont ils disposent, et non du nombre de dollars qu'ils échangent. Et comme la Libye disposait de 144 tonnes d'or...

Ayant décidé fin 2000 de vendre en euros le pétrole irakien, notamment à la France et l’Allemagne, ses principaux acheteurs européens, il demanda également à l’ONU de convertir en euros son fonds de réserve qui était de dix millions de dollars. Immédiatement après le 11 septembre 2001, Donald Rumsfeld (alors secrétaire à la Défense des États-Unis) et Dick Cheney (alors vice-président des États-Unis et ancien directeur d'Halliburton, une multinationale spécialisée dans l'industrie pétrolière qui a décroché de gros contrats en Irak en 2003) mettent en œuvre un projet pour faire tomber l'Irak, la Libye, la Syrie et l'Iran. Paul Wolfowitz (alors secrétaire adjoint à la Défense, sous les ordres de Donald Rumsfeld), déclare : "les revenus du pétrole irakien au cours des deux ou trois prochaines années vont apporter 50 à 100 milliards de dollars, qui viendront rembourser la propre reconstruction du pays et plus encore". En 2003, les États-Unis et leurs alliés envahissent l'Irak en prétextant que le régime dispose d'armes de destruction massive ("weapon of mass destruction", ou WMD), et lancent l'Operation Iraqi Freedom qui prévoit la chute de Saddam Hussein et l'instauration d'une démocratie irakienne. Deux mois après l'invasion de l'Irak de mars 2003, George W. Bush annonce le rétablissement des ventes du pétrole irakien en dollar US... Tout ceci sera par la suite révélé, tant la demande du président Obama à ses conseillers d’élaborer des options incluant un nouveau front militaire en Libye et de la mobilisation du département de la défense à se tenir prêt à mener l’ensemble des opérations militaires terrestres nécessaires, que la publication en 2016 des courriels de Mme Clinton révélant un autre objectif derrière la guerre en Libye, à savoir la prévention de la chute du dollar américain et de la prévention de la création d’une monnaie forte indépendante en Afrique qui libérerait le continent de son esclavage économique, rivaliserait avec le dollar et l’euro et mettrait fin à l’exploitation du franc français..

L'histoire se répète en 2022 dans le cadre du conflit Russo-Ukrainien. Les sanctions occidentales visant à paralyser l'économie russe ont amené Vladimir Poutine à exiger le paiement à la banque russe en roubles de son gaz fourni à nombre de nations européennes. C'est un nouveau pas franchi par le joueur d'échecs du Kremlin vers la dédollarisation, menace vitale pour les USA, car révélant que ces derniers sont financés par le monde entier, ou presque, le dollar étant un stock de pouvoir qui a été accumulé et qui produit des rentes en continu puisque contribuant au pouvoir de prélèvement des États-Unis sur les richesses mondiales. Mais, en le militarisant, ceux-ci réduisent la durée de vie de leur rente ! Ou comment conduire l'aigle à tomber de son piédestal de monnaie internationale dans les griffes de l'ours et du tigre...

 

Complicité africaine

Avant d’être renversé par un coup d’État militaire fin août 2023*, le président gabonais Ali Bongo, désespérément corrompu, était courtisé par jadis par le président états-unien M. Obama , et fêté de Washington à au Forum économique mondial de Davos. La guerre américaine contre la Libye, qui a déstabilisé la région, n’aurait sans doute pas réussi sans lui. Avec l’aide d’Obama, M. Bongo a tenté de se faire passer pour un réformateur modernisateur. Il s’est rendu à plusieurs reprises à Davos, en Suisse, pour assister au Forum économique mondial, où il a été nommé "contributeur à l’agenda". Il s’y était engagé à accélérer la quatrième révolution industrielle en Afrique en mettant en place des systèmes lucratifs d’identification et de paiement numériques au sein de la population fortement appauvrie de son pays.

C'est pourquoi, comme l’avaient fait avant eux les citoyens du Niger, du Burkina Faso et du Mali, des foules de Gabonais se sont déversées dans les rues pour célébrer la destitution d’un dirigeant soutenu par l’Occident, dont la famille affichait un train de vie somptueux alors que plus d’un tiers de la population du pays croupissait dans la misère.

* Lorsqu’une junte militaire a arrêté le président Ali Bongo Ondimba le 30 août, le Gabon est devenu le neuvième pays africain à déposer son gouvernement par un coup d’État militaire.

 

Le jupitérien Monsieur Propre

Après "l'hyperprésident" Nicolas Sarkozy et la présidence "normale" de François Hollande, Emmanuel Macron a souhaité incarner un président "jupitérien", ce qu'il avait assuré dès le mois d'octobre 2016 dans un entretien au magazine économique Challenges alors qu'il n'était encore que le candidat d'En Marche !, le mouvement qu'il avait lui-même fondé quelques mois plus tôt. Un président "jupitérien" serait donc un chef d'État qui tient de Jupiter, le dieu romain qui gouverne la terre, le ciel et tous les autres dieux. Il en a le caractère impérieux, dominateur, mais également protecteur de la cité, au sens de l'ensemble des citoyens, en l'occurrence la République de France. C'est pourquoi il a marqué le début de son quinquennat par une série de symboles, comme au soir de son élection devant la Pyramide du Louvre*, essayant par cette succession d'images d'impulser un retour à un président fort. Il est détenteur de l’arme fatale, la foudre, en l'occurrence la parole, celle qui symboliquement envoie le feu à chaque fois qu’il s’exprime. Ne parlant pas en principe pour ne rien dire (l'imposture a depuis été révélée), il s'attache à susciter le désir en restant au dessus du bruit médiatique. Est-ce donc un hasard si le pupitre en bois que Macron avait fait fabriquer pour lancer les discours de sa campagne ressemble tant à celui de François Mitterrand, qualifié jadis de "Dieu" dans l'émission parodique le "Bébête show", qui avait été baptisé sous ses septennats de ... Jupiter !

Devenu ainsi martien - dieu de la guerre - le temps d’un week-end, notre illustre Jupiter président et à ce titre chef des armées a, conformément à la Constitution lui donnant autorité, décidé de bombarder en avril 2018 au nom de tous la Syrie, disant pour se justifier que "Nous avons la preuve que la semaine dernière (deuxième semaine d'avril) des armes chimiques ont été utilisées, au moins du chlore, et qu’elles ont été utilisées par le régime de Bachar al-Assad". En sa qualité de grand démocrate, il avait alors fait publier, sur le site du ministère de la Défense, une "synthèse" permettant d’informer les citoyens des preuves en sa possession, celles qui ont justifié une attaque sans résolution de l’ONU, donc sans aucun cadre légal, d’un autre pays souverain. Les preuves étaient présentées comme… accablantes, justifiant au passage sa volonté de lutter contre les "fake news" en les interdisant des réseaux sociaux et autres sites à caractère comploteur sur lesquels on peut trouver tout et n’importe quoi (ce qui au demeurant n’est pas faux).

Le ministère de la Défense expliquait ainsi doctement "Les services français ont procédé à l’analyse des témoignages, photos et vidéos apparus spontanément sur les sites spécialisés, dans la presse et les réseaux sociaux dans les heures et jours qui ont suivi l’attaque. Des témoignages obtenus par les services ont également pu être analysés. L’examen des vidéos et images montrant des victimes et mises en ligne ont permis de conclure avec un haut degré de confiance que la grande majorité est de facture récente et ne relève pas d’une fabrication. La nature spontanée de la mise en circulation des images sur l’ensemble des réseaux sociaux confirme qu’il ne s’agit pas d’un montage vidéo ou d’images recyclées. Enfin, une partie des entités ayant publié ces informations est reconnue comme habituellement fiable." Autrement dit, la source principale d’information résidait dans l’analyse de vidéos apparues spontanément sur Facebook...

Pourquoi alors continuer à financer chèrement satellites, agents secrets, espions, bateaux et avions qui écoutent avec de grandes oreilles pour, à si peu de frais, tenir la preuve irréfutable de la turpitude source de la répression décidée ? Savoir que notre Président, aussi jupitérien soit-il, peut décider de la paix ou de la guerre sur l’analyse d’une vidéo postée sur le profil Facebook d’une association syrienne "habituellement fiable" démontre sans ambages l'étendue du mépris des moutons du troupeau, 24 % d'entre eux s'étant enorgueillis en bêlant à tue-tête de lui confier les clés de leur prochaine tonte, sinon abattage...

* Cf. Symbolique des neufs premiers nombres.

 

Rapine institutionnelle (2) : "Le surendettisme"

Le thème du "trop de dettes" apparait désormais éculé tant les institutions de gouvernance de l'économie - FMI, Banque mondiale, Fed, BCE,... - la débattent aux fins de trouver des solutions pour réduire la dette et mener les réformes adéquates. Il ne s'agit que d'un bal des hypocrites, la  réduction de la dette n'étant pas du tout la priorité des État-providence depuis qu'elle est disponible en quantité semble-t-il illimitée, et ne coûte rien. Le système monétaire et financier est au contraire conçu pour la favoriser.

Il a pris naissance après la fin de Bretton Woods en 1971 avec l’avènement du créditisme, toutes les monnaies étant devenues flottantes, sans ancrage dans le réel. Les matières premières se négociant en dollar, il faut des dollars. Les dollars s’exportent donc facilement et les banquiers centraux les stockent sous forme de bons du Trésor américain qui rapportent un petit quelque chose. Parallèlement, les banques commerciales collectent les dépôts et sont autorisées à créer du crédit, de l’ordre de 10 à 30 fois leurs fonds propres (l'argent que les actionnaires de la banque ont mis au pot). Nous entrons ainsi dans un système selon lequel "les crédits font les dépôts". Il fait que lorsqu'une banque accorde un prêt, l'argent correspondant est créé et apparaît comme dépôt ailleurs, le système dit des réserves fractionnaires permettant aux banques de ne consigner qu’une infime partie des dépôts auprès de la banque centrale dont elle dépend, celle-ci leur accordant une patente pour prêter de l'argent qui n'existe pas encore (pour 1 de dépôt, les banques commerciales peuvent en prêter 99, ce qu'on appelle le système des réserves fractionnaires). Cet argent est prêté pour des dépenses privées, des investissements ou des dépenses publiques.

Le capital prêté n’existant pas à 99 %, les prêteurs ne prennent donc pas de risque, surtout s'ils prêtent à des États, ces mêmes États qui leur ont accordé leur licence de création monétaire. Et les prêteurs en mauvaise posture seront sauvés par la Banque centrale, leur État, c'est-à-dire les contribuables. Autrement dit, ce système a généré des faux-monnayeurs adoubés par l’État ! Or la création de monnaie par des faux-monnayeurs, est condamnée par la loi. La seule différence est que ceux qui en profitent sont différents du particulier qui s'y risquerait... Ce système n'a rien à voir avec le capitalisme dans sa conception initiale. Il en a découlé l'instabilité, qui ne peut supporter que la croissance du crédit, tout resserrement du crédit privé en circulation entraînant des faillites et donc des récessions et tout resserrement de la dette publique entraînant une diminution de la consommation subventionnée par les dépenses de redistribution. Comme les banques centrales sont censées réguler la masse de crédit en ajustant leurs taux directeurs, des crises financières toujours plus fréquentes et des bulles spéculatives se succèdent depuis, toujours plus rapprochées et plus graves : crise japonaise, krach de 1987 et crise des Caisses d’épargne américaines (savings & loan), bulle internet de 2000, crise du crédit subprime en 2008, et désormais la crise sanitaire enclenchée en 2000...

Cf. Maurice Allais, La Crise mondiale aujourd'hui, éd. Clément Juglar, 1999.

 

 La nouvelle crise qui se profile

Le prochain épisode paroxystique de difficultés économiques que nous allons connaître est en cours, la récente baisse importante des cours des indices américains l'indiquant. Lorsqu'elle se produira, une fois encore les soi-disant experts du système diront qu’elle était imprévisible, que le "propre" des bulles est d’exploser sans qu’on les voie, que l’on ne pouvait pas prévoir… Pourtant tout est prévisible, seul le moment ne l’étant pas...

Cette nouvelle crise n’est pas du tout nouvelle. Elle a commencé en 2000, il y a 18 ans déjà, avec l’explosion de la bulle Internet puis les attentats du 11 septembre qui ont poussé les autorités monétaires à réduire considérablement les taux pour relancer l’économie. Cette baisse a créé les conditions d’une immense bulle boursière dont le sommet a été 2007 avant la crise sanitaire de 2020, et d’une toute aussi grande bulle immobilière saupoudrée de quelques avancées financières appelées "titrisations" *.

Pour calmer la spéculation à cette époque, les banques centrales ont remonté les taux directeurs. À 5-6 % pour ces taux, tous ceux endettés à taux variable se sont retrouvés insolvables. C’était la crise des subprimes. En fait, une crise d’endettement liée à une augmentation des taux.

Puis la crise déclenchée par ceux-là même qui décidèrent de monter les taux à ce moment-là fut combattue en abaissant les taux jusqu’à 0 puis même en territoire négatif, une grande première.

Ces taux négatifs créèrent des bulles encore plus gigantesques que celles de l’épisode de crise de 2007 ou de 2000-2001. Or, pour officiellement calmer un peu tout cela, les banques centrales montent à nouveau les taux, dont le seuil sensible est situé très précisément entre 2,8 et 3 %. En cas d'explosion des différentes bulles, la plus grave serait la bulle obligataire. Et c'est ce qui fait que cette nouvelle crise peut être bien pire que les précédentes, d'autant plus si le raisonnement tordu des banquiers centraux consistait à piloter une augmentation des taux directeurs tout en faisant baisser les taux de marché afin de créer un krach boursier pour rediriger l’épargne et les flux vers ledit marché obligataire ...

Nous en sommes en fait depuis 2008 toujours au même point, les indices étant toujours basés sur de la volatilité (même faible), ayant simplement repoussé le moment du paiement de l’addition par la stratégie de diversion menée ...

* Transformation des créances, y compris douteuses, détenues par une banque en titres négociables. Ainsi les fameux fonds dit "subprimes", qui avaient été revendus sous forme de produits financiers partout dans le monde avec de beaux rendements. L’appât du gain étant l’un des péchés capitaux les plus partagés au monde, tous les investisseurs et autres épargnants s'y étaient jetés dessus comme "la petite vérole sur le bas clergé", alors qu'ils étaient insolvables…

 

Le cycle "infernal"

Crise immobilière. Crise bancaire. Crise boursière et financière. Crise économique. Plans de relance payés par les États avec de la dette et du déficit. Injection de liquidités des banques centrales et taux 0 puis négatifs. Explosion des marchés boursiers, obligataires et immobiliers à la hausse. Bulles multiples majeures et jamais égalées. Remontées des taux. Explosions de toutes ces bulles simultanées cette fois dont la plus grave… la bulle obligataire.

 

Le conseil de bon sens

Dans son dernier livre Jouer sa peau : Asymétries cachées dans la vie quotidienne, l'essayiste et ancien trader d'options Nassim Taleb explique que nous ne devrions pas accepter de conseils de la part de gens qui n'ont pas d'enjeu aux résultats.

 


Un précédent planifié

La fameuse crise économique de 1929 et la Grande dépression des années trente représentent certainement, encore de nos jours, la période la plus sombre qu’aient connu les économies capitalistes. Même après plus de 80 ans, cette crise reste toujours présente à l'esprit des investisseurs. En effet, comme le naufrage du Titanic, l'effondrement de la bourse la plus puissante du monde a marqué l'imaginaire des gens.

Entre 1921 et 1929, la banque centrale américaine - la FED (Federal Reserve Bank) - augmenta la masse monétaire de plus de 60%. Un nouveau type de prêt fit alors son apparition : le margin loan, "prêt sur marge". Grâce à ce prêt, tout investisseur pouvait ne payer que 10% de l’action qu’il désirait acquérir, les 90% restants provenant directement du courtier. Si le prêt sur marge devint très populaire dans les années 20, il existait cependant une condition à laquelle peu firent attention : il était à tout moment possible pour le prêteur de réclamer un remboursement du prêt dans les 24h. Conséquence directe d’un tel "appel de marge", la vente des actions acquises par l’investisseur.

L'appel massif du remboursement des "margin loans" par l'établissement bancaire de New York eut pour résultat de dévaster le marché par des crashs en octobre de 1929. Il y eut d'abord le "Jeudi Noir", le crash initial, survenu le 24 octobre. Puis le crash qui causa la panique générale fut le "Mardi Noir", cinq jours plus tard, le 29 octobre. Au lieu d'étendre la masse monétaire, la Réserve Fédérale la contracta, créant ainsi la période connue sous le nom de Grande Dépression. La masse monétaire baissa de 8 milliards de dollars de 1929 à 1933, causant la banqueroute de 11 630 banques sur le total de 26 401 existantes aux États-Unis. Cela permis aux banquiers centraux de racheter des banques rivales et des corporations entières à des prix dérisoires ! Il est intéressant de noter que dans les biographies du financier Jack Pierpont Morgan dit J.P. Morgan, des industriels Joe F. Kennedy et John Davison Rockefeller, et de l'homme d'affaires Bernard Baruch, il est indiqué qu'ils ont tous réussi à transférer leurs capitaux hors du marché et à les convertir en or juste avant le crash de 1929. Joe Kennedy, le grand-père de John futur président, passa ainsi d'une fortune de 4 millions de dollars en 1929 à 100 millions de dollars en 1935.

Paul Warburg, un fondateur et membre de la Réserve Fédérale, avait en mars 1929 averti de la crise et de la dépression dans un rapport annuel aux détenteurs de stocks de son International Acceptance Bank : "Si l'on permet aux orgies de spéculations de s'étendre, la crise qui en viendra n'affectera clairement pas seulement les spéculateurs eux-mêmes, mais prendra le pays entier dans une dépression générale."

C'est ainsi qu'en 1929 les banquiers en contrôle de la Federal Reserve Bank* ont organisé un coup d’État économique, en créant de toutes pièces un effondrement de la bourse. Les principales entreprises impliquées se sont discrètement retirées du marché boursier au cours des mois précédents. Ils en profiteront ensuite pour reprendre les affaires les plus profitables, liquider les autres, et mettre la main sur d’immenses terres (plus des deux tiers des fermes indépendantes à l'Ouest du Mississippi), que les fermiers états-uniens sont forcés de laisser aller, faute de liquidités.

Le crash de 1929 n’a rien eu d’accidentel. C’est un événement soigneusement planifié. Les Banquiers internationaux ont cherché à engendrer ici une condition désespérée, de façon à devenir nos maîtres à tous.

* Depuis sa création, la Réserve fédérale a présidé les Krachs de 1921 et 1929, la Grande dépression de 1929-1939, les récessions des années 53, 57, 69, 75 et 81 et le lundi noir de 1987, où 22% des valeurs totales de la Bourse chutèrent en une journée.

 

Covid-19, ou du bon usage de la manigance par les mythes

La gestion de crise du Covid-19 démarrée en février 2020 a donné lieu à une véritable comédie humaine, qui serait telle la lecture de l’œuvre d'Honoré de Balzac réjouissante si elle n'était dramatique. Pêle-mêle, elle s'est traduite par une fantasque déclaration de guerre contre un virus, à une restriction sans précédent des libertés individuelles à l’échelle d’une population, à la désignation de héros jusqu'alors méprisés devant être applaudis à heure fixe, et bien sûr à la condamnation médiatique de prétendus responsables livrés successivement à l'opprobre populaire (gouvernements successifs pour entre autres la pénurie de masques, Asiatiques, Italiens, présumés riches ayant l’outrecuidance de voyager hors du clapier désigné, joggers et promeneurs, etc.). C'est ainsi que pour assurer la cohésion sociale les dirigeants orchestrateurs à la baguette ont fait naître des mythes nationaux destinés à cimenter l’opinion publique, certains se dégonflant comme une baudruche telle la prétendue inutilité des masques chirurgicaux.  

Trois d’entre eux, acceptés quasi-unanimement, ne résistent pas à l’épreuve des faits lorsqu’il s’agit de prendre des décisions éclairées.

Le premier est que la mondialisation libre-échangiste soit responsable d'une épidémie qualifiée de manière grotesque de pandémie, alors même qu'en dépit de sa brutalité elle est loin de revêtir ce qui caractérise une pandémie à l’échelle de l’humanité, son taux de létalité étant évalué à environ 1% des malades déclarés ! Pour mémoire, ce qui fut nommé "grippe espagnole" a tué entre 1918 et 1920 entre 2,5% et 5% de la population mondiale. De son côté, la deuxième pandémie de choléra débutée en 1826 fit plus d’un million de victimes, sa létalité mesurée dans certaines zones françaises dépassant les 2,5%. Quant à la peste noire, vers 1350, qui toucha l’Europe, l’Asie et l’Afrique du Nord, elle emporta 30% à 50% des Européens en cinq ans et décima environ 25 millions de personnes. Ces exemples prouvent que les pandémies n’ont pas besoin des moyens de transport modernes et des ouvertures de frontière pour exister...

Le second mythe est ce que la presse généraliste dite "mainstream" et les hommes politiques présentent comme les effets socio-économiques du confinement, soit la récession comme le fait du coronavirus, celui-ci étant amené à faire disparaitre selon les estimations entre 40 et 80 millions de personnes dans le monde avant la fin de l’année 2020. Il convient simplement de rappeler qu’il meurt chaque année 57 millions de personnes et qu’il en naît près de 147 millions au monde, ceci démontrant que les décès liés au coronavirus n’auraient eu aucune conséquence économique détectable sur l’économie mondiale. En revanche, si les frontières sont fermées, si les trains sont à l’arrêt et les avions cloués au sol, si des millions de salariés sont au chômage technique, ce n’est pas à cause de l’épidémie mais à cause des décisions politiques qui ont été prises pour y faire face sous l'influence d'"éminents" comités scientifiques.

Enfin, le troisième mythe est que le confinement constitue une mesure de santé publique pérenne. Or, c'est faire fi de ce que les épidémiologistes ne cessent de répéter, c'est qu'en l’absence d’un vaccin approprié, seule l’immunité de groupe permet à long terme d’éteindre une telle épidémie, ce qui a de tout temps caractérisé l'adaptation naturelle de l'être humain à l'évolution sans cesse changeant de son environnement. Ne pas le soutenir c'est laisser les populations naïves face au virus, et les condamner à vivre avec l’épée de Damoclès du pic de contamination. Confiner encore et encore pour retarder l’inéluctable est l’équivalent sanitaire de l’impression monétaire qui tente, depuis 2000 et la crise des "techs", et 2009 avec celle des "subprimes", de faire passer la crise de solvabilité occidentale pour une crise de liquidité.

Ces trois mythes insidieux revenant sans cesse comme des mantras dans le discours politico-médiatique ne sont autrement dit que des fables destinées à galvaniser et hystériser les populations en période de crise, en leur interdisant par les peurs et les agitations psycho-émotionnelles en découlant la salutaire prise de conscience.

 

Spoliés, brisés et maltraités, ou la doctrine de l'élite maltraitante

La nouvelle génération des brillants technocrates qui nous gouvernent consiste à piétiner les travailleurs, se dissimulant derrière leur profession de foi sans vergogne de garantir les libertés, l’égalité, la justice et la neutralité carbone. Il s'agit d'une classe à part, au moment où les prix augmentent et appauvrissent une grande masse de la population également. Le programme de ces élites technocrates et bobos gauchistes (ou wokistes) qui gèrent nombre de nations occidentales a pour objectif de pourrir la vie des petites gens, et ce pour atteindre leurs objectifs pathétiques, ceux d'un grand reset civilisationnel. Et pour ce faire, il est nécessaire que les citoyens apprennent à vivre avec moins et obéissent aux injonctions de réduction de l'empreinte carbone. Car l'heure de la décroissance est arrivée, et c’est le peuple, bien évidemment inculte et ignorant, qui doit en faire les frais. Et pour que le peuple ne se mette pas en travers de leur chemin délirant, ils utilisent combines et stratagèmes.

Les braves gens sont spoliés, brisés et maltraités, et la situation va empirer. Et pendant ce temps, les plus riches voient leur patrimoine croître sans interruption, chaque personne au sommet de la pyramide gagnant de l'ordre de 230 fois plus d’argent que celles se trouvant à la base. Et qui paiera l’ardoise finale, le "peuple" bien sûr. C’est tout l’intérêt de la taxe qu’est l’inflation.

 

Créer des problèmes puis offrir des solutions

Également appelée "problème-réaction-solution", cette stratégie consiste à créer une problématique sociale dont un ensemble de circonstances découleront, et à même de susciter une réaction populaire demandeuse de mesures, celles que l’on souhaite précisément faire accepter... Ainsi le fait de laisser se développer une migration plus ou moins clandestine ou une violence urbaine, afin de mieux instaurer des lois sécuritaires au détriment de la liberté individuelle, comme celles autorisant les fouilles corporelles . Il en est de même dans l'organisation d'attentats sanglants par l'entremise d'officines spécialisées*, ou l'orchestration d'une crise économique sévère pour faire accepter comme un mal nécessaire le recul des droits sociaux, l'acceptation de "petits boulots" et de bas salaires, le démantèlement des services publics et les privatisations. Dans le domaine de la santé, "on" laisse se répandre des épidémies comme la grippe H1N1, afin de faire accepter aussi au monde entier la nécessité de prendre des vaccins, ou de recevoir une puce sous la peau contre le virus ...

Les médias relais se chargent de la mise en sauce "émotionnelle", jouant sur les pulsions basiques de citoyens peu à même de réfléchir sur "à qui profite le crime" réellement. Comme l'a dit Benjamin Franklin : "Si un peuple est assez stupide pour échanger ses droits et libertés pour une soit-disant sécurité… il ne mérite ni l’un, ni l’autre… et c’est exactement ce qu’il obtiendra"...

* Roland Dumas, ancien Ministre des Affaires Étrangères, confirma officiellement en septembre 2013 avoir été approché à Londres courant 2010 par les services secrets britanniques et américains dans le cadre de la mise en œuvre en Syrie d'un groupe d'action composé d'opposants pour renverser par insurrection populaire le président Bachar El Assad. Afghanistan, Serbie, Libye, Irak... autant d'autres cas d'espèce qui, par-delà les discours officiels et la couverture médiatique inféodée, montrent de quelle façon le système prédateur fonctionne, le soi-disant droit des peuples à disposer d'eux-mêmes étant totalement dénié.

 

Quelques précédents historiques

Il y a les exemples avérés, comme ceux du temps de Rome voyant Néron mettre la ville à feu pour faire accuser les chrétiens, ou encore Hitler ordonner à ses troupes en 1933 de mettre le feu à leur parlement, le Reichstag, afin de faire croire que cet incendie a été causé par les Juifs. D'autres, quoique toujours controversés, interpellent, comme la découverte en 1989 d'un charnier à Timisoara en Roumanie qui entraînera la chute et la mort "spectacle" du président Ceausescu abattu, les cadavres étant en fait ceux de pauvres gens sortis de leur tombes et maquillés pour donner l'impression qu'ils avaient été torturés*. Ou encore le massacre de Račak, soit le supposé massacre de 45 albanais du Kosovo qui a eu lieu le 15 janvier 1999, pendant la guerre du Kosovo. Il aurait été commis par la police serbe - version bien entendu niée par la République fédérale de Yougoslavie d'alors -, justifiant les frappes de l'OTAN sur les forces serbes...

* Cf. Les médias occidentaux, et en particulier français, annoncent d'abord des centaines de morts, puis jusqu'à 70 000 quelques jours plus tard. L’ancien président de la Roumanie Ion Iliescu est à cet effet poursuivi en avril 2018 (29 ans après ...) pour crimes contre l’humanité pour les mesures volontaires de "diversion"  prises après la chute du dictateur Nicolae Ceausescu à l'issue de la révolution roumaine de 1989.

 


Continuité de la diversion, cette stratégie éclaire tout particulièrement la géo-politique mise en place au XX° siècle, explicative de l'agenda occulte de cette fin de cycle civilisationnel. Elle puise ses racines au XVII° siècle, en France, où des "terroristes" décapitaient des gens - la Révolution française - pour faire tomber le Roi, soit un coup d’État à l'initiative d'agents anglo-saxons dans le cadre de la rivalité coloniale entre la France et l'Angleterre, son "meilleur" ennemi, la France manœuvrant pour faire perdre à l'Angleterre son contrôle de l'Inde et de l'Irlande. Ceux-ci, qui finançaient également en parallèle les royalistes et les chouans, se servaient comme relais du banquier et hommes d'affaires dévoyé suisse (naturalisé britannique) Étienne Clavière (1735/1793) pour manipuler comme mentor et sponsor le comte Honoré-Gabriel Riqueti de Mirabeau (1749/1791), alors ruiné et pourchassé par la justice, homme clé de la Révolution maçonnique par ses écrits séditieux...

Elle s'élabore dans les années 1920 avec le financement en Russie de la révolution bolchévique par les banques états-uniennes comme JP Morgan (tout comme elles financeront le nazisme)*, qui voit en parallèle l’affaire des anarchistes d'origine italienne Nicola Sacco et Bartolomeo Vanzetti dans les années 1920 aux États-Unis, condamnés à mort et exécutés en dépit de leur innocence, et ce suite à une vague d'attentats commis sur le sol des États-Unis qui ne furent jamais élucidés... Cette propagande anti-gauchistes (les "Rouges") était en fait un prétexte à l'expulsion du territoire d'opposants au "modèle" occidental, tout comme à isoler l'URSS de l'Europe et affaiblir les puissances comme l'Allemagne et la France. Ainsi les États-Unis pourchassaient "les gauchos" sur leur sol tout en les encourageant chez autrui... soit la stratégie des forces antagonistes qui sera théorisée par l'âme damnée des présidences Carter puis Obama, Zbigniew Brzeziński (1928/2017), dans son livre The Grand Chessboard : American Primacy and Its Geostrategic Imperatives ("Le grand échiquier : L'Amérique et le reste du monde"). Elle-même découlait de la théorie du Heartland, nom donné à une analyse géopolitique globale de l'histoire du monde proposée par le géographe britannique Halford John Mackinder (1861/1947) publiée en 1904 sous la forme d'un article présenté à la Royal Geographical Society, titré The Geographical Pivot of History ("le pivot géographique de l'histoire").

On en retrouvera les mêmes causes avec les Brigades Rouges*² (Brigade Rosse) en Italie, mouvement d'extrême-gauche infiltré tant par la CIA états-unienne*³ (Central Intelligence Agency) que soutenu financièrement par l'Union soviétique dans les années dites de plomb (années soixante-dix et quatre-vingt), soit la prolongation de la guerre froide initiée après la seconde guerre mondiale entre le bloc occidental supervisé par les États-Unis et le bloc de l'Est sous l'égide à l'époque de l'URSS. Elle permettra l'adoption de lois sécuritaires en Italie, à l'image de celles prises depuis quelques années en France, préalables indispensables à l'instauration d'une nouvelle Gouvernance mondiale...*

* Cf. Antony Cyril Sutton (1925 – 2002), économiste, historien et écrivain britannique, auteur de "Wall Street and the Bolchevik Revolution" (1974) & "Wall Street and the Rise of Hitler" (1976).

Le groupe qui compte dès 1970 1 200 militants tuera au total 84 personnes, dont l'emblématique président du parti de la Démocratie chrétienne Aldo Moro, enlevé et assassiné en 1978.

*³ Infiltration par le Gladio ("Glaive" en italien - image 2), structure créée sous l'égide du ministre de l'Intérieur, Mario Scella dès le lendemain de la Seconde Guerre mondiale pour parer à une menace d'invasion soviétique.

* Cf. Prophétie du changement.

 

Coup d’État militaire au Chili

Le coup d’État du 11 septembre 1973 au Chili est un événement marquant de l'histoire du Chili, qui a vu le gouvernement du président démocratiquement élu Salvador Allende renversé violemment par un coup d'État militaire dans un contexte de crise et de forte polarisation politique, sociale et économique, avec une opposition entre le pouvoir exécutif et les pouvoirs législatif et judiciaire. Il est intervenu deux mois après le Tanquetazo, une première tentative de coup d'État en juin.

En raison de l’intervention secrète de la CIA au Chili et du caractère répressif du régime du général Pinochet qui s'en suivit, le coup d’État est devenu la prise de pouvoir militaire la plus notoire dans les annales de l’histoire de l’Amérique latine. Les révélations selon lesquelles le président états-unien d'alors Richard Nixon avait ordonné à la CIA de "faire hurler l’économie" au Chili pour "empêcher Allende de prendre le pouvoir ou le renverser" ont provoqué un scandale majeur au milieu des années 1970 et une enquête approfondie du Sénat américain.

Toutefois, depuis le coup d’État, peu de documents américains relatifs au Chili ont été déclassifiés jusqu’à une date récente. Grâce à des demandes au titre de la loi sur la liberté de l’information (Freedom of Information Act) et à d’autres moyens de déclassification, les Archives de la sécurité nationale ont pu compiler une collection de documents déclassifiés qui font la lumière sur les événements survenus au Chili entre 1970 et 1976.

 

Nous retrouvons également ce même mode de fonctionnement à partir de 1991 avec le GIA - le Groupe islamique armé (image 3) - en Algérie, une organisation armée soi-disant dans le but de renverser le gouvernement algérien alors qu'il a été conçu pour discréditer l'opposition algérienne et permettre le maintien au pouvoir de la dictature militaire. Il servira de base de lancement au futur mouvement djihadiste Al-Qaïda (image 4) dans les années quatre-vingt avec ses déclinaisons en État islamiste (Daech, Isis ...)*, conçu, par les stratèges de la CIA pour les intérêts des États-Unis : d'abord pour faire fuir les Russes d'Afghanistan afin de sécuriser un oléoduc, puis au Moyen-Orient (maîtrise du pétrole irakien et sécurisation du dollar, le pétrole local étant alors vendu en euros). Là se trouve le pourquoi des attentats du 11 septembre 2001 sur le sol des États-Unis, bien différent de la version servie par les "illustres" experts des médias inféodés... Le principe des pompiers pyromanes aux méthodes mafieuses est toujours le même, visant l'obtention du combiné intérêts économiques et surveillance généralisée des pays "contaminés" au prétexte de l'aide à la lutte contre le terrorisme.

De la même façon, les services secrets britanniques - le Secret Intelligence Service (SIS) également connu sous la dénomination de MI6 (Military Intelligence, section 6) manipuleront l'Armée républicaine irlandaise (IRA - image 5) pour commettre des attentats afin de discréditer le mouvement politique d'émancipation à la tutelle anglaise.

* Cf. Le féminin séquestré. Le major général Douglas Stone, alors commandant général de la Force opérationnelle en 2004 pour les détenus de la guerre en Irak, a reconnu depuis avoir fait des prisons de l'armée américaine une école préparatoire au djihadisme planétaire, tout particulièrement à destination du sol européen, ce que les faits ne cessent de confirmer.

Cf. Sources et références dans le livre de Pierre Daouat, "Tout Ce Que Vous Auriez Voulu Savoir Sur la France et Que l'on Vous a Toujours Caché" (2015).

 

Du djihadisme international, ou la guerre sociale à grande échelle

Le djihadisme international s'inscrit dans un contexte de subversion financière internationaliste, qui s'attache sans cesse à instrumentaliser des troupes irrégulières plus ou moins mercenaires ou fanatiques en raison de la crainte des élites oligarchiques de voir des classes moyennes émergentes contester leur domination par l'élévation continue de leur degré de conscience sociale et politique. Ainsi la perspective d’une "guerre contre la Terreur" sert à les terroriser, l’enjeu n’étant en aucune façon la religion. A cet effet, le djihadisme n'est que l’énième nouvelle apparence d'une constante ancienne et multiforme, dont les buts pragmatiques sont la monopolisation des sources de richesses mondiales, et ce quels qu’en soient les moyens. Les enjeux religieux sont ainsi utilisés avant tout pour les camoufler. 
Trois facteurs interdépendants ont contribué à instrumentaliser les combattants irréguliers pseudo-musulmans appelés djihadistes :

. La conquête initiale des pétroles du Moyen-Orient à la faveur de la Première Guerre mondiale;

. La monopolisation des matières premières stratégiques par la City puis par Wall Street;

. L'habillage "idéologique" des guerres économiques avec des motifs religieux, certains étant teintés d’un messianisme subversif additionnel.

Il en a découlé la déstabilisation des États-nations stables par ces guerres d’intérêts dissimulées derrière de nobles motifs religieux pour leur donner une apparence de "légitimité". C'est cette méthode qu'avait jadis utilisé l’Empire britannique pour justifier et mener ses différentes guerres coloniales, aboutissant à des changements de régime permettant la monopolisation des matières premières stratégiques (pétrole, gaz, diamant, métaux précieux…), et que l'homme d'État français Jean-Baptiste Colbert (1619/1683), l'un des principaux ministres du Roi Louis XIV, avait déjà résumé il y a plus de trois siècles : "Il n’y a rien de plus nécessaire dans un État que le commerce […] qui est de ce fait une guerre d’argent". 

Cette manipulation s'accompagne par les psychopathes dénués d’empathie officiants tant de volontés d’abrutissement délibéré des populations civiles que de stratégies du choc à grands coups d’attentats terroristes et de nouvelles guerres traumatisantes comme le 11 septembre 2001, la guerre d’Irak de 2003 et la crise du COVID-19 depuis 2020, cette stratégie néo-orwellienne visant au final leur soumission. 
La réalité est qu'il s'agit d'une sorte de "guerre sociale" à grande échelle, non pas entre les deux seules classes chères à Karl Marx - "bourgeois" contre "prolétaires" -, mais entre une seule classe contre toutes les autres : une classe parasite et prédatrice qui ruine artificiellement toutes les autres sur fond de luttes religieuses...

* Cf. Lost Hegemon ("L’hégémonie perdue"), paru en 2018 sous le titre français "Le charme discret du djihad" de l'économiste, écrivain et journaliste américain Frederick William Engdahl.

 

Le Dégradé

 

Dans la continuité de la stratégie précédente, la stratégie de la dégradation permet de faire accepter l’inacceptable par l'application de mesures progressives, en "dégradé" et sur plusieurs années, en s'attachant bien évidemment à rendre les individus "amnésiques" par la stratégie de diversion. Ainsi dans le domaine économique le chômage massif, la précarité, la flexibilité, les délocalisations, les bas salaires, la baisse des retraites et l'allongement de la durée du travail… autant de changements à l’avantage du "néolibéralisme" et de la mondialisation*, qui auraient provoqué une forte mobilisation résistante - sinon une révolution - s’ils avaient été appliqués brutalement. Sur un plan gouvernance, elle accompagne la mutation du "modèle démocratique", très imparfait, en un "nouvel ordre mondial", dernière étape du calendrier cyclique civilisationnel*² ...

* Cf. Le modèle européen décodé (2) L'idéologie mondialiste & Le fonctionnement de la société contemporaine (2) Le libéralisme.

Cf. Prophétie du changement.

 

La canicule, paravent de la transition écologique fiscale

Un été chaud, même très chaud, n'est pas exceptionnel, loin s'en faut en France. Nos voisins espagnol, italien et portugais y sont habitués, non pour quelques jours mais pour plusieurs semaines d'affilée, au-delà de 40° diurne * ! Ce qui fait la définition d’une canicule et de sa dangerosité pour les organismes fragiles n'est pas que la durée, mais aussi les températures nocturnes. Or, en se référant à tous les relevés de température depuis trente ans, nous pouvons facilement constater que ce qui est nommé la canicule de l'été 2019 relève d'une manipulation. Autrement dit, comment rendre le réchauffement invisible visible !

L’alarmisme hors de proportion passe par l'orchestration d'une opération de propagande et de conditionnement qui, martelant la terrible gravité de l'épisode de chaleur par la répétition en boucle de la dramatisation de la situation, crée les conditions de stress et de panique chez les plus fragiles tout en préparant les esprits à des mesures de transition écologique dont la nature fiscale confiscatoire est la signature de l’État prédateur. Celui-ci se dédouane qui plus est à bon compte de son rôle de protection préventive, en imposant par la force à ses sujets la réparation de son indigence. Et le citoyen couillon, convaincu d'avoir (trop) chaud, ne peut être contre… Comme par magie ressurgit la énième taxe carbone destinée à pénaliser les moteurs à essence ou diésel, le fioul lourd et le kérosène, avant dans quelques années d'ériger une taxe lithium lorsque la docte communauté scientifique aura reconnu le niveau de pollution des batteries électriques...

 

Les chaînes d'info sensationnalistes tournant 24 heures sur 24 contribuent tout particulièrement à la manipulation. Si nous regardons une carte météo à " l'ancienne " (photo 1), elle se caractérise par des tons orangés s'intégrant dans une déclinaison d'ensemble pastel, afin de souligner des températures élevées (jusqu'à 38° sur la carte). Aujourd’hui (photo 2), le rouge foncé choisi a pour raison d'être de dramatiser, à l'excès il va sans dire, relayé comme à l'accoutumée par une succession de directs "apocalyptiques "...


Le Différé

 

Cette stratégie consiste à présenter une décision impopulaire comme une difficulté nécessaire, afin d'obtenir l’accord du public dans le présent pour une application future. En effet, celui-ci accepte généralement l'idée d'un sacrifice douloureux pour plus tard que tout de suite, persuadé naïvement que les choses d'ici là se seront améliorées... Il en résulte que cela laisse du temps pour s’habituer à l’idée du changement, conduisant à l’accepter avec résignation lorsque le moment sera venu.

 

La construction du mécano mondialiste

Deux exemples illustrent la stratégie du différé. Ainsi le passage à l'Euro et la perte de la souveraineté monétaire et économique, qui ont été acceptés par les pays européens en 1994-95 pour une application en 2001. Ou encore les accords multilatéraux du FTAA, zone de libre-échange des Amériques (Nord et Sud) que les USA ont imposé en 2001 aux pays du continent américain pourtant réticents, en concédant une application différée à 2005. Ils ont été finalement abandonnés par l'administration Obama, compte-tenu de l'hostilité manifestée par un grand nombre de ces pays.
Cf. Le modèle européen décodé (2) L'idéologie mondialiste

 


L'Infantilisation du public.

Bienvenue au club des lapins crétins !
Bienvenue au club des lapins crétins !

 

La plupart des publicités destinées au grand-public utilisent un discours, un scénario, des arguments, des personnages, et un ton particulièrement infantilisants, comme si le citoyen était un enfant en bas-âge ou un déficient mental. Elles constituent un appel du pied au public à considérer normal cet état de "sous-citoyen", pas très évolué et à même de réfléchir et de comprendre les problèmes complexes gérés par leurs représentants qui, naturellement, se situent en haut de l'échelle ...

Cette stratégie correspond à deux axiomes :

. Le premier veut que dans un collectif, on s'adapte toujours au plus idiot, jamais le contraire. C'est le pourquoi des discours politiques comme des programmes d'information comme de divertissement des médias grand public, soit de plus ou moins fausses réalités où se mélangent la crétinerie absolue et la dégénérescence humaine. On racle les bas-fonds de la conscience humaine pour un public de voyeurs et de lobotomisés.

. Le second postule qu'au regard du mécanisme de la suggestibilité (de l'induction), une telle communication nivelée vers le bas entraîne avec une certaine probabilité une réaction aussi dénuée de sens critique qu'une personne de douze ans. Et la programmation télévisuelle apparaît sans égale en la matière, s'attachant à vendre du temps de cerveau disponible par ses programmateurs cyniques et dévoyés sous leurs aspects respectables* ...

* Il n'est qu'à regarder la composition de nombre d'émissions de débat proposées sur des chaînes de radio ou de télévision privées, où l'on retrouve d'anciens dirigeants/hauts cadres de l'audiovisuel ou de la presse écrite présentés comme " éminents " (dont beaucoup d'ex patrons de rédaction) venant commenter l'actualité et " s'indigner " sur tel et tel sujet. Ils s'indignent en fait sur le résultat de leur propre indigence, continuant à leurrer le quidam comme eux-mêmes ...

 

Le passage à l'euro pour les "zéros"

Exemple typique, cette campagne TV française pour le passage à l'Euro, sujet éminemment sérieux, baptisée "les jours euro", montre clairement que plus on cherche à tromper le citoyen, plus on adopte un ton infantilisant. Il n'est qu'à voir le résultat, notamment une hausse des prix de 40 % !

 


Crétinisation de masse : la folie Pokémon Go

En 2016, le jeu du studio Niantic a atteint les 50 millions de téléchargements en un temps record, ayant rapporté en un mois plus de 200 millions de dollars ... Un vent de fantaisie a soufflé sur le monde cet été, la sortie du jeu Pokemon GO séduisant des millions de personnes, bien au-delà du cercle classique des joueurs de jeux vidéo. Rapidement, l'application s'est imposée dans le paysage de l'app-store comme l'un des produits les plus lucratifs du marché pour ses créateurs. La raison majeure du succès de Pokemon Go réside avant tout dans la popularité du monde imaginé par son concepteur Satoshi Tajiri, peuplé par de petits animaux appelés Pokemon qu'il est possible d'attraper puis de faire combattre afin de devenir "le meilleur dresseur". C'est ainsi que chaque épisode classique de la série de Nintendo, sortis sur les consoles portables de la marque, sont des succès en termes de ventes. Outre la popularité de la saga, Pokemon Go doit sa réussite à l'utilisation de la réalité augmentée, une technologie qui pousse l'utilisateur à sortir et explorer l'extérieur au travers de son smartphone. Le passé du fondateur de Niantic, John Hanke , a d'ailleurs soulevé un certain nombre d'inquiétudes notamment sur l'utilisation des données récupérées par le jeu. John Hanke était en effet impliqué dans le scandale qui a accompagné la création de Google Street View : les véhicules qui sillonnaient les rues du monde entier se sont avérés être des aspirateurs à données personnelles ... Et si le vent de folie est vite retombé, les nombreux accrocs restent en attente de nouvelles possibilités, notamment un système de combat entre joueurs digne de ce nom. Le studio a promis qu'il n'en resterait pas là...

 


Vivons-nous et pensons-nous comme des porcs ?

Dans un essai-pamphlet acide et corrosif, le mathématicien et philosophe Gilles Châtelet (1944/1999) dépeint avec férocité l'ordre cyber-mercantile, la société néolibérale et l'absence de pensée qui en découle. Dans la mesure où les êtres humains ne cessent de passer avec l'époque des compromis honteux, il n'a pas d'autre moyen que de faire l'animal (grogner, fouir, ricaner, se convulser) pour échapper à l'ignoble. Aussi la pensée même est parfois plus proche d'un animal qui meurt que d'un homme vivant, même démocrate (tirade des philosophes Gilles Deleuze et Félix Guattari figurant en exergue de l'essai).

On y rencontre des économistes, sociologues et autres intellectuels mondains, qui fabriquent l'époque à coups de concepts : société tertiaire de services, ère postindustrielle, démocratie-marché, monde communicationnel, fluidité des échanges, autorégulation. Nombre d'individus se croient heureux, libres dans leur tête, alors qu'ils ne sont que des anonymes et précaires comme des gouttes d'eau ou des bulles de savon. Quant à leur bonne conscience humaniste, elle met plus souvent la main sur le cœur qu'au porte-monnaie pour rendre hommage aux charniers en tout genre. L'ordre cyber-mercantile a réussi à plonger ce monde dans la " fluidité ", soit la circulation des biens et des personnes - les " nomades " de Jacques Attali - avec une réduction maximale de tous frottements. " C'est l'image photonique du monde rêvé par le financier spéculateur d'un monde où tout bouge absolument sans que rien ne bouge. " La manipulation du mercantilisme tout-puissant sur les individus, et ce qui en découle pour la pensée, conduit à un dangereux décervelage, l'ère postindustrielle et postmoderne étant aussi " post-métaphysique ". Les prétendues règles de l'économie mondiale sont aux commandes d'un " mécanisme invisible qui est le véritable pouvoir dirigeant de notre monde ".

L'émergence de la société transhumaniste est en cours par une science ayant par la théorie générale des réseaux et systèmes (la cybernétique) favorisé la fabrication de comportements garantissant une étanchéité totale à l'intelligence politique. Il en découle des " unités organiques " plus ou moins complexes, affublées de droits de l'homme et capables de rétroagir à l'environnement. Le rapport instrumental est établi à travers la création d'un vaste soupçon de parasitisme concernant toute activité qui ne manifesterait pas immédiatement une certaine " visibilité opérationnelle ", permettant à l'empiriste mercantile de beugler : " Il est temps de réquisitionner la science et la religion et de mettre à contribution tous ces savants qui ne fichent rien et tous ces prêtres qui font la guérilla ! "

L'auteur conclut sur le fait que " nous serons bientôt sept milliards à être victimes de cette malédiction qui, voici presque deux siècles, scandalisait l'homme politique irlandais Edmund Burke : " Plus on produit de richesses, plus il y a de paupérisme ! " Le travail est désormais écartelé entre le travail-corvée de la survie et le travail-performance de la " Surclasse ", négligeant le travail-patience, seul à même d'engager une amplification inouïe de la liberté ...

Cf. " Vivre et penser comme des porcs. De l'incitation à l'envie et à l'ennui dans les démocraties-marchés ", Exils, 1998 (essai, réédition, Gallimard, Folio).

 

Faire appel à l’émotionnel plutôt qu’à la réflexion.

L'appel à l'émotionnel, de polarité féminine (magnétique), est une technique classique pour court-circuiter l'analyse rationnelle, et par-là même annihiler le sens critique des individus. Il favorise le sens binaire, de type "j'aime/je n'aime pas", qui occulte l'appréhension globale du problème ou de la situation. Qui plus est, il permet d'ouvrir la porte d'accès à l'inconscient - le subconscient plus précisément - pour y implanter des idées, des désirs, des peurs, des pulsions, ou des comportements...

C'est pourquoi les événements exceptionnels - type assassinat du président états-unien John Fitzgerald Kennedy le vendredi 22 novembre 1963 à Dallas* (photo 1), les attentats du World Trade Center, Charlie, Bataclan... ou sportifs - constituent des occasions idéales de manipulation des foules emportées par l'irrationnel émotionnel pour être conduites là où leurs bergers l'ont décidé...

Son neveu Robert Kennedy junior a clairement attribué en mai 2023 la responsabilité de ce meurtre à l'agence de renseignement CIA (Central Intelligence Agency).

 

De l'assassinat de JFK

La raison profonde, cachée, de l'assassinat est qu'à l'instar de Donald Trump, les Kennedy une fois arrivés au pouvoir, ont multiplié les programmes visant à promouvoir la paix, non la guerre. John Fitzgerald dit Jack (1917/1963), le 35ᵉ président, avait créé le Peace Corps ("Corps de la Paix") en 1961, une Agence fédérale indépendante relevant du Département d'État voyant dès 1965 quelque 10 000 volontaires y travailler bénévolement dans des pays du Tiers-Monde. Son frère Robert Francis dit Bob Kennedy (1925/1968), s’est quant à lui attaqué à la mafia. Leur sœur Eunice Mary épouse Shriver (1921/2009) avait fondé en 1968 les Jeux olympiques spéciaux s'adressant à des personnes en situation de handicap mental âgées de 8 à 80 ans.

Face à eux se tenait le complexe militaro-industriel, allié aux intérêts des agences d’espionnage et au Congrès américain par la corruption de la plupart de ses représentants, républicains comme démocrates. Ce complexe ne contribuait pas à répandre la véritable vertu de l’expérience américaine, mais à la transformer en vice. Assassinats de dirigeants étrangers… instigations de révolutions… coups d’Etat : les fauteurs de guerre n'ont eu de cesse d'éloigner les Etats-Unis de la démocratie honnête qu’ils étaient censés être.

Lors de la crise des missiles de Cuba, Kennedy avait ignoré ses conseillers militaires (à l’exception de Robert MacNamara). Au lieu de procéder à une "première frappe" avec des armes nucléaires contre le Kremlin, il avait préféré négocier directement avec Nikita Khrouchtchev, le président russe qui de son côté avait ses propres partisans qui essayaient de le pousser à une action militaire. Kennedy et Khrouchtchev sont parvenus à un accord honorable pour les deux parties, les Russes décidant de retirer leurs missiles et les Américains s'engageant en parallèle à ne pas envahir l’île. Cet accord est d'ailleurs en grande partie le reflet de la proposition faite par Vladimir Poutine à la veille de son invasion de l’Ukraine, rejetée au final par les Ukrainiens soutenus par leurs conseillers américains. Plus tard, Kennedy avait élaboré un traité d’interdiction des essais nucléaires, avec comme volonté une véritable et authentique paix, non une Pax Americana imposée au monde par les armes de guerre américaines, une paix du "tombeau", mais un genre de paix qui permet aux hommes et aux nations de croître, d’espérer et d’édifier une vie meilleure pour leurs enfants. 

Ce désir de paix a mis les Kennedy en guerre contre l’industrie la plus puissante des Etats-Unis, le "complexe militaro-industriel", contre laquelle le 34° président Dwight David Eisenhower surnommé Ike (1890/1969) avait mis en garde en 1961.

 

Cf. L'expérience émotionnelle, Comprendre et apprivoiser la prédation & Libération émotionnelle.

 

Assassinats masqués

La mise en scène émotionnelle de meurtres au nom de l'intérêt d’État et des business acoquinés masque la mise en scène de leur réalisation. Chantage, pressions, argent, menaces... les témoins sont réduits au silence* pendant que leurs orchestrateurs actif ou passifs cyniques font d'émouvantes déclarations sur les plateaux médiatiques aux ordres*². Seuls quelques courageux chercheurs de vérité tentent de secouer la lâche apathie mentale des moutons engoncés dans le déni ou détournant la tête pour continuer à brouter leur pâturage toxique.

* Ainsi Marc Granier, CRS ayant dénoncé sur le réseau YouTube entre autres des assassinats d’État, a été interné en hôpital psychiatrique début mai 2018, son cas divisant les partisans du "complot" et ceux le considérant comme perturbé psychologiquement.

Ainsi le "sherpa" de François Mitterrand, Président à l'époque du décès de Daniel Balavoine, et de Coluche, Jacques Attali.

 

 

L'année 1986 voit successivement deux figures du "show-biz" disparaître dans des circonstances peu claires au regard de la version officielle donnée, rejoignant d'autres morts "célèbres" dans des circonstances troubles (Robert Boulin en 1979, Pierre Bérégovoy en 1993, François de Grossouvre en 1994...). A quelques mois d'une nouvelle élection présidentielle, quelles révélations ces deux artistes en marge du système s'apprêtaient-ils à faire pour être sacrifiés sur l'autel de la prédation ?

Cf. "Daniel Balavoine, meurtre déguisé ?", livre de Jean Pernin (2015) & "Coluche, l'accident", livre d'investigation écrit par Jean Depussé et Antoine Casubolo (2006).

 


De l’omerta sur un crime d’État

Un rapport d’expertise médico-légale* ordonné par le juge d’instruction en charge de nos jours du dossier (son dossier fait 7 000 pages) a établi en 2020 qu’il était impossible d’affirmer que Robert Boulin, ministre du Travail et de la Participation du président d'alors Valéry Giscard d’Estaing, se soit suicidé, et ce 41 ans après les faits (son corps a été retrouvé le 30 octobre 1979 dans un étang profond de 60 centimètres d’eau et de vase en forêt de Rambouillet). Ce rapport d’expertise met à mal la version officielle et désormais obsolète du suicide. Parmi de nombreux éclairages, il s’avère que le cadavre de Robert Boulin a subi dans l’enceinte de l’Institut médico-légal de Paris dans lequel il avait été initialement transporté des soins d'une thanatopraxie illégale (aucun accord signé de la famille comme exigé) le momifiant, rendant impossible toute éventuelle future contre-expertise, hormis la recherche de fractures d’os. La violence que le ministre a subi au moment de sa mort est définitivement reconnue, loin des versions fantaisistes données, notamment par des officiers de police, et ayant conduit les magistrats à conclure au suicide par noyade. En tout,  84 anomalies ont été induites dans ce dossier !

Robert Boulin a bel et bien été assassiné, frappé à mort et probablement dans de grandes souffrances (possiblement torturé), et ce en raison de la lutte fratricide sans merci que se livraient les deux "droites" politiques, celle de Giscard d’Estaing, UDF, Président de la République, et celle de Jacques Chirac, président du parti gaulliste RPR, qui avait démissionné de sa fonction de Premier ministre pour mieux se positionner pour les présidentielles de 1981. Difficile de ne pas évoquer le sinistre Charles Pasqua (1927/2015), loyal lieutenant de Chirac, qui dirigea le Service d’Action Civique (SAC), milice aux ordres du pouvoir avant d’être dissous en 1982 après une tuerie de trop (Boulin s’était fait un ennemi personnel de Pasqua en le faisant expulser du RPR après une triche électorale interne, et gênait Chirac dans ses ambitions, notamment en pouvant devenir comme prévu Premier ministre en remplacement de Raymond Barre).

Le jour de sa mort, Robert Boulin a sans doute choisi de mettre cartes sur table face à ses ennemis déclarés, ayant préalablement sorti du coffre de son bureau au ministère du Travail des dossiers compromettants pour le RPR, révélant les mannes financières dont profiteront des années durant quasiment tous les partis politiques français (fonds publics alloués par le groupe Dassault, transactions réalisées par l'entreprise publique Elf-Aquitaine, détournements à la Sécurité sociale, commissions sous forme de dons de la vente d'avions à l'Arabie saoudite...).

Comme reconnaissance implicite de cette boîte de Pandore dans la vie politique française, il n'est qu'à se souvenir de la petite phrase sibylline de l'ancien président de la République socialiste François Mitterrand entendue à la télévision le 12 avril 1992 : "Aucun de nos ministres n’a été assassiné dans des conditions douteuses". Ou encore celle de son ministre Lionel Jospin, affirmant haut et clair, dans un meeting à Clermond-Ferrand début 1988, que "Robert Boulin a été assassiné comme de Broglie et Fontanet". Sans oublier celle de l'ancien président de la République de droite Nicolas Sarkozy, formulée hors contexte, lors de son premier discours de campagne en 2007 : "Je n’oublie pas Robert Boulin". Comme une menace à peine voilée à l’encontre de certains de ses collègues...

* Les quatre experts de ce nouveau collège d’expertise médico-légale ont notamment étudié les conclusions des deux autopsies réalisées sur le corps de Robert Boulin le 30 octobre 1979, puis le 16 novembre 1983. La première fut réalisée par des experts en médecine légale et un

radiologue qui ont obéi au procureur de la République de Versailles, celui-ci leur enjoignant de ne pas examiner le crâne du défunt sous le prétexte que la famille s’y opposait, ce qui était faux. Seule la recherche de balles éventuelles, dont aucune trace n’était pourtant constatée en surface, fut ordonnée ; les fractures, témoignant de coups reçus, aussi visibles sur la face du ministre que sur les clichés du radiologue, furent ignorées.

Cf. Livre du journaliste Benoît Collombat, auteur de "Un homme à abattre : contre-enquête sur la mort de Robert Boulin" (Ed. Fayard, 2007).

 

Les enfoirés de la manipulation

"Les Enfoirés" est le nom que prend depuis 1985 un regroupement d'artistes et personnalités publiques, principalement francophones, pour chanter au profit de l'association caritative des Restos du Cœur, créée par Coluche qui est aussi à l'origine de cette appellation. Les chansons interprétées sont empruntées principalement au répertoire francophone, mais aussi international, de plus de trois cents artistes interprètes. Il constitue une des plus grandes audiences de la chaîne diffuseuse*. Aussi constitue-t-il une occasion en or de diffusion dans l'inconscient du troupeau d'une symbolique à caractère entropique (la polarité dite sataniste), très explicite dans le cru 2018...

* En 2013, TF1 a enregistré un pic d'audience de 14,7 millions de téléspectateurs à 21 h 50.

 

 


Le leurre "Je suis Charlie"

Ce slogan est devenu le symbole de cet attentat perpétré le 7 janvier 2015. Il a été créé par Joachim Roncin, le directeur artistique du magazine Stylist, sorti à 12h52 soit moins de deux heures après le début de l’attentat. Le magazine appartient au groupe Lagardère. Très rapidement, Je suis Charlie est devenu un ralliement pour des dizaines de millions de personnes en France et à travers le monde, ceux qui ne s'en revendiquant pas étant mis à l'index comme "mauvais citoyen"… Quel paradoxe pour un slogan censé défendre la liberté d’expression !  

La répétition massive de Je suis Charlie avait pour but de créer un égrégore ou forme pensée, formé de l’énergie psychique des gens s’identifiant à l’esprit Charlie… Cette énergie psychique a ainsi été utilisée pour renforcer la réalité consensuelle de la Matrice asservissante, en l'occurrence la préparation de l'arrivée prochaine d'un nouveau "sauveur" venu rétablir la paix. C'est tout l'enjeu du projet Bluebeam*. Pour ce faire, elle a été associée à un autre évènement mineur, passé inaperçu, soit la sortie du film Charlie Mortdecai le 21 janvier en France (Cf. photo). Dès le 9 janvier, les affiches l'annonçant ont été placardées dans tout Paris pour renforcer dans l'inconscient l'esprit de "Je suis Charlie".  Ce film qui évoque la mort (des Russes fous furieux, des services secrets britanniques très remontés, un terroriste international...) a pour thème l’or nazi. Il participait bel et bien de ce rituel morbide, avec comme clin d’œil glaçant la terminaison finale du nom de son titre, cai, anagramme de CIA (Central Intelligence Agency). Autant dire une signature subliminale du système prédateur, les attentats sous fausse bannière étant perpétrés avec l'appui de cette organisation mise en route en 1947 avec la collaboration d'anciens nazis...

* Cf. Contrôle mental & Prophétie du changement.

 

Les poutres opportunes de Notre-Dame

Le tragique incendie de la cathédrale emblématique parisienne d'avril 2019 constitue une circonstance favorable à la mise en œuvre d'un projet de privatisation du domaine public à des fins spéculatives. Notre-Dame se situe sur l'île de la Cité (Cf. photo), qui appartient en grande partie (90 %) à l’État. S'y trouvent également l’ancien Palais de Justice classé aux monuments historiques, le célèbre 36 quai des orfèvres  presque vide lui aussi depuis le départ en 2017 de la Brigade criminelle et de la Brigade des stupéfiants, la Conciergerie (l’ancienne prison où Louis XVI fut retenu avant son exécution), l'immense hôpital l’Hôtel Dieu (plus de 20000m²), le Marché aux fleurs et le Marché aux oiseaux, l’imposant Tribunal de Commerce qui occupe une grande partie de l’île, le bureau des naturalisations de la préfecture de Paris, la compagnie motocycliste, une partie de l’école nationale de la magistrature… Quant à Notre-Dame, la cathédrale appartient à l’État, non à l’église catholique !

Comment ne pas penser qu'un État qui a tant besoin d’argent ne trouve là une occasion en "or" de transformer discrètement ses propriétés en poules aux œufs d’or ? La réalité est que la bataille autour d’une des plus grandes promotions immobilières du pays a déjà commencé depuis plusieurs années, la réhabilitation du parvis de l’hôpital Hôtel Dieu devant être confiée à un opérateur privé en vue de développer des activités commerciales destinées selon la direction de l'AP-HP (Assistance publique des Hôpitaux de Paris) à permettre le rayonnement du site * ... C'est un   futur architectural fondamentalement très commercial qui est imaginé, conduisant à la mise en œuvre de la plus colossale opération immobilière au centre de Paris, endroit où le prix du mètre carré est "indexé" sur les 14 millions de touristes qui y passent chaque année.

C'est pourquoi l'étincelle qui a mis le feu aux poutres à la toiture de Notre-Dame arrive à point nommé pour accélérer la mutation de l’île de la Cité, le cœur du cœur de Paris, destinée à devenir l’un des endroits les plus chers de la planète. Et le projet de loi destiné à contourner les règles sur les marchés publics (législation par ordonnance) pour accélérer sa remise en état a comme une odeur d'impunité juridique visant à masquer des fraudes potentiellement dignes d'une République bananière...

* Cette partie de l’Hôtel-Dieu de Paris a été cédée en mai 2019 pour 144 millions d’euros grâce à un bail de 80 ans au promoteur immobilier Novaxia qui disposera de 20.000 mètres carrés pour une "offre variée de restauration et de commerces".

 

Troublantes coïncidences

L’incendie de Notre Dame qui s’est produit le 15 avril 2019 avait pour date anniversaire celle d’un autre attentat présenté comme un accident, celui du Titanic qui a coulé le 15 avril 1912*. Une cathédrale est d'ailleurs souvent comparée à un vaisseau...

De son côté, l'archivage web a permis de découvrir que le site officiel de la cathédrale avait annoncé fin mars, et ce jusqu’au jour même, que les tours seraient rendues inaccessibles aux visiteurs une heure plus tôt dans la journée du lundi 15 avril. Mais nul ne sait pourquoi les responsables de la cathédrale ont restreint l’accès aux tours une heure plus tôt pour ce 15 avril, aucune explication n'ayant été fournie sur le site à propos de cet avertissement. Détail troublant, la première alarme a retenti à 18h20, et le feu fut constaté vers 18h50, suite à la seconde alarme de 18h43. Et c'est précisément durant la tranche horaire de 17h30/18h30 spécialement interdite aux visiteurs comme aux ouvriers qui avaient tous quitté les lieux à 17h30 que le foyer du feu fut activé…

Les observateurs ont également relevé l'existence d'une vidéo réalisée par la plateforme viewsurf https://www.viewsurf.com/univers/vill..., qui offre des vues de points répertoriés de la ville de Paris au rythme d'une minute par caméra. Ainsi, à cinq minutes suivant l'heure, c'est au tour de la cathédrale Notre-Dame d'être filmée. A 17h05, la caméra a pu filmer l'évolution d'un individu vêtu de couleur sombre sur l'échafaudage recouvrant sa toiture, faisant des allers et retours sans but apparent. Lors de deux instants précis de la minute filmée par la caméra de viewsurf, deux éclairs de lumières de durée différente sont nettement visibles, à la dixième et à la vingt-huitième seconde de la vidéo. La caméra ayant relevé l'empreinte d'un fort dégagement d'énergie électromagnétique émanant d'un objet, ou d'un appareil tenu par l'individu pendant des durées de temps légèrement différentes, et avec également une intensité différente, il est vraisemblable que l'individu tenait à bout de bras un appareil capable de dégager de vastes quantités d'énergie électromagnétiques, en action tout le temps de sa déambulation sur l'échafaudage. A deux reprises, à la dixième et à la vingt-huitième seconde de la vidéo de viewsurf, il a changé l'orientation de cet appareil, de façon à ce que la gueule dégageant de l'énergie soit précisément dans l'axe de la prise de vue de la caméra, ce qui explique l'apparition d'une empreinte sur la vidéo correspondant à une saturation due à une forte énergie électromagnétique. Il en découle trois questions : qui est cet individu, que fait-il exactement sur l'échafaudage couvrant le toit de Notre-Dame de Paris et avec quel appareil ?

Quant à Benjamin Mouton, l'architecte en chef en charge des travaux d'alors, une pointure internationale, il a indiqué que "L'incendie n'a pas pu partir d'un court circuit, d'un simple incident ponctuel. Il faut une vraie charge calorifique au départ pour lancer un tel sinistre. Le chêne est un bois particulièrement résistant." (la charpente était en chêne de 800 ans). Qui plus est, l’installation électrique avait été rénovée, et des installations modernes de détection de feu installées.

Comme il n'y a jamais de hasard dans la matrice viciée des illusions, est-il utile de rappeler que le 15 avril correspond à l'arcane 15 du Tarot, le Diable... En l'occurrence, il est le symbole de l'écroulement de la foi et de la sécheresse spirituelle réduit à des valeurs culturelles marchandes... Comme le toit est ce qui permet à un édifice de le protéger de toutes intempéries ou adversités extérieures, il nous indique qu'il n'y désormais plus de protection, l’esprit, le mental, les pensées étant par le feu du couvre-chef libérés et livrés à eux-mêmes, ouvert sur le ciel, l'astral, soumis plus que jamais à ces influences néfastes... Nos croyances étant à la dérive, nous naviguons sur un flot d’illusion et de tromperie qui atteignent le choeur/coeur de notre vie et de toute vie. Nous sommes véritablement à la croisée des chemins, ne pouvant plus compter sur quelques protections divines. Nous ne pourrons compter que sur nous-même, de nos choix et de nos décisions, de notre intégrité et de notre alignement.

* Cf. Le modèle européen décodé (2) L'idéologie mondialiste.

 

Orchestration virale émotionnelle

Grande Grippe mexicaine de 2009-2010 rebaptisée grippe porcine, Zika (ce nom fait référence à une forêt en Ouganda où il a été isolé en 1947, en sachant qu'il existe une deuxième lignée en Asie) qui induit des malformations, des défauts (difformités) de naissance, Chikungunya (maladie infectieuse tropicale provoquée par le virus CHIKV et transmise par des moustiques du genre Aedes, qui occasionne de très fortes douleurs articulaires associées à une raideur qui donne aux patients infectés une attitude courbée très caractéristique), H1N1 (virus de la grippe A contenant des gènes de plusieurs virus connus d'origines porcine, aviaire et humaine), SRAS (syndrome respiratoire aigu sévère des poumons du à un virus de la famille des coronavirus), Ebola (agent infectieux provoquant des fièvres souvent hémorragiques), MERS CoV (coronavirus du syndrome respiratoire du Moyen-Orient hautement pathogène en provenance de la chauve souris qui avait elle-même infecté des chameaux, provoquant en particulier un symptôme de pneumonie aiguë)... la dernière arrivée en ce début 2020 se nomme Coronavirus de Wuhan - Chine -, spécifié à ARN simple brin à sens positif (virus de la pneumonie du marché aux fruits de mer). Il génère à l'échelle planétaire une ambiance hystérique de "fin du monde", dopée par les images de médecins portant des combinaisons, des masques, des lunettes et des capuchons de protection, comme s’il s’agissait d’entrer dans un réacteur nucléaire !

Une nouvelle fois, les médias se sont emparés avec voracité de l'affaire, une terrible pandémie, qui, par un virus mortel, menacerait l’humanité, le public commençant à se lasser des grèves, des attentats, des violences de la rue combinant forces de l'ordre et du désordre (interchangeable selon les points de vue). C'est désormais un rituel : tous les quatre ans, ils (nous) font le coup ! Et peu importe le nombre réel de morts après-coup *... La raison ? La première est que selon les marqueurs génétiques présents dans les codons de son ADN, il peut attraper par ces sortes de parasites - l'infestation parasitaire - des maladies infectieuses qui provoquent l'Alzheimer, l'athérosclérose, les maladies cardiaques, le cancer, l'arthrite rhumatoïde, la sclérose en plaques, le lupus, ou l'une de ces maladies dites auto-immunes, contribuant tant à sa dégénérescence qu'au business de la pharmacopée dévoyée. La seconde est que les organisations humanitaires, et tout particulièrement l’Organisation Mondiale de la Santé au service du système prédateur, quoiqu'en pensent les "belles âmes" naïves car illusionnées, en profitent pour désorganiser les économies de pays déjà très pauvres en persécutant les populations locales inutilement. Là encore, il s’agit d’une histoire de gros sous, ces organisations humanitaires obtenant des milliards de dollars tandis que des millions de personnes meurent par simple manque d’accès à l’eau potable ou de médicaments contre le paludisme ne coûtant que quelques euros. Tout ce battage permet de manipuler les esprits en les mobilisant par la programmation établie du système nerveux et d’obtenir des budgets, d’occuper les cerveaux, pour les détourner de la réalité des politiques dites de santé !

* La réalité est que les virus de ce type touchent en priorité des personnes âgées (moyenne d’âge supérieure à 80 ans), souffrant pour la plupart de problèmes de santé graves comme des cirrhoses du foie, le diabète et la maladie de Parkinson qui  augmentent leur sensibilité aux maladies infectieuses, au même titre toute proportion gardée que la grippe espagnole qui avait fait 50 millions de morts en Europe en 1918-1919, s’étant alors propagée sur des populations amaigries, affamées, épuisées, souvent déplacées et déjà malades, à cause des horreurs et des privations de la grande Guerre. Les enfants ne sont quasiment pas touchés. Ce sont également les personnes qui manquent de zinc qui ont des symptômes plus sévères quand ils contractent la maladie. Comme toute épidémie, la maladie type Covid 19 monte naturellement, avant que de refluer après deux mois (phénomène dit en cloche), sans nécessairement qu'il y ait une véritable "seconde vague".

 

Du nouveau cheval de Troie, ou le syndrome de La Havane

Dans la mythologie grecque, l'épisode du cheval de Troie est un événement décisif de la guerre de Troie narrée dans l'Iliade du poète Homère. Après avoir vainement assiégé Troie pendant dix ans, les Grecs ont l'idée à l'initiative d'Ulysse d'une ruse pour prendre la ville. Épéios construit un cheval géant en bois creux harnaché d'or, dans lequel se cache un groupe de soldats menés par Ulysse. En parallèle, un espion grec, Sinon, réussit à convaincre les Troyens d'accepter l'offrande, malgré les avertissements de Laocoon et de Cassandre. Le cheval est tiré dans l'enceinte de la cité qui fait alors une grande fête. Lorsque les habitants sont pris par la torpeur de l'alcool, la nuit, les Grecs sortent du cheval et ouvrent alors les portes, permettant au reste de l'armée d'entrer et de piller la ville. Tous les hommes sont tués, les femmes et les filles sont emmenées comme esclaves. Les enfants mâles sont tués eux aussi pour éviter une éventuelle vengeance. Cette ruse de guerre a ainsi entraîné la chute de la ville et permis le dénouement de la guerre.

Sa version moderne se retrouve dans ce qui a été nommé "le syndrome de La Havane", ensemble de troubles auditifs, d'étourdissements et de céphalées dont ont eu à souffrir certains membres du personnel diplomatique canadien et américain basé à La Havane, à Cuba, à compter de fin 2016, autrement une opération de mind control (contrôle mental) liée aux nouvelles armes basées sur la technologie fréquentielle - les armes à rayons dirigés - associées aux armes bactériologiques, et qui laissent des traces d’AGH (acide gamma-hydroxybutyrique) que les êtres humains produisent en infimes quantités lorsque cet acide est induit de l’extérieur. Cette méthode a pour but de modifier d’une manière ou d’une autre la chimie du cerveau et d'augmenter la production de cette substance chimique, qui est essentiellement une drogue dite du violeur, connue pour ses propriétés sédatives et amnésiantes. Ses effets sont comparables aux témoignages des individus prétendant avoir été enlevés il y a 25 ou 30 ans lors d'abductions extraterrestres, plus exactement extradimensionnelles, indiquant avoir des aiguilles plantées dans leur estomac… Ces armes à rayons qui agissent sur les gens à distance sont ni plus ni moins qu'une technologie de 4-D désormais utilisée en 3-D.

La guerre d'aujourd'hui est vaccinatoire, visant à dispenser à la population mondiale une pseudo protection qui dissimule d'autres objectifs, qu'a révélé en juin 2021 la publication des courriels de l'immunologue américain Dr Anthony Stephen Fauci, directeur depuis 1984 de l'Institut national des allergies et maladies infectieuses (NIAID), un centre de recherche du Ministère américain de la Santé. Il a financé les recherches menées dans le laboratoire chinois de Wuhan en Chine sur les coronavirus comme armes bactériologiques, via une protéine nommée spike du SRAS-CoV-2, une toxine de laboratoire désormais injectée sous forme d’ARN messager pour se traduire dans des cellules humaines. S'y répliquant, ces protéines inflammatoires altèrant la synthèse naturelle des protéines des cellules, tout en s’infiltrant dans la circulation sanguine et en s’accumulant dans les organes vitaux, y compris dans le tissu nerveux pour infecter les neurones et provoquer un neurotropisme*. Les protéines de pointe provoquent en effet des lésions cérébrales, étant dix fois plus puissantes lorsqu’elles sont injectées, tout en pouvant s’attaquer à la rate, à la moelle osseuse, au foie, aux glandes surrénales et, en "concentrations assez élevées", aux ovaires.

Les méthodes de déploiement de ces vaccins constituent bel et bien des tactiques de guerre, et nos propres gouvernements et systèmes médicaux sont en train d’être militarisés contre nous par le déploiement de ces armes biologiques par la coercition, la fraude médicale, la corruption, l’intimidation, la discrimination et la ségrégation.

C'est ainsi que les porte-voix des plus grandes structures et think tank militaires de l’Occident prévoient sur leurs sites officiels qu’en 2025 la population aura baissé de manière drastique en occident de l'ordre global de 40 %, leurs hypothèses situant la population des USA à 99 milions, de la France à 39 M, de l'Italie à 42 M, de l'Allemagne à 28 M, du Royaume-Uni à 14 M…. Certaines organisations européennes demandent bien sûr sur quel modèle reposent leurs prévisions si catastrophiques, mais aucune réponse n'est communiquée. Il sera intéressant d'observer dans les 18 à 24 mois post-vaccination les réactions auto-immunes amenant au décès si les vaccinés sont mis en contact avec un coronavirus, de quelque variant qu’il soit*²...

40% de la population... ou l'économie 4.0 qui se profile !

* Une étude publiée dans Nature Neuroscience a révélé que la protéine S1 du SRAS-CoV-2 est conçue pour se fixer à l’enzyme de conversion de l’angiotensine 2 (ACE2), traverser la BHE (caractérisée par la présence de jonctions serrées qui limitent la diffusion de solutés et de cellules présentes dans la circulation sanguine et par l'expression polarisée de transporteurs qui contrôlent de manière spécifique la disponibilité cérébrale des nutriments, des médicaments ou des xénobiotiques) et endommager les systèmes cardiovasculaire et nerveux central.

Le programme de vaccination ARNm majoritairement (type Pfizer ou Moderna) est une course contre la montre entre un virus qui mute très régulièrement et sévit sur la totalité de la planète, et nos capacités à produire des vaccins et à les injecter à tous le plus vite possible. Or, s'il faut au moins deux ans pour vacciner le monde entier, un virus qui mute a minima de façon biologiquement significative tous les 15 jours, soit globalement 26 fois par an (52 fois sur cette période de temps), aura annihilé tout le bénéfice escompté de la vaccination, les scientifiques reconnaissant à l'unanimité que celle-ci ne protège aucunement des variants ou mutants... C'est ainsi que d'ores et déjà en Israël, les dernières données montrent sans l’ombre d’un doute que la variante sud-africaine actuelle en avril 2021 est déjà capable de percer les défenses induites par le vaccin Pfizer.

 

Manuel littéraire d'utilisation de la manipulation émotionnelle

Le gaslighting (terme anglais signifiant la luminosité ou brillance d'une matière - l'information distillée - qui n'a pas de forme propre ni de volume propre), caractérise une forme de manipulation émotionnelle et d’abus où l’agresseur crée un faux récit et fait douter la victime de sa santé mentale. La réécriture de l’histoire qui se déroule est une caractéristique clé, tout comme la réfutation de faits évidents. Nous en retrouvons la mise en application dans deux œuvres littéraires contemporaines considérées comme majeures tant elles se révèlent justes des décennies après leur rédaction.

C'est le cas du livre de l'auteur britannique George Orwell (1903/1950), nom de plume d’Eric Arthur Blair (1903/1950 - photo 1), publié en 1945, "La ferme des animaux" (Animal Farm. A Fairy Story - image 2), dans lequel les animaux de la ferme découvrent que les cochons prennent toutes les pommes et le lait pour eux. Lorsque leur comportement égoïste est révélé, les cochons le défendent en disant qu’il a été scientifiquement prouvé que seuls les cochons ont besoin de lait et de pommes pour être en bonne santé. Il n’y a rien d’égoïste à ce qu’ils prennent toutes les pommes et le lait pour eux. "Beaucoup d’entre nous n’aiment même pas les pommes." Nous pouvons l'appliquer à la "science" qui a été utilisée tout au long de la crise sanitaire Covid pour priver nombre d'êtres humains de leurs droits médicaux et libertés individuelles, et continue à l'être pour les habituer à s’habituer aux substances nutritives de remplacement cultivées en laboratoire ou pour les faire accepter coupures de courant et privation d’énergie.

Quant au roman dystopique du même auteur "1984" (image 3), nous trouvons à la fois un ministère de l’abondance et un ministère de la vérité, dont les noms sont à l’opposé de leur véritable fonction. Le travail du ministère de l’abondance consiste en effet à maintenir un niveau constant de pauvreté tout en publiant des chiffres de production inventés pour des articles qui n’ont jamais été fabriqués, la tâche du ministère de la vérité étant quant à elle de mémoriser les faits gênants et de réécrire l’histoire quotidiennement pour qu’elle corresponde au récit politique délivré. C'est ainsi qu'à la fin du mois d’avril 2022, le ministère américain de la Sécurité intérieure a créé un véritable "ministère de la vérité", appelé Conseil de gouvernance de la désinformation, en violation flagrante du premier amendement qui porte sur la liberté d’expression. Si la Constitution, la loi suprême du pays, est toujours de vigueur, l'administration fait comme si elle n’existait plus. Elle devrait toujours être là . Mais le gouvernement agit comme si elle avait été oubliée, et espère sans doute que vous vous laisserez faire.

Cette manipulation ou abus émotionnel dans lequel l’agresseur crée un faux récit, amène progressivement la victime à douter de sa santé mentale. Pourtant ce sont bel et bien les personnes qui pratiquent le gaslighting qui souffrent généralement de troubles mentaux. Il s’agit en effet généralement de menteurs pathologiques ayant de fortes tendances narcissiques. Pour s'en protéger, il est recommandé de prendre de la distance avec l’agresseur, de conserver toutes les preuves (afin de pouvoir confirmer les faits en cas de doute) et de fixer des limites fermes à ce que nous pouvons toléré et ce que nous ne pouvons pas, sinon rompre la relation. Sinon, le risque est de tomber dans l'apathie

De son côté, l'écrivain, romancier et philosophe britannique Aldous Huxley (1894/1963 - photo 4) et mentor d’Orwell, a écrit une série d’essais s’intitulant "Ennemis de la liberté" dans lesquels il décrit les "forces impersonnelles" qui "poussent dans le sens d’une diminution progressive de la liberté" et les "dispositifs technologiques" pouvant être utilisés pour accélérer le processus en imposant un contrôle toujours plus grand de la population. Avec l’avènement de la télévision, il prévoyait qu’une direction autoritaire pourrait devenir la source d’un "tambourinage à sens unique" d’une seule idée, ce qui aurait pour effet de laver le cerveau du public. Au-delà de cela, il a prédit la capacité technologique de "contourner le côté rationnel de l’homme" de par sa complexité et, par la mise en place d'organisations hiérarchiques plus élaborées pour la gérer par des machines de propagande spécifiques, de manipuler le comportement en influençant les gens à un niveau subconscient. Et c’est précisément ce à quoi nous sommes confrontés aujourd’hui. Il n'est qu'à voir de nos jours la capacité de Google et Facebook de collecter des données sur les individus depuis près de deux décennies. Ils ont créé à cet effet d’énormes centres serveurs capables d’analyser ces données avec des logiciels d’apprentissage profond et d’intelligence artificielle pour extraire des informations et générer des détails incroyablement précis sur le type de propagande et de narration nécessaire pour manipuler subrepticement croyances et comportement.

Huxley affirmait également que la centralisation est le moteur de la dystopie, passant par la richesse, le pouvoir et le contrôle. La grille de contrôle des institutions mondialistes technocratiques et d’inspiration transhumaniste en place* est à cet égard presque complète, n'attendant que le déploiement d’un système d’identité numérique mondial. Couplé à la reconnaissance faciale et aux technologies d’IA (Intelligence Artificielle) et d’apprentissage automatique, c'est à quoi travaille l’Organisation mondiale de la santé (OMS), l’Union européenne venant d’annoncer le déploiement de l’identité numérique. Après les passeports obligatoires COVID, c'est un pas vers les systèmes de crédit social, tels que ceux qui sont actuellement développés en Chine. Basés sur l’identification numérique, ils permettent ou empêchent la pleine et libre participation à la société.

Les monopoles modernes des médias sociaux sont un parfait exemple de ce dont Huxley nous a mis en garde. Il en va de même pour notre système alimentaire et nos institutions économiques. Aujourd’hui, nous pouvons voir comment le rôle de la banque centrale (connue aux États-Unis sous le nom de Réserve fédérale) – une entité privée ayant le pouvoir de briser des pays entiers pour le profit – nous pousse vers un nouveau système économique mondial qui appauvrira et asservira littéralement tout le monde, à l’exception des membres de la cabale eux-mêmes.

Comme les cochons au pouvoir dans la "Ferme des animaux", ils peuvent insister sur le fait qu’ils "reconstruisent en mieux" et travaillent à une société "plus juste et plus équitable", mais s’ils parviennent à leurs fins, ils seront les seuls à manger des pommes et du lait dans la ferme, tandis que le reste d’entre nous ne possède rien et subsiste avec des vers rationnés.

* Cf. Le modèle européen décodé (2) L'idéologie mondialiste.

 

Foule sentimentale

Oh la la la vie en rose Le rose qu'on nous propose

D'avoir les quantités des choses Qui donnent envie d'autre chose

Aïe, on nous fait croire Que le bonheur c'est d'avoir

De l'avoir plein nos armoires Dérisions de nous dérisoires car

Foule sentimentale On a soif d'idéal

Attirée par les étoiles, les voiles Que des choses pas commerciales

Foule sentimentale Il faut voir comme on nous parle Comme on nous parle

Il se dégage De ces cartons d'emballage

Des gens lavés, hors d'usage Et tristes et sans aucun avantage

On nous inflige Des désirs qui nous affligent

On nous prend faut pas déconner dès qu'on est né Pour des cons alors qu'on est

Des Foules sentimentales Avec soif d'idéal

Attirées par les étoiles, les voiles Que des choses pas commerciales

Foule sentimentale Il faut voir comme on nous parle Comme on nous parle

On nous Claudia Schieffer On nous Paul-Loup Sulitzer

Ah le mal qu'on peut nous faire Et qui ravagea la moukère

Du ciel dévale Un désir qui nous emballe

Pour demain nos enfants pâles Un mieux, un rêve, un cheval

Foule sentimentale On a soif d'idéal

Attirée par les étoiles, les voiles Que des choses pas commerciales

Foule sentimentale Il faut voir comme on nous parle Comme on nous parle

Alain Souchon, album " C'est Déjà Ça " (1993)

 


Le maintien du public dans l’ignorance et la médiocrité.

 

Cette stratégie, complémentaire aux deux précédentes, est de faire en sorte que les êtres humains - les moutons, abeilles et autruches de la ferme - soient dans l'incapacité de comprendre les technologies et les méthodes utilisées pour leur contrôle et leur esclavage, ceux qui s'éveillant étant méprisés, tancés, marginalisés, discrédités, jusqu'à parfois leur disparition accidentelle...

Elle s'appuie sur la "qualité" de l'éducation dispensée aux classes inférieures - celles du tout-venant -, qui doit être la plus sommaire, confinée aux savoirs basiques. Cette crétinisation de l'esprit, abreuvée en parallèle par toutes les inepties que déversent les supports dédiés (presse écrite, radio, TV, réseaux sociaux, mobiles...), maintient sinon creuse le fossé de l'ignorance qui isole les classes moyennes et inférieures des classes supérieures qui possèdent les codes et bien sûr l'argent pour accéder au savoir réellement utile*, celui qui permet l'exercice de la domination.  

* 80 % des élèves des universités ou des grandes écoles sont issus des classes moyennes ou supérieures, et rien n’est réellement fait pour qu’il en soit autrement.

 

Des plus grands canulars de l'histoire contemporaine gobés par les moutons de l'enclos

L'homme d'Etat allemand Joseph Goebbels (1897/1945), l'un des dirigeants les plus puissants et influents du régime nazi d'Adolf Hitler, se plaisait à dire : "Plus le mensonge est gros plus il passe". Il va de soit que le mensonge ne peut être maintenu que tant que l’État peut protéger la population des conséquences de ce mensonge.

Un grand nombre de canulars et d’escroqueries nationales et internationales, dont la plupart sont encore crus aujourd’hui par des centaines de millions de personnes naïves par illusion ou stupidité, ont été révélés au fil des ans, grâce à des informations véridiques publiées par les sites états-uniens taxés de complotistes et d'extrême-droite Natural News et InfoWars.

1. Le fluor se trouve dans l’eau du robinet parce qu’il est bon pour les dents* !

2. Le réchauffement climatique voyant les propagandistes prétendre (encore) que les océans engloutissent les côtes, et comme ce n’est pas le cas, le nom a été changé en "changement climatique".

3. La collusion Trump-Russie ou l'envahissement séditieux du Capitole par ses partisans en janvier 2021, les démocrates ayant prétendu pendant 4 ans que Trump avait triché l’élection (il est maintenant illégal de prétendre que les démocrates ont triché en 2020...), qui après s'être avérés des fake news, ont conduit les démocrates à déplacer leurs attaques contre l'ancien Président républicain du Congrès vers les tribunaux (notamment pour recel de documents classés confidentiels*²), leurs accusations criminelles n'étant qu'une tentative politiquement motivée de l'empêcher de reprendre la Maison-Blanche en 2024.

4. Le mouvement occidental "Aidez à sauver l’Ukraine", alors même que le gouvernement fantoche actuel de l’Ukraine est l’un des régimes les plus corrompus de la planète et qu’il a aidé les États-Unis à construire et à entretenir des laboratoires biologiques mortels pour la recherche illégale sur la guerre biologique.

5. La victoire à la présidence de Joseph Robinette Biden, celui-ci ayant gagné grâce à des millions de bulletins de vote par correspondance falsifiés, aux machines à voter corrompues du Dominion qui ont inversé les votes, et aux millions d’immigrants illégaux et de personnes décédées qui ont voté.

6. La propagande sur le fait que tous les pseudo vaccins (thérapies géniques à ARN-m) étaient "sûrs et efficaces", alors que ces injections de protéines de pointe constituent des thérapies mortelles de mutation génétique qui provoquent des crises cardiaques, des accidents vasculaires cérébraux et le SADS (syndrome de mort subite de l’adulte).

7. Le fait qu'Oussama Ben Laden était le "cerveau" du 11 septembre, alors que tout indique qu’il s’agissait d’un coup monté de l’intérieur (le World Trade Center a été détruit par démolition, tout comme le bâtiment 7) pour justifier l’invasion de l’Irak et de l’Afghanistan sous de faux prétextes afin de voler le pétrole et les opioïdes.

8. La prédominance du dollar, monnaie fiduciaire qui a perdu 99 % de sa valeur depuis 1913, le dollar américain n'étant qu'une monnaie légale parce que le gouvernement déclare qu’il l’est. 

* Le gouvernement américain et les autorités sanitaires des USA (NIH, AMA, EPA, ADA, CDC) ont dissimulé pendant près d’une décennie l’atrocité de l’eau fluorée qui cause d’horribles problèmes de santé, notamment le cancer, la fragilité des os et la baisse du quotient intellectuel, les responsables de la santé démocrates allant jusqu'à supprimer une étude gouvernementale qui confirmait que le fluorure endommageait le cerveau en développement (il a fallu un procès intenté par le Fluoride Action Network pour révéler la vérité sur cette méta-analyse du National Toxicology Program qui prouve que l’exposition prénatale et au début de la vie au fluorure réduit le QI des enfants).

Donald Trump a été inculpé en juin 2023 en vertu de la loi sur les secrets officiels et l'espionnage pour avoir conservé des copies de documents de la Maison-Blanche - qu'il avait le pouvoir de déclassifier en tant que président - dans son manoir de Mar-a-Lago en Floride. Après sa première audition à Miami mardi, Trump a déclaré lors d'un rassemblement de partisans à son club de golf de Bedminster, dans le New Jersey, que l'inculpation constituait une "persécution politique" et a promis d'"anéantir totalement l'État profond" s'il était réélu en 2024.

 

"La perversion de la cité commence par la fraude des mots".

Platon

 

L'influence hautement toxique de la télévision

Malgré les cris d'orfraie et les dénégations de ses zélateurs et suppôts patentés, tous les travaux scientifiques réalisés démontrent de manière cohérente comme convergente, de ce fait indiscutable, le caractère nocif de la télévision sur trois plans :

. Les capacités cognitives (difficultés en matière de résultats scolaires, d'apprentissage*, d'attention, de langage et de sommeil) ; 

. La santé (ainsi la propension à l'obésité, la réduction de l'espérance de vie, ou l'addiction à la tabagie et autres drogues type cannabis pour les adolescents de par les représentations positives et idéalisées du tabagisme dans les films) ;

. La sociabilité (ainsi la sexualité - "tout le monde couche avec tout le monde" - et le rôle dévoyé de la femme) et la violence (il y a zéro probabilité que les images de violence reçues par le cerveau dans toutes ses aires ne participent de notre agressivité ; or 70 % des émissions contiennent de la violence, y compris dans des programmes jugés sans danger comme les dessins animés ou les retransmissions sportives). Aussi il ne peut qu'en découler de la peur et de l'anxiété (stress), soit des traumatismes à différents stades d'intensité, tout particulièrement lors de la diffusion d'événements planétaires type World Trade Center. Il est alors facile de renforcer l’État sécuritaire pour y répondre ...

La télévision base sa puissance sur le caractère passif du cerveau, qui enregistre les données entrantes sans les remettre en question. Autrement dit, hors conscience et éveil à cette manipulation technologique, point de salut pour éviter la manipulation et ses répercussions, notamment sur les psychopathes, souvent aux postes de commande ...

Pour autant, l’État hypocrite se gardera comme dans d'autres domaines (tabagie, alcool ...) d'intervenir de manière adéquate - intérêt des entreprises oblige - si ce n'est par les campagnes de prévention ou d'interdiction qui font illusion et ne résolvent le problème qu'à la marge, préférant prélever les taxes y afférent et, surtout, participer à la crétinisation généralisée des esprits, hormis la petite caste élitaire qui, tout en la promouvant, se garde bien de la consommer, et surtout d'élever ses enfants à son contact*². C'est comme la vaccination : elle est recommandée sinon obligatoire pour le tout-venant, mais pas pour soi et sa progéniture, ou alors par le biais de vaccins spécifiques, débarrassés de leurs poisons mortifères (aluminides, mercure ...).

* Avant l'âge d'1 an, la consommation de 2 heures par jour pour l'enfant multiplie le risque de retard de langage par 3 (sans compter les conséquences sur son système immunitaire, par exemple cardio-vasculaire). La consommation moyenne étant estimée à plus de 4 heures/jr, nous pouvons mesurer l'ampleur du gouffre qui n'a cessé de se creuser depuis quarante ans (libéralisation des ondes hertziennes et avènement des groupes marchands au sein du paysage audiovisuel) !

Il en est de même avec les réseaux sociaux type Facebook. Il est intéressant de noter le retournement actuel de nombre de ses anciens dirigeants, qui une fois fortune faîte, en dénoncent le caractère dangereux une fois sortis de l'hydre ... Jusqu'à la prochaine hypocrisie, comme de devenir des consultants, conférenciers et/ou enseignants "haut de gamme", soit pour dénoncer, soit pour continuer à entretenir les pratiques dévoyées...

 

La fabrication à la sauce techno du crétin

Le chercheur français spécialisé en neurosciences cognitives Michel Desmurget a sorti en 2019 un nouvel ouvrage, première synthèse des études scientifiques internationales sur les effets réels des écrans, intitulé "La fabrique du crétin digital". Celle-ci découle de la consommation frénétique du numérique sous toutes ses formes : smartphones, tablettes, télévision, etc. Dès 2 ans, les enfants des pays occidentaux cumulent chaque jour presque 3 heures d’écran, passant entre 8 et 12 ans à près de 4 h 45, et frôlant entre 13 et 18 ans les 6 h 45. En cumuls annuels, ces usages représentent autour de 1 000 heures pour un élève de maternelle (soit davantage que le volume horaire d’une année scolaire), 1 700 heures pour un écolier de cours moyen (2 années scolaires) et 2 400 heures pour un lycéen du secondaire (2,5 années scolaires), soit des temps passés totalement extravagants (certains consacrent aux écrans plus de 8 heures par jour !). Or et contrairement à certaines idées reçues, cette profusion d’écrans est loin d’améliorer les aptitudes de nos enfants. Bien au contraire, elle a de lourdes conséquences : sur la santé (obésité, développement cardio-vasculaire, espérance de vie réduite…), sur le comportement (agressivité, dépression, conduites à risques…) et sur les capacités intellectuelles (langage, concentration, mémorisation…). Autant d’atteintes qui affectent fortement la réussite scolaire des jeunes. C'est ce qu'a confirmé dans son étude sortie en janvier 2019 Santé Publique France, nom public de l’agence nationale de santé publique placée sous la tutelle du ministre chargé de la santé.

Si les enfants frottent avec aisance et instinctivement les écrans tactiles, c'est parce que ces outils ont été conçus pour être simples, sans nécessiter de compétences ou aptitudes particulières. Autrement dit, leurs concepteurs et fabricants les ont conçus pour que même un "abruti mâtiné d’un crétin" puisse s’en servir ! Et c'est la où réside le génie, non chez l'enfant mais chez l'adulte, car faire simple est très compliqué. De même, l'utilisation des réseaux sociaux ne développent aucune compétence chez les enfants, ceux-ci n'étant que de simples utilisateurs, en aucune façon des concepteurs, ce qui requiert du travail spécifique pour acquérir des compétences et des connaissances. La réalité est que cette génération digitale possède moins de connaissances numériques en comparaison de la génération X des sixties et seventies, un ordinateur ou une tablette ne pouvant en aucune façon transformer un cancre en bon élève.

Ce qui fait d’un gamin un bon élève c’est l’acquisition massive de mots et la maîtrise du langage natal, pour exprimer une pensée riche et être capable de se structurer pour acquérir des connaissances de plus en plus complexes. Le langage est bel et bien la toute première des compétences. de ce fait, il y a deux catégories d’enfants. Les "bien nés", dans une famille qui maîtrise plus de 500 mots et qui va consacrer du temps à l’enfant en bas âge pour l'aider à structurer son langage. Les "pas de chance", pour qui tout sera plus difficile et parfois impossible, parce que nés dans un environnement culturellement asséché et pauvre, et dont les adultes sont la plupart du temps totalement incapables de s'auto-appliquer une discipline de distanciation avec les écrans. Du coup, désormais et cela s’accélère depuis deux ans très nettement, les adultes laissent de plus en plus les enfants faire comme ils le veulent avec une naïveté confondante de surcroît sur les "programmes" que vont aller voir les chers bambins…. Les écrans ne font qu'accentuer cette terrible inégalité entre les individus en général et les enfants en particuliers...

 

L'Intelligence Artificielle au service de la manipulation

Il y a les vraies infos mais distillées à bon escient, histoire de nous faire acheter des choses dont nous n’aurions sans doute jamais besoin. Il y a les fausses infos, autrement appelées en anglais Fakenews. Il y a aussi les Deepfake *, qui ont pour objectif elles-aussi de nous leurrer, de nous tromper, en s'appuyant sur les progrès de l’Intelligence Artificielle qui ont permis des trucages très bien réalisés, en particulier à partir de vidéos. Ils prennent pour cible aussi bien des personnalités que des anonymes, qui par exemple peuvent se retrouver bien sûr sans leur consentement dans des vidéos à caractère pornographique, parce que leur tête est venue remplacée celle des acteurs et actrices qui s'y trouvent …

Deepfake est la contraction de Deep Learning (l’Intelligence Artificielle qui apprend seule en se nourrissant des données puisées sur le net) et de Fakenews, les fausses infos. Dans le Deepfake, tout est faux ou presque. Si cela peut sembler drôle de par les prouesses technologiques, lorsque c'est notre tête, extraite d’une photo de famille, qui se retrouve là où il ne faut pas, cela est bien moins amusant et passionnant. Le phénomène n’est certes pas nouveau, mais la mise à disposition gratuite des outils et techniques sur le web accentue les choses et le danger devient d’un coup palpable. Si le site Reddit a fermé les vannes en 2018, d’autres publient aujourd’hui, comme Nvidia (fabricant de processeurs graphiques les GPU) , les techniques pour parvenir à ce genre de résultat. Pas question de protection, tout est livré sur le net pour que chacun puisse en profiter. Et certains en profitent ! Allant aussi jusqu’à faire dire à certains personnages publics des paroles qui ne sont pas les leurs… Des mensonges pour de vrai qui peuvent avoir des effets dévastateurs.

C’est donc le pire qui nous arrive. Et en dehors de la possible manipulation, il peut aussi y avoir le harcèlement, la diffamation, l’atteinte à l’intégrité ... C'est ce qu'expose le programme Face2Face, qui permet de faire dire à une personne apparaissant dans une vidéo quelque chose qu'elle n'a jamais dit, non seulement en remplaçant ses paroles mais aussi en manipulant en temps réel les mouvements de sa bouche et de ses lèvres, en y substituant ceux de la personne qui parle réellement. L'illusion, quasi parfaite, n'appelle que deux réactions : c'est épatant et c'est effrayant.

* Le terme est apparu en décembre 2017 sur le site communautaire Reddit où un contributeur avait réussi à plaquer avec un réalisme confondant le visage de l'actrice Gal Gadot (Wonder Woman) sur le corps d'une actrice porno dans une vidéo X. Le tout par le biais d'outils logiciels accessibles à tous, et non plus à des chercheurs dans leurs laboratoires.

 

Le constat chirurgical du philosophe Michel Serres

 

Dévoiement adolescent

"Cœur Océan" est une série télévisée française en 148 épisodes de 26 minutes créée par eux femmes, Cécile Berger et Séverine Bosschem, diffusée entre 2006 et 2011 sur France 2, puis sur MCM, France 4, France Ô, Téva, ainsi qu'au Québec, dans les DOM-TOM français, en Belgique et Netflix. On y suit les aventures d'une bande d'adolescents tous "beaux" de corps et de look, sur une île paradisiaque, d'une bêtise incommensurable, et dont la seule préoccupation est "Qui couche avec qui ce soir". Les idées propagées sont inévitablement désastreuses pour le public cible, dans leur relation au corps comme à l'esprit ...

 

Alchimie télévisuelle entropique dans la langue des oiseaux

Comme souvent, la phonétique des mots nous enseigne sur ce qui est dissimulé à la compréhension de l'être humain non éveillé. La télévision, soit la "vision de la Télé", a pour support la télécommande, indiquant que la "Télé Commande" à son utilisateur, en l'occurrence à son cerveau. Pour que l'image, anagramme de magie, agisse sur notre âme par son magnétisme hypnotique, c'est par l'attention ("la tension" électrique) que nous lui accordons. Elle procure de l'émotion, soit de l'"E-Motion", autrement dit le vol de notre énergie (E) vitale. En s'attachant à en décupler la puissance de manière collective, elle aboutit à l'équation E=MC², en l'occurrence la masse populaire au carré ! Celle-ci, par son caractère universel ("Uni Vers SEL"), assure la transmutation alchimique* recherchée par ses maîtres artificiers dévoyés (S = Solide , E = Énergie, L = Liquide), nous menant non à notre libération mais à notre involution...

* Cf. Le chemin alchimique.

 


Elle promeut pour ce faire des "icônes" incarnant la bêtise, la stupidité et la vulgarité, érigées comme modèles de ce qu'il convient de faire et d'être pour gagner beaucoup d'argent et être célèbre, soit les "valeurs" promues par toute société corrompue. Par-delà ces individus à l'égo enflammé (quête de notoriété et d'argent), les programmateurs (patrons de chaînes, patrons de rédaction, responsables de la grille ...) de cet abêtissement sont tous issus du top du système éducatif - grandes universités et grandes écoles -, faisant partie des classes dites dirigeantes ayant vendu leur âme à "Mammon" (pour l'argent) sinon à "Satan" (pour la destruction des âmes et de l'êtreté divine). Il n'est qu'à voir l'information racoleuse, dramatisée à outrance et clivante par ses chantres vulgaires, méprisants, cyniques et donneurs de leçons. La bête prédatrice a bien pour objectif par ses relais officiant* l'avilissement des esprits, afin d'empêcher tout réveil à la conscience de Qui Nous Sommes vraiment ...

* Cf. Les acteurs de la Matrice falsifiée.

 

Un résultat édifiant qui se passe de tout commentaire ...


 

Ce qu'il n'est pas dit sur la réalité économique

La turbulence sur les marchés financiers de début février 2018 a vu l'indice phare le Dow subir son plus gros plongeon de l'histoire en termes de points, son plongeon de 15 minutes présentant certains éléments d'un "flash krach". A un moment, il a chuté de 1.000 points avant de reprendre 600 points puis d'en reperdre 400, le tout en moins de 30 minutes. Il est tout simplement impossible que ce soit autre chose que les robots de trading, les êtres humains ne réagissant pas aussi vite.

Si ce n'est pas encore le début de la grande apocalypse financière, l'histoire récente démontre que quelques-unes de ces mini-corrections vont se produire avant que la vraie n'arrive, car la réalité dans ce système dévoyé à sa source est qu'aucune solution remède n'existe, toutes celles proposées étant entièrement inapplicables et proposées par pure plaisanterie si ce n'est au passage l'obtention d'un prix Nobel par l'entre-soi. Dans ce monde involutif caractérisé par la dualité - soit on gagne... soit on perd -, l'être humain est conduit naturellement à concentrer son énergie émotionnelle et intellectuelle sur le fait de gagner. C'est comme partir en guerre. Des voix réservées et intelligentes peuvent expliquer pourquoi le combat n'en vaut pas la peine... pourquoi des choses plus importantes sont en jeu... et pourquoi une guerre va ruiner la nation, détruire le gouvernement et tuer ses jeunes gens. Mais une fois que les canons commencent à tonner, les voix pleines de sagesse se taisent ... et l'on ne pense plus qu'à la victoire. Ou à la survie.

Les marchés financiers se sont construits sur la dette, estimée à un niveau record de 233 trillions (233 000 milliards) de dollars au troisième trimestre de 2017, soit plus de 16 trillions de dollars de plus qu’à la fin de 2016, selon une analyse de l’Institut de la finance internationale. Plus ils grossissent, plus la capitalisation gonfle, plus ils deviennent instables et plus le krach menace. Ainsi la partie classique dans ce monde économique dédié au dieu Mammon, c'est la chute des actions. Elle ne peut que se produire, rien ne pouvant grimper éternellement aux cimes et s'y maintenir. Tout le monde professionnel acoquiné le sachant, chacun se tient prêt pour, lorsque les actions commenceront à chuter, acheter pendant les creux et profiter ensuite du rebond, s'enrichissant encore plus sur le dos des petits épargnants, mal conseillés à dessein et éternels dindons de la farce de la Matrice pervertie jusqu'à l'os. Cependant, cette fois-ci, les choses risquent d'être tout autrement. Le départ récent de Mme Janet Yellen de son poste à la tête de la Federal Reserve, outil majeur du dévoiement*, a été salué comme il se doit par toute la presse mainstream, tout particulièrement pour ses résultats sur le marché du travail américain, le taux de chômage étant passé sous son mandat de 6,7% à 4,1%, son plus bas niveau en 17 ans. La réalité est que, à l'instar de ses prédécesseurs Alan Greenspan et Ben Bernanke, elle laisse une dette astronomique, son programme ayant fait plus de chômeurs adultes que jamais, réduit les investissements fixes nets par employé, entravé la production et étouffé sans doute la croissance des salaires réels. A eux trois, ils ont fait grimper la dette américaine à des niveaux qu'on n'avait plus vus depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale*². Les niveaux de dette des entreprises et des ménages ont quant à eux suivi des expansions similaires, ne bénéficiant pas pour autant de la capacité à s'en exonérer en faisant payer autrui tout en étant (grassement) rémunérés par les mêmes gogos. Au cumul ces 30 dernières années, la dette s'est développée deux fois plus rapidement que l'économie qui la soutient !

Et c'est naturellement ce qui rend la correction qui arrive bien plus dangereuse qu'un recul de routine sur les marchés, entre 30.000 et 35.000 Mds$ de valeur d'actifs – actions, obligations, objets de collection, entreprises privées et immobilier – étant ainsi "en suspens" au-dessus de l'économie, comme des bulles, au lieu d'être soutenus par la production réelle ... A l'échelle mondiale, ce chiffre atteint probablement les 100.000 Mds$ ! Le résultat est qu'aujourd'hui des centaines de millions de personnes dépendent de l'économie d'argent facile créée par le gang de la Fed, autrement dit de "l'investissement passif". Leurs emplois, leurs revenus, leurs investissements, leurs retraites... tout cela dépend de la survie du fantasme sur lequel nos "chers" médias préfèrent commenter le destin homérique du PSG ou l'émergence des (tristes) nouvelles figures des républicains ou du feu parti socialiste. Et quand le dénouement de ce drame de "l'économie casino" se produira, ils diront tous en chœur qu'ils ne savaient pas, s'en remettant comme d'habitude au soi-disant homme providentiel qui, comme en 2008, bombera le torse en promettant pis et pan aux acteurs financiers, en nous parlant de "régulation", de mise en place de "protections", de "murailles de Chine", de "compliance", d’EBA (European Banking Authority), d’autorité de contrôle ou même carrément prudentielle. Au final pour ne rien faire ! Sauf que cette fois-ci... ce sera une toute autre histoire.

* Cf. Le modèle européen décodé (2) L'idéologie mondialiste. & Travaux de Carroll Quigley (1910-1977), professeur d’histoire à Georgetown, Princeton et Harvard, "The Anglo-American Establishment" et "Tragedy and Hope, A History of the World in Our Time ("La classe dirigeante anglo-US", et "Tragédie et espoir, une histoire du monde à notre époque"). En février 2017, l’American Bankers Association (ABA) et la Washington Federal National Association, en tout 72 banques qui s’estiment flouées par "le détournement de dividendes qui leur sont dus par la FED", ont traité la banque centrale américaine de "bandits de grand chemin" et l'ont poursuivie en justice. Les gouverneurs de cette banque centrale, non élus, ont la mainmise totale sur les flux monétaires et le crédit de la nation. Jamais, depuis sa création en 1913, un audit complet de ses activités n’a été effectué. Et le Congrès a fait la politique de l’autruche. Le dollar a perdu en un siècle 95% de son pouvoir d’achat ...

Lorsque Greenspan a pris le relais à la Fed, le gouvernement américain devait environ 3 000 Mds$ de dette brute... soit 40% du PIB à peu près. Aujourd'hui, la dette frôle les 21 000 Mds$, soit plus de 100% du PIB.

 

Le "gang de la Fed"

Les gouverneurs successifs de la Federal Reserve (FED) ont un programme comprenant trois objectifs, qui découlent de leurs mandants :

. L'objectif n°1 est de protéger et augmenter la richesse de leurs maîtres, les grandes banques privées qui possèdent la Fed.

. L'objectif n°2 est de convaincre le peuple américain qu'ils ont à cœur de protéger ses intérêts, et qu'ils font tout ce qui est en leur pouvoir pour maintenir le plein emploi tout en contenant l'inflation au sein d'un environnement très difficile.

. L'objectif n°3 et de dissimuler l'objectif n°1 aux yeux du public.

Comme John Law qui a dû fuir Paris en pleine nuit, en 1720, pour éviter une foule en colère après la chute de son système, Jerome Powell et ses prédécessurs (Cf. ci-contre) ont enchaîné les échecs et empiré la situation. Escrocs urbains largués dans cette contrée sauvage qu’est la finance, sans autre boussole pour l’orienter que des modèles idiots et des théories bidon, ils se sont irrémédiablement fourvoyés. Ils sont désormais en 2022 pris au piège entre l’inflation qu’ils ont provoquée et le jour du jugement qu’ils ont tenté désespérément d’éviter. S'ils combattent l’inflation, l’économie s’effondrera, car dépendant de taux d'intérêt ultra bas et de la fluidité du crédit. S’il laissent l’inflation flamber, le dollar mourra... provoquant un chaos politique, social et financier.

Ils peuvent alors méditer sur le fait que, de temps en temps, un trappeur ou un randonneur se fait piéger dans les montagnes, non loin de la civilisation. Il peut se casser une jambe... ou, comme dans le cas de l'ingénieur et alpiniste américain Aron Ralston en 2003, se faire coincer le bras sous un rocher qui vient de chuter. Ralston a enduré des souffrances pendant des jours. Ensuite, alors qu’il était à l’article de la mort, il a eu une vision : il était vivant, mais il lui manquait un bras. Le jour suivant, il a sorti son canif et s’est coupé le bras. Cela lui a sauvé la vie...

 

Alan Greenspan - Ben Bernanke - Janet Yellen - Jérome Powell, figures récentes de la manipulation orchestrée par l'oligarchie financière anglo-saxonne

 


Incurie financière

Ce n’est qu’au début des années 1990 que les conditions financières ont commencé à jouer un rôle aussi important dans l’élaboration des politiques gouvernementales. Alan Greenspan avait en effet manipulé de manière agressive la courbe des taux en réduisant les taux courts de 5 points de pourcentage en moins de deux ans, créant un "carry trade" extraordinairement rentable (emprunter à court terme/prêter à long terme) pour sauver le système bancaire américain gravement affaibli. L’histoire financière a été alors fondamentalement modifiée, car la politique de la banque centrale américaine (la Fed) a créé d’énormes profits faciles pour la communauté naissante des spéculateurs à effet de levier. 

Greenspan est ainsi devenu le démiurge, le maestro, doté d'un incroyable pouvoir qu’il pouvait exercer sur le système de crédit, sur la liquidité du marché, sur les conditions financières et le développement économique. Il croyait à la "Nouvelle Ere", placée sous le fameux "dorénavant ce ne sera plus jamais comme avant !". Il nous a légué le "il n’y a aucune alternative", en d'autres termes l’impasse. Le résultat fut que la nouvelle doctrine de la Réserve fédérale considérait désormais qu’il fallait éviter les mesures politiques susceptibles de déclencher un resserrement risqué des conditions financières. Il en découla que depuis 1994 les cycles dits de "resserrement" par la hausse du taux directeur ont été timides, la claire intention étant de ne pas se soucier de la hausse rapide des prix à la consommation et d’éviter les épisodes de désendettement. Et tout naturellement la "pourriture" a été stockée.

Résultat, entre 1994 et 2003, on a utilisé la fraude comptable à grande échelle : les actifs de certaines entreprises soutenues par l’Etat ont gonflé de 360% à la faveur de faux bilans. La fraude comptable ayant été découverte, la capacité de ces entreprises à garantir et alimenter la liquidité du marché a disparu. Et c’est la Fed avec ses QE (Quantitative Easing ou assouplissement quantitatif) qui a été obligée de gérer le chaos de 2008 lorsqu’il a fallu réduire les risques et procéder au désendettement par transfert de la pourriture sur la collectivité.

Ce temps-là est désormais révolu. Le cycle a clairement changé. L’inflation* des prix à la consommation est devenue un problème sérieux et une priorité de la politique monétaire, car il y a télescopage entre le besoin de conditions financières souples pour soutenir la Bourse et l’économie, et le besoin de resserrer les mêmes conditions financières pour calmer les tensions inflationnistes. Mais pour autant, les vrais responsables, dans leur lâcheté prétentieuse, se tirent des flûtes et rejettent leur responsabilité ! C'est ainsi que l'ancien président de la Réserve fédérale, Ben Bernanke, a déclaré que la banque centrale avait commis une erreur en attendant de résoudre un problème d’inflation qui est devenu le pire épisode de l’histoire financière américaine depuis le début des années 1980, ce même Bernanke qui a guidé la Fed à travers la crise financière qui a explosé en 2008 et présidé à une expansion sans précédent de la politique monétaire... Autrement dit, c’est le même Bernanke qui a imposé la doctrine qui a conduit au drame actuel en juillet 2013 !

« Le président de la Réserve fédérale, Ben Bernanke, a déclaré […] que la banque centrale américaine pourrait devoir s’opposer si les finances les conditions venaient à se resserrer au point de menacer la progression de l’économie. ‘Si les conditions financières devaient se resserrer au point de compromettre la réalisation de nos objectifs d’inflation et d’emploi, nous devions alors nous y opposer’, a déclaré Bernanke. » 

* Les forces inflationnistes sont structurelles : pénuries, offre inadaptée, rupture des chaînes d’approvisionnement et de montage, transition énergétique, fin de la mondialisation, préparation de la grande guerre, tensions sociales, etc.

 

Remake contemporain ?

John Law de Lauriston (1671/1729) est un banquier et économiste écossais. Inventeur d'un système financier appelé par la suite système de Law, il devient en 1720 ministre des Finances du royaume de France, auquel il tente d'imprimer un changement de paradigme financier par l'adoption du billet de banque et la mise en place d'un système boursier. Sa vision économique était fondée sur l'idée que la monnaie n'est rien de plus qu'un moyen d'échange et ne constitue donc pas une richesse en elle-même, la richesse nationale dépendant avant tout du commerce. Son système a été en France pionnier dans l'utilisation du papier-monnaie comme émission de titres, en lieu et place des espèces métalliques et des factures. Fondateur de la Compagnie des Indes issue de la fusion de diverses compagnies coloniales françaises, le système de Law se traduira par une retentissante banqueroute lorsque les déposants se présentèrent en masse pour échanger leur papier-monnaie contre des espèces métalliques, alors que la société n'en possèdait déjà plus. Ce fut l'un des premiers krachs de l'histoire, qui causa la ruine des déposants, et par là-même une totale rupture de confiance. Malgré l'échec de sa tentative de relance de l'économie française, Law et son système ont toujours, trois siècles plus tard, une influence cardinale sur la théorie monétaire moderne, qui en intègre de nombreux concepts clefs...

 

Parasitocratie, ou pourquoi sommes-nous "dépossédés"

Le système monétaire et financier est conçu pour organiser un transfert de richesse dont les gouvernements sont complices. Et depuis le krach de 2008, ce transfert s'accélère. Même si les médias spécialisés pointent l'interminable combat de la réglementation qui, après la chute de l'institution Lehman Brothers*, s'est abattue sur les banques, ces textes ne résolvent pas tout, alors que s'installe peu à peu la tentation de déréguler à nouveau. En réalité, prétendre réguler une escroquerie est aussi vain que de prétendre convertir le diable de s'adonner à la charité. L'escroquerie est que la monnaie n'est plus ancrée dans aucune réalité. Elle est créée selon le bon vouloir d'une puissante administration devenue incontrôlable et qui se camoufle derrière des milliers de pages de réglementation obscure, comprise seulement de quelques technocrates. Le résultat est que le marché global de la dette mondiale représente aujourd'hui 230.000 milliards de dollar, et que plus personne ne peut rembourser une telle dette puisque personne ne contrôle l'émission d'argent scriptural par les institutions financières privées. Les États et le secteur public sont non seulement dépassés, mais ils n'existent plus, sinon lorsqu'il s'agit d'éponger les opérations aventureuses du casino. C'est bel et bien une gigantesque opération de dépossession que les mécanismes et les manœuvres de la puissance-techno-financière mondiale établissent, la dématérialisation, l'abolition des frontières et la démission des institutions politiques n'étant que les multiples noms de l'esclavage de demain.

En France, l’État (au sens d'administration) et les gouvernements ne sont pas "dépassés" : il sont complices ! Il n'est qu'à se rappeler de la  "bancarisation" dans les années 1980, du sauvetage du Crédit Lyonnais, premier cas de mégalomanie bancaire, de la dématérialisation continue des moyens de paiement, de l'interdiction progressive du cash, du creusement des déficits publics par l'émission de la dette à 50 ans à bon compte en profitant de la faiblesse des taux, le "fléchage" de notre épargne vers l'économie réelle que prétend organiser le gouvernement Macron alors que dans la réalité il fait attention à ce que cette épargne reste bien dans le canal des banques et des assureurs, qui plus est en matraquant fiscalement la finance participative (crowdlending et crowdfunding*²) qui s'adresse pourtant au PME et TPE de l'économie réelle. Ainsi, lorsque nous prêtons à 5% ou 6% à une entreprise, les intérêts perçus sont frappés de CSG et CRDS alors que si nous laissons notre argent sur un Livret A ce ne sera pas le cas.

C'est bel et bien cette "parasitocratie" qui forge les lois et les réglementations permettant d'organiser ce transfert de richesse. Les "représentants du peuple" en font évidemment partie.

* Lehman Brothers était une banque américaine d'investissement multinationale créée en 1850, proposant des services financiers diversifiés.

Le crowdfunding est un anglicisme qui signifie Financement par la foule ou encore financement participatif au sens large du terme. Le principe consiste dans le fait de soumettre par ses initiateurs un projet d'activité sur une plateforme dédiée afin de récolter de l'argent pour sa réalisation. Si ce moyen de financement est ouvert aux entreprises mais également aux particuliers, il peut également concerner le don participatif avec ou sans contrepartie. Quant au crowdlending, également forme de financement participatif, il signifie prêt par la foule ou prêt participatif, le porteur de projet étant tenu de rembourser les investisseurs selon des modalités prédéfinies en amont de la collecte.

 

Dormez tranquilles, braves gens, "nous" veillons à votre bonheur. La mer en été, le ski en hiver, les J.O. et le football, la météo, la vaccination ... Si nos autorités sont bien promptes à nous réguler - notre vitesse, notre pollution, notre isolation, la façon dont nous mangeons, les taux de promotion auxquels nous avons droit, comment nous devons nous faire vacciner, soigner, embaucher, les produits financiers que nous pouvons acheter ou pas ... -, il ne leur viendrait pas pour autant à l’idée de réguler le système prédateur, l'ennemi sans visage de notre dévoiement... Depuis 10 ans, nous n’avons rien appris, rien fait, les deux pompiers présidentiels pyromanes ayant même voulu reprendre du service avant que d'en être empêchés par un plus malin. Tout n’a été qu’artifice de communication et impression monétaire pour pallier, sous forme d’expédient, cette crise dramatique qui conduit inéluctablement, tôt ou tard, à l’effondrement économique et au chaos social*, les mêmes causes produisant les mêmes effets. A un moment, il faut bien passer à la caisse. Et tous les ingrédients sont là pour faire un plat que tous les peuples risquent de trouver fort indigeste... Ils le savaient. Ils n’ont rien fait. Mais tout va bien, dans le meilleur des mondes*²...

* Cf. Prophétie du changement.

Cf. "Le Meilleur des mondes", roman d'anticipation dystopique, écrit en 1931 par Aldous Huxley.

 

Réalité sanitaire

La FDA - la "Food and Drug Administration", administration américaine des denrées alimentaires et des médicaments ayant, entre autres, le mandat d'autoriser la commercialisation des médicaments sur le territoire des États-Unis - n'a pas contesté et pour cause les statistiques édifiantes publiées par le très officiel Journal of the American Association (vol. 284, no. 4, 28 juillet 2002) recensant le nombre de victimes directement attribuables au système médical pour les seuls USA, et limitées aux seuls hôpitaux, dérivant des substances dangereuses et de médecine orthodoxe :

- Opérations inutiles : 12 000 morts.

- Erreurs de prescriptions (dans les hôpitaux) : 7 000 morts (personnes auxquelles on a donné les mauvais médicaments !).

- Effets adverses des médicaments : 106 000 morts (personnes ayant reçu les "bons" médicaments).

- Infections en milieu hospitalier : 80 000 morts.

- Autres erreurs (dans les hôpitaux) : 20 000 morts.

Au total 225 000 morts. Combien depuis ? Le système de "santé" est donc responsable au minimum de 225 000 morts dans l'année, ce qui fait de lui la troisième cause de décès aux USA ! Les médicaments homologués par la FDA tuent plus de 100 000 personnes dans les seuls hôpitaux américains. Combien meurent ainsi dans le monde entier, et notamment en France ? Et où sont les statistiques dénombrant les morts attribuées aux suppléments alimentaires, aux plantes médicinales et autres traitements "parallèles" ? Quant aux scandales sanitaires découlant des mensonges proférés par les diverses autorités concernées*, ils ne cessent d'ébranler la confiance des patients.

* Ainsi en mars 2017 le laboratoire Merck a décidé d’arrêter de fabriquer l’ancienne formule du Levothyrox, utilisé contre les troubles de la thyroïde, 3 millions de Français se retrouvant pris au piège, obligés de prendre une nouvelle formule qui leur inflige de très nombreux effets secondaires. En juin, les géants de l’industrie chimique et des pesticides ont obtenu une dérogation pour commercialiser des produits hautement toxiques, comportant de nombreux perturbateurs endocriniens, véritable cauchemar pour des millions de consommateurs. En août 2017, les Pays Bas ont annoncé qu'une substance toxique (le Fipronil) avait été détectée dans des centaines de milliers d'œufs vendus à la consommation. La crise s'est propagée en Allemagne, en Suisse et en Suède, où des millions d'œufs ont été rappelés. Quant à la France, c'est près de 250 000 œufs contaminés au Fipronil qui y étaient arrivés…

 

Vaccins : l'art de la dialectique au service de l'entretien de la confusion

Le thème du complot anti-vaccin, agit tambour battant tant par ses chantres attitrés dans les médias que par les cabinets/agences spécialisés en affaires publiques au service des laboratoires pharmaceutiques et des institutions. La musique chantée est que s’il existe une défiance vis-à-vis de la vaccination, c’est parce que "les gens" pensent mal compte-tenu de leurs croyances, notamment sous l'influence de "gourous" dangereux comme les Professeurs Henri Joyeux ou Christian Perrone. En revanche, ils occultent (presque) totalement que ceux qui en veulent le plus aux vaccins - en fait à certains de leurs composants pour leurs effets secondaires - sont les victimes, n'ayant pas droit de cité car considérées comme "epsiloniennes" au regard des bénéficiaires de la vaccination. La vaccination serait bonne pour l’humanité, donc les gens devraient être pour la vaccination. S’ils ne le sont pas, c’est qu’ils ont été manipulés. Ou comment par la rhétorique de la confusion entre "anti-vaccin" et "anti-obligation vaccinale" embrouiller le débat et ne pas traiter des questions qui dérangent, alors même qu'elles s’appuient sur des faits vérifiables.

Cette technique de communication a deux avantages : décrédibiliser l’adversaire en le calomniant et éviter d’aborder le fond du sujet et de concéder que peut-être il y a des problèmes de fond à résoudre. C'est pourquoi, partout dans le monde lorsque la question des vaccins émerge, l’industrie se sert des médias et de ses zébulons dédiés pour imposer un débat bipartisan : il y a les pro et les antis. Ainsi la vaccination est présentée comme un bloc uniforme. Soit on accepte tout ce qui est dit sur les vaccins, soit on est "anti-vaccin". Il en découle que si un médecin formule une nuance, il est d’emblée placardé anti-vaccin, et passera ensuite plus de temps à se défendre de cette accusation qu’à faire valoir son point de vue nuancé. Ainsi, le débat n’a jamais vraiment lieu et l’industrie est protégée par le halo de confusion et de fausses rumeurs. Les journalistes répétant en boucle l’information mise en avant, certaines personnes finissent par croire ce que le système médiatique assène quotidiennement : il existe un complot des anti-vaccins, ces gens-là sont des extrémistes, ils poursuivent un but politique et économique… Et pendant ce temps-là, personne n’écoute les victimes ni les médecins qui posent des questions qui fâchent.

La réalité est que peu de scientifiques remettent totalement en cause la vaccination. Ce qu’ils dénoncent c’est le flou total qui existe au niveau institutionnel, ainsi que le refus de répondre aux inquiétudes des citoyens sur l’indépendance des études scientifiques, la différence entre les procédures de contrôle des médicaments et celles des vaccins (les médicaments sont contrôlés contre placebo, pas les vaccins), la densité du calendrier vaccinal, l’incohérence des politiques vaccinales d’un pays à l’autre*, l’incohérence des recommandations vaccinales d’un expert à l’autre, l’utilisation d’une stratégie vaccinale identique pour tous, la toxicité de l’aluminium, les campagnes d’informations mal menées par les pouvoirs publics (hépatite B, H1N1)...

S'il est important de débattre de la politique vaccinale, c'est parce que chaque personne dispose d’un système immunitaire spécifique qu’il partage avec une "famille immunitaire", ce que l’on appelle les "groupes HLA". Or cette identité immunitaire varie, expliquant que tout le monde ne réponde pas de la même manière aux vaccins. De ce fait, nos besoins en vaccination sont différents. Par ailleurs, les maladies ne disparaissent pas toujours car souvent elles se transforment dans la mesure où les bactéries comme les virus changent. C'est pourquoi les stratégies vaccinales devraient être souples et discutées, les citoyens devant pouvoir choisir d’y adhérer librement. Autrement dit, pour que ce débat existe, il faut que les institutions comprennent que les réticences de la population ne sont ni un "caprice" ni un effet "des croyances", mais l’interrogation légitime d’une (partie) population plus avertie que les autorités le pensent !

* Au Japon le vaccin Gardasil contre le virus HPV, qui provoque le cancer de l’utérus a été retiré. En France, il a failli être ajouté aux vaccins obligatoires !

 

SARS Cov-2, virus de laboratoire ?

Le célèbre biologiste virologue français le Pr Luc Montagnier, membre des Académies des sciences et de médecine, colauréat du Prix Nobel de physiologie de 2008 pour la découverte en 1983 à partir de la salive et du sang des patients de l'immunodéficience humaine (VIH) responsable du syndrome d'immunodéficience acquise (sida), et directeur émérite de recherche au Centre national de la recherche scientifique (CNRS), a émis une nouvelle fois une hypothèse qui a suscité une vive réaction du milieu à son encontre*. Elle est que le virus SARS Cov 2, qui provoque la maladie Covid-19, aurait été créé en laboratoire, et qu'il contiendrait des séquences courtes identiques à celles du virus du sida, celles-ci ayant été été ajoutées volontairement par des chercheurs travaillant sur un éventuel vaccin contre le virus du sida. Son hypothèse s’appuie sur les travaux d’un mathématicien, Jean-Claude Perez, l’un des pionniers de la neuro-informatique, ses travaux actuels portant sur la structure numérique de l’ADN. Sa conclusion est que le génome du Sars-Cov-2 contient une insertion de six régions stratégiques du VIH, concentrées dans un espace représentant moins de 1% de la longueur du génome*². Autant dire qu'elle s'oppose à la raison officielle donnée par le consensus scientifique international dans son étude publiée en mars 2020 dans la revue Nature Medicine, estimant que "toutes les caractéristiques notables du SAR Cov-2 se retrouvent dans la nature" et que ce virus n’a pas pu être manipulé volontairement. Seul hic, cette étude a été réalisée par l’Institut Scripss, un laboratoire privé qui fait des recherches pour trouver un virus contre le sida, et qui de ce fait n'a aucun intérêt à trouver que la crise sanitaire a été provoquée par un laboratoire… Quant aux autorités, chinoises, américaines et françaises, elles n’ont pas non plus intérêt à ce que ce virus soit artificiel, toutes étant liées par leur participation à l’élaboration de l’Institut de virologie à Wuhan auquel a coopéré l’INSERM (Institut national de la santé et de la recherche médicale), dirigé à l'époque par Yves Levy, époux de l'ex Ministre de la santé Agnès Buzyn dans le gouvernement français, ainsi que son équivalent aux États-Unis situé à Fort Detrick (dans la ville de Frederik dans l’État du Maryland), qui est un centre de recherche médicale militaire américain notamment pour la détection des cas de grippes et de pneumonies, tout en poursuivant un programme de recherche d'armes bactériologiques soi-disant abandonnée depuis 1969.

En toile de fond se tient le spectre de la farouche "bataille du sida", dans laquelle l'établissement d'un vaccin efficace représente des milliards de dollars de financement pour le laboratoire concerné. Celle-ci oppose depuis les années quatre-vingt les Français et les Américains, plus exactement l’Institut Pasteur en France appartenant au groupe Sanofi avec le National Health Institute (NIH), l’Institut national de santé américain, et son département l’Institut national des Allergies et Maladies infectieuses (NIAID). Si la bataille a été gagnée grâce à un compromis amiable par les Français, elle n'a cessé de se poursuivre en souterrain, le NIAID versant entre 2014 et 2019 7,4 millions de dollars en faveur de l’Institut de virologie de Wuhan. Pourquoi ? Parce que grâce au génie génétique, le NIAID avait découvert qu’il était possible de faire passer ce virus de la chauve-souris à l’être humain par l'utilisation des séquences du virus du sida, le financement étant ainsi destiné à des travaux scientifiques interdits aux États-Unis.

Le docteur Anthony Fauci, patron du NIAID, et qui dirige le groupe de travail sur la pandémie Covid-19, a piloté le camouflage destiné à masquer l'objectif dissimulé de la non-divulgation immédiate du vaccin anti-VIH, à savoir tuer des millions de personnes sur le continent africain depuis les années quatre-vingt 1984, avant que d'apparaitre comme le remède miracle. Il possède en effet un brevet (propriété intellectuelle) sur la solution du vaccin, source de juteuses royalties de par la loi Bayh-Dole car accordant aux fonctionnaires ce droit de breveter leurs découvertes. En activant les vaccins obligatoires à l'échelle mondiale, le gain se chiffre en centaines de milliards de dollars, alors même qu'il n'existe aucun vaccin efficace contre un virus à ARN, n'étant que de "simples" mais efficaces thérapies immunitaires ! C'est la raison pour laquelle la collusion corps médical corrompu (une poignée d'individus au sommet de l'institution) et groupes pharmaceutiques d'envergure mondiale lutte de toutes ses forces pour empêcher les thérapies "naturelles", et ce jusqu'à ce que tout le monde soit infecté, afin de promouvoir les lucratifs vaccins. Et sachant que les vaccins contre la grippe augmentent les chances de 36% de contracter le COVID-19, ils en favorisent avec les relais politiques institutionnels la diffusion chaque année...

Aussi apparait-il clair que le virus Corona a été manipulé dans un laboratoire où des animaux ont été amenés. Le virus ne s'est pas en effet propagé directement à l'homme, en connaissant une évolution virale accélérée (si c'était un événement naturel, il faudrait jusqu'à 800 ans pour qu'il se produise). Car les êtres humains partagent depuis toujours dans le cadre de leur évolution naturelle des bactéries, des staphylocoques, des streptocoques, des virus, développant une réponse immunitaire quotidienne à ces choses. Et si nous leur retirons cette possibilité naturelle, leur système immunitaire s'affaiblit. En s'abritant derrière un masque (nécessaire toutefois s'ils sont âgés ou immunodéficients), en restant confinés, en se lavant les mains comme le reste vigoureusement, et en s'inquiétant par la propagande de peur distillée, ils nient l'intelligence de la microbiologie, celle de l'intelligence du corps habitué au toucher. Les éléments constitutifs du système immunitaire sont bel et bien les virus et les bactéries ! Or cette évolution naturelle ne rapportant pas d'argent, les psychopathes du système ont tout intérêt à contester cette vérité, tant pour fragiliser les populations que leur fourguer la mortifère médecine à prix d'or... Il est peu probable que la vérité se fasse jour par la chape de plomb établie, puisque telle fonctionne la corruption des esprits au royaume des morts-vivants.

* Il est depuis la fin des années 2000 vivement attaqué pour avoir multiplié les prises de positions sans rapport avec les connaissances en biologie et en médecine, soi-disant dépourvues de tout fondement scientifique. Il a notamment défendu les théories de la "mémoire de l'eau" de Jacques Benveniste, de la téléportation de l'ADN, et crime de lèse-majesté a pris position contre les vaccins. Ces prises de position l'ont amené à se marginaliser de la communauté scientifique.

Voir son article publié dans une revue scientifique internationale intitulé Wuhan Covid-19 synthetic origins and evolution ("Origines synthétiques et évolution du Covid-19"). Des chercheurs indiens avaient présenté une étude semblable en janvier 2020, avant de la retirer avant sa publication définitive.

Cf. en complément témoignage de la scientifique américaine Judy Anne Mikovits, et sa dénonciation de la corruption de l'industrie de recherche militaire et médicale. Elle est comme il se doit traitée de conspirationniste par les loups hurlants.

 

GcMAF, ou des décès bien suspects

Le Dr américain  James Jeffrey "Jeff" Bradstreet (photo 1), praticien en médecine alternative, passionné de l'autisme, chercheur et adversaire de vaccin, a été retrouvé le 19 juin 2015 mort flottant dans une rivière en Caroline du Nord avec une blessure par balle à la poitrine, qui a été décrite comme "circonstances suspectes". Quelques semaines auparavant, vers la fin d'une conférence sur l'autisme, il avait parlé du GcMAF, signalant le fait que certaines informations importantes seraient révélées dans un avenir proche. Il se serait lui-même tiré une balle dans la poitrine après que ses bureaux aient été perquisitionnés par des agents de la FDA américaine (administration des denrées alimentaires et des médicaments) et de l’Etat de Géorgie chargés d’appliquer la loi trois jours avant son décès, pour recueillir des informations sur l’utilisation du GcMAF chez des patients autistes de sa clinique. Ce médicament apparait en effet très prometteur dans le traitement de différentes maladies (cf. image 3), dont le cancer, l’autisme, la fatigue chronique et peut-être la maladie de Parkinson*, même s'il n'a pas été validé en l'état par les autorités scientifiques. Le mandat de perquisition précisait entre autres que les agents devaient rassembler toutes les composantes (globulines) du facteur d’activation des macrophages (GcMAF), les GCG globulines et/ou autre produits ou substances constitutives de ces médicaments considérés comme des médicaments étiquetés erronément en vertu du "Federal Food,Drug and Cosmetic Act".

Ce remède interne est en fait propre à l’organisme, toutes les personnes en bonne santé en possédant. De nombreuses publications scientifiques en ayant parlé et confirmé les potebtiels bienfaits, les autorités ont-elles pris peur, au point d'éliminer les "gêneurs" ? Si rien bien sûr ne le démontre, il est curieux qu'un autre praticien alternatif, le Dr Nicholas Gonzalez (photo 2) connu pour avoir développé un traitement alternatif du cancer, soit décédé quasiment au même moment, le 28 juillet 2015 pour soi-disant crise cardiaque. Il avait pourtant été signalé être en bonne santé, compte-tenu du soin porté à son alimentation. Cette crise cardiaque était-elle un phénomène naturel, ou aurait-elle pu être causée par un facteur extérieur*² ?
Il s'agit en tout cas de drôles de coïncidences dans les décès de ces deux médecins alternatifs très connus pour leurs apports à une "autre" science que celle estampillée sur le plan académique. 

* Depuis 1990, 59 documents de recherche ont été publiés sur le GcMAF. 20 d’entre eux avaient trait au traitement du cancer. 46 de ces documents peuvent être consultés sur le site web GcMAF.

En 1975, un témoignage qui fut présenté devant le Congrès américain faisait état d’une arme qui aurait été mise au point pour atteindre une victime à son insu, introduisant dans le corps une substance pratiquement indétectable susceptible de provoquer une attaque cardiaque. La victime serait tuée sans les preuves habituelles d’un assassinat.

 


Lubrizol, ou l'art consommé des fake news 

Si l’État français a déposé plainte contre les faux communiqués de presse au lendemain de l’incendie de l’usine chimique Lubrizol à Rouen fin septembre 2019 (oiseaux morts en pagaille, eau du robinet de couleur marron, faux communiqués de l’ARS - l’Agence Régionale de Santé -, etc), pour autant sa communication et celle des collectivités territoriales n’a pas été très claire, tout cela en prônant la transparence totale. C'est dans la façon ambiguë d’annoncer les choses que tout réside : "Les fumées de l’incendie de Lubrizol ne présentent pas un haut degré de toxicité", ceci voulant tout dire et son contraire. Qu'est-ce qu'un "haut degré de toxicité" dont on ne maîtrise rien et qui devrait suffire à sortir les fameuses "mesures de précaution", lorsque 5 253 tonnes de produits chimiques (environ 470) ont brûlé dans l’incendie du stockage de ce site classé Seveso ("risque haut") ? Quant au Préfet de la République, son "tous les produits ne sont pas dangereux" signifie aussi en miroir qu’il y en a de pas trop fréquentables là-dedans ! Enfin, "Nous recherchons la dioxine qui est un produit très dangereux" laisse à penser que si cette pollution est réelle, elle n’entraîne pas en l'état de risques pour la santé... avec ce que nous connaissons aujourd’hui, demain pouvant être très différent !

Les "fake news" qui polluent les réseaux sociaux voient également l’État jouer au chat et à la souris en disant que c’est dangereux mais qu’il n’y a pas de danger à sa connaissance. Ce n’est certes pas une fake news comparable, mais cela n’en est pas moins répréhensible lorsque l’on découvrira tout autre chose des effets sur la santé de cet épisode dramatique...

 

Coronavirus : de Pékin à Paris, mensonges, arrangements, manipulations.

La chape du mensonge grossier par les autorités institutionnelles est partout la même, seule ses formes changeant. Mais à l'heure du tout média et de l'éveil de plus en plus de consciences, il y a des images qui résonnent avec les propos tenus, et qui de ce fait sont dévastatrices pour celles et ceux qui se parent encore du drap de la vertu de la parole publique au service de leurs con-citoyens. C'est par exemple le cas de la ministre de la santé Agnès Buzyn, qui, en plein développement de l'épidémie en Chine du virus, expliquait doctement face aux caméras fin janvier 2020 qu’il était totalement inutile d’aller acheter des masques chez son pharmacien puisqu’en substance cela ne servait à rien, ou si peu. Quelques jours après, c’est équipée de masque de protection dit FFP2 qu’elle est apparue face aux caméras (Cf. photo), redressant une parole plus responsable compte-tenu de la peur et la terreur suscitées pour les individus confrontés aux virus. Elle avait oublié que dire la vérité est un des moyens pour lutter contre l’ennemi invisible, les masques et les gants en l'occurrence en faisant partie. Dénigrer ces outils fût une terrible erreur de notre ministre en termes de communication de crise.

Quant aux autorités chinoises, nul(le) ne fut étonné des mensonges éhontés de Pékin quant à la fiabilité de sa détection du virus , comme de ses terribles propagandes, répression et chasse aux infectés partout en Chine. Entre les malades livrés à eux-mêmes et sa volonté de protéger son image, la chape de Pékin fut à la hauteur de la surveillance généralisée instituée, et que pourtant nombre de démocraties se revendiquant comme telles lorgnent avec intérêt. Et c'est pourquoi s'il était avéré que Radio Pékin mentait, il fut bien inutile pour une fois de venir crier aux "complotistes" ou aux "fake news", tout ceci prospérant avec le silence coupable et les mensonges volontaires d’autorités politiques dépassées, préférant sacrifier la vérité que d’assumer publiquement la gravité de la situation.

 

Remplacer la révolte par la culpabilité

 

C'est de manière insidieuse le leitmotiv de la "philosophie" libérale occidentale, fortement nourrie du référentiel religieux judéo-chrétien, que de faire croire à l’individu qu’il est seul responsable de son malheur et de son infortune (chômage, précarité, exclusion...). Au lieu de remettre en question le système en le comprenant pour ce qu'il est, le peuple se culpabilise, s'auto-afflige, et s’en prend à lui-même, ce qui engendre un état dépressif dont l’un des effets est l’inhibition de sa force intérieure créatrice de solutions nouvelles, et faisant au passage le bonheur de la pharmacopée et des praticiens scientistes dévolus.

 

Crise pétrolière, alibi de la lente destruction du travail

La crise pétrolière de 1973 a constitué un virage majeur dans la lente et irréversible destruction sociétale. Afin de permettre aux entreprises de préserver leur compétitivité compte-tenu de la hausse de leurs coûts de production et de fonctionnement, un plan drastique étalonné sur le moyen-long terme a permis de mettre le curseur sur la performance financière au détriment de l'humain - gel des salaires, restriction des avantages sociaux, refonte des systèmes de retraite... -, le coût du travail étant jugé handicapant. Il en découle depuis une précarisation croissante pour de plus en plus d'êtres humains (jeunes, seniors, ...), les fausses promesses de récompense pour les efforts fournis lancées par leurs chefs d'orchestre mécaniciens successifs aux fausses rondeurs rassurantes - libéraux, pro-européens et pro-business - n'ayant bien sûr jamais été au rendez-vous...

 


La dynamique du capitalisme est-elle bien celle qu’avait prévue Karl Marx ?

La succession d’évolutions que Karl Marx avait prévues semble bien au rendez-vous dans les pays membres de l'OCDE. En effet, la baisse de l’efficacité des entreprises par le ralentissement de la Productivité Globale des Facteurs impliquant une baisse du rendement de leur capital, a entraîné depuis une quarantaine d'années la recherche de diminution des coûts, dont bien sûr ceux du travail et notamment des salaires. Il en résulte par le moins disant social la déformation du partage des revenus en faveur des profits. Cette stratégie a une limite, atteinte quand les bas salaires deviennent trop faibles (égaux au salaire de subsistance), les "capitalistes" se lançant alors dans des activités spéculatives... celles qui font par leurs bulles apparaître des crises financières !

En fait, le capitalisme est génétiquement déflationniste, puisqu’il vise à faire chaque fois un peu mieux avec un peu moins. Aussi la productivité augmente tendanciellement, le capitalisme ayant tendance à faire beaucoup mieux avec beaucoup moins. C’est dans sa nature, seule manière d’aller vers une augmentation des profits. Mais si cette recherche permanente du mieux avec moins pour avoir plus est comparable dans l'esprit avec le processus d’évolution de l'humain, le hic est qu'elle se fait au détriment de notre environnement comme des plus faibles. Elle met inéluctablement en place un système non-soutenable à terme. Les facteurs déflationnistes de la mondialisation sont bel et bien à la base de la crise d’endettement actuelle, tous s'attachant à rembourser les intérêts de la dette, non la dette elle-même...

Désormais, la productivité des entreprises va considérablement augmenter avec la robotique et la convergence des nouvelles technologies. Au bout du compte, "nous" serons capables de produire sans aucun recours ou presque aux masses laborieuses. La véritable question sera alors de savoir comment répartir la valeur ajoutée créée, et si nous souhaiterons même la répartir. La question incontournable qui se posera est comment répartir la richesse si cette répartition ne passe plus par les salaires, c’est-à-dire par le travail ? Et à ce jour, personne n’a de réponse, même pas Karl Marx...

 


Connaître les individus mieux qu’ils se connaissent eux-mêmes

 

Les progrès fulgurants de la science et de la technologie ont creusé un fossé croissant entre les connaissances du grand public et celles des élites. Grâce aux découvertes en biologie et en neurosciences (neurobiologie, psychologie…), les gardiens du "système" sont parvenus à une connaissance avancée de l’être humain, leur permettant d'accentuer le contrôle sur les individus de manière directe (traçage électronique) ou indirecte (stratégies de manipulation). Ils ont ainsi réussi à identifier les failles, les trous du cerveau, afin d'y glisser leur programmation insidieuse comme le neuro-marketing. Ils y sont notamment aidés par des chercheurs scientifiques travaillant sur des fonds publics, et qui créent en parallèle par leur voracité prédatrice des activités privées à caractère lucratif tout en dispensant leurs savoirs sur les bancs d'écoles et d'universités prestigieuses. Célébrés par le système académique, d'aucuns pourraient les taxer de "sacrés enfoirés"...

Le système éducatif se gardant de les dispenser, hormis à une petite élite dûment sélectionnée pour l'accès aux cycles d'enseignement supérieur, les êtres humains sont de plus en plus assimilables à des robots biologiques*, décérébralisés de la connaissance qui libère et non asservit, se contentant des miettes de connaissance distribuées de manière parcellaire et tronquée. Épuisés par le travail sous pression, anesthésiés et égarés par les artifices illusoires*² et chimiques, ils se dirigent désormais vers le puçage généralisé au prétexte de leur sécurité, ultime anneau d'asservissement à la Matrice involutive...

* Cf. Le contrôle du robot biologique.

Cf. Symbolisme et artifices de la Matrice.

 

Amoureux de son robot

L'entreprise chinoise Huawei Technologies a introduit de l’Intelligence artificielle dans son smartphone aux fins de fournir des interactions émotionnelles, ce qui semble être le "must" pour la clientèle des smartphones. Tout comme avec des robots - les poupées artificielles -, l'être humain pourrait ainsi devenir amoureux de son assistant personnel, un peu comme dans le film Her de Pike Jonze (2014)… Parvenir à un assistant de ce type est "le rêve de tout ingénieur", s’extasiant sur le fait que l’on pourrait se débarrasser de son/sa petit(e) ami(e) qui ne servirait plus à grand-chose. Ou comment conduire une société de consommation à son paroxysme pour des âmes perdues qui, incapables d’établir une vraie relation avec des humains, se réfugient dans la facilité de ce monde artificiel.

Pas de contestation, de rébellion, pas d’avis divergent, pas de saute d’humeur, l’assistant est plutôt un gentil esclave, ce que ne sera jamais un humain. Ce rapport de domination facile serait donc un fantasme pour certains, ce que les chercheurs et fabricants ont bien compris...

 


Neuro-piratage

Le spécialiste en langage et épistémologie Lucien Cerise (photo 1) établit dans le recueil de textes "Neuro-pirates : Comment pirater un cerveau ?" le piratage des cerveaux par l’ingénierie sociale et d’autres procédés. Ce neuro-piratage peut consister à agir sur le hardware, c’est-à-dire sur le substrat biologique et génétique du cerveau, mais il peut également consister à agir sur le software, c’est-à-dire sur le code de communication que l’on apprend de la société. Ce code d’origine épigénétique – ce langage, ou logiciel – nous vient du bain socioculturel dans lequel nous sommes plongés depuis l’enfance, imprimant au cerveau son architecture neuronale. L’étude des groupes sociaux, de leur mode de construction, des liens qui les structurent, a permis à ceux qui veulent maîtriser les foules d’agir sur ses membres, de modifier leurs comportements, voire de les détruire en tant qu’individus et groupes, les uns dépendant des autres. Car l’individu déconnecté de tout groupe, de toute hiérarchie, de toute représentation, de tout "stéréotype", de toute transcendance intérieure, ne peut survivre qu’en développant des symptômes psychotiques. En attaquant les liens naturels, liens œdipiens de la différenciation masculin/féminin, mais aussi de la hiérarchie parents/enfants, en abolissant la notion de limites, dont le dépassement en psychologie s’appelle perversion*, c’est toute la société qui est attaquée. Déstructurée, rendue malléable – on parle de société "liquide" –, elle sera alors le jouet d’une petite oligarchie qui n’aura plus rien à craindre des peuples dont elle s’est approprié les âmes tant par des pratiques ésotériques occultes*² (sciences molles) que par la cybernétique (sciences dures)*³, autrement dit la gouvernance par le chaos, l'entropie.

* Cf. Fonctionnement du corps biologique.

Cf. La nouvelle religion universelle.

*³ Cf. Travaux du mathématicien américain, théoricien et chercheur en mathématiques appliquées Norbert Wiener (1894/1964 - photo 3), dans son essai "Cybernetics : Or Control and Communication in the Animal and the Machine" (1948).

 

Du New Age

Mercantilisme spirituel

 

Le mouvement "Amour et Lumière", autrement dit New Age, est un marché, un business. Qui dit marché dit arnaque, soit la rencontre entre un escroc et des pigeons, autrement dit entre un bourreau et ses victimes. Son core business est le développement "personnel", spirituel, consistant à vendre des recettes pour être épanoui, positif, heureux, libre et en paix. Le seul problème, c’est que l’ingrédient de base n’est pas, ne peut pas être fourni. Le New Age constitue de ce fait une arnaque, le vendeur évitant de préciser dans son discours et de manifester dans ses actes que cet ingrédient, sans lequel rien n’est possible, est la décision irréfragable et inconditionnelle d’aller au bout de soi, quoi qu’il en coûte, quelles qu’en soient les conséquences. Il s'agit de se mettre à nu, se vider de soi, faire tomber ses masques, se reconnaître et s’accepter dans la plus radicale crudité. Soit tout ce que refuse et redoute par-dessus tout l’égo-mental*, puisque ces masques sont son pouvoir et leur maintien sa raison d’être, afin de permettre la nourriture du prédateur asservisseur de l'être humain.

Or pas grand-monde parmi ces "experts" en Bonheur n’a la décence et la cohérence de dire que rien n’est possible sans la décision intransigeante d’aller au bout et au fond de soi, l'intégrité étant le nerf de la guerre, la guerre intérieure contre l’égo, c’est-à-dire le démon reptilien prédateur. Sans désir ni volonté de le rencontrer et de l’assujettir, point de salut*².

Cf. Décryptage de l'égo.

Cf. Comprendre et apprivoiser la prédation.

 

L’effondrement des grandes idéologies religieuses comme celles des philosophies de la Révolution des Lumières nourricières de la politique et de l'économie  (libéralisme, capitalisme, socialisme, communisme), a laissé un vide que le New Age est venu opportunément combler à l'initiative des maîtres-artificiers babyloniens et de leur agenda occulte*, d’une manière rigoureusement identique, celle de belles valeurs humanistes que personne au fond n’assume, de grandes promesses que personne n’est capable de tenir, et de grandes causes à défendre que tout le monde utilise pour se rassurer au lieu de se donner les moyens de réellement les mettre en œuvre. C'est ainsi que la partie sombre, visqueuse, glauque et pour tout dire satanique du New Age se manifeste, comme dans tout phénomène idéologique, à travers des slogans prétentieux et vides, des mots d’ordre inutiles et purement incantatoires, qui évitent à ceux qui les profèrent de se pencher sur les raisons profondes de ce qui fonctionne à contre-nature existentielle, et d’affronter le prurit là où il se trouve, c’est-à-dire en eux-mêmes. Et c'est sur cette imposture pestilentielle que prospèrent l’escroquerie "new-âgeuse", nourrissant le "syndrome du gourou" de ses tartuffes enseignants de l’amour et du bonheur*². La "religion Nouvel Âge" est bel et bien la religion de l’Antéchrist !

* Cf. Prophétie du changement.

Cf. Prédation spirituelle et voie de sortie.

 

Un frein délibéré à l'évolution de la conscience

 

L’hypocrisie du New Age est qu'il ignore dans ses enseignements les rôles d’origine karmique que sont les états de bourreau, victime et sauveur, ce dernier intégrant toujours l’une des deux polarités (dominant ou dominé, bourreau ou victime). De ce fait, l'individu se retrouvant dans le rôle de victime-sauveur ou de bourreau-sauveur ne peut voir qu’il s’agit d’un comportement de fuite, de déni de lui-même, afin d’éviter qu'il ne contacte ses propres souffrances. Il découle des sentiments de pitié ou de culpabilité qui, ayant été refoulées, le poussent inconsciemment à agir de cette manière, afin d’alléger, par un acte de nature inconsciente, la responsabilité karmique de sa lignée reptilienne originelle, dominante ou soumise. Ce faisant, il ne fait que les renforcer en croyant les atténuer ou les expurger, ces sentiments l'incitant à se substituer et à s'immiscer dans la problématique de l’autre dans une puérile posture de justicier. De ce fait, il ne peut toucher sa propre responsabilité dans la situation qu’il génère lui-même. Aussi, ne pouvant se dépêtrer de ces schémas dissimulés dans son ADN depuis la genèse de l’humanité, leur non-conscientisation empêche leur résiliation et son évolution dans une autre dimension de conscience *. C'est pourquoi le New Age est effectivement une religion ou une idéologie anti-christique et par-là même satanique, une énième ruse du système prédateur pour maintenir les individus dans la dualité, le conditionnement et l’aliénation.

Il n'y a pas d'autre alternative que de dire "oui", sans réserve, à la souffrance. Car vivre ses rêves consiste au fond à cesser de souffrir, et cesser de souffrir consiste à accepter de souffrir. Étrange paradoxe, on ne cesse de souffrir qu’à partir du moment où l’on a accepté de souffrir. La souffrance est en effet un symptôme, et plus on ignore un symptôme, plus le mal perdure et augmente. C'est pourquoi la seule façon de guérir est d’abord d’accueillir le symptôme et la douleur qui le manifestent. En laissant la souffrance être, elle peut s'en aller une fois qu’elle a vécu, qu’elle a été ce qu’elle avait à être. Elle peut alors libérer la place à nos rêves, pour qu'ils y prennent forme, libérant la place où apparaîtront les conditions propices à leur réalisation. Il ne s'agit donc pas de voir le verre à moitié plein - le bien - plutôt qu'à moitié vide - le mal -, mais de le regarder dans toute sa dimension.

Ce genre de choix dont raffole les théoriciens du New Age n'est qu'un piège, une ruse du prédateur. Et choisir, c’est tomber dans le piège. Comme disait l'écrivain Georges Bernanos (1888/1948), "La seule différence entre un optimiste et un pessimiste, c’est que le premier est un imbécile heureux et que le second est un imbécile triste." Échapper au piège consiste, non pas à refuser de choisir qui ne fait que repousser le problème, mais à reconnaître et accepter à la fois les deux options de l’alternative. Les deux options existant de manière égale et identique, elles permettent de neutraliser le choix et de le faire disparaître en tant que tel. Nous pouvons ainsi connaitre et comprendre l’égale valeur, l’égale légitimité, l’égale justesse des deux termes de chaque dualité*², et devenir neutre. C'est-à-dire nous situer au-delà du conflit, en paix. Neutre, sans dualité : intègre, donc entier.

* Cf. Le chemin de l'Ascension.

Cf. La dualité décodée.

 

Tout chercheur un peu sérieux et consciencieux sur le chemin de l’Éveil à Qui Il Est finit bien par se poser honnêtement la question de savoir pourquoi toutes les traditions initiatiques du monde transmettent les mêmes enseignements fondateurs, soit la traversée de l’Ombre et la confrontation avec le Gardien du Seuil, étape incontournable à la percée du grand voile des illusions*. C'est là où pourtant le bât blesse gravement, voyant s’immiscer la faille fatale dans laquelle échouent nombre de postulants sincères mais avides d’arriver au terminus sans avoir réellement parcouru le Chemin. Et naturellement s'engouffrent dans cette faille les théories du New Âge, promesses à la facilité, faisant le jeu des maîtres du Mensonge. Elles concernent trois points cruciaux :

. La négation du Karma, prétendant que le Karma planétaire est résolu.

. La négation de la Dualité à notre échelle, au prétexte que nous sommes Un et unis.

. La négation de l’Ombre - la prédation extra-dimensionnelle -, au prétexte qu’il suffit de cultiver des pensées d’amour et d’envoyer de la lumière pour dissiper tous les maux de la planète...

C'est oublier que tous les grands Guides de l’humanité furent avant tout des "travailleurs de l’ombre", dans tous les sens du terme, aucun d’entre eux n’ayant jamais brossé la nature humaine "dans le sens du poil" ni concédé quoi que ce soit à la facilité.  Voici pourquoi il est plus facile de s’asseoir en tailleur en chantant des mantras que d’aller visiter en nous ce fameux patrimoine génétique qui fait de chacun les filles et les fils de nos créateurs reptiliens... C’est beaucoup plus confortable tant pour l’intellect que pour l’égo de nous sentir reliés à de nobles lignées stellaires plutôt que d’aller explorer, sans fard ni faux‐semblants, nos "zones d’appartenance" et confronter nos propres instincts de prédation...

* Cf. Le Jeu de la Vie.

 

S'il est facile d'imputer à Helena Petrovna von Hahn dit Madame Blatvasky ou Alice Ann Bailey la responsabilité de tous les maux et péchés des dérives actuelles dont est victime leur enseignement, c’est trop vite oublier les nombreuses mises en garde de leurs publications, incitant notamment les occidentaux à ne pas pratiquer des disciplines comme le Hatha Yoga* sans précautions... C’est omettre l’essence‐même d’un enseignement déconseillant formellement toute forme de médiumnité, ainsi que toutes pratiques similaires basées sur les basses fréquences de l'astral ! C’est mentir sur leurs propos sans équivoque concernant celles et ceux qui "croiront être en contact direct avec le Maître, alors qu’en réalité ils seront en contact avec le reflet de l’Ashram du Maître dans l’astral", autrement dit d'un égrégore qui n'engage que celles et ceux ayant eu la naïveté de le suivre sans avoir procédé à l'indispensable purification intérieure, sans complaisance aucune.

Aussi, qu’est‐ce qu’un "reflet" sinon une image inversée de la réalité, celle que la plupart des êtres humains illusionnés refuse de regarder de pleine face ? Que celles et ceux qui ont des oreilles entendent, et que celles et ceux qui ont des yeux pour "voir au‐delà" du voile des apparences, voient... les Maîtres occultes livrant toujours les clés de leur jeu involutif.

* Le hatha-yoga est une forme particulière de yoga qui a été codifiée en Inde, avant d'atteindre, au XX° siècle, l'Occident. Il signifie "yoga d'effort", et concerne principalement l'éveil spirituel par les postures correctes (āsana), la discipline du souffle (prāṇāyāma) et la méditation.

 

La Lucis Trust, origine du mouvement du "New Age"

Structure à but non lucratif créée en 1922 par Alice Ann Bailey (photo 1) et son mari Foster, la Lucis * Trust est à l’origine une société d’édition pour les livres écrits par sa fondatrice suivant les hauts enseignements théosophiques (la théosophie est une tradition spirituelle explicative de la Création appelée Doctrine secrète) de la philosophe russe ésotérique Madame Helena Petrovna Blavatsky (1831/1891 – photo 2). Gravitant dans les milieux francs-maçons de la haute bourgeoisie et de la noblesse états-uniennes et introduits dans les plus hautes sphères politiques de l’État, ses initiateurs sont fortement imprégnés de messianisme, attendant la venue d’un Sauveur universel sous différents noms (l’Avatar, l’Instructeur mondial, le Seigneur Maitreya, Krishna, le Messie, l’Imam Mahdi, le Bodhisattva). Ils prophétisent l’avènement d’un "Nouvel Âge de l’humanité" et d’un "Nouvel Homme" aux alentours de 2030, visant l’instauration d’un "Directoire mondial" composé de "sages" sous la direction éclairée des États-Unis, sorte d’aristocratie spirituelle dans le style de la République de Platon. Le Théosophisme prit le nom de mouvement du "Nouvel Âge".

Par son statut reconnu d’organisation non gouvernementale œuvrant pour la paix dans le monde, elle est accréditée auprès du Bureau d’Information Publique de l’ONU, la conseillant entre autres sous les vocables de "Bonne Volonté Mondiale" et d’"École Arcane", cette dernière pratiquant la méditation occulte. Elle fait partie des structures considérées comme promouvant une religion mondiale, se présentant comme telle. Elle a des sièges à New York, Londres et Genève, dans les locaux de l’ONU. Si l’expression "Nouvel Ordre Mondial" a été supprimée dans les versions plus récentes du site officiel de la Lucis Trust, l’Internet Archive permet de retrouver des anciens textes qui la mentionnent encore. Nombre d'enseignants spirituels célèbres*² sont pris dans les filets du courant "Amour et Lumière", caution du jeu de la prédation, et nombre sont financés par ses Fondations (Ford, Carnegie, Rockefeller...). Si une grande partie de leur enseignement est indéniablement juste, il n'en constitue pas moins une impasse existentielle quant à la véritable clé de salut, eux-mêmes étant piégés par le matérialisme de leur business sinon par l'égo narcissique...

* Lucis, mot latin, signifie "de la lumière", et constitutif de Lucifer, "le porteur de lumière".

Barbara Marx Hubbard, Dan Millman, Deepak Chopra, Deva Premal & Miten, Doreen Virtue, Ervin Laszlo, Gregg Braden, James Redfield & Salle Merrill Redfield, Tom Robbins, Zecharia Sitchin...

Cf. Luc-Michel Mazenc, sociologue, "New Age et mondialisation néo-libérale", 2005 ; Michel Lacroix, "L’idéologie du New Age", Flammarion, 1996, pp. 90-91 ; Alain Lallemand, sur l’utopie messianique d’Alice Bailey, "Les sectes en Belgique et au Luxembourg", EPO, 1994.

 

Du terrorisme

C’est un fait historique qu'il est de plus en plus difficile de masquer. Le contexte de l’ancienne guerre froide russo-américaine a contribué à la création du monde terroriste, formé et financé par le complexe international militaro-politique et sa tête de pont occidentale, les États-Unis. Sa posture de "gendarme du monde" dit libre - notamment en Europe via le relais de l'OTAN - et son culte technologique de l'armement, ont été encouragés par un Parlement quasiment à l'unisson, et qui, à chaque fois, a voté les lois d'exception favorables aux budgets du surarmement. Ce fut tout particulièrement le cas sous le règne du Président George Herbert Walker Bush (photo 3) pendant son mandat de 1989 à 1993, qui avait été directeur de la Central Intelligence Agency (CIA) en 1975, armant lourdement le Président irakien d'alors Saddam Hussein (photo 5) pour qu’il combatte l’Iran dans les années 80 à 88.

 

C'est ainsi que lorsque l’Irak a envahi le Koweït le 2 août 1990, les États-Unis sous la direction du président George H. W. Bush ont pris des mesures immédiates, envoyant des avions, des navires de guerre et des soldats américains dans la région, alors même que jamais depuis le prétexte des armes de destruction massive de Saddam Hussein n’a été prouvé. Au milieu du mois suivant, Bush proclama au Congrès que l’invasion ne pouvait pas durer, et qu’à l’issue de la défaite des forces irakiennes et de l’expulsion du Koweït, un "Nouvel Ordre Mondial" attendait, prétendument une période de coopération internationale et de paix dans laquelle "la règle de droit supplante la règle de la jungle"... Le terme a fait mouche auprès des mondialistes de la planète, principalement occidentaux, et dans les années qui ont suivi, il est apparu clairement que les élites occidentales le mettaient en pratique. Depuis, des guerres ont été systématiquement menées notamment à ces fins (Afghanistan, Lybie, Syrie...), les marchés des ressources énergétiques ont été exploités (exploitation du pétrole irakien ou libyen), les devises manipulées, la production délocalisée vers des pays disposant d’une vaste et jeune main-d’œuvre qui ne coûte qu’une fraction de ce qu’elle coûte en Occident, les gouvernements attaqués et renversés.

Et ainsi de suite, jusqu'à aujourd'hui qui voit le président Joe Biden prononcer lors d’un discours en mars 2022 devant la réunion trimestrielle des chefs d’entreprise de la Business Roundtable* que les événements qui se produisent actuellement dans le monde, tel le conflit entre la Russie et l'Ukraine, ont généré "d’importantes possibilités d’apporter de véritables changements" à l’économie mondiale: "ET C’EST MAINTENANT QUE LES CHOSES CHANGENT. NOUS ALLONS… IL VA Y AVOIR UN NOUVEL ORDRE MONDIAL ET NOUS DEVONS LE DIRIGER ET NOUS DEVONS UNIR LE RESTE DU MONDE LIBRE POUR LE RÉALISER"... Autrement dit, pas question que les pays restent souverains, libres et capables de s’auto-gouverner selon les souhaits de leurs citoyens !

 

L’histoire est bel et bien à un tournant, ce qu'indique la présentation succincte du Forum de Davos de l'année 2022 auquel ne participeront ni la Russie ni la Chine...

* La "Round Table" est le Conseil suprême de la direction mondiale, se composant au plus haut niveau de membres d'antiques familles aristocrates de sang bleu dominantes, ainsi que de membres de familles plus récentes. Il évoque les douze légendaires chevaliers de la Table ronde réunis autour du Roi. Chacune des familles régnantes est en charge d’une zone donnée de la planète Terre et d’une fonction particulière à remplir, qui comprend notamment les finances mondiales, le politique (dont la technologie militaire), l’éducatif, le contrôle de l'esprit (groupe des sociétés secrètes), la religion, et les médias (groupe de l'intelligentsia). Cf. La nouvelle religion universelle.

 

La puissance du complexe international militaro-politique permet le vote des décisions politiques se rapportant à des déclarations de guerre, quitte à les provoquer ou à inventer, presque toujours, de fausses raisons comme pour la deuxième guerre du Golfe. C'est l'application moderne de la formule "ultima ratio regum", jadis expression favorite du cardinal de Richelieu que reprit à son compte le Roi soleil Louis XIV et qu'il fit apposer sur ses canons, signifiant "La force est le dernier argument des rois" (du latin ultima, dernier ; ratio, raison, regum, des rois). De ce fait, le fameux Gendarme du monde, chantre de la rhétorique libertaire, est aussi en même temps un délinquant, ce que refusent d'admettre les médias serviles et les populations naïves et mal informées par leur intermédiaire qui pensent aller faire des "guerres justes".. Ses maîtres occultes se régalent de ce type de situation provocatrice car de nature schizophrénique, leur permettant la maîtrise de l'ensemble des donnes de l'échiquier, soit l'assurance absolue de ne jamais rien perdre.

 

N'est pas celui que l'on imagine

 

Qui peut encore croire en dépit du silence assourdissant des grands médias occidentaux chloroformés à l'existence d'une filière terroriste qui, pour perpétrer sur le sol états-unien les attentats du 11 septembre, a réussi à leur élaboration à l’insu, a priori, du FBI (Federal Bureau of Investigation) et de la CIA, dans un pays où il est aujourd’hui prouvé qu’aucune conversation ne peut échapper aux grandes oreilles de Big Brother. Comme il est reconnu que le FBI infiltre les réseaux comme contribue au recrutement de terroristes internationaux à des fins de manipulation, il n'est pas interdit de penser qu'il puisse également par le biais de certains de ses agents corrompus jouer un double-jeu pour leurs commanditaires pervers.

Au final, s’il y a complot, c’est bien celui de l’État contre ses citoyens et non l’inverse ! C’est ainsi que bien des décennies déjà avant la création d'Al Qaïda, la même direction occulte du complexe militaro-politique international avait financé la création des mouvements communistes et nazis, sionistes et islamiques. Ce principe existe non seulement depuis des siècles, mais depuis des millénaires, voyant les grands décideurs historiques occultes organiser en permanence à partir des coulisses des oppositions binaires qui occupent toute la scène géo-politique. Ils créent une mortelle dépendance de tous les acteurs envers les financiers à double-casquettes, c'est-à-dire autant "pousses au crime" que sauveurs. Ils sont toujours prêts en coulisses à faire crédit en contrepartie des immenses dettes correspondantes, leur but étant que le "pigeon" devienne vite insolvable pour pouvoir s’approprier son bien tant convoité, comme le pétrole par exemple. C'est l'application constante de la règle du "diviser pour mieux régner".

 

Mode opératoire de la CIA

La CIA ne recule devant aucune stratégie pour déstabiliser son adversaire, et créer en plus du profit, même au prix de la mort prématurée de centaines de millions de gens faibles. Il convient en effet de ne jamais oublier que l’argent sera toujours le nerf principal de la guerre, l'affaire libyenne secouant judiciairement l’État français le démontrant, sauf pour les militants fanatisés décérébrés. L'universitaire canadien, professeur émérite de littérature anglaise à l’université de Berkeley en Californie et ex diplomate le docteur Peter Dale Scott (photo 1), spécialiste des liens étroits entre le terrorisme et le trafic international de stupéfiants, a ainsi décrit dans la revue NEXUS n° 47 de Novembre 2006 le mode opératoire de l'agence centrale d"'intelligence" états-unienne, qui consiste à coordonner à son profit les relations entre les narco-trafiquants "barons" d’Asie centrale, d’Amérique du sud, le djihad islamiste et les sociétés criminelles organisées. C’est ainsi, par exemple, que les attentats de Moscou de 1999 sont l’équivalent russe du 11 Septembre américain avec les mêmes buts. Ce méta-groupe dominant du trafic de drogue à l’échelle mondiale supervise les productions en Afghanistan et en Colombie. Dissimulant les actions de la CIA, un écran commercial nébuleux et impénétrable a été créé, avec la multinationale Far West Ltd filiale de Halliburton, entreprise para-pétrolière devenue multinationale, dont un des PDG fut Dick Cheney* (photo 3), ancien Vice-président des États-Unis sous la présidence de George Walter Bush lui-même. Ce groupe dont le qualificatif de mafieux est très réducteur, à la structure tentaculaire, a organisé, par exemple à Beaulieu près de Nice, une réunion entre un marchand d’armes, l’homme le plus riche du monde et la famille Eltsine, afin de planifier le double attentat suicide le 5 juillet à Moscou perpétré par des femmes kamikazes et attribué aux rebelles indépendantistes, qui avait fait 15 morts, avant que d'autres ne se succèdent. Le but était de légitimer l’invasion du Daghestan et de relancer la guerre en Tchétchénie, qui conduiront à la mise en orbite à la présidence de la Russie de Vladimir Poutine en 2000...*² Cette puissante organisation criminelle depuis 1992 contrôle le transport de quantités importantes de drogues en provenance d’Afghanistan vers la Russie et l’Europe. Elle est également impliquée dans le blanchiment des sommes investies dans l’économie russe, et ce en dépit de la tentative du Kremlin d'en contrôler les énormes profits réalisés. Ainsi, par l'entremise de ces réseaux "multifonctions", la corruption généralisée est utilisée comme un outil politique par les américains pour affaiblir la Russie et son influence internationale, quitte à inonder l’Europe de millions de jeunes prostituées et des toxicités mortifères des drogues.

De même pour toutes les régions du monde, y compris l’Europe, Washington soutient et renforce les forces islamistes anti-occidentales, permettant au géant états-unien de rester l'allié indispensable à la lutte anti-terroriste, notamment avec l’aide de sociétés privées, dites de sécurité, les mêmes que la CIA assiste discrètement et contrôle, en plus sans aucun risque, dans leur appui à tous les centres d’entrainement islamistes... Est-il besoin de rappeler l'échec en 2002 des tentatives du gouvernement afghan de restreindre la production d’opium, à cause de la CIA elle-même. La même qui avait auparavant encouragé les barons de l’héroïne pendant la guerre afghane des années 80 contre les Russes, à répandre l’addiction parmi les troupes soviétiques. La CIA veut pouvoir continuer à utiliser ces réseaux pour "garder la main" dans ses relations subtiles avec le djihadisme mondial, et dont Al Qaïda n’est qu’une simple vitrine publicitaire sans grande responsabilité. Les guerres dans la marmite explosive de l'Orient rapportent bien trop pour être stoppées. Elles sont comme le feu sous une marmite de bonne soupe.

* Cf. Sa biographie est explicite de conflits d'intérêts entre vie politique et vie des affaires, emblématique de ce que produit la 1ère démocratie du monde pour ses zélateurs béats.

Cf. "The Moscow Bombings of September 1999 : Examinations Of Russian Terrorist Attacks At The Onset Of Vladimir Putin's Rule" de John B Dunlop (2014).

Voir en complément Contrôle mental.

 

Pour l'être humain endormi par le chloroforme asséné depuis son arrivée terrestre, "C’est ainsi que va le monde", éternel et inévitable combat entre le bien et le mal que seul(e)s les plus puissants et rusés dominent. Cette vision d'impuissance a été puissamment ancrée dans chaque cerveau vivant, la suggestion induite dans son subconscient étant que le mal est "naturel", qu’il fait partie d’une vie normale. Ce n'est ni plus ni moins qu'un conditionnement fatal, autorisant de manière tacite toutes les œuvres malfaisantes, et notamment à son encontre. Le fameux "panier de la ménagère", si cher à tous les pubards, marketeux et autres sondeurs neu-neu du système de CON-sommation, n'est pas seulement la raison d'être d'appartenance et de survie sociétale de l'homo-economicus. Il est celui destiné à la nourriture de la prédation asservissante, qui par les inepties ingérées et jamais réinterrogées quant à leur justesse existentielle, lui offre sur un plateau royal son menu quotidien. Ainsi est programmée une œuvre d'auto-destruction perverse, que chaque être humain endormi et aliéné offre au quotidien au système prédateur avec fatalité et résignation...

Le terrorisme commence ainsi à notre propre porte, par ce déni de réalité. En pensant que nous n'avons absolument rien à voir avec le complexe militaro-politique international, ses acteurs et agissements, nous commettons une tragique erreur de compréhension, et sommes pleinement responsable des conséquences pour notre vécu d'humanité. C’est bel et bien notre passivité qui cautionne et autorise toutes ces opérations depuis la nuit des temps ! La cause de cette inertie est bien entendu la peur. Celle qui, résidant en nous, sourde et profonde, refuse de regarder en face pour comprendre la vérité de nos origines, alors que celle-ci est pourtant en nous, enfouie dans nos profondeurs, celles de l'inconscient et par résonance de notre ADN biologique*. Par le déni et la culpabilité instillés de par le conditionnement religieux - nous sommes "pécheur", "mauvais" -, comment pourrions-nous avoir le courage de nous pardonner ainsi qu'à nos parents d’avoir été aussi lâche et de continuer à persister comme tel ? Si nous ne prenons pas conscience qu'en cette fin de cycle civilisationnel nous sommes venu pour nous réveiller et mettre fin à cet esclavage consenti, attentatoire à Qui Nous Sommes vraiment, alors ne nous plaignons pas de notre funeste destin...

* Cf. Fonctionnement du corps biologique & Décryptage de l'égo.

 

Illustration manipulatoire emblématique

Attention sujet sensible, puisque toute remise en cause de la version officielle, au même titre que l'affaire "JFK", est immédiatement taxée de complotiste ou conspirationniste par ses chien(ne)s et trolls inféodés. Pourtant, les attentats du 11 septembre 2001 sur le sol états-unien présentent une telle avalanche de doutes argumentés que l'opération apparaît explicitement comme une opération de désinformation orchestrée par les médias aux ordres, ceci ne cessant d'être confirmé. Ils ont eu pour effet une guerre immédiate contre l’Irak, puissance pétrolifère convoitée, avec également des richesses archéologiques sensibles concernant les origines de l'humanité*, constitutives de preuves devant être cadenassées. Et comme cet aspect échappe à l'intellect formaté - et de ce fait manipulé - des experts en charge de l'explication officielle, point n'est besoin d'aller chercher plus loin le brouillard épais jeté sur la conscience par les maîtres artificiers babyloniens. La connaissance de ces secrets par les familiers du dictateur de Bagdad représentait un risque de monnayage trop important pour être toléré. Cet événement historique constitue en fait le point de départ de la dernière étape de l'agenda occulte*² des maîtres asservisseurs, constitutif de la "3ème guerre mondiale" nécessaire à l'instauration d'un nouvel ordre mondial, apothéose apocalyptique du cycle entropique de la Matrice cyber*³. Ce que les spécialistes introduits auprès des services secrets savent parfaitement...

* Cf. Vérité civilisationnelle.

Cf. Le jeu de (fausses) pistes de la Matrice.

*³ Cf. Prophétie du changement.

 

Quoi de plus incorrect que d'établir l'axe états-unien-israélien dans sa vision d'un monde unipolaire, mais qui pourtant découle de la compréhension de la légende politico-religieuse assénée par le système prédateur à l'humanité depuis plus de deux millénaires*. Et qui, depuis la Révolution dite des Lumières, a amorcé une nouvelle étape de son calendrier entropique. Si déjà la thèse d'un groupe islamiste seul apparaît totalement irréaliste quant à sa capacité à réaliser en septembre 2001 un tel "exploit" technique au vu et au su de puissants services de renseignements, de nombreux autres éléments incohérents transpirent, rendant la thèse officielle irréaliste. Ses sinistres exécutants n'ont pu qu'être étroitement encadrés et instruits militairement par une cellule d'experts occidentaux, dont la CIA comme le Mossad étaient les maîtres d’œuvre. Ces deux services de renseignement les plus développés et nombreux du monde ont développé en leur sein un département occulte et autonome, capable d’organiser et de maîtriser avec perfection l’exécution de plans terroristes aussi sophistiqués.

Ainsi, selon le témoignage du gardien et gérant technique William Rodrigues, responsable de toute la maintenance des tours jumelles, d'énormes explosions se sont produites dans tous les sous-sols des tours au niveau de leurs piliers bien avant que les incendies ne commencent en haut des tours jumelles, comme si cela provenait des grosses chaudières ou des générateurs auxiliaires. Il y a eu immédiatement des morts et des blessés. Ces faits ont été complètement oubliés à cause de ce qui est survenu ensuite. Qui plus est, il fut appelé parce que le 34ème étage de la deuxième tour, qui était complètement vide pour réfection, avait été pulvérisé aux quatre coins par diverses explosions. Tout cela s’est passé alors que le premier avion n’était pas encore arrivé !... Comme pour ses autres collègues, ce cadre technique dit avoir subi une forte pression des services secrets avec des propositions de grosses indemnités. Ayant cependant choisi de témoigner en faisant un tour du monde, il a pu échapper aux autorités américaines, devant toutefois bénéficier à chaque fois d'une protection maximale. Par contre, l'accès des pays du G8 (États-Unis, Japon, Allemagne, France, Russie, Royaume-Uni, Italie, Canada) lui est refusé, ne pouvant de ce fait plus faire de conférence sur son sol natal. 

Un autre pavé dans la mare est celui qu'a lancé en février 2010 André Rousseau, chercheur français au CNRS en géologie-géophysique et spécialiste des ondes acoustiques, qui a démontré dans un article publié en 2010 - et bien évidemment fortement controversé par d'autres experts*² - que les données sismologiques enregistrées sur un même appareil de mesure fonctionnant à Manhattan le 11 septembre  montraient clairement et sans contestation possible qu'il s'agissait d'une "vulgaire démolition contrôlée d’immeuble élevé", ceci étant confirmé pour chacun des effondrements des tours. A chaque effondrement correspondait, juste avant son début, deux phases d’ondes sismiques rapprochées et identiques précédant l’impact de la chute au sol, ce qui est la signature incontestable d’une démolition contrôlée. Selon Rousseau, le NIST américain (Institut National de Technologie) a manipulé les chiffres de son rapport.

Quant à la famille d'Oussama Ben Laden*³, installée à Washington et proche des Bush depuis un siècle, elle a été complètement évacuée vers l’Arabie Saoudite le matin même des attentats du 11 septembre, les préparatifs ayant été faits la veille. Ce n’était donc pas une fuite, tous leurs cartons étant déjà prêts. Ce sont les services secrets US qui s’occupèrent de ce transfert. Pure coïncidence ou "cela ne nous regarde pas" pour les irréductibles partisans du système établi...

* Cf. Le modèle européen décodé (1) Un ADN impérial païen & Le Judaïsme décodé.

Cf.  Ainsi Jérôme Quirant, agrégé de génie civil, option structures et ouvrages, docteur en mécanique des matériaux et des milieux.

*³ Dans la "célèbre" cassette où la date d'enregistrement apparaissait - Dec.-20 -, on voyait Ben Laden en pleine montagne afghane faire un de ses discours appelant la mort sur l'Occident et les USA. Derrière lui, un carré d'herbe et en son milieu un arbre feuillu à souhait. En contre-plan, on entendait un oiseau chanter et on voyait un ciel bleu magnifique. Dans les contreforts himalayens réputés pour leur rigueur hivernale, il est intéressant de noter que les arbres avaient leur feuillage et l'herbe encore sa verdure. Quant au chant des oiseaux, ils se taisent quand il fait froid.

La cassette est pourtant passée en boucle sur les chaînes des milieux autorisés durant une bonne semaine avec analyse de spécialistes. Personne n'a paru surpris de constater des arbres en feuilles en plein hiver, sauf un journaliste à qui on a coupé la parole en prétextant que le sujet n'était pas le tourisme ...

 

Une contestation médiatique en expansion constante

Comme beaucoup d'autres à travers le monde, le NYCCAN (www. nyccan.org) est une initiative privée new-yorkaise dont la mission est d'obtenir l'ouverture d'une enquête exhaustive, transparente et non partisane. Toutes tentent de soulever le voile qui pèse sur ce dossier. C'est pourquoi il devient de plus en plus difficile pour les journalistes et les autorités politiques de soutenir sérieusement la thèse officielle américaine, tant les initiatives privées réclamant la vérité n’e cessent de monter en puissance. En France, des personnalités ont tenté de secouer les consciences - l’humoriste Jean-Marie Bigard, l'actrice Marion Cotillard, le réalisateur Mathieu Kassovitz -, vite tancés par une presse curieusement inquiète et déchaînée. Que peut donc craindre la presse officielle à ne pas laisser vivre le débat et la liberté d’expression dans un pays qui pourtant la revendique haut et fort ? Quant à John Farmer, gouverneur du New Jersey et à l'époque conseiller senior de la commission d’enquête du 11 septembre, corédacteur du fameux rapport officiel de la thèse d’État, il a publié un livre extrêmement gênant, The Ground Truth : The Untold Story of America Under Attack on 9/11. Dans ce livre très documenté (image), il reconnaît que la plupart des conclusions du rapport officiel sont basées sur des informations mensongères émanant d’une injonction du gouvernement américain et de l’armée. Il affirme et prouve que ce rapport est basé sur un tissu de mensonges pour masquer les soi-disantes désorganisations et incompétences des services secrets. Sans le dire, il fait bien comprendre que les services secrets étaient complices. Bien entendu, ce livre ne bénéficie d’aucune publicité ni de traduction vers l’Europe. Quant aux syndicats d’architectes américains, ils donnent de multiples conférences dans le monde entier pour démontrer ce que les instances officielles et les médias refusent de reconnaître : "Les deux tours ont été dynamitées professionnellement de l’intérieur à commencer par les sous-sols". 

 

Quelle que soit la vérité - complot des services secrets ou véritable acte terroriste indépendant de toute manipulation -, le résultat est atteint pour le système prédateur, qui voit les relais médiatiques inféodés et leurs experts dédiés considérer la suspicion de la thèse officielle comme l'expression d'une pathologie découlant d’une masse populaire "abrutie", dont on sait qu’elle est "fragile et affabulatrice" par nature. Et pour cause, puisque s'abreuvant largement à ces mêmes médias ... Ce jugement méprisant dirigé vers le peuple n'est rien d'autre que la signature authentique de ces élites perverses, les mêmes qui ont déjà organisé avec succès les deux grandes guerres mondiales au XX° siècle. Seulement, ce qui a pu marcher sans difficulté dans le passé a plus de mal à se poursuivre en ces temps d'éveil à la conscience de plus en plus d'individus, décidés à ne pas renoncer à leur humanité profonde. Comme le disent les Protocoles des Sages de Sion*, présentés bien entendu comme une manipulation de plus, "Surtout bien faire attention aux quelques individus qui resteraient vigilants, ils constitueraient notre plus grand danger d’être découverts".

Il convient par conséquent de choisir, entre le complot étatique et le complot de la rumeur, qui voit un ennemi inconnu fabriquer de fausses preuves et propager des rumeurs infondées. Autrement dit, William Rodrigues, le technicien de maintenance des tours ferait, à l'instar de tous les sceptiques de la thèse officielle, partie d'un groupe de vrais comploteurs pathologiques fabriquant sans aucun fondement une rumeur sordide. Qui peut raisonnablement avaler une telle ineptie ?

Et si nous pouvons concevoir qu'un gouvernement agisse contre son peuple dans le cadre d'un attentat, il devient plus facile de concevoir alors que ce même gouvernement puisse agir dans le cadre d'une vaccination de masse, toxique et mortelle.

La notion de "peuple" n’existe pas pour ces "Illuminati" qui nous gouvernent, autrement que sous l’aspect du "bétail", c'est-à-dire d’une masse animale productrice d’une énergie indispensable à leur survie. Les humains ordinaires sont dépourvus d’esprit, car ils pensaient les avoir créés ainsi. Nous sommes leur bétail légitime et ils ne comprennent même pas nos exigences métaphysiques. Mais, hélas, les Mères Divines*² leur ont installé biologiquement l’Esprit, rendant les bêtes intelligentes et ingouvernables et cause de toute cette perturbation de fin de cycle civilisationnel.

* Le protocole des sages de Sion, rédigé en 1901, est un livre qui n'a cessé de subir depuis la controverse, considéré de ce fait comme un faux. Aussitôt édité, il a en effet été combattu par l’intelligentsia, notamment juive, car il mettait en lumière le projet global du mouvement politique (et non religieux) du sionisme, à savoir le NEW WORLD ORDER (le Nouvel Ordre Mondial), l’histoire moderne étant censée se finir à "Jérusalem" comme écrit dans les livres sacrés des religions abrahamiques. Cf. Le Judaïsme décodé.

Cf. Le féminin séquestré.

 

Les vrais-faux Protocoles des Sages de Sion, ou la grande désinformation

Le fameux texte "Les Protocoles des Sages de Sion", appelé aussi "Le dialogue aux enfers", indique le plan opératoire des "Illuminati" * pour installer en secret une dictature durable dans le cadre d'un "Nouvel Ordre Mondial". Dans sa version appelée "Les Protocoles de Sion", un faussaire antisémite russe, Matveï Vassilievitch Golovinski dit Mathieu en français (1865/1920 - photo 1), agent des services secrets russes (Okhrana), a été mandaté pour créer une désinformation et une polémique en voulant faire croire qu’il s’agissait d’un programme mis au point par un conseil de sages juifs voulant anéantir la chrétienté et le monde arabe aux fins de domination du monde. Ainsi ce livre, qui est un faux au sens qu'il expose un plan secret très précis de domination juive du monde à partir de violences, de ruses, de crises, de guerres et de révolutions, est pour autant un vrai concernant la mise en œuvre de ce plan par ses véritables commanditaires. Il s’appuie sur la modernisation industrielle et le capitalisme pour installer une dictature mondiale.

La publication à grande échelle de ce texte est la technique privilégiée du système manipulateur, soit glisser d'une manière ou d'une autre dans l'inconscient collectif le scénario mortifère civilisationnel. Grâce à cette technique de désinformation appuyée par la polémique qui s'en est suivie, le nuage de discrédit jeté sur ce texte cache habilement une vérité ainsi transformée en faux. Ce texte n'est en fait que le décalque d'un autre texte préexistant et beaucoup plus secret, "Le dialogue aux enfers", imaginé entre le penseur italien Nicolas Machiavel (1469/1527), auteur du livre "Le Prince", et Charles Louis de Secondat, baron de La Brède et de Montesquieu (1689/1755), l’auteur de "l’Esprit des lois". Il fut publié en 1864 à Bruxelles par l'avocat français Maurice Joly (1829/1878 - photo 3). En se désengageant de la polémique sur cette fraude avérée et ce détournement d’auteur à but antisémite, les idées exprimées au fond correspondent parfaitement à l’évolution de la politique mondiale actuelle,  aucune meilleure explication en détail de ce qui se passe aujourd’hui n'existant. Comme d’habitude le peuple juif a bon dos pour cristalliser à son encontre les ressentis des foules manipulées, qui oublient de regarder au bon endroit les véritables mystificateurs*². Il n'est pour les maîtres asservisseurs qu'un parfait bouc émissaire, même s'il se trouve parmi lui des serviteurs zélés du système prédateur, tout particulièrement certaines grandes dynasties financières. Nous pouvons alors d'autant mieux comprendre l'enchaînement des événements, qui à partir de leur holocauste par les nazis, verra les juifs migrer en Palestine, tel que prévu par l'agenda occulte de la fin des temps, et créer la confrontation entre les deux blocs ouest/est, préalable au démarrage de la 3ème guerre mondiale avant que d'instaurer le Nouvel Ordre Mondial. Ce plan diabolique ne pouvait qu'être conçu par de vrais "dieux", à caractère entropique il va sans dire !

Ce travail d’orfèvre en désinformation, digne du génie de nos Maîtres reptiliens, a ainsi permis de créer, ultérieurement, après la guerre, une totale négation de ce texte puissant, la majorité des gens pensant aujourd’hui qu’il est un faux. Or ces Protocoles sont parfaitement conformes au déroulé du scénario qui s'étale sous nos yeux profondément illusionnés...

* Cf. La nouvelle religion universelle.

Cf. Fabrication de l'illusion et voie de sortie.

 

Le mépris bestial du peuple

L’historien des idées et de la littérature Thierry Galibert a utilisé le prisme de l’œuvre de l’écrivain et poète français Antonin Artaud (1896/1948 - photo 2) pour étudier le thème de la bestialité * dans la société occidentale moderne, dont les lignes de force sont l’aliénation, les idéologies totalitaires, les enjeux du travail intellectuel. Ainsi se matérialise la bestialité dans tout ce qui fait office aujourd’hui de "culture", se traduisant tant par les idéologies que par toutes les analyses critiques du monde d’aujourd’hui qui ne débouchent sur aucune solution concrète, telles que produites par les romans, les œuvres d’art et les pièces de théâtre qui n’ont en fait de vocation que de divertir. Avec elles la bestialité se trouve confortée, puisqu’il s’agit de proposer comme dans le surréalisme l’issue du rêve, et non ce qui manque le plus pour combattre le fléau.

Dans son autre essai, Le mépris du peuple (2012), il creuse ce sillon en revisitant un considérable appareil référentiel de la notion de "peuple" (Spinoza, les philosophes des Lumières, Hegel, Marx...), classe sociale fourre-tout, soumise à tous les réductionnismes, à toutes les exclusions et à tous les mépris. La remarque vaut autant pour les bourgeois, toisant les paysans bouseux et jugés non civilisés car ne connaissant pas les usages de l’urbanité, que pour les clercs auto-proclamés porte-voix des faibles, des pauvres, des humbles – ou du moins de ceux qu’il est préférable de faire passer pour tels…

* La Bestialité, Sulliver (2008).

 

Utopie démocratique

 

Sa conviction est que "Si l’état d’éclairé n’a jamais joué un rôle libérateur pour l’immense majorité de la population, il en a en revanche souvent joué un dans la consolidation du système dominant." Autrement dit, l’attention des classes possédantes comme des clercs envers "le peuple" ne serait qu’un moyen de désamorcer le danger potentiel, réellement révolutionnaire, que ce dernier représenterait. Ainsi la République des Droits de l’homme n’aurait en la matière qu’habilement pris, sous de nouveaux oripeaux et avec d’autres mythes opératifs, le relai de la monarchie absolue, afin d’assurer à ses oligarques le moteur même de leur existence, l'exercice du Pouvoir ! Le mépris du peuple est en quelque sorte le sous-bassement de la bestialité... et ce depuis l'Antiquité.

 

Remise en perspective des "Lumières"

Se révèle dans les absurdes amalgames des manuels de tous types la volonté d’intoxiquer le "peuple" en prétendant, par exemple, que les Lumières constituent un ensemble monolithique ayant permis l'avènement de la raison sur l'obscurantisme jusqu'alors régnant. C’est un peu comme si l’on démontrait que les intellectuels avaient tous été soumis à une pensée unique, ce qui arrange les idéologies contemporaines, du libéralisme au socialisme et jusqu’aux libertaires hédonistes. Seuls des penseurs solitaires ont refusé ce progressisme illusoire, destiné à consolider un mouvement linéaire de l’histoire au moyen de ce soi-disant "progrès social"* avec lequel le peuple, au mieux, survit. Ainsi qu’il en a toujours été, ce qui passe pour de la contre-culture n’est que ce qui sert le mieux la culture dominante, mais avec la posture de la révolte, de l’indignation, soit la division source de rapport de force tant prisé par le système prédateur*².

* Cf. Évolution de civilisation (3) Mythe de la modernité, Risques et Lois d'évolution universelle.

Cf. La dualité décodée.

 

Les utopies idéalistes tant vantées par les philosophes acoquinés au système élitaire - il leur assure considération et protection matérielle - conduisent à la rébellion, à l’anarchisme, qui ne peuvent que servir les desseins d’un "libertarisme conservateur", celui qui au final soutient des politiques étatistes soi-disant favorables au bon peuple. Mais si en démocratie comme l'ont théorisée Rousseau, Marx, Leroux, Proudhon et tant d'autres, la participation du peuple est essentielle, aboutissement d’un processus historique qui permet à l’individu de devenir progressivement maître de sa destinée - le socialisme a ainsi été originellement conçu comme la concrétisation politique de l’humanisme -, ce processus a été en réalité définitivement brisé en 1789.

Aussi fut inventé le concept manipulateur de socialisme d’État pour que, avec le soutien d’historiens et de philosophes inféodés, soit anéanti le fait même que la participation citoyenne ait existé. Pourtant consubstantielle à l’être humain, elle explique les révoltes paysannes contre les féodaux, raison pour laquelle il s’agit, depuis Rousseau, non de "donner", mais de "rendre" le pouvoir au peuple. C’est sur cette base même qu’il combat Diderot et Voltaire, les tenants les plus manifestes du conservatisme politique des Lumières...

 

De l'imposture philosophique

Philosophie, science (scienta) par excellence de l'amour (philo) de la sagesse (sophia). Philosophe, homme et femme de sagesse. Le "philosophe" français Luc Ferry (photo 1), désormais à la retraite académique mais non de ses droits d'auteur et de ses ménages grassement rémunérés (ainsi ses conférences pour gogos en croisières), a expliqué sans pudeur en mai 2021 sur Non Stop People, chaîne de télévision française d'information dédiée à l'actualité des "célébrités", qu'il était dur de s’en sortir avec 4 000 euros par mois. C'est le même philosophe, qui a expliqué doctement à l'antenne de Radio Classique en 2018, à des braves dames et des braves types appelés Gilets Jaunes, qu’il fallait leur faire tirer dessus par la troupe "républicaine" au moyen de ses armes létales. Il faut dire que ces braves dames et ces braves hommes, ces gueux et sans dents, rouspétaient fortement parce que l’Etat voulait entre autres vilénies augmenter le gasoil qui leur servait pour aller travailler et gagner entre 1 000 et 2 000 euros par mois. C'est le même philosophe qui fut l’un des artisans de l’envol des écoles privées et de leurs frais d’inscription (15 000€ l’an en moyenne pour les grandes écoles de commerce ESCP, HEC, ESSEC…), pour lesquelles les compléments de prépa payants à 1 500€ le stage d’une semaine sont quasiment obligatoires pour avoir le concours, organisant ainsi l’entre-soi bourgeois et la reproduction élitaire bienpensante. C'est encore le même philosophe qui fut l'un des artisans des réformes de "l’autonomie des universités", faisant aussi s’envoler les frais d’inscription dans les écoles publiques et fermant de plus en plus leur accès aux familles modestes.
Mais comme tous ceux qui se sentent supérieurs "aux petits", il est normal pour lui de bénéficier d'un traitement différent ! C'est la signature non dissimulée de la "sagesse" prédatrice.

 

L'imposture BHL

Le médiatique Bernard-Henri Lévy (photo 3 du bandeau), se présentant comme l'"ennemi public" de tous les antisémites et autres fascistes de la pensée éclairée, a publié en février 2010 une version remaniée d'une conférence prononcée en 2009 à l'Ecole Normale Supérieure de la rue d'Ulm intitulée "De la guerre en philosophie". Il s'agissait d'un plaidoyer pro domo en faveur d'une œuvre injustement décriée, la sienne, se voulant un manuel pour âges obscurs à venir face à une caste philosophique contemporaine qui l'avait depuis toujours tourné en dérision, de Gilles Deleuze à Pierre Bourdieu en passant par Cornélius Castoriadis. Il s'y lançait à l'assaut de quelques contemporains gauchistes renommés comme de Georg Wilhelm Friedrich Hegel ou de Karl Marx, "cet autre penseur inutile, cette autre source d'aveuglement" car reconnu coupable par lui de ne pas donner les moyens de penser le nazisme. Il s'y prenait tout aussi fougueusement à Emmanuel Kant (1724/1804), qualifié de "fou furieux de la pensée", d'"enragé du concept", en prenant appui pour ce faire sur le livre d'un certain Jean-Baptiste Botul "La Vie sexuelle d'Emmanuel Kant"* (image 4)... Problème, ce Botul n'est qu'un philosophe fictif, créé en 1995 par l'agrégé de philo et plume du Canard enchaîné Frédéric Pagès et ses amis de l’Association des amis de Jean-Baptiste Botul. Un gag, une farce, un canular ! Pour le philosophe, les recherches sur Kant de ce Jean-Baptiste Botul auraient définitivement démontré "au lendemain de la seconde guerre mondiale, dans sa série de conférences aux néokantiens du Paraguay, que leur héros était un faux abstrait, un pur esprit de pure apparence", lui permettant de délivrer une implacable diatribe contre l'auteur de "la Critique de la raison pure", qualifié de "philosophe sans corps et sans vie par excellence". Et comme le dit le sage diction, c'est celui qui dit qui l'est...

* Publié en 1999 et réédité en 2004 aux éditions Mille et une nuits, sous le pseudonyme de Botul. Le même Botul y est en effet aussi répertorié pour avoir commis une œuvre au titre provocateur "Landru, précurseur du féminisme".

 

Heureusement que parmi ces tristes panégyristes acoquinés au système (photos 5 & 6) demeurent quelques esprits libres guidés par la quête de vérité sans parti-pris éhonté, comme l'historien, démographe, anthropologue, sociologue et analyste politique Emmanuel Todd (photo 7), qui fait partie à ce titre d’une race en voie de disparition. Il est en effet l’un des derniers représentants de l’intelligentzia française de la vieille école, un héritier de ceux qui comme l'historien Fernand Paul Achille Braudel (1902/1985 - photo 8), ont ébloui les jeunes générations successives de la guerre froide, de l’Ouest à l’Est. Dans son dernier livre La Défaite de l’Occident paru en 2024, il écrit comme penseur indépendant, basé sur des faits et des données vérifiées, faisant exploser tout l’édifice de la russophobie érigé par les garde-chiourmes de l'OTAN autour de l'agression perpétrée par le "tsar" Poutine.

Difficile de le récuser, notamment parce qu’il a été le premier intellectuel occidental, dès 1976, à prédire la chute de l’URSS dans son livre La Chute Finale, en s’appuyant sur les taux de mortalité infantile en Union soviétique. 

 

Le cynisme du socialisme monarchique

Relayés par les incontournables intellectuels et artistes de cour germanopratine ou autres quartiers cossus, bêlant la rose en boutonnière ou à la main leur amour du populaire, les princes manipulateurs ont échafaudé la captation du pouvoir à leurs ambition et rapacité personnelles, les promesses de libération du capitalisme vorace vite reléguées aux oubliettes une fois installés sous les ors républicaines.

Il n'est qu'à voir l'incompétence des socialistes financièrement analphabètes et de leurs amis verts* qui dirigent de nos jours l’Allemagne, la France, l’Italie, le Royaume-Uni et d’autres nations d’Europe occidentale. Dans leurs arrogance et belligérance, ils ont tenté d’abattre l’économie russe en lui appliquant des sanctions et en imposant une guerre économique totale à la Russie, ne faisant que l’enrichir tout en détruisant leurs propres économies locales et leurs chaînes d’approvisionnement. Résultat, les Européens risquent bientôt d’avoir faim et froid, et tous les produits et services européens seront rares ou suspendus. C’est tout bonnement ce qui se passe lorsque vous essayez de fermer les portes du pays qui fournit la plupart de l’énergie et des engrais qui maintiennent votre propre nation à flot !

* En raison de la promotion de leur "programme vert" exigeant que le monde fasse une "transition" vers l’éolien et le solaire, les nations d’Europe occidentale ont pris des années de retard dans le redémarrage de l’exploitation du charbon et du gaz naturel, ce qui signifie qu’elles connaîtront des souffrances catastrophiques dans les années à venir, même si elles essaient de revenir au charbon et au gaz dès maintenant. Un monde qui dépend uniquement de l’énergie "verte" est un monde qui connaît la mort de milliards d’êtres humains, suivie d’un effondrement économique et social total. Il s’avère que c’est le monde que l’Europe occidentale implore, et c’est pourquoi elle s'adonne à un culte de la mort suicidaire.

 


Toutes ces figures intellectuelles incontestées sont identifiées à des émancipateurs, alors qu'elles furent, à l’instar du baron de Montesquieu* (photo 1), d’exemplaires "officiers" de l’État… Elles se sont contentées pour la plupart de théoriser ce que le peuple réel pratiquait déjà. Contrairement aux manuels expliquant qu’ils ont inventé la liberté, lesdits intellectuels "illuminés" sont allés plus loin encore. Dans la mesure où la structure étatiste est leur seul référent et donc leur seul horizon, ils n’acceptent pas que le peuple se rebelle. C'est pourquoi ils le conceptualisent, comme pour mieux l’enfermer, avec pour résultat que le "peuple" devient une fiction politique sur laquelle nous vivons toujours, tout particulièrement au travers de la Constitution de 1958. C'est ce que le pape occidental du libéralisme, Locke*² (photo 2), n'a pas hésité à affirmer, la démocratie ne pouvant pour lui être confondue avec l’oligarchie qui en tient lieu. Il s’agit donc de "faire passer des vessies pour des lanternes", les intellectuels patentés des XVIII°, XIX° et XX° siècles servant de caution à la rhétorique politicienne fallacieuse. Ou comment parler du peuple réel avec les outils conceptuels du peuple fictif...

Charles Louis de Secondat, baron de La Brède et de Montesquieu (1689/1755), penseur politique, précurseur de la sociologie, philosophe et écrivain français des Lumières.

John Locke (1632/1704), philosophe anglais.

 

Du mensonge comme art de gouverner

L'examen scrupuleux découlant d'une enquête de journalistes de Radio France des comptes de campagne 1995 de Chirac et Balladur, qui se sont plongés dans les archives du Conseil constitutionnel, révèle de nombreuses irrégularités flagrantes qui auraient du conduire à leur invalidation, alors qu'ils ont été validés par les "Sages", une des plus hautes autorités de la République garantes de son inviolabilité. La réalité est que ces soi-disant Sages ont manœuvré pour valider les comptes de campagne tant de Jacques Chirac, vainqueur de l'élection présidentielle d'alors, que d’Édouard Balladur, son concurrent du même bord politique. Les deux candidats avaient largement dépassé le plafond des dépenses autorisées et commis de nombreuses irrégularités (absences de nombreuses factures pour de nombreux meetings, faiblesse des permanences de campagne déclarées, étranges dépôts en espèces sur les comptes...). Ainsi, et selon les rapporteurs, Edouard Balladur avait dépassé le plafond d’au moins six millions de francs et Jacques Chirac de cinq millions, estimations particulièrement basses dans la mesure où de nombreuses dépenses n’ont pas été retenues faute de documents et de réponses des candidats. L'argent provenait probablement des fonds secrets du gouvernement dans lesquels les partis politiques ont largement puisé à l’époque et, pour le candidat Balladur, de possibles rétrocommissions sur des marchés de ventes d’armes (la justice française a condamné en 2020 à des peines de deux à cinq ans de prison ferme six prévenus dans le volet financier de l’affaire Karachi pour leur rôle dans un système de commissions occultes sur des contrats d’armement avec l’Arabie saoudite et le Pakistan).

Face à ces informations accablantes, les archives du Conseil constitutionnel révèlent qu’aucun Sage n’a jamais envisagé le rejet du compte de campagne de Jacques Chirac au regard des conséquences politiques estimées*. Cela a ainsi légitimé tout un "rabotage" (bidouillage, maquillage) pour sauver les apparences démocratiques de cette énième farce du pigeon citoyen.

* Son président de l'époque, Roland Dumas, a même revêtu une des 3 postures du moi involué, celle de sauveur, révélant dans ses carnets intimes parus en 2015 ("Politiquement incorrect", Le Cherche-midi), qu’il aurait pu invalider l’élection de Jacques Chirac à l’Elysée, mais qu'après réflexion, "J’ai pensé à mon pays. Je suis un homme de devoir. Nous avons finalement décidé, par esprit républicain, de confirmer, à l’unanimité au deuxième tour, son élection présidentielle. Je suis convaincu que j’ai sauvé la République en 1995."

 

De Karachi au financement libyen, ou la goinfrerie gangrène

L'homme d'affaire franco-libanais Ziad Takieddine (photo 1) a été condamné en juin 2020 dans l'affaire Karachi, tout en étant impliqué dans l'affaire "libyenne" en cours visant l'ancien président français Nicolas Sarkozy (photo 2). Celle-ci est liée au financement libyen de sa campagne de 2007, initiée après que le journal Mediapart ait publié en 2012, dans l’entre-deux tours de la présidentielle, d’un document censé prouver que la campagne victorieuse de Nicolas Sarkozy en 2007 avait été financée par le régime de Mouammar Kadhafi. En 2016, M. Takieddine a affirmé à ce même journal avoir personnellement remis, en 2006 et en 2007, cinq millions d’euros en liquide provenant de Libye pour le financement de cette campagne. Témoignages de dignitaires libyens, notes des services secrets de Tripoli... En sept ans de travail, les magistrats ont réuni une somme d’indices consistants et troublants qui ont donné corps à la thèse selon laquelle la campagne aurait été financée par le régime libyen, mais sans qu'aucune preuve matérielle indiscutable ne soit en l'état retrouvée. Des mouvements de fonds suspects ont toutefois conduit à neuf mises en examen à ce jour, dont l'ancien préfet Claude Guéant (photo 3), devenu secrétaire général de la présidence de la République française le 16 mai 2007 jour de l'investiture de Nicolas Sarkozy. Coup de théâtre en novembre 2020, dans une spectaculaire volte-face, Ziad Takieddine a retiré ses accusations contre M. Sarkozy, avant d'être arrêté au Liban début décembre suite à sa fuite de France et l'émission d'un mandat Interpol. Suite de cette dramaturgie affairiste dans les mois à venir.

Quant à l'affaire Karachi, elle porte sur des commissions occultes (rétrocommissions illégales) versées à des intermédiaires liées à des contrats d’armement avec l’Arabie saoudite (dits Sawari II) et le Pakistan (Agosta) signés en 1994 avec ces deux pays, le tribunal correctionnel de Paris ayant d'ores et déjà condamné en juin 2020 à des peines de deux à cinq ans de prison ferme six prévenus dans le volet financier de cette sordide affaire ayant conduit à la mort de nombre de civils innocents*, dont l'homme d'affaires et ancien haut fonctionnaire Nicolas Bazire, qui était de 1993 à 1995 Directeur du cabinet et chargé de mission auprès du Premier Ministre Édouard Balladur (photos 4 et 5), et au passage proche de Nicolas Sarkozy (il a été son témoin lors de son mariage avec Carla Bruni le . Celui-ci ainsi que son ministre de la Défense François Léotard (1942/2023 - photo 6) passeront en procès en 2021 devant la Cour de justice de la République, seule habilitée à juger les ministres pour des infractions commises au cours de leur mandat, et ce parce que ces fonds ont aussi contribué à financer la campagne présidentielle malheureuse d’Édouard Balladur en 1995.

Ziad Takieddine avait également perçu de confortables commissions sur la vente de frégate dans le cadre du contrat Miksa, concernant la vente de frégates à l'Arabie saoudite là encore, vente validée par le même Nicolas Sarkozy, alors ministre du Budget, en 1994. Au tota, Takieddine a perçu pas moins de 130 millions de dollars, payés en trois fois sur un compte secret à Beyrouth, entre 1997 et 1998, auxquels se sont ajoutés 12 millions d'euros entre 2003 et 2008*².

Ce tableau de chasse du déshonneur magouilleur est complété par l'homme d'affaires Thierry Gaubert (photo 7), ancien conseiller de Nicolas Sarkozy à la mairie de Neuilly en 1983 puis au ministère du Budget (1993-1995), condamné dans le volet financier de l'affaire Karachi à quatre ans de prison, dont deux ferme, et 120 000 euros d'amende, pour recel d'abus de biens sociaux, la justice ayant considéré qu'il avait "permis en toute connaissance de cause le retour en France, sous forme de rétrocommissions, de fonds provenant des commissions litigieuses, à destination du compte de campagne d'Édouard Balladur"en 1995. Il a été en outre condamné à trois ans de prison ferme et 600 000 euros d'amende avec son ex-épouse (18 mois avec sursis et 50 000 euros d'amende) en juin 2020 pour fraude fiscale et blanchiment de fraude fiscale, la justice leur reprochant d'avoir dissimulé 8,9 millions d'euros sur divers comptes dans des paradis fiscaux entre 1996 et 2016. D'autant qu'il avait réitéré, puisque déjà condamné en 2012 à Nanterre à dix mois de prison avec sursis pour abus de confiance et de biens sociaux dans une affaire de détournement de fonds issus du 1 % logement.

Une belle brochette de goinfres tous liés par leur sujétion aux forces entropiques, qui leur font exécuter la partition involutive de leur âme damnée.

* Le , soit quelques jours après le second tour des élections, onze employés et sous traitants de la Direction des constructions navales et trois de leurs accompagnateurs pakistanais meurent dans un attentat. Un fanatique avait lancé sa Toyota remplie d’explosifs contre leur bus.

Tous les biens de l'homme d'affaires ont été saisis en France en 2012 dans une affaire cette fois-ci de divorce, le tribunal de grande instance de Grasse ayant ordonné ces saisies qui ont abouti à des ventes aux enchères, et ce afin de solder le divorce houleux d'avec son ex-femme qui le poursuivait depuis pour "abandon de famille". Dans cet ultime dossier, les juges ont saisi des toiles de maître, une fastueuse cave à vin, des voitures de luxe... mais aussi l'hôtel particulier du XVIe arrondissement de Paris, la villa du Cap d'Antibes, etc.

 

Comment alors s'étonner que la démocratie occidentale, avec une telle généalogie politique, où "polis" (la cité-État dans la Grèce ancienne, soit une communauté de citoyens libres et autonomes) et "police" résonnent à l'unisson, apparaisse en fait comme une "théocratie laïque de la classe moyenne", "le moins pire des régimes" selon le mot de l'aristocrate Winston Leonard Spencer-Churchill... Ce n’est là que la conséquence logique d’un système purement oligarchique hérité de la féodalité, la police feutrée destinée à garantir la sécurité de tous étant déjà caractéristique de la politique des monarques du Moyen Age. "Bonnes gens dormez" clamait la police des cités médiévales, l’État veille. Il veille en ce sens qu’il neutralise toute réaction en polissant les mœurs, en les conformant à un modèle urbain, de ce fait bourgeois. Aussi, considérer que la démocratie représentative est "le moins pire des régimes" se situe dans le droit fil de l’oligarchie comme seul référent.

C'est la raison pour laquelle la posture du socialisme d’aujourd’hui se plaignant du capitalisme, constatant les méfaits de l’individualisme libéral - l’atomisation de la société -, alors qu'il recourt aux mêmes méthodes que le libéralisme, à la même structure politique, n'est que la mise en lumière de la pathétique farce politicienne source d'illusions pour tous les nigauds s'y laissant prendre. Qu’est-ce donc que le socialisme sans lien social, au sens de "la vie dans la cité", sinon le libéralisme lui-même?

 

Pour les théoriciens de l’État et les hommes politiques, du Moyen Age à nos jours, le peuple réel n’est qu’une "multitude", un conglomérat d’individus privés de raison. Il n’est en aucune façon, quoi qu'ils et elles en disent, le "peuple" qui peut servir de modèle à la Constitution, et c’était également l’opinion des encyclopédistes. Tant que le peuple reste multitude, l’oligarchie politico- intellectuelle et ses tribuns d'opérette ne craignent rien. Ils ont même intérêt à l’entretenir, en lui offrant la sécurité sous toutes ses formes, la "police" sous la forme du gendarme et de l’éducateur.

En fait, pour rompre avec la logique de domination, il faudrait que la "multitude" revendique d’être peuple car, à défaut, les populistes de tous bords continueront à l’inviter à prendre le pouvoir... par leur intermédiaire et pour leur unique profit. Et le risque est clairement que, face à la faillite d’un système fondé sur des démagogies électoralistes de moins en moins finançables, les électeurs en appellent à l’homme providentiel, supposé de son épée magique guérir les écrouelles... Pour le coup, la domination serait alors totale, et elle résulterait, pour une bonne part, de cette "liberté des modernes" théorisée par le libéral Benjamin Constant. D'ailleurs, le coup d'entourloupe ne s'est-il pas joué en mai 2017 ?...

 

Réalité monarchique

 

"Peuple", "Bonheur", "République", "Civilisation", et tant d’autres mots à majuscule… L’un des traits définitoires de la modernité est de baser son pouvoir sur de grands mots, érigés en valeurs et employés dans une espèce de liturgie qui est finalement plus religieuse que politique. L’étude du XIX° siècle montre que les intellectuels de ce temps sentaient que leur mission était avant tout de démystifier cet appareil symbolique d’État destiné à asseoir son autorité. Il en a découlé les concepts et la sémantique appropriée, les grand-messes républicaines, les parades militaires, la cérémonie au drapeau... utilisés tant par les libéraux que les socialistes gouvernants. Si en ce temps du "gouvernement de l’Église" être matérialiste avait un sens révolutionnaire, les intellectuels n’étaient pas pour autant dupes de l’origine monarchique du slogan "faire le bonheur du peuple", soit tenter de faire croire à la réalisation du Paradis sur terre.

Et c'est précisément la cause aujourd’hui de la faillite du politique. Lorsque le "peuple" et le "bonheur" ne sont plus que des concepts, quand en situation de crise le politique est en rupture complète avec la réalité quotidienne des individus, il est confronté à ce qu’évitait le catholicisme en promettant le bonheur exclusivement dans l’au-delà. Déduction faite de ce dernier, reste en effet la misère sur terre, lorsque les moyens de l’État ne suffisent plus à satisfaire les promesses électorales ou lorsqu’ils sont utilisés pour servir la tentation louis-quatorzienne des élus, type "grands travaux" culturels...

 

Éléments de langage de la réalité politique

L'économiste Charles Gave a étudié les "éléments de langage" que les élites en guise de discours utilisent par le truchement de leurs conseillers diplômés des grandes écoles et universités, et ce pour communiquer avec les gens d’en-bas, les "sans-dents". Le principe est très simple, celui du choix de mots qui ont une résonance positive dans l’esprit de tout un chacun, du type "amour maternel". L'un de ces mots dans le vocabulaire politique est "démocratie", auquel sont accolés des adjectifs comme "social" ou "participatif". L'acteur politique n'est pas simplement partisan de la démocratie, mais l’ardent défenseur d’une démocratie à la fois sociale et participative, ce qui ne veut rien dire mais fait bon effet. S'il rajoute l'adjectif "fraternel", il a coché toutes les cases importantes.

Ainsi deux principes essentiels doivent être retenus par tous ceux qui cherchent à déchiffrer ce que nos dirigeants disent pour emporter notre adhésion. Le premier est que la juxtaposition de mots ronflants, tous à connotation favorable, est toujours l’œuvre de quelqu’un qui cherche surtout à ne rien dire. Quant à la juxtaposition de mots simples mais contradictoires "le et/et macronien" -, elle ne peut avoir lieu que si notre homme politique ne veut pas dire ce qu’il fera une fois au pouvoir, car il sait très bien que le peuple ne n’élirait jamais s’il annonçait la couleur. Dans ce second cas, il est de bon ton d’utiliser une expression telle "qu’en même temps", qui permet de dissimuler que si l’orateur dit une chose, il agira exactement en sens inverse… en même temps.

A partir de ces deux principes, nous pouvons décoder de manière libre quelques déclarations.

"Le temps de dire la vérité est venu. Je vais donc demander aux Français de faire preuve de courage civique" signifie que les impôts vont augmenter et que tout le monde va devoir serrer la vis, sauf la classe administrativo-politique bien entendu.

"Il y a trop d’élus en France" se traduit par les pouvoirs des technocrates non élus vont augmenter puisque le pouvoir des élus va baisser.

"La France est fière de son armée" entend que les budgets militaires vont être coupés.

"Notre détermination à combattre le terrorisme reste inébranlable" veut dire que nous ne ferons rien.

"La Souveraineté de la France n’est pas négociable" signifie qu'il n’y a plus rien à négocier puisque tout a déjà été abandonné, et depuis très longtemps, sans que son avis ait été demandé au peuple.

Si la première forme de manipulation des mots est sans grand danger et consubstantielle à la démocratie - "les promesses électorales n’engageant que ceux qui y croient" selon l'adage d'un ancien Président corrézien de la République - et de son "âme" damnée au patronyme corse mâtiné de pastis, la deuxième forme de discours est beaucoup plus grave. En effet, la caractéristique essentielle de notre civilisation étant la prééminence donnée à l’individu sur la tribu (au cours des siècles de nombreux droits ont été arrachés de haute lutte pour garantir la protection de la liberté de pensée pour chaque individu, ces droits objectifs sont tous attaqués aujourd’hui au nom de morales subjectives défendues par ceux qui veulent ramener l'individu sous le contrôle de la tribu. C'est notamment le cas de la liberté de parole, au prétexte qu'elle pourrait heurter les sentiments délicats de telle ou telle tribu/communauté/corps constitué qui réside à l’intérieur de la Nation.

Pourtant, le but ultime de la liberté de parole n'est-elle pas de faire de la peine aux autres s’ils sont dans l’erreur ? D'autant pour celui qui en use qu'il doit supporter avec beaucoup de patience les imbécillités proférées par les médias et leurs représentants attitrés. Mais comme l’avait écrit l'écrivain dissident russe Alexandre Soljenitsyne (1918/2008), le but de la "novlangue" est de permettre au pouvoir de repérer facilement ceux qui refusent de l’utiliser pour pouvoir les briser plus aisément. Aujourd’hui, les princes qui nous gouvernent et les juges qui suivent leurs ordres ont réinventé le crime de blasphème au profit exclusif d’une "religion" qui ne prêche que le principe de la supériorité de la tribu sur l‘individu. Nos régimes démocratiques sont de ce fait l’objet d’une attaque gigantesque de la part de gens qui haïssent la Liberté Individuelle, leur objectif étant de créer un fascisme élitiste, inégalitaire et quelque peu mondialisé, pour le plus grand profit d’une classe, au sens Marxiste du terme...

 

La réalité n'a pas changé depuis la Grande Babylone, seules les formes empruntées créant l'illusion. Le citoyen contemporain est toujours le "sujet" d’un monarque, condamné à rester éternellement assujetti à l’État au travers de la transmission héréditaire du pouvoir. Le monarque disparu, il reste son administration. Il n'est qu'à voir la façon dont ce prétendu modèle que nous n'hésitons pas à exporter le lyrisme philosophique à la gorge se passe, l’exemple du Printemps arabe et de ses États organisés sur un principe religieux l'attestant. Or la démocratie réelle a existé partout où des hommes ont eu besoin de se regrouper pour être plus forts, mais autrement que selon le modèle grec tant vanté, ce qui était le cas des paysans européens du Moyen Age qui en ignoraient l’existence. N'est-il pas d’ailleurs emblématique qu'un des pays européens le plus en crise, la Grèce, a comme seule issue, pour ceux qui y souffrent, quand ils le peuvent, de reconstituer, hors État, une solidarité fondée sur l’agriculture ?

 

Dévaluation de la parole, ou l'art de la désinformation

Il en va de la parole comme de la monnaie, elle se dévalue. Elle est un signe, un symbole, qui tire sa valeur de sa capacité à représenter le réel. Or, qui peut prétendre à connaître le Réel, le "petit" réel caractérisant simplement une dimension de réalité limitée, la "3-D"*. Celle-ci voit la loi de la dualité s'appliquer, c'est-à-dire l'alternance mensonges et vérités et tout son dégradé de nuances suivant l'état d'éveil des individus. Les Forces de l'Ombre et des Ténèbres présidant la gouvernance des affaires terrestres, il en découle d'inévitables tricheries et duperies, fruits gâtés de l'ingénierie sociale, qui escamotent en permanence le Réel à l'échelle nationale ou mondiale, le remplaçant par un faux, ce qui a été théorisé par d'éminents philosophes tel le français Michel Foucault (1226-1984) affirmant que la vérité n'existait pas (en ce bas-monde s'entend), et que seules comptaient la loi du plus fort, la répétition et la manipulation. Tels sont les êtres humains asservis à ces Forces entropiques, des faux-monnayeurs, de la monnaie comme de la parole. Nul besoin pour l'initié de comprendre ce que les philosophes comme les psychanalystes ont démontré concernant les possibilités de disjonction qui existent entre d'un côté le langage, la parole, le discours, et de l'autre côté le réel, la vérité, le monde. La relativité de ce qui est nommé la vérité*² est consubstantielle à ce monde vicié dans sa nature première, soit l'expérimentation de la matière, le monde des formes illusoires, avant que de retourner, peut-être, une fois la leçon apprise à la Vraie Lumière. Car tel est le Jeu du Vivant!

Si la désinformation est un art ancien, elle voit de nos jours le courant relativiste et pragmatique basé sur l'axiome "la fin justifie les moyens" accélérer la prise de contrôle du monde à son profit. En cette fin de cyclicité civilisationnelle, la modernité est en effet basée sur les incessants progrès des techniques, notamment la digitalisation. Elle conduit, par le pouvoir hypnotique des images combinées aux sons martelés par les supports médias diffuseurs et la diversité des réseaux sociaux relais qui favorisent l'immédiateté, à l'érection d'une tyrannie, le transhumanisme du Nouvel Ordre Mondial*³. Sa légitimité se construit dans la répétition, dans la convergence des avis des pseudos-experts invités des plateaux médias ou revues spécialisées, et l'usage immodéré de fake news sinon de deepnews, le tout conduisant à la destruction systématique d'une démocratie (même si très relative) mise au pas sous le joug de majorités de circonstance bâties sur le clientélisme et l'hypnose de foules crédules. Son idéologie de contrôle pyramidal, globaliste, mondialiste et géopolitique*, consiste à définitivement asservir tous les êtres humains décérébrés par l'appauvrissement continu de l'instruction, de l'absence de la pensée critique au profit du politiquement correct, et de non-propagation de la Sagesse éternelle, débarrassée des faux-semblants des philosophies existentielles désacralisées. Il en résulte soumission et obéissance par la peur (le mécanisme sanction/récompense tel que démontré en neurosciences) à des voies réglementaires et législatives qui constituent des impasses, car sacralisant simplement la vérité officielle, autrement dit celle de la nomenklatura gouvernante. Or le Vrai n'a jamais dépendu du nombre ou de la force. Il est en soi, trésor suprême de sa libération !

Cf. La falsification de la réalité en 3-D.

Cf. Qu'est-ce que la Vérité ?

*³ Cf. Conscience du XXI° siècle.

*Cf. Le modèle pyramidal décodé & Le modèle européen décodé (2) L'idéologie mondialiste.

 

Décodage de la manipulation mondiale en cours

Le mécanisme est désormais opérant à l’échelle internationale. Il est basé sur l'octroi de prêts bancaires, de façon magnanime. Il ne s'agit en fait nullement d'aider les États, et par là-même les entreprises ou particuliers à réduire leur dette nationale, mais de permettre par le paiement des intérêts à ce que les détenteurs des capitaux bancaires amassent d’énormes profits et les tiennent en otage. C'est ainsi que la nation américaine, alors qu'elle est trop endettée pour prêter quoi que ce soit à quiconque, voit ses banquiers continuer de prêter aux pays notamment pauvres. Mais alors, où les banquiers récoltent-ils l’argent qu’ils prêtent, si les États-Unis sont à ce point en banqueroute ? Et de quelle complicité étatique bénéficient-ils pour avoir agi aussi longtemps en toute impunité, celle consistant à prendre des pays en otage, y compris le leur ?

Si les banquiers affirment prêter de l’argent à ces pays dans un effort louable destiné à les faire passer à la "modernité", pour les relever économiquement, c'est que dans la plupart de ces pays les individus aspirent à la démocratie. Ils veulent vivre comme les occidentaux. Partant, ils sont mûrs pour la révolution, et devenir insidieusement leurs complices...

 

C’est ainsi que les "insurgés" entrent en scène, en l'occurrence de pseudo-résistances, des coups d’État, de l'extrémisme, du pseudo-terrorisme (ex. le Hamas, Al Quaida, Farc, Mercenaires en Irak, milices néo-nazies en Ukraine - photos 4 et 5 -…), financés et instrumentalisés par des lobbys militaro-industriels (ex. société Academi, ex Blackwater*), la CIA, ainsi que par le réseau paravent de fonds philanthropiques de George Soros*² (photo 6) L'Open Society Foundations ayant pour vocation la promotion d'une gouvernance démocratique, des droits de l'homme et des réformes économiques, sociales et légales, ou encore par la fondation caritative Rockefeller (fondée en 1913 par John Davison Rockefeller et Frederick T. Gates) destinée à "promouvoir le bien-être de l'humanité dans le monde"

Les banquiers concoctent aussitôt un gouvernement militaire, et les polarités nécessaires à l'affrontement sont réunies. Dès lors, le motif est tout trouvé pour développer ces pays : appuyer les gens qui réclament la démocratie. Bien sûr, le gouvernement militaire n’est là que temporairement. Sa raison d’être est d’alimenter et même d’intensifier le désir de liberté. Le procédé permet aux vendeurs d’armes et acteurs de la sécurité de faire beaucoup d’argent. Quant aux munitions, elles arrivent de divers pays chrétiens, comme la France. Elles ont été envoyées de partout dans le monde, même des États-Unis. Bien entendu, tout cela est fait pour appuyer les combattants de la démocratie.

* Academi est une société militaire privée américaine dont le siège se trouve en Caroline du Nord. Elle a notamment travaillé en Irak et en Afghanistan. Elle était précédemment connue sous le nom de Blackwater Worldwide, à l'origine sous celui de Blackwater USA. Présente dans plusieurs pays, notamment en Afrique du Nord, plus précisément au Maroc, la société effectue de la protection d'installations sensibles tels les sites de radars militaires au Japon, de l'entraînement de membres de service de renseignement de Taïwan ou le sauvetage de civils au Kenya. En 2009, le New York Times a rapporté que Blackwater a réalisé des contrats, octroyés secrètement, pour le compte de la CIA dans le cadre d'une mission destinée à pourchasser des terroristes d'Al-Qaïda.

Né György Schwartz, George Soros est un financier milliardaire américain d'origine hongroise, financeur des "révolutions colorées" et des coups d’Etat associés au moyen de mouvements de protestation initiaux qui conduisent à aggraver les situations politiques. Grâce aux milliards de dollars logés dans son fonds dit "philanthropique" le Open Society Fund créé en 1979 et actif dans une trentaine de pays, il tire les ficelles de son oeuvre diabolique. avec ses milliards de dollars. Affirmant  sans vergogne (sentiment de honte) que "les Etats ont des intérêts, mais pas de principes", il explique froidement qu’une "société ouverte" idéale à vocation à supprimer les intérêts nationaux spécifiques, tandis qu'en parrallèle une structure politique et financière internationale prend la responsabilité de la défense du bien des gens.

*³ Cf. Les psychopathes qui nous gouvernent.

 

Dès que le changement est amorcé, le pauvre fermier qui jadis vivait tranquillement sur sa terre, qui n’avait pas à payer d’impôt, qui arrivait à nourrir sa famille, aimait son "Dieu et son Église", doit maintenant travailler frénétiquement. Puis il se retrouve en train de manifester dans les rues étranges de villes qu’il connaît mal, réclamant de la démocratie, sans trop savoir pourquoi il fait cela. Il a été englobé dans une conscience sociale créée intentionnellement, dans le but d’appuyer le pouvoir mondial.

Comme nous savons que la "démocratie" à la sauce étoilée finit toujours par triompher et voit les "méchants" repoussés, ce jeune pays "libéré" qui fait désormais ses premiers pas a besoin de prêts substantiels pour se développer, devenir une nation, à l’image du "modèle" états-unien. Alors s'amènent les banquiers pour distribuer les milliards, dont ils savent pertinemment que les "merveilleux" dirigeants incompétents sinon corrompus catapultés à la tête de ce nouveau gouvernement démocratique les dilapideront. Ils savent que ce petit pays sera incapable de rembourser sa dette.

Fort logiquement, les banques demandent le remboursement du prêt. Le leader responsable du pays plaide alors sa cause : "Mais nous n’avons tout simplement plus suffisamment d’argent pour vous rembourser." Le représentant de la banque sourit, faussement compatissant, et lui répond : "Monsieur, ne vous en faites pas. Vous savez, je suis certain que nous pourrons arriver à nous entendre. Nous allons échanger votre dette substantielle contre les droits miniers de votre pays ainsi que le pétrole trouvé sur votre littoral côtier et à l’intérieur de votre pays. Nous prendrons cela en échange." Le dirigeant du pays est alors si content qu’il s’exclame : "Quelle aubaine !" Aussitôt dit, aussitôt fait. Et le petit pays a cessé d’être un pays, au sens tradition, langue, valeur. Bien sûr, on s’efforcera d’en faire une démocratie d'apparence, mais déjà ce n’est plus un pays. Il a été absorbé par une organisation sans frontière, qui grandit sans cesse dans le monde d’aujourd’hui, la responsabilité pour ne pas dire la souveraineté appartenant désormais principalement à ses institutions internationales (OMC, FMI, Banque Mondiale…) et aux accords commerciaux (traité de Lisbonne…). Au final, sur cette "planète-multinationale", les pays prolétarisés sont progressivement en train de se transformer en un nouvel esclavage féodal, généralisé aux masses laborieuses consentantes et prostituées d’une minorité élitaire prédatrice.

Les "affaires" sont rapidement prises en mains par ses relais acoquinés. L’industrie et les services divers s’y installent. Des éléments extérieurs que les gens du pays ne contrôlent pas prennent le dessus, parce qu’ils se sont installés avec l'aval des autorités. Les fiers indigènes du pays sont évincés de leurs terres et parqués comme un troupeau dans les villes. Ça n’a pas d’importance si les fermiers ne cultivent plus dorénavant. Ça n’a pas d’importance si la forêt vierge est transformée en copeaux. Ça n’a aucune importance. Car les promoteurs arrivent et rasent les forêts, financés par les grandes banques. S'en suivent les processus de privatisation, licenciement, délocalisation, réforme... tout cela au nom de ce qui est appelé le progrès.

Cf. Le modèle européen décodé (2) L'idéologie mondialiste.

 

Il s’agit simplement en fait de la poursuite du programme eugénique nazi des années trente et quarante qui visait à exterminer certains groupes ethniques au nom du "progrès" de l’humanité, expliquant la féroce répression des mouvements contestataires libertaires (Gilets jaunes en France, camionneurs au Canada avec le Freedom Convoy sur Ottawa...), physiquement et psychologiquement, notamment par le vol bancaire sans préavis de leurs avoirs en dehors de toute procédure régulière, y compris pour leurs soutiens qui ont donné de l'argent à ces groupements considérés comme déviants.

Il comprend pour son application nombre de dirigeants nationaux relais (le Président de la République française Emmanuel Macron, l'ex chancelière d'Allemagne Angela Merkel, le président du Conseil des ministres d'Italie Mario Draghi, le Premier ministre confédéral du Canada Justin Trudeau, la Première ministre de la Nouvelle-Zélande Jacinda Ardern, l'ex Premier ministre australien Scott Morrison...)*, tous étroitement liés au grand manitou noir manipulateur George Soros, à Bill Gates le vaccinologue fou, et à Klaus Schwab (photo 7), mentor d'un nombre conséquent de diplômés de la Young Global Leaders travaillant auprès d'eux, issus de son espace d'expérimentation visant à sélectionner, contrôler et préparer avant d'être positionnés dans l'appareil politique mondial les futurs dirigeants politiques considérés comme des entrepreneurs dirigeant des sociétés vouées à la soi-disant "responsabilité sociale".

* L'Australie et la Nouvelle-Zélande sont des pays qui ont été ciblés par des "experts" en manipulation comportementale, originaires notamment du Royaume-Uni, qui ont pratiqué des expériences et des abus psychologiques sur leurs populations afin de préparer les résidents à la vague de totalitarisme médical qui a envahi la société. On peut noter depuis une augmentation de 40 % des "codes 1" (maladies infectieuses) ainsi que de nombreux cas "inexpliqués" de crises cardiaques, de douleurs thoraciques et d’affections respiratoires.

 

La plupart des gens croient que ce marché monopolistique néo-libéral cannibale est le capitalisme. Erreur ! C'est le marxisme. Comment Lénine matérialisa-t-il à partir de rien les ressources pour implanter sa société idéale, le bolchevisme ? Comment fut-il en mesure de renverser le dernier Tsar, par le biais d’une révolution, assassinant sans pitié toute la famille du Tsar et éliminant de la Russie tout aristocrate dans le but de donner corps à sa théorie marxiste ? La révolution fut financée par les mêmes banquiers afin de créer le stigmate du communisme, stigmate qui permettrait de créer opportunément bien des illusions dans le futur.

C'est ainsi que la Russie, avec son PIB de 1 700 milliards de dollars, fait partie des pays qui possèdent la plus grande réserve d’or du monde*, et que son alliance de circonstance avec la Chine et ses deux cents millions de militaires - celle-ci vient de signer début 2022 un immense contrat avec la Russie sur la fourniture de gaz - protège d'une guerre contre l'Occident, l'Empire chinois sachant très bien que si la Russie tombe, alors il sera condamné face au nouvel ordre mondial - celui du Forum économique mondial de Davos - qui est ni plus ni moins qu’une globalisation où les nations s’effacent au profit d’une gouvernance mondiale sous l’égide des Etats-Unis. Inacceptable pour ces deux géants de l'Est dans ce monde en réalité multipolaire !

Dans la mesure où la valeur de la monnaie (rouble, yuan) la conduit à être adossée à la fois à l’or et à un groupe de biens (matières premières) qui sont des valeurs monétaires (gaz, pétrole, minerais rares...) et de mettre son taux de change en conformité avec la parité réelle du pouvoir d’achat, la réalité est que la guerre en Ukraine va accélérer l’ascension du yuan et du rouble à l’international et le déclin du dollar roi, d'autant plus avec l’émergence des monnaies numériques de banques centrales, la série de mesures punitives prises par l’Occident contre les institutions financières russes pouvant avoir un effet collatéral en incitant les pays émergents à se détourner un peu plus encore du dollar et accélérer la montée en puissance de ces monnaies*²

(la Russie passe actuellement du marché européen aux marchés africain, asiatique et latino-américain).

Dans cette guerre entre grands de ce monde pour le nouvel ordre mondial, ce qui veut dire pour la domination du monde, il y a la domination économique, culturelle, intellectuelle, militaire bien évidemment, mais il y a également l’arme monétaire et la domination à travers la puissance de la monnaie. C'est la réponse à l'appropriation par l'Occident de manière unilatérale d'un monopole intellectuel sur la structure optimale de la société - l'économie de marché -, qu'il utilise depuis des décennies en ne permettant aux autres pays d’être ses partenaires que lorsque cela lui est profitable. Et comme le système financier mondial actuel est construit uniquement sur la confiance depuis que les Etats-Unis ont abandonné en 1971 la parité or-dollar, entraînant progressivement de la monnaie pratiquement sans contrôle, lorsque la confiance s'estompe, le système financier s'effondre...

* Les réserves d’or russes s’établissent à 1 857 tonnes, dont la valeur est actuellement estimée à 80,4 milliards de dollars (65,4 milliards d’euros). La Russie occupe le cinquième rang mondial derrière les États-Unis, l’Allemagne, l’Italie et la France. La Chine, qui cherche aussi à faire croître ses réserves d’or, arrive sixième de ce classement avec 1 843 tonnes estimées. Ceci entend que pour qu’un système financier national soit souverain, ses moyens de paiement doivent avoir une valeur intrinsèque et une stabilité des prix, sans être rattachés au dollar. Ce que l'or permet...

La Russie en réponse aux sanctions prises à son encontre exige le paiement de son gaz en roubles, sa monnaie nationale qui représente une fraction négligeable des réserves de change mondiale. Elle a également monté un embryon de système de transfert d’argent, surnommé SPFS, pour contourner une éventuelle exclusion du système international SWIFT, tout comme elle a aussi accumulé de l’or (plus de 2 000 tonnes), le remonétisant en établissant un cours fixe d’achat en rouble auprès des mines domestiques (l’or, comme les devises numériques tel le Bitcoin, pourraient servir d’intermédiaires dans des échanges internationaux. Enfin et surtout, Moscou renforce chaque année les échanges financiers bilatéraux avec ses partenaires (Chine, Inde, etc.).

 

Ce Nouvel Ordre Mondial néo-libéral a été emprunté ni plus ni moins aux écrits de Marx, un élitiste. Il avait lui-même emprunté son idée de Socrate. Le marxisme est ainsi une philosophie de gouvernement idéal, simplement parce qu’elle a la vision d’un monde contrôlé par une élite restreinte. En d’autres termes, les gens responsables, riches et puissants, contrôlent le monde et les attitudes "animales" de la population. Marx a dit que les gens du peuple n’ont aucune intelligence. Et le plus grand danger pour le communisme, et en vérité pour cette théorie marxiste, est qu’elle ne peut tolérer une "médiocratie", une classe moyenne ou médiane. C'est pourquoi le peuple doit être encadré, contrôlé, ses études dirigées, toute chose devant l’être. Et cette société a été instiguée, créée et financée pour plusieurs raisons, la principale étant la version finale que cette société aura adoptée dans quelques années : le Nouvel Ordre Mondial*²...

Cf. La nouvelle religion universelle & Prophétie du changement.

 

Du chantage imbécile et suicidaire

Le chantage habituel des élites institutionnelles financières qui gouvernent l'Union européenne* est celui d'exiger de la part des gouvernements inféodés plans d’austérité et réformes structurelles. C'est notamment ce qui s'est passé avec la Grèce (trois plans de sauvetage successifs en huit ans depuis la crise de la dette publique initiée en 2008), à l'instar de nombreux pays d’Amérique latine et d’Afrique. Les mécanismes sont toujours les mêmes : distribuer aux pays par l’intermédiaire de leur classe politique des crédits, faire monter l’endettement,  puis dire "Vous êtes ruiné, on arrête tout, sauf si vous faites ce qu’on vous dit". C'est ainsi que leurs techniques rodées permettent de façonner les sociétés qu'ils contrôlent. Contrôlant déjà l’émission monétaire, l’argent n’est pas la finalité, simplement un outil au service d’une vision totalitaire.

Certains pays peuvent toutefois choisir de ne pas se coucher. C'est ainsi que dans le cadre des sanctions financières prises à l'encontre de la Russie dans le conflit armé avec l'Ukraine, l’Union européenne n’est pas en l'état parvenu à trouver un consensus, la Hongrie ayant posé son veto et affirmé qu'elle ne le lèverait pas. La raison est notamment économique, sa dépendance énergétique aux énergies russes (pétrole et gaz - la Russie a fourni en 2021 quelque 150 milliards de m³ de gaz, soit 40% des importations de l’UE). Si l'Union Européenne lui a offert comme à la République tchèque et à la Slovaquie de longs délais pour cesser progressivement les importations de pétrole russe, la réalité est que les sanctions dans le domaine de l’énergie causent inévitablement des dommages aux États membres, certains étant plus touchés que d’autres. Ces sanctions énergétiques ne sont ni plus ni moins qu’un suicide économique et industriel, notamment pour l’Allemagne qui a besoin d’énergie abondante mais également peu coûteuse (le gaz russe pouvait avant leur sabotage arriver en immenses quantités à pas cher par des pipelines, ce qui est plus pratique que le gaz liquéfié qui arrive par bateaux qui existent en nombre limité tout comme les terminaux de liquéfaction et de "déliquéfaction") Aussi se passer de cet approvisionnement du jour au lendemain n’est pas gérable sans une aide massive des autres pays européens, qui eux-mêmes sont empêtrés dans leurs propres difficultés. Et au final, c'est la Russie qui, en réorganisant en profondeur son secteur énergétique face aux sanctions européennes en l'orientant notamment vers la Chine et l'Inde, va crouler sous les excédents financiers et les profits avec la hausse des cours de l’énergie au niveau international*², pendant que l’UE va souffrir de son "autodafé économique" en renonçant d'une part aux hydrocarbures russes et en finançant d'autre part son opération REPowerUE (210 milliards d’euros d’éoliennes) pour pallier la fourniture d’énergie par la Russie et diminuer sa dépendance à son désormais encombrant voisin. En ce sens, les sanctions européennes sont clairement un échec majeur, une inconséquence entraînant qui plus est de mortelles conséquences à Karachi au Pakistan ou au Sri Lanka où il n’y a plus d’électricité, parce que nous pompons toutes les énergies alternatives au gaz russe. Et comme nous pouvons la payer plus cher que le Pakistan ou que le Sri-Lanka, ces pays se retrouvent plongés dans la misère et dans le noir ! Cerise sur le gâteau, l'économie russe est portée par nombre de projets initiés autour des BRICS+ (alliance économique avec le Brésil, l'Inde, la Chine, l'Afrique du Sud et + si affinités) et l’Organisation de coopération de Shanghai. Une nouvelle initiative a été ainsi lancée pour former un cartel du gaz naturel, avec la participation de la Russie et de l’Iran, et éventuellement d’autres pays, appelée à fonctionner comme l’Organisation des pays exportateurs de pétrole (OPEP).

Nonobstant ce suicide économique, nombreux sont les européistes béats à vouloir en finir avec la règle de la majorité absolue pour passer à la règle de la majorité qualifiée, autrement dit une règle qui rendrait les pays plus esclaves qu’ils ne le sont. En définitive, c’est comme pour le "vaccin" : combien de temps faudra-t-il à nos "dirigeants" et nos experts crétins car illusionnés pour reconnaitre que cela ne sert à rien, si ce n’est à causer plus de dommages que de bien ? Le conflit en Ukraine ne sert en réalité quasi exclusivement que les intérêts stratégiques, énergétiques et commerciaux des Américains, et ce au détriment des Européens qui, tous alliés de l’Ukraine et se prêtant au jeu des boycotts et des embargos, n'ont que tout à y perdre. Ils agissent disent-ils afin de sauver leur "honneur" et celui de la démocratie, mais ils n'ont jamais jugé utile au nom de l'honneur d'en faire le même usage lors de l’invasion de l’Irak ou la Libye par la "coalition" pour des motifs parfaitement mensongers, ou bien encore lors du conflit Arabie/Yémen… Mais il est vrai qu'il n’y a que les imbéciles qui ne changent jamais d’avis...

Cf. Le modèle européen décodé (2) L'idéologie mondialiste.

Les sanctions lui rapportent 21 Mds$ par mois, beaucoup plus que ce que lui rapportaient les exportations d’énergie avant la guerre. Quant au rouble, il est désormais plus fort qu’avant la guerre, conduisant le président de la banque centrale de Russie a abaisser les taux directeurs. 

 

Sabotage économiquement et politiquement suicidaire

Le conseiller à la sécurité nationale du président Biden, Jake Sullivan, a joué un rôle de premier plan dans la préparation du sabotage du 26 septembre 2022 contre les pipelines russo-européens dites Nord Stream selon le journaliste Seymour Hersh, lauréat du prix Pulitzer. En décembre 2021, Jake Sullivan, agissant avec la bénédiction de Joe Biden, a convoqué des hommes et des femmes des chefs d'état-major interarmées, de la CIA et des départements d'État et du Trésor, pour élaborer un plan sur la façon de détruire les Nord Stream 1 et 2 conçus pour pomper le gaz naturel russe vers l'Europe.

Début 2022, la CIA avait dit à Sullivan qu'elle savait comment faire sauter les pipelines. Le groupe a décidé de garder le secret sur ce complot risqué. Le Congrès américain n'a pas été informé. Les militaires et les agents de renseignement américains ont fait de leur mieux pour dissimuler le rôle de Washington dans le sabotage. Selon le journaliste d'investigation, l'équipe avait des doutes quant à la légalité du projet et était bien consciente qu'il pouvait rapidement se transformer en un cauchemar de politique étrangère.

 

Les aides financières massives en faveur de l’Ukraine, qui confinent au racket et au blanchiment d’argent pour un pays au statut nébuleux au regard du droit international, se poursuivent dans le seul but d’affaiblir la Russie. Le scénario est ficelé, voyant l’Ukraine dire "Donnez-nous plus d’argent et nous contre-attaquerons", avant que de détourner l’argent, d'attendre une semaine ou deux, et de réitérer sa demande. Ce racket visant à aider l’Ukraine appauvrit l’Europe, voyant les Allemands acheter du bois de chauffage et les Polonais faire la queue pendant des jours pour pouvoir acheter du charbon. Les citoyens sont de simples pions que les mondialistes (les élites mondiales privées comme publiques), déguisés en agneaux sous les oripeaux des défenseurs des énergies vertes parlant de développement durable afin de sauver la planète, utilisent comme bon leur semble pour atteindre leurs objectifs.

L’objectif environnemental fait partie intégrante de leurs initiatives alarmistes contre le changement climatique à partir de déclarations trompeuses comme un cheval de Troie, avec comme effet de détruire les secteurs du pétrole et du gaz naturel, d'interdire les moteurs à combustion interne, et de forcer tous les pays à utiliser des éoliennes et des panneaux photovoltaïques, des sources dont la production d’énergie est pourtant intermittente et non extensible.

En parallèle, ces mondialistes essaient de prendre le contrôle de la finance mondiale et des banques centrales pour empêcher l’octroi de nouveaux prêts aux entreprises pétrolières et gazières et obliger les établissements de crédit à accorder des prêts servant à subventionner les véhicules électriques et les fabricants de batteries électriques. Et peu importe que le CO2 ne soit pas nocif et que les batteries électriques le soient, et qu'il n'y ait pas de crise climatique existentielle comme le prétendent les Cassandre.

Lorsque l’idéologie entre en collision avec la réalité, c’est toujours la réalité qui finit par l’emporter !

 

Il ne faut pas mettre le doigt dans l'oeil de l'ours qui dort !

La Russie est toujours restée un "ours", même quand elle était endormie dans les années 90.

L'ours russe, généralement un ours brun eurasien, est un des symboles de la Russie. Utilisé dans les dessins animés, des articles et des pièces dramatiques depuis dès le XVIe siècle, et se rapportant aussi bien à l'Empire russe et à l'Union soviétique qu'à l'actuelle Fédération de Russie. Il a été et est souvent utilisé par les Occidentaux, originellement par les caricaturistes britanniques et plus tard par les caricaturistes américains, rarement dans un contexte flatteur, laissant entendre que la Russie est "grande, brutale et maladroite".

L'image de l'ours a été reprise à plusieurs occasions, notamment au XXe siècle, par les Russes eux-mêmes. Ainsi en prenant l'ourson "Micha" comme mascotte des Jeux Olympiques de Moscou de 1980, il s'agissait de contrer l'image du "grand et brutal ours russe" avec un petit ourson câlin et souriant. Après l'effondrement de l'Union soviétique, il y avait un certain soutien au Parlement russe pour avoir un ours comme nouvelles armoiries de la Russie, les proposants soulignant que "la Russie est de toute façon identifiée dans le monde avec l'ours". Au final, ce sont finalement les armoiries de l'aigle à deux têtes de l'époque tsariste qui ont été restaurées.

Plus tard, l'ours est devenu le symbole du Parti Russie unie, qui domine la vie politique en Russie depuis le début des années 2000. Par coïncidence, le nom de famille de Dmitri Medvedev, le président russe élu en 2008 lorsque Vladimir Poutine a du constitutionnellement céder sa place, signifie "ours", celui-ci étant appelé à nouveau à succéder à l'actuel Maître du Kremlin, bien décidé à changer l'épicentre actuel de la géopolitique terrestre.

 

L'histoire apprend que les Empires comme les nations naissent dans la guerre. C'est pourquoi la création de tous les Etats modernes européens est une histoire profondément sanguinaire, de ce fait tragique. Elle explique que nombre d'europathes béats voient dans la crise, les tensions et surtout la guerre, l'occasion d’aller vers plus d’Europe, quel que soit son justificatif (l’Europe de la défense, l’Europe de la sécurité). Ils pensent pour ce faire que les peuples soumis à la peur accepteront bien des compromis ainsi que l’abandon des derniers restes de leur souveraineté. Mais c’est à partir de ce moment-là que les choses deviennent dangereuses, parce que l’on veut aller trop loin dans une logique inadaptée et souffrant d’un biais de raisonnement terrifiant. Car c'est ce modèle du communisme qui est dupliqué, caché derrière la façade honorable de la démocratie, plus exactement la démocrature.

 

Tout part de la révolution, venue on ne sait d’où, en réalité d'une "planification scénarisée" sortie d'Instituts (ex. Le Tavistock Institute), de fondations dites philanthropiques (le réseau de l'Open Society Foundations de George Soros, la fondation Rockefeller) et autres "Think Tank", ces groupes de réflexion d’experts (ex. le Groupe Bilderberg, le Siècle…) ne laissant aucune place à l’imprévu… la voie de l’Humanité étant déjà toute tracée par leurs "bons soins"*.

La première règle est qu'il doit y avoir une polarisation pour pousser le peuple à solliciter un nouveau gouvernement, un changement. Il doit y avoir une menace. N’eut été la menace mondiale du communisme et de ses variantes théocratiques, qu’est-ce que les marchands d’armes auraient vendu ces dernières années ? S’il n’y avait pas eu le communisme athée comme religieux, qui aurait été l’ennemi des États-Unis ? C'est ainsi qu'à cause de la présence totalement fabriquée par leurs propres banquiers du communisme, les Américains, les descendants de l'Empire atlante de jadis, ont toujours senti leur liberté menacée. Et à cause de cette société communiste, le peuple américain a fourré son nez dans les affaires de tout le monde, parce qu’on leur a dit de le faire, parce que le communisme est une menace pour leur liberté et le modèle démocratique dont ils s'imaginent être le porte-étendard.

En vérité, tout cela est de la manipulation, un jeu profondément pervers, celui qui voit par exemple les vues du théoricien politologue américain d'origine polonaise Zbigniew Brzezinski (1928/2017), qui a été conseiller à la sécurité nationale du président des États-Unis Jimmy Carter de 1977 à 1981, conseiller en chef à la sécurité nationale du président américain Jimmy Carter, soutenir dans ses écrits que l’Ukraine devait être séparée de l’État russe (Cf. image), et qu’alors seulement la Russie cesserait d’être une grande puissance...

* Cf. Le Néo-Totalitarisme Orwellien Biométrique, du type "1984" de George Orwell, une "Brève histoire de l’avenir" de Jacques Atalli, "Le Meilleur des Mondes" de Aldous Huxley, Contrôle mental & Le modèle européen décodé (2) L'idéologie mondialiste.

 

De la guerre Etats-Unis-Russie

Le secteur de la guerre est l’une des industries les plus importantes et les plus rentables des Etats-Unis. C'est pourquoi, depuis des décennies, les fauteurs de guerre se sont attachés à maintenir la marmite en ébullition, cherchant toujours des ennemis, étrangers comme nationaux. En février 2022, ils ont finalement réussi à pousser la Russie à la guerre, bien qu’en 1990 le secrétaire d’Etat américain d'alors James Baker ait promis à Mikhaïl Gorbatchev que l’Otan "n’avancerait pas d’un pouce vers l’Est". mis au pied du mur, les missiles de l’Otan en Ukraine étaient aussi inacceptables pour Vladimir Poutine que les missiles soviétiques à Cuba l’étaient pour John Kennedy en 1962. Et lorsque l’administration Biden a balayé ses préoccupations, Poutine a agi.

En fait, il n’est pas surprenant que le premier empire revendiqué du monde s’en prenne à la Russie. Il doit y avoir en effet quelque chose à propos de cette dernière : comme une jeune chanteuse en quête d’un vieil homme riche, elle semble attirer les empires dégénérés ! Pour quelles conséquences ? Il n'est qu'à se souvenir...

Charles XII de Suède (1682/1718), dont le règne a été presque entièrement consacré à la grande guerre du Nord, avait attaqué la Russie en 1708. Il fut l’un des premiers adeptes de la guerre éclair, frappant fort et se déplaçant rapidement avec sa cavalerie. Face à cela, les Russes ont battu en retraite, tuant tous les animaux de ferme et détruisant les stocks de nourriture sur leur passage. Puis, alors qu’ils continuaient à poursuivre les Russes, les Suédois ont manqué de provisions. Et, lors de la bataille finale, à Poltava en Ukraine, les Suédois ont été décisivement vaincus. Seulement quelques milliers de Suédois s’échappèrent – dont Charles XII lui-même – sur une force initiale de 40 000 hommes. Poursuivis, ils n’étaient plus que 543, quelques semaines plus tard.

Un siècle plus tard, Napoléon répètera l’aventure, mais avec dix fois plus d’hommes.  Là aussi, les Russes ont battu en retraite… en utilisant leur même tactique de la terre brûlée. Et puis, atteignant Moscou, mais ne remportant aucune victoire décisive, les Français ont été contraints de se retirer, en hiver, à travers les vastes steppes. Les Russes ont contre-attaqué. Les Cosaques ont harcelé les Français en fuite. Le "général Hiver" a fait sa part. Et lorsque les survivants parvinrent à se mettre à l’abri, environ 380 000 soldats français et alliés étaient morts ou prisonniers.

Puis, en 1941, Hitler n’a pas pu résister. Une fois de plus, il a fait monter les enchères, engageant 10 fois le nombre de troupes utilisées par Napoléon – 3,8 millions de soldats. Même histoire, plus ou moins. Et le même résultat. Il battit en retraite, laissant environ 1 million de morts, blessés et prisonniers derrière lui.

Armand Augustin Louis de Caulaincourt était un général de l’armée de Napoléon. Il avait auparavant été envoyé en tant que diplomate à Moscou et connaissait bien le pays. Lorsque Bonaparte a annoncé son intention de conquérir la Russie, de Caulaincourt l’a supplié de ne pas le faire. Il lui décrivit les distances, les mauvaises routes, le peuple sauvage et endurant, et le temps insupportable. Pourtant, Napoléon resta déterminé à attaquer et emmena de Caulaincourt avec lui. Et tous les malheurs anticipés par de Caulaincourt – et bien d’autres encore – se sont rapidement avérés vrais, le général les ayant racontés plus tard dans un mémoire intitulé En traîneau avec l’Empereur (récit de l'année 1812).

En 1944, les troupes allemandes redécouvraient l’enfer décrit par de Caulaincourt. Un groupe de prisonniers allemands était alors assis sur le sol dur, tandis que les troupes soviétiques se préparaient à les interroger. Un officier soviétique ayant le sens de l’humour leur aurait dit :

"Qu’est-ce qui se passe ? Aucun d’entre vous n’a lu de Caulaincourt ?". Curieusement, au moins un général allemand avait en fait un exemplaire du livre de de Caulaincourt, dans sa poche, lorsqu’il avait été capturé à Stalingrad.

Et maintenant… Joe Biden et ses alliés ont commencé une "guerre de sanctions" contre la Russie, ainsi qu’une véritable guerre armée, en utilisant les Ukrainiens comme mandataires. Qu’est-ce qui pourrait mal tourner ? Ont-ils lu de Caulaincourt ? Inscriront-ils à leur tour ce XXI° siècle dans la cyclicité de l'Histoire, tout à leur incapacité d'en retenir la leçon ?

 

Penser ainsi que les Russes sont des gens impitoyables et durs, dépourvus d’âme, est une erreur. Ils sont exactement comme les occidentaux. Les peurs ressenties de par et d'autre découlent de la même source, le contrôle des médias, qui disent précisément ce à quoi, capitalistes impérialistes comme communistes impérialistes, doivent ressembler. Les barrières sont intentionnellement maintenues entre les deux camps. Et tant que nous ne le comprenons pas, cette attitude d’indifférence permet à cette tyrannie de prospérer dans le monde. Cette paisible léthargie de l'occidental engourdi, anesthésié, est à l’origine de l’attitude caractéristique qui fait que le monde est mené par des tyrans psychopathes. Parce que les gens ne veulent pas qu’on les dérange dans leur paresse intellectuelle, préférant s'inquiéter de la météo, dégoiser sur leur équipe sportive favorite, préparer leurs prochaines vacances et regarder des jeux télévisés plutôt que de s’informer.

En d’autres mots, les "amants éperdus de la liberté" sont, pour la plupart, des créatures d'un passé idéalisé et d'un présent désacralisé. Et cette attitude endormie des peuples du monde construit chaque jour un peu plus les murs de leur prison mentale comme physique, permettant à leurs geôliers de réaliser leur rêve morbide...

 

Du conflit entre la Russie et l’Ukraine (1)

En 2014, l’Occident a soutenu un coup d’État qui a chassé le président démocratiquement élu de l’Ukraine, Viktor Ianoukovitch. Le nouveau gouvernement ukrainien a alors supprimé le russe comme langue officielle. En réponse, les russophones de l’est de l’Ukraine ont demandé l’autonomie (au début, ils voulaient simplement l’autonomie, pas l’indépendance). En représailles, le gouvernement du nouveau président Petro Porochenko a alors commencé à réprimer son propre peuple avec l'intervention de bataillons néonazis comme le Bataillon Azov, créé par Andrey Biletsky après le coup d’État de 2014*, utilisant intentionnellement l’artillerie contre des civils et commettant des massacres. Certains autonomistes ont été violés. À Odessa, des autonomistes ont été brûlés vifs*². Pour ce faire, il a bénéficié de l'appui de la CIA états-unienne. Cette répression s'est apparentée à un génocide, ce mot étant généralement utilisé lorsqu’un peuple est réprimé et tué à une plus grande échelle. C'est ce qui s’est passé dans le Donbass, région industrielle à l'Est du territoire qui comprend Donetsk et Lougansk. Si les habitants de Donetsk et de Lougansk ont réussi à repousser l’armée ukrainienne, c'est parce qu’une partie de l’armée a fait défection en faveur des autonomistes, de nombreux soldats russophones n’étant pas d’accord pour massacrer des civils qui voulaient continuer à parler russe.

Les russophones et Kiev ont au final signé en septembre 2014 le premier accord de Minsk, qui a mis fin à la guerre dans le Donbass et a accordé une certaine autonomie aux autonomistes. La Russie, l’Allemagne et la France étaient les garants du bon respect de cet accord par les parties signataires. 

Cependant, plus tard, l’Ukraine a rompu l’accord et a repris les combats. Ni la France et l’Allemagne n’ont tenu l’Ukraine pour responsable, l’ex-chancelière allemande Merkel admettant en 2022 que les accords de Minsk n’étaient qu’une ruse pour obtenir plus de temps pour armer l’Ukraine afin que Kiev puisse mener plus efficacement son génocide contre les russophones. Si un deuxième accord de Minsk ressemblant beaucoup au premier a été signé en février 2015, l’Ukraine s’est préparée à nouveau à le rompre au début de l’année 2022, afin d'envahir une nouvelle fois le Donbass.

C'est à ce moment que les républiques du Donbass (Donetsk et Lugansk) ont déclaré leur indépendance et demandé la protection de la Russie. Celle-ci a accepté, et a envahi l’Ukraine en février 2022 dans le cadre d'une opération militaire protectrice, considérant en outre que le droit international considère comme légal la sécession d’un État si le peuple en question est soumis à des violations extrêmes des droits de l’homme et à une oppression systématique. Ce précédent avait été créé par l'OTAN en 1998 au Kosovo, affirmant alors que la sécession de la Serbie était légale parce que la Serbie violait les droits de l’homme de certaines personnes au Kosovo, en se basant sur l’article 51 de la charte des Nations unies. Bien sûr, dans le cas du Donbass, l'OTAN affirme qu’il ne s’agit pas d’un génocide ou de quelque chose d’approchant, les habitants du Donbass n’ayant  pas été soumis à des abus extrêmes, que les républiques du Donbass ne sont pas des États, que l’article 51 ne s’applique, tout comme récuse la volonté de l’Ukraine d’envahir le Donbass, qui est pourtant vraie.

* Biletsky a admis à plusieurs médias occidentaux qu’il avait choisi comme symboles du bataillon la rune Wolfsangel utilisée par la 2e division de panzers SS allemande "Das Reich" pendant la Seconde Guerre mondiale, et le logo du Soleil noir aimé par le chef SS Heinrich Himmler.

Voir les reportages de la journaliste Eva K Bartlett.

 

Du conflit entre la Russie et l’Ukraine (2)

La Russie a envahi l’Ukraine en février 2022 avec une force particulièrement réduite d’environ 85 000 soldats, l’Ukraine disposant de son côté de centaines de milliers de soldats (en tant qu’attaquant, il est de coutume d'avoir environ trois fois plus de soldats que le défenseur). Son plan consistait à frapper l’Ukraine au visage et à faire preuve de sérieux, s’attendant à ce que l’Ukraine et l’Occident conviennent rapidement d’un accord de paix. Mais les dirigeants occidentaux ont poussé l’Ukraine à ne pas accepter la paix, alors même que les deux pays avaient failli signer la paix au début de la guerre. Surpris, les Russes se sont retrouvés dans une position quelque peu délicate. Elle s’est donc retranchée, a créé des lignes de défense, a augmenté sa production militaire, a organisé une mobilisation et a commencé à entraîner ses hommes nouvellement mobilisés tout en s'appuyant sur sa maîtrise de l'espace aérien, la puissance de feu de son artillerie et d'avantages technologiques dans certains domaines tels que les missiles hypersoniques, les drones rentables, la guerre électronique et la défense antiaérienne*. Il en découle que la poursuite de la lutte ne peut signifier que davantage de morts ukrainiens et une perte de territoire encore plus importante, cette guerre ressemblant davantage à la Première Guerre mondiale qu’à la Seconde, là où ce sont la main-d’œuvre et la production d’obus d’artillerie qui font la différence, outre la volonté d’une société de continuer à se battre.

Cette guerre coûte en outre à l’Occident des centaines de milliards de dollars, de l’argent qu’il ne peut pas se permettre de dépenser parce que les économies occidentales sont déjà si mal en point que certaines personnes sont forcées de sortir de leur sommeil. Qui plus est, l’Occident a imposé à la Russie des sanctions qui ne l’ont guère affectée tout en paralysant les économies occidentales. La réalité est que la Russie n’a pas vraiment besoin de l’Occident, alors que l’Europe dépend désespérément de l’énergie russe. Et, cerise sur le gâteau pour l'ours russe, la quasi-totalité du monde non occidental et non aligné sur l’Occident se range à ses côtés, comme l’Arabie saoudite, un allié pourtant essentiel des États-Unis, sans oublier l’expansion des BRICS et le fait que certaines régions d’Afrique comme le Mali ou le Niger chassent l’Occident et invitent la Russie à entrer. L’Occident est en fait devenu très isolé sur la scène mondiale.

* Si l’Ukraine a des soldats courageux et dispose d’un avantage technologique dans certains domaines grâce aux systèmes occidentaux fournis,  son armée est dépassée en termes d’effectifs, d’entraînement et de nombre de pièces d’artillerie, de chars, d’avions, de systèmes antiaériens et de guerre électronique, de navires, de fusées, de drones et de tout le reste.

 

Cliquer pour agrandir
Cliquer pour agrandir

House of cards* ukrainienne, ou du cocktail manipulatoire

Le rédacteur scientifique, écrivain et naturaliste (biologiste) britannique David Attenborough a mis en évidence que si des fourmis rouges et noires étaient placées dans un même pot, alors les insectes seraient divisés en deux groupes et coexisteraient pacifiquement. Cependant, si ce pot était bien secoué, les fourmis commenceraient à s’attaquer, les deux espèces se considérant comme des ennemies mortelles...

La même chose se produit dans le monde humain, le pot étant secoué par les États-Unis comme dans le conflit Ukraine-Russie qui mettent en application les vues de Zbigniew Brzezinski selon lesquelles l’Ukraine devait être séparée de l’État russe pour que celui-ci cesse d’être une grande puissance. Il faisait également valoir que l’importance de l’Ukraine ne réside pas dans sa force et sa puissance, mais dans sa situation géographique et sa faiblesse interne, ce qui la rend vulnérable aux principaux acteurs géopolitiques. Ainsi, si les États-Unis veulent conserver leur position dominante, ils doivent avoir leurs propres vassaux et suivre trois règles de base : empêcher les négociations et les accords entre vassaux ;

maintenir leur position de dépendance ; "protéger" les vassaux, tout en même temps les maintenir dans l’obéissance.

C'est pourquoi dans de telles conditions l’Ukraine est un pilier géopolitique important pour les intérêts américains dans le "démembrement de la Russie", expliquant que les Etats-Unis ont déboursés en soutien plus de 20,4 milliards de dollars depuis février 2022 (185 milliards de dollars de l’Occident au total), les principales sociétés d’investissement américaines BlackRock et JPMorgan Chase étant de leur côté amenées à aider l’Ukraine à créer un Fonds de centaines de milliards de dollars pour son développement de l’Ukraine pour la reprise économique après la guerre, la priorité étant donnée aux secteurs des infrastructures, du climat et de l’agriculture. En outre, Zbigniew Brzezinski croyait qu’en 2005-2010 l’Ukraine entamerait des négociations sur l’adhésion à l’Union européenne et à l’OTAN, et que ce serait entièrement dans l’intérêt des États-Unis.

Brzezinski ne s'est pas vraiment trompé, puisque l'année 2014 a été l’année de la "Révolution de Maidan", organisée et financée par les États-Unis et la CIA avec la complicité de George Soros. D'ailleurs, Washington a officiellement reconnu depuis avoir investi cinq milliards de dollars dans le "soutien à la démocratie" en Ukraine, la même démocratie qui a vu les nazis ukrainiens sortir de l’ombre*², l’État fantoche ukrainien en en faisant des relais de l’armée et de la politique. Et comme le président Volodymyr Oleksandrovytch Zelensky est juif, cela entend que, soi-disant, il ne peut y avoir de nazisme dans le pays...

* House of Cards ou "Le Château de cartes" est une série télévisée de thriller politique américaine réalisée par David Fincher. Elle est l'adaptation  d'un roman qui traite des thèmes de la trahison, de la manipulation, du pouvoir et du pragmatisme impitoyable.

Depuis 2014, le fantôme de l'idéologue nationaliste ukrainien Stepan Andriïovytch Bandera (1909/1959) et les symboles nazis - la croix gammée, le soleil noir et le wolfsangel (charge héraldique signifiant "crochet de loup") - se "promènent" dans les rues.

 

Les dessous du conflit ukrainien

Grâce à ses investissements massifs dans l’agriculture, la Russie détient aujourd’hui un pouvoir géostratégique redoutable face aux pays qui dépendent de ses exportations alimentaires. Cette stratégie d’indépendance de longue durée découle des sanctions européennes conséquentes à l’annexion de la Crimée en février et mars 2014 et son rattachement ultérieur à la Russie, ce qui depuis a renforcé la décision du Président russe Vladimir Poutine d’investir 52 milliards de dollars dans l’agriculture afin de ne plus dépendre de l’extérieur en alimentation, ni de craindre des pénuries en cas de sanctions occidentales. Depuis, importatrice de blé, la Russie est devenue le premier pays exportateur. De même, alors qu’avant 2014 elle n’avait quasiment pas d’élevages, aujourd’hui la Russie est autosuffisante en volailles et quasiment en viande de porc, grâce à des investissements massifs dans l’élevage industriel. Et le réchauffement climatique l’a aidée, en rendant cultivables des terres auparavant inexploitables car souvent gelées.

Il s'agit d'une bonne leçon de gestion pour un pays soumis à nombre de mesures de rétention discriminatoires par les pays occidentaux coalisés (USA et UE), et qui, par cette mise au banc, a su développer son indépendance et sa résilience. Elle a permis à l’économie russe de croître en 2021 de 4,7%, contribuant à financer le déficit budgétaire comme en 2020 quasi-exclusivement par des émissions de dette publique*. Qui plus est, la Russie s'est dotée pour renforcer son indépendance d'un système de messagerie financière, le SPFS, alternative au système de gestion automatisé et sécurisé des transactions internationales SWIFT (paiements entre clients et transactions concernant des actions ou des obligations). Sans oublier que la Russie assure la fourniture de 40 % du gaz européen, sans véritable alternative de remplacement pour l'UE à court-moyen terme (le groupe Total est la seule compagnie non russe à disposer d’une concession d’exploitation du gaz russe).

Nous pouvons d'autant mieux comprendre l'intérêt de Poutine pour l’Ukraine à travers le conflit armé démarré fin février 2022, ce pays frontalier centre de l'empire khazar*² dégénéré, et de ce fait dirigé par une oligarchie mafieuse*³, constituant la 1ère réserve européenne de minerai d’uranium, la 2ème réserve européenne de minerais de titane et 10ème mondiale, la 2ème réserve mondiale de minerai de fer, la 2ème réserve mondiale de minerai de manganèse, la 2ème réserve européenne de minerais de mercure, la 3ème réserve européenne de gaz de schiste, la 7ème réserve mondiale de charbon et la plus grande superficie de terres arables d’Europe, le 2ème producteur mondial d’orge et le 1er exportateur mondial de Tournesol et d’huile de tournesol. Et, cerise sur le gâteau, le stratège russe s'est rapproché de la Chine, le nouveau géant mondial, qui a le même objectif, agenouiller l’occident en envahissant Taïwan, le Cuba de Mer de Chine !

Si le choix du Président français d'alors, Nicolas Sarkozy, avait consisté à jouer cyniquement la carte de l’OTAN (Organisation du Traité de l'Atlantique Nord créée en 1949 pour résister à l'expansion de l'Union des Républiques Socialistes Soviétiques, celle-ci ayant disparu depuis la chute du mur de Berlin en novembre 1989 soit il y a plus de trente ans) sous l'égide états-unienne (son budget militaire est 15 fois supérieur à celui de la France), au lieu de se rapprocher de la Russie, choix également fait par Emmanuel Macron, l'actuel Président aux commandes à l'occasion du conflit ukrainien, il permet à Vladimir Poutine, le "dragon blanc", dictateur certes compte-tenu des nécessités mais "éclairé", et à son ministre des Affaires étrangères Sergueï Viktorovitch Lavrov, de se positionner par ce prétexte conflictuel à la sécurité de leur pays (l'Ukraine comme indispensable zone tampon et non respect par cette dernière de l'accord de Minsk de février 2015 qui prévoyait notamment le retrait des armements lourds et des réformes constitutionnelles) comme garants des grands fondamentaux de la civilisation face aux néo nazis occidentaux et aux mondialistes dégénérés du Forum Économique Mondial...Qui plus est, l’OTAN n'a eu de cesse de fournir des armes à l’Ukraine depuis 2014, ce que son secrétaire général M. Stoltenberg a admis en juillet 2023, précisant que la guerre avait réellement commencé en 2014. Au passage, le Président russe a donné une cinglante et humiliante leçon au roitelet franchouillard lors de sa dernière visite à Moscou comme prétendu émissaire de la paix (pas de tapis rouge, pas de Marseillaise, pas de Poutine à la descente de son avion, pas de chaleureuse accolade, une impressionnante séparation de par la longueur de la table de rencontre choisie… ainsi qu'une interprète traductrice transgenre !).

En conclusion, Poutine détient l’arme énergétique fossile et alimentaire, l’appui de la Chine, la plus grande avancée technologique militaire, et Macron de son côté les danseuses et autres éphèbes de l’Elysée...

* Son niveau était de 12,3% en 2019, ayant atteint 19,1% en 2020, et devrait se stabiliser aux alentours de 20% à partir de 2021, sans augmentation significative de la dette externe, qui passerait de 3,1% à 4,1% du PIB entre 2019 et 2023.

Cf. Le Judaïsme décodé.

*³ Le gouvernement actuel présidé par le Président ukrainien Volodymyr Oleksandrovytch Zelensky, ancien humoriste, producteur, acteur, scénariste et réalisateur, a succédé grâce à l'appui des brigades antifas de George Soros constitutives de manifestations massives à la destitution du précédent Président Petro Oleksiovytch Porochenko, qui avait bénéficié de l'aide conséquente de la Russie pour redresser le pays en 2014.

 

Cliquer pour agrandir
Cliquer pour agrandir

La sombre réalité de l'Ukraine

Compte-tenu du flot continuel de mensonges diffusés par les sujets serviles du Forum économique Mondial (les prétendus spécialistes que sont les philosophes de plateaux, les journalistes des médias mainstream et les politiciens nourris à la mamelle du système) et des sujets corrompus du Deep State (décideurs institutionnels), le public ignore totalement la réalité, bercé et hypnotisé par la propagande officielle. Outre le voile impudique jeté sur la violation des frontières souveraines, les invasions, les attaques et les violences militaires commises par l’oncle Sam et ses alliés contre le Yémen, la Libye, l’Irak, la Somalie, l’Afghanistan, la Syrie et des dizaines d’autres pays, toujours qualifiées et saluées comme effort courageux pour "défendre la liberté", il ne peut concevoir que l’OTAN n’est pas une organisation pacifique, mais bien au contraire une organisation criminelle aux ordres des puissants qui contrôlent le monde, comme l'a prouvé sa complicité silencieuse lors du massacre de 6 millions d’âmes au Rwuanda. La preuve, sa volonté d'installer en Ukraine des missiles et des laboratoires militaires* avec la complicité d'un gouvernement corrompu, ce qui n'est rien d'autre qu'une déclaration de guerre à la Russie. Et celle-ci, en y répondant pour assurer sa légitime sécurité, est condamnée à porter le chapeau d'une agression que l’Europe dénonce avec vitupérance, se montrant ainsi par son manque d'objectivité complice du génocide effectué depuis 1994 par les forces militaires et paramilitaires (la milice néonazie intégrée à l’armée nationale) ukrainiennes envers les citoyens russophones du Donbass, complice de circuits mafieux de trafiquants d’enfants pour l’élite pédophile (kidnapping d'enfants russes avant d'être vendus comme esclaves), complice de pervers sexuels et de criminels de guerre, complice de dirigeants corrompus jusqu'à la moelle, ce qu'ont révélé les Panama papers ("documents panaméens" en français désignant la fuite en 2016 de plus de 11,5 millions de documents confidentiels issus d'un cabinet d'avocats complices). Qui plus est, elle s'est prononcée dans une salve d'applaudissements au Parlement européen pour l'entrée de l'Ukraine au sein de l'UE, pour en faire un partenaire économique et politique attitré.

Pendant plus de 8 ans, le gouvernement ukrainien a bombardé en effet cette région russophone nommée le Donbass, à l’Est de l’Ukraine, assassinant les populations civiles (plus de 13 000 morts dument recensés) sans que personne dans le monde libre ne dise le moindre mot pour défendre ces Ukrainiens assassinés par des nazis ukrainiens subventionnés par le FMI et les capitaux américains. Ils appartiennent au groupe Azov ou régiment Azov (the Azov Battalion), une milice néonazie intégrée à la garde nationale ukrainienne dès 2014 qui reprend avec fierté le symbole du régime nazi (photos 10 et 11 du bandeau), constituant ainsi une copie de la division SS Das Reich (elle est encadrée depuis l’été 2021 par des mercenaires états-uniens anciens de la société militaire privée américaine ayant recours au mercenariat Blackwater, renommée Academi). Il ne s'agit rien d'autre que d'un groupe d’assassins intolérants, xénophobes et homophobes, auquel se rajoute Dmytro Anatoliyovych Iaroch (ou Yarosh), homme politique et militaire ukrainien de droite radicale et nationaliste, actuellement commandant de l'Armée des volontaires ukrainiens. Il convient de se souvenir, pour les irréductibles donneurs de leçons tel le sioniste Bernard-Henri Lévy, que les 29 et 30 septembre 1941 33 771 Juifs furent assassinés à Babi Yar, en Ukraine, par les Nazis Einsatzgruppen et les collaborateurs ukrainiens. Ce fut le plus grand massacre de la Shoah par balles de la 2ème Guerre mondiale...

L'actuel président ukrainien Volodymyr Oleksandrovytch Zelensky, ancien saltimbanque, n'a fait que succéder grâce à l'appui des brigades antifas de George Soros au Président Petro Oleksiovytch Porochenko en 2014, président d’extrême droite tout autant corrompu qui avait, outre une aide financière de la Russie, bénéficié de millions de dollars du Fonds Monétaire International (FMI) pour, d’une part développer la culture OGM et remplacer le blé des vastes plaines du pays par des organismes génétiquement modifiés considérés par les Russes comme des armes bactériologiques, et d’autre part pour installer des bases de missiles et des Biolabs (laboratoire de Type P4 comme celui de Wuhan en Chine, rampe de lancement du Covid-19) judicieusement répartis sur tout le pays (Cf. photo ci-dessus), sous couvert de "contrer" la menace d'épidémies (délibérées, accidentelles ou naturelles) des maladies infectieuses les plus dangereuses au monde. Ce faisant, les Etats-Unis violent manifestement la Convention de Londres, Moscou et Washington sur les armes biologiques d'avril 1972. Ces différents soutiens financiers de l’occident ont également contribué à éradiquer toute résistance pro-russe ukrainienne.

L’Ukraine, qui a bénéficié de l’aide des Russes à hauteur de milliards de dollars, n'a jamais ratifié les accords de paix et de coopération entre les deux pays*². Comment alors qualifier autrement ses dirigeants que de profiteurs corrompus et de fourbes criminels, tout particulièrement contre les populations russophones du pays, ayant mis en œuvre sur leur territoire et profité de l'industrie de la GPA, du piratage informatique, des déchets radioactifs, de la prostitution, de la traite d'enfants (avant le conflit en Ukraine, un enfant sur dix victime de la traite des mineurs dans le monde venait de ce pays), et toutes autres criminalités en liaison avec des pays tout aussi corrompus grâce à une législation très accommandante.

En résumé, défendre l’Ukraine aujourd’hui, c’est prendre le parti des nazis et d'un organisme, l’OTAN, qui a installé ses laboratoires P4 financés par le Département d’État américain et le Département de la défense capables de libérer des armes biochimiques et bactériologiques et ses bases de missiles sur les Russes et les pays d’Europe de l’Est, ce qui bien sûr a été qualifié de "fausses nouvelles" par les autorités ukrainiennes.

En outre, le journal Le New York Times a révélé en février 2024 que la Central Intelligence Agency (CIA) des États-Unis entretenait 12 bases secrètes en Ukraine le long de la frontière avec la Russie, permettant notamment de collecter diverses données interceptées comme l’implication de la Russie dans l’abattage de l’avion de ligne de la Malaysia Airlines en 2014. Vers 2016, la CIA a commencé également à former une unité d’élite des forces spéciales ukrainiennes, connue sous le nom d’Unité 2245, qui capturait des drones et des équipements de communication russes afin que les techniciens de la CIA puissent en faire la rétro-ingénierie et craquer les systèmes de cryptage de Moscou. De même, elle a contribué à la formation d’une nouvelle génération d’espions ukrainiens qui ont travaillé en Russie, dans toute l’Europe, à Cuba et dans d’autres endroits où les Russes sont très présents.

A quoi se rajoutent des centres allemands de recherche sur les produits chimiques toxiques, des centres suisses de nanotechnologie, un consortium français de biotechnologie et des laboratoires israéliens travaillant à l’armement de bombes chimiques. C'est prendre le parti d'un pays dirigé par un gouvernement de clowns extrémistes et de voleurs, parfaite représentation de la corruption la plus absolue (Volodymyr Zelenski et ses proches sont bénéficiaires d’un réseau de sociétés offshore dans les Iles vierges britanniques, à Chypre et au Belize, dont certaines sociétés possèdent des propriétés à Londres) grâce au détournement de l’argent de la Russie. Dans leur ignominie, ceux-ci ont été capables de livrer des armes aux groupes mafieux et aux prisonniers ukrainiens libérés dans la capitale Kiev pendant son siège par l'armée russe, faisant ainsi régner le chaos dans la population civile tout en assurant que les Russes seraient responsables. C'est ce que des tribunaux militaires internationaux qui vont se tenir à partir de septembre 2022 à Marioupol en Ukraine vont s'attacher à démontrer, le procès visant à traduire en justice des criminels de guerre parmi lesquels se trouvent des nazis du régiment Azov et faire la lumière sur la véritable nature du régime de Kiev dont les États-Unis, la France et autres s’appliquent à donner une image radieuse et héroïque. Et c'est pourquoi ils le qualifient de procès-spectacle illégal.

Dans l’ordre hiérarchique de crise géopolitique, l’attaque de Poutine contre l’Ukraine n’est au final pas grand chose en comparaison de l’attaque des États-Unis et autres Etats contre le monde entier par le biais d’armes biologiques et de piqûres de protéines mortelles, qui transforment les corps de personnes innocentes en usines d’armes à base de protéines de pointe, tout cela dans le but de parvenir à une dépopulation mondiale et à l’extermination de la race humaine !

* Ces bases étaient installées notamment à Odessa, Vinnytsia, Uzhgorod, Lviv, Kiev, Kherson, Ternopil, Luhansk... A noter que dans la centrale électrique de Zaparozhskaya se trouve de l'uranium de qualité militaire, expliquant que l'Ukraine comme l'OTAN font tout pour ne pas rendre cette information publique, et que les Russes veulent que des représentants officiels visitent et enregistrent ce qui s'y trouve (un mois avant que la Russie n'entre en Ukraine, le président ukrainien Zelensky avait mentionné que l'Ukraine pourrait éventuellement envisager de développer une arme nucléaire de destruction massive, ce qui a en quelque sorte scellé l'affaire pour les Russes).

Des archives de l’Otan émanant des Archives nationales britanniques classées secret-défense, consultées par le chercheur états-unien Joshua Shifrinson, professeur à l’université de Boston, prouvent sans nul doute que des accords ont bel et bien été passés avec Moscou dès 1991 pour ne pas élargir l’Alliance atlantique "au-delà de l’Elbe", une telle expansion étant considérée comme "inacceptable" de manière explicite (révélation du journal Der Spiegel en février 2022). Ce document est le procès-verbal d’une réunion des directeurs politiques des ministères des Affaires étrangères des États-Unis, de la Grande-Bretagne, de la France et de l’Allemagne, tenue à Bonn le 6 mars 1991, sur le thème"La sécurité en Europe centrale et orientale".

 

Des biolabs ukrainiens

Deux laboratoires militaires de fabrication d’armes chimiques et de molécules pathogènes se trouvent à la frontière Ukraino-Russe, 2 face à la Russie, 3 près de la Biélorussie, 4 près de la frontière polonaise, 1 à la frontière slovaque qui menace également la Hongrie, 4 entre la mer Noire et la mère d’Azov face à la Turquie dont 1 à la frontière de la république autonome de Crimée. C'est ainsi que sous la zone industrielle d’Azovstal* se trouvent 24 km de tunnels, sur 7 ou 8 étages, équipés d’un système de bunker avec protection blindée dans lesquels se trouve une installation secrète appelée PIT-404. Ces tunnels disposent d’un laboratoire biologique dans lequel on y fabrique, notamment, des armes biologiques, quelques monstruosités en matière d’expériences génétiques et d’autres choses tenues secrètes, pour le moment...

La Chine et la Russie avaient avant l'offensive russe appelé conjointement à plusieurs reprises les Nations Unies, et notamment l’Organisation pour l’interdiction des armes chimiques (OIAC) à La Haye, à surveiller le développement possible d’armes biologiques par les États-Unis, déclarant que les progrès rapides dans le domaine de la science et de la technologie avec des capacités à double usage augmentaient le risque que des agents biologiques soient utilisés comme armes (diffusion d'agents pathogènes comme la variole, l'anthrax, la diphtérie...).

Les documents de ces laboratoires, financés et exploités conjointement aux autorités ukrainiennes par le Département américain de la Défense (DOD), étaient de notoriété publique jusqu’au 25 février 2022, contenant des détails importants sur la construction, le financement et les permis des laboratoires d’armes biologiques en Ukraine. Ils ont été retirés depuis du site web officiel de l’ambassade des États-Unis à Kiev, même si les Etats-Unis ont fini par reconnaître officiellement l'existence de 36 biolabs sur le territoire ukrainien suite à la prise de Marioupol par l'armée russe...

Selon d'autres documents divulgués depuis, il est établi que le Pentagone, l'édifice abritant le quartier général du département de la Défense états-unien, a mené dans le cadre d'un projet nommé GG-21 d’une durée de 5 ans avec une extension possible jusqu’à 3 ans des expériences biologiques à l’issue potentiellement mortelle sur 4 400 soldats en Ukraine et 1 000 soldats en Géorgie (les deux pays sont considérés comme les partenaires les plus loyaux des États-Unis dans la région), tous les "décès de volontaires" devant être signalés dans les 24 heures (en Ukraine) et les 48 heures (en Géorgie)*². L’un de ces programmes est le programme d’engagement biologique de la Defense Threat Reduction Agency (DTRA), doté d’un budget de 2,5 milliards de dollars, qui comprend des recherches sur les agents biologiques, les virus mortels et les bactéries résistantes aux antibiotiques étudiés sur la population locale. C'est ce que la commission parlementaire russe a conclu en 2023, disant preuve à l'appui que les États-Unis ont cherché par leur intermédiaire à mettre au point "une arme biologique universelle génétiquement modifiée" capable d'infecter non seulement les personnes, mais aussi les animaux et les cultures agricoles...

* Azovstal est l'une des plus grandes entreprises de laminage d'acier en Ukraine (elle fabrique du matériel de chemin de fer, des grues et autres produits métallurgiques lourds). Elle appartient au groupe Metinvest, propriété de l’oligarque milliardaire ukrainien, économiste, banquier, industriel et "philanthrope" Rinat Akhmetov, dont le nom est cité dans l’affaire élyséenne française Mac Kinsey, Elle est située dans la ville portuaire de Marioupol de l'oblast de Donetsk.

Les échantillons de sang des soldats devaient être stockés et testés au Centre Lugar, une installation financée par le Pentagone à hauteur de 180 millions de dollars, située à Tbilissi, la capitale de la Géorgie. Le centre Lugar est devenu célèbre en raison d’activités controversées, d’incidents de laboratoire et de scandales liés au programme de traitement de l’hépatite C du géant américain Gilead en Géorgie, qui a entraîné la mort d’au moins 248 patients. Dans la majorité des cas, la cause du décès est inconnue, selon des documents internes. Quant au projet géorgien nommé GG-21, il a été mis en œuvre par des scientifiques militaires américains appartenant à une unité spéciale de l’armée américaine dont le nom de code est USAMRU-G, et qui opère dans le centre Lugar. Ils ont reçu l’immunité diplomatique en Géorgie pour mener des recherches sur les bactéries, les virus et les toxines sans être des diplomates. Un autre projet de nature similaire a impliqué des soldats en Ukraine, avec comme nom de code UP-8, portant notamment sur la propagation du virus de la fièvre hémorragique de Crimée-Congo (FHC). Débuté en 2017, il a été prolongé à plusieurs reprises jusqu’en 2020 selon des documents internes.

 

Manipulation de l'opinion

Un article paru en avril 2022 dans le journal NBC News a rapporté que les services de renseignement américains transmettaient sciemment des informations qu’ils jugent inexactes aux grands médias américains pour que le public américain les consomme. En d’autres termes, l’article rapporte que l' "État profond" américain admet être activement engagé dans le mensonge au peuple américain dans l’espoir de manipuler l’opinion publique. Selon l’article, "plusieurs responsables américains ont reconnu que les États-Unis ont utilisé l’information comme une arme même lorsque la confiance dans l’exactitude de l’information n’était pas élevée. Parfois, ils ont utilisé des renseignements peu fiables pour obtenir un effet dissuasif…"

Les lecteurs pourront ainsi se souvenir des titres choquants selon lesquels la Russie était prête à utiliser des armes chimiques en Ukraine, que la Chine allait fournir des équipements militaires à la Russie, que le président russe Poutine recevait des informations erronées de la part de ses conseillers, etc. Toutes ces informations concoctées par la CIA pour être reprises dans les médias américains, même s'ils savaient qu’elles étaient fausses, avaient pour objectif "d’essayer d’entrer dans la tête de Poutine", et de faire de la propagande en faveur du récit de l’administration Biden.

Ce sont les mêmes techniques déjà précédemment utilisées avec le canular du "Russiagate" pendant les années Trump, l’objectif de la "désinformation russe" étant de saper la confiance des Américains dans leur gouvernement, leurs médias et autres institutions. Autrement dit, la CIA utilise des mensonges pour faire de la propagande auprès du peuple américain en vue d’une guerre avec la Russie !

 

Corruption financière massive

Le site d'analyse et d'opinion sur le paysage géopolitique provenant de sources extérieures Political Moonshine a établi dans un article paru fin novembre 2022 la clé de voûte de la corruption de l'Ukraine lié au scandale FTX, une place de marché centralisée de cryptomonnaies fondée en mai 2019 et devenue insolvable le 11 novembre 2022 après avoir fonctionné dans un luxueux penthouse avec son fondateur Sam Bankman-Fried et une dizaine de collaborateurs dans le paradis fiscal des Bahamas où se trouvait son siège. Entre 1 et 2 milliards de dollars de fonds de clients ont disparu (ils n’étaient pas comptabilisés) ! Cet article met en évidence l’opération de blanchiment d’argent ukrainien désormais avérée qui a été utilisée pour financer les élections de mi-mandat états-uniennes volées de 2022 aux représentants et sénateurs du Parti Républicain (Republican Party également surnommé Grand Old Party, en français "Grand Vieux Parti" et abrégé en GOP). Sans surprise, le parti démocrate a été le bénéficiaire de ces fonds.

C'est une opération de corruption massive, qui a vu les démocrates* truquer le secteur mondial de l’énergie, et pas seulement celui de l’Ukraine, ce pays servant de mécanisme de blanchiment pour tout cela par une nébuleuse de sociétés et établissements spécifiquement dédiés, dont l'établissement de crédit enregistré en République de Lettonie AS PrivatBank qui a été l’une des premières banques à introduire la banque numérique et la première à s’aligner sur Google Pay et Apple Pay (elle fut nationalisée en 2016), avant que de transférer ses actifs et passifs à Industra Bank en août 2022, banque également lettonne.

Le choix de l'Ukraine est que ce pays a connu au cours des 20 dernières années une forme de développement appelée pluralisme oligarchique, permettant à de nombreux hommes d’affaires d'amasser d’énormes fortunes en rachetant des mines et des usines privatisées à bas prix après la chute de l’Union soviétique, et qui se sont lancés dans la politique comme l’ancien premier ministre Yulia Tymoshenko, figure de proue de la révolution orange de 2004, et présentée en Occident comme une martyre lorsqu’elle a été emprisonnée en 2011 (elle avait fait fortune dans l’industrie du gaz). Juste auparavant, en 2014 et en 2015, la Maison Blanche d’Obama et sa cohorte d'individus aujourd'hui aux commandes (Joe Biden, Hillary Clinton, John Kerry, Victoria Nuland) s’était engagée dans une révolution de couleur qui s’est alignée sur le sinistre Bataillon Azov, une formation militaire manifestement néo-nazie directement impliquée dans l’affaire actuelle Russie/Ukraine. C'est cette révolution de couleur qui a finalement permis l’arrivée de l’actuel président ukrainien Volodymyr Zelensky.

A travers la nationalisation de la PrivatBank et la révolution de couleur ayant débouché sur un coup d’État, les États-Unis ont ainsi installé leur homme de pointe pour l’Ukraine et la PrivatBank destiné à conduire à l’adhésion de l’Ukraine à l’OTAN, organisme servant d’agitateur, de provocateur et de paravent d'encerclement de la Russie, menaçant sa souveraineté et sa sécurité nationale. Avec l'entreprise Metabiota, qui relie les Biden père et fils aux laboratoires biologiques du ministère américain de la Défense en Ukraine, était permise de son côté la construction frauduleuse de l’entreprise de la "pandémie" COVID-19*².

Il en a logiquement découle un système transnational de blanchiment d’argent via sociétés fictives et comptes offshore, utilisant des endroits comme Cleveland et d’autres petites villes du Midwest américain (Texas, Kentucky, Virginie occidentale, Michigan, Illinois) pour cacher et blanchir des centaines de millions de dollars pillant sans vergogne des milliards de dollars à des déposants ukrainiens peu méfiants. Le 5e président de l’Ukraine de 2014 à 2019 Petro Poroshenko a été et est un nœud central de l’ensemble des affaires ukrainiennes, y compris la révolution de couleur susmentionnée. Ainsi, c'est l’appel à Porochenko par Joe Biden, lorsqu'il menaçait de retenir un milliard de dollars d’aide américaine à la nation si le procureur chargé de l’affaire Hunter Biden/Burisma n’était pas remplacé, qui a servi de base au premier mise en accusation du président Donald Trump pour une soi-disant "collusion russe", tout ceci ayant été par le rapport Marco Polo établi sur les éléments trouvés dans l’ordinateur portable de Hunter Biden.

Avec cette toile de fond, nous comprenons mieux la connexion avec FTX, acteur à succès de la crypto-monnaie, voyant cette société faire un don conséquent au parti démocrate et à ses comités d’action politique (tels que Protect Our Future et Guarding Against Pandemics) et candidats, la conduisant à être le deuxième plus gros donateur de Joe Biden à hauteur de 40 millions de dollars destinés à être dépensés dans des campagnes de "vote" et autres mécanismes obscurs de collecte des bulletins de vote pour les élections de mi-mandat. Le président Biden ayant donné une partie des impôts américains à l’Ukraine sous forme de dépenses militaires et humanitaires, l’Ukraine a utilisé cette aide pour s’associer avec FTX en transférant les dons reçus en crypto-monnaies, rationalisant ainsi son effort de plusieurs millions de dollars pour transformer les bitcoins en balles, bandages et autre matériel de guerre. Les crypto-monnaies seront ensuite données à la Banque nationale d’Ukraine par FTX, et ce pour au moins 100 millions de dollars.

Les preuves sont évidentes, indiquant clairement qu’un manipulateur, goujat, intello, qui se trouve clairement sur le spectre de l’autisme, du syndrome d’Asperger ou quelque chose de similaire, a escroqué d’innombrables personnes plus ou moins innocentes avec une opération de blanchiment d’argent, passant par l’un des deux épicentres de la corruption de Joe Biden – l’Ukraine – et qui se retrouve directement dans les poches des démocrates, véritables traîtres à la nation.

* Le Parti démocrate est un parti politique américain qui s'oppose, dans le contexte du système bipartite, au Parti républicain. Il est l'une des plus grandes organisations politiques mondiales avec plus de 45 millions d'adhérents en 2020, issu de la scission du Parti républicain-démocrate fondé par Thomas Jefferson en 1792. Il est à l'échelle internationale depuis 2013 membre de l'Alliance progressiste qui regroupe l'ensemble des partis politiques progressistes, sociaux-démocrates et socialistes proche de l'Internationale socialiste.

Le ministère de la Défense de l’Ukraine, avec la participation de spécialistes du Service de sécurité de l’Ukraine, a indiqué en janvier 2023 que dans le cadre de la conduite de la loi martiale en Ukraine mise en oeuvre en février 2022, et ce conformément au décret du Président de l’Ukraine, la destruction dévastatrice des dossiers personnels des militaires, des employés et du personnel de l’institution d’État appelée "Centre de santé publique du ministère de la Santé de l’Ukraine", un institut ukrainien de recherche anti-peste, ainsi que ceux des Centres régionaux et de laboratoire de Zhytomyr, qui ont tous travaillé avec les scientifiques du laboratoire Metabiot Inc de Hunter Biden, et ce le même jour que le début des frappes aériennes de missiles russes sur l’Ukraine. Cette décision a fait suite à la publication d'un communiqué de presse officiel de la Russie via la porte-parole du ministère des Affaires étrangères, Maria Zakharova, qui exigeait que les États-Unis se conforment à l’enquête sur leur activité biologique dans l’espace post-soviétique...

 

Réalité ukrainienne 2023

L'économiste ukrainien Oleg Soskin, qui a été assistant de deux présidents ukrainiens*, a déclaré en août 2023 que le leadership "inadéquat" du président Vladimir Zelensky avait provoqué une catastrophe nationale en Ukraine, appelant les députés à lui demander des comptes. Selon lui, l'économie du pays a été "détruite" par le conflit avec la Russie, rajoutant que les forces ukrainiennes ne faisaient aucune percée sur la ligne de front, et indiquant que le public "ne devrait pas croire les colonels à la retraite" qui parlent des gains militaires de Kiev. L’insistance de M. Zelensky sur le fait que l’Ukraine vaincra la Russie et sa réticence à reconnaître la situation réelle sont le signe que le président est "inadéquat" à la fois en tant que gestionnaire et en tant que personne. "M. Zelensky est tout simplement dangereux pour le pays. Il est tout simplement dangereux pour le peuple", a t-il averti.

* M. Soskin a été assistant des présidents ukrainiens Leonid Kravchuk en 1992 et 1993, et Leonid Kuchma entre 1998 et 2000.

 

De la mise en tutelle de la Pologne

Au cours des derniers mois du premier quart de l'année 2022, l’élite politique polonaise a lancé une campagne de propagande très agressive contre la Russie et son dirigeant Vladimir Poutine, relayée par les médias contrôlés par les États-Unis et l’OTAN. Le but consistait à donner l’impression que toutes les "atrocités" perpétrées en Ukraine sont le fait des soldats russes "barbares", conditionnés par un dirigeant dément. Aucune mention des conflits dirigés par les néo-nazis du bataillon militaire AZOV a été faite, tandis que le président Zelensky était dépeint comme un super héros en cape.

La Pologne ne fait que suivre en réalité le plan de guerre américain, entraînant secrètement des combattants néonazis AZOV sur son propre sol et ce depuis plus d’une décennie. Elle facilite l'acheminement d'armes de soutien aux combattants ukrainiens, originaires du Royaume-Uni et des États-Unis, pour une utilisation immédiate par la brigade AZOV et les groupes militants associés. Pourtant historiquement, les relations de la Pologne avec l’Ukraine ont, au mieux, été difficiles. C'est ainsi qu'une violente attaque contre des milliers de Polonais résidant en Ukraine pendant la Seconde Guerre mondiale a laissé une cicatrice indélébile dans les relations polono-ukrainiennes, que le temps n’a pas complètement cicatrisée. Mais aucune mention n’a été faite de ce bain de sang par les médias polonais pro-ukrainiens !

L'explication est que la Pologne est tombée entre les mains des ambitions hégémoniques américaines lors des soulèvements du syndicat Solidarité en 1989, lorsque l’économiste états-unien Jeffrey David Sachs (il est de nos jours consultant spécial du secrétaire général des Nations unies Antonio Guterres) a infiltré les discussions du mouvement populaire "Solidarnosk"* sur la formation d’une coopérative dirigée par les travailleurs pour sortir la nation du communisme. Sachs a persuadé les dirigeants du syndicat de contracter un prêt auprès du FMI afin d’effacer ses dettes, et les conditions de remboursement du prêt ont ensuite mis le pays en faillite, entraînant une quasi-dépendance vis-à-vis du soutien américain. Ceci explique que depuis, au niveau politique, la Pologne joue toujours au caniche avec les intérêts américains. Le quartier général de l’OTAN a ainsi été transféré en 2022 du nord de l’Allemagne à Cracovie, dans le sud de la Pologne. La Pologne est bel et bien utilisée comme un théâtre d’opérations militaires stratégiques occidentales, avec l’intention à peine secrète d’entourer le flanc occidental de la Russie avec des lances particulièrement aiguisés avec lesquels piquer l’ours Russe à courte portée.

Pourtant, les deux pays ont beaucoup en commun : ils sont slaves. Mais tant qu'ils ne reconnaîtront la communauté ultime de leurs besoins culturels, commerciaux et humanitaires, l’Europe de l’Est ne pourra connaître son véritable sens géopolitique d’équilibre et de paix. Tout l'inverse de la "coca colarisation" menée par les États-Unis, et de son hégémonie néocoloniale pugiliste.

* Signifiant "solidarité" en polonais, il s'agit d'une fédération de syndicats polonais fondée le 31 août 1980, dirigée à l'origine par le leader emblématique Lech Wałęsa qui deviendra un homme d'État polonais, président de la République de 1990 à 1995.

 

Les dessous des cartes du conflit Russie-Ukraine

Le vrai adversaire des États-Unis n'est pas la Fédération de Russie. Ce sont ses soi-disant alliés européens ! La véritable guerre, cachée derrière la crise ukrainienne créée par les États-Unis, vise en effet à détruire l’avantage manufacturier de l’Europe par rapport aux États-Unis. Mais comme souvent dans les parties de poker menteur, ce jeu manipulatoire risque de profiter à un tiers, la Chine et d’autres économies asiatiques. C'est pourquoi il convient de ne pas chercher très loin le sabotage fin septembre 2022 du gazoduc Nord Stream II destiné à acheminer du gaz naturel russe en Allemagne sans traverser le territoire d’autres pays, à même d'assurer à l’industrie allemande sa survie*. Le sabotage a pour objectif d'en rendre la réouverture impossible. Qui y a intérêt ? L'ours présenté comme le méchant pour se venger des sanctions occidentales imposées pour l’invasion illégale de l’Ukraine, ou l'aigle prédateur soi-disant gentil...

L’endommagement simultané sous la mer de trois lignes offshore au total du réseau de gazoducs Nord Stream n’est évidemment pas un accident. C'était une attaque ciblée. Elle s'inscrit dans la continuité de la présence dans la plupart des pays européens des bases militaires américaines, remplies de troupes impériales américaines. Ces troupes ne sont pas destinées à "défendre" les alliés européens contre une prétendue "menace" russe. Elles servent à soutenir des régimes contre leur propre peuple. Ces régimes sont simplement des colonies vassales de l’empire américain, dans l'incapacité d’agir et de défendre leurs propres intérêts.

* Les trois lignes offshore du réseau de gazoducs Nord Stream ont subi des dommages, la fuite de gaz du Nord Stream 2 ayant été suivie d’une chute de pression sur Nord Stream 1. Après enquête, la Russie a accusé le Royaume-Uni d’avoir "coordonné" le sabotage, les conclusions de l'investigation menée de son côté par la Norvège n'ayant pas été communiquées... et pour cause, compte-tenu de l'implication de forces militaires du Mossad (Israël), d'Allemagne et de Pologne.

 

Au-delà de l’émotion parfaitement compréhensible face aux images forcément douloureuses d'une situation humanitaire difficile liée à la guerre en Ukraine, il convient de sortir de ce "pathos" ambiant qui empêche de réfléchir et de saisir un tableau d’ensemble nettement plus complexe. Ce qui se cache derrière ce conflit est une immense négociation entre les Etats-Unis, l’Europe, la Russie et la Chine pour le partage du monde, sorte de nouveau Yalta* que demandent le leader russe Poutine et Xi Jinping le leader chinois.

Comme à ce jour les Etats-Unis ne veulent rien accorder à l’axe Sino-Russe, et que celui-ci ne veut en aucune façon adhérer au nouvel ordre mondial de "Davos", la montée des tensions va se poursuivre, le conflit ukrainien ne constituant qu'une étape de cette nouvelle cartographie géopolitique. C'est ainsi que la Russie n'a pas hésité à bombarder une base proche de la frontière polonaise servant de camp d’entraînement pour les "mercenaires" venus soutenir  l’Ukraine, et de point de livraison des armes envoyées par l’Otan à l’armée ukrainienne et qui font tant de dégâts dans les colonnes de chars russes. De son côté, l'Iran a bombardé avec 12 missiles balistiques une base américaine en Irak du côté d’Erbil, une base où s’entraîneraient des agents du Mossad israéliens.

Le soutien actif affiché de la Chine à la Russie, tout comme le fait que seul un huitième environ du monde a sanctionné la Russie (États-Unis, Royaume-Uni, Europe occidentale, etc.)*², augure bel et bien d'un virage dans le rapport de forces entre grands et puissants de ce monde, autrement dit entre l’Est et l’Ouest, notamment la primauté du "roi Dollar", l'Europe et ses 27 Etats membres incapables de s’entendre n'apparaissant que comme une partie du gâteau sinon festin des trois mastodontes.

La conférence de Yalta est une réunion des principaux responsables de l'Union soviétique (Joseph Staline), du Royaume-Uni (Winston Churchill) et des États-Unis (Franklin D. Roosevelt) qui s'est tenue en février 1945 en Crimée. Ses buts étaient d'adopter une stratégie commune afin de hâter la fin de la Seconde Guerre mondiale, de régler le sort de l’Europe après la défaite du Troisième Reich, et de garantir la stabilité du nouvel ordre mondial après la victoire.

Les deux plus grandes nations du monde, l'Inde et la Chine, sont heureuses de commercer avec la Russie et d’acheter l’abondantes ressource minérale et énergétique, tout comme la Turquie et la plupart des pays du Moyen-Orient, d’Asie et d’Afrique.

 

La famine, sculptures à Dublin de Rowan Gillespie, commémorant les victimes de la grande famine en Irlande - Cliquer pour agrandir
La famine, sculptures à Dublin de Rowan Gillespie, commémorant les victimes de la grande famine en Irlande - Cliquer pour agrandir

Prochaine étape, l'arrivée imminente d'une pénurie alimentaire mondiale, avec son lot de violences et d'émeutes, tout particulièrement à l’encontre des employés des épiceries et des commerces de détail (ou magasins de proximité). En effet, environ 40 à 45 pour cent de la production en Ukraine ont été diminués en 2022 et 2023 en raison de la guerre et de la rareté des approvisionnements qui entrent dans la saison de plantation, alors même que l’Ukraine soutient environ 400 millions de personnes dans le monde avec ses produits alimentaires. En conséquence, des dizaines de millions de personnes, dont des millions d’enfants, seront amenés à mourir de faim*. C'est ainsi que Le Programme alimentaire mondial (PAM), l'organisme d'aide alimentaire de l'ONU et de son agence spécialisée pour l’alimentation et l’agriculture la FAO, qui est la plus grande agence humanitaire, estime que 285 millions de personnes sont menacées de famine, l'OCDE, l’Organisation de coopération et de développement, ayant de son côté publié fin juin 2022 un rapport alarmiste de 403 pages sur les perspectives agricoles des dix prochaines années et l'aggravation des problèmes de sécurité alimentaire dans le monde sans le retour rapide de la paix en Ukraine.

* Les pays les plus exposés sont la Somalie, ce pays obtenant normalement plus de 90 % de son blé de la Russie ou de l’Ukraine, ainsi que dans la Corne de l’Afrique qui voit 13 millions de personnes déjà souffrir de la faim comme en Éthiopie (elle importe environ 40 % de son blé de Russie et d’Ukraine) et au Kenya (30 %), sans oublier que pendant ce temps la crise alimentaire au Yémen continue de s’aggraver. Quant à l'Afghanistan, la prise de pouvoir des talibans a laissé 95 % des Afghans sans nourriture suffisante, situation exacerbée par un hiver inhabituellement froid et la pire sécheresse depuis des décennies.

 

De la pénurie alimentaire

Si l’effondrement de la chaîne d’approvisionnement a débuté avant la guerre en Ukraine, celle-ci en fait n’a fait qu’intensifier les problèmes, expliquant que la crise alimentaire mondiale va perdurer. Les plantations ont en effet été dans l'hémisphère nord très inférieures à la normale en 2022, soit en raison d’un manque d’engrais, soit en raison des coûts beaucoup plus élevés des engrais, les agriculteurs ayant simplement choisi de planter moins. Cette pénurie prévisible s’ajoute aux pénuries beaucoup plus importantes, dues au fait que la production russe est sanctionnée et que la production ukrainienne est inexistante du fait de la guerre. Or, la Russie et l’Ukraine produisent ensemble 29% des exportations mondiales de blé. Et si les Etats-Unis, la France ou encore l’Australie cultivent beaucoup de blé, ces Etats en consomment la majeure partie eux-mêmes, exportant relativement peu. Ils ne se contentent pas de le consommer, mais le donnent aussi à leurs animaux de ferme. 

De nombreux pays obtiennent 70 à 100% de leurs céréales de la Russie, de l’Ukraine ou des deux. Le Liban en reçoit 100%. L’Égypte en reçoit plus de 70%. Le Kenya, le Soudan, la Somalie, de nombreux pays d’Afrique centrale, la Jordanie et d’autres pays du Moyen-Orient reçoivent également une grande partie de leurs céréales de Russie ou d’Ukraine. En se projetant en octobre, novembre et décembre de cette année 2022, ces pays ne seront pas en mesure de s’approvisionner en céréales. Il n’y en aura tout simplement pas. La population combinée des pays est de 700 millions de personnes, soit 10% de la population mondiale. Il s’agit donc d’une famine de masse à venir, imminente, d’une crise humanitaire sans précédent, probablement la pire depuis la peste noire du XIVe siècle. A cet état des lieux se rajoute la destruction de grands centres de distribution alimentaire en Occident, notamment aux Etats-Unis* ou au Canada, réalisée de manière délibérée par des éléments du "gouvernement secret"... Il en est de même avec le déraillement de trains transportant des matières dangereuses se répandant dans l'environnement (faune et végétaux affectés), comme à l'extérieur de Detroit dans le canton de Van Buren (Michigan) en février 2023, qui a suivi de quelques jours celui ô combien plus catastrophique de East Palestine dans l'Ohio, ayant libéré des produits chimiques dans l'air et causant des problèmes de santé aux personnes se trouvant à proximité du déraillement.

Nous pourrions alors tendre vers un nouvel printemps arabe, celui-là même qui avait débuté en 2010 en Tunisie avant de se propager très rapidement. Il avait été déclenché par une crise alimentaire, une pénurie de blé... Nous pourrions également assister à des vagues de migration massive en provenance d’Afrique et du Moyen-Orient, les personnes désespérées et affamées fuyant leur pays, ce qui poserait d’énormes problèmes à l’Europe. Et les Etats-Unis pourraient également connaître une nouvelle vague de migration à leur frontière sud, qui est actuellement inondée de migrants. Une crise alimentaire mondiale pourrait faire exploser les chiffres dans des proportions incontrôlables.

Et nous ne sommes pas préparés à y faire face...

* Cf. usine de transformation de légumes et de noix à Dufur, comté de Wasco dans l’Oregon, qui a été la proie des flammes pour des raisons inconnues (elle appartenait à un distributeur indépendant d’aliments naturels, biologiques et sans OGM) ; incendie massif  qui a ravagé une usine de transformation de viande à Conway, dans le New Hampshire ; gigantesque incendie dans l’usine de transformation Taylor Farms à Salinas en Californie ; incendie massif qui a ravagé un centre de distribution Walmart à Plainfield dans l’Indiana ; l’une des plus grandes installations alimentaires à San Juan dans le sud du Texas a pris feu et a été réduite en cendres.

 

Une pénurie annoncée dans l'agenda "secret" mondialiste

La fondation mondialiste Rockefeller parlait de "réinitialiser" l’approvisionnement alimentaire mondial depuis des années, bien avant que Vladimir Poutine ne décide de lancer son "opération spéciale" en Ukraine. Ainsi le 28 juillet 2020, la Fondation Rockefeller avait publié un document intitulé

Reset the Table : Meeting the Moment to Transform the U.S. Food System ("Réinitialiser la table : saisir le moment pour transformer le système alimentaire américain") qui mettait en garde contre le coronavirus de Wuhan (Covid-19) censé provoquer "une crise de la faim et de la nutrition" à l’avenir et une crise "sans précédent dans ce pays depuis des générations" en faisant référence aux États-Unis. Et "Reset the Table" a été publié juste un mois après que le Forum économique mondial (WEF) ait officiellement annoncé ses plans pour une "Grande Réinitialisation", beaucoup des contributeurs au document de la Fondation étant des membres du WEF...

Il est intéressant de noter que l’avant-propos de "Reset the Table" indique ouvertement qu’il s’agit d’un "livre de jeu complet" pour la future architecture de l’ordre mondial, précisant en outre que "chacun d’entre nous" devra se conformer à ses diktats. Le livre parle également de la "révolution verte", un projet en Afrique qui semble avoir été un essai pour ce qui est maintenant prévu pour le monde entier, en l'occurrence l’importance excessive accordée aux céréales de base au détriment d’aliments plus riches en nutriments, la dépendance aux engrais chimiques qui épuisent le sol, et la surutilisation de l’eau. Si en apparence ce document est comme un signe de bon sens, il n’est en réalité qu’un autre rouage destiné à écraser les peuples.

 

Méthode d'organisation de la famine dans l'Union européenne

Depuis quelques temps, l’approvisionnement alimentaire de l’Europe fait l’objet d’une attaque directe par le biais de multiples programmes qui semblent conçus pour mettre fin à une alimentation abordable, et ce au moment même où l’électricité devient fin 2022 inabordable pour les entreprises et les ménages résidentiels. C'est ainsi que l’utilisation d’engrais à base de nitrates a été fortement restreinte pour de vastes étendues de terres agricoles en Rhénanie-du-Nord-Westphalie par les bureaucrates de l’UE, ceux-ci faisant la guerre à l’azote, l’élément essentiel qui compose près de 80 % de l’atmosphère terrestre et qui est indispensable à la production agricole car produisant les aliments qui nourrissent environ 4 milliards de personnes sur la planète Terre (source : OurWorldInData.org). Autrement dit, sans les engrais azotés, la moitié de la population mondiale actuelle mourrait littéralement de faim. Et comme pour tous les programmes de ce type, le gouvernement exigera bientôt d’autres réductions (c'est déjà le cas aux Pays-Bas*), pour terminer par interdire ces engrais quasiment dans tous les pays de l’UE.

Il n'est qu'à voir pour en mesurer les conséquences la situation du Sri Lanka, qui après avoir tenté d’interdire en 2021 l’importation d’engrais azotés, a connu un effondrement catastrophique de l’économie, du gouvernement, des transports, des finances et de l’État de droit du pays. La production de riz a chuté de 20 %, les prix ont augmenté de 50 %, et la nation a dû importer pour 450 millions de dollars de cette céréale. Les soulèvements de masse se sont alors généralisés tandis que la nourriture des fermes pourrissait dans les champs en raison du manque de carburant et de moyens de transport opérationnels. Même les trains ont été mis hors service.

Comment ne pas penser que les bureaucrates de l’UE étaient manifestement conscients de cela ? Pourtant, ils ont en quelque sorte conclu que c’était le modèle parfait pour ce qu’ils prévoient de faire à l’Europe : une famine artificielle suivie d’un effondrement de la société.

De son côté, au Pays de Galles, de l’est à l’ouest de Cardiff, la pénurie de nourriture et d’énergie a atteint des points de basculement alarmants, en particulier chez les pauvres, qui pour survivre mangent littéralement de la nourriture pour animaux et chauffent ces repas à la bougie.

Cette situation ne rappelle-t-elle pas la tyrannie sous Mao et Staline qui a conduit à ce que des millions de personnes meurent de faim.

* L’État néerlandais a annoncé son intention de saisir quelque 3 000 exploitations agricoles privées en les obligeant à vendre leurs terres à l’État, puis à les fermer, estimant qu’au total quelques 11 200 exploitations devront fermer leurs portes pour atteindre les nouveaux objectifs climatiques, et que 17 600 autres exploitations devront réduire considérablement leur cheptel.

 

Logique et illogique de l’escalade.

En quelques jours de conflit armé entre la Russie et l'Ukraine, deux pays disposant d’armes de destruction massive, l'escalade s'est traduite par les éléments suivants :

. Les Russes ont mis en œuvre le "pire cauchemar" des Ukrainiens, l’invasion de tout son territoire, et pas uniquement les républiques séparatistes de l’est ;

. Puis les Occidentaux ont réagi bien plus fortement qu’on ne s’y attendait, avec des sanctions économiques absolument massives, à même de conduire à la famine une grande partie du peuple russe ;

. L’Allemagne elle-même a annoncé reconstituer son armée pour la première fois depuis 1945, la Suisse abandonnant de son côté sa sacro-sainte neutralité ;

. Vladimir Poutine a menacé de dégainer ses missiles nucléaires, sachant que la Russie a le plus gros arsenal du monde, avec largement de quoi faire sauter la planète plusieurs fois.

Pourtant, de 988 (baptême de Saint-Vladimir avec ses troupes dans les eaux du Dniepr à Kiev, berceau de la "Sainte Russie") à 1992, soit plus de mille ans, il s’est agi du même peuple, avec la même langue originaire - le vieux slavon -, la même ethnie - les slaves -, le même territoire, la même religion - l’orthodoxie -, les mêmes dirigeants - les Grands Ducs de Kiev, puis les Tsars, puis les Bolcheviks -, les mêmes capitales (Moscou et Saint-Petersbourg)...

Si nul ne sait faire avec certitude la différence entre la langue russe et l’Ukrainien, qui peut prétendre avec certitude dire lequel des deux dirigeants concernés, Vladimir Poutine et Volodymyr Zelensky est le mieux intentionné comme le moins corrompu ? Qui sait, de source sûre, qui persécute qui, en Ukraine ? Pourquoi les Russes, qui ont la plus grosse artillerie du monde, les pires missiles hyperbariques, hypersoniques, et des milliers de chars et d’avion, ne rasent-ils pas l’Ukraine, alors qu’ils pourraient le faire en quelques minutes ? Pourquoi parle-t-on de pire guerre depuis la Seconde Guerre mondiale, alors que ni les Russes, ni les Ukrainiens, ne donnent de chiffres si ce n'est dénaturés sur le nombre de morts, et que les observateurs sur place citent des violences isolées ? Pourquoi les journalistes censés objectifs ont-ils parlé des Russes qui déployaient des "fours crématoires mobiles" pour faire disparaître leurs morts, alors qu’il s’agissait d’images d’incinérateurs à ordure datant de 2013 ? Que vont devenir les kalachnikovs et autres armes de poing ou à distance tels le FIM-92 Stinger (lance-missile sol-air américain à courte portée utilisé pour atteindre les hélicoptères ou les avions de combat à basse altitude) distribuées au premier venu par le gouvernement ukrainien, sous prétexte d’organiser la résistance ? Qui peut nous garantir que ceux qui les prennent vont s’en servir à bon escient, et non les revendre instantanément à des réseaux qui se chargeront de les écouler ailleurs sur le sol européen ?

Y a-t-il un dirigeant occidental qui pourrait essayer de prendre tout cela en considération, qui pourrait réaliser que nous ne comprenons rien à ces histoires, et que le plus prudent serait de les laisser se débrouiller ensemble ? Ce n'est pourtant pas le cas. Ils ne sont tout simplement pas humains, hormis les apparences. Car la réalité, pendant plusieurs mois après l’entrée des troupes russes en Ukraine et le lancement de ce que Vladimir Poutine appellait à l'origine "opération militaire spéciale", est loin de ce que les journalistes occidentaux n'ont eu de cesse d'annoncer quotidiennement, à savoir la déroute du Kremlin sur le théâtre de guerre. Depuis, la manœuvre militaire de la Russie a franchi un nouveau cap, avec d’autres hommes mais aussi d’autres méthodes et d’autres armes. Ce tournant a été perceptible d'abord dans les opérations d’évacuation de la capitale administrative éponyme de l'oblast de Kherson et dans les cibles des drones kamikazes ou munitions rodeuses au cœur des grandes villes du pays comme la capitale Kiev, puis par l'échec de la contre-offensive ukrainienne du printemps et de l'été 2023. De quoi obscurcir l’issue d’un conflit dans lequel Vladimir Poutine ne peut échouer, au contraire d'Européens qui auront eu tout à perdre, sur les plans militaire, économique et idéologique, la décision inconséquente de l'ancien Premier ministre britannique Boris Johnson de faire échouer les négociations de paix au prétexte du prétendu "massacre de Bucha" qui s'est révélé être un canular, relevant pour son coût humain et ses conséquences d'un tribunal militaire !

 

De manière moins visible, il s'agit de la résistance de la Russie et de la Chine contre l’arrogance prédatrice de l’empire états-unien, en d'autres termes d'une guerre économique, culturelle, civilisationnelle pour la survie de l’Humanité visant à mettre un terme au transhumanisme, à la déculturation (notamment des valeurs chrétiennes) et à l’asservissement des peuples par la haute finance occidentale dont l'Union européenne est un rouage majeur. Quelle meilleure preuve que l’intégration de bataillons nazis dans la Garde nationale ukrainienne et le silence de l’Union Européenne par ses chiens de garde ?

Les nazis sont bel et bien le bras armé des prédateurs ! 

L’Amérique impériale n'est rien d'autre que le tyran militaire et économique du monde. Elle ne joue pas franc jeu, bombardant qui elle veut tout en utilisant le système SWIFT pour punir ses ennemis politiques. Maintenant que beaucoup de nations ont compris que le dollar est une arme plutôt qu’une monnaie de libre-échange, elles ne veulent plus avoir affaire à elle à partir de maintenant. Les sanctions économiques contre la Russie ont été la goutte d’eau qui a fait déborder le vase pour le dollar, entraînant les réponses de la Russie et de la Chine pour sortir de son carcan. Et les USA n’ont plus rien pour soutenir leur monnaie : ni l’industrie, ni la main-d’œuvre, ni la production agricole, ni même l’or dans les coffres. Les États-Unis n’ont plus d’élections libres et équitables, ni de liberté d’expression. Son autorité de santé, la FDA, prélève des organes sur des bébés humains avortés pour les utiliser dans des expériences médicales. En d’autres termes, le gouvernement illégitime d’occupation des États-Unis, sous influence démoniaque, est devenu un grand mal dans le monde. Et comme l'Europe occidentale qui lui est inféodée est dirigée par des fous psychopathes et des propagandistes qui commettent un suicide économique en interdisant toute forme d’énergie qui compte, l'UE est en train de se désintégrer, sa monnaie menaçant de s’effondrer dans les mois à venir. Il en est de même sur le plan culturel, les nations européennes ne pouvant même pas protéger leurs propres frontières contre l’immigration massive. Un véritable chaos de nature apocalyptique est ainsi inexorable, tel que prophétisé depuis l'aube des temps pour celui qui veut entendre !

* Cf. Prophétie du changement.

 

De l'effondrement civilisationnel occidental en cours

L’Europe de l’Ouest est confrontée à un "effondrement total" en raison d’une pénurie de produits catastrophique conjuguée à la hausse des prix des aliments, des engrais, de l’énergie et de l’industrie. De leur côté, les banques européennes sont confrontées à la possibilité de défaillances systémiques et de "bail-ins" (renflouement externe qui fait intervenir l’État ou la Banque centrale pour recapitaliser l’établissement), et ce en raison de l’exposition aux marchés de l’énergie et du désir des gouvernements d’Europe occidentale de continuer à imprimer de l’argent pour essayer de remédier à la pénurie d’énergie dévastatrice qui est désormais irréversible. Cette situation pourrait rejaillir sur les banques américaines - tout comme sur celles du Canada, de l’Australie et du Japon -, qui sont exposées aux économies européennes. Signe indien, la mort de la reine d'Angleterre Elizabeth II marque ainsi la mort de la civilisation occidentale qui ne peut survivre sans nourriture, sans énergie et sans argent.

Et il semble bel et bien que les dirigeants actuels mondialistes de l’Europe occidentale, après la mise en œuvre de l'arme bactériologique que sont les vaccins, apparaissent déterminés à détruire complètement leurs nations par ce niveau de dévastation économique sans précédent depuis la Seconde Guerre mondiale, signifiant de manière cynique que l'ère de l’abondance est révolue. Ceci provoquera une misère massive et des soulèvements de colère à travers le continent, combinés à une la famine et les décès dus à l’exposition au froid. La raison est entre autres la volonté d'"effacer de leurs livres" de compte et de dettes l'état de leur gestion passée, afin d'annuler toutes les obligations financières, à la fois envers les détenteurs de la dette du Trésor et les bénéficiaires des droits parmi leur propre peuple.

 

 

 

De nos jours, beaucoup de stratégies sont là pour nous endormir, nous conditionner et nous éloigner de la réalité telle qu'elle est, non telle qu'on nous la raconte : l’accumulation de problèmes par le flux incessant de l'information; les perturbations climatiques; la pédophilie et autres scandales sexuels; l’ennemi imaginaire et fantasmatique (ex. l’islam, le résistant-terroriste aujourd’hui hier le Juif, le communiste, l’indigène, etc…); une "Novlangue" inquisitrice de pseudo-intellectuels, qui stigmatise, diabolise (ex antisémite, négationniste, révisionniste, complotiste…) et disqualifie, par ses trolls et inféodés de plateaux audiovisuels ou d'éditoriaux écrits, tout esprit critique et de synthèse; la stimulation de nos plus bas instincts (sexuel, agressif et compétitif, besoin artificiel et éphémère…); une programmation des esprits par la suggestion hypnotique répétitive des médias; des crises planifiées purgeant le système de lui-même tel un phénix qui renait toujours de ses cendres; une violence structurelle et des attentats (ex. le 11 septembre 2001, Charlie Hebdo, le Bataclan...) instrumentalisés en vue de légitimer des réponses sécuritaires collées aux symptômes; la disparition de Traditions et de Droits; la légitimation des guerres (ex Irak, Afghanistan, Libye, Syrie…); des arrestations préventives musclées; une détention sans procès et sans limitation de durée d’étrangers susceptibles de représenter un danger pour le pays...

 

Dorénavant l’Esprit Traditionnel de l’Orient comme de l’Occident est menacé dans ses fondements par un "Esprit Moderne", qui à l'inverse de l'esprit traditionnel exprimant une riche diversité, consiste à formater et à stabiliser par la répétition l’être humain à tous niveaux : social, économique, intellectuel, sexuel, psychologique… Il découle de la "Raison Mathématique", celle qui a foi et voue un culte à un progrès infini*, qui veut nous "diviniser" dans toute sa froide raideur, nous décorporer, nous désincarner, vers une mort certaine, ou peut-être, vers une immortalité biotechnologique (génétique, nanotechnologie…), autrement dit vers une super-humanité mutante*².

De nos jours, le pseudo-Homme ne connait plus le sens du mot Responsabilité, envers les siens, envers lui-même, envers la planète… Mais est-elle seulement la sienne ? L’Esprit Moderne fait tout pour dissimuler notre vérité profonde et commune, pour que nous oubliions notre vrai nature divine et ondulatoire, pour que nous renoncions à l’immortalité d’une autre dimension, évolutive par notre changement de conscience. Aussi la question du choix à faire est alchimiquement ouverte, si nous parvenons enfin à penser librement par nous-même…

* Cf. Évolution de civilisation (3) Mythe de la modernité, risques et lois d'évolution naturelle.

Cf. Conscience du XXI° siècle.

 

 

 

La vraie thérapie, c'est à tout moment, en toutes conditions, et certainement pas guidée par quelqu'un que nous payons, mais par sa propre guidance supérieure qui place les expériences dont nous avons précisément besoin sur notre chemin.

 

 

Vous avez aimé cet article ? Alors partagez-le avec vos connaissances.