Les "clés libératrices" en ligne font l'objet de constantes mises à jour et nouveaux enrichissements. Leur formulation n'engage que leur auteur, qui puise tant dans ses recherches et sources d'information que dans son imaginaire leurs révélation et libre mise à disposition suivant la forme et la rédaction retenues.

Il n'y a de ce fait rien à prendre pour argent comptant, seulement à laisser faire en soi le processus d'ouverture de conscience par le discernement, soit le juste équilibre entre cœur et raison. Celui-ci conduira à les invalider, à les valider, à les compléter par d'autres ajouts et compléments. Il est ainsi conseillé de se référer à des relais ou officines de la doxa scientifique officielle tel Psiram.com, le Wikipédia des croyances irrationnelles, dont l'objectif est de discréditer tout ce qui ne correspond pas à sa ligne de pensée académique, et de prendre le contre-pied sur des sites comme la chaîne web Odysee.com ou la plateforme de vidéo en ligne canadienne basée à Toronto Rumble, ou encore le site d'hébergement de vidéos "alternatif" Crowdbunker.

Sans prendre parti pour une croyance contre l'autre, il s'agit de prendre de la hauteur et de se forger sa propre opinion, par son propre travail de recherche, libre et indépendant. C'est ainsi que procède le chercheur de vérité.

 

 

Symbolisme et artifices de la Matrice

 

L’univers vivant évolue à partir de sa structuration en gammes, qu’il s’agisse du son ou de la lumière (les couleurs)*. C'est ainsi que les sens de l'être humain perçoivent les octaves de fréquences de la matière (couleurs, sons, saveurs, odeurs, …), signifiant qu'il y a une organisation mathématique de la matière par des archétypes décelables dans les nombres et les formes géométriques*². Ces archétypes se retrouvent tant dans les langages que dans les systèmes (yi king, tarot, cinq éléments, etc). On peut de ce fait faire des équivalences, le rouge pouvant être l’équivalent du Do musical par exemple.

Seule la connaissance de ses lois physiques - électromagnétisme, gravité, force nucléaire... -, qui sont autant les lois spirituelles du "Jeu du Vivant", permet d’accéder à la compréhension de ce qui vient insidieusement s'y substituer, à ce qui se cache "derrière" quand la Matrice cyber en modifie le sens par la manipulation des archétypes pour contribuer à l'involution des consciences*³, comme le passage en cours d'une ère biologique à une ère transhumaniste*⁴.

C'est en effet par la connaissance de ces lois - le grand secret - que ses maîtres artificiers utilisent la magie des images et la puissance du verbe afin de manipuler les êtres humains, les amenant à croire et à penser de telle façon qu'ils donnent pleine puissance au système qui les asservit. En d'autres termes, ils broutent l'herbe toxique du pâturage - le monde à l'envers (le démon) - qui les conduit inéluctablement à l'abattoir...

* Cf. Évolution de civilisation (1) Le Mécanisme de l'Univers & Fonctionnement de l'architecture du Vivant.

Cf. Symbolisme mathématique.

Cf. Prédation manipulatoire.

*⁴ Cf. Conscience du XXI° siècle.

 

Les couleurs

La gamme des couleurs de la matrice originelle

 

La gamme des couleurs de l'univers

Rouge : Volonté

Orange : Connaissance concrète

Jaune : Harmonie

Vert : Intelligence active

Bleu : Dévotion

Indigo : Amour-Sagesse

Violet : Ordre-Pureté

 

 

 

Chaque couleur correspond à un code de fréquence unique que le cerveau de l'être humain décrypte. Les couleurs de la Triade sont le Rouge (Volonté divine), l'Indigo (Amour-Sagesse) et le Vert (Intelligence active divine). Elles sont liées aux différents centres énergétiques de l'être humain*.

* Cf. Fonctionnement du corps biologique & Fonctionnement de l'architecture du Vivant.

 

La couleur des peuples, lien avec le champ d’information universel

 

La mélanine, pigment produit par la tyrosine qui circule dans le sang par le biais de cellules appelées mélanocytes, traduit la pigmentation de la peau, en provenance de l'énergie diffusée par différentes planètes du système solaire de la galaxie à laquelle appartient la planète Terre*. Elle est en relation avec la mélatonine, hormone centrale de régulation des rythmes chrono-biologiques, qui est produite par la glande pinéale. Celle-ci permet l’entrée dans une autre dimension de réalité comme de conscience, dans les états appropriés (méditation profonde, sommeil), lorsque le mental comme l’émotionnel ont cessé de s’agiter.

 

Chacun des quatre grands peuples de notre civilisation humaine est ainsi porteur d’une propriété découlant de sa pigmentation.

La couleur Noir, en relation avec l’élément conducteur eau, a une propriété, celle d’absorber : ainsi la chaleur, les couleurs, l’information. Elle est la couleur de la connexion avec le champ informationnel de l’univers. La vraie signification de la couleur Noir est le symbole de tout ce qui est mystérieux‚ connu seulement du Créateur, d'où le sens de negro/nègre, divin. C'est pourquoi sont appelés "nègres" les êtres inspirés qui apportent le fruit de leur travail à des auteurs de roman ou à des compositeurs qui ont perdu l’inspiration première.

La couleur Rouge, en relation avec l’élément terre, possède des propriétés proches, quoique dégradées compte-tenu d’une pigmentation moindre.

Toutes deux sont liées à la polarité féminine : ce sont les peuples dits du cercle, la matrice magnétique utérine de la Divine Mère.

A l’opposé sont les peuples Jaune et Blanc, couleurs de rejet et non plus d’absorption. Ce sont les peuples dits du triangle, le feu électrique du Divin Père.

C’est tout particulièrement le cas de la couleur Blanc, couleur de réflexion, qui a de ce fait du mal à se connecter au champ quantique universel. Il en découle pour son peuple une propension marquée à l’égocentrisme liée à la peur de la séparation. Son mental est ainsi plein de peurs, notamment la peur de manquer. Sa propension spirituelle hors dogmatisme religieux -l'autoritarisme- est faible.

Chaque groupe a de ce fait un manque de 3 parts, tout particulièrement exprimé par son élément dominant. Ainsi le peuple Noir fait face au manque d’eau, alors même que celle-ci lui permet un haut niveau de connexion spirituelle. C’est la traduction de la loi des polarités, qui voit un + toujours contrebalancé par un -*².

* C'est ainsi par exemple que la pigmentation Rouge est le fruit du combiné de la planète Mars avec le Soleil. Porteuse comme toujours des deux polarités, elle procure aussi bien dans sa polarité évolutive (+) les prédispositions des êtres humains appartenant au peuple Rouge à leur connexion au feu solaire de l'Esprit universel, leur permettant de vivre une relation harmonieuse avec la Terre-Mère nourricière (tribus amérindiennes pacifiques, aborigènes d'Australie...), que dans sa polarité involutive (-) l'influence destructrice du feu guerrier non canalisé, source de passions exacerbées (sacrifices sanglants des rituels des Aztèques, pratique du scalp et du poteau de torture de tribus amérindiennes guerrières...).

Cf. La dualité décodée.

 

L'histoire alchimique civilisationnelle

La précédente civilisation humaine, nommée atlante, était située en 4ème dimension de réalité, c'est-à-dire sur un champ de fréquence vibratoire supérieure à notre actuelle civilisation (dimension de réalité tridimensionnelle). Il y a environ 12.000 ans, elle chuta de par la corruption qui l'avait gangrénée, et ce à l'issue d'un processus en trois phases, soit trois guerres (qui ne sont pas sans nous rappeler celles que notre civilisation connaît depuis le XX° siècle) qui ont ravagé sa civilisation avant qu'elle ne disparaisse définitivement par de gigantesques cataclysmes naturels. Elle entama alors par ses survivants un nouveau cycle, son peuple bleu (couleur de peau du peuple atlante telle que le film hollywoodien Avatar de James Cameron l'expose) s'étant divisé conformément à la loi de dualité régissant le Vivant par les deux génomes constitutifs des forces universelles : le génome aryen/arihmanien (polarité +, électrique, mode Service de Soi) des forces involutives, majoritaire, et le génome sémite (polarité -, magnétique, mode Service d'Autrui) des forces évolutives, minoritaire, présent dans le génome mitochondrial féminin, tous les résultats des enquêtes d'ADN ayant montré deux "origines" pour la présente humanité, l'Asie et l'Afrique (autrement dit, une division plus ou moins Nord/Sud). Cette division permet de comprendre la nouvelle histoire qui s'écrit depuis que ses rescapés ont migré à l'Est (le chemin dit de Saint Jacques de Compostelle) et à l'Ouest, et tout particulièrement l'asservissement du féminin sacré par le patriarcat politico-religieux*.

Le champ de fréquences de la 3-D ayant une gamme (spectre) de couleurs tout autre*², nous en retrouvons les caractéristiques à travers la couleur et ses dégradés des quatre grands peuples civilisationnels, les couleurs "foncées" (Noir et Rouge) étant plus proches du bleu atlante (spirituellement plus élevé) alors que les couleurs "claires" (Jaune et Blanc) en sont plus éloignées. Depuis, le mariage continu des génomes sémite et aryen/arihmanien grâce aux propriétés du génome mitochondrial féminin permet en cette fin de cyclicité civilisationnelle, sous l'effet de l'Onde du changement, à un nombre plus important d'êtres humains de réussir leur fusion par le "kiristos" - la conscience christique - aux fins de s'extraire de la Matrice involutive*³.

* Cf. Le chemin alchimique, Le modèle pyramidal décodé & Le féminin séquestré.

*² Cf. Fonctionnement de l'architecture du Vivant.

*³ Cf. Fin de cycle (2) La guidance éclairée de sa vie.

 

Des groupes sanguins

La croyance que l'humain descend du singe est erronée, le groupe AB étant presque inexistant chez les singes tandis que le groupe O est minimal (les chimpanzés sont principalement du groupe A, jamais B, et les gorilles sont principalement du groupe B, jamais A). Les premiers Européens avaient un haut % de groupe A, pendant que les races Asiatiques avaient un haut % de B (c'est pourquoi a été proposée l'idée que des chimpanzés se développèrent en homme de Cro-Magnon puis Européens, pendant que les Gorilles se développèrent dans les Neandertals à plus grand cerveau puis dans les Asiatiques). Quant au groupe O, il relève d'un troisième groupe de proto-humains, se présentant ainsi comme un gène récessif (les deux parents doivent avoir au moins une copie du gène pour produire un enfant qui est de type O).

La réalité est que les différentes races de l'espèce humaine dans toutes leurs combinaisons humanoïdes ont été successivement élaborées par nos maîtres généticiens prédateurs de la 4ème dimension de densité pour être "les mieux adaptées" à leurs besoins, en fonction des résultats constatés, et plantées aux endroits spécifiques (comme au Moyen-Orient pour la race sémitique). C'est ainsi que la plupart des groupements de sang sont généralement divisés de manière égale. Cependant, il y a quelques groupements purs. Pour le groupe O les Bororos, Mayas et Incas sont tous virtuellement 100 % du groupe O. Plus au nord, les Navajos sont à 73 % du groupe O. Encore plus au nord, les Indiens Blackfoot sont à 82 % du groupe A. Le groupe AB, qui est rare, inclut les Chinois de Pékin, les Coréens, les Japonais à environ 10-18 %. Les Polonais, les Tchèques et les Gitans hongrois tournent à environ 9-10 % du groupe AB. Quant aux Tartares et Hindous, ils montrent aussi un fort AB.

Il a été noté que certains organismes causant des maladies ont les mêmes protéines sur leur surface que certains des groupes sanguins, menant à l'idée que quelques groupes sanguins sont plus susceptibles que d'autres à certaines maladies. Cela mène à l'idée que les populations peuvent être délibérément manipulées en introduisant des épidémies que "favorisent" certains groupes sanguins. Cela peut être la raison de la "pureté" peu commune de groupes sanguins dans certaines populations. Ceux qui portaient le "faux" type ont été éliminés par des méthodes de contrôle de population virales ou bactériennes, et ce chaque fois qu'un saut quantique de conscience est imminent (c'est à nouveau le cas actuellement avec l'affaire des "coronavirus" successifs, marque du passage en cours de la cinquième civilisation humaine à la sixième).

Des revendications ont été faites que le groupe sanguin O est le sang de la royauté (sang bleu), qui est issu d'un héritage Atlante. Les races qui possèdent ces races de sang (appelées les races Rouges) sont les races des Amériques, des Canaries, Basques, Scandinaves, Celtes (types grands, blonds, nordiques), de même que certains peuples polynésiens et indonésiens. Toutefois, le groupe sanguin de type O n'est en aucune façon la génétique de nos maîtres prédateurs Reptilien/Lézard (ce qui a été proposé par certaines théories), quoique cela puisse en effet être le groupe sanguin d'individus possédant un potentiel génétique très fort pour le bien OU le mal.

 

La gamme des couleurs de la matrice asservissante

Architecture de la trinité couleurs de la Matrice, soit l'espace-temps figé par le serpent (Ouroboros) l'entourant
Architecture de la trinité couleurs de la Matrice, soit l'espace-temps figé par le serpent (Ouroboros) l'entourant

 

Dans le monde de la dualité*, les couleurs usitées ont toujours deux polarités, + pour les Forces de Lumière et - pour les Forces de l'Ombre et des Ténèbres, représentées dans l'ordonnancement terrestre par le réseau des "Illuminati"*², les relais terrestres du corpus prédateur de 4ème dimension de réalité. Ceux-ci se divisent en deux branches : celle des Illuminati dits mérovingiens (polarité luciférienne, potentiellement évolutive), et celle des Illuminati khazars (polarité satanique, définitivement entropique).

 

C'est ainsi que les couleurs en usage pour la communication hypnotique de la Matrice asservissante sont les trois couleurs primaires :

- Le Rouge est associé à l'état de "Maître", soit les élites gouvernantes prédatrices. C'est pourquoi il est la couleur du sang, l'offrande sacrificielle suprême faite à Satan, la version entropique de l'Ange déchu Lucifer (ainsi les sacrifices d'enfants lors de messes sataniques*³). Il habille ainsi l'idéologie mortifère du Communisme par l'ampleur de ses crimes, tout comme il se retrouve dans le nom emblématique de la prédation financière, Rothschild, autrement dit le "bouclier rouge".

- Le Jaune est associé au divin, au (faux) dieu Soleil vénéré. Il est le contrepied de l'Or alchimique, la couleur des étoiles qui brillent au firmament de la Conscience universelle.

- Le Bleu est associé aux moutons de l'enclos, les êtres humains endormis et tondus pour les besoins du système prédateur.

 

Ces trois couleurs se révèlent lorsque le soleil frappe de ses rayons la goutte d’eau, transparente, source de vie... C'est ainsi que le soleil jaune, l’eau bleue, et la force vitale rouge font le vert de la nature. C'est parce qu'avec ces trois couleurs que tout peut être créé, jusqu’à l’infini, que le système les décline au sein de sa Matrice et de ses relais visuels : affichage, logos, internet, télévision, consoles de jeu, maillots, vêtements... Tout cela pour que les moutons et abeilles aillent travailler à construire l’utopie du royaume des morts et de ses maîtres, contre les papiers - argent, administratif - qu’ils donnent en échange. S’attacher à cet infini dévoyé, désacralisé, c’est embrasser la mort...

* Cf. La dualité décodée.

Cf. La nouvelle religion universelle.

*³ Cf. Les psychopathes qui nous gouvernent.

 

Lorsque le Jaune est absent, le rapport binaire maîtres - esclaves est clairement établi, gravé dans l'inconscient des acteurs.

Echantillon de logos binaires rouge bleu
Echantillon de logos binaires rouge bleu

Manipulation de la symbolique

 

Illustration de la communication du système - The Economist

The Economist Group est un groupe de presse économique britannique, qui a son siège dans la Cité de Westminster, à Londres. Depuis août 2015 et la vente de la participation du groupe de presse Pearson, ses actionnaires sont Exor (famille Agnelli) et la famille Rothschild. Ce puissant média d’influence utilise un subtil codage dans ses couvertures annonçant la nouvelle année pour livrer des "prédictions" suffisamment justes dans leurs effets souvent dramatiques pour que l'on y voit la seule empreinte du hasard... Ainsi la couverture de l'année 2017 ne faisait pas exception à la règle avec l’utilisation des cartes du tarot, ou pour 2018 avec une kyrielle de symboles en quatre couleurs. Pour quels soubresauts en 2019, l'Homme de Vitruve robotisé annonçant le black-out civilisationnel* à venir. Quant à 2020, sa grille ophtalmologique égrenait le calendrier de la programmation astrale dédiée : Trump, Brexit, Climate, Recession, Biodiversity, Tokyo, Mars, Bond (obligations en anglais), Beethoven, Vision (en rouge dans le texte), War (guerre en anglais), Russia…

Les couvertures de 2023 et 2024 mettent en avant quant à elles les éléments contributifs à la bascule du changement civilisationnel en cours de réalisation.

* Cf. Le Jeu de (fausses) pistes de la Matrice.

 


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Le jeu de la Matrice est pervers. Il s'agit en permanence de détourner le sens profond des symboles, afin d'égarer l'être humain et de brouiller les pistes. Il en est ainsi de la couleur bleue, couleur très spirituelle associée aux centres énergétiques supérieurs de l'être humain, la gorge (parole) et le front, autrement dit le 3° œil (dit Œil d'Horus), et qui caractérise dans la communication du système les moutons de l'enclos, les esclaves de la Matrice.

C'est ainsi que les familles ou lignées royales - les élites de la noblesse ("l'anneau (qui) blesse") -, dont les activités sont pré-ordinées pour assurer le contrôle des masses humaines esclaves, revendiquent une pureté originelle de leur lignée génétique, dite "sang bleu" (on parle de bleu royal pour les dynasties royales de France). Elles établissent ainsi le lien avec la civilisation atlante, de couleur bleue, qui avait atteint un haut niveau spirituel avant d'être corrompue et dévoyée par le matérialisme technologique.

La recherche de la pureté du sang "originel" est la quête idéologique de tout système prédateur, telle celle menée par Richard Walther Darré (1895/1953)*, général SS, l'un des principaux théoriciens nazis de l’idéologie Blut und Boden ("le sang et le sol"). Elle n'a en fait pour objectif que l’organisation même d’une gigantesque réserve énergétique à l’échelle planétaire, dont la fonction première est de nourrir selon les cycles du calendrier cosmique l'entité prédatrice supérieure affamée, au réveil d'un long sommeil millénaire...

La transmission des secrets de cette civilisation par les survivants du déluge apocalyptique a permis à une prêtrise corrompue d'asseoir sur leur trône terrestre les gouvernants institutionnels - pharaons, rois, empereurs, présidents - qui conduisent à leur bénéfice prédateur exclusif la marche du monde terrestre*².

* Ancien responsable de la politique agricole du Reich, il mettait au point à partir du sang allemand le meilleur, issu de croisements concertés au cours des générations, le type le plus pur de l’Allemand nordique afin de produire un haut élevage, au sens littéral du terme ... 

Cf. La nouvelle religion universelle.

 

Du symbole de la dynastie mérovingienne

La lignée des Mérovingiens, première dynastie des rois de France, est issue des peuples des Francs saliens, dont l'origine profonde est issue des marais, leur habitat primitif. Si leur emblème a évolué, il portait à l'origine un semis de crapauds, maquillés en grenouilles. Le crapaud est en effet essentiellement un symbole négatif, représentant comme dans la Chine ancienne le gardien du séjour des morts. Au contraire, la grenouille symbolise par ses métamorphoses la démarche spirituelle vers la perfection, la résurrection et l’immortalité. Habile et subtil maquillage ! Selon une légende, un ange serait apparu à Clovis, premier roi chrétien du royaume des Francs, pour changer l’emblème de la grenouille en fleur de Lys, ce qui sera établi au XIIe siècle à partir du règne de Louis VII en figurant sur les sceptres royaux, et qui par la suite deviendra le symbole héraldique des Capétiens, la troisième dynastie après les Carolingiens. Ainsi les Mérovingiens ont utilisé l’emblème de la grenouille devenue fleur de Lys comme manifestation de leur certitude d’appartenir à la race immortelle des rois de France, expliquant que l’emblème héraldique de la France dura sept siècles (Cf. photo).

Le lys est à la fois et par excellence la fleur céleste et la fleur française*, celle qui excelle sur toutes les autres fleurs en odeur suave, en fécondité et en hauteur. On peut voir dans sa forme trois fleurons - la Sainte Trinité - posés sur un champ d'azur : un grand haut au milieu, et deux moyens d’une pareille hauteur aux deux côtés. Le haut fleuron signifie la sainte foi et loi de Jésus-Christ, et les deux de moyenne hauteur signifient sapience (sagesse et science) et noblesse (prouesse), lesquels sont ordonnés pour soutenir, garder et défendre le haut fleuron... Ou comment se dissimuler derrière la soi-disant Église de Dieu pour mieux asservir l'humain illusionné, s'imaginant naïvement que c'est par leur intermédiaire qu'il est à même de fusionner avec les plans d'en-haut !
En observant cette fleur de lys du dessus, on obtient l'étoile à 6 branches dite étoile de David. Elle a en effet son origine en Égypte, où elle ornait plusieurs monuments et objets d'art. Dans ce pays, cet emblème floral distinguait les dieux et les souverains, car il représentait le double pouvoir spirituel et royal. Osiris, Isis et Horus en étaient couronnés, et cet emblème se retrouvait souvent sur le front des statues et des sphinx. C'est pourquoi nous la retrouvons associée à la figure de la rose des vents indiquant les points cardinaux : N pour nord (le point repère des marins), S pour sud, E pour est, O pour ouest (W pour l’anglais West) et les orientations intermédiaires, jusqu’à 32 directions. En fait, les roses initiales n’indiquaient pas quatre directions mais huit directions. Si l’est pouvait être indiqué jadis par la lettre L (pour l’italien levante, levant), le nord l'était par la lettre T (pour l’italien tramontana, tramontane) ou par une fleur-de-lys. Les roses des vents du Moyen Âge avaient parfois l’est en haut, pour indiquer que Jérusalem (à l’est du point de vue européen) était supérieure à tout...

* Elle est avec le trèfle le symbole le plus utilisé dans le scoutisme, dont la mission est de montrer la voie de toute autre chose, signe du sens donné à sa vie par excellence. Elle indique les trois vertus et principes du scout : Franchise, Dévouement, Pureté.

 

Du saint Graal

Plus exactement Saint-Greal, son étymologie signifiant de sang real - sang royal -, ce vase mystique* est le "saint bol", le symbole de l'être humain réunifié à l'issue de sa quête du trésor ("treize ors") qui est en lui. Séparé de lui-même par l'identification à l'égo, la pierre intérieure l'attachant viscéralement à la matière*², il a réussi par sa prise de conscience et son travail de polissage de tout ce qui était en lui épars - sa fragmentation en alter -, et par la fusion de ses polarités masculine et féminine, à accéder à sa supraconscience, le Soi supérieur. Il peut désormais poursuivre son expérimentation de Ce Qui Est dans une autre dimension de conscience.

En fait, le saint Graal dissimule la racine Gal, autrement dit le galet, la pierre (c'est pourquoi le Pays de Galles signifie le pays des pierres). Nous pouvons d'autant mieux comprendre pourquoi les racines de la Connaissance porteuse des forces d'Amour, de Liberté et d’Égalité, sont cachées en Gaule, ce qu'établit la Tradition alchimique pour qui sait décoder la langue des oisons. Afin de dissimuler cette conscience des origines, la Franc-Maçonnerie de "haute aristocratie" mérovingienne a œuvré dans le cadre de la préparation à l'émergence de la Révolution des fausses lumières du XVIII° siècle, qu'elle savait inéluctable compte-tenu de l'inéluctable éveil de conscience de l'être humain, pour se glisser dans le nouveau patronyme établi. C'est ainsi que la première carte topographique et géométrique de la France est réalisée entre 1756 et 1815 à l'initiative de la famille de cartographes Cassini, avec comme objectif de gommer la racine "Gal" de la Gaule. Ceci constituait le second coup porté à la disparition de la mémoire des origines, après l'ordonnance de Villers-Cotterêts dans l'Aisne en 1539 voyant François Ier faire du français la langue administrative du royaume pour renforcer son pouvoir face à l’Église et bouter le latin des écrits officiels (le français n'était alors parlé qu'en Ile-de-France, dialecte régional parmi d'autres comme le wallon, normand, provençal, occitan...). Là réside bel et bien le véritable héritage des révolutionnaires de la fausse lumière, coopté par les forces obscures, qui une fois encore nécessite de regarder ce monde vicié à l'envers pour comprendre sa véritable nature de démon...

* Il contenait selon la légende le vin que but Jésus à la dernière Cène, lorsque, en le portant à ses lèvres, il prononça ces paroles : "Ceci est mon sang, le sang d'alliance, qui est répandu pour plusieurs, pour la rémission des péchés" (Matthieu, XXVI, 28; Marc, XIV, 24.) La légende dit que cette coupe a été conservée par Joseph d'Arimthie qui la transporta plus tard en Bretagne.

"Gal" est en effet la Galerie, le trou dans la pierre, qui conduit au Soleil lumineux du centre de la Terre, autrement dit à son centre lumineux intérieur.

Cf. Film "Indiana Jones et la Dernière Croisade" (Indiana Jones and the Last Crusade) réalisé par Steven Spielberg sorti en 1989.

 

Canada, terre de la Couronne

Une terre de la Couronne (en anglais crown land) est, dans le cadre du système juridique des royaumes du Commonwealth*, un territoire appartenant au monarque incarnant la Couronne, c'est-à-dire à l'État. Elle correspond au concept traditionnel de l’entail ou fee tail, un domaine reçu en héritage qui ne peut être aliéné par son propriétaire, la monarchie. L'ensemble des biens possédés par les souverain doit être considéré comme domaine public, distinct de la propriété privée du monarque.

Au Canada, les terres de la Couronne appartiennent à la Couronne canadienne. Du fait de la nature fédérale du pays, il peut s'agir en fonction des terres concernées de la propriété l'État fédéral ou de celle d'une province (le gouvernement du Québec les appelle "terres du domaine de l'État"). Les terres de la Couronne forment 89 % du territoire du Canada (8 886 356 km2) : 41 % sont fédérales, 48 % sont provinciales. La majeure partie des terres de la Couronne fédérales se trouvent dans les territoires (Territoires du Nord-Ouest, Nunavut, Yukon) et est administrée par Affaires autochtones et Développement du Nord Canada. Seuls 4 % du territoire des provinces est contrôlé par le gouvernement fédéral, notamment les parcs nationaux, les réserves indiennes et les bases des Forces armées canadiennes. Les provinces sont propriétaires de la majorité de leurs territoires sous forme de terres de la Couronne, en tant que parc provincial ou autrement.

La monarchie canadienne est le système politique en vigueur au Canada. Ses pouvoirs s'exercent dans le cadre d'une monarchie constitutionnelle définie dans la Constitution du Canada. La monarchie canadienne est en union dynastique avec l'ordre de succession au trône britannique. Selon la Constitution du Canada, le monarque du Canada est le chef de l'État, poste occupé depuis 1952 par la reine Élisabeth II en tant que reine du Canada. Comme pour ses autres couronnes, elle porte l'ordinal II bien qu'Élisabeth Ire n'ait jamais gouverné le Canada. Le Canada étant une monarchie constitutionnelle, le monarque canadien participe au Parlement fédéral et aux Parlements provinciaux. Il est investi du pouvoir exécutif (provincial et fédéral) et du commandement en chef des Forces armées canadiennes. Le monarque canadien possède des pouvoirs qui lui sont propres et d'autres qui sont exercés par le biais de ses représentants : le gouverneur général et les lieutenants-gouverneurs provinciaux. On se réfère parfois à ce dernier comme étant le chef de l'État de facto. La personne du monarque règne également en tant que chef d'État sur quinze autres royaumes du Commonwealth, indépendamment du Canada. Autrement dit, la Couronne de chacun de ces pays est en union personnelle avec le monarque. Cela résulte de leur ancienne relation coloniale au sein de l'Empire britannique, mais aujourd'hui, tous sont politiquement indépendants et leur monarchie y est constitutionnellement distincte l'une de l'autre. L'unique gouvernement de Sa Majesté se manifeste ainsi de manière différente, selon la loi de chacun de ces royaumes où il fait figure d'autorité primordiale.

* Le Commonwealth ou Commonwealth of Nations est une organisation intergouvernementale composée de 54 États membres qui sont presque tous d'anciens territoires de l'Empire britannique. Il a émergé au milieu du XXème siècle pendant le processus de décolonisation.

 

Avatar

Film américain de James Cameron sorti en décembre 2009.

Le terme avatar trouve son origine en Inde (du sanskrit avatāra). Il signifie "descente, incarnation divine". Dans l'hindouisme, un avatar est une incarnation (sous forme d'animaux, d'humains, etc.) d'un dieu, venu sur terre pour rétablir le dharma, soit sauver les mondes du désordre cosmique engendré par les ennemis des dieux (les démons). Voici une belle justification de la captation profane du divin par le système élitaire.

 

Les élites gardiennes de la Matrice ont également détournées les couleurs des peuples du cercle - Noir et Rouge -, de polarité féminine, en les associant dans l'imaginaire collectif aux couleurs des ténèbres, à connotation morale satanique (polarité entropique). Ainsi la couleur Noir, qui correspond au culte de vénération de la déesse sacrée Isis l'égyptienne par la prêtrise païenne qui en a détourné le sens profond *. Celle-ci est représentative de la matrice (attribut féminin) de l'univers, soit le grand champ d'information au sein duquel la réalité tridimensionnelle prend forme par la pensée création *² de l'être humain. Autant dire que pour que les intérêts de la caste élitaire aux commandes perdurent, il convient de concentrer le système pensée des êtres humains sur le modèle approprié, soit la division à travers la lutte du bien contre le mal. Les couleurs associées à l'un comme à l'autre sont alors déterminantes, le Noir correspondant à l'Or (la Lumière) détourné de Son essence première. Il est le soleil noir, celui de la conscience des êtres humains appelés à demeurer dans le grand sommeil ...

* Ce culte dévoyé se retrouve dans les cénacles de la Franc-Maçonnerie, avec les " Enfants de la Veuve " (Isis). Ou comment sous prétexte de livrer les clés originelles du mystère de Vivant on manipule les consciences naïves d'adeptes illusionnés par le symbolisme et le rituel de leurs maîtres asservisseurs. Cf. La nouvelle religion universelle.

Cf. La pensée création.

 

Dracula, la diabolisation de l'Amour par le culte du sang

Aussi paradoxal cela puisse paraître, le sujet d'inspiration de l'écrivain irlandais Bram Stoker dans son roman alchimique Dracula de 1897 est l'amour. Le comte Dracula (Draculea signifie fils du démon ou du dragon) devient un monstre reniant le divin à la mort de son épouse Elizabeth, une dissociation se créant alors entre le masculin et le féminin réunis jusqu'alors dans un couple fusionnel symbolisant l'androgynie de l'ange, le Soi supérieur, l'âme unifiée. Immortel comme l'âme, Dracula erre inconsolable, à la recherche désespérée de sa moitié amputée dans le monde terrestre (la 3ème dimension)*, se nourrissant du sang de ses proies féminines pour ne pas retourner dans l'éther. A la fin, lorsqu'il meurt décapité, on le voit regarder vers le ciel où il enlace son épouse qu'il est en train de retrouver. Par la diabolisation du vampire représenté vêtu des trois couleurs alchimiques Noir Rouge et Blanc, les maîtres artificiers de la Matrice détournent le sens de l’œuvre qui célèbre l'indispensable union en soi des polarités masculine et féminine pour s'extraire du système vampire qui lui nous asservit*². Autrement dit ils créent un effet repoussoir destiné à empêcher l'éveil de la conscience des êtres humains.

* Nous retrouvons ici le symbolisme d'Isis, la veuve éplorée de son époux Osiris, tentant de retrouver les quinze morceaux découpés de son corps qui ont été éparpillés.

Ainsi la société ou l'Ordre de Thulé, groupement antisémite d’extrême droite fondée en août 1918 sur l’initiative de Rudolf Glauer, dit baron von Sebottendorf, installa son siège dans l’Hôtel des Quatre Saisons, Maximilianstrasse à Munich, là où le héros du roman Dracula de Bram Stoker commence sa quête. Ses mythes racistes et occultistes, liés tout spécialement à l'Antiquité germanique et au pangermanisme aryen dans le cadre du mouvement "völkisch", inspirèrent l'idéologie nazie et son pendant mystique.

 

La quête patriarcale du Graal

Les Templiers, chevaliers du Christ à la croix rouge, comme les Chevaliers de l'ordre teutonique* à la croix noire, illustrent la quête du divin par l'armure, attribut guerrier de la polarité électrique masculine, tout comme la lance et l'épée, le phallus d'Osiris ...

* Issu de la maison de l'hôpital des Allemands de Sainte Marie de Jérusalem devenu plus tard l'ordre de la Maison de Sainte-Marie-des-Teutoniques (fondation en 1190).

 


L'Ordre noir SS

Comme d'habitude l'explication historique officielle se fourvoie, expliquant que le sigle SS (image 1) signifie littéralement Schutzstaffel, soit unités de protection. Son sens profond est la prolongation de l'ordre des chevaliers du Soleil noir - Isis (diabolisation du féminin sacré)* -, soit Schwarz Sonne, dont le symbole - 12 colonnes et une treizième au milieu en référence au dieu solaire Apollon*² - revêtait le hall de Wewelsburg, château Renaissance situé en Westphalie (nord-est de la Rhénanie), quartier général de l'Ordre noir à partir de 1934 (photo 2).

Il est intéressant de noter que l'homme d’État britannique Winston Leonard Spencer-Churchill (1874/1965) a été immortalisé sous forme d’un soleil noir (photo 3) au milieu des signes du zodiaque (photo 4) à l'entrée de la Bracken House à Londres (siège actuel du Financial Times) par son ami Bernard Bracken qui a dirigé le Times. Quant au nouveau siège de l'OTAN (Organisation du traité de l'Atlantique nord) inauguré en 2017 à Haren près de Bruxelles en Belgique (photos 5 et 6), son architecture vue du ciel signe de manière explicite la nature et l'esprit de ceux qui la dirigent. Une autre façon de comprendre l'ordonnancement du monde et de ses conflits...

Autre élément de compréhension, le salut*³ ("heil") SS d'hommage à l'Ordre découle du bouddha d'Asie (Tibet), qui a la croix svastika gravée sur son poitrail (photos 7 et 8), la même servant à la posture de paix et du sagesse du dalaï-lama (photo 9) ! Déjà utilisé par le césarisme romain (image 10), il est toujours de vigueur de nos jours (photo 11). C'est toute la puissance énergétique de ce symbole électromagnétique qui est utilisée pour procurer la force nécessaire à la réalisation du dessein, évolutif (+) ou entropique (-) : "Rien ne se perd, rien ne se crée, tout se transforme...".

* Cf. Le féminin séquestré.

Ce symbolisme s'inscrit dans le cadre des légendes grecques dites hyperboréennes.

*³ Le salut bras levé tendu est de nature électrique (polarité masculine), le salut comme celui du bouddha est de nature magnétique (polarité féminine). Leur combinaison par les nazis visait à s'assurer de la maîtrise de cette loi physique universelle, notamment en récupérant l'énergie déployée par les foules, à des fins entropiques en l'occurrence...

 


L'édifice de l'institution de sécurité MI6 (également décor pour James Bond) épouse la structure d'une ziggurat (images 1 et 2). Ainsi, grâce à son Intelligence Secret Service (ISS) et son Security Service, l'empire britannique assure son influence royale sur l'ordonnancement des affaires terrestres (image 3 - ancien sigle du MI5). Quant à la tour de Big Ben, elle impose sa toute-puissance phallique (elle est le symbole du phallus d'Osiris) en fixant le rythme du temps et en le fractionnant * (photo 4).

* Fin de cycle (1) Fin du temps ou fin des temps ?

 

Au service de sa gracieuse Majesté

La puissance de l'Angleterre - "l'angle terre" - réside dans la maîtrise des codes symboliques établis par les mages babyloniens antiques. Quelques exemples : le ziggurat (ou ziggourat), édifice le plus spectaculaire de la civilisation mésopotamienne, qui a inspiré le récit biblique de la Tour de Babel ; l'obélisque, symbole du Père divin Osiris ; le triangle, figure géométrique de la puissance patriarcale.


Isis la déesse noire
Isis la déesse noire

Le culte d'Isis en Franc-Maçonnerie

Une idée symbolique importante chez les maçons est celle de la veuve. Ils s’appellent d'ailleurs les "enfants de la veuve". Ce symbole de la veuve provient à l’origine d’une "légende" égyptienne (qui se confond avec la réalité comme l'histoire de Jésus), un des plus importants mythes de l’Égypte antique, l’histoire d’Osiris et Isis. Elle raconte que Osiris fut victime d’un crime passionnel (tué par son frère Seth) qui fit d’Isis une veuve. Il en a découlé que l’examen pour devenir prêtre du temple d’Isis correspond à l’initiation maçonnique elle-même. Comme pour ce culte païen la lumière du soleil était un des éléments les plus importants (justifiant le dieu terrestre s'en prévalant), le soleil levant (Est) commençait à descendre après midi afin d’être enterré dans l’obscurité de l’orient (Ouest).

Cette inversion du temps - passage d'un temps cyclique à un temps linéaire* - a ainsi justifié les "tâches d’Osiris" (le pharaon régnant) chaque jour, comme Horus son fils, qui prit la place de son père assassiné. Autrement dit, les élites dominantes - relais terrestres des dieux divinisés dont elles se prétendent adoubées*² - ont été légitimées pour asservir à leur intérêt exclusif les êtres humains prisonniers de la dictature du temps et du travail.

Nous avons là la supercherie d'une Maçonnerie qui, tout en se présentant comme fondée sur la raison et la science par ses adeptes illusionnés, n'est qu'une doctrine mythologique abondant en croyances superstitieuses, celles-ci ayant été manipulées. Ce que ses élites supérieures - les hauts grades - connaissent parfaitement...

* Cf. La falsification de la réalité en 3-D & Fin de cycle (1) Fin du temps ou fin des temps ?

Cf. Le Judaïsme décodé.

 

Le référentiel marial (Isis) inversé

Autre technique, l’inversion du référentiel cultuel païen. Ainsi par exemple avec le logo de VW – Volkswagen - (image 1), la voiture de la nation allemande, sous-entendu du Reich, l’empire. A l’envers (image 2), il fait apparaitre le Ave Maria de célébration de la vierge (Isis), avec les couleurs bleu et blanc qui la caractérisent. La suggestion subliminale du culte dévoyé peut ainsi jouer à plein dans les esprits du peuple par la manipulation de l'inconscient*...

* Cf. Le cinéma de la Matrice & Prédation manipulatoire.

 


Le Logo d'Alfa Romeo (image 1) contient le Biscione, le reptile couronné dévorant un enfant*, et le Drapeau des Armoiries de Milan (image 2). Il apparaît également dans les armoiries de la Chambre des Sforza (château éponyme), de Milan (gare centrale), du Duché de Milan et d'Insubria (université en Lombardie), et est utilisé comme un symbole par le club de football de l’Inter Milan, dans une version où une fleur remplace l’enfant. Il se retrouve dessiné sur la pelouse de la résidence de l’ancien Premier Ministre Italien Silvio Berlusconi ...

* Cf. Chapitre Les messes noires scéniques plus en avant.

 

Le Biscione, serpent de la relation à la vie

Le serpent donne-t-il naissance à l’homme ou le dévore-t-il ? Suivant l'intention qui préside se trouve la réponse. Le Biscione est un grand serpent des herbes, également connu sous le nom Vipera. Sous forme héraldique (blason), il est montré comme un serpent dans l’acte d’avaler un humain, généralement un enfant. Il a été l’emblème de la famille italienne Visconti pour environ un millier d’années, selon la légende parce que pris à partir des armoiries d’un Sarrasin tué par Ottone Visconti lors des croisades.

Il est la représentation du dieu aztèque Quetzalcoalt (signifiant " serpent à plumes vert "), que l'on voit représenté en tant que serpent dévorant un homme dans le Codex Telleriano-Remensis (image 3). Si les Aztèques ont détruit le culte de Quetzalcoatl*, le transformant en sacrifices au soleil, Quetzalcoalt est le "Seigneur de la vie", qui la donne et la reprend tant que l'être humain ne s'est pas éveillé à lui-même. Il en est de même chez les Sumériens avec le mythe d'Enki et Enlil*², ou chez les Grecs avec Jason l'argonaute et la déesse Athéna - Minerve chez les romains - (image 4).

* Ils ont malgré tout gardé des symboles de la culture Toltèque comme le quinconce, l'emblème du soleil, formant une croix (image 5). Ce symbole – qui est aussi la croix de Quetzalcoatl – montre le centre, la réconciliation des opposés, le plexus solaire.

Cf. Le Judaïsme décodé.

 


Faîtes vos jeux, rien ne va plus !

L'univers du casino reprend le code de couleur alchimique Noir Blanc Rouge pour le grand bal de dévotion à Mammon, le dieu argent. L'addition des 37 numéros de la roulette aboutit au chiffre 666, considéré par beaucoup comme le chiffre de "La Bête" dans l'Apocalypse de saint Jean* (il est ainsi caché dans la carte Visa - photo 3). Quant au Jackpot, il permet de gagner sa place au paradis de l'illusion luciférienne en affichant ostensiblement le triple 7 divin...

Jackpot comme BlackJack font naturellement référence à Saint-Jacques de Compostelle (Santiago de Compostela), l'oeuvre ésotérique alchimique*² étant présente partout, dans tous les jeux de société (échecs, jeu de l'Oie, tarots...) se transmettant de génération en génération, pour offrir à l'être humain l'indispensable alternative, celle de sa perdition par l'illusion de la matière terrestre viciée (l'or sulfureux) comme celle de sa rédemption par son ouverture de conscience et son désengagement des tentations !

La couverture de The Economist pour l'année 2021 (image 4) met en scène une machine de jeux de casino, dans laquelle le joueur met des jetons. Elle signifie, à l'instar de ce qu'annoncent les croupiers à la roulette : "Faîtes vos jeux - Les jeux sont faits - Rien ne va plus". C'est ainsi que jouent les grands manipulateurs avec leurs esclaves humains. Jusqu'à l'effondrement du château de cartes... Mais hors de question d'"avoir les jetons" pour l'initié, qui tel James Bond affrontant Le Chiffre dans Casino Royale dans une partie à haut risque (l'agent OO7 symbolise l'élite des services secrets britanniques, le Chiffre le tout-puissant banquier du terrorisme international), est décidé à s'extirper de la matrice des morts-vivants !

* Cf. Symbolisme mathématique.

Cf. Le Jeu de la Vie & Le chemin alchimique.

 


Les combinés de couleurs

 

Couleurs

Vert (Bleu + Jaune)

Orange (Rouge + Jaune)

 

Rose (Rouge + Blanc)

Violet (Rouge + Bleu)

Pourpre (Rouge avec un peu de Bleu)

Marron (Rouge + Bleu + Jaune)

Noir + Blanc + Rouge

 

Signification

La nature.

La vie éternelle (pluie bleue et soleil jaune, soit la nature qui crée éternellement).

La communication, le rayonnement.

Le divertissement.

Les rouges (élite) qui contrôlent les bleus (peuple).

La maîtrise supérieure.

Le tout. Les très haut gradés.

 


Il va sans dire qu'il n'y a aucun lien entre ces deux sigles/logos, simplement la puissance énergétique recherchée pour s'adresser à l'inconscient collectif.

 

Le combiné Noir + Blanc + Rouge fait référence au processus alchimique*, mais utilisé à des fins négatives :

Noir : "brûler" le cerveau.

Blanc : laver le cerveau.

Rouge : mettre tout ce que l’on veut à la place.

Noir, blanc, rouge, c’est brûler, laver, programmer. Cela, dès la maternité.

* Cf. Qu'est-ce que l'Homme ? & Le chemin alchimique.

 


Cas pratique (1) : Les Schtroumpfs

Image 1 : Des bleus dormeur, travailleur, musicien,... autrement dit tous les rôles dévolus aux moutons dans la société.

Image 2 : Une schtroumpfette jaune "pour tous", créée par Gargamel : le féminin léger, sexy, aguicheur, disponible (prostitution).

Image 3 : Le maître noir Gargamel et le chat (le "malin", soit Satan) marron.

 

 

Cas pratique (2) : Logos d'entreprises

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Le décodage des logos d'entreprises et autres institutions collectives par les couleurs enseigne sur le message passé dans l'inconscient collectif. Se rajoute le sens profond exprimé par la marque ou l'acronyme, tels qu'illustrés par quelques exemples ci-dessous.

Ceci entend que lorsque nous établissons une relation avec la "marque" et ses éventuelles sous-marques* (achat de ses produits, collaboration professionnelle, partenariat commercial ...), nous lui donnons plein pouvoir à notre encontre/détriment, sauf si nous avons porté à notre conscient, en toute connaissance de cause, son dessein (intention) caché. Il en est de même pour toute la symbolique des clubs sportifs, associations, organismes divers ... pour lesquels nous accordons attention, intérêt et parfois finances !

* Nombre d'individus "bien sous tous rapports" (éducation, valeurs, état d'esprit...) font le choix d'une profession dans le marketing et la communication "business" (design, merchandising, promotion...). Sans regarder de l'autre côté du voile - leurs illusions et le déni de l'égo-mental à les reconnaître -, ils sont les relais attitrés du système prédateur, et de ce fait des prédateurs à part entière. Ils auront beau cultiver une vie sociale de qualité, s'engager dans des associations caritatives ou des projets humanitaires, se préoccuper de spiritualité en religion ou autrement, et se persuader qu'ils sont des gens "bien" par rapport aux "méchants", ils demeurent des pions manipulés sur l'échiquier de la prédation, ne permettant pas à leur âme la transformation de conscience indispensable à leur évolution.

 

 

 

 

La connexion au divin... business

Ainsi la société L’ORÉAL, dont les produits et leur prix le "valent" naturellement bien pour ses con-sommateurs. L’ORÉAL découle de la couronne de laurier, qui a remplacé les cornes dans l'antiquité représentant la connexion au céleste divin *. Elle confère à son porteur de l'aura, le parant d'un halo "magique", en or, autrement dit d'une auréole, qui chez les pharaons égyptiens, était représentée par l’uræus (l’Ouroboros grec), soit le symbole de la glande pinéale - le 3ème œil -. Elle est l'aurore boréale, ce phénomène lumineux caractérisé par des voiles extrêmement colorés dans le ciel nocturne, le vert étant prédominant. Aurore boréale - Ouroboros - L'Oréal, nous avons bien là la clé symbolique énergétique d'un incontestable succès mondial ...

De son côté, l'entreprise française de luxe productrice de haute couture CHANEL utilise le vesica piscis, autrement dit le symbole chrétien de Dieu Père/Mère unifié - La Source -, qui montre les deux aspects majeurs de Ce Qui Est*², La Lumière et Les Ténèbres. Elle parrainait ainsi en cette fin d'année chaotique 2018 par son ambassadeur "égérique" Karl Lagerfeld (1933/2019) la cérémonie d'inauguration de l'illumination des Champs-Élysées sur la base de la couleur Rouge qui, associée au drapeau français, symbolise le sang versé par le peuple français, offrande à l'Ange déchu...

Quant à la symbolique de Windows ("Fenêtres" en anglais), la célèbre interface graphique unifiée produite par le géant technologique MICROSOFT devenue une gamme de systèmes d’exploitation à part entière d'ordinateurs compatibles PC, elle conjugue nombre de puissants symboles lourdement chargés sur le plan ésotérique comme la croix de Wotan utilisée par le parti Nazi (images 4 et 5), le W se rapportant au nombre 23*³, et le chrisme* pour sa famille de systèmes d'exploitation multitâches appelée XP (image 6).

Toujours dans le secteur de l’Intelligence Artificielle, la tentaculaire Google est une filiale d’Alphabet, sa maison mère, signifiant qu'elle marque son emprise de l'Alpha à l’Oméga des consciences (si son nom a été choisi car il représente le langage, l'innovation la plus importante de l'humanité qui est au cœur de l'outil de recherche Google selon les fondateurs, il évoque également un jeu de mots avec alpha et bet, qui signifie "pari" en anglais, le but de cette structure étant de décharger la société historique des activités ne représentant pas son cœur de métier telle que l'indexation de pages, ou YouTube ou Gmail qui tirent des revenus de la publicité en ligne), tout comme DeepMind ("Esprit profond"), son autre filiale anglaise, dont le système est capable d'identifier avec précision 50 types différents de maladies oculaires (image 8). Ses fondateurs (Larry Page et Sergey Brin, qui ont passé discrètement la main à 46 ans à l'ingénieur Sundar Pichai tout en demeurant au conseil d’administration - ils détiennent 51% des parts) ont établi les véritables fondements de l'IA destructrice des consciences : abus de position dominante et manque de transparence dans la gestion des données personnelles…

Enfin, une troublante corrélation visuelle questionne entre le symbolisme des pratiques rituéliques  de sociétés secrètes comme la Franc-Maçonnerie et les tentaculaires acteurs du transhumanisme technologique asservisseur de la conscience civilisationnelle (images 7, 8, 9)...

* Cf. Le Judaïsme décodé.

Cf. La dualité décodée.

Cf. Symbolisme des nombres (2) Autres nombres.

* Cf. Le féminin séquestré (Chapitre "L'Amour interdit").

 

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Cas pratique (3) : Les institutions

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L'Organisation des Nations Unies a pour but d’unir toutes les Nations du monde dans une oeuvre de paix et de développement, fondée sur les principes de justice, de dignité humaine et de bien-être pour tous. Elle a pris le relais de la Société Des Nations (SDN) créée en 1920. Son siège est installé depuis sa création en 1945 dans l'arrondissement de Manhattan à New York , sur un terrain donné par le financier et philanthrope John Davison Rockefeller Jr (1874/1960).
Son emblème a été approuvé le 7 décembre 1946, représentant une carte planétaire découpée en 33 parties. Ces parcelles représentent le nombre des différents paliers de certaines obédiences de Franc-Maçonnerie… Il est complété par 13 épis à gauche et à droite du globe.

Quant au préambule de l'UNESCO - L'Organisation des Nations unies pour l'éducation, la science et la culture -, son institution spécialisée, il est "c'est dans l'esprit des hommes que naissent les guerres, c'est dans leur esprit qu'il faut ériger les défenses de la paix". C'est pourquoi la devise de l'O.N.U. est "Paix et Sécurité", ce qui est en totale convergence avec le verset biblique qui énonce "alors une destruction subite sera sur eux à l’instant même, comme les douleurs sur une femme enceinte ; et ils n’échapperont en aucune façon" - Thessaloniciens 5:3.

 

Tout naturellement, la tenue d’apparat des élites institutionnelles et de leurs relais inféodés (militaires, police, magistrature) est calée sur le code Noir Blanc Rouge (deux ou trois de ces couleurs), marque du détournement du processus alchimique libératoire. Il signifie la puissance contrôlant, l'ordre, la linéarité, la structure, la répression... des consciences, y compris par les religieux et certaines sociétés initiatiques élitaires, comme les Chevaliers de l'Ordre de Malte (image 5)*. Quant aux frères maçons avec ou sans truelles, infiltrés dans toutes les institutions publiques comme privées, il ne leur manque que le nez rouge (photo 6) pour signer le ridicule de leur accoutrement, marque de leur soumission servile à l'œuvre mortifère des forces de l'Ombre - "pourquoi se cacher s'il n'y a rien à cacher ?" -, nonobstant les convictions profondes de servir l'humanisme des Lumières pour les nombreux illusionnés et naïfs qui logent dans cette coterie - d'aucuns diraient secte - et se revendiquant de la République des camarades (image 7)...*²

Persuadés d'avoir reçu la lumière le jour de leur initiation et d'être guidés par elle, ils oublient que cette lumière n'est que la fausse lumière luciférienne, celle prévalant dans le champ astral dominé par la Force des Ténèbres. La lumière Maçonnique ou Rosi-Crucienne n'est pas la base de leur liberté, mais celle de leur asservissement à la Matrice des morts-vivants, et que leur tablier n'est pas en mesure d'empêcher (le fait de revêtir un tablier correspond à une tentative de se protéger des esprits négatifs ou malfaisants, tels que dépeints sur des hiéroglyphes et sculptures de l’Égypte antique par les grands prêtres les portant).

* Cf. Le contrôle du robot biologique.

Cf. La nouvelle religion universelle.

 

L'Ordre, ou le barreau de la conscience par la "Fraude du nom légal" (1)

En France, l’Ordre comme le Barreau sont des personnes morales de droit privé exerçant des prérogatives d’intérêt public, sans être des Établissements d’utilité publique relevant de la sphère publique. Ils participent de ce fait à ce qui se nomme la "Fraude du nom légal".

L’Ordre comprend l’ensemble des avocats, y compris "honoraires" (titre honorifique accordé sous certaines conditions à un avocat qui, sans être omis du barreau, ne peut plus exercer son activité). De son côté, le Barreau ne rassemble que les avocats inscrits, de ce fait en exercice. C’est l’Ordre qui rassemble les votants désignant le Conseil de l’Ordre, organisme professionnel, soit une société privée. Cette entité est nommée corporation, comme pour d'autres professions. Le terme Ordre au sens professionnel est pénalement protégé. Il existe un barreau auprès de chaque tribunal de "grande instance" (juridiction de droit commun en première instance). Son bâtonnier, avocat élu par ses confrères, est notamment chargé de la discipline de la profession d’avocat. Le droit français admet cependant des structures d’exercice inter-barreaux. Le Conseil National des Barreaux est chargé de représenter la profession d’avocat notamment auprès des pouvoirs publics, d’unifier les règles et usages de la profession d’avocat (Code de déontologie des avocats), et d’en organiser la formation. Le nom de barreau vient d’une barre de fer ou d’une barrière en bois qui séparait le lieu où se tenaient les plaideurs de celui qui était réservé aux juges, ceux-ci se plaçant à cette barrière pour recevoir les mémoires et les requêtes qu’on avait à leur présenter.

La réalité est que le barreau est un lobby, le lobbying étant la partie du plaidoyer qui se rapporte spécifiquement aux activités visant à influencer une législation. D'aucuns diraient qu'il s'agit d'une organisation frauduleuse, qui plus est compte-tenu de ses origines "viciées". En effet, le Vatican a établi par bulles papales successives la "Fiducie testamentaire", soit l'acte testamentaire lui permettant de réclamer toutes les "âmes perdues ou trouvées"*. Et c'est à l’association du Barreau que revient cette administration du "moissonnage" dévoyé des âmes perdues, considérées comme telles après les 7 ans qui suivent la naissance, ceci incluant l’enregistrement et la collection des actes ou certificats de baptême comme les actes ou certificats de naissance. Il en découle que sans le titre légal sur sa propre âme, l'individu se voit refuser un vrai statut juridique, raison pour laquelle il doit se faire représenter par un avocat. Déjà "coupable" car incapable, non-souverain et toujours sous tutelle, il est la propriété de l’État par son acte de naissance, traité (la traite équivaut à l'esclavage) comme "chose" ou marchandise - Bien meuble - sur lequel le Barreau a légalement le droit d’imposer la Loi du Commerce telle qu'en vigueur dans le droit maritime*², autrement dit l’esclavage des consciences se perpétuant depuis le Moyen-Age…

Par cette pratique prétendant qu’un être humain est la même chose qu’une entité corporative ou personne juridique, est ainsi commis par celui-ci un crime d’usurpation d’identité, entraînant tout naturellement des accusations à son encontre et lui demandant d’en répondre. Le piège peut ainsi se refermer sur lui et l’entraîner dans le cercle infernal de la dette, de paiements et de taxes de cette franchise juridique qu'il est devenu. Ce n'est ni plus ni moins qu'un crime, connu en Droit maritime sous le nom de Piraterie !

* Cf. L’Église romaine décodée.

Les réclamations pour dommages causées à un cargo et ses marchandises dans le commerce international sont gérées par la COGSA (Carriage of Goods by Sea Act), l’Acte sur le Transport des Marchandises en Mer, qui est un texte américain basé sur les Règles de Hague (Hague Rules). Une de ses règles clés est que le propriétaire du navire (le combiné corps-âme-esprit pour l'être humain) est passible de dommages-intérêts depuis le chargement jusqu’au déchargement, à moins d’être exonéré par une des 17 exceptions à la règle, telles une "catastrophe naturelle ou cas de force majeure" (Act of God en anglais), la nature inhérente de la marchandise, les erreurs de navigation et de gestion du navire. La base de la responsabilité du propriétaire du navire est le contrat de dépôt ou cautionnement (la caution). Si le transporteur est passible de dommages-intérêts comme transporteur public, il doit être alors établi que les marchandises ont été placées sous le contrôle et la possession du transporteur pour transport immédiat. Autrement dit, le transporteur (l'être humain) doit déclarer qu’il possède la cargaison, alors que celle-ci n’est pas la sienne par le contrat de transfert initial vicié octroyé à l’État, et il doit payer (carte vitale, permis, passeport, carte d’identité, contrat d’achat de maison, voiture, etc …). Subtile et manichéenne subtilisation qui voit par le permis/contrat établi le transfert de ses propriétés à l’État, celui-ci donnant en contre partie un permis d’utilisation contre rémunération et taxes ...

Cf. image 8 Les métiers du "droit" (tiré du blog de l'avocat Maître Eolas).

 

De la fraude du Nom légal et du certificat de naissance

En enregistrant le certificat de naissance, l’État a pris la propriété du nom légal, celui-ci devant être écrit en minuscules (c'est le nom usuel, le seul admis et approuvé par la grammaire française) et non pas en majuscules (c'est le nom corporatif ou sociétal). Or, ces deux types d'écritures du nom ne sont pas nos véritables noms et prénoms en tant qu'êtres humains. 

Cette fraude du nom légal a été reconnue par la Juge Anna von Reitz du Tribunal Pénal International, qui a statué par ordonnance en date du 28 mai 2016 en stipulant qu'il était interdit d'écrire les noms légaux des êtres humains en LETTRES CAPITALES. Il en découle que les profits réalisés par les Réserves grâce à la vente de garanties, celles que constitue notre propriété, nous appartiennent et doivent être rassemblés en un fond à notre avantage !

Ces deux types d'écritures appartiennent en fait à l'entité ou Corporation commerciale (ou multinationale) nommée Gouvernement ou République française comme à tous pays de l'UE ou de l'OCDE. C'est par le code UCC - Uniform Commercial Code - que sont régies toutes les transactions commerciales sur notre planète, ces transactions ne pouvant avoir lieu qu'entre corporations commerciales et personnes juridiques, le Code de l'UCC interdisant toute transaction commerciale avec des êtres humains. Quant au reçu officiel du gouvernement pour utiliser l'une ou l'autre de ces deux écritures, c'est l'Acte de naissance, que nous n'avons pas signé nous-même, et ce dans les jours qui ont suivi notre naissance. Il a donc été frauduleusement signé par dol, soit par un consentement non éclairé, ce qui le rend nul et non avenu. Le patronyme (MARTIN ou martin, DURAND ou durand...) ne l'est que par "ouï dire". Et en matière de dol, le droit de propriété qui est considéré comme imprescriptible fait que la propriété doit revenir à la victime du dol par vice du consentement, puisque le parent déposant le certificat de naissance n’a jamais été informé qu’il donnait son enfant à l’État, pas plus que son vrai nom ne serait plus son nom légal et qu’on s’en servirait comme un objet d’affaires.

En effet, comme tout Acte de naissance entraîne l'émission d'un n° de Siret à l'instar d'une compagnie, c'est le N° de Sécurité Sociale en France. Et c'est ce qui permet à l'Administration de la Corporation Commerciale nommée RÉPUBLIQUE FRANÇAISE de toujours utiliser dans ses rapports avec le citoyen son nom commercial en lettres CAPITALES*, et d'alimenter un Trust en notre nom qui permet de cautionner notre fond de garantie constitué par compte bancaire. Comme assimilé à une entreprise privée, nous sommes le bénéficiaire de ce Trust… mais personne ne nous signifie qu’il existe.

En signant un tel document, nous établissons de fait un contrat avec la Corporation RÉPUBLIQUE FRANÇAISE. Ainsi le simple fait de présenter une Carte d'Identité Nationale avec notre NOM en lettres CAPITALES lors d'un contrôle de Police établit de fait le contrat tacite existant entre notre Personne juridique fictive et l'Entreprise Commerciale RÉPUBLIQUE FRANÇAISE - son n° de SIRET est 100 000 017 00010, n° SIREN 100 000 017 -, dont la base de données du D.U.N.S (Data Universal Numbering System) est basée à Porto Rico et gérée par la société Dun & Bradstreet, elle-même propriété du Vatican... Ceci inclut également l'acceptation du port du masque par exemple sur la base du contrat passé avec cette Corporation en présentant notre Carte Nationale d'Identité Nationale à ses représentants (Police, Gendarmerie, Justice, Impôts...). Et nous devons par conséquent régler les éventuelles amendes envoyées. Et toutes les factures ou relevés de compte comme de consommation verront toujours notre patronyme écrit en lettres CAPITALES, s'adressant donc bien à la Corporation Commerciale qui nous régit et à notre Personne juridique, non à l'être humain que nous sommes. C'est la raison pour laquelle il est indispensable, lorsque nous signons un document officiel ou un contrat libellé pré-rempli à notre NOM corporatif, de rajouter toujours la mention "tous droits réservés" suivie de votre nom légal en minuscules - "prénom nom" - au dessus de notre signature, puisque les "Autorités" ne pourront engager aucune affaire commerciale ou juridique à notre encontre si nous sommes sous votre nom véritable d'Être Humain.

Notre acte de naissance a en outre été vendu par l’État comme Titre (certificat, obligation, billet d’ordre, etc…) à la banque centrale de la Nation (la BCE pour la France), nous privant ainsi de la propriété de notre chair/corps et nous condamnant à la servitude perpétuelle, comme une personne romaine, autrement dit un esclave*². Le gouvernement nous a privé des droits fondamentaux et des libertés. Il nous a fait la propriété personnelle de l’État, constitutive d'un esclavage de masse ! Cette appropriation par l’État du NOM LÉGAL de l’être Humain de chair et de sang avec ce NOM ÉCRIT EN LETTRE CAPITALE constitue bel et bien un crime contre l’Humanité, constituant à détenir des esclaves contre leur gré et privés de leur droit de partir ou de refuser de travailler. Leurs maîtres, représentants de l’État, ont le droit de vie ou de mort ou de spoliation..

Toutefois, comme l'article 118 du code civil créé par la Loi n°77-1447 du 28 décembre 1977 stipule que si un présumé absent reparaît ou donne de ses nouvelles, il est, sur sa demande, mis fin par le juge aux mesures prises pour sa représentation et l’administration de ses biens ; il recouvre alors les biens gérés ou acquis pour son compte durant la période de l’absence. Qui plus est, par ordonnance de la Cour mondiale de La Haye (Numéro d’enregistrement: RA 876 270 415 US), il a été interdit la pratique de l’utilisation de la convention linguistique GLOSSA consistant à déformer le contenu des documents juridiques. Ceci entend que l’utilisation de la GLOSSA par la fraude invalide tout contrat et toute procédure judiciaire. Toutes ces procédures employant cette forme de texte à tout moment dans leur processus et tous les jugements qui en résultent sont nulles et non avenues, ab initio, pour cause. Il en découle que tous les tribunaux de toutes sortes, publiques et privées, judiciaires et administratives, militaires, civiles et nationales existantes dans les frontières des états organiques de l’Union ou d’ exploitation sur le sol américain, à quelque titre que ce soit, sont par les présentes donné l’ avis public et a ordonné de cesser l’utilisation de ces conventions frauduleuses immédiatement et à annuler toutes les décisions entachées par son utilisation.

* Cette écriture du nom en CAPITALES se nomme MAXIMA CAPITALIS DIMINUTIO, encore nommée GLOSSA ou "Latin/Chien de cuisine" en jargon juridique.

La valeur d'un individu dans la société est calculée avec la table de mortalité actuarielle. Elle est la propriété de l’État, pour lequel le citoyen accepte à son insu de travailler au profit de celui-ci à titre de fiduciaire, donc sous sa pleine et entière autorité. L’État détient notre patrimoine financier légal (les droits de propriétés conférés par l’Acte de Naissance) en otage.

 

Or la véritable souveraineté de l'Être humain est un état intérieur et intime, une fréquence de résonance qui se manifeste en toute conscience des Lois universelles et qui n'a pas besoin d'être proclamée à quelqu'un. Elle consiste simplement à faire le plein usage de son libre arbitre, en toute connaissance de cause, ce qui demande à être parfaitement "aligné" pour ne laisser que cette conscience profonde guider ses choix et actes. Même si elle est la condition pour laquelle nous nous sommes incarné, et même si elle peut parfois coûter cher, cette liberté d'être ne devrait pas avoir de prix. Elle ne se monnaye pas !

 

Le Juge, officier exécuteur

Dans la mesure où le système juridique romain - le Code Justinien* - suppose que nous sommes simplement le bénéficiaire de la Fiducie testamentaire suprême telle que conçue machiavéliquement par le système prédateur institutionnel, l’officier exécuteur est le Juge par le jugement laissé à sa discrétion. C'est la raison pour laquelle son pouvoir défie souvent les procédures*², les statuts et les maximes de Loi. Agissant comme tout administrateur ou exécuteur d’un investissement, d’un placement ou d’une garde en présence du Bénéficiaire - l'individu -, il obtient au nom de l'institution (l’État) qu'il représente son consentement tacite, l'individu lui ayant conféré le contrôle de ses biens, matériels comme existentiels, qui plus est en le rémunérant pour ce faire ! Le juge est le vrai et réel NOM juridique dont l'individu n'est que l’image miroir, le fantôme, ou plus exactement le mort. Ceci relève de la haute sorcellerie, la magie noire de nos maîtres entropiques asservisseurs, cette tromperie et ce subterfuge se dissimulant derrière un paravent légal !

* Cf. Promulgué en 529, le Code de Justinien Ier (codex Iustinianus ou codex legum) est un recueil de constitutions impériales (leges), mise à jour du Code de Théodose de 438. Connu sous son nom latin, le Corpus iuris (ou juris) civilis (littéralement, "corpus de droit civil") est la plus grande compilation du droit romain antique, assez différent du droit romain classique car en accord avec le christianisme, alors religion de l'empire.  Cette œuvre législative qui a pris une importance fondamentale en Occident à partir du XII° siècle est l'ancêtre du droit civil français. Il couvre la notion d'égalité des personnes, le Droit familial, le Droit successoral et le Droit pénal, ainsi que le Droit ecclésiastique, la  procédure judiciaire, le    Droit fiscal, le Droit administratif dont les dispositions renforcent la puissance de l'État et son organisation hiérarchique.

Cf. "Impunités, une justice à deux vitesses" du juriste Vincent Le Coq (2017).

 

Le Pape, représentant terrestre de l'Empereur noir

Dans le film Star Wars, Darth Vader (photo 3) est le représentant de l'autorité suprême qu'est l'Empereur. Entouré de ses cardinaux rouges écarlates (photo 4), il domine sur son royaume par la PEUR, mot contenu dans EmPerEUR.

Au centre du masque de Darth Vader* (Dark Vador dans la version française) se distingue la forme ésotérique des deux triangles interreliés comme dans l’Étoile de David (image 5), indiquant que la pointe vers le bas (la spiritualité) dirige la Force de l'énergie sombre vers la matière pour la dominer et l'asservir. Tous les casques des soldats de l'Empire sont comme ceux des nazis d'Adolphe Hitler, le stalhelm (terme allemand signifiant littéralement "casque d'acier" - photo 6)...

A noter l'étrange ressemblance du personnage à l'écran de l'Empereur (l'acteur Sheev Palpatine) avec le pape Benoît XVI (photo 7).

* Le nom Vader est composé des lettres qui commencent la célèbre locution latine Vade Retro Satanas ("Arrière/Recule/Retire-toi/Va-t-en Satan").

Le saint empire romain, ou l'Empire des forces sombres, obscures

Le mot Empereur vient à l'origine de imperare, "prendre des mesures pour qu'une chose se fasse", "forcer à produire". Il est la quatrième carte du Tarot (image 1), son chiffre pair de ce fait stable faisant référence aux 4 points cardinaux, aux 4 éléments, aux 4 états de la matière. L'Empereur est en mouvement, près de son trône qui représente un aigle signe de puissance et de force. Il symbolise la réussite et les possessions matérielles, le pouvoir, la stabilité et l'habitude, la résistance au changement. Il représente les acquis du passé et un certain manque de souplesse pour aller vers autre chose, alliant la maîtrise de soi et une certaine rigidité. L'Empereur est une carte qui représente un inébranlable bâtisseur, trônant avec force et apparente humilité se voulant rassurante sur son empire. Cette carte est complémentaire avec la carte de l'Impératrice.

Nous retrouvons l'Empereur dans la saga de George Lucas Star Wars ("Les Guerres de l'Etoile") sous les traits de Sheev Palpatine (photo 2), alias Dark Sidious, personnage de fiction incarnant le seigneur noir des Sith, les Forces obscures, homme politique et antagoniste principal des Forces de Lumière représentées par les Jedi *.

Le nom Palpatine est composé des deux racines latines : palpare, "palper", soit "l'idée fondamentale de répéter", et tinea, racine latine de "vermine", "teigne". Ainsi la traduction littérale de "Empereur Palpatine" est "Celui qui force à aller toucher la vermine". Il exprime de façon radicale le point d'émergence du côté obscur de la Force, qui est la source de Vie de l'Univers. Comment se pourrait-il que cette force si puissante admette le mal destructeur en son sein, si ce n'est pour construire ses possesseurs par liberté de choix...

* Un Jedi n'utilise jamais la Force pour acquérir des biens ou du pouvoir, mais pour acquérir la connaissance et l'illumination. Comme la colère, la peur, l'agressivité et bien d'autres émotions négatives mènent au Côté Obscur, le Jedi est encouragé à rechercher des solutions non violentes chaque fois que cela est possible. Il doit agir avec sagesse, utilisant les conseils et la persuasion plutôt que les pouvoirs de la Force et la violence.

Cf. en complément L’Église romaine décodée.

 


La légion d'honneur

L'ordre de la Grande chancellerie de la légion d'honneur remet ses insignes codifiées* (images 1 à 3) sur le plan protocolaire en droits et devoirs du décoré, signifiant la soumission à l'ordre terrestre établi, le monarque régnant portant étant bien entendu paré de la plus haute distinction (image 4).

* Chevalier - Officier - Commandeur - Grand Officier - Grand Croix.


Le grand collier de la légion d'honneur - Cliquer pour agrandir
Le grand collier de la légion d'honneur - Cliquer pour agrandir

Le bal du gotha

Les maîtres artificiers conjuguent au bal des vampires les représentants des grandes dynasties et familles royales régnantes et les monarques de circonstance choisis pour leurs soumission et appétence à servir le système prédateur. Ces derniers resteront toujours des laquais, mais suffisamment comblés en prébendes pour en accepter la règle du jeu*.

* Cf. La nouvelle religion universelle.

 


Le culte de l'épée

Attribut de la Garde royale, républicaine ou suisse, l'épée phallique patriarcale rappelle sans cesse aux foules esclaves ce que coûte de contester l'ordre établi. Les élites civiles la brandissent de même dans leurs cérémonies initiatiques secrètes (images 6 et 7), jusqu'à la conduite solennelle du couple royal par le mayor (maire) londonien, comme attirant à lui l'énergie électrique solaire (image 8).

 

 

 

 


L'Ordre noir

Les forces sécuritaires de la "démocratie" dévoyée se déploient telle une toile d'araignée au nom de l'intérêt général - la sécurité -, la sophistication de leur équipement allant de pair avec l'évolution technologique*. De l'évolution des compagnies républicaines françaises de sécurité (image 1 à 4) à celles d'Espagne (image 5) intervenant en Catalogne et de l'Eurogendfor, la force de gendarmerie européenne (image 6) renforçant si besoin les troupes des États-membres, l'Empire de la force noire (image 7) se met progressivement en place pour le grand bal final.

* Fusil d'assaut de type HK (Heckler & Koch) G36 (image 8), flash ball LBD 40 (image 9), grenade GLI F4 (image 10 - retirée en janvier 2020 pour être remplacée par la GM2L toute aussi dangereuse), grenade de désencerclement DBD (image 11).

 


En cette fin de cyclicité, l'Ordre noir impulse une militarisation à outrance des forces de l'ordre, chargées de susciter la suspicion et la terreur dans leur répression des mouvements contestataires, tels les Gilets jaunes en France ou les pro-démocratie à Hong-Kong. Qui plus est, l'état de confinement quasi-mondial requis pour lutter contre la propagation de l'opportun virus Sars-CoV-2 (appelé Covid-19 par l'Organisation Mondiale de la Santé pour la maladie) a permis en ce début 2020 de masquer l'envoi de troupes américaines sur le sol de l'Europe, même si un cafouillage mena en quelques jours à leur retrait partiel. Autant de manœuvres de diversion pour dissimuler le déploiement de bombardiers North B-2 Spirit (image 12) porteurs d'un arsenal atomique mégapuissant en Europe, pièces nécessaires au jeu des superpuissances (États-Unis, Chine, Russie) sur leur échiquier mortifère.

 

Les nombres

 

Détournés de leur signification sacrée*, les Nombres correspondant au langage de la Matrice asservissante incrustent dans l'inconscient collectif un tout autre sens.

* Cf. Symbolisme des nombres.

 

 

Dans la Matrice cyber, le triangle est associé à la pyramide*. Tout d’abord en référence au système hiérarchique et à la Lumière symbolisée par l’œil qui renvoie à l’Égypte (image 2). D’autre part parce que la Grande Pyramide est considérée comme la première merveille du monde "technologique", tout particulièrement par ses proportions (215 mètres de base, 146 mètres de haut, blocs moyens mesurant 1,5X1,5X1,5 mètres). Seul l’apport d’une autre dimension de conscience a pu en permettre la réalisation, pour une exploitation toujours à deux polarités dans notre 3ème dimension de réalité : évolutive pour la sagesse humaine, involutive pour les forces prédatrices.

Elle est complétée dans le référentiel patriarcal élitaire par l’obélisque (image 3), soit le phallus osirien destructeur du féminin sacré aux fins d’asservissement de la conscience humaine.

Ces deux symboles triangulaires sont célébrés par les sociétés occultes comme dieux technologiques, ouvrant actuellement l’avènement de l’Intelligence Artificielle, l’Antéchrist scientiste*².

* Cf. Le modèle pyramidal décodé.

Cf. Conscience du XXI° siècle.

 

La symbolique viciée des nombres

0 Le non-manifesté. La Mort. Le noir. Femelle. L’homme original qui se multiplie. L’esclave. "N0b0dy".

1 Le manifesté. La vie. Le blanc. Mâle. L’obélisque. Symbole phallique d’Osiris.  Le Maître. "Any0ne".

2 La dualité. Oui/Non, Vrai/Faux, etc. L’idée femelle, qui avec l’idée mâle (le 1) donne le 33, la Matrice cyber.

3 La trinité patriarcale. La (fausse) Lumière.

4 La matière. Quatre points cardinaux. Le carré. Retour à la case départ du 1.

5 L’homme.

6 L’homme avec la queue. L’homme-animal (le mouton, l'abeille).

7 Les 7 jours de création. Le dimanche. Création terminée. Retour au sommeil.

8 Le Pur infini. Les cercles... Des ronds dans l’eau, comme au début des films du studio hollywoodien Dreamworks (Cf. ci-contre).

9 3² : la patience pour le résultat de la création. 9 mois de gestation. La Matrice, création humaine. "Quoi de neuf ?" : l'innovation technologique.

10 1/0, vivant/mort, vrai/faux.

11 Les deux sexes du serpent ("hémipénis"), soit le maître des moutons : celui du bas nous occupe, et le vrai nous est "collé en plein dans le cerveau" (prédateur reptilien).

 

Hypnose de la Matrice


Les formes

Le carré

 

Il exprime l’organisation de la matière, que l’on retrouve dans sa version tridimensionnelle, le cube (3²). Il exprime la "boîte" qui enferme : le cercueil, l’entreprise, la télévision...

Le carré n’est pas une forme naturelle. Elle porte l’empreinte d’une "patte" humaine aux fins de contrôle, se méfiant des esprits soucieux de liberté.

 

Cube

Cube est un film de science-fiction horrifique canadien réalisé par Vincenzo Natali, sorti en 1997, suivi d’autres versions. Cube, ou quand les mathématiques et les nombres premiers dominent le monde, soit le transhumanisme, la nouvelle religion scientiste en cours *. Son histoire se déroule intégralement dans un cube – la matrice – où plusieurs personnes d'âges, de races et de sexes différents se trouvent prisonnières dans d'étranges pièces cubiques reliées les unes aux autres. En se hasardant d'une pièce à l'autre ils finissent par tous se rencontrer. Ils ignorent pourquoi et comment ils sont arrivés...

* Cf. La nouvelle religion universelle.

 

Logos d'institutions basés sur le carré - Cliquer pour agrandir
Logos d'institutions basés sur le carré - Cliquer pour agrandir

Le cercle

Logos d'institutions basés sur le cercle - Cliquer pour agrandir
Logo d'institutions basés sur le cercle - Cliquer pour agrandir

 

Le Cercle, le Rond, représente le Soleil. Il est l’image de la répétition et de l’infini, les limbes du Temps. C’est le serpent qui se mord la queue, l’Ouroboros grec, représenté sur de nombreux logos et emblèmes à caractère hermétique. C’est pourquoi l’expression de "cercle vicieux" est juste dans la Matrice cyber.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Le triangle


Dans la Matrice cyber, le triangle est associé à la pyramide*. Tout d’abord en référence au système hiérarchique et à la Lumière symbolisée par l’œil qui renvoie à l’Égypte (image 2). D’autre part parce que la Grande Pyramide est considérée comme la première merveille du monde "technologique", tout particulièrement par ses proportions (215 mètres de base, 146 mètres de haut, blocs moyens mesurant 1,5X1,5X1,5 mètres). Seul l’apport d’une autre dimension de conscience a pu en permettre la réalisation, pour une exploitation toujours à deux polarités dans notre 3ème dimension de réalité : évolutive pour la sagesse humaine, involutive pour les forces prédatrices.

Elle est complétée dans le référentiel patriarcal élitaire par l’obélisque (image 3), soit le phallus osirien destructeur du féminin sacré aux fins d’asservissement de la conscience humaine.

Ces deux symboles triangulaires sont célébrés par les sociétés occultes comme dieux technologiques, ouvrant actuellement l’avènement de l’Intelligence Artificielle, l’Antéchrist scientiste*².

* Cf. Le modèle pyramidal décodé.

Cf. Conscience du XXI° siècle.

 

Cf. Logos d'institutions basés sur le triangle (image 4).

 

Orange mécanique

A Clockwork Orange*, film britannique écrit et réalisé par Stanley Kubrick, est sorti en 1971, adapté du roman éponyme d'Anthony Burgess. Satire des dérives de la société patriarcale du triangle et de l’œil (Cf. affiche) comme toujours avec le maître Kubrick, ce film très violent montre comment le système prédateur conduit à la dérive de la conscience et génère la pathologie du sadisme viscéral et de l'ultraviolence chez les sociopathes qu'il nourrit. Stanley Kubrick a décrit son film en décembre 1971 dans Saturday Review comme "[…] une satire sociale traitant de la question de savoir si la psychologie comportementale et le conditionnement psychologique sont de nouvelles armes dangereuses pouvant être utilisées par un gouvernement totalitaire qui chercherait à imposer un vaste contrôle sur ses citoyens et en faire à peine plus que des robots."

* En 2008, l'American Film Institute a sélectionné Orange mécanique à la quatrième place des dix meilleurs films d'anticipation américains dans son classement. L'affiche du film, devenue une référence du cinéma, a été créée par le peintre Philip Castle et le designer Bill Gold.

 


Pizzagate

Présentée comme une théorie conspirationniste prétendant depuis 2016 qu'il existe un réseau de pédocriminalité autour de John Podesta (photo 1), membre du parti Démocrate et ancien directeur de campagne d'Hillary Clinton lors des élections présidentielles US de 2016, le "Pizzagate" met en scène tous les éléments de dévoiement d'une partie du système élitaire*. Fiction ou réalité, à l'instar des théories sur l'assassinat de JFK ou du World Trade Center, chacun(e) se fera sa propre opinion après étude et analyse des éléments recueillis.

La symbolique n'est jamais neutre, et pour cause. La seconde photo est le logo de la pizzéria au cœur de l'affaire incriminant un réseau pédocriminel, où apparaissent les symboles de l'étoile et de la lune, propres à l'adoration du féminin dévoyé. La troisième image est le logo de sa communication "événementielle" avant l'affaire, la quatrième après, visant à gommer une référence trop proche du logo symbolisant la "pédophilie" (image 5), dit "BoyLover" : le petit triangle représente l'enfant/l'adolescent (Boy), enserré par un grand triangle, celui de l'adulte perverti (le lover, celui qui "aime" l'enfant). Quant à la sixième photo, elle constitue la toile d'araignée de la conscience involutive d'humains gouvernés par la prédation astrale dans cette affaire...

* Cf. Les psychopathes qui nous gouvernent.

 

L'(ex) paradis suisse de la Matrice

Le Cervin (photo 1) est, avec une altitude de 4.478 mètres, le 12° sommet le plus élevé des Alpes, situé sur la frontière italo-suisse, entre le canton du Valais et la Vallée d'Aoste. Il est la montagne la plus connue de Suisse, notamment pour l'aspect pyramidal qu'elle offre depuis le village de Zermatt, dans la partie alémanique du canton du Valais. Sa face nord est l'une des trois grandes faces nord des Alpes avec celles de l'Eiger et des Grandes Jorasses. En allemand, Cervin se dit Matterhorn. Matter en anglais signifie la matière, horn signifiant corne... soit les cornes de la matière. Sa consonance évoque aussi le féminin (mutti , maman en allemand - materner - matres en latin - matriarcal...), soit la Déesse-Mère, autrement dit Isis et ses cornes (le culte de la matière) dans sa version dévoyée célébrée par le système patriarcal du triangle.

On y trouve aussi la ville de Sion*, dont l'armoirie (image 2) porte l'étoile d'Isis (image 3).

Et que dire du blason de la Congrégation catholique des chanoines du Grand Saint-Bernard (image 4), où figurent outre l'étoile d'Isis les deux colonnes du Temple maçonnique de Salomon...

La Suisse représente bel et bien le symbole de domination de la matière et de contrôle du monde par le système prédateur (neutralité de par son statut juridique, secret bancaire*², puissance financière). C'est ainsi que le drapeau de la Suisse est exactement l'image inversée du drapeau des Templiers : une croix blanche sur un fond rouge (image 5).

* Dans la Bible, Sion désigne à la fois des lieux géographiques et tout ce qui personnifie la présence et la bénédiction de Dieu. Il en a découlé le sionisme au XIX° siècle, mouvement à caractère politique qui contribuera à la création de l’État d’Israël en 1948 (Cf. Le Judaïsme décodé).

En mars 2009, sous la double pression des États-Unis et des 20 pays les plus puissants de la planète sur le plan économique (G20), la Suisse a été contrainte d’alléger le dispositif mettant à l’abri de son secret bancaire les individus qui n’ont pas déclaré leurs avoirs au fisc, d'autant plus grâce aux renseignements toujours plus fournis reçus de lanceurs d'alerte, généralement des anciens employés de banque (Heinrich Kieber, Rudolf Elmer, Bradley Birkenfeld et Hervé Falciani notamment). Et en avril, la Suisse s'est jointe aux efforts de l’OCDE visant à élaborer une norme prévoyant l’échange automatique de renseignements fiscaux, norme définitivement sous toit en juillet 2014.

 


Les animaux sacrés

 

Quatre garçons dans le vent du succès

La spécificité du carillon de Westminster pour marquer l’heure révolue, et dont Big Ben est la cloche principale, est que quatre scarabées - symbole égyptien - prennent place à des endroits précis sur la partition écrite à l'origine par le génie franc-maçon autrichien Georg Friedrich Haendel (1685/1759) *. Ainsi, lorsque le son de ce carillon est émis par le service international de la BBC à travers le monde, les ondes voyagent à la vitesse de la lumière. Il leur faut alors cinq fois moins de temps pour atteindre Canberra (à 17.000 km) par exemple, qu’il n’en faut au son de ce même carillon pour descendre de la Tour de l’Horloge et atteindre les oreilles des promeneurs qui se trouvent sur le parvis, à ses pieds. Cette anecdote, traditionnellement, sert aux enseignants britanniques pour expliquer à leurs élèves la différence entre la vitesse de diffusion des ondes radioélectriques et des ondes sonores, qui atteignent exactement la côte de l’île Heard, une dépendance australienne située dans les régions australes de l’Océan indien à la forme... triangulaire, représentée par le mont... Big Ben, point culminant de cette île.

* Il est également l'auteur de God save the Queen...

 

Le silence provisoire de Big Ben

Le dernier "bong" de Big Ben a eu lieu le 21 août 2017 à midi, la célèbre horloge du Parlement britannique sonnant une dernière fois avant de rester silencieuse pour quatre ans en raison d'urgents travaux dans la tour Elizabeth... Quels seront le contexte et le message de son réveil ?

 

The Beatles est un groupe de rock britannique, originaire de Liverpool, en Angleterre. Formé en 1960, il est considéré comme le groupe de rock le plus populaire et influent de l'histoire. En dix ans d'existence et seulement huit ans de carrière discographique (de 1962 à 1970), ils ont enregistré douze albums originaux et ont composé plus de 200 chansons. Leurs expérimentations techniques et musicales, leur popularité mondiale et leur conscience politique grandissante au fil de leur carrière, ont étendu l'influence des Beatles au-delà de la musique, jusqu'aux révolutions sociales et culturelles de leur époque.

Ils avaient débuté au sein d'un groupe baptisé The Quarrymen. Lorsqu'ils deviennent les Beatles, jeu de mot entre Beetles (scarabée) et Beat (rythme), c'est la martingale. Dans une interview, John Lennon dira à un journaliste américain : "Je sais que mon groupe connaitra un succès comme aucun groupe n'a connu précédemment. Je le sais, car pour cela, j'ai vendu mon âme au diable "... (salut cornu image 4). Il ne croyait pas si bien dire. Ainsi fonctionne l'industrie du show-business, lorsque ses icônes sont prises en charge par le Tavistock Institute*.

* Cf. Contrôle mental.

 

 


Les ailes marchandes

Les animaux ailés permettent de conquérir tant l'espace aérien (l'aigle) que terrestre. Le lion ailé, roi des animaux, a ainsi été le symbole de la Grande Babylone marchande des consciences (image 1). Nul ne s'étonnera alors qu'il le soit également pour Venise la marchande (image 2) ou l'eldorado fiscal du Luxembourg (image 3), et que le dragon ailé incarne le temple londonien de la finance (image 4), la City, son centre névralgique créé par les Templiers.

 

 

 


La Couronne, ou le barreau de la conscience par la fraude du nom "légal" (2)

Lorsque le Vatican a octroyé secrètement à la monarchie britannique la captation totalitaire des âmes au moyen de la "Fiducie testamentaire"*, le trust des consciences, celle-ci en fera de même en 1816 dans le sillage de la Révolution des pseudo-lumières lorsque l’Angleterre impériale fit délibérément faillite, pour l'octroyer au Temple Bar, la Cité de Londres, et de ce fait à la City (les banques anglaises) qui englobe le périmètre du mur de Londres, enceinte de la cité romaine de Londinium. Le Temple Bar est composé de deux universités d’avocats (l’Inner Temple et le Middle Temple) et de quatre Inns of Court se trouvant autour du Royal Courts of Justice de Londres, autrement dit les quatre centres/instituts de formation des barristers (avocats) installés dans les locaux d’une partie de l’Église du Temple fondée au XII° siècle par les Templiers anglais. Il devint propriété de la Couronne britannique en 1307 après l’anéantissement de l’Ordre du Temple, avant que cette propriété soit donnée à l’Ordre de Saint-Jean de Jérusalem, qui louera le Temple dès 1312 aux deux universités d’avocats .

Se référant à la bulle Omne datum optimum de 1200 du pape Innocent III, qui déclare l’immunité des personnes et des marchandises dans les maisons du Temple par rapport aux lois locales (telles qu'édictées par la corporation de la Cité de Londres dirigée par le lord-maire de Londres, secondé par la Court of Aldermen et la Court of Common Council), cette maison du "nouveau" Temple est ainsi devenue le dépositaire du trésor royal et de l’accumulation des revenus des Templiers, sans que personne n'ait le droit d'en réclamer une part, toutes les possessions acquises par la libéralité des princes demeurant sous la protection et la tutelle du Saint Siège.

Il découle de tout ceci que la City comme l’Ordre des avocats/juges ne sont soumis à aucune loi, à part l’allégeance à Rome… C'est ainsi que le Crown Estate*² (le "Domaine Royal" ou "Domaine de la Couronne") gère le portefeuille des actifs associés à la Couronne britannique, en en transférant les recettes au HM Treasury (le "Trésor de Sa Majesté"), autrement dit le Ministère des Finances. Et bien entendu, tous les États du Commonwealth*³, les États-Unis inclus, payent des taxes à la Couronne désacralisée anglaise, le couronnement en 1953 de la Reine Elizabeth Battenberg/Mountbatten (photo 5) le démontrant sans ambage (la branche britannique changea le nom de Battenberg en Mountbatten, traduction littérale anglaise de l'allemand Battenberg en raison des sentiments germanophobes qui eurent cours durant la Première Guerre mondiale, et amenant également la famille royale anglaise à délaisser le nom de Saxe-Cobourg pour Windsor). Il n'était pas en effet seulement une cérémonie voyant Elizabeth prétendre être le monarque pendant presque de 70 ans (elle est décédée en septembre 2022), mais un serment contraignant et un contrat. Ce dernier, qui requiert la signature du monarque, a vu celle-ci signer au-dessus de son serment, et de ce fait elle l'a annulé ! Elle n'est donc pas liée par le serment qu'elle a prêté, et elle n'a pas été légalement assermentée en tant que reine... C'est pourquoi il est établi en droit que les tribunaux statutaires, les avocats, les avoués et les juges n'ont aucune autorité, puisque obtenue d'une reine non légale (cette position s'applique également aux systèmes judiciaires d'outre-mer, car ils sont tous enregistrés dans le système du Barreau). Cela signifie en outre que toutes les lois statutaires et la législation sont nulles, car un projet de loi doit avoir la sanction royale avant qu'il puisse devenir un acte du Parlement (loi).

* Cf. L’Église romaine décodée.

Crown Estate est aujourd’hui une société commerciale chapeauté par les "Crown Estate Commissioners" (Commissaires aux Domaine de la Couronne) selon les dispositions de la "Crown Estate Act", loi de 1961. Son portefeuille comprend des actifs dépassant les 9 milliards d’euros, qui génèrent un revenu de £190 millions versé chaque année au Trésor britannique.

*³ Association depuis 1947 d'anciennes colonies (ou protectorats) de l'empire britannique qui relèvent de la Couronne (en anglais "The Crown") désignant l’État. Par la tradition établie - la "Common law" -, la Couronne est de ce fait une personne morale individuelle (associée à une personne, le monarque), soit une entité ayant la personnalité juridique pour représenter le corps législatif exécutif et judiciaire gouvernant de la monarchie de chaque pays membre. Et lorsque le monarque décède, la personne morale individuelle se transmet au monarque suivant...

 

Des couronnes royales

Les couronnes royales, serties de cristaux et de pierres précieuses incrustées dans la sangle de métal qui ceinture la tête, servaient de "banque de données" et d'outil de télécommunication psychique. Les pierres précieuses encastrées dans la sangle qui les retiennent autour de la tête sont placées sur des ouvertures de manière à ce qu'elles touchent directement la peau du monarque, pour ainsi entrer en contact direct avec certaines zones précises du cerveau. Comme un "radio-cristal", le cerveau capte certaines communications subtiles, en provenance de mondes parallèles ou d'humains psychiques, émises sur "la longueur d'onde personnelle" de la tête couronnée pour l'instruire et le conseiller.

 

Réalité féodale

Les Archives nationales du Royaume-Uni à Londres conservent deux volumes d'un ouvrage produit dans l'Angleterre médiévale à la fin du XIIIe siècle et au début du XIVe siècle. Connu sous le nom de Liber Feodorum ou Book of Fees, ce texte recense les propriétés foncières féodales en Angleterre ou les terres effectivement détenues par des individus directement de la couronne, et qui depuis ont été transmises par succession. En règle générale, les personnes qui y figurent sont des nobles, des chevaliers ou des membres de la gentry qui ont été récompensés par des terres au cours des quelque 150 dernières années en Angleterre pour leurs services rendus à la couronne.

 

Washington DC (District of Columbia), ou la Couronne souveraine au cœur de la République américaine

La capitale des États-Unis, Washington, sise dans le district de Columbia (Washington DC - image 6 ci-dessus), est un avant-poste de l'Angleterre, destiné à administrer et collecter cette "colonie" outre frontière qui doit lui rester fidèle et la secourir en cas de danger. La Constitution du District of Columbia fonctionne en effet sous la loi connue sous le nom de Lex Fori (la "loi locale"), qui ne ressemble en rien à la Constitution des États-Unis écrite par les "pères fondateurs" en 1776 et adoptée par une Convention réunie à Philadelphie le 17 septembre 1787, et s'appliquant depuis le 4 mars 1789 (année de la Déclaration des droits de l'homme et du citoyen suite à la Révolution française). Ceci remonte à 1871, lorsque le Congrès d'alors vota de manière illégale une loi créant une entreprise distincte connue sous le nom États-Unis/US (et non États-Unis d'Amérique/USA), ainsi qu'un gouvernement corporatiste, entrepreneurial, pour le District of Columbia. Autrement dit un Etat dans l'Etat ! Cette loi a été votée à un moment où la jeune nation américaine était faible, essentiellement en faillite en raison de la Guerre de Sécession (1861-1865).

Cet accord, conclu avec les Banquiers internationaux et sous l'égide du Vatican pour lui permettre de s'endetter, a de ce fait placé l'emprunteur dans une position de subordination. Il n'est qu'à voir les 3 obélisques de la place saint Pierre de Rome, de la City de Londres et de Washington DC pour comprendre la signature du pacte maudit enlevant à la jeune nation américaine son indépendance (photos 7 à 9). "The three city Empire" (L'Empire des trois cités, plus exactement l'Empire de la Cité mondiale s'entend), se répartissant chacune un contrôle : militaire pour Washington, spirituel pour le Vatican, économique pour la City londonienne ! Et c'est toujours le cas aujourd'hui...

Il s'agit en l'occurrence bel et bien d'un acte de trahison, en dehors des meilleurs intérêts des citoyens américains. Il conduit le Président des États-Unis à opérer comme un "vassal", prenant ses ordres de la "City of London" au travers du Royal Institute of International Affairs (RIIA), rebaptisé Chatham House (image 10), maison-mère du Council on Foreign Relations (CFR) anglais (image 11), le think tank ayant pour but d'analyser la politique étrangère des États et la situation politique mondiale*.

Les États-Unis  sont de ce fait régis par deux Constitutions différentes, une d'apparence, et une seconde qui s'est subrepticement substituée à la première afin de duper la population jusqu'alors souveraine en lui enlevant des droits transformés en privilèges, expliquant l'état de corruption endémique de ses représentants ! Il en résulte que la Nation américaine est une corporation, qui plus est en faillite, les citoyens états-uniens n'ayant de ce fait ni pays, ni nationalité... ni drapeau, portant seulement le nom du continent sur lequel ils vivent ! Ces Américains n'ont comme emblème patriotique qu'un étendard*², une bannière nommée The Star Spangle Banner ("La bannière étoilée"). Problem for them, it's not a nation free flag !

* Cf. Le modèle européen décodé (2) L'idéologie mondialiste.

Le mot "étendard" (ou vexille) recouvre des réalités différentes, étant sujet à de grandes variations de forme, de taille et de couleur, mais aussi d'usage selon l'époque et le lieu. Un étendard est une bannière appelée également drapeau qui sert pour déclarer une guerre ou y mettre fin.

 

La mise en scène à l'écran

Le Zodiaque de Denderah, première BD étoilée
Le Zodiaque de Denderah, première BD étoilée

La programmation des consciences passe par la suggestion subliminale du subconscient. C'est tout particulièrement ce que permet l'image - anagramme de magie - à l'écran. C'est ce que s'est appropriée l'industrie d'Hollywood*, la Mecque du cinéma mondial, qui maîtrise parfaitement depuis son début au XX° siècle les principes régissant l'électromagnétisme. Son pouvoir d'influence des consciences par ses mages officiants est ainsi très puissant, découlant de la fabrication des mythes antiques*² par la prêtrise païenne et leur représentation artistique (peinture, gravure, sculpture...) ayant permis de les graver dans l'inconscient collectif.

L’hollywoodisme occidental est à ca titre une idéologie, reposant sur un système complet de valeurs, de modèles de comportement et de pensée, de la manière dont il faut s’habiller, de ce qu’il faut manger, etc. Tout un modèle de réalité auquel on finit par croire. Comme Hollywood représente l’imaginaire occidental dans ses produits cinématographiques, ce faisant il le construit, l’homogénéise, en établit les normes. Les hiérarques d’Hollywood veulent posséder et contrôler l’esprit de chacun.

* Hollywood signifie le bois de houx, et non le bois saint (holy). Le houx est une plante, au même titre que le gui, toutes deux prisées par les druides (ou mages) anciens. L'une, la forêt de gui, célèbre la lumière par les mages blancs ; l'autre, la forêt de houx, célèbre les ténèbres par ses mages noirs. Entre magie blanche et magie noire, le système a choisi où il mettait son curseur... Reste à l'individu à changer sa vibration intérieure pour recevoir l'information juste !

Cf. Le modèle européen décodé (1) Un ADN impérial païen & Le Judaïsme décodé.

 

Nul ne s'étonnera alors de la collusion de Hollywood avec The Pentagon, l'explicite par son symbolisme architectural bâtiment abritant le commandement militaire des armées des États-Unis basé à Arlington en Virginie (image 4), plus de quatre cent films ayant été réalisés sous son influence et sa supervision directe afin d'assurer l'indispensable propagande de guerre nourricière de la prédation*. Tout comme l'architecture de la Maison-Blanche (image 5), demeure du Président étoilé, présente des similitudes avec le temple de Salomon d'antan à Jérusalem et ses deux colonnes Jakin et Boaz (image 6), le temple référence des Loges maçonniques...

* Cf. Livre "Hollywood, le Pentagone et Washington: les trois acteurs d'une stratégie globale" de Jean-Michel Valantin (2003) & l'article paru le 14 Novembre 2008 dans The Guardian des chercheurs Matthew Alford et Robbie Graham avec comme titre original "Les Espions et l'Ecran argenté". Cf. Voir sens profond du pentagone dans Symbolisme des figures.

 

La nouvelle Babylone

Hollywood Babylone est un livre du cinéaste états-unien Kenneth Anger (Kenneth Wilbur Anglemyer) qui a été publié dans une version embryonnaire en 1959. Sa publication dans sa version définitive en 1975 aux États-Unis fut entourée de scandale, le livre étant rapidement interdit. Il révèle en effet la face cachée des célébrités de Hollywood : mort par ingestion de mercure ; addictions à la drogue ; accusations de viol avéré et procès ; morts mystérieuses ; liaisons adultérines ; déclin des carrières ; difficultés de tournage ; morts liées à la drogue ; mariages forcés ; meurtre ; suicides ; accusations d'échangisme et d'instabilité mentale ; gloire et déchéance... La grande Prostituée, grande prêtresse de l'esclavage sexuel comme psychique, est bel et bien toujours la marque de fabrique de la Matrice dévoyée !

 

A noter toutefois que le système prédateur livre toujours par la "réalité fictionnelle" toutes les clés aux êtres humains, de leur manipulation* comme de leur libération. C'est ainsi le cas des productions des Studios Disney, qui sont conçues comme des contes alchimiques pour en délivrer les messages ésotériques*². On pourrait s'en étonner, mais ses maîtres artificiers connaissent parfaitement les lois de fonctionnement de l'univers basées sur la dynamique des polarités. C'est pourquoi ils les respectent tout en jouant la carte de la prédation à leur profit, en obtenant un consentement tacite de l'humain induit par le leurre. Son libre arbitre est ainsi "respecté" par détournement manipulatoire, la délégation donnée par l'acceptation de l'inconscient valant quitus pour la prédation...

Aussi c'est à l'être humain de s'éveiller à son tour s'il veut échapper au piège mortifère qui lui est tendu par la fausse lumière "luciférienne" qui lui est sans cesse adressée. Sans recherche de la connaissance qui éclaire, et du travail sur soi qui libère, il demeure au stade de pantin biologique manipulé et asservi par le système. Pourtant, toutes les clés lui sont en permanence livrées, mises sous ses yeux et portées à ses oreilles. Mais il n'y a pire sourd et aveugle que l'homme primate profondément endormi et aspirant à demeurer dans sa passivité existentielle...

* Ainsi la mise en scène en novembre 2017 d'une situation d'esclavagisme en Libye révélée par la chaîne états-unienne CNN portant sur des migrants noirs. Immédiatement des artistes, intellectuels et militants africains, descendants d’Africains et antillais, interpellent l'Union européenne, accusée d'inaction face à ce drame humain. Tous les ingrédients de la prédation psychique sont réunis : indignation émotionnelle et accusations. Le système oppresseur une fois de plus étale son mécanisme, les illusionnés esclaves endormis n'y voyant feu...

Cf. Le chemin alchimique.

 

Un logo qui fait débat

Pour l'establishment, l’Académie du cinéma a voulu mettre l’accent dans son nouveau logo sur d’autres activités de l’institution comme les expositions, les projections ou encore le travail d’archivage et de restauration. C'est pourquoi la petite statuette laisse la place à un visuel plus travaillé, soit un Oscar éclairé d’un cône de lumière en forme de A, comme Académie. Elle récuse toute théorie selon laquelle Hollywood serait gérée par une "élite Illuminati", propre aux délires conspirationnistes. Aussi chacun se prononcera en son âme et conscience...

 

Voir en complément Le cinéma de la Matrice (1) & Le cinéma de la Matrice (2) La science réalité

 

Illustration télévisuelle

Qui ne se souvient de la fameuse séquence dans une émission de télé-réalité qui voit une jeune femme ingénue prénommée Nabilla prononcer son fameux "Non mais allô quoi !" en faisant le signe par la main du téléphone (photo 1) ? Elle apparait à ce moment à l’écran avec deux ailes d'ange dans le dos, compte-tenu du décor propre à une émission s’intitulant "Les Anges de la télé-réalité".

 

A première vue, le public inconscient retiendra avec férocité et jubilation ironique une scène jugée pathétique, représentative d’une jeune génération inculte prête à tout pour les feux de la gloire. Pourtant, cette scène n'est en aucune façon anodine. Le message subliminal passé par les Maîtres artificiers occultes - les mages noirs babyloniens - a atteint pleinement son objectif, compte-tenu de l'importance du buzz médiatique qui en découlera.

En l’occurrence se tiennent dans cette scène de nombreux ingrédients de la dépravation psychique :

- La femme bimbo écervelée, gourde, source de fantasmes sexuels comme d’extériorisation de refoulements. C'est le dévoiement du féminin sacré par la "père-version", le système patriarcal pyramidal.

- Le signe cornu de la main* est celui figurant les cornes de la déesse Isis (Cf. image 2), la déesse noire mère et protectrice des pharaons, qui symbolisent par le détournement du sens originel la couronne solaire de l’élite païenne dévoyée, et que l’on retrouve sur nombre d’autres figures emblématiques de l’hypnose des consciences (ainsi la statue de la Liberté - image 4). Il figure de même les ailes dans le dos (Cf. image 3), qui se retrouvent en fond d'écran. Elles sont associées à l'élément air, de polarité masculine *². Nous le retrouvons à de multiples reprises utilisé par les artistes du show-biz sous contrôle mental, et tout particulièrement par les maîtres occultes d'Hollywood tel que le producteur et réalisateur britannique Alfred Hitchcock (1899/1980 - photo 5).

- Le mot "allô" est le halo de la fausse lumière qui préside dans notre dimension terrestre sous contrôle, soit l’auréole lumineuse diffuse qui entoure les divinités païennes terrestres (familles royales, saints de l’Église, icônes du sport ou du divertissement...) dans leur représentation humaine. Il traduit le brouillard jeté sur notre conscience.

Sans conscience de ce jeu pervers, qui permet d'accueillir les informations du présent en étant soi-même présent, nous laissons pénétrer en nous les germes mortifères de notre involution.

* Le signe de la corne est attesté dès l’Antiquité grecque. Né d’une relation adultère entre la reine de Crète Pasiphaé et le taureau crétois, le Minotaure (l'archonte prédateur) était un être cornu. C'est ainsi que sur un plan mythologique le peuple rappelait cette trahison à son roi Minos en lui adressant le geste en question, associé depuis à l’idée d’infidélité. Elle n'est rien d'autre que la trahison de Satan, l'Ange déchu, de son origine divine. Ce geste demeure largement employé en Italie, notamment en Italie méridionale et en Sicile, où le mot "cornuto" (" cornu ") signifie "cocu".

Cf. La dualité décodée.

 

Illustration cinématographique

La programmation hollywoodienne est conçue sur la dualité, le combat simpliste des présumés "bons" contre les présumés "méchants". Ainsi l'exprime le genre western, qui inverse de manière perverse la répartition initiale entre les envahisseurs blancs et les autochtones du peuple rouge. Ces derniers vont devenir les méchants et les premiers, baptisés les cow-boys, les gentils ... En inscrivant ce schéma dans l'inconscient dès le plus jeune âge, le système permet d'occulter pour grande partie l'usurpation des terres comme le massacre des populations locales et de la faune d'alors (les bisons), même si certaines œuvres comme Soldat bleu * tentent de contrebalancer la légende idéalisée.

* Soldier Blue ("Le Soldat bleu") est un film américain réalisé par Ralph Nelson, sorti en 1970, qui renvoie à l'histoire du massacre de Sand Creek, Colorado, le 29 novembre 1864, par sept cents hommes de la Cavalerie du Colorado. Les soldats assassinèrent beaucoup de femmes et d'enfants de la tribu des Cheyennes, prirent une centaine de scalps et commirent de nombreux viols et mutilations. Autre soi-disant "bataille", les événements du 29 décembre 1890 à Wounded Knee qui consistèrent en l’extermination de 350 Sioux Lakota par l'armée américaine, dont une bonne part de femmes et d'enfants (ce massacre signa la fin des "guerres indiennes"). Ils constituent par là-même une date fondamentale, symbolique pour les "natives american", les Sioux en particulier.

 

Renversement du code alchimique au service de l'aliénation

La fierté du peuple américain - les États-Unis - se traduit par l'exacerbation des couleurs patriotiques à travers le port du drapeau étoilé, que chacun affiche ostensiblement sur le territoire à sa manière (maison, voiture, barbecue ...). Si beaucoup de robots biologiques saluent cette fièvre patriotique comme contributive à la grandeur de l'unité nationale, elle ne fait que masquer le caractère esclavagiste, génocidaire, raciste, ségrégationniste et impérialiste de son histoire. Le culte autour du drapeau remplace en effet l'absence de Ministère de l’Éducation Nationale, et de ce fait de l'apprentissage de l'histoire dont la responsabilité revient à chaque État fédéral. Il en résulte que, par cette absence de grands programmes éducatifs à socle commun, une large majorité d’États-uniens n'ont aucune connaissance profonde et unifiée de leur propre histoire, a fortiori de celle du monde.

C'est le cinéma qui a forgé l'unité nationale et le maintien de ses gènes mortifères, Hollywood se substituant à l'école pour jouer ce rôle auprès de l'ensemble des citoyens. C'est d'abord le cinéma muet, qui va diaboliser le Noir avec comme interrogation sous-jacente "Ces gens valaient-ils la peine que l'on se massacre pour eux ?" *. Ainsi par exemple le grand classique The Birth of a Nation (Naissance d'Une Nation) de David Wark Griffith (1915), considéré comme le film le plus raciste du cinéma hollywoodien (son père était un colonel de l'armée des Confédérés, et il s'inspira du livre militant d'un WASP - White Anglo-Saxon Protestant) pour ses stéréotypes, que l'on retrouvera par la suite dans le mythique Gone with the Wind (Autant en Emporte le Vent) de Victor Fleming en 1939.

Après le Noir, la diabolisation du Rouge, les 2.700 westerns tournés entre 1930 et 1954 faisant la part belle au gentil blanc confronté au cruel peau-rouge (pratique du scalp et du poteau de torture), sauvage à moitié nu qui refuse la civilisation apportée par le colon européen. Ou comment légitimer le massacre des innocents dans l'inconscient collectif, les autochtones survivants étant conduits par la "marche des larmes" (6.000 sur les 13.000 de départ mourront en route) à se déplacer de leurs terres pour intégrer des réserves, les camps de concentration de l'époque.

La diabolisation du Jaune est quant à elle liée à l'arrivée massive d'une main d’œuvre chinoise au printemps 1864 à San Francisco fuyant la famine pour la construction du premier chemin de fer transcontinental entre Sacramento (Californie) et Omaha (Nebraska), qui se terminera officiellement le 10 mai 1869. Si les 3.000 km de voies ferrées permettent de relier le réseau ferré de l'est du pays à la côte Pacifique, révolutionnant la situation économique et démographique de la puissance américaine, elles n'empêcheront Hollywood de remercier successivement le peuple jaune (Chinois, Japonais, Coréen, Vietnamien) par des productions caricaturales du fourbe et cruel asiatique (incarné notamment par Boris Karloff ou Christopher Lee), notamment inspirées du docteur Fu Manchu, personnage de fiction inventé en 1912 par le romancier britannique Sax Rohmer (1883/1959) dans une série de romans. Ce génie du mal d'origine asiatique a beaucoup contribué à la diffusion de ce stéréotype littéraire, lié à la crainte en occident du "péril jaune". Là encore, la pratique des camps de rétention administratifs destinés aux Japonais présents sur le sol américain au moment du conflit lors de la seconde guerre mondiale illustre la nature du gène instillé dans nombre des élites états-uniennes décisionnelles. Quant à l'autocritique, elle ne fera que tardivement apparition dans la production hollywoodienne, avec par exemple le film de John Irvin Hamburger Hill (1987). Cependant, tous ces films sont centrés sur la souffrance du soldat américain, en aucune façon sur celle de son adversaire ...

Le curseur s'est depuis déplacé sur le "basané", dégradé du Blanc, avec d'abord le "latinos", puis l'"arabo-musulman", désignant à chaque fois la menace à l'hégémonie anglo-saxonne "aryenne". Il n'y a pas à dire, le pays de la déclaration d'indépendance (4 juillet 1776) dont le texte essentiellement rédigé par Thomas Jefferson proclame les principes de liberté, d’égalité et de droit à la recherche du bonheur, est un orfèvre en mystification des consciences par l'idéologie collective, autrement dit le formatage abrutissant de l'opinion publique, et que le genre feuilletonnant de séries TV type Homeland perpétue désormais ! Quant à nos hommes et femmes politiques, philosophes, écrivains et autres artistes en tous genres adorateurs du mythe America, ils signent par là-même la nature de la partition qu'ils et elles jouent en leur état de conscience...

* La lutte des Noirs pour leur émancipation n'a jamais été traitée par le Hollywood blanc, avant que la "Black action movies" (le cinéma à destination des Noirs fait par des Noirs) ne s'empare du sujet à partir des années 1960.

Cf. Livre de l'essayiste Pierre Conesa "Hollywar" (2018).

 

Une autre manipulation consiste à s'appuyer sur une légende ou un mythe puissant de l'inconscient collectif et de le recomposer en version contemporaine, qualifié de "héros jacksonien" en référence au président Andrew Jackson (1767/1845 - photo 1), septième président des États-Unis de 1829 à 1837, qui fut le premier à contester le pouvoir des élites dans la gouvernance du peuple *. Autrement dit, il s'agit d'incarner l'individu contre le système établi, contribuant à faire oublier le "principe de substitution causale", soit la délégation de sa souveraineté existentielle à autrui (les "élites") par l'être humain endormi à Qui Il Est vraiment *².

C'est le cas en 1933 avec Superman, avatar de Jésus-Christ, sauveur providentiel qui fait suite à l'Uncle Sam (USA), figure créée en 1812. En l'occurrence, ce super-héros capable de nombreux miracles pour sauver la patrie et les bons des méchants délivre un tout autre message : au lieu de travailler sur soi afin de renaître à l'esprit, il s'agit de célébrer le sauveur extérieur tout-puissant, en l'occurrence aux couleurs de l'Amérique états-unienne. Il s'agit là encore de forger un sentiment de patriotisme et d'unité nationale préalable au déclenchement du second conflit mondial (c'est la période de la montée en puissance du nazisme en Allemagne). Les couleurs bleu et rouge - celles des polarités opposées, de la division - sont bien sûr utilisées.

Toute une gamme de super-héros positifs va être ainsi déclinée au fil des décennies, en changeant constamment de forme au gré du contexte géopolitique et de l'évolution technologique, allant du super-combattant solo (John Wayne, Clint Eastwood, Sylvester Stallone, Chuck Norris, Arnold Schwarzenneger, Vin Diesel, Bruce Willis - photos 4 à 10) aux super-héros en bande (ainsi The Avengers "Les Vengeurs" et The Expendables, "Les Sacrifiés" - photos 11 et 12).

Cette théâtralisation permanente du rapport à la guerre par l'héroïsation du combat des présumés bons contre les présumés méchants a pour effet de maintenir une chape de plomb sur l'éveil de conscience de l'être humain.

* Il préfigure sur un plan idéologique les "Sudistes" ou "Confédérés" souverainistes, opposés aux "Fédérés", les Nordistes mondialistes. Il avait notamment opposé son veto à la création de la Réserve Fédérale (la banque centrale source du dévoiement monétaire), parfaitement au fait de la gangrène du Deep State (l’État profond).

Cf. Le sens caché du jeu d'échecs & Fabrication de l'illusion et voie de sortie.

Cf. complément dans Comment changer son regard ? chapitre Comprendre l'enseignement des super-héros.

 

Cf. compléments dans Le chemin alchimique.

 

Messes noires scéniques et sacrifices rituéliques

 

Le satanisme "moderne"

L'anglais Aleister Crowley (1875/1947 - photo 1) est considéré comme le fondateur du Satanisme moderne. Il a écrit une dizaine d'ouvrages de magie et d'occultisme, fondé en 1907 l'ordre AA (Argenteum Astrum/L'étoile dorée) au sein duquel étaient enseignées surtout des pratiques de magie sexuelle, et créé en 1944 l’Ordo Templi Orientis (O.T.O.), une organisation délibérément satanique basée sur les principes et la Loi de Thelema, qui est exprimée par la phrase : "Fais ce que tu veux sera le tout de la loi". Cette loi aurait été établie par le Book Of The Law (Liber AL vel Legis ou "Livre de la Loi"), dictée à Aleister Crowley en 1904 au Caire en Égypte par une entité extra-dimensionnelle nommée Aïwass *. 

Il est incontestablement le magicien noir le plus populaire à Hollywood et dans l'industrie de la musique, ayant contribué aux messages subliminaux qu'elle diffuse dans nombre de ses courants rock/rap/hip hop qui ont caractérisé les 50's, 60's, 70's, 80's, 90's , et désormais les années 2000, avec les icônes s'en revendiquant dont David Bowie (image 2), Mick Jagger (image 3)..., jusqu'aux Beatles, son visage apparaissant sur la pochette de leur album Sergeant Pepper's Lonely Hearts Club Band (image 4). Nul(le) ne s'étonnera du nombre élevé de suicides chez les jeunes individus, dont la particularité était/est l'écoute de ces musiques célébrant à leur manière la Mort de la conscience ...

Le film des Studios Disney sorti en 1939 "Le Magicien d'Oz" (The Wonderful Wizard of Oz) évoque Le Liber Oz, manifeste de L' O.T.O. (L'Ordo Templi Orientis) qui complète le Livre de la Loi. Liber Oz a pour nom d'origine The Book of the Goat ("Le Livre de la Chèvre"), en raison de la dévotion pour l’idole-chèvre païenne Pan. Dans le film, Dorothy et ses amis arrivent à la cité d'émeraude d'Oz qui ressemble étrangement à New-York (image 6)... Nous pouvons y voir le soleil se lever entre les deux tours rappelant celles du World Trade Center. Le jour du 11 septembre 2001, le président Georges Walter Bush était à l'heure de l'attentat dans une classe élémentaire d'une école de Floride, lisant un conte pour enfants, "Ma Biquette" (My Pet Goat), autrement dit l'adaptation enfantine de "Oz Le Livre de la Chèvre" du sorcier sataniste Crowley *² (photos 7 & 8). Il ouvrait en réalité une fenêtre interdimensionnelle dans l'espace-temps, point de départ de la 3° guerre mondiale *³ (photos 9 & 10). Quant à l'investiture du 46° président démocrate états-unien Joseph Robinette Biden en janvier 2021, la chorégraphie colorisée déployée est explicite pour l'observateur averti, certaines tenues portées faisant référence tant aux couleurs sataniques (photo 11 avec l'artiste Lady Gaga) qu'à la trilogie à succès de science-fiction dystopique The Hunger Games ("Les jeux de la faim") portée à l'écran (photo 12) à partir de 2012...

* Cf. Les psychopathes qui nous gouvernent.

Cf. Prédation manipulatoire.

*³ Cf. Prophétie du changement & Fonctionnement de l'architecture du Vivant.

 


Les arènes du spectacle musical sont des lieux de rassemblement de foules hystérisées par l'identification aux artistes, le jeu hypnotique des lumières et du son et des chorégraphies, voire la consommation d'excitants de différente nature. Autant dire que l'égrégore qui se dégage est celui d'une messe noire, voyant certain(e)s artistes prendre des poses et user d'une gestuelle dont le symbolisme a pour effet de graver dans l'inconscient son message subliminal mortifère. En portant une attention de dévotion à ces stars sous contrôle du système, le public inconscient donne son énergie aux égrégores nourriciers des prédateurs "babyloniens"...

 

Sacrifice rituélique

Certaines pratiques à caractère "sataniste" qui prolongent de nos jours le culte ancien du Moloch-Baal consistent en des meurtres rituéliques de jeunes enfants, dont l'énergie quasi-pure est considérée comme sacrée pour les prédateurs vampires. Stanley Kubrick, réalisateur et producteur états-unien (1928/1999), a mis en scène la débauche masquée de certaines "élites" dans son film Eyes Wild Shut ("Les Yeux grand fermés") sorti en 1999, année même de sa disparition (image)...

Cf. Contrôle mental & chapitre "Dérive sanglante" de la publication Les psychopathes qui nous gouvernent en complément.

 

L'artiste états-unienne Beyoncé simule sur scène l'accouchement de l'Antechrist, d'autres célébrant le rituel du bouc émissaire Satan
L'artiste états-unienne Beyoncé simule sur scène l'accouchement de l'Antechrist, d'autres célébrant le rituel du bouc émissaire Satan

Les arènes de la mort

Défendue farouchement par les aficionados au nom de la tradition culturelle, la corrida perpétue les cultes sacrificiels sanglants rendus aux dieux asservisseurs. Le festin du prédateur est à son comble quand dans l'arène vibrante exulte la foule hystérisée par l'odeur du sang, de la peur, de la testostérone enflammée et de la mort de l'animal comme, parfois, de l'être humain lobotomisé.

Cf. Le modèle pyramidal décodé.

 

 

 


En effet, le système prédateur se nourrit tout particulièrement des égrégores collectifs*, beaucoup plus puissants pour sa survie que les traumas psycho-émotionnels individuels. Comme ils sont particulièrement nourriciers lorsque des multitudes sont concernées, ils sont régulièrement actionnés. Les plus "soft" sont les arènes de divertissement - enceintes sportives ou de concert, rassemblements politiques, religieux et spirituels, manifestations, mariages royaux ... -.

D'autres, à caractère sanglant, sont utilisés selon un calendrier*² symbolique "diabolique", soit dans des cénacles fermés, soit pour susciter une émotion planétaire. Ils sont liés au "Grand Secret" de Maria Magdalena - le féminin sacré -*³, consistant à  changer le futur en une version plus négative par les entités entropiques qui nous gouvernent de la 4ème dimension de densité, ce qui bien sûr relèvera du délire complotiste ou mystique selon le biais cognitif de lecture emprunté... 

En les actionnant sur la scène politique nationale ou internationale, et tout particulièrement lors de certaines cérémonies, rites, réunions ou assemblées, il engendre des états émotionnels très puissants produisant très précisément le type de fluides organiques dont il a besoin par la jouissance, la frénésie, la surexcitation…, qui exhalent de la sueur, de l'adrénaline, de l'insuline, des phéromones et autres substances hormonales liées à un sentiment de domination !

* Cf. Le modèle pyramidal décodé.

En latin calendarium, signifiant "reconnaissance ou registre de dette" ...

*³ Cf. Le féminin séquestré.

Le sacrifice du féminin sacré (Déesse-Mère)
Le sacrifice du féminin sacré (Déesse-Mère)

Marilyn MONROE

(Norma Jeane Mortenson)

MOON RE (anagramme)

MOON "RAY" / RÊ

(Rayon de Lune ou Lune du dieu solaire égyptien)

Naissance : 01/06/1926

Décès        : 05/08/1962 à 36 ans quelques mois avant JFK (amant), assassinée car sur le point de faire des révélations.

A noter que Elton John composa "Candle in the Wind" (une chandelle dans le vent) en 1973 en hommage à Marylin, qu'il reprendra remixé pour Lady DI.

Jeanne d'Arc

Jeanne d'Arc (vers 1412/1431), est une héroïne de l'histoire de France, chef de guerre et sainte de l'Église catholique, surnommée depuis le XVIe siècle "la Pucelle d'Orléans". Par-delà le roman historique, elle symbolise le féminin sacré*, clé libératoire indispensable à l'être humain asservi aux forces involutives du champ astral qui le gouvernent. Son sacrifice rituélique sur le bûcher des Enfers a été renouvelé en septembre 2019, par l'incendie de l'usine chimique de Lubrizol*² à Rouen.

* Cf. Le féminin sequestré.

L'anagramme de Lubrizol dans la langue des oiseaux révèle sa nature satanique, soit "l'os" (Loz), l'être humain en l'occurrence, "y" (i), sur le bûcher s'entend, brûle (brul)... 

 Lady DI

(Diana Frances Spencer)

DIANE déesse romaine (Artémis en Grèce)

Déesse LUNAIRE

      

 

Naissance : 01/07/1961

Décès        : 31/08/1997 à 36 ans au même moment que Dodi Al Fayed son amant.

 

 

 

Sharon TATE

Cette actrice américaine (1943/1969), mariée au réalisateur Roman Polanski, a été tuée chez elle par des membres de la communauté appelée "la famille" dirigée par Charles MANSON*, autrement dit par "le fils de l'homme", appellation par laquelle Jésus se désigne dans les Évangiles... Alors enceinte de huit mois, c'était l'apothéose sanglante du "Bal des Vampires"*².

* Ses membres faisaient partie de la Process Church (l’Église du Jugement Dernier). Des tas de gens en vue à Hollywood y étaient associés. D’après certains livres, ils passèrent dans la clandestinité aux alentours de 1978, puis disparurent. Ils sont pourtant toujours vivants et en bonne santé, résidant dans le sud de l’Utah, au nord de Monument Valley, un épais dossier du Ministère de la Sécurité publique de l’Utah le prouvant...

Film éponyme de Roman Polanski, sorti en 1967, dans lequel elle figurait.

 


La célébration du cocktail mortifère

Sex, drugs, rock’n’roll, idolâtrie, business... le tout couronné par un vibrant hommage national du poison inoculé dans les consciences par ses maîtres artificiers (photos 1 à 4). Le festin de la prédation est à son comble lorsque l'émotionnel mortifère triomphe du Vivant.

A la sauce Yankee, Pigeon Forge, une bourgade du Tennessee située à l’est des États-Unis, a vu s'ouvrir en mai 2019 un parc à thème dédié au tabloïd trash The National Enquirer, qui se consacre entièrement aux divers scandales et théories macabres du "complot" couverts depuis le XX° siècle. Moyennant vingt-cinq dollars, le prix du billet d’entrée, une attraction accessible aux enfants propose entre autres de faire l’expérience en 3D (reconstitution sur ordinateur) de la course-poursuite qui a coûté la vie à la princesse Diana le 31 août 1997 (photo 5). À l’aide d’images de synthèse, les spectateurs sont entraînés sur la route empruntée par la voiture de la princesse, poursuivie par des paparazzis, du Ritz jusqu’au tunnel du Pont de l’Alma où elle a perdu la vie. Les visiteurs du parc sont ensuite invités à répondre à des questions concernant les théories développées autour du décès de "Lady Di" : " Était-elle enceinte au moment de l’accident ? " ou "La famille royale et les services secrets britanniques sont-ils impliqués dans sa mort ?". D'autres "explorations" sont au menu des "crimes du siècle", tels que le meurtre de l’ex-épouse d’Orenthal James Simpson, le célèbre ex joueur de football américain. Les visiteurs peuvent également découvrir une attraction dédiée au moment, resté célèbre, où la star musicale planétaire Michael Jackson a défrayé la chronique pour avoir suspendu son bébé au-dessus du balcon de son hôtel à Berlin en 2002 (photo 6). Un second parc prévoit déjà d’ouvrir ses portes en juin, cette fois-ci dans le Missouri...

 


La mise en scène business

Le détournement profane de l'histoire et sa réécriture aux fins d'asservissement des consciences est la marque de fabrique du système prédateur. Il en est ainsi avec la fête nationale de l'Amérique Thanksgiving, ou comment remercier ceux qui vous ont sauvé en les massacrant tous… En 1620, une centaine de dissidents anglais, nommés Pères pèlerins (pilgrims), débarquent du bateau Mayflower dans la baie de Plymouth au Massachusetts. Ils y fondent la colonie de Plymouth et la ville éponyme. Les débuts de la colonisation furent difficiles, la moitié des arrivants périssant du scorbut. Les survivants ne durent leur salut qu’à l’intervention d’un autochtone nommé Squanto qui, avec l’aide de sa tribu, les Wampanoags, leur offrit de la nourriture, puis leur apprit à pêcher, chasser et cultiver du maïs… S’ils avaient su l’avenir funeste qui les attendait, sans doute auraient-ils pensé différemment la main tendue à cette poignée de colonisateurs, futurs éradicateurs des Amérindiens.

Aujourd'hui, Thanksgiving est célébré dans nombre de pays par le Black Friday, jour de promotion "pharaonique" dédié au dieu Mammon. C'est le jour noir de la conscience, qui voit la programmation consumériste pulsionnelle inculquée dans l'inconscient entraîner la pathologie hystérique du besoin vorace de combler le vide existentiel par la possession de l'objet convoité.

 

 

Il en est de même avec la fièvre d'Halloween, dont l’origine païenne est l'héritage des fêtes celtes de la Samain, première des quatre grandes fêtes religieuses de l'année celtique protohistorique fêtée aux environs de notre 1er novembre, et symbolisée par la lanterne (la Jack-O’lantern dont l’origine est issue d’une légende irlandaise). Venue des États-Unis et du Canada à partir d’une citrouille qui remplace les navets et betteraves en Europe, elle met en scène zombies, morts-vivants et autres archétypes maléfiques, et la chasse aux bonbons menée par les enfants… Ou comment déployer le conditionnement de l'enfance par le rituel mortifère de la conscience. Le commerce en tire profit par la vente d'artifices inutiles, pendant que le foie et la glande pinéale sont encrassés par les glucides chimiques ingérés. C'est le triomphe du totalitarisme marchand, simple répétition avant la débauche des fêtes de Noël et de la nouvelle année. Le prédateur peut ainsi s'écrier "Bande de con-sommateurs !", tout acte d’achat compulsif, et de ce fait névrotique, étant un acte de vote et de soumission à l'ordre établi...

Quant à l'Intelligence Artificielle (IA), elle s'en est emparée avec l'utilisation d'un algorithme créant des masques et des costumes effrayants à partir d'une base de données composée de 5.000 masques qui va nourrir un réseau neuronal à partir duquel elle a été développée. Le système apprenant crée ainsi les masques et costumes les plus adaptés au sujet, comme de nombreuses reproductions de monstres de films d’horreur, zombies, vampires en tous genres associés à des "icônes" du divertissement ou de la politique. L’IA n’est pas encore aussi effrayante que notre imagination, mais cela ne saurait tarder !

 

Le bâton mercantile d'Hermès

Le Caducée, symbole des énergies masculine et féminine constitutives de l'être humain (image 1), a été récupéré par les mages babyloniens - les élites au pouvoir (la couronne de laurier) - pour nourrir et doper leur culte à l'argent corrupteur, l'anneau qui nous asservit (image 7). Dollar, euro ou yen, la double énergie qui y figure (images 3, 4 et 5) permet d'honorer par la puissance du serpent monétaire Mammon *. Et c'est pourquoi "Time is money", plus exactement "Time is mooneye" *² (l’œil d'Isis, la déesse lunaire ...) !

* Dans le Nouveau Testament de la Bible, Mammon est la richesse matérielle ou l'avarice, souvent personnifiée en divinité.

Fin de cycle (1) Fin du temps ou fin des temps ?

 


La mise en scène spatiale

Si Hollywood est passé maître du conditionnement des consciences, l'Agence nationale spatiale américaine - la NASA* - est également un orfèvre en la matière, collaborant avec toutes les grandes institutions liées à la sécurité et au secret défense (Central Intelligence Agency, National Security Agency, Majestic 12...). Depuis sa création en 1958, elle joue mondialement un rôle dominant dans le domaine du vol spatial habité, de l'exploration du système solaire, et de la recherche spatiale et aéronautique. Parmi les réalisations les plus marquantes de l'agence figurent les programmes spatiaux habités Apollo*², la navette spatiale américaine, la station spatiale internationale (en coopération avec plusieurs pays), les télescopes spatiaux comme Hubble, l'exploration de Mars par les sondes spatiales Viking et MER, ainsi que celle de Jupiter et Saturne par les sondes Pioneer, Voyager, Galileo et Cassini-Huygens. Elle est depuis soixante-et-onze ans le seul fournisseur exclusif d'images de l'espace au monde entier, contribuant par cette mainmise et son ingénierie de trucages aisément repérables à l’œil aiguisé à un inévitable conditionnement des consciences.

* Il est intéressant de noter que l'acronyme NASA se rapproche de SATAN, le T manquant pouvant de manière stylisée être caché dans la forme rouge du logo, telle une signature, la langue de vipère, qui n'est pas sans rappeler celle de l'affiche de la série V, qui évoque des "reptiliens" ou reptiles humanoïdes considérant les humains comme de la nourriture (image 6). A moins que cette signature soit figurée par le compas et l'équerre maçonniques, beaucoup d'astronautes faisant partie de la Grande Loge de l'Ohio créée en janvier 1808 (image 7)...

Il est à noter qu'en dépit de ses invraisemblances et de ses erreurs (lancement par un canon, pesanteur présente sauf au "point neutre", etc), le roman de Jules Verne De la Terre à la Lune paru en 1865 s'est avéré étonnamment prémonitoire par rapport à la mission Apollo 8. L'initiative du voyage dans la Lune a bien été prise par les Américains, avec un départ de la mission américaine à Cap Canaveral, à quelques centaines de kilomètres seulement de l'endroit choisi par Verne en Floride (non pour les raisons qu'offre l'auteur, mais parce que la vitesse supérieure de rotation de la terre à cet endroit y est plus favorable). Il y a bien eu trois astronautes à bord de la capsule, et la mission a duré un peu moins d'une semaine, comme celle de Michel Ardan et ses amis dans le roman. Enfin au retour, l'engin se retrouve dans l'océan après avoir effectué une orbite lunaire.

 

Un de ses célèbres astronautes, Edgar Mitchell (1930/2016 - photo 1), pilote du module lunaire Antares pour la mission lunaire Apollo 14 en 1976 et sixième homme à avoir posé le pied sur la Lune, a dénoncé le gouvernement américain après avoir quitté l'Agence pour cacher l'existence des extraterrestres*. S'il a fondé en 1973 l'Institute of Noetic Sciences (IONS) à Genève pour conduire et sponsoriser des recherches dans les domaines négligés selon lui par la science officielle comme la recherche sur la conscience et les événements psychiques, il n'a pas hésité à menacer de mort Bruce de Palma (1935/1997 - photo 3), qui dans les pas de Nikola Tesla travaillait sur une machine de production d'énergie libre. C'est ainsi que les agents de la Matrice, institutions comme individus, brouillent les pistes, à l'image de l'astronaute français Thomas Pesquet (photo 4) ou de l'entrepreneur naturalisé canadien Elon Reeve Musk (photo 5), PDG de SpaceX et directeur architecture produit de la société Tesla. Entre vérités, désinformations et leurres, zones d'ombre et incongruités, il est difficile de connaître le dessous des cartes de l'autre agence en chef de productions d'artifices subversifs... C'est pourquoi sa principale base de lancement de fusées, Cap Canaveral, située sur un cordon littoral de la côte est de la Floride, justifie sans conteste le label de Cap Carnaval !

* Le 24 juillet 2008, dans une interview donnée à une radio, il a affirmé que les autorités américaines ont utilisé la technologie extraterrestre et dissimulé pendant 60 ans la réalité du phénomène ovni.

 

Tout comme la mise en place d'unités militaires spécialisées en informatique et dans la reprogrammation du psychisme humain par l'Intelligence Artificielle (IA) tant par les Etats-Unis (image 9) que d'autres pays, la cyberguerre de l'espace est le nouveau grand terrain de bataille de la "3ème Guerre mondiale" en cours, consistant en une grande opération de guerre dans l'espace cosmique et l'espace cybernétique*. Elle a pour objectif de détruire la conscience de l'esprit humain et la souveraineté de sa pensée, la création de la Force Spatiale en Amérique - l'US Space Force - répondant à sa réalisation (image 10), non sans avoir emprunté à la série avant-gardiste Star Trek son légendaire visuel (image 11).

* Les années 2020 sont annoncées comme potentiellement les précurseurs de la conquête de la planète Mars, avec comme point de mire 2024 pour les Etats-Unis et la Chine (deux rovers devraient se poser sur la surface martienne dans les mois à venir, le Perseverance de la NASA et celui de la mission Tianwen 1). Mais les nations se tournent également vers la lune, le Royaume-Uni prévoyant de déployer sur la Lune en 2021 un robot-robot de type araignée, et le programme Artemis de la NASA d'y placer une femme et un homme Lune d’ici 2024 en lançant sa mission Intuitive Machines 1 (IM-1) en octobre en préparation de futurs efforts d’exploration lunaire habités.

 

Les étranges accidents de la navette spatiale américaine 

L'accident astronautique du 28 janvier 1986 se traduisit par la désintégration de la navette spatiale Challenger (photo 1) 73 secondes après son décollage, provoquant la mort des sept astronautes de l'équipage de la mission (photo 2), en raison de la défaillance d'un joint du propulseur d'appoint. La couverture médiatique de l'évènement fut considérable.

Avec l'accident de la navette spatiale Columbia durant la phase de rentrée atmosphérique de la mission STS-107 le 1er février 2003, cet accident est l'un des plus marquants de la conquête spatiale américaine, au même titre que celui du 1er février 2003 de la navette Columbia (photo 4) et, là encore, de ses 7 membres d'équipage (photo 5), qui avaient disparu en vol à quelques dizaines de kilomètres d'altitude, juste avant que les astronautes ne reprennent les commandes manuelles pour atterrir à Cap Canaveral en Floride. Un astronaute Israélien faisait partie de l'équipage de Columbia, expliquant que la sécurité avait été renforcée au point de faire voler la navette à une altitude supérieure, hors de portée des missiles. La mission de l'astronaute israélien était de mettre en orbite, à la verticale de Jérusalem, une énorme banderole où il était inscrit : "Dieu Très Haut Protège Israël." Ironie de la catastrophe, les débris de la navette ont été retrouvés sur la petite ville de... Palestine, au Texas. A qui donc était adressé le message, ou plutôt l'avertissement ? Et qui pouvait bien en être l'auteur ?

Quant à la fausse explosion du vaisseau spatial Apollo 13 nommé "Aquarius" à 1h13 le 13 avril 1970 (photo 6), la troisième mission, elle n'était qu'une métaphore de la cérémonie d'initiation maçonnique impliquant la mort, le placement du cercueil, la communion avec le monde spirituel, et la transmission de connaissances ésotériques au candidat, la renaissance de l'initié, et l'élévation du Phénix, la nouvelle ère du Verseau...

 

Une enquête d'un journaliste allemand prétend que 30 ans plus tard, 6 des 7 astronautes morts dans l'explosion de la navette Challenger ont été retrouvés (photo 3). Comme d'habitude, l'info présentée de façon sensationnelle est qualifiée de théorie du complot, comme le World Trade Center. Nul ne peut avec certitude connaitre la vérité, et c'est bien ce flou source de divisions entre les pour et contre que recherchent les magiciens de la NASA.


Buzz l'Éclair, la quenelle de Buzz Aldrin

Le personnage de fiction Buzz l’Éclair (en anglais Buzz Lightyear) est apparu pour la première fois dans le film d'animation de Pixar Toy Story en 1995 (puis dans ses suites Toy Story 2 et Toy Story 3). Il est inspiré par le célèbre astronaute Buzz Aldrin censé s'être posé et avoir marché sur la lune le 21 juillet 1969 (Apollo 11), après Neil Armstrong. Les deux Buzz sont l'un comme l'autre con-vaincus d'être allés sur la lune. Buzz l’Éclair a pour comparse le shériff Woody (image 3), sous-entendu (Holly)Woody. Le lien subtil et malicieux est ainsi établi entre la NASA et la farce cinématographique à images, glissé dans l'inconscient et laissé à la sagacité de chacun ...

Si Woody sait qu'il est le jouet préféré d'Andy Davis, le petit garçon humain, le robot ultra-sophistiqué Buzz n'en a pas du tout conscience. Il est persuadé d'être un personnage réel, non de fiction. Il est un "power ranger", capable à ce titre d'aller sur la lune... jusqu'au moment où il finit par ouvrir les yeux. Fin du programme mental, dans la fiction animée il va sans dire, ce que la voiture "Pizza Planet" (image 4) ne cesse de nous rappeler !

 


Dans la vie, Buzz Aldrin est connu pour être un Franc-maçon à un haut degré d'initiation du Rite Écossais Ancien et Accepté (REEA)*, lui permettant à ce titre de faire partie des "Shriners" ou AAONMS (Ancient Arabic Order of the Nobles of the Mystic Shrine, traduisible par Ordre arabe ancien des nobles du sanctuaire mystique), une société para maçonnique nord-américaine élitiste fondée à New York dans les années 1870 (insigne en image 1). Ils revendiquent environ 400 000 membres dans le monde, présents dans environ 193 temples aux États-Unis d'Amérique, au Canada, au Mexique et à Panama, ainsi qu'aux Philippines, à Puerto Rico, en Europe, en Australie et dans de nombreux pays musulmans. Cette "fraternité" à l’intérieur de la Franc-Maçonnerie est dédiée au "divertissement". A ce titre, ils contribuent chaque année à l’organisation des Oscars d’Hollywood dans leur temple de Los Angeles, le Shrine Auditorium ou Shrine Center. Le trophée (image 2) remis au cours de la soirée est inspiré d’une idole égyptienne, PTAH (image 3). Dans les textes hiéroglyphes, Ptah est associé à "Seigneur de la vérité"… "Maître de la justice" "Seigneur de l’éternité"… "Maître de cérémonie"… Autrement dit le Père des Ténèbres, le Roi des Imposteurs...

Le nouvel initié se présente les yeux bandés, nu, soumis à un rituel dégradant. Il doit prêter serment devant un "Illustre Grand Prêtre et Prophète", tourné vers la Mecque, la main posée sur le Coran et jurer allégeance à Allah comme étant le dieu de ses pères, et à son prophète. C’est la shahada, l’acte de soumission à Allah, plus exactement à Lucifer. Il prononce le vœu classique de tenir le secret jusque dans la tombe. Du sang doit être versé, dans un simulacre de décapitation ...

* Cf. La nouvelle religion universelle. Les Shriners n'acceptent en leur sein que les hauts grades de la Franc-Maçonnerie traditionnelle.

 

Le sabre est un symbole de soumission, celle qui accepte la décapitation de la Connaissance, de la Vérité, au profit de la fausse lumière luciférienne. Le dieu de l’islam n'est-il pas l’ange de lumière, Lucifer, qui a visité Mahomet dans sa grotte ?… Les Shriners portent le Fez (image 4), la coiffure traditionnelle marocaine, connue sous le nom de la ville du Maroc où eut lieu en l’an 980 le massacre de 50.000 chrétiens sous le sabre des envahisseurs. Les musulmans plongèrent alors leur bonnet de feutre dans le sang qui ruisselait dans les rues en guise de trophées qu’ils brandirent à la gloire d’Allah...


Pour les nombreux irréductibles sceptiques, le film d'horreur culte Shining (1980) de Stanley Kubrick sur l'alcoolisme et la désintégration de la famille met en scène entre autres un enfant medium qui parle à son petit doigt, des jumelles qui l'invitent à aller jouer avec elles "pour toujours", une drôle de tête de l'acteur Jack Nicholson (image 1)... et un tapis "chanmé" (image 2) sur lequel joue l'enfant. Sur son pull est marqué Apollo 11 (photo 3), la navette de l'alunissage.

Dans Toy Story, au moment où Buzz l’Éclair découvre abasourdi qu'il n'est qu'un jouet (un pantin) en passant devant une télévision où il se voit dans une publicité, il grimpe sur une rampe en bois pour tenter de voler. Mais il s'écrase sur le sol, dont le tapis rappelle celui de Shining (image 4). Le message des scénaristes est explicite, toujours adressé à l'inconscient (l'information a été transmise), même si les "moldus" illusionnés irréductibles défendront au mieux l'explication de la simple coïncidence créative, ou dénonceront au pire la pathologie complotiste. Qu'ils n'oublient cependant pas le sage dicton qui voit le diable se cacher dans les détails ...

 


Stratobus
Stratobus

Quant à la réalité des satellites, celle-ci devient de plus en plus sujet à caution, ceux-ci pouvant s'avérer plutôt des dirigeables stratosphériques, dont la technologie a été mise au point par la NASA dans les années cinquante (programme Echo) et soixante au moment du programme Apollo. C'est d'ailleurs cette technologie que l'entreprise française Thales met actuellement au point par sa filiale Thales Alenia Space avec le concept Stratobus, une plateforme multi-missions* stratosphérique autonome aux performances époustouflantes et à l'autonomie imbattable, soi-disant pour ses concepteurs à mi-chemin entre le satellite et le drone. Elle est destinée à être localisée dans la stratosphère (une position située au-dessus de l’espace dédié au trafic aérien et des jet-streams, c'est-à-dire à au moins 20.000 mètres), avec la possibilité d'héberger des charges utiles grâce à sa pile de combustion réversible.

D'ailleurs, le CNES (Centre National d’Études Spatiales) n'entretient-il pas depuis plus de 50 ans une activité "ballons", une des plus importantes au monde, ces ballons n’emportant jamais de passager mais uniquement des appareils et instruments scientifiques au fonctionnement automatique ? De quoi s'interroger sur l'image que nous avons du spatial et de ces satellites sophistiqués qui gravitent sur leur orbite. Écologique et tout aussi puissant, le ballon bicentenaire depuis la découverte des Frères Montgolfier accède en effet au lieu final de sa mission sans moteur ni combustible, lui seul pouvant évoluer durablement dans les différentes couches de l’atmosphère, certaines trop hautes pour les avions, par nature inaccessibles aux satellites, traversées trop rapidement par les fusées-sondes... Quant à la NASA, elle envisage de son côté la colonisation de Vénus par cette même technologie dans le cadre de son projet High Altitude Venus Operational Concept (Havoc).

Le "mythe" de la conquête de l'espace et de la lune n'a-t-il tout simplement pas été mis au point pour attirer par son aspect spectaculaire des budgets colossaux, qui ont été utilisés à toutes autres fins - les "black projects" *² -, en permettant de conserver le grand secret du ballon stratosphérique dans la lutte d'influence sans merci que se livrent les grandes nations et leurs agences spatiales, loin des yeux et oreilles indiscrètes pendant que le grand public fixe son attention sur ses héros de l'espace imaginaires...

* Elle est destinée à des applications aussi bien civiles que militaires dans les domaines de l'observation, Télécommunication et navigation.

Le programme spatial "caché" utilise un armement à énergie dirigée, technologie utilisée à différentes reprises dans divers attentats (destruction de symboles religieux type Notre-Dame de Paris ou industriels significatifs type Rouen, ou de points névralgiques). Ces armes allient les nanotechnologies superthermites (composite intermoléculaire métastable qui dégage une très grande quantité de chaleur produite). Les impulsions de ces armes à hautes énergies proviennent de technologies militaires secrètes.

 

La conquête de l’espace à la sauce transhumaniste

Si Elon Reeve Musk, PDG de SpaceX et directeur architecture produit de la société Tesla éponyme, a le don d’énerver beaucoup de monde par ses déclarations fracassantes, d'aucuns le considèrent comme un génie, promoteur du transhumanisme libérateur*. Parmi ceux qu’il énerve se trouvent les astronomes. En effet, son projet d’Internet pour tous risque de mettre la "pagaille" dans l'espace par un maillage de satellites nécessaires, qu'il évalue à... 12 000 pour sa société (sur les 20 000 déployés), tout comme le développement de vols commerciaux. Le premier vol commercial de sa société SpaceX à bord d'une capsule baptisée Crew Dragon, montée sur la fusée au propulseur réutilisable Falcon 9, a eu lieu avec à son bord quatre astronautes en novembre 2020 depuis le Centre Spatial Kennedy de la NASA en Floride, pour un retour prévu au printemps 2021 (son dernier essai de décembre 2020 sur un prototype de série 8 ou SN8, lancé au-dessus de ses installations à Boca Chica au Texas, s'est traduit par un crash lors de l'atterrissage). Cette abondance d’engins conduirait les astronomes à ne plus pouvoir observer le ciel profond, gênés par cette prolifération. Qui plus est, son "rêve" tel que révélé par tweet pendant l'été 2019 est d' "atomiser" en y envoyant des bombes nucléaires afin de libérer le CO2 présent dans les glaces martiennes et rendre, à terme, une atmosphère plus respirable et une température plus stable (il peut y faire jusqu’à – 140° C), même si cela relève avant tout d'une pure provocation dans sa stratégie de communication business...

En s'appuyant  sur le droit d’acquérir toutes les ressources exploitables dans l'espace initié par le Competitiveness Act (HR 2262) signé au milieu du mois de novembre 2015 par le Président états-unien "démocrate" Barack Obama, venant bouleverser le consensus de 1967 ratifié par les grandes puissances qui faisait de l’espace une propriété universelle, faisant en cette occasion le bonheur des lobbies et des entreprises spécialisées, sa société SpaceX a ainsi mis sur orbite 60 satellites Starlink le 23 mai 2019, ceux-ci étant équipés de panneaux solaires très "réfléchissants" (clin d’œil sémantique), qui de ce fait scintillent également aux yeux "éblouis" (autre clin d’œil) des astronautes. C'est le même projet "éblouissant" dont rêve également Jeff Bezos, le patron/big boss d’Amazon, devenu en 2020 la première personne la plus riche au monde avec une fortune estimée à 115 milliards de dollars américains (il détient environ 11 % des parts d’Amazon, qui constituent à elles seules plus de 90 % de sa fortune). Tous deux se livrent ainsi pour la conquête du ciel une bataille féroce, qui n'est pas sans rappeler la bataille PC/Mac d'il y a quelques décennies, entre autres à coup de tweets incontournables dans la communication "branchée" sur le vide sidéral, celui de leur pensée lunaire...

En résumé, notre planète menacée, polluée, surpeuplée, épuisée, fait face désormais à un espace d’orbites qui ressemble déjà à une poubelle (débris et vieux satellites), ni plus ni moins que le reflet miroir d'esprits viciés et dénaturés ! Qui plus est, l'incessante évolution technologique comme celle de l'entreprise ThrustMe (basée à Paris) permet de diviser par deux le prix d’un propulseur pour nanosatellite, tout en étant plus durable et écologique que ses compères. Il s'appuie sur un moteur électrique qui, propulsant le satellite miniature non pas avec du gaz xénon, difficile à trouver, coûteux et dont le stockage s’avère complexe, mais avec de l’iode bon marché, qui peut se stocker sous forme solide dans l’appareil. Quant à la société chinoise SpaceTy, spécialisée dans les petits satellites et les services par satellite, elle fournit des satellites équipés  de radars à synthèse d’ouverture (SAR), destinés à surveiller et observer la Terre jour et nuit, qu’importe les conditions climatiques, et générateurs d'un puissant service de données (Data-as-a-Service – DaaS). 

* Cf. Conscience du XXI° siècle.

 

Du rêve d'Elon Musk

Elon Musk rêve de créer des fusées futuristes capables d'amener femmes, hommes, flore et faune sur une nouvelle planète. Jusqu'à présent, l'horizon était Mars. Le PDG de SpaceX a d'ailleurs promis d'envoyer un million de personnes sur la planète rouge, d'abord d'ici 2028 dans le cadre du projet baptisé  "Mars Base Alpha", puis désormais d'ici 2050, en l'occurrence sur Proxima Centauri b, une exoplanète "hautement habitable"*. Ils voyageront sur ce que Musk lui-même a appelé "l'arche de Noé moderne", pour sauver "la vie d'une calamité sur Terre".

Son projet de rendre la vie "multiplanétaire" s'appuie sur des fusées dites BFR, d'aucuns leur trouvant un air "Tintinesque", le même modèle qui devait servir à emmener les premiers touristes spatiaux faire le tour de la Lune en 2023 et dont le premier client, un milliardaire japonais, a déclaré avoir acheté toutes les places disponibles pour cette grande première), celui de Bezos de partir à la conquête de la Lune tout particulièrement en construisant avec Blue Origin – sa société spécialisée dans le développement de technologies permettant d’abaisser le coût d’accès à l’espace – un atterrisseur lunaire. En attendant, la société sœur de Space X qui construit des fusées, Tesla, spécialiste de la voiture électrique, utili­se le système de propul­seurs de gaz froid de SpaceX avec de l’air sous ultra-haute pres­sion, et ce dans un cais­son compo­site inté­gré à la place des deux sièges arrière. La voiture flottante plutôt que volante devait elle aussi arriver en 2022 selon le constructeur, tous ces projets n'ayant de cesse d'être retardés...

* Cf. étude de l'Institut Goddard d'études spatiales de la NASA. 

 

Les hommes sont-ils allés sur la lune ?

Nous ne pouvons actuellement voler que dans l’orbite Terrestre. C'est la NASA elle-même qui le dit, à travers des déclarations plus ou moins involontaires de hauts gradés révélant que les humains n'ont encore jamais franchi à ce jour les Ceintures de radiations mortelles dites de Van Allen, que l'agence spatiale états-unienne continue à étudier afin d'explorer dans le futur La Lune, Mars et des astéroïdes...  Ainsi Terry Virts, Commandant de l'US Air Force et Astronaute de la NASA et sa collègue Samantha Cristoforetti le 16 mars 2015 sur la chaîne Euronews, et précédemment Kelly Smith, ingénieur de la NASA en 2014 dans une vidéo promotionnelle du projet Orion.

Mais comme tout est faussé dans la Matrice involutive, circulent depuis des "fakes" destinés à leurrer les "conspirationnistes" cherchent encore de nos jours à déterminer le type de blindage électromagnétique requis pour protéger les astronautes des futures mission interplanétaires contre les particules chargées électriquement (les protons du vent solaires, principalement) et contre le rayonnement gamma venant de l’extérieur du système solaire (GRB, gamma ray burst) ? S'ils possèdent le niveau technologique pour entreprendre ces deux protections complémentaires, se posent la question du financement de ces boucliers et, surtout, celle de leur compacité en une masse acceptable, ce qu'on ne sait pas encore faire.

C'est pourquoi les questions posées par le programme Apollo interpellent, les réponses apportées n'étant pas satisfaisantes : transmission de vidéos depuis la lune vers la terre avec l'équipement de l'époque, protection des astronautes lors des sorties sur la lune (la lune n'a officiellement ni champ magnétique, ni atmosphère), décollage depuis la lune du LEM (véhicule spatial), incapacité des astronautes à accomplir des prouesses qui devraient normalement être aisées sous une gravité 6 fois plus faible que la notre, ingestion d'aliments et de liquides, absence de traces au sol ...

Qui plus est, si les ceintures de Van Allen ne créent pas les radiations, puisqu'elles les arrêtent, alors quelle protection existe contre les éruptions solaires et leurs radiations une fois franchies, l'habit spatial des astronautes apparaissant comme complètement inadapté ?

Bien d'autres incongruités font tiquer les observateurs avisés, comme l'asymétrie du module de remontée et la fixité de son moteur, interdisant de pouvoir le rediriger vers le centre de gravité, la poussée des réacteurs latéraux n'étant de son côté même pas ajustable afin d'éviter un mouvement de balancement sinusoïdal du module lunaire.

L'astronaute Charles Conrad dit Pete Conrad (1930/1999), mort dans un accident de moto peu avant le trentenaire d'Apollo 12 de blessures à priori non mortelles et que les médecins ont laissé agoniser pendant 6 heures en prétextant qu'il avait une hémorragie interne dont ils ne trouvaient pas la source, avait donné une interview peu avant dans laquelle il disait : "We have been shot down prior every setting foot on the moon, and frankly we haven't been anaywhere's near " ("Nous avons été endormis avant chaque alunissage, et franchement nous ne nous en sommes jamais approchés (de la lune)").

Quant à la Chine, qui possède actuellement un programme d'exploration lunaire avec des missions habitées appelé chang'e, ses représentants officiels indiquent que les missions habitées ne sont pas envisagées avant l'horizon 2030 tant cela soulève de difficultés techniques. S'il faut trente ans aujourd'hui pour planifier une telle mission, comment expliquer qu'avec la technologie des années 60, d'autres - "les astropôtres" - y sont parvenus en seulement trois* ans ? ...

Aussi il n'est guère surprenant que, pour beaucoup, la NASA est avant tout l'Agence non des Aéronautes mais des Acteurs et Artistes en illusions !

* Cf. Symbolisme du nombre 3 dans Symbolisme des nombres - Les neufs premiers nombres.

 

En conclusion, les énormes radiations rencontrées dans la ceinture de Van Allen, le rayonnement solaire, les rayons cosmiques, les éruptions solaires, le contrôle de la température et bien d'autres problèmes liés aux voyages spatiaux, empêchent les organismes vivants de quitter notre atmosphère avec notre niveau de technologie connu. C'est pourquoi tout lycéen intelligent, possédant un livre de physique élémentaire, peut prouver que la NASA a simulé les alunissages d'Apollo, aucun astronaute enfermé dans une combinaison spatiale, en plein soleil, absorbant un minimum de 265 degrés de chaleur, confronté aux effets du rayonnement cosmique, des éruptions solaires, des micrométéorites, et entouré par le vide n'ayant marché sur la lune !

 

 

 

Le 8 janvier 2018, ce qui sera renouvelé le 6 février 2019 et ainsi de suite (c'est devenu un "marronier" journalistique), la presse "mainstream" a une nouvelle fois fait largement écho des effets des thèses dites complotrices, visiblement bien implantées auprès d'un pourcentage croissant de la population française, dans toutes les tranches d'âge et catégories sociales, même si les "extrêmes" partisans (de droite comme de gauche) sont en premier lieu concernés. L'adhésion à ces thèses va de pair avec une montée continue de la défiance envers le contenu d'information dispensé par les médias traditionnels. Parmi les thèses avancées faisant "fureur" se trouve dans le top ten la remise en question du voyage vers et sur la lune des astronautes états-uniens.

S'il est incontestable que nombre de ces thèses sont farfelues et délibérément à caractère manipulatoire, il est surprenant que nos éminents journalistes, dont certains se glorifient de porter le titre emblématique de Libération, soient si peu interrogatifs quant à la réalité comploteuse du système. Tout modèle pyramidal, a fortiori étatique, gouvernemental, cultive le secret entre ce qui est livré aux masses et ce qui relève du secret défense. Le domaine spatial relève de ce dernier, ses agents étant sélectionnés, préparés et tenus par le secret défense*. Tout fonctionnement pyramidal est de même lié à des techniques de contrôle mental, ne serait-ce que par les rituels collectifs pratiqués - l'esprit de corps pour ne pas dire corporatisme -, la pédagogie éducative dispensée en amont - autrement nommée le moule élitaire -, lorsque ce ne sont pas les généreux subsides octroyés (ainsi les aides publiques à la presse...). Pourquoi ce mode de fonctionnement, par nature comploteur (absence de transparence et de diversité si ce n'est de façade dans la façon de penser), serait plus vertueux que les arguments contradictoires portés à la version officielle par les chercheurs d'une autre vérité que celle dispensée ?

Il y aurait bien une façon simple de réduire à néant le complotisme, une manière fort simple et très peu coûteuse pour ne pas dire gratuite. Il suffirait de dire la vérité, et de ne plus prendre les gens pour de fieffés imbéciles. Envolé alors le complotisme qui prospère bien évidemment sur… tout ce qui n’est pas dit, sur les mensonges ou les hypocrisies d’un système médiatico-politique discrédité et à bout de souffle. Mais il est "vrai" que Selon que vous serez puissant ou misérable, les jugements de cour vous rendront blanc ou noir... Aussi les principes mêmes de la philosophie, science de la sagesse par excellence, énoncés par les éminents Socrate, Platon et consorts dont nous aimons tant nous prévaloir - le doute conjugué à la raison - ne sont que la caution humaniste d'un système profondément dévoyé, destinés aux gogos ayant la faiblesse d'y croire. Et, logiquement, il convient alors de traiter ces philosophes et penseurs de complotistes et conspirationnistes, et cesser de les enseigner, ce qui finira par arriver lorsque la prise de conscience aura opérée !

* Yves Bonnet, l’ancien patron des renseignements français (DST) sous la présidence de François Mitterrand, a par exemple reconnu en janvier 2019 devant le juge chargé de l’enquête de l’attentat de la rue des Rosiers en août 1982 (six morts et 22 blessés) que ses services avaient passé un accord oral avec des membres du groupe terroriste pro-palestinien Abou Nidal suspecté d’être derrière, qui aurait selon lui empêcher d’autres attentats dans l’Hexagone jusqu’en 1985.

Cf. Le modèle pyramidal décodé, Contrôle mental, Le contrôle du robot biologique & Vérité civilisationnelle.

 

Du complot (1)

Si la notion à la mode de complotisme trouve son origine bien avant la deuxième guerre mondiale, elle a été mise en avant par le nazisme qui attaquait notamment les juifs sur la base du Protocole des Sages de Sion et les francs-maçons, accusés de fomenter un complot contre les gouvernements établis (Allemagne, Italie, Espagne, Japon) constitutifs de l'idéologie des puissances dites de l'Axe - l'homme parfait, l'Aryen -, et d’être responsables de tous les maux que subissaient les peuples. Il en découla que les handicapés mentaux, les juifs, les francs-maçons et quelques communistes furent les premiers à être "hébergés" dans les camps de concentration allemands dès 1933. L’extrême-droite a continué à se servir de cette théorie jusque dans les années 70-80, en suggérant que si ces deux "suppôts de Satan" (les juifs et les francs-maçons) n’étaient pas éliminés, ils continueraient à être la source de tous les maux de la terre.

De ce fait, ceux qui étaient traités de complotistes étaient au départ ceux qui s’opposaient à l’idéologie nazie, les partisans de l’idéologie nazie considérant qu'ils agissaient au titre d’un complot contre l’État (nazi, fasciste, franquiste, pétainiste, empire japonais,…)

A partir des années 80, ce discours ne faisant plus recette compte-tenu de la perte de terrain de ces idéologies, le terme complotisme a pris une connotation péjorative, commençant à être utilisé pour désigner des gens qui voient un complot, une collusion (qui n’existerait pas) au niveau des dirigeants des grandes entreprises et des États pour asservir les populations, relayés par les "think tanks" ou cercles de réflexion faiseurs d'opinion. L'exemple emblématique est la guerre contre l’Irak, que les néoconservateurs états-uniens dans le sillage de la famille Bush ont favorisé grâce au mensonge sur les stocks d’armes chimiques et biologiques, au moment de la première crise du coronavirus (SRAS) en 2003. Les lanceurs d'alerte d'alors, tel le dentiste américain Leonard Horowitz qui fut l’un des premiers à dénoncer les travaux sur la guerre bactériologique ou les perturbations électro-magnétiques (projet HAARP), ont été accusés d’être des complotistes, et ce pour les dévaloriser et les faire passer pour de dangereux paranoïaques. Avec le recul, la véracité de leurs alertes s'est révélée juste. Rien n'a pourtant changé depuis, les lanceurs d’alertes d'aujourd'hui continuant à être accusés par des médias nationaux et leurs représentants bien-pensants (type Patrick Cohen, Yves Calvi et consorts en France) d’être des complotistes lorsqu’ils critiquent le mode de gestion de la pandémie de la Covid 19.

 

Du complot (2)

La rhétorique préférée des représentants institutionnels et de leurs chiens de garde à leurs détracteurs est la théorie du complot, de la conspiration, qui serait menée, tout particulièrement à l'initiative d'"Illuminati"* ou "reptiliens", relevant de la quête de sensationnalisme ou d’une fantasmagorie maladive, pouvant parfois justifier l'internement psychiatrique. C’est aussi l’argument se voulant imparable, adossé à l'explication psychosociologique du "mille-feuille" argumentatif, utilisé par nombre de journalistes du "mainstream", soit les grands médias d’influence quels que soient leurs supports, tous adossés à des États (service public) et de ce fait sous contrôle, ou à de grands groupes privés de nature industrielle ou financière ayant naturellement prise avec la structuration mondiale de la vie des affaires. La sacro-sainte indépendance éditoriale fait office de paravent pour laisser à penser qu’ils sont exempts de tout parti-pris, même s’ils n’hésitent pas à récuser celles et ceux qui défendent des opinions autres que le consensus toléré.

Ainsi nombre d’affaires jamais élucidées ou gênantes sont qualifiées de théories du complot quand une investigation "libre" remet en cause la version officielle. La plus célèbre est l’assassinat du président états-unien John F. Kennedy le 22 novembre 1963 à Dallas, qui malgré toutes les invraisemblances démontrées, resterait l’œuvre d’un seul homme ayant, tel Rambo, réussi à déjouer un des appareils sécuritaires les plus élaborés de la planète. Chapeau bas "l’artiste"*² ! Quant aux dramatiques attentats du 21 septembre 2001 sur le World Trade Center de New York et le Pentagone à Washington, ils font l’objet d’une quasi chape de plomb pesant sur la remise en cause des conclusions de l’enquête officielle. Pourtant, jugées à l'aune de la pathocratie, système de gouvernement créé par des individus "pathologiques" dans le but de prendre le contrôle sur une société de gens normaux*³, des théories qui jusque là avaient été rabaissées au niveau de "théories du complot" peuvent être
examinées sous une nouvelle lumière, par des méthodes qui expliquent comment elles peuvent exister,
et par la légitimité du dubitatisme, l'expression du doute propre à tout être éveillé profondément attaché à sa liberté de penser par le recours à la sagesse de son intuition. 

Si la colère des peuples gronde et qu'elle devient de plus en plus perceptible, c'est parce que les peuples de la planète sont dépités, qu'ils commencent à comprendre qu'ils ont été trahis par leurs dirigeants en qui ils avaient remis toutes leurs certitudes, ces mêmes élites tellement focalisées sur le matérialisme darwinien qu'elles ne peuvent concevoir leur faillite morale. Le néologisme accommodant du complotisme est la réponse, le symétrique de l’illusion des puissants, qui se prennent pour des démiurges alors qu’ils sont agis par des forces matérielles et historiques qui les dépassent, qui leur font croire qu’ils commandent alors qu’ils ne font qu’endosser les nécessités qui découlent à la fois des conditions objectives du système et de leur position dans ce système conçu par les maîtres artificiers occultes. Tout est sur-déterminé, ce qui produit une impression de complexité, cette dernière donnant la possibilité aux hommes de se faire passer comme conduisant les événements dont ils ne sont que les jouets. Il n’y a en l'occurrence pas de démiurges, il n’y a que des individus qui veulent tirer profit des situations et jouer le rôle, se faire passer pour le maître, alors qu’ils ne sont que de "pauvres" médiateurs entre le réel et nous. Et celui qui se prend pour le maître est encore plus étranger à lui-même, plus aliéné que nous !

C'est bel et bien le fait que les puissants soient des usurpateurs qui produit l’interprétation complotiste : "Ils veulent se faire passer comme dirigeant le monde, eh bien, disons alors qu’ils complotent." A un mensonge répond un autre mensonge, soit la monnaie de leur… fausse monnaie !

Les "Illuminati" seraient pour les théoriciens du complot constitués depuis le XVIII° siècle des familles les plus puissantes de la planète, les premières à avoir fait fortune par la pratique de l'usure (prêt avec intérêt) autorisé dans le judaisme puis le protestantisme, à une période cruciale du développement mondial (la Révolution des Lumières et l'essor du commerce). Ils auraient depuis consolidé et développé leur influence à partir de cet avantage décisif, tout particulièrement en étant à la tête des plus grandes banques et des institutions majeures. Cf. La nouvelle religion universelle.

*² Cf. Confessions aveux de Everette Howard Hunt, Jr. (1918/2007), ex agent de la CIA et écrivain états-unien.

*³ Cf. Les psychopathes qui nous gouvernent.

 

La mise en scène avérée, théorie du complot ?

Un rapide florilège de quelques faits avérés a posteriori comme réels, qui auraient été traités de théories du complot au moment de leur manifestation par les censeurs de la conscience et de la recherche de la vérité, oubliant fort opportunément que la locution latine Si vis pacem, para bellum ("Si tu veux la paix, prépare la guerre") est bel et bien la marque de fabrique du système prédateur !

- Le 16 août 1951, une hystérie collective frappe Pont-Saint-Esprit, petit village paisible du Gard, tout commençant par une mystérieuse intoxication alimentaire collective (nausées, vomissements, frissons, bouffées de chaleur), suivie les jours suivants par des crises hallucinatoires insupportables, jusqu'à la nuit d'apocalypse du 24 août où un homme se prend pour un avion et saute du deuxième étage, un autre s'imagine avoir mangé des serpents, et un gamin de 11 ans tente d'étrangler sa mère. Le bilan est plus d'une dizaine de morts, plusieurs centaines de malades, dont une soixantaine internés dans des hôpitaux psychiatriques. Si la piste du pain infecté par les alcaloïdes de l'ergot de seigle (champignon parasite hallucinogène) est privilégiée, le rapprochement finit par s'établir avec les recherches menées en Suisse à la même époque par les laboratoires Sandoz (Novartis depuis 1996) sur le LSD. La réalité plus tard établie (1975) est que le village a été aspergé de LSD par la CIA dans le cadre de la guerre froide, cette opération comme beaucoup d'autres (Bluebird, Artichoke, MK-Ultra ...) ayant pour objectif la mise au point d'outils de manipulation mentale*.

- L’opération Ajax (officiellement TP-AJAX, "TP" signifiant Tudeh Party et "Ajax" faisant allusion au nettoyeur ménager de chez Colgate-Palmolive), opération secrète menée par le Royaume-Uni et les États-Unis en 1953, exécutée par la CIA et le MI6, pour renverser le Premier ministre d'Iran Mohammad Mossadegh qui tentait d'instaurer un régime démocratique et laïc, et le remplacer par le général Fazlollah Zahedi (plan approuvé par le Premier ministre britannique Winston Churchill et par le président des États-Unis Dwight D. Eisenhower). Cette opération s'appuya sur de nombreux collaborateurs, des membres éminents du clergé, la majorité des membres du Parlement iranien et le Chah (roi d'Iran), lesquels soutinrent l'armée iranienne.

- En 1975, une enquête du Sénat aux États-Unis a conduit la CIA (Central Intelligence Agency) à révéler qu’elle a mis au point une arme injectant un poison conduisant à des arrêts cardiaques fatals, celle-ci étant potentiellement indécelable (flèche désagrégée à l'impact). L’arme parfaite pour éliminer des adversaires politiques ! Quelques années plus tard, cinq dirigeants d’Amérique du Sud non alignés sont tombés gravement malade du cancer. Hasard ou amélioration de cette arme ?

- L'opération Mockingbird ("opération Oiseau moqueur") est une opération de la CIA destinée à influencer les médias des États-Unis et de pays étrangers commencée dans les années 1950. Ce projet qui employa jusqu'à 3 000 personnes de façon permanente a été rendu public par les investigations de la Commission Church en 1975, publiée en 1976. Selon le journaliste d'investigation Carl Bernstein, plus de 400 journalistes travaillaient en collaboration avec la CIA en 1977, nombre d'entre eux étant rémunérés pour diffuser de la propagande destinée à influencer l'opinion publique*². Combien aujourd'hui, la couverture de la crise sanitaire de la Covid-19 comme des élections présidentielles américaines en en étant particulèrement représentative ?

- Le 5 février 2003, à l'Organisation des Nations Unies, le secrétaire d’État américain, Colin Powell, lançait au monde : "Il ne peut faire aucun doute que Saddam Hussein a des armes biologiques" et "qu'il a la capacité d'en produire rapidement d'autres" en nombre suffisant pour "tuer des centaines de milliers de personnes", et ce grâce à des "laboratoires mobiles" clandestins fabriquant des agents atroces tels la "peste, la gangrène gazeuse, l’anthrax, la botuline, le bacille du charbon ou le virus de la variole". Sûr de son fait, il ajoute avoir une description de première main de ces installations de la mort, en l’occurrence un ingénieur chimiste irakien qui a supervisé l'un de ces laboratoires, du nom de code Curveball (de son vrai nom Rafid al-Janabi), via les services de renseignements allemands (le BND). La bonne blague... Qui a manipulé qui, la thèse officielle pointe du doigt l’incurie de la BND quant à la vérification des dires de la source. Mais la prise du pouvoir à Washington par les néo-conservateurs suite aux attentats du 11 septembre va permettre à la CIA et à son patron George Tenet (qui démissionnera en juillet 2004) de fournir à la Maison-Blanche les éléments constitutifs de la guerre, qui aura entre autres pour conséquence la mort de 100.000 civils en dix ans…

* Cf. "Le pain de la mort : retour sur la France des années oubliées, 1945-1958" par Steven Laurence Kaplan, 2008 ; "Le mal des ardents" par Francis Zamponi, 2010 ; "A Terrible Mistake : The Murder of Frank Olson and the CIA's Secret Cold War Experiments" par Hans Albarelli, 2009.

Cf. Udo Ulfkotte, journaliste, essayiste et romancier allemand (1960/2017), qui reconnut qu'il travaillait à la fois pour le Frankfurter Allgemeine Zeitung et pour la CIA, et mort d'une crise cardiaque... Il a publié notamment en 2006 "Der Krieg im Dunkeln. Die wahre Macht der Geheimdienste" (La guerre de l'ombre, la vraie puissance des services secrets) et en 2014 "Journalists for Hire : How the CIA Buys the News" (Journalistes achetés : Comment la CIA achète l'information), aucun des deux n'ayant été traduits en français, le complot devant s'arrêter à la frontière comme le nuage nucléaire...

Cf. en complément livres de Michael Craig Ruppert (1951/2014), ancien policier de la brigade des stupéfiants de la police de Los Angeles, traitant de sujets tels que la CIA, le pic pétrolier, les libertés publiques, les drogues, la corruption, des allégations d'implication de la CIA dans le trafic de drogue et des théories du complot à propos des attentats du 11 septembre 2001 dans ses trois livres "Crossing the Rubicon : The Decline of the American Empire at the End of the Age of Oil" (Franchir le Rubicon. Le déclin de l'Empire américain à la fin de l'âge du pétrole), "A Presidential Energy Policy" et "Confronting Collapse : The Crisis of Energy and Money in a Post Peak Oil World".  Le 13 avril 2014, il fut retrouvé mort dans la propriété rurale d'un ami à Calistoga (Californie), s'étant apparemment suicidé...

 

Du budget noir

Le mot "noir" est employé pour qualifier toute activité secrète ou clandestine des gouvernements, comme des opérations militaires et de renseignement financées à même ces budgets non soumis au contrôle du Parlement en France ou du Congrès des États-Unis par exemple. La répartition de ces budgets n'est bien sûr pas divulguée. Le lanceur d'alerte états-unien Edward Snowden a révélé que le budget noir (black budget) des États-Unis en 2012 s'élèvait à 55 milliards, ayant plus que doublé depuis le 11 septembre 2011. La CIA a dépensé à elle seule plus d'un quart du budget (10,5 milliards). C'est plus de 107 000 personnes rémunérées qui travaillent pour l'une des 16 agences à l'activité plus ou moins secrète, dont 35 000 cryptographes pour la seule NSA (National Security Agency) qui relève du département de la Défense. Celle-ci compte dans ses rangs une équipé de 600 hackers d'élite baptisée Tailrod acess operations ("opérations d'accès sur mesure") qui pratiquent le cyber-espionnage, notamment contre des puissances étrangères. Un des documents confirme également les liens entre services de renseignements et acteurs du web et des télécommunications. La NSA paieraient ainsi certaines entreprises pour obtenir des données, les quantités de données collectées étant tellement importantes que l'agence a du mal à faire le tri. Si les documents publiés par le Washington Post recèlent bien d'autres secrets embarrassants pour l'administration américaine, le journal a déclaré n'exploiter que 43 des 178 pages pour ne pas compromettre la situation d'agents en service ou nuire à la sécurité nationale...

De son côté, l'auteur états-unien Richard Dolan a conçu le terme de Breakaway civilisation ("civilisation en rupture") en révélant que la NSA fonctionnait avec des ordinateurs au milieu des années 1960 qui avaient alors une vitesse de processeur d'environ 650 mégahertz (MHz). Pour mettre cela en perspective, il a fallu 35 ans aux ordinateurs personnels dans le marché de la consommation pour atteindre cette vitesse. Un scientifique de la NSA a déclaré d'ailleurs que les capacités de calcul secrètes étaient trop importantes pour les partager avec la NASA. Il en résulte que l'Agence nationale de sécurité avait dans le domaine informatique un incroyable 35 années d'avance sur le reste du monde ! Cela conduit à se demander ce que sont ses pouvoirs de calculs aujourd'hui.

 

Du vulgum pecus comploteur

En 1967, la CIA a créé le label "théories du complot"* pour attaquer de manière arbitraire toute personne contestant pourtant de manière légitime le récit "officiel", compte-tenu du scepticisme récurrent et grandissant quant à celui livré pour expliquer l’assassinat du président Kennedy. Les plus récentes révélations médiatiques quant aux mensonges d’État proférés et pourtant jusqu'alors niés - guerre en Irak en 2003, création d'Al Qaïda par la CIA dans les années 80 pour combattre les soviétiques en Afghanistan, entraînement et formation de terroristes de l’État islamique par la CIA au Proche-Orient (Jordanie)... - s'appuient sur des faits vérifiables*², même si beaucoup d'individus - les robots biologiques - préfèrent fermer les yeux, tout comme nombre de fidèles religieux quant à la révélation des pratiques dévoyées de leur église. Dans ce monde dominé par les forces entropiques, la soi-disant vérité est à regarder à l'envers, ce qui remet en perspective nombre de fondements civilisationnels comme la démocratie, le capitalisme de libre marché, la Magna Carta (Grande charte de 1215), la Constitution et la Déclaration d’indépendance... Il n'y a pourtant aucun doute quant à la couverture dans le plus grand secret des grandes banques systémiques qui risquent ou font faillite lors des grandes turbulences des marchés financiers auxquelles elles contribuent par leurs pratiques (manipulation des cours par exemple), ce qui relève de comportements criminels. De même, il est avéré que les gouvernements dissimulent des accidents nucléaires depuis cinquante ans pour protéger l’industrie nucléaire, tout comme pour couvrir la gravité de nombreux autres accidents environnementaux. Quant à la science, elle est contrôlée par l’argent, les scientifiques étant obligés de travailler sur des projets qui sont financés, qu'ils soient secrets ou moins secrets. S'il est clairement établi que les sciences ont indubitablement été utilisées de manière très préjudiciable dans notre monde, de telles idées portées à l’attention du public sont généralement rejetées comme "théories de conspiration" indignes d’attention.

Mais ce qui est accepté pour les uns est récusé pour les autres, le tout avec la complicité complaisante des faiseurs d'opinion médiatique qui n'hésitent pas par leur anathème complotiste à ridiculiser et à exclure de leurs plateaux les conspirationnistes jugés à risque. Comme les aveux des turpitudes commises n’apparaissent que de longues années après les événements, et qu'entretemps l'oubli du citoyen a fait son œuvre dans l'opinion citoyenne, ces "bonnes âmes" viciées peuvent continuer à pourfendre les complotistes dérangeants pour les acteurs du système dévoyé et acoquiné. Ridiculiser toutes les théories du complot revient bel et bien à tenter de faire taire les critiques du pouvoir établi par l'Ordre délétère prévalant et ses sociopathes officiants. Pourtant, jugées à l'aune de la pathocratie, système de gouvernement créé par des individus "pathologiques" dans le but de prendre le contrôle sur une société de gens normaux*³, des théories qui jusque là avaient été rabaissées au niveau de "théories du complot" peuvent être examinées sous une nouvelle lumière, par des méthodes qui expliquent comment elles peuvent exister.

Pour l’historien et analyste américain de la théorie du complot Richard Michael Dolan, son opinion est que "d’un point de vue historique, la seule réalité est celle de la conspiration". Le secret, la richesse et l’indépendance étant les ingrédients du pouvoir, la duperie est l’élément clé de la guerre, autrement dit l’instrument des élites au pouvoir. En effet, puisque la victoire est tout ce qui importe, la morale conventionnelle des gens ordinaires devient un obstacle. C'est pourquoi ceux qui se trouvent au sommet de la pile font toujours tout ce qu’ils peuvent pour conserver le statu quo.

En fait, tous, à quelque niveau que ce soit, ne font qu'accomplir "God’s work", l’œuvre soi-disant divine, pour reprendre la formulation de Lloyd Blankfein, le patron de Goldman Sachs… étant entendu que "Dieu" n’a pas besoin d’être compris comme religieux, mais comme système inconscient, non-su, sous-jacent à nos sociétés et qui les structure. Et comme rien de tout cela n’est choisi, tout s’impose en vertu de la logique de survie et de reproduction du système, de ce qu’on appelle maintenant ses boucles d’auto-régulation.

* Son mémo explicatif a été produit en réponse à une demande de Freedom of Information Act par le New York Times en 1976. Il livre les méthodes et conseils appropriés, comme prétendre qu’il serait impossible à autant de gens de garder le silence sur une aussi grande conspiration,

rediriger le public vers les rapports officiels, prétendre que le témoignage oculaire n’est pas fiable, revendiquer que ce sont de vieilles nouvelles et qu’aucune nouvelle preuve significative n’a émergé, ignorer les déclarations de conspiration à moins qu’elles ne soient déjà trop actives, déclarer qu’il est irresponsable de spéculer, accuser les théoriciens d’être mariés avec leurs théories et d’en être épris, accuser les théoriciens d’être politiquement motivés, accuser les théoriciens d’avoir des intérêts financiers dans la promotion de théories du complot. Voir en complément le livre Conspiracy Theory in America de Lance DeHaven-Smith.

Si nombre de conspirations dénoncées sont incontestablement des affabulations, certaines sont bien réelles, chacune devant être jugée sur ses propres faits.

*³ Cf. Les psychopathes qui nous gouvernent.

 

Contre-culture, ou la guerre de l'information

Une des parades privilégiées du système institutionnel aux commandes est de pointer du doigt avec véhémence au nom du complotisme pathologique ce qui va à l'encontre de ses intérêts, et ce avec l'appui des organismes médiatiques relais, traditionnels ou numériques avec ses trolls "débunkers" soi-disant démystificateurs tel le youtubeur "Defakator", l’homme qui défèque sur les fake et qui à cause de la "complosphère" est obligé de cacher son visage derrière un masque, et qu'il contrôle, directement ou indirectement.

Ainsi par exemple le phénomène des "cercles de récolte" (crop circles en anglais, mot inventé par l'ingénieur britannique Colin Andrews à la fin des années 1970), peut-être lié aux OVNIs, a fait l'objet d'une remarquable campagne de désinformation en 1991. Tandis que le phénomène prenait de l'ampleur, les médias britanniques et internationaux délivrèrent subitement, et de concert, l'information selon laquelle deux retraité britanniques, Doug Bower et Dave Chorley, étaient les auteurs des figures depuis 1976. La nouvelle fut dabord lancée par le journal "Today", le 9 septembre 1991, puis fit le tour du monde des rédactions. Elle se révéla vite mensongère, mais ne fut jamais corrigée par les médias qui l'avaient véhiculée (seuls 10% des cercles dans le monde sont l’œuvre des hommes).

C'est aussi le cas de la dénonciation du mouvement QAnon, une mouvance présentée comme regroupant les promoteurs d'une théorie du complot d'extrême droite selon laquelle le président des États-Unis Donald Trump livrerait une guerre secrète contre des élites implantées dans le gouvernement (l'État profond ou Deep State), les milieux financiers et les médias, afin de mettre fin à des crimes pédophiles et sataniques. Elle a commencé le 28 octobre 2017 avec le premier message publié par Q sur le forum anonyme 4chan3. Cette communauté, constituée selon les pourfendeurs accusateurs de partisans de Donald Trump, aurait ainsi répandu des fabulations contre des vedettes de Hollywood et des personnalités du Parti démocrate soupçonnées de participer à un réseau pédophile et satanique afin d'extraire de leur sang l’adrénochrome. En mai 2019, une note interne du FBI a même appelé à surveiller la mouvance comme source potentielle de terrorisme intérieur. Autrement dit, c'est l'hôpital qui se moque de la charité, cette organisation étant bien sûr exemplaire dans son mode de fonctionnement depuis sa création*² ! Seul l'appel à son intuition profonde, corroboré à une sérieuse et indépendante recherche d'informations, permet de savoir où se situe la "vérité".

* Cf. Les psychopathes qui nous gouvernent.

Cf. Contrôle mental. Le mot "hôpital" désigne un établissement médical depuis le XVIIe siècle, géré à l'époque par un donneur d'ordres qui se nommait "charité". L'hôpital, n'ayant rien à envier à la charité, n'a donc aucune raison valable de s'en moquer, celle-ci ayant le même défaut que lui.

 

La difficile quête de vérité

En ces temps marqués par l'écroulement d'un système profondément vicié à bout de souffle, qui s'accroche par tous moyens à son emprise sur les esprits, les représentants de l'establishment institutionnel brandissent désormais à tout bout de champ par leurs relais médiatiques inféodés des diatribes exaltées à l'encontre de celles et ceux à leurs yeux infectés par les théories qualifiées de complotistes ou conspirationnistes. Ils utilisent à cet effet les explications psychologisantes censées dénoncer ces esprits faibles sinon malades qui y souscrivent, même si incontestablement elles peuvent se révéler justes et pertinentes pour nombre d'individus. Tel l'illustre l'article intitulé "Un château de cartes qui s'écroule : ils sont sortis de l'engrenage complotiste" paru en décembre 2020 dans la version française du magazine en ligne américain Slate, lancée en 2009 par les journalistes Jean-Marie Colombani, Éric Leser et Johan Hufnagel, assistés de l'économiste Jacques Attali, célèbre conseiller des puissants dans leur gouvernance mondiale et libérale.

L'article met en scène des témoignages de conspirationnistes présentés comme repentis des théories fumeuses qui les avaient jadis séduits, jusqu'au jour où ils ont eu le déclic de la "saine" pensée libératrice de leur système cognitif jusqu'alors dysfonctionnant. En première ligne bien sûr l'univers soi-disant sulfureux de QAnon, mouvance présentée comme une nébuleuse conspiratrice pro-Trump selon laquelle le monde serait secrètement contrôlé par un groupe de satanistes pédophiles. L'article omet simplement de préciser que celle-ci relève d'une opération de contre-information pilotée par la CIA états-unienne... Mais bien sûr, dire ceci relève d'une théorie à caractère comploteur, soit le serpent qui se mord indéfiniment la queue ! D'autre part, l'article indique que "plusieurs travaux de recherche", sans en citer explicitement les sources comme les auteurs, ont montré que les gens se tournent vers le conspirationnisme lorsqu'ils se sentent anxieux ou désemparés, ayant besoin de retrouver une sensation de contrôle sur leur vie, ce qu'abondent des experts de la psyché et des croyances collectives, pour lesquels le besoin de sens et la détestation du hasard "nous" amèneraient à trouver les explications complotistes séduisantes parce qu'elles donnent réponse à tout.

Autre explication, le choc causé par le 11-Septembre 2001, qui sera relayé d'un point de vue franco-français par les attentats de Charlie Hebdo et du Bataclan, pour expliquer la montée en puissance de nombreuses thèses complotistes auprès du grand public, avec comme point d'orgue bien sûr la crise sanitaire de la Covid-19, et bientôt Covid-21 puisqu'en corrélation avec l'Agenda 21 de l'Organisation des Nations Unies, ce plan d'action pour le XXI° siècle adopté par 182 chefs d'État lors du sommet de la Terre à Rio de Janeiro en juin 1992. Tout ce saumâtre composé n'aurait fait qu'exacerber la défiance de la population envers les autorités et leur discours officiel.

Incertitude et tentation de trouver des réponses simples à des questions complexes sont ainsi les explications mises en avant de la popularité des  théories du complot, balayant large les délires qui y sont associés : 5G, documentaire "Hold Up", chemtrails, contrôle de la météo, HAARP, le fait que l'on n'ait jamais marché sur la Lune, Rothschild, Coluche, Balavoine, John Lennon, Kennedy, Hillary et Bill Clinton, le "Pizzagate", "Blue Avians" et les aliens malveillants…. Tout ce qui ne va pas dans le sens des explications officielles est mis dans le même sac, celui d'esprits faibles, anxieux, obsessionnels voire bipolaires et mus par un sentiment d'exclusivité comme de supériorité à même de booster l'estime de soi et de combler leur isolement, tout particulièrement au moment de l'adolescence, jusqu'à la prise de conscience salvatrice, guérison d'une psyché jusqu'alors "dénaturée" par le refus de la réalité imposée*. Bref, il s'agirait d'un véritable lavage de cerveau, que nos sociétés modèles de transparence car démocratiques ne pratiquent bien entendu en aucune façon, gouvernées par des individus vertueux ayant éradiqué le mensonge comme l'intérêt particulier de leurs gènes.

En résumé, cet article constitue un vrai beau "foutage de gueule" dans ce retour présumé au réel, celui d'une conscience humaine contemporaine à même de célébrer par ses doctes représentants l'esprit des lumières conféré par de glorieux ancêtres révolutionnaires, et qui bien entendu ont fait couler le sang pour le bien commun... Si la colère gronde et qu'elle devient de plus en plus perceptible, c'est parce que les peuples de la planète sont dépités, qu'ils commencent à comprendre qu'ils ont été trahis par leurs dirigeants en qui ils avaient remis toutes leurs certitudes, ces mêmes élites tellement focalisées sur le matérialisme darwinien qu'elles ne peuvent concevoir leur faillite morale. Le complotisme est la réponse, le symétrique de l’illusion des puissants qui se prennent pour des démiurges alors qu’ils sont agis par des forces matérielles et historiques qui les dépassent, qui leur font croire qu’ils commandent alors qu’ils ne font qu’endosser les nécessités qui découlent à la fois des conditions objectives du système et de leur position dans ce système conçu par les maîtres artificiers occultes. Tout est sur-déterminé, ce qui produit une impression de complexité, cette dernière donnant la possibilité aux hommes de se faire passer comme conduisant les événements dont ils ne sont que les jouets. Il n’y a en l'occurrence pas de démiurges, il n’y a que des individus qui veulent tirer profit des situations et jouer le rôle, se faire passer pour le maître, alors qu’ils ne sont que de "pauvres" médiateurs entre le réel et nous. Et celui qui se prend pour le maître est encore plus étranger à lui-même, plus aliéné que nous !

C'est bel et bien le fait que les puissants soient des usurpateurs qui produit l’interprétation nommée complotrice : "Ils veulent se faire passer comme dirigeant le monde, eh bien, disons alors qu’ils complotent." A un mensonge répond un autre mensonge, soit la monnaie de leur… fausse monnaie !

* La thérapie anticomplotrice désormais largement relayée dans les médias par les experts attitrés (psychologues, psychiatres, philosophes, sociologues) est de considérer que cette "grave maladie", qui touche le système nerveux et altère la lucidité et la réflexion, comporte des similitudes avec la Paranoïa. Elle se caractérise par une tendance marquée à perdre ses repères et à inverser les valeurs, jusqu’à confondre le Bien et le Mal, conduisant à voir quasiment systématiquement des intentions délétères derrière les actions du Gouvernement, uniquement dictées par le bon sens et la volonté d’assurer la protection et le bien-être de ses concitoyens. Le soin prodigué est de faire preuve de beaucoup de bienveillance et de douceur, et de trouver si possible un terrain d’entente sans entrer dans son délire, en acceptant son discours en lui demandant de fournir des preuves. Dans le cas où le "Complotiste", en bonne langue française comploteur (le complotiste est celle ou celui qui en étudie les symptomes) apporterait effectivement des preuves, il faut immédiatement les rejeter, éviter même de les regarder, sous peine de risquer d’être à son tour contaminé, sans toutefois oublier consciencieusement de lui rappeler les sains "comportements barrières" : regardez intensément les informations télévisées et se documenter utilement en lisant les organes de presse accrédités par l’Etat. Quant au test de dépistage "anti-complotisme" et selon le résultat, il reste la solution de l'internement, garantie de traitements efficaces et durables...

 

La leçon du Dr "They"* quant à la vérité...

Il y a tellement de désinformation concernant les OVNIS et les conspirations gouvernementales que le public ne sait plus distinguer le vrai du faux... Ce que les gens perçoivent comme la vérité est déformé et tourné jusqu'à ce que plus personne ne le sache ou ne s'en soucie. C'est l'histoire en boucle de notre fausse réalité, qui s'avance de plus en plus au-delà de l'irréel...

* Extrait de la série X-Files : Aux frontières du réel, série télévisée américaine de science-fiction en 218 épisodes diffusée entre 1993 et 2018 sur le réseau Fox.

 


L'Etat assassin, tabou "complotiste" ?

Si notre démocratie s’accorde en secret le droit de recourir à l’assassinat ciblé contre des ennemis étrangers, une pratique reconnue par l’ancien président de la République française François Hollande, le livre Les Tueurs de la République (Fayard) de Vincent Nouzille, nourri d'extraits du fonds d’archives personnelles de Jacques Foccart, homme de confiance du général de Gaulle (chargé de suivre les services secrets et les affaires africaines), révèle les projets d’élimination de Français mais aussi d’Européens et de dignitaires étrangers, longtemps récusés par les autorités politiques*. Ainsi 140 assassinats ont été réalisés pour la seule année 1960, nommés objectifs Homo. Ils portaient à l'époque sur trois catégories d'individus : les Français pro-FLN, des "trafiquants" comme des vendeurs d’armes, des "politiques". Combien depuis ?

* Le gouvernement français a reconnu officiellement en mars 2021, plus de cinquante après, que l'avocat et dirigeant nationaliste Ali Boumendjel avait été "torturé et assassiné" par l'armée française pendant la guerre d'Algérie en 1957 (l'assassinat avait été maquillé en suicide), geste qui "n'est pas un acte isolé" dixit le communiqué du chef de l'Etat français.  

 

Vaccins anti-Covid : les soi-disant "fake news" devenues vraies !

L’injustice et la propagande ont accompagné la crise sanitaire démarrée début 2000, se transformant sous l'égide de décisions absurdes des autorités institutionnelles et de leurs relais médiatiques inféodés en une crise politique, sociale, et morale. Elle aura vu trois accélérations sans précédent :

- celle de la recherche pharmaceutique pour mettre au point un vaccin en brûlant toutes les étapes de l’expérimentation scientifique, ainsi qu’une bonne partie de ses valeurs de prudence, de doute et de rigueur;

- celle de la vaccination de masse au mépris des principes essentiels de la médecine : le principe de précaution pour avoir un minimum de recul sur les effets secondaires afin de respecter le sens médical premier nommé primum non nocere ("avant tout, ne pas nuire");

- celle de politiques de vaccination/injection imposée devenues une obligation cachée, bafouant les libertés fondamentales non seulement du patient – le droit au consentement éclairé, le secret médical – mais plus largement du citoyen : liberté de circulation entravée, discrimination pour des raisons médicales, restriction de l’accès aux services publics, etc.

Depuis, progressivement, les citoyens se réveillent de cette gigantesque hypnose destinée à distiller la peur permanente pour justifier l'acceptation de l’inacceptable, et ce au gré de l'effondrement des soi-disant fake news des prétendus complotistes et antivax, permettant au bon sens et au droit de reprendre leur place :

. les troubles menstruels (règles abondantes, retards de règles, absence de règles ou… retour de menstruations chez des femmes ménopausées !) sont désormais reconnus par l’ANSM comme des effets secondaires des injections Pfizer et Moderna, tout comme les aménorrhées, myocardites et péricardites;

. les émissaires de Pfizer ont reconnu devant la commission européenne que la transmissibilité du virus ne faisait pas partie des paramètres testés du vaccin, validant le fait que les injections n’empêchaient nullement les "vaccinés" de transmettre le virus pas plus que de de l’attraper;

. la commission européenne a, dès début 2021, fait peser le secret sur le détail du contrat passé avec Pfizer, sa présidente Ursula von der Leyen persistant à refuser de dévoiler les sms qu’elle a échangés avec le PDG de Pfizer au moment de la négociation du plus gros contrat d’achat jamais passé par l’UE;

. la répétition des doses de rappel (deux doses par an);

. l'inefficacité des vaccins anti-Covid face aux nouveaux variants, qui n’empêchent nullement la propagation de nouveaux variants, la vaccination de masse encourageant de toute vraisemblance leur émergence et favorisant leur expansion.

. un pass sanitaire devenu pass vaccinal comme annoncé par les "complotistes", tout comme un plus difficile accès aux soins médicaux pour les non vaccinés et la suspension du droit de travail pour certaines professions (soignants et pompiers) pour refus de l’injection.

Côté comploteurs, le déni de réalité est quant à lui prégnant : multiplication d'effets secondaires parfois invalidants (fausses couches, infertilité, réveil ou survenue de maladies auto-immunes, règles abondantes, retards de règles, absence de règles ou… retour de menstruations chez des femmes ménopausées ...) pour des dizaines de milliers de patients en France…

 

Et quand le vernis des mensonges des véritables comploteurs et conspirateurs contre leurs propres peuples commence à trop craqueler, il reste les lois et autres décrets d'urgence liberticides pour punir et réprimer férocement les récalcitrants. Il n'est qu'à se souvenir en 1918 du Sabotage and Sedition Act permettant au gouvernement US de punir quiconque exprimait une opinion jugée "déloyale, grossière, calomnieuse ou injurieuse", sur la base duquel la Poste américaine cessa de distribuer les publications anti-guerre, ou du Patriot Act approuvé au plus fort de la fièvre guerrière de 2001 suite aux attentats sur le sol américain du 11 septembre, qui donnait au gouvernement de vastes nouveaux pouvoirs permettant d’espionner les individus, de saisir des biens et de violer la vie privée.

 

"Le pouvoir tend à corrompre, et le pouvoir absolu tend à corrompre absolument."

John Emerich Edward Dalberg-Acton, dit Lord (baron) Acton (1834/1902), historien et homme politique britannique

 

 

 

La vraie thérapie, c'est à tout moment, en toutes conditions, et certainement pas guidée par quelqu'un que nous payons, mais par sa propre guidance supérieure qui place les expériences dont nous avons précisément besoin sur notre chemin.

 

 

 

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