La formulation de ces clés n'engage que leur auteur, qui puise tant dans ses recherches et sources d'information que dans son imaginaire leurs révélation et libre mise à disposition suivant la forme et la rédaction retenues.

Il n'y a de ce fait rien à prendre pour argent comptant, seulement à laisser faire en soi le processus d'ouverture de conscience par le discernement, soit le juste équilibre entre cœur et raison. Celui-ci conduira à les invalider, à les valider, à les compléter par d'autres ajouts et compléments.

C'est ainsi que procède le chercheur de vérité.

 

 

Survivre à la Matrice asservissante

La Matrice cyber applique à la conscience humaine ce qui lui assure sa nourriture de survie : la programmation mentale, le mind control *. Au moyen de toute sa panoplie technologique, qui ne cesse de se sophistiquer, elle diffuse continuellement ses poisons et toxicités anesthésiantes, sous toutes ses formes possibles et imaginables par ses maîtres artisans psychopathes.

Nous sommes effectivement tous programmables, d'autant plus lorsque nous dormons, du sommeil de l'innocent. Et comme tout est fait dès notre plus jeune âge pour qu'il en soit ainsi, il apparaît très difficile de se réveiller. De ce fait, la morale sociétale, érigée en morale civilisationnelle, substance notable de programmation, fait de nous des êtres terriblement limités, car amputés de notre essence vitale. Par son biais, le système insidieusement installé en nous a érigé des garde-fous si implacables, si fortement culpabilisants, que nous sommes maintenus dans un espace psychologique clos extrêmement réduit. Qui plus est, l’histoire universelle *², dans sa version officielle dispensée, nous est injectée depuis l’enfance, greffée dans notre cerveau sans notre consentement. Et pour cause, elle est transmise de force au nom de l'indispensable pédagogie éducative assurée par notre parentèle de substitution, les institutions politiques et religieuses représentatives. Ainsi sommes-nous des acteurs passifs d’une lobotomisation particulièrement efficace, habile produit de techniques de robotisation et par-là même de déshumanisation. Comme ce conditionnement est plurimillénaires, il en résulte que notre relation à la Connaissance, source de vérité authentique omnisciente, est quasiment nulle. Toute notre vie découle de cette " programmation-référence ", logée dans notre subconscient, et à laquelle nos croyances manipulées donnent force et vigueur.

* Cf. Contrôle mental & Le contrôle du robot biologique.

Cf. Évolution de civilisation (3) Mythe de la modernité, risques et lois d'évolution universelle.

 

D'un côté se déroule le plan d'actions d'une stratégie globale - politique, sociale, économique - d'étouffement des consciences, que l'on peut qualifier de démarche occulte des forces noires *. Elle est le fruit d'une structure complexe invisible, système précis, psychopathique et machiavélique, tant sur le plan terrestre que dans d'autres dimensions de réalité. Elle conduit irrémédiablement à une phase désormais accélérée de dégradation énergétique majeure, ayant pour objectif à terme l'anéantissement de l’humanité. En effet, la cyclicité des temps étant une loi universelle, l'entropie est la résultante de la non-évolution de l'esprit, au singulier comme au pluriel.

De l'autre côté se tient l'humain conscient, plus ou moins (r)éveillé, l'endormi étant de toute façon condamné. Il se retrouve tôt ou tard face à un dilemme incontournable : se fondre dans la masse et disparaître, ou fuir l’uniformisation pour finalement se marginaliser. Voilà donc le contexte actuel auquel il est impossible d’échapper en ce début du XXI° siècle. Autant dire la délicatesse du choix à opérer...

* Cf. La nouvelle religion universelle.

 

Un état des lieux oppressant

La fascination éprouvée pour une société qui nourrit l’Homme en le remplissant d’informations et de programmations quotidiennes de toute sorte, fait de lui une ombre, un vulgaire réservoir à détritus inutiles et invalidants.

 

Le labyrinthe de notre prison psychologique

Dédale est l’artisan athénien mythique, célèbre pour ses nombreuses œuvres et inventions. Son nom signifie "ingénieux". Son père descendait du roi Erechthée, et n’était autre que Eupalamos, c’est-à-dire "celui qui est agile de ses mains", ou Métion qui signifie "intelligent".

Ce mythe raconte comment l'élève dépasse le maître. En grandissant, Dédale devint le meilleur peintre et sculpteur d’Athènes. Sa sœur lui confia son fils Perdix, qu’on nommait également Talos (ou Calos), comme élève. Mais le garçon se révéla meilleur que son maître en inventant la scie. Dédale alors tua son neveu dans un accès de jalousie, en le poussant du haut de l’Acropole (ou d’une falaise) dans la mer.

Athéna qui l’aimait pour son habileté le vit tomber et le transforma en perdrix, laquelle prit son nom (la perdrix rouge est son avatar animal). Pour les dieux, toute tentative de meurtre était inconcevable, et Dédale pour ce crime dut payer le prix du sang. Il partit en exil en Crète accueilli par le roi Minos et accomplit des exploits de construction mécanique. Il est le premier roboticien de l'histoire. Quand Pasiphae conçut le Minotaure, le roi Minos chargea Dédale de la construction d’un labyrinthe avec une seule entrée. L’ensemble avait été conçu de telle sorte que quiconque y pénétrait n’en pouvait plus ressortir. Puis le Minotaure fut installé au centre du labyrinthe (notre inconscient). On le nourrissait de chair humaine avec des sacrifices humains (les peurs et les souffrances découlant de nos expérimentations de la matière sous domination du prédateur, soit dans nos différents états bourreau/victime/sauveur). Plus tard, Thésée (le Christ, autrement dit la conscience christique menant à l’Âme, canal de liaison au Soi supérieur, l'Esprit) tenta de délivrer la Crète de ce fléau. Il réussira à sortir du labyrinthe une fois le Minotaure tué avec l’aide d’Ariane - le féminin sacré - aidée par Dédale, le masculin évolutif (autrement dit la polarité "Lucifer"). Il montrait la voie, pour peu qu'en soit compris l'enseignement subtil...

Assimilé au Verseau (l'être humain émancipé de l'ère des Poissons, le religieux mensonger)*, le jeune Icare est le fils de Dédale qu’il avait eu d’une esclave de Minos (le féminin réprimé dans la matrice de l'illusion). Se rendant compte que toutes les méthodes habituelles pour s’échapper demeuraient vaines, et n'ayant pas compris l'enseignement de Thésée, Dédale décida de s’envoler en sa compagnie de son endroit de détention avec des ailes semblables à celles des oiseaux. Mais Icare meurt après avoir volé trop près du Soleil du fait des ailes de cire créées par son père (l'illusion de la technologie salvatrice - le transhumanisme - comme voie de salut à sa libération).

Ce mythe explique que la machine de Dédale - la Matrice cyber - n'est pas parfaite. Mais si l'être humain n'est pas prêt, insuffisamment préparé et équipé, le fils esclave du (faux) maître meurt entre la Terre et le Soleil en volant trop haut, se brûlant les ailes. Pouvons-nous voler et sortir du Labyrinthe de la Matrice ? Telle est l'équation qu'il nous appartient de résoudre ....

* Cf. Compréhension de la conspiration prédatrice.

 

Poisons et toxicités

Les techniques d’oppression énergétique que nous subissons tout au long de notre vie, et qui fabriquent les mirages de nos existences dès notre enfance, n'ont qu'une finalité : nous emporter loin de nous-même. Elles s'adressent aux différentes composantes du corps*, que nous regardons la plupart du temps en mode passif.

* Cf. Qu'est-ce que l'Homme ? & Fonctionnement du corps biologique.

 

Pourquoi la loi sur les 11 vaccins obligatoires est mortifère ?

Le débat fait rage entre pro et anti vaccins, fournissant moultes études et arguments pour défendre leur position. N'en retenons qu'une seule, à savoir l'injection à des nouveau-nés de 20 fois la Dose Minimale Toxique d’aluminium. L’aluminium est toxique pour le cerveau, les os et le système immunitaire*, dès lors que nous en avalons plus de 1 mg par kilo de masse corporelle, selon les critères de la FDA, de l’OMS et de l’Académie de Médecine (2012). Cela signifie qu’un nourrisson de 5 kg ne doit surtout pas avaler plus de 5 mg d’aluminium, car au-delà, il risque l’empoisonnement. Or ce que nous faisons avec les vaccins à l’aluminium est bien pire, car nous l’injectons directement dans les muscles.

Normalement, l’aluminium est stoppé à 99 % (minimum) par la barrière digestive. Notre système anti-toxique dans les intestins est si efficace qu’il peut éliminer plus de 99 % de l’aluminium ingéré. En revanche, lorsque le vaccin à l’aluminium est injecté dans le muscle avec une seringue, il n’est bien sûr plus filtré par la barrière digestive. Cela signifie que l’aluminium présent dans le vaccin est au moins 100 fois plus toxique que celui qui est ingéré. La Dose Minimale Toxique n’est donc plus de 1 mg, mais de 0,01 mg par kg de masse corporelle, soit 0,05 mg pour un nourrisson de 5 kg.

Or, les vaccins contenant de l’aluminium en procurent bien plus que cela. Une seule dose de vaccin hexavalent obligatoire (Diphtérie, Tétanos, Poliomyélite, Coqueluche, Hépatite B et infections à Haemophilus influenzae b), contient 0,21 à 0,24 mg d’aluminium, soit 4 à 5 fois la Dose Minimale Toxique pour un nourrisson de 5 kg. Et ce n’est que le début, car il faut les rappels et les autres vaccins obligatoires (il y en a onze, et l’hexavalent n’en contient encore que six).

Au total, en application de la loi d’obligation vaccinale, un nouveau-né se verra injecter dès sa première année 0,908 mg à 1,326 mg d’aluminium métal, selon le décompte suivant :

3 ou 4 fois 0,21 à 0,24 mg, soit 0,63 à 0,96 mg d’aluminium métal injectés sous forme des vaccins hexavalents (Infanrix Hexa, Hexyon, Vaxelis) contre la Diphtérie, le Tétanos, la Poliomyélite, la Coqueluche, l’Hépatite B et les infections à Haemophilus influenzae b ;

3 fois 0,03 mg, soit 0,09 mg d’aluminium métal injectés sous forme des vaccins contre les pneumocoques (Prévenar 13) ;

2 fois 0,104 à 0,138 mg, soit 0,208 à 0,276 mg d’aluminium métal injectés dans son organisme sous forme des vaccins contre les méningocoques (Neisvac, ou Menjugate, ou Méningitec).

Cela représente 20 fois environ la Dose Minimale Toxique. Qui va assumer les effets néfastes, les accidents qui, inévitablement, vont se produire ? Le Ministère de la Santé, ou les enfants victimes et leurs parents ?

* Cf. Contrôle mental.

Voir également les différents livres de l'auteur Philippe-Alexandre Jandrok sous le titre Pandora, la bible du vivre et laisser mourir uniquement disponibles via Amazon.

 

Notre corps physique est généralement intoxiqué par toutes sortes de substances plus ou moins toxiques : mauvaises graisses, excès de sucres, pollution atmosphérique et ondes électromagnétiques, toxines alimentaires, alcool, cigarettes, médicaments, drogues en tous genres, etc…

Quant au corps mental égotique*, il est quant à lui insupportable par l'incessant ballet des pensées et des émotions liées, car omniprésent et asphyxiant, insaisissable et incontrôlable, fondamentalement égocentrique et obsessionnel, généralement frustré, paranoïaque, tantôt oppresseur, tantôt oppressé… Il est totalement conditionné par notre éducation et nos multiples expériences quotidiennes. Largement valorisé et constamment plébiscité par nos cultures modernes, nous le subissons chaque jour davantage.

* Cf. Décryptage de l'égo.

 

Notre corps de distribution énergétique* - le corps vital -, totalement méconnu et généralement méprisé, est le plus souvent endommagé : ses conduits sont obstrués et il souffre de parasitage. Son potentiel s’en trouve ainsi considérablement réduit et il devient source de pathologies dans les corps physique et mental. Les maladies ainsi provoquées demeurent bien souvent inexplicables pour la médecine conventionnelle *². Ce réseau complexe de filaments énergétiques survit tant bien que mal à l’indifférence générale. Aussi purifier et réactiver le corps de distribution énergétique c’est reconquérir notre santé.

* Cf. Fonctionnement du corps biologique.

Cf. Le choix existentiel : en santé ou malade.

 

Le corps spirituel - le Soi supérieur, l’âme - est quant à lui inaccessible au plus grand nombre, qui ne soupçonnent ni ne comprennent sa présence leur vie durant. Il reste de ce fait quasi inactif, même si silencieusement "l'enfant intérieur" appelle vivement à sa reconnaissance.

De ce fait, l'énergie vivante de guérison de notre endormissement - appelée symboliquement le Caducée (Cf. image) - demeure en sommeil. Pourtant, il n’est pas le symbole de la médecine pour rien, ayant le pouvoir d’exercer ses fonctions curatives sur tous les corps qui nous composent et de restaurer notre vitalité comme notre bien-être originels.

 

Les moyens attentatoires à la bonne évolution psychique et biologique de l'être humain

Le silicium joue un rôle d'importance dans la constitution organique de l'être humain*. Ses effets sur la croissance sont directement observables, permettant d’économiser les ressources carbonées résultant de la photosynthèse et de les orienter vers les processus de croissance. Il s'avère de ce fait déterminant dans les phases tant évolutives qu'involutive. Si lors de la première phase évolutive son abondance dans l'organisme s'accompagne d'une santé équilibrée, donc d'un fonctionnement génétique optimum, lorsqu'il vient à manquer, une défaillance ou un programme involutif se déclenchent alors et l'organisme humain se met en mode survie, finissant par mourir. 

Le silicium préserve ainsi l'expression génétique de la vie, contrairement à certains facteurs programmés qui sont à l'origine de l'atrophie. À ces facteurs "naturels" involutifs se rajoutent des facteurs intentionnels destructeurs de l'évolution psychique et biologique de l'humain : vaccins et médicalisation meurtrières, alimentation toxique, outils virtuels inhibiteurs d'intelligence... Ces substances se fixent sur la membrane cellulaire et en quelque sorte déforment la longueur d'onde des particules électroluminescentes (photoniques) qui parviennent dans nos cellules. Ainsi le mercure et le cyanure présents dans la cigarette sont des neurotoxiques qui freinent l'influx nerveux, mais aussi altèrent la structure atomique du silicium intracellulaire. Or le silicium présent dans les cellules joue le rôle de décodeur du flux photonique et transmet l'information-lumière sous forme de nano-impulsions électriques aux brins d'ADN récepteurs, leur permettant de s'activer et muter sous l'effet de ces nano-impulsions électriques. Et lorsque l'être humain est privé de l'information-lumière, il ne peut entamer son processus d’ascension*² vers les densités supérieures. Il reste au sol ...

* Cf. Fonctionnement du corps biologique.

Cf. Le chemin de l'Ascension.

 

Ensemble, tous ces corps vibrent de façon continue mais discrète, afin de maintenir un niveau de vie tout juste acceptable. Si cette quadrature garantit tout de même le bon fonctionnement des corps physique et mental (les plus connus), force est de constater que nous sommes loin d’avoir trouvé l’harmonie ou une quelconque cohérence entre les différentes parties qui nous constituent, ces éléments essentiels qui soutiennent incontestablement notre existence.

 

Entités prédatrices

 

Tout aussi ignorées par la plupart des dormeurs sont les entités étrangères fondamentalement aliénantes, issues du " bas astral", et qui troublent toujours plus notre équilibre déjà bien précaire. Parmi elles, on peut citer les esprits de défunts non montés vers la Lumière, des entités " démoniaques " et les interventions plus ou moins extraterrestres comme les abductions en tous genres*. Elles exercent divers types de parasitages sur les êtres humains par l’influence directe qu’elles exercent sur leurs différents corps. Il en résulte perversions psychiques, viols nocturnes, possessions, manipulations à distance... 

* Cf. Conscience et dépassement de la Matrice sexuelle.

 

Sans oublier bien sûr les entités du corpus prédateur de l'humain basé dans la 4ème dimension de réalité et leurs "produits" hybrides au sein de notre 3ème dimension*. Elles ont un impact considérable sur nos ambitions, nos traits de caractères, nos facultés intellectuelles, notre connexion naturelle aux éléments, notre potentiel intuitif et instinctif, notre sexualité, le développement de notre masse corporelle, notre apparence et nos choix de vie.

* Cf. Les acteurs de la Matrice falsifiée.

 

Égarements anesthésiques

Depuis l’aube des temps l’Homme cherche le sens de sa vie. Dans notre monde contemporain, pour répondre à la demande sans cesse croissante, les solutions "prêtes-à-consommer" ne manquent pas depuis quelques dizaines d'années, sans cesse en renouvellement. Elles sont basées sur des orientations et croyances alternatives, des formations en développement personnel, les médecines naturelles, et bien d'autres techniques d’harmonisation énergétique largement popularisées ces trente dernières années. Elles illustrent le courant New Age, ce bric à brac consumériste "amour et lumière" en surface mais surtout soumis à la loi du marché dans ses fondations. Ses solutions sont "marketées", formatées, afin de correspondre à ce que l’Homo economicus moderne attend d’elles : branchées, immédiateté, facilité, rendement, conforts intellectuel et physique. Sous couvert d'éveil et de bien-être, elles visent surtout à améliorer la productivité des individus au festin de la prédation, sans menacer les fondements idéologiques du système. Elles exploitent allègrement la très en vogue philosophie des raccourcis, piochant de façon superficielle à gauche et à droite leurs théories. Les Occidentaux assistent ainsi à l’apparition en continu de méthodes et de thérapies étonnantes, prétendument différentes et toujours plus efficaces. L'attrait quand ce n'est pas la fascination pour la nouveauté, l’exotique, et le fantasme du merveilleux doucereux sont subtilement exploités, pour éveiller l’intérêt constant d'un consommateur fondamentalement frustré et dans le déni de sa prison mentale, sans lui permettre en aucune façon la sortie de la Caverne enfermante.

Cf. Prédation spirituelle et voie de sortie.

 

Alors on danse... pour oublier

Qui dit étude dit travail Qui dit taf te dit les thunes

Qui dit argent dit dépenses Qui dit crédit dit créance

Qui dit dette te dit huissier Et lui dit assis dans la merde

Qui dit Amour dit les gosses Dit toujours et dit divorce

Qui dit proches te dis deuils car les problèmes ne viennent pas seul

Qui dit crise te dis monde dit famine dit tiers- monde

Qui dit fatigue dit réveille encore sourd de la veille

Alors on sort pour oublier tous les problèmes

Alors on danse Tous les jours de l'année

Tous les jours de l'a Tous les jours de l'année

Alors on danse Alors on danse Alors on danse Alors on danse Alors on danse

Tous les jours de l'année Tous les jours de l'a

Tous les jours de l'année Alors on danse

Et la tu te dis que c’est fini car pire que ça ce serait la mort

Qu’en tu crois enfin que tu t’en sors quand y en a plus et ben y en a encore

Est-ce la zik ou les problèmes, les problèmes ou bien la musique

Ça te prends les trips ça te prends la tête et puis tu prie pour que ça s’arrête

Mais c’est ton corps c’est pas le ciel alors tu te bouche plus les oreilles

Et là tu cries encore plus fort et ça persiste

Alors on chante Lalalalalala, lalalalalala

Alors on chante Lalalalalala, lalalalalala

Alors on chante Tous les jours de l'année

Tous les jours de l'a Tous les jours de l'année

Alors on danse Alors on danse Alors on danse Alors on danse Alors on danse

Tous les jours de l'année Tous les jours de l'a

Tous les jours de l'année Alors on danse

Tous les jours de l'année Tous les jours de l'a

Tous les jours de l'année Alors on danse Alors on danse

Parolier : Paul Van Haver dit Stromae (Album Cheese, chanson Alors on danse - 2010)

 


En bonne ogresse de notre psyché, la civilisation contemporaine paralyse tous nos efforts de remise en question, nous offrant l’accès à une identité archétypale du Soi réalisé aux atours bien attractifs alors qu'elle n'est qu'une écume sinistrement pâlichonne par rapport à la "réalité lumineuse, profonde et silencieuse" que nous portons en nous toute notre vie. Qu'elle aimerait bien s’exprimer cette vérité, mais les couches toujours plus nombreuses d’émotions, de mémoires, de traumatismes, de milliards d’informations, de conditionnements, de manipulations, de fausses croyances, d’injonctions et d’interdits s’entassent lourdement, telles de solides couches sédimentaires qui achèvent de rendre notre "source divine" quasi-définitivement inaccessible. Il en résulte une profonde vacuité, le néant existentiel. C’est le signal qu’il est temps ! Temps de retrouver la clé d'accès au trésor caché, de retrouver le chemin, la direction de notre évolution, soit la reconnaissance de Ce Qui Est, sous-entendu a été et sera puisque le Temps est un éternel présent*. Il nous faut pour ce faire nous reconnecter à notre identité originelle pour ne pas choir dans les limbes du temps...

* Ce que nous appelons Création n'est que le besoin du mental, de l'intellect, déformé par la conception du temps linéaire, d'expliquer Ce Qui Est.

 

La moisson des âmes

 

La période dite de révolte de l’adolescence est le dernier rempart face aux harcèlements occultes invisibles auxquels l’individu doit faire face. Généralement tout se joue à cet instant, le conditionnement à la Matrice étant " officialisé " dès l'âge de 7 ans, à l'entrée dans le système éducatif formatant.

Cette révolte est celle de la supraconscience, de l'enfant intérieur qui pousse l’adolescent insurgé à se battre pour se détacher de l'emprise parentale, qui, bien que masquée très souvent par la croyance de l'amour, n'est qu'autoritarisme pour le respect du moule établi. Il se dresse en réalité contre les programmes qui ont été installés en lui. " Humilié " dans son authenticité profonde par les promesses non tenues de Qui Il Est vraiment, résigné et frustré, il juge avec sévérité et agressivité la société et ses parents, tout en se laissant avaler par d’illusoires espoirs de liberté, de justice, de fraternité, et de réel pouvoir promus par la communication délétère du système. Face à un monde totalement perverti, à l’agonie de son essence première mise sous l'éteignoir, assujetti et inféodé, l’adolescent se soulève – sans secours aucun car ses parents dorment profondément depuis longtemps – pour se laisser finalement happer par le tourbillon infernal d’une puissance carcérale colossale, l’éducation nationale. S'ajoutent les mœurs outrageusement sexualisées, le matraquage médiatique et les divertissements toxiques, qui ont tôt fait d’achever l’œuvre en cours, celle de l’anéantissement de l’accès à son identité réelle.

Tous ces liens sociaux considérés par les zélateurs de la ruche normaux, naturels, ne sont que des pactes d'attaches et de soumission aux forces prédatrices occultes. S'activant quotidiennement à capturer les Hommes dans leur toile mortifère depuis leur dimension parallèle, elles y trouvent tels des vampires leur nourriture de survie. Elles font ainsi pression pour pousser l'adolescent à abandonner la bataille de quête de son identité profonde. Et sans mode d'emploi, livré à lui-même face au  rouleau compresseur qui l'opprime, que peut-il faire si ce n'est finir par se résigner et finalement rentrer dans le rang, vaincu et soumis. En acceptant ainsi ces liens compromettants, l’individu alors en pleine mutation énergétique, sabote inconsciemment son destin sacré en le remettant par défaut au plus offrant.

Lorsqu’il aura totalement cédé, il se laissera rattraper par ses propres programmations qui se mettront furieusement en marche et feront de lui la "réplique" même de ses parents. Adieu les rêves d’enfants, l'innocence créatrice, la magie - "l’Âme agit" - des premiers âges. Tous ces trésors lui ont été subtilisés, emportés par les identités invisibles qui gouvernent l’humanité depuis la nuit des temps, se gaussant de notre incrédule innocence. La souplesse et la vivacité de la jeunesse déclinent alors progressivement pour céder la place à une lente rigidification du corps et de l’esprit, pour finalement accoucher d’une nouvelle personnalité fondamentalement psychorigide. C’est donc de cette façon que généralement l’Homme avorte son épanouissement identitaire véritable. Il se perd au profit de "l’identité de masse". Quant aux plus récalcitrants, ils rendent les armes plus tard, dévastés par la solitude, le désarroi, l’incompréhension des proches et, bien souvent aussi, l’échec professionnel et les difficultés matérielles... L'armée des ombres sans âme peut continuer à jouer sa partition préférée, le requiem de la conscience...

 

Un choix déterminant

 

Prendre conscience de la réalité de la matrice d'appartenance n'est pas sans conséquences. Sauf à rester simplement informé, ce qui est le cas pour un grand nombre de pseudos-éveillés, c’est à cet instant précis que tout se complique. En effet, revenir à Soi conduit à transgresser les lois du réseau occulte, nécessairement, obligatoirement. Même si nous imaginons mener cette démarche de manière uniquement intérieure, sans la chanter sous tous les toits, l’esprit de la ruche nous a répertorié, a déjà repéré nos "ambitions" récalcitrantes. C’est très facile pour ces forces psychiques prédatrices, puisque nous sommes leur gagne-pain, leur nourriture de survie. Aussi nous extraire de cette masse-conscience uniformisante ne peut passer inaperçu, car nous faisons partie d’un Tout uniforme et cohérent*, centré dans cette 3ème dimension de réalité autour de cette conscience commune totalitaire. Vouloir nous en extraire est vécu comme une rébellion au sein de cette unité multidimensionnelle rigide et opaque, où règne le chaos, le pendant involutif du cosmos, l'ordre. Comme nous sommes à l'image du macrocosme - ce qui est en bas est comme ce qui est en haut -, tout est alors fait pour nous empêcher de procéder à notre ordre intra-cosmique, et nous ramener au sein de l'enclos, celui du chaos extérieur.

* Cf. Univers en partage.

 

La marche à contre-sens du troupeau

Le film américano-britannique Midnight Express* réalisé par Alan Parker, sorti en 1978, raconte l'histoire d'un jeune touriste américain, William Hayes (interprété par Brad Davis), arrêté et emprisonné en Turquie en 1970 pour avoir tenté de rentrer aux États-Unis avec deux kilogrammes de haschich répartis sur son corps et dissimulés sous ses vêtements. Arrêté sur le point de monter dans l'avion, débute alors un cauchemar le conduisant à la prison de Sağmalcılar à Bayrampaşa (district d'Istanbul). D'abord condamné à quatre ans de prison pour détention de drogue, il est rejugé pour l'exemple et se retrouve condamné à trente ans de prison pour trafic de stupéfiants. Après l'abattement, il va décider de reprendre son destin en mains, à contre-sens du chemin des autres prisonniers de la Matrice-geôle (scène ci-contre dite de la "bad machine") qui tentent de l'en empêcher, résignés à leur sort. C'est la leçon d'endurance à réaliser par le Héros de sa Vie pour s'extirper de la Matrice asservissante*² !

* Le Midnight Express (l'" Express de minuit ") est le terme employé par les prisonniers pour désigner l'évasion.

Cf. Le Jeu de la Vie.

 


Résistance aux tentations de la fausse lumière

 

La peur est bien sûr le facteur principal utilisé pour nous paralyser. Inoculée en nous depuis toujours, elle fonctionne comme un venin paralysant. La terrasser est le plus grand défi du Héros de sa vie sur le chemin de sa libération*.

* Cf. Renaître à Soi par la peur.

 

Les 3 grands dangers sur le chemin de l'évolution de conscience

Toute démarche dans le monde spirituel ne se fait pas sans risque et sans danger. Trois grands dangers guettent l'apprenti sur son chemin d'évolution, constituant un blocage irrémédiable de son ascension s'ils ne sont pas terrassés. Ils sont directement reliés aux trois piliers de l'Esprit que sont la Volonté, l'Amour et l'Intelligence.

. La FOLIE : celui qui devient fou perd tous points de référence avec la réalité. Il perd son équilibre mental et peut souffrir de toutes sortes de maladies comme la paranoïa, l'obsession... La folie est le signe d'un déséquilibre en Intelligence.

. L'ISOLEMENT : celui qui est bloqué est prisonnier de mécanismes de son égo, de sa personnalité et de sa pensée. Il n'arrivera pas à traverser le mur. Il souffrira d'isolement (même dans la foule) et sera antipathique aux autres. Le danger est de ne pas être capable de se connecter à son enfant intérieur (ressenti, amour) en raison des contraintes, des responsabilités et des mécanismes qui ont élevé un mur très haut et très épais entre lui et sa capacité de ressentir.

. La PEUR : celui qui a peur est paralysé, il n'arrive plus à avancer. La peur est un signe d'un manque de Volonté.

 

Une technique particulièrement prisée par l’esprit prédateur pour nous maintenir dans son système carcéral porte sur les besoins et les fantasmes personnels spécifiques à chacun. Les forces ténébreuses qui nous dominent les connaissent par cœur, puisqu'elles s'en nourrissent et cherchent à les accentuer. Ayant accès à toutes nos données énergétiques, ils sont facilement visibles depuis leur dimension. Il leur suffit simplement de décoder les données contenues dans nos différents corps, et envoyer les informations opportunes directement à notre antenne réceptrice des pensées, le cerveau. À cet instant précis notre encéphale se met en mode "téléchargement", réceptionnant les diverses programmations qui s'y logent tout en les analysant et en les répertoriant méthodiquement.

De pseudo-solutions prêtes à l’emploi nous parviennent ainsi spontanément, et nous persuadent de leur caractère salvateur sur notre chemin de libération. Elles prennent les formes appropriées correspondant à nos besoins fondamentaux et fantasmes, cautères illusoires à la résolution de nos difficultés : immersion au cœur de la nature, changement de conjoint ou de travail, suivi d'un stage ou d'une formation, déménagement, thérapie énergétique ou chamanique, cure détoxifiante, pratique religieuse ou communautaire, entrée dans une société secrète, etc. Si ces solutions ne sont pas à rejeter forcément, pouvant être appropriées, elles ne constituent en aucune façon la réponse. Parce qu'elles sont extérieures. Et c'est là où nous pouvons comprendre le jeu de la prédation, qui consiste systématiquement à nous égarer par des voies extérieures, jamais intérieures. C'est la fausse lumière, autrement appelée luciférienne, qui nous entraîne inlassablement dans le dédale de réactions téléchargées et ultra-conditionnées, dans une spirale sans fin et stérile. Nous partons dans toutes les directions tant les propositions ne manquent pas, et c’est l’emballement, qui au final nous épuise et nous perd. Perte de notre temps, de notre argent, et enfin de notre désir premier... Nous restons dans le piège mortifère.

 

La maîtrise de la manipulation prédatrice

Cinq stades caractérisent le développement de la manipulation par notre prédateur.

1. L’attaque.

C’est la pénétration dans l’esprit d'une suggestion, quelle qu'en soit la nature (vol, jalousie, accusation, mensonge, séduction ...).

A ce stade, la technique consiste à l'ignorer.

2. L’interaction.

Cela se produit quand la personne commence à interagir avec la suggestion, ce qui suppose un dialogue réel. Par exemple, en réponse à une suggestion donnée par le prédateur, la personne peut se poser la question : " est-ce une bonne ou une mauvaise chose ? " Cette discussion est dangereuse, car elle offre des prises pour le prédateur. Il faut beaucoup de tempérament pour y résister.

3. Le consentement.

Il y a consentement quand la personne accepte de suivre le prédateur tentateur. A ce moment-là arrivent la culpabilité et la honte. Cependant, même si la suggestion s’est enracinée dans notre cœur, l’action n’a pas encore été commise. La " guerre " spirituelle est encore sur un plan mental. De ce fait, commettre cette action mentalement est toujours moins grave que de commettre l’action physiquement. Par exemple, un adultère mental n’est pas un adultère réel.

4. La captivité.

La personne devient l’otage de la suggestion. Une fois qu’une personne y succombe, il lui est beaucoup plus facile de revenir, et plus difficile aussi d’y faire face. L’acte devient une habitude dont la personne n’arrive pas à se défaire.

5. La passion (ou l’obsession).

La suggestion s’intègre complètement en nous. La personne est captive, et a un comportement destructeur envers elle-même et les autres. C’est le cas par exemple, d’un joueur compulsif. La personne est pleinement consciente que son comportement est destructeur, mais son cœur est captif, elle ne peut pas rejeter l’énergie négative qui la possède et la contrôle.

La méthode utilisée pour combattre les suggestions passe tout d’abord par le fait de les ignorer, de rester complètement indifférent. Tout comme on ne devrait pas se mettre en colère quand un avion passe au-dessus de chez soi, on ne devrait pas non plus réagir aux suggestions perturbatrices. On ne devrait pas s’engager dans un dialogue avec elles, par confiance excessive. C’est une erreur tactique de discuter avec un ennemi mortel, plus intelligent que soi. Par exemple, si quelqu’un nous injurie de la rue et que nous sommes en sécurité dans notre maison, pourquoi sortir lui répondre et s’exposer à une attaque ? Il en va de même pour l’attitude envers les suggestions.

Une autre stratégie est possible, la confrontation active. Cette stratégie est plus facile si la personne a atteint un certain stade de purification de ses passions et désirs terrestres. Il est alors possible de débattre avec les suggestions et de les vaincre (comme Jésus dans le désert). Ce n’est bien sûr pas une stratégie recommandée pour les novices.

Si en dépit de ses efforts, les suggestions restent tenaces, il est possible d’introduire dans son esprit une suggestion de scission. Il s’agit de se concentrer sur une autre pour réduire l’influence de la suggestion perturbatrice. Il est ainsi possible par exemple de marcher dans la nature, car les arbres en particulier, donnent une énergie nouvelle qui peut nous renforcer. Le travail manuel est également efficace.

Enfin et évidemment la prière sincère du cœur est très efficace. Toutefois, avant de prier, la personne doit avoir développé une maîtrise rationnelle de la situation. Il est bon de prier, donc, mais jamais sous la panique.

Le travail spirituel dans son ensemble, appelé askesis, renforce progressivement l’âme et permet de retrouver la santé spirituelle. On devient alors très sensible à la présence des suggestions chez les autres, étant mieux à même de les prévenir. L’esprit d’une personne qui s’est purifiée des passions inférieures ne laissera pas entrer les suggestions, et son corps les rejettera directement, en raison de son système immunitaire énergétique. Une personne libérée et purifiée ne laissera même pas son esprit les imaginer.

Les suggestions du prédateur ne sont jamais là par hasard. La résonance que notre esprit peut avoir avec elles permet de travailler sur les imperfections qui sont autant d’obstacles sur la route vers l’humilité. Une personne pourra être confrontée à des suggestions justement parce qu’elle a exprimé le souhait de progresser, de se perfectionner. La perfection signifie leur éradication de l’inconscient. En effet, la "répression" n’est pas compatible avec la vie spirituelle. Aussi il ne s’agit pas de "réprimer" mais de "transmuter" (par exemple, l’énergie érotique, eros, devient amour divin, agape). Cela nécessite une transmutation des passions stockées dans le soi-disant "inconscient". La discipline du chamane que nous sommes amène à la conscience ce qui reste dans l’ombre de l’inconscient, jusqu’à ce qu’il devienne totalement transparent ...

 

Tant que nous ne prenons pas conscience du jeu du prédateur, nous restons livré à nous-même et avons tous les risques de tourner inlassablement en rond, persuadé que nous sommes sur la voie. Que nous sentions ou, pour certains, entrapercevions ces  obscures sentinelles de notre prison mentale, est indispensable à notre désengagement de leur tutelle asservissante. Par l'écoute vigilante de nos pensées et émotions associées d'une part, et de notre intuition, celle venant du cœur d'autre part, nous commençons notre travail d'épuration intérieure, au quotidien, à chaque instant. Ce "sixième sens" qui n'appartient qu'à nous-même est notre guide, dégagé désormais des livres, conférences ou accompagnements par des "experts guérisseurs" extérieurs.

Certes ressentir intérieurement nous conduit à demeurer suspendu à un fil bien fragile, celui du doute, qui peut se rompre à tout instant. C'est le "vertige des hauteurs", de l'ascension vers la sortie de la caverne*. C’est une situation forcément délicate, inconfortable, qui nous demande de puiser en nous une énergie surhumaine tant nous sommes habitué à déléguer à autrui la guidance de notre vie, à acheter tout packagé les solutions existentielles présumées miraculeuses.

Cheminant seul sur cette voie intérieure, le risque est fort de perdre patience et espoir. D'autant que nous trouvons rarement un bras tendu dans un entourage la plupart du temps éloigné de cette quête et/ou force de culpabilisation. Nous doutons alors, pouvons sombrer en dépression ou nous résigner à revenir sur le chemin balisé du plus grand nombre. C’est alors, si notre démarche est sincère et notre discipline aiguisée, que se réveille dans le silence nourrissant la paix intérieure, une fois le désengagement extérieur totalement réalisé.

* Cf. Le chemin de l'Ascension.

 

La paix du mental

 

L'accès à la paix de l'esprit apparaît comme le couronnement de notre persévérance, de notre foi invétérée. Sa vibration est spécifique, tangible, physiquement perceptible, qui paraît dotée d’une intelligence propre et pour cause. Elle vient de notre Soi supérieur, notre Âme, reliée à La Source. Elle est Intelligence, se glissant partout, entre les mots, entre les regards, les images, et transmettant une information très claire, une évidence immédiatement perçue par la zone énergétique du cœur qui, dès lors, bloque l’activité cérébrale.

Par l’expérience de cet instinct de conservation si puissant, si évident, cet accès va nous transfigurer à jamais. Toute nouvelle fiction astucieusement scénarisée par votre instructeur prédateur nous apparaît à présent fade, dramatiquement inintéressante. Un nouveau vent frais, léger et captivant, délicieusement rajeunissant, peut désormais souffler en nous.

Si peu il est vrai empruntent ce chemin, les forces contraires étant telles que la résistance est quasi contre-nature. Nous flairons pour autant sa présence en permanence. Il est là autour de nous, attendant simplement que nous l'empruntions. Et aucune recette n’existe autre que d'entamer par soi-même cette démarche de re-connaissance. C'est l'accordement à la puissante pulsion de vie, cet aliment vital composante intrinsèque de notre corps spirituel. En la reconnaissant, en lui prêtant attention, nous l'actionnons pour qu'elle puisse enfin nous nourrir en toute conscience. Notre regard est alors plus perçant, et notre cœur peut battre à l'unisson de la vie, non de l'apparente vie qui n'est que le sommeil glacial. Notre mental trouve enfin son maître, et le monde s’éclaire.

 

La sacralisation de l'identité

 

En prenant le recul que confère le passage en mode éveil, nous nous rendons compte que certaines personnes de notre entourage, hier encore attachantes, apparaissent comme absentes, vidées de bon sens et de présence. Nous finissons par nous rendre compte que le manque de cœur à Ce Qui Est n’est pas forcément dû à nos attentes naïves et idéalistes, mais que nous sommes simplement devenu plus attentif à l'expression de l'humain, de sa substance profonde. Il en découle tout naturellement un ressenti de vide relationnel, où la chaleur laisse place à l’indifférence, les échanges deviennent stériles, les projets communs infructueux. Certains de nos proches, famille comme amis, sont méconnaissables… En quelque sorte ils meurent, disparaissent sans pour autant cesser de vivre. Ils sont dilués, fondus, absorbés par la volonté globale unificatrice de la matrice, l’instinct grégaire, la pensée uniforme.

Nous voyons désormais ces millions de gens s’activant pour le salut de la nation, œuvrant quotidiennement pour la victoire de leur statut social, affectif, patrimonial et professionnel, sans prendre le temps d’observer la machine infernale qui les engloutit, sans goûter aux instants essentiels et sacrés auxquels la Vie les convie à tout moment. Une fois neutralisé et " mort " à lui-même, chacun d'entre eux est devenu un pion sur l'échiquier, outil directement utilisable en cas de besoin. La scène politique, économique, l’actualité, et tous les autres artifices de la toile artificielle ne sont que le reflet de ces opérations occultes menées en masse depuis l’Invisible, égrégore globalisant, manipulant les populations elles-mêmes privées d’un véritable libre arbitre existentiel. C’est leur essence qui est moissonnée !

 

Conformément aux lois naturelles caractéristiques de la cyclicité des Temps, nous vivons les derniers instants d’une civilisation humaine avilie, corrompue, médiocrement autonome. Certains êtres humains, éveillés ou en cours de l'être par l'appel de leur Âme, sont en mouvement pour construire leur "nouveau Monde", leur nouvelle dimension de réalité à partir d'une conscience supérieure. Ils s'apprêtent, en soulevant le voile de l'oubli et en se rappelant Qui Ils Sont vraiment, à franchir les portes de l'espace-temps. Ils ont compris que c'est en "dansant" avec les forces prédatrices, qui leur enseignent qui ils ne sont pas, que les clés de leur délivrance leur sont remises. En rencontrant à l'intérieur d'eux-mêmes les ténèbres cachées, en en libérant les mémoires limitantes et corruptrices, ils régénèrent leur ADN biologique et redeviennent créateurs libres de leur vie.

C'est en affrontant sa propre tyrannie intérieure que se libère la force invincible sacrée qui nous habite depuis les origines. C'est la lucidité, le courage et la ténacité du Héros de sa vie que de réaliser et réussir ce voyage.

 

 

En conclusion, la vidéo qui suit, bien que source de répulsion pour nombre d'individus, constitue la meilleure représentation du processus initiatique de survie au fonctionnement de la matrice lorsque nous émergeons en "zone rouge", soit comme ici dans ce film lorsque nous sortons la tête du sable. Les différences sont que les ombres noires prédatrices sont beaucoup plus intelligentes, ne sont pas du tout aveugles, connaissent mieux que nous même nos faiblesses et peurs, et nous sont presque invisibles... Qui plus est, nos pires ennemis sont aussi nos propres congénères, les plus dangereux étant souvent ceux qui sont les plus proches de nous !

 

 

La vraie thérapie, c'est à tout moment, en toutes conditions, et certainement pas guidée par quelqu'un que nous payons, mais par sa propre guidance supérieure qui place les expériences dont nous avons précisément besoin sur notre chemin.

 

 

 

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