Les publications en ligne font l'objet de constantes mises à jour et nouveaux enrichissements.Il va de
soi qu'elles n'engagent que leur auteur dans le choix des sources et le fruit de ses imagination et réflexion.
Univers en partage
Les progrès technologiques dus à la puissance sans cesse croissante des machines nous enseignent sur l’unique raison d’être de l’Univers auquel nous appartenons, le partage. Peut-être que l’Homme
n’a rien trouvé de mieux que de le transcrire par la technologie pour nous obliger à regarder par miroir interposé ce que nous avons tant de mal à réaliser par notre conscience limitée, axée sur
la survie, l’affirmation de notre petit "moi" et la quête de pouvoir matérialiste, l’avoir. Tout l’état actuel de notre fragilité biologique.
Aussi, plutôt que de regarder ce monde techno comme une menace, considérons-le comme une osmose à venir, nous permettant d’accéder à des facultés psychiques nouvelles, qualités mentales au
service d’un vécu d’humanité débarrassé des affres de la séparation, de la division, de l’accusation, du jugement et de la condamnation perpétuelles de l’autre, des autres.
Principe d’unification
globale
Univers, cosmos. Bien que ces deux mots soient synonymes, le cosmos fait plutôt référence à la création de l'univers, à la façon dont il est apparu. La discipline scientifique "cosmologie" a
ainsi pour objet l'étude de l'univers au sens large et de sa création, entendant d'autres mondes dans d'autres univers que ceux qui nous sont familiers. Cosmos en latin signifie "monde", emprunté
au grec ancien kósmos qui signifie "ordre, bon ordre, ordre rythmé, parure", et plus particulièrement pour les pythagoriciens "ordre de l’univers".
De la théorie du Big Bang
La science matérialiste émet des hypothèses sur la façon dont l’univers a été créé, en aucune façon des certitudes. Actuellement, la théorie du Big Bang est la
manière la plus populaire d’imaginer comment un univers plein de vie a pu émerger du néant. Sa limite est celle de la Conscience, celle que chacun a dans son for intérieur, liée à son ouverture
au grand champ informationnel constitutif de l'Univers dans toutes ses dimensions pour la plupart impénétrables en l'état. Autrement dit, la conscience
omniprésente du Créateur de l’univers, Ce Qui Est, et des principes fondamentaux de sa Loi de la Création. Et comme enseigné dans nombre de Traditions
ésotériques, la création se produit lorsque la pensée - ou l'intention - et le sentiment - l'énergie d'amour - divins sont mis en mouvement de manière complémentaire.
Leurs versions physiques denses sont l’électricité et le magnétisme. Quel que soit le paradigme retenu, scientifique ou métaphysique,
ces énergies créatives fonctionnent selon des axes différents, perpendiculaires à quatre-vingt-dix degrés et non parallèles les unes aux autres.
Ainsi, en mettant en mouvement les énergies de l’électricité et du magnétisme à la bonne fréquence, nous produisons de la lumière visible. C'est de
cette manière que la séparation de la conscience divine en deux éléments différents, la pensée et le sentiment ou le yang et le yin, puis leur mise en
mouvement, ont rendu possible une variété infinie d’expériences. Parmi elles, le concept d’espace; les couches de densité de
l’existence ou domaines d’existence (chacune plus comprimée que celle qui la précède, la couche la moins dense et
la plus expansive abritant des champs de conscience de la taille d’une galaxie; l’invention du temps, les galaxies
pouvant voyager à l’intérieur de l’enveloppe de l’espace dans des cycles de temps, et chaque instant du temps n’étant qu’une autre expression de l’unique
grand Maintenant (il paraît différent dans la mesure où chaque instant possède sa propre signature de fréquence, ce qui fait que chaque moment semble différent du précédent).
Il en résulte que notre monde physique de 3-D a été créé dans une densité non physique avant d'être comprimé jusqu’à l’existence. Aucun Big Bang n’a été nécessaire.
Nous vivons dans un monde qui pour la science classique comprend deux niveaux de réalité physique.
Le premier niveau est celui d'un monde physique dense, la matière, formé d'atomes et de molécules électriquement chargés, c'est-à-dire à double polarité positive (+) négative (-). Il représente
environ 4 % de l'univers. Sa nature est constituée de trois états, qui forment ses principales nuances :
. la matière positive ou l'état gazeux ;
. la matière négative ou l'état solide ;
. la matière équilibrée ou l'état liquide.
Un quatrième état, le plasma, constitue son champ d'expression. Mélange d'ions positifs et négatifs constitutif du champ magnétique dense, il est l'état dominant à plus de 99 % de la matière
visible, porte d'entrée aux atomes ultimes.
Les fondements de notre monde matériel appartiennent au champ de la physique particulaire, les atomes n'étant pas des choses comme le soulignait le physicien allemand Werner Heisenberg (1901/1976
- photo 1) à travers son principe d'incertitude.
Le second niveau est celui d'un monde invisible, la matière "noire" des astrophysiciens classiques, formé d'énergie (l'éther lumineux pour les anciens ou l'âkâsha pour les hindouistes*)
à partir d'ondes magnétiques porteuses d'informations sous forme d'une grande diversité de particules "virtuelles" électriquement chargées, voyageant plus vite que la lumière et situées de ce
fait en dehors de l'espace-temps classique limité à notre système solaire. Il constituerait environ 96 % de l'univers, en permettant le mouvement. C'est de celui-ci que le physicien britannique
Isaac Newton*² (1643/1727 - image 2) a tiré au XVIII° siècle les lois et principes du fonctionnement de l'univers, en reliant les découvertes successives de Nicolas Copernic (la Terre tourne
autour du Soleil), de Galilée (la vitesse de chute des objets est proportionnelle à leur densité) et Johannes Kepler (calcul des lois du mouvement des planètes). L’énergie ne serait donc pas à la
base de nature physique, mais une onde vibratoire de taux variable qui entraîne des perceptions de différente nature (visuelle, sonore, tactile, olfactive).
C'est cet univers que près de cinq siècles avant J.-C., Leucippe, précepteur du philosophe grec Démocrite (460/370 av. J.-C.), décrivait, expliquant que l'Espace était éternellement rempli
d'atomes animés d'un mouvement incessant, lequel, en temps voulu, lorsque ces atomes s'agrégèrent, engendra un mouvement rotatoire par des collisions mutuelles qui produisirent des mouvements
latéraux. Plus tard, le philosophe grec Epicure et le poète latin Lucrèce enseignèrent la même doctrine, ajoutant seulement au mouvement latéral des atomes l'idée de leur affinité.
* On l’a également appelé le son originel Om, les "perles du collier d’Indra", l’harmonie des sphères. Les professeurs anciens enseignaient le "Nada Brahma"
(l’univers est vibration).
*² Dans son œuvre majeure Philosophiæ Naturalis Principia Mathematica publiée en 1687, Isaac Newton établit le début de la mathématisation de la physique en y
exposant le principe d’inertie, la proportionnalité des forces et des accélérations, l’égalité de l’action et de la réaction, les lois du choc, le mouvement des fluides et des marées... et la
théorie de la gravitation et de l'attraction universelle. Voir également William Stukeley, Memoirs of Sir Isaac Newton's life (1752).
La théorie actuelle de la physique des particules s’appelle le modèle standard. Selon ce modèle, tout ce qui existe dans l’univers est constitué d’une famille de 17 particules – des particules
bien connues comme l’électron et le boson de Higgs – ainsi que le quark charmant, le neutrino tau et le gluon, moins connus mais merveilleusement nommés. Toutefois, certains physiciens
soupçonnent depuis longtemps que de mystérieuses particules "fantômes" présentes dans le monde qui nous entoure pourraient grandement faire progresser notre compréhension de la véritable nature
de l’Univers. A cet effet, le Cern (Centre européen de recherche sur les particules), a approuvé une expérience destinée à les mettre en évidence grâce à son grand collisionneur de hadrons (LHC)
et un nouvel instrument mille fois plus sensible à ces particules que les dispositifs précédents en écrasant les particules contre une surface dure pour les détecter et non les unes contre les
autres comme actuellement.
Matière noire (la pénombre) : 23 %
Énergie en cours de formation (stade latent)
Matière (le visible) : 4 %
Énergie solidifiée (stade réalisé)
Énergie noire (l'ombre) : 73 %
Énergie potentielle
Il s'agit d'un monde en fait multidimensionnel. La physique quantique a ainsi prouvé que la matière n'est pas composée d'atomes et d'électrons, comme ne l'admettent toujours pas les chercheurs de
la physique classique ou conventionnelle. Basée sur les recherches des anciens scientifiques d'il y a des milliers d'années, elle reprend leurs travaux qui sous entendaient que sur le plan
atomique, il n'existe pas de petites sphères. Les quarks - particules élémentaires sensibles à l'interaction forte - seraient ainsi de minuscules trous noirs, mus sur le plan rotatif par un spin.
Ces multitudes de trous noirs sont des communications instantanées entre différents univers, signifiant que nous ne sommes pas séparés du soleil, ni séparés du cœur du noyau de la terre. Nous
sommes intimement reliés, sans aucune perte de temps à travers nos émotions, à travers notre conscience, avec l'Êtreté, la présence que nous avons toujours ressenti à travers "notre présent".
Par l'effet de symétrie propre à toute architecture matricielle, les trous noir géants sont le reflet - et inversement - des minis trous qui composent nos propres corps, soit ces mêmes particules
nucléaires nommées quarks. Ils révèlent ainsi que le corps humain a des connexions directes avec le "Cristal" unique et invisible, aux énergies bien supérieures à celles observées. Il a
d'ailleurs été reconnu en 1936 que la terre possède en son centre un noyau cristallin solide, nommé le "petit soleil" *, ceci à cause de la pression phénoménale qui régnerait au centre de la
planète. Le Cristal est la Vie, l'Intelligence Cosmique qui descend des énergies les plus élevées.
*Beaucoup de penseurs y ont fait référence dans leurs œuvres respectives, tels Goethe, Rudolph Steiner, Dante Alighieri, tout comme beaucoup de peintres qui
l'on peint. Les anciens Grecs en avaient parlé, disant que le monde des morts se trouvaient sous la surface de la terre et que nous ne pouvions pas le voir parce que nous n'utilisions que nos
sens physiques et notre conscience rationnelle.
Cette vision multidimensionnelle du monde astrophysique établit une nécessaire unification des forces constitutives. Ainsi les trous noirs répondent à une distribution de nature fractale : ils
sont répartis depuis l’infiniment petit (la distance dite de Planck) jusqu’à l’échelle cosmologique, l’univers, qui est lui-même un trou noir. Par le principe de symétrie, les galaxies et les
étoiles contiennent toutes un trou noir en leur centre.
La matière appelée noire n’existe pas en tant que telle. C’est une commodité de langage inventée par la communauté scientifique par déficience d’explication. Les 96 % de matière manquante de
l’Univers s’expliquent par l’incomplétude des équations d’Einstein, qui ne prennent pas en compte la torsion de l’espace-temps. Quant aux quatre interactions fondamentales - gravité,
électromagnétisme, forces nucléaires faible et forte -, elles ne sont en réalité que deux. En effet, les interactions nucléaires forte et faible n’ont été inventées que pour convenir de la
non-prise en compte de la distribution fractale des trous noirs, qui suffit à assurer les cohésions que devaient prendre en charge les interactions nucléaires.
Aussi, dans l'univers, la matière manquante n'est pas réellement manquante. Elle existe soit dans notre futur, soit dans notre passé, c'est à dire compte-tenu de l'absence de temps linéaire
(passé présent futur) dans le temps suspendu, autrement dit dans le tunnel entre les deux extrémités d'un trou noir (représentant l'anti-matière). L'accélération de l’expansion trouve son pendant
dans l’effondrement du vide sur lui-même, conformément à la loi fondamentale de la physique Action-Réaction.
Le lien énergétique
Chaque particule, chaque cellule dans tout espace communiquent entre elles. Nous sommes donc tous reliés, et le lien se fait avec ces multitudes et minuscules trous noirs. Chaque noyau
atomique est instantanément relié à tous les autres noyaux atomiques dans l'univers. Chaque atome possède de ce fait la même force atomique qui les relie entre eux. Ils peuvent engendrer leur
transformation au moyen des deux forces nucléaires, la force nucléaire faible et la force nucléaire forte, qui peuvent interférer entre elles. La première, le nucléaire destructeur des bombes
atomiques, de Tchernobyl et Fukushima, représente la force nucléaire utilisée à bon ou mauvais escient. Nous savons comment elle se comporte, pouvant calculer et prévoir sa durée d'action.
L'autre, la faible, ne peut être quantifiée ni mesurée en durée ni en comportement. Si elle est appelée faible à cause de l'impossibilité d'être quantifiée par la technologie, elle est en réalité
beaucoup plus rapide que l'énergie nucléaire forte, donc indétectable par notre technologie. Nous savons simplement que nos cellules, nos molécules organiques, sont capables de traduire et
ressentir cette force faible et rapide sous la forme de l'Éros, de la sensibilité, de l'amour, des émotions.
Il convient cependant de préciser que le mot "Énergie" n’a absolument pas le même sens chez les scientifiques académiques et chez les métaphysiciens, pour lesquels l’énergie est un terme employé
faute de vocable adapté pour parler de la nature invisible de l’univers, celle sur laquelle et avec laquelle nous agissons, comme par exemple dans n’importe quelle thérapie énergéticienne. En
science, lorsqu’un phénomène entraîne un autre phénomène, l’intensité du second phénomène dépend de l’intensité du premier. Aussi l’énergie correspond à cette force qui se conserve et se
transforme en passant d’un phénomène à un autre*. Et partant de là, c’est applicable pour tout dans l’univers.
* Ainsi une pierre qui tombe d'une hauteur va gagner en vitesse à mesure de sa chute, en fonction de sa masse et du phénomène de gravitation. Quand la pierre
touchera le sol, toute cette énergie accumulée sous forme de vitesse se propagera sur le sol, entraînant une déformation à la fois de la pierre et une déformation du sol, qui se caractérisera
notamment par une transformation sous forme de chaleur et potentiellement de rupture. Dans cet exemple, c’est ce que l’on appelle l’énergie cinétique. Selon l’application de cette force et donc
de cette énergie, on pourra la transformer en chaleur, en électricité, en mouvement ou en n’importe quoi d’autre.
Du champ énergétique vibratoire
Le champ vibratoire est à la source de toute véritable expérience spirituelle et de toute recherche scientifique. Il s’agit du même champ ésotérique que des saints,
des bouddhas, des yogis, des mystiques, des prêtres, des chamanes, des prophètes ont observé par introspection. Bon nombre d’imminents penseurs scientifiques de l’histoire tels que Pythagore,
Keppler, Léonard de Vinci, Tesla et Einstein, approchèrent le seuil du mystère. Dans la société moderne occidentale, la majeure partie de l’humanité a perdu la sagesse ancienne, s'étant égarée
dans le domaine de la pensée dominée par le mental, l'intellect, soit ce qui est perçu comme le monde extérieur de la forme. L'être humain a perdu son lien vers les mondes intérieurs. Cet
équilibre, appelé "la voie moyenne" par le Bouddha et "le juste milieu" par Aristote, est pourtant le droit de naissance de chaque être humain.
Aussi loin que l'on puisse remonter dans le temps, l’énergie sur terre a été symbolisée dans toutes les civilisations, de l'Orient à l'Occident, par les figures du
Serpent et du Dragon dans les anciens cultes dédiés à la "Terre Mère", et que l’on observe également sur les chapiteaux et les porches de nos églises romanes, ou encore dans les enluminures des
manuscrits du Moyen Age. À ce Dragon, nous disent les anciennes légendes, on offrait des sacrifices, parfois humains, sous la forme le plus souvent d'une vierge. Venait alors le Chevalier, le
Héros, le Saint ou la Sainte qui, soumettant le Dragon, la délivrait. C'est l'image de l'Unité originelle perdue, la Femme représentant la juste réceptivité, le Dragon l'énergie vitale qui, tous
deux, sont nécessaires au Héros pour qu'il puisse accéder à la connaissance véritable. La légende de saint Georges est le modèle de beaucoup d'autres : il soumet le dragon et délivre la fille du
roi de Lydie qu'il tenait prisonnière.
C’est à cette énergie que l’on imputait la crue des fleuves, les tremblements de terre, les éruptions volcaniques, les forces terrifiantes de l'érosion qui
sculptent les paysages, les sources que l'on disait guérisseuses, et bien sûr tout ce qui fournissait aux êtres humains les moyens de leur subsistance. Elle a été également personnalisée par
Gargantua et tous les géants mythiques (Goliath, Atlas, Atlan, Theitani devenu Titan, Kokabiel, Azazel).
La Tradition de sagesse enseigne qu’en parcourant la Terre, l’énergie aspire à rejoindre son complémentaire, c'est-à-dire l'énergie du cosmos. Tout ce qui vit entre
Terre et Ciel est ainsi voué à ces deux formes d'énergies, et l'Homme en est le pivot, le lien qui les rassemble et les unit en lui. Il ne peut être "fécondé" par l’Esprit universel que s’il
garde ses racines, c’est-à-dire les pieds sur terre. Toutefois cela lui est fort difficile, car au-delà de son ignorance, les énergies de la Terre sont chaotiques, pouvant détruire celui qui n'en
a pas la maîtrise. De là découlent les maladies du corps physique comme du corps social, la collectivité. C'est cette maîtrise qu'imagent les multiples saints représentés avec les pieds sur le
dragon comme saint Michel, sainte Marguerite (Lucéram, Alpes-Maritimes), sainte Marthe (Tarascon), sainte Radegonde et saint Hilaire (Poitiers), saint Front (Périgueux).
Dans le fonctionnement physique de l’Univers, rien n’est fixe. Aussi le mouvement ne peut-être que la conséquence de causes préalables. Cela présuppose l'existence
de lois assurant l'harmonie du fonctionnement global. Celui-ci est issu d’un point fixe "zéro"* ou vide (en fait qui contient Tout), celui de l’immuabilité absolue, et de l’impulsion donnée – le
fait créateur - pour que la Vie se manifeste. À ce titre il est une imperfection qui se déplace vers cette inaccessible ligne d'horizon qu'est la Perfection immuable absolue. Ce sont les
différentes polarités magnétiques (l’énergie) de ce qui se manifeste qui interagissent et créent les déséquilibres générateurs de mouvements. Un mouvement n’est possible qu'à la condition que des
lois, des principes, lui offrent un champ du possible avec des limites et des caractéristiques propres, sinon il en découlerait le chaos. Admirable paradoxe, l'homme construit des objets, mais
c'est le vide qui leur donne sens.
C'est ce qui manque qui donne la raison d'être.
* Le zéro est indispensable à toutes les mesures et calculs, tout particulièrement pour théoriser les nombres négatifs. Il est la base de l’approche
scientifique, mathématique et technique. Il fut inventé en Inde au V° siècle de notre ère, reposant sur sa vision philosophique du monde, soit les quatre éléments constitutifs de la matière
(terre, air, feu, eau) et d’un cinquième immatériel nommé éther, recouvrant l’idée d’un univers incréé, soit le vide comme entité à part entière. En Occident pendant longtemps il fut rejeté,
l’Église le voyant comme une invention satanique…
Pour autant, l’interconnexion n’a jamais été démontrée scientifiquement, même si deux particules liées l’une à l’autre peuvent s’attirer davantage à mesure qu’on les éloigne, et si par le
phénomène d’"Intrication Quantique" deux particules dans un état dit d’intrication se comportent de la même manière quelle que soit la distance qui les sépare. Au stade actuel de la science, la
physique quantique est bien souvent contre-intuitive, et de ce fait illogique en apparence pour nos sens et notre raison, sans qu’elle le soit nécessairement en réalité. Il s'agit d'un "phénomène
incroyable", qui ouvre la porte à bien des extrapolations qui ne constituent que des extrapolations et pas des certitudes ou des preuves scientifiques. Aussi revient-il à chacun(e) de considérer
sa relation à l'univers comme il l'entend...
Ce monde établit une différence essentielle entre microcosme*, le monde des particules subatomiques, et macrocosme*, soit les forces qui régissent l’univers, ce champ de formes qui sous-tend
toute la nature dans ses éléments matériels, énergétiques et psychiques.
* Terminologie employée par Démocrite d'Abdère (470/360 av. J.-C.), philosophe grec.
De la quintessence
La quintessence est la résonance pythagoricienne du "1 + 4", soit les quatre éléments (feu, air, eau et terre). Cette mystérieuse cinquième essence, la matière
primordiale à l’Origine, autrement dite une bulle spirituelle, est recherchée depuis inlassablement par les scientifiques* (Cf. les théories explicatives de ce cinquième élément à partir
d’hologrammes). Cette substance d'une ténuité et d'une élasticité extrêmes occupe tout l'Espace universel. Elle agit comme milieu intermédiaire pour la transmission de l’énergie telles que la
lumière, la chaleur, l'électricité, le magnétisme, et permet le phénomène d'attraction qui comprend la gravitation des éléments comme leur cohésion (attraction moléculaire) et leur affinité
chimique (attraction nucléaire). Elle établit ainsi par son haut niveau de vibration une communication intime entre la Matière et l'Énergie, en en partageant la nature de chacune. Beaucoup
d’écrits évoquent ainsi "l’homme-quintessence" ou "homme-universel", qu’on peut rapprocher des textes sacrés, dont ceux de la Genèse, en remarquant que le Créateur va utiliser de la glaise pour
mettre en forme une enveloppe porteuse de la projection de son esprit.
Si ce cinquième élément, "l’ordre implicite" du physicien David Bohm ou l'akasha hindouiste, demeure encore en l’état un mystère, nous sommes
potentiellement capables de comprendre des aspects de sa réalité qui ne pourront jamais être convenablement exprimés sous une forme verbale exacte. La seule question finalement qui vaille est :
lequel des principes de métaphysique semble le mieux convenir à la totalité de l’expérience humaine ?
* L'expérience dite de Michelson-Morley sert encore à une partie de la communauté scientifique à douter de l’existence de l’éther comme un champ support
matériel des vibrations d'une onde électromagnétique, et à considérer l’espace comme vide. Entre 1881 et 1887, Albert Abraham Michelson (prix Nobel de physique en 1907) et Edward Morley ont
cherché à mettre en évidence par toute une série d’expériences la différence de vitesse de la lumière entre deux directions perpendiculaires et à deux périodes espacées de 6 mois, et ont conclu
que cette différence était inférieure à ce que le dispositif permettait de mesurer (l'effet attendu étant environ 4 fois supérieur à la précision du dispositif). Cette expérience est
régulièrement refaite depuis, avec toujours le même résultat. Pour autant, le fait de ne pas avoir senti le champ bouger ne signifie pas qu’il n’existe pas. D’autant qu’en 1986, une expérience
menée par l’Armée de l’Air US avec un équipement bien plus évolué a conclu à son existence, ce qui a été passé sous silence malgré la publication des résultats en août 1986 dans "Nature", revue
scientifique généraliste de référence, l'un des journaux scientifiques les plus anciens et les plus réputés au monde.
Le lien est régi par la magnétosphère, le champ magnétique qui entoure la Terre/Gaia et qui commence à plusieurs kilomètres au-dessus de la surface de notre planète, s’étendant sur des dizaines
de milliers de kilomètres dans l’espace.
Les particules "chargées" sont fortement affectées par les champs magnétiques de notre planète et du Soleil.
Il existe également de nombreuses autres "sphères" (Cf. image ci-contre), dont les suivantes : l’ionosphère (qui s’étend sur une distance d’environ 50 à 600 miles au-dessus de la surface de notre
planète et qui contient des ions capables de réfléchir les ondes radio) ; la stratosphère (composée de couches de température, les couches chaudes étant situées en altitude et les couches froides
en profondeur, et située au-dessus de la troposphère) ; la troposphère (la première et la plus basse couche de l’atmosphère de notre planète, qui présente une turbulence rotative avec le mélange
des couches d’air) ; etc.
Cependant, la magnétosphère fait généralement l’objet d’une plus grande attention parce qu’elle agit comme un bouclier qui protège la Terre/Gaïa des radiations nocives des particules cosmiques et
de l’érosion de l’atmosphère par de puissants courants de vent solaire porteurs de rayons cosmiques (neutrons).
Lorsque l’humanité a commencé à mener des expériences dangereuses et à polluer les eaux, le sol et l’air de la Terre/Gaïa et lorsque des guerres et toutes sortes d’autres troubles se sont
produits, la magnétosphère a reçu les énergies et les fréquences vibratoires de ces situations désastreuses, et ces perturbations ne se sont pas produites il y a seulement quelques siècles ou
décennies.
Elles ont commencé il y a plusieurs milliers d’années dans le calcul du temps humain. Tous les 26 000 ans environ, l’humanité voit les résultats de ses ondes de pensée, de ses paramètres
émotionnels et de ses actions, car ceux-ci ont une ÉNERGIE (force vitale), une FRÉQUENCE (le nombre de fois qu’une action donnée se produit dans un laps de temps donné) et une VIBRATION
(oscillations ou mouvements de l’ÉNERGIE ou de la force vitale).
De la corrélation magnétosphère-Humain
Le phonème "Homme" provient de l’ancien mot sanskrit "Manas", qui se traduit par "Esprit" et par "Conscience". L’humanité doit avoir de ce fait un "type de
conscience". De son côté, le phonème "Hu" est un ancien mot de Medu Neter qui se traduit par "Expression créatrice". "Être Humain", c’est avoir la capacité de "l’expression créative" ou "la
parole", qu’elle soit audible ou silencieuse.
Les pensées et les images créées par le cerveau (l’entrepôt d’images) ont une réponse émotionnelle. Les pensées (énergie électrique) et les émotions (énergie
magnétique) créent ensemble une action spécifique (résultat). Ainsi la magnétosphère de notre planète reçoit les ondes des pensées, les sentiments et les mouvements d’activité de la conscience
collective. De plus, elle reçoit continuellement les fluctuations de l’énergie solaire (éruptions, vents, CME, nappes de courants hélio-sphériques, régions de co-interaction et autres "portails"
de LUMIÈRE à travers le cosmos).
Il y a une poussée constante, une pression et un flux d’énergie cosmique dans la magnétosphère, parfois à un rythme plus rapide, parfois à un rythme plus lent.
Selon le rythme de la poussée, de la pression et de l’écoulement de l’énergie cosmique, le temps peut sembler ralenti ou accéléré. Les perceptions du temps affectent la "résonance Schumann"
(également appelée "puissance") – la fréquence vibratoire et l’amplitude du noyau interne et de l’arène externe de notre planète – car les plaques tectoniques et les grilles sont remuées,
secouées et pulsées selon certains rythmes d’ÉNERGIE, de FRÉQUENCE et de VIBRATION.
Dans toutes les "lignes temporelles" et dans tous les "continuums espace/temps", il y a un pourcentage spécifique et substantiel de TRANSMISSION ET DE RÉCEPTION DE
SON ET DE LUMIÈRE qui est échangé entre "l’humanité" et les forces cosmiques – des vagues d’énergie, des séquences d’événements et des mouvements des vagues d’énergie susmentionnées qui se
produisent régulièrement. Ainsi, la magnétosphère ondule et se balance, pulse et tourne, avec ce qu’elle reçoit – attire – de son environnement, et ce qui est attiré est joué de manière
particulière.
Lascience de l'infiniment petit
Max Planck (1858/1947 - photo 1), physicien allemand, prix Nobel, est reconnu comme le père de la physique appelée "quantique"*, à savoir l’étude et l’explication
du mouvement de l’Univers à partir de l’infiniment petit. Elles consistent dans le découpage continu de l’atome de base dans ses trois éléments constitutifs principaux électrons / neutrons /
protons, puis dans des éléments toujours plus petits comme les neutrinos, quarks ou leptons, tous reliés entre eux par des lignes de force appelées structure en filament, sur lesquels les lois
classiques de Newton ne fonctionnent guère. Cette science est fondée sur les équations du calcul dit intégral réalisées par le philosophe et scientifique allemand Gottfried Leibnitz (1646/1716 -
image 2), et va déboucher notamment sur des découvertes comme le transistor, le laser, la bombe atomique.
Avec l’infiniment petit, ce matériau essence du monde, c’est une rupture avec les lois de la physique classique jusqu’alors en vigueur : "Il n’y a pas de
matière en tant que telle, il n’y a que l’Esprit derrière les choses, lui-même invisible et éternel, et qui est le fondement premier de la matière…". La matière ne naît pas du vide : il y a
quelque chose, nommé treillis ou matrice, à savoir une structure cristalline éthérique, de nature géométrique, qui remplit et donne sens à l’espace, des plus infimes particules aux plus
lointaines galaxies. Elle permet notamment de retenir la conscience de chaque conscience vivante sur la Terre dans le champ ou dimension qui la caractérise.
L’Esprit, autrement dit la Conscience, au sens de l’Univers s’entend, est la force, la substance fondamentale, la matrice primaire, silencieuse et immatérialisée de
la Création, dont sont issus galaxies, planètes et tous les êtres vivants. Elle se situe au milieu, entre le macrocosme et le microcosme. Arthur Stanley Eddington (1882/1944 - photo 3), astronome
britannique, a écrit "La matière du monde est mentale". Cet Esprit présidait avant que n’apparaisse le monde observable par nos sens. Le mental humain, pour le distinguer plus
spécifiquement de l’esprit humain, ne fait que figer quelque chose dont la nature est en constante évolution : ainsi par exemple la modélisation du temps linéaire (passé, présent, futur) n’est
qu’une illusion, la fameuse mâyâ des sages de l’Inde.
Max Planck le scientifique rallie le principe fondamental du philosophe et sociologue anglais Herbert Spencer (1820/1903 - photo 4) qui affirme l'existence d'une
"Énergie Infinie et Éternelle, force naturelle supérieure d'où dérivent toutes choses". Autrement dit "Le Tout est Esprit ; l'Univers est Mental ; il est contenu dans l'Esprit du
Tout." Et ce Tout est caractérisé par un champ, une matrice d’énergie, avec ses caractéristiques géométriques propres à un espace ordonné, structuré*². Cette acceptation du Principe du
"Mentalisme" par la Science moderne la conduit ainsi à commencer à s’extraire de l'obscurité du labyrinthe dans lequel elle s'était jusqu’alors égarée en cherchant la vérité.
Albert Einstein (1879/1955 - photo 5), physicien états-unien d'origine allemande, a quant à lui décrit un univers où tout est simultané, c’est-à-dire que le
découpage passé/présent/futur n’a pas lieu d’être puisqu’ils sont intimement liés dans la quatrième dimension nommée espace/temps. L’idée d’une épaisseur temporelle est donc fausse : il n’y a
qu’une épaisseur d’évènements reliés entre eux par des causes. Et cette idée remet en cause la croyance que c’est le présent, nourri du passé, qui prépare le futur. Il a rajouté ensuite dans la
compréhension des forces agissantes au bon fonctionnement de l’univers les interactions fondamentales des forces nucléaires fortes et faibles : l'interaction forte maintient les particules dans
le noyau des atomes ; l'interaction faible explique la radioactivité et la fusion nucléaire qui se produit dans les étoiles. Ces interactions sont perceptibles uniquement à l'échelle atomique.
Enfin, il a établi enfin le lien entre le visible et l’invisible, l’infiniment grand ou petit, à travers les ondes gravitationnelles issues de différents événements (explosions cosmiques, système
d’étoiles doubles, fusion de trous noirs…), qui provoquent sur leur passage des déformations de l'espace-temps. Le milieu scientifique contemporain vient juste d’en confirmer l’existence, un
siècle plus tard.
Cette révolution de l’astrophysique va dans le sens proposé par la métaphysique, à savoir que la matière n’est rien de plus que de l’énergie organisée par l’Esprit
à partir du Soleil qui fait vibrer l’éther, cette Conscience lumineuse reliant ces deux réalités pour former le monde absolu, celui de la perfection ultime. On peut ainsi dire que l’univers est
un champ unitaire*³ fait d’une énergie intelligente qui pense, l’espace étant la conscience qui vibre. On n’y voit que ce que l’on projette, la réalité ne dépendant que de la position prise par
l’observateur acteur. Autrement dit, à une échelle très petite, l’espace est composé comme un écran de télévision de pixels, ces unités de base permettant la mesure d’une image numérique au sein
de sa matrice. Sa limite de résolution est déterminée par la longueur de Planck (1,616 x 10-35 m), ce qui revient à dire qu’en dessous de cette longueur il n’y a plus de distance. Cet espace
plein de trous est déformable, le vide étant plein d’une énergie permettant des fluctuations immatérielles. Aussi la matière apparente n’est qu’une illusion liée aux vibrations de l’espace et à
la cristallisation de la forme pensée (la particule porteuse d’information) dans un champ de bas magnétisme (comme la Terre).
Werner Heisenberg (1901 – 1976 - photo 6), physicien allemand, prix Nobel, explique de son côté que les atomes n’existent pas en tant que simples objets matériels
indivisibles. Leurs propriétés sont semblables à celles des fluides, à leurs formes géométriques. Nommés corpuscules, soit des corps finis quantifiables, elles sont appelées électrons, à polarité
négative, le noyau de l’atome étant composé d’un proton et de neutrons. Les électrons remplissent tout l’espace que nous appelons généralement vide. En se combinant d'une certaine manière par des
vibrations ou ondes de très haute intensité (on parle alors de particules), ils donnent naissance à l'atome qui, lui-même, en s’unissant à d’autres selon des proportions mathématiques toujours
constantes, forme les molécules propres à la multitude des corps composés de l’univers.
Les électrons constituent ainsi la base de la matière avec les ions*⁴, ces symboles de tout ce qui est générateur et qui
caractérisent le gain ou la perte d’électrons par l’atome (processus d’ionisation). C’est donc de leur union et de leurs combinaisons que sortent les divers phénomènes de lumière, de chaleur,
d'électricité, de magnétisme, d'attraction ou de répulsion, d'affinité ou de non-affinité chimique, et tous les autres phénomènes de même nature.
* Quantum (pluriel quanta) signifie "une quantité déterminée d’énergie électromagnétique", soit une pulsation, un court faisceau de lumière très
rapide.
*² Le télescope spatial " Chandra " à rayons X développé par la NASA et lancé par satellite en 1999 est le plus performant des observateurs placés dans
l'espace. Ses dernières informations, entrées dans des ordinateurs, confirment que l’espace vide n’existe pas, des filaments d’énergie comparables en imagerie aux neurones humains connectant le
tout.
*³ Le principe d’Ernst Mach, physicien et philosophe autrichien (1838/1916) invoque l’influence de tous les corps de l’univers sur l’inertie des objets pesants,
leurs propriétés dépendant de la répartition globale des masses dans l’univers. Le local est ainsi lié au global. La preuve est établie que la totalité de l’univers est présente en tout lieu et à
chaque instant. Par cette omniprésence de l’univers dans l’infini de l’espace, l’univers se révèle un tout indivisible (Cf. expérience du Pendule de Foucault).
*⁴Les conquérants de la Thrace antique étaient nommés les "fils de Ion", dont le père était Apollon, un des aspects du
Père Éternel et Infini.
Concernant le macrocosme, l'infiniment grand, il ne peut exister pour les scientifiques que si le temps et l'espace existent eux aussi. Einstein fut le premier à imaginer que les trois dimensions
de l’espace plus celle du temps étaient liées dans une même structure, ce tissu quadridimensionnel de l’espace-temps, en tout cas celui du système solaire au sein de la galaxie nommée Voie
Lactée. Tous les corps évoluant dans cette structure prévisible sont soumis à la déformation de ce "tissu", se retrouvant ainsi liés par la gravitation : les planètes suivent les courbes du tissu
spatial qu’elles déforment. Cette nouvelle image de la gravité a donné naissance à ce que l’on appelle aujourd’hui, selon la théorie d’Einstein, la relativité générale, considérant le cosmos
comme rempli de points.
Pour le microcosme, soit l'infiniment petit, les théories sur la gravité, force extrêmement faible, et l’électromagnétisme, son pendant qualifié de courant fort qui produit la lumière,
l’électricité et l’attraction magnétique, ne sont d’aucun secours pour expliquer le comportement imprévisible des particules (protons et neutrons) formant le noyau d’un atome. Ce comportement est
lié à l’Interaction forte (S), force qui maintient l'ensemble à l’intérieur d’un atome, et à l’Interaction faible (W), force qui est à l’origine de la désintégration radioactive permettant aux
neutrons de se transformer en protons tout en émettant des radiations. Seules des prévisions ou probabilités étant possibles dans le fondement du monde à l’échelle subatomique, ceci a entraîné la
naissance de la mécanique quantique, selon laquelle le cosmos serait constitué de cordes ou, plutôt, de demi-cordes rattachées à la membrane formant notre univers. Ce sont les cordes – en tant
que structures fondamentales – qui donneraient à l’univers une structure harmonieuse, à l'instar des sons de différents instruments qui, accordés, formeraient une symphonie. En elles se
situeraient les constantes de l’univers.
Remise en question du Big Bang, le modèle standard
Le modèle standard, qui commence par le Big Bangil y a 14 milliards d'années dans un état incroyablement chaud et
dense, suscite l'insatisfaction depuis qu'il a été proposé pour la première fois par le chanoine catholique, astronome et physicien belge, professeur à
l'université catholique de Louvain, Georges Lemaitre (1894/1966) il y a près d'un siècle. C'est le télescope spatial James Webb qui contribue au débat, ses images ne correspondant pas du tout aux
prévisions de la théorie. Elles montrent en effet un nombre surprenant de galaxies, des galaxies étonnamment lisses, étonnamment petites et étonnamment vieilles, contredisant ainsi de manière
flagrante et répétée l'hypothèse du Big Bang défendue pendant des décennies comme une vérité incontestable par la grande majorité des théoriciens de la cosmologie.
Les recherches physiques actuelles estiment ces dimensions de l’Univers à onze*. C’est ce qu’a notamment formalisé la Théorie des Cordes (sans pour autant avoir été confirmée expérimentalement, ce qui ne lui donne pas en l’état le label scientifique), qui vise à combiner la théorie de la relativité générale et la
mécanique quantique, tout comme la Théorie de la gravité quantique à boucles qui fait vibrer l’espace-temps. Si elle conserve un espace-temps immobile, cette théorie introduit aux quatre
dimensions spatiales connues une dimension d’espace supplémentaire composée de six dimensions et 20 constantes. Les "briques" fondamentales de notre univers ne seraient pas des particules, mais
des cordes vibrantes, objets extrêmement petits produisant des formes avec comme propriétés des masses ou des charges (particules et champs de force), la gravité surgissant automatiquement
dans ce monde de cordes vibrantes. Ainsi la combinaison de la physique mécaniste et de la mesure d’un champ de conscience global, autrement dit le Moi (le sujet) et le Soi (le Tout), permet de
comprendre tout autrement la manifestation de la vie par la création d’un modèle cybernétique de l’espace-temps, dit champ quantique, ou champ quantiqueholistique.
Si le principe des mondes parallèles est bel et bien une hypothèse sérieuse permettant une modélisation théorique, il ne constitue pour autant une certitude avérée.
* La Tradition parle des "Sept Cieux",
c'est-à-dire de sept grandes dimensions, l'univers dans lequel nous évoluons étant lui-même formé de sept plans allant du plus matériel, le nôtre, au plus éthéré.
La conception du multi-univers par l'approche géométrique
La structure géométrique usitée de tous temps pour le fonctionnement de tout ensemble constitué au sein de l'univers est la pyramide*. Elle est à base triangulaire,
soit un tétraèdre. Les 3 arêtes qui se rejoignent au sommet peuvent chacune être assimilée à une dimension. Ainsi, la Planète Terre se situant au sein de la galaxie de la Voie lactée caractérisée
par son système solaire à trois dimensions telles que le physicien Newton les a établies (longueur, largeur, profondeur), la pyramide définit cet espace tridimensionnel.
Toute structure nécessitant un cadre stable, c'est la base carré qui le permet. Ceci conduit à 3 tétraèdres/pyramides supplémentaires, soit un total de 12 arêtes ou
dimensions. La première pyramide est le temps, les deux autres définissent la masse.
Nous aboutissons à un modèle mathématique en 12 dimensions, qui peut être simplifié en ne retenant que la hauteur de la pyramide du temps, à savoir sa droite
perpendiculaire qui passe à son sommet. Nous aboutissons alors à un modèle en 10 dimensions.
Cependant, au-delà des estimations des physiciens sur le nombre d’univers - 5, 6, 7, 11, 256 -, la réponse pourrait se trouver dans la reformulation du concept, qui devrait être : combien
d’univers la "vraie" dimension a-t-elle ? Si la réponse semble couler de source, un nombre infini, l'étude du fonctionnement de la Création, plus exactement Ce Qui Est, conduit à dire que ce
nombre est variable et sélectif, dans la mesure où la fusion des dimensions de réalité (ainsi la réalité tridimensionnelle) apparait possible*. Ce Qui Est n'est-il pas en effet Tout-Esprit ?
Le rayonnement cosmique comme source d'irrigation énergétique de l'univers est établi en 1908 par le physicien autrichien-états-unien Victor Franz Hess (1883/1964), qui découvre l'existence de
radiations dont l'intensité augmente avec l'altitude. Il en conclut à l'origine cosmique de ce rayonnement.
Le rayonnement cosmique a deux composants : le rayonnement cosmique solaire et le rayonnement cosmique galactique.
Le rayonnement cosmique solaire
C'est un flux continu d'énergie radiante comprenant différentes sortes de rayonnements électromagnétiques et corpusculaires.
Les rayonnements électromagnétiques solaires comprennent la bande optique, un rayonnement dans la bande radio avec des longueurs d'onde allant de 100 m à quelques
mm, un rayonnement X et un rayonnement gamma.
Le rayonnement corpusculaire solaire consiste en des particules diverses se déplaçant à grande vitesse, parfois proche de celle de la lumière. Il a deux sources, la
couronne solaire (il constitue alors le vent solaire composé de protons à 95%, d'électrons et de particules alpha en petite quantité) et la région des taches (rayonnement accompagnant les
éruptions solaires).
Le rayonnement galactique
C'est un rayonnement constitué principalement de noyaux atomiques dépouillés de leur électrons, se déplaçant à des vitesses voisines de la lumière. Il se compose à
87% de protons (noyaux d'hydrogène), 12% de particules alpha (noyaux d'hélium), 1% de particules lourdes (noyaux de carbone, d'oxygène, azote, bore, lithium, phosphore et béryllium).
En atteignant l'atmosphère terrestre, les particules du rayonnement cosmique (dit primaire) entrent en collision avec les atomes des gaz atmosphériques, les
détruisent, et donnent naissance à des rayons cosmiques dits secondaires. Ceux-ci comprennent des protons et des neutrons secondaires, des mésons, des électrons et des photons.
L'intensité de ce rayonnement décroît à mesure que l'on se rapproche du niveau de la mer.
Les rayons cosmiques participent à la formation des "ceintures de Van Allen"*, qui sont une zone toroïdale de la magnétosphère, succession d'anneaux
électromagnétiques géants composés de particules de protons et d'électrons soi-disant issues du soleil et piégées par le magnétisme terrestre. Elles "piègent" donc les radiations et
protègent ainsi la Terre. La radioactivité y est très élevée. Ces deux ceintures (interne et externe) ont des origines différentes.
La ceinture intérieure se compose de protons à haute énergie. Sa limite inférieure passe entre 500 et 600 km d'altitude dans l'hémisphère tourné vers le soleil et aux environs de 1600 km de
l'autre côté. La limite extérieure de la ceinture intérieure se trouve quant à elle entre 7000 et 10 000 km de la Terre. L'intensité maximum du rayonnement se situe entre 7000 et 8000 km.
La ceinture extérieure est principalement composée d'électrons. Elle est située entre 10 000 et 75 000 km d'altitude. L'intensité maximum du flux d'électrons se situe dans le plan équatorial, à
une distance de 15 000 à 20 000 km.
Ces ceintures s’étendent sur environ 40 degrés de latitude terrestre, 20 degrés au-dessus et en-dessous de l’équateur magnétique.
Ses anneaux ont cependant été dénaturés par des explosions nucléaires provoquées à haute altitude et par d'autres expériences consistant à mettre sur orbite des
quantités astronomiques d'aiguilles de cuivre. Ces modifications de la ceinture de Van Allen, qui ont débouché sur la formation d'une troisième ceinture, permettent de refléter, tel un miroir,
une réalité illusoire car limitée du système planétaire. C'est à celle-ci que l'humanité s'identifie, ces ceintures constituant la limite de la conscience humaine, hors éveil
trans-dimensionnel...
* Du nom du scientifique physicien et astronome états-unienJames Alfred Van Allen
(1914/2006) qui étudia les propriétés des confins de l'atmosphère, notamment les propriétés magnétiques.
Les dangers des rayonnements
Un rayonnement ionisant est un rayonnement qui produit des ionisations dans la matière qu'il traverse, arrachant des électrons aux atomes qu'il rencontre sur son
passage. Pour les rayons ionisants, il y a beaucoup d'usages pratiques, mais ces rayons sont aussi dangereux pour la santé humaine.
Ainsi les effets biologiques des radiations ionisantes suite à une exposition prolongée (plusieurs mois voire années) sont :
. à long terme, des mutations au niveau des cellules pouvant causer soit le cancer ou des dommages génétiques. Ces derniers peuvent être transmis aux descendants.
On peut observer chez la personne exposée une diminution de la probabilité de durée de vie. Toutes les radiations subies s’ajoutent et se cumulent tout au long de la vie.
. à court terme, par des effets produits par une dose aiguë, plus de 100 mSv* au corps entier ou 1 000 mSv à un seul organe : perte de cheveux, vomissements,
rougeurs sur la peau irradiée.
Les effets biologiques des radiations ionisantes suite à une exposition courte sur la durée (environs 7 à 8 jours) développent des cataractes, signe courant du
vieillissement.
* LeSievert (Sv) est une unité de dose biologique, dose d'irradiation significative pour un être vivant.
Comme cette unité est assez grande, on exprime beaucoup plus souvent les doses biologiques en millisievert ou mSv. En Europe, la dose annuelle moyenne à laquelle la population est exposée est
environ de 4 mSv par personne. La dose biologique se calcule en théorie de la manière suivante : la dose d’énergie (exprimée en gray ou Gy) absorbée par chaque organe ou tissu, durant un laps de
temps donné, est multipliée par un facteur de "pondération radiologique" pour obtenir une "dose équivalente" tenant compte de la nocivité du rayonnement. Ce facteur de nocivité varie de 1 pour
les gammas, les rayons X et les électrons, à 10 pour les neutrons, et à 20 pour les particules alpha. La faible valeur de la nocivité pour les gammas, les rayons X et les électrons reflète le
fait que ce sont les particules les moins ionisantes.
La conscience détermine la perception
Dans cet environnement physique, matériel qui nous est familier, nous percevons les différences de densité. Ainsi le fer est moins dense que le plomb, le calcaire est plus ou moins dense que le
granite, et la glace est moins dense que l’eau. L’air atmosphérique est quant à lui de bien moindre densité, ne pouvant être saisi entre nos mains. La lumière prodiguée par l'astre solaire et les
étoiles est d’une telle finesse qu’il ne saurait être question d’évaluer sa densité. Passé cette limite, nous pénétrons dans le domaine nommé l’"au-delà", car inaccessible à nos instruments
d’observation les plus élaborés. Ainsi nos pensées, qui ne se volatilisent pas, et qui forment dans la matière terrestre dense comme dans la matière astrale divers aspects traduisant leur nature
(amour, bonté, générosité, loyauté… ou le contraire). Nous séjournons dans un environnement issu de nos propres pensées, rien ne se perdant dans l'Univers. Nos "œuvres" nous suivent...
Aussi, parce que l’Univers est mental et contenu dans " l’âme du Tout", où toutes les possibilités existent déjà - la "soupe de possibilités quantiques" -, la perception de la réalité de
l’Univers dépend de notre niveau de conscience lié à notre intuition profonde. En d’autres termes, l’Univers donne naissance à la Conscience, celle-ci donnant par l’observateur acteur, le
contributeur (nous-même), un sens à l’Univers lié à ses intentions et désirs. Le monde solide, condensé, n’existe que par la projection de nos perceptions liées à nos croyances, et l’évolution de
la nature réside dans la conscience en devenir. Ainsi tout ce qui existe a nécessairement conscience de ce qu’il est, tout particulièrement l’être humain, même si sur le moment il l’ignore
encore, faute d’être sorti des fausses apparences et illusions. Le "petit" changement dont nous avons besoin, c’est de nous voir comme une partie intégrante du monde, celui-ci étant intégralement
en nous, plutôt que séparé de lui.
Notre perception est subliminale, cette imperceptibilité étant aussi une réalité physique. Ainsi, nous savons qu’au cinéma, nous ne voyons que vingt-quatre images par seconde. La vingt-cinquième
n’apparaît pas. Dites subliminales, de telles images n’ont pas de réalité apparente pour nous mais elles ont un impact sur notre inconscient, en l'occurrence le subconscient. Des publicistes les
ont utilisées, vérifiant ainsi avec "émerveillement" qu’ils modifiaient les idées des consommateurs ou des électeurs au détriment de leur liberté de jugement*. Ces expériences ont prouvé que
l’invisibilité était capable de modifier nos pensées au point de nous transformer en marionnettes sans que nous puissions en distinguer les fils. Les divers phénomènes mentaux et psychiques qui
occupent une si grande place dans l'attention publique ne sont, sans explications, pas compréhensibles, et défient toute interprétation scientifique. Nous sommes bien dans le principe du monisme
transcendantal.
Nous pouvons dire que cet espace dit en trois dimensions (3-D), ou 4-D si nous rajoutons la dimension du temps linéaire, qui caractérise notre relation à l'Univers, n'est que le reflet de notre
état de conscience limité, de notre sens spatial limité*². D'autres dimensions existent dans l'Univers, aux dimensions infinies. Comment en effet pourrions-nous limiter l'infini ?
Ceci signifie par conséquent que c'est bien l'énergie de résonance vibratoire d'un monde vivant, et ce dans un espace-temps défini et densifié par une forme de Conscience créatrice, qui génère le
champ magnétique d'une planète. Celui-ci possède de ce fait des fréquences magnétiques qui sont générées en fonction de la fréquence de résonance vibratoire de la vie et de la population présente
sur cette planète. Autrement dit, ce sont les mouvements ou l'activité qu'engendre une biosphère qui génèrent les champs électromagnétiques protecteurs. Et ce sont ces mouvements évolutifs de la
vie, soit les mutations et l'évolution globale des consciences supérieures habitant ces mondes, qui produisent le champ électromagnétique renforçant leur protection. Ils traduisent la célèbre
équation qui dit que "la Conscience crée la gravitation, qui elle modifie la Conscience".
Ce bouclier de protection est issu de l'énergie nucléaire faible ou force faible, même si cela est réfuté par les astrophysiciens académiques. Il protège et stabilise les fréquences
gravitationnelles régisseuses de la densité de réalité d'un monde.
Aussi, pour qu'une conscience humaine puisse grandir et évoluer, elle est obligée de rechercher l'accès à la Connaissance universelle, l'énergie/information contenue dans la force nucléaire
faible, et non dans des technologies extraordinaires qui permettent de conquérir l'espace et l'univers et de parcourir l'espace-temps.
E = mc²
L'équation E=mc² du physicien Albert Einstein (1879/1955) semble établir les limites de l'Univers à la vitesse de la lumière*. Dans cette formule, qu’on appelle
aussi une "équation", il faut comprendre que la quantité d’énergie (E) est égale à la quantité de matière (M), multipliée par la vitesse de la lumière (C), qui est égale à 300. 000 km par
seconde. C est mis au carré, c’est-à-dire multiplié par C (ce qui s’écrit, en langage mathématique, C²). Ainsi E = MC², l’énergie étant égale à la matière multipliée par un nombre énorme (300.000
x 300.000). C’est ce qui explique qu’une toute petite quantité de matière peut dégager une quantité d’énergie colossale, lorsqu’explose une bombe atomique par exemple. Toute la lumière de
"l’Univers" - celui du système solaire de notre galaxie - est d’ailleurs fabriquée par la fusion atomique : c’est cette réaction qui produit la lumière du Soleil, celle des étoiles, celle de
la Lune (qui reflète la lumière solaire).
Toutefois, en affirmant que rien ne pouvait voyager plus vite que la lumière, Einstein dit que rien ne peut être observé comme allant plus vite que la vitesse de la
lumière, pour la simple raison que l'outil avec lequel nous observons est la lumière elle-même. La lumière ne peut donc naturellement voyager plus vite qu'elle-même. Ceci ne signifie nullement
que la pensée ne va pas plus vite que la lumière. Albert Einstein explique que la matière est en fait de l’énergie. C’est le sens de sa fameuse formule E = MC².
*La vitesse de la lumière a été calculée par l’astronome danois Ole Christensen Roemer (1644/1710) en 1676 à partir de
son observation des éclipses de lune de Jupiter et sa distance avec la Terre, soit environ 300.000 kilomètres par seconde. Elle est une vitesse absolue, une constante fondamentale, la même pour
tout observateur quelle que soit sa vitesse par rapport à la source lumineuse (soit une exception à la règle de la relativité).
La matière noire, le non visible, est à l'origine du discernement, de la perception et des croyances humaines. Elle génère constamment un mouvement horaire et antihoraire, empêchant l'homme de
percevoir la totalité de la réalité de l'Univers. Ainsi voir la réalité de l'Univers dépend de notre perception du temps, qui se déplie potentiellement dans des directions infinies générées par
la conscience. Le temps n'a pas une seule direction. Il ne court pas seulement du passé au futur, mais aussi dans le sens inverse, du futur au passé. Il crée même des embranchements
perpendiculaires lorsque suffisamment de consciences en deviennent créatrices puis s'y soumettent. Lorsque notre esprit est soumis à une autre échelle d'espace-temps, le temps ne se déploie pas à
la même vitesse que dans notre présent. C'est pour cette raison que le temps qui se déroule lors de nos rêves n'est en rien comparable au temps qui s'écoule lorsque nous sommes "réveillés".
Notre perception du passé correspond en réalité à la perception d'une moitié du champ magnétique dans lequel nous sommes immergé. Le futur correspond à l'autre moitié qui, elle aussi, existe
déjà. Le champ magnétique en lui-même n'est pas le temps. Il est un champ de force dans lequel baigne la conscience humaine qui a appris à le percevoir comme étant le temps.
Il est cependant possible pour tout humain de s'extirper de ce champ magnétique qui le laisse sous-entendre un passé/futur. Cette possibilité réside dans le pouvoir de rester consciemment centré
dans le présent, dans ce que nous sommes et ce que nous faisons dans l'instant.
Ce présent contient en réalité tous les potentiels d'avenir, et même ceux du passé, définis par la conscience humaine. Le présent contient le potentiel par lequel nous pouvons agir pour créer un
nouvel avenir, mais aussi pour modifier notre vision du passé. Pour "agir " il faut arriver à faire abstraction du déroulement du temps. Il faut également une volonté tenace pour soutenir
l'énergie créatrice. Et c'est cette valeur essentielle du "pouvoir de la force de la Conscience" que le "corpus scientifique" réprime en permanence.
Le vivant est ainsi une grande communauté. Il est solidaire, relié, interconnecté dans toutes ses composantes, émancipé des limites de sa seule dimension apparemment matérielle. L'Univers entier
est un gigantesque champ de conscience unifiée sous forme d'hologramme, chacun de ses minuscules points (ou pixels) le reflétant dans toute son entièreté. La Nature, subtile, opère pour son
équilibre par la combinaison de ce qui nous apparait physique et du psychique, du tangible et de l’intangible, de l’objectif et du subjectif. Elle permet l’interactivité, la globalité
participative, la solidarité et l'unité de tous les éléments participant d’une même dimension qui dépasse tous nos sens.
Cela explique que la loi physique de cause à effet repose sur un principe alternatif.
D’une part une causalité rigide et déterministe, à effet objectif car gravitationnel : si je tombe dans un ravin, je me blesse gravement ou je meurs. Il en est de même à l'échelle de l'Univers,
la gravité permettant le bon ordonnancement et le fonctionnement du champ unitaire par sa force d'attraction et de répulsion.
D’autre part une causalité flexible, aléatoire et non-déterministe, insensible à la pesanteur, fruit de ma conscience inspirée et de l’oubli de mes limitations.
Ces deux mouvements de ma relation à l’univers, exo causal et endo causal, sont les seuls possibles dans le fonctionnement de l’Univers. Un lien supra, supérieur, invisible, relie le non-local au
structuré, le non perceptible au perçu, au visible.
Au rejet viscéral de la science, tout particulièrement physique, de l'existence d'un niveau supérieur métaphysique - la conscience, la supraconscience ... -, laissé au mieux aux spéculations de
sa branche acceptable - les sciences cognitives -, il convient de rappeler la loi de neuro-physiologie statuant que la simple mise en jeu d’un niveau supérieur de la structure cérébrale
subordonne automatiquement les niveaux sous-jacents. De la même façon, il apparaît raisonnable d’imaginer que la nature nous ait pourvu d’un niveau "supérieur" susceptible de mettre un frein à
nos incessantes perturbations psychiques avec leurs cogitations incoercibles. A défaut d'être irréfutable, l'argument est plausible.
Le concept scientifique d'univers hologramme
Le neurophysiologiste Karl Pribram (1919/2015 - photo 1) et le physicien David Bohm (1917/1992 - photo 2) ont mené respectivement des recherches sur des axes
différents pour aboutir à la même conclusion : l'univers n'est qu'une gigantesque illusion, c'est un hologramme. Nos cerveaux construiraient ainsi une réalité " concrète " irréelle, la réalité
objective n'existant pas. A la base, le neurophysiologiste américain Karl Pribram s'est demandé comment les souvenirs se stockaient dans la mémoire, en remettant en cause les recherches menées
dans les années 1920 par le neurochirurgien canadien Wilder Penfield qui affirmait que chaque souvenir avait sa place dans un endroit précis du cerveau. Il s'est appuyé pour ce faire sur les
expériences du neurophysiologiste américain Karl Lashley menées sur des rats. C'est au milieu des années 1960 que Pribram eut une révélation en tombant sur un article du Scientific
American décrivant le premier hologramme mis au point par le physicien hongrois Prix Nobel Dennis Gabor (1900/1979 - photo 3) : on l'obtient en divisant un unique rayon de lumière pure, soit
un laser, en deux faisceaux distincts. Le premier rebondit sur l'objet à reproduire. Le second, acheminé par un jeu de miroir, entre en collision avec les ondes lumineuses diffractées du premier.
II en résulte un système de franges d'interférences qui va s'enregistrer sur une émulsion photosensible. Mais, à la différence de ce qui se produit en photographie, l'ensemble des informations
sont enregistrées sur chaque fragment du support. Même si l'on brise une plaque holographique en mille morceaux, chaque fragment pourra être utilisé pour reconstituer l'image entière.
C'est ce dernier aspect qui fascina Pribram, y voyant une métaphore du mode de répartition des souvenirs dans le cerveau qui abrite, dans chacune de ses
parties, de quoi reconstruire un souvenir dans son intégralité. Le cerveau serait un hologramme, capable d'emmagasiner d'énormes quantités d'informations dans un très petit espace, de même
qu'un seul centimètre cube de film holographique peut contenir jusqu'à dix milliards de bits d'informations. Cette découverte fondamentale allait être transposée à l'échelle du cosmos sous
l'impulsion de David Bohm.
En 1987, Stanislav Grof, directeur du Centre de recherches psychiatriques du Maryland, déclare que le modèle holographique est le seul à pouvoir expliquer les
expériences archétypales, à savoir les rencontres avec l'inconscient collectif et les états modifiés de conscience. En 1987, le physicien canadien David Peat de la Queen's University soutient
que la synchronicité - des coïncidences insolites et si riches de sens qu'elles ne peuvent résulter du seul hasard - trouve son explication dans le modèle holographique. Elle trahirait des
processus de pensée infiniment plus connectés que nous ne le soupçonnons.
Là où le modèle holographique est vertigineux, c'est quand il donne sens à un vaste éventail de phénomènes si difficiles à cerner qu'ils restaient jusqu'à
présent exclus du champ de la science. C'est le cas de phénomènes comme la télépathie, la précognition, le sentiment de ne faire qu'un avec l'univers décrit par les mystiques et même la
psychokinésie (la faculté de déplacer des objets par la concentration). Les phénomènes paranormaux, méprisés jusqu'alors par le milieu scientifique parce qu'ils n'entraient dans aucun des
schémas connus, devraient désormais trouver leur place dans la compréhension du monde. Si bien des scientifiques restent encore sceptiques, le modèle holographique offre à ses adeptes une clé
permettant d'expliquer certains phénomènes déclarés inexplicables.
L'espace hologramme, base de la théorie de la forme (ou "Gestalt")
Cette théorie toute entière est édifiée sur la base de la perception. Le fait psychique apparaît ainsi comme une "forme", un système de liaisons effectuées dans
l’espace-temps, "géométrisant" si l’on peut dire la psychologie. Nous y retrouvons une conception se rapprochant de celle des Gnostiques de Princeton* qui considèrent l’espace en tant
qu'"hologramme", réservoir d’énergie et d’informations.
Ces informations qui voyagent dans l’espace-temps des physiciens, non temporalisées dans une ligne de participation individuelle, ne sont que des matériaux
d’information. Cette participation individuelle ne devient authentique que lorsqu’elle participe à un sens trans-spatial. Les gestaltistes ont montré qu’un groupe de points ou de lignes perçus
s’organise comme les parties d’un ensemble. Les choses ne nous deviennent accessibles que par l’expérience que nous en avons.
Il en découle que la construction progressive des formes et des images s’édifie en l’absence de toute perception sensorielle et en différentes circonstances, lors
de l’élimination des organes des sens. C'est le même principe d'élimination dans l’exercice de pratyahara*² chez le yogi, ou bien encore lors de l’intoxication par la mescaline (drogue
hallucinogène). Dans ces expériences, l’apparition de points puis de lignes s’organise en configurations qui aboutissent à des images. Et cela, non plus dans l’espace en apparence réel de notre
champ visuel, mais dans un espace purement psychique.
* Courant de la penséescientifique "avancée" américaine, soit nourri de spiritualité autant que de sciences,
selon une forme hautement élaborée par des physiciens, astronomes, cosmologistes et biologistes des Universités de Princeton (New Jersey - côte Est) et de Pasadena (Californie - côte
Ouest).
*²étape considérée comme fondamentale dans la pratique du Yoga, résultante du travail des 4 premiers
membres liés à la volonté et à l'effort.
Parabole de Guillaume Apollinaire, poète et écrivain (1880-1918)
"Venez au bord du gouffre, leur dit-il. Nous avons peur, dirent-ils. Venez au bord du gouffre, leur dit-il. Ils approchèrent, il les poussa... Et ils
s’envolèrent."
Cette parabole incite à penser que si l’on agit irrationnellement, on est récompensé par les forces irrationnelles de l’Univers, laissant entendre qu’il existe dans
l’Univers des lois de cause à effet qui ne répondent pas aux lois des probabilités.
"Omnia ab uno" - Tout vient de l'Un - "Omnia ad unum" - Tout va à l'Un -
Résonance à l'unisson
Anagramme de "La Gravitation universelle" : loi vitale régnant sur la vie.
Les règles du comportement de l'électricité et du magnétisme* comme force fondamentale du fonctionnement de l'univers ont été développées à partir de la découverte au XIXe siècle par Oersted,
Ampère et Faraday de l'existence d'effets magnétiques de l'électricité. Le champ électrique se déplace sur un axe en courbes sinusoïdales, tout comme le champ magnétique à 90 degrés du premier
axe. Leur expansion est sphérique. Une théorie générale est proposée par le physicien écossais James Clerk Maxwell (1831/1879 - photo 1) qui a unifié*² en 1864 les théories antérieures comme
l'électrostatique, l'électrocinétique ou la magnétostatique, expliquant entre autres le comportement des charges et courants électriques, des aimants, ou des ondes électromagnétiques, telles la
lumière ou les ondes radio. Il établissait ainsi une unification de l'électromagnétisme avec la gravité, travail que ne confirma pas complètement par la suite Albert Einstein (photo 2) lorsqu'il
conclut qu'il était impossible de courber l'espace-temps de manière locale selon les principes de la relativité. Cependant, Einstein tenta également d'unifier le champ universel, en s'inspirant
des travaux du physicien et mathématicien allemand Théodor Kaluza (1885/1954 - photo 3) sur un espace géométrique à cinq dimensions : longueur, largeur, profondeur, le temps, et une dimension
extrêmement petite enroulée en cercle que précisera en 1926 le physicien le physicien suédois Oskar Klein (1894/1977 - photo 4). Il ne parvint cependant pas à obtenir dans son modèle la force
nucléaire forte et la force nucléaire faible. La gravité, qui n'existe pas fondamentalement comme une force distincte, trouverait son origine dans le "vide", qui est en fait une force puissante
pour créer des ondes électro-gravitationnelles de haute intensité. Il reste à le démontrer dans un modèle mathématique, ce que nul n'a encore réussi à ce jour. Nous ne pouvons en l'état écarter
l'hypothèse que l'électromagnétisme et la gravité ne sont qu'une seule et même chose, des effets, des potentialités, et non des forces en tant que telles, résidant dans le champ dit "de point
zéro", soit la plus faible énergie possible qu'un système physique quantique puisse avoir. Cela correspond à son énergie quand il est dans son état fondamental, c'est-à-dire lorsque toute autre
forme d'énergie a été retirée. Ainsi pourrions-nous unifier la gravité et l'électromagnétisme à travers cet espace à cinq dimensions, et comprendre comment nous y sommes tous reliés à partir du
champ magnétique de nos cœurs, la pensée consciente via le cerveau étant le catalyseur de l'union de ces forces.
*La cause du magnétisme de la Terre demeure en suspens, aucune réponse parfaitement satisfaisante n’ayant été à ce jour
donnée. Nul ne peut écarter l’influence des champs magnétiques planétaires comme de la Terre sur le fonctionnement cellulaire du corps humain comme animal. Bien au contraire, la science reconnait
désormais que le système Terre/atmosphère se comporte comme un gros condensateur électrique, à l’instar de la foudre dont l’effet est de neutraliser les charges négatives entre l’atmosphère et le
sol. De même, il est acquis que le cerveau humain contient des millions de petites particules magnétiques, lui permettant ainsi un travail de régulation des pensées polarisées ("chargées") vers
des pensées non polarisées, via le pardon, la compassion.
*² Ensemble dit "algèbre des quaternions".
Types d’énergie avec leurs polarités
En électricité comme en magnétisme, la polarité négative est à entendre comme le pôle dans lequel et par lequel la génération et la production de nouvelles formes
d'énergie se manifestent. Le principe féminin est toujours celui qui accomplit le travail créatif, créateur. C’est pourquoi il est plus judicieux d’utiliser le mot cathode, dont la racine grecque
signifie "descente, voie de génération".
Type d’énergie
Plus +
Moins -
Magnétique
Pôle nord
Pôle sud
Électrique
Pôle positif
Pôle négatif
Chimique
Acide
Base
Couleurs*
Chaudes (rouge, orange, jaune)
Froides (vert, bleu, indigo, violet)
* Les couleurs découlent du mouvement des ondes perçu par l’esprit, leur changement étant causé par le changement de la longueur et de la rapidité des
vibrations. Elles sont associées à des fonctions qui possèdent, par leur signification, un sens du conditionnement. Ainsi le rouge a une fonction énergisante ; l’orange a une fonction d’expulsion
; le bleu, couleur du ciel et par là-même de la divinité (au même titre que le doré et l’orangé), a un effet relaxant lié à sa fonction absorbante ; le vert a des propriétés régénératrices de
force et de vie, celles de l’espérance de l’Après-Vie (c’est la couleur du Graal).
Qui plus est, deux physiciens de renom ont renforcé cette hypothèse en établissant que l’électricité a un rôle dans l’espace, sa force électrique étant active du microcosme jusqu’au macrocosme.
L'un est le suédois Hannes Olof Gösta Alfvén (1908/1995 - photo 1), physicien des plasmas et lauréat du prix Nobel de physique en 1970 pour ses travaux sur la magnétohydrodynamique (MHD) - les
ondes MHD sont connues sous le nom d'ondes d'Alfvén -. L'autre est Olaf Christian Bernhard Birkeland (1867/1917 - photo 2), qui signait toujours Kristian Birkeland, physicien norvégien qui
s'intéressa au vent solaire et expliqua le mécanisme des aurores polaires.
Leur paradigme se base sur l’existence de courants électriques sur des distances cosmiques (interstellaire et intergalactique). Ainsi la formation des galaxies est électrique, la formation est
étoiles est électrique, l’héliosphère et le soleil sont électriques, la formation des cicatrices sur les lunes et les planètes est électrique, les comètes sont électriques, etc. Et comme le
scientifique Jack B. Zirker, astronome émérite du National Solar Observatory, observatoire américain opérant des télescopes solaires, a montré dans son ouvrageThe
Magnetic Universe: The Elusive Traces of an Invisible Force (2009) que les champs magnétiques pullulent dans l’univers, il n’est pas possible d’avoir des champs magnétiques dans
l’espace s’il n’y a pas de courant électrique. Comment alors après 70 ans de physique solaire peut-on encore croire que le soleil est une île perdue dans l’espace, sans connexion électrique
avec les autres étoiles dans cette mer de plasma qu’est la voie lactée ? ... La question d'un soleil de nature thermonucléaire* est clairement posée - n'en déplaise à ses "adorateurs" -, d'aucuns
pensant qu'il serait une "décharge luminescente" réagissant à un milieu électrifié. C'est aussi cet aspect électrique que montre le vent solaire qui échappe aux théories actuelles, pour lequel on
a trouvé aucune bonne explication. Celui-ci montre en effet des particules chargées qui se comportent comme dans un champ électrique, les particules allant de plus en plus vite tout au long des
distances interplanétaires. Enfin les tâches solaires pourraient être également la manifestation d’une décharge électrique dans le spectre visible du soleil. Elles vont moins vite que le
"courant", leur résistance venant du fait qu’elles s’ancrent à quelque chose d’en dessous de la surface. Cela ne correspond pas aux attentes du modèle standard, qui date de 70 ans... L’approche
expérimentale de Birkeland*² serait ainsi bel et bien confirmée dans l’interaction du soleil avec la terre, voyant les aurores boréales produites par les particules chargées du soleil passant au
niveau des pôles, car l’atmosphère isole électriquement la Terre.
* Cette idée remonte à 1950, date à laquelle le physicien russe Andrei Sakharov inventa le concept du réacteur à fusion nucléaire baptisé "tokamak".
*² Un courant de Birkeland est un courant électrique dans un plasma spatial, autrement dit lorsque des particules chargées dans le courant suivent les lignes de
champ magnétique en spiralant. L’accélération qui en résulte le long des lignes de champ magnétique donne leur nom de "courants alignés" aux courants de Birkeland. Ils sont causés par le
mouvement d’un plasma perpendiculaire au champ magnétique.
De l'électromagnétisme
Dans un cadre général, l'électromagnétisme se définit par les phénomènes électriques et magnétiques, ses fréquences s'exprimant en hertz - Hz -.Qu'ils soient d'origine naturelle ou artificielle, les champs électromagnétiques exercent sur la matière des actions
mécaniques. Ils sont omniprésents dans notre quotidien : téléphone portable, ordinateur, wifi, télé, sans oublier les orages, la foudre,les éclairs par temps très chaud et autres conditions météorologiquesdans une gamme de fréquence
très large de 1 Hz a 500 MHz. Des champs de hautes fréquences voire très hautes fréquences peuvent être mis en action. Ils touchent la physique quantique.
Les véhicules possèdent une masse électromagnétique importante. C'est la raison " du mal de mer " et de la fatigue quand on roule. Tout véhicule est " une cage de
faraday ", c'est à dire isolé par les pneus (donc accumulant du magnétisme), tandis qu'à l'intérieur nous avons des batteries, des condensateurs, des relais et un micro-ordinateur (donc source
d'énergie électrique). " Le pilote automatique " peut être commandé à distance grâce à cet ensemble électromagnétique, par le réseau HAARP par exemple. Ce réseau HAARP, soit de
l'électromagnétisme dirigé, est un projet américain à la fois scientifique et militaire composé de 180 antennes situées en Alaska, une partie bien plus importante se situant selon de nombreuses
sources sur la face cachée de la lune. Ce réseau hertzien est à même d’interrompre toute forme de communication hertzienne, de détourner des avions ou tout autre véhicule par ce fameux pilote
automatique, mais aussi d'influencer les comportements humains et animaux. Il y a eu par exemple le cas de conducteurs de voitures, qui sur l'autoroute, avaient actionné le pilote automatique et
qui, en arrivant au péage, ne pouvaient plus le désactiver !
L'humain et l'animal sont également des condensateurs et des émetteurs d'énergie, les émotions amplifiant les signaux émis positivement ou négativement. On peut
donc supposer que des personnes avec leur énergie qui se trouve décuplée par un choc émotionnel peuvent créer une surcharge électromagnétique dans leur environnement. De ce fait, partout où nous
passons, nous laissons notre trace et nous prenons au passage les charges laissées par nos prédécesseurs. L'emprise électromagnétique est omniprésente dans notre monde de 3ème dimension...
La Terre est entourée d'une épaisse couche de particules chargées électriquement et ionisées appelée " Ionosphère ". La Terre est ainsi un grand conducteur
sphérique, et l'Ionosphère qui la ceint un plus grand conducteur encore. Les deux réunis constituent les plaques parallèles d'un "condensateur sphérique", ses puissantes émissions d'ondes
ionisantes ayant par exemple le pouvoir de modifier le climat*. De ce fait la Terre est un être vivant, non seulement à partir de l'atmosphère qui l'entoure, mais également dans les portails
magnétiques qui la composent*². C'est cet espace protecteur qui est le catalyseur qui lui donne la vie par l'intermédiaire des particules ionisantes qui s'organisent en champs d'énergies de très
haut potentiel électrique. Cette activité électrique donne naissance au chaud et au froid, au sec et à l'humide, à la pression et à la dépression, aux orages et aux éclairs.
L'Univers est ainsi un immense édifice formé d'étages vibratoires, tous les corpuscules (électrons, protons, neutrons) étant des singularisations de l'énergie qui le constitue. De ce fait les
mondes physiques et psychiques sont solidaires parce qu'ils sont de même essence, esprit et matière étant les faces opposées et complémentaires de la même énergie. Par les signaux, oscillations consistant en une série de pulsations rythmiques exprimées en hertz, nous sommes reliés au champ électromagnétique global. Décodées par le cerveau,
elles sont alors traduites en données conscientes. Elles constituent peut-être à ce titre le support d’un processus de perception extrasensorielle de type radar pour tous les êtres
vivants.
* Cf. Programme HAARP(High Frequency Active Auroral Research
Program). Installé à Gakona, en Alaska, co-géré par
l'Université de l'Alaska et placé sous l'autorité conjointe de l'US Air Force et de l'US Navy, ce programme a été construit en 1990. Ses 180 antennes recouvrent 14 hectares, et permettent
d’étudier les propriétés de l’ionosphère, la couche supérieure de l'atmosphère.
*²Les scientifiques de la NASA ont pu déterminer, après bien de scepticisme de la communauté scientifique traditionnelle,
l'existence de portailscausant des phénomènes électromagnétiques dans l’atmosphère terrestre. Ils les
ontappelés " X-points " ou " régions de diffusion d’électrons ". Ils sont placés
exactement là où le champ magnétique terrestre se connecte et flirte avec le champ magnétique du Soleil, ce qui, en tournant, crée un chemin ininterrompu de premier plan depuis notre planète
jusqu’à l’atmosphère du Soleil qui se trouve à 150 millions de kilomètres. Ils permettent le transfert de centaines de milliers de tonnes de particules magnétiques qui affluent depuis
le Soleil, ce qui cause, entre autres, les aurores boréales aux pôles et une grande partie des tornades, tempêtes et ouragans. Ils permettent également le transfert et l’échange de champs
magnétiques entre la Terre et le Soleil.
De la résonance
Le "verbe" est le son, ou la vibration, à l’origine de la création*¹. Tout dans l’Univers est vibration électromagnétique, liée à sa dynamique de mouvement
permanent. Toute matière en général et chaque cellule humaine en particulier essaient de maintenir une constante résonance harmonieuse ou syntonisation avec le pouls de la Terre*². L'énergie, le
son, la couleur, la matière, les pensées humaines, l’imagination, la parole, la prière … sont les déclinaisons vibratoires qui se manifestent sous des formes spécifiques. Ces formes sont
subtiles, car elles ne possèdent pas d'énergie propre. Elles se répandent simplement pendant un temps donné dans un espace spécifique, en interaction avec une multitude d'autres vibrations. Le
phénomène de résonance découle de certaines vibrations qui ont une tonalité similaire, et lié à l’intensité, l’amplification, le volume des sons produits dans certains milieux, que ce soit par la
voix ou des instruments de musique par exemple.
Certains lieux spécifiquement identifiés et conçus par des experts de l’art produisent une caisse de résonance particulièrement forte, comme nombre d’édifices
sacrés (ainsi les cathédrales gothiques). Des phénomènes naturels comme certaines marées ont un caractère renforcé par la combinaison des forces de la gravitation et de la position axiale des
astres lunaire et solaire. Notre vécu quotidien est également marqué par les applications de la résonance que chacun peut observer sinon apprécier dans la performance du moteur à deux temps par
la forme de son pot d'échappement, des récepteurs radio, en électronique, en imagerie médicale… Les ouvrages de génie civil comme les ponts en tiennent compte pour assurer leur fiabilité. Et bien
entendu, la résonance d’une œuvre artistique comme la musique*³ à l’intérieur de nous-même produit un effet spécifique selon notre réceptivité.
Tout réside dans l'augmentation de l'amplitude d'un système qui produit des vibrations et de leur rencontre avec des vibrations ayant une période proche ou
similaire. En effet, quand on place deux modules électroniques à côté l’un de l’autre, l’un vibrant plus intensément que l’autre, le module de basse fréquence a tendance à copier par résonance
celui de plus haute fréquence. C’est l’effet d'excitation et d'augmentation de la force produit qui donne à la résonance sa puissance. Aussi quand le champ vibratoire du complexe
mental/esprit/corps humain est placé dans le champ d’un module autre, humain ou planétaire, il entre en résonance avec la fréquence supérieure. C’est alors le choix et le libre arbitre de la
personne, soit son état de conscience, qui vont déterminer ce vers quoi elle s’aligne.
*¹ Les traditions sanskrites évoquent le souvenir du premier son qui a retenti dans le magma indifférencié de la création potentielle, "OM" ou "AUM", dont la
longueur d’onde est de 7,23 cm (découverte des laboratoires états-uniens Bell), moyenne de tous les sons de tous les objets de l’univers (également moyenne de la distance entre deux yeux, entre
le bout du menton et le bout du nez, moyenne de la paume de chaque main…).
*² La Terre, de nature capacitive, non statique, accumule une charge électrique jusqu’à ce qu’elle trouve un chemin pour le relâcher, conformément aux règles de
la physique. Sa fréquence de résonance fondamentale, en lien avec d’autres corps célestes comme le Soleil, est depuis des millénaires de 8 cycles par seconde, soit 7,8 Hz. Elle semble se diriger
comme le prévoit la série de Fibonacci vers une vibration d’environ 13 cycles par seconde, soit 13 Hz, avec, compte-tenu de la diminution de la densité du magnétisme planétaire, ce qui en découle
pour le cerveau humain et les émotions de son corps.
*³ Ainsi la pratique du piano, basée sur un processus de transformation dit gamme chromatique, huit notes blanches et cinq notes noires, soit treize notes de do
à do dans l’octave suivante. Sa parfaite maîtrise confine à l’harmonie, comme pour tout autre instrument.
Par la nature électromagnétique* et essentiellement cristalline de la Terre, ses composantes (atomes, molécules) et les composantes de l'Univers (particules subatomiques), nous sommes en
permanence en interaction avec toutes les composantes de l’Univers. D'abord celles de notre dimension en 3-D (4-D avec le temps), avec les minéraux, les bactéries, les plantes, les insectes, les
animaux et les humains, et ce quelles que soient les distances, même si nous n'en avons pas conscience. Mais également avec d'autres dimensions ignorées de nos sens physiques, mais non de nos
sens subtils. Cette résonance, battement de cœur planétaire, participe à la régulation de notre horloge interne, agissant sur notre équilibre, le sommeil et les
rêves, les états d’éveil, les secrétions hormonales et notre concentration mentale. Elle fixe le tempo de notre santé et de notre bien-être, et questionne quant aux manipulations humaines de
l’ionosphère (type le programme HAARP).
Les visions, les sons, les saveurs, les odeurs, n'existent pas dans la nature. Il s'agit seulement d'un ensemble d'ondes et de molécules, molécules constituées d'atomes. Nous percevons l'atome
comme une sorte de boule dure, mais en fait, il y a un tout petit point de matière très dense au centre entouré d’une sorte de nuage cotonneux d’électrons qui vont et viennent, apparaissent et
disparaissent. Le noyau que nous croyons massif apparaît et disparaît aussi facilement que les électrons. Un atome est une vibration, un fragment concentré d’énergie, d’information, une sorte de
pensée.
Ce lien au sein d'une banque de données d'information commune est une faculté d’unification globale, nous permettant entre autres de participer à l’unisson aux moments forts, heureux (l’homme
marchant sur la Lune...) comme tragiques (World Trade Center, décès de Lady Di...) qui se déroulent sur la planète Terre.
* C’est en 1935 que le Docteur allemand Ernst Hartmann (1915/1992) émit l’hypothèse qu’un réseau électromagnétique couvrait l’ensemble de la surface terrestre
sous la forme d’un quadrillage régulier orienté est-ouest et nord-sud. Le météorologue allemand Curry quant à lui détermina un autre réseau tellurique dit "diagonal" par son orientation
nord-ouest/sud-est et nord-est/sud-ouest. De son côté, le physicien allemand Winfried Otto Schumann découvrit en 1957suite au physicien serbe Nikola Tesla les Ondes Transversales Magnétiques Terrestres, aujourd'hui connues sous le nom d'Ondes de Schumann ou Résonance de Schumann.
Il s'agit d'un phénomène atmosphérique naturel et permanent qui se propage autour de la Terre sous la forme d'une Onde Radioélectrique.
Puits
Le puits est un regard sur la ligne de concentration d'énergies souterraines à la Terre qui fait résonance avec le champ de l'Ionosphère. Souvent présent dans
l'architecture sacrée (églises, cathédrales), il permet aux officiants d'établir la liaison entre le terrestre et le céleste, et de faire chanter la musique des sphères via la crypte, les
colonnes et les piliers de l'édifice, la ou les tours extérieures captant l'énergie du haut et la projetant vers le bas.
Si les matériaux de la Terre font résistance en créant des concentrations d'énergies à certains endroits et des dépressions à d'autres, le champ humain possède son propre champ électrostatique
autour de lui, ses lignes de champ résultant de diverses réactions biochimiques dans le corps. On le nomme le "Bio champ"*, et il nous accouple au champ isoélectrique de la planète par les ondes
de fréquence de Schumann, établies à environ 7,83 Hz (cycles par seconde) et coincées dans la cavité d'air comprise entre la surface du sol et l'Ionosphère, cette cavité jouant le rôle de
régulateur des ondes qui s'y propagent (foudre, éruptions solaires, ionisation atmosphérique, cycles diurnes...). Ces ondes de fréquence vibrent à la même fréquence que les ondes cérébrales des
êtres humains et des mammifères en général, celles de l'hypothalamus, petite région située au cœur du cerveau qui fait le pont entre le système nerveux autonome et le système endocrinien. C'est
une constante biologique sans laquelle la vie humaine est impossible, c'est dire son importance. Ces ondes font que lorsque nos corps se déplacent et vibrent, leurs mouvements sont transmis à
l'environnement et vice-versa. Nos corps agissent comme des vidanges pour le champ électrostatique, déformant ses lignes de force. Lorsqu'un homme par exemple est en méditation profonde,
caractérisée par des ondes aux rythmes Alpha et Thêta qui traversent son cerveau, une entrée en résonance peut se faire entre l'être humain et la planète Terre. La planète
Terre, en effet, communique avec nous selon ce langage primitif des fréquences.
* Ce terme découle du Bioplasma, issu des travaux du scientifique russe V. S. Grischenko en 1944 pour décrire la nature subtile de la matière,
soit un organisme biologique formé de champs électrostatiques, électromagnétiques, acoustiques et hydrodynamiques. Autrement dit la description de l'éther, le cinquième
élément.
Ainsi le champ Isoélectrique de basse fréquence de la Terre, le champ magnétique terrestre et le champ électrostatique qui émanent de nos corps sont étroitement imbriqués. Nos rythmes internes,
caractérisant notre " taux vibratoire ", interagissent avec les rythmes externes, affectant notre équilibre. Car les fréquences des signaux de cette résonance varient en fonction des conditions
Ionosphériques qui changent quotidiennement, de façon saisonnière, et selon les variations de l'activité solaire liées au cycle de 11 ans des tâches solaires et au cycle lunaire de 27/29 jours,
surtout durant les périodes de taches solaires minimales. Les marées lunaires, en affectant la hauteur et l'épaisseur des couches peuvent modifier les dimensions de la cavité et par conséquent
les fréquences de résonance. Si les signaux naturels de la résonance de Schumann ont une influence sur nos ondes cérébrales, y compris ceux de faible puissance, ils indiquent que les champs
électriques produits par les technologies humaines modernes peuvent constituer des sources de perturbations et de changements, comme par exemple, à plus ou moins long terme, l'extinction
progressive d'espèces existantes. Même la santé et la concentration mentale des hommes semblent liées aux paramètres géophysiques par le biais de ces résonances qui participent sans doute à la
régulation de notre horloge interne, agissant sur le sommeil et les rêves, les états d'éveil et les sécrétions hormonales. Ses variations peuvent affecter gravement tant notre santé que
notre comportement (diminution de la résistance immunitaire, prolifération de cellules anormales de nature tumorale, comportements asociaux, troubles mentaux profonds, états psychosomatiques,
perturbations neurologiques).
Le Taux Vibratoire de l'être humain
Il n’est pas facile de définir exactement ce qu'est le taux vibratoire d'un individu dans la mesure où tout étant énergie, la matière n’est qu’une sorte d’ultime
concentration de l’énergie. On peut à cet effet remarquer que toute matière ne possède pas la même dureté, la même masse, donc la même "concentration" d’énergie. L’énergie se transmet et se
mesure en "vibrations". Ainsi les sons et la lumière se transmettent par des vibrations qui leur sont propres. Le Taux Vibratoire est la mesure de la qualité de cette énergie structurelle. Elle
se mesure grâce au biomètre de Bovis*, qui par ses unités dites "UB", s’applique absolument à tout : objets physiques
inanimés, êtres vivants (plantes, animaux, êtres humains). Selon l’endroit où les mesures sont prises, de très grandes variations de taux vibratoires allant de Taux négatifs très bas à des Taux
extrêmement élevés. Si les êtres humains sont en général entre 6000 et 9000 U.B.,certaines personnes, dont le style de vie physique et spirituel est en adéquation avec les grandes valeurs humaines et universelles, ont largement dépassé les 100.000 U.B.,
constitutifs des limites de la 3ème dimension de réalité. Les lieux sacrés dépassent quant à eux les 5 ou 600.000 U.B (en Égypte, des mesures sur la pyramide de Louxor ont donné des
mesures allant de 28 à 30.000 unités). Ces mesures sont menées à partir du "cadran de Bovis", qui permet de mesurer trois plans vibratoires : le physique, qui va de 0 à 10.000
unités, pour l’intensité d’un lieu dont la vibration a un effet sur le physique de l’être humain ; l'énergétique ou corps éthérique, qui va de 11.000 à 13.500 unités ; le domaine spirituel,
mesuré dans les lieux sacrés. Il va sans dire que cette mesure n'est pas reconnue sur le plan scientifique.
* Même siun doute subsiste sur son véritable prénom,Jacques Bovis
(1871/1947) est un radiesthésiste géobiologue, concepteur de l'échelle éponyme de mesure du taux vibratoire d'un lieu ou d'une personne. L’unité "angström" (UA) fut quant à elle nommée ainsi en
l’honneur du physicien suédois Anders Jonas Angström (1814/1874), l’un des inventeurs de la spectroscopie ou spectrométrie, pour désigner
l'étude expérimentale du spectre d'un phénomène physique. On analyse par spectroscopie non seulement la lumière visible, mais aussi le rayonnement électromagnétique dans toutes les gammes de
fréquences, les ondes élastiques comme le son ou les ondes sismiques, ou encore des particules ou des masses.
La science physique démontre dans le fondement des particules élémentaires subatomiques ce mécanisme de fonctionnement de l'univers depuis son virage quantique du vingtième siècle. Les particules
essentielles de l'univers n'ont pas une identité en soi distincte*. Elles sont des potentialités. Dans la plupart des circonstances, deux ou davantage de particules sont inextricablement
connectées les unes aux autres, contribuant de ce fait à la dynamique permanente du système. Tout organisme est la somme de sa connexion avec l'environnement dans une forme matérielle. Il est
ainsi établi la connectivité de toutes les choses entre elles.
Pour autant, la science ne reconnaît en l'état que la matière est une onde, cette hypothèse n’ayant jamais pu être démontrée ni commencer à être démontrée. Elle relève de ce fait de la conjecture
que chacun(e) établit en son âme et conscience ...
* Atome signifie "ce qui est insécable", qui ne peut être coupé ou séparé.
Cf. Travaux des physiciens Jerry Mitrovica et Alessandro Forte.
Dans le système solaire au sein duquel s’intègre la planète Terre nous connaissons principalement l’influence des astres solaire et lunaire, indispensables au fonctionnement de la vie sur Terre
et dont nous ressentons les effets à travers ce que nous nommons l’influence de l’attraction géomagnétique du Soleil, point central du système. Cette attraction découle de l’effet gravitationnel
de chaque planète entre elles*. Par exemple, comme la Terre est composée à 75 % d’eau, la Lune l’affecte à travers les océans et leurs marées. Cependant, le " jeu " du champ géomagnétique est
global et repose sur une interaction permanente de chacune de ses composantes. Ainsi Jupiter et Saturne influent également sur notre activité physique et mentale via l’attraction gravitationnelle
qu’ils ont sur l’orbite de la Terre. Tout comme la Terre, dont la vitesse de rotation est de 1.670 km/heure, tourne autour du Soleil à la vitesse de 106.000 km/heure, le Soleil n’est pas
stationnaire, se déplaçant à une vitesse extrêmement rapide, jusqu’à 828.000 km/h. Tout le système solaire entier est en orbite autour de notre galaxie, la Voie Lactée. Il faut 220 millions
d’années au Soleil pour tourner autour d'elle.
En fait, toutes les planètes du système solaire, estimées en 2016 à 20 milliards, traversent l’espace à une vitesse extrêmement rapide avec le Soleil *², créant une onde sinusoïdale sans fin.
Cela suppose que le Soleil et les planètes ne sont jamais à la même place.
*Cf. Travaux du physicien Johannes Kepler sur les lois cinématiques régissant les
orbites du système solaire.
*²Il se situerait selon l'Union astronomique internationale
(UAI) à 150 millions de km de la Terre, distance illusoire "officielle-ment" gravée dans le marbre par les "menteurs officiels" de la science.
Même si l’attraction gravitationnelle de toute planète est petite, son effet de marée produit un effet cumulatif sur la magnétosphère en termes de climat comme de biologie. Cet effet est non
linéaire, chaotique, les orbites des planètes étant elliptiques et les planètes tournant sur leur axe selon un degré d’inclinaison particulier à cause des effets gravitationnels. Il y a ainsi
coexistence d’effets non prévisibles et d’effets prévisibles lorsque l’effet de résonance entre deux planètes est établi selon une relation mathématique régulière dans leur période de rotation
l’une autour de l’autre. Ainsi la Lune qui met autant de temps à tourner autour de la Terre qu’elle n’en met à tourner autour de son axe.
En plus des effets chaotiques de la gravité, les champs électromagnétiques créés par chaque corps du système solaire peuvent interagir les uns avec les autres et affecter le Soleil, la Lune et la
Terre. De même, nous savons que le champ magnétique interplanétaire entre la Terre et le Soleil ainsi que l’enveloppe géomagnétique de la Terre interagissent le plus pendant les équinoxes,
principalement à cause de la rotation de la Terre sur son axe.
Nous sommes une partie d’un système planétaire plus vaste, composé de milliards et de milliards de planètes dont certaines plus habitables que la Terre*, lien cosmique d’interrelations complexes
et de flux constant. Tout s’agrège dans un système énergétique global qui, par les forces gravitationnelles et l’électromagnétisme, permet le vivant de tout organisme, du macrocosme au
microcosme. Nous ne sommes pas les maîtres de l’Univers, ni de nous-mêmes. Nous résonnons à l’unisson !
* Cf. Science et Vie de juillet 2015.
Le regard que nous portons
Tout créateur artistique exprime son don, son talent, sa passion, sur une toile imaginaire ou tangible au sein de laquelle il se projette et tisse les éléments de sa création. Cette toile est
immense, infinie, offrant par son panorama élargi tout le champ des possibles si nous savons échapper aux systèmes de croyances rigides, à courte vue, manipulatoires, autant de pare-feux dressés
pour nous limiter*.
Notre futur s’invente en permanence, aventure ouverte où rien n’est jamais écrit à l’avance. Nous portons en nous, dans notre état d’esprit, l'état de notre conscience, et par notre libre arbitre
les germes de la grande toile que nous voulons voir tissée, du film, de la ligne de vie, que nous voulons voir joués. Cette toile, fenêtre ouverte sur l'information sous forme d'énergie qui y
circule, est en partage, vaste et surabondante. C'est pourquoi elle est le champ, la matrice de la Perception infinie, la matrice originelle. Elle est simplement ce que nous voulons en faire, une
fois compris que le pouvoir de création comme de réalisation est en nous, jamais à l’extérieur.
Cette toile, la matière "noire" de l'Univers, l'énergie "sombre", est constituée du même matériau que l’esprit, notre esprit, à partir de ces germes psychiques étendus et dispersés à l’infini
dans les particules. Cette matrice, ce treillis collectif (autrement appelé apex cosmique), enrobe et pénètre tout, incluant au lieu d’exclure, en partage afin que nous y puisions tout
ce que nous désirons vivre et expérimenter. A l’intérieur de chaque particule circulant dans la toile, le champ unitaire de l'univers, réside aussi bien ce qui est voulu que le manque de ce qui
est voulu. En d'autres termes, chaque chose agréable a une contrepartie désagréable. Lorsque nous nous concentrons sur un aspect non voulu, non désiré, et dans un effort pour l’éloigner de nous,
cela ne fait que le rapprocher. Nous attirons et obtenons ce à quoi nous prêtons attention, que ce soit quelque chose que nous voulons, ou quelque chose que nous ne voulons pas. C’est à nous de
nous focaliser sur ce qui est voulu pour l’attirer. Tout est question d'attention et de concentration sur ce "Un", la matrice de la Perception infinie, et l'"unifié particulier" que nous
désirons. Pour ce faire, nous faisons intervenir le mental, l'intellect, et le ressenti, l'intuition, le sentiment que ce que nous désirons est déjà là*. Nous devenons Perception infinie dans les
moindres ondes et particules de notre être.
Le champ unitaire, champ d'expression de l'humanité au sein de l'univers
En physique le champ est un endroit où l'espace est structuré par l'information, soit de l'énergie, qui y circule sous forme d'ondes magnétiques, la particule étant
une densification électriquement chargée de champ, au même titre que la molécule, l'organe, le corps... C'est le chaînage constitutif des formes que l'on y trouve (minérale, végétale, animale et
humaine), dans leur structure (noyau) comme dans leur mémoire (ADN). Cependant ce champ de l'univers n'est pas polaire. Il n'est pas de nature électromagnétique, comme le spectre conventionnel
composé de lumière visible, d'ondes radio, d'ondes infrarouges, de micro-ondes et de rayons X. Il est un champ vivant, distinct du champ physiologique, opérant dans le domaine mental et
correspondant à ce qu’on appelle normalement la Conscience, perception du SOI (awareness en anglais).
Nos consciences baignent dans ce vaste champ énergétique, que la physique actuelle nomme champ quantique ou morphogénétique, que la Tradition ésotérique appelle
monde astral, et que la tradition védique (hindouiste) appelle champ âkâshique ousubstance primordiale âkâshique
immuable.
Ce champ unitaire est composé d'une multitude de champs en structure gigogne, caractérisée par des niveaux d'intensité de nature subtile échappant en l'état à la
mesure scientifique, pouvant cependant être perçus par des états modifiés de conscience (méditation, médiumnité, télépathie, clairvoyance...). Le champ quantique tel qu'expérimenté sur le plan
scientifique est le niveau le plus dense et proche du monde matériel, qui voient les énergies se matérialiser pour agir dans la matière. La Tradition le nomme champ éthérique.
Ce champ énergétique, l'éther des Anciens, se décompose en sept états, l'état matériel se décomposant en trois.
Cf. Travaux de l'astronome britannique Fred Hoyle (1915/2001)], pour qui l’Unité est conférée par un "champ universel de création" plus vaste que les autres
champs connus de la physique et les intégrant.
État atomique ultime
Atomes ultimes de la vie
État sous-atomique
Le noyau positif (lumière)
État super-éthérique
Les neutrons (sons)
État proto-élémentaire
L'ionosphère (couleurs)
État matériel
État gazeux, état liquide, état matériel dense.
Cette toile ou tissu, réseau énergétique possédant une distribution de forme géométrique* -autrement appelé géométrie sacrée -, est le sens de l’existence. Elle permet l’unification du monde,
celle de l’esprit et de la matière, ce champ de Perception infinie et imperturbable où s'évanouissent les illusions de la vibration, de la polarité et de la forme. Elle fusionne - même si ce
principe n'est pas reconnu scientifiquement, loin s'en faut - l’apparent tout avec le rien, soit le psychisme avec lui-même. C'est le support d'une
intelligence qui agit sans cesse, s'exprimant de manière créative par son intermédiaire, afin de créer la matrice de notre monde visible et prendre ainsi conscience de son existence en constante
évolution. Tout y est étroitement interconnecté, le changement d'un seul système impliquant le changement des autres. C'est ce qui est nommé l'intrication quantique*², ou non-localité
(en anglais entanglement), qui voit des systèmes physiques séparés spatialement correspondre entre eux. Notre réalité en 3-D n'est rien d'autre qu'un champ neuronal créé dans le
cerveau, qui interagit avec la structure pré-spatiale qui la caractérise, soit le domaine d'où émergent l'espace, le temps, la matière, l'énergie, la vie biologique et la conscience. Le champ
neuronal créé par le cerveau provoque une distorsion dans cette toile, déclenchant ainsi une interprétation partielle perçue comme une image, d'autant plus par les conditionnements et les fausses
croyances qui sont distillés. Aussi elle nous appelle à regarder différemment l’Univers dans ses autres réalités dimensionnelles, à regarder différemment ce que nous nommons l’existence, pour
goûter son spectacle extraordinaire, sa symphonie enchantée, celle de la Réalité telle qu’elle est, dans son unité vivante, hors dualité ni ego. Elle est conçue pour la communication et pour
l'équilibre, à partir de ses lois et principes de structuration et de fonctionnement.
*² Cf. Travaux de Erwin Schrödinger, physicien et philosophe autrichien (1887/1961), considéré comme un des Pères de la mécanique quantique.
L'exemple de l'économie
Pour un esprit rationnel, l'économie est une discipline qui répond à des principes et à des mécanismes bien précis, suivant les fondements théoriques auxquels ils
se réfèrent. Pourtant, de manière scientifique, l'économie ne considère pas les flux de monnaie, mais les flux d’énergie. En effet, la monnaie est une quantité
fictive, rendue nécessaire par les échanges. Mais les êtres humains ne satisfont pas à leurs besoins par leur seule activité. Une société humaine n’est pas une ruche d’abeilles. Si toute
activité humaine est récompensée en l'état par la jouissance individuelle de biens et de services, compensant la production de biens et de services pour la communauté, le bon fonctionnement du
collectif passe par la solidarité envers tous ses membres, dont les plus fragiles : personnes empêchées ou limitées par un handicap physique, celles qui en sont provisoirement écartées pour des
raisons structurelles (chômage), les personnes âgées, les étudiants, le conjoint qui reste au foyer pour élever des enfants, etc. La monnaie n’est donc qu’une grandeur fictive.
La vraie base physique de l’économie, ce sont les flux d’énergie, à l'instar de toute activité humaine ne pouvant être réalisée sans une consommation d’énergie.
Aussi les flux d’énergie représentent la vraie richesse, non les flux monétaires qui représentent une richesse virtuelle. Cetterichesse se compose de deux
types : les biens et services de consommation pour lesquels l’énergie est consommée à l’utilisation (nourriture, carburant, services à la personne,…), qui ne sont utilisés qu’une fois ; les biens
et services qui constituent le capital productif des entreprises, pour lesquels l’énergie est consommée à la fabrication, utilisés sur une durée plus ou moins longue. Plus une société est technologiquement et culturellement avancée (complexe), plus le capital nécessaire à son fonctionnement est important. Le progrès d’une société
est alors en grande partie conditionné d’une part au fait de faire les bons choix dans la part de l’utilisation de la richesse-énergie dont elle dispose entre la consommation et l’investissement
dans les moyens de produire la richesse future, d’autre part à l’efficacité du système productif. Si les choix ne sont pas sages, que la société doit faire enfler les dettes monétaires pour
continuer à assurer son fonctionnement, elle court vers un inexorable déclin.
Bien entendula spéculation financière est aussi un aspect purement abstrait qui n'a rien à faire dans une économie
fonctionnant conformément aux lois de la Nature.
Cf. Jean-Paul Devos, physicien - Livre (traduction) "Richesse, Richesse virtuelle et Dette" de l'auteur scientifique britannique Frederick Soddy
(1926).
L'humain confiné
La frontière qui sépare le monde classique et le monde quantique est étrange, mystérieuse. Dans le monde quantique il y a différentes possibilités superposées. Dans le monde classique, ces
différentes possibilités se convertissent en une seule, concrète et définie. Tout se trouve à un endroit précis. C'est la conscience qui sert de pont entre ces deux mondes. C'est dans la
conscience que se produit l’effondrement de la fonction d'onde, appelé collapse psy. Ceci explique pourquoi les Sages de l'Inde ont toujours affirmé que la matière était une parfaite
illusion (mâyâ).
La planète Terre recelant un noyau cristallin en son centre, cela signifie qu'il possède par ses propriétés énergétiques une rotation complètement indépendante de sa surface. Situé au milieu
d'une sorte de caverne, il serait constitué de 3 sphères cristallines imbriquées l'une dans l'autre. Selon l'astrophysicienne italienne Giuliana Conforto, ce cœur interne aurait la même
radio-fréquence que la planète Mercure, et la couche la plus externe et fluide de ce noyau, aurait la même fréquence que la planète Mars. Et lorsque ce noyau tourne indépendamment du manteau le
plus externe de la terre qui possède quasiment la même radiofréquence que Vénus (qui elle est légèrement plus basse que la fréquence du manteau visible, la biosphère de la terre), nous comprenons
alors que la biosphère présente environ 30 km d'épaisseur, ce qui n'a rien à voir avec ce que la science officielle tente de nous faire croire.
Si l'homme n'est jamais parvenu à comprendre ce qui se passe en dessous du manteau terrestre, il en est de même pour l'atmosphère au-dessus de sa tête. Nous sommes entourés en effet par ce que
nous nommons les ceintures de Van Allen (Cf. chapitre le rayonnement structurant), qui ne nous permettent pas de voir ce qu'il y a au-delà et ce qu'elles nous cachent. Il est ainsi confiné dans
une sorte de pomme, vivant non pas dans son cœur - la zone autour des pépins - mais dans la pulpe du fruit. Nous ne savons donc pas ce qu'il y a au cœur de la pomme, ni au-delà de sa peau. Mais
ce qui est important, c'est que nous savons que l'espace extérieur est constitué de la magnétosphère, et que cette dernière est le résultat de l'activité du cœur intérieur de la terre.
Celle-ci est constituée de plasma, matériel fluide très dense. La magnétosphère est donc décrite comme une sorte de ceinture qui se comporte comme un miroir constitué de ce plasma radioactif.
Nous ne pouvons donc pas voir au-delà du miroir, mais nous ne voyons que la face du miroir dans lequel nous regardons. Nous voyons donc simplement ce que le miroir nous montre.
En réalité la magnétosphère est constituée de multiples couches de miroir (comme les ceintures de Van Allen qui sont multiples), de 700 à 25 000 km de hauteur. Les anciens astronomes les avaient
appelées les sphères de cristal. Ils se basaient sur l'astronomie de Ptolémée qui était l'antithèse de l'astronomie Copernicienne. L'astronomie moderne donc Copernicienne, utilise des télescopes
qui ne parviennent pas non plus à franchir la magnétosphère. En réalité, ils ne font qu'observer l'intérieur du miroir. Mais elle est parvenue à l'aide de sondes à passer dans ces fameuses
ceintures. Elle a découvert une sorte de zone de cristal liquide qui forme les couches externes de ces champs de Van Allen.
La terre est-elle ronde ?
De nombreuses théories s'affrontent, certaines remettant en cause le concept de terre ronde et pleine pour l'inverse, une terre plate et creuse. Cependant, la
raison revient à considérer qu'aucune des théories à propos de la terre n'est vérifiable, même si toutes ont leur sens. Pour notre esprit humain limité*, il n'est pas possible d'avoir une vue
d'ensemble de la terre, conditionné que nous sommes pour ne voir qu'une certaine fréquence. La réalité perçue est celle de la conscience selon la densité dans laquelle "évolue ou navigue"
l'esprit de l'observateur. Ainsi en 2ème densité, nous la verrions plate, simplement parce que nous serions incapable de percevoir le volume ou la profondeur de champ et toutes les fréquences de
dimension qui la constitue.
En 3ème densité, nous voyons effectivement l'enveloppe physique de la terre, telle une forme sphérique légèrement oblate qui se déplace dans l'univers. La sphère
est en effet la forme géométrique la plus adaptée à se mouvoir parmi les courants électriques, magnétiques, plasmatiques et autres, qui constituent l'univers. Seule une conscience de 4ème densité
(soit de 5ème dimension de conscience) verrait la planète terre dans sa totalité. Elle verrait donc simultanément les différentes configurations géométriques et physiques en rapport avec la
fréquence de densité qu'elle explore. Observée ainsi par des êtres de densité supérieure, la planète terre ressemblerait à une masse d'énergie dont la plus petite partie serait densifiée et la
plus grosse proportion, non densifiée. Son diamètre serait de cinq à six fois supérieur à ce que perçoit l'œil humain de 3ème densité. La terre change perpétuellement de taille, de densité, de
configuration matérielle et non matérielle, ce qui dépasse l'entendement humain. Elle ressemblerait à la configuration énergétique observée par l'homme, de n'importe quelle étoile dans le cosmos.
Pour percevoir la terre dans sa réalité, il nous faut parvenir à faire abstraction de l'illusion de l'espace-temps propre à l'homme.
* L'aspect visible est rendu tangible par les photons (la lumière visible) qui sont émis.
Ainsi, ce que nous croyons voir n'est que ce que la science nous a obligé à croire, c'est à dire la séparation entre les planètes alors que la réalité est que toutes les planètes sont imbriquées
les unes dans les autres. Mais à cause de la courbure des miroirs, nous les voyons isolées, localisées, parce que nous croyons qu'elles sont séparées par des distances. Cela est comparable à la
lumière blanche diffractée par un prisme, qui se sépare en différentes couleurs. En réalité, les différentes couleurs sont issues de la même lumière. L'illusion vient du fait que nous croyons
qu'il existe un espace qui sépare les couleurs, nous croyons à l'image que nous voyons dans le miroir. Cette même illusion se répète lorsque nous regardons le ciel, car nous croyons que les
planètes sont séparées par l'espace, alors qu'en réalité elles sont imbriquées les unes dans les autres par une géométrie multidimensionnelle.
Le physicien Kepler a essayé d'expliquer cela en disant que nous ne sommes pas dans un univers à trois dimensions ou un espace à deux dimensions, mais comme le prétendait Einstein également
dans un espace à géométrie multidimensionnelle. Ce que nous voyons est une projection multidimensionnelle de notre réalité. Les planètes de notre système ne sont pas du tout si distanciées que
nous pourrions le croire, mais elles nous semblent séparées à cause de la différence et de la succession de radiofréquences dues à la différence de composition de leur couche minérale. Elles ne
sont donc pas séparées mais le semblent, à cause de leur différence de fréquences ; comme lorsqu'on se contemple dans les trois miroirs de l'armoire de toilette d'une salle de bain qui nous
reflètent quasiment à l'infini.
C'est pourquoi lorsque nous observons le firmament étoilé nous ne voyons pas la réalité. Nous nous regardons dans un miroir multidimensionnel formé de plasma, qui nous reflète en infiniment de
fois, dans d'infinies quadri-couches dimensionnelles. Nous voyons "l'ensemble" de la terre se composant de plusieurs couches, qui sont les planètes que nous croyons voir dans le ciel. Nous voyons
alors les images d'une illusion, simplement parce que nous croyons qu'il s'agit de la réalité. Ce n'est que le miroir de la totalité de nos croyances... Ainsi le "petit soleil", le noyau
cristallin de la Terre, projette sur les parois de cette grotte formée par la magnétosphère - les ceintures de Van Allen - des quantités d'images qui ne sont en vérité, que les ombres de la
réalité. C'est ce que Platon a traduit dans son allégorie de la caverne. Nous confondons ces ombres avec des dessins animés que nous regardons à travers un kaléidoscope...
Pourquoi la "réalité" est une illusion
La science affirme que les formes que nous discernons, quelles qu'elles soient, sont faites d'atomes. Les atomes ne sont pas solides, ils sont fondamentalement
vides. Ils constituent des champs d'informations électro-vibratoires, qui participent seulement au processus de façonnage de l'illusion de la solidité, de l'apparente réalité. Cet environnement
qui nous pénètre et établit notre décor d'expression et de vécu, n'apparait que par le jeu du décodage de l'illusion de ces champs énergétiques, en l'occurrence des hologrammes. Cet "état
concret" en 3-D, tridimensionnel, n'existe que dans notre esprit, par l'intermédiaire du cerveau, processeur et décodeur d'informations reçues par les signaux électriques qui lui sont adressés
par nos cinq sens. Ceci veut dire que la manipulation de la réalité se fait toujours par les cinq sens... Ces sens sont des décodeurs physiques de fréquences d'énergies - ainsi le son -, qu'ils
convertissent en signaux électriques. L'organe cerveau est ainsi une matrice fréquentielle d'énergie, qui décode avec l'ensemble du réseau cybernétique de l'ADN* ces signaux pour les restituer
sous forme de réalité apparente. Tout n'étant qu'énergie-conscience, la question se pose de l'état de notre perception. Si nous n'avons de sensations et de perceptions qu'à travers nos cinq sens,
nous sommes débranché de la Perception infinie multidimensionnelle, Celle du champ créateur de l'univers auquel nous appartenons. Nous sommes confiné au spectre de fréquences étroit de la
dimension binaire de la réalité terrestre, et de sa prison mentale dont le geôlier se nomme croyance*².
Le monde physique n'a pas de manifestation, jusqu'à ce qu'il soit observé comme une forme.
Qui peut prétendre à connaître la constitution intime de la matière tangible ? Elle n'est compacte que par rapport à nos sens physiques. Elle a pour élément primitif ce fluide du cosmos nommé
éther et ses particules d'information véhiculées par l'onde du vivant, la gravitation. Aussi en se désagrégeant dans le cadre de l'alternance des cycles évolution-involution, elle retourne à
l'état d'éthérisation lorsque les conditions de cohésion cessent d'exister, tout comme le diamant, le plus dur des corps, peut se volatiliser en gaz impalpable. Traversée par le fluide de
l'Esprit universel, du grand champ de Conscience, elle ne fait pas plus d'obstacle que les corps transparents n'en font à la lumière...
"Tout ce que nous voyons ou croyons n'est qu'un rêve dans un rêve"
Edgar Allan Poe - Poète et romancier états-unien (1809/1849)
"En ce qui concerne la matière, nous avons eu tout faux. Ce que nous avons appelé la matière est en réalité une énergie dont la vibration a été ainsi réduite à être perceptible par les sens. Tous
les êtres de matière vibrent à des niveaux particuliers. La nature musicale de la matière nucléaire, des atomes aux galaxies, est maintenant enfin reconnue par la science."
Albert Einstein
Constitution de la Toile
Pour comprendre la constitution physique de la toile dans toutes ses dimensions, il convient de distinguer la différence existante entre une galaxie et un système solaire.
Au milieu d’un système solaire comme celui que nous connaissons, il y a une masse "ordinaire", constante, peu importe sa taille. Le soleil est au centre de ce système, modulé à chaque seconde par
le magnétisme et la gravité, tous deux représentatifs du même attribut scientifique. C'est de son étude que Isaac Newton a tiré les lois explicatives du fonctionnement mécanique dit orbital, dont
la gravité, soit le lien force-matière-accélération et son pendant l'inertie, Johannes Kepler démontrant de son côté que l'orbite des planètes découle d'un mouvement issu de la polarité résultant
de deux foyers ou de deux centres.
Les galaxies (ou nébuleuses) quant à elles sont des systèmes géants, issus de la fragmentation brutale et de très grande amplitude* de l'immense masse du cosmos en particules il y a des milliards
d'années (Big-bang), et où résident les découvertes en cours de l'astronomie et de l'astrophysique. Elles se déplacent à vitesse presque constante, variant périodiquement de manière non
sinusoïdale (elles s'amortissent au fil du temps). Au milieu de chaque galaxie et de ce qui en cause la rotation, l'Univers étant en mouvement permanent, il y a ce que nous nommons "trou noir", à
savoir une énergie qui permet le fonctionnement inter-dimensionnel de ces galaxies. Comme tout l'Univers fonctionne sur la base d'un hologramme, soit un infini de miroirs animés par réflexion
réciproque participant de sa dynamique de mouvement, le "trou noir" a à chaque fois un "jumeau" de nature quantique, de ce fait imperceptible (la science quantique étudie l'infiniment petit). Ils
forment un tandem ou, plus précisément, un système tire/pousse d’énergie inter-dimensionnelle. Ils représentent la "pièce manquante" explicative des forces d'attraction et de répulsion de
l’Univers, ces vagues d’énergie qui vont et viennent. Aussi la loi "classique" de la gravité de Newton ne peut s'appliquer, le centre, la symétrie nécessaire au calcul n’étant pas une masse
ordinaire. Cette énergie inter-dimensionnelle est logiquement en cohésion avec le centre, comme dans tout système ordonné. C'est tout le défi scientifique en cours que de définir tout cet
ensemble de lois propres aux forces inter-dimensionnelles des galaxies, dites lois des polarités fortes et faibles (ces "jumeaux"), qui complètent celles que nous connaissons : la gravité,
l’électromagnétisme, et les deux forces nucléaires (la forte et la faible) propres au fonctionnement de notre système solaire.
* L'univers a subi une augmentation de taille gigantesque
de l’ordre de 10²⁶
due à une gravité répulsive.
Eu égard ce principe de symétrie universelle*, une équipe d'astrophysiciens européens ont découvert grâce à la quantité massive de données venant du télescope Kepler un nouveau système planétaire
qu'ils ont baptisé KOI-351. Ce système est plus compact que notre système solaire, et ses planètes un tantinet plus proches de leur étoile. Il accueillerait au moins sept exoplanètes,
chacune en orbite autour d’une étoile. Tout comme notre système solaire, les planètes rocheuses sont plus attenantes à leur version de notre Soleil, tandis que les planètes gazeuses sont plus
éloignées. Les trois premières planètes ont des cycles orbitaux similaires aux nôtres, imitant Mercure, Vénus et la Terre. C’est en étudiant les variations de ces cycles (25,7 heures) et grâce à
de puissants algorithmes informatiques qu'ont été mis en lumière les 4 autres membres de KOI-351. Une mission d'étude nommée PLATO donnera aux scientifiques la possibilité d’étudier chaque
planète dans le détail, comme leur taille, masse et composition.
En conclusion de quoi, dans ce cosmos multi-faces ou multi-univers composé d'apparente matière et d'antimatière prédominante, l'énergie explicative manquante, celle qui pousse sur la matière,
tant recherchée depuis longtemps par la science, ne serait pas une mais... deux !
Ceci défie bien sûr l'entendement actuel de la connaissance scientifique, quoiqu'en constante évolution dans ses découvertes et remises en question. Nous parlons
d'univers physique alors que nous le savons rempli de vide, et que la réalité apparente n'est que de l'énergie décodée à travers ses fréquences par nos sens et notre conscience. L'univers est en
fait un multi-univers, composé d'un ensemble d'univers doubles, comme un livre composé d'un ensemble de pages à deux faces. Ces univers-double ont pour caractéristique la vitesse de la lumière en
leur sein, ce qui implique deux extrémités impossibles à atteindre pour la conscience humaine : l'infini pour l'une, l'état zéro pour l'autre. Ces deux impossibilités démontrent que ce ne sont
pas des univers physiques, mais des univers psychiques. En quelque sorte, la fusion de la physique et de la métaphysique. L'univers non physique où la vitesse de la lumière est nulle est celui
des âmes *, immobiles dans leur perfection. Celui où la vitesse de la lumière est infinie est celui qui voit le développement constant des âmes collectives planétaires, dont celles de notre
Terre. C'est le grand dessein de la Création qui s'exprime, entre l'Alpha, la Perfection initiale immobile, et l'Oméga, la Perfection finale immobile.
Conformément à la loi des polarités participant du principe de symétrie, d'équilibre, de l'univers, ce mouvement voit les spirales galactiques générer des fenêtres temporelles au moyen de trous
de ver* d'accès à d'autres dimensions (évolution) ou des dissociations/destructurations au sein de trous noirs (involution). À grande échelle, ces trous noirs, au cœur des spirales galactiques,
sont l'expression ultime de la force entropique d'énergie amenée à redevenir non-existence, non conscience, autrement dit de la poussière galactique, des "ondes et particules", en d'autres termes
être recyclés en "esprits séparés de la matière".
Cette hypothèse de trous noirs et de trous de ver (initialement appelés quasars ou "fontaines blanches") connectant différents univers entre eux, bien que peu crédible en l'état, est toutefois
envisagée depuis des années, en particulier en ce qui concerne les trous noirs supermassifs au cœur des galaxies. En effet, de nombreuses observations astrophysiques laissent penser que certains
objets se comportent bien en accord avec la théorie des trous noirs développée au cours de son âge d'or, c'est-à-dire, grosso modo, de 1963 à 1973, soit de la découverte de la métrique du
mathématicien néo-zélandais Roy Patrick Kerr (photo 2) donnant en 1963 une solution exacte des équations d’Einstein permettant de décrire le comportement de l’espace-temps autour d’un trou noir
en rotation, à celle du rayonnement du physicien théoricien et cosmologiste britannique Stephen Hawking (1942/2018 - photo 3).
Des observations, en particulier, soutiennent l'existence d'un horizon des évènements pour certains des objets compacts prétendant au titre de trou noir. Or, c'est bel et bien l'existence de cet
horizon qui définit mathématiquement et physiquement un trou noir et aucunement ce qui peut se trouver sous cet horizon, qu'il y ait ou pas une singularité de l'espace-temps. La rigueur exigeant
de démontrer l'existence de cet horizon par des observations, l'étude des ondes gravitationnelles*² résultant de la collision des objets que l'on considère jusqu'à preuve du contraire comme des
trous noirs peut y contribuer. C'est ce que le physicien français Thibault Damour (photo 4) et le physicien Sergey Solodukhin (photo 5) à l'Université de Tours ont montré il y a plus de dix ans,
à savoir que plusieurs signatures de la physique des trous noirs en astrophysique pouvaient être imitées par la physique des trous de ver. Les trous noirs supermassifs au cœur des galaxies sont
aussi des trous de ver connectant d'autres univers ou des portions de notre univers. En formant un raccourci, ils permettraient à la matière, et peut-être aux humains, de se déplacer plus
rapidement !
* Un trou de ver (en anglais wormhole) est, en physique - depuis la suggestion du physicien autrichien Ludwig Flamm (1885/1964 - photo 1) en 1916 mis en
équation par Albert Einstein et Nathan Rosen en 1935 - un objet hypothétique qui relierait deux régions ou dimensions distinctes de l'espace-temps, se manifestant d'un côté comme un trou noir et,
de l'autre côté, comme un trou blanc. Un trou de ver forme ainsi un raccourci à travers l'espace-temps, qui permet grâce à cette courbure de l'espace de voyager à n'importe quelle distance dans
un temps infiniment inférieur à celui qu'utiliserait la lumière.
De ce fait, rien ne s'oppose à ce que techniquement des trous blancs soient vus comme des trous noirs avec un renversement du sens de l'écoulement du temps. Aujourd'hui, une équipe internationale
de physiciens relativistes, dont Pablo Bueno, Pablo A. Cano et le professeur Thomas Hertog, tous trois membres de l'université de Louvain (Belgique), ont fait savoir qu'ils avaient poussé les
travaux de Damour et Solodukhin plusieurs crans plus loin, s'appuyant sur l'étude des ondes gravitationnelles. Leur hypothèse est que lorsque deux trous noirs entrent en collision, ils fusionnent
et l'objet produit est lui-même un trou noir dont l'horizon des évènements est bosselé, agité de violentes vibrations appelées "des modes quasi-normaux", à la façon d'une cloche frappée qui
résonne. Ces modes produisent des ondes gravitationnelles qui emportent au loin l'agitation de l'horizon pour lui permettre de devenir celle décrite par la solution de Kerr des équations
d'Einstein, c'est-à-dire la métrique définissant l'espace-temps d'un trou noir sans charge et de rotation arbitraire.
Un nouveau phénomène apparait, sorte d'écho des ondes gravitationnelles émises par la fusion de deux trous de ver. La détection de ce phénomène, qui produit des ondes avec un spectre bien précis,
nous assurerait alors de l'existence de ces trous de ver, peut-être justement au cœur des galaxies comme la Voie lactée, ouvrant peut-être également une fenêtre d'observation sur un multivers.
En pratique, cela revient à considérer des objets avec une sorte de coquille impénétrable d'où partent des ondes gravitationnelles qui se réfléchissent en direction de cette coquille du fait de
l'existence d'une sorte de barrière dans l'espace-temps autour de cette dernière (techniquement, pour un trou noir, une barrière de potentiel produite notamment par sa rotation) et qui se
comporte comme une lame semi-transparente en optique (une partie de l'onde tombant sur la lame est transmise, l'autre est réfléchie). Une partie des ondes gravitationnelles rebondissant plusieurs
fois entre la coquille et la barrière effective avant de s'échapper, cela donne bien un phénomène qui serait perçu comme l'équivalent d'un écho sonore.
Cette théorie, suffisamment folle pour être vraie selon les mots du célèbre physicien danois Niels Bohr (1885/1962 - photo 1), a été proposée par Igor Dmitrievich Novikov (photo 2), un des
meilleurs experts de l'astrophysique relativiste, et son collègue Nikolaï Semenovitch Kardashev (photo 6), radioastronome russe célèbre pour ses travaux. Pour eux, des trous de ver traversables
pourraient exister, avec une quantité arbitrairement faible d'énergie exotique négative s'ils possédaient une charge magnétique et donc un champ magnétique radial. Qui plus est, ils pourraient
être produits en grandes quantités dans l'Univers primordial et exister de façon stable pendant une grande durée ! De tels trous de ver magnétiques, susceptibles de s'effondrer en formant des
trous noirs, pourraient ainsi constituer une partie des objets astrophysiques autour de nous. Dans le cadre de l'inflation chaotique, non seulement il existerait des trous de ver connectant
différentes régions dans notre Univers, mais aussi entre les autres régions du Multivers.
Plus que jamais le XXIe siècle s'annonce comme une période potentiellement extraordinaire pour notre connaissance de l'Univers.
Nous sommes co-créateur
La physique du système quantique est caractérisée par le chaos, la confusion et l'indétermination, parce que tous les potentiels existent, à partir de particules subatomiques (électrons, photons,
neutrons...) au sein de petits nuages désordonnés de probabilités*, dans un état non manifesté. Il en est de même pour l’énergie créatrice de l'être humain à partir des "formes-pensées" émises,
qui se trouve également dans une forme de chaos. Elle contient en elle tous les potentiels illimités de l’Univers. Derrière ce chaos apparent se tient l'intelligence créatrice de la toile, qui
harmonise et équilibre toutes les réalités multiples existant dans le vide apparent, les rendant dépendantes et indivisibles.
* C'est aussi le cas en biologie des plantes (Cf. travaux de GrahamFleming).
Mémorisation du champ d'énergie
Le champ d’énergie de la toile constitutive de l'univers mémorise sous forme de "registres" toutes les formes de vie et de l’histoire de la planète. Des expériences
scientifiques ont été menées pour les "lire", avec des instruments spécifiques et en utilisant des médiums entraînés à le faire. Le constat établi est que ce champ est un tissu éthérique chargé
d’émotions. C’est pourquoi il est nécessaire de contrôler nos passions. Chacun de nous a le pouvoir d’affecter ce champ de manière positive ou négative. Toute la négativité exprimée, comme la
haine et la peur, a une incidence directe sur l’état de la planète. La Terre réagit violemment à nos pensées et nos sentiments et elle émet un type de rayonnement qui se répercute sur les modèles
climatiques. Les éléments sont comme des anticorps planétaires.
Mécanisme
Ce potentiel de création est lié à l'action d'observer, dont la nature change le comportement des électrons, les particules de matière, tout comme la lumière, les rayons gamma, les ondes radio,
les rayons X... C'est ce qui découle de la fameuse expérience dite "les fentes de Young"*, menée depuis à différentes reprises en laboratoire. Cette observation a pour effet de transformer une
"onde de possibilité", une probabilité de nature immatérielle, en matière/événement, soit quelque chose de physique. On parle alors de collapsus d'onde, ou de réduction du paquet d'ondes
(collapse du psy). En intervenant et en se positionnant sur le même champ de fréquences de l'onde-particule, l'observateur influe sur la réalité. Il provoque un changement effectif. Il est doté
d'un pouvoir intrinsèque, une conscience "à la surface des ondes", celle de faire arriver des choses, d'influer sur la réalité, d'influencer les événements. Au final, les atomes sont des champs
électriques qui s'actualisent sous l'effet de la pensée et de l'imagination en motifs énergétiques que nous décodons sous la forme d'objets apparemment physiques, alors qu'ils ne sont que des
hologrammes illusoires.
* Du nom de l'expérimentateur, Thomas Young, physicien britannique (1773/1829).
Mécanisme du collapsus quantique
Le noyau de l'atome est formé de deux composants structurels : le proton, le neutron. L'électron qui impulse sa dynamique se déplace dans un nuage d'orbites
probabilistes. Lorsqu'un observateur ou expérimentateur entreprend de mesurer ou d'observer l'orbite " réelle ", sa tentative cause la réduction de toutes les ondes probabilistes en une seule.
Cette nouvelle orbite possède alors une probabilité caractérisée, l'observation ayant limité tous les autres résultats possibles. La conscience s'implique ainsi comme agent actif.
Dans ce monde, tout est conscience, énergie et information circulante à travers les particules. La société et l'humanité constituent une "noosphère", c'est-à-dire une biosphère enrichie par la
conscience. Il n'y a pas de réalité solide sous-jacente, seulement l'espace "entre", soit les relations indivisibles entre des choses indéterminées au sein d'un champ environnant, comme par
exemple la planète Terre, le système solaire, la Voie lactée... Les ingrédients les plus basiques de la nature sont des amas d'énergie, indiscernables d'un champ qui les entoure. Un champ à
faible densité magnétique comme la Terre va donner à la substance une apparence de solidité, de masse, de par la stabilité de l'atome d'hydrogène.
La loi basique à comprendre, c’est que nous faisons partie d'un bain d'énergie, aux propriétés semblables aux fluides, et dont les vibrations créent à une fréquence particulière des motifs
géométriques qui se transforment en atomes et en molécules. Il s'y trouve une conscience unifiée qui réagit en fonction de l’intention de celui qui l’observe. Tout ce qui rend quelque chose réel
est le lien entre l'observateur, nous, et l'observé, le Tout, dans toutes ses composantes. Il n'y a pas "nous" et "eux", mais seulement un "nous" qui se transforme sans cesse. Par ce changement
de l'état de base, ce que nous pensons, nous le créons, le devenons, le vivons. Chaque changement intérieur et/ou extérieur détermine un changement au niveau physique et subtil de tout ce qui
nous entoure. De petites variations des conditions initiales, comme notre façon de penser ou de ce que nous avons choisi de croire, provoquent de grandes variations dans la vie réelle. Bien que
nous apparaissions le même à tout moment, nous sommes un lot d'énergie subatomique complètement nouveau à chaque inspiration. Avec chaque respiration, chaque intention, nous co-créons notre
monde. Si nous avons peur de quelque chose, nous le créons et l’attirons sous forme d’une expérience. Inutile de blâmer quiconque. Parce que nous sommes entièrement les créations de nos
interactions avec l'univers, nous sommes responsable à part entière de l'état de nos pensées, et de ce qui en découle.
Le chronoviseur
Cet appareil fantastique a été inventé et mis au point par une douzaine de physiciens du Vatican, dirigés par le Père Bénédictin Ernetti Pellegrino dans les années
60, qui était physicien, musicologue, spécialiste de l’étude des chants polyphoniques qui vont de l’antiquité jusqu’au XIIIème siècle.
Basé sur les principes mêmes de la physique quantique, cet appareil permettait de filmer avec sons et images toutes les scènes du passé. Même si les détails
techniques sont rares, cette invention surprenante peut être éclairée par les travaux des scientifiques Kenneth Ring (psychologue états-unien), Rupert Sheldrake (biochimiste britannique), David
Bohm (physicien états-unien - 1917/1992), Karl H. Pribram (chercheur en psychologie d’origine autrichienne – 1919/2015), Boris Iskakov (physicien russe), etc. Le travail est basé sur la même
méthode expérimentée par les astronomes qui parviennent par un calcul sur les années-lumière à reconstituer l’aspect d’une étoile même éteinte depuis des milliers d’années. Le principe physique
accepté est que les ondes sonore et visuelle une fois émises ne se détruisent pas, étant soumises au même principe de désagrégation atomique de la matière, soit un retour à des particules
minuscules de lumière, l’élément primordial formant toutes les autres énergies contenues dans la matière (Cf. Bible : "le premier jour Dieu créa la lumière"). "Simplement" transformées,
elles restent éternellement omniprésentes dans la sphère astrale. Il est donc possible de les reconstituer en tant qu’énergie en les captant par des appareils appropriés. L’outillage est ainsi
composé d’une série d’antennes permettant la syntonisation, particulièrement des voix et des images constitutives de la carte d’identité personnelle de chaque individu.
Cette découverte qui prouverait l’éternité de toute manifestation de vie, en donnant la possibilité de recréer le passé sous forme de son et d’images caractérisant
l’imprégnation que chaque humain et événement ont laissé dans l’espace, irait ainsi dans le sens de l’enseignement du Christ : "A la fin des temps Tout ce qui est caché sera révélé".
Pour des raisons "évidentes" de risque de mettre cette découverte en des mains dangereuses, l’utilisant à des fins de manipulation et de domination, le Vatican l’aurait depuis conservée au secret
défense.
Cf. Père François Brune, "Le nouveau mystère du Vatican".
La maîtrise du mental permet à l'être humain d'activer des forces évolutives, programmation du futur, nommées synchronicités*. Elles ne sont pas les fruits du hasard, elles sont les rendez-vous
de sa Vie. Elles lui permettent d'accéder à d'autres dimensions où les pensées, les émotions et les croyances sont des forces qui agissent en conscience par un effort de volonté et de maîtrise
afin de répondre à ses intentions émises. Ce principe de la création mentale a toujours existé en nous d'une façon passive, ou inconsciente. Une fois compris, il peut être utilisé d'une manière
active. Nous n'agissons plus alors d'une façon réactionnelle à un phénomène, nous créons le phénomène. Nous passons de la réaction aux effets à la création des causes.
* Concept élaboré par le médecin-psychiatre suisse Carl Gustav Jung (1875/1961) et le mathématicien-physicien autrichien Wolfgang Pauli (1900/1958).
Les synchronicités, informations signalées à notre attention
Elles sont la rencontre d'au moins deux événements qui, tout en ne présentant aucun rapport de causalité entre eux, présentent une signification commune :
- Le premier est la pénétration dans la conscience d'une image inconsciente, surgie de l'inconscient collectif - soit la conscience supérieure à laquelle sont
reliées toutes les consciences personnelles - directement ou indirectement, sous forme de symbole, de rêve, d'idée ou de prémonition ;
- Le second est une situation objective du quotidien, qui coïncide avec le contenu du premier évènement.
Elles sont signalées sous forme de coïncidences, de répétition, d'effet miroir... Autant de manifestations inhabituelles qui, si nous y prêtons attention par
l'intuition, le cœur, nous informent de la manière dont nos intentions se présentent concrètement à nous. Phénomènes unissant le psychisme et la matière, démontrant que l'univers dans sa dualité
n'est pas le fruit du hasard, qu'il est étroitement relié dans toutes ses parties (l'Unus Mundus de Jung), elles sont de trois natures. Soit elles sont initiées par l'âme*, dans notre
intérêt supérieur, comme l'appel à un changement de vie, la réponse à un questionnement ou la confirmation d'une intuition. Soit elles découlent du champ de l'ego, destinées à retarder notre
évolution en présentant sur notre chemin les désirs et attirances qui nous égarent dans la matière. Soit elles sont neutres, anecdotiques, n'exerçant aucune influence sur le cours de notre
vie.
La première chose à faire c’est de changer notre façon de penser, en comprenant la perméabilité de nos champs d'énergie constitutifs de notre propre bulle de perception, inévitablement limitée.
Ils ne sont en définitive que la projection, la manifestation à l'extérieur du corps de "nos propres programmes" génétiques. Cette bulle de perception est contiguë à d'autres bulles, d'autres
dimensions parallèles non matérielles qui communiquent entre elles par notre ADN. Ce pont entre dimensions se fait au travers des microscopiques trous noirs de notre ADN, qui réalisent la
"porosité" des dimensions de réalité. Ils relient les noyaux des cellules présents dans notre corps de matière, soit dans notre présent, aux antiparticules correspondantes d'un corps éthéré
peuplant l'antimatière, soit notre passé-futur.
Notre ADN, par son lien électrique avec l'énergie lumière porteuse d'informations dans les particules magnétiques via la gravité, est programmable. La chimie neuronale, en réactivant de nouveaux
gènes, modifie l'état du réseau neural, lui-même influençant la qualité de nos émotions et sentiments. Pour devenir ce que nous voulons, il est nécessaire de changer la perception de qui nous
sommes et du monde qui nous entoure. En nous alignant sur une nouvelle fréquence, celle qui découle du sentiment que nous créons dans le cœur, soit par le Soi supérieur, l’Âme, sur la version la
plus élevée de Qui Nous Sommes vraiment, nous établissons les conditions d'un vécu évolutif, non involutif. Cela nous appelle à la maîtrise et à la responsabilité.
Le matérialisme est de ce fait faux. Il n’y a pas de différence entre le vivant et l’inerte, l’intelligent et le non-intelligent, le plein et le vide. La base du monde visible est une unité
invisible, non matérielle, subtile et potentielle car vivante, et de ce fait en constante évolution. La conscience crée par la lumière la matière, et non l’inverse ! Elle est le potentiel
quantique, à savoir l’ordre implicite, au contraire de l’explicite, la localité, la causalité. Elle n’est pas le produit ultime de l’évolution matérielle : elle était là en premier. Il n’existe
rien qui ne soit pas conscience, il n’y a pas de distinction entre vivant et inertie, entre matière et conscience. Il ne peut y avoir de réalité objectivable sans conscience. Et ce qu’elle
perçoit n’est en fait qu’une apparence, l’ombre de la Réalité, attachée au niveau d’ouverture de conscience de l’observateur. C’est simplement le résultat conscientisé d’un traitement de
l’information captée, qu’il soit visuel, auditif ou autre. La pensée, ou la non-pensée, n’est pas nécessaire à la conscience qui, par définition, est TOUT. Là réside le secret de notre création
d’expériences et de ses "miracles", la santé, la paix, l’amour, le succès, l’abondance…
Les solutions sont en nous
Nous avons tout en nous, comme le système solaire - le noyau cristallin - qui se trouve à l’intérieur de la terre. Il est de ce fait inutile de chercher des solutions à l'extérieur de nous. Nous
sommes les protagonistes, les créateurs de notre monde intérieur, le monde extérieur étant le miroir de nos convictions. Si nous croyons qu'il n'existe pas de ressources, que l'énergie est
limitée, alors nous créons et manifestons un environnement sans ressources. Si nous reconnaissons que nous possédons d'innombrables ressources et que nous pouvons les utiliser comme énergie
protagoniste, nous pouvons créer une impulsion.
Le monde matériel n'est pas tout. Nous devrons trouver l'équilibre entre notre conscience et la connaissance, pour exprimer cet équilibre dans les deux mondes, car sinon nous ne voyons qu'une
infime partie de la réalité. En allant au-delà de la perception, nous parvenons à modifier et changer la réalité matérielle.
C'est par la multitude des trous noirs que nous agissons avec d'autres "sortes" de temps, qu'elles soient dépendantes ou ordonnées pour d'autres formes de temps. C'est par eux que nous
établissons des liens avec d'autres mondes. Pour y parvenir, nous avons à réussir notre transmutation, c'est-à-dire notre résurrection à la vie par l'ascension de notre conscience. C'est ce que
le Christ est venu enseigner. Il n'a jamais prétendu qu'il fallait vaincre l'esprit malin, mais parlait concrètement de la résurrection du corps de l'homme, en disant que nous sommes le "sel",
soit le cristal, le minéral.
Si cela n'est pas possible pour une humanité confinée à la dualité propre à la 3ème dimension de réalité*, celui qui le décide peut réaliser cette transmutation moyennant effort. D'autant plus
que les temps actuels sont plus favorables à cette mutation que par le passé, cette mutation se réalisant sur toutes les couches de la terre, c'est à dire dans tout notre univers. Nous avons pour
ce faire notre libre arbitre, celui qui décide de rester attaché à ses anciennes croyances, à ses certitudes et à sa sécurité, ou de décider de le réaliser. Tant que nous croyons à la séparation,
à la dualité par la force nucléaire forte qui agit en nous laissant croire que les noyaux des atomes sont divisés, distanciés les uns des autres, nous sommes bloqué. Si nous croyons à l'unité de
Tout ce qui est, que toutes les particules sont reliées entre elles à travers une seule et même force, la force nucléaire faible, nous sommes alors à même de nous engager sur le chemin de
l'évolution.
Pour l'astrophysicienne italienne Giuliana Conforto*, il existe une infinité d'univers que les scientifiques mesurent aujourd'hui. Mais ils ne les observent pas, parce qu'ils sont cachés par le
"voile", c'est à dire par la lumière électromagnétique forte. Derrière le "voile", il y a "quelqu'un" ou "quelque chose" qui donne un ordre croissant à l'univers visible : l'Intelligence
cosmique. En fait, l'intelligence humaine arrive là où l’œil humain n'arrive pas. Par la conscience, elle ressent que si l'univers et le monde ne s'expliquent pas d'eux-mêmes, elle le vit comme
un "mystère" ou une création divine.
Si les dieux, les morts ou les extra-terrestres ne sont pas visibles, c'est que nous utilisons un moyen d'observation et de transmission faussé. En effet, la lumière que nous utilisons, la
lumière électromagnétique forte, est un type de lumière qui nous leurre. C'est la lumière réfléchie par la matière lumineuse, un type de matière qui représente à peine 5 % de la masse globale de
l'univers, dans laquelle selon les données les plus récentes seulement 0,5 % de cette masse est constitué de la matière existante dans notre réalité présente. En observant le champ
électromagnétique seul, la science sait bien qu'elle ignore 95 %, si ce n'est 99,5 % du tout...
Alors que l'on connaît bien le champ électromagnétique ou force nucléaire forte, presque tout le monde ignore l’existence de la force nucléaire faible qui pénètre chaque corps de l'univers. Elle
est dite "faible" parce que non mesurable, donc insignifiante pour la science orthodoxe humaine. Si cette force lui semble négligeable, elle jouit pourtant d'un rôle des plus importants. Elle
dirige, dans le cœur des étoiles, la fusion nucléaire qui forge les éléments chimiques, ceux-là mêmes qui composent toutes les planètes et tous les corps visibles, même les corps humains. En fait
les atomes sont produits par la Lumière faible, dans le cœur des étoiles. La force faible est en fait le lien entre la portion visible et celles invisibles du même individu, entre le monde
naturel et les mondes surnaturels. Elle est la Vie cosmique qui génère la forme et les fonctions des niveaux infinis de réalité, l'énergie qui manifeste notre réalité expérimentale. Elle est le
yin-yang, l'énergie duelle mise en mouvement par la Conscience créatrice.
* Cf. Livre "L'Univers Organique".
Fable du Laboureur et ses enfants
- Jean de La Fontaine (1668)
L’invisible est un immense trésor, qui ne se révèle qu’à celui, à celle qui va à sa rencontre.
Inspirée d'Ésope (écrivain grec, 620-564 av. J.C., d'origine phrygienne à qui on attribue la paternité de la fable comme littérature ou genre littéraire), cette
fable nous conte l’histoire d’un riche laboureur qui, sentant sa mort prochaine, fait venir ses enfants et leur dit de se garder de vendre l'héritage. Un trésor serait en effet caché dedans, et
avec un peu de courage il sera trouvé. Le Père mort, les fils retournent le champ, sous toutes ses coutures. D'argent, point de caché. Mais le Père fut sage de leur montrer avant sa mort qu’il y
avait un trésor.
À première lecture, c’est la célébration de la valeur travail, du bien immatériel, et de l’union faisant la force. Pouvait-il en être autrement dans les canons de
l’époque pour un bon peuple à majorité artisan et paysan, uni derrière son Roi. Derrière cette lecture, comme bien souvent dans le symbolisme, se cache une autre clé laissée à la sagacité humaine
pour ceux qui se donnent la peine de la trouver. C'est " l'agriculture céleste ", celle du travail sur soi, de la recherche de vérité pour ne pas continuer à faire illusion, pour accéder au seul
véritable trésor qui en vaille la peine, la réalisation de son plus grand rêve, de sa légende personnelle, comme créateur de vie authentique. C'est la véritable semence, celle d'un corps
corruptible devant ressusciter comme corps spirituel afin de donner ses véritables fruits d'or. Et ce comme un jeu de découverte, un jeu d’enfant, à mener avec entrain ensemble, tous ensemble -
en l’occurrence la fratrie, celle des hommes -, car c’est dans sa relation aux autres que l’on apprend sur soi et que l’on réalise sa raison d’être au sein d’un univers où rien n’est séparé, où
Tout est unité.
Et comme tout ce qui n’est pas transmis est perdu, ou égaré pour longtemps, le temps presse d’aller à l’essentiel, surtout lorsque le niveau de souffrance atteint
de tels sommets. Chaque homme a un trésor qui l'attend, son cœur étant capable de le montrer, tel le flambeau éclairant l’obscurité. Là où est le cœur, là se trouve le trésor, le sens de la vie,
la raison d’être. Seul l’état d’harmonie, de transcendance du temps et de l’espace, de la dissolution de ses limitations et conditionnements, d’intuition profonde et de sentiment d’unité avec le
Tout y conduit.
C’est le sixième sens, le chaînon manquant à l’actuelle conscience d’un grand nombre d’individus encore endormis par l’anesthésie hypnotique collective dispensée,
murés dans la forteresse des illusions d’un monde profane et désacralisé.
En résumé, nous sommes au milieu d'un immense champ éthérique, sorte d'onde d'énergie de matière-antimatière en vibration constante. Ce mouvement vibratoire est une perpétuelle alternance du
passé-futur, l'antimatière. Il devient instant présent, la matière, lorsqu'il est perçu par la conscience.
What A Wonderful World (Quel Monde Merveilleux)
I see trees of green J'aperçois des arbres verts
Red roses too Des roses rouges également
I see them bloom Je les vois s'épanouir
For me and you Pour toi et moi
And I think to myself Et je me dis tout bas
What a wonderful world Quel monde merveilleux
I see skies of blue Je vois des cieux bleus
And clouds of white Et de blancs nuages
The bright blessed day L'éclatant jour béni
The dark sacred night La sombre nuit sacrée
And I think to myself Et je me dis tout bas
What a wonderful world Quel monde merveilleux
The colours of the rainbow Les couleurs de l'arc-en-ciel
So pretty in the sky Si jolies dans le ciel
Are also on the faces Sont aussi sur les visages
Of people going by Des passants
I see friends shaking hands Je vois des amis se serrer la main
Saying "How do you do ?" Se dire "comment vas-tu"
They're really saying "I love you" En réalité ils se disent "je t'aime"
I hear babies cry J'entends des bébés pleurer
I watch them grow Je les vois grandir
They'll learn much more Ils apprendront bien plus
Than I'll ever know Que je n'en saurai jamais
And I think to myself Et je me dis tout bas
What a wonderful world Quel monde merveilleux
LouisArmstrong (1901/1971) - What a Wonderful World* (1967)
*Cette chanson fait partie de la Liste des chansons jugées inappropriées par Clear Channel Communications rebaptisée
IHeartMedia,multinationale américaine présente dans l'audiovisuel, la publicité urbaine et l'organisation de
concerts et de festivals, à la suite des attentats du 11 septembre 2001...
Qu’attendons-nous pour plonger notre regard dans la voûte céleste, contempler les étoiles et les attirer à nous pour illuminer et faire
danser la vie ?
"Ce qui est derrière nous et ce qui est devant compte peu par rapport à ce qui se trouve en nous."
Ralph Waldo Emerson - Essayiste, poète et philosophe états-unien (1803/1882)
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