Les "clés libératrices" en ligne font l'objet de constantes mises à jour et nouveaux enrichissements. Leur formulation n'engage que leur auteur, qui puise tant dans ses recherches et sources d'information que dans son imaginaire leurs révélation et libre mise à disposition suivant la forme et la rédaction retenues.

Il n'y a de ce fait rien à prendre pour argent comptant, seulement à laisser faire en soi le processus d'ouverture de conscience par le discernement, soit le juste équilibre entre cœur et raison. Celui-ci conduira à les invalider, à les valider, à les compléter par d'autres ajouts et compléments. Il est ainsi conseillé de se référer à des relais ou officines de la doxa scientifique officielle tel Psiram.com, le Wikipédia des croyances irrationnelles, dont l'objectif est de discréditer tout ce qui ne correspond pas à sa ligne de pensée académique, et de prendre le contre-pied sur des sites comme la chaîne web Odysee.com ou la plateforme de vidéo en ligne canadienne basée à Toronto Rumble, ou encore le site d'hébergement de vidéos "alternatif" Crowdbunker . Sans prendre parti pour une croyance contre l'autre, il s'agit de prendre de la hauteur et de se forger sa propre opinion, par son propre travail de recherche, libre et indépendant.

C'est ainsi que procède le chercheur de vérité.

 

 

Fonctionnement de l'architecture du Vivant

Publication complémentaire à Univers en partage, Évolution de civilisation (1) Le Mécanisme de l'univers & L'état de cohérence, voie de sa liberté.

 

Quoique niée par la communauté scientifique orthodoxe, l'énergie est la substance primordiale indifférenciée explicative de la structuration et du fonctionnement de l'univers*, suivant des principes et lois physiques qui sont autant de principes et de lois spirituelles. C'est pourquoi d'aucuns parlent de "science éthérique", soit l'étude de ce qui concerne les énergies non-électro-magnétiques, celles-ci étant constitutives avec les forces nucléaires du modèle scientifique dominant. Comme leur compréhension est déterminante pour la relation harmonieuse de l'être humain à la vie, ceci explique qu'elles soient détournées, manipulées et tenues dissimulées par les relais terrestres du corpus prédateur asservisseur*².

Cf. Univers en partage & Évolution de civilisation (1) Le mécanisme de l'Univers.

Cf. Compréhension structurelle de la Matrice asservissante & Le sens caché du jeu d'échecs.

 

La recherche scientifique controversée

En parallèle du circuit scientifique officiel, nombre de chercheurs mènent depuis plusieurs décennies des études à caractère systémique, proposant une vision globale (dite holistique) de la relation de l'être humain au cosmos. S'ils rejoignent en cela nombre de précurseurs antiques, tombés en désuétude avec la Révolution rationnelle des "Lumières", ils s'appuient sur l'apport de la science de l'infiniment petit initiée au XX° siècle, autrement appelée science quantique*. C'est tout particulièrement le cas en médecine et dans ses branches chirurgie et médecine pharmaceutique. Cette approche intégrative considère ainsi la personne comme un tout : avec un corps physique, un esprit, une conscience, une âme. Se rapprochant des pratiques de la médecine orientale (chinoise, indienne), elle constitue un développement nouveau pour la médecine occidentale, de plus en plus de médecins s’intéressant à cette branche. Cependant, si dans certains pays il n'existe pas de division entre médecine classique et médecine intégrative (ainsi en Russie), c'est loin le cas pour d'autres, tout particulièrement la France, expliquant la résistance farouche sinon brutale du système établi, tout particulièrement pour conserver les intérêts financiers liés, la qualité du soin apporté à la santé servant de paravent marketing pour rejeter l'apport de cette pseudo-science taxée de mystique et de sectaire par ses chiens et chiennes de garde (souvent enragés)*².

Pourtant ce ne sont que deux parties différentes d’un même processus, qui cherche à faire que les gens soient en bonne santé. Le champ d’énergie humain, comme celui de la mémoire de l’eau*³, des lieux d’énergie, et des différentes modalités thérapeutiques liées, peuvent difficilement être niées, puisque même la science officielle y colle nombre de ses pratiques. Mais lorsque certaines vont à l'encontre des règles "business" établies, ou échappent à ses praticiens dûment estampillés et contrôlés, elles sont alors rejetées. C'est pourquoi tout ce qui a trait à l’énergie, difficilement quantifiable et mesurable par les instruments traditionnels, voit peser une chape de plomb, alors même qu'elle est la principale mesure quantitative de tout type de mouvement et d’activité, omniprésente autour de nous, et que la physique quantique démontre l'action de ce qui est observé par la pensée. Imaginons qu'un individu la comprenne et la maîtrise : il échapperait au système - sa dépendance à autrui -, deviendrait son propre guérisseur, et ce à coût zéro. Impensable pour nos maîtres prédateurs et leurs relais asservisseurs, qui ont besoin de la docilité et de la servilité du troupeau pour s'en repaître à satiété.

Aussi, et en dépit du fait que Einstein a bel et bien montré, avec son équation E=MC², que la matière est de l’énergie condensée pour maintenir une structure, et que de ce fait la matière et l’énergie sont interchangeables, une grande partie de la science occidentale inféodée en récuse l'application au bénéfice de la santé. C'est le cas de l’imagerie électrophotonique, branche de la bioélectrographie, permettant d'analyser la lumière venant des sujets. Ou comment continuer à nier ce que d'aucuns savent ou découvrent, à savoir que nous sommes tous des êtres de lumière, et qu'à ce titre nous émettons de la lumière. Simplement, chez certains, la lampe de l'esprit semble passablement éteinte, alors même qu'ils sont en charge de la guidance éclairée de la Cité...

* Cf. Univers en partage.

Ainsi l'appel en avril 2018 de 124 professionnels de santé dans une tribune parue dans le journal Le Figaro, les voyant partir en guerre contre les médecines alternatives qu'ils qualifient de "fake médecine", dangereuses, inefficaces et coûteuses. Elles concernent l'homéopathie, l'acupuncture ou la mésothérapie (technique médicale mise au point en 1952 par le médecin français Michel Pistor consistant en des injections locales et très superficielles de doses faibles de médicaments à l’endroit où le trouble ou la douleur sont ressentis). Ce collectif demande l'exclusion de ces disciplines " ésotériques " du champ médical, la radiation des médecins qui continuent à les promouvoir, et le non remboursement des médicaments ou soins liés à ces pratiques. Est-il utile de rappeler que l'INSERM, l’Institut national de la santé et de la recherche médicale (établissement public à caractère scientifique et technologique français), spécialisé dans la recherche médicale qui figure au 1er rang européen des institutions académiques de recherche dans le domaine biomédical, a été dirigé jusqu'à l'été 2018 par Yves Lévy, époux d'Agnès Buzin, Ministre de la Santé publique, lorsqu'elle a imposé l'obligation vaccinale de 11 vaccins, alors même que plus de 8.000 effets secondaires dont un certain nombre mortels ont été recensés à travers le monde...

*³ Selon une équipe internationale de chercheurs, les bactéries ont elles-aussi une "mémoire" capable de transmettre les connaissances sensorielles d’une génération de cellules à l’autre, le tout sans système nerveux central ni neurones.

 

"La science d’aujourd’hui est le folklore de demain, la fable d’aujourd’hui est la science du futur"

Charles Hoy Fort, écrivain états-unien (1874/1932), spécialiste des phénomènes inexpliqués et paranormaux

 

Principes et fondamentaux de la science éthérique

 

"Si vous voulez trouver les secrets de l’Univers, pensez en termes d’énergies, de fréquences et de vibrations".

Nikola Tesla, inventeur et ingénieur naturalisé américain d'origine serbe (1856/1943)

 

Il est classiquement entendu que la physique est la science de la matière, ses caractéristiques intrinsèques étant au nombre de 4 : la masse, la localisation, la forme, la temporalité. De leur côté, les phénomènes non-physiques n’ont en revanche ni masse, ni forme, ni localisation, ni temporalité.

 

Pour autant, la science positive moderne a établi les rapports intimes entre matière et énergie, un fait connu de la science ésotérique depuis des temps immémoriaux. C'est ainsi qu'aujourd'hui, il n'est plus téméraire de dire que la matière n'est qu'une forme en quelque sorte statique de l'énergie sous l'effet de la gravité*, dont la nature est par excellence dynamique. Certains phénomènes connus de tout temps permettaient déjà de percevoir cette notion : l'éclair sphérique, ou foudre en boule, par exemple, possède certaines caractéristiques de la matière telles que le volume et la couleur. Il en découle que la "nouvelle science", non-académique s'entend, envisage la manifestation de toute énergie sous forme d'un mouvement intra-atomique cyclique, vibratoire, enseignant que la matière, comme telle, est composée d'un nombre relativement restreint de noyaux de diverses qualités, de nature analogue à celle de l'éclair sphérique. Ces noyaux sont animés de mouvements cycliques vibratoires de fréquence et d'amplitude différentes. Elle introduit ici la notion de densité, applicable à l'énergie comme à la matière. Enfin, elle établit la loi d'après laquelle la densité de la matière et celle des vibrations sont inversement proportionnelles. C'est pourquoi la quantité de noyaux dans la matière, noyaux qui sont la matière à proprement parler, est minime. Le volume occupé par un objet quelconque est rempli par ce qu'on appelle les traces des mouvements extra rapides d'un nombre restreint de noyaux, tout dépendant de la densité de ces mouvements, de leur rapidité. La vitesse du mouvement est de ce fait susceptible de modifier les propriétés physiques de la matière, ceci expliquant que l'énergie n'est autre chose que la matière prenant la forme dynamique. Tout de ce fait est matière dans le monde manifesté, attendu que la matière manifeste l'énergie qui n'est qu'une certaine forme de l'Esprit. La désintégration de l'atome fournit l'exemple d'une telle transformation. Au final, l'atome est la plus petite particule, la dernière division de la substance donnée qui conserve intégralement toutes ses propriétés : physiques, chimiques, psychiques et cosmiques. C'est l'atome de l'Absolu, indivisible, en l'occurrence un noyau unique d'Energie-Esprit qui vibre à l'intensité maximum, celle de l'Unité. 

La structure de la matière se présente à la lumière de cette théorie comme analogue à celle de l'Univers observé "de l'intérieur" avec la rotation des systèmes d'astres. Autrement dit, si nous étions à même — en nous réduisant aux proportions d'un être infinitésimal — d'observer notre corps de l'intérieur comme nous observons le corps de l'Univers, nous ne le percevrions pas différemment. Car la structure de l'Univers est strictement uniforme à tous les échelons, sous réserve de l'application du principe de Relativité.

* Dans un univers totalement psychique - "Le rêve manifesté" -, il est à comprendre que la Conscience est la gravité, permettant sous l'effet de lois électromagnétiques d'agréger les atomes, les particules élémentaires...

 

Des mondes visibles et invisibles

Si l'homme matériel illusionné pense généralement que l’évolution de la Terre relève de son domaine, d'autres races cosmiques comme galactiques évoluent sur d’autres plans de réalité. Le Réel ne se termine pas en effet avec les murs de la matière. Il commence après les murs ! C'est ce que l’être humain doit désormais réaliser, afin de prendre conscience de sa véritable grandeur qui ne s'arrête pas avec son enveloppe physique. Et pour ce faire, pour découvrir cette autre chose qui est en l'état invisible à ses sens et dont il n’a pas conscience, il doit mourir à son Ego, qui évolue dans des sphères sombres par l'archonte prédateur qui s'y dissimule et qu'il ignore*.

Ces entités involutives se situent sur d’autres plans vibratoires, se servant de lui pour leur propre évolution, tout comme il se sert du monde végétal et du monde animal pour la sienne. Et pour les découvrir, l'accès ne se fait pas par le canal habituel de l'ego-mental, l’intellect source d'orgueil pour l'homme "scientifique" de la matière, autrement dit par des connaissances qu’on appelle occultes, ésotériques, tant prisées par les groupements humains, religieux ou à caractère spirituel sous d'autres formes. Seule la voie du cœur, ardent et sincère, et une fois le mental nettoyé de ses miasmes putrides, viciés, donne la clé d'une vision astrale suffisamment développée pour l'interpénétration des deux mondes. Elle permet la connexion à l’Esprit universel, énergie totalement unidimensionnelle qui est en dehors du corps matériel. Il fait vibrer le matériel, permettant sa mise en vibration par d’autres énergies, d’autres Forces composantes de sa substance. C'est alors pour l'être humain l'accès à l’Intelligence du Réel - Ce Qui Est -, qui automatiquement lui ouvre les centres liés au Mental inférieur - le corps astral - par l'accès à toute sa machinerie physique et à son système psychique.

Cf. Décryptage de l'Ego. 

 

Ordonnancement

 

Selon l'enseignement de la Tradition propre à toutes les civilisations constitutives de l'humanité, il y a entre l’esprit et la matière sept plans. Aussi, selon le degré de conscience (d'éveil) de l'être humain, il y a davantage de séparation et de division ou davantage de lien et d’unification.

Quant au plan physique terrestre, il est "généré" par un mécanisme subtil divisé en trois parties : l’éthérique (l'énergie ou carburant), l’astral (le champ d'expression), le mental ou l'esprit-pensée (le levier d'action). Il en découle que sa réalité se crée et s’actualise en permanence depuis le plan mental, celui des "idées pures", pour prendre forme et se cristalliser petit à petit par un abaissement de fréquence. C’est ainsi que la matière est créée, autrement dit le champ géomagnétique terrestre, celui-ci résultant de quatre facteurs : le magnétisme résiduel de l’écorce très ferrugineuse, le champ magnétique induit par les courants-jets solaires, le noyau terrestre, et surtout le courant électrique entre le soleil et l’environnement cosmique.

Le processus est qu'une idée peut prendre un "poids" astral, la forme-pensée astrale en résultant pouvant prendre un "poids" éthérique (énergétique), ce qui fait que cette création éthérique peut finir par apparaître sur le plan matériel. L’ensemble des individus, des consciences, produit la "réalité" que nous partageons tous, la perception étant plus ou moins limitée selon le niveau de conscience de l’espèce, du groupe, ou de l’individu.

Cf. Esprit global & La pensée création.

 

Structuration du champ d'Intelligence unitaire

Il se caractérise par 7 dimensions de réalité, chacune étant basée sur un état de conscience qui lui est propre. Les 3 premières densités sont strictement matérielles, les 3 dernières strictement éthériques. La 4ème, dimension intermédiaire, est dite de "physicalité variable", mixte entre les deux états. La différence entre les densités vient de la différence d'état de conscience et d'évolution des âmes*. C'est ainsi que l'on peut passer au niveau supérieur quand "on" a appris toutes ses leçons de vie.

Cf. Le cheminement de l’Âme.

 

Mesure de la 3ème dimension de densité terrestre

La densité de l'espace-temps qui s'applique à la planète Terre au sein de la galaxie solaire est établie sous le nom de "résonance de Schumann", qui mesure la différence de potentiel électromagnétique entre la surface de la Terre et l'ionosphère, et en établit une moyenne qui donne une idée de l'accélération moyenne du temps ressentie par l'homme dans la mesure où elle affecte la sphère neuropsychologique et cognitive ainsi que la fréquence du rythme sensorimoteur - RSM). Cette résonance de Schumann est liée à l'afflux exponentiel de lumière informative sur la Terre. De 1988 à aujourd'hui, elle a augmenté de 7,8 Hz à plus de 13 Hz, et poursuit sa progression sous l'effet de l'Onde de changement de cette fin de cycle civilisationnel*.

* Cf. Fin de cycle (2) La guidance éclairée de sa vie.

 

C’est par ce processus de "pesanteur" que la matière est manifestée (ou comprimée, cristallisée), par une "force centripète". Et tout naturellement, le mouvement du Vivant conduit à une force inverse dite "force centrifuge", autrement appelée "spiritualisation". Comme tous éléments et créatures de l'univers, l'UN, nous avons tel un hologramme "tout l’univers en nous". Ceci entend que nous sommes potentiellement en résonance avec tous les plans, selon notre niveau de conscience. Nous pouvons accéder à l’essence de la manifestation, seulement si nous trouvons en nous-même notre propre essence. C’est l’intégration de tous les aspects de notre individualité – et particulièrement ceux qui sont niés – qui permet finalement de toucher à l’unité.

Cette résonance découle de notre constitution énergétique, qui permet ces résonances avec la réalité. C'est le rôle des différents moteurs émetteurs/récepteurs de notre "corps éthérique", également appelés "chakras" (terme sanskrit), reliés par des canaux énergétiques dans lesquels passe une énergie nommée "kundalini". C’est une sorte de double hélice qui parcourt verticalement le corps, autour d’un axe principal, et qui de manière symbolique est figurée par le serpent du Caducée, soit l'énergie intelligente qui nous protège lorsque nous la maîtrisons ou qui nous paralyse et nous dévore lorsque nous en avons peur*.

Ce corps éthérique se trouve environ à 50 ou 80 cm de la peau, sorte d’enveloppe de 1 ou 2 cm d’épaisseur. Il reflète notre état de santé. Par clairvoyance, il apparaît comme un scintillement argenté. Il varie selon l’environnement, les champs électriques et magnétiques. Autour de la tête existent également des "tubes" éthériques, ressemblant à des antennes, d’un mètre de long et de 10 cm de large environ. Ils sont plus ou moins développés selon l’énergie globale du corps et correspondent à nos "sens subtils". Il y a en aussi au niveau des mains. Ces tubes éthériques peuvent "matérialiser" des formes-pensées au niveau éthérique.

* Cf. Décryptage de l'égo.

Cf. en complément Fonctionnement du corps biologique & Le moteur biologique de la co-création.

 

L'erreur de la science contemporaine

La plus grande erreur scientifique est de croire que l’espace est nécessaire pour engendrer le mouvement et véhiculer les formes. Dans sa référence ésotérique, on parle de l’Alpha et de l’Oméga, illustré par le cercle qui se ferme, expliquant de cette manière que le Cosmos en lui-même est infini, car où il commence il finit et où il finit il commence. Or le cercle explique que le Cosmos est régi par les Lois de cycles*, qui sont tellement vastes qu’à partir du moment où un temps est terminé, un autre temps commence. Autrement dit, il signifie qu'il y a toujours perfectionnement dans l’Énergie. 

De ce fait, le déplacement au sein du Cosmos se fait à travers la relation entre l'esprit - l'Esprit ou Supra-mental dans sa version la plus élevée -, et la  Lumière, selon l'état de conscience ou d'entendement des êtres peuplant les différentes dimensions de réalité ou plans constitutifs de l'univers. C'est pourquoi croire que le mouvement découle de la relativité en relation avec un élément de temps de la forme qui se déplace, est une illusion. Dans le Cosmos, il n’y a pas de mouvement, simplement une vibration qui crée ce qu’on appelle le mouvement. Et pour percevoir le mouvement, il est nécessaire que son corps, sa forme, change de niveau vibratoire. 

Il en découle l'explication difficilement compréhensible si l'on reste prisonnier du concept de la gravité que des êtres/entités dits "extraterrestres ou extra-dimensionnels" partent d’une Planète qui est à des millions d’années-lumière et viennent sur la nôtre. Ils ne se servent tout simplement pas de l’espace pour voyager. Ils voyagent dans le temps !

L’espace, qui est un engendrement instantané de la Vie, est une limite imposée par la Vie pour contenir et matérialiser la forme, alors que le temps est une réorganisation aussi instantanée de la matière supra-mentale à travers les différentes vibrations lumineuses. Lorsque l’être humain, par son évolution de conscience, acquerra le contrôle sur la matière, il pourra contrôler son temps et voyager dans la Galaxie pour rencontrer d'autres êtres et communiquer avec eux. A ce moment-là, il ne parlera plus d’extraterrestres !  

Cf. Symbolisme des nombres (1) Les neufs premiers nombres.

 

Mondes parallèles, quelle réalité (1) ?

Selon de nombreux experts cosmologistes avertis, les mondes ou dimensions de densité parallèles existent. Ainsi le physicien américain Brian Greene (photo 4), auteur de The Hidden Reality : Parallel Universes and the Deep Laws of the Cosmos ("La réalité cachée : les univers parallèles et les lois profondes du cosmos"), qui est convaincu que cette étrange bizarrerie de la nature peut exister. Nous ferions ainsi partie d’un univers parmi tant d’autres, et au moins un de ces autres mondes serait voisin du nôtre, peut-être juste à quelques millimètres de distance. Nous sommes cependant incapables de le voir, car il existe dans un type d’espace différent des quatre dimensions de notre réalité quotidienne, situé sur un autre champ de fréquences imperceptible à nos sens physiques limités, sauf prédispositions médiumniques en permettant l'acuité.

Grâce aux progrès de la recherche avec l’accélérateur de particules du CERN à Genève (Conseil européen pour la recherche nucléaire), le "grand collisionneur de hadrons" (photo 5), les scientifiques parlent de plus en plus de cette nouvelle physique leur permettant d’appréhender plus d’aspects inconnus de l’univers. Cette approche comprend le développement d’une meilleure compréhension de l’énergie sombre, cette force mystérieuse que certains considèrent être l’indication de la présence invisible d’un univers voisin. C'est ainsi que les cosmologistes ont vu des phénomènes étranges comme la galaxie Andromède (photo 6), située à 2,2 millions d’années-lumière, allant à la vitesse de 322.000 km/h vers la Voie lactée. Cela n’aurait de sens que si, en toute logique, la perte de gravité d’un monde invisible attirait les deux galaxies l’une vers l’autre. Quant aux chercheurs de la sonde spatiale WMAP3 (photo 7)*, ils ont découvert une force 10.000 fois plus grande que celle de la Voie lactée qui, d’après eux, serait la preuve évidente qu’un univers parallèle se tiendrait à proximité du nôtre. Dans une autre tentative pour découvrir des mondes alternatifs, la NASA a installé le spectromètre magnétique Alpha-2 dans la station spatiale internationale pour essayer enregistrer des données qui pourraient servir à prouver leur existence — certains pouvant même être constitués d’antimatière. 

C'est la raison pour laquelle de plus en plus d'experts suggèrent que les éléments dont nous sommes constitués — la matière ainsi que la force de gravité et de magnétisme — seraient le ciment qui nous relie à l’univers*². Un autre univers pourrait cohabiter à proximité mais avant de pouvoir l’observer ou communiquer avec lui, nous devons déjà comprendre ses dimensions différentes. Nous devrions les envisager comme " de nouveaux types de de latéralité ".

* Wilkinson Microwave Anisotropy Probe ou WMAP est un observatoire spatial américain de la NASA lancé en juin 2001 pour dresser une carte de l'anisotropie du fond diffus cosmologique. Il succède à l'observation spatiale COBE qui l'a précédé dans les années 1980, la mission ayant permis d'améliorer d'un facteur 68 000 la précision des valeurs principaux paramètres cosmologiques comme l'âge de l'Univers (13,77 milliards d'années) et la proportion de ses composants : matière baryonique (4,6 %), matière noire (24 %) et énergie sombre (71 %). Les mesures effectuées confirment les hypothèses du modèle standard de la cosmologie.

Cf. Univers en partage.

 

Mondes parallèles, quelle réalité (2) ?

Quand l’être humain essaie de comprendre quelque chose qu’il ne comprend pas, il jette d’abord une théorie, puis il essaie de la comprendre et de la résoudre. Quand ça se tient, il en jette une autre et ainsi de suite. Il procède de cette manière par élimination, et finit par mettre fin à la question. Ceci explique que pour le scientifique, les mondes parallèles, ça n’existe pas ! Pourquoi ? Tout simplement parce qu'il ne peut y avoir de parallèle dans l’Univers, dans la mesure où il ne peut comparer de plans à partir des lois physiques connues, avec leurs paramètres de structure, de mouvements et de temporalité qui correspondent aux lois d’énergies en vigueur. Or, dans les univers parallèles, l’énergie ne se comporte pas par vélocité. Si la vitesse existe, il n’y a aucune accélération, simplement un échange instantané entre un champ d’énergie et un autre. Toutes les valeurs électriques étant interchangeables en valeur lumineuse, la gravité n’existe pas, même si elle peut servir à établir des liens de station avec le plan matériel. C'est ainsi que si on emploie des théories pour expliquer les trous noirs dans le monde physique, ces théories font certes partie d’une perception intelligente, intuitive, adaptée à notre cerveau, mais non d’un agencement total de la compréhension des Lois cosmiques en relation avec notre cerveau. Celui-ci n’est que de la machinerie ! C'est pourquoi la Science universelle ne provient pas du cerveau.

Comme l’être humain a de la difficulté à comprendre ce qui existe au-delà de ses facultés sensorielles " normales ", limitées à sa matrice d'appartenance - la 3-D -, il n'a pas en l'état (sauf exception) la vibration lui permettant de se projeter d’une façon stable dans ces mondes "parallèles " aux dimensions suprasensibles, et de ce fait régis par des Lois qui en protègent les spécificités. Ces Lois sont fixes, afin de permettre à l’être humain d’évoluer sur le plan matériel physique. Tant qu'il ne l'a pas expérimenté et compris, il ne peut passer dans une autre dimension afin d'évoluer, c'est-à-dire de répondre à l'appel de son âme pour retourner à sa source, à son origine.

A chaque niveau de l’Universel, il y a des niveaux d’espace et de temps. Sur le plan physique, sur le plan matériel ou terrestre, l'espace est conditionné par le temps psychologique de l’être humain, la linéarité passé-présent-futur. De ce fait, celui-ci ne vit pas le temps Réel,mais un temps approximativement équivalent à la quantité d’énergie qui pénètre dans ses neurones à chaque instant de sa vie. Or, sur le plan de ce que l’on appelle aujourd’hui l’immatériel, le temps est beaucoup plus vaste. Ce qui est espace pour nous ici sur le plan physique est le temps dans les autres dimensions. C’est une des raisons qui explique que l’être humain a beaucoup de difficultés à concevoir  qu’une civilisation avancée puisse voyager à partir d’une planète qui est localisée dans la Galaxie à 40 millions d’années-lumière par exemple, et venir dans la sienne - la Voie lactée - dans une période très courte. Ces civilisations (intelligences, peuples, races) qui sont à l’extérieur de notre espace-temps n’ont pas le problème de la distance, celui-ci n’existant pas dans la mesure où lorsqu’elles se déplacent d’un plan à un autre, elles doivent juste changer de plan vibratoire. Ainsi, le problème de distance n’existe plus, parce que le problème spatial n’existe pas. Changeant les vibrations de leur système de transport, automatiquement les vibrations de leurs propres corps physiques sont altérées, leur permettant de se mettre en relation vibratoire avec notre système ici. Ce sont bel et bien les changements vibratoires qui leur permettent de passer d’une couche éthérique à une autre couche éthérique, et arrivant dans notre zone, elles se matérialisent (apparition comme disparition dans un éclat de lumière) ou demeurent dans l’éthérique en suspension.

 

Physique des formes

 

Qu'elle soit appelée Dieu par les théologiens ou Big-Bang par les astrophysiciens académiques, l'Intelligence créatrice, autrement dite la Conscience universelle ou l'Esprit universel du monde, a créé sa matrice, sa toile, celle-ci étant faite d'une substance nommée éther (le sel des alchimistes par la fusion du mercure et du soufre), en ralentissant pour ce faire sa vibration. Celle-ci à son tour, en ralentissant sa longueur d’onde (ou fréquence), a créé par sa transformation intra-atomique la matière par la projection géométrique d’informations logées dans les particules intra-atomiques que sont les atomes et les molécules (plus petites parcelles d'un corps qui puissent exister). Ce sont eux qui permettent par les mécanismes énergétiques liées à l’électromagnétisme et la gravité, la constitution de la matière et de son intelligence évolutive dans l’ensemble de ses formes d’expression : les électrons, particules semi-matérielles, sont "en haut", soit le volatil ; les atomes, particules matérielles, sont "en bas", soit le fixe.

Par leurs interconnexions et intrications, ces particules - atomes et électrons ne faisant qu'un - forment la texture du monde physique dense en 4-D - l'espace-temps limité - que nous connaissons au sein du système solaire, soit le plan éthérique matérialisé, sans exclure l’existence d’autres plans supérieurs. Ils constituent l'origine de l'affinité chimique, cause de tout ce qui est, et à ce titre se conservent (loi de conservation de l'énergie). De ce fait, chaque fragment de matière contient une part de la Conscience universelle (elle est appelée en alchimie le Thélème) sous forme d'onde et de fréquence associée, autrement dit de son Intelligence, le niveau de conscience de chaque fragment correspondant au degré d’information qu’il peut contenir.

La matière est de ce fait une (on la nomme le protyle), même si la science officielle ne considère pas qu'il s'agit d'un axiome, seulement une hypothèse*. C'est de ce prototype que tous les corps sont constitués par suite d'évolution, avec son corollaire l'adaptation au milieu par réactions (Cf. théorie de Charles Darwin). Elle découle de la combinaison des quatre éléments fondamentaux constitutifs de l'atome : la terre (électron), le feu (courant intra-atomique engendré par la polarisation des électrons), l'air (champ magnétique du courant intra-atomique des électrons), l'eau (éther dans lequel baignent les électrons). Aussi leur étude aux fins de compréhension du mystère du Vivant repose sur l'art de "séparer" le subtil de l'épais, soit dégager l'électron de l'atome (son champ magnétique), afin de mettre en action l'énergie intra-atomique (le soufre des alchimistes, soit le Thélème) de son atmosphère (mercure)...

Nous vivons bel et bien dans un univers "mental", un grand champ de conscience, la matière y étant considérée comme de la pensée cristallisée*².

* Il n'existe pas à l'heure actuelle de mesure validée des poids atomiques à même de constituer une loi indicatrice de l'unité de la matière.

L'atome est constitué de 99,99999% d'énergie et seulement 0,00001% de matière.

 

La page de garde de l'album Les 7 Boules de Cristal des Aventures de Tintin illustre le mouvement de l'énergie par la boule de feu tournoyant autour du Professeur Tournesol, dans le sens des aiguilles d'une montre
La page de garde de l'album Les 7 Boules de Cristal des Aventures de Tintin illustre le mouvement de l'énergie par la boule de feu tournoyant autour du Professeur Tournesol, dans le sens des aiguilles d'une montre

 

La "réalité" découle du mouvement rotatoire de la particule atomique, l'électron, qui donne la matière, l'esprit et toutes choses constitutives du Vivant. Des mondes supérieurs appelés monde divin, éthérique et plan astral, jusqu'à notre monde "inférieur" de la 3ème dimension de réalité, une architecture spécifique est assurée par des puissances énergétiques qui démontrent que l'objectif - le dessein comme le dessin - est l'image et la ressemblance, ce qui est en bas étant ainsi comme ce qui est en haut. Si le visible a sa raison d'être, il n'est pas LA raison de l'être, seule l'unité livrant les clés constitutives de cet ordonnancement. C'est ce qui, en nous, nous pousse à agir, à réaliser certaines choses pour la restituer dans toute sa Grandeur.

Aussi, plutôt que de s'échiner à vouloir trouver le processus d'un mécanisme créateur, qui ne fait que traduire l'emprise de l'égo-mental sur l'être humain, il nous est demandé d’Être, dans toute notre grandeur. Seules l'observation des lois régissant le fonctionnement du cosmos, de la nature, et l'écoute de son ressenti intérieur, y conduisent. Le reste n'est que vanité et fatuité, de la poudre aux yeux jetée par les institutions politico-religieuses pour empêcher l'être humain de retrouver ses mémoires en l'égarant dans une vaine quête extérieure.

 

La physique du mécanisme énergétique

Si les physiciens expliquent les phénomènes spirituels qui interagissent avec la matière dense, relatifs à l'énergie, à partir des quatre forces fondamentales - électromagnétisme, nucléaire fort, nucléaire faible, gravité -*, leurs théories ne s'appliquent qu'aux limites de la 3ème densité, la 3-D, soit le champ de la galaxie solaire mesurable par leurs outils (l'espace-temps, le temps relatif calculé par la vitesse de la lumière). Elles ne sont pas vérifiables en 4ème densité, le champ de la conscience autrement appelé le champ astral. Elles n'ont de ce fait, hors spéculation "mystique", aucun sens à un niveau supérieur de 4, 5 ou 6ème densité de réalité, le champ cosmique, dans la mesure où ces "mondes" ne sont ni soumis à la vitesse, ni au temps, voire à la gravité, tels que leurs lois sont éprouvées et connues dans notre densité de réalité (l'Espace-Temps, le Temps Absolu, celui de la supra-lumière).

La physique quantique a mis en évidence l'influence d'un observateur-créateur, qui serait responsable de la gravitation. Si nous admettons, en dehors du dogme scientifique en vigueur, que la force électromagnétique, ou force de Lorentz, force que va subir une particule chargée dans un champ électrique ou magnétique, et la force de gravitation, phénomène d'interaction physique qui sous l'effet de leur masse, cause l'attraction réciproque des corps massifs entre eux, ne constituent au final qu'une seule et même force dont les effets agissent seulement au niveau subatomique, c'est leur structuration à des niveaux (ou champs) de conscience supérieure qui établit le lien de cause à effet entre psychisme et physicalité. Il en est de même avec les deux autres forces, la force nucléaire "forte", responsable de la cohésion des noyaux atomiques, et la force nucléaire "faible", intervenant dans le processus de fission nucléaire, représentant également les deux aspects d'une même force, telles les deux faces d'un même miroir (face visible et face invisible).

Si les deux forces nucléaires sont en miroir l'une de l'autre, c'est en raison de spin*², éléments constitutifs de ces forces, qui sont "mutuellement" inversés. C'est ainsi que le boson, particule plus petite que l'atome avec un spin entier, se différencie du fermion, qui ont un spin demi-entier. Les bosons ne sont pas constitutifs de la matière, intervenant comme "médiateurs de forces". Cela entend que lorsqu'une force s'exerce entre deux particules de matière, c'est par l'intermédiaire des bosons. En conséquence, les bosons participent à construire la matière comme vecteurs de forces qui répondent au champ de la Conscience de l'Univers*³. Invisibles à l'œil, ils sont omniprésents et disséminés dans notre réalité, lorsqu'ils ne sont pas contrôlés, organisés ou gouvernés par notre conscience, individuelle comme collective. C'est la nature de nos pensées (par exemple la peur du manque, la peur de l'autre...) qui interagit par leur intermédiaire sur la structuration de notre réalité. Il en découle que "la force magnétique" d'une conscience inébranlable, déterminée et soutenue, s'exerce entre deux particules de matière, devenant le ciment élémentaire de la réalité créée par cette conscience "déterminée" par la force de sa foi. Les fermions, de leur côté, sont les particules qui permettent de constituer la matière (électrons et quarks qui s'assemblent pour former les protons et les neutrons). Ils présentent aussi une nature duelle, pouvant se comporter comme des particules ou comme des ondes (à l'échelle macroscopique, c'est-à-dire lorsque quelqu'un les observe, ils apparaissent tous comme des particules).

* Cf. Évolution de civilisation (1) Le mécanisme de l'Univers.

Le spin est, en physique quantique, une des propriétés internes des particules, au même titre que la masse ou la charge électrique.

*³ La famille des bosons, les "médiateurs de forces", inclut des particules élémentaires, tels les fermions fondamentaux (quarks, leptons et leurs antiparticules : les antiquarks et les antileptons), qui composent la matière et l'antimatière. Ils sont des vecteurs de forces qui jouent un rôle dans les interactions élémentaires entre les fermions.

 

Dynamique du Vivant

Les couleurs

Les sons

Les solides

Les éléments


Le "code secret de la nature" - Le célèbre motif de la spirale de Fibonacci. Cliquer pour agrandir
Le "code secret de la nature" - Le célèbre motif de la spirale de Fibonacci. Cliquer pour agrandir

 

La mécanique du Vivant répond à des canons dynamiques comme la séquence dite de Fibonacci (Cf. photo ci-contre), entendant que rien en son sein n’ait un propos spécifique et ne soit pas en imbrication avec un autre ordre de structures et de paramètres qui contribuent à l’aboutissement de son évolution suivant un plan de conscience qui n’est pas dans nos facultés d’appréhender. C’est le mystère depuis toujours de Ce Qui Est. Notre univers est établi dans la cohérence parfaite, dans la plénitude du UN, avant de partir en spirale actionné par le principe arithmétique et algébrique du nombre et le principe géométrique de la symétrie* dans un désordre croissant, celui de la descente des échelons des sphères et des gammes cosmiques, en respectant grâce aux principes mathématiques précédents en chacun de ses intervalles les lois de l'harmonie à travers les couleurs et les sons. Ainsi s'impriment du haut vers le bas les "signatures éternelles" de l'Esprit-source, le germe universel, par le truchement des sept planètes (au sein de notre galaxie solaire) et de leur influence sur la Terre. Ce sont les sept énergies cosmiques, autrement appelées "musique des sphères". Le monde tangible et sensible qu'est la Terre n'est que le résidu "grossier" de cette lente progression de degrés de matière toujours plus subtils, reflet inversé des mondes supérieurs de lumière (d'où l'aphorisme "Ce qui et en bas est comme ce qui est en haut")*².

Ainsi tous ces phénomènes naturels sont ramenés à un seul, la transformation de l'éther. Ceci a permis de comprendre les relations étroites qui existent entre la lumière, la chaleur, l'électricité, le son et la matière elle-même. C'est d'ailleurs en étudiant ces relations étroites que l'on est arrivé à établir la télégraphie sans fil puis la téléphonie sans fil. Toutes les substances étant formées par des charges électriques, l'atome ne peut être considéré comme immuable. Aussi la transmutation de la matière n'est pas une utopie.

Il y a ainsi par la structuration mathématique en toutes choses, en tous éléments, en toutes créatures, sept qualités potentielles, et en tout processus naturel sept agents actifs, avec leur pendant, leur opposé. Tant qu'ils ne sont pas conscientisés, maîtrisés et réunifiés par l'être humain, ils participent de son déséquilibre et de ses limitations. C'est ainsi que les sept puissances énergétiques planétaires forment la "roue d'angoisse" de la nature extérieure appelée à être transcendée par le réalignement intérieur.

* Cf. Symbolisme mathématique.

Cf. livre "Vie et paroles de maître Philippe de Lyon", celui-ci parlant de l'association des sons et des couleurs en rapport avec la guérison de certains organes du corps humain. Maître Philippe, en l'occurrence Nizier Anthelme Philippe (1849/1905), était connu comme un grand thaumaturge (guérisseur).

 

Des parfums

La subtilité du parfum l'apparente symboliquement à une présence spirituelle et à la nature de l'âme. La persistance du parfum d'une personne après son départ évoque une idée de durée et de souvenir. C'est pourquoi le parfum symbolise la mémoire, étant l'un des sens de son emploi dans les rites funéraires.

La liturgie catholique parle de parfum agréable, qui est l'un des éléments de l'offrande sacrificielle destinée à être agréée par la divinité. Dans les rites hébreux, les aromates jouaient un rôle particulièrement important, et dans les cérémonies religieuses grecques et romaines, les parfums étaient répandus sur les statues des dieux, on en embaumait les cadavres, des flacons étaient déposés dans les tombes, la stèle en était frottée. En Egypte les essences de parfum étaient extraites et mêlées dans les temples. Les déesses étaient censées éclipser toutes les femmes par leur parfum.

Origène, le père de l'exégèse biblique, théologien de la période patristique (v. 185/v. 253), à propos de la très bonne odeur du cyprès, nous dit aussi que le parfum est l'expression des vertus. Dans le yoga il est la manifestation d'une certaine perfection spirituelle car l'odeur qui se dégage d'un homme peut être en fonction de son aptitude à la transmutation de l'énergie séminale.

Le parfum joue un rôle de purification. Il est souvent l'exhalaison de substances incorruptibles comme les résines. Ils représente la perception de la conscience. Il est aussi symbole de lumière.

Les expériences sur l'imagerie mentale des docteurs psychiatre Roger Fretigny et docteur en psychologie André Virel, inventeurs de l'onirothérapie en psychiatrie, ont démontré que les parfums et odeurs ont un pouvoir sur le psychisme. Ils facilitent l'apparition d'images et de scènes significatives. Ces images suscitent et orientent des émotions et des désirs, et peuvent aussi se rattacher à un passé lointain.

L'héliotropine induit des images de fleurs et de jardins, d'objets parfumés. Elle réveille la sensualité. La vanilline rappelle des images alimentaires et des émotions du stade oral.

 

La réalité magique, autre façon de régir l’univers

L’univers mystérieux de la magie restera inexpliqué tant qu’on s’acharnera à vouloir qu’il fonctionne selon les règles cartésiennes, alors même que la pensée est riche de potentialités illimitées. Le véritable courage consiste à aller contre toutes les normes et les lois incontestées du progrès scientifique, et qui depuis deux cents ans ont fait leurs preuves, transformé nos modes de vie, changé effectivement le monde. Il n’est qu’à voir comment de nombreux hommes de science, parmi les plus grands, se heurtèrent ou se heurtent à l’incompréhension de leurs pairs en formulant leurs diverses théories.

C’est ainsi que l’étude des émissions dues aux formes révèle l’existence d’une nouvelle forme d’énergie, encore plus fondamentale que l’électricité, les ondes électromagnétiques, et même l’énergie nucléaire, puisqu’on les retrouve à tous les niveaux d’existence : galaxies, cristaux, atomes, matière vivante comme matière inerte, pensée. Il n’est qu’à voir la radionique, dont l’usage peut être préconisé tant en médecine qu’à l’industrie chimique, à la métallurgie, à l’agriculture, à la biologie, à l’environnement, et ce pour lutter efficacement contre la pollution.

La connaissance ne peut rester enfermée dans des disciplines cloisonnées, appelant à rassembler spécialistes et non-spécialistes, intuitifs, praticiens et théoriciens, et des chercheurs de tous horizons, mathématiciens, physiciens, chimistes, médecins, allopathes, homéopathes et acupuncteurs, architectes, musiciens, linguistes, historiens, kabbalistes, alchimistes… C’est par une approche nouvelle de la nature et de l'homme, des méthodes nouvelles et de nouveaux territoires de recherche - les systèmes non cartésiens – que doit s’élaborer par la "théorie magique" la science du global.

 

"A l’écoute, non de moi-même, mais du Logos, je reconnais qu’il y a deux raisons, deux logiques, et que celle du monde sensible,

qui soumet la raison aux sens, est inférieure à celle qui nous montre que tout est un, et intégré dans une structure d’Unité".

Héraclite d'Éphèse, philosophe grec de la fin du VI° siècle av. J.-C. 

 

La mécanique du Vivant répond à des canons dynamiques, entendant que rien en son sein n’ait un propos spécifique et ne soit pas en imbrication avec un autre ordre de structures et de paramètres qui contribuent à l’aboutissement de son évolution suivant un plan de conscience qui n’est pas dans nos facultés d’appréhender. C’est le mystère depuis toujours de Ce Qui Est. Notre univers est établi dans la cohérence parfaite, dans la plénitude du UN, avant de partir en spirale actionné par le principe arithmétique et algébrique du nombre et le principe géométrique de la symétrie* dans un désordre croissant, celui de la descente des échelons des sphères et des gammes cosmiques, en respectant grâce aux principes mathématiques précédents en chacun de ses intervalles les lois de l'harmonie à travers les couleurs et les sons. Ainsi s'impriment du haut vers le bas les "signatures éternelles" de l'Esprit-source, le germe universel, par le truchement des sept planètes (au sein de notre galaxie solaire) et de leur influence sur la Terre. Ce sont les sept énergies cosmiques, autrement appelées "musique des sphères". Le monde tangible et sensible qu'est la Terre n'est que le résidu "grossier" de cette lente progression de degrés de matière toujours plus subtils, reflet inversé des mondes supérieurs de lumière (d'où l'aphorisme "Ce qui et en bas est comme ce qui est en haut")*².

Ainsi tous ces phénomènes naturels sont ramenés à un seul, la transformation de l'éther. Ceci a permis de comprendre les relations étroites qui existent entre la lumière, la chaleur, l'électricité, le son et la matière elle-même. C'est d'ailleurs en étudiant ces relations étroites que l'on est arrivé à établir la télégraphie sans fil puis la téléphonie sans fil. Toutes les substances étant formées par des charges électriques, l'atome ne peut être considéré comme immuable. Aussi la transmutation de la matière n'est pas une utopie.

Il y a ainsi par la structuration mathématique en toutes choses, en tous éléments, en toutes créatures, sept qualités potentielles, et en tout processus naturel sept agents actifs, avec leur pendant, leur opposé. Tant qu'ils ne sont pas conscientisés, maîtrisés et réunifiés par l'être humain, ils participent de son déséquilibre et de ses limitations. C'est ainsi que les sept puissances énergétiques planétaires forment la "roue d'angoisse" de la nature extérieure appelée à être transcendée par le réalignement intérieur.

* Cf. Symbolisme mathématique.

Cf. livre "Vie et paroles de maître Philippe de Lyon", celui-ci parlant de l'association des sons et des couleurs en rapport avec la guérison de certains organes du corps humain. Maître Philippe, en l'occurrence Nizier Anthelme Philippe (1849/1905), était connu comme un grand thaumaturge (guérisseur).

 

Des parfums

La subtilité du parfum l'apparente symboliquement à une présence spirituelle et à la nature de l'âme. La persistance du parfum d'une personne après son départ évoque une idée de durée et de souvenir. C'est pourquoi le parfum symbolise la mémoire, étant l'un des sens de son emploi dans les rites funéraires.

La liturgie catholique parle de parfum agréable, qui est l'un des éléments de l'offrande sacrificielle destinée à être agréée par la divinité. Dans les rites hébreux, les aromates jouaient un rôle particulièrement important, et dans les cérémonies religieuses grecques et romaines, les parfums étaient répandus sur les statues des dieux, on en embaumait les cadavres, des flacons étaient déposés dans les tombes, la stèle en était frottée. En Egypte les essences de parfum étaient extraites et mêlées dans les temples. Les déesses étaient censées éclipser toutes les femmes par leur parfum.

Origène, le père de l'exégèse biblique, théologien de la période patristique (v. 185/v. 253), à propos de la très bonne odeur du cyprès, nous dit aussi que le parfum est l'expression des vertus. Dans le yoga il est la manifestation d'une certaine perfection spirituelle car l'odeur qui se dégage d'un homme peut être en fonction de son aptitude à la transmutation de l'énergie séminale.

Le parfum joue un rôle de purification. Il est souvent l'exhalaison de substances incorruptibles comme les résines. Ils représente la perception de la conscience. Il est aussi symbole de lumière.

Les expériences sur l'imagerie mentale des docteurs psychiatre Roger Fretigny et docteur en psychologie André Virel, inventeurs de l'onirothérapie en psychiatrie, ont démontré que les parfums et odeurs ont un pouvoir sur le psychisme. Ils facilitent l'apparition d'images et de scènes significatives. Ces images suscitent et orientent des émotions et des désirs, et peuvent aussi se rattacher à un passé lointain.

L'héliotropine induit des images de fleurs et de jardins, d'objets parfumés. Elle réveille la sensualité. La vanilline rappelle des images alimentaires et des émotions du stade oral.

 

La réalité magique, autre façon de régir l’univers

L’univers mystérieux de la magie restera inexpliqué tant qu’on s’acharnera à vouloir qu’il fonctionne selon les règles cartésiennes, alors même que la pensée est riche de potentialités illimitées. Le véritable courage consiste à aller contre toutes les normes et les lois incontestées du progrès scientifique, et qui depuis deux cents ans ont fait leurs preuves, transformé nos modes de vie, changé effectivement le monde. Il n’est qu’à voir comment de nombreux hommes de science, parmi les plus grands, se heurtèrent ou se heurtent à l’incompréhension de leurs pairs en formulant leurs diverses théories.

C’est ainsi que l’étude des émissions dues aux formes révèle l’existence d’une nouvelle forme d’énergie, encore plus fondamentale que l’électricité, les ondes électromagnétiques, et même l’énergie nucléaire, puisqu’on les retrouve à tous les niveaux d’existence : galaxies, cristaux, atomes, matière vivante comme matière inerte, pensée. Il n’est qu’à voir la radionique, dont l’usage peut être préconisé tant en médecine qu’à l’industrie chimique, à la métallurgie, à l’agriculture, à la biologie, à l’environnement, et ce pour lutter efficacement contre la pollution.

La connaissance ne peut rester enfermée dans des disciplines cloisonnées, appelant à rassembler spécialistes et non-spécialistes, intuitifs, praticiens et théoriciens, et des chercheurs de tous horizons, mathématiciens, physiciens, chimistes, médecins, allopathes, homéopathes et acupuncteurs, architectes, musiciens, linguistes, historiens, kabbalistes, alchimistes… C’est par une approche nouvelle de la nature et de l'homme, des méthodes nouvelles et de nouveaux territoires de recherche - les systèmes non cartésiens – que doit s’élaborer par la "théorie magique" la science du global.

 

"A l’écoute, non de moi-même, mais du Logos, je reconnais qu’il y a deux raisons, deux logiques, et que celle du monde sensible,

qui soumet la raison aux sens, est inférieure à celle qui nous montre que tout est un, et intégré dans une structure d’Unité".

Héraclite d'Éphèse, philosophe grec de la fin du VI° siècle av. J.-C. 

 

Unité vibratoire

 

Les vibrations propres à cette dynamique du vivant dans l’univers évoluent et s’organisent en gammes, qu’il s’agisse du son ou de la lumière (couleurs)*. C'est ce que le philosophe mathématicien grec Pythagore a nommé "Musique des sphères" (musica mundana). Nous pouvons alors comprendre l’unité derrière tous les phénomènes, un lien profond les rassemblant. Si une énergie "subtile et harmonisante" de l'ensemble prévaut, elle signifie que tous les éléments et créatures sont en résonance avec elle, seul leur état de conscience déterminant leurs spécificités et caractéristiques à travers leurs capacités réceptives. Ceci entend qu'une "physique de la Qualité" prévaut sur la "physique de la quantité" tant prisée par le système scientifique dominant, et qui met en œuvre les énergies subtiles sous-jacentes à la matière. Elle voit ainsi les sens de l'être humain percevoir les octaves de fréquences constitutifs de la matière par les couleurs, les sons, les saveurs, les odeurs…

Il en découle une organisation mathématique de la matière par des archétypes décelables dans les nombres et les formes géométriques, ceux-ci se retrouvant dans les langages comme les systèmes et exprimés à travers des supports comme le yiking, le tarot, les cinq éléments, etc.

La loi d'intrication de tout dans l'UN permet l'établissement d'équivalences. Par exemple, le rouge (couleur) peut être l’équivalent du Do (son).

* Contrairement au son (l’oreille humaine peut entendre 10 octaves), les yeux ne voient qu’une octave de couleur. C’est pourquoi il n'est pas approprié de parler de résonance pour la couleur.

 

Tableau des " qualités " universelles perçues par les sens humains (Cf. Travaux de l'architecte Ibrahim Karim)
Tableau des " qualités " universelles perçues par les sens humains (Cf. Travaux de l'architecte Ibrahim Karim)

 

La synesthésie* est une faculté qui prouve l’unité des vibrations. Par la communication harmonieuse car équilibrée des deux aires du cerveau*² - l'hémisphère droit (intuition) et l'hémisphère gauche (raison) - elle permet de "voir les sons", "d’entendre les couleurs", de "goûter une odeur", etc. Il est également possible de "voir les mots en couleurs", ce qui revient à voir un texte avec tous les mots d’une couleur différente, automatiquement. Le cerveau semble donc capable de traduire par son fonctionnement la perception des "sens subtils", qui ne sont dès lors pas dissociés en "cinq sens", mais qui unissent tous les aspects de la réalité. C'est ce qui favorise tout particulièrement l’activité "spirituelle", voire parfois "mystique".

Ainsi un synesthète peut non seulement voir une couleur mais "l’entendre" aussi. Son origine est un excès de substance blanche dans le cerveau, qui permet la connexion entre les différentes zones du cortex et le transfert d’informations. Les surdoués semblent particulièrement concernés par cette prolifération de substance blanche et seraient très fréquemment synesthètes. C'est pourquoi l'entretien des facultés du cerveau est déterminante, notamment en évitant les pollutions toxiques technologiques (alimentaire dénaturé par les pesticides ou les OGM, eau fluorisée, ondes électromagnétiques*³ ...) comme informationnelles (le grand bêtisier quotidien politico-médiatique et les divertissements abrutissants*⁴).

* La synesthésie (du grec syn, "avec" - union) - et aesthesis, "sensation") est un phénomène neurologique par lequel deux ou plusieurs sens sont associés.

Cf. Esprit global.

Cf. Le moteur biologique de la co-création & Évolution de civilisation (3) Mythe de la modernité, risques et lois d'évolution naturelle.

*⁴ Cf. Prédation manipulatoire & Contrôle mental.

 

L'alchimie des couleurs

La quête alchimique* est une démarche tant spirituelle que scientifique. Elle démontre ainsi que l'énergie subtile "harmonisante" de l'univers est composée de "trois qualités de base" exprimées par des couleurs qui lui permettent sa résonance spirituelle. Ces trois qualités sont "le vert négatif horizontal" (en fait le blanc), "l’harmonique supérieure de l’ultraviolet", et "l’harmonique supérieure de l’or". L’énergie de l’harmonique supérieure de l’or est une énergie spirituelle qui est en résonance avec l’or physique. C’est pourquoi l’alchimie opérative peut faire évoluer les métaux en or. Quant à "l’harmonique supérieure de l’ultraviole", il se pourrait qu'elle soit une énergie au-delà du rouge magenta, et que "l’harmonique supérieure de l’or" soit une énergie au-delà du pourpre, la pierre philosophale étant rouge et pourpre, "le pur du pur"...

Cf. Travaux du mystérieux Fulcanelli, auteur de "Le Mystère des cathédrales" en 1926 et "Les Demeures philosophales" en 1930.

* Cf. Le chemin alchimique.

 

Le corps éthérique* de l'être humain - l'enveloppe autour du corps -, forme ainsi des harmoniques compte-tenu de l'intrication qui prévaut dans l'univers, la matière subtile ayant une "vibration-couleur". Leur mesure se traduit comme en musique par des octaves, soit des zones où l’air est plus dense, comme des "murs énergétiques" (son condensé ou cristallisé). Cette enveloppe forme ce qui est nommé un "biochamp", dont la taille dépend de la vitalité/conscience, puisque l'esprit (le mental) agit sur l'énergie. Il ressemble à un "quadrillage", comme une grille en 3D, une toile d’araignée, se décomposant en axes longitudinaux (positionnement angulaire est/ouest) et plans axial, latitudinal (axe perpendiculaire à l'axe longitudinal) et équatorial (les deux pôles opposés). Le plan axial (vertical) peut être décalé par un choc émotionnel, le plan équatorial pouvant quant à lui se décaler au-dessus ou en-dessous du nombril, zone d'équilibre du corps humain à l'image de la planète terrestre. Cela pose alors un problème dit d’ancrage, rendant nécessaire son (re)centrage par un rééquilibrage énergétique approprié, d'où l'importance en thérapie d'assurer la qualité d'un flux énergétique sain, sans perturbations électro-magnétiques toxiques.

Par ses harmoniques le corps éthérique peut ainsi entrer en résonance, soit ressentir et agir, avec une matière constitutive de la terre (ex : le fer, le cuivre, l'argent ...), dans la mesure où sa nature vibratoire l'amène à réagir aux polarités d’un aimant, d’une pile ou selon les lignes telluriques (positives ou négatives)*². Par la loi de correspondance prévalant dans l'univers, il y aura en toute logique moins de résonance si nous avons une carence dans un ou plusieurs de ces éléments constitutifs. De même, chaque moteur énergétique (chakra) a une fréquence de résonance propre avec les fréquences sonores, qui varie selon les individus. C’est bel et bien l’alignement et la cohérence du corps qui permet aux informations de l’invisible de migrer vers le visible.

* Le terme de "corps" peut être compris comme un "champ d’influence", qui voit une force – ou une information – agir sur lui et en modifier les caractéristiques.

Les pierres ont aussi une polarité : le haut est le côté positif, le bas est le côté négatif. Les édifices et obélisques respectent cette polarité, qui existe aussi dans le bois des arbres. L’énergie se déplace mieux ainsi.

 

Le lien centres énergétiques (chakras) - couleurs

Les chakras sont au nombre de douze, allant de Ecarlate en bas à Magenta en haut. Ils correspondent aux 3 couleurs "RVB" (blanc), aux 3 couleurs "CMJ" (noir) et aux couleurs intermédiaires. Il faut rajouter trois chakras transcendantaux en bas (bordeaux au niveau des genoux, brun au niveau des pieds, et noir en dessous des pieds), et trois en haut, au-dessus de la tête (rose-blanc, blanc-argenté, irisé-cristal).

Les couleurs des sept principaux sont :

7 – magenta – fontanelle

Intermédiaire – pourpre – front

6 – indigo – sourcils

Intermédiaire – bleu – bouche

5 – cyan – pomme d’Adam

Intermédiaire – turquoise – clavicules

4 – vert – cœur

Intermédiaire – pomme – estomac

3 – jaune – nombril

2 – orange – bas ventre

1 – rouge – périnée

Fonctionnement bioénergétique de l'humain

Le corps, sur le plan de l’électromagnétisme (physicalité), fonctionne avec la piezzo-électricité, l’information se trouvant dans l’onde photonique (mémoire de l’ADN), la lumière (dit plan divin, spirituel ou causal) étant le support de l'information. Par sa nature bioénergétique il capte des informations sous forme de neutrinos (l’onde du neutrino est le support de l’information, soit une onde de forme), l’ADN et l’eau intracellulaire (champ de la mémoire) faisant le pont entre le subtil - le champ énergétique éthérique - et le physique (l’eau capte les ondes de forme et les amplifie pour que l’ADN en résonateur entre en interaction et envoie les informations au cerveau pour analyse et traitement). Son enveloppe, le corps éthérique (l’âme est sur les plans mental/astral/éthérique), voit tout autant ou même plus que le corps physique, des tests faits à l’aveugle sur des objets le démontrant.

Si les phénomènes positifs dilatent le champ vital (les trois premiers chakras), les phénomènes négatifs le compriment. C'est pourquoi un champ vital dilaté est plus sensible à l’environnement, d'où l'indispensable maîtrise psycho-émotionnelle. Elle permet à une personne d'être "ancrée", ce qui la rend peu perméable. A l'inverse, quand une personne n’est pas ancrée*, elle a des haut et bas énergétiques, car le mental supérieur (6e chakra) accomplit une fonction de protection qui devrait plutôt revenir au mental inférieur du corps (3e chakra). Non nettoyés et libérés, les blocages émotionnels sur les chakras du moteur terrestre (1 et 2) et du chakra du plexus solaire (siège de l'intellect, du mental égotique - 3) augmentent le risque de maladie. Ainsi moins l’eau intracellulaire est saturée de mémoire négative, plus on est sensible, plus on capte d’informations, plus on est conscient.

Le champ vital est ainsi composé de trois axes principaux qui se croisent au nombril. S’il y a un décalage de ce centre (cause mentale, émotionnelle ou physique)*², cela pose un problème, trop de déséquilibre provoquant des troubles d’équilibre, de vue, de cœur, jusqu’à la perte de conscience. C'est pourquoi la compréhension des entités parasites, autrement dit la manipulation psycho-émotionnelle du prédateur, est déterminante. Et plus l’empreinte du passé est forte, plus le futur est conditionné ...C'est l’hypothalamus qui maintient l’équilibre du corps, géré par le cerveau. Le système nerveux sympathique est lié au mental/émotionnel et à la dépense d’énergie, tandis que le système nerveux parasympathique est lié à l’énergétique/physique et à la récupération d’énergie. Il faut un équilibre entre les deux. Comme les pensées négatives, tensions,… constituent une entrave dans le système nerveux, l’alignement énergétique par leur nettoyage résout toutes les tensions sur tous les plans, permettant la bonne circulation de l’information.

La fluidité se manifestant dans l’acceptation de la vie, le but pour y parvenir est d’avoir un esprit sain, une âme saine, et un corps sain.

* Il est estimé que 80% de la population n’est pas ancrée, c'est-à-dire en lien avec le tellurisme. Cela est lié au manque de confiance et à la honte, généralement inconsciente. Or le 1er chakra est important, garantissant la survie.

Un décalage se produit soit en réaction à des perturbations du sous-sol, soit en réaction à des émotions négatives (les siennes ou celles de personnes autour de soi).

 


Notre corps émet de la lumière visible

Les scientifiques de l'Institut de Technologie de Tohoku à Sendai au sein de l'Université de Kyoto ont révélé en 2009 que le corps humain rayonne littéralement, émettant de la lumière visible en quantités extrêmement faibles à des niveaux qui augmentent et diminuent durant la journée*. Pour ce faire ils ont utilisé des caméras extrêmement sensibles capables de détecter des photons uniques. Cette lumière "visible" est 1.000 fois moins intense que les niveaux pour lesquels est sensible notre œil nu. En fait, pratiquement toutes les créatures vivantes émettent très faiblement de la lumière, dont on pense qu’elle est le sous-produit de réactions biochimiques faisant intervenir des radicaux libres. Cette lumière visible diffère de la radiation infrarouge, une forme invisible de lumière qui provient de la chaleur corporelle.

* Le rayonnement du corps augmente et diminue durant la journée, son point le plus bas étant à 10h et son pic à 16h, diminuant progressivement ensuite. Ceci suggère que l’émission de lumière est liée à notre horloge biologique, probablement à cause de la façon dont nos rythmes métaboliques fluctuent au cours de la journée. Les visages rayonnent plus que le reste du corps. Cela pourrait être dû au fait que les visages sont plus bronzés que le reste du corps, puisqu’ils sont plus exposés à la lumière du soleil – le pigment de la couleur de la peau, la mélanine, ayant des éléments constituants fluorescents qui pourraient augmenter la minuscule production de lumière du corps.

 

Les images montrent les faibles émissions de lumière visible dans le noir total. Le diagramme correspond aux images et montre comment les émissions varient durant la journée. La quatrième image (I) est une image infrarouge du sujet montrant des émissions de chaleur. "Si vous pouvez voir la lueur à la surface du corps, vous pourriez voir tout l’état du corps" a dit le chercheur Masaki Kobayashi, spécialiste biomédical de la photonique à l’Institut de Technologie de Tohoku.


La lumière est partout

Dans notre univers gravitationnel de par sa nature électromagnétique, la lumière est partout, puisque par définition scientifique ce qui est dense tombe vers le bas (ainsi les particules élémentaires atomiques, c'est-à-dire "chargées" par un noyau + et des électrons -). Suivant le principe également élémentaire que plus on monte plus c'est froid et inversement de par l'action de l'air, la lumière répond à un principe de chaleur.

Lorsqu'elle est dite "chaude", elle est appelée incandescente, phénomène physique se manifestant par une émission de lumière due à la température d'un corps chauffé qui émet des rayonnements électromagnétiques dans le spectre visible. Lorsqu'elle est dite "froide", elle est appelée luminescence*, résultant d'interactions entre particules électriquement chargées ayant lieu dans des atomes, molécules ou cristaux qui provoquent l'émission de photons. L'énergie libérée sous forme de lumière lors de la transition peut être initialement fournie sous forme électrique, chimique, mécanique ou lumineuse.

On distingue différents types de luminescence selon le mode d’excitation initial : l'électroluminescence (excitation électrique), utilisée par exemple dans les télévisions ; la photoluminescence (excitation par absorption de photons), par exemple dans les tubes luminescents ou les colorants fluorescents ; la fluorescence, photoluminescence rapide ; la phosphorescence, photoluminescence lente ; la chimiluminescence (excitation à la suite d'une réaction chimique), se produisant au niveau de la flamme bleue de diffusion ou de pré-mélange (méthane ou butane de brûleur d'une gazinière, d'un briquet) ; la bioluminescence (réaction enzymatique), utilisée par les lucioles ; la cristalloluminescence (excitation à la suite d'une modification structurale cristalline) ; la thermoluminescence et la cryoluminescence (datation archéologique d'objets) ; la piézoluminescence (excitation créée par la pression sur certains solides) ; la cathodoluminescence (excitation par collision électronique), par exemple dans les tubes cathodiques ; la triboluminescence (excitation à la suite de la rupture de liaisons chimiques dans un solide), par exemple dans le sucre broyé ou écrasé ; la sonoluminescence (excitation par absorption de phonons) ; la radioluminescence (excitation à la suite d'une irradiation par RX ou rayonnement α, β, γ), par exemple dans les écrans de radiographie X.

* Le terme luminescence fut inventé par le physicien allemand Eilhard Wiedemann (1852/1928) en 1888, à partir du mot latin lumen signifiant lumière. 

 

Le trajet de la lumière

La sonoluminescence est le phénomène par lequel des photons sont émis par des bulles de gaz dont on fait varier le diamètre grâce à des ultrasons. Son effet fut découvert à l'université de Cologne en 1934 lors d'une expérience portant sur le sonar, les premières expériences sur le sujet remontant à 1917 lorsque la Royal Navy britannique demanda au physicien Lord John William Strutt Rayleigh (1842/1919) de comprendre pourquoi les hélices des navires subissent des dommages inexpliqués.

L'explication théorique de ce phénomène reste aujourd'hui sujet d'étude, car les calculs réalisés depuis la découverte du phénomène semblent indiquer que malgré les conditions de température et de pression passablement inhabituelles au cœur de la bulle lors de son effondrement (la petite onde de choc échauffe fortement le gaz contenu dans la bulle), la production de lumière ne devrait pas intervenir.

Les expériences menées permettent cependant de démontrer que la température au cœur de la bulle atteint l'équivalent de la température à la surface d'une étoile, la bulle d'argon étant trois mille fois plus luminescente qu'une bulle produite dans de l'eau. Qui plus est a été également découvert de l'oxygène ionisé en surface de la bulle, ce qui accrédite l'hypothèse de la présence d'un plasma au cœur de la bulle. Enfin sa longueur d'onde de lumière émise peut être très courte, pouvant atteindre l'ultraviolet (les lois de la physique montrent que plus la longueur d'onde de la lumière est faible, plus son énergie est élevée).

Le "mystère" de la sonoluminescence permet de comprendre la relation du macrocosme au microcosme, ce dernier par sa nature magnétique étant irrigué y compris au plus profond de lui-même (le vide n'existe pas !) par les particules en provenance du haut, qui distribuent la lumière sous de multiples formes y compris dans les parties "ténébreuses" inaccessibles à nos sens physiques. Grâce aux gaz de l'atmosphère (hélium - He, azote - N, crypton - Kr...) devenant liquides par décompression atmosphérique (réchauffement), les "eaux d'en haut" irriguent les  eaux d'en bas", l'eau étant présente à 60 % dans l'air sous forme de particules électromagnétiques microcosmiques. Et comme il a été démontré le rôle mémoriel de l'eau (Cf. sous-chapitre Interface informationnelle), nous pouvons comprendre comment la lumière se manifeste dans le champ cosmique, et tout particulièrement dans le champ terrestre en franchissant la barrière de l'atmosphère*. La sonoluminescence n'est rien d'autre que le dialogue sacré, autrement la manifestation du verbe créateur qui se fait "chair" à partir de sa toile éthérique*². Le son devient lumière, permettant d'entendre le chant des anges... !

* Ceci pose d'autant mieux la question de la manipulation du champ atmosphérique par le corpus prédateur scientifique, comme les "chemtrails" et autres expérimentations attentatoires à la (saine) circulation de la lumière. Ainsi la possibilité d'agir sur les bulles de gaz par ultrason est un moyen de polluer la sonoluminescence en la dépolarisant, conduisant à l'effet " bocal " (ou fishball), l'être humain étant tel un poisson rouge prisonnier de sa bulle prison... Cf. Contrôle mental.

Cf. Le processus création décodé & La pensée création.

 

Les "Bio-photons" dans le Cerveau relient notre Conscience à la Lumière

Les biophotons ont été découverts pour la première fois en 1923, par le Professeur russe biologiste Alexander Gavrilovich Gurwitsch ou Gurvich (1874–1954) qui les appela "rayons mitogénétiques", ses travaux étant tombés ensuite dans l'oubli pendant le XXe siècle avant d'être remis en lumière dans les années 70. Ainsi, dès 1974, le biophysicien allemand Fritz-Albert Popp pu prouver leur existence. Grossi 30 000 fois à l'aide d'un somascope, un seul bio-Photon démontre la géométrie de l'hexagone et son étoile à 6 pointes, qui est la forme qui donne la vie en tant que l'essence de lumière, et directement impliquée dans toutes les formes de vie biologique sur Terre (incluant l'eau).

Le biophoton, du grec βιο signifiant "vie" et φωτο voulant dire "lumière", est un photon hypothétiquement d'origine biologique, n'étant pas issu de produits d'une réaction enzymatique spécifique. Il s'agirait donc d'une chimiluminescence d'origine biologique qui se distingue de la bioluminescence par son absence de mécanisme enzymatique dédié, et par une magnitude ou intensité ultra-faible. Selon une autre hypothèse, cette forme de signal biophotonique, ayant son origine dans le sang, continue de jouer un rôle dans la réception, la transmission et le traitement des informations électromagnétiques.

Des scientifiques ont découvert selon une étude parue en 2017 dans les cerveaux des mammifères étudiés des neurones capables de produire ces photons de lumière, ou "bio-photons". Ils apparaissent en effet dans le spectre visible des couleurs, s’étendant du quasi-infrarouge jusqu’au violet, soit sur une longueur d’onde comprise entre 200 et 1300 nanomètres. C'est ainsi qu'ils ont émis l’hypothèse que les neurones de notre cerveau seraient capables de communiquer par la lumière par des canaux de communication optique spécifiques, les bio-photons produits par le cerveau pouvant être affectés par l’intrication quantique, qui affirme que deux photons intriqués réagissent si l’un des photons est affecté peu importe où se trouve l’autre proton dans l’Univers, et ceci de manière immédiate.

Ceci signifie qu’il pourrait y avoir un lien important entre ces photons, notre conscience et probablement ce que de nombreuses cultures et religion appellent l’Esprit*. Si au cours d’une série d’expériences ils ont découvert que les cerveaux des rats ne pouvaient transmettre qu’un seul bio-photon à la minute, les cerveaux humains pourraient en transmettre plus d’un milliard à la seconde. N'est-ce d'ailleurs pas le sens du mot "il-LUMINA-tion" que de laisser supposer que cette conscience supérieure a une relation avec la Lumière ? Cependant, tant que le scientifique académique négligera le fait que notre conscience et notre esprit ne se trouvent pas à l’intérieur de nos corps physiques, cette découverte est appelée à demeurer comme une simple théorie.

* C'est ainsi que de nombreux textes et religions (Hindouisme, Bouddhisme, Islam, Christianisme) datant des temps les plus reculés, depuis l’aube de la civilisation humaine, ont évoqué des saints, des êtres ascensionnés et des individus illuminés qui ont des auréoles brillant autour de leurs têtes, formant une lueur circulaire autour de leurs têtes.

 

Mesure de l'énergie vibratoire

 

Cette énergie "harmonisante" se retrouve en certains lieux/points/endroits terrestres et célestes, considérés comme des lieux de pouvoir spirituel. Ils correspondent notamment sur terre à des monuments sacrés, posant tout naturellement la question de sa mesure, cette dernière répondant à des canons peu orthodoxes car de nature métaphysique, expliquant le scepticisme des rationalistes comme le discrédit porté à ses praticiens, il est vrai parfois légers voire peu scrupuleux dans leur bagage opératoire.

Si le géo-magnétomètre sert à mesurer la composante verticale du champ magnétique terrestre (alors que la boussole est sensible à la composante horizontale) dont la valeur ambiante est ordinairement de 50'000 nanoteslas (on note des variations de 1 à 4% dans les flux des failles et des courants d'eau), sa "simplicité" nécessite d'autres outils pour la mesure d'énergies plus subtiles, expliquant le recours à la radiesthésie.

 

La radiesthésie

 

"Nous devons accepter la radiesthésie comme un fait. Il est inutile de faire des expériences pour prouver son existence. Elle existe. Ce qu'il faut maintenant, c'est en développer les possibilités".

Charles Richet, physiologiste français (1850/1935), prix Nobel en 1913

 

La radiesthésie - du latin radius, "rayon" et du grec aisthêsis, "sensibilité" -, dont le terme a été inventé en 1922 par l'abbé Alexis-Timothée Bouly (1865/1958), est un procédé métaphysique* (d'aucuns diront divinatoire) de détection, qui repose sur la croyance selon laquelle les êtres vivants seraient sensibles à certaines radiations qu'émettraient différents corps. Elle permettrait ainsi de localiser des sources, de retrouver un objet perdu ou une personne disparue, d'établir un diagnostic de santé (non reconnu médicalement)*², de déterminer la profondeur d'un puits, etc, soit ce qui est "caché" aux facultés normales. Si les études rigoureuses qui ont été menées sur un plan scientifique, notamment la grande expérience de l'université de Munich réalisée entre 1986 et 1988, n'ont pas mis en évidence son efficacité, elle est une pratique courante des activités humaines, tout particulièrement des géobiologues. Plus qu'un savoir absolu, elle constitue en effet dans sa nature profonde un puissant amplificateur de nos sensations subjectives.

* Ce procédé était anciennement appelé rhabdomancie (du grec rhabdos, "bâton" et manteia, "divination", technique utilisant la baguette de coudrier) ou encore sourcellerie.

Au-delà du diagnostic, la radiesthésie peut guérir. Ainsi l'oto-rhino-laryngologiste et homéopathe Docteur Paul Chavanon (1898/1962), grand défenseur des victimes des vaccins, qui pratiquait lui-même la radiesthésie (ainsi que l'astrologie et même la chiromancie). Lorsqu'il était interne aux hôpitaux de Paris il guérissait des maladies dites incurables à tel point que ses collègues le surnommaient "le sorcier". Cf. livre de son fils Michel Chavanon, "Le Maître de l'homéopathie ORL" (France Europe Éditions).

 

La géobiologie, discipline du Vivant

De par son étymologie qui associe la racine géo (la terre) et la biologie (l'étude de tout ce qui est vivant), cette discipline en plein essor prétend traiter des relations de l'environnement, des constructions et du mode de vie avec le vivant, de l'ensemble des influences de l'environnement sur le vivant, et notamment des ondes liées aux champs magnétiques et électriques, courants d'eau souterrains, réseaux dit "géobiologiques", failles géologiques, etc. Elle se distingue de son homonyme, la géobiologie scientifique, branche de la paléontologie liée à l'histoire naturelle. C'est pourquoi l'Association française pour l'information scientifique, tout comme en général les physiciens, médecins et géologues, la classent comme une pseudo-science. En effet, ses méthodes d'investigation ne suivent pas les critères requis pour une démarche scientifique, ses résultats même attestés ne recevant de confirmation par les différentes disciplines scientifiques qui la décrivent comme un champ d'étude irrationnel. Aussi est-elle souvent assimilée à un ensemble de croyances, les scientifiques en dénonçant notamment l'utilisation abusive de leur langage pour décrire des concepts qu'ils considèrent sans fondement expérimental ou théorique. Mais à trop vouloir circonscrire l'approche du vivant aux seuls critères de la raison et laisser le spirituel au religieux ou à l'intimité, l'être humain s'ampute de moitié, expliquant le profond déséquilibre ressenti par beaucoup en cette fin de cycle ...

* Cf. Fin de cycle (1) Fin du temps ou fin des temps ?

 

Même considérée comme non scientifique, la radiesthésie s'appuie sur des instruments autres que les simples baguette en bois ou pendule du sourcier. Ainsi les instruments dits de Chaumery et Bélizal (photo 1), permettent dès 1930 au Comte André de Bélizal (photo 2) et aux ingénieurs Léon Chaumery (photo 3) et Morel notamment d'aboutir, dans une sorte de tentative de conciliation entre la radiesthésie et l'électromagnétisme, à la notion d'ondes de forme, de forces microvibratoires, de physique radiesthésique et de radionique, entre autres. Ces travaux* ont ouvert un nouveau chapitre de la radiesthésie, soit l'étude physique des influences de formes et de couleurs à travers les mystères d'anciennes civilisations et des expériences d'avant-garde de ces auteurs. Ces derniers utilisaient divers outils de recherches et de mesure qu'ils avaient mis au point : le Pendule Universel - le pendule fonctionne comme une corde de musique, la longueur de la corde permettant de précisément mesurer les énergies -, le Pendule égyptien, l'Escargot-sélecteur, le Micromètre... D'autres auteurs des années trente ont apporté leur contribution par leurs travaux et publications, dont l'ingénieur Louis Turenne (1872/1954), le russe Scariatin sous le pseudo d'Enel*², Charles Voillaume et d’autres.

* Cf. "Introduction à la Physique radiesthésique et micro-vibratoire - Ondes de formes, Techniques, Appareils", André de Bélizal, P-A Morel, Félix Servranx, William Servranx (1956).

C’est Enel, en 1940-1950 qui utilisa le principe du pendule de Chaumery pour étudier les énergies des tombes de saints chrétiens en Égypte. Cf. "Premiers pas en radiesthésie thérapeutique" (photo 4).

 

Mondes hyper-dimensionnels : le Pouvoir du Pendule

L’archéologue et explorateur anglais Thomas Charles Lethbridge (1901/1971), devenu Directeur des Fouilles de la Société des Experts en Antiquités de Cambridge, et Directeur du Musée d’Archéologie et d’Ethnologie de l’Université, a écrit de nombreux ouvrages, formant un ensemble considéré comme l’une des plus fascinantes collections jamais compilées de comptes rendus de recherche dans le domaine du paranormal. Combinant les compétences d’un scientifique avec un esprit totalement ouvert*, il a mené une série d’expériences qui l’ont convaincu de l’existence de mondes hyper-dimensionnels qui interagissent dynamiquement avec le nôtre. Il semblait par son pendule "connecté" à l'Esprit, pensant que le pouvoir de travailler au pendule était une partie de nous-même sous forme invisible et intangible, qui en sait bien plus que nous. Il découvrit ainsi des artefacts, objets cachés, restes d’animaux ou d’humains, situés non seulement dans l'invisible du présent, mais aussi dans celui du passé ou du futur. En fonction de la longueur du fil – plus précisément du coefficient de multiplication de la mesure initiale du fil -, son allongement déterminait des fréquences vibratoires différentes, correspondant ainsi aux lignes temporelles passées ou futures sur lesquelles était situé un objet.

Ainsi, grâce à de nombreuses expériences, il a établi que la "fréquence" de la mort et de la colère violente était à 40 pouces (un mètre), cette longueur étant aussi la fréquence du froid et du noir. Cette longueur représente le seuil limite, dans la mesure où toutes les substances simples testées correspondaient à des longueurs de zéro à 40 pouces, sauf pour le soufre, la réaction du pendule à plus de 40 pouces se faisant alors d’un seul côté. En outre, au-delà de 40 pouces il n’y a pas de fréquence pour le concept de temps, le pendule ne réagissant pas. En réfléchissant, Lethbridge émit finalement la théorie que, dans le monde d’au-delà de 40 pouces, le pendule est dans le temps lui-même, et que c’est pour cette raison qu’il n’y a pas de réaction au concept, même s’il y a d’autres "mondes" au-delà de la mort où l’idée de temps existe.

En poursuivant ses expériences, il détermina que le monde du niveau "jouxtant le nôtre" est un monde où les vibrations énergétiques sont quatre fois plus rapides que celles de notre monde. Ce monde hyper-dimensionnel se trouve tout autour de nous, mais nous sommes incapable de le percevoir parce qu’il dépasse la portée de nos sens. C'est ainsi que, d'une manière similaire, les géobiologues opèrent avec un pendule, arrivant à détecter des entités invisibles prétendument accrochées aux corps humains...

* Tom Lethbridge n’était pas un spiritualiste. Il était convaincu que la magie, le spiritisme, l’occultisme n’étaient que des tentatives grossières de comprendre le vaste univers des énergies cachées dans lequel nous vivons, ne servant généralement qu’à obscurcir, et non pas à révéler et à diffuser la vraie connaissance. C’est pourquoi il a privilégié le recours à la logique, à l’observation, et à l’expérimentation pour arriver à la conclusion qu’il existe d’autres mondes de réalité en dehors de notre propre monde, et qu’il existe des formes d’énergie que nous ne commençons même pas à comprendre.

Cf. "The Essential T. C. Lethbridge", livre de Janet Hoult & Tom Graves.

 

Le principe a consisté à mettre en relation le spectre des couleurs visibles à un spectre circulaire de "vibrations-couleurs", voulant qu’entre le "noir" et le "blanc", il devait y avoir une couleur propre à une vibration très élevée, ayant une action puissante sur tous les niveaux de la nature. Elle a été nommée "Vert Négatif", même si ce n’est pas du vert. Le résultat est qu'au-delà du spectre visible - pourpre d’un côté et magenta de l’autre -, il y a un "blanc légèrement rosé". Ainsi, certains facteurs (comme des formes, sons, etc) peuvent créer une concentration d’énergie induisant une résonance avec une réalité supérieure (fréquence plus élevée), permettant d’agir directement de façon "magique" sur la réalité du plan matériel*.

* Un facteur particulier canalisant une énergie supérieure est nommé " l’onde d’Isis ". Il s’agit d’une orientation d’un angle de 77° par rapport au nord, et 13° par rapport à la direction est-ouest (des églises anciennes sont alignées sur cette direction). Cet angle bénéfique est toujours le même si l’on se positionne ainsi, ayant un effet immédiat sur le champ vital, au point où il est possible de se transformer en "boussole vivante". Cet angle est associé au pourpre-magenta, la couleur de la spiritualité.

 

Spécificité énergétique des monuments sacrés

Enel découvrit que toutes les tombes des saints chrétiens en Égypte émanaient une certaine qualité de vibration dans la zone de ce qui est appelé "Vert Négatif", à savoir une qualité d’onde porteuse qui a des propriétés de communication très puissantes sur tous les niveaux d’énergie de la nature. Elle constitue une porte sur d’autres dimensions. Enel nomma cette qualité d’énergie "Omega", qui dans la gamme (spectre) de couleurs qualitative de la radiesthésie (image 1), fait partie de la zone du "Vert Négatif Horizontal", dans la zone grise entre le blanc et le noir, à l’opposé du vert sur le spectre des couleurs (image 2). Il conclut que la présence de cette énergie Omega indique la présence d’une énergie spirituelle.

L’exemple le plus connu est la pyramide, capable de momifier naturellement n’importe quel fruit en son centre (à un tiers de sa hauteur à partir du centre de sa base) du fait qu’elle émet du "vert négatif".

 


Tout peut ainsi s’analyser par une combinaison de ces couleurs, qui sont des noms donnés aux énergies du domaine vital non détectables matériellement. Certaines ondes, en particulier le vert négatif, ont des effets très particuliers, voire dangereux si en excès. En fait, tout excès d’une couleur, quelle qu’elle soit et quelle que soit sa polarité, est à éviter, seul l’équilibre étant gage de bonne santé.

C'est la raison pour laquelle le Vert négatif (V-) est indissociable de la basse vibration, car en règle générale tout ce qui vibre bas émet du vert négatif en abondance. Ceci est non seulement vrai au niveau énergétique, mais également au niveau physique, car on sait qu’un lieu est plus froid lorsqu’il est saturé en V-. On peut même aller jusqu’à expliquer de cette façon la raison pour laquelle un lieu où sont présentes des entités basses, comme les "âmes errantes", sont anormalement froids. D'où la légende qui tend à dire qu’un fantôme dégage du froid...

 

L'explication de la transmutation des âmes

Le spectre électro-magnétique des vibrations-couleurs tel que conçu par MM. Chaumery et De Bélizal comporte, entre le rouge (l’écarlate) et le violet (le pourpre) de son échelle de fréquences (Cf. image), du noir, du blanc et du "vert négatif", qui servent simplement à différencier ce qui se passe entre le magenta et le pourpre, la plus haute fréquence de couleur. Dans la pratique, ce blanc est légèrement rosé, car contenant toujours un peu de pourpre et de magenta. C’est le cœur de couleur du 7ème chakra (dit Sahasrara), et par-là même de l’âme humaine. Le blanc est la vibration la plus puissante qui existe, mais l’être humain n’est capable de l’absorber qu’en partie, expliquant notamment les difficultés du peuple blanc dans sa relation à la spiritualité. Exploitée dans les pyramides égyptiennes servant de tombeaux (non la Grande Pyramide qui était d'usage initiatique), cette énergie a le pouvoir de momifier, c’est-à-dire de dessécher la matière vivante et de la cristalliser en une matière minérale imputrescible. Cette énergie est très négative pour les êtres vivants, expliquant que leur corps éthérique se rétracte et se densifie pour protéger le corps physique contre cette agression. Toutefois, une énergie de polarité "négative" peut être transmutée en une énergie "positive", qui devient alors favorable à l’être humain. Le corps éthérique se dilate ainsi de façon extrême, facilitant la décorporation de l’âme. Tel était le but de la Grande Pyramide, lorsque l'initié était dans la Chambre du Roi, couché dans le sarcophage vide pour permettre à son âme de franchir les barrières de l'astral (le domaine des forces ténébreuses manipulatrices et vampiriques de la psyché humaine *) afin de s'unir à l'Esprit, le champ de conscience du divin...

* Cf. Compréhension structurelle de la Matrice asservissante.

 

La spécificité des ondes de compression par rapport aux ondes électromagnétiques

 

Les lois de l'électromagnétisme caractérisent, entre autres énergies, le fonctionnement de notre système solaire d'appartenance. Il voit le Soleil, l'étoile bienfaisante responsable de toute vie sur Terre, émettre en permanence des "vents solaires" en direction de la Terre, soit des flux continus de particules chargées sur un plan magnétique qui nous sont adressées par le gaz électrifié du vent solaire. Elles sont l’information issue de la modulation constante du soleil par la gravité et le magnétisme de ses interactions avec toutes les planètes de ce système, et livrée à la grille magnétique de la Terre par les vents solaires se déplaçant à quelques huit millions de kilomètres par heure. C’est ce mécanisme qui crée les aurores boréales, polaires ou astrales. Le vent solaire qui arrive sur la grille magnétique de la planète Terre crée sa propre connexion (dite inductance) et nous fournit à travers nos processus biologiques de base l’information issue de la modulation du Soleil.

C'est en les étudiant que Heinrich Rudolf Hertz (1857/1894), ingénieur et physicien allemand, a découvert les ondes hertziennes (ondes visibles, ondes radio) qui se propagent à la même vitesse que la lumière, auxquelles il a donné son nom.

Les ondes électromagnétiques en provenance du rayonnement du soleil découlent d’une composante magnétique et d’une composante électrique, l’une "verticale", l’autre "horizontale", la lune annulant l’effet électrique du soleil (vertical). Ce phénomène est appelé la polarisation *.

* Ainsi de nombreux radars sont conçus de manière à transmettre le rayonnement des hyperfréquences en polarisation horizontale (H) ou verticale (V). Cette onde transmise, qu’elle soit en polarisation H ou V, peut générer une onde rétrodiffusée avec différentes polarisations. On appelle polarimétrie radar la technique d’analyse de la combinaison de ces polarisations. 

 

Ces énergies qui informent la matière sont difficiles à mesurer, ces ondes étant instantanées et simultanées. En se déplaçant, elles émettent des ondes "secondaires", dites "ondes de compression", comme une turbulence autour d’un bateau en déplacement qui forme des tourbillons autour de lui. Ce sont des "ondes longitudinales" (Cf. image), qui se déplacent plus ou moins vite.

Parmi elles se trouvent les ondes scalaires*, qui ont été étudiées notamment par l'ingénieur physicien en électronique appliquée allemand Konstantin Meyl (photo 3), celui-ci ayant supposé que le rayonnement énergétique correspondait aux flux de neutrinos que nous recevons en permanence et en abondance (60 milliards de particules par cm2 de peau et par seconde !) du soleil, des supernovae (phénomènes résultant de l'implosion d'une étoile en fin de vie) et des trous noirs, des particules dont la course n’est pas modifiée – ou presque – par la matière. Cette étude a entraîné la notion de "scalaire énergie", basée sur un petit générateur de ces ondes longitudinales appelé aussi "point zéro" énergie ou "Radiant Energy". En forme de spirale (comme notre ADN ou comme les protéines) ou longitudinale, contrairement aux ondes électromagnétiques qui sont de nature sinusoïdale ou transversale, supportées par les neutrinos (seules particules connues pour pouvoir traverser la terre entière à une vitesse supérieure à la lumière sans être déviées), elles constituent un type d’onde longitudinale de compression (ou de torsion). Elles s’orientent dans l’espace lorsqu’une résonance, c’est-à-dire une communication, s’établit entre la source et la cible. Ce faisant, Konstantin Meyl a démontré que la transmission de l’énergie sans fil par ce type d’ondes était non seulement possible, mais que le rendement de ce transfert d’énergie dans l’espace était bien supérieur à 1 (de 1,5 à 12) !*²

Selon Konstantin Meyl, les réseaux d’énergie (Hartmann, etc) sur terre sont des ondes scalaires, les méthodes des sourciers se basant sur elles. Il a déterminé également que les longueurs d’ondes scalaires sont les mêmes dans les temples qui sont dédiés aux mêmes dieux, cela montrant que chaque dieu était associé à une qualité d’énergie différente.

Ainsi, lorsque Pythagore faisait référence à la "musique des sphères", il est possible qu'il évoquait en fait l’audition d’ondes de compression/scalaires proches du son par leur nature, et qui pourraient être causées par l’écho (sous forme d’onde longitudinale) de l’énergie solaire sur les planètes. En effet, si ces ondes secondaires de type longitudinale sont alimentées par les ondes électromagnétiques, elles sont similaires aux ondes sonores à un niveau inaudible au-delà de notre capacité auditive, et donc sont influencées par les formes.

* L'inventeur croate Nicolas Tesla (1856/1943) est généralement considéré comme le père de l'électromagnétisme scalaire, qui constitue ce que l’on appelle "l’énergie libre", certes de faible puissance (de l’ordre de quelques milliwatts disponibles), mais suffisante pour amplifier dans l’espace ce qu’émet ou reçoit chaque être vivant, qui lui fonctionne à quelques microwatts près.

L’expérience première du Professeur Meyl de mise en évidence des ondes scalaires sous de très faibles tensions et de leur transmission sans fil dans l’espace a été reproduite depuis 15 années des centaines de fois de par le monde, par des laboratoires publics et privés, des universités ou des chercheurs indépendants.

 

Médecines alternatives, spiritualité et ondes scalaires

Les chercheurs des médecines alternatives se passionnent depuis quelques années pour les ondes scalaires, qui en forme de spirale sont capables de porter à des milliers de kilomètres sans s'affaiblir. C'est pourquoi elles sont déjà employées expérimentalement pour soigner, considérées comme aussi indispensables que l’air que nous respirons, l’eau que nous buvons ou encore les aliments qui nous nourrissent. C'est ce que démontrent des chercheurs de l’Université du Pirée, avançant que notre métabolisme de base nécessite quelques 12 000 calories à fournir chaque jour, dont un quart au maximum proviendrait des aliments solides ; un autre quart serait tiré - grâce à nos mitochondries - de l’hydrogène de l’eau bue. Et enfin 50% de nos besoins énergétiques seraient fournis par la lumière cosmique touchant la terre. Certaines personnes seraient même capables de se passer de nourriture physique et de ne se nourrir que d’air, d’eau et de lumière ! …

Les êtres humains émettent en effet par leur cerveau des ondes en spirale (ou vortex), qui sont des champs de torsion. Elles passent les cages de Faraday* (à l’inverse de l’électromagnétisme), augmentant leur puissance avec la distance. Dès lors que la résonance est établie, elles sont reçues même à des milliers de kilomètres de distance, et ce à faible puissance ! La télépathie a pour support ce type d’ondes. 

Le fait que nous soyons transpercés à chaque seconde de notre vie par ces ondes scalaires venant des étoiles et du soleil d’un côté, de la terre elle-même et des êtres vivants qui nous entourent d’un autre côté, nous fait penser qu’elles sont surement utiles à quelque chose. Si elles nourrissent effectivement tout corps vivant par résonance, en faisant vibrer ou osciller les ADN, les protéines, les métaux qui sont en nous, le fait de pouvoir "domestiquer" ces ondes pourrait en faire une source assimilable d’énergie et donc un moyen de thérapie. A condition d’en maîtriser la production et la puissance. La première machine à ondes scalaires, c'est bien nous, comme le fait de mettre ses deux mains en opposition pour créer spontanément un champ d’ondes échangées entre sa droite et sa gauche, dont la charge électrique est différente. Si le thérapeute inclue entre ses mains ouvertes une personne malade qui par définition perd beaucoup d’énergie et donc en a besoin toujours plus, il faut et il suffit que le "magnétiseur" se relie à une source, qu’elle soit cosmique comme le soleil ou bien spirituelle comme un autre être humain et donc en étroite résonance avec lui-même, pour que l’énergie (neutrinos, électrons, photons) passe de sa source à son patient !

C'est ainsi que dans toutes les cultures, depuis des milliers d’années, l’homme-médecine est non seulement un connaisseur des plantes et des arômes, mais aussi un chamane capable de canaliser pour ses proches l’énergie de type scalaire ou longitudinal de l’environnement. Ce flux existant (60 milliards de particules par cm2 et par seconde), il faut et il suffit de le concentrer. Et en ouvrant les mains pour soi, attitude naturelle d’une personne qui prie les mains jointes ou bien celle du sage qui médite les bras ouverts, nous en bénéficions par l’espace proche créé entre les mains. Autour de ces ondes ainsi créées, s’enroulent la lumière scalaire de l’environnement proche, modulée par les battements du cœur du méditant et les différents rythmes produits par son cerveau au repos, grâce à un état de conscience modifiée très réceptif.

Si toutes les religions et toutes les spiritualités du monde ont demandé à leurs pratiquants de prier et/ou de méditer*², c'est qu'elles savent depuis toujours que cette attitude renforce la conscience, le mental et le corps physique de l’adepte. Il n’y avait certes pas d’explication "scalaire" autrefois, mais la physiologie de ces ondes telle que formulée aujourd’hui permet de souligner au moins l’aspect physique bénéfique de ces pratiques. Reste à savoir à qui on s'adresse, les entités du ciel n'étant pas toujours celles que l'on imagine et espère...

* Une cage de Faraday (nom de celui qui l'a étudiée) est une enceinte utilisée pour protéger des nuisances électriques et subsidiairement électromagnétiques extérieures ou inversement empêcher un appareillage de polluer son environnement.

Cf. Exercice physique harmonisé par les asanas du Hatha Yoga ou par les enchainements proposés du Tai Chi chuan, du Qi Gong ou de la … danse, tout comme le chant et les mantras constitués par des expirs prolongés et modulés, qui permettent à l’inspir suivant une prise d’énergie d’autant plus puissante que la personne qui chante est reliée à une source qui est signifiante pour elle.

 

Thémis, la centrale solaire thermodynamique française emblématique

Située en Cerdagne à Targassonne dans les Pyrénées-Orientales pour ses conditions météorologiques qui sont très favorables au développement de l'utilisation de l'énergie solaire (exposition de près de 2 400 heures de soleil par an couplée à un vent très faible) et à une altitude (1 650 à 1 690 m) favorisant la réception du rayonnement solaire direct, la centrale de production d'énergie solaire THÉMIS a été inaugurée par EDF en 1983. Bénéficiant d'une superficie de 102 ha, elle a constitué une véritable référence internationale en matière de conversion de l'énergie solaire en électricité, ses technologies et applications ayant été reprises avec succès à l’étranger, notamment en Espagne et aux États-Unis. Après l’arrêt du financement de la centrale par EDF en septembre 1986, elle a été réhabilitée depuis 2004 à l'initiative du Conseil Général des Pyrénées-Orientales, pour devenir Thémis Solaire Innovation, un centre de recherche et de développement consacré à l'énergie solaire, incluant la production d'électricité, à la fois comme Centrale solaire photovoltaïque* et comme Centrale solaire thermodynamique. Cette opération a pour but de développer ce type d'innovation technologique qui constitue aujourd’hui une véritable alternative aux énergies fossiles polluantes, notamment par l'utilisation de la technologie des couches minces (amorphe et micromorphe) qui permet de diminuer fortement la dépendance au silicium cristallin et de capter un spectre de lumière plus large.  L'installation est composée de 201 héliostats (miroirs géants orientés vers le soleil) qui concentrent les rayons du soleil vers une tour qui héberge à son sommet un récepteur solaire où circule un fluide caloporteur : des sels fondus lors des essais des années 80. Chauffé par les rayons, celui-ci transférait son énergie à un circuit d'eau. La vapeur alors produite actionnait une turbine, comme dans une centrale thermique.

* Avec 80 héliostats équipés de 8,8 kWc chacun, soit un total de 670 kWc, l'objectif est de produire annuellement plus de 800 MWh, ce qui correspond à la consommation annuelle d'environ 500 foyers, l'électricité étant revendue à EDF. En outre, différentes installations pilotes de technologies dites " photovoltaïques concentrées " ont pour objectif de concentrer entre 600 et 1 200 fois l'intensité du rayonnement lumineux sur des cellules photovoltaïques qui produisent de l'électricité. Cette opération constituera un site pilote unique en Europe.

 

Les ondes scalaires sont les ondes de forme de la Terre, qui constituent la "signature vibratoire" de tout objet. Elles caractérisent un phénomène éthérique et non électromagnétique, expliquant l'impossibilité de la technologie classique à mettre au point un appareil pour leur mesure. C'est pourquoi les géobiologues (non scientifiques au sens académique) utilisent des outils comme le Sonotest (Cf. images), un diapason qui permet des mesures de l'énergie subtile des chakras et du corps. Ils peuvent ainsi mettre en évidence les réseaux de ces ondes quand le son semble passer d’une oreille à l’autre, comme si le son venait d’endroits différents lorsque l’appareil traverse une ligne.

Il en découle que les sons pourraient faire le lien entre les plans, l’électromagnétisme restant limité au domaine de la matière physique, ses ondes n'ayant qu'un effet restreint sur le corps, sauf surexposition. A faible intensité, c’est l’information véhiculée par la vibration éthérique qui, elle, a une forte incidence. Les réseaux telluriques ne seraient de ce fait rien d’autre que les ondes de forme de la Terre, activés par le champ magnétique – leur source d’énergie – qui véhicule des informations assurant la signature vibratoire des métaux et métalloïdes dont est composée la planète. Cela permet de comprendre pourquoi l’information des métaux, réémise par radionique, influence une ligne – qui se met à vibrer par résonance avec ledit métal -, et aussi l'intérêt porté par les scientifiques du corpus prédateur pour mettre en place de nouvelles armes vibratoires...

 

Métaphore de compréhension du fonctionnement opératoire des ondes de forme

La "légende-réalité" d'Osiris, Isis et Horus* nous indique le processus opératoire de transformation des ondes de forme (ou scalaires) dans la matière, en l'occurrence au moyen d'un réceptacle adéquat, la pyramide (la grande pyramide de Gizeh), là où dans la chambre de la Reine, constituée d'une cage de Faraday et d'un condensateur d'énergie (un pilier Djed en mortier de silice- photo 2), Isis va "ressusciter" son époux défunt Osiris en concevant son fils Horus à partir de son pénis, seul membre qu'elle a retrouvé après son démembrement et l'éparpillement de ses morceaux par son frère assassin Seth. La reconstruction du corps passe par l'utilisation de l'âme (celle d'Osiris) qui réside dans le champ éthérique, Isis l'amenant à se re-matérialiser par l'utilisation des codes génétiques qu'elle contient*² sous forme de mémoires et les cellules-souche*³ du pénis d'Osiris en sa possession. En sa qualité de lieu spirituel amplificateur d'énergie par sa forme triangulaire en pointe spécifique (Cf. chapitre Lieux de pouvoir spirituel), la pyramide crée un vortex (ouverture de l'espace-temps - image 3), qui permet l'impulsion électromagnétique nécessaire à l'âme dans le champ éthérique pour y prendre forme, en l'occurrence sous une forme biologique humaine ... Se tient dans cette métaphore une clé majeure conciliant l'enseignement du processus de résurrection par Jésus et la physique quantique de notre ère contemporaine. Suivant le mode qui anime notre Etreté profonde - "Service de Soi" ou "Service d'Autrui" - est amplifiée l'énergie correspondante et ce qui en découle dans notre vie comme co-créateur dans la matière de ce que nous vibrons !

* Cf. Le féminin séquestré.

Cf. Le cheminement de l’Âme.

*³ Les cellules-souche se trouvent tout particulièrement dans la moelle osseuse, l'ombilic (le nombril) et le sang des menstrues. Elles sont illustrées dans le processus de création biblique à travers la ponction de quelques cellules de la côte d'Adam que Dieu utilise pour créer Eve, en l'occurrence le dieu An pour créer le "nouvel Adam", l'Homo-Sapiens puis le Sapiens-Sapiens. Cf. Le Judaïsme décodé.

 

Le vortex, un des nombreux "secrets" de la planète

Il y a beaucoup d'endroits mystérieux similaires à des vortex, ces mouvements énergétiques spiralés (énergie faible) censés modifier le continuum espace-temps et constituer une fenêtre inter-dimensionnelle : Santa Cruz Mountains ou Gravity Hill en Pennsylvanie, Hungry Horse dans le Montana, Mont Shasta en Californie et Gold Hill dans l'Oregon aux États-Unis ; le mont Bugarach* dans l'Aude (photo 1), le mont Saint Odile dans le Bas-Rhin et l’église des réformés (Saint Vincent de Paul) à Marseille (photo 2) en France, sans oublier le mythique triangle des Bermudes (image 3) et tant d'autres. Quelques-uns de ces vortex sont célèbres pour les anomalies de leur champ gravitationnel, comme par exemple le vortex de l'Oregon et le vortex de Marysburgh aux États-Unis, dont le diamètre des colonnes a été mesuré à environ 300 m et la hauteur à plusieurs km.
Les grands vortex de la Terre sont le cratère du Pingualuit au Québec, le Lac Baïkal en Mongolie (surnommé la mer sacrée), la Cathédrale de Chartres en France, le Palais du Potala au Tibet, le lac Loch More dans le Nord-Ouest de l'Écosse, les mégalithes de Callanish ou Calanais dans les Hébrides en Écosse, le lac Buffalo en Alberta au Canada (il est le centre d'une roue de médecine des amérindiens), le point 13 en bordure de l'Himalaya en Chine, les pyramides de Xian dans la province de Shaanxi en Chine centrale, le point 12 au Nord de Karachi au Pakistan, le point 47 proche de l'île de Pâques (célèbre pour ses énigmatiques statues de géants).

Ils ont tous quelque chose en commun, attendant une approche scientifique sérieuse qui pour le moment n'existe pas, ou serait " balbutiante ", probablement peu explorée car abordant des sujets trop sensibles que les gouvernements ne veulent pas révéler, tels que des renseignements sur les vols des OVNIs. Un autre endroit curieux est Coral Castle en Floride (USA). Il a été créé et habité un temps par un homme nommé Edward Leedskalnin, architecte et sculpteur né en 1887 en Lettonie et mort en 1951 en Floride. De petit poids (40 kg environ), il a manié, découpé, déplacé, sculpté des blocs de pierre dont le poids peut atteindre une tonne. En 28 ans, la nuit, seul à l'abri des regards, il a bâti une sorte de château. Il est possible qu'il ait eu recours à l'antigravité ou à l'utilisation d'ondes sonores, car il a déclaré qu'il avait percé le secret de la construction des pyramides égyptiennes. D'aucuns pensent que cela a été possible, Leedskalnin ayant choisi de s'installer sur un vortex.

Présentés comme des lieux de ressourcement, de magnétisme, de quête alchimique, ils pourraient constituer par leurs positionnement et spécificité telluriques des portails vers d’autres dimensions reliant les forces terrestres souterraines à d'autres dimensions de réalité établies sur un niveau de fréquence vibratoire supérieur. Est-ce une raison pour laquelle on y retrouve très souvent nombre de vestiges archéologiques ? En tout cas, ils pourraient expliquer pour de nombreux chercheurs de vérité nombre de disparitions inexpliquées (bateaux*², avions, milliers de personnes) à travers le monde chaque année, et ce depuis des millénaires (dinosaures, l’armée perse du roi Cambyse II il y a plus de 2 500 ans, une armée perse comptant plus de 50.000 soldats dans le désert égyptien en 524 ans avant J-C, des civilisations entières), et ce sans laisser aucunes traces, comme envolées ! De même, ils seraient constitutifs en cette fin de cyclicité civilisationnelle de l'émergence de la Nouvelle Terre*³ ...

* Ce n'est pas forcément le mont qui constitue un portail interdimensionnel, mais un lieu situé à sa proximité. Ainsi le lieu-dit "Serbaïrou" et son dé de dolmen (photo 4), non loin de Bugarach et de Rennes-le-Château, plus exactement sur les hauteurs de Rennes-les-Bains. Ce nom fait d'ailleurs penser à Cerbère, le chien à trois têtes qui dans la mythologie grecque garde l’entrée des Enfers …

Selon les rapports des agences de transports et d'assurance établis pendant l'époque des goélettes et des premiers voyages par bateau à vapeur, les 2/3 des naufrages sur le Lac Ontario se sont produits dans la zone du vortex. On peut citer les naufrages du Quinlanwith en 1883, du Bavaria en 1889, du George A. Marsh en 1917, du Star of Suez en 1964. D'autres accidents sont des disparitions pures et simples de bateaux avec leur équipage, souvent associées à la présence d'un brouillard inhabituel, telles que produites dans la zone du  triangle des Bermudes.

*³ Cf. Fin de cycle (1) Fin du temps ou fin des temps ?

 

Les ondes scalaires seraient-elles les oubliées de la "science" ?

L'ingénieur et inventeur français Dominique Moret* (photo 1), spécialiste des antennes relai, s'est interrogé sur la polarité horizontale vs. verticale (Cf. schéma ci-dessous). Il a ainsi constaté par ses expériences des effets contraires à la physique conventionnelle, comme fabriquer de la matière avec peu d’énergie, obtenir de l’eau solide à température ambiante, modifier la tension superficielle de l’eau et obtenir un liquide noir qui pénètre même le caoutchouc, etc. C'est pourquoi il a repensé complètement l'approche physique à partir d'un autre modèle, ayant pour objectif et intérêt d’inclure ces phénomènes et les expliquer, dont le paranormal, les ovnis, les orbes (phénomène optique représenté par des taches blanches ou blanchâtres, souvent transparentes, de taille variable et de forme circulaire qui apparaissent parfois sur les photos), certains crop circles (vaste motif ou ensemble de motifs géométriques réalisé dans un champ de céréales, généralement de blé, par flexion ou flétrissure des épis), le métal hydrogène (eau noire) chez les alchimistes. Il s'est appuyé pour ce faire sur la théorie du docteur en physique controversé Jean-Marc Roeder en 2004 (photo 2), l’holodynamique quantique, qu’il considère comme une base solide de compréhension de ces phénomènes. Autant dire qu'ils sont tous les deux décriés sinon "pestiférés" par une grande partie du mainstream orthodoxe...

Leur théorie repose sur le fait qu'il existe un milieu propagatif, que d'aucuns appellent l’éther. Dans cette "holodynamique quantique" se trouvent les "élastons", des corps sphériques extrêmement élastiques qui permettent de transmettre des vibrations entre émetteur (être humain, forme) et récepteur (le champ de conscience de l'univers à travers ses différentes dimensions)… Tant les ondes électromagnétiques que ces corps sont les constituants de ce qu’on appelle l’espace-temps au sein de notre galaxie solaire d'appartenance, mais sont aussi les constituants de la matière si on les comprime. Et c'est cette compression qui est permise par les ondes scalaires, leur donnant la capacité à agir de cette façon-là sur le milieu. Lorsque l’élaston est suffisamment comprimé, il apparaît sous forme de matière dans notre univers. Ce n’est donc pas de l’énergie, mais un corps superfluide qui permet des transmissions d’informations à grande vitesse. Comme il est à la fois petit et très élastique, il n'y a pas moyen de le percevoir, puisque se situant dans le milieu où se propagent les ondes électromagnétiques. Par la compression émise, il acquiert du temps, et comme celui-ci s’accélère localement, l’élaston devient de la matière. Ceci permet de comprendre que la matière se crée en permanence et que la matière se "décrée" en permanence, et ce grâce aux émissions scalaires tous azimuts, partout.

Dominique Moret explique de cette manière les découvertes et travaux de l'ingénieur en électromagnétique Nikola Tesla (1856/1943 - photo 3), de l'inventeur en appareils de médecine alternative biélorusse Georges Lakhovsky (1869/1942 - photo 4), du technicien italien Antoine Prioré (1912/1983 - photo 5) fabricant de machines à traiter le cancer tombées depuis dans l'oubli, du psychiatre autrichien Wilhelm Reich (1897/1957 - photo 6)… tous utilisant les ondes électromagnétiques en polarité horizontale avec un champ magnétique à la surface de la terre qui dépolarise les ondes radios. De ce fait, toutes les ondes électromagnétiques qui sont émises de tout l’univers sont repolarisées en polarité horizontale. Là encore, tous ces chercheurs et inventeurs ont subi tout au long de leur carrière nombre de pressions et de discrédits. Il ne fait décidément pas bon d'aller à l'encontre des croyances et certitudes établies, celles servant le système prédateur par les enjeux financiers constitués comme par la destruction de la relation harmonieuse des êtres humains au vivant.

En effet, c’est bien le champ magnétique qui guérit, comme attesté dans les lieux où il est plus important. Inversement quand il est peu important dans les lieux, il rend malade. Ne pouvant dépolariser les ondes électromagnétiques, les polarités verticales (électriques) perturbent l’eau du corps et des pathologies apparaissent, ou permettent à l’eau de monter dans les murs et d’endommager un bâtiment. Nous pouvons ainsi comprendre le risque de nocivité des ondes de portables, wifi, etc... , qui sont en polarité verticale et qui ne peuvent être repolarisées par le champ magnétique ! Elles abaissent inévitablement la vitalité de tous les organismes, en dépit des dénégations du corpus scientifique inféodé aux intérêts des lobbys industriels. Comme il ne s'agit nullement d'un hasard, c’est bien une intention manifeste qui y prévaut... Car si les antennes-relais étaient en polarité horizontale, elles pourraient émettre deux fois plus loin, ce qui conduirait à installer quatre fois moins d’antennes. Seulement, on "soignerait" l’ensemble d’une population… ce qui visiblement ne correspond pas à l'objectif du système !

* Il a déposé toutes ses découvertes au salon de l’invention où il a été primé 22 fois (concours Lépine) pour des appareils comme le médaillon de thérapie par électromagnétisme pulsé, le système Isande et le correcteur d’environnement.

 

Schéma du mécanisme de polarisation des ondes - Source : Ibrahim Karim
Schéma du mécanisme de polarisation des ondes - Source : Ibrahim Karim

Le danger des ondes électro-magnétiques utilisées dans la société

Il est faux de dire que les ondes non-ionisantes, comme les ondes radio, sont sans danger. C'est en effet omettre que sur le plan subtil, il y a des changements dans la qualité de l’effet sur les systèmes vivants d’énergie. L'exposition continue à ces ondes non-ionisantes, dont la "qualité" est similaire à celle des rayons X, a indéniablement un impact sur la santé*, même s'il est plus difficilement décelable que pour les ondes ionisantes. Notre système immunitaire est lentement mais sûrement annihilé. Ainsi l'expérimentation d'une chambre de Faraday spécialement construite pour arrêter les ondes électromagnétiques par le géobiologue Stéphane Cardinaux a démontré qu'à l'intérieur les réseaux étaient très clairement perceptibles, avec les mains et audibles avec le Sonotest. Les réseaux ne seraient pas de nature électromagnétique.

En comparant deux zones neutres, l’une dans la chambre et l’autre à l’extérieur pour déterminer l’impact de la pollution électromagnétique ambiance ("electrosmog"), la différence est de 30%. Ceci veut dire que notre énergie serait d’un tiers plus élevée si nous ne subissions pas cette pollution ... Les valeurs correspondent à la banlieue de Fribourg, donc sans comparaison avec ce que certains subissent dans une grande ville. »

Le manque de culture du public à la matérialité des ondes a une conséquence directe sur le manque de précaution de chacun, puisque nous sommes inconsciemment programmé à croire que n’existe que ce que nous ressentons. Le téléphone mobile et les lignes à haute tension sont une pollution électromagnétique dangereuse. Si nos yeux ne la voient pas, notre corps encaisse ces effets*². D'ailleurs, les assurances ne prennent plus en charge les problèmes de santé liés à la téléphonie mobile, et de ce fait c’est la société qui paie. Les médecins en connaissent les risques, tout comme les scientifiques et les politiques, tous tenus à l'immobilité par la force des lobbys industriels constitués. Or la problématique de santé publique liée à la téléphonie mobile est pourtant simple. Il suffirait de baisser la puissance des antennes relais à une valeur de champs électromagnétique de 0,6 volts par mètre comme le préconise la majorité des scientifiques. Mais pour cela les opérateurs devraient multiplier les antennes relais. C'est le cœur du problème. Avec le programme d’études international "Interphone" et après le Danemark, la Finlande, la Norvège, la Suède, et la Grande-Bretagne, la France corrobore le risque cancéreux pour les gros utilisateurs de téléphone mobile. A partir de 20 mn par jour seulement, nous sommes déjà considérés comme gros consommateurs. C'est-à-dire 2mn par heure !

Quant aux lignes électriques à haute tension, le rapport d’août 2007 de l’expert en Santé Publique le Dr. David Carpenter, Directeur à l’Institut pour la Santé et l’Environnement à l’Université d’Albany, New York, dit que l’exposition à long terme à quelconques Types de CEMs (Champs Électromagnétiques) peut causer de graves effets sur la Santé (maladies cancéreuses et neurologiques). Pourtant, le gouvernement a demandé aux opérateurs de couvrir toute la France (décret sorti en mai 2002) à partir d’une directive européenne qui se réfère à l’ICNRIP et à l’OMS (Organisation Mondiale de la Santé), et donnant des valeurs maxima à ne pas dépasser. Cette directive laissait le libre choix aux Etats membres d’appliquer leurs propres normes, raison pour laquelle les valeurs sont différentes dans certains pays comme l’Italie, la Suisse, la Belgique, où les valeurs de champs électrique à ne pas dépasser sont beaucoup plus basses qu'en France. Si à la suite du Grenelle de l’environnement des propositions de textes législatifs sont en cours pour réduire les pollutions, il n'y a toujours pas de loi !

* Cf.  Les troubles constatés vont des céphalées, nausées, somnolence et troubles du sommeil et de la concentration, état d’épuisement et crampes musculaires, fatigue chronique, hyperesthésie cutanée au niveau des avant-bras, troubles de la circulation, baisse importante de la vision et fatigue oculaire, stress, anémie, tachycardie, à des troubles cardiaques médicalement reconnus, alors que l'état de santé s’améliore lorsque les individus touchés s’éloignent de leur maison, lors de vacances notamment. Ils sont également constatés alors même que ces individus n’utilisent de téléphone portable.

Le programme de recherche européen "Reflex" a montré le grand risque d’incidence des ondes sur l’ADN. Une équipe de scientifiques américains, à Chicago, a quant à elle publié en août 2005 des résultats affirmant que l’exposition de cellules humaines aux micro-ondes de téléphonie mobile induisait une modification dans l’expression de nombreux gènes et le cycle cellulaire.

Cf. travaux relatés dans "Géométries sacrées" vol. 1.

 

Accélérateur mortifère

Comme la plupart des virus, le nommé Sars-CoV-2 et Covid-19 par l'Organisation Mondiale de la Santé (OMS) pour la maladie qu'il entraîne provient des poussières cométaires, pénétrant dans le champ terrestre via les portails trans-dimensionnels répartis dans différents points précis du globe. Toutefois, il ne devient pathogène qu'avec le déploiement de la technologie numérique sans fil 4 et 5-G, procédé tant biologique qu'électromagnétique qui devient ravageur lorsqu'ils sont associés. Forme-pensée comme tout élément constitutif du Vivant, le grand rêve psychique constitutif de Ce Qui Est*, un virus est de ce fait à considérer avant tout comme un vecteur de changement. En effet, dans la mesure où il se greffe à l'ADN, il offre la possibilité d'une mutation génétique "bénéfique" à l'évolution de conscience humaine, et ce à partir du moment où l'individu contaminé "accepte d'accueillir" cette mutation comme quelque chose de bénéfique ! Le virus chinois n'est donc dangereux que pour celui qui ne l'intègre pas comme une possibilité de mutation, et qui lutte contre lui, d'autant plus sous l'effet de la peur. Et il devient encore plus dangereux par sa synergie avec les fréquences de 3600-3800 MHz propres à la technologie de la 5-G, qui plus est associées aux adjuvants contenus dans les "vaccins saisonniers" et aux fréquences qui affaiblissent l'immunité des "individus ordinaires" inconscients des effets de ces ondes. La technologie 4G comme 5G n'est pas seulement responsable de la chute de l'immunité chez l'humain, elle l'est pour l'ensemble du vivant. Elle a pour objectif de bloquer tout le processus épigénétique du monde vivant de 3ème densité de conscience.

* Cf. Le Jeu de la Vie.

 

L'élévation naturelle de la moyenne des taux vibratoires

 

Sous l’influence des vents solaires, tout ce qui vibre sur la planète aujourd’hui voit son Taux Vibratoire (T.V.) augmenter fortement depuis quelques dizaines d'années, jusqu’à changer bientôt de catégorie dimensionnelle. Voici révélée la vraie raison, inavouable par les autorités, du réchauffement climatique avant que de partir vers une ère de glaciation une fois cette ouverture de l'espace-temps refermée*.

Nous sommes ainsi en train de passer en 4ème dimension, voire rapidement en 5ème dimension pour celles et ceux ayant réussi leur processus de transformation de conscience*². La conséquence est dramatique pour les entités et cadres de la pyramide prédatrice qui administrent la planète terrestre depuis des centaines de milliers d’années. Même s’ils bénéficient de l'immortalité par mue pour les degrés les plus hauts de la pyramide, ils ne possèdent pas la capacité biologique naturelle de suivre cette élévation vibratoire au delà de la 3ème dimension, soit 100.000 unités Bovis (UB) ou Angström (UA).

* Cf. Vérité climatique.

Cf. Le cheminement de l’Âme & Fin de cycle (2) la guidance éclairée de sa vie.

 

Le Taux Vibratoire de l'être humain

Il n’est pas facile de définir exactement ce qu'est le taux vibratoire d'un individu dans la mesure où tout étant énergie, la matière n’est qu’une sorte d’ultime concentration de l’énergie. On peut à cet effet remarquer que toute matière ne possède pas la même dureté, la même masse, donc la même "concentration" d’énergie.  L’énergie se transmet et se mesure en "vibrations". Ainsi les sons et la lumière se transmettent par des vibrations qui leur sont propres. Le Taux Vibratoire est la mesure de la qualité de cette énergie structurelle. Elle se mesure grâce au biomètre de Bovis *, qui par ses unités dites "UB", s’applique absolument à tout : objets physiques inanimés, êtres vivants (plantes, animaux, êtres humains). Selon l’endroit où les mesures sont prises, de très grandes variations de taux vibratoires allant de Taux négatifs très bas à des Taux extrêmement élevés. Si les êtres humains sont en général entre 6000 et 9000 U.B., certaines personnes, dont le style de vie physique et spirituel est en adéquation avec les grandes valeurs humaines et universelles, ont largement dépassé les 100.000 U.B., constitutifs des limites de la 3ème dimension de réalité. Les lieux sacrés dépassent quant à eux les 500 ou 600.000 U.B (en Égypte, des mesures sur la pyramide de Louxor ont donné des mesures allant de 28 à 30.000 unités). Ces mesures sont menées à partir du "cadran de Bovis", qui permet de mesurer trois plans vibratoires :  le physique, qui va de 0 à 10.000 unités, pour l’intensité d’un lieu dont la vibration a un effet sur le physique de l’être humain ; l'énergétique ou corps éthérique, qui va de 11.000 à 13.500 unités ; le domaine spirituel, mesuré dans les lieux sacrés *². Il va sans dire que cette mesure n'est pas reconnue sur le plan scientifique.

* Même si un doute subsiste sur son véritable prénom, Jacques Bovis (1871/1947) est un radiesthésiste géobiologue, concepteur de l'échelle éponyme de mesure du taux vibratoire d'un lieu ou d'une personne. L’unité "angström" (UA) fut quant à elle nommée ainsi en l’honneur du physicien suédois Anders Jonas Angström (1814/1874), l’un des inventeurs de la spectroscopie ou spectrométrie, pour désigner l'étude expérimentale du spectre d'un phénomène physique. On analyse par spectroscopie non seulement la lumière visible, mais aussi le rayonnement électromagnétique dans toutes les gammes de fréquences, les ondes élastiques comme le son ou les ondes sismiques, ou encore des particules ou des masses.

Il est nécessaire de comprendre que quasiment tous les lieux sacrés sont dépolarisés, et de ce fait ne peuvent assurer une fréquence vibratoire élevée. Aussi est-il nécessaire de procéder selon un protocole spécifique à leur repolarisation (Cf. Chapitre suivant Lieux de pouvoir spirituel).

 

Chaque espèce vivante, minérale, animale, humaine ou même supra-humaine présente une fréquence vibratoire de base propre à son espèce :

. Les minéraux ont un T.V. harmonisé avec celui du sol sur lequel ils se trouvent, sauf les cristaux programmés. Celui-ci, en fonction de son élévation, peut leur conférer un caractère sacré, comme par exemple "Giant Rock", rocher géant autoportant situé dans le désert de Mojave en Californie, et censé être le plus grand rocher libre au monde (il couvre 5800 pieds carrés de terrain et mesure sept étages).

. Les plantes présentent un cas particulier, car les T.V. sont différents suivant les espèces. Pour les arbres, surtout les "espèces nobles", les grands arbres, les T.V. évoluent au fur et à mesure de leur évolution et du sol. De grands et vieux arbres, tels des chênes, cèdres, oliviers, vieux de plusieurs siècles, peuvent avoir des T.V. dépassant les 100.000 UA. Leur force thérapeutique et chamanique est en rapport.

. Les bovins "vibrent" aux alentours de 4.000 UA, les carnivores non "urbanisés" aux alentours de 12 à 16.000 UA, les chevaux de 18 à 27.000 UA, les oiseaux au-dessus de 27.000 UA.

. Les êtres humains sont en général entre 6.000 et 9.000 UA.  

Notre planète présente, selon l'endroit où les mesures sont prises, de très grandes variations de T.V., allant de Taux négatifs très bas, à des Taux extrêmement élevés, selon la pollution par exemple ou les drames dont ils ont été le théâtre. L'absolue totalité de la Terre est parcourue par des réseaux de "canaux" énergétiques, allant de la "résille" de base (3 à 4 cm de largeur au centre, régulièrement espacés de 8 à 12 cm) soit une résille croisée qui couvre la totalité de la surface et présente un Taux Vibratoire constant et régulier allant de 6.000 à 9.000 UA jusqu'aux grands réseaux cosmiques ou " réseaux sacrés " dont certains dépassent les 5 ou 600.000 U.A., en passant par toute la gamme des réseaux Hartmann, Curry et autres (Cf. chapitre suivant).

 

La mesure de la conscience

 

Le bio-énergéticien suisse Stéphane Cardinaux a conçu une mesure de la conscience par une fréquence de résonance qui se mesure en plaçant une bobine émettant un champ magnétique près du champ vital d'un individu, et en la faisant varier sur une plage de 10 à 60 Hz (à 400 nT*). Ce concept existe dans d'autres approches anglo-saxonnes, baptisé FRV (Vibration de la Fréquence de Résonance). Après des mesures sur 100 personnes, on obtient une courbe de Gauss. La fréquence de résonance des personnes varie peu dans le temps. Elle indique le "potentiel de conscience" de quelqu’un, étant toujours limitée par le système de croyance (ex : vision négative de soi), dans la mesure où les limites mentales, le manque d’intégration et le non-amour de soi-même ouvrent des portes aux attaques de formes-pensées prédatrices.

Les changements drastiques dans la vie, au niveau mental, émotionnel et psychique, sont symptomatiques d’un changement de la fréquence de résonance, provoquant par exemple un désintéressement envers ses précédentes occupations. Mais ses modulations peuvent être aussi altérées ou modifiées de l’extérieur si l’on n’est pas assez prudent, lors d’attaques ciblées par des moyens techniques comme psychiques*². Cela implique la détection de la "signature" atomique de la structure cellulaire d’un individu. 

Cette mesure rejoint les mesures effectuées par nombre de scientifiques tel le professeur Boguslaw Lipinski de l'Université de Boston (Cf. livre paru en 2011 Significance of Free Radical-Modified Fibrinogen in Thrombosis & Related Diseases) quant à la radioactivité faible émise sur des lieux sacrés (ainsi le site de Medjugorge en Bosnie-Herzégovine en matière d'apparitions mariales) par la foule de pèlerins s'adonnant à la prière. La pensée est bel et bien constitutive d'un effet sur la matière !*³

* nT est unité de mesure d'induction magnétique du Système international (SI).

Il y a trois types d’entités dans le bas-astral susceptibles de procéder à des attaques de notre fréquence de résonance : les défunts auxquels nous restons "accrochés", les parasites astraux (sortes de bêtes qui s’accrochent à une zone du corps et créent une perturbation détectable avec la main de type froid, picotements… : kyste astral, méduse astrale, oursin astral…) et les entités non-humaines (le corpus prédateur de 4ème dimension).

*³ Cf. Esprit global.

 

Fréquence de résonance de la population

Plus la fréquence est élevée et plus le champ vital est grand. Les statistiques montrent 3 ou 4 pics dans la population, considérés comme des "paliers" de conscience constitutifs de différentes problématiques :

Vers 15 Hz : souffrir de ne pouvoir faire

Vers 23 Hz : apprendre et faire

Vers 33 Hz : expérimenter et faire

Vers 43 Hz : expérimenter et être

Vers 53 Hz : être et initier les autres

Vers 63 Hz : souffrir de ne pouvoir être

Les personnes qui ont la même fréquence (+/- 1 Hz) ont l’impression d’être sur la même longueur d’onde. Une différence de plus de 10 Hz produit une séparation dans un couple. En effet, changer de fréquence, c’est changer de paradigme. Les intérêts comme les activités évoluent et les activités aussi. Il y a une diminution de 1 Hz tous les trois ans s’il n’y a pas de prise de conscience augmentant la fréquence de résonance.

 

Statistiques sur la fréquence de résonance du champ vital
Statistiques sur la fréquence de résonance du champ vital

La durée des cycles de vie varie selon la fréquence de résonance, correspondant aux chakras, soit 7 cycles, qui ont aussi leur fréquence de résonance, celle-ci agissant par l'épigénétique sur l'ADN. Entre un cycle à un autre, il y a aussi généralement un changement de vie. On peut ainsi dater précisément les évènements de la vie d’une personne.

30 Hz : cycle de 5 ans : 7×5 = 35 ans, puis à 70 ans…

40 Hz : cycle de 3 ans : 7×3 = 21 ans, puis à 42 ans, 63 ans, 84 ans…

50 Hz : cycle de 1 an : 7×1 = 7 ans, puis à 14, 21, 28, 35, 42, 49, 56, 63, 70, 77 ans…

Si l’on remarque qu’un chakra est perturbé (petit), c’est qu’il y a eu un problème dans le cycle correspondant. Les problèmes se répercutent sur le chakra du cycle qui lui correspond. On peut déterminer à quel endroit se trouve l’énergie. S’il y a un blocage au niveau où se trouve l’énergie, apparaissent alors des fuites et des douleurs (ex : douleurs dorsales).

 

Fréquence de résonance des centres énergétiques (chakras)

Pour déterminer la fréquence de résonance des chakras, on place la bobine sur le chakra en cherchant la "résonance fondamentale", celle-ci changeant selon les chakras. La fréquence de résonance du 1er chakra est égale à la fréquence de Schumann (fréquence de résonance de la Terre, soit de 300 à 30 Hz). Les fréquences de résonance des chakras suivent les lois de la nature (rapports musicaux de la gamme naturelle), sur une plage de 3 octaves. Les moyennes mesurées selon les chakras sont : 1er à 120 Hz, 2e à 130 Hz, 3e à 150 Hz - pomme à 170 Hz, 4e à 185 Hz - turquoise à 260 Hz, 5e à 350, 6e à 600 Hz, 7e à 850 Hz.

 

Le temps est une illusion. Il devient subjectif dans l’astral même s’il est mesurable dans le physique. Aussi, lorsque la conscience fait taire le mental et accède au non-temps, toute la réalité devient une vaste illusion où chaque chose, chaque événement prennent l’allure d’un signe pour qui sait l’interpréter. Le passé, le présent et le futur ne forment plus qu’un, les causes créant des effets et les effets des causes. Tout se superpose et c’est très dur pour notre mental habitué à tout classer. Le hasard n’existe pas, tout est synchronicité. Si tout est inscrit à l’avance (futurs possibles du champ astral limité), cependant tout peut être changé à chaque instant (le maintenant) de par son extraction au temps limité*. Dans ce contexte, les notions de salut, de réincarnation, de vie éternelle prennent un tout autre sens. Comme le monde se crée en permanence, nous nous incarnons sans cesse. Tout dépend alors de la dimension de réalité à laquelle nous accédons par notre état de conscience. Le salut est bel et bien dans l’ici et maintenant.

* La falsification de la réalité en 3-D & Fin de cycle (2) La guidance éclairée de sa vie.

L'ouverture de conscience et l'accès à ce champ d'information universel supra-astral expliquent l'impossibilité pour les médiums et les voyants de prédire le "futur" d'un individu, celui-ci ayant la possibilité de le modifier. Leurs perceptions se limitent au champ de l'astral, soit le champ de programmation (la Matrice asservissante) des "robots biologiques" qui représentent la plus grande part de l'humanité et dont la destinée est déjà connue en dépit de l'illusion du libre arbitre. C'est pourquoi tous ces prétendus thérapeutes de l'humain, en connexion soi-disant avec des êtres de lumière (archanges, anges, maîtres ascensionnés, le Christ, la Vierge...) sont à éviter. Ils ne sont que les relais illusionnés du système prédateur, même nourris des meilleures intentions pour leur prochain. Ils ne peuvent en aucune façon permettre à l'être humain sa libération de la Matrice, simplement le rassurer quant à son statut d'esclave (même doré) dans le système prédateur. Le seul voyant de notre destinée c'est nous-même, pour peu que nous décidions à en devenir responsable à part entière !

 

Alignement

Deux polarisations sont possibles : l’intelligence peut être mise au service de l’ego (mode "Service de Soi") - chakras 6/3 - ou du cœur (orientation en mode " Service d'Autrui ") - chakras 7/4/1. 

Le 6 (mental) avec le 3 (corps, égo, moi) forme un cercle vicieux. Entre le 6 et 3, le cœur au milieu est fermé.

En ajoutant à ce schéma le 4 (cœur) entouré du turquoise (acceptation de soi) et du pomme (estime de soi), le cercle qui se relie au 7 (sens de la vie) et au 1 (réalité de la vie) est redressé. C’est l’alignement.

Le mode 6/3/1 forme une séparation avec l’extérieur, une mentalité de combat, de compétition, où la peur est omniprésente (esprit de possession). Le cœur s’assèche. La confrontation avec la mort, au sens virtuel comme réel, produit un changement et peut permettre au cœur d’être écouté. Cela augmente l’empathie.

Avec le 7/4/1, il y a une cohérence entre les pensées et les actes. Il y a une unité des plans de conscience, une reliance. Le passage du schéma 6/3/1 au schéma 7/4/1 est l’équivalent d’une "mort à soi-même", d’un parcours initiatique.

Cf. Travaux de Stéphane Cardinaux.

 


Lieux de pouvoir spirituel

Selon l'étude menée par la personnalité politique allemande Blanche Merz (1919/2002 - photo) et rapportée dans son ouvrage Hauts-Lieux cosmo-telluriques, les lieux de "pouvoir spirituel" se trouvent au-dessus de croisements de cours d’eau souterrain, "qui créent une sorte de vortex ou portail qui se connecte à la dimension considérée comme spirituelle - celle du "ciel" - et confère ses qualités à l’énergie du vortex sur le plan spatiotemporel. Cela produit une qualité d’énergie spirituelle qui est ralentie à une vitesse que nous ne pouvons percevoir."

Ceci explique que la plupart des églises, temples et cathédrales sont établis au-dessus d'une source d'eau (Chartres, Lourdes, le puits de Zamzam à la Mecque, etc.). De leur côté, Chaumery et Bélizal (voir précédemment) ont déterminé que sur ces points, on retrouvait une énergie puissante (à la fois horizontale-magnétique et verticale-électrique) nommée Vert Négatif. Cette énergie a des caractéristiques d’une onde porteuse.

A l’exemple du soleil et de la terre, tout le spectre des couleurs se retrouvera selon l’inclinaison des rayons sur la partie éclairée, l’espace qui se trouve exactement de l’autre côté du soleil étant porteur quant à lui du "Vert Négatif". Dans cet espace, seule l’énergie qui a pu pénétrer le globe sera présente. Les ondes ayant un aspect horizontal et vertical (magnétique et électrique), c'est la raison pour laquelle certains points guérissent et d’autres rendent malade, l’aspect vertical du Vert Négatif présent perturbant l’énergie de nos cellules s'il n'est pas circonscrit.

Cette nature physique de l'énergie  de ces lieux est électromagnétique, avec des intensités magnétiques plus élevées que l'entourage "classique", effets secondaires d'un phénomène additionnel plus profond de nature électrique qui reste à préciser (de la même manière, le champ magnétique terrestre et le champ électrique terrestre sont modifiés chaque fois que des courants électriques additionnels sont présents l'eau en mouvement - cascades, pluie, ressac des vagues -, les tensions tectoniques, la friction des roches, l'activité des volcans, le vent, les métaux - fer, or, cuivre - les gisements de cristaux minéraux contenant du quartz).

Compte-tenu de la présence de nombre de pèlerins venant s'y recueillir et prier, et de l'effet de l'esprit sur la matière*, l'énergie psychique (et spirituelle) dégagée par la qualité de la prière collective est considérable, ayant été mesurée au moyen d'électroscope par des scientifiques tel le professeur Boguslaw Lipinski de l’université de Boston à des niveaux comparables à de la radioactivité (100000 milligrades par heure par exemple sur le site marial de Medjugorje en Bosnie-Herzégovine)*². Ces lieux sont incontestablement à même de fabriquer par l'état de croyance et de méditation profondes de puissants égrégores (ou vortex énergétiques), destinés à nourrir les besoins des Intelligences inter-dimensionnelles qui nous gouvernent, avec encore plus d'intensité que les arènes sportives y compris lorsque celles-ci sont enfiévrées et hystérisées (salles de hockey sur glace par exemple) !

* Cf. Esprit global.

Voir également travaux du professeur Henri Joyeux et de l'abbé René Laurentin (1917/2017) dans leur livre "Études médicales et scientifiques sur les apparitions de Medjugorge".

 

Une ligne droite de l'Irlande à Israël traverse des sites consacrés à Saint-Michel et Apollon - Cliquer pour agrandir
Une ligne droite de l'Irlande à Israël traverse des sites consacrés à Saint-Michel et Apollon - Cliquer pour agrandir

La grille énergétique terrestre

Le système des circuits énergétiques vitaux de la Terre ne découle pas du hasard, constitutif d’un réseau de lignes géométriques précises sur lesquelles se positionnent des lieux sacrés partout sur la planète (mégalithes, monuments, ouvrages de terre, lieux de cérémonie). S’il est établi depuis les années 1930 (attribué au photographe anglais Alfred Watkins, auteur en 1925 de The Old Straight Track), les peuples anciens en détenaient la connaissance pour l'avoir imprimée dans le paysage, perpétuée par leurs ancêtres tels les indigènes actuels d'Australie (Aborigènes), d'Amérique du Sud (descendants des Incas ou des Nazcas au Pérou ou les Kogis héritiers des Mayas de Colombie par exemple), ou encore les pratiques de Feng Shui chinoises. Les premiers écrits quant à eux remontent à la période romaine.

Ces lignes de force énergétique sont nommées lignes de ley. Elles ont pour jalons des éléments soit naturels, soit construits de main d'homme - lieux liés à l'eau (mares, sources, puits), tumulus, dolmens, menhirs, cromlechs (cercles de pierres), cercles et ouvrages de terre, monts (ainsi le St-Michael's Mount en Cornouailles), châteaux, églises, cathédrales collines de forme particulière -, dont l’existence remonte indéniablement aux temps dits préhistoriques. Leur croisement et entrecroisement assure la puissance de rayonnement de leur toile, tissu géométrique composé de triangles, quadrilatères et autres polygones (les triangles ont souvent leurs côtés égaux : isocèles ou équilatéraux). Dans certains cas, des sites sont situés sur des cercles concentriques autour d'un centre de rayonnement, dans d'autres endroits les leys sont parallèles sur plusieurs kilomètres. C’est ainsi qu’a été constaté l’alignement de sites sacrés dans toute l’Europe, au même titre que dans toutes les parties du globe terrestre.

L’astronomie joue un rôle important dans la conception de certains sites (ainsi Evora au Portugal, Xanten en Allemagne, Delphes en Grèce, la ligne St-Michel anglaise). C’est pourquoi le domaine de l'archéoastronomie, qui résulte de l'association de l'astronomie et de l'archéologie, permet de déterminer les connaissances et les représentations des anciens à partir des inscriptions qu'ils ont laissées dans leurs monuments, de nombreux sites archéologiques présentant un ou des axes orientés dans des directions précises généralement en rapport avec le soleil ou la lune (c’est le cas en France avec la grotte de Lascaux en Dordogne, le château cathare de Montségur, le site de Carnac, ou en Angleterre avec le site de Stonehenge). Si cette volonté de construire en rapport avec les astres présente l'intérêt de repérer des dates importantes de l'année et de de planifier les récoltes et les travaux agricoles en vue de la survie de la population, elle constitue aussi le moyen de célébrer et d’honorer les faux dieux – le corpus asservisseur de la 4ème dimension de densité -, constitutif des égrégores maintenant les consciences dans la léthargie.

Le rapport d'un site avec les constellations peut prendre d'autres aspects. Dans certains cas, le complexe mégalithique est bâti selon le plan d'une constellation, ses figures soulignées par les courbes du paysage, les collines, les routes et les cours d'eau représentant les signes du zodiaque, chacune d’entre elles étant située à l'emplacement approprié correspondant de la roue zodiacale. Et lorsque l’on sait que le Zodiaque de Denderah a été manipulé par la prêtrise païenne*, il n’y a aucun doute sur l’intention qui préside derrière…

Il apparait ainsi comme une évidence que les alignements de sites sacrés et les réseaux de lignes sont à l'origine de véritables conduits d'énergie, invisibles dans l'état ordinaire de conscience tout en pouvant être perçus dans des états de conscience élargie, en se tenant par exemple à côté ou contre la pierre d’un site ou monument sacré, ou par une approche radiesthésique qui n'est rien d'autre qu'une amplification des réactions corporelles. En relation avec le champ cosmique – celui de l’astral – à partir de courants magnétiques souterrains (les menhirs par exemple sont implantés sur le passage de courants d'eau souterrains ou sur une faille géologique), ils configurent la grille de la Matrice terrestre au sein de la Matrice astrale, caverne enfermante de l’être humain s’il ne se réveille pas à Qui Il Est vraiment en franchissant par les vortex (le trou de ver de l’astrophysique) généralement situés aux intersections de flux horizontaux majeurs les portes inter-dimensionnelles.

* Cf. Le modèle européen décodé (1) Un ADN impérial païen.

Cf. Travaux d’Alain Boudet, Dr en Sciences Physiques, auteur de "Le réseau énergétique" des lieux sacrés & du géologue et astronome amateur anglais John Michell (1933/2009) dans son livre "The View Over Atlantis" (1969).

 

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Le réseau énergétique planétaire

L'idée de l'existence d'une grille planétaire a émergé à peu près à la même époque en plusieurs endroits de la planète. Dès les années 1950, l’écrivain et ufologue français Aimé Michel (1919/1992) a proposé l'existence de lignes de force à la surface de la terre par son examen des apparitions signalées d'OVNIs en France en 1954. Dans son livre Mystérieux Objets Célestes (1958), il expose sa théorie de l'orthoténie (du grec orthoteneis signifiant en ligne droite) selon laquelle les apparitions d'OVNIs survenant dans la même période de 24 h sont localisées sur des lignes droites.

Avec l'appui de chercheurs réputés (David Saunders, Jacques Vallée), il étend ses observations aux USA et à d'autres pays (cinq autres vagues d'observations s'étaient succédé dans le monde, toutes plus ou moins semblables à la vague européenne), constatant que les lignes d'apparitions d'OVNIs sont des portions de grands cercles du globe terrestre. De leur côté, d’anciens pilotes aéronautiques tels l’anglais Tony Wedd (auteur de Skyways and Landmarks en 1961) ou le néo-zélandais Bruce Leonard Cathie (1930/2013), auteur de plusieurs ouvrages dont The Energy Grid ("La Grille énergétique" - 1990), avancent que les OVNIs se déplacent le long de lignes de force magnétiques qui relient les sites anciens, et ce avec une certaine régularité. Ils se placent sur un quadrillage nord-sud, est-ouest, la distance moyenne entre les lignes étant établie à 55,5955 km, soit 30 milles nautiques (un demi-degré). Ils en déduisent que les OVNIs utilisent ces lignes comme système de navigation, la division en 360° représentant la structure des lignes de force magnétiques qui forment un treillis qui couvre la planète entière.

Ce constat va être confirmé par d'autres investigations, comme celle résultant des travaux du biologiste américain Ivan Sanderson (1911/1973) qui met en évidence 12 zones d'anomalies équidistantes - des vortex - et disposées de façon régulière autour du globe. Deux d'entre elles sont les pôles, et les 10 autres zones sont réparties de part et d'autre de l'équateur (ainsi le Triangle des Bermudes ou la Mer du diable à l'est du Japon officiellement classée comme zone dangereuse).

Les résultats de Sanderson ont été repris et développés par un groupe de trois scientifiques russes: Nikolai Goncharov (historien), Valery Makarov (spécialiste en électronique), Vyacheslav Morozov (ingénieur en bâtiment). Ils ajoutent de nouveaux points sur la grille qui tiennent compte des activités électromagnétiques et thermiques - anomalies magnétiques et gravitationnelles, zones de fractures sismiques, crêtes de relief sous-marin, zones de climat extrême, vols d'oiseaux migrateurs, sites de cités antiques -, arrivant à un total de 62 points qui incluent les 12 lieux déjà identifiés par Sanderson. Ce réseau régulier montre qu'une structure géométrique est associée à la sphère terrestre, soit qu'elle lui soit superposée, soit qu'elle la sous-tend. Elle est l'empreinte visible d'une matrice d'énergie implantée dans la terre.

Goncharov, Makarov et Morozov s’étant aperçus que les lieux mis en évidence sont placés aux sommets de deux polyèdres, ils en ont déduit que la terre est un vaste cristal dont les triangles sont les faces d'un icosaèdre et les pentagones sont les faces d'un dodécaèdre. Ceux-ci sont les solides ou volumes de Platon, avec l'octaèdre, le tétraèdre, et le cube (fait de carrés), parties intégrantes des formes de la grille terrestre. Ils permettront l’établissement de la grille planétaire complète dite de Becker et Hagens du nom de ses concepteurs, le Dr William Becker et son épouse le Dr Bethe Hagens (Cf. image).

 

Aussi, compte-tenu des ondes scalaires, des formes peuvent agir sur cette énergie. C'est tout particulièrement le cas des pyramides, hémisphères et cônes, qui ont une configuration possédant une qualité d’énergie spéciale, en l'occurrence une qualité d’énergie de Vert Négatif émanant de leur base "tronquée" puisque coupée de son pendant. Le Vert Négatif dans ce cas irradie à la fois la constituante horizontale et verticale de la forme. De telles formes sont dangereuses car elles émettent une radiation très nocive. C'est la raison pour laquelle des formes que nous rencontrons couramment tous les jours peuvent être dangereuses si elles ne sont pas modifiées de manière adéquate*. Autrefois, les constructeurs connaissaient les propriétés de ces formes et pouvaient annuler les effets nuisibles de ces formes puissantes avec quelques ajustements mineurs. Mais est-ce encore le cas de nos jours ?

* Les objets avec des arêtes droites émettent des faisceaux convergeant avec effet de pointe, qui sont problématiques (ils sont appelés "flèches secrètes" en Feng Shui). Les objets pointus ont le même effet, déformant les couches du corps éthérique. Il vaut mieux avoir de ce fait des courbes que des angles, pour avoir moins d’ondes de forme négatives.

 

Travaux d'Ibrahim Karim
Travaux d'Ibrahim Karim

Maîtrise de la qualité de l'énergie

Comme dans la nature on retrouve à la fois les constituantes verticale et horizontale de l'électromagnétisme, il s’agit d’en annuler les effets nuisibles dans les formes, qui de ce fait sont attentatoires à notre harmonie. Il y a plusieurs façons d’annuler le Vert Négatif (negative en anglais) Vertical, comme dans le cas des formes en hémisphère (Cf. image) ou en pyramide par une ligne horizontale ou la création d'une rupture dans la courbe. En effet, parce que ce sont des formes coupées en deux, elles émettent du Vert Négatif vers leur base, soit de manière verticale. Une autre manière est d’indenter les faces - soit les mettre en retrait par rapport à la norme - comme pour la grande pyramide, qui de ce fait a huit faces au lieu de quatre.

C'est par la constituante verticale de la qualité d’énergie venant du ciel, nommée "Énergie Stellaire" en radiesthésie, qu'est neutralisé le Vert Négatif Vertical. Ainsi lever les mains au-dessus de la tête pendant un moment permet de capturer cette énergie et de nettoyer le corps de tout Vert Négatif Vertical, ce que nombre de praticiens énergéticiens font selon leurs protocoles.

 

Outre les cours d'eau souterrains et les formes bâties au-dessus (églises, temples ...), l'anthropologue et auteur états-unien Carlos Castaneda (1925/1998), notamment dans Histoires de pouvoir, explique que les "lieux de pouvoir spirituel" sont des endroits où un accès à d’autres dimensions de conscience est plus aisé. Son lieu attitré était naturel, se trouvant au sommet d’une colline. Il en signale d’autres, comme une falaise ou les grottes avec une ouverture à la base. Cela fait automatiquement penser aux grottes peintes, comme Lascaux, les hommes de la préhistoire considérant vraisemblablement leurs parois comme des "membranes" qui pouvaient ouvrir sur d’autres mondes, ceux de sages enseignants. La structure rocheuse d’une région engendre la vie intérieure, chaque type de roche ayant un effet sur le psychisme.

 

Les propriétés acoustiques des monuments anciens sont étudiées par l’archéoacoustique. Il a été déterminé que l’effet sur le cerveau est réel, l’association d’un lieu de pouvoir à un bâtiment produisant certaines fréquences selon la taille de la construction. Ainsi la Tour de Harran en Turquie (photo 1), les menhirs, les tours rondes d’Irlande, la présumée tour de Babel, les obélisques, les minarets, les clochers (qui ont une forme de pyramide comme les obélisques), agissent tous à ce niveau énergétique, comme une "flûte" dont la forme permet de canaliser l’énergie du Vert Négatif. Ce sont des condensateurs énergétiques, à l'instar du pilier égyptien djed assimilé à la colonne vertébrale d'Osiris (photo 8) ou de la croix cyclique basque d'Hendaye (photo 9) à qui l'alchimiste Fulcanelli attribue dans son ouvrage Le Mystère des Cathédrales (1926) le caractère de prophétie de la fin du Monde.

C'est aussi le cas avec la construction des villes, qui formaient comme un énorme cristal reliant les lieux de pouvoir terrestres et célestes. C'est ainsi que les constructions et les rues de grandes villes modernes comme Paris ou Washington, de villes modestes comme Rennes-les-Bains (Aude) ou Sedona (Arizona), ainsi que des villes antiques, sont placées sur le réseau de lignes d’énergie, les "ley lines"*, qui suivent par exemple les chemins de pèlerinage ou les routes romaines sur lesquelles marchaient les soldats. Ces lignes s’élèvent très haut dans le ciel, constitutives de "grilles atmosphériques". Les anciens monuments, comme les alignements mégalithiques de Bretagne et les pyramides égyptiennes, suivent exactement ces réseaux. C'est le cas de la mosquée du sultan Hassan construite en 1361 au Caire, calquée sur les grilles d’énergie jusqu’au moindre détail.

Qui plus est, les anciennes constructions utilisent également des "courants telluriques" considérés comme les vaisseaux sanguins de la terre, héritage des peuples ayant vénéré la Terre Mère*². Ils avaient établi leurs lieux sacrés sur des courants telluriques, les objets placés sur certains croisements pouvant de même harmoniser l’énergie des grilles atmosphériques grâce à leur qualité de matériau ou leur conception géométrique. En Occident, cette tradition se perdra avec la disparition des derniers druides (reconvertis dans les communautés monastiques) et la Grande Peste de 1350.

* Phénomènes qui combinent les propriétés des courants d'eau et des réseaux telluriques.

Les murs étaient placés sur les lignes des réseaux, et les colonnes sur les croisements des réseaux. Les bâtiments étaient ainsi empreints de l’énergie subtile harmonisante, qui, au-delà du bien-être et de la prospérité des habitants, joua un rôle majeur sur la conservation du bâtiment pendant des siècles et millénaires. L’origine de l’architecture orthogonale, carrée et rectangulaire était naturelle car les bâtiments étaient calqués sur les grilles du système d’énergie subtile de la terre. 

 

Des obélisques

Le terme obélisque vient du grec obeliskos qui signifie "broche à rôtir" ou "aiguille". Les obélisques sont des monuments monolithiques (constitués d’un seul bloc) relativement hauts qui étaient construits du temps de l’Égypte antique (photo 5). Ils prenaient une place importante dans l’architecture sacrée. Pour les Egyptiens en effet, le mot est benben, qui signifie "s'élever en brillant". Ils s'érigent vers le ciel, vers le Soleil, vers Rê.

Ils peuvent être divisés en trois parties : le piédestal, le fût et le pyramidion. Le premier élément était chargé d’assurer la stabilité de la structure une fois mise en place. Le corps du monument, la deuxième partie, possède une section quadrangulaire et tend à s’amincir au fur et à mesure qu’il s’élève. Enfin, le pyramidion forme une petite pyramide au sommet de la colonne.  

Selon la légende, l'obélisque serait un rayon de soleil figé, celui du symbole de Rê qui se serait manifesté aux hommes sous cette forme. Symbole phallique, l'obélisque reproduit l'érection virile, allégorie de la puissance et de l'élévation spirituelles. Il constitue un équivalent architectural de l'axe du monde. Il relie ainsi la terre au ciel, comme une antenne cosmique.

 

Transcendance architecturale

La ziggurat mésopotamienne, prototype de la "tour de Babel"* de l'Écriture, est la manifestation architecturale de l'humanité désireuse de s'élever au-dessus de la terre par ses églises et temples... comme par sa technologie.

* BAB = "Porte", EL = "EL, ELOHIM", ce qui veut dire "Porte des ELOHIM", "Porte de EL" (porte du divin, au sens astral s'entend...).

 


Réalité OVNI

L'étude de la réalité OVNI* depuis l'après-guerre à travers la discipline de l'ufologie montre que ces phénomènes - physiques ou psychiques - se manifestent à des endroits précis de la planète, propices aux énergies sombres. Il en est ainsi de couloirs spécifiques, comme entre l'Arctique et l’Antarctique, avec une forte probabilité de bases terrestres souterraines. Leur perception est permise dans la mesure où "ils" se mettent à des niveaux de fréquences adéquates pour l’œil de l'être humain (40 à 20.000 fréquences/seconde), ce qui entend que cette volonté d'être visibles a sa raison d'être, tout comme à l'inverse ils déclenchent par les vortex énergétiques (Cf. Des réseaux telluriques ci-dessous) qui relient deux espace-temps différents des nuages écrans interdisant leur perception à l’œil. De même, des zones riches en silice sont favorisées, ce minéral se prêtant parfaitement à des champs de fréquences élevés*², tout comme celles qui comportent des trous magnétiques. Ainsi en France le point culminant du Pech au Mont Bugarach dans l'Aude en Occitanie, le parc naturel régional de la Forêt d'Orient situé dans le département de l'Aube, plus particulièrement à l'endroit dit  "Fontaine des oiseaux", et bien sûr le fameux plateau d'Albion situé à cheval sur les trois départements du Vaucluse, de la Drôme et des Alpes-de-Haute-Provence, classé secret défense car recelant une base souterraine d'entités extra-dimensionnelles et de "portails organiques"*³, à l'instar de la zone 51 dans l’État du Nevada aux États-Unis. Tout ceci pourrait être vérifié par des technologies comme les drones, si ce n'est le risque pris de toucher à un domaine ultrasensible, avec toutes les conséquences qui en découleraient pour le chercheur de vérités interdites...

* Cf. Vérité civilisationnelle.

Cf. Fonctionnement du corps biologique.

*³ Cf. Les acteurs de la Matrice falsifiée. En complément, travaux de l'écrivain ufologue Jimmy Guieu (1929/2000) et témoignages sur de nombreux sites consacrés au plateau d'Albion.

 

Les réseaux telluriques, ou le quadrillage des flux d'énergie

Dans la communauté française, la pratique des mesures énergétiques sur le terrain par radiesthésie s'est répandue depuis les années 1930 avec la mise en évidence des flux liés aux sites mégalithiques et aux églises, puis dans les années 1950 par la diffusion de la géobiologie et la mise en évidence de réseaux dont le plus connu reste le réseau Hartmann.

Le principe géobiologique est que les réseaux telluriques seraient émis par les métaux de la terre, formant des grilles au sein d'un quadrillage cubique, avec des réseaux orientés N-S/E-O et d’autres qui sont diagonaux NE-SO/NO-SE, la trame variant selon les lieux (images 1 et 2). Ils sont de nature "sonique", car ils réagissent au son et à la voix. Ils sont aussi sensibles aux aimants et à la pensée, les ondes cérébrales devant probablement entrer en résonance avec eux. Comme on les trouve même à l’intérieur d’une cage Faraday, cela prouve qu’ils sont de nature subtile, non électromagnétique. Les lieux telluriques les plus puissants sont les montagnes les plus hautes.

Il y a quatre réseaux principaux* en lien chacun avec un métal, formant différents croisements selon le type de ligne qui les constituent (de simples à puissantes) :

- Hartmann (nickel) appelé aussi réseau global. Il est orienté Nord-Sud et Est-Ouest, couvrant toute la terre.

- Peyré (or, cuivre), réseau de rayonnements Nord - Sud et Est - Ouest provenant du sol.

- Curry (fer), appelé également réseau diagonal. Il est orienté à 45° par rapport au Nord, donc en diagonal par rapport au réseau Hartmann. 

- Wissmann (aluminium).Pour tous ces réseaux, la dimension Est-Ouest de la maille se rétrécit lorsqu'on se rapproche des pôles de l'axe terrestre. Par contre la distance Nord-Sud entre les parallèles reste constante. La taille des lignes varie durant la journée, étant au maximum au lever du soleil. Il semble que l’angle du rayonnement solaire affecte ces lignes comme des élastiques. Elles ont un pic énergétique au milieu, deux "bords" et des harmoniques autour. Le biochamp est le plus influencé par le pic central.

Sur le plan thérapeutique, chaque réseau a un effet sur un méridien d’acupuncture (Cf. dernier chapitre de la publication) spécifique. Les nœuds ou croisements négatifs sont pathogènes si l’on dort à ces endroits. Mais la journée, l’alternance des lignes positives et négative est équilibrante, le fait de passer par des points positifs et négatifs de manière successive produisant un effet de charge. Les émotions ont aussi une influence. Ainsi le jour des attentats du 11 septembre, il y a eu une diminution de 50% du corps éthérique de tous les humains sur terre, et les lignes H (Hartmann) ont triplé de largeur sur 24h. Les éclipses et les alignements de planètes ont aussi un effet d’élargissement (3 ou 4x). Cela expliquerait pourquoi des " portails " interdimensionnels peuvent s’ouvrir dans certains lieux.

Quant aux courants d’eau souterrains ou avec des failles, ils sont dévitalisants pour les êtres à la surface (-20/30% de l’énergie vitale). Les failles, qui interrompent les réseaux telluriques, produisent qui plus est de la radioactivité et une variation mesurable du champ magnétique terrestre. En effet, contrairement aux lignes, le bord énergétique d’une faille n’est jamais franc mais diffus.

Les courants telluriques sont un peu comme des cours d’eau, mais positifs. Ils sortent par les failles, les grottes, les volcans… On les appelle traditionnellement "vouivres" ou "dragons", multipliant le corps éthérique par 2 ou 5… ce qui provoque des fourmillements, des pieds au crâne, en 2/3 min.

De leur côté, les cheminées cosmotelluriques (images 3) ont leur racine dans le sol et s’étendent verticalement dans l’air (noyau vers -100m, corolle vers 130m, hauteur variable). Ressemblant à une fleur ou un chakra, elles captent les énergies cosmiques et "nettoient" la noosphère. Relais de la conscience collective, elles se situent dans les lieux ayant une atmosphère émotionnelle positive ou négative (selon le type de cheminée). Réparties aléatoirement sur terre, elles émettent des harmoniques autour d’elles, l’énergie tournoyant en spirale en leur centre (dans un sens dextrogyre à l’inspiration, et lévogyre lors de l’expiration). Les effets sur le corps se traduisent par des picotements, des effets de froid/chaleur/pression… Les personnes captent plus ou moins bien leur énergie, les personnes ayant des blocages arrivant vite à saturation.

Enfin les vortex cosmotelluriques (image 4) ont une apparence de spirale, un peu comme un grand ruban enroulé avec une corolle en entonnoir en haut. Ils sont toujours par deux, l’un et l’autre étant reliés et éloignés à une distance qui varie selon leur taille. On les trouve dans les régions vallonnées. Leur densité est aléatoire. Ils sont toujours accompagnés d’une cheminée qui les rejoint. Les lieux sacrés comportent souvent un vortex. Ainsi les églises, souvent dimensionnées sur la taille des spires d’un vortex, et constitutifs des portes astrales (ce sont des cylindres de 80 cm de large sur 180 cm de haut). Si ces portes permettent de se connecter à d’autres réalités - quand on se trouve sur un vortex activé, le corps énergétique est dix fois plus grand, ce qui démultiplie les perceptions -, ce n’est pas toujours agréable. Il faut en effet faire attention aux entités du bas astral que l’on peut alors voir, celles-ci pouvant modifier le comportement. 

* Les réseaux les plus connus et utilisés par les bâtisseurs et géobiologues sont les réseaux Hartmann et Curry, qui sont les plus faciles à percevoir. Le réseau Hartmann est d'origine électrique (il est ainsi perçu par les animaux avant l'arrivée d'une catastrophe géophysique) ; le réseau Curry est d'origine magnétique. Tous deux peuvent avoir un effet néfaste pour la santé (fatigue, insomnie, déprime, rhumatisme, dérèglement hormonal ...), surtout lorsqu'ils forment un croisement sur le lieu de vie ou de travail.

 

Le piège de l'astral

Si tous les points d'énergie terrestres considérés comme lieux de pouvoir spirituel et mesurés comme tels sont incontestables, sauf pour le scientisme académique, ils sont pour autant limités au fonctionnement du système solaire de la galaxie à laquelle appartient la planète Terre, autrement dit à la dimension de l'astral, non du grand champ de conscience universel épuré de ses égrégores toxiques et de ses forces prédatrices supraterrestres. Aussi tous ces lieux présentés comme sacrés grâce à leur qualité énergétique indéniable sont également des points d'ancrage de la matrice involutive* destinés à piéger l'être humain dans son éveil de conscience, en d'autres termes constitutifs de manipulation spirituelle*².

Il en ressort que tous les sites mégalithiques considérés comme sacrés - Stonehenge (Angleterre - photo 1), Carnac (France - photo 2), les menhirs (Asie, Afrique, Europe), les pyramides (partout dans le monde) ... sont, à quelques exceptions près, tous situés sur des points telluriques qui leur fournissent l'énergie nécessaire pour alimenter le piège magnétique déployé par le corpus prédateur. Il en est de même pour la plupart la plupart des monuments tels que obélisques, temples, églises, cathédrales et certaines architectures spécifiques dans les grandes villes, telles la pyramide du Louvre à Paris (photo 3) ou la Cour suprême d'Israël à Jérusalem (photo 4). Plus précisément, les pyramides font partie d'un dispositif électronique qui projette l'énergie du réseau tellurique dans l'atmosphère autour de la planète, en inversant sa polarité. C'est ce qui forme le maillage de ce filet électro-magnétique à l'énergie inversée qui enveloppe la Terre, et qui rend difficile pour l'âme humaine son extraction si elle n'a pas été réunifiée par la libération du contenu toxique des mémoires qui la constituent.

Ces sites et monuments, dont beaucoup existent depuis plus de 10.000 ans, sont les activateurs de la matrice de 3ème dimension placée sous l'égide du consortium prédateur. Ils représentent les barreaux de notre prison de 3ème dimension, mais aussi les fenêtres dimensionnelles de notre libération. Mais sans conscience de la manipulation prédatrice qui y préside et s'y cache, et sans profonde transformation intérieure permettant à l’Âme réunifiée de libérer l'Esprit, le Soi supérieur inspirant et guide, l'être humain ne peut accéder au divin sacré, au champ de l'Esprit universel... Il reste au contact des forces entropiques du bas astral, leurré par leur "apparence" divine dans sa psyché*³.

Cf. L'illusion de la demande au Ciel et sa résolution & Processus de transformation de conscience.

 

Le corps énergétique terrestre sous contrôle

 Si l'Homme de Vitruve attribué à l'artiste italien Léonard de Vinci représente le corps énergétique par ses divines proportions mathématiques, c'est pour signifier qu'il est en permanente inter-relation avec les énergies célestes (le champ éthérique) qui le nourrissent, pour le meilleur ou pour le pire... C'est ainsi que les "mages babyloniens", relais terrestres du corpus prédateur de 4ème dimension* - la "Matrice astrale" - ont configuré le treillis terrestre pour empêcher ou altérer le passage de la vibration énergétique positive permettant à l'être humain de recevoir la juste information en toute conscience de Qui Il Est, et ce tout particulièrement dans les capitales portes-étendard dévoyées. C'est ainsi qu'à Paris, le champ de Mars (photo), le dieu de la guerre, est la réplique florale et minérale de l'Homme de Vitruve, se trouvant dominé par la Tour Eiffel, antenne-relais nécessaire avec le treillis électromagnétique du champ astral *². Elle est le symbole tant phallique que pyramidal de la "père-version", au même titre que l'obélisque de la Concorde ou la pyramide du Louvre. Sans conscience de cet artifice, l'être humain demeure un esclave illusionné de ses maîtres entropiques.

* Cf. Compréhension de la conspiration prédatrice.

Cf. Compréhension structurelle de la Matrice asservissante.

 

Canaux de prédation événementiels

Les lieux de rencontre de foules considérables sont prisés par le système prédateur afin de prélever le quota énergétique nécessaire à sa survie et d'intoxiquer comme manipuler l'inconscient. C'est pourquoi leurs architecture et ornements sont conçus et "designés" à cet effet, comme lors de la Foire Internationale de Milan en 2015 (images 1 et 2) ou la sculpture de Paul Mc Carthy place Vendôme à Paris à l'occasion de la Foire Internationale des Arts Contemporains en 2014 (image 3).

 


Lieux de prédation rituélique

Les rituels dits "sataniques"* ont lieu pour la plupart d’entre eux au niveau de certains lieux telluriques, lieux énergétiques qui constituent des portes inter-dimensionnelles entre les mondes. C'est pourquoi il peut en ressortir une sensation d'oppression, un ressenti extrêmement négatif, variable d'intensité suivant les individus et leur travail d'épuration intérieure. Ces endroits fortement visités (Tour Eiffel, Tour de Londres, parcs Disney ...) constituent souvent des lieux où se déroulent des cérémonies à caractère occulte dissimulées à la connaissance du grand public par le système médiatique aux ordres, où des enfants peuvent être tués ou mis sous contrôle mental *². C'est ainsi que de nombreux bâtiments officiels, monuments et édifices religieux sont construits au niveau de lieux telluriques menant vers les inter-univers selon une certaine onde de forme, qui accentue les énergies négatives et fait baisser la vibration environnante pour l’accorder avec celle des inter-univers. De la même façon, de tels rituels ont lieu dans des endroits "de bonne vibration" afin de couper les (rares) connexions entre le champ terrestre et le champ supérieur à l'astral, nommé divin. Ceci explique l’utilisation massive d'épandage toxique (les "chemtrails" ou "contrails") qui ont pour objet de modifier l’atmosphère terrestre et d'influer sur la psyché humaine, au même titre que l’utilisation de radiation nucléaire (Cf. catastrophe comme Fukushima au Japon *³),  de la 4 et 5G, de la wifi... Ils ont tous pour finalité l'établissement d'un univers inorganique, baptisé par certains de société transhumaniste - la fusion de l'être humain avec l'ordinateur - ou de Nouvel Ordre Mondial, qui constitue l'illusion du système prédateur de sa survie grâce à sa technologie. En attendant, cette survie passe par la prédation de l'énergie humaine, soit la conscience.

* Cf. Les psychopathes qui nous gouvernent.

Cf. Travaux de l'essayiste états-unien Fritz Springmeier dans son ouvrage "Bloodlines of the Illuminati", démontrant que la plupart des Dessins animés de Disney et de la compagnie Disney sont utilisés pour mettre les gens sous contrôle mental.

*³ La catastrophe nucléaire de la centrale nucléaire sise à Fukushima au Japon s'est produite le 11 Mars 2011. Loin de la version accidentelle officielle, elle s'inscrit dans le calendrier occulte du corpus prédateur involutif correspondant à l'anéantissement à petit feu de l'humanité actuelle. Le 11 est un chiffre fétiche, symbolisant le chaos, la fin de l'unité et le commencement d'un nouveau cycle. Quant au mois de mars, il fait référence à Mars, "dieu" de la guerre dans la mythologie romaine. L'explosion en forte profondeur via une technologie à ondes pulsées a visé à affaiblir les structures fondamentales de la centrale située au croisement de la trajectoire de rupture des quatre grandes plaques tectoniques qui "immobilisent " les deux continents asiatique et pacifique. Les émanations radioactives de l'explosion de l'engin nucléaire utilisé ont été rapidement masquées par l'explosion de la centrale nucléaire elle-même.

 

Aux trois bases inférieures de la pyramide d’énergie se trouvent les formes statiques connues de l’énergie. Elles sont appelées statiques car la direction de la force qu’elles imposent à la matière ne change pas. C'est par exemple pour le magnétisme l’aiguille du compas. Les deux formes d’énergie statique restantes sont la gravité (un phénomène dont l’origine est inexplicable) et l’électrostatique. Entre l’électrostatique et le magnétisme se tient une forme dynamique d’énergie qui possède un caractère ondulatoire. De ce fait, la direction de la force change en permanence. C’est le célèbre électromagnétisme.

Toutefois, les nombreux phénomènes inexplicables comme le vol des OVNIs pourraient découler de spectres d’énergie physique manquante (Cf. schéma ci-contre) : l’une d’entre elle est l’électro-gravité, expliquant tous les effets physiques où l’électricité influence la gravité ; l'autre serait le gravomagnétisme, très semblable à l’électromagnétisme (il est constitué des fréquences spécifiques à la matière qui permettent de reconnaitre les éléments contenus à l’intérieur de la Terre, comme le fer ou le nickel) ; la troisième serait la proto-énergie de l’univers, autrement dite énergie libre, supérieure à toutes les autres formes d’énergie.

De la maîtrise de cette connaissance découle la compréhension de l'ouverture de l'espace-temps.

Cf. Travaux de l'ingénieur autrichien Wilhelm Mohorn.

 

Rituel "satanique" d'ouverture de l'espace-temps

Les trois plus grandes et plus célèbres pyramides d'Égypte se situent sur le site de Gizeh, avec en avant-plan celles de Khéops et de Khéphren et, derrière, celle de Mykérinos (photo 1). Cet ensemble participe d'un vortex énergétique qui, lorsque le soleil se lève entre les deux pyramides principales (telles les deux colonnes du temple maçonnique de Salomon - photo 2), permet à la force extra-dimensionnelle prédatrice d'assurer sa pleine puissance terrestre, la troisième pyramide/colonne (le troisième pilier - images 3 et 4) étant indispensable à la stabilité du dispositif.

C'est ainsi que le rituel de l'agenda occulte de cette force extra-dimensionnelle entropique a ouvert le 11 septembre 2001 à New-York la troisième guerre mondiale, par les attaques et la destruction de trois tours. Les deux plus importantes étaient les Twin (photo 5), avec en retrait la WTC7 (photo 6). Leurs effet destructeur et répercussion énergétique à l'échelle mondiale, source de peur et de terreur, avaient pour objectif d'activer les forces occultes dans la mise en œuvre du scénario mortifère de cette fin de cycle civilisationnel *.

Cf. Prophétie du changement.

La pyramide énergétique avec ses interconnections au sein de ses spectres d'énergie
La pyramide énergétique avec ses interconnections au sein de ses spectres d'énergie

Thérapie du vivant

 

Cette énergie que l’on retrouve dans les lieux sacrés a pour effet le "centrage spirituel" grâce aux trois qualités de base des couleurs la caractérisant (Cf. précédemment). Elle permet au corps, à l'instar d'un instrument, de réagir par résonance et de s’harmoniser. En d'autres termes, ces endroits favorisent une "thérapie par le rêve", où la personne malade peut accéder à un autre niveau de conscience et se purifier. Ainsi la forte énergie qui s'y trouve induit des états de conscience altérés dans lesquels le sujet peut faire tant l’expérience de rêves purificateurs que d’expériences hors-du-corps produisant un effet guérisseur holistique à tous les niveaux. Pour peu qu'il ne soit pas manipulé par l'illusion mystique de la prédation*...

* Cf. Prédation spirituelle et voie de sortie.

 

Usage chamanique et thérapeutique des lieux de pouvoir spirituel

Les ouvertures constatées dans la pyramide (égyptienne, maya, chinoise ...) étaient conçues pour relier la construction-forme à des énergies cosmiques correspondant à des lieux de pouvoir non-terrestres, le but étant de permettre à l’âme d’y accéder dans le cadre de pratiques dites chamaniques*. L’énergie spirituelle attachée à ce lieu comme à la forme a en effet pour faculté d'ouvrir un portail sur d’autres réalités, censé améliorer la communication avec d’autres dimensions*². C'est bel et bien cette recherche d'une porte au-delà de l’espace-temps limité propre à la sphère terrestre et à sa galaxie d'appartenance qui a donné lieu aux lieux de pouvoir sacrés de nombreuses cultures, et ce depuis les temps préhistoriques jusqu’au monde moderne. Elle mène inévitablement à la question de la gravité et de son pendant, l'anti-gravité, qui voit par exemple une énorme pierre être rendue légère et pouvoir facilement être déplacée au bon endroit. Qui plus est, elle pourrait faire le lien avec l’eau qui entoure le bébé - le liquide amniotique - dans le ventre de sa mère, qui semble avoir les mêmes qualités énergétiques que l’eau des lieux sacrés. Il n'est alors pas étonnant que la déesse-mère ait été et soit encore vénérée dans de nombreuses religions et cultures ...

* Le chamanisme est une pratique, variable dans ses procédés selon les civilisations et peuples, centrée sur la médiation entre les êtres humains et les esprits de la nature, au sens terrestre comme cosmique.

L’utilisation de ces chambres comme machines temporelles nécessitait des rituels spéciaux préalables de purification spirituelle, afin d'empêcher le non-initié d'être bouleversé et de connaître une expérience traumatique pouvant avoir des effets psychologiques permanentes.  Ainsi, quand l’empereur français Napoléon Bonaparte se rendit en Égypte en 1798, il passa une nuit dans la Chambre du Roi de la Grande Pyramide. Quand il en ressortit, on relata qu’il était extrêmement troublé et choqué par quelque chose dont il refusa par la suite de parler.

 

La pyramide, canal d'aspiration de l’Âme humaine

La plupart des pyramides fonctionnent comme des condensateurs d'énergie. Ainsi les ouvertures trouvées sur les pyramides, notamment de Gizeh, ne sont nullement des aérations comme le prétendent les égyptologues. Elles servent de "canal d'aspiration" destiné à récupérer les Âmes humaines piégées dans le maillage électronique formant la matrice de 3ème dimension. Si cette technologie sophistiquée avait pour objectif après sa dénaturation par la prêtrise païenne de permettre la réincarnation des Âmes de lignée Royale dévouées à l'empire de prédation, elle fait aussi partie d'un dispositif électro-énergétique de capture d'Âmes. En effet, comme piliers du filet électronique invisible tendu autour de la Terre, mais également agissant dans le système solaire et une partie de la galaxie, les pyramides happent les Âmes humaines qui, après l'incarnation terrestre*, voyagent dans l'astral cosmique pour tenter de retourner à leur Êtreté/Source. Bien que cela puisse paraître totalement absurde pour l'homme rationnel biberonné à l'enseignement dispensé par le système, il existe d'autres pyramides sur d'autres planètes (Lune, Mars, Vénus, Jupiter...), mais aussi sur chaque planète-mère du consortium de prédation telles que Sirius, Orion, la Grande Ourse.... Elles constituent d'autres points d'ancrage énergétique de ce terrible piège.

Les pyramides et ce filet électronique (le treillis) tendu à travers une partie de la galaxie contribuent qui plus est à détruire la mémoire stellaire de l'Esprit/Conscience de l'être humain lorsque celui-ci est renvoyé dans la matrice de 3ème dimension terrestre. Soit le voile de l'oubli, l'amnésie de Qui l'humain EST vraiment ... Enfin, elles tentent de freiner l'inversion des pôles magnétiques de la Terre, tentant d'empêcher de ce fait l'ouverture de conscience en cours des êtres humains.

* La fameuse lumière blanche décrite par les expérienceurs de NDE (Near Death Experience ou "Expérience de mort imminente" - EMI) n'est rien d'autre que l'éclair lumineux perçu par la conscience du défunt lorsque celui-ci se fait prendre dans ce treillis électro-magnétique et se fait griller la mémoire dans son ADN éthérique. La présence d'êtres chers est une illusion de plus...

Cf. Compréhension structurelle de la Matrice asservissante.

 

Ces chambres, utilisées comme "caissons" ouvrant sur d’autres dimensions, peuvent être expliquées par le travail de l’astrophysicien et astronome russe Nikolai Kozyrev (1908-1983 - photo 1) qui avait suggéré l’existence d’une nouvelle forme d’énergie imprégnant tout l’univers. Elle serait comme des "Ondes Temporelles" que tout objet émet et reçoit, pouvant seulement être détectées par leur effet piezoélectrique * sur certains cristaux. Cependant, ces ondes peuvent être réfléchies à 100% par l’aluminium ou le granit, et pourraient inverser leur polarité si elles sont réfléchies par des miroirs. Cela expliquerait à la fois les effets du psychomanteum (Cf. ci-dessous), des miroirs et de leur utilisation "magique".

C'est ainsi que dans la foulée, deux autres chercheurs russes, Vlail P. Kaznacheev et Alexander V. Trofimov, ont réalisé des expériences en 1990. Ils ont construit le "Miroir de Kozyrev", système de plaques concaves constitutif d’un cylindre d’aluminium dans lequel une personne pouvait rentrer (photo 2). L’aluminium réfléchissait toutes les ondes temporelles du dehors de sorte qu’elles ne pénétraient pas à l’intérieur, et maintenait les ondes temporelles émises par la personne à l’intérieur du cylindre. Les personnes qui passaient du temps dans le cylindre rapportaient des changements de perceptions importants. 

C'est ce que la psychiatre et auteure russe Olga Yahontova alias Kharitidi (photo 3) rapporte entre autres dans ses livres Entering the Circle (Entrer dans le cercle - 1996) et The Master of Lucid Dreams (Le contrôle des rêves lucides -2001), à partir d'expériences voyant des personnes placées en état de transe dans une pièce noire où se trouvent des miroirs ou au sein d’un caisson composé de miroir rond servant à "ouvrir des canaux vers d’autres états de conscience". C'est une des façons d’altérer la perception du temps d’un individu, même si les observateurs scientifiques ne comprennent pas totalement de quelle façon.

Dans une de ces expériences, elle se retrouve ailleurs avec un homme qui lui explique ce qu’était la grande civilisation d’Eurasie, au nord de la Sibérie, qui fut détruite par un changement catastrophique du climat, et dont il reste des traces de la philosophie dans le zoroastrisme ...

* La piézoélectricité (du grec piézein "presser, appuyer") est la propriété que possèdent certains corps de se polariser électriquement sous l'action d'une contrainte mécanique et réciproquement de se déformer lorsqu'on leur applique un champ électrique.

 

Le psychomanteum, pour voir au-delà dans un miroir

Une expérience étonnante venant de la Grèce Antique a été reprise par le philosophe-psychiatre états-unien Raymond Moody*. C'est celle du psychomanteum, qui consiste à se placer devant un miroir dans une cabine close. Des phénomènes surprenants se présenteraient : ombres,apparitions de défunts en " 3D ", dialogues avec défunts... Ils sont relatés dans le livre "Expériences autour d’un miroir" de l'anthropologue Evelyne-Sarah Mercier et du psychanalyste Djohar Si Ahmed, psychanalyste, qui ont repris un programme de recherche similaire en France. Ce psychomanteum, instrument dédié à la trans-communication, montre que, peut être, les propos de certains philosophes (comme ceux de Platon dans Phédon) auraient des liens avec cette découverte. En 1999, le neuropsychiatre docteur Henri Amoroso (1925/2016) a quant à lui consigné dans son ouvrage "L’au-delà dans un miroir" des témoignages étonnants de ses patients en phase de deuil à qui il avait proposé "l’expérience du miroir" dans un cadre curatif.

A partir d'un miroir aux dimensions classiques situé à environ un mètre du sol, imprégné de l'aura émotionnelle de l'individu, la communication établie avec l'au-delà est marquée par l’authenticité totale à partir d'un total laisser-aller voyant la régulation à basses fréquences des élans cardiaques. Inutile de préciser que tout subterfuge, toute tricherie, et toute rationalité ne peuvent que nuire aux effets. Le patient est installé dans un fauteuil situé à environ un mètre vingt de distance, le miroir étant incliné de telle sorte qu'il ne peut y voir en aucun cas son image, celui-ci reflétant seulement une tenture noire disposée dans une sorte de baldaquin situé au-dessus et sur les côtés du patient. Une très faible lampe de quinze Watts doit projeter sa luminosité sur le miroir, au centre exactement. Le silence doit être total, cette manœuvre exigeant un grand recueillement, ne pouvant en aucun cas être réalisée dans l’empressement et la nervosité. Un fond musical, type adagio sans être nécessairement triste, doit être perçu par le patient. Si celui-ci est mélomane ou si le défunt l’était, il est particulièrement recommandé de faire entendre le type de mélodie ou le morceau de musique que le défunt avait l’habitude soit d’interpréter, soit même de siffloter.

Miroir, fauteuil, inclinaison de celui-ci, inclinaison du miroir, disposition de la lampe, obscurité partielle, nécessitent donc un faible appareillage, la technique est ensuite plus délicate.

Comme il ne s’agit nullement d’une expérience de foire, la sélection requiert d'éviter tout psychotique (grave malade mental, dément, personnage enclin aux processus hallucinatoires). Le crépuscule semble souvent la meilleure heure, car il est un moment privilégié, celui pendant lequel l’approche de la nuit est génératrice d’angoisse, et celui aussi où l’on ne ressent plus les pesanteurs de l’après-repas. Cependant il conviendra de l'éviter si la personne est trop épuisée par un travail astreignant. Il est évident que toute prise de café ou d’excitant quelconque doit être préalablement proscrite.

Le croyant vers le Surnaturel et l’Invisible tout comme le rationaliste impénitent en prise avec la perte d'un être cher peuvent participer à l'expérience, la réussite pouvant être spectaculaire comme l’échec total. Dans la plupart des cas, ils sont emportés par des soubresauts émotionnels, les pleurs voire les sanglots étant intenses. C'est pourquoi un accompagnement est requis, l’intéressé qui vit littéralement son fantasme voulant s’approcher du miroir pour discuter avec un tiers que seul il entend ...

* Auteur de "La vie après la vie" (Ed. Robert Laffont) et inventeur de l’expression Near Death Experience (NDE ou "expérience de mort imminente").

 

En fait, les êtres humains ne sont pas les seuls êtres intelligents dans l’Univers, et de ce fait sur Terre. Il y a d'abord les archétypes des Forces de Lumière, nommés par la Tradition les anges et archanges, autrement qualifiés de "double évolutif" pour aider les humains-âmes dans leur évolution*.

Il y a ensuite les "êtres ou esprits de la nature", comme par exemple les fées, qui sont associés aux divers "éléments" (terre, eau, air, feu) constitutifs du Vivant. Ils sont généralement décrits comme des esprits purs au service de la nature, chargés pour les uns de la croissance des plantes, pour d’autres de mettre de l’harmonie dans des lieux, ou encore de guider les oiseaux ou les insectes dans leurs déplacements, etc. Ce sont les gardiens du Jardin terrestre !

Certains êtres humains, qui ont reçu en don une plus grande sensibilité au subtil comme les clairvoyants et surtout les enfants en bas âge, ont la capacité de percevoir ou même de voir les êtres de la nature qui vivent sur d'autres plans ou dimensions de réalité. Ces "êtres élémentaires" depuis plusieurs décades souffrent des dégradations et des pollutions de plus en plus graves que l’Homme inflige à la nature. C'est pourquoi ils s’adressent directement à nous aujourd’hui, avec leurs moyens, pour nous faire prendre conscience de notre responsabilité vis-à-vis de la Terre. Ils veulent nous faire comprendre que nous devons choisir aujourd’hui entre autodestruction et disparition de l’espèce humaine, ou bien évolution par l’éveil de notre conscience.

* Cf. Le cheminement de l’Âme.

 

Des fées

Le mot fée vient du latin Fata, lui-même dérivé de Fatum, le "destin", la "fatalité". Les premières fées se nommaient d'ailleurs fatas. A l'origine, la fée, c'est l'entité surnaturelle qui préside à la destinée des êtres humains. Elle peut être bonne ou mauvaise pour celui sur le destin duquel elle se penche. Le nom fée se dit en anglais fairie, l'adjectif étant fairy (faith de son côté veut dire "Foi"). Et avec les 4 Lettres de FATE, on peut faire les 4 Éléments...

Ce petit peuple d'êtres humanoïdes issus des mythologies et du folklore de nombreux pays d'Europe, principalement celtique et nordique, au même titre que les lutins, trolls, gnomes, elfes et êtres assimilés, est associé à "l'elficologie", néologisme créé par l'auteur, scénariste de bande dessinée, écrivain, conteur et conférencier français Pierre Dubois pour désigner l'étude du petit peuple. Il a employé ce terme pour la première fois en 1967, lassé de répondre "écrivain" lorsqu'on lui demandait sa profession.
A noter l'existence de la Fairy Investigation Society - FIS -, qui a été fondée en Grande-Bretagne en 1927 par Sir Quentin Craufurd afin de collecter des informations et témoignages sur les observations de fées. Interrompue pendant la guerre, son activité a repris lorsqu'elle a été refondée en 1950, comptant alors un peu plus d'une centaine de membres, dont des noms célèbres tels que Walt Disney. Elle existe depuis 2013 à travers un site web.

 

Les "Émanants©"*

Les Êtres/entités que nous pouvons parfois percevoir ou photographier dans l'eau, dans un miroir ou sur un autre support, nous apparaissent par un principe similaire au psychomanteum, ce petit espace clos aménagé avec un éclairage tamisé et un miroir incliné de manière à ne refléter rien d'autre que l'obscurité destinée à communiquer avec les esprits des morts. Ils proviennent des extrêmes profondeurs de notre subconscient, représentant l'image de ce que peut voir une autre partie de notre corps/âme/esprit autrement dite "Êtreté", et qui se trouve en temps décalé dans d'autres dimensions de réalité appartenant à l'a-matière, que nous ne pouvons de ce fait percevoir avec notre conscience du temps linéaire. Ces apparitions de visages ou de formes humaines dans les éléments, surtout dans l'eau ou bien dans un miroir, s'expliquent généralement par une soi-disant illusion optique, appelée "paréidolie" (du grec ancien para-, "à côté de", et eidôlon, diminutif d'eidos, "apparence, forme"). C’est un phénomène psychologique qui consiste à associer un stimulus visuel plus ou moins informe et ambigu à un élément clair et identifiable, telle une forme humaine ou animale.

Si cette définition propre à la parapsychologie d'une "apparition psychique" est partiellement vraie, ce phénomène est toutefois à considérer d'une manière beaucoup plus tangible. Sachant que l'atome qui résulte de la densification des ondes par la conscience et qui détermine la réalité de notre existence ne persiste que s'il y a quelqu'un pour le regarder ou l'observer, ce phénomène de matérialisation de notre psychisme (via le subconscient), dans un psychomanteum naturel ou artificiel, est généralement appelé "Émanant©". Ainsi les agroglyphes ou crop circles (cercles de culture), les élémentaux (fée, elfe, lutin, sirène, licorne, dragon...), ou les artefacts*² provenant de civilisations anciennes ou extraterrestres.

En laissant divaguer notre pensée sans focaliser notre attention sur quelque objet précis - état de méditation ou modifié de conscience -, nous pouvons déceler un Émanant© hyper-dimensionnel dans de l'eau, dans des champs de céréales ou n'importe où ailleurs, manifesté à notre conscience humaine de 3ème densité par l'une ou l'autre partie de nous -même située dans d'autres densités ou existante sur d'autres lignes temporelles.

* La dénomination "Émanant" est protégée par copyright © par son inventeur.

(anglicisme) Phénomène d'origine humaine, artificielle, intervenant dans l'étude de faits naturels.

Cf. Livre "Les Emanants - Reconnaître Et Accueillir Les Esprits De La Nature" de Catherine Rayer et Dominique Martin (photo 13).

 

L'accumulation de l'énergie spirituelle passe par des mouvements et gestes spécifiques. Ils sont reliés à l'activation du lobe frontal de l'hémisphère droit du cerveau, tel que le neuroscientifique indien Vilayanur Subramanian Ramachandran (photo 1), connu pour ses travaux en neurologie comportementale et en psychophysique visuelle, l'explique dans son livre Phantoms in the Brain. Ce lobe frontal qui s’active lorsque quelqu’un vit une expérience mystique a été nommé "le point de Dieu" par le chercheur américain en neurosciences cognitives et professeur d'université Michael A. Persinger (photo 3).

C'est pourquoi des techniques religieuses, comme dans le soufisme de la tradition islamique, servent à équilibrer cette énergie afin de ne pas provoquer une perturbation cérébrale, tout comme d'ailleurs le simple fait de lever le doigt. Il permet de créer un tourbillon d’énergie qui va manifester l’énergie spirituelle. C’est également cette "connexion au centre" qui expliquerait le fonctionnement du reiki* comme d'autres pratiques énergétiques à la mode, soit une "réinformation" du corps. D’autres thérapies utilisent aussi l’information : l’homéopathie ou encore la lithothérapie (les pierres transmettant "l’information" manquante).

 

Le Reiki, une pratique thérapeutique ésotérique

Le Reiki appartient aux approches dites énergétiques, dans lesquelles le praticien intervient sur le champ vibratoire de la personne. Cette habileté est habituellement associée à des techniques de méditation ou à des disciplines de pratique spirituelle comme il en a existé, sous une forme ou une autre, dans la majorité des cultures à travers l'histoire. Il s'en distingue cependant, puisqu’il est dépouillé de toute attache religieuse et qu’il ne demande pas de cheminement spirituel particulier.

C'est un Japonais du nom de Mikao Usui (1865/1926) qui a formulé les bases de ce qui allait devenir le Reiki dans le Japon du début du XXe siècle après une jeunesse passée dans un monastère bouddhiste et l'étude des arts martiaux. Une référence judicieuse au christianisme a permis de le faire connaître en Occident à partir de 1937 (à Hawaï à l'époque), cette " distorsion " en en rendant l’approche plus acceptable. Son enseignement a été formalisé par un de ses étudiants, Chujiro Hayashi, avec un accent mis sur les aspects thérapeutiques et quelques adaptations opportunes ... C’est à partir du début des années quatre-vingt que la technique s'est répandue dans la majorité des pays occidentaux, épousant peu à peu quelques variantes s'éloignant de l'enseignement traditionnel, certaines le dénaturant même de son sens profond. C'est ainsi qu'il a été récupéré par le courant New Age, nombre de ses adeptes illuminés s'y plongeant avec avidité, entraînant par là-même leurs patients dans leurs dérives mystiques sinon prédatrices.

En japonais, Rei veut dire universel et inclut la matière, l'âme et l'esprit. Ki (ou Qi) renvoie à l'énergie vitale qui circule en nous, telle que la comprennent les médecines orientales comme la Médecine traditionnelle chinoise et l’ayurveda. Le Reiki est donc la mise ou la remise en contact de "l'énergie universelle" et de notre propre "force vitale" dans le but d'éveiller un processus dynamique de guérison. Dans une séance, le praticien s'attache à canaliser l'énergie universelle et, à l’aide de symboles ésotériques et de sons sacrés, la transmet en imposant ses mains sur différentes parties du corps du patient sans que celles-ci n'entrent (en principe...) en contact direct avec le corps du patient. La transmission d’énergie pourrait même se faire à distance, l’énergie universelle étant censée posséder son "intelligence propre". C'est ce qui lui permettrait à la fois de se diriger exactement là où le patient en a besoin, et de ne causer aucun effet secondaire indésirable. L’énergie personnelle du praticien est censée ne jamais intervenir dans le processus.

Une des caractéristiques du Reiki est que n'importe qui peut devenir praticien facilement et rapidement (une ou deux fins de semaine suffisent), ce qui bien sûr attire des profils peu scrupuleux voire dangereux. N'oublions pas que son fondateur était un mystique qui s'adonnait à une ascèse spirituelle rigoureuse, ce qui permettait la guérison par l'imposition des mains, tout comme divers autres phénomènes qui constituaient des "effets secondaires désirables" tout en n'étant pas considérés comme une fin en soi. Malheureusement, cet aspect "magique"* permet à des gourous illuminés d'illusionner leurs clients en se parant avec orgueil sinon vanité du titre de Maître, cet aspect étant déjà rédhibitoire quant à leur soi-disant élévation spirituelle. Même si les modèles proposés en bioélectromagnétisme, en physique quantique ou selon la théorie des supercordes sont cohérents avec les écrits orientaux, laissant entendre qu'une vibration extrêmement subtile pourrait constituer le substrat de la matière telle que nous la connaissons, le Reiki et ses différentes déclinaisons ne sont en tout état de cause liés à la médecine ou à des résultats cliniques. C'est alors pour le meilleur comme pour le pire...

* Comme c'est souvent le cas dans le domaine des pratiques mystiques, on associe aux initiations transmises dans le cadre des formations de Reiki une certaine notion de "secret , peu coutumière dans nos sociétés occidentales modernes. Révéler et transmettre par des livres et documents révélant les symboles prétendument secrets et réservés à l'usage exclusif des initiés démontrent sans conteste la dénaturation de cette pratique, et le risque encouru par ses pratiquants livrés en des mains pour le moins peu recommandables.

 

Tout découle en fait de la division de l’univers entre deux polarités*, qui veut que plus on se rapproche du centre, plus on est équilibré*², alors que plus on se trouve dans le mouvement - qui se traduit par de la dispersion et de la fragmentation -, plus on est déséquilibré. L’espace vide est ainsi toujours rempli de mouvement équilibré par les lois d’une sagesse supérieure. Dès lors qu’il existe un centre (Cf. image) comme le Soleil dans notre galaxie, il produit une harmonie autour de lui, car le centre réel du point central n’a ni attribut de temps ou d’espace, lié à une autre dimension que la figure géométrique qu’il équilibre. Cette connexion transcendantale du centre à une autre dimension est une porte au travers duquel le moment intemporel primordial se manifeste au sein de la dualité du mouvement et de la forme. Il en découle logiquement que c’est la connexion à ce centre qui permet "d’informer" le milieu, autrement dit la réalité spatiotemporelle. C’est ainsi l’information qui produit la réalité, d’abord sous forme de "champ morphogénétique" puis de monde matériel. La connaissance est bel et bien le principal constituant de la matière, n'en déplaise aux sceptiques rationalistes !

Aussi les formes représentent cette connaissance "figée" dans le mouvement de la matière. L’architecture sacrée ancienne est de ce fait du "son gelé" dans la musique des sphères, ses monuments étant des symphonies musicales intemporelles qui jouent sur nos champs d’énergie à un niveau inconscient.

* Cf. La dualité décodée.

Cf. L'état de cohérence, voie de sa liberté.

 

Interface informationnelle

 

Les formes constituent des interfaces, entre la "matière" de l'énergie supérieure de nature éthérique et la "matière" de l’énergie matérielle de nature électromagnétique qui permet de les "fixer", pour une durée variable... C’est pourquoi toute forme est une "interface", une frontière, et c’est à chaque frontière que se révèle l’énergie dite spirituelle, frontière de l’horizon entre ciel et terre, entre jour et nuit… La frontière d’une forme agit comme une couche de séparation isolante entre le système d’énergie intérieur et l’environnement extérieur. Elle contrôle l’échange d’information et d’énergie. Ainsi, une forme "informe" l’environnement par ce qu’elle transmet comme information. C’est pourquoi les peaux ont tant d’importance dans le chamanisme, les points d’acupuncture étant comme des interfaces qui permettent à l’information de circuler entre le corps et l’environnement.

Il en découle la clé de compréhension du fonctionnement de l'univers, cachée à l'être humain par ses maîtres asservisseurs en le piégeant dans les artifices de l'apparent réel densifié et en manipulant ses sens psycho-émotionnels...* C'est ainsi que l’omniprésence de l’angle droit et de la droite est typique chez l’homme (carré/rectangle = masculin/tellurique) et dans les sociétés patriarcales*². A l’inverse, la courbe est le propre de la femme et des sociétés matriarcales (cercle = féminin/cosmique).  Seul l’équilibre des deux permet la quadrature du cercle !

* Cf. Symbolisme et artifices de la Matrice, Prédation manipulatoire, Fabrication de l'illusion et voie de sortie.

 

Comme tout est conscient dans l'Univers, ce dernier reposant sur des Lois et Principes en définissant sa structuration comme son fonctionnement*, tout s’échange de l’information qui les traduisent. C’est ce que nous pouvons appeler le "langage universel", sa compréhension comme sa maîtrise - mêmes relatives à notre dimension de conscience limitée - se révélant déterminantes pour l'évolution, ou a contrario l'involution de l'être humain. Il explique que certain(e)s, ayant développé leurs facultés médiumniques comme purifié la toxicité infusée en eux par la manipulation prédatrice, peuvent se brancher par leur pouvoir de métamorphose*² sur le langage universel primordial qui interconnecte tout dans l’univers et maintient son unité. Tels les véritables chamanes, non celles et ceux dévoyés du New Age, ils/elles peuvent communiquer et échanger des informations avec le vent, parler aux arbres, animaux et oiseaux, et à toute chose dans l’univers, visible ou invisible. Ce langage est de nature vibratoire, constitué de rythmes, toutes vibration et note étant un rythme dans le royaume du Vivant.

C'est ce que le théoricien suisse allemand de l'art et de la musique et fondateur de la recherche fondamentale harmonique moderne au XXe siècle Hans Kayser (1891-1964 - photo 1) a établi à travers ses travaux sur la dimension spirituelle des harmoniques, entre autres dans ses livres comme Akróasis. Die Lehre von der Harmonik der Welt (1946) et Lehrbuch der Harmonik (1950). Quand une résonance se crée entre deux champs énergétiques, les deux systèmes ne retournent pas ensuite à leur état initial. Les systèmes "s’informent" mutuellement. C’est par la résonance que l’évolution se produit. Tout, dans l’univers, est interconnecté et s’échange des informations. Quand elles sont justes, l'harmonie règne. Quand elles sont fausses, c'est le désordre. Dans cette compréhension réside une clé fondamentale d'extraction de la Matrice entropique...

* Cf. Évolution de civilisation (1) Le mécanisme de l'Univers.

Cf. Le pouvoir de métamorphose.

Gérad Lenorman - "Il" (1975)

 

Ainsi cet échange d'informations se retrouve démontré par les propriétés du cristal, dont les atomes sont disposés de manière ordonnée selon un arrangement définissant leur état d'équilibre. Qui plus est, des chercheurs du M.I.T et de l'université du Maryland (États-Unis) spécialisés en physique quantique ont révélé en septembre 2016 avoir réussi ce qu'avait imaginé en 2012 le prix Nobel de physique (2004) états-unien Frank Wilczek, la création d'un "cristal temporel", et ce grâce à des impulsions radio. Ce cristal est sous forme liquide, plus exactement gélifiée. Elle voit les atomes par les spins de leurs noyaux osciller périodiquement (d'où le nom de "cristal temporel"), dans une direction puis dans une autre. Ce pourrait bien être les prémices de l'apparition du cristal liquide intelligent, sur lequel il suffit de projeter nos propres ondes cérébrales pour accomplir une tache ! Si l'humanité se dirige bel et bien à grande vitesse vers un "futur" transhumaniste*, cette découverte du cristal liquide indique toutefois la capacité d'adaptation multidimensionnelle et multidirectionnelle d'une conscience humaine à même de s'affranchir des lois de la densité de la Matrice cyber d'appartenance, et rejoindre en la créant une nouvelle dimension de réalité, en mode "Service d'Autrui".

En effet, le principe d'une grille d'information est de permettre la mise en place d'un réseau énergétique chargé de par sa nature électromagnétique du champ morphogénétique, celui-ci contenant toutes les informations de la création en cours, selon la nature de la conscience qui prévaut - mode "Service de Soi" ou mode "Service d'Autrui" -. Nous pouvons ainsi comprendre la structuration de notre matrice d'asservissement*², l'alignement de cristaux et de pyramides contribuant à la maintenir active. De la même façon s'établit la création parallèle d'un nouveau monde évolutif. Mais désormais, au lieu d'être branchés sur un relais extérieur répondant aux interférences du Service de soi, nous avons la capacité de développer une autonomie créatrice d'une autre nature, puisque les pyramides sont dorénavant à l'intérieur de chacune de nos cellules sous forme de micro-cristaux tétraédriques de silice, ce minéral terrestre ayant pour propriété de capter la lumière et d'être à ce titre un organe des sens pour la Terre. Nous devenons ainsi un point de jonction de la grille éthérique de la nouvelle matrice, la "Nouvelle Terre"*³. Celle-ci n'est plus ainsi un monument ou un cristal programmé, mais un humain porteur dans son épigénétique de l'énergie christique. Autrement-dit un individu qui a réactivé, par l'épigénétique, les informations rédemptrices en dormance depuis la nuit des temps dans son propre organisme*.

* Cf. Conscience du XXI° siècle.

Cf. Compréhension structurelle de la Matrice asservissante.

*³ Cf. Fin de cycle (2) La guidance éclairée de sa vie.

*Cf. Processus de transformation de conscience (1).

 

L’énergie cristalline interdite de connaissance

Cette énergie constitue le parfait exemple du voile de silence jeté sur certaines connaissances par les autorités scientifiques et enseignantes. En effet, certains minéraux à la structure cristalline ont un pouvoir physique et psychique qui les rend très puissants, l'industrie les utilisant entre autres dans les piles à quartz, les lampes à laser, mais aussi les mémoires informatiques, celles-ci étant pour beaucoup en silice. Quelques médecins "para-système" soignent également avec cette technologie dont des livres très anciens témoignent de ses utilisation et bienfaits. Mais voilà, c'est une technologie naturelle puissante, gratuite en matière de santé naturelle ! 

La particularité physique des cristaux est d’avoir une structure naturelle parfaitement homogène, qui leur permet d’être fidèles en ce qui concerne l’énergie électromagnétique stockée ou transmise. C'est pourquoi ils peuvent être utilisés avec les ondes du cerveau ou ondes psychiques. Leur utilisation demande cependant une longue formation et un apprentissage, une utilisation faite de façon abusive et sans conscience entrainant des effets négatifs. Le cristal fonctionne en effet comme un amplificateur d’ondes quelle que soit leur nature, ce qui pourrait justifier que son utilisation ait été interdite pour cause de magie noire. Cet argument est fallacieux, car les mages noirs n’ont jamais perdu cette connaissance secrète. La véritable raison est la volonté de limiter les pratiques de magie blanches, qui ont presque toutes disparues suite à des campagnes régulières de persécution, les États ne voulant pas se trouver avec des sujets capables d’amplifier leur capacité mentale et se passer de produits chimiques ... C'est pourquoi l’utilisation en biologie médicale des champs d’énergie cristalline ne peut être pratiquée que par des spécialistes autorisés par une académie, soit sous contrôle, le savoir-faire étant réservé à une caste élitaire au détriment des moutons de l'enclos. Communiquer un tel savoir-faire aussi sensible au niveau du grand public présente un caractère d'atteinte à la sécurité nationale...

 

Le redoutable piège des crânes de cristal

Les crânes de cristal sont très à la mode dans le milieu du New Age. Par leur propriété énergétique de transmission d'information, ils sont considérés comme des cristaux de pouvoir et de guérison*. Le cristal vibre en effet à une fréquence très stable, possédant la particularité d'amplifier les ondes électromagnétiques et photoniques de l'ADN. Là réside le piège de la prédation, à savoir que l'entrée en résonance avec des codages/mémoires ADN situés sur d'autres plans dimensionnels ne porte pas sur ceux de sa version "angélique" - le Soi divin réalisé -, mais avec ceux qui se situent toujours dans les plans du bas astral, soit la 4ème dimension involutive en mode "Service de Soi". D'autant plus que la programmation de ces crânes est faîte soit par les relais New Age de la prédation extra-dimensionnelle cachés derrière leurs oripeaux bien intentionnés, soit par les impétrants eux-mêmes inconscients de leur vibration en mode "Service de Soi". Autant dire qu'elle amplifiera cet état par les propriétés du cristal, empêchant la libération attendue, soit le changement de densité pour évoluer en mode "Service d'Autrui". Rien que leur coût d'acquisition exorbitant devrait faire fuir l'aspirant spiritualiste, alors que tout au contraire il enrichit grassement comme gogo illusionné le business des vendeurs des promesses "Amour et lumière"... Un cristal ne se programme pas. Il ne fait que s'autoprogrammer sur la fréquence vibratoire des individus.

* Ainsi les méditations pour la paix basées sur les crânes de cristal, en se focalisant sur l'amour et les bonnes vibrations pour guérir le monde. Elles ne font qu'entretenir l'illusion d'un monde "parfait", et de ce fait empêchent les êtres humains qui s'y adonnent de rencontrer leurs propres ténèbres afin de se libérer de leurs propres peurs. Elles constituent d'adroits moyens de détournement de notre propre responsabilité individuelle, et de la nécessité de nous défaire de nos illusions afin de générer une nouvelle dimension de réalité basée sur un champ de fréquences plus élevées.

 

Selon les travaux de l'architecte géologue égyptien Ibrahim Karim (photo 1) dans son ouvrage "BioGéométrie - Retour à un avenir pour l'Humanité" (Back to a Future for Mankind), l'évolution de l'être humain au niveau cérébral pourrait être à l'image de cette rythmique musicale. D’abord une unité de l'hémisphère droit du cerveau, permettant le rapport sensible direct à la nature, puis une unité de l'hémisphère gauche, permettant à l'intellect caractéristique de l'égo* d'exercer la raison, avant que de revenir à l'hémisphère droit. En s'effectuant, cette double activation permet la vision de l'ensemble comme de l'unité, l'égo étant alors intégré, fusionné.

Il en découle la compréhension des divinités honorées par les Égyptiens, perçues comme les archétypes vibratoires de la Création, les "neters" *² (image 4), et telle que formalisée par le célèbre philosophe, métaphysicien et égyptologue français René Schwaller de Lubicz (1887/1961 - photo 5). Ces mêmes neters, spécifiquement conçues pour harmoniser l’environnement de par leurs proportions, se retrouveraient dans notre panthéon des anges, toutes ces divinités formant toujours le chiffre 9*³. Il y a ainsi 72 (9) ou 81 (9) anges, 99 noms de Dieu, etc. Elles sont par là-même incomplètes, n'étant que des aspects de l’unité. C'est tout le sens de l'approche kabbalistique juive, qui s'est nourri de ce référentiel égyptien pour constituer son explication cosmogonique*.

* Cf. Décryptage de l'égo.

Dans la pensée égyptienne le créateur et ses créatures sont un même être, le Neter … Celui-ci n’est pas séparable de tout ce qui est dans l’univers. Il a une identité fonctionnelle : il ne peut être et évoluer que dans un ensemble cohérent de forces universelles. Il appartient à un réseau mélothésique (relations établies entre les astres et le corps humain) dont il est aussi le moteur.

Cf. Symbolisme des nombres. Les nombres considérés comme partageant l’énergie spirituelle sont 13, 19, 28, 34, 43, 54, 68, 72, 83, 89, 99…

*⁴ Cf. Le Judaïsme décodé.

 

La musique des sphères explique que les formes agissent sur la matière comme un "son". C'est ce que les travaux de l'auteur

Masaru Emoto (1943/2014 - photo 2) tendent à démontrer quant aux effets de la pensée et des émotions sur l'eau, même s'ils n'ont jamais été validés par la communauté scientifique, nombre d'entre eux considérant ses procédures expérimentales insuffisantes et se prêtant à des biais cognitifs quant à l'interprétation des résultats. Il en est de même avec les médecins français Jacques Benveniste (1935/2004 - photo 3) et Luc Montagnier (1932/2022, prix Nobel 2008 - photo 5)* dans le cadre de leurs travaux sur la mémoire de l’eau - toujours controversés par une partie de l'establishment scientifique alors qu'ils ont été validés par nombre de laboratoires à travers le monde -, qui démontrent qu'en diluant et diluant une solution d'eau au contact d'un élément extérieur, celle-ci en conserve la mémoire de ses molécules alors même qu'il n'y avait plus de molécules suite à l'opération de dilution. Ils reposent ainsi sur la réceptivité de la structure moléculaire de l'eau (90 % du corps humain est composé d'eau), plus élevée que celle des autres éléments (feu, air, terre). Ainsi les cristaux d’eau exposés à des simulacres mentaux comme à une multitude de sons différents fourniraient suivant leur nature de beaux cristaux parfaits, cohérents comme difformes. Entre l’écoute de Mozart ou d’un groupe de "heavy metal", l’expression de paroles de joie ou de colère, il est aisé d’en imaginer la conséquence sur notre bien-être. Si l’eau de Lourdes est considérée comme miraculeuse, c’est que son niveau de cohérence puise dans l’intention sincère des pèlerins et leur émission de fréquences d’amour inconditionnel.

Ce schéma de fréquences et d’ondes porteuses d’informations constitue d'ailleurs la théorie de base de fonctionnement de l’homéopathie, dont la préparation dite dilution consiste à donner d'abord de l'énergie à la partie non cohérente de la solution, soit de l'eau, avant que de transporter par celle-ci l'information nécessaire au traitement dans sa partie cohérente qui en conserve alors la mémoire. On parle alors de succussion (ou potentisation), qui voit la mémorisation de l'information se manifester à l'intérieur de la dilution sous réserve de ne pas congeler les solutions ni les chauffer au-delà de 70°C, tout comme il est nécessaire que de l’oxygène soit présent dans l’atmosphère entourant les solutions et que les champs magnétiques soient bannis de l’environnement immédiat.

Le chimiste à l'Université de Strasbourg Marc Henry (photo 6), à travers ses travaux sur l’eau, la chimie moléculaire de l’oxyde de titane et l’application de la théorie quantique à la réactivité chimique des molécules, a de son côté validé la doctrine homéopathique qui repose sur le principe Similia Similibus Curantur ("un traitement similaire") énoncé dès 1810 par le médecin allemand Samuel Hahneman (1755-1843) dans son Organon der Heilkunst ("Organon de l'art de guérir"). Pour appliquer ce principe à des produits extrêmement toxiques, voire mortels, il est impératif de diluer le principe actif jusqu’à sa disparition totale, le fait de secouer violemment les solutions entre chaque dilution améliorant considérablement l’effet thérapeutique. La clé du puzzle se trouve bel et bien dans les relations étroites qu’entretiennent l’eau et l’électromagnétisme, autrement dit dans l'existence d'une structure énergétique de nature cristalline (eau, quartz, silice) organisant les informations.

Quant au biologiste et physiologiste français René Quinton (1866/1925 - photo 7), qui élabora une théorie sur l’origine et la nature marine des organismes vivants, il conçut un sérum à base de plasma marin qui, sans attaquer aucun microbe particulier, donne à la cellule organique la force pour lutter contre tous les microbes. Dans une vision absolue, cette méthode de renforcement immunitaire vise à remplacer, comme pour un aquarium, l’"eau polluée" du milieu intérieur par de l’eau marine saine, particulièrement adaptée à la physiologie cellulaire, même si cette thérapie marine, utilisée le plus souvent dans le cadre dit des "médecines naturelles", ne repose elle-aussi pour l'establishment sur aucune preuve scientifique, expliquant qu'elle soit tombée en désuétude, sauf pour les personnes averties...

* Il est également fortement attaqué par la communauté scientifique pour ses prises de position anti-vaccinatoire.

 

Les fabuleuses propriétés de l'eau

L’eau est l’élément indispensable qui porte la vie et qui la conserve, sous réserve de sa pureté naturelle*. Elle est composée de 4 états - solide, liquide, gazeux, plasmique -, lui permettant d'être un des meilleurs champs de conservation de l'information. C'est pourquoi elle n’est pas une simple matière morte, possédant son déterminisme interne qui sert de médium à des forces génératrices de formes et se prêtant à tout moment à être modelée de dehors. C'est ce que démontrent les travaux de l'ingénieur hydraulicien allemand Theodor Schwenk (1910/1986 - photo 1) dans son ouvrage "Le Chaos sensible" (1962) qui a été salué comme la première monographie phénoménologique de l’eau et de l’air. Il y démontre par exemple comment la Lune fait réellement vibrer l’eau des corps sur Terre et produit des tonalités musicales, créant ainsi une mélodie symphonique de sons. De même, il évoque le rôle de l’eau dans la "Symphonie du Temps", comme les catastrophes météorologiques. Sur le plan spirituel, le flux de l’eau relie en permanence la vie et la mort, médiateur entre les deux, sa surface fournissant une frontière commune à leur rencontre dans la nature. L'eau est l'organe des sens de la Terre, qui perçoit les influences cosmiques vitales et les transmet à la vie terrestre. Elle est ainsi porteuse du cycle qui contient toute vie, l'air que nous respirons étant composé à 60 % d'eau sous forme de particules microscopiques*² ! En quelque sorte habite dans chaque goutte d’eau une divinité que nous servons tous, la Vie. Elle en est l’âme, la substance première.

* Une étude parue en février 2022, faisant partie du "Global Monitoring of Pharmaceuticals Project" dirigé par l’Université de York et publiée dans les Actes de l’Académie nationale des sciences, montre à cet effet que les médicaments et autres produits pharmaceutiques ne sont pas purifiés à partir des eaux usées par les systèmes d’eau potable, à moins que des systèmes de purification très coûteux ne soient utilisés. Les pays et les régions du monde les plus pollués sont l’Afrique subsaharienne, l’Amérique du Sud et certaines parties de l’Asie du Sud. Les drogues qui ont été détectées dans les rivières sont notamment la Carbamazépine, un médicament anti-épileptique, la Metformine, un médicament contre le diabète, la Caféine et les antibiotiques. Ces produits pharmaceutiques et autres composés biologiquement actifs utilisés par les humains sont connus pour nuire à la faune. Quant aux antibiotiques dans l’environnement, ils augmentent le risque de résistance aux médicaments, l’une des plus grandes menaces pour l’humanité, constitutifs selon les conclusions de l'étude d'une prochaine pandémie.

La goutte d'eau est un combiné d'hydrogène (le premier atome) et d'oxygène.

 

Si l’on veut étudier la "valeur" d’une eau, il suffit de photographier les "formes" complexes qu’une goutte de cette eau donne en tombant dans un milieu liquide de référence. Plus une eau est chargée en énergie cosmique, plus les formes qu’elle donne sont riches et harmonieuses.


Pacifique

"Ah ! Dieu que c'était beau Le jour où nous sommes sortis de l'eau Que c'était beau !"

Claude Nougaro (1929/2004) - Chanson de l'album studio éponyme sorti en 1989.

 


Magie thérapeutique naturelle de l'eau

L’utilisation des bains dans un réceptacle en métal pour améliorer la santé d’un individu est intéressante, car l’eau a un angle moléculaire particulier qui est similaire aux angles utilisés dans la construction des fameuses chambres des pyramides égyptiennes. Celles-ci, en modèle réduit avec les chambres intérieures ayant le même ratio acoustique que les "modèles" à grande échelle, conservent en effet tant des fruits que des lames de rasoirs. Ainsi, la molécule d’eau trouve une résonance dans les topologies subtiles des différents niveaux de causalité. C’est un exemple de "magie naturelle", sans recours à un messager "angélique" ou "démoniaque", ni de diagrammes ou systèmes intellectuels et/ou symboliques spécifiques.

 

Les "eaux de lumière blanche", ou les étranges découvertes des scientifiques sur les sources d'eau miraculeuses

Des sources à travers notre planète ont des propriétés miraculeuses - Lourdes, Fatima (Portugal), Medjugorje (Bosnie-Herzégovine) -, à savoir des caractéristiques particulières après certaines "apparitions". Elles sont appelées eaux mariales ou de lumière en raison de leurs pouvoirs de guérison, comparables à d'autres eaux naturellement pures, saines, bienfaisantes ou régénératrices, aux propriétés curatives exceptionnelles connues de tous temps (ainsi les eaux thermales).

Elles ont été étudiées particulièrement par des scientifiques italiens de l'université de Milan et par le CIRIME (centre italien international de recherche et d’enseignement de médecine énergétique), qui ont remarqué que leurs fréquences et leurs résonances sont similaires à celles du cerveau humain. De plus leur énergie est constituée par une force électronique, la forme d'énergie la plus pure qui soit. Ces eaux sont stables dans leurs structures, génèrent sans arrêt et sont reproductibles à l'infini sous certaines conditions. Qui plus est, le "spin" de leurs molécules est dextrogyre, c'est à dire qu'il tourne à droite. De ce fait, ces eaux ont tendance à se densifier à partir de leur énergie vers l'état de la matière, alors qu'en homéopathie ou en fleurs de Bach, c'est l'inverse, le spin est lévogyre, tournant à gauche.

En fait, chaque atome, chaque molécule, chaque tissu a une vibration particulière qui correspond à un son et à une couleur, cet ensemble déterminant l’harmonie de la santé ou la disharmonie de la pathologie. D'où l’importance de l’eau en tant que conducteur par excellence de chaque vibration… C'est ainsi que, malgré l’afflux de fidèles malades et sains qui s’immergent, l’analyse des fréquences de l'eau de ces lieux montre qu'elle contient toutes les sept vibrations de base de la lumière solaire, permettant l'élimination de beaucoup de germes pathogènes présents. Il en est également ainsi pour les eaux du Jourdain et du Gange considérés depuis toujours comme des fleuves sacrés.

Le professeur Boguslaw Lipinski de l’université de Boston, a également observé que "durant les apparitions de Medjugorje une énorme radioactivité positive dans l’air, encore maintenant inexplicable en termes scientifiques, s’exprime par l’ionisation de l’air à un niveau que nous ne connaissons pas." Il confirme par là-même les travaux du physicien néerlandais Hendrik Antoon Lorentz (1853/1928), professeur d’Einstein et prix Nobel en 1902, et du physicien allemand Max Planck (1858/1947), qui mirent tous deux en évidence la réalité des énergies vibratoires des ondes cosmiques : "Tout vibre dans l’univers, la matière inerte comme la matière vivante" pour le premier et "La matière comme telle n’existe pas ! Toute matière n’existe qu’en vertu d’une force qui fait vibrer les particules et maintient ce minuscule système solaire qu’est l’atome…" pour le second. Comme la vie s’est construite sur l’eau, avec les différentes propriétés physico-chimiques dont les propriétés diélectriques* de l’eau, la polarité permet le mouvement (attraction-répulsion) entre les pôles opposés. On comprend donc aisément que la vie dépend de ces échanges, de cette communication.

L’eau lors de son voyage va entrer en contact avec certains terrains, certaines roches, minéraux, fossiles, oxydes, métaux, certaines radioactivités naturelles (très ténues), courants électromagnétiques, et autres éléments naturellement filtrant qui vont l’enrichir et la traiter naturellement, la chargeant, par échanges moléculaires mais aussi et surtout de fréquences vibratoires de ces différents terrains… Il en va de même pour les caractéristiques négatives (naturelles ou liées à l’activité humaine) : radioactivité forte, pollution, champs électromagnétiques négatifs etc. Certains contextes peuvent aller jusqu’à inverser la polarité de l’eau. C’est pourquoi aucune eau n’a les mêmes particularités, les mêmes capacités. Si le parcours de l’eau change, ses propriétés changent aussi. Beaucoup d’eaux excellentes perdent beaucoup ou la totalité de leur efficacité dès la sortie de leur domaine de résurgence. L’eau, ni minérale, ni organique, tout en étant leur élément majeur, est l’interface active et informative entre ces deux mondes. L’eau est médiatrice, extrêmement sensible aux ondes quelles qu’elles soient. Cet effet est visible même à l’œil nu : une goutte d’eau soumise à l’influence d’ondes vibratoires sonores ou lumineuses prend des formes et structures très différentes selon la variété d’ondes qu’elle reçoit (voir travaux du photographe allemand Alexander Lauterwasser par exemple). Une même onde produit toujours la même forme. La moindre variation modifie l’arrangement moléculaire des particules d’eau entre elles au sein même d’une goutte (soit environ 1700 milliards de milliards de molécules).

Les matières organiques étant constituées à plus de 90% de molécules d’eau (en nombre de molécules), rien d’étonnant donc que les multiples ondes qui nous entourent aient une influence sur les êtres vivants. Une musique qui nous touche, n’est ni plus ni moins qu’un ensemble d’ondes qui entrent en résonance avec l’eau de notre corps. Il en va de même avec les plantes. C'est la raison pour laquelle les plantes réagissent au son d’une musique adéquate, au son d’une voix, et que cette même plante, ce fruit, ce légume… soient capables de restituer à leur tour cette fréquence, cette énergie emmagasinée. L’eau, à l’état naturel, crée ses propres mouvements et sonorités (volutes dans une rivière, bruits d’écoulement, de cascades). Elle crée donc ses propres ondes…

Nous pouvons ainsi comprendre beaucoup mieux pourquoi et comment l’eau a cette capacité exceptionnelle d’auto-purification, d’auto-régénération (pour peu qu’elle ait cette liberté, contrairement à ces mouvements rectilignes imposés par nos réseau urbains et autres canaux, par exemple). Les vortex, par exemple, sont formés par la nature de façon permanente. Il a été démontré que les mouvements d’un vortex permettent à l’eau de s’énergiser de manière intense.

* Ce sont ces propriétés diélectriques qui donnent à la molécule d’eau la faculté (comme d’autres molécules) d’absorber et de ré-émettre un certain nombre de fréquences électromagnétiques. Ce sont des valeurs discrètes, précises, de l’ordre de la physique quantique. Tout comme le sel est un absorbeur d’humidité, l’eau est l’élément le plus capable de se charger ou de se "teinter" de tout ce qui l’entoure. Ces propriétés sont valables tant sur le plan chimique (solvant universel), qu’au niveau énergétique : l’eau peut recevoir une augmentation de sa fréquence vibratoire jusqu’à 150 000 fois supérieure à la vibration qu’elle possède à l’origine dans sa situation inerte.

 

Le chercheur pionnier allemand dans le domaine de l’hydrologie, Bernd BRUNS (photo 1), a réussi une première en photographiant grâce à un microscope spécial l’eau dans son état fluide naturel, ce qui est relaté dans son livre Attention Eau - Regards dans l'âme de l'eau. Par cette nouveauté sans équivalent, il a réussi à rendre visible le langage codé de l’eau vivante, considérée depuis l'Antiquité comme sacrée en tant que solvant universel (elle transporte les substances chimiques présentes dans le corps humain et élimine les produits toxiques grâce à sa formule H2O - les 2 atomes d'hydrogène), et qui depuis a été tant détournée de son cours naturel pour servir des intérêts industriels que polluée (injonction de fluor entre autres et autres toxicités chimiques telles que pesticides, fongicides, nitrates, molécules médicamenteuses... qui se retrouvent dans les nappes phréatiques et pour lesquelles les stations d'épuration ne sont pas adaptées) aux fins d'en limiter les vertus thérapeutiques ... Sans compter les conséquences des pollutions électromagnétiques. Il va sans dire que l'eau de source pure - rare dans le commerce - est une denrée en "or"* !

* Le médecin grec Hippocrate (IV° siècle av. J.-C.) guérissait avec de l'eau de Kos, son île natale, dite solaire. Il en est de même avec l'eau de Lourdes, qui possède les mêmes qualités oscillatoires.

 

Des vertus bienfaitrices de l'ozone

L’Ozone (O3 - image 5) est un gaz incolore qui existe dans la nature, molécule naturelle composée de trois atomes d’oxygène réunis par l’énergie solaire*. Son odeur ressemble à celle de la plage, ou à celle qui règne après un orage. Effectivement, cette odeur fraîche de "pluie de Printemps", cadeau de la Nature, naît généralement dans la Nature comme réaction aux éclairs pendant un orage lorsque les rayons ultraviolets du Soleil réagissent avec l’atmosphère terrestre supérieure (qui forme la couche d’ozone) protégeant la Terre. C'est pourquoi évoquer de nos jours "le trou dans la couche d’ozone" c’est faire référence à cette béance dans la stratosphère qui provoque de graves dérèglements climatiques, présageant eux-mêmes de catastrophes pour l’humanité. Cette couche d’ozone joue en effet un rôle essentiel à la vie, tant végétale qu’animale, en protégeant la Terre de certains rayonnements solaires (au final, à peine 50 % d’entre eux parviennent donc sur notre belle planète).

Les vertus de ce gaz de couleur bleutée à l’odeur âcre, découvert en 1840 par le chimiste allemand Christian Schönbein (1799/1868 - photo 6), en Suisse, étonnent par la puissance et l’étendue de leurs applications thérapeutiques possibles (capacités antibactériennes, curatives, hyper ciblées et durables). Si l’ozone est en effet correctement appliquée, elle peut être diversement utilisée. C'est pourquoi son recours dans la médecine n’est pas nouveau. Pratiquée dès la fin du XIXe siècle, cette thérapie a été utilisée par l’armée allemande pour soigner les blessures et les infections de ses soldats durant la Première Guerre mondiale. Dans les années 1940, des traités scientifiques ont été publiés sur les propriétés curatives et bactéricides de l’ozone. Aujourd’hui, après 125 ans d’usage, la thérapie par l’ozone est reconnue dans pas moins de 16 pays.

* Celle-ci a le pouvoir de faire et de défaire les molécules d’O2 et d’O3 dans un jeu de ping-pong atomique pour instaurer un équilibre dynamique et protecteur.

  

La transformation des élémentaux constitutive de l'évolution de la matrice terrestre

Les cinq élémentaux (air, eau, feu, terre, éther - image 1) sont les énergies de base qui composent l’Univers. En se mélangeant les unes aux autres (image 2), leur combinaison génère de nouvelles formes et propriétés. Chacun de ces éléments est porteur non seulement de certaines propriétés, mais aussi d’un programme d'évolution spécifique à caractère multivectoriel et multidimensionnel. C'est de cette manière, sous forme de "lots" mous, que les entités co-créatrices les ont initialement téléchargés dans la Noosphère, permettant l'apparition de la Terre physique et accompagnant progressivement sur des milliards d'années le développement de la Terre de 1-D à 3-D, sa dimension tri-dimensionnelle. Ils contribuent de même à la constitution des mouvements des couches d’énergie et des plans d’air qui entraînent leurs changements de position pour ouvrir les murs noirs d’énergie séparant les mondes de 3-D jusqu'à la 6-D.

L’élémentaire air* sature, qui sature notre champ mental, sert de conducteur à l’Intelligence Supérieure. Il est également le lien pour la manifestation des qualités et propriétés des autres pouvoirs primaires. L’hydrogène est en effet la substance primaire base de la matière, sa matrice en tant que structure énergétique, et qui forme l’origine et l’achèvement du plasma, celui-ci ayant recours à l'azote pour le développer et saturer les différents systèmes énergétiques et biologiques en évolution. Quant à l'oxygène, elle crée un champ de force pour le développement de la matière biologique, et régule le volume du plasma d’Intelligence transmis. L’argon de son côté modifie les champs de force, affecte le travail de la nouvelle matière de 5-D, et forme des canaux énergétiques pour les flux quantiques. Le néon a lui un impact sur les cycles de fractionnement du plasma de la matière, régule l’état et le fonctionnement des canaux énergétiques, et est une substance liant l’énergie des éléments. L’hélium sert de centre de communication et de traducteur d’énergie d’information, et constitue également une partie importante du champ de protection de la planète. Il soutient également le "Quasitron", qui englobe le Triangle des Bermudes, la Méditerranée et la Mer du Diable (la mer du Diable, ou le triangle du Dragon, partage des caractéristiques étrangement similaires au triangle des Bermudes. Cette région est très fréquentée par les pêcheurs japonais) où la nouvelle matière de la Terre et de tous les êtres vivants se forme continuellement au niveau du noyau cellulaire. Le krypton assure une transition vers le stade suivant de l’intelligence supérieure, renforce la protection énergétique contre les émissions 2-D, les bloque et élimine progressivement la matière bidimensionnelle. Le xénon régule l’ionisation des couches supérieures de l’atmosphère, favorise les sorties vers d’autres dimensions, créées par le mouvement du plasma, libéré de la matière par les fréquences sonores.

Le xénon sert de conducteur de ces fréquences, participant ainsi à la transformation de la matière. L’iode affecte l’état de l’atmosphère, modifie les fréquences des champs magnétiques et crée des formes pensées, en les saturant d’énergie.

C'est pendant la "Nuit Cosmique", autrement dit l’ère de la dualité, que les Forces involutives (les Noirs et les Gris ou Archontes - image 3) ont complètement reconstruit à leurs fins ce mécanisme, qui joue un rôle clé dans le maintien de la vie et l’évolution des terriens et de la Terre pour répondre à leurs besoins parasites. Ainsi, le dioxyde de carbone est devenu pour l’homme un poison éthéré, son cristal causal étant un accumulateur idéal d’informations négatives, de virus de la mort et de karma. L’isotope radioactif Oxygène-15 contient également une substance karmique.

Toute l’atmosphère terrestre a ainsi été transformée en un dépotoir toxique par ces entités involutives qui y ont déversé non seulement leur karma, mais aussi des émissions chimiques, de transport, industrielles et autres, nous forçant à respirer ce mélange mortel, écourtant ainsi nos vies. Paradoxalement, même l’ozone, inhalé avec ce cocktail, est devenu toxique pour l’homme, son fort pouvoir oxydant ayant des effets dangereux avec un impact sur les organes respiratoires à même de provoquer des irritations et des lésions tissulaires ainsi que sur le cholestérol dans le sang, ce dernier formant des dépôts insolubles qui conduisent à l’athérosclérose. Si nous pouvons respirer différentes sortes de saletés, ce n'est malheureusement pas le cas de l’air "idéal".

Toutefois, l'évolution actuelle de la matrice terrestre (image 4) sous l'impulsion des forces de lumière et de l'élément Feu crée une nouvelle matrice d'air par l'élimination de l’"Archonte noir" principal (et ses 144 sous-archanges) qui se trouve au centre de la Rose des vents (image 5), destiné à être brûlé comme dans un haut fourneau. Elle purifie ainsi la partie la plus active du karma, et permettant à tous les programmes formant l’air chargés dans la Noosphère à permettre l'évolution des êtres humains en voie d'éveil, tout comme de la planète, dans de nouvelles dimensions.

Il comprend l’Azote (78,084% du volume total), l’Oxygène (20,946%), l’Argon (0,9340%), le Dioxyde de carbone (0,04%), le Néon (0,001818%), l’Hélium (0,000524%), le Méthane (0,000187%), le Krypton (0. 000114%), l'Hydrogène (0.00005%), le Xénon (0.0000087%), l'Ozone (0.000007%), le Dioxyde d’azote (0.000002%), l'Iode (0.000001%), le Monoxyde de carbone (0.00002%) et l'Ammoniac (trace).

Cf. en complément Fonctionnement de l'architecture du Vivant.

 

Signature universelle

 

Les "ondes longitudinales/de torsion/de compression" sont à l'image de vagues qui ont leurs harmoniques autour des objets constitutifs de la matière. Cette vibration qui se propage contient les pensées et les émotions qui imprègnent la matière, l’énergie cosmotellurique du lieu, toutes les énergies électromagnétiques et toutes les informations sur la matière qui rayonne (structure, couleur, type d’atome). Les ondes de forme sont accentuées tant par les phénomènes cosmotelluriques que par les champs électromagnétiques (ainsi un téléphone sans fil). Aussi peuvent-elles renforcer les effets négatifs, que ce soit des courants d’eau souterrains et des failles, au point de rendre parfois un lieu invivable.

Tout type de géométrie a de ce fait une action, non seulement au niveau éthérique, mais aussi sur les plans astral et mental. C'est pourquoi chaque type de formes a une action plus ou moins accentuée de par sa résonance sur les plans physique, émotionnel, mental et spirituel de l’individu. Ceci entend qu'elle est très sensible à des changements mêmes infimes du motif qui la caractérise. Si elle est dessinée d’une autre manière ou en commençant par un autre endroit, la forme ne produira pas la qualité d’énergie subtile désirée. Tout en ayant la même apparence, elle pourra perdre son pouvoir. C'est pourquoi le point de début et de fin de la forme dessinée est une affaire très délicate.

 

Des effets des symboles : l'exemple du svastika

Les symboles peuvent avoir par leur forme un effet sur le champ vital, à l'exemple du svastika. Ce symbole remonte à des milliers d’années, ayant été utilisé notamment par les hindous, les bouddhistes et les jaïns* comme symbole de bonne fortune dans presque toutes les cultures du monde (image 3). Dans l’ancienne langue indienne, le sanskrit, il signifie "bien-être".

Les premiers voyageurs occidentaux en Asie ont été inspirés par ses associations positives et anciennes, et ont commencé à l’utiliser chez eux. Ainsi le svastika dextrogyre (image 1), qui va dans le sens horaire, augmente le champ vital, tandis que le svastika levogyre (image 2), allant dans un sens a horaire, le diminue.

C'est de cette manière que les puissantes Intelligences spirituelles prédatrices utilisent l’énergie subtile humaine, l’aspirant dans un sens anti-horaire dans un univers alternatif comme au travers d’un "trou noir " astronomique hyper-dense, et pouvant créer une atmosphère appauvrie en énergie subtile. Quant aux adeptes nazis, ils ont adopté la spirale anti-horaire d’énergie subtile que connaissaient de nombreuses traditions (chamanisme ancien, hindous, indiens d’Amérique, tibétains, chinois, celtes, tradition nordique, etc). Cependant, dans le système nazi, la spirale interdimensionnelle ne va que dans un sens. De ce fait, l’empire Nazi n’a pas duré longtemps, ayant épuisé toutes les ressources vitales disponibles qui furent consumées "de l’autre côté" de la frontière dimensionnelle. Les "cycles" de civilisations ne sont rien d'autre que les signes matériels d’une "récolte" récurrente du "jus émotionnel" des populations.

* Le Jaïnisme ou Jinisme, du sanskrit jina "victorieux" (de ses sens), est une religion, un chemin spirituel qui insiste sur les concepts d'ahimsa (non-violence) et de karma et qui met l'accent sur l'ascétisme.

 


Certains motifs (images 1 et 2) ont de ce fait une action, dans la mesure où leurs formes correspondent à des organes internes de la biologie humaine. Il en découle un intérêt certain dans l’architecture ou dans le mobilier afin de contribuer au bien-être des individus. Ils sont similaires aux symboles utilisés dans le reiki (image 3), et d’autres comme des mandalas (image 4), des sculptures ou masques africains (image 5), ou encore ceux du Kunta Yoga, discipline enseignée par Tosha*, un mystique et guérisseur russe pendant les années 80, spécialiste de l’énergie psychique (images 6). Ils font également penser aux sigils magiques d’Austin Osman Spare, artiste et un magicien anglais (1886/1956 - photo 7), soit des symboles tracés sur un papier (image 8), une écorce d’arbre, un carton, une plaque en verre, son propre corps, un aliment, une chaussure, un pigeon, une chaussette sale… ce que l’on veut du moment que ça parle au praticien. Ils doivent symboliquement représenter l’intention du pratiquant, mais de manière à ne pas être interprété directement par le conscient (image 9)*².

* Sa recherche spirituelle était complètement coupée de toute tradition, en opposition totale au conformisme ambiant, et qui cherche à survivre et à s'exprimer en renouant avec les traditions les plus anciennes. Tosha était un visionnaire qui semble avoir puisé ses connaissances dans une source d'inspiration directe qui reste mystérieuse. Ses enseignements rappellent par bien des côtés aussi bien les enseignements de Georges Gurdjieff que ceux de Carlos Castaneda. Spécialiste de l'énergie psychique, son enseignement comporte des instructions spécifiques aussi bien de magie que de méditation.

Comme toute pratique magique, la magie sigillaire nécessite une mise en garde. Si elle "permet" de demander énormément de choses, elle attire inévitablement à soi des désagréments lorsque l'intention n'est pas pure. C'est pourquoi sa pratique ne peut être mise en n'importe quelles mains, sauf à ce que l'impétrant inconscient signe avec les forces ténébreuses de l'univers un "pacte" qu'il regrettera longtemps ...

Cf. Oeuvre de Austin Osman Spare présentée dans le livre "Les sigils, la magie du XXIème siècle" de Soror D.S (Melmothia) et Spartakus Freeman (photo 7).

 

L'action du Kunta Yoga

L'auteur russe Ilia Beliaev a décrit dans son livre TOSHA - La vie et les enseignements d'un mystique russe (2004) dont il fut disciple le pouvoir d'action du Kunta Yoga à travers ses centaines de signes et de mantras, ainsi que des pratiques diverses, destinées à diriger le flux de l’énergie intérieure. "La visualisation des signes à l’intérieur des chakras et des nadî (centres et canaux énergétiques) les purifie et leur donne la forme d’accomplir une transformation intérieure. Les symboles et mantras du Kunta peuvent être également utilisés pour le contrôle des situations extérieures, grâce au changement de leur structure énergétique : par exemple, on peut neutraliser une attaque, aussi bien physique qu’astrale, à l’aide du symbole ahimsâ, qu’il faut visualiser distinctement entre l’agresseur et sa victime. Après une certaine pratique, le symbole "s’allume" d’un vif éclat, simplement quand on y pense. (…)

Il faut représenter les symboles dans des tons clairs. On peut également travailler avec des signes de couleur noire, mais ils doivent être entourés d’une auréole dorée.

Habituellement, le symbole prend lui-même la couleur la plus adaptée à une situation donnée. Dans le Kunta, il y a aussi bien des symboles généraux – pour la purification, l’alimentation en énergie, l’harmonisation ou la protection – que des symboles plus spécialisés – comme, par exemple, le symbole pour la recherche de sa moitié androgyne, des signes pour le travail avec les énergies solaire et lunaire, des symboles médicaux, et d’autres encore. (…)

La plupart des signes s’accompagnent de mantras, mais il existe aussi des symboles muets. Une prononciation précise des mantra détermine le succès de l’emploi de la technique. Lorsque la prononciation du mantra est exacte, un bruissement ténu se fait entendre et se prolonge après que le mantra a été dit. Cette émission sonore signifie que le mantra qui accompagne la visualisation du symbole correspondant fonctionne au maximum de son efficacité" (Tosha, p.52-53).

 

Ainsi la manifestation vivante de l'Univers se retrouve dans cet aspect d’équivalence entre le son et la forme, dont l'association maîtrisée permet l'activation de sa pleine puissance énergétique, qualifiée de spirituelle. Elle passe par la visualisation d'un symbole combinée à l'émission du son propre à sa fréquence, correspondant à une couleur, ainsi qu’à une pensée, etc. Lorsque l’association est juste, cette technique pourrait agir directement sur la réalité, en provoquant des décharges d’énergies, ou même en "matérialisant" des objets. Tout réside dans les justes proportions justes de chaque ingrédient, chaque "constituant" de la matière étant requis.

Nous pouvons alors comprendre comment les hommes sages de notre lointain "passé" étaient dotés d'une technologie toute autre que la contemporaine. En faisant usage de la simple arithmétique et de la géométrie comme des relations spatiales, en conjonction avec le son, elle permettait d'accomplir des choses de grande portée qui demeurent des énigmes à notre sagacité actuelle*. Cette ancienne technologie était la science de la maîtrise de l’espace, du temps, et de la pesanteur, caractérisant l’Âge d’Or civilisationnel. Nonobstant le fait que des cataclysmes ont pu balayer la plupart des marques d’une telle civilisation, nous avons ici une explication de l’absence de vestiges métalliques et autres objets manufacturés qui pourraient être considérés comme des témoignages de la "civilisation". Au regard de notre prétendue modernité et de ses effets délétères technologiques, nous sommes bel et bien dans une fin de cycle civilisationnel ...*²

* Cf. Vérité civilisationnelle.

Cf. Compréhension de la conspiration prédatrice & Fin de cycle (1) Fin du temps ou fin des temps ?

 

"Grâce au flux l'homme grandit dans la lumière, qui devient une partie inséparable de son existence. Vivre dans le courant c'est la fin de la solitude. Sois celui que tu es. Un secret vit en toi. Découvrir ce secret c'est ce qu'il y a de plus difficile sur terre. En cherchant à être quelqu'un d'autre, tu passes à côté de ta chance. Pour découvrir ce secret, il faut s'arrêter d'essayer sur soi tous les masques possibles et voir son être tel qu'il est, pénétrant tout et infini."

Tosha - Enseignant mystique russe

 

Déséquilibre / Désalignement / Décohérence : le recentrage

 

L'excès de tension comme les conflits non digérés conduisent à la fragmentation de l’âme (l'aura), soit à la dissociation entre les plans subtils. Celle-ci constitue une coupure tant avec le corps qu'avec les autres, la vie étant alors "subie" : vie lourde, incompréhension de soi, non-écoute de soi, déconnexion…

Au niveau de la colonne vertébrale, les zones bloquées sont significatives des cristallisations de charges émotionnelles. Les émotions peuvent être (selon leur situation, de bas en haut sur la colonne vertébrale) : inexistantes (inconscientes), refoulées, inhibées, retenues, réprimées, non exprimées, non visibles, ou bloquées. Une émotion non libérée induit une cristallisation. Comme il y a une correspondance entre centres énergétiques (chakras), vertèbres et organes, un blocage se traduit par une douleur, une tension, qui finit par déplacer une vertèbre et provoquer une pathologie.

 

Après un choc psycho-émotionnel, le mécanisme auto-réparateur du corps est que la glande pituitaire (hypophyse) trouve une action pour résoudre un problème (réponse extérieure) et que la glande pinéale (épiphyse) produit une action intérieure (apaisement). Ce sont ces deux réponses utilisées de pair qui rétablissent l’homéostasie après tout déséquilibre.

Cependant, notre culture favorise l’hypophyse, au contraire de l’épiphyse qui gère et évacue les émotions négatives au lieu de les cristalliser en soi (ex : pleurer). Or une réponse au stress est saine lorsque l’émotion est vécue, exprimée et reconnue. Si l’émotionnel n’est pas reconnu, il se forme une cristallisation des tensions et une rigidité.

Une réponse problématique au stress bloque les émotions, et conduit à un besoin de compensations : sport, activité artistique, respiration, nourriture, vampirisme, etc. Une compensation est une activité nécessaire pour aller bien.

 

Quant aux blessures originelles, elles sont issues de l’histoire de nos ancêtres. Elles arrivent très tôt dans notre vie et sont profondes. Elles sont ravivées durant l’adolescence, et à l’âge adulte la personne peut essayer de les comprendre pour dépasser son schéma. Il s’agit alors de surmonter ses faiblesses. Ces perturbations se traduisent selon les cas de figure par : abandon, dévalorisation, enfermement, sacrifice, amour, honte, exclusion, trahison, rejet, séparation, indifférence, victimisation, identité, exigences, déception, injustice.

De leur côté, les liens qui s'établissent entre des personnes sont constitutifs de "cordes énergétiques", n'étant limités ni par l’espace ni par le temps. S'ils peuvent créer par leur dynamique une évolution au sein d’une espèce (lien de résonance, lien de complémentarité…), il y a aussi des liens qui limitent l’évolution (lien de dépendance, lien en tension, lien en conflit, lien toxique…).

 

Les "coups durs" de la vie ou les maladies révèlent des déséquilibres et cristallisations émotionnelles qui permettent de travailler dessus pour obtenir un meilleur alignement. Le processus de guérison passe d’abord par la compréhension (pituitaire), puis l’acceptation (pinéale), l’harmonisation (pituitaire + pinéale) qui apporte l’information d’un nouveau comportement, puis la transmutation (mise en action, par l’hypothalamus + glandes du corps), puis enfin l’intégration (réception, toutes les cellules du corps impliquées). Il y a ainsi des phases dans le processus de guérison, qui passent par un ordre défini de chakras (de haut en bas). L’alignement produit à la fin une sensation de légèreté.

L’évaluation de la guérison s’effectue en vérifiant plusieurs critères :

. La cohérence - ce que l’on montre est ce que l’on est - ;

. La fluidité, qui permet une mise en mouvement et un changement ;

. L’alignement : bonne circulation de l’énergie et épanouissement.

Comme en alchimie, il y a une transmutation de la matière lourde en matière noble. Il s’agit de ne plus être en résonance avec des empreintes karmiques lourdes. Le processus de transmutation passe par des fontes successives, une restructuration, l’unité, la réintégration de l’esprit (rayonnement). Il est à noter que la PNL (programmation neurolinguistique) et l’hypnose posent le même problème, dans la mesure où elles coupent l’accès au chemin de décristallisation des émotions, produisant un état de fragmentation. Le problème est dans ce cas toujours présent, juste temporairement neutralisé...

 

L'hyperconscience

L’état d’hyperconscience constitue la plus haute fréquence possible. Par l'alliance harmonieuse des hémisphères droit et gauche du cerveau, il permet une pleine conscience, synchronisée et créatrice. L’intégration du savoir est dans ce cas très rapide.

On peut entrer dans un état modifié de conscience sans recours aux hallucinogènes par l’activation du chakra pourpre, situé entre le chakra indigo (hypophyse/épiphyse) et le chakra magenta (hypothalamus). Le chakra pourpre est à l’arrière du crâne et connecte l’hypophyse à l’épiphyse. Cela permet aux informations de l’hypothalamus de descendre dans la colonne vertébrale. Le chakra pourpre est lié au corps calleux/cervelet. Quand le corps calleux est déficient, cela produit la trisomie, la schizophrénie… L’activation du chakra pourpre permet la décristallisation du corps.

 

Soigner avec l'énergie : l'acupuncture

 

Une chape de plomb médicale internationale

L'emprise du système médical classique sur la santé est tel qu'est déconsidéré parfois avec virulence coercitive ce que depuis des milliers d’années l’Orient enseigne, l’anatomie du réseau des canaux subtils du corps énergétique. Dans cette médecine ancestrale, les centres d’énergie du corps sont appelés chakras et nadis. Ceci n'empêche pas qu'il y ait dans ce domaine de la santé holistique de plus en plus de thérapeutes qui se disent " Énergéticiens " (avec le meilleur comme le pire), formés à une nouvelle approche énergétique corps-âme-esprit. Ces techniques nouvelles de santé ne sont que la résurgence naturelle de la connaissance ancestrale disparue avec la modernité. Nous trouvons dans ce registre les cristaux de roche, les sons sous forme de vocalises, les bols tibétains, les nombreux types de massages, la réflexologie, la chiropractie, les aimants, le reïki, la sophrologie, et l’hyperventilation qui comprend le rebirth et la respiration holotropique, avec l’option d’un travail en piscine à 37°, qui s'ajoutent aux plus classiques gymnastiques de type yoga que sont le Chi Kong, le Taï Chi Chuan, les danses chamaniques, etc…

Pour freiner le plus possible ce débordement énergétique populaire, les autorités françaises plus drastiques que celles des autres pays du monde classent dans la catégorie "Mouvement sectaire" toutes les écoles enseignant ces techniques naturelles et ancestrales. C'est le rôle dévolu à la M.I.V.I.L.U.D.E.S. (Mission interministérielle de vigilance et de lutte contre les dérives sectaires), qui y veille avec zèle. Elle ne fait que traduire l'aspect tyrannique du lobby médical, même si elle pourfend avec raison nombre de charlatans (organismes et individus) qui abusent de la crédulité humaine.

Cf. "Mafia médicale", livre de l'ex médecin au Québec Guylaine Lanctôt (1994).

 

Dans l'œil du cyclone des autorités sanitaires

Une controverse a été déclenchée fin août 2022 sur les réseaux sociaux par des soignants reprochant à la plateforme Doctolib de référencer des naturopathes aux pratiques douteuses. Face aux critiques relayées par l’Ordre des médecins, la plateforme avait dans un premier temps suspendu 17 comptes de naturopathes et "renforcé ses procédures de vérification", réaction ciblée, justifiée et mesurée qui faisait sens. Elle n'était toutefois pas suffisante selon l’Ordre des médecins, demandant à la plateforme de renforcer ses règles d’inscription. Enfin, après 6 semaines d’échanges avec les autorités sanitaires, les ordres de santé, les syndicats de soignants, et les associations de patients, le couperet est tombé. C’est l’ensemble des professionnels non-référencés par les autorités sanitaires - les répertoires officiels (RPPS et Adeli) - qui sera banni.

Il s'agit d'une réaction disproportionnée et sans distinction, cette définition englobant les naturopathes, les sophrologues, les magnétiseurs, les acupuncteurs, les ostéopathes et autres professionnels du bien-être*², qui se retrouvent injustement avertis de la résiliation de leurs contrats avec un délai de "six mois pour trouver une autre solution".

 Dans le détail, l’exclusion de la plateforme concerne environ6 :

* Doctolib est une entreprise française fondée en 2013 qui distribue en France, en Italie et en Allemagne une application de gestion des rendez-vous réservée aux professionnels de la santé ainsi qu'un service de prise de rendez-vous en ligne destiné aux patients.

2.700 hypnothérapeutes ; 1.500 sophrologues ; 800 naturopathes ; 500 psychanalystes.

 

Depuis des millénaires, les thérapeutes chinois comme indiens soignent leurs patients en travaillant leur qi, leur énergie vitale. L’objectif n’est pas tant de lutter contre la maladie que de relancer les mécanismes vitaux du corps. Leur observation des malades a permis à leurs médecins de développer progressivement la théorie des méridiens, les canaux par lesquels circule le qi.

 

Sources de déséquilibres

Les déséquilibres de l'énergie vitale entraînant des dysfonctionnements dans la santé indiquent des besoins non satisfaits, le sentiment de ne pas être comblé, en relation avec les sept grands centres énergétiques.

7 – Sentiment de ne pas exister / je suis heureux – besoin de spiritualité

6 – Sentiment de ne pas savoir / je suis libre – besoin de connaître

5 – Sentiment de ne pas être compris / je suis compris – besoin d’exprimer

4 – Sentiment de ne pas être aimé / je suis aimé – besoin d’amour

3 – Sentiment de ne pas être respecté / je suis respecté – besoin de réaliser

2 – Sentiment de ne pas être accepté / je suis accepté – besoin de sexualité

1 – Sentiment de ne pas avoir assez / je suis comblé – besoin de matérialité

 


Acupuncture*, la médecine énergétique traditionnelle chinoise

Dans la médecine traditionnelle chinoise*², le corps et l’esprit sont considérés dans leur intégralité, la "vraie santé" découlant de leur harmonie. Elle nomme JingLuo le réseau complexe de canaux qu'emprunte l’énergie (le Qi) pour circuler dans le corps humain. Ces canaux sont appelés les Méridiens, et leurs multiples ramifications et croisements les "Systèmes-Méridiens". Ce quadrillage énergétique forme un tissu de soutien dynamique qui alimente ou relie les différentes parties du corps, et établit des connexions entre les viscères, enfouis dans l'organisme, et les points d'acupuncture, au nombre de 365 (autant de jours terrestres…) répartis en douze catégories à la surface du corps. Ce système des méridiens irrigue, entretient et assure le bon fonctionnement de la peau, des muscles, des tendons, des os et des organes.

Les méridiens fournissent des signes perceptibles qui révèlent les déséquilibres internes, d'où l'importance de l'observation et de la palpation lors de l'examen du patient. C'est ainsi que la langue blanche est le signe d’une rate fatiguée et d’une digestion freinée, que les réveils nocturnes ou les insomnies inexplicables indiquent un foie abîmé, que la prise de poids soudaine peut-être le signe d’une thyroïde déréglée. Au nombre de huit, ils sont les grands axes de base d'où provient notre incarnation. Ils gèrent la mise en forme du corps humain au moment de la conception, puis en assurent le développement de l'enfance à l'âge adulte. Ils sont divisés en deux groupes de quatre : ceux du tronc et ceux des pieds.

Les systèmes-méridiens sont au nombre de douze. Ils forment une organisation complexe assurant la circulation des énergies Yin et Yang présentes dans l'organisme. Ils sont à ce titre doubles, passant symétriquement de chaque côté du corps. Chacun des systèmes-méridiens est associé non seulement à une énergie Yin ou Yang spécifique, mais également aux membres inférieurs comme aux membres supérieurs, ainsi qu’à des viscères spécifiques. L'Énergie circule en boucle dans les méridiens, du centre vers les extrémités, et de retour vers le centre. La circulation se fait suivant un horaire de 24 heures, irriguant un des 12 méridiens à toutes les deux heures. Chaque méridien est lié à un des 12 viscères.

Le praticien a pour objectif de stimuler de façon ponctuelle les points dits d’acupuncture constituant chaque méridien (acupression), et ce à visée thérapeutique. Les moyens sont divers, physiques comme l’aiguille (mais également électrique, magnétique, thermique, lumineux), ou physico-chimiques. Cela se veut un outil précis d’intervention de "chirurgie énergétique", permettant de soigner tout type de pathologies, ce qui en fait un outil reconnu par l’organisation mondiale de la santé (L’O.M.S). Il permet d’équilibrer l’être dans toute sa complexité : le psychologique, l’émotionnel, l’aura.

Le terme acupuncture dérive des termes latins acus, "aiguille" et pungere, "piquer".

Les principes fondamentaux de la Médecine Traditionnelle Chinoise ont été élaborés il y a plus de 2.500 ans. Ils couvrent quatre domaines complémentaires : l’acupuncture, l’acupressure et la moxibustion (stimulation par la chaleur des points d’acupuncture) ; la pharmacopée ; la diététique ; les techniques corporelles (massages et exercices énergétiques type Qi Gong, Tai-chi-chuan, Kung-Fu…). L'application du Yin et du Yang en médecine, la théorie des méridiens et de l’énergie vitale, le maniement de l'aiguille ont été décrits il y a environ 2000 ans dans le "Huangdi Neijing", qui constitue toujours un ouvrage de référence de ses étudiants et praticiens. La pratique de l’acupuncture aurait été introduite en Europe au début du XVIème siècle, mais ce n’est qu’au XXème siècle que l’acupuncture a connu une réelle diffusion mondiale. Elle est devenue la branche de la Médecine Traditionnelle Chinoise la plus reconnue en Occident. En 2010, elle a été inscrite au patrimoine mondial immatériel de l’UNESCO.  Bien avant elle, la médecine traditionnelle indienne, l’Ayurveda, avait découvert l’existence de toute une anatomie invisible à savoir un réseau de canaux et des centres énergétiques avec les chakras (soit roues en sanscrit, également appelés lotus), autres corps que le seul corps physique. L’étude de leur technique, notamment liée à l’exercice de la prière (toucher des paumes et des doigts des mains), s’appelle la science des mudrās. Ils sont également évoqués dans l’Apocalypse de Saint Jean par "le mystère des sept étoiles" (I :20)…

 

L’acupuncture traditionnelle semble aujourd'hui en pleine renaissance, en quelque sorte de retour vers le futur ! Si 99% de ses pratiques ne tombent pas sous le coup de l’exercice illégal de la médecine, c'est qu'elle n’a juste rien à voir avec le diagnostic médical et une technique de soins. Plus exactement, il existe d’innombrables situations où le diagnostic n’est absolument pas nécessaire. Car l’acupuncture traditionnelle, c’est d’abord un état d’esprit, ensuite un simple rééquilibrage énergétique du qi que l’on prononce "tchi". Aussi son champ d’application premier est la prévention en maintenant l’équilibre de cette énergie au sein de l'organisme.

Tout est parti en fait de l'observation du soleil et de la pluie : après le soleil vient la pluie et après la pluie, le soleil est de retour. C'est l'idée qui est exprimée dans le "yi" de Yi Jing (ou Yi King) - "Classique des changements" ou "Traité canonique des mutations" -, base de la pensée chinoise* (image 1). Le paysan chinois, qui voulait savoir si la pluie viendrait avant le soleil ou l’inverse, interrogeait à cet effet une carapace de tortue, cette dernière représentant le monde vivant coincé entre le ciel au-dessus, et la terre en dessous. Ils chauffaient la carapace qui se fissurait. L’objectif était d’obtenir une information à l’instant T. C’était comme une "prise de pouls" du climat où, selon le résultat obtenu, des prédictions météorologiques étaient établies, les observations étant portées sur les carapaces (photo 4). Et c'est ainsi que l’écriture chinoise est née !

Cette démarche est au cœur de la pensée chinoise et de l’acupuncture. Il en découle qu'avant de soigner quelqu’un, avant de prendre une décision, rien ne vaut une bonne "prise de pouls".

Comme à juste titre dans la pensée chinoise la seule chose permanente est le changement, c’est le "jing" de Yi Jing qui le dit !

* La pensée chinoise ne se résume pas au Yi Jing. D’autres œuvres et héritages ont suivi le Yi Jing (Lao Tzeu, Confucius, Tchouang-tseu, Meng-se…).

Cf. "Yi Jing : le livre des changements", livre de Cyrille Javary et Pierre Faure.

 

Les trois bases de l'approche énergétique chinoise

精 jing

Il est l’essence ou le principe vital. Bien qu’inanimé, il contient tous les potentiels de l’être. C’est la racine de la substance.

氣 qi

C'est l’énergie. En incessante transformation, elle suit des cycles, des rythmes, des saisons, circule suivant des trajets, croît et décroît.

神 shen

Il est l’esprit, la conscience. Il est en relation avec le mystère de la présence et de la relation.

 


Le qi, c’est l’énergie qui passe dans les méridiens et qui structure. Ainsi, dans un aliment, le qi est notre relation à l’aliment. S’il est chaud, s’il est froid, son action varie. Par exemple, le lait de vache est de nature fraîche. Si nous avons un rhume, mieux vaut éviter le lait, car le rhume a déjà un effet rafraîchissant sur les poumons. Nous les soumettrions à rude épreuve ! En revanche, le lait peut apaiser un cœur trop chaud. C’est, par exemple, la nuit d’angoisse où le cœur s’emballe. Ni vu, ni connu, un petit verre de lait, à ce moment-là, et le tour est joué. Du moins pour calmer l’emballement...

Si le jing est le commencement, l’origine de tout, le shen est la présence. C’est ce qui fait la différence entre un bon thérapeute, qui maîtrise son art et les techniques et celui dont la seule présence est déjà un soin. Ainsi comprendre le shen et le qi, c’est prendre le temps de vivre, mieux écouter les autres, améliorer sa relation à l’autre, renforcer son énergie, être plus présent à la vie ! Du fœtus à l’adulte, nous gardons les mêmes structures énergétiques. C'est pourquoi tout ce qui se passe dans la vie intra-utérine à une incidence sur le reste de la vie*.

* L'ovulation se fait sous la domination du rein yang. L'ovule descend ensuite dans la trompe, et cette migration se fait grâce au foie. Un cycle tcheng commence : nous avons l'eau du rein yang pour l'ovulation, le bois du foie pour la migration de l'ovule.

 

Dans la médecine chinoise, il n’y a pas de séparation entre les images développées par les premiers penseurs de cette médecine et les observations médicales effectuées par les médecins. C’est un peu comme si pour parler du cancer, le médecin occidental évoquait Héraclès, Zeus et la molécule chimique avec laquelle il a prévu de soigner. L’histoire de la médecine chinoise et des traitements qu’elle propose est continue. Elle intègre 3000 ans de savoirs, d’observations et d’images. Pour autant, cet aspect "imagé " ne doit pas faire oublier la précision de la médecine chinoise, les points d’acupuncture étant définis depuis la nuit des temps avec une précision redoutable. D'ailleurs quasiment personne aujourd’hui ne les discute. De même les observations reproduites par les thérapeutes chinois dans leurs traités depuis des siècles sont minutieuses et réalistes. Derrière les notions d’éléments, d’organes, de saisons se cachent des réalités thérapeutiques précises et sûres offrant des vertus puissantes pour soigner la psyché des adultes*. Car comprendre son passé, sa naissance et les étapes de sa construction permet de mieux vivre les défis qui se présentent. La psychologie moderne ne dit pas autrement. L’acupuncture traditionnelle apporte une clé de lecture de plus aux disciples modernes de Freud. Mais cette clé a trois millénaires de plus que les théories du fameux et pour partie fumeux psychanalyste névrosé viennois…

* Ainsi la manière de pratiquer sa sexualité a une incidence sur la conception. La manière qu’a une femme de vivre sa grossesse ou un homme d’aimer sa femme à ce moment-là ont une incidence directe, sur la femme, sur l’homme et sur l’enfant à venir.

 

Si l’acupuncture traditionnelle repose sur des traités, des penseurs, une longue observation des patients, dûment consignée dans des cahiers et savamment commentée par les plus grands esprits de chaque siècle chinois, la médecine chinoise (comme indienne) ne renie pas ses origines, celle d'être liée aux forces positives et négatives qui animent le monde, et qui se traduisent par des esprits. Aussi pense-t-on tout naturellement pouvoir soigner les patients avec ces forces. C'est ainsi qu'au fil du temps ces esprits sont devenus des maladies, des symptômes, etc. Du temps où le médecin était encore exorciste, alchimiste, acupuncteur et phytothérapeute, il combattait les esprits. C'est pourquoi les thérapeutes se transperçaient le corps de part en part avec des aiguilles ou des couteaux. Ils se faisaient de véritables trous dans le corps, disant que cela permettait la circulation des esprits. Il y a quelque chose à retirer de cette anecdote. Les trous qu’ils faisaient correspondaient précisément aux points d’acupuncture, utilisés quotidiennement par des milliers de thérapeutes dans le monde, hier et aujourd’hui...

 

"Tradition, pensée et pratique s'unissent et s'explicitent dans et par le rite [...] Nous comprenons difficilement qu'un simple geste rituel, qu'une simple posture puissent constituer l'un des plus hauts lieux de la pensée."

Yu Dan, penseur au féminin chinois

 

La médecine intégrative

Les principes de la médecine intégrative - Cliquer pour agrandir
Les principes de la médecine intégrative - Cliquer pour agrandir

 

Après les médecines douces, les médecines parallèles, les médecines alternatives et complémentaires... Nous voici arrivés à l'ère de la médecine intégrative, ou comment allier le meilleur des progrès technologiques au meilleur des sagesses anciennes.

Ses pionniers sont Andrew Weil et David Einsenberg, deux médecins américains qui l'ont initiée dans les années 1990 (integrative medicine).

Il s'agit d'une médecine axée sur la guérison des différentes composantes de l'être humain (physique, émo- tive, psychologique et énergétique). Elle vise ainsi la globalité des individus, en incluant tous les aspects de leur vie. Plusieurs approches thérapeutiques sont alors offertes dans un même centre de santé, dont la médecine moderne, l'acupuncture, l'ostéopathie, la chiropractie, la massothérapie, la naturopathie et la psychologie.

La médecine intégrative vise ainsi à ne pas seulement traiter les symptômes physiques, mais aussi la composante émotive et énergétique des désordres corporels. Pour ce faire, les médecins et thérapeutes se doivent d'avoir une ouverture sur d'autres approches que la leur afin de permettre aux patients une meilleure compréhension et résolution de leurs symptômes.

Aux États-Unis, à certains endroits, la médecine intégrative commence également à s'implanter dans les centres hospitaliers. L'acupuncture et d'autres approches se retrouvent donc, au même titre que la médecine moderne, comme étant des éléments très actifs dans les soins apportés aux patients. Elle se heurte cependant au conservatisme du collège des médecins, qui a toujours réprimandé cette pratique.

 

"La force de guérison naturelle à l'intérieur de nous est la plus grande force de guérison"

Hippocrate de Cos (vers 460/377 av.J.-C.), médecin grec et père de la médecine moderne

 

 

La vraie thérapie, c'est à tout moment, en toutes conditions, et certainement pas guidée par quelqu'un que nous payons, mais par sa propre guidance supérieure qui place les expériences dont nous avons précisément besoin sur notre chemin.

 

 

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