Préalable

Un réel travail de libération n'a besoin d'aucune "technologie", d'aucun objet, d'aucune structure géométrique ou numérique, même s'ils peuvent faire partie de l'expérience par la compréhension de leur apport. Ceux-ci sont évidemment très attractifs pour l'être néophyte en soif de spiritualité et d'évolution, puisqu'ils contiennent de nombreux signes alchimiques et vérités cosmiques, et qu'ils proposent une solution extérieure de reconnexion magique, à première vue bien plus palpitante que de chercher la clé dans nos failles obscures.

 

 

Symbolisme mathématique

"Les mathématiques sont l’alphabet avec lequel Dieu a écrit l’univers."

Galilée - mathématicien, géomètre, physicien et astronome italien du XVIIᵉ siècle (1564/1642)

 

Pythagore, Euclide, Archimède, Galilée, Kepler, Newton, Einstein (images et photo 1 à 7)... Depuis l'aube des temps, tous les grands scientifiques ont basé leurs travaux et leurs découvertes sur la discipline reine scientifique, les mathématiques, composées de l'arithmétique et de l'algèbre d'une part, et de la géométrie d'autre part. Ils avaient découvert et compris que l’Univers forme un ensemble parfaitement ordonné, gouverné par des lois d’harmonie qui témoignent de la Grandeur et de la Sagesse de Son Ordonnateur - Celui Qui Est -, Sa dimension sacrée lui conférant l'appellation de Dieu le Très-Haut, sans qu'il soit possible de Lui/Elle définir une forme, une nature, un genre de quelque sorte que ce soit. Chaque fonction, chaque élément constitutif de la vie sur terre est ainsi agencé à un niveau subtil par le grand champ ordonnateur qu’est la Conscience de l’Univers, le champ de l’Esprit divin. Celui-ci actionne des flux d’énergie, qui peuvent être augmentés ou diminués selon la qualité du système de réception local, comme par exemple le système immunitaire de l’être humain.

Ainsi, les mathématiques constituent une enveloppe, celle d'une notion universelle présente et se manifestant tant dans l’univers matériel que dans l’ensemble des autres univers moins denses et plus éthérés que nous nommons sommairement "l’au-delà". Tous ces univers, plus ou moins lumineux selon leur distance par rapport à le Source Originelle de la Force divine (le Saint Graal dans l'Occident chrétien) constituent la Création, Ce Qui Est.

C'est pourquoi la genèse du monde est un mythe qui a la particularité d'être conté par un pythagoricien, le personnage nommé Timée dans l’œuvre éponyme du philosophe grec Platon. En effet, le mythe (mythos) n'est pas opposé à la rationalité (logos). Le mythe reste un récit fictif composé par des personnages, fait de paraboles et d'allégories. Il ne vise pas la vérité, mais le vraisemblable, répondant aux questions métaphysiques en interrompant puis en remplaçant l'argumentation et la déduction par la narration et la suggestion. Le rôle essentiel du mythe est de porter un sens caché, adjuvant à la réflexion ainsi que stimulant moral. Il permet de formuler des explications de phénomènes que la raison ne peut pas résoudre, car le logos n'est par principe compatible qu'avec l'immobile. Permettant la compréhension de l'intelligible, celui-ci relève de la science, de l'argumentation et des mathématiques. Les deux axes de la pensée sont ainsi unis afin de pallier aux limites de chacun d'eux, ce qui permet d'exposer le comment et le pourquoi de la formation de l'univers, ainsi que l'origine du mouvement qui l'anime*.

* Cf. Univers en partage, Évolution de civilisation (1) Le mécanisme de l'Univers & Fonctionnement de l'architecture du Vivant.

 

Pythagore – La Tradition Secrète

Lorsque Pythagore (vers 580/495 av. J.-C.) parut en Grèce, civilisation nourrie de toutes les lumières de l'Afrique et de l'Asie (Siam, Chine, Japon, Birmanie), elles-mêmes nourries de l'Inde, premier berceau civilisationnel en Orient à faire la jonction avec l'Occident, il trouva le souvenir d'Orphée, philosophe mythique presque effacé de la mémoire des hommes, et ses instructions les plus belles, méconnues ou rapportées à des origines fantastiques. Depuis, l'orgueil de se dire autochtone et de ne rien devoir aux nations voisines avait bouleversé toutes les idées et sédimentarisé la conscience. On plaçait ainsi en Crète le tombeau de Zeus, le dieu vivant ; on voulait, à toute force, faire naître, dans une bourgade de la Béotie, Dyonisos, l'esprit divin, et dans une petite île de l'Archipel, Apollon, le père universel. On débitait mille extravagances de cette nature et le peuple manipulé, devenu souverain par les artifices démocratiques, qui y croyait, commandait arrogamment aux plus fortes têtes d'y croire aussi sous peine de châtiment. Les mystères établis pour faire connaître la vérité à un trop grand nombre d'initiés perdaient leur influence. Quant à la prêtrise, les hiérophantes, intimidés ou corrompus, se taisaient en consacrant le mensonge.

Il fallait nécessairement que la vérité se perdit tout à fait ou qu'il se trouvât une autre manière de la conserver. Pythagore, l'homme à qui ce secret fut révélé *, fit alors pour la science ce que le législateur de Sparte Lycurgue (800/730 av. J.-C.) avait fait pour la liberté en instituant sur un point de la Grèce un couvent de soldats contre lequel vint se briser le despotisme païen persan, soit babylonien. Comme philosophe, Pythagore institua une assemblée secrète d'hommes sages et religieux qui, se répandant en Europe, en Asie et même en Afrique, lutta contre l'ignorance et l'impiété tendant à devenir universelles.

La secte qu'il créa et qui, aujourd'hui même, n'est pas entièrement éteinte, a traversé, comme un sillon de lumière, les ténèbres amoncelés sur la conscience de l'humanité par le déversement de la barbarie mondialiste prédatrice à travers l'érection de ses cultes intolérants et superstitieux*². Les êtres humains qui en sont porteurs se reconnaissent toujours tant à leurs aspirations spirituelles élevées qu'à leurs exigences scientifiques de même nature. Ce sont des savants sages.

* Il est établi que Pythagore a eu recours à une sorte de planchette "Ouija" en 540 av. J.-C., "tablette mystique" sur roulettes se mouvant et pointant vers des signes qui étaient interprétés par le philosophe lui-même ou bien par son élève Philolaos. C'est pourquoi les mystères pythagoriciens sont des sujets d’intérêt intense tant pour les scientifiques que pour les mystiques.

Cf. Le modèle européen décodé (1) Un ADN impérial païen & Le modèle européen décodé (2) L'idéologie mondialiste.

 

Ces scientifiques ont recherché et exprimé cette harmonie de l’univers* dans toutes les formes observables dans le cosmos et la nature à travers leurs disciplines respectives, comme l'astronomie dans l'étude du mouvement des astres. Ils ont démontré que chaque composant, chaque élément, possède une forme qui lui est propre interagissant avec d'autres au sein de son champ d'expression. Au-delà des formules mathématiques et physiques utilisées et la plupart du temps complexes pour le profane, leur compréhension découle des particularités attachées à des nombres (algèbre et arithmétique) et à des figures (géométrie). Ces mathématiques spirituelles livrent les codes explicatifs du fonctionnement de l'Univers et du vivant. Elles sont l'alphabet de la Parole perdue.

Cf. Évolution de civilisation (1) Le mécanisme de l'Univers.

 

Aux sources philosophiques de la science

Le botaniste et naturaliste, polygraphe, alchimiste et philosophe élève d’Aristote de la Grèce antique Théophraste (vers 371 /vers 288 av. J.-C.) déclara dans Opinions des Philosophes que Parménide*, disciple d'Anaximandre, fut le premier à nommer "Monde" l'"Univers" et à affirmer que la Terre est sphérique, située au centre de l'univers. Il divisait les choses en deux éléments : le feu et la terre, et a également discuté les distances des astres entre eux et par rapport à la Terre. Il fut aussi le premier à proposer la théorie des zones climatiques qui divise le globe terrestre en cinq zones, deux zones glacées donc inhabitables près des pôles, et une zone torride infranchissable à cheval sur l’Équateur, séparant les deux zones tempérées, les seules susceptibles d’être habitées. Parménide divisait la connaissance en deux parties, deux chemins de pensée, nettement opposées, la vérité (ἀλήθεια) et l'opinion (δόξα). Cette division était pour lui absolue. Parlant de la "force de la certitude", il qualifiait le cœur de la vérité d’"inébranlable", alors qu'à ses yeux l'opinion est dépourvue de pouvoir de conviction. Il opposait ainsi la logique à l'expérience, la raison étant selon lui le critère de la vérité. La pensée, soit selon lui l'âme et l'intellect réunis, établit en suivant les règles de la logique que l'être est, et qu'il faut lui prédiquer des attributs non-contradictoires : il est intelligible, non-créé et intemporel, il ne contient aucune altérité et est parfaitement continu.

Cette doctrine a fait de lui le penseur de l'Être par excellence, tranchant par sa froideur rationnelle avec les autres penseurs grecs.

* Parménide d'Élée (fin du VIe siècle/milieu du Ve siècle av. J.-C) est un philosophe grec présocratique, pythagoricien puis éléate, l'un des philosophes les plus considérables dans l'histoire de la philosophie grecque. Platon a consacré un dialogue qui porte son nom, le Parménide, pour traiter la question de l'Être, dont Parménide a inlassablement répété qu'il est, tandis que le Non-Être n'est pas.

Cf. en complément livre de Jean Bouchart d'Orval "Parménide, au-delà de l'existence", éditions Almora.

 

Les mouvements de la nature à partir de considérations mathématiques

Selon Platon, c'est à partir de règles géométriques* que naissent les mouvements du ciel, la géométrie étant l’interface fondamentale entre le champ de l’information cosmique et notre réalité matérielle. En effet, la suite des nombres positifs représente la distance entre la Terre et les six autres planètes connues à son époque (la Terre, la Lune, Mercure, Vénus, Mars, Jupiter et Saturne) en rotation autour de celle-ci. Elle correspond aussi au rayon de leurs orbites, à leur disposition, et enfin la vitesse de leur révolution, qui varient en fonction de la longueur du cercle que ce dernier décrit.

Il indique que la qualité principale de la symétrie est de rester semblable à elle-même lors de transformations liées à une rotation autour d'un axe ou à une translation parallèle. De toutes les figures, le cercle est la figure qui reste la plus identique à elle-même, quelles que soient les rotations appliquées à elle. La symétrie s'applique aussi aux révolutions circulaires des astres, qui reviennent immuablement à leur point de départ initial : "c'est la course circulaire qui est uniforme et la mieux réglée".

La régularité du mouvement des astres permet, grâce à leur constance, de servir de mesure, d'étalon pour mesurer le temps ; les astres sont donc des étalons temporels : le jour et la nuit sont engendrés par le cercle du "cosmos", la succession des mois est engendrée par le mouvement de la Lune, la succession des années par le mouvement du Soleil.

Enfin, la grande année de Platon, c'est-à-dire le retour de tous les corps célestes à leur position initiale, est engendrée par le mouvement des cinq autres planètes. La durée de la grande année dans la vie du monde est de 12 960 000 ans, soit exprimée géométriquement par un carré de 3600 de côtés. Il existe des périodes dont les astres sont la mesure, et une grande année qui marque l'avènement d'un autre cycle. Les mouvements de tous les cercles de l'âme du monde et le mouvement des révolutions des astres engendrent le temps. Le monde sensible engendre le temps, et non l'inverse*².

Il existe donc pour mesurer le temps, les temps divers des planètes dont les mesures sont les mouvements du Soleil et de la Lune, et un temps commun qui domine tous les autres, nommé grande année, qui est un étalon de mesure primordial lié à la perfection du cercle. Le temps de la grande année domine les temps relatifs au Soleil et à la Lune, puisque le mouvement de la sphère des fixes domine les mouvements sidéraux.

* L'historien et géographe grec Hérodote (485/426 av. J.-C.), considéré comme le premier historien et surnommé le "Père de l’Histoire" par l'homme d’État et écrivain romain Cicéron, attribue comme origine à la géométrie la mesure de la terre, c'est-à-dire l'arpentage.

Cf. Fin de cycle (1) Fin du temps ou fin des temps.

 

L'expression scientifique de la magie des nombres

L'arithmétique

L'arithmétique traite de la résolution de problèmes numériques en utilisant essentiellement des nombres entiers naturels et des décimaux positifs.

Son outil essentiel est le langage ordinaire, augmenté du calcul sur les nombres. Elle demeure essentiellement un savoir oral, le papier ne conservant que quelques phrases et des opérations sur les nombres qui donnent les solutions des problèmes proposés.

Le calcul joue le rôle d'une mécanique au service d'un raisonnement exprimé par ailleurs. Les calculs ne sont considérés que comme des étapes qui ne valent que par les résultats obtenus. En travaillant uniquement sur des quantités connues, il s'agit de progresser pas à pas du connu vers l'inconnu.

L'algèbre

L'algèbre permet d'écrire des relations entre des quantités connues ou inconnues, employant pour ce faire des paramètres et des variables.

Les énoncés du langage ordinaire se traduisent par des expressions littérales sur lesquelles opère le calcul algébrique.

Le recours à l'algèbre est rendu nécessaire dès que la complexité des situations dépasse un certain niveau, la plupart du temps pour des problèmes autres que ceux qui relèvent du premier degré.

 

 

 


Entre l'arithmétique et l'algèbre, il existe certains outils communs : le signe "=", l'usage des parenthèses, les signes opératoires. Mais la maîtrise de l'algèbre nécessite tant l'appropriation d'une syntaxe nouvelle - les équations, les inconnues ou les fonctions - que de nouveaux usages des symboles opératoires, du signe "=" ou des parenthèses.

La problématique essentielle de leur relation est le passage d'un raisonnement qui n'utilise le recours à l'écrit que pour effectuer des calculs numériques, à un raisonnement qui utilise des relations entre les nombres. De ce fait, l'algèbre ne peut pas être considérée comme une simple généralisation de l'arithmétique, l'art du rythme qui crée et organise !

 

Alphabet de la La Parole perdue

Il se compose :

• des 9 premiers nombres entiers : 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, et 9. Ils forment la "Matrice archétype".

• des 3 figures mères en géométrie : le cercle, le triangle et le carré. Elles forment la "Grille hexagonale".

• des 3 idées universelles suivantes : le Créateur (Deus), l’Univers (Natura), l'Homme (Homo). Elles forment l'"Arbre des 3 mondes".

 

Le Nombre, créateur d'ordre

Appelé par Carl Gustav Jung "l'archétype de l'ordre", le nombre a pour but de structurer. Il n'est pas le fruit de l'homme, mais celui de la manifestation d'une réalité transcendante de nature unitaire - la Réalité au sens de l'Absolu -, qui relie de manière synchrone tous les aspects et éléments de Ce Qui Est, tous les phénomènes intellectuels, psychiques, parapsychiques et physiques. Ils servent de médiateurs et de ciment entre la réalité extérieure et la réalité mentale, entre la matière et l'esprit. Ils incluent les notions de séries continues des nombres entiers en arithmétique et le concept de continu en géométrie, les deux disciplines reines de la connaissance. Ainsi explicitent-ils les formes d'ordre de façon claire à la lumière de la conscience, ce qui leur attribue sans équivoque une composante spirituelle et mystique.

 

En effet, l’univers vivant, de par sa nature électromagnétique, évolue à partir de sa structuration en gammes, qu’il s’agisse du son ou de la lumière (les couleurs)*, ce que Pythagore appelait "La musique des sphères" (musica mundana). C'est ainsi que les sens de l'être humain perçoivent les octaves de fréquences de la matière (couleurs, sons, saveurs, odeurs,…), signifiant qu'il y a bel et bien une organisation mathématique de la matière par des archétypes décelables dans les nombres et les formes géométriques. Ces archétypes se retrouvent tant dans les langages que dans les systèmes (yi king, tarot, cinq éléments, etc). On peut de ce fait faire des équivalences, le rouge pouvant être l’équivalent du Do musical par exemple.

Nous pouvons alors comprendre l’unité derrière tous les phénomènes, un lien profond les rassemblant. La synesthésie, soit l'équilibre des deux aires cérébrales*², est une faculté qui prouve l’unité des vibrations. Encore faut-il que l'être humain soit parfaitement équilibré !*³

* Cf. Évolution de civilisation (1) Le Mécanisme de l'Univers & Fonctionnement de l'architecture du Vivant.

Cf. Esprit global.

*³ Cf. L'état de cohérence, voie de sa liberté.

 

La géométrie de la gravité

La géométrie est importante pour comprendre la gravité, nécessaire pour l’expression de la pensée en séquence. Si nous connaissons les 3 dimensions spatiales de notre sphère d'expression, plus exactement du cube, il y a d’autres dimensions, le temps étant circonscrit à la 4ème de par la théorie de la relativité. Dans ces autres dimensions, notre monde est en quelque sorte "flottant". Avec les mathématiques, les nombres premiers tout particulièrement, il y a des indices. Cela signifie qu’il existe des structures mathématiques exceptionnelles qui ont été choisies par la "Création" parce qu’elles sont en quelque sorte exceptionnelles*. C'est ainsi qu'il y a des structures exceptionnelles en 3 dimensions qui sont appelées les solides de Platon. Il n’y en a que 7...

Il y a également en mathématiques ce qui se nomme un "groupe de Lie", groupe doté d'une structure de variété différentielle, pour laquelle les opérations de groupe — multiplication et inversion — sont différentiables. Les groupes de Lie sont nommés ainsi en l'honneur du mathématicien norvégien Sophus Lie (1842/1899), qui les introduisit afin d'étudier certaines propriétés des équations différentielles. La théorie de groupes de Lie décrit la symétrie continue en mathématiques (description des rotations, des traductions, des translations, de la propagation des ondes). En physique théorique, par exemple dans la théorie des quarks, son importance s'est affirmée au cours du XXe siècle. Les 5 groupes exceptionnels de Lie sont utilisés depuis longtemps pour unifier la physique, expliquer la gravité à l’aide de la théorie des cordes, des branes*², des multivers, et ainsi de suite. En fait, les groupes de Lie sont à l’affût pour piéger les imprudents (lie en anglais signifie mentir...).

Si les groupes de Lie sont utiles, ils ne permettent pas de comprendre que la gravité provient de la conscience, seule à même d'assurer le lien entre l'information qui circule dans l'univers et la qualité de sa transcription dans la matière selon l'état de conscience de l'observateur... En quelque sorte, notre univers matériel tridimensionnel est une sorte de brane flottant dans un espace multi-dimensionnel à dimensions infinies, dénombrables comme indénombrables, les "pensées" étant semblables aux protéines fabriquées par l’ADN : il y a autant d’informations transmises par la forme que par la chaîne d’acides aminés et autres composantes. Il y a de ce fait plus d’une "structure" de base pour les pensées !

* Cf. Symbolisme des neuf premiers nombres.

Dans la théorie des cordes, une brane ou p-brane est un objet étendu, dynamique, possédant une énergie sous forme de tension sur son volume d'univers, qui est une charge source pour certaines interactions (de la même façon qu'une particule chargée, telle l'électron par exemple, est une source pour l'interaction électromagnétique). 

 

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De la constance physique

La structuration de l'univers fait appel à la constance, qui permet tant sa bonne organisation que son bon fonctionnement. C'est ce que la physique appelle la Constante de structure fine, qui équivaut en mathématique à environ 1/137. C’est une des constantes très importantes de l’univers, au même titre que la vitesse de la lumière, la constante de gravité, la constante de Planck ou la charge électrique élémentaire. Sa particularité est qu'elle est une combinaison de ces éléments, se traduisant en un chiffre, pur il va sans dire !

Ce nombre pur apparaît dans une équation de Dirac, équation formulée par le mathématicien et physicien britannique Paul Adrien Maurice Dirac (1902/1984) dans le cadre de sa mécanique quantique relativiste de l'électron (image). Il s'agit au départ d'une tentative pour incorporer la relativité restreinte à des modèles quantiques, avec une écriture linéaire entre la masse et l'impulsion. Ce nombre dit comment la lumière interagit avec l’électricité. Ainsi, lorsque nous voyons des étoiles et des spectres d’étoiles et que nous pouvons analyser ce spectre de façon subtile, nous voyons ce nombre dans la lumière du ciel (ou dans quelques expériences très subtiles). Nous pouvons le mesurer ! Autrement dit, cette lumière qui vient est créée en dispersant ou en frappant une charge électrique, au même titre que lorsque l’antimatière et la matière entrent en collision.
Le mathématicien suisse Armand Wyler a de son côté prétendu avoir mathématiquement dérivé ce nombre d’une sorte de considération géométrique. Sa formule était à peu près la même que ce que les physiciens mesurent, sans que personne ne puisse la comprendre. Invité à Princeton (célèbre université privée dans le New Jersey aux États-Unis) afin d’expliquer sa dérivation, il n’a pas réussi à l’expliquer. Revenu en Europe, il a été placé dans un asile pour fous. Il n’a plus écrit après ça. Il a disparu. Quant au célèbre mathématicien anglais d'origine libanaise Michael Francis Atityah, médaillé Fields en mathématiques, il a écrit un article sur la Constante de structure fine, l'ayant obtenu d’une manière complètement différente, avec des quaternions, des octonions et beaucoup d’algèbre, et donnant à ce numéro la lettre russe "Ч" ("ch"). La communauté des physiciens ne la comprend pas mieux. Mais le résultat est identique : 1/137. En l'état, ce nombre garde son mystère, celui de l'explication de l'énergie et de la matière noire !

 

Tableau des qualités universelles perçues par les sens (Cf. Travaux de l'architecte Ibrahim Karim)
Tableau des qualités universelles perçues par les sens (Cf. Travaux de l'architecte Ibrahim Karim)

 

Il découle de cette structuration et de ce fonctionnement de l'univers que les nombres ont un pouvoir énergétique sur les éléments - les atomes, les molécules... - et les formes en découlant, certains étant tout particulièrement en résonance avec une énergie subtile "harmonisante" et spirituelle tel le nombre dit "d'Or"*. Les représentations géométriques du Nombre d’Or le caractérisent comme un attracteur, c'est-à-dire qu'il est à même d'agir comme une antenne en forme de spirale, qui attire à elle un type particulier d’information (notion de transduction). Ceci explique que la quête alchimique*² était une quête scientifique tout autant qu'une quête spirituelle, l'étude des couleurs associée aux métaux - tout particulièrement l'or - devant déboucher sur la mise en œuvre de l'harmonique supérieure, autrement dit la Pierre philosophale.

* Il y a ainsi un lien avec le nombre d’or et le fait que l’ellipse (exemple : l’œuf) est la forme harmonique idéale.

Cf. Le chemin alchimique.

 

Pour autant, tout est absolument faussé dans le jeu pervers de la Matrice involutive de 3ème dimension de réalité. Parmi les incontestables vérités que ces scientifiques révèlent aux êtres humains, se dissimulent des leurres et mensonges destinés à les piéger pour demeurer prisonniers des boucles involutives de la cyclicité du temps propre à cette dimension de prédation*, car constituant sa nourriture de survie. Aussi est-il nécessaire d'user de son discernement, en se rattachant à la guidance de son Soi supérieur une fois les affres de la dualité*² dissous pour éviter le piège du scientisme, soit la croyance dans le pouvoir des nombres et des formes sans la vibration de la Source divine qui les constituent ...

* Cf. Fin de cycle (1) Fin du temps ou fin des temps ?

Cf. La dualité décodée.

 

Des boucles causales

Le logicien et mathématicien autrichien naturalisé américain Kurt Gödel (1906/1978) est tout particulièrement connu pour avoir formulé le théorème d'incomplétude, qui apporte une réponse négative à la question de la démonstration de la cohérence des mathématiques. Il a pour ce faire étudié la théorie générale d’Einstein sur la relativité, démontrant que si ses équations établissaient une catégorie de solutions cosmologiques raisonnables, elles contenaient pour autant des "boucles causales". Une "Boucle Causale" a la même signification qu’une "Boucle Temporelle", c'est-à-dire qu'elle explique le phénomène consistant à se rendre dans le futur et revenir au point départ à l’heure et à l’endroit d’où on est "parti". Si elle est appelée "causale", c'est que le temps dans la théorie d’Einstein sur la relativité est un concept relatif, et que différents observateurs peuvent faire une expérience différente du Temps selon leur état de conscience. L’utilisation du terme "causal" permet ainsi d'éviter d’avoir à utiliser le terme de "temps". Par extension, ces boucles causales - ou temporelles - correspondent à une sorte de "rotation" de l’univers.

Les boucles causales rendent ainsi plausible le voyage dans le temps !

 

Les scientifiques relais du système prédateur

Ces mêmes scientifiques (Pythagore, Copernic, Galilée, Kepler, Newton...) expliquant le fonctionnement de Ce Qui Est utilisent le compas et l'équerre (Cf. photo), soit les outils propres au fonctionnement du système patriarcal asservisseur des consciences à travers les scientifiques "païens", et que perpétuent sous leurs différentes formes les sociétés secrètes, occultes, comme la Franc-Maçonnerie*. Aussi l'éveil de conscience de l'être humain passe par la Connaissance, à savoir son propre travail de recherche de la Vérité émancipé de toutes les croyances, manipulations et de tous les conditionnements assénés. C'est en suivant la voie alchimique*² qu'il découvre que cette Connaissance est en lui, pouvant lui offrir les clés d'extraction du piège mortifère tendu...

* Cf. La nouvelle religion universelle.

Cf. Le chemin alchimique & Processus de transformation de conscience (1).

 

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Du scientifique Isaac Newton

Le mathématicien, physicien, philosophe, alchimiste, astronome et théologien anglais Isaac Newton (1643/1727) faisait partie d'un réseau secret d'alchimistes, probablement constitué à partir du cercle Hartlib* de Londres. Il s'était choisi comme pseudonyme alchimique Ieoua Sanctus Unus, signifiant en français "Jéhovah Unique Saint" et également anagramme d’Isaac Neuutonus. Durant plus de 25 ans, il conservera le secret sur ses activités et surtout sur ses contacts, desquels il reçut de très nombreux ouvrages et traités alchimiques, qu'il annotait et recopiait jusqu'à se constituer une des plus vastes bibliothèques alchimiques de son époque.

* Le Hartlib Circle était le réseau de correspondance mis en place en Europe occidentale et centrale par Samuel Hartlib (1600/1662), un polymathe ("intelligenceur") basé à Londres, et ses associés, entre 1630 et 1660. Ce vaste réseau de contacts et de discussions avait pour but de promouvoir la connaissance et l'échange d'information à travers l'Europe, débouchant sur une volumineuse correspondance entre de nombreux philosophes et scientifiques qui ne fut retrouvée qu'en 1945. Cette correspondance est maintenant abritée dans une collection spéciale Hartlib à l'Université de Sheffield.

 

Pourquoi nombre de grands musiciens ont été francs-maçons et quelles conséquences ?

Comment ne pas être frappé de constater le nombre et la qualité des musiciens qui ont appartenu à la Franc-Maçonnerie : le violoniste italien Francesco Geminiani (1687/1762 - image 1), l'organiste français Louis-Nicolas Clérambault (1676-1749), le violoniste allemand Johann Georg Léopold Mozart père (1719/1787) et son fils Wolfgang Amadeus (1756/1791), le compositeur autrichien Joseph Haydn (1732/1809), le compositeur italien Luigi Cherubini (1760/1842), le compositeur français Étienne Nicolas Méhul (1763/1817), le compositeur et violoniste français François-Joseph Gossec (1734/1829), le compositeur français François-Adrien Boieldieu (1775/1834), le compositeur et violoniste italien Giovanni Battista Viotti (1755/1824), le compositeur italien Gaspare Spontini (1774/1851), le compositeur et pianiste hongrois Franz Liszt (1811/1886), le compositeur allemand Giacomo Meyerbeer, de son vrai nom Jakob Liebmann Meyer Beer (1791/1864), le compositeur finlandais Jean Sibelius (1865/1957 - photo 14), et tant d'autres*.

Initiés par leur appartenance maçonnique aux fondements de la relation entre mathématiques et sonorité musicale, leur caractéristique commune est l'utilisation dans leurs art et compositions de la "protéodie", mot-valise composé de protéine et de mélodie qui caractérise un procédé*² considéré comme appartenant à la pseudo-science. Ce procédé propose qu’à chaque acide aminé (acide carboxylique) constitutif de la protéine (les trois acides aminés protéinogènes essentiels pour l'homme sont l'isoleucine, la leucine et la valine) sont associées certaines ondes pouvant être transcrites en musique sous forme de notes. Il en résulte que par la diffusion d’une protéodie spécifique de telle ou telle protéine, la fonction biologique associée est favorisée ou inversement inhibée... Ainsi est tissé par leur intermédiaire le piège pour les êtres humains illusionnés qui, s'imaginant que la musique élève l'esprit (notamment classique), ignorent qu'elle peut constituer un poison pour sa propre libération de conscience, compte-tenu de ses répercussions sur les acides aminés constitutifs de son épigénétique !

Or la codification de la musique établie il y a vingt-cinq siècles par Pythagore, basée sur 12 notes au lieu de 24, ne favorise pas dans sa version "moderne" la diffusion des fréquences bénéfiques au corps biologique, l'harmonique utilisée étant de 440 Hz et non de 432 Hz, fréquence de l'harmonique créatrice*³ ! Il en découle que la technique sonore peut constituer un redoutable outil de manipulation, qui plus est lorsque la musique est diffusée de manière holographique. Qui a détourné l'enseignement de Pythagore, et à quelles fins ?...

* Ce ne fut a priori pas le cas de Beethoven, Schubert, Mendelssohn, Verdi et Wagner.

Possiblement créé par le physicien français Joël Sternheimer, inventeur d’un procédé de régulation épigénétique de la biosynthèse des protéines par résonance d’échelle, breveté en 1993.

*³ Cf. Symbolisme des neufs premiers nombres.

 

Pythagore et la codification de la musique

Le mathématicien philosophe a mis en évidence les rapports étroits qui unissent la musique et le nombre exprimés sous forme de "fréquences" à partir des sonorités harmonieuses rendues par des marteaux de différents poids frappant sur une enclume. Selon lui et en toute logique, des nombres "harmonieux" entre eux donnent des sons harmonieux entre eux. C'est pourquoi musique et nombre sont intimement liés, les lois de l’harmonie de l’un se reflétant dans l’autre et vice versa.

Toutefois, ses remarques très justes, confirmées par les sciences acoustiques, n’ont jamais été comprises ni employées intelligemment en Occident. Au système des "tierces successives" (un accord est harmonieux parce que composé de plusieurs tierces successives), a succédé l’"atonal", en complet désaccord avec notre système physiologique de perception auditive. Autrement dit, c'est la recherche du hasard en musique qui nous ramène au "son". Or ce qui différencie le "son" de la "musique", c’est une notion de cohérence ou d’ordre, sans laquelle l’humain est perdu : le "cosmos" contre le "chaos". Seuls les Arabes ont poursuivi les travaux de Pythagore, relayés, entre autres, par Aristote, ce qui a fait de leurs bases musicales - les "maqam" - les plus raffinées du monde. Notre système musical actuel est un système "à tempéraments égaux", c’est-à-dire basé sur les éléments posés par Pythagore (l’octave, les sept notes…) mais déformé, certes pour des raisons techniques (essentiellement pour la commodité des instruments à clavier qui se sont imposés dans la musique occidentale comme les instruments de référence - orgue pour la musique religieuse, clavecin puis piano pour la musique profane -), mais également pour des raisons plus "occultes", visant à empêcher l'être humain de bénéficier des harmoniques de la Matrice originelle, non falsifiée*.

C'est ainsi que si la fréquence harmonique de 432 Hz existante depuis la Grèce antique*² est la fréquence de référence de la musique*², la référence actuelle est le 440 Hz, beaucoup plus néfaste. Et pour cause, changer  pour dépasser 440 Hz a pour objectif d'assurer le contrôle mental des individus ! C'est ainsi qu'en 1910 a été conçu un carillon militaire sur la norme 440 Hz, qui a ensuite été utilisé à des fins de propagande pendant la Seconde Guerre mondiale. De son côté, le dignitaire nazi Joseph Goebbels a adopté en 1936 la norme de 440 Hz, parce qu'il savait que cette fréquence a l’effet le plus fort sur le cerveau humain... 

* Cf. La falsification de la réalité en 3-D.

* Platon, Hippocrate, Aristote, Pythagore et d’autres grands penseurs et philosophes de l’Antiquité connaissaient les effets curatifs de la musique sur les êtres humains, et guérissaient les gens grâce au pouvoir de la musique.

 

 

Qui parviendra à "craquer" le code de l'Univers ? Si ce défi semble bien présomptueux pour l'être humain en son état de conscience (très) limité, craquer le code de la Matrice cyber source de prédation asservissante pour l'être humain prisonnier de ses boucles cycliques involutives* est en cette fin de cycle civilisationnel une nécessité impérieuse afin de libérer l'âme et lui permettre d'ascensionner*². Certains esprits hors du commun semblent avoir trouvé le chemin par leur intellect prodigieux. C'est l'histoire de vie d'un des plus grands mathématiciens de tous les temps, John Forbes Nash. Il l'a payé chèrement, les gardiens de la Matrice ne voyant pas d'un bon œil leur nourriture s'échapper. La voie est cependant ouverte, pour celle ou celui qui saura résoudre en lui l'équation complexe de ce monde d'illusion...

* Cf. Compréhension structurelle de la Matrice asservissante.

Cf. Le chemin de l'Ascension & Processus de transformation de conscience (1).

 

Lorsque génie et folie se côtoient

John Forbes Nash Jr. (1928/2015 - photo 1) est un mathématicien et économiste américain de renom, qui a travaillé sur la théorie des jeux (Cf. ci-dessous), la géométrie différentielle, et les équations aux dérivées partielles. Il est le seul mathématicien et économiste à être lauréat à la fois du prix Nobel d'économie en 1994 et du prix Abel pour les mathématiques en 2015. À l'aube d'une carrière mathématique prometteuse, John Nash a commencé à souffrir de schizophrénie, apprenant à vivre avec cette maladie seulement vingt-cinq ans plus tard. Sa vie est racontée dans le film A Beautiful Mind (Un homme d'exception), réalisé par Ron Howard d'après le livre "Un cerveau d'exception" de Sylvia Nasar, et sorti en 2001.  Son personnage est joué par Russell Crowe (photo 2).

 

Le dilemme du prisonnier selon John Forbes Nash*

Ce jeu  s’applique à de nombreuses situations, représentant des joueurs qui interagissent de façon stratégique : la décision de chacun affecte le bien-être des autres ! La solution est la situation dans laquelle chacun prend la meilleure décision compte tenu des meilleures décisions des autres. On parle alors "d’équilibre de Nash". Sinon, si tout le monde suit son intérêt personnel, cela nuit à la collectivité.

* Il en  a énoncé la solution en 1950 dans une thèse de doctorat incroyablement courte, seulement 26 pages !

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Il a fait ses études doctorales à Princeton (New Jersey), sa thèse soutenue en 1950 portant sur la théorie mathématique des jeux. Il introduit une notion d'équilibre, dit l'équilibre de Nash, dans des jeux non coopératifs, qui a beaucoup d'importance en économie et en sciences sociales. Remarqué par les cercles influents, il travaille plusieurs étés à partir de 1950 pour l'entreprise RAND, une institution américaine civile fondée par les militaires, dans le but d'appliquer ses travaux en théorie des jeux à la stratégie diplomatique et militaire des États-Unis.

Jusqu'au printemps 1959, il enseigne au Massachusetts Institute of Technology (MIT), où il réalise des travaux d'une portée exceptionnelle par l'étude des "surfaces de Riemann"* (image 3), concept à la croisée de nombreux domaines mathématiques dont la géométrie différentielle, la théorie des nombres, la topologie et géométrie algébriques, les équations aux dérivées partielles… A-t-il alors percé une clé de compréhension concernant la Matrice cyber ? Toujours est-il qu'il est sujet brutalement en troubles mentaux au début de l'année 1959. Il entend des voix, perçoit des signes crypto-communistes partout, se sent traqué en permanence. Il doit renoncer à son poste au MIT, réside quelques temps à Princeton, s'enfuit ensuite en Europe où il veut obtenir le statut de réfugié. Finalement, il est interné contre son gré en 1961. Pendant neuf ans, il subira les violents traitements psychiatriques de l'époque, dont les électrochocs et les surdoses d'insuline. Ces mois passés en hôpital psychiatrique alternent avec des moments de conscience où il parvient encore à réaliser des travaux de valeur. A partir de 1970, il refuse de fréquenter les hôpitaux psychiatriques et de prendre tout traitement, même s'il est loin d'être guéri.

Peu à peu, les troubles mentaux de Nash s'atténuent au point qu'il est complètement guéri vers le début des années 1990. Il reprend même ses recherches en mathématiques et en économie, et reçoit les plus grands honneurs : le prix Nobel d'économie en 1994 pour sa contribution à la théorie des jeux, le prix Abel en 2015 pour ses travaux en géométrie différentielle. Le "destin" le rattrape lorsqu'il rentre de Norvège après la cérémonie couronnant son prix Abel, le taxi qui le ramène de l'aéroport sortant de route. John Nash et son épouse sont éjectés et morts sur le coup.

Mathématicien prodigieux, intelligence hors-norme, apport à la stratégie diplomatique et militaire, traitements psychiatriques sous contrôle... autant d'éléments laissant à penser que John Forbes Nash avait touché du doigt un interdit tabou - la schématisation de la forme isométrique la plus proche de la Terre -, sa mort accidentelle troublante signant la marque du système prédateur*² qui veut que la sublime connaissance ne reste jamais impunie...

* En géométrie différentielle et géométrie analytique complexe, une surface de Riemann est une variété complexe de dimension 1 qui, par oubli de structure, se présente comme une variété différentielle réelle de dimension 2. Cette notion a été introduite en 1854 par le mathématicien allemand Bernhard Riemann pour prendre en compte les singularités et les complications topologiques qui accompagnent certains prolongements analytiques de fonctions holomorphes. Ainsi toute surface réelle orientable - comme la surface de la Terre ... - peut être munie d'une structure complexe, autrement dit être regardée comme une surface de Riemann. Cela est précisé par le théorème d'uniformisation.

Cf. Contrôle mental.

 

Le tore carré plat, ou la geôle-écran

Le problème du plongement isométrique des variétés riemanniennes qu'a résolu en 1953 au laboratoire de mathématique du MIT John Forbes Nash résistait jusqu'alors aux assauts des meilleurs mathématiciens depuis sa formulation au XIX° siècle. Nommé "tore carré plat", nous pouvons le comprendre à travers les jeux informatiques, qui voient dans certains d’entre eux des personnages/formes libres de leur mouvement rester néanmoins prisonniers de l’écran. S’ils viennent à disparaître par le haut, ils réapparaissent en bas. De même, s’ils sortent par la droite ils reviennent par la gauche, etc. (image 1). Cette geôle qui emprisonne de fait les personnages/formes informatiques autorise la déformation de l’écran de l’ordinateur dans la troisième dimension, de façon à réaliser concrètement les sutures nécessaires à la continuité du mouvement. Ainsi le sol doit être joint au plafond et le mur de gauche doit s’assembler avec le mur de droite. C'est au prix d’une sérieuse distorsion du carré qui symbolise l’écran, en l'occurrence son passage à une forme cylindrique (images 2 à 5), que l’architecture globale émerge soudainement sous forme finale d’une bouée (image 6), à même de montrer que les deux personnages/formes sont identiques d’un point de vue topologique (on dit qu'ils sont homéomorphes). Les personnages/formes informatiques, contraints à se mouvoir sur sa surface, n’ont donc aucune échappatoire...

En mathématique, le concept explicatif de l’écran de l’ordinateur qui emprisonne de la sorte les personnages/formes s’appelle un tore carré plat. La surface de la bouée, qui figure ce tore carré plat dans l’espace tridimensionnel, prend alors le nom de tore de révolution (image 7), cette surface représentant le monde dans lequel vivent les personnages/formes informatiques. Si elle permet de saisir immédiatement la structure invisible de la geôle-écran, elle souffre toutefois d’un défaut important, qui l’éloigne irrémédiablement du monde plat de l’écran de l’ordinateur : elle déforme les distances. Le tore de révolution (3-D) ne donne pas une image fidèle du tore carré plat (2-D). Il y a tromperie sur les distances. Ce tore carré plat est un exemple de ce que les spécialistes appellent une "variété riemannienne", ces mêmes spécialistes nommant "plongement isométrique" une représentation qui respecte les longueurs, dans une version certes affaiblie. Et c'est ce que Nash a résolu !

Et s'il avait compris de cette manière le fonctionnement de la Matrice cyber*, les petits personnages de son écran étant les êtres humains leurrés par les illusions géométriques - les plongements isométriques - d'une fausse réalité en 3-D, comme dans Pacman*² ...

* Cf. Compréhension structurelle de la Matrice asservissante & La falsification de la réalité en 3-D.

Cf. Pac-Man, à l'origine Puckman, est un jeu vidéo créé par Tōru Iwatani pour l’entreprise japonaise Namco, sorti au Japon le 22 mai 1980. Le jeu consiste à déplacer Pac-Man, un personnage qui, vu de profil, ressemble à un diagramme circulaire à l’intérieur d’un labyrinthe, afin de lui faire manger toutes les pac-gommes qui s’y trouvent en évitant d’être touché par des fantômes...

 

Du spin libérateur

Si le tore du carré plat du mathématicien allemand de la géométrie Georg Friedrich Bernhard Riemann (1826/1866 - photo 1) explique la déformation topologique de la réalité au sein de la Matrice prison de la "3-D", la solution de son extraction se trouve dans la célèbre invention du physicien autrichien des théories quantiques Wolfgang Ernst Pauli (1900/1958 - photo 2), connu pour sa définition du principe d'exclusion en mécanique quantique ou "principe de Pauli" (ce qui lui valut le prix Nobel de physique de 1945 - photo 2) issu de sa collaboration avec le physicien allemand Werner Heisenberg (1901/1976 - photo 3). 

Pour définir ce principe d'exclusion, qui signifie que les fermions ne peuvent pas être dans le même état alors que les bosons peuvent se rassembler en étant dans le même état, Pauli a introduit le concept de spin (photo 5), et ce grâce à l'"équation de Dirac" formulée par le mathématicien et physicien anglais Paul Adrien Maurice Dirac (1902/1984 - photo 4) en 1928 dans le cadre de sa mécanique quantique relativiste de l'électron. Cette équation décrit le comportement de particules élémentaires de spins demi-entiers, comme les électrons.

Comme les signes utilisés en géométrie sont "plus" et "moins", notre espace terrestre a de ce fait trois signes "plus", car il a 3 dimensions. De son côté, le temps étant différent de l’espace, il possède une dimension négative. Il suffit alors de transposer ces signes propres à la géométrie à la physique en les remplaçant par des zéros, nombres signifiant le Tout accompli*, pour aboutir à une théorie du champ unifié au sein duquel le spin (les spineurs algébriques des physiciens) constitue le champ de torsion entre l'espace-temps géométrique et le temps-espace physique au sens quantique. Autrement dit, le spin opère la rotation entre ces deux dimensions grâce aux ondes instables de gravité. Et comme la gravité est à la physique ce que la conscience est à l'esprit, dans la mesure où le champ électromagnétique terrestre dépend en partie de l'action du champ gravitationnel*², nous comprenons comment l'être humain par sa conscience peut faire dériver la gravité de l’électromagnétisme pour changer par ce saut dimensionnel de dimension de réalité !

C'est bel et bien par la puissance vibratoire et l'énergie de sa supra-conscience que l'humain est créateur de sa réalité, une fois son alignement intérieur réalisé, ce champ de torsion ayant effacé les programmes-mémoires altérés contenus dans le champ magnétique périphérique de la Terre, et ce pour reconstituer sa génétique originelle. Ceci signifie que celles et ceux qui ne sont pas parvenus en 5ème densité de conscience ne pourront pas devenir véritablement créateurs de ce type de mondes, et qu'ils resteront des acteurs de mondes déjà existants, c'est-à-dire d'un futur déjà réalisé. C'est pourquoi il est impératif de se dépouiller de toutes les croyances limitantes et programmes qui nous rattachent à cette 3ème densité, afin de parvenir en 5ème densité de conscience où nous serons aptes à imaginer notre réalité, qui alors pourra prendre forme.

* Cf. Symbolisme des neufs premiers nombres.

Le "champ de torsion" est le procédé énergétique de nature électromagnétique, sonore ou optique, qui permet la modification de la réalité perçue par son influence sur l'écosystème terrestre, autrement dit sur son champ éthérique, sorte d'onde d'énergie de matière-antimatière en vibration constante. Ce mouvement vibratoire est une perpétuelle alternance du passé-futur (l'antimatière), devenant présent (la matière) lorsqu'il est perçu par la conscience.

 

 

 

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