Les "clés libératrices" en ligne font l'objet de constantes mises à jour et nouveaux enrichissements. Leur formulation n'engage que leur auteur, qui puise tant dans ses recherches et sources d'information que dans son imaginaire leurs révélation et libre mise à disposition suivant la forme et la rédaction retenues.

Il n'y a de ce fait rien à prendre pour argent comptant, seulement à laisser faire en soi le processus d'ouverture de conscience par le discernement, soit le juste équilibre entre cœur et raison. Celui-ci conduira à les invalider, à les valider, à les compléter par d'autres ajouts et compléments. Il est ainsi conseillé de se référer à des relais ou officines de la doxa scientifique officielle tel Psiram.com, le Wikipédia des croyances irrationnelles, dont l'objectif est de discréditer tout ce qui ne correspond pas à sa ligne de pensée académique, et de prendre le contre-pied sur des sites comme la chaîne web Odysee.com ou la plateforme de vidéo en ligne canadienne basée à Toronto Rumble, ou encore le site d'hébergement de vidéos "alternatif" Crowdbunker.

Sans prendre parti pour une croyance contre l'autre, il s'agit de prendre de la hauteur et de se forger sa propre opinion, par son propre travail de recherche, libre et indépendant. C'est ainsi que procède le chercheur de vérité.

 

 

Le sens caché du jeu d'échecs

 

Le jeu fait partie de la dynamique du vivant. C'est pourquoi il occupe une place prépondérante dans de nombreuses civilisations. Il permet l'expression du "Je", le moi égotique, d'une manière ludique, divertissante, en exposant ses qualités de réflexion, d'intuition, de prise de risque, et en en partageant la leçon avec un ou d'autres joueurs. Il participe à ce titre de la convivialité, de l'indispensable interrelation harmonieuse, même si parfois il se prête à des tensions, d'autant plus s'il est lié à une espérance d'argent, révélant alors où se situe le joueur dans son processus d'individuation. A la différence du Jeu de la Vie* où les règles ne sont pas données au démarrage, si ce n'est de manière partielle, édulcorée et manipulée*², il nécessite un préalable, la connaissance du mode d'emploi, de la notice explicative.

* Cf. Le Jeu de la Vie.

Cf. Prédation manipulatoire.

 

Parmi tous les jeux, le jeu d’échecs est sans conteste le plus emblématique. Il possède à l'instar de certaines de ses pièces un attribut royal. Qui plus est, son nom même donne le sens de ce (bas) monde à l'être humain : l'échec ! Et c'est pourquoi il recèle en lui les clés explicatives du fonctionnement de la Matrice asservissante, rien n'étant laissé au hasard par les gardiens de la Matrice entropique...

 

L'ADN même de la Matrice

Le jeu d’échecs est l'un des jeux de réflexion les plus populaires au monde. Il a été introduit dans le Sud de l'Europe à partir du X° siècle par les Arabes, sans que l'on sache où il fut inventé exactement. Il dérive du shatranj (ou chatrang), version perse du chaturanga de l'Inde classique. Les règles actuelles se fixent à partir de la fin du XV° siècle. Pratiqué par des millions de gens sous de multiples formes - en famille, entre amis, dans des lieux publics, en club, en tournoi, par correspondance, contre des machines spécialisées, entre ordinateurs, entre programmes, sur Internet, aux niveaux amateur et professionnel - il jouit d'un prestige et d'une aura particulière qui, du "jeu des rois", l’a fait devenir peu à peu "le roi des jeux" ou encore "le noble jeu", en référence à sa dimension tactique et à sa notoriété mondiale. Il a très largement inspiré la culture, en particulier la peinture, la littérature et le cinéma. En Chine, le xiangqi ou jeu d’échecs chinois est ainsi extrêmement populaire depuis des centaines d’années, y compris dans toute l’Asie.

La compétition est son ADN, basée sur une théorie du jeu, développée depuis son invention et de façon intensive par les joueurs de premier plan de l'époque moderne. Elle est l'expression même du mental, de l'intellect. La théorie des jeux dans le domaine mathématique décrit d'ailleurs les échecs comme un jeu de stratégie combinatoire abstrait de réflexion pure, fini, sans cycle et à information complète et parfaite.

Il va sans dire qu'un des objectifs des premiers informaticiens a été de mettre au point des machines capables de jouer aux échecs. De nos jours, le jeu est profondément influencé par les capacités des programmes joueurs d'échecs, ainsi que par la possibilité de jouer sur Internet. En 1997, Deep Blue devient le premier ordinateur à battre un champion du monde en titre dans un match qui l'oppose au champion russe Garry Kasparov*.

La technologie n'a eu de cesse depuis d'évoluer, Yan Chenglong, qui en décembre 2023 a battu des dizaines de concurrents  pour remporter le titre de "roi du xiangqi" lors d’un tournoi national organisé par l’association chinoise du xiangqi, s'étant vu retirer son titre à la suite de rumeurs de tricherie, ayant été pris en flagrant délit pour avoir serré et desserré ses muscles de manière rythmée afin de communiquer des informations sur l’échiquier via un code à un ordinateur, qui lui renvoyait ensuite des instructions sur les mouvements à effectuer sous forme de vibrations...

* Il en sera de même en 2016 lorsque le joueur de go coréen Lee Sedol s’est fait battre par Alpha Go, l’Intelligence Artificielle de Google, conduisant la Chine à investir massivement dans cette technologie pour "laver l’affront".

 

Du jeu d'échec et du jeu de go

La comparaison de ces deux jeux de stratégies emblématiques permet de tirer certaines leçons sur la conduite en situation de confrontation (négociation, conflits, compétition), et d'interpréter la situation politique.

Dans le cas du jeu d'échecs, jeu originaire d'Inde arrivé en Occident au moyen-âge, deux armées sont au début de la partie en ordre de bataille, disposées l'une en face de l'autre sur un espace (l'échiquier) relativement restreint. Les pions (l'infanterie) avancent toujours vers le camp adverse, car il s'agit de "tuer". Ce jeu est devenu le modèle d'un type d'affrontement classique. La bataille échiquéenne renvoie dans l'imaginaire à la bataille napoléonienne (quoique Bonaparte ait été un piètre joueur d'échecs...), Austerlitz, illustration de la capacité de concevoir dans une configuration donnée un plan stratégique audacieux inattendu pour l'adversaire. Il voit l'utilisation maximale des forces disponibles, pourtant inférieures numériquement, par l'exploitation de la surprise et l'anticipation des réactions adverses (timing). La dynamique l'emporte sur l'arithmétique. Les pièces ayant chacune des compétences différentes, elles doivent coordonner leur action pour atteindre une harmonie dans l'action (synergie). A cette condition elles peuvent pénétrer le camp adverse et prendre un avantage. A ce jeu, il s'agit de tuer : "échec et mat", shah mat en persan ("le roi est mort").

Au jeu de go, l'espace de jeu initial est vaste et vide. Le go ban est un plateau qu'il s'agit d'investir avec des pions (pierres) qui, posées les unes après les autres, composent une position. C'est un jeu territorial. Il s'agit de prendre de l'influence sur des territoires, de construire une position supérieure, en visant le long terme. Posant une pierre, chaque joueur doit à la fois tenir compte de l'adversaire, qui cherche à l'envelopper, donc le gêner, le contraindre, et lui-même préserver ses options pour les coups suivants. Le go est moins un jeu d'encerclement qu'un jeu où il s'agit pour chaque joueur de conquérir et préserver le maximum d'espace de liberté. "Quand un adversaire vous enveloppe, ne faites pas front... Jouez ailleurs" disait le guide suprême contemporain chinois Mao Zedong. Le jeu de go favorise ces "échappées stratégiques", ces mouvements subtils, les prises de positions énigmatiques qui ne révèlent leur puissance qu'à long terme. On pose l'air de rien une pierre derrière les lignes adverses... et quelques coups plus tard, ce point d'appui en territoire ennemi devient décisif. La philosophie du Go est ainsi basée sur l'évitement des affrontements,  traduisant directement l'enseignement de Sun Wu (Sun Tze, Sunzi), le "Sage de la guerre" qui affirmait : "Le comble du savoir-faire ne consiste pas à remporter toutes les batailles, mais à soumettre l'armée ennemie sans livrer bataille". Sunzi propose une stratégie dont l'étude "permet d'analyser la guerre pour défendre la paix et pour opposer une guerre juste à une guerre d'agression".

Si aux échecs, jeu plus direct, il importe de tenir le centre de l'échiquier, ce qui est le propre d'un jeu dynamique (une pièce centralisée aura la capacité à se rendre plus vite qu'une autre sur une aile ou l'autre de l'échiquier), c'est que l'influence est centrifuge*. Alors qu'au jeu de go, il importe de "viser large et de jouer serré". Au fur et à mesure, des connections apparaissent entre les pierres, un réseau d'influence. Chaque nouvelle pierre posée prend sens dans le dessein stratégique, le plan général. Qui tient les bords domine, car il peut aisément lancer des mouvements d'encerclement.. L'influence est centripète.

* Les jeux d'échecs et de dames se déroulant à l'intérieur des cases, dans lesquelles s'affrontent des combattants, il faut apprendre à ne pas se focaliser sur les mouvements d’une seule pièce, et prendre de la hauteur pour englober une vue générale. Un peu comme au jeu de dames, où il faut dégager des espaces entre les pions pour permettre des sauts les uns par-dessus les autres. Ne pas laisser l’arbre cacher la forêt.

 

"Si les échecs sont le jeu des rois, le go est le jeu des dieux."

 

Petit roque
Petit roque

Le jeu d'échecs oppose deux joueurs de part et d’autre d’un plateau ou tablier appelé échiquier, composé de soixante-quatre cases claires et sombres nommées les cases blanches et les cases noires. Les joueurs jouent à tour de rôle en déplaçant l'une de leurs seize pièces - ou deux pièces en cas de "roque"* -. Elles sont claires pour le camp des blancs, sombres pour le camp des noirs. Chaque joueur possède au départ un roi, une dame, deux tours, deux fous, deux cavaliers et huit pions. Le but du jeu est d'infliger à son adversaire un échec et mat, une situation dans laquelle le roi d'un joueur est en prise sans qu'il soit possible d'y remédier.

* Le roque est un déplacement spécial du roi et d'une des tours au jeu d'échecs. Le roque permet, en un seul coup, de mettre le roi à l'abri tout en centralisant une tour, ce qui permet par la même occasion de mobiliser rapidement cette dernière. Il s'agit du seul coup légal permettant de déplacer deux pièces, sans respecter le déplacement classique du roi et de la tour de surcroît. Si le roi est l'esprit et la tour le corps en analogie anatomique, le roque prend alors une dimension symbolique très intéressante, indiquant que l'esprit s'enfonce dans la matière pour permettre au corps d'évoluer plus rapidement. Ce mouvement surprenant est une illustration remarquable du principe d'involution et d'évolution. C'est parce que le roi, l'esprit, accepte d'involuer, de se limiter, que le corps physique, la tour, peut évoluer, s'élever vers l'esprit et transcender ses propres limites.

 

Des couleurs blanc et noir

Le mot BLANC provient du germanique "blank" qui signifie brillant, clair, sans tache, mais aussi nu. Le blanc est paradoxal car, bien qu’il contienne la totalité des couleurs du spectre lumineux, il apparaît à l’œil humain comme une absence de couleur. Le blanc n'est pas une couleur solaire. C'est le moment du vide total entre la nuit et le jour. L’arc-en-ciel et le blanc sont liés, le premier présentant la lumière du second de façon fragmentée, décomposée. Le transparent incolore est aussi nommé "blanc", comme le verre blanc par exemple. Le diamant est dit "brillant", lumineux, étincelant. Il est fait de lumière blanche. La blancheur de l'aube fait place aux rougeurs de l'aurore. En tant que couleur de la pureté, le blanc n'est pas une couleur positive mais une couleur neutre. A l'origine, la blancheur est sans couleur, passive, peut-être même sans vie, neutre comme la mort et la blancheur des os. Il est aussi la couleur de l’initiation. Le candidat, mot qui vient de "candide" (du latin candidus), signifie "blanc". Dans la science des blasons, le blanc se dit "d’argent". Le blanc est la couleur de l’Est, c’est-à-dire de l’aube (alba signifie "blanc"), et du point du jour qu’on ne doit pas confondre avec l’aurore qui, elle, est rouge, ou rose, et safran.

Tôt le matin, alors qu’on ne voit pas encore le soleil, la nuit noire commence par blanchir. C’est l’aube. Puis le ciel, à l’horizon, se colore. C’est l’aurore qui est là. L’aube est un moment de vide entre nuit et jour. On peut reconnaître par analogie les trois étapes principales du Grand Œuvre alchimique* : l’œuvre au noir (la nuit), l’œuvre au blanc (l’aube), et enfin, l’œuvre au rouge (l’aurore).

L’opposé du blanc est le noir, sa "contre-couleur". L’un est Lumière, l’autre est Ténèbres. Ils sont complémentaires : les ténèbres révèlent la lumière, et la lumière révèle les ténèbres. Sans l’une, l’autre n’existe pas. Le damier, l’échiquier, le beauceant - l'étendard des Templiers fait de sable (noir) et d’argent (blanc) - sont les symboles de cette règle de révélation des contraires et des complémentaires. La lumière au fond du tunnel apparait blanche; en revanche, un puits sans fond apparaît noir. Sans contraste, le blanc ne se discerne pas. En Extrême-Orient, le Taiji tu est le symbole de la dualité du yin et du yang. Il est une parfaite illustration de la complémentarité du blanc et du noir. Si on mélange le blanc et le noir, on obtient une couleur neutre : le GRIS.

* Cf. Le chemin alchimique.

 

Pour comprendre le phénomène "aliénigène" qui nous domine et manipule, nous conduisant à n'être que de simples pions sur le damier de l'échiquier de la Matrice de 3ème dimension de réalité pour y interpréter le "bal des maudits", il importe de connaître ses symbolique et spécificités.

 

Photo extraite du film de Stanley Kubrick Eyes wild shut ("Les yeux grand fermés") - Cliquer pour agrandir
Photo extraite du film de Stanley Kubrick Eyes wild shut ("Les yeux grand fermés") - Cliquer pour agrandir

C'est Satan qui conduit le bal

Le plus célèbre des démons littéraires s'appelle Méphistophélès, qui tente le docteur Faust dans "La Tragique Histoire du docteur Faust", pièce de théâtre de l'auteur dramaturge anglais Christopher Marlowe qu'il a écrite en 1592, publiée seulement en 1604 après sa mort. Nous le retrouvons également sous la plume de l'écrivain allemand Johann Wolfgang von Goethe dans deux pièces de théâtre de 1808 et 1832. Il a fait une entrée triomphale dans l'opéra grâce à deux grands maîtres compositeurs Hector Berlioz ("La Damnation de Faust", 1846) et Charles Gounod ("Faust", 1859).

Le docteur Faust découvre amèrement qu'il a brûlé les plus belles années de sa vie à la recherche du savoir, inflammation de son égo-mental autrement nommé l'intellect, la maladie psychique par excellence des experts et grands sachants dont notre société rationaliste contemporaine raffole et révère tant. Tenté par le suicide, il voit apparaître Méphistophélès qui lui propose un pacte : son âme en échange de la jeunesse et des plaisirs qui vont avec. Faust accepte sans illusion. Ce pacte est en réalité un pari entre le Démon Méphistophélès et Dieu, suite à la visite qu'il lui rendit pour lui parler d'une de ses créations, l'homme (Adam). Selon le Démon, c'est une création méprisante, et c'est pourquoi il a des objections contre l'homme lui-même, mais aussi contre les raisons de Dieu pour le créer. Dieu de son côté est convaincu que l'homme est fondamentalement bon, pensant que celui-ci est capable de rester sur le droit chemin. Le Démon en doute, convaincu qu'il peut dépraver l'homme symbolisé par la personne de Faust. Dieu tolère la brutalité de Méphistophélès, d'une part parce qu'il comprend son rôle pour garder l'homme dans le chemin droit, d'autre part parce qu'il  est convaincu de sa capacité à rester sur le droit chemin.

Contrairement à Dieu, l'Unique, le diable est multiple, évoluant avec le temps et s'adaptant aux sociétés humaines, changeant sans cesse de visage et de nom. Et comme le vieux docteur Faust entouré des produits qui lui procurent l'illusion d'être riche (argent), beau (botox) et jeune (viagra)*, Satan nous retient prisonniers du monde de la matière. Pourtant, la Matière est le centre, le fondement de l'élan de transcendance de l'âme qui doit en émerger pour s'en sauver, s'en extirper par sa fusion à l'Esprit !

* L'actualité du début de l'année 2023 a illustré parfaitement cette illusion à travers "l'affaire Pierre Palmade"...

 

L'échiquier

Comme la croix, l’échiquier ou damier (image 1), qui symbolise la réalité mystique depuis des millénaires, contient plusieurs couches d’information significative, l'utilisation des symboles ayant pour objectif de toucher la conscience et de l’orienter subtilement. C'est ainsi que les lignes et l’alternance des couleurs s’adressent aux couches profondes du subconscient, partie de l’inconscient*, à ses régions qui réagissent spontanément et reconnaissent les symboles que le mental conscient remarque à peine. Et comme à l'accoutumée, le symbole est porteur des deux polarités constitutives du fonctionnement du Vivant, l'une à caractère positif, évolutif, et l'autre à caractère négatif, involutif*². Les individus utilisant leur esprit de diverses manières suivant leur état de conscience, il en résulte l’influence des forces de la nature par l'énergie du flux d'information qui se propage en soi. C'est pourquoi le damier est le symbole par excellence exprimant le jeu conscient ou inconscient de l’existence, selon l'état d'éveil ou d'endormissement du "joueur"...

* Cf. Esprit global.

Cf. La dualité décodée.

 

Les soixante-quatre (64) carrés – sa réduction numérique six plus quatre équivaut à dix (10), soit un (1) et zéro (0), les deux nombres binaires de la Matrice* – forment un dessin à huit côtés sur une surface bidimensionnelle dans la réalité tridimensionnelle. Il s'agit d'une métaphore, qui évoque l’essence de la loi cosmique*² et les instructions fondamentales permettant d’acquérir de l’énergie dans n’importe quelle réalité. Le blanc et le noir représentent les polarités masculine et féminine, les forces positives (électriques) et négatives (magnétiques), la lumière et l'obscurité, le sperme et le sang, le un et le zéro, le phallus et l'utérus, l'épée et le calice, l'obélisque (le pilier) et l’ovale (le dôme), le clocher et l'autel. Nous y retrouvons également le symbole oriental du yang - blanc -, principe masculin de nature électrique, et du yin - noir -, principe féminin de nature magnétique, qui évoque traditionnellement les pôles de l’énergie constitutive du Vivant (image 2).

Ainsi ce motif alternant le noir et le blanc incite l’esprit à se souvenir des lois cosmiques et spirituelles supérieures qui permettent de travailler avec l’énergie, expliquant sa présence dans toutes les cultures de la terre, que ce soit dans des lieux dits païens ou au sein de temples, mosquées, cathédrales et églises séculaires, toujours situés au croisement de puissantes lignes d’énergie terrestre afin de puiser dans l’immense grille planétaire l’énergie et le pouvoir... Reste à savoir ce à quoi est employé ce dernier !

* Cf. Symbolisme et artifices de la Matrice & Symbolisme des nombres.

Cf. Évolution de civilisation (1) Le mécanisme de l'Univers.

 

L'échiquier de l'espace-temps limité

L’échiquier contient des couches successives de codes qui évoquent diverses divisions du temps. Sur le plan numérique, sa périphérie - son "boulevard périphérique" - se compose de vingt-huit carrés, correspondant au nombre approximatif de jours des cycles lunaire et menstruel. Le niveau subséquent (qui vient immédiatement après) possède vingt carrés, symbolisant approximativement le nombre d’années dans une série d’éclipses, établi par les nœuds lunaires Nord et Sud, soit la tête et la queue du dragon céleste qui parachève la rotation. Les nœuds lunaires évoquent les points énergétiques où se croisent les orbites de la Terre et de la Lune. Elles sont des positions imaginaires qui servent à calculer les distances et les directions en astrologie et en astronomie. La rangée subséquente suivante comporte douze carrés représentant les douze signes du zodiaque et les douze mois du calendrier. Le niveau intérieur comporte quatre carrés qui forment une croix en leur centre, symbolisant les quatre directions entourant le point de pouvoir qu’est l’éther rayonnante figurée par le Soleil. Chaque symbole numérique évoque une information importante permettant de concevoir et de construire la réalité, ainsi que de comprendre les schèmes significatifs des cycles célestes.

En traçant des lignes diagonales d’un coin à l’autre de l’échiquier, elles se croisent à l’intersection des axes Nord/Sud et Est/Ouest et divisent chaque quartier en deux, donnant huit sections qui marquent les points médians. Ceux-ci évoquent les quatre époques de l’année – 1er février, 1er mai, 1er août, 1er novembre – où le soleil est à mi-chemin du prochain solstice ou de l’équinoxe, que certaines civilisations célébraient comme périodes de renouveau spirituel, tandis que les quatre saisons marquées par les solstices et les équinoxes étaient des festivals de la terre.

Si les hauts points directionnels (les 4 coins Nord Sud Ouest Est) servent ainsi à marquer et à déterminer le temps avec leurs spécificités vibratoires respectives - la basse vibration pour l'Ouest, la haute vibration pour le Sud, le manque d'expérience pour le Nord, la voie de sortie évolutive pour l'Est, autrement dit le haut astral -, celui-ci n'est que le temps limité* du champ astral défini par l'horloge, propre au système solaire local et à sa galaxie d'appartenance (La Voie lactée pour "notre" système solaire). Il ne constitue nullement le temps fractal - là où "l'Or loge" -, propre à un univers multidimensionnel global, empêchant par là-même à l'homme d'ascensionner par son éveil de conscience*² et de devenir Qui Il Est vraiment.

L’échiquier représente la sphère de l’existence limitée, contrainte car viciée, telle la Caverne enfermante dans l'allégorie de Platon. Il est la matrice du champ astral, caractérisé par la cyclicité de son calendrier cosmique manipulé, non celle du grand champ de Conscience universel. Aussi appartient-il au joueur de "terrain" de comprendre l’énergie qui soutient et développe sa conscience pour s'en extirper, en faisant appel à ses mémoires originelles qui résident tant dans les profondeurs de son inconscient que dans les couches cellulaires de son ADN. C'est par la perception lucide de ce qu'il observe et le discernement des mémoires émotionnelles polluantes issues des voyages de l'âme dans la matière qu'il peut les réactiver, en étant à l'écoute de son ressenti profond. Si les émotions sont nécessaires pour faire des progrès en troisième densité de réalité, c'est en commençant à séparer les émotions qui limitent, car fondées sur des préjugés, de celles qui ouvrent à des possibilités illimitées, que l'homme se prépare à passer à la densité supérieure par la "technologie" du passage trans-dimensionnel (création par inversion du champ magnétique gravitationnel de minis accidents temporels localisés). Alors seulement pourra-t-il percer le secret de l'Apocalypse, le mystérieux texte biblique légué à l'humanité, qui lui livre avec précision les clés de sa libération pour peu qu'il se détache des émotions que ce texte génère en lui, et destinées justement à empêcher sa libération !

* Cf. La falsification de la réalité en 3-D.

Cf. Le chemin de l'Ascension &, Le chemin alchimique & Processus de transformation de conscience (1).

 

Mariage du prince Henry, duc de Sussex (dit Harry), et de Meghan Markle le 19 mai 2018 à la chapelle Saint-Georges à Windsor, au Royaume-Uni
Mariage du prince Henry, duc de Sussex (dit Harry), et de Meghan Markle le 19 mai 2018 à la chapelle Saint-Georges à Windsor, au Royaume-Uni

Le damier revient dans tous les domaines : industrie et production cinématographiques, publicité, mode, décoration d'intérieur... On le retrouve également sur des uniformes et insignes militaires, et des costumes ou apparats royaux. En course automobile, le drapeau à carreaux qui se lève avertit de "démarrer les moteurs", avant d'être abaissé pour indiquer que la course débute ou se termine. Tout naturellement, les sociétés secrètes et occultes* l'utilisent pour influer tant sur la conscience de leurs membres de manière directe que sur celle des masses de manière indirecte. Manipuler et gérer la réalité depuis les coulisses est une pratique séculaire*² de la Matrice dévoyée.

Tout comme les acteurs de nombre d'institutions les employant à l'occasion de rituels liés à leurs activités, la plupart des fidèles tant des églises et temples des religions institutionnelles que des sociétés secrètes ignorent la puissance des symboles contribuant à l'ouverture des portails énergétiques, non en relation comme proclamé avec le champ du céleste divin mais avec le champ de l'astral, et tous les égrégores prédateurs de la conscience de l'être humain qui s'y trouvent ! En fait, les véritables points de pouvoir comme leur utilisation véritable demeurent un secret bien gardé des plus hautes hiérarchies de ces structures, c'est-à-dire de leurs officiants dévoyés. Nul ne s'étonnera alors que ce motif du damier décore le hall d’édifices gouvernementaux, des temples maçonniques et des lieux de rencontre des officines mondialistes du "Nouvel Ordre mondial" en cours d'établissement*³.

Son puissant secret n'est rien d'autre que l'illusion d'optique de ce que nous appelons naïvement et benoitement "réalité", nos sens limités ne permettant pas de la percevoir dans son ensemble. Il en résulte des êtres humains totalement programmés car densifiés par la conscience limitée de leur esprit générateur de leurs pensées, par-delà la croyance dans leur libre arbitre, croyant que leur passé est révolu et qu’ils ne peuvent choisir leur futur. Cette vision linéaire et restreinte du flux du temps, de ce fait de leur conscience, les empêchent d’assumer leur mission de voyageur du temps et de pouvoir "revenir" par leurs mémoires à ce qu’ils ont déjà été ! Sans transcendance intérieure et désengagement du système manipulateur et de son espace-temps prison, nous ne pouvons accéder aux dimensions de réalité et de conscience supérieures, seules à même de nous permettre d'évoluer et non de demeurer esclaves du système prédateur et des boucles temporelles involutives de la Matrice cyber...

* Cf. La nouvelle religion universelle.

Cf. Prédation manipulatoire.

Cf. Le modèle européen décodé (2) L'idéologie mondialiste & Prophétie du changement.

 

Le zodiaque manipulé par les relais terrestres du corpus prédateur est constitutif de la destinée de l'être humain, déjà réalisée par-delà l'illusion de son prétendu libre arbitre. Comme l'histoire se répète inlassablement dans la Matrice dévoyée (image 4), il est aisé d'en connaître l'issue. C'est celle que lisent les (bons) voyant(e)s, médiums et prophètes, autrement dit celle du royaume des morts-vivants*. Si l'être humain ne reprend pas aux forces de l'Ombre par son intelligence son vrai pouvoir de co-créateur divin, il demeure un être asservi, pantin synthétique tournant inlassablement son égo illusionné dans la cyclicité mortifère.

* Nous en retrouvons la mise en œuvre à l'échelle planétaire dans les couvertures annuelles du magazine The Economist (image 3). Cf. Symbolisme et artifices de la Matrice.

 

La programmation de la Matrice astrale

Le champ de la voûte étoilée de notre galaxie solaire d'appartenance, la Voie lactée, a été programmé tel un programme informatique par la prêtrise religieuse dévoyée des temps antiques comme actuels, qui a modifié nombre de symboles du référentiel originel livrant aux êtres humains la compréhension du mécanisme de l'Univers*. Ainsi le bestiaire du zodiaque astrologique est l'outil initial de programmation par la magie des images figées en 3-D de 12 constellations (sur 88 existantes), du Soleil et de la Lune, qui a introduit dans l'inconscient collectif (à l'échelle internationale comme nationale ou locale) et individuelle des croyances limitantes se perpétuant depuis*², masquant la programmation astrale qui s'y dissimule. Par leurs définitions spécifiques (ainsi les traits de caractère) sous forme d’algorithmes, elles confinent l'être humain qui y prête attention (polarisation) à des signes astrologiques dénaturés, le coupant de son essence universelle et par là-même de sa puissance divine. Limité au paraître et nullement à l'être dans ce monde virtuel des formes (l'apparente matière n'est que "densifiée" par les vibrations de l'électromagnétisme et de la gravité qui agissent par la pensée et les émotions liées sur le potentiel du champ informationnel, la matière noire), le robot biologique (l'homme synthétique) ne peut de ce fait réussir son individuation (passage à l'homme éthérique) en quittant l'illusion de son libre arbitre dans la réalisation de sa vie. C'est en la réalisant qu'il devient AUTONOME et LIBRE, comme expression de la conscience du Grand Tout !

* Cf. Évolution de civilisation (1) Le mécanisme de l'Univers.

C'est pourquoi le soufisme musulman interdit toute représentation du divin sous forme d'images.

Cf. Le modèle européen décodé (1) Un ADN impérial païen & Le Judaïsme décodé.


Exemple emblématique de programmation astrale

Pourquoi tant d'êtres humains à travers le monde consultent des médiums, voyant(e)s, tarologues, numérologues et astrologues ? Pour la plupart d'entre eux, il s'agit de connaître leur destinée et de répondre à leurs attentes sur tel ou tel aspect de leur vie, ce qui traduit des peurs, angoisses et inquiétudes même s'ils les masquent par le paravent de la curiosité ou du divertissement. Quoi qu'en pensent les sceptiques rationalistes moqueurs et persifleurs, qui pour un grand nombre ne sont que des "anthropoïdes" (des robots biologiques sans âme)*, autrement dit les agents et gardiens de la Matrice, ces êtres humains ne font que répondre à l'appel de leur âme pour tenter de prendre conscience du piège astral dans lequel ils sont enferrés car totalement programmés, même si très peu d'entre eux sont capables d'ouvrir les yeux - leur troisième œil - et de renoncer aux artifices et illusions de la vie terrestre pour travailler à leur évolution, soit leur extraction du royaume des morts-vivants.

L'initié connaît quant à lui parfaitement l'architecture du Vivant, conçue selon les propriétés des nombres et de la géométrie sacrée*². Il sait que chaque nombre possède une qualité intrinsèque, sorte de personnalité qui traduit la Création - Ce Qui Est - et ses lois cosmiques. Il sait que le fonctionnement de la Matrice terrestre a été conçu par ses concepteurs faussaires - le religieux dévoyé - en corrélation avec la Matrice astrale et non cosmique, pour servir la nourriture de survie aux prédateurs qui la gouvernent de la 4ème dimension de conscience, et assurer les intérêts matérialistes (l'exercice du pouvoir et de l'avoir) à leurs relais humains terrestres soumis, consciemment (rarement) ou inconsciemment, lorsqu'ils ne sont pas des "hybrides". Aussi l'initié décide d'utiliser cette connaissance soit pour servir les Forces de l'Ombre (c'est le cas des hauts grades dans les confréries, fraternités et ordres occultes), soit pour servir les Forces de La Lumière, l'équilibre entre les deux types d'initiés étant assuré par la loi de la dualité (en sachant que les initiés "entropiques" remportent toujours la victoire dans la matrice terrestre, victoire à la Pyrrhus il va sans dire...).

Ainsi peut se comprendre à titre d'exemple la programmation de l'actuel Prince gouvernant de France, sa date de naissance - 21 décembre 1977 - exprimant l'énergie des forces démoniaques célébrées depuis la nuit des temps pendant le solstice d'hiver par les adorateurs de Ba'al. Elle est placée sous le signe du Sagittaire (Cf. image), le neuvième signe astrologique du Zodiaque astral gouverné par la planète... Jupiter, également planète rectrice de la nation France. Le 21 décembre - 21.12 -, miroir inversé, contient la puissance du nombre 6 (2+1+1+2), elle-même décuplée par celle se dégageant de l'année 1977 qui équivaut aussi à 6 (1+9+7+7). En sachant qu'il a été élu à 39 ans, ce qui équivaut à 12 (3+9 et 2x6), est établi le verrou du 9, qui exprime le Tout accompli*³, de même qu'une énergie de nature entropique à nouveau renforcée par la vibration du 6 présente dans le 12. Nous pouvons de ce fait comprendre la nature véritable de la puissance qui le gouverne au sein de la Matrice astrale, et par-là même la réalisation en cours des prophéties des grands initiés, tout étant déjà réalisé en ce bas monde...

* Cf. Les psychopathes qui nous gouvernent.

Cf. Symbolisme mathématique.

*³ Cf. Symbolisme des neuf premiers nombres.

 

Prédiction tragique

La magie des lieux liés à des objets fractals* permet aux grands initiés magiciens de prédire à l'avance les conséquences tragiques de la destinée des "grands" de ce monde qui nous gouvernent.

C'est ainsi que Michel de Nostredame dit Nostradamus (1503/1566), connu pour ses étranges prophéties, rédigea le quatrain suivant:

Prince par tromperie & fraude,

Par le moyen d'un beau jeune attrapé

Affaut donné Raubine pres de LAUDE

Luy & tous morts pour avoir bien trompé ...

Le décodage permet d'identifier le canal de la Robine de Narbonne qui relie le fleuve l'Aude et la mer Méditerranée dans le département de l'Aude en France, et descendant jusqu'aux étangs de la commune de Gruissan. Ceux-ci sont situés non loin d'un lieu magique, le village de Périllos (son  nom vient du catalan "perelloner", poirier sauvage), qui est l’un des sites les plus mystérieux des Pyrénées-Orientales, certains disant que le trésor de l’abbé Saunières de Rennes-le-Château dans l'Aude y serait caché… Reste à identifier le Prince par tromperie et fraude et le "moyen" qui l'attrapa sous sa coupe diabolique et perverse, toute ressemblance avec l'actuel prince sombre gouvernant la France et son égérie pédocriminelle ne pouvant qu'être fortuite, tout comme ses déplacements à venir dans cette région...

* Cf. Qu'est-ce que la Magie du Vivant ?

 

Le démon, soit le monde à l'envers, a deux polarités : une positive, dite luciférienne (potentiellement évolutive pour qui sait sortir de l'illusion), l'autre satanique, définitivement entropique.

Mécanisme de l'illusion "démoniaque"

Les polarités antagoniques symbolisées par les cases de couleur binaire de l'échiquier participent de nos illusions en nous conduisant à juger, et par-là même à accuser et à condamner ce qui ne va pas en ce sens, selon le prisme de nos choix politique, religieux, économique, philosophique, scientifique... Cette dualité qui divise permet aux élites leur gouvernance sous leurs airs de (faux) sauveur, juge et gardien, et au système prédateur de la 4ème dimension de réalité sa nourriture qui découlent des tensions psycho-émotionnelles provoquées.

Cf. Fabrication de l'illusion et voie de sortie & Compréhension de la conspiration prédatrice.


 

Des influences planétaires

Les Planètes physiques de la galaxie solaire ont de l’influence sur l’être humain, par exemple sur le plan caractériel, comme la Lune qui attire les eaux de l’Océan. Toutefois, leurs influences se situent sur d'autres plans, les planètes n'en étant par leurs aspects vibratoires et intelligents que les relais. L’influence planétaire la plus maléfique, "satanique", est celle de Pluton, même si elle est une planète très avancée au niveau de la Science cosmique et de la compréhension des Lois universelles. Elle peut ainsi détruire un être humain qui n'a pas conscience de sa vibration, voire fracturer une civilisation et créer des conflits entre les peuples. Les intelligences plutoniennes sont des intelligences invisibles retardataires qui, si elles ont évolué jusqu’à un certain point, n’ont pas été capables de se couper de leur relation cosmique avec des Forces qu’on appelle les Forces lucifériennes, sataniques ou ahrimaniennes. Ce sont des intelligences faibles.

Ce n'est que lorsque l’être humain aura découvert en lui le centre de lui-même, lorsqu’il n’aura en lui plus aucune faiblesse en ayant acquis la Connaissance totale par la maîtrise de ses émotions sur son corps physique comme éthérique, qu’il pourra être totalement invincible et indivisible, protégé du contact avec les intelligences plutoniennes. Tant qu'il n’est pas encore capable de détruire le pouvoir et l’influence de l’Astral sur lui, en donnant par exemple son pouvoir aux cartomancien(ne)s, médiums ou autres voyant(e)s pour la lecture de son avenir, il demeure faible car ignorant, incapable de voir ses liens inconscients avec les Forces de l'Ombre et des Ténèbres. Son soi-disant libre arbitre n'est qu'une illusion, qui empoisonne son esprit et permet à l’âme non épurée d’avoir le plein contrôle sur son évolution, déroulant sa partition programmée de A à Z. Sa véritable liberté n’est réalisée que lorsqu’il est dans son Intelligence, c’est-à-dire lorsque son esprit est allumé et nourri par le rayon d’autres Intelligences qui sont sur des plans en dehors de l’Astral. Tout ceci n’a rien à faire avec la liberté philosophique, psychologique ou spirituelle à laquelle il se rattache naïvement, croyant élever son âme, sa conscience et gagner son salut. C’est un état d’esprit, en aucune façon une attitude induite dans son inconscient par le prédateur astral aux fins de le manipuler et l'asservir !

 

Dénaturation de la perception

La logique exclusive découle de la conception binaire de l'échiquier - bon/mauvais, gentil/méchant, moral/immoral, blanc/noir,  riche/pauvre, hétérosexuel/homosexuel, rouge/bleu, homme/femme, républicain/démocrate, conservateur/libéral, souverainiste/mondialiste... -, sur lequel le système construit de façon simpliste la perception du monde et de la "réalité" des êtres humains, et ce dès leur entrée dans le moule éducatif. Ainsi l'économie, qui est une chose naturelle et non conçue, réagissant à de multiples facteurs passés, présents et futurs, bien trop nombreux et divers, ambigus et subtils pour qu'une personne, un groupe ou un algorithme informatique les maîtrisent, toute tentative par quelques-uns de lui imposer leur propre vision ne faisant que la fausser, la subvertir et la corrompre. Cette logique exclusive occulte les "pluri-déterminations" ou "multi-polarités", soit l'intégration de la complexité inhérente à la conception même de l'univers entre sa face visible, perceptible, et sa face invisible, non perceptible, sauf acuité intuitive. C'est ainsi que, par l'articulation des domaines (histoire, sociologie, philosophie, psychologie, organique, physique...), de multiples causes peuvent se télescoper et se hiérarchiser dans la conduite de nos actions, au sens individuel comme collectif. Il en découle que les "choses" peuvent être partiellement vraies, partiellement fausses, leur perception simpliste conduisant irrémédiablement à l'impasse et à l'excitation émotionnelle (énervement, emportement, colère, haine) dont se nourrit le système prédateur*. Sans étude préalable de la logique dialectique telle que formalisée par le philosophe allemand Georg Wilhelm Friedrich Hegel (1770/1831), que l'on peut résumer à la loi des Trois règles - thèse, antithèse, synthèse - peu enseignée à dessein, l'être humain demeure dans l'incapacité de sortir de la binarité grossière qui le manipule et l'asservit. Aussi, quand on ne peut pas penser au-delà d'un horizon tracé, faute de réinterroger la justesse de toutes les croyances et de tous les conditionnements constitutifs des balises de son égo-mental, il vaut mieux s'abstenir de penser et assumer qu'on ne fait que réagir, tel un robot biologique*²...

En fait, le vrai combat, celui des initiés du Deep State ("l’État profond"), les élites corrompues se prévalant d'agir au nom de l'intérêt général  contre le peuple, n'est que rarement mentionné, occulté par le système médiatique aux ordres. C'est ainsi que le Deep State continue de l'emporter, voyant la dette augmenter comme les guerres continuer à leur seul profit. Nous pouvons d'autant mieux comprendre l'ordonnancement du vote électoral par les pratiques mafieuses déguisées (la fraude électorale) du système institutionnel libéral dont les politiques gouvernants ne sont que les marionnettes de façade : abaissement de l'âge légal pour voter à 18 ans, les jeunes étant plus facilement manipulables par leurs idéalisme et inculture politique ; retardement du vote octroyé aux femmes, celles-ci étant moins facilement manipulables par leur sensibilité perceptive supérieure aux hommes ; méfiance à l'encontre des classes moyennes - artisans, "petits patrons" et commerçants -, leur indépendance entrepreneuriale comme propriétaires de leur moyen de production les rendant moins facilement manipulables que les bataillons de fonctionnaires et salariés du secteur privé (tout particulièrement les cadres de grandes entreprises et autres "bobos" des beaux quartiers), alliés objectifs car tous asservis au fonctionnement du système binaire (qu'ils votent pour la droite ou pour la gauche) dans la mesure où, par leur renoncement non conscientisé à leur autonomie, il leur assure insertion et (relative) protection lorsqu'ils jouent le jeu, celui de la compétition prédatrice ! Le noyau de toute démocratie se revendiquant comme authentique n'est-il pas celui de citoyens libres de toute attache entravant l'exercice éclairé de leur responsabilité ? Pure illusion au royaume de la matrice dévoyée, la logique de concentration du capital et de dissolution des petits par les gros mise en œuvre par les maîtres magiciens babyloniens allant tout à l'inverse...

* C'est par exemple le cas de l'économie, chose (ou discipline) infiniment complexe qui ne peut être entièrement traduite en chiffres ou équations, ni réduite à seulement deux dimensions (offre et de demande, vente et achat, croissance ou récession...). L'individu - "l'agent économique" - étant un bouillon de préjugés, de projections fantasmées, de malentendus et de contradictions, il ne peut être un agent censé penser et agir de manière rationnelle.

Cf. Le contrôle du robot biologique.

 

Notre perception de la réalité est limitée car, même si nous savons qu’il existe une technologie à même de fractionner l’univers en amplifiant les psitrons, soit des particules psychiques infiniment petites de masse imaginaire* (émises par les pensées) pour transformer leurs potentiels "plasmatiques" en réalités densifiées - utilisation des propriétés amplificatrices du quartz de silicium "terra-formé" dans les mondes d’hydrogène -, nous en refusons la reconnaissance académique, hormis dans le domaine de la recherche secrète militaire il va sans dire. Or notre humanité utilisant déjà le silicium terrestre dans les processeurs d’ordinateurs, il est incontournable que les technologies à processeurs quantiques piloteront l’Intelligence Artificielle du futur terrestre !

Ceci entend que les lignes de temps sont désynchronisées en l'état de la conscience, l’avenir comme le passé restant ouverts pour celui qui sait expérimenter les superpositions de réalités, de nombreux humains (environ la moitié) étant porteurs de cette technologie insérée sous forme de nano-implants de gemmes de quartz en forme de pyramide ou de moniteurs silicium dans leur corps. Ces chevauchements entraînent d’ailleurs quelquefois des situations très étranges, qui font que certaines choses sont vraies pour les uns, mais ne le sont pas toujours pour d’autres... C'est pourquoi cette technologie, encore incompréhensible pour l’homme, génère une division entre le groupe de pensées du "Service de Soi", le mode involutif car de nature unidirectionnelle, et celui des pensées du "Service d’Autrui", le mode évolutif car de nature multidimensionnelle ouvrant à toutes les possibilités.

* Cf. Travaux du mathématicien anglais Adrian Dobbs qui expliqueraient non seulement le phénomène de télépathie, mais aussi la prémonition. Dix années auparavant, le psychanalyste Wilhelm Reich parlait quant à lui d’une énergie, l’orgone, qui lui a valu bien des déboires, le monde rationaliste n’étant pas prêt à l’entendre. Pourtant, les yogis, depuis des siècles, expérimentent cette énergie et la nomment prana.

 

Du vol 19 au vol MH370, ou la suspension de l'espace-temps limité

Lorsque l'escadrille 19 (en anglais Flight 19) d'un vol d'entraînement de 5 avions torpilleurs TBM Avenger de l'US Navy (marine de guerre des États-Unis) avec ses 14 pilotes et membres d'équipage disparut le 5 décembre 1945 au-dessus de l'Atlantique après avoir décollé de la base aéronavale de Fort Lauderdale en Floride, l'enquête officielle conclut à une erreur de navigation et à une défaillance mécanique, y compris pour les 13 membres d'équipage de l'hydravion PBM Mariner partis à leur recherche... D'un autre côté, la légende du triangle des Bermudes* dans les Caraïbes alimenta le mythe d'un enlèvement extraterrestre. Il en a été de même avec la disparition du Capitaine Thomas Mantell le 7 janvier 1948 aux commandes de son P-51 Mustang.

L'une comme l'autre explications traduisent l'illusion linéaire du passé et du futur de l'être humain cloisonné dans sa bulle de réalité de 3ème dimension de par la limitation effectuée de sa génétique (le bridage de nombre de ses brins d'ADN), qui ne peut concevoir que l'espace-temps puisse s'ouvrir par un vortex temporel à une autre réalité, celle du Temps-Espace, l'éternel Présent, et ce comme une extravasation (incident de perfusion) trans-dimensionnelle, un phénomène électromagnétique. Autrement dit, là où il s'imagine avancer, il fait du surplace et par-là même involue (la cyclicité entropique), et là où il pense être figé, il évolue par le changement de dimension opéré*² !

D'aucun(e)s y verront la clé de l'énigme non résolue à ce jour du vol MH370 de Malaysian Airlines (Boeing... 777 - photo 2) reliant Kuala-Lumpur (Malaisie) à Pékin (Chine), qui, dans la nuit du 8 mars 2014, disparut des écrans radars avec 239 personnes à bord dans le puits d'un verrou d'espace/temps après avoir été furtivement entouré d'orbes ronds, l'avion s'évanouissant au bout de 10 ou 20 secondes dans un flash au-dessus du lac Michigan, seul Grand Lac qui soit complètement en territoire américain. Il en a été de même plus récemment avec le vol le 21 mars 2022 de la China Eastern Airline (photo 3) qui s’est écrasé en raison de la défaillance du système de son guidage après une explosion aérienne causée par un objet météorique ayant franchi la barrière entre les mondes via un portail inter-dimensionnel.

Chacun de ces évènements était en relation avec la nature de la pensée humaine terrestre, ses perturbations (telles que mensonges et corruption en l'occurrence*³) générant des répercussions dans le macrocosme, l'ordonnancement ou la Justice cosmique (le Cerbère...) !

* Si le Triangle des Bermudes est un domaine dans l’expérience humaine souvent sujet à la dérision, il traduit à sa manière ce que l’être humain n’est pas prêt à accepter ou à comprendre au-delà de son sens matériel. Tant qu'il veut toujours amener ce qui est extrasensoriel à un contrôle psychologique, scientifique, il est dans l'incapacité d'appréhender ce qui fait partie d’une autre dimension. Le Triangle des Bermudes est en fait un cristal sous forme de pyramide, point de pénétration (fenêtre trans-dimensionnelle) des Forces Astrales dans le monde Occidental, Forces consistant par leur nature involutive à créer des conditions destinées à retarder l’évolution humaine. C’est par le biais du Triangle des Bermudes, point majeur de pénétration dans l'atmosphère terrestre, qu'elles se font connaître et se font sentir (les autres se trouvent au large du Japon, au Brésil, dans les montagnes de l’Oural de Russie, aux Pôles Nord et Sud). Elles sont notamment en provenance de la planète Pluton.

Les "Avengers" (vengeurs en français) de l'escadrille comme de l'hydravion, autrement dit les fractales ou bouts de "Nous-mêmes" puisqu'il n'existe qu'un seul Tout, l'UN (la 7ème dimension de réalité comme de conscience), n'ont pas conscience de ce changement de dimension, poursuivant inlassablement leur vol dans ce vortex intermédiaire du Temps-Espace, sur une autre ligne temporelle (l'animation de vie jusqu'alors a été suspendue), jusqu'au moment où nous les "libérons" par notre prise de conscience et la reconstitution épigénétique qui en découle, et de ce fait conduisant à l'effacement de la ligne temporelle constituée !

*³ La crise de Crimée est une crise diplomatique internationale consécutive à l'occupation de la péninsule de Crimée par des troupes "pro-russes" non identifiées, puis à des mouvements des troupes de l'armée fédérale russe près de la frontière ukrainienne, à partir du 28 février 2014. La bonne question à se poser est de savoir qui se trouvait exactement derrière les troupes soi-disant pro-russes non identifiées...

Voir également l'affaire des deux Néerlandaises Kris Kremers et Lisanne Froon, qui ont disparu lors d’une randonnée sur le sentier El Pianista au Panama le 1er avril 2014, et dont les corps n'ont jamais été retrouvés.

 

L'intrication bataille terrestre - bataille cosmique

Le 17 juillet 2014, quelques mois plus tard après le crash du vol MH370, le Boeing 777-200ER opérant le vol 17 de la même compagnie Malaysia Airlines, reliant Amsterdam à Kuala Lumpur, sera abattu en vol dans la région de Donetsk, dans l'est de l'Ukraine (photo 4), où un conflit armé est alors en cours, mais sans que le survol soit interdit aux avions civils. La signature du donneur d'ordre est explicite : qui a intérêt à provoquer et à déstabiliser Poutine, le géant russe empêcheur de "tourner en rond" ? Qui est capable de maîtriser ce savoir-faire cynique et chirurgical dans la bataille de l'information émotionnelle, appliquant sans vergogne la devise "Avec ruse (et rouerie) tu feras la guerre" ? Qui sait organiser avec maestria une opération de diversion ? Réponse : le joker (photo 5)*, en l'occurrence en 6 lettres...

Le lendemain, c'était le commencement de l'intervention terrestre de l'armée israélienne à Gaza, démarrée le 8 juillet par l'opération "Bordure protectrice", suivie des bombardements et de la tuerie de civils, des deux côtés s'entend... (photos 6 & 7).

En s'attachant à décrypter avec discernement les batailles terrestres, l'observateur avisé comprend mieux la partie d'échecs opposant à l'étage supérieur les Forces de Lumière aux Forces des Ténèbres. Si ces dernières triomphent dans la matière, elles sont défaites dans l'éther. A l'observateur de décider alors quelle partie il désire jouer en son état de conscience...

* Le Joker est une carte à jouer particulière, sous forme de bouffon espiègle aux facultés de caméléon qui sème régulièrement la pagaille au sein des jeux de cartes. C'est un personnage de fiction, super-vilain dans les comic books de Detective Comics (DC). Nous le retrouvons à travers le soi-disant terrorisme islamique "sous faux drapeaux", quasiment toujours organisé par les services secrets de la CIA et leurs complices du Mossad israélien, s'attachant à en faire porter la responsabilité à des groupes islamistes ou aux services secrets russes.

 


La coulrophobie, ou la peur jetée à la conscience

La peur des clowns, ou coulrophobie, est un phénomène largement répandu chez les adultes et les enfants dans plusieurs cultures. Plus de la moitié des êtres humains en souffrent à divers degrés de pathologie. C'est l'exagération des traits du visage des clowns ainsi que le maquillage cachant les signaux émotionnels qui en sont les raisons, tout comme la représentation négative des clowns dans la culture populaire, comme celle du personnage de Pennywise dans le roman It de Stephen King publié en 1986 (il a remporté le prix British Fantasy 1987). Publishers Weekly l'a classé comme le roman le plus vendu aux États-Unis en 1986...

 

C’est toujours sur l'échiquier de la vie que se règlent les comptes, en l'occurrence avec soi-même. Entre notre part d’ombre - le mode "Service de Soi" - et celle de Lumière - le mode "Service d'Autrui" -, nous avons un choix crucial à faire. Comme c’est dans la nuit, dans ses propres ténèbres, que l’on voit les étoiles, les filantes mais aussi celles qui brillent en permanence comme des phares, nous avons là une clé majeure d'enseignement pour que le jeu d'échecs cesse et que nous devenions le Héros de notre vie. C'est la rencontre avec le prédateur qui nous domine et nous asservit par le dévoiement de l'égo mental* à titre individuel comme collectif. En en comprenant le fonctionnement par les turbulences psycho-émotionnelles provoquées, nous pouvons les transmuter et cesser de marcher sur le chemin de la vie entre le noir et le blanc, sur ce fil d'équilibre hésitant et incertain. Et comme nos compagnons animaux avec leur patte d’oie, l’on nage beaucoup mieux dans la mare cosmique du Vivant une fois le "Pavé mosaïque" jeté. 

* Cf. Décryptage de l'égo & Comprendre et apprivoiser la prédation.

 

L'alternative sociétale corrompue

Le système civilisationnel prédateur repose de par sa nature pathologique sur une alternative viciée proposée aux êtres humains esclaves de son emprise. Le premier choix consiste à défendre le système, considérant que même s'il n'est pas "parfait", il constitue la meilleure option pour permettre et assurer le vivre ensemble. Ses partisans sont soit celles et ceux qui en tirent un bénéfice pour leurs intérêts personnels, soit des "autoritariens", autrement dit des suiveurs obéissants de l'ordre établi qui les rassure*. Le second choix consiste à combattre ou résister au système, ce qui suppose dans le premier cas de tomber plus ou moins dans la violence aveugle, soit de privilégier dans le second des actions "douces" comme manifester de manière pacifique ou signer des pétitions. Pourtant, lorsque l’on étudie les grandes luttes et les grandes victoires obtenues, que ce soit lors de la décolonisation, la fin de l’esclavage ou la marche des droits civiques, le constat est que les "victoires" sont obtenues quasi systématiquement par un mélange de techniques et de méthodes qui utilisent tout le spectre de l’ultra violence au pacifisme total. Le système prédateur est ainsi au final toujours le véritable vainqueur, ce pompage énergétique psycho-émotionnel étant gage de sa survie tout en s'avérant mortifère pour les humains illusionnés par leurs postures de bourreaux, victimes et sauveurs (le moi non individué) ! C'est pourquoi, en cette fin de cyclicité civilisationnelle, l’on constate la montée de plus en plus forte de l’envie d’en découdre dans la société et contre le système. Qu’il s’agisse du mouvement des Gilets Jaunes, de certains mouvements communautaires ou politiques (Hong-Kong), ou encore de l’écologisme comme du féminisme radical*², partout l’idée de "résistance totale" au système est en train d’infuser, signifiant que ce dernier accélère la "moisson des âmes" indispensable à sa survie dans les ténèbres. Sans profonde conscientisation et son désengagement de ce scénario pervers, l'humain-âme se prive de la clé d'accès à son salut échappatoire de sa prison psychique.

Partout dans le monde, même le peuple le plus oppressé et le plus injustement traité est facilement contrôlé par la peur et la crainte de perdre le confort matériel auquel il a accès : divertissements, sports, jeux, etc. Entre carotte et bâton, tant que les gens peuvent continuer à vivre dans l’illusion, ils le font. Et quand l’illusion commence à se fissurer, alors le pouvoir actionne le bâton. 

La nouvelle contestation à la mode du capitalisme, compte-tenu de l'échec du marxisme (massacres qui ont été faits en son nom) et de la social-démocratie historique (accumulation de dettes), est l'écologisme, idéologie qui dit de manière caricaturale qu'"il faut mieux sauver la banquise que les banques". Il y a derrière cette écologie qui devait être ni de gauche ni de droite une récupération, par le discours assez traditionnel et caricatural d'une certaine forme de gauche. Pourtant, une fois au pouvoir, que font vraiment les attelages de "gauche" pour sauver la banquise plutôt que les banques ?...

 

Funambule en équilibre sur le fil de l'échiquier de la vie

Le funambule fait un pas, le balancier fait un mouvement, le mot balance connotant la finesse d'observation, la patience, la qualité d'écoute, la précision, la justesse de la pensée, la sensibilité, toutes qualités que l'on retrouve intrinsèquement dans le travail postural des équilibres. Tel le funambule qui, parfois, utilise une longue perche en guise de balancier, l'humain a besoin d'une croyance à laquelle il se tient ferme pour rétablir son équilibre* aux moments où il subit des chocs terribles dans sa vie. Le funambule est l'acrobate qui marche sur la corde raide, l'équilibriste qui, soit dans un cirque, soit tout en haut d'un ravin, avance sur un fil tendu. Il va, en équilibre instable, d'un bout à l'autre, sans cesse menacé de chute, car l'état d'équilibre n'existe pas "en soi", résultant de forces ou d'un couple de contraires, d'une paire d'opposés, qui, à un moment donné, se neutralisent grâce au travail d'ajustement permanent. Les pôles allant par deux, ils se trouvent reliés par un axe permettant un mouvement de rotation qui traduit toute la richesse recelée par le concept de polarité : dualité/unité, extrémité/centre, linéarité/circularité, centrifuge/centripète. Le maintien du funambule, est, de ce fait, précaire (le langage populaire ne s'y trompe pas, qui parle d'équilibriste ou de funambule pour dépeindre un personnage à la conduite imprévisible ou un tant soit peu répréhensible). Le funambule avance, progresse, et, s'il ne chute pas, réussit ! Car vivre au présent est un exercice de funambule, périlleux et aléatoire. Constamment sur le fil de la vie, avec le risque de chuter à tout instant, il s’agit d’avancer pas à pas au quotidien, le regard tourné vers le lointain, partagé entre deux horizons : derrière soi, le passé avec ses regrets et ses attendrissements ; devant soi, l’avenir avec ses angoisses et ses espoirs. Avec comme seul balancier pour garder l’équilibre, son cœur, seul à même par l'intelligence de l'Esprit qui le nourrit d'assurer la santé sur tous les plans. Mens sana in corpore sano. "Une âme saine dans un corps sain" est plus vrai que tout !

* Son étymologie latine equa Iibra signifie "tenir la balance égale" entre deux forces.

 

Quelques binarités sclérosantes pour la conscience auxquelles se prêtent nos tartuffes médiatiques


 

Une autre binarité sclérosante majeure est celle qui oppose "satanisme" d'un côté (le matérialisme corrupteur à l'excès de l'être humain), et "spiritualité" de l'autre (dont celle liée à la pratique religieuse), la soi-disant libération de l'esprit de l'emprise de la matière. La seconde n'est cependant qu'une phase dégradée en l'état de la première, en l'occurrence nettement moins puissante, la densité de la matière faisant partie des lois sataniques indispensables au fonctionnement harmonieux car équilibré du Vivant. Elle n'est en aucune façon le pendant lumineux qui illusionne ses adeptes et pratiquants par le libre arbitre découlant d'une pensée parasitée *. C'est pourquoi elle est qualifiée par la Tradition de "luciférienne", potentiellement évolutive pour celui/celle qui en perçoit et comprend le leurre.

Ce n'est qu'en s'élevant et en fusionnant à l'Intelligence de la supra-conscience, le Soi supérieur ajusteur de sa pensée, que l'être humain pourra sortir de sa limitation existentielle - la conscience de l'expérimentateur de la matière sous couvert des intelligences inter-dimensionnelles entropiques du champ astral - et retrouver sa liberté, Son Essence première de Créateur nourri des forces de Lumière du champ cosmique. Il est alors doté de la Conscience parfaite, l'Intelligence infinie et pure de l'Absolu, à même de contrôler la Nature en désintégrant intégralement et instantanément tous les aspects viciés de l'atome d'hydrogène contrôlés et mis en œuvre dans le "passé" par les Forces plutoniennes de notre système solaire à travers la manipulation psycho-émotionnelle de l'ego, aux fins de traîner dans la boue son essence énergétique cosmique ! *² C'est seulement à ce moment-là que la "Nouvelle Terre" pourra devenir un globe lumineux de très haute vibration, lui permettant d'y exprimer tous ses talents de Créateur inspiré.

* Cf. Prédation spirituelle et voie de sortie.

Cf. Le chemin alchimique.

 

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Le grand va-t-en guerre étoilé

Tout comme plus tard en Libye et en Syrie, l'invasion de l'Irak en 2003, forme de représailles à la suite des "attentats" du 11 septembre 2001, était supposée transformer l'Irak en démocratie à l'occidentale, et en faire un avant-poste allié aux forces américaines dans le monde islamique. Ces promesses n'étaient que des mensonges, au même titre que l'argument de la soi disant possession par l'Irak d'armes de destruction massive (ADM). L'idée selon laquelle l'administration américaine se préoccupe des droits de l'homme ne résonne que parmi les naïfs béats et autres autruches, ceux qui ne connaissent absolument rien de la politique étrangère des États-Unis et de sa sinistre farce servie aux illusionnés de la démocratie respectueuse des droits de l'Homme. C'est le même Pentagone qui, après avoir menti pendant des années au sujet de l'échec de la guerre en Afghanistan, a tenté de cacher les informations sur cette guerre aux citoyens et contribuables américains.

La réalité est que l'administration Bush, en raison des liens entretenus avec les dictateurs islamistes sanguinaires saoudiens, avait décidé que le régime irakien laïc et opposé à l'Iran devait être renversé. Et depuis l'invasion américaine, l'Irak est embourbé dans les insurrections et la guerre civile, permettant aux organisations terroristes telles qu'Al-Qaïda ainsi que l’État islamique de renforcer significativement leur ancrage dans la région, celles-ci étant financées à cette fin tant par la CIA états-unienne que par le Mossad israélien. Partout où les États-Unis ont essayé de "diffuser la démocratie", les terroristes ont suivi, décimant parmi d'autres méfaits  les communautés chrétiennes en Irak qui étaient protégées par le régime de Saddam Hussein... Si la destruction de l'Irak par les États-Unis a permis à l'Arabie Saoudite de renforcer son pouvoir dans la région, permettant à ce régime de mener des campagnes de terreur contre ses ennemis, à la fois au sein de ses propres frontières et à travers les États voisins tels que le Yémen, elle a également ouvert la voie à l'obtention par les chiites d'une majorité en Irak, leur permettant de protéger leurs droits au travers d'une alliance plus forte avec leurs coreligionnaires en Iran tout comme de combattre et de rejeter viscéralement les États-Unis. Un sacré fiasco, en sacrifiant au passage nombre de leurs "enfants" pour aller piétiner les chiites, les sunnites, les Druzes, les Kurdes, les wahhabites, les Pachtounes et Pendjabis, et toutes les autres tribus occupant le Moyen-Orient. Il en est de même de nos jours avec l'Ukraine, sacrifiée pour affaiblir l'ennemi russe, allié de la Chine, la menace économique majeure.

La guerre apporte des milliards de dollars, des fortunes, des stocks options, des contrats de consultance, des sinécures au sein de think tanks, des promotions, des médailles et de belles maisons dans des quartiers huppés. Ceci explique que les États-Unis ont été en guerre 91% du temps de leur existence, puisque en 239 ans d'existence, ils n'ont été en paix que durant 21 ans. Aucun président des USA n'a eu l'occasion, durant son mandat, d'effectuer un "cleen sheet" au niveau de la paix, Donald Trump marquant cependant pendant son mandat une nette inflexion de cet égrégore mortifère car criminel. Leur meilleur "résultat" se situe entre 1935-1940, un lustre de paix durant la période isolationniste de la grande "dépression américaine". Depuis, dans la vaste majorité de ces guerres, ils furent à l’offensive, toutes les opérations secrètes de la CIA visant à renverser des régimes et d’autres actes qui pourraient aussi être considérés comme actes de guerre. Au final depuis 2000, plus de 56 000 victimes américaines – dont 10 000 morts – et jusqu’à un million de morts parmi les populations locales. Par rapport à la Première ou la Deuxième guerre mondiale, ou encore la Guerre du Vietnam, c’était une "bonne" affaire...

Un commandant qui aurait vraiment le sens de l’honneur plongerait sa propre épée dans sa poitrine, comme Brutus après avoir été vaincu par Marc Antoine, ou Marc Antoine lui-même après sa défaite contre Octavien. Mais qu'est-ce l'honneur pour des esprits profondément viciés, avilis et corrompus, même si pour leurs imbéciles et crétins soutiens (à l'image de l'aveuglement pro-ukrainien des commentateurs de l'actualité depuis 2022), l'éternelle rengaine caution est "on ne fait pas d'omelette sans casser des œufs" ?

La réalité est que l'armée est alourdie par les carriéristes, mais aussi par des armes chères et trop sophistiquées, si bien qu’elle ne peut plus être une force efficace. Après les guerres en Corée, au Vietnam, en Afghanistan et en Irak, et désormais en Europe - Serbie/Kosovo et Ukraine via son relais atlantiste l'OTAN (Organisation du Traité de l'Atlantique Nord) -, ses généraux, de par leurs orgueil, arrogance et suffisance, l'ont isolée de la pensée et des mœurs modernes. Par conséquent, l’armée œuvre en plein brouillard intellectuel*². L’échec colossal en Afghanistan a accéléré l’effritement de la puissance géopolitique des États-Unis et le passage à un ordre mondial multipolaire, l’Afghanistan étant situé au centre de l’Eurasie, au carrefour de la Chine, de l’Iran et de la Russie, les trois principaux adversaires de l’ordre mondial dirigé par les États-Unis. Cette situation centrale explique l’énorme importance géopolitique de l’Afghanistan et la raison pour laquelle les États-Unis souhaitaient y maintenir une présence militaire stratégique. La suite ? Inévitablement la préparation par le département de la Défense américain d'une nouvelle guerre au Moyen-Orient, terre emblématique de cette fin de cyclicité civilisationnelle*² !

En fait, lorsqu’un empire touche à sa fin, le véritable ennemi vient de l’intérieur, la plus grande puissance du monde étant devenue une nation infestée par la drogue et la criminalité, incapable de résoudre le problème de l'immigration illégale. Son actuel président est quant à lui coutumier d'incessantes gaffes verbales commises lors de ses discours publics, posant à beaucoup la question de sa santé mentale. Si comme le parti démocrate a désespérément tenté de le faire croire par l'intense couverture médiatique, la mobilisation de procureurs spéciaux, des interrogatoires et des milliers de pages de soi disant preuves, sans parler des millions de dollars dépensés, la démocratie n'a pas été poignardée dans le dos par la Russie, tel que le rapport Mueller l'a montré en avril 2019. Mais par la manipulation et le trucage des votes lors des élections de 2020 qui ont permis l'élection de ce président fantoche désigné par les élites, le "deep state", les classes dirigeantes et les décideurs qui ont pour seul objectif plus de pouvoir et plus d’argent.

Si en théorie la démocratie est une bonne chose lorsqu'elle est pratiquée dans le strict respect des règles édictées, en pratique il s'agit désormais du spectacle pitoyable d'un empire défunt et dégénéré. Il fut un temps où Thomas Jefferson (1743/1826) était le principal rédacteur de la Déclaration d'indépendance des États-Unis en 1776, où John Adams (1735/1826) négociait la fin de la guerre d’Indépendance et ses écrits (Thoughts on Government) constituaient les bases de la Constitution américaine, où George Washington (1732/1799) guidait comme commandant  l’armée continentale contre les loyalistes britanniques jusqu’à la victoire finale à Yorktown en 1741. Tous les trois comme d'autres par la suite furent nécessaires pour construire une grande nation. Nous avons désormais de funestes escrocs pour la démolir !

* Lorsque l’empire britannique touchait à sa fin, durant la Première guerre mondiale, son armée était tout aussi incompétente. Les gradés, confortablement logés à Londres, gaspillaient des centaines de milliers de jeunes hommes dans une guerre des tranchées idiote. On avait là "des lions menés par des ânes", disaient les analystes.

Cf. Le féminin séquestré.

 

Le sang guerrier corrupteur qui coule dans nos veines et abreuve nos sillons

La guerre est un racket institutionnel, sans aucun doute le plus ancien, le plus profitable, le plus violent. C'est le seul qui soit de portée internationale, le seul dans lequel les profits sont comptés en espèces sonnantes et trébuchantes, et les pertes en vies. En effet, si pour se reproduire le système économique établi a besoin d’augmenter le taux d’exploitation des salariés et de reprendre ce qu’il a donné dans le passé, c’est-à-dire de les paupériser, cela ne suffit pas. C'est pourquoi il faut hyper-développer les secteurs qui ont des profitabilités hors normes, très supérieures à la moyenne, d’où la militarisation, d’où le sanitaire, d’où les industries de la technologie. Ainsi se développe les conditions mondiales qui conduisent à la guerre, dont la fonction objective est de détruire, de piller et de permettre de repartir à zéro. C’est une fonction de Reset, de destruction de tout ce qui a été accumulé et qui constitue un boulet. La guerre efface la mémoire du système et, à ce titre, restaure les capacités de refaire un tour.

De nos jours, par-delà l'honneur et la crédibilité de la nation qui sont en jeu, ce qui compte dans la guerre c'est l'argent, chaque intervention étant marquée du signe du dollar ou autre devise. Et rien ne fournit de plus belles cibles, avec si peu de risques personnels, que d'aller imprudemment se mêler des affaires des autres à l'étranger. On dépense de l'argent pour détruire une nation... et puis on en dépense plus encore pour la reconstruire à peu près comme elle était auparavant. Des contrats sont signés, des experts embauchés, des think tanks engagés, des avions de guerre commandés. Et les médias trottent là derrière comme des aides de camp. Car quoi de mieux pour vendre des journaux qu'une bonne guerre ? Comme la guerre détruit également l’information (archéologie, bibliothèques), elle constitue l'effondrement le plus vertigineux que l'esprit humain puisse envisager, celui de la conscience de Qui Nous Sommes vraiment. Elle repose sur une arnaque, l'ultime désinformation, celle qui préside au développement du Vivant tel que conçue par les Forces involutives qui gouvernent la matière terrestre. Elle se nomme "sélection naturelle"*, qui depuis des millions d'années a fait de nous ce que nous sommes, des bêtes sauvages au pire, des bêtes apprivoisées au mieux. Comme celles et ceux qui ne pouvaient se défendre ne survivaient pas, leurs gènes n'étaient pas transmis. Il en découle que l'ADN que nous portons en nous provient pour grande partie de combattants - le génome aryen -, comprenant par leur nature guerrière que la meilleure défense réside dans l'attaque. C'est pourquoi les pratiques apparemment routinières de nombre de peuples antiques dits du "triangle" *² consistaient à attaquer et tuer leurs voisins, en exterminant de préférence la tribu entière et en mutilant leurs cadavres en guise d'avertissement pour tous ceux qui en réchappaient. Nombre d'entre nous sont ainsi les descendants de ceux qui ont commis crimes et génocides, le fer coulant dans nos veines contribuant à notre instinct. Nul(le) alors ne s'étonnera que nous saluions avec ferveur et déférence nos officiers et que nous louions nos héros de guerre. Nous ne faisons que remercier nos valeureux "guerriers" pour leurs services émérites rendus à la prédation qui nous gouverne.

De nos jours, dans le monde moderne dit civilisé, la guerre ne rapporte plus comme auparavant. De ce fait, nos guerriers ne sont guère plus que des gladiateurs et mercenaires, qui se livrent à un spectacle destiné à "amuser" la galerie, tout en enrichissant ceux qui sont assis au balcon ou dissimulés dans les coulisses, les ordonnateurs psychopathes (le Project On Government Oversight - "Projet de surveillance du gouvernement" -, a ainsi vu en 2018 645 des principaux officiels du gouvernement américain, principalement du Pentagone, unir leurs forces à celles des 20 principaux fournisseurs de la défense). Dans ce mécano dévoyé du cartel militaro-industriel sous la férule des "faucons", les néoconservateurs qui s'inquiètent du fossé grandissant entre la Russie, la Chine et les États-Unis, ils soutirent avec la complicité de leurs princes d'opérette gouvernant l'argent au public pour le transférer à des entreprises douteuses car mortifères, s'appuyant sur des milliers de lobbyistes, les compères militaires "à la retraite" désormais rémunérés notamment par Raytheon (systèmes de défense et d'électronique & aérospatial), Lockheed Martin et Boeing (construction aéronautique et aérospatiale). C'est pourquoi nul(le) ne sera également surpris de l'alliance au sein de ce cartel militaro-industriel du Pentagone avec Google qui, via une de ses sociétés de capital-risque, Gradient Bentures créée en 2017, apporte son soutien financier et technologique à des startups spécialisées dans l’Intelligence Artificielle militaire (de son côté, Apple a racheté la start-up chinoise Xnor.ai qui a développé des outils de reconnaissance faciale sans transferts sur le Cloud). Les startups en question devraient développer des systèmes à la fois pour l’armée mais aussi pour la police, et en particulier pour la surveillance de la frontière mexicaine… C'est ainsi que 90% des dépenses de "défense" n'ont rien à voir avec la défense, les experts estimant par exemple qu'il suffirait de 300 armes nucléaires pour fournir un repoussoir efficace. Les États-Unis en ont plus de 4 000 ! Coup de maître parfait, ces quelques personnes gagnent grâce à la guerre de gigantesques fortunes aux dépens du plus grand nombre. Qui plus est, l'effet des dépenses militaires sur l'économie dans son ensemble est relativement nocif, conséquence de mauvaises habitudes injectées dans le flux sanguin des dirigeants industriels par une culture militaire indifférente au contrôle des coûts et à la productivité. Et comme cocus couillons parfaits, nous continuons à saluer les troupes au pas cadencé lors des défilés, nous réjouir avec fierté que notre progéniture a trouvé un job valorisant dans telle multinationale du secteur de la Défense ou de la Sécurité, et de tancer barbus et autres capuchonnés comme peste barbare à éradiquer. Nous oublions simplement que le seul combat qui vaille, c'est celui contre ceux qui nous manipulent pour nous dicter nos actes, et nous empêcher de nous éveiller à Qui Nous Sommes !

* Cf. Évolution de civilisation (3) Mythe de la modernité, risques et lois d'évolution universelle.

Cf. Le modèle pyramidal décodé.

 

De la paix

Les historiens estiment à 30 ans la durée de paix totale dans le monde depuis l'apparition de l'Homme il y aurait 1 million d'années. C'est ainsi qu'une analyse de l’histoire mondiale révèle qu’entre l’année 1496 avant J.-C. et l’année 1861 de notre ère, soit une période de 3 357 ans, il y a eu 227 années de paix et 3 130 années de guerre. En 5 000 ans d’Histoire "enregistrée”, il y a eu environ 250 ans de paix totale. Le seul pays qui pourrait raisonnablement prétendre ne pas avoir été impliqué dans une guerre est le Groenland*.

La paix (du latin pax) désigne habituellement un état de calme ou de tranquillité comme une absence de perturbation, d'agitation ou de conflit. Elle est parfois considérée comme un idéal social et politique.Psychologiquement la paix désigne l'état d'un esprit placide et serein et plus généralement de sentiments enthousiastes, et positifs. Elle est donc souhaitée pour soi-même et éventuellement pour les autres, au point de devenir une salutation (Pax vobis en latin - la paix soit sur toi -, salaam en arabe, shalom en hébreu) ou un but de vie.

La Journée internationale de la paix est célébrée chaque année le 21 septembre. Elle est dédiée à la paix et particulièrement à l'absence de guerre, qui doit se manifester par un cessez-le-feu dans les zones de combat. Elle est observée dans de nombreux pays depuis sa création en 1981. Depuis 2002, cette Journée commence au siège des Nations unies à New York par une cérémonie en présence du secrétaire-général qui fait sonner la Cloche de paix, fabriquée à partir de pièce de monnaie données par des enfants de tous les continents. C'est un don de l'association japonaise pour l'ONU, qui se veut un "rappel de ce que la guerre a coûté à l'humanité". Elle porte cette inscription : "Longue vie à la paix dans le monde". Cette journée ne doit pas être confondue avec la Journée mondiale de la paix, journée de prière pour la paix instituée par le pape Paul VI en 1968 au sein de l'Église catholique et fixée au 1er janvier.

* Le Groenland, colonie danoise jusqu'à 1953, a acquis son autonomie en 1979 et son gouvernement en 1981. Ce gouvernement est une monarchie constitutionnelle avec un parlement monocaméral de 31 sièges appelé Landsting.

 

Déclin de l'empire américain - Avis de décès

C'est symboliquement en janvier 2000, marquant l'entrée dans le XXI° siècle, que s'opère la bascule définitive de l'empire américain dans son déclin. Le dollar avait déjà perdu de sa vigueur, les politiques menées depuis l'assassinat de JFK* étaient devenues de moins en moins consistantes, et la corruption des élites dirigeantes - le Deep State -avait progressé considérablement. En outre, après avoir dépensé des millions dans la deuxième moitié des années quatre-vingt-dix sur de nouvelles dot.com vouées à l'échec, le Nasdaq, qui abritait les fantasmes les plus animés des investisseurs, avait chuté de près de 80% sur les trois années qui suivirent. S'il reste l'un des pays les plus prospères du monde, se classant en 2021 au 18ème rang sur 167 nations selon le think tank londonien d'obédience conservatrice l'Institut Legatum, la crise du Covid-19 a affaibli sa prospérité et ce même avant la pandémie, les fusillades de masse, les niveaux élevés d'obésité et les problèmes de santé mentale faisaient déjà des ravages sur la qualité de vie des Américains.

Quatre décisions désastreuses, quatre monumentales imbécillités, ont en fait scellé l'affaire.

. D'abord la guerre malavisée de George W. Bush contre le terrorisme, dont la facture depuis (elle est dans sa 21ème année) se monte à entre 6 000 et 7 000 milliards de dollars, sans victoire plausible en vue. Jusqu'à un million de personnes sont mortes (dont 210 000 civils), et l'Irak, qui n'avait rien à voir avec le terrorisme, est en pagaille, plongé dans l'instabilité, devenu un terrain propice au djihadisme (une grande partie du nord de l'Irak est tombée sous le contrôle des terroristes de l'État islamique - EI - anciennement ISIS) après le retrait des États-Unis en 2011. Cette décision est la marque d'une société devenue au fil du temps de plus en plus guerrière, ayant oublié ce qui rend une société prospère, la civilité, les accords gagnant-gagnant entre individus consentants, heureux de s'échanger des faveurs, contribuant à augmenter la richesse du pays. Ceci permet de tenir en laisse par la culture, les constitutions, les systèmes de contrôle... tout gouvernement dans ses tentations ou tentatives de s'éloigner du bien commun. Tout au contraire, une société de guerre conduit à induire dans les esprits qu'on ne peut gagner qu'en faisant perdre quelqu'un d'autre. C'est la célébration du culte guerrier. Et à mesure qu'une quantité croissante de ressources est réquisitionnée pour l'effort de guerre, il en reste moins pour l'économie gagnant-gagnant, l'épée brandie s'affaissant lorsque les vaisseaux de guerre à plusieurs milliards de dollars sont coulés par des essaims de missiles bon marché, les avions de chasse à la pointe de la technologie sont cloués au sol par des virus informatiques, les troupes rentrent à la maison honteuses et disgraciées... Les gens s'appauvrissent. Mais ils ne s'en accusent pas eux-mêmes : tout est de la faute de l'ennemi !

. Ensuite, l'effondrement de la monnaie à l'issue de la crise-panique de 2008-2009 faisant suite à l'effondrement de secteur du financement immobilier, voyant la Réserve fédérale, ses commis, le Congrès, de grands économistes, les républicains et les démocrates, et quasiment tous les autres perdre la tête, notamment par la pratique de taux d'intérêts artificiellement bas.

. Troisième imbécillité, les autorités ont injecté comme traitement des milliers de milliards de nouveaux dollars dans l'économie lors des 10 années qui suivirent, contribuant à pourrir le monde monétaire américain par le gonflement de plus grosse bulle du siècle à ce jour (les prix des actions ont quadruplé). Les actions étaient parvenues à des sommets historiques avant la régression amorcée à la fin du premier trimestre 2022, seulement parce que les spéculateurs étaient à la manœuvre et parce que les initiés des entreprises rachetaient leurs propres actions. La croissance réelle avant impôts n'a elle cessé de chuter, uniquement parce que la Fed prêtait de l'argent sous le taux d'inflation des prix à la consommation. Et si le chômage frôlait des planchers historiques, c'est uniquement parce que les gens étaient contraints d'accepter des contrats mal payés dans l'économie des services. Les vrais emplois, ceux qui permettent de faire bouillir la marmite, continuaient de leur côté de disparaître. Et rebelote avec le traitement de choc administré compte-tenu des conséquences sur l'économie de la crise sanitaire du coronavirus du 1er semestre 2020. Il en a résulté que le gouvernement US s'est dirigé vers le plus gros défaut de l'Histoire mondiale, augmentant depuis plus de 20 ans sa dette deux fois plus rapidement que son PIB qui s'établit désormais en 2023 à plus de 31 000 Mds$ (elle était de 259 Mds$ en 1945), soit 77 fois plus que les 427 Mds$ lorsque Joe Robinette Biden l'actuel Président a été élu pour la première fois au Congrès. Quant à la dette des ménages US (plus de 17 000 milliards de dollars), elle est passée en 2023 de 35% des revenus en 2000 à près de 44% aujourd'hui, sans parler du record de 12 000 milliards de dollars en prêts hypothécaires, du record de 1 600 milliards de dollars de prêts automobiles, le 1,6 billion de dollars de prêts étudiants et les 1 000 milliards de dollars de dettes de carte de crédit. Une situation insoutenable, qui est la marque incontestable d'un long déclin vers le bas des classements internationaux durant les 20 dernières années au moins… et, selon certaines statistiques, depuis plus de 50 ans. D'un côté, la part américaine du PIB mondial a presque été divisée par deux, passant de 40% en 1960 à 25% à peine aujourd’hui, et de l'autre le pourcentage de personnes incarcérées a augmenté significativement avec plus de 2 millions de personnes derrière les barreaux, aucun autre pays n’en étant proche (la population de la Chine est plus de trois fois supérieure à celle des Etats-Unis, et pourtant elle a 2 fois moins de prisonniers qu’aux Etats-Unis). Sans oublier que les Américains sont les seuls habitants de pays développés dont l’espérance de vie raccourcit (les Etats-Unis sont désormais à la 58e place du classement de l’espérance de vie moyenne, derrière la Chine, le Koweït et l’Albanie).

Pour vaincre une montagne de dettes de cette ampleur, il n’y a aucun secret. Vous avez soit une récession terrible et durable puisque tout le monde rembourse ses dettes et les revenus disponibles sont consacrés au remboursement, soit vous avez une croissance économique forte, avec une évolution importante des salaires à la hausse et vous payez les dettes passées avec la forte croissance future appelée également inflation… Vous avez une dernière solution, toujours douloureuse et brutale, celle de la faillite.

Enfin, dans le cadre des sanctions prises en 2022 contre la Russie compte-tenu de son conflit armé avec l'Ukraine, plus les États-Unis tentent de bloquer l’économie russe, plus ils ralentissent l’économie mondiale et font augmenter les prix pour les consommateurs américains (+ 9,6 % en juin 2022 pour la consommation, + 11,3 % pour la production). Les perdants ne sont pas ceux qu’on croit, les chiffres de la croissance de l'économie yankee mesurée par le produit intérieur brut corrigé de l’inflation demeurant cependant corrects de par son industrie, grande gagnante de la crise de l’énergie en Europe, les entreprises européennes qui fabriquent de l’acier, des engrais et d’autres matières premières de l’activité économique, écrasées par la flambée des prix du gaz, ayant transféré leurs opérations aux États-Unis. Cela ne fait que rajouter aux conséquences néfastes des confinements liés au Covid (le pouvoir d’achat du revenu des ménages après impôt a ainsi chuté de 10,9 % en 2021, soit une baisse de 2 200 milliards de dollars, de loin la plus importante dans les statistiques remontant à 1947), véritable gaspillage au regard du nombre de décès constaté, l'expérience ayant permis au mieux d'avoir aidé les personnes vulnérables à ne pas mourir.

La leçon est que l’élite américaine est incompétente, l’inflation des prix et les pénuries se dissimulant derrière la "guerre des sanctions" de l’Amérique contre un virus mutagène et l'épouvantail Vladimir Poutine. Au final, des centaines d’entreprises américaines sont embarquées dans les sanctions, renonçant à leurs chiffres d’affaires et profits en échange de bienfaits psychologiques – quels qu’ils soient – obtenus en retour. Les souffrances provoquées par les sanctions ne peuvent que s’abattre telle une pluie acide aussi bien sur les justes que sur ceux qui ne le sont pas. La réalité est que l’inflation a été bel et bien créée par les responsables politiques américains, la guerre en Ukraine étant le point culminant d’un projet décliné sur trente ans mené par le mouvement néoconservateur américain qui a soutenu les guerres américaine et otanusienne en Serbie (1999), Afghanistan (2001), Irak (2003), Syrie (2011), Libye (2011), et qui ont tant fait pour provoquer l’invasion de l’Ukraine par la Russie. Le palmarès des néoconservateurs dont l'équipe Biden actuellement au pouvoir est truffée est un désastre absolu, un enchaînement de guerres idiotes, de 10 000 à 15 000 Mds$ jetés par les fenêtres. Et pendant ce temps, le "bras armé du Deep State" – les va-t-en-guerre des berges du Potomac – s’est enrichi sinon gavé, alors que tous les autres se sont appauvris (en 1999, une maison moyenne se vendait 131 000 $, son prix aujourd’hui étant de  428 000 $ ; le salaire horaire moyen était de 5,15 $ en 1999, 10,86 $ aujourd’hui ; résultat, un salarié devait travailler 12 ans pour payer sa maison, à la fin du XXème siècle, 19 ans aujourd’hui).

Et c’est pareil avec les politiques "monétaires" menées avec l'impression de 8 000 Mds$ d’argent frais depuis 1999, parce que les autorités en charge (la FED) ont bloqué des segments importants de l’économie pour tenter de lutter contre le Covid, et parce qu’elles ont maintenu des taux d’intérêt bien trop bas bien trop longtemps. Et maintenant parce qu’elles entravent le flux des biens, des services et de l’argent… dans le cadre de cette "guerre des sanctions" contre la Russie.

Quant à la réalité sociale, elle est dans de nombreuses villes à l'image de l’État le plus peuplé d’Amérique, la Californie, et de son ex joyau culturel San Francisco, la célèbre ville aux sept collines, qui porte aujourd’hui les stigmates d’une mauvaise gestion politique, voyant ses habitants fuir vers les sorties de secours en raison de ses stigmates : pauvreté endémique, sans-abri, toxicomanie, vitrines fermées ne sont que quelques-uns des problèmes qui frappent aujourd’hui le joyau culturel de la Californie, autrefois exquis. Les drogués y sont tellement dérangés qu’ils ne représentent un danger que pour eux-mêmes !

Alors, place à La sonnerie aux morts*², celle de l'empereur-dollar !

* John Fitzgerald Kennedy (1917/1963), 35° président des États-Unis, assassiné le 22 novembre 1963 à Dallas (État du Texas).

Attribuée à Daniel Adams Butterfield, alors brigadier-général au sein de l'armée de l'Union, c'est une sonnerie militaire de l'armée américaine, nommée "Taps", jouée pour l'"extinction des feux", la "descente du drapeau" ou aux funérailles. Elle a pour origine la guerre de sécession (1861 à 1865).

 

La "Belt & Road" chinoise - Cliquer pour agrandir
La "Belt & Road" chinoise - Cliquer pour agrandir

La fin du pétrodollar

C'est un fait, le dollar américain et les prix du pétrole ont rompu leur lien commercial historique, signe supplémentaire de la contestation de la domination américaine. Leur liaison de cause à effet ou corrélation n'était en effet pas organique, n’existant que dans la tête des gens qui les observent, les apparentés économistes. Autrement dit, il s'agissait d'une croyance historique, tracée par les accords entre les États-Unis et l’Arabie saoudite. Et comme les relations géopolitiques entre les USA et l’Arabie Saoudite évoluent, et que les alliances se complexifient, le régime du dollar est devenu moins centrique, moins hégémonique.

Auparavant, les prix du pétrole avaient été poussés à la hausse par le Cartel - l'OPEP* -, afin de compenser la politique d’avilissement du dollar menée par les Américains. Désormais, la hausse des prix du pétrole a pour origine des événements géopolitiques ou militaires, ainsi que des objectifs qui raréfient le pétrole, le militarisent, et le rendent plus désirable en lui-même dans sa valeur d’usage. Autrement dit, les événements géopolitiques comme le conflit russo-ukrainien, les imbécillités de la militarisation du dollar par l'empire occidental dévoyé, et la transition énergétique, ont provoqué une disjonction, une libération, une autonomisation des prix du pétrole. Le réel reprend le dessus, entendant que la valeur d’usage reprend le dessus sur la valeur d‘échange, qui est libellée en monnaie fiduciaire. L'énergie est remise au centre du système, sa raréfaction entraînant la hausse de son prix.

Comme dans le monde de l’imaginaire financier et monétaire la "périphérie" de l'empire américain manque de dollars et d’eurodollars, son prix monte vis-à-vis des autres monnaies fiduciaires. Mais, dans le monde réel, celui de l’usage, de la vie, de la force, de la violence et de la vraie rareté, le dollar baisse contre le pétrole. Donc, et inévitablement, le pétrole monte. Il y a ainsi constitution d'une véritable brèche dans le système/régime de la financiarisation, voyant le dollar américain et les prix du pétrole rompre leur lien commercial historique. Et c'est un coup dur pour tout le monde, à quoi se rajoute la décision prise en juin 2022 par le président russe Vladimir Poutine de mettre en place avec les autres pays du BRICS (Brésil, Inde, Chine, Afrique du Sud notamment) une nouvelle alternative fiable au statut de monnaie de réserve mondiale du dollar américain pour le paiement de leurs échanges commerciaux. La nouvelle monnaie de remplacement sera alimentée par la blockchain (base de données transparente disposant d'un haut niveau de sécurité et fonctionnant sans organe central de contrôle) et soutenue par l’or, ce qui explique pourquoi les nations membres ont rapidement stocké des réserves d’or en prévision de cette grande annonce. En conséquence, et pratiquement du jour au lendemain, le prix des biens et services vendus en Amérique augmentera de 1000 %, le dollar ne cessant à perdre de la valeur car les détenteurs mondiaux de dette du Trésor américain et de monnaie en dollars s’en débarrasseront à n’importe quel prix. Ceux qui détiennent des dollars vont tout perdre, et le gouvernement des États-Unis s’effondrera rapidement. Il n’y aura plus en effet d’argent pour payer les troupes militaires ou les fonctionnaires corrompus. Une véritable guerre civile, remake de la Guerre de Sécession originelle (1861/1865) inscrite dans les gènes de cette Nation viciée, pourrait s’ensuivre, avec des pertes massives...

Autre mortelle piqûre, l’initiative en cours de déploiement nommée "Belt and Road" de la Chine (Cf. carte ci-dessus), constituée de routes commerciales protégées et à haut rendement entre des pays représentant environ 75 % de la population mondiale. Ce renouveau des anciennes Routes de la soie est destiné à accélérer le commerce entre les nations membres en utilisant la nouvelle monnaie chinoise, le "yuan numérique", adossée à l’or et vérifiée elle-aussi par la technologie blockchain.

* L'Organisation des pays exportateurs de pétrole (OPEP), créée en 1960, est une organisation intergouvernementale de pays visant à négocier avec les sociétés pétrolières pour tout ce qui touche à la production de pétrole, son prix et les futurs droits de concession. Son siège social est à  Vienne en Autriche. Elle compte 13 États membres : Algérie, Angola, Arabie Saoudite, Congo, Émirats arabes unis, Gabon (depuis 2016), Guinée Équatoriale, Iran, Irak, Koweït, Libye, Nigeria, Venezuela.

 

La sonnerie aux morts

 

La vie dans la matrice terrestre, la "3-D", n'est qu'illusion. Depuis les origines civilisationnelles de cette cinquième humanité*, soit plusieurs milliers d'années, les hommes se battent au nom de croyances et d'idéologies illusoires instillées dans leur esprit embrumé, la non-conscience de Ce Qui Est vraiment, la Réalité multidimensionnelle de l'Esprit unique universel (ou la Loi de l'UN). Des croyances idéologiques politiques, religieuses, sociales, culturelles, philosophiques, scientifiques... toute la vie des humains est régie par leurs croyances. Elles sont le moteur même de l'illusion générée par leurs maîtres prédateurs du champ astral, et relayée par leurs ordonnateurs "babyloniens" terrestres.

Mais lorsque la lumière peut affluer dans le cœur des hommes, elle éclaire et dissipe l'illusion de toute forme de conflit. C'est la manifestation du "double", la supraconscience, soit la partie égarée et oubliée d'eux-mêmes. Cette lumière est révélation : elle est celle de l'apocalypse, soit la renaissance par la connaissance, et de ce fait de l'ascension de conscience, clé de leur libération de la matrice des morts-vivants par la transformation (ou transmutation) épigénétique réalisée (reconfiguration des brins d'ADN jusqu'alors manquants, car délibérément amputés)*². Par l'accès à cette nouvelle dimension de conscience, la "5-D", la vie change, l'être humain jusqu'alors tenu en laisse par l'hypnose "archontique" retrouve sa souveraineté existentielle d'être créateur libre, à même par la maîtrise de la science de l'atome de sublimer la matière, et non plus de la pervertir. Seule l'acceptation de "l'imprévu", l'éphémère (l'"effet-mère") dégagé du mental égotique, de la "père-version" (le Moi égo), ouvre la porte à cette nouvelle perspective, autrement dit à une nouvelle ligne temporelle.

* Cf. Symbolisme des neufs premiers nombres - le chiffre 7.

Cf. Le chemin alchimique.

 

Les pièces

Les pions

 

Pièce de "base" du jeu d'échec, le pion (♙, ♟) vient du latin pes, pedis, pedo, "pied", pedonis, "qui a de grands pieds". Il a pris le sens de "piéton", peon signifiant de son côté "fantassin" et par la suite pehon "pauvre hère" ou peon comme "ouvrier agricole ou ouvrier non spécialisé". Au XIX° siècle il est employé pour désigner dans l'enseignement un "surveillant" ou la "sous-maîtresse d'un pensionnat de demoiselles", autrement dit un ou une assistant(e) d'éducation en langage familier. En mécanique industrielle, un pion sert à la mise en position et au maintien d'une pièce par rapport à une autre...

 

Autant dire que nous retrouvons le pion à sa "juste" place sur l'échiquier de la Matrice dévoyée, soit la première rangée des pièces uniformes - les "zéros" -, simples, prêtes à être sacrifiées sur l'autel de la stratégie prédatrice jouée par ses royaux et séides dévoués. Leur capacité de déplacement est limitée, pouvant simplement avancer. Ils représentent la grande part de l'humanité, servant à faire avancer les autres ou à faire la guerre, étant alors les premiers à être éliminés...

 

Le paradoxe du pion

S'il est la pièce la moins mobile du jeu* et pour cette raison la moins forte, le pion est cependant l'âme du jeu d'échecs (le jeu du Vivant). Malgré sa force réduite, son importance est déterminante, une différence d'un seul pion pouvant suffire pour faire pencher la balance. Les ouvertures dans le jeu (comme dans la vie) sont classées en fonction du déplacement initial d'un pion, certaines étant directement déterminées par le sacrifice d'un pion (nos illusions) que consent l'un ou l'autre camp dans la phase initiale de la partie. C'est pourquoi en milieu de jeu (éveil de la conscience dans son parcours de vie), les pions déterminent l'ossature de la position d'un joueur : la structure de pions (son alignement cohérent). En finale, les pions se livrent souvent à une course à la promotion : le plus rapide remporte souvent la victoire (en l'occurrence s'extirper de la Matrice involutive) ...

* Depuis sa position d'origine, le pion peut avancer d'une ou deux cases, au choix du joueur. Par la suite, le pion avance d'une seule case à la fois, sans changer de colonne. Le pion ne peut ni reculer, ni prendre vers l'arrière.

 

Il est cependant à comprendre que sur l'échiquier de la matrice terrestre dévoyée car désacralisée, tous les êtres humains, sans exception, y compris les puissants, autrement qualifiés d'"élites", ne sont que des pions actionnés par les véritables joueurs, les Intelligences inter-dimensionnelles négatives (involutives) situées en 4ème dimension de densité, qui les manipulent et asservissent tant qu'ils n'ont pas procédé à leur profonde transformation de conscience par la quête de leur individuation*. Ils se répartissent certes en apparence dans des rôles pouvant les conduire sur le devant de la scène comme des décideurs gagnants, alors qu'ils ne sont que des pantins illusionnés par leur égo-mental jouant une partition mortifère, celle de l'intolérance et de la cruauté, destinée par ces "jeux secrets" des dieux et seigneurs de l'Astral à nourrir le système prédateur. Ces apparents puissants sont utilisés comme personnes influentes, étant des effets plutôt que des causes. Or les gens qui insistent pour que nous suivions leurs idées sont toujours ceux dont les idées sont idiotes, et généralement elles sont vastes... et bêtes, faisant appel à la soif des foules inconscientes pour la gloire, la rapine et la sécurité matérielle. C'est ainsi que, par leur intermédiaire, la vraie structure de pouvoir tapie dans l'ombre utilise les pays comme des pions pour ses objectifs, les nations étant sacrifiées quand elles ont fait ce qui était requis d'elles. La prochaine à tomber sera l’Amérique, du Nord s'entend, conséquence du principe "Vivre par l’Épée, Mourir par l’Épée" ! 

De son côté, le penseur humaniste italien de la Renaissance Nicolas Machiavel (1469/1527) avait constaté que la religion et ses enseignements de foi, espérance, charité, amour, humilité et patience dans la souffrance, étaient des facteurs propices à la faiblesse chez les humains, qui les écartaient des préoccupations terrestres et politiques de sorte à remettre ce pouvoir politique dans les mains d’hommes "méchants" qui ne pouvaient être influencés par des idéaux de ce genre. Par là-même, l’astuce toute... machiavélique du système prédateur qui gouverne notre mental consiste à convaincre les gens que "la vie après la vie" est tout ce qui compte (c’est dans cette perspective que le christianisme a été formulé). C’est également à cette fin que bon nombre de croyances et formulations "paix, amour et lumière" du courant New Age ont été concoctées : il faut seulement avoir la foi, méditer ou acquérir des connaissances et une conscience qui aideront tout un chacun à aimer tout et tout le monde. Ou comment ne pas rencontrer l'hydre qui git en nous, nous conduisant soit à accuser l'autre de ne pas être tout amour (le symptôme victime/bourreau), soit à aimer notre bourreau (le syndrome de Stockholm) !

* Cf. Qu'est-ce que l'Homme ? & Fonctionnement du corps biologique.

 

Petit extrait d'une longue liste : les philosophes méchants ou les "fils de" d'opérette (Bernard-Henri Lévy, fils d'André; Raphaël Glucksmann, fils d’André, et contributeur dans les années 2000 au Cercle de réflexion atlantiste l'Oratoire; Raphaël Enthoven, fils de Jean-Paul, tous les trois philosophes bourgeois types de plateau TV, combattants de l'arrière du front en dentelles avec pour compagnie de combat "la" maquilleuse et "la" coiffeuse, et à la pensée d'une conformité à la norme admise dite doxa qui ne saurait être remise en cause...) - les journalistes méchants (Ruth Elkrief, Apolline de Malherbe et Jean-Michel Aphatie, serviteurs dociles ou agités du pouvoir établi, modèles du journaliste manipulateur d’opinion avec de gros sabots; Eric Brunet, "l'idiot sarkozyste utile"; Laurent Mouchard dit Joffrin, le "gaucho trotskyste wokiste" propagandiste; Christophe Barbier, l'homme à la "serpillère (du pouvoir) rouge"; Patrick Cohen, ex petit roitelet du service public radio, infatué et arrogant; Emmanuel Lechypre, journaliste économique, éditorialiste à BFM TV et BFM Business, directeur de l'Observatoire BFM Business, à la pensée grasse et gluante; David Pujadas, le perroquet de ses maîtres; Nicolas Bouzou, l'économiste libéral, essayiste et chroniqueur qui a fait durant des mois l’apologie du présidentiable Macron sur les chaînes de BFM où il était devenu omniprésent; Pierre Servent, journaliste expert en stratégie militaire et anti-russe primaire) - les médecins méchants experts de plateaux TV/radio, propagandistes des laboratoires pharmaceutiques comme obligés des liens d'intérêt financiers établis (Gilbert Deray, néphrologue; Bruno Mégarbane, chef de la réanimation médicale à l'hôpital Lariboisière à Paris; Karine Lacombe, infectiologue; Jean-Paul Hamon, président d'honneur la Fédération des médecins de France; Alain Fischer, professeur d'immunologie pédiatrique et chercheur français en médecine, en charge de la coordination de la stratégie vaccinale de l’État contre la pandémie de Covid-19 en France; Jérôme Marty, médecin généraliste et président du syndicat UFML - Union Française pour une Médecine Libre-); les scientifiques transhumanistes propagandistes (Laurent Alexandre, urologue de formation, entrepreneur, chroniqueur, écrivain et militant politique français expatrié fiscal en Belgique); les chroniqueurs "Monsieur/Madame tout le monde" des plateaux médias qui disent tout et son contraire sans conscience et avec mépris sinon grossièreté (le fromager gueulard Johnny Blanc, la chroniqueuse bécasse Géraldine Maillet); l'essayiste gaucho-covidiste perchée Céline Pina.

 

Des hommes "méchants"... ou sans âme

Méchant (e) : individu qui fait intentionnellement du mal à autrui, qui cherche à nuire, qui manifeste la volonté de nuire.

Ces individus sont pour la grande majorité des psychopathes, soit des individus qui divisent de manière rigide le monde en blanc et noir, bien et mal, tout en se camouflant derrière des attributs et paroles humanistes. Ils sont soit des psychopathes génétiques, soit des psychopathes dit "secondaires" parce qu’en raison de blessures subies dans leur enfance, ou de leur éducation, leur conscience est morte ou s’est flétrie. Ils sont programmés avec des mensonges, et ce dès leur très jeune âge. Aussi ce qui est bon ou mauvais dépend des circonstances immédiates, c’est-à-dire de ce que les psychopathes veulent à ce moment-là. Il ne s’agit en aucune façon d’un "mécanisme de défense", juste la réalité à prendre en compte qui est centrée sur ce qui leur est agréable sans tenir compte des autres êtres humains, excepté en tant qu’objets qui peuvent satisfaire leurs besoins. On pourrait presque dire que la structure psychologique des psychopathes est, nonobstant leurs circuits neurologiques hautement développés, équivalente à celle d’un nouveau-né, à savoir qu'elle ne se développe jamais, ne grandit jamais. Elle est infantile, propice au mensonge. D'ailleurs, le psychopathe ne ment même pas réellement, "créant juste une réalité" afin qu’elle se conforme à ses désirs. Il déclare que les choses sont ainsi, la  déclaration du moment pouvant contredire ce qu’il a dit à un autre moment. Les psychopathes n’essaient jamais de gérer la contradiction, car pour eux il n’y a pas de contradiction. Ils ne peuvent tout simplement pas comprendre des abstractions comme l’espace et le temps, démontrant un manque total de compréhension de ce que nous appelons les "faits", non qu'ils les nient, mais parce qu'ils ne les comprennent tout simplement pas*. Ces individus sont comme des microbes pathogènes dans un corps, comme un cancer dans la société. Un corps peut être certainement rongé et détruit par la maladie, mais c’est du fait de la maladie, pas du corps lui-même. Leur qualité de vie est de nature robotique, tant ils sont dans l'incapacité de connaître la vraie joie. Si en effet le plaisir est enraciné dans la physiologie, la joie provient de l’âme, dont ils sont dépourvus ou amputés.

A noter selon les travaux du médecin américain Jane Ruby la présence de nanotubes de carbone dans les injections à ARNm qui, comme nano-transporteurs lipidiques, déplacent l’ARNm synthétique dans différentes cellules du corps humain et s’engagent dans le cerveau des gens et le court-circuitent, les plaçant entre autres sous contrôle et les rendant plus agressifs et irritables...

* C'est ainsi que l’idée populaire du New Age basée sur l'adage "on se crée sa propre réalité" illustre la manière dont la pensée psychopathique a infiltré notre société et conduit par l'esprit vicié à la dénaturation du corps. Comme illustration emblématique, nous pouvons citer le phénomène rencontré par le prétendu philosophe (signifiant homme de sagesse) Bernard-Henri Levy qui a eu des stigmates en mars 1997 après que l'ancien homme politique Dominique de Villepin lui ait dit qu’il était un Christ sans croix. Ce qui se cache derrière ce phénomène psychosomatique est qu'il a émergé d’un centre de croyance hautement égoïste, celui d'un être intérieur tordu, sioniste qui déteste Jésus, et qui se pense le Messie dans sa tête... Il y croyait, et c’était suffisant pour que la croyance devienne réalité.

Cf. Les psychopathes qui nous gouvernent.

 

La guerre contre le virus Covid-19, illustration de la tendance à l’imbécillité

Les dirigeants veulent toujours jouer les gros bras, trouver un ennemi, faire la guerre, dépenser de l’argent, rallier des électeurs crédules derrière une grande cause nationale, pour au final dépouiller, autrement dit tondre et plumer le public, les citoyens "mougeons" (animal hybride entre mouton et pigeon). L'exemple du virus Covid-19 l'illustre, nombre de leaders n'ayant pas hésité de leur air grave et sentencieux à lui déclarer la guerre, et pour la gagner à dépenser ce qu’il fallait. Gagner la guerre ? Les études et les statistiques affluent, montrant qu'elle n'est qu'une opération perdante de plus. Dans le détail, le virus n'a pas tué pas autant de gens qu’on le pensait ou faisait croire, les gens qui en meurent étant en grande majorité vieux, obèses ou malades, autrement dit avec un système immunitaire dégradé, déficient. Quant aux jeunes, ils ont plus de probabilités de se suicider que de mourir du Covid-19. Le mathématicien argentin Felipe Noguera avait ainsi fait en 2020 quelques calculs, concluant que le taux de mortalité probable est plus proche des 0,1%-0,2% (réévalué depuis à 0,5-0,6%)... que des 6,9% initialement estimés.

En d’autres termes, le "conaro" virus est certes un très vilain microbe, mais qui en veut particulièrement aux gens qui ne sont pas en forme, d'autant s'ils sont sous l'effet de la peur martelée jour et nuit par les médias crétins et larbins (ils en vivent à travers audiences et recettes publicitaires liées) et les "experts" oiseaux sinistres de mauvaise augure invités sur leurs plateaux, dont nombre sont liés par intérêts sonnants et trébuchants à leurs mandants du lobby pharmaceutique. Or, en ayant verrouillé l’économie entière et empêché les gens actifs sains de mener leur vie comme ils l’entendaient en produisant leurs talents et capacités dans leur domaine respectif, il en a découlé un plan d'aides massives venant se rajouter à des économies qui étaient pour la plupart déjà fortement endettées. Résultat, si le confinement décidé par les autorités était peut-être une erreur de bonne foi, sa gestion d'amateur (il est plus facile de jouer les matamores face aux gilets jaunes et autres laissés pour compte) comme son renflouage inconséquent a constitué en fait un crime d’État, le plus grand vol de l’histoire du monde "libre" contemporain, et dont les effets mortifères ne cessent depuis de se révéler...

Vous aviez "aimé" le premier vaccin anti-conscience du XXI° siècle nommé "11 septembre" ? Vous ne pouvez que vous régaler et déguster son grand frère "Covid-19", autrement plus ravageur et efficace au royaume des morts-vivants, avec ses variantes tout autant mortifères : guerre contre le soi disant réchauffement climatique, guerre contre l'extrème droite et le complotisme, guerre contre l'empire poutinien, guerre guerre guerre... Le problème est que nos asiles sont bien trop petits pour accueillir tous ces imbéciles belliqueux !

 

Les pions acteurs de la pièce jouée dans leurs rôles respectifs de bourreau, victime et sauveur : François Mitterrand - Coluche - Jacques Attali - Romain Goupil (Romain-Pierre Charpentier) - Jean-Jacques Goldman - Bernard Tapie - Michel Rocard.

Dans la matrice des morts-vivants, l'accident mortel comme celui de cette pièce ne repose pas forcément sur un "meurtre sur commandes", comme quelqu'un qui nous fonce délibérément dedans ou qui a trafiqué l'engin motorisé utilisé. C'est le "jeu" des influences sur la personne, celle-ci n'étant qu'un outil. Elle peut ainsi rouler sur une route vide, étant d'apparence seule responsable de ce qu'elle fait. Ensuite, à un moment, elle décide de foncer dans un arbre ou dans un camion. Ceci entend qu'elle n'est plus elle-même. Elle est un outil manipulé par distorsion énergétique, l’énergie négative frappant sa "bulle de protection" cognitive... D'où l'importance vitale d'être par la conscience son propre mécanicien !

Illustration emblématique (1) : la stratégie perverse du pion et du fou

Lorsque la gauche socialiste au pouvoir depuis 1981 paracheva la désindustrialisation de la société française amorcée sous le septennat giscardien précédent par le virage de la rigueur (le "thatchérisme" à la française) en 1983, précipitant dans la précarité et la pauvreté nombre d'individus constitutifs d'une partie de son socle électoral - le prolétariat -, il fallut maquiller l’œuvre de misère destructrice par un enrobage humaniste afin de maintenir l'espoir en la rose libératrice. C'est ainsi que le Prince machiavélique mit en avant son pion caution - le fou populaire sympathique - à l'initiative des réseaux respectifs de deux trotskystes comparses chargés de la mise en œuvre, pour créer le "charity business", système apolitique, - les Restos du cœur -, en faisant appel à la générosité du bon peuple par les tirades larmoyantes d'artistes nantis sur scène portant bien leur nom d'enfoirés. Ou comment faire payer à autrui ses propres turpitudes, les zozos le cœur bien à gauche étant invités à régaler les faux zozos de gauche ayant le cœur bien à droite !

Lorsque le fou comprit un peu tard la manipulation et la turpitude commises à son encontre, et qu'il décida de les dénoncer dans son nouveau spectacle, il disparut étrangement suite à un malencontreux accident de moto sur une route fermée à la population, les bandes magnétiques du spectacle disparaissant opportunément... Quant au Prince corrompu et rongé par la vermine prédatrice, il crut bon évoquer pour la rédemption de son âme les forces de l'Esprit à quelques mois de sa disparition...

La même stratégie fut appliquée avec Bernard Tapie, chargé d'insuffler la force entrepreneuriale source d'espérance à travers son show télévisuel "Ambitions", émission d'économie mensuelle diffusée le vendredi soir à 20 h 35 du 28 février 1986 au 28 février 1987 sur TF1, et au passage de barrer la route à Michel Rocard dans son ascension élyséenne en légitimant la culture entrepreneuriale de la "Mitterrandie" régnante...

 


Illustration emblématique (2) : les populistes

Dans la grande comédie des démocratures sont mis en avant comme caution du faux choix offert aux gogos électeurs les populistes, tribuns forts en gueule chargés de proposer une offre clivante source d'espérance. Ils bénéficieront ainsi de toute la mansuétude du système (soutien financier, accès aux médias lorsqu'ils ne les contrôlent pas) jusqu'au moment où ils sont susceptibles de franchir l'étiage fatidique*. Alors surgissent des poubelles jusqu'alors fermées turpitudes fiscales, frasques sexuelles, propos verbaux ou rédigés de naguère... qui viennent leur rappeler les limites autorisées, jusqu'à leur déchéance de la scène sociale s'ils ne se montrent pas conciliants pour ne pas dire obéissants. La plupart du temps, ils préfèrent conserver prébendes et feux de la rampe comme opposants institutionnalisés, simples "prédateurs" en cage muselés, et continuer à se mentir à eux-mêmes comme à leurs soutiens militants illusionnés...

* Si tel est le cas, le franchissement du Rubicon repose sur une alliance bancale qui ne peut que générer le désordre nécessaire aux intérêts du système ...

 

Georges Marchais (1920/1997 - le Parti Communiste) - Famille Le Pen père (le Front national) et fille (le Rassemblement national) - Jean-Luc Mélenchon (Les Insoumis devenus La Nupes avant son inévitable éclatement) - Nicolas Dupont-Aignan (Debout la France) - Silvio Berlusconi (1926/2023 - Forza Italia) - Bepe Grillo et Luigi Di Maio (Mouvement Cinq étoiles - Italie) - Matteo Salvini (Ligue du Nord - Italie) - Georgia Meloni (Frères d'Italie, Première ministre d'Italie) - Viktor Orban (le Fidesz - Hongrie) - Nigel Paul Farage (ancien leader de l'UKIP - UK Independence Party - et leader du Parti du Brexit - Angleterre) - Boris Johnson (Parti conservateur anglais pro Brexit, ex Premier Ministre) - Heinz Christian Strache (FPÖ - Autriche -) - Robert Fico (SMER, président du gouvernement slovaque) - Geert Wilders (Parti pour la liberté - Hollande)

 


François Bayrou, Daniel Cohn-Bendit, Robert Hue, Jean-Pierre Raffarin, Ségolène Royal. Ils cumulent à eux cinq plus de 200 ans de vie politique. Mais sont-ils bel et bien vivants, en leur intérieur s'entend ? A l'instar de quasiment tous leurs coreligionnaires, ils ont/avaient deux objectifs principaux : la réélection et le vol, de la conscience sans aucun doute. Le but de la première est simplement de permettre le second. Pour ce faire, ils excellent dans le bon moyen d'accomplir les deux : stimuler les électeurs avec de la fausse monnaie... de fausses guerres... et de fausses informations !

Illustration emblématique (3) : le "Nouveau monde"

Le pouvoir est une substance hautement addictive. Lorsqu'un individu sous l'emprise du phénomène aliénigène qui le domine en a consommé à haute dose sur une longue durée, il lui est ensuite très difficile de trouver un autre but dans la vie que de régir celle des autres. C'est ainsi que des politiciens professionnels * empêchent la classe politique de se renouveler régulièrement, faisant souvent l'intégralité de leur carrière dans le milieu, ne se résignant à l'abandonner que lorsque la mort les en sépare. Cela ne favorise évidemment ni l'apparition de nouvelles têtes, ni l'émergence de nouvelles idées. Ces vampires restent ainsi à la disposition de la Nation, jusqu'au coup de soleil de trop.

Ainsi la "révolution" politique macronienne - le dirigisme constructiviste également appelé le progressisme européen (Cf. résumé par le diagramme dit de Nolan sur l'image 6 ci-contre) -, chantée par ses zélateurs comme inaugurant le Nouveau monde consistant à "ne plus jamais faire de la politique comme avant", est portée par une nouvelle vague de soutiens frais, dont les visages ci-contre sont expressifs. Ce sont les nécromanciens de la politique, les morts-vivants *² !

* La différence entre un politicien professionnel et un individu de conviction qui s'engage en politique est que le premier élabore d'abord une tactique, puis une stratégie, et enfin définit un objectif. Le second fait l'inverse...

Il en est de même aux Etats-Unis que contrôle une élite gériatrique : Donald Trump (74 ans), Joe Biden (77), Nancy Pelosi (80), Mitch McConnell (78), Jerome Powell (67), Anthony Fauci (79). Pris ensemble, Biden, Pelosi, McConnell et Fauci sont au gouvernement depuis 185 ans. Tout naturellement, ils ont arrangé les meubles comme cela leur convient !

 


Illustration emblématique (4) : Le Nouveau monde des faux prophètes

Le célèbre professeur, consultant en management d'entreprise, auteur et théoricien américain Peter Ferdinand Drucker (1909/2005) a théorisé un grand secret de manipulation des êtres humains en stratégie d'entreprise, nommé "Créer le client" (Create your future en anglais). Il a notamment été mis en œuvre par Apple et son visionnaire créateur légendaire, Steven Paul Jobs dit Steve Jobs (1955/2011). De manière subtile, il consiste à ce que le client utilisateur du produit (bien ou service) s'identifie tellement à un univers à venir (la promesse de l'entreprise, en l'occurrence l'univers "magique" du digital) qu'il en oublie qu'il n'est qu'un simple consommateur business, autrement dit une vache à traire, un mouton à tondre, un simple pion sur l'échiquier de la prédation. En étant embarqué émotionnellement dans l'aventure (élégance du design produit, ergonomie ludique, innovation technologique permanente...) par la communication visuelle de grande ampleur assénée (publicité orientée création du désir et envie d'acheter), il oublie tout critère objectif et rationnel, le conduisant à surpayer l'accès à la promesse de ce "Nouveau monde" (la société Foxconn est le principal fournisseur d'i-phone et autres i-bidules fabriqués en Chine à bas coûts avant que d'être revendus à prix d'or en Occident) et à s'y lier de manière addictive (fidélisation sur la durée).

Cette stratégie s'appuie sur le plus grand mythe logé dans l'inconscient collectif humain, le mythe biblique, qui voit le soi-disant Créateur divin punir ses créatures humaines d'avoir goûté en dépit de son interdiction au fruit défendu tendu par le serpent corrupteur, "sa" propre (autre) créature, signant par-là même sa véritable nature, le Démon pervers. C'est le fruit de l'Arbre de la Connaissance, la pomme, qui recèle dans ses pépins (ou noyaux, atomiques s'entend...) la clé du Vivant, l'immortalité ou "l'éther-nité". Nul(le) ne s'étonnera que la personne "morale" économique Apple soit baptisée comme telle et l'ait choisie comme logo, l'entreprise inaugurant l'ère en cours du transhumanisme scientiste, soit la promesse de l'immortalité par la technologie (l'homme-robot) !*

C'est cette même stratégie qu'a utilisé Emmanuel Macron ("grande" école oblige pour maîtriser les techniques de manipulation mentale) pour le conduire à remporter l'élection présidentielle française de 2017, avec une autre variante du mythe biblique. Son mouvement baptisé alors "En Marche" a vu un nouveau messie surgir, avec la promesse là encore d'un Nouveau monde, en l'occurrence un monde (a)politique basé sur le ni-gauche ni-droite*². Il s'est appuyé pour ce faire sur des "marcheurs", soit des fidèles (les "Compagnons de Jéhu" - en hébreu JHVH signifiant "c'est Lui qui est") et disciples qui entourent le prophète pour l'aider à évangéliser les foules au nouveau dogme en allant à leur rencontre. Tout comme les clients utilisateurs d'Apple, ils sont les "cocus de Marianne" - dévalorisation du Féminin sacré -, l'icône républicaine. Mais fanatisés car endoctrinés, ils sont dans l'incapacité de regarder à l'endroit le piège tendu par le soi-disant Sauveur porte-flambeau de la nouvelle génération montante des technocrates sans vergogne, persuadés d’œuvrer à la libération salvatrice de la société alors qu'ils ne font que renforcer les murs de sa geôle-prison.

* Cf. Conscience du XXI° siècle.

La logique qui a conduit les électeurs à élire Emmanuel Macron à la tête de la République est que ce dernier incarnait dans l'esprit de beaucoup le meilleur des idées de la droite et de la gauche de gouvernement. Le président a respecté ce principe par son "en même temps", qui signifie que l’on est dans l’imaginaire, dans l’infantile, le réel - l’adulte - étant fait de choix et de ce fait de deuils. Comme le problème était que les idées du PS - Parti Socialiste - et celles de LR - Les Républicains - étaient identiques sur toutes les thématiques centrales, il en a résulté leur disparition respective pour permettre la mise en place du (faux) libéralisme, prétexte censé suppléer à la faillite de l’Étatisme, alors qu'il s'agit de la version la plus extrême du socialisme révolutionnaire, le "robespierrisme", autrement dit le culte de l’Être suprême !

Les "sauveurs bienfaiteurs"

Toute ressemblance avec Moïse, le faux prophète biblique*, serait purement fortuite pour les nouveaux "Guru ou Charismatic leaders" contemporains, telle que l'illustre l'image 6 tirée du jeu de cartes américain nommé Illuminati (créé en 1995), et qui prévoit, sacré hasard, les événements futurs avec une étonnante précision...

Ils ne font que prolonger le mirage de l’identité collective, résultat du pacte conditionnel du monothéisme, dont l'invention a créé une rupture radicale d’avec la Nature. Un dieu transcendant fait irruption dans l’histoire, en exigeant que le peuple qu’il constitue obéisse à la loi qu’il institue*². La première et plus importante de ces lois est, bien sûr, que le peuple lui jure allégeance, à lui et à lui seul, et c’est ce qui fait de ces gens un peuple unifié par opposition aux "autres" (comme dans tous les autres peuples). C'est ce qui aboutit ensuite à la violence, le "commerce des croyances" constituant une permission d’accepter l’acte de vengeance si l’accord est rompu !

* Cf. Le Judaïsme décodé.

Voir l'exemple de l'empressement d'Abraham de sacrifier son fils, Isaac, exemple suprême de la manière de s'approcher de "Dieu". Il faut désirer donner à Dieu n'importe quoi et tout ! 

 


"Il faut le dire : il y a trop de grands hommes dans le monde ; il y a trop de législateurs, d'organisateurs, instituteurs de société ; conducteurs de peuples ; pères des nations ; etc... Trop de gens se placent au-dessus de l'humanité pour la régenter, trop de gens font métier de s'occuper d'elle."

"Attendre qu'il [le gouvernement] puise en lui-même la résistance à sa naturelle expansion, c'est attendre de la pierre qui tombe une énergie qui suspende sa chute."

Frédéric Bastiat, économiste, homme politique, magistrat et penseur libéral français (1801/1850 )

 

"La dernière chose dont les politiciens ont besoin, c'est de citoyens autonomes."

Thomas Sowell, économiste, écrivain et chroniqueur politique américain (1930/-)

 

"Que chacun balaie devant sa propre porte, et le monde entier sera propre."

Johann Wolfgang von Goethe, romancier, dramaturge, poète, théoricien de l'art et homme d'État allemand (1749/1832)

 

La putréfaction de l'être humain dévoyé

The Picture of Dorian Gray ("Le Portrait de Dorian Gray" - image 1) est un roman de l'écrivain irlandais Oscar Wilde (1854/1900), publié en 1890. Il met en lumière la personnalité équivoque d'un dandy (le masculin illusionné) dans un courant "décadentiste" (la cyclicité mortifère de la Matrice asservissante). C'est ainsi que le beau et vaniteux Dorian Gray (le paraître) possède dans son grenier un portrait de lui-même, qui se décompose pour devenir monstrueux à mesure qu'il s'adonne à une vie de débauche (la corruption de l'avoir et du pouvoir), et ce sans changer d'aspect (la fausse lumière qui irradie soi-même comme autrui par ses artifices). A la fin (du rôle attribué), la découverte de la décomposition du tableau l'atteint d'un seul coup.

D'après le poète italien Dante Alighieri (1265/1321), nous sommes tous ici-bas à son image. Nous créons un enfer comme un paradis intérieurs, notre inconduite ou conduite affectant la structure et la matière mêmes de notre monde d'appartenance*. Notre inconduite le met sens dessus dessous, dévoilant ainsi les effets abominables de nos pensées les plus profondes et des méfaits que nous voulons dissimuler, sous gouverne de la force prédatrice dissimulée dans notre inconscient. Il en découle que tout ce que nous faisons ou pensons altère matériellement l'univers, pour le pire comme le meilleur lorsque nous nous raccordons à l'Esprit souverain universel.

L'observateur avisé ne sera pas surpris que les êtres humains servant, consciemment ou non, les Forces de l'Ombre et des Ténèbres, révèlent tel le portrait de Dorian Gray l'état physique de leur âme empoisonnée (lorsqu'ils en ont une) une fois le masque tombé, car proches de la fin de la pièce interprétée, lorsque le linceul de la Mort s'apprête à les revêtir et les livrer à Anubis, le dieu chacal gardien de l'Hadès, le royaume des morts-vivants. Boursouflures, yeux avachis et enflés, figure et corps qui commencent à gonfler, ne sont pas que le signe de la vieillesse qui se profile ou de la maladie qui ronge, mais de la méga-inflammation diabolique. Le corps étant le prolongement de l’âme, la peau représentant l’intimité de notre identité en contact avec l’Univers, le mal prend toujours son péage sur le corps !

* Cf. Esprit global & La pensée création.

 

"Ceux qui n'apprennent rien des faits désagréables de leurs vies forcent la conscience cosmique à les reproduire autant de fois que nécessaire (...) Nul ne peut avoir de lien avec son prochain s’il ne l’a d’abord avec lui-même."

Carl Gustav Jung

 

Le couple royal

 

Derrière l'infanterie, au centre de la seconde rangée, se tiennent côte à côte comme il se doit le roi, le masculin électrique (polarité +) et la reine, le féminin magnétique (polarité -).

 

Le roi (♔, ♚) est tout naturellement la pièce clé du jeu d'échecs, positionné au centre-droit de sa rangée avec à gauche sa dame et à droite son fou, faisant face au roi de l'autre couleur en face sur la même colonne. Il se déplace d’une case dans n’importe quelle direction (horizontale, verticale, ou en diagonale), sauf sur une case occupée par une pièce de sa couleur ou contrôlée par une pièce adverse (il ne peut se mettre lui-même en position d’être pris, c’est-à-dire en échec). Aucun déplacement ne peut donc conduire à ce que les deux rois se trouvent sur des cases adjacentes ou un coin commun, privilège royal oblige. Le roi prend comme il se déplace. Il peut donc prendre toute pièce adverse non protégée (par une autre pièce adverse) en se déplaçant sur la case qu’elle occupe, et la pièce prise est alors retirée de l’échiquier.

Si le déplacement du joueur met en prise le roi adverse, ce roi est dit en échec, et le joueur en échec doit immédiatement remédier à cette situation. Il existe trois possibilités de sortir le roi de l'échec :

. en déplaçant le roi sur une case non menacée ;

. en masquant l'échec (en intercalant une pièce entre le roi et la pièce attaquante, ce qui n'est pas possible si l'échec est effectué par un cavalier) ;

. en prenant la pièce attaquante (avec le roi ou autre pièce).

Si aucune de ces trois options n'est possible, le roi est échec et mat et le joueur perd la partie.

Le roi porte sur sa tête une croix. Elle signifie la spiritualité enseignée par les religions institutionnelles, indispensable pour donner au peuple de l'espoir, de l'espérance, et contenir ses pulsions, s'assurer de sa pusillanimité. Les religions institutionnelles sont lentes au changement, à l'instar du déplacement du roi dans le jeu de la Matrice entropique ...

 

La dame, aussi appelée "improprement" reine (♕, ♛)*, se tient à côté des religions. Elle symbolise la politique, le gouvernement. Elle est la pièce la plus puissante du jeu, se plaçant à ce titre et contrairement au roi sur sa case de couleur. C'est une pièce dite "à longue portée", capable comme toute bonne circonvolution politique de se mouvoir en ligne droite, verticalement, horizontalement, et diagonalement, sur un nombre quelconque de cases inoccupées, combinant ainsi le déplacement d'autres pièces d'importance (la tour et le fou). Elle peut ainsi changer avec la même dextérité les lois et les règles prévalant au fonctionnement de la société. Comme pour les autres pièces du jeu d'échecs (excepté pour le pion lors de la prise en passant), la dame capture en occupant la case occupée par une pièce adverse. Nous pouvons d'autant mieux comprendre avec elle le sens de "l'arène" politique, dans laquelle malgré ses vicissitudes il faut se trouver pour en retirer les avantages lorsqu'on choisit de servir la Matrice entropique...

* Elle est devenue dame pendant la période médiévale romantique.

 

Il est à comprendre que la vie des gens est en "jeu"/Je, dans le sens où ils peuvent devenir possédés lorsqu’ils adoptent une  idéologie, politique ou religieuse. Ce qui est en jeu est littéralement l’âme des individus. C'est ainsi que dans le livre extrêmement rare publié en 1937 Darkness Over Tibet ("La face obscure du Tibet") de l'auteur de voyages Theodore Illion (1898/1984), qui prétendit être parti au Tibet et y avoir découvert une cité souterraine*, le sage dit qu’il n’y a pas grand-chose qui soit un péché contre l’âme, à part jouer au dieu. Et cette idéologie, quand l'être humain l’embrasse, il joue à "Dieu", niant la réalité ! En d’autres termes, en portant une attention particulière à la réalité, à droite comme à gauche, nous ne pouvons pas faire face à la vérité, l’accepter et agir en conséquence. Nous devenons un rêve dans le passé. Et quand nous devenons un rêve dans le passé, cela signifie que nous cessons d’exister !

* Il y mentionne notamment Padmasambhava, comme étant le fondateur d'une "secte dégénérée du bouddhisme tantrique" qui ne cherche qu'à acquérir des pouvoirs magiques (c'est le thème principal du livre). Il y a de bonnes raisons de penser que sa description du Tibet a été déterminante pour convaincre le gouvernement nazi de l'Allemagne d'envoyer des expéditions annuelles au Tibet. 

 

Une valeur stratégique sans équivalent

La dame/reine est légèrement plus puissante qu'une tour et un fou associés, alors qu'elle est légèrement moins puissante que deux tours. Elle vaut l'équivalent de neuf à dix pions, cette valeur n'étant qu'une estimation relative de son importance. Puisqu'elle a plus de valeur qu'aucune autre pièce, il est presque toujours défavorable de l'échanger contre une autre pièce que la dame adverse, signant par là-même le mécanisme du jeu politique à l'échelle géopolitique.

Son potentiel est à son apogée lorsque l'échiquier est ouvert, quand le roi adverse n'est pas très bien défendu, ou quand il y a des pièces non défendues dans le camp adverse. Il n'est qu'à voir la situation géopolitique actuelle, avec le déclin des grandes religions institutionnelles ouvrant un boulevard pour l'établissement d'un Nouvel Ordre sur le plan mondial.

Très souvent, les joueurs débutants sortent la dame dès que possible, dans l'espoir de dévaster les positions adverses et parfois même pour conduire à un échec et mat précoce (par exemple le mat du lion ou le coup du berger). Cette stratégie est désavantageuse contre les joueurs expérimentés, soit les politiques roués et madrés. En effet, sans l'aide des autres pièces développées, une attaque de la dame/reine peut facilement être repoussée. Toutefois, "la défense scandinave" où elle joue généralement les deuxième et troisième coups peut être actionnée à haut niveau ...

L'échange des dames/reines est souvent considéré comme la fin du milieu de partie bien qu'il y ait des finales de dames. Celles-ci sont toutefois difficiles à gagner à cause de leur grande liberté de mouvement.

A noter qu'un simple pion peut être promu en dame/reine lorsqu'il parvient à la huitième rangée même si son camp en possède déjà une. Il faut laisser un peu d'espoir aux manants et à la piétaille, l'exemple permettant de contenir toute envie de révolte...

 

Les fous

Le fou (♗, ♝), au nombre de deux pièces par joueur, est lui aussi une pièce "à longue portée", qui se déplace en diagonale d'autant de cases qu'on le souhaite, sans pouvoir sauter par-dessus une autre pièce. Il ne peut changer cependant de couleur de case durant la partie, et ne balaie donc que la moitié de l'échiquier.

Son étymologie puiserait dans le vieux persan, signifiant "éléphant". Sa ressemblance avec le mot fol du vieux français (fool en anglais) a conduit à l’appeler "fou". Cette pièce est aussi désignée comme l'évêque en anglais (bishop), en portugais (bispo), en islandais (biskup). C'est pourquoi dans certains jeux son sommet évoque la forme d'une mitre d'évêque. Il a une autre désignation, signifiant "coureur" ou "chasseur", notamment en allemand (Läufer), en néerlandais (loper), en suédois (löpare), en danois (løber), en slovène (lovec), en hongrois (futó).

Les fous représentent les experts à l'esprit "étroit" tant prisés par le système, afin de compartimenter la connaissance et d'en empêcher la vision globale aux êtres humains sous contrôle. Ce sont les grands spécialistes tous domaines confondus, les (hauts) fonctionnaires, les cadres (supérieurs) d'entreprises, les présumés premiers de cordée que sont tous ces consultants de "haut niveau" des "Big-Four & Cie" (Accenture, McKinsey, Ernst&Young, Deloitte, Mazars...) dont le domaine d'excellence réside dans les notions insérées dans des tableaux excel et des slides powerpoint, les économistes*, les journalistes, éditorialistes et communicants "philosophes"*² présents à leurs débats audiovisuels. Autrement dit, tous ceux qui, imbus de leur savoir, pleins de morgue, condescendants et suffisants car manquant pour la plupart d'humilité (ils oublient qu'il n’existe pas d’expert de demain, uniquement des experts d’hier...) et ne pouvant changer de comportement par peur (inconsciente) de découvrir l'envers du décor de ce qu'ils appellent "la réalité", exécutent comme chiens et chiennes de garde du système dévoyé leur partition au "juste" endroit, les uns comme les autres sur les cases correspondant uniquement à la couleur attribuée suivant leur positionnement de départ dans ce jeu de dupes.

* Les pratiques économiques ne prennent jamais forme à partir de l'imagination d'un universitaire ou des promesses incantatoires d'un politicien, qui passe sa vie plus à détruire la richesse qu'à en créer (d'autant s'il est issu de la fonction publique), en privilégiant les brasseurs d'argent de l'industrie financière qui veulent dépouiller les investisseurs de leur argent, sous une forme ou une autre.

Bernard Henri Lévy - BHL - en est l'archétype caricatural, le voyant systématiquement poser que son ennemi politique – une personne ou un mouvement – est "factieux" et "anti-républicain depuis le premier jour". Et s'il ne parvient pas totalement à décrédibiliser son ennemi (à ce stade l'on ne parle plus d'"adversaire" ni d'"opposant"), il lui reste toujours la possibilité de "nazifier" sa cible. Profondément égocentré, il est persuadé d'être le nouveau Messie, puisqu'en "bon" sioniste il déteste la figure de Jésus... L'essayiste, animateur de radio et de télévision français, et prétendu philosophe Raphaël Enthoven apparait comme son (in)digne héritier.

 

Traduction emblématique

Cette partition involutive confinant à l'hystérie par l'inflammation psychosomatique (maladie psychique) des prétendus experts a trouvé son point d'expression paroxystique dans la couverture des élections présidentielles états-uniennes et de la crise sanitaire "Covid-19", notamment à l'occasion de la sortie du film documentaire "Hold-up"* de la société de production T-Prod (lien https://www.youtube.com/watch?v=nKBR2XRql8M&feature=youtu.be&ab_channel=IzoCorp). Nous avons ainsi assisté à une sortie massive des chiens et chiennes de garde du système institutionnel établi, dénonçant avec vitupérance hystérique et bave aux lèvres les contre-vérités professées à leurs yeux comme à ceux de leurs maîtres des "accusateurs", qui dénoncent non sans raisons factuelles fraude électorale, manipulations et mensonges gouvernementaux, et taxant comme "défenseurs" ces protagonistes qu'ils pointent de leur doigt tout autant accusateur brandi de complotistes, conspirationnistes et autres affabulateurs mystiques comme sectaires, autrement dits d'esprits malades.

Autre exemple, depuis le début de la guerre en Ukraine en février 2022, la défaite de Vladimir Poutine fut régulièrement prophétisée par des "experts" d'une géostratégie de salon et non de terrain, ceux-ci n'ayant eu de cesse de faire le tour des plateaux médiatiques, à l'exemple de Pierre Servent ou Michel Yakovleff sur la soi-disant chaîne d'information LCI appartenant au groupe de BTP Bouygues qui se frottait d'avance les mains d'une juteuse activité de reconstruction une fois la méchante Russie vaincue. Prétendant analyser les rapports de force, les stratégies et les tendances dominantes, leurs positions, véritables parti-pris, n'ont fait qu'entretenir une propagande mensongère, source d'aveuglement généralisé pour les citoyens non avertis, finalement régulièrement démentie par les faits. Le duo constitué par Pierre Servent et Michel Yakovleff, qui ont leurs ronds de serviette sur les plateaux médiatiques, en est un exemple caricatural. L’affaire étant bien plus compliquée que leurs projections au doigmouillé, le retour sur terre est d'autant plus difficile à négocier.

Incapables de se regarder dans le miroir, simples reflets de l'absurde qu'ils dénoncent même de bonne foi et également non sans raison pour nombre, ils signent l'état de leur Moi involué, la "maladie" tancée de l'autre n'étant que la leur.

* Ce ne sont pas en fait les erreurs ou les inexactitudes qui sont intéressantes dans ce documentaire, mais la compilation incroyable de témoignages sur les absurdités dans la gestion du virus Covid  (paquets de bêtises racontées par les experts ; contradictions des politiques ; erreurs d’anticipation à tous les niveaux ; stupidités racontées par les médias). Et concernant la suppression de l’argent liquide, assortie du traçage généralisé de tous nos faits et gestes (puisque tous les paiements, déplacements seraient traçables par les géants d’Internet et les gouvernements via les téléphones mobiles) mettant fin à la notion de vie privée, hypothèses qualifiées comme relevant de la "théorie du complot", qui peut être sûr qu'il n'en sera pas le cas ? Plutôt que de s'attacher aux excès du documentaire, ses citations parfois tronquées et mises en scène un peu sensationnalistes, ne serait-il pas plus judicieux que de favoriser un débat apaisé quant aux plausibles conséquences de ce virus sur notre façon de vivre dans les temps à venir.

 

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Les experts autoproclamés et l'effet Dunning-Kruger

L’effet Dunning-Kruger, aussi appelé effet de surconfiance, est un biais cognitif selon lequel les moins qualifiés dans un domaine surestiment leur compétence. On peut le rapprocher de l'ultracrépidarianisme.

Ce phénomène a été démontré au moyen d’une série d'expériences dirigées par les psychologues américains David Dunning et Justin Kruger, leurs résultats ayant été publiés 1999. Ils attribuent ce biais à une difficulté métacognitive des personnes non qualifiées, qui les empêche de reconnaître exactement leur incompétence et d’évaluer leurs réelles capacités. Cette étude suggère aussi les effets corollaires chez les personnes les plus qualifiées, qui auraient tendance à sous-estimer leur niveau de compétence et penseraient à tort que des tâches faciles pour elles le sont aussi pour les autres.

Il y a globalement et grossièrement 4 points à retenir de cette étude :

- Notre incompétence nous fait surestimer notre niveau de compétence. L’incompétence mène non seulement à des moins bonnes performances, mais nous nous donne aussi plus de mal à reconnaître qu’elles sont moins bonnes.

- Notre incompétence nous donne plus de mal à reconnaître la compétence de ceux qui la possèdent véritablement. Autrement dit, notre incompétence ne nous fera pas forcément apprendre des bonnes personnes.

- Une façon, probablement la plus fiable, de prendre conscience de notre incompétence est justement de devenir plus compétent.

- À l’inverse, notre compétence nous fait sous-estimer notre niveau de compétence. La compétence a tendance à nous faire croire que les autres sont aussi performants que nous.

Si les vrais experts existent, il faut rester extrêmement prudent lorsqu’ils sont (uniquement) autoproclamés. Plus quelqu’un prétend en savoir sur un domaine, plus il aura tendance à prétendre posséder des connaissances qu'il ne peut même pas posséder, car inexistantes...

La plupart de ces pions, qui jureraient évidemment sur leur lit de mort en toute bonne foi qu'ils ne sont en aucune façon des "agents de la Matrice", n'ont en fait pas besoin - ou même n'ont pas la capacité - de comprendre la signification du jeu qui se déroule. Ce sont des "machines réflexes" manipulées, disposant d'une "rangée de boutons" qui sont actionnés et de cadrans dont les aiguilles sont déplacées en fonction de leur environnement ou de leurs associations. Être en colère après eux aurait autant de sens que d'être en colère après un chien enragé sous prétexte qu'il est malade et qu'il a un comportement agressif.

 

Une fonction sacrificielle

Si le bénéfice de la paire de fous est souvent considéré comme un avantage, permettant de contrôler des cases des deux couleurs (noyautage du fonctionnement institutionnel par les experts de tout poil), le fou est souvent à l'origine de sacrifices, comme lorsqu'il s'agit de protéger les royaux menacés (il en est de même dans le fonctionnement de la Matrice).

On parle couramment dans ce jeu de "bon fou" et de "mauvais fou". Le bon fou est celui dont les pions sont placés sur des cases d'une autre couleur que celle sur laquelle il se trouve, le mauvais fou a au contraire " la vue obstruée " par ses propres pions, notamment centraux, qui se trouvent sur des cases de même couleur que celles où il se déplace. Toutefois, l'important est qu'un fou soit actif, en jouant un rôle bien défini. Si tel n'est pas le cas, il convient de l'échanger contre un cavalier adverse, de le rendre "bon" en déplaçant les pions afin qu'ils se trouvent sur des cases d'une autre couleur, ou encore de le poster devant la chaine de pions. Un expert se doit de rester utile au système, jusqu'à son sacrifice si nécessaire...

 

Les cavaliers

 

Le cavalier (♘, ♞) est une pièce habituellement représentée par une tête de cheval. C'est pourquoi il est parfois appelé comme tel. Son déplacement est original, dit en " L ", c’est-à-dire de deux cases dans une direction (comme une Tour) combinées avec une case perpendiculairement (toujours comme une Tour). Il va ainsi d'une case noire à une case blanche (ou inversement) en sautant une case. C'est la seule pièce du jeu qui ne soit pas bloquée dans son déplacement par les autres pièces. Cette particularité le rend très utile dans les positions fermées pour trouver une échappatoire. Le cavalier permet aussi de faire des fourchettes, c'est-à-dire de menacer deux pièces à la fois.

Les cavaliers représentent l'ordre, soit la police et la pègre (ou mafia), toutes deux nécessaires au fonctionnement dual de la société et à son équilibre *. Elles agissent en faisant des choses qui ne sont pas, parfois pour l'une et toujours pour l'autre, "légales". Si en Orient comme au Japon la pègre est respectée, il en va différemment en Occident, plus hypocrite de culture. Aussi par-delà les discours et les postures d'apparence, la drogue, la prostitution, les jeux d'argent et autres activités dites illicites sont tolérées, les intérêts du système dominant s'y retrouvant (réseau d'indics, blanchiment, financement de partis, enrichissement...).

* Cf. La dualité décodée.

 

De la collusion du pouvoir politico-industriel-mafia & cie

Le scandale qui a éclaté en août 2019 à l'occasion de la mort suspecte en prison dans sa cellule du Metropolitan Correctional Center de New York du milliardaire détraqué prédateur sexuel Jeffrey Epstein (photo 1), arrêté suite à des accusations fédérales aux États-Unis de trafic de mineurs à des fins sexuelles, a mis en lumière ses relations avec nombre de personnalités célèbres, et la mansuétude généreuse des autorités jusqu'alors à son égard. Il n'est qu'à se souvenir des déclarations d'Alex Acosta, démissionné de son poste de secrétaire du Travail de Donald Trump après l’arrestation d’Epstein au mois de juillet précédent, pour avoir conclu avec ce dernier une entente très favorable en 2008, affirmant que le "mystérieux" milliardaire avait travaillé pour "le renseignement", à entendre la CIA états-unienne et le Mossad israélien... D'autres enquêtes ont de leur côté montré qu'Epstein menait pour le compte de ces agences une opération de chantage, ayant enregistré avec microphones et caméras toutes les interactions salaces qui s'étaient déroulées entre ses invités (députés, sénateurs, hommes d'affaires et prétendus philanthropes comme Bill Gates, journalistes, stars de cinéma, scientifiques de renom, recteurs et doyens d'universités, premiers ministres, princes et princesses dont le prince Andrew, présidents comme Bill Clinton) et des mineur(e)s (son avion avait été surnommé par les contrôleurs aériens le "Lolita Express"), tant dans son manoir à New York ou son hôtel particulier à Paris qu'au cours d'escapades dans des lieux paradisiaques (luxueuses propriétés, îles privées). Nous pouvons ainsi mieux comprendre la quasi chape de plomb des médias français sur l'affaire, leurs commanditaires étant particulièrement éclaboussés.

C'est la raison pour laquelle peu de médias grand public, pourtant parfaitement informés, se sont penchés sur l'histoire des agences de renseignement américaines et étrangères menant des opérations de chantage sexuel similaires - les "pièges de l'amour" -, dont beaucoup impliquaient également des mineurs et des prostituées, et ce en collusion avec la mafia, le crime organisé. Une enquête sourcée du média web indépendant américain Mintpressnews permet d'en comprendre l'orchestration. Cette american connection remonte à la Prohibition, période de commerce illégal d'alcool et spiritueux des années 1920 et au début des années 1930 *. Elle a vu notamment une figure de gangster notoire, Meyer Lansky (1902/1983 - photo 2) *², en lien étroit tant avec le sénateur républicain Joseph McCarthy (photo 3) célèbre pour sa croisade anti-communiste dans les années 1950, lui-même connu dans tout Washington pour ses habitudes sur des adolescentes mineures, qu'avec de grandes figures industrielles. C'est ainsi que de fil en aiguille, de Samuel Bronfman devenu un important producteur d'alcool et fondateur de la firme Seagram en passant par Lewis "Lew" Solon Rosenstiel, fondateur de Schenley Industries (filiale désormais de la firme United Distillers Inc.), jusqu'à Jeffrey Epstein, s'est noué le fil tentaculaire de complicités sordides et corrompues et protectrices de l'Etat d'Israel, bien éloignées de la belle histoire sur le modèle libéral américain que nombre d'éditorialistes et autres chroniqueurs matiniers ne cessent de vanter.

Les noms des nombreux seigneurs du crime de la légende sulfureuse américaine - Charles "Lucky" Luciano, Moe Dalitz, Abner "Longy" Zwillman, Joseph Fusco, familles Gambino et Genovese... -, constitutifs d'une confédération dominée par des groupes italo-américains et juifs-américains, constituent la ligne directrice de ce fil d'Ariane sulfureux, ayant mis leur savoir-faire hors pair au service de ces grandes familles industrielles en cours de constitution tout en étant en étroit contact avec les agences fédérales (FBI, CIA), intéressées tant pour obtenir un moyen de chantage à l'encontre de ces industriels afin d'assurer le financement des politiciens au pouvoir, que pour la satisfaction de leurs fantasmagories sexuelles, en y joignant la leur il va sans dire... C'est pourquoi Meyer Lansky a pu obtenir des photos compromettantes du directeur du FBI, John Edgar Hoover (photo 4) au cours des années 1940, qui le montrait, outre ses penchants pour porter des vêtements féminins, dans une situation homosexuelle avec le directeur adjoint du FBI. Cette capacité de corrompre des politiciens et d'orchestrer le chantage sexuel à leur encontre, tout comme des policiers et des juges au cœur même de l'établissement, était bien sûr fondamentale pour les opérations lucratives de la mafia. Ceci explique que le FBI nia pendant longtemps cette réalité, ses hauts dirigeants étant concernés au premier chef !

Autre personnage sulfureux de par sa proximité avec les décideurs institutionnels suprêmes, l'avocat Roy Marcus Cohn (photo 5), qui excellera en tactiques agressives et manipulatrices, s'appuyant pour ce faire sur son propre père, un juge de toute première importance à New York et figure influente du parti démocrate dont les connections avec le monde du crime dans les années cinquante ont été établies. Il sera pourvoyeur comme consommateur sans retenue de relations sexuelles avec mineurs, constituant avec maestria les réseaux pédocriminels qui perdurent depuis, dont la "fameuse" suite bleue 233 de l'hôtel Plaza qui impliquera l'un de ses amis et clients proches, le cardinal Francis Spellman (photo 6) de l’archidiocèse catholique de New York (celui-ci, surnommé le "pape de l’Amérique", a été accusé d’avoir toléré la pédophilie dans l’église catholique et ordonné des pédophiles connus). Pourtant Roy n'était pas gay. Si c'était un homme qui aimait avoir des relations sexuelles avec des hommes, des gays efféminés et blonds, il s'intéressait avant tout au pouvoir, et ce grâce à ses amitiés étroites avec certaines des personnalités les plus influentes du pays (les directeurs de la CIA, Ronald Reagan et son épouse Nancy, Donald Trump, Bill Clinton, les magnats des médias Rupert Murdoch et Mort Zuckerman, de nombreuses célébrités, des avocats éminents comme Alan Dershowitz, des personnalités influentes de l'Église catholique et de grandes organisations juives telles que B'nai B'rith et le Congrès juif mondial). Nombre des noms qui entouraient Cohn jusqu’à sa mort en 1986 sont les mêmes qui entouraient Jeffrey Epstein, leurs noms apparaissant plus tard dans le "célèbre" petit livre noir d’Epstein. Ce dernier était en toute probabilité son successeur, devenu simplement trop gênant à un moment où les vérités cachées se révèlent. Il ne s'agit pourtant que le machiavélique prétexte du système prédateur pour permettre l'instauration de son nouvel ordre mondial censé remédier à la corruption généralisée des esprits... alors qu'il constitue l'ultime pièce d'asservissement de l'humain pantin illusionné !

* Aux États-Unis, l'ère de la prohibition est souvent utilisée pour illustrer en quoi l'interdiction des substances à des fins récréatives augmente non seulement leur popularité, mais provoque également une explosion de l'activité criminelle. C'est la prohibition qui a considérablement accru la puissance de la mafia américaine, alors que les principaux seigneurs du crime de l’époque se sont enrichis grâce au commerce clandestin et à la vente d’alcool en plus des jeux de hasard et autres.

Meyer Lansky, l’un des gangsters les plus notoires de l’histoire du crime organisé américain, est le seul gangster connu dans les années 1920 qui ait réussi à mourir et à ne jamais purger sa peine en prison. Sa capacité à éviter les peines de prison résulte en grande partie de ses relations étroites avec de puissants hommes d'affaires, du Federal Bureau of Investigation (FBI) et de la communauté du renseignement américaine, ainsi que de son rôle dans l'établissement du plusieurs anneaux de chantage et d'extorsion qui l'ont aidé à tenir la loi à bout de bras.

Cf. en complément livre du journaliste indépendant Dylan Howard "L'Affaire Epstein", expliquant le mécanisme de fabrication de cette créature maléfique par l'entregent du plus célèbre agent du Mossad israélien, le magnat Robert Maxwell (1923/1993) et de sa fille amante Ghislaine, qui du temps de sa splendeur avait acheté les médias britanniques pour le compte d’Israël.  

 

Quant aux liens tout à fait certifiés entre les membres de l'élite américaine (hommes d'affaires, industriels et politiciens) et le Reich allemand, ils ne font que rajouter la puissance de l'hydre aux commandes derrière le beau paravent institutionnel affiché. Par exemple, l'ancien hommes d'affaires et sénateur Prescott Sheldon Bush (1895/1972) et son fils George Herbert Walker (1924/2018), 41° président des États-Unis, ont tous deux siégé au conseil d'administration de la Union Banking Corporation (UBC), qui eut ses actions saisies en 1942 à la suite de l'"Acte de Commerce avec l'Ennemi" (Trading with the Enemy Act), pour connivence avec les nazis. 

 

De l’État profond : le "Deep State"

Le Deep State n'est pas une organisation homogène. Il n'a pas non plus de contrôle central. Ce n'est pas une conspiration d'espions qui se réunissent en secret et complotent pour prendre le contrôle d'un pays. Il comprend plutôt des centaines de milliers de gens qui gèrent déjà la nation, dont la plupart sont des "Portails Organiques"*. C'est une alliance souple et tacite entre compères, politiciens, bureaucrates, consultants, experts, économistes, lobbyistes, journalistes, professeurs, tout le complexe des soins de santé ainsi que l'armée et ses sous-traitants. Si les gens qui le composent ont de nombreux intérêts qui se font concurrence, ils ont un programme commun qui l'emporte sur tout cela : transférer le pouvoir, le statut et la richesse du public vers eux-mêmes. Ils ne peuvent s'enrichir qu'en appauvrissant les citoyens, le "peuple" des ignorants. C'est pourquoi les dépenses budgétaires, la dette et la fausse monnaie ne vont que dans une direction, le haut de la pyramide.

Le Deep State compte trois pieds : l'un contrôle les armes, l'autre cherche à contrôler les électeurs, le troisième contrôle l'argent. Le plus puissant et le plus dangereux de ces trois pieds est le complexe militaro-industriel, expliquant l'importance de la dotation budgétaire étatique qui lui est consacré. Puis vient l'élite dite intellectuelle, politiquement correcte et principalement progressiste, qui domine les universités, les médias et le complexe de la santé, de l'éducation et de la protection sociale. Enfin, l'industrie financière, qui ne s'intéresse pas à la politique, fait cependant alliance avec elle car elle sait que la fausse monnaie en découle, afin de s'assurer que l'argent facile continue à couler abondamment.

Il y a bien sûr un combat interne entre les différentes factions du Deep State, qui voit leurs membres agir quel que soit leur bord moins en intendants honnêtes du bien public qu'en hommes de main, nervis ou séides, défendant leur chef mafieux. C'est la recette classique de la Matrice involutive depuis ses origines. De la Rome antique au Venezuela moderne, la route de la ruine est clairement indiquée, bien éclairée et largement parcourue.

Cf. Les acteurs de la Matrice falsifiée & Les psychopathes qui nous gouvernent.

 

La forteresse de l’État profond

L’État profond états-unien abrite les forces de police de l’Agence fédérale de gestion des urgences - FEMA - dans son quartier général de Virginie, niché dans les vastes montagnes appelées Blue Ridge ou montagnes bleues qui forment la partie orientale des Appalaches, et situé à moins de cinquante miles (80 km) de Washington. Il a servi de principal refuge d’urgence à ce gouvernement fantôme depuis les années 1950. 

Sous la montagne se trouve un labyrinthe tentaculaire de tunnels, de couloirs et de chambres d’où l’État profond complote pour asservir les citoyens américains. Il comprend toutes les commodités et les systèmes de survie d’un bunker haut de gamme. A l'extérieur se trouvent des aires d’atterrissage pour hélicoptères et une usine de traitement des eaux usées, et en dessous se trouve la véritable installation avec des réservoirs souterrains pour l’eau potable et les besoins de refroidissement, des générateurs diesel, un hôpital, des installations de diffusion de radio et de télévision, des cafétérias et son propre système de chauffage, ainsi qu’un département et un corps de police. Quelques 800 hamacs en maille bleue sont prêts pour le personnel évacué, qui dort par roulement 24/24h. Derrière des portes anti-souffle de 13 tonnes, un labyrinthe de couloirs sinueux descend jusqu’aux profondeurs de la Terre. En effet, le bunker a été conçu pour abriter des centaines de fonctionnaires durant cinq ans. Les cuisines de l’établissement sont préparées pour servir 3 000 repas par jour, leurs congélateurs-chambres faisant office de morgue...

Mount Weather ("Mont météo"), nom du QG, abrite également le principal système de diffusion d’urgence ou EBS (Emergency Broadcast System ou "Système d’Émission d'Urgence") du pays, soit un réseau informatique capable d’interrompre tout type de communication, des téléphones cellulaires à la télévision par câble en passant par les réseaux Internet. Par principe, l’EBS national est une version plus puissante et sophistiquée des émetteurs d’urgence tels que le système d’alerte Amber et le système de messagerie d’urgence utilisé par le National Weather Service ("Service national de la météo"), se trouvant dans une pièce derrière des portes qui nécessitent à la fois des empreintes digitales et des scans rétiniens pour entrer.

 

Des initiés du Deep State, plus exactement du marigot

Le troupeau d’initiés est composé d’ingénieurs, de consultants, de ronds-de-cuir de l’establishment. Ils savent comment le système fonctionne, comment l’exploiter à leur avantage. Ils choisissent une carrière dans l’éducation, par exemple. Mais ils ne se soucient que fort peu du dur labeur consistant à enseigner des idées et des savoir-faire. Ils deviennent "pédagogues" et non enseignants, prétendant avoir une expertise scientifique qui aide, d’une manière ou d’une autre, le système à mieux fonctionner. Ou bien ils se lancent dans "la santé", comme "administrateurs" en charge de l’interface entre les mystères de l’assurance-santé et ceux qui fournissent vraiment des soins médicaux utiles. Ils sont sous-secrétaires à ceci, vice-présidents de cela, directeurs, responsables, membres du conseil, plénipotentiaires suppléants. Ils aident à faire passer des législations, ou  sont législateurs. Ils écrivent des lois et des codes longs, incompréhensibles pour le commun des mortels. Ils sont là pour les interpréter, les faire appliquer... et aider les autres membres de l’élite à les contourner. Ils disent aux étudiants quoi penser. Ils dictent aussi leurs opinions au public, parce qu’ils contrôlent les chaînes de télévisions et les journaux. Ce sont les brasseurs d’opinion, les commentateurs, les éditorialistes... Progressistes ou conservateurs, seules les valeurs d'apparence changent. Ils ont un objectif commun, voulant que "le système" perdure afin de leur permettre de s’arroger encore plus de richesse, plus de pouvoir. Alors ils ouvrent les vannes : plus d’impression monétaire, plus de relances, plus de rachats obligataires, plus de taux factices et de distribution d’argent, plus de guerres inutiles, plus de dépenses, plus de sanctions et d’ingérence. Aucun d’entre eux ne s’opposera à la grande escroquerie !

 

Aux racines contemporaines du Deep State

La réalité du monde économique depuis son entrée dans le XXI° siècle a vu la concurrence se réduire, les monopoles et oligopoles s'être développés, les politiques anti-sociales généralisées. Les firmes ont racheté leurs concurrents, la globalisation et la délocalisation ont joué en leur faveur. Quant aux banques centrales, elles soutiennent de tout leur poids le capital par une politique monétaire orientée vers le soutien agressif, direct, cynique du capital, comme l'illustre l'encouragement de la distribution de crédit aux salariés à travers la baisse de son coût et la dégradation de ses critères d’attribution. Le résultat est qu'elles ont fait chuter le coût de l’endettement pour les entreprises et ainsi permis la montée considérable du levier qui bonifie les profits du capital. Elles ont dans le même temps prêté aux gouvernements afin qu’ils ne prélèvent pas les impôts qu’ils auraient dû prélever, bonifiant ainsi les cash-flows des entreprises exonérées. Elles ont produit un crédit considérable qui s’est dirigé vers les marchés financiers, vers les Bourses, ce qui les a fait monter, enfler, "buller"..., créant un effet de richesse qui a compensé l’insuffisance des revenus gagnés et des cash-flows. Le pendant est que la part du travail dans les revenus et les patrimoines est tombée à son plus bas niveau de l’Histoire, les inégalités de richesse étant très probablement encore plus importantes qu’elles ne l’étaient il y a un siècle.

Point n'est alors besoin d'être un éminent sociologue pour comprendre que ses représentants sont gangrénés par les limites mêmes du capitalisme à la sauce néolibérale, la recherche du profit. Car lorsque cette doctrine économique franchit la juste frontière de sa raison d'être sociétale, elle devient illégitime lorsqu'elle prétend accroître sans cesse ses profits. Le capital s’accumule en effet à un point tel que son exigence de profit devient asphyxiante. Et l'accumulation du capital à l’infini finit alors par buter sur une impossibilité, celle consistant à vouloir maintenir la profitabilité envers et contre tout. C'est tout simplement l'application de la loi tendancielle de l’érosion de la profitabilité : toujours plus de travail mort (capital) en proportion du travail vivant (celui des salariés), ce qui produit ce que l’on appelle la suraccumulation. Il y a trop de monde à table pour s’attribuer, se partager le gâteau du profit. La réalité voudrait alors que pour maintenir la profitabilité du capital ou freiner son érosion, il faudrait détruire, euthanasier du capital soit par les crises soit par l’inflation. Mais le système ultra-conservateur, basé sur le copinage au profit des riches et surtout ultra-riches, le refuse de nos jours. C'est pourquoi il ne tolère plus ni les crises cycliques ni l’inflation. Le résultat est que le capital, qui tient le haut du pavé dans le fonctionnement de l'économie, essaie d’augmenter ses profits en intensifiant le travail, en pesant sur les salaires, en reprenant les acquis sociaux antérieurs, en baissant ses contributions fiscales, en pillant les fonds publics, et en fabriquant sans cesse de la (fausse) monnaie. Point en fait d'exigence de compétitivité comme proclamé, simple voile pour masquer qu’il s’agit de son exigence de profit. Le capital fait ainsi pression, faisant monter les taux de profits par rapports aux chiffres d’affaires, et augmente ses marges. Il fait pression constante pour s’octroyer une part croissante de la valeur ajoutée, c’est-à-dire de la production de richesses. Et en s'accumulant, il finit tout naturellement par dévorer ses enfants, car lorsque les inégalités sont devenues aussi criantes, nos sociétés finissent disloquées, éclatées, fracassées. Gloutonnerie oblige !

 

Les tours

 

La tour (♖, ♜) à l'origine était représentée par un char de guerre, qui comme le char perse disposait de solides armures et d'au moins un archer. Appelée parfois "roc", la tour en Occident est traditionnellement représentée par une tour crénelée.

Pouvant se déplacer horizontalement ou verticalement, c'est une pièce également à "longue portée", pouvant être déplacée d'autant de cases qu'on le souhaite, sans pouvoir sauter par-dessus une autre pièce comme le fou. C'est pourquoi son rayon d'action, qui ne dépend pas de sa place sur l'échiquier, la conduit à contrôler toujours le même nombre de cases (14), tout comme le fait d'être centralisée n'influe pas sur son efficacité.

Sa valeur, généralement estimée à cinq pions, en fait la pièce la plus forte après la dame/reine, toutes deux appelés pièces lourdes par opposition aux pièces légères que sont les cavaliers et les fous. Si ces derniers dans le milieu de partie seront en général plus forts qu'une tour et un pion, la valeur de la tour seule augmente à mesure que des pièces s'échangent sur l'échiquier. En effet, au début de la partie, les tours sont éloignées du centre et bloquées par les pièces voisines. Elles n'entrent de ce fait généralement en jeu qu'à partir du milieu de partie, après la mobilisation des cavaliers, des fous, des pions du centre et du roque, qui permet de mettre les tours en relation.

Les tours représentent les grands pouvoirs financiers - puissances bancaires & multinationales -, qui une fois le terrain balisé, déploient leur toile d'araignée tentaculaire et destructrice de la Liberté, seules les formes changeant *. Avant l'ère moderne, les puissances se faisaient la guerre et, en cas de victoire - victori sunt spolia - *², s'emparaient de l'argent des perdants, de leurs biens, leurs maisons et leurs terres, et les survivants, tout comme leurs femmes et enfants, pouvaient faire de bons esclaves. La guerre moderne est différente, l'esclavage ne rapportant plus depuis le milieu du XIX° siècle, pas plus que la guerre dont il est très difficile de retirer un quelconque avantage matériel. Aussi, comme la guerre est immensément profitable pour une poignée d'individus qui en tirent les ficelles, la guerre financière constitue dorénavant le plan de transfert qui fait passer la richesse des classes moyennes vers quelques privilégiés, la guerre économique (les sanctions, les taxes douanières, la manipulation des devises) étant de son côté le moyen de parvenir au même but.

* C'est ainsi par exemple que les petites entreprises (ETI, PME et TPE), qui représentent près de 70 % de l’emploi mondial (salarié comme indépendant) selon les données provenant d’un rapport de l’Organisation internationale du travail (OIT), payent dans les faits bien plus de charges et de taxes proportionnellement qu’un grand groupe capable de faire de "l’optimisation fiscale" internationale.

En anglais "the booty is for the winner" (le butin est pour le vainqueur).

 

Du système totalitaire marchand

Notre système économique dominant n’est ni libéral, ni néolibéral, ni socialiste, ni communiste. Il a sa propre dynamique, l'économie administrée, tentant par tous les moyens d'en camoufler au plus grand nombre la véritable nature par l'illusion idéologique distillée par ses maîtres artificiers, les "mages noirs babyloniens" ou "sang-noir". Cette économie voit les mécanismes de marché fortement encadrés par un ensemble de réglementations, tant pour le marché des entreprises que celui des particuliers, à l'initiative de l’État comme des directives de la Commission Européenne, ces deux acteurs n'étant que que des fictions imaginaires de temps de paix et d’eau douce pour gogos illusionnés... Ainsi l’immobilier, avec ses lois de défiscalisation et de fiscalisation, sa loi Alur qui encadre tout (de la durée des baux à la surface minimale de la chambre louée jusqu’au prix du loyer avec des mécanismes d’encadrement), et ses diagnostics énergétiques restrictifs. Ou encore le secteur automobile, nécessitant un permis de conduire, le paiement de la TVA, de malus pour le niveau supposé de pollution et de PV, le prix de l’essence constitué à plus de 70% par des taxes, le stationnement payant, des normes de sécurité, de pollution et d’entretien (tous les deux ans pour un contrôle technique de plus en plus coûteux et de plus en plus restrictif). Sans parler dans ce même secteur de l'écologie punitive du tout électrique, dont non seulement le bilan environnemental est totalement catastrophique (batteries, consommation électrique, terres rares consommées, recyclage coûteux et complexe), mais qui voit désormais le plein d’électricité coûter nettement plus cher que de faire le plein... d’essence ! (la société Ionity, leader via son réseau européen de recharges ultra-rapides financé entre autres par Audi et Mercedes, a depuis fin janvier 2020 une grille tarifaire qui facture au kilowattheure consommé, ce qui au final coûte plus cher que le plein de gasoil)…

La transition "énergétique" au service de l'environnement, dont le seul vrai objet est de nous permettre de gérer au mieux les pénuries énergétiques à venir, est le paravent de culpabilité morale, imposant à ce titre toujours et encore de coûteux travaux d'aménagement alors que l’État prédateur continue à autoriser les avions dans le ciel par millions, les stations de ski avec leurs canons à neige par milliers, les bateaux de croisière géants et autres porte-containers qui utilisent les carburants les plus polluants (plus de 90% des marchandises et du commerce mondial transitent par les mers du globe), tout en incitant le passage à la voiture électrique très coûteuse à produire, terriblement polluante à construire avec ces batteries impossibles à recycler et abreuvée aux centrales nucléaires comme à charbon, sans oublier l’équipement en bornes de rechargement de l’ensemble des pays et la nécessité de produire des milliers de méga-watt forcément nucléaires pour que tout ce beau monde puisse faire le plein de batteries… En d'autres termes, la voiture électrique est à l’écologie actuelle ce qu’est la fumisterie du CO² *, qui n’est pas du tout le seul gaz à effet de serre ni le plus puissant comme par exemple le méthane. Et c’est valable à tous les niveaux, du passage de la télévision hertzienne à la TNT avec l'équipement obligatoire et de ce fait forcé en décodeurs aux nouvelles vaccinations, jusqu'à l'imposition d’acheter… un gilet jaune à mettre dans sa voiture ! Les dons sont encadrés, tout comme la manière dont l’argent est utilisé avec des limitations en espèces ou en montant de virements, ceux-ci devant être justifiés, jusqu'à l'épargne réglementée (Livret A, PEL, LDD). Quant à l’essentiel de cette économie administrée, le prix de l’argent, il repose sur les taux d’intérêt, dont les taux négatifs entraînent désormais une économie "zombie" *², celle des morts-vivants ! Car dans un monde où les banques centrales (dirigées par des apprentis sorciers qui jonglent avec les prix des actifs, la valeur des patrimoines, le taux d'inflation et beaucoup d'autres choses encore) imposent des taux négatifs, ceci veut bel et bien dire que l’argent n’a plus de prix. En effet, investir dans un projet qui perdra 1 (-1%) si nous empruntons à -2% revient à vouloir gagner 1 en se lançant dans un projet structurellement déficitaire ! N'est-ce pas totalement délirant pour des êtres se revendiquant de l'esprit de raison des... soi-disant Lumières ? La réalité est que cet argent gratuit est fabriqué par le système bancaire et ses acteurs psychopathes, afin de prêter pour pas cher à des "pauvres" afin qu'ils achètent (alimentation de l'hydre) et pour empocher la marge. Évidemment, ce sont des prêts pourris, puisque contractés par de pauvres bougres à qui personne n'aurait jamais prêté du vrai argent "honnêtement" gagné et épargné ! Le tout (les créances) est garanti par des paravents étatiques (les copains coquins/gredins) afin d'être revendu à des investisseurs assoiffés de rendement puisque, n'ayant pas le privilège de prêter de l'argent gratuit, ils subissent les taux d'intérêt négatifs et n'ont que leurs yeux pour pleurer. C'est pourquoi ils se jettent sur ces "petits paquets" de créances titrisées et garanties qui rapportent quelque chose. Nous vivons donc dans un monde d'argent gratuit où certains obtiennent quelque chose contre rien. Et c’est parce que le monde entier est dans la même "galère" que, paradoxalement, le système arrive à tenir, la somme des intérêts individuels de chaque pays (à savoir le maintien de sa solvabilité) convergeant vers l’intérêt collectif, le non-effondrement du système vicié ! L'économie financière à la sauce astrale n'a pour fonction par les récits de ses élites et de leurs mercenaires que de voiler et de dissimuler. Elle est le grand non-su, le grand non-formulé.

Cette codification monétaire, soit l'équation [budgétaire + monétaire = hyperinflation et destruction des monnaies], est destinée à enserrer l'être humain - le robot biologique - dans un tuyau, nasse de laquelle il lui est impossible, ou presque, de sortir. Autrement dit, le totalitarisme par les normes, la consommation forcée, l’obsolescence programmée et la fiscalité confiscatoire, celui d’États-zombies qui ne sont plus que des monstres froids dévorant et détruisant presque tout ce qu’ils peuvent - les petits, les faibles, les peuples -, ayant perdu toute souveraineté en abdiquant leurs pouvoirs au profit d’organisations internationales/supranationales comme le FMI, la BRI, l’ONU ou encore l’OMC *³. N'ayant plus aucun pouvoir de régulation vers le haut, ils n’ont de pouvoir que vers le bas, leur fonction consistant à déplacer les flux d'argent vers leurs ordonnateurs pilleurs, le principe guidant leur action néo-libérale étant que si on peut remettre en cause les avantages acquis des salariés, on ne peut pas remettre en cause ceux qui sont acquis par le capital pas plus que son accumulation passée (il suffit de regarder et de comparer les courbes des indices boursiers et les courbes des indices de revenus salariaux pour constater que l'on a créé de profonds déséquilibres). Autrement dit, administrer les consciences par la pollution de l'âme aux fins de détruire l'humanité. Comment s'en étonner, l'entropie de cette cyclicité civilisationnelle allant en ce sens ...

* Lors des 10 dernières années précédant 2014, les émissions de gaz à effet de serre de la Chine ont augmenté de 53,5%, s'établissant à 12,3 milliards de tonnes de cette même année. Les émissions de gaz à effet de serre américaines de leur côté se sont élevées à "seulement" 5.74 milliards de tonnes années en 2017. La France représente moins de 1% des rejets mondiaux.

L’essentiel de l’industrie automobile comme l’industrie du gaz de schiste américaine sont négatives et structurellement déficitaires. Quant aux dettes du Japon, des États-Unis ou de la France (avec 57% de prélèvements dans le PIB, l’État français prélève plus de la moitié de toute la production de richesse des agents économiques privés sans véritablement de justification intellectuelle, économique ou morale), elles sont abyssales, totalement moribondes. Il est à comprendre que les taux d'intérêt sont probablement les chiffres les plus importants et les plus conséquents du capitalisme, régulant les rapports entre le présent et l'avenir (ce que l'on appelle les préférences dans le temps). Ils équilibrent l'épargne et l'investissement, actualisent les flux de trésorerie futurs, définissent les taux de rendement des investissements, mesurent le risque financier, et déterminent les taux de change entre les différentes monnaies et donc le pouvoir de prélèvement d'un pays sur la richesse mondiale. 

*³ Cf. Le modèle européen décodé (2) L'idéologie mondialiste.

 

Le mécanisme consenti de la puissance économique prédatrice

Notre croyance civilisationnelle culturelle partagée à grande échelle repose sur l'évolution "darwinienne" des espèces, la loi du plus fort prévalant. Cette croyance est liée à une autre, celle de la linéarité du temps propre à notre matrice d'appartenance limitée* (relativité du temps au détriment du temps absolu). Aussi est-elle constitutive par les mémoires biologiques cellulaires d'un "passé" d'une conception culturelle dénaturée du présent, d'autant plus par notre constante projection (ou anticipation) dans un futur hypothétique. Ces deux croyances attribuent par le mécanisme de biais cognitifs aux "élites qui nous dirigent" la cause comme la responsabilité de nos propres actions au sens individuel s'entend, ceci conduisant à croire en cette substitution comme si notre action n’était pas la nôtre*².

Cette capacité de défausse ou démission de responsabilité, autrement nommée "principe de substitution causale", constitue un avantage acquis qui facilite l’obtention de gains adaptatifs par l'exploitation dérégulée et destructrice de l’environnement à laquelle chacun d'entre nous contribuons sans exception par notre fonctionnement en mode "Service de Soi". En donnant par ces croyances erronées un blanc-seing aux pouvoirs financiers publics et privés (ainsi les puissances bancaires et les multinationales), et dans la totale illusion de notre soi-disant libre arbitre - la démocratie n'est que la traduction institutionnelle de notre décharge de responsabilité -, nous contribuons à notre propre servage.

C'est pourquoi "le" politique (la dame de l'échiquier, dévalorisation du féminin sacré oblige ...) ne fait qu'appliquer l'état de nos croyances, puisqu'il en est représentatif au plus haut niveau. Autrement dit, il n'est ni plus ni moins manipulable par les puissances d'argent que nous ne le sommes, effet miroir oblige ! Notre empreinte écologique dont la facture nous est désormais présentée est bel et bien le billet, la monnaie fiduciaire, non le bulletin de vote, simple traduction d'une croyance, en l'occurrence celle de la démocratie. Il en découle que les grandes religions morales comme les philosophies humanistes constituent le paravent déculpabilisant de notre abandon de souveraineté existentielle, nous conduisant sauf éveil de conscience dans les boucles cycliques de notre involution*³...

* Cf. La falsification de la réalité en 3-D.

Cf. Fabrication de l'illusion et voie de sortie.

*³ Cf. Fin de cycle (1) Fin du temps ou fin des temps ? & Fin de cycle (2) La guidance éclairée de sa vie.

 

De la corruption financière

Avant 1971, parce qu'il n'y avait qu'une quantité donnée de temps, de ressources et de savoir-faire à disposition pour gagner de l'argent, les bénéfices étaient limités, ce qui signifie que l'épargne était limitée, tout comme la dette. L'argent réel tissait les liens entre le passé et l'avenir, l'emprunteur et le prêteur, le consommateur et le fournisseur. Il guidait les gens, comme une main invisible, permettant de réduire le gâchis et d'augmenter la production. Le monétaire est indéfinissable ; c'est le mercure dans sa principale qualité, le mouvement, le vif-argent. Avec l'ère de l'argent gratuit instaurée en 1971 avec les accords de Bretton Woods *, actant entre autres la fin de la parité or/dollar mettant un terme à la doctrine jusqu'alors en vigueur du "monétarisme" (elle découle de l'économiste états-unien Milton Friedman, système exigeant que l'on contrôle la croissance de la monnaie par son maintien à maximum 3% environ par an), suivis de la dislocation de l'URSS à partir de 1985 et de l'entrée de la Chine dans l'OMC (Organisation Mondiale du Commerce) en 2001, se sont établies la racine de toutes les crises financières qui se succèdent depuis 20 ans tout comme celle de la corruption politique et des électeurs. Elles ont pour nom le "créditisme", l'idéologie du crédit, cet axiome marchand comme pierre angulaire du système bancaire, monétaire et financier, idéologie poussée à l'extrême par la théorie néo-libérale de l'école dite de Chicago pour répondre aux besoins théoriques produits par le nouveau système (cette théorie dit qu'il n'y a rien de mal à surconsommer et à payer à crédit tant qu'il y a des gens qui acceptent d'accumuler les créances). Autrement dit, grâce au crédit, les entreprises produisent pour des clients insolvables, ceux-ci payant avec de l'argent gratuit distribué par leur gouvernement, lorsqu'elles ne survivent pas elles-mêmes car devenues insolvables, incapables de rembourser leurs emprunts par les profits qu'elles dégagent (estimées entre 6 et 12% des entreprises cotées). Elles comblent le manque à gagner avec des actions ou du crédit, disponibles à des termes exceptionnellement avantageux, même si elles perdent des milliards de dollars dans l'économie réelle, comptant sur l'argent de l'industrie financière pour les garder à flot, celle-ci par le biais des banques centrales le créant ex nihilo. Le résultat est que la dette mondiale a atteint environ 250 000 milliards de dollars - le "Universal Deep State" -, soit 3,2 fois le PIB mondial, quel que soit son mode de calcul (PIB inflaté ou déflaté, réél ou nominal, en valeur ou en volume) ! Quant aux dettes publiques, elles se montent à 65 000 milliards de dollars estimés *².

Ces 65 000 milliards de dollars de dettes publiques, génératrices de la "bulle-mère" systémique, matérialisent la corruption politique. Pourquoi ? Parce qu'avant le "créditisme", un gouvernement ne pouvait pas distribuer de l'argent gratuit. Soit l'inflation finissait par remettre les pendules à l'heure, soit les taux d'intérêt montaient vertigineusement, dissuadant tout recours à l'emprunt. Avec le créditisme, les belles promesses politiques se financent à taux zéro, ou presque. Il est à comprendre en effet que l’État n'investit pas, ceci n'étant pas dans sa nature qui consiste à remplir ses missions régaliennes légitimes (police, justice, armée, diplomatie) dans la mesure où elles protègent les droits naturels de chacun : liberté, sûreté et résistance à l'oppression. Elles sont déléguées à l’État, car elles ne peuvent être rentables, lucratives. Ressortant de l'intérêt général, au même titre que d'autres missions telles que la santé, l'enseignement et la culture, il est normal qu'elles soient financées par l'impôt. Or, lorsque l’État prétend "investir" en dehors de ses missions légitimes, il dépense de l'argent sans qu'il n'y ait jamais retour sur investissement (c'est ainsi qu'en France l’État s'endette depuis 1974 et que la dette grossit depuis 45 ans, s'établissant désormais en 2019 à 2.359 milliards d'euros pour un déficit d’État de 84 milliards d'euros, preuve que le retour sur investissement n'est jamais au rendez-vous). Il ne sert plus alors l'intérêt général, mais des intérêts particuliers (les taux artificiellement bas des 10 dernières années ont avantagé les investisseurs, les spéculateurs en général, les promoteurs et les spéculateurs immobiliers, les politiciens, comme ont contribué à engendrer des monstres, les méga-banques aux pieds d'argile telle la Deutsche Bank, le "géant des dérivés mondiaux" aux 7,4 milliards d'euros d'actifs), un système de corruption se mettant inéluctablement en place. En effet, lorsque l’État subventionne un producteur ou un secteur d'activité, il sert des intérêts particuliers en détournant l'argent des impôts ou en s'endettant. C'est le capitalisme de connivence qui s'instaure, sans risque pour l’État puisqu'il ne peut pas faire faillite, dans la mesure où c'est lui qui émet l'argent factice via sa banque centrale...

La subtilité est que le système de corruption se finance par la dette publique, autrement dit par l'argent du futur, celui des générations suivantes qui l'acquitteront. Le système est bel et bien celui de la taxation sans représentation des générations futures, le pillage de la propriété privée, la destruction à long terme de la solvabilité des gouvernements, le gaspillage des ressources, l'interdiction de la remontée des taux, l'altération de la la monnaie, la destruction en profondeur des systèmes sociaux et bancaires fondés sur l'épargne, les retraites, la prévoyance. Qui plus est, impôts et dette publique financent des "projets de société" qui n'ont rien à voir avec l'intérêt général, ceux des "lubies" (niche fiscale, subvention, réduction d'impôts sans réduction de dépense publique...) de politiciens professionnels hors-sol et désireux de satisfaire tel ou tel lobby les ayant financés, et dont l'après-vie politique est richement assurée, tout particulièrement par les généreux subsides de... l’État ! Avec la dette, l'oxygène économique, qui est le profit, se raréfie, devenant relativement insuffisant. Il n'y en a plus assez pour tout le monde, d'autant plus quand un secteur monopolistique, celui de la technologie, draine le surproduit mondial à son profit. Or la technologie est inflationniste pour elle-même, et colossalement déflationniste pour le reste : elle s'attribue les ressources, les revenus, le pouvoir d'achat, elle étrangle l'économie traditionnelle. Elle draine le surproduit et en plus, elle le fait sans alimenter les recettes fiscales des gouvernements ! La dette, c’est l’argent mort, le travail mort. Le drame, c’est que le mort impose sa loi au vif jusqu’à l’asphyxier.

Ce qui est à l’œuvre se nomme la disjonction. En d'autres termes, la coupure du lien entre le signe - la monnaie pour le financier, le langage pour le politique - et le réel, l'économie réelle (l'appareil de production, autrement dit la profitabilité du capital), afin de manipuler les signes et de tromper, de dissimuler... Quoi ? Que, bien que les banques centrales continuent d'en imprimer beaucoup, la monnaie ne vaudra bientôt plus rien, puisque l’épargne ne rapporte déjà plus rien parce qu’il y en a trop, ceci n'empêchant de payer des commissions aux banques pour utiliser l'argent fiduciaire alors même que la fiducie, la confiance, est trompée ! Car tout boom construit sur l'(hyper)inflation monétaire - la planche à billets pour créer du pouvoir d'achat sans limite - se termine par une sévère crise de suraccumulation de capital improductif, fictif, de poids mort, autrement dit par un krach, les dettes devant être remboursées et les prix gonflés des actifs devant être corrigés. On ne peut plus rien arrêter, condamné à aller jusqu’au bout, tout simplement parce que l’on a atteint le dernier retranchement. Derrière, dans l’état actuel des institutions, il n’y a pas d’autre dernier ressort. Il faut faire avec celui que l’on a et aller jusqu’au bout de sa solidité, de sa force. Jusqu’au bout de la confiance qu’il inspire, il faut épuiser le capital confiance de l’empereur-dollar. C'est pourquoi les mécanismes spontanés de dévalorisation du capital sont en marche, faisant que le capital va au fil des années se détruire et même s’auto-détruire. Il devient biodégradable : sa valeur se contracte, elle s’ajuste à la contraction de la masse de profits. On ne peut plus rentabiliser le capital, il faut l’euthanasier... et pour cela, il y a les méthodes douces comme les taux négatifs, ou les méthodes dures comme la chute des prix en valeur boursière.

Et lorsque la musique de ce monde d'apprentis sorciers tripatouilleurs s'arrête et que le brouhaha prend fin, dès lors la monnaie s’effondre, les détenteurs de monnaie sont ruinés, tout le monde - ou presque - a été puni. Les investisseurs ont été corrigés par le krach des cours, les consommateurs sont incapables de payer leurs dettes, les entreprises font faillite. Si les produits dérivés étaient conçus comme une sorte d'assurance, ils se révèlent une assurance bidon, car il n'y a pas de capital, pas de réserves dans lesquelles puiser pour faire face aux paiements en cas de sinistre. Dans le chaos qui s'en suit, les États refont alors une nouvelle monnaie - telle la monnaie de Facebook, "Libra", qui établit un pont entre monnaies fiduciaires et cryptomonnaies -, pouvant mettre en place leur Nouvel Ordre mondial totalitaire *³. L’histoire est déjà écrite, et nous en connaissons déjà la fin, ce qu'a théorisé l’économiste américain en chef du Fonds monétaire international de 2001 à 2003 Kenneth Rogoff : "les systèmes tiennent souvent plus longtemps qu’on ne le pense, mais finissent par s’effondrer beaucoup plus vite qu’on ne l’imagine". Ce n'est tout simplement pas encore le moment...

* Conférence monétaire et financière des Nations-Unies qui s'est déroulée dans le New Hampshire aux USA, qui voit les autorités (notamment les officiels John Connally, Paul Volcker et George Shultz) à l'initiative du Président américain Richard Nixon supprimer les ultimes liens ténus entre l'or et le billet vert, créant ainsi une devise factice (les États-Unis ont ainsi pu protéger leur stock d'or physique, et transformer leurs dettes sous forme papier pour l'éternité). Si pour d'aucuns c'était, peut-être, une erreur de bonne foi, les "initiés" de l'Establishment anglo-saxon (type Federal Reserve - FED -) ou Deep State savaient en revanche en 2007/2008 ce qu'ils faisaient lors de la crise des "subprimes". Pour preuve, les taux directeurs sont passés de 6% à 1%, entraînant le crédit/argent à couler à flots et terminant en majeure partie dans les centres monétaires les plus attractifs, New York et Londres.

A titre d'exemple, les engagements futurs de la sécurité sociale américaine sont de 176 000 milliards de dollars, alors que les recettes estimées dans la même période sont de 130 000 milliards de dollars. Le déficit est ainsi de 43 000 milliards de dollars (34 000 en 2017). Bien entendu, comme ailleurs dans le monde, cette dette fédérale non officielle est hors-bilan, constitutif d'un passif non capitalisé !

Cf. Le modèle européen décodé (2) L'idéologie mondialiste & Prophétie du changement.

 

De la disparition des classes moyennes

Depuis la dérégulation du monde financier initiée en 1971 par les accords de Bretton Woods, les banques centrales (Fed américaine, Banque Centrale Européenne...) n'ont eu de cesse, afin d'éteindre les incendies spéculatifs de l'immobilier et de l'hypothécaire depuis le krach de 2008, de créer et ce pour plusieurs milliers de milliards d'euros et de dollars, l'achat d'obligations d’États ou d'entreprises, d'actions et d'ETF * ("exchange-trading fund") qui se retrouvent dans leur bilan. Si l'objectif affiché était/est la relance de la croissance, le constat chirurgical est que cela n'a pas fait baisser le chômage dans les proportions attendues, pas plus que l'inflation n'a été relancée, signe d'une vitalité économique. Les banques centrales n'ont fait qu'acheter du temps, sans régler aucun des problèmes *². Autant dire que la crise dite des subprime de 2008 n'a été qu'un prétexte, masquant le problème de fond, celui du surendettement lié à un système international opaque comme à l'ignorance sur ce qui fait monnaie ou ne le fait pas !

De leur côté, si normalement les banques qui ont vendu ces obligations ou ces actions aux banques centrales (avec plus-values) devaient proposer à leurs clients particuliers comme entreprises du crédit, elles se sont gardées de prendre un risque dans l'économie réelle pour un faible gain, préférant racheter des actifs financiers avec de forts leviers pour les revendre ensuite aux banques centrales avec d'énormes plus-values. Qui plus est, même si elles avaient voulu prêter, encore aurait-il fallu/faudrait-il qu'il y ait une significative demande d'emprunt, et ce même si les taux sont bas, voire négatifs.

La réalité est que le fait d'avoir des taux proches de zéro crée des surcapacités génératrices de dettes *³, et permet tant à des entreprises non-performantes de se maintenir en vie par le biais de refinancements dits shadow banking ("la banque de l'ombre") qu'à d'autres capitaines industriels (Arnault, Bolloré, Drahi...) d'accroître leur fortune par des coups permis et solvabilisés par la mécanique boursière perverse, laquelle gonfle les fortunes par le jeu des multiples. Ces valorisations ne tiennent bien sûr que grâce à l'excès de liquidités non rémunérées et au phénomène de ce jeu truqué garanti par la planche à billets. Autrement dit, cela est plutôt source de pressions déflationnistes. Par ailleurs, ces surcapacités monétaires basées sur des "actifs pourris" contribuent à faire augmenter le prix des matières premières, augmentant par conséquence les prix à la production et réduisant les marges des entreprises. Il en découle que les entreprises même performantes, n'ayant que peu de capacités à monter leurs prix dans une économie mondialisée (de ce fait fortement concurrentielle), vont plutôt choisir d'agir sur leurs coûts pour conserver leurs marges. Et comme la première source de coûts est les salaires, elles vont sinon licencier pour conserver leurs marges, en tout cas privilégier des contrats précaires, faiblement rémunérés.

Le résultat "magique" se traduit ainsi par la déflation, l'augmentation du chômage et la réduction de l'activité puisque que la part des investissements dans le secteur de production de richesse diminue en comparaison de la hausse des investissements dans les secteurs non-productifs (par exemple marketing, commerce, finance, assurances, immobilier, gouvernement comme les dépenses en armes, etc.), tout comme par l'augmentation des cours des Bourses, du prix des actifs financiarisés (dont l'immobilier et l'énergie), de la dette publique et son corollaire, la pression fiscale ! Et tout naturellement, l'augmentation des impôts, des taxes en tout genre et des coûts (logement, nourriture, études, chauffage) vont au final étrangler définitivement la moindre possibilité de reprise d'activité.

Ce transfert de richesses est ni plus ni moins qu'un racket, générateur de la disparition de la classe moyenne à travers ses épargnants. En effet, il contribue à effectuer un transfert de richesses de la classe moyenne vers les très riches, ceux qui, détenant les actifs financiers et offrant de ce fait des garanties, bénéficient de la hausse des cours et des bulles créées (la monnaie va soit dans les biens de consommation si elle est distribuée aux consommateurs, soit dans les biens de capital si elle est allouée aux riches). Et comme les taux zéro font augmenter la proportion de créances pourries, ils mettent en risque de faillite les banques dans lesquelles tout un chacun dépose son argent, et qui ne sont pas celles dans lesquelles les 0,1% les plus riches déposent leur fortune, celle-ci étant investie sur d'autres actifs non accessibles au vulgum pecus. C'est ce qui leur permet, contrairement à l'illusion des "sans-culottes" appelant par leurs vociférations à leur faire rendre gorge, d'avoir leurs patrimoines largement à l’abri, dé-territorialisés (ces gens n’ont pas de revenus, vivant de capital et de plus-values). Ils peuvent ainsi attendre sereinement l'effondrement à venir qui les rendra encore plus riches ! Et pendant ce temps, les pauvres, eux, doivent toujours payer 15% d'intérêts sur leurs cartes de crédit...

Non seulement le fossé qui sépare les riches et les pauvres s'est creusé, mais les arrangements politiques ont été détruits et les sociétés se sont disloquées, créant le populisme, cette absurdité que, dans des systèmes qui se donnent pour systèmes la souveraineté du peuple, on puisse trouver à redire que le peuple s'exprime... Et ce n'est que le début, les taux bas détruisant en profondeur les systèmes de retraite, ce qui va paupériser, rendre dépendants, prolétariser des masses considérables de population. Ce système de déficits et d'excédents constitutifs d'une masse considérable de réserves monétaires, de masse monétaire, et de "capitaux" cherchant comme tous les capitaux leur mise en valeur est la racine du dérèglement de l'économie mondiale, qui a entraîné le sentiment d'impuissance que ressentent tous les révoltés et rebelles... Et comme toujours dans le système prédateur, les dettes des uns sont toujours le capital des autres, en l'occurrence des très riches qui, ayant des excédents considérables, achètent des biens d'épargne, investissent, spéculent ou thésaurisent. De ce fait, ils achètent ce que l'on appelle des actifs financiers, réels, refuges ou autres, comme les œuvres d'art. Et ce sont les prix de toutes ces catégories de biens qui, bénéficiant d'une demande élevée, montent et font bulle, l'hyperinflation attendue se retrouvant dans la valeur globale des biens de patrimoine (comme l'immobilier) du monde entier. En rendant le capital encore plus rare, ils font monter encore plus les prix de ces biens, les retirant de la circulation, et rachètent les actions, les rendant encore plus rares ! Et c'est ainsi que l'argent créé, distribué par le biais du crédit aux déjà riches, conduit les consommateurs à ne plus en voir la couleur, leur pouvoir d'achat n'augmentant pas alors même qu'on veut de manière perverse les forcer à s'endetter pour qu'ils achètent et fassent tourner la machine économique sans que celle-ci ait besoin de distribuer des revenus suffisants, la dette étant un pouvoir d'achat qui fait tourner la machine sans peser sur le taux de profit (si on distribuait des revenus au lieu de forcer les gens à s'endetter, le taux de profit s'effondrerait) ! Surabondance du crédit, taux nuls, volatilité faible... tout cela ne produit que des rachats d'actions, autrement dit de l'ingénierie financière. Évidemment, puisque l'argent fictif ne peut produire que du capital fictif !

* Un ETF (Exchange Traded Fund), également appelé tracker, est un fonds indiciel qui cherche à suivre le plus fidèlement possible l’évolution d’un indice boursier, à la hausse comme à la baisse. Fonds d’investissement émis par des sociétés de gestion et agréés, ils sont contrairement aux autres fonds cotés en continu, c’est-à-dire qu’ils peuvent être achetés ou vendus tout au long de la journée. Comme pour les actions, l'ordre de bourse est passé auprès de l'intermédiaire financier.

Une banque centrale a deux armes. Soit elle baisse les taux d’intérêt, soit elle injecte de la monnaie en en créant (les "quantitative easing"). Si elle utilise ses "armes" trop tôt, elle se trouve fort dépourvue de moyens d’actions lorsque les difficultés économiques surviennent. C'est pourquoi toutes les banques centrales du monde attendent que les difficultés soient vraiment présentes avant d’intervenir, ce qui montre qu’elles ne font quelque chose que lorsque les choses tournent mal. Autrement dit, les banques centrales choisissent de créer les crises ou de créer les cycles de croissance économique en relevant ou en baissant les taux. Quand les taux sont bas, l’argent coule à flots et tous les actifs ont tendance à monter. C’est l’expansion. Quand les taux sont élevés, l’argent se fait rare, et tous les actifs ont tendance à baisser. C’est la crise.

*³ La dette comme seul moteur de l'activité, à un niveau considérable et compte-tenu d'une croissance très faible, de ce fait totalement insuffisante pour payer les intérêts et rembourser le capital, conduit les banques centrales à être condamnées à maintenir les taux à zéro. C'est une fuite en avant perpétuelle de prix administrés - le serpent qui se mord la queue -, entraînant dans sa spirale mortifère - la forte dépréciation des marchés suivie de la faillite - les fonds de pension américains, les assureurs-vie français, tous les grands gestionnaires de fonds, qui voyant les rendements des obligations baisser, ont introduit de plus en plus de risque dans leurs portefeuilles.

 

De la bulle luciférienne (1)

Un actif financier - ainsi une obligation ou une action - a une valeur d'usage consistant à procurer des flux de revenus futurs, jusqu'à ce qu'il soit retiré de la circulation (remboursement pour le premier, ou revente pour le second). De ce fait, les coupons pour une obligation et les dividendes pour une action versés tout au long de la durée déterminée représentent la vraie valeur d'usage de l'actif. Comme le dernier flux sur une durée longue, lointaine, ne vaut pas grand-chose car déprécié, un système dit d'actualisation permet de calculer la valeur actuelle d'une chose qui sera touchée dans le futur. La question primordiale est toutefois la valeur d'échange de l'actif au moment de son achat. S'il est payé très au-dessus de son utilité, l'individu acheteur s'est fait voler et ne pourra récupérer une mise appréciée...

La réalité de la politique monétaire telle que pratiquée par les banques centrales avec l'émission à grands flux d'argent à taux zéro* voit les valeurs d'échange des actifs financiers diverger totalement d'avec leur valeur d'usage, c'est-à-dire jusqu'à ce qu'ils ne rapportent plus rien. En effet, les autorités jouent sur le désir des individus de jouer au casino de l'enrichissement, de participer à la loterie de l'illusion. Mais par l'injection permanente de monnaie pour soutenir la croissance indispensable au fonctionnement du système établi car génératrice de consommation, elles gonflent les valeurs d'échange alors même que les valeurs d'usage baissent. En effet, la croissance économique réelle espérée ne cesse de baisser compte-tenu de l'appauvrissement continu de nombre d'acteurs économiques se conjuguant à leur changement d'habitudes, par nécessité ou par prise de conscience de la vacuité matérialiste. La réalité est que nous sommes dans un monde de stagnation au mieux, de régression au pire. Il en résulte que les actifs (obligations et actions) sont payés de plus en plus cher, alors qu'ils valent de moins en moins. Là se situe la réalité de la bulle luciférienne, ni plus ni moins qu'une qu'une arnaque sous forme de pyramide, de Ponzi*² il va sans dire...

Comme les premiers servis sur les marchés financiers bénéficient des meilleurs prix et rendements, la grande majorité du troupeau suiveur se retrouvent spoliés. La perversité est que certains ont acheté avant eux pour les gruger, la prospérité économique n'étant nullement ce qui produit l'enrichissement des détenteurs d'actions, mais le fait qu'il y toujours plus stupide qu'eux pour venir acheter plus cher ! Qui sont-ils ? Les initiés, c'est-à-dire ceux qui, parce que très riches, sont très proches des marchés. Comment font-ils ? Ils achètent non seulement avant les autres, mais surtout à crédit, par endettement, celui-ci constituant un levier dans la mesure où ils savent que la hausse du prix des actifs est acquise, sûre, garantie par la politique des banques centrales. Qu'en conclure ? Que les inégalités sont voulues !

* Même l'Allemagne, réputée jusqu'alors pour la rigueur aride de sa politique monétaire sous le contrôle de sa banque centrale (Bundesbank ou Buba) s'y met, puisque cette dernière autorise désormais les banques commerciales allemandes à octroyer des crédits hypothécaires aux particuliers à taux négatifs, signifiant que ceux-ci finiront par rembourser moins que ce qu'ils ont emprunté ! En fait, il peut être judicieux pour une banque de payer des intérêts négatifs sur les prêts au lieu de payer elle-même des intérêts encore plus élevés pour un usage différent...

Du nom de Charles Ponzi, devenu célèbre après avoir mis en place une opération fondée sur ce principe à Boston dans les années 1920, il s'agit d'un montage financier frauduleux qui consiste à rémunérer les investissements des clients essentiellement par les fonds procurés par les nouveaux entrants. Si l'escroquerie n'est pas découverte, elle apparaît au grand jour au moment où elle s'écroule, c'est-à-dire quand les sommes procurées par les nouveaux entrants ne suffisent plus à couvrir les rémunérations des clients. 

 

De la bulle luciférienne (2)

À l’insu de la plupart des gens, les dirigeants institutionnels ont conclu un pacte avec le "Diable" : remplacer la création d’une "richesse" par une bulle d’actifs représentant des trillions de dollars accordés à quelques-uns destinés à se répercuter comme par magie sur le plus grand nombre pour une prospérité généralisée. Ainsi successivement la bulle internet, celle du pic pétrolier, la bulle immobilière, celle des prêts hypothécaires garantis et, plus récemment, avant la bulle du marché obligataire, la bulle des "meme stocks"*, celle des cryptomonnaies sinon celle des voitures d'occasion. Toujours plus de bulles...

C'est aussi insensé que la promesse d’immortalité sur la planète Terre ! En d'autres termes, ces dirigeants ont préféré sacrifié la sécurité et la stabilité futures des nations en refusant de traiter les vrais problèmes révélés par l’effondrement des escroqueries financières en 2008-2009... Ce n'est plus ou moins que l’équivalent de sacrifier des innocents sur l’autel des dieux pour assurer aux dirigeants leur fortune personnelle. Si Lucifer était bien sûr ravi de servir l’illusion de pouvoirs divins à ces dirigeants corrompus et avides, il réclame désormais son dû, signifiant que la destruction commence vraiment destination la ruine !

* Une action mème est une action numérique qui gagne en popularité parmi les investisseurs particuliers par le biais des médias sociaux. Elle est basée sur des mèmes Internet partagés par les traders sur des plateformes telles que r/wallstreetbets sur Reddit.

 

Le mécanisme corrupteur de la crise financière

Ce ne sont évidemment pas les marchés financiers qui sont responsables de la crise, mais ceux qui en sont les orchestrateurs, en l'occurrence les banques centrales, plus exactement les banquiers centraux. Pourquoi ? Parce qu'elles injectent l’argent par des achats de titres à long terme, les QE (assouplissements quantitatifs), là où elles ont déplacé la fonction bancaire, le crédit des banques commerciales, sur les marchés financiers. Ceci entend qu'ont été retirées la production de crédit et la gestion du secteur bancaire pour les mettre sur le marché financier, et ainsi en créer toujours plus. C'est tout particulièrement vrai aux États-Unis, un peu moins en Europe où les marchés jouent un rôle moins important. En truquant le marché boursier et les taux d’intérêts de manière à ce que l’argent facile se trouve dans la "finance" et non dans l’industrie, elles ont contribué à fragiliser sinon détruire des pans entiers des industries manufacturières, et à dérégler le fonctionnement du commerce mondial.

En injectant de l’argent qui coûte de moins en moins compte-tenu de la non-rémunération des intermédiaires que sont les banques –quasi-zéro–, cet argent qui devient "factice" (perte de sa valeur selon le bon principe "ce qui est rare est cher") gonfle les prix de tous les actifs financiers (ainsi l'immobilier) et contribue à la spéculation, faisant au final la fortune de ceux qui jouent de ce mécanisme pervers. Le résultat est un déséquilibre considérable entre deux types de prix : les uns sont trop chers, les autres sont trop bas.

Les prix trop chers sont ceux qui ont rapport à la finance ; les prix trop bas sont ceux qui ont rapport au "monde réel" (prix des matières premières, du travail, etc). Et les prix de l’ensemble de la masse des actifs financiers sont trop élevés par rapport à ceux de la richesse réelle, c'est-à-dire par rapport aux prix des PIB. Il en découle que la pyramide financière n’a plus de base, et ce faisant qu'elle peut s’écrouler à tout instant... ce qu’elle fait périodiquement, conduisant à une massive réinjection de liquidités factices. Le tonneau des Danaïdes ! *

L’inflation des prix des actifs financiers a ainsi pris le pas sur la non-inflation des prix des biens et services réels, contribuant à déconnecter l'économie de la réalité du rapport marchand entre l'offre et la demande. Cette crise est la signature de banquiers centraux hors-sol, gangrénés par leurs gloutonnerie et acoquinerie faisant le jeu de quelques relais complices, les ploutocrates vampires, et indique par là-même la faillite du politique par son incapacité à contrôler et maîtriser cette dérive.

Tout naturellement, la crise dans ses répercussions traduit un tout : économique, financière, monétaire, politique et sociale. Et sa facture est payée par le plus grand nombre, alors qu'elle est décidée et de ce fait signée par une minorité, autrement dit par une classe sociale en faveur de l’accumulation, de la spéculation, de la préservation (achat de titres anciens représentatifs du capital constitué sous forme de titres boursiers). Rien de bien démocrate tout cela, n'est-ce pas ? Il n'y a encore que les naïfs, illusionnés ou nervis du système constitué pour y croire, jusqu'au moment, proche, où la facture leur sera présentée, de façon sonnante et trébuchante !

* Dans la mythologie grecque, les Danaïdes sont condamnées à éternellement remplir un tonneau troué aux Enfers.

 

L'arcane "La Tour" (The Tower)

Dans le Tarot initiatique*, l'arcane XVI nommé La Maison-Dieu ou La Tour dans sa version anglaise est le symbole de la destruction, en l'occurrence occasionnée par les élites royales prédatrices de par leur corruption découlant de leur pacte aux Forces de l'Ombre et des Ténèbres se situant en 4ème dimension de réalité. Dans son pendant positif, il signifie l'indispensable destruction des croyances sources d'illusions de l'être humain sous domination du corpus prédateur qui le gouverne.

Il indique tout particulièrement qu'en cette fin de cyclicité le Vatican, le centre spirituel de la Cabale fomentée à l'encontre de l'être humain, sera inévitablement détruit, ce que les événements en cours ne cessent de rappeler, comme la multiplication de la révélation des scandales sexuels et de corruption financière étalés au grand jour. Si les élites dirigeantes sous contrôle sont amenées à agir de manière si belliqueuse (Cf. répression féroce des gilets jaunes ou des manifestants à Hong-Kong), c'est que la justice cosmique arrive. Comme elles la ressentent comme le Cerbère, le chien des enfers, c'est-à-dire comme une pression sans comprendre de quoi il retourne, elles ressentent une colère insatiable et la peur de se retrouver sans rien. D’où leur façon de s’accaparer de plus en plus les ressources et de détruire, transmettant cette peur à la population, puis prenant à son encontre des mesures répressives lorsque la population réagit. Et par une sorte d’effet boomerang, cette destruction des éléments constitutifs de la Nature terrestre sous l'emprise de la peur augmente encore plus la réaction cosmique !

Si la vision de la tour entraîne souvent peur, secousse et insécurité, ce moment de grande agitation est propice à regarder ses profondeurs intimes pour y débusquer le dragon visqueux qui y réside, et prendre conscience de la prédation qu'il exerce pour empêcher l'éveil de conscience. Aussi, quoi qu'il soit annonciateur d’un bouleversement majeur, d'une forte perturbation, d’un état d'urgence ou de crise, il est susceptible d’apporter quelque chose de nouveau par l'inspiration, une fois ses écuries nettoyées de la fange s'y trouvant. L’aspect le plus important de la Tour est que toute destruction est suivie d'une création. Ainsi, l'arcane de la Tour représente un réveil venant comme un coup de foudre*² à travers un événement de la vie choquant et percutant.

* Cf. Le sens caché du Tarot initiatique.

La foudre est une représentation qu'on donne pour attribut à Jupiter, consistant en une sorte de grand fuseau au milieu duquel sortent plusieurs dards en zigzag (à la place du dard, c'est parfois un trident). Elle symbolise l'orage physique ou moral, qui manifeste la volonté et la toute-puissance du dieu suprême - son pouvoir créateur et destructeur - par son feu céleste d'une irrésistible violence. C'est la création qui surgit du néant à l'état encore chaotique, ou qui s'anéantit dans un incendie d'apocalypse. Les pierres de foudre d'origine néolithique, la hache de pierre de Parashu-Râma ou le marteau de Thor sont les symboles de la foudre qui frappe et fend la terre, mais aussi la façonnent et fertilisent, car elle est vie et mort, source de puissance divine infinie, justicière et bénéfique. C'est le double tranchant de la hache. La hache à main est symboliquement une foudre accumulée, illustrant l'action transformatrice du ciel sur la terre en étant associée à la pluie. 

 

Lentement et sûrement, la toile d'araignée de la prédation économique enserre l'être humain illusionné pour le conduire au clou final de la "valse des pantins". Dans cette matrice caractérisée par la dualité, l'efficacité économique réelle repose non seulement sur deux secteurs économiques antagoniques et complémentaires - le secteur public et le secteur privé -, mais aussi sur le secteur formel (tout ce qui est officiellement déclaré) et les secteurs informels (tout ce qui est officieux et plus ou moins illégal). En effet, sans secteur informel, point de liberté. Il n’y a liberté que là où des excès peuvent s’exprimer, ce qui ne veut pas dire qu’ils ne doivent pas être réprimés. C'est ainsi que le trafic de drogue est réprimé, mais parce qu'il fait partie du secteur informel, il est comptabilisé désormais dans le PIB (produit intérieur brut), agrégat majeur des comptes nationaux !

Ceci entend qu'une économie "saine", quoique dénaturée dans son essence première par les "mages babyloniens" instigateurs, doit avoir des espèces, beaucoup d’espèces même pour contribuer à l'équilibre du système, la vitesse de circulation d’un euro en billet non déclaré n’ayant rien à voir avec celle d’un euro numérique thésaurisé sur un compte en banque et dûment fiscalisé*. La question est juste d’encadrer le secteur informel pour éviter qu’il ne représente une part trop importante de l’économie, mais vouloir l’éradiquer à tout prix et en totalité est une immense erreur aussi bien sociale qu’économique, sauf à ce qu'elle constitue le verrou définitif de la captation des consciences.

Alors que tout le monde pense que le cash disparaît au profit des facilités offertes par l'économie numérique, il n’a jamais en réalité été aussi disponible dans l’économie, y compris en France où la masse monétaire en billets a augmenté de plus de 7,6 % en un an et atteint son plus haut niveau, comme l'atteste le dernier rapport d'activité de la Banque de France (le phénomène est identique en Europe), au moment même d’ailleurs où l’on effectue de plus en plus de paiement sous forme digitale ! Comment expliquer le passage de 820 milliards en circulation en 2009 à 1 260 en 2018, et mettre tant en avant la carte de paiement sans contact, la cryptomonnaie (bitcoin par exemple, qui porte essentiellement sur le recyclage de l'argent sale), les banques virtuelles en ligne, la suppression progressive du paiement de ses impôts en espèces, la spéculation virtuelle *²... alors que la demande en cash des agents économiques augmente ? La réalité est que le cash devrait être la vraie monnaie, celle que l'on garde, conserve, stocke conformément à la loi ou théorème de Gresham (Sir Thomas Gresham - env. 1519/1579 -, marchand anglais), qui constate que "lorsque dans un pays circulent deux monnaies dont l'une est considérée par le public comme bonne et l'autre comme mauvaise, la mauvaise monnaie chasse la bonne". Ce qui se comprend de la façon suivante : la mauvaise monnaie c'est l'électronique, et elle circule. Pendant ce temps, la bonne monnaie, le cash, est en réserve car on y tient, comme s'agissant de l'or, d'autant qu'en termes économiques et intellectuels un billet de 20 euros gagné par du travail au noir et payé en espèce est un billet qui va circuler beaucoup plus vite de main en main. Or la vitesse de circulation de la monnaie est une donnée fondamentale de l’inflation (son équation est la suivante : MV = PQ avec V = vitesse de circulation de la monnaie). En mettant plus de règles, lois, normes et autres contraintes, c'est le ralentissement de la vitesse de circulation de la monnaie et par là-même de la croissance. A qui profite le "crime" de cette énième illusion jetée à la conscience des robots biologiques ?

Nous sommes bel et bien face à un régime capitaliste monopolistique d’État et de banques centrales réunis, qui voit leurs élites se battre non pour défendre les peuples qu'elles sont censées servir, mais pour le maintien de l'ordre qu'elles ont instauré et qu'elles veulent consolider, autrement dit un système dévoyé, de copinage et sur-exploiteur.

* L’économie la plus forte d’Europe, l’Allemagne, est celle qui a le recours le plus important au cash et aux espèces.

Il en est de la finance spéculative comme de l'art.

Cf. en complément Le modèle européen décodé (2) L'idéologie mondialiste.

 

La fièvre spéculative de l'art

Si des investisseurs sains d'esprit peuvent acheter des obligations à taux d'intérêt négatifs ou se jeter avidement sur des actions sur-cotées du secteur des dot.com, impliquant qu'ils sont prêts à attendre qu'il gèle en enfer avant de gagner de l'argent... pourquoi des amateurs d'art en pleine possession de leurs facultés mentales ne dépenseraient-ils pas de l'argent factice pour acheter de l'art factice ? C'est ce qu'a révélé en octobre 2018 l'affaire "Bansky", pseudonyme d'un artiste britannique connu pour son art de rue, avec la vente par Sotheby's d'une ses œuvres, une reproduction de son fameux pochoir "La petite fille au ballon". Si durant la vente l’œuvre fut achetée 1,4 M$ (le Banksy en question n'était pourtant qu'une imitation, par un artiste anonyme, d'un pochoir fait par un autre, peut-être le même blagueur), elle fut découpée en lambeaux lorsque le marteau eut frappé par l'activation d'un broyeur intégré au cadre. Avec la ruée médiatique qui s'en est suivie, le prestige et le statut de l’œuvre ont grimpé, l'artiste la rebaptisant " L'amour est à la poubelle ", dédicace à son acheteuse bienfaitrice apparemment "saine" d'esprit... De son côté, la rare "Moon Shoe OG" de Nike, modèle dessiné dans les années 1970, a été vendue par Sotheby's  en juillet 2019 437 500 $, battant à plate couture le record d'enchères en matière de baskets ! Et le jeudi 3 octobre 2019, nouvelle enchère record pour le street-artiste britannique Bansky en plein débat sur le Brexit, sa toile représentant le Parlement britannique peuplé de chimpanzés ayant été adjugée 9,9 millions de livres sterling (11,1 millions d’euros) à Londres, effaçant le précédent record pour une de ses œuvres qui était de 1,87 million de dollars (1,7 million d’euros) en 2008 à New York...

 

A quoi conduit la suppression du cash

La disparition du cash par les nombreuses mesures législatives ou réglementaires allant en ce sens - renforcement des restrictions sur les paiements en espèces, limitation des retraits et dépôts d’espèces, contraintes sur les systèmes de paiements acceptés par les commerçants, mesures tendant à rendre obligatoires les paiements par carte de débit ou de crédit - signifie à terme la disparition de la liberté, rendant possible l’arbitraire et la prédation car contraire au droit de propriété. C'est la marque de la soumission au monopole du lobby bancaire. Car lorsque nous déposons de l’argent dans une banque, il ne nous appartient certes plus, mais nous sommes créanciers de notre banque qui nous doit notre argent. Or, en cas de crise financière et bancaire, notre seule défense en tant que citoyen ordinaire consiste à retirer notre argent. Dans une société sans cash, cela deviendra impossible ! Ceci rend alors possible la mise au ban de la société d’un individu de façon instantanée, sans aucune procédure légale, d'autant qu'elle autorise une taxation arbitraire de nos dépôts bancaires liquides en cas de nouvelle crise.

 

Les cinq stratégies du jeu d'échecs

 

La stratégie perverse repose sur l'opposition entre la notion du "bien" et celle du "mal", celle-ci emprisonnant l'être humain par l'émotion ressentie, éprouvée, envers leur nature respective. Cette polarisation émotionnelle - "J'aime/Je n'aime pas" - l'empêche de se dégager de la matière viciée en trouvant en lui par leur fusion la neutralité du "point zéro", indispensable changement de fréquences pour accéder à une dimension de réalité supérieure *. C'est ainsi que la non-connaissance et la non-compréhension des lois cosmiques qui gèrent les activités tant lucifériennes que sataniques dans ce monde astral intermédiaire conduisent l'être humain à demeurer prisonnier de ses émotions, celles-ci étant calées sur les fréquences du bas-astral. Et comme la pensée agit sur la matière *², il en résulte que son imagination créative est limitée à cette densité gouvernée par les forces ténébreuses... L'être humain, gouverné par son prédateur de 4ème dimension qu'il ignore, construit et participe bel et bien de son propre asservissement !

* Cf. L'état de cohérence, voie de sa liberté & Libération émotionnelle.

Cf. Esprit global.

 

Le manuel incorrect de prédation de l'élite gouvernante

Pour qu'une poignée d'individus, des "fous" sans conscience promouvant une culture de la cupidité et de l’égoïsme, puisse diriger et contrôler les masses, il n'est pas nécessaire d'obtenir l’adhésion de larges populations, mais seulement d’une minorité puissante qui puisse à la fois "orienter" la population et la contrôler. Quelques ingrédients incontournables doivent ainsi être mis en place, même si bien entendu l'élite gouvernante s'en défendra la main sur le cœur, sur l'air du complotisme pathologique de ses accusateurs. Ces ingrédients sont les mêmes, qu'il s'agisse de manipuler un individu, une famille, un groupement, une ville, un pays, un continent ou une planète.

En premier lieu, il faut établir des normes, définir le Bien et le Mal, distinguer le possible (l'acceptable) de l'impossible (l'inacceptable), le fou (le gilet jaune) du sage (le bourgeois), la mère et la putain*... La plupart des gens respectent en effet les normes sans sourciller, en raison de l'esprit grégaire qui prévaut depuis des milliers d'années*².

En deuxième lieu, il faut rendre la vie impossible à ceux qui transgressent les normes imposées, tout particulièrement les chercheurs de vérité, les alerteurs et autres lanceurs d'alerte de corruption, les objecteurs de conscience, les dénonciateurs. L'élément le plus efficace pour ce faire est soit de rendre hors la loi celui qui veut être différent, soit de le faire passer pour le mouton noir d'un troupeau conditionné à considérer les normes comme la réalité, en jouant sur son arrogance et son ignorance pour ridiculiser ou condamner celui qui dérange. C'est la manipulation de l'opinion d'autrui, visant à lui faire exercer une pression destinée à l'inciter à rentrer dans le rang tout en servant de mise en garde aux brebis qui songeraient à s'égarer. La crainte de l'opinion forge une situation idéale pour que les masses se disciplinent d'elles-mêmes et marchent droit. Chacun des moutons devient ainsi le chien berger du troupeau, comme si les compagnons de cellule d'un prisonnier qui tente de s'évader cherchaient à le retenir. C'est l'exemple même du fascisme psychologique, qui voit un gendarme de la pensée conformiste être posté dans chaque maison car programmé comme tel pour ériger une prison psychologique, émotive et physique autour de ses semblables.

Les manipulateurs patentés n'ont ainsi plus qu'à tirer les ficelles indiquées en temps opportun pour que leurs fantoches et séides agissent comme bon leur semble. Ils y parviennent notamment en définissant le contenu pédagogique que goberont les étudiants et le contenu informatif des médias qu'ils possèdent. Ainsi, ils peuvent dicter au troupeau naïf et irréfléchi ce qu'il doit penser à propos de soi, d'autrui, de la vie, de l'histoire, des événements en cours. Lorsque des normes sont en place dans une société, il n'est pas nécessaire de contrôler chaque journaliste, enquêteur ou fonctionnaire d'un gouvernement. Les médias et les institutions nationales acceptent la vérité qui correspond aux normes et couvrent de ridicule ou condamnent quiconque propose une autre vision de la réalité. Dès lors que vous contrôlez ce que l'on considère normal et possible, le système fonctionne, pratiquement sans bavure, avec comme axiome que la nature humaine étant si mauvaise, l’ordre ne peut être

maintenu que par un pouvoir fort créé par des individus hautement qualifiés au nom d’une idée supérieure*³.

* Cf. La dualité décodée.

Cf. Le contrôle du robot biologique.

Cf. Contrôle mental & Prédation manipulatoire.

 

Le "Cheval Pâle" est le nom du quatrième "Cavalier de l'Apocalypse". Il incarne la Maladie, l'Epidémie et la Mort dans les allégories traditionnelles - Cliquer pour agrandir
Le "Cheval Pâle" est le nom du quatrième "Cavalier de l'Apocalypse". Il incarne la Maladie, l'Epidémie et la Mort dans les allégories traditionnelles - Cliquer pour agrandir
"Le masque de la mort rouge" (The Masque of the Red Death), nouvelle d'Edgar Allan Poe publiée en 1842 - Cliquer pour agrandir
"Le masque de la mort rouge" (The Masque of the Red Death), nouvelle d'Edgar Allan Poe publiée en 1842 - Cliquer pour agrandir

 

Dans les œuvres culturelles, l'imagerie du sang et du temps est associée au domaine corporel, l'épidémie représentant les attributs typiques de la vie et de la mortalité. Ceci implique que toute l'histoire de la civilisation placée sous la coupe des forces involutives et de leurs relais terrestres aux commandes est une allégorie à propos des vaines tentatives de l'être humain pour conjurer la mort, sauf radical changement de conscience* ! L'arrivée de la "Mort Rouge", à l'instar de l'actuel Covid-19 succédant à d'autres virus mortels précédents, n'est que la conséquence logique de la dépravation morale constatée...

Les figures allégoriques telles le "Cheval Pâle" de l'Apocalypse ou "la Mort Rouge" de la nouvelle d'Edgar Allan Poe de 1842 illustrent l'invité costumé - le virus mortel - faisant son apparition de manière aisée dans un décor censé être jusqu'alors un espace clos et impénétrable, afin d'en constituer un élément oppressant. Il indique que son contrôle n'est qu'une illusion, puisqu'il cause "des douleurs aigües, un vertige soudain, un suintement abondant par les pores", autrement dit la dissolution de l'être vicié, contaminé par ses mœurs et pensées dépravées, profondément dénaturées. La Mort Rouge n'est pas une maladie, mais quelque chose qui est partagé de façon inhérente par toute l'humanité en son actuel état de conscience...

* Cf. Processus de transformation de conscience.

 

Apothéose démoniaque

Il y a mille et une manières chez les psychopathes prédateurs qui nous gouvernent, dans l'ombre s'entend, de contribuer à s'emparer des richesses psychiques comme matérielles de leurs esclaves humains, leur gloutonnerie incessante générant paupérisation et souffrances associées. L'opération diabolique "Covid-19" en constitue parmi tant d'autres une illustration emblématique, dont pêle-mêle l'affaire des masques disparus, la polémique quant à l'efficacité ou non de la chloroquine, la question de la fiabilité ou non des tests de dépistage, les débats quant à l'origine d'un virus sorti d’un pangolin ou d'une arme biologique, l'interrogation quant à la réalité d'une hécatombe mondiale confrontée à l'absence d’effets visibles sur les taux de mortalité, les mensonges présumés quant aux chiffres chinois communiqués, les valse-hésitations sur un déconfinement sans déconfinement, créent les opportuns rideau de fumée et confusion destinés à masquer la véritable nature de l'objectif poursuivi. Elle voit les pantins gouvernant courir tels des poulets sans tête, les présumés spécialistes se déchirer sur les plateaux médias d'autres pantins tout à leur dénonciation de complotistes et autres conspirationnistes irresponsables, la multiplication de pétitions suivies de contre-pétitions et, à l'image d'un précédent leurre nommé Charlie Hebdo, voit fleurir chez les moutons illusionnés les belles promesses et déclaration enfiévrées d'un lendemain fraternel, où chacun enfin vivra dans la joie et la fraternité, poursuivant désormais pour les sacraliser afin que rien ne soit plus comme avant leurs frénétiques applaudissements et autres chants pleins d'allant et de tendresse à leurs frères et sœurs de labeur, qui plus est en appelant leur progéniture à perpétuer la grotesque chaîne de la danse du déconfinement comme souvenir de leur liberté retrouvée. Le 11 mai est ainsi appelé à compléter l'imbécile célébration rituélique des héros sacrifiés des 1er mai, 8 mai, 18 juin, 14 juillet et autre 11 novembre par des êtres humains inconscients de la réalité de leur geôle-prison. Tout à l'euphorie de leur libération poudre aux yeux, ils oublient une fois encore de regarder avec discernement le monde qui leur est désormais réservé.

Sur le plan sanitaire d'abord. Nombre d'hôpitaux sont vides, les médecins se plaignant de manquer de malades à leur cabinet. Demain, ils afflueront massivement à nouveau dans la quête de leur sauveur extérieur, mais dans un contexte de pénurie mondiale de médicaments. Car si les grandes sociétés pharmaceutiques sont cotées à New York, Paris, Francfort ou Zurich, les médicaments sont fabriqués dans leur immense majorité en Inde et en Chine, pays actuellement en proie à la désorganisation générale. Les usines y sont silencieuses, les aéroports bloqués, les frontières régionales fermées, et les camions empêchés de circuler. Or antibiotiques, sédatifs et autres dérivés de morphine et de curare sont indispensables pour les actes de chirurgie. Et sans eux, pas d’opération possible...

Sur le plan économique ensuite, avec la faillite de centaines de milliers de petites entreprises et des millions de chômeurs supplémentaires dont une très grande partie ne retrouveront plus leur "sécurité financière" d'avant pas plus que leur "raison d'être" sociétale, celle censée donner sens à leur (sur)vie. Par cette opération nommée coronavirus, la plus grave crise économique depuis 1929 est en train de ravager tant les pays occidentaux que l’Inde, la Chine et l’Amérique du Sud, voyant des dizaines de millions de personnes en train de retomber dans une terrible pauvreté, morale comme monétaire. Quant à l'effondrement des recettes fiscales conjugué à la baisse des contributions sociales, ils vont lourdement impacter le système de santé et la qualité des soins dans les mois et années qui viennent, en France notamment.

"Cerise" sur le gâteau, comme les gouvernements occidentaux n’auront pas mis à profit la période du confinement pour tester la population et repérer les malades, il paraît quasi assuré qu'après le déconfinement sera rendu nécessaire un reconfinement, puisque durant le confinement, la  contagion à l’intérieur des foyers aura permis au virus de se propager en continu à de nouvelles personnes appelées en l'ignorant à répandre le virus en sortant. L'épidémie ne pourra que reprendre de plus belle, et livrer aux "dieux" asservisseurs leur festin de mets de choix en cette fin de cyclicité. Une apothéose démoniaque, signature du mortel virus qui nous gouverne tant que nous ne l'avons pas définitivement éradiqué de notre conscience !

 

Diviser pour mieux régner

 

Du latin divide et impera, cette stratégie consiste à semer la discorde et à opposer les pions de l'échiquier pour les affaiblir par les affres psycho-émotionnelles liées, et à user de son pouvoir pour les influencer subrepticement. Elle s'appuie à la base sur la manipulation de l'ADN humain originel (amputation de nombre de ses brins confinant au "voile de l'oubli"), de l'hérédité aliénigène qui y est logée, et des génomes sémite et aryen non fusionnés et unifiés.

Elle passe pour sa mise en œuvre par l'action des institutions se consacrant à l'exercice du pouvoir terrestre (partis politiques, structures religieuses, structures financières, multinationales, instituts divers ...) et des sociétés secrètes régies par le système du parrainage*, pratique mafieuse par excellence ! Il en découle l'exacerbation des conflits religieux, raciaux, politiques, sociaux... sources de tensions, de stress, de désordre et de haine à l'échelle planétaire depuis des millénaires. Le plus emblématique des clivages est sans conteste la question du peuple juif et de l’État d'Israël, autrement dit la thématique de l'antisémitisme, du racisme, de la sécurité d'Israël et par contrecoup celle du nazisme. Elle est la thématique majeure de notre époque. Des dizaines et des dizaines d'années après la dernière grande tragédie - la Shoah -, elle alimente les guerres, sert à cliver nos sociétés et à tracer les lignes de la bien-pensance.

* Cf. Saga "Le Parrain" du cinéaste états-unien Francis Ford Coppola.

 

Dépendance au "mal"

 

Cette drogue addictive du système prédateur, constitutive d'une gravure mnésique quasiment irréversible, est infusée dès le plus jeune âge par tous les canaux institutionnels éducatifs et d'information, visant la soumission à l'ordre soi-disant protecteur et garant de la sécurité. La mort est ainsi célébrée quotidiennement par la mise en scène des drames collectifs et individuels, destinée à nourrir les réactions pulsionnelles d'accusation et de condamnation de ses auteurs psychopathes. Les fausses solutions et béquilles inefficaces apportées par ses artificiers vampires maintiennent l'être humain prisonnier de cette hypnose délétère, le confinant dans un syndrome de Stockholm* ou d'effet Mandela*² antinomiques avec sa libération intérieure.

* Phénomène psychologique d'empathie et de contagion émotionnelle éprouvé envers ses " bourreaux ".

Phénomène dans lequel un grand nombre de personnes partagent des souvenirs similaires d'événements qui ne se sont jamais produits.

 

Louise... ou le "Bon Dieu astral"

Mais qui a soulagé sa peine Porté son bois, porté les seaux

Offert une écharpe de laine Le jour de la foire aux chevaux

Et qui a pris soin de son âme Et l'a bercée dedans son lit

Et qui l'a traitée comme une femme Au moins une fois dans sa vie

Le bois que portait Louise C'est le Bon Dieu qui le portait

Le froid dont souffrait Louise C'est le Bon Dieu qui le souffrait

Ce n'était qu'un homme des équipes Du chantier des chemins de fer

Alors laissé aux domestiques Elle le rejoignait près des barrières

Me voudras-tu, moi qui sais coudre Signer mon nom et puis compter

L'homme, à sa taille, sur la route Passait son bras, la promenait

L'amour qui tenait Louise C'est le Bon Dieu qui le tenait

Le regard bleu sur Louise C'est le Bon Dieu qui l'éclairait

Ils sont partis vaille que vaille Mourir quatre ans dans les tranchées

Et l'on racontait leurs batailles Dans le salon après le thé

Les lettres qu'attendait Louise C'est le Bon Dieu qui les portait

La guerre qui séparait Louise C'est le Bon Dieu qui la voyait

Un soir d'hiver sous la charpente Dans son lit cage elle a tué

L'amour tout au fond de son ventre Par une aiguille à tricoter

Si je vous garde, Louise, en place C'est en cuisine, pas devant moi

Ma fille, priez très fort pour que s'efface Ce que le curé m'a appris là

Et la honte que cachait Louise C'est le Bon Dieu qui la cachait

Le soldat qu'attendait Louise C'est le Bon Dieu qui l'a vu tomber

Y'a cinquante ans, c'était en France Dans un village de l'Allier

On n'accordait pas d'importance A une servante sans fiancé

Le deuil qu'a porté Louise C'est le Bon Dieu qui l'a porté

La vie qu'a travaillé Louise C'est le Bon Dieu qui l'a été

Interprète : Gérard (Raymond) Berliner (1956/2010)

Album : Aimer C'est Plus Que Vivre (2008)

 


Du syndrome de Stockholm civilisationnel

Le syndrome de Stockholm est un phénomène psychologique qui peut se produire entre une victime et son bourreau. Il voit ainsi certains otages finir par développer pendant leur captivité une certaine empathie, voire sympathie, à l’égard de leur geôlier ravisseur, cette captivité pouvant également s'entendre dans le cadre intime* (relations de couple) comme professionnel.

Dans la matrice sociétale, les preneurs d’otages adulés sont notamment les États et leurs gouvernements, les banques, les lobbies pharmaceutiques, les médias, les églises... une majorité des masses étant éprises de leurs dictatures présentées comme au service du bien commun, justifiant et soutenant mordicus qu’il n’y a aucun mensonge ni intention de nuire de leur part. Même confrontées aux preuves physiques et morales de leur programme délétère sinon criminel (il en est ainsi de l'actuelle destruction à grande échelle du capital santé et de l’économie dans le cadre de la crise sanitaire "Covid-19"), le déni est profond, jusque à brandir à tout bout de champ l'accusation de complotisme et de conspirationnisme à l'encontre de celles et ceux ayant compris le sens caché de la partie d'échecs se déroulant à leurs pieds. Elle met en scène un grand reset financier et sociétal, visant à imposer le nouvel ordre totalitaire (N.O.M.), chape de plomb sur la conscience nécessaire au grand programme d'hybridation établi*². Il passe par le contrôle des peuples via l’Intelligence Artificielle (IA), le vaccin ARN-m, la surveillance généralisée, et l’eugénisme constitutif de la "nouvelle race parfaite"...

Comme à l'accoutumée dans la matrice pyramidale, le modèle patriarcal, la figure d’autorité est l’État, le 3ème œil qui n'a de cesse d'infantiliser et de manier avec habileté perverse la carotte et le bâton. Comme peu s’en émeuvent profondément faute de discernement, il en résulte sidération, déni, soutien et confiance aveugle illimitée dans les bourreaux abuseurs, constitutifs de traumatismes psychiques quasi impossibles à effacer tant ils sont puissamment refoulés. Qui plus est, le service de propagande endoctrine tellement les naïfs et illusionnés qu'ils deviennent des fanatiques extrémistes, trouvant dans la dénonciation et la délation la jouissance extatique nécessaire à leur psyché dénaturée. Car comme le dit l'adage, qui aime bien châtie bien !

* Cf. Conscience et dépassement de la Matrice sexuelle.

Cf. Préambule de compréhension.

 

Faire croire que le "mal" n'existe pas

 

Il s'agit de rendre le mal "invisible" par l'insidieuse propagande consistant à ne jamais douter de l'action "bénéfique" du système à son égard, ni à se poser des questions sur la véritable raison d'être du mal comme de la guérison à sa contamination. Les artifices de la consommation et du divertissement sont ainsi actionnés comme Panem et circenses (littéralement "pain et jeux du cirque") par les empereurs tyrans de la civilisation, relayés par les promesses idylliques des partis politiques et des religions, tout comme par les incantations "amour et lumière" fumeuses du courant New Age. Quant à celles et ceux qui dénoncent cette manipulation de la conscience, ils sont traités de conspirationnistes ou complotistes par les trolls inféodés à l'ordre établi.

 

Des trolls et autres cyber-psychopathes criminels

En argot Internet, un troll caractérise ce qui vise comme agent perturbateur à générer des polémiques à caractère destructif. Il peut s'agir d'un message, d'un débat conflictuel dans son ensemble, ou de la personne (qui porte bien ce qualificatif en l'occurrence) qui en est à l'origine.

Les trolls pullulent dans la Matrice cyber, constitutifs d'une espèce parasitaire destructrice de la civilisation dans sa transition en cours vers le transhumanisme, l'homme robot, apothéose de sa dégénérescence. On le retrouve aussi sous le label plus courant de "hacker" ou de "cybercriminel" (17.000 attaques en moyenne par jour en France en 2017)*, à différents stades d'intensité comme d'intention (de Michael Calce, hacker de l'Île-Bizard près de Montréal au Canada, anciennement connu sous le pseudonyme de Mafiaboy, à Edward Snowden)*². Le troll va de l'individu isolé compulsif dissimulé derrière son écran, manipulé par son prédateur par l'inflammation pathologique de son moi égo, aux lobbies structurés menant la guerre économique comme idéologique pour la défense de leurs intérêts, en passant par les réseaux criminels et mafieux (ainsi ceux spécialisés en Afrique noire - Sénégal, Côte d'Ivoire, Nigeria... - dans le harponnage ou hameçonnage sentimental comme financier, ou spécialisés dans le financement terroriste), allant jusqu'à contrôler à distance les engins de locomotion équipés de technologies électroniques propres à l'Intelligence Artificielle (fusées, avions, trains, voitures, drones).

Ces pollueurs de causes entièrement fabriquées et scénarisées pour le besoin du système prédateur vampire sévissent sur les réseaux sociaux (ainsi Facebook, Twitter ou What's app) et forums en ligne, dans les cénacles et cercles "privilégiés", jusqu'à notre entourage (réseaux professionnels comme amicaux), y compris familial. D'ailleurs, peut-être sommes-nous déjà contaminé(e), tant leur influence est grande en puisant dans les ressorts viciés de l'inconscient poubelle. Ils se répartissent en quatre catégories, toutes éminemment toxiques :

. Les trolls individuels, à différents états de psychose et par-là même d'agressivité et de harcèlement plus ou moins brutal par le cybermailing (moqueries, discriminations, diffusion d'images intimes entre autres dans des sites pornographiques ...) à l'encontre de leurs cibles désignées, souvent relayés par la bêtise congénitale de l'effet groupe;

. Les trolls relationnels (variante des précédents) qui, par leurs blessures affectives ressenties (jalousie, colère suite à un désaccord, frustration, déception sentimentale ...), disjonctent et se "vengent" de multiples façons, jusqu'à la demande de rançon ou extorsion (technique du ransomware);

. Les trolls professionnels, missionnés pour nombre par leurs mandants dont les officines gouvernementales ;

. Les trolls érudits - les "grands sachants" -, en provenance des différentes structures composantes du fonctionnement de la Matrice dévoyée (partis politiques, institutions religieuses, sociétés secrètes, armée, police et gendarmerie, milieux ufologiques ou alternatifs ...), et constitutifs par leur pedigree de caméléon manipulateur (faux éveilleur) de la stratégie de dénonciation de vrais/faux complots et de déversement de vraies/fausses informations (" fake news " désormais qualifiées d'" infox "), notamment sur les sujets sensibles s'y prêtant (vaccins, Ovnis, crop circles, chemtrails, reptiliens ...). Ils ont parfaitement compris la manière de rassembler une audience sensible au non-politiquement correct telle que présente en masse sur les réseaux sociaux (jeunes, souvent de droite, abstentionnistes ou qui ne votent pas encore). Comme les 15-40 ans qui font du trolling sur internet sont particulièrement friands de second degré, alterner des messages sérieux et des messages plus marrants permet d'atteindre le plus grand nombre !

Agents du système prédateur, ils ont pour mission de tuer dans l’œuf toute résistance à l'"ordre" prévalant, le chaos... La compréhension fine de leur psychopathie lorsque leur masque tombe relève des théories et concepts du "profilage" et de l'analyse comportementale, branche de la psychologie spécialisée en criminologie, et utilisée par toutes les agences gouvernementales dans leur guerre secrète au service de l'Ombre*³. Ceci entend que toutes celles et tous ceux qui s'affichent ostensiblement sur les réseaux sociaux, en live ou différé, tout particulièrement You Tube ou autres chaînes audio-vidéo, livrent de manière totalement inconsciente leur talon d'Achille aux cyber-prédateurs, ceux-ci ayant vite fait de trouver leurs failles "intimes" pour initier leur action destructrice. C'est tout particulièrement le cas des "vrais" lanceurs d'alerte spirituelle (nombre en réalité sont des agents du système), qui, pour "sauver" le monde de par leur moi non individué, distillent souvent avec talent des pastilles et autres mises en scène informatives. Sans totale purification intérieure, ils donnent prise au bâton qui finira par les (a)battre, tels parmi une longue liste le journaliste canadien Serge Monast (1945/1996), l'ancien policier et auteur américain Michael Craig Ruppert (1951/2014), l'auteure compositrice française Claire Séverac (disparue en 2016), le producteur et réalisateur américain de films Aaron Russo (1943/2007) ...

* Le nombre de cyberattaques a été multiplié par deux en un an (de 66,4 millions en 2017 à 116,5 millions en 2018), selon une étude Kaspersky Lab, le spécialiste russe de la cybersécurité, parue en mars 2019. Ce sont les attaques sur smartphones (le bon vieux cheval de Troie) qui ont le plus augmenté car mal protégés, alors qu'ils sont utilisés comme des ordinateurs (navigation et réseaux sociaux).

Cf. "Lève-toi et code - Confessions d'un hacker" - Livre de Rabbin des bois (Ed. La Martinière, 2018).

*³ Cf. Nadine Touzeau, "Net Profiling" (Transition).

 

De l'armée des trolls

Le déferlement des technologies numériques a conduit à l'instauration de la cyberguerre à l'initiative des psychopathes gouvernant, finançant les officines dédiées. Parmi elles figure en bonne place le trolling, qui dans le monde de l'Internet et du web, désigne l'action d'intervenants consistant à initier tant des polémiques sur un forum de discussion (blog ou réseau social) qu'à discréditer et polluer les cibles désignées. Leur seul but est de provoquer les autres intervenants et de générer des réactions en retour. Pour ce faire, ils écrivent d’abord avec désinvolture puis de plus en plus délibérément quelques commentaires généraux, courts ou longs, comme des accroches qui deviendront fastidieuses, en attendant les réactions de la victime choisie. Chaque billet de l’auteur est utilisé pour exposer ses "contradictions", comme plusieurs phrases dont l’une est choisie et interprétée comme non conforme aux précédentes. Si l’auteur ou le modérateur du site reconnaît à temps qu’une telle personne est un troll, elle est bannie. Mais si le blogueur ne sait pas à qui il s’adresse, il devient une proie du troll qui a pris le masque d’un dénonciateur de l'ignorance de l’auteur. 

Il s'agit d'un programme d'action de type accusatoire, qui renverse sa nature totalitaire par l'accusation à l'encontre de la cible d’avoir une pensée de type totalitaire, extrémiste de droite pour ne pas dire fasciste de préférence, qui de ce fait ne peut pas tolérer la liberté d’expression et d’autres points de vue.

Si cette guerre dite du transsurfing semble efficace, c'est oublier pour ceux qui s'y adonnent une des grandes lois régissant l'énergie de l'univers qui veut que le semblable attire le semblable et ne rejette pas le semblable. Autrement dit, ces trolls professionnels rémunérés pour leurs basses œuvres, par delà la simple intention défoulatoire des trolls "en herbe", créent dans leur conscience ce dont ils accusent les autres, s'octroyant bien inconsciemment le droit de juger ce qu'ils n’ont pas créé eux-mêmes. Si la critique constructive est importante pour l'être humain, elle requiert mesure à travers le contrôle de ses émotions afin que celles-ci ne nous "tuent" pas non plus. C'est pourquoi le jugement, sous quelque forme que ce soit, est une manifestation d’agressivité latente, qu'elle soit faible ou forte, et l’agressivité est une forme de peur. Il en découle que par leur jugement de personnes ou de situations sur lesquelles ils n’ont en réalité aucune influence, l'énergie des trolls détruit non seulement la cible visée mais aussi eux-mêmes.

C'est pourquoi le trolling est particulièrement dangereux pour la santé psycho-énergétique, constituant par le pouvoir et le contrôle sur autrui, la soif d’attention, la satisfaction de l’ego, la suffisance et le plaisir de prendre quelqu’un au "bluff" une voie directe vers la psychopathie, le sadisme, la schizophrénie, entraînant la perte de protection énergétique et le piégeage de l'individu troll dans des égrégores dont la grande majorité est exploitée par le Système asservisseur. Progressivement, la conscience du troll commence à se séparer en plusieurs alter ego, car il s’identifie à chacun de ses noms de partage. Sur le plan subtil, cela provoque des dissonances ou copies astrales dans l’intégrité de la personne, son noyau étant alors détruit par le chaos de l’auto-identification. Si autrefois les rituels et sacrifices étaient utilisés à cette fin, aujourd’hui troller suffit, puisque le soi-disant héros n'est qu'un bourreau, commençant inévitablement à tomber malade, à se comporter sans raison, à devenir intolérant et à chercher constamment quelqu’un sur qui déverser sa colère, ce qui le tue physiquement. Il fait des cauchemars, perd l’appétit, devient plus arrogant et perd le tonus. Ses amis et sa famille se détournent de lui. Les gardiens l’abandonnent à son propre destin. Le haineux ne se doute même pas qu’il est déjà devenu une cible vivante, enchevêtré sur un plan subtil dans une série de tuyaux d’énergie destinés à différentes entités transdimensionnelles involutives. Il est devenu toxicomane, ayant besoin d’une dose de négativité chaque jour, prêt à tout donner pour l’obtenir, son libre arbitre, sa liberté de choix et même son âme s'il en a une. Celle-ci est perforée et la plupart du temps complètement détruite, ne restant  que le corps physique d’un narcissique pompeux, qui ne peut exister qu’en s’affirmant avec une grossièreté, une arrogance et une insolence multipliées par l’impunité.

En cette fin de cyclicité civilisationnelle, le Système ne lésine pas sur les moyens pour acheter de tels trolls, car ils contribuent à fausser le champ d’information de pays entiers et du monde entier, empoisonnant encore davantage la planète entière. Dans certains pays, le pic d’agressivité des trolls n’a pas encore été atteint, alors que dans d’autres, il est porté à son paroxysme par le système qui supprime la pensée indépendante dès la petite enfance. C’était l’un des objectifs pour lesquels Internet a été créé à l’origine, et le résultat en 2024 est probant, l'agitation dans les réseaux sociaux étant portée à son paroxysmes par l'implication de tous les acteurs (trolls, politiciens, entreprises, monde criminel, citoyens ordinaires, services spéciaux, etc.) qui, connectés à un seul Système, l’alimentent sans cesse et sont programmés par lui*. Sa force machiavélique repose sur l’effacement des conventions et des frontières, l’anonymat et l’illusion de sécurité qui permette à l'égrégore commun de déverser continuellement ses doses toxiques de nationalisme, de consumérisme et de soumission à travers des réseaux de plug-ins pour imprimer dans les esprits les substances délétères nécessaires au maintien de l'illusion par toutes les vibration de haine, d’agression, de critique et d’intolérance déversées.

Seule la discipline rigoureuse de leur filtrage, de la réflexion basée sur la comparaison des faits, de la renonciation à l’agressivité, de la compréhension d'autrui, du calme intérieur sans laisser les émotions prendre le dessus, permet de limiter singulièrement l'influence néfaste du Système parasitaire, et d'ouvrir la clé d'accès à d’autres branches de la réalité qui correspondent à ces vibrations positives.

* Le battage médiatique incessant autour de la politique, de la religion, du sport, du showbiz, etc. apporte beaucoup d’avantages à la pyramide du pouvoir, parce que nous ne voulons pas sortir de ce marécage et plonger plus profondément dans une vie remplie d’innombrables scandales, de controverses, d’échanges de points de vue, de batailles d’épingles à cheveux et d’autres problèmes.

 

Profilage cybernétique

Nos voisins britanniques ont adopté un système qui ne devrait tarder d'être mis en œuvre par la France. Il rappelle le scénario du film Minority Report réalisé en 2002 par Steven Spielberg. Il s'agit d’une Intelligence Artificielle en deep learning (apprentissage profond), qui analyse des indicateurs de la police pour prévenir des crimes ! Le National Data Analytics Solution (NDAS) est un système de de reconnaissance faciale et de ce fait de profilage, qui permet d’identifier par des drones (caméras embarquées) et des caméras fixes des individus susceptibles de commettre des crimes, venant compléter celui dont dispose notre police nationale comme bien d’autres pays. Il peut s’affranchir des obstacles comme les masques, cagoules, fausse barbe, lunettes de piscine, l’algorithme de cette IA étant capable de détecter les visages et de reconnaître les personnes en se focalisant sur 14 points précis, de détecter le niveau de stress des passants, et de voir si une altercation est en cours. Il faudra porter un casque intégral si l’on veut passer au travers du système* ! Un système qui devrait rapidement se développer et qui devrait évidemment plaire à nos dirigeants, qui plus est parce que jamais une image permettant de vérifier une violence policière n'est diffusée, toutes les vidéos allant en ce sens provenant des passants ou manifestants eux-mêmes. Sans compter la tentation d'utiliser les données personnelles à des fins possibles d’exploitation politique ou judiciaire, comme celles du fichier des victimes venues se faire soigner dans les hôpitaux avec la complicité de leurs dirigeants.  

Il suffit par exemple de porter un "gilet jaune" ou de toute autre couleur pour être un criminel potentiel, conduisant tout manifestant à être analysé sous toutes les coutures, complétant le fait d'être déjà fiché à la banque, au centre des impôts, pour sa santé... En résumé, chaque action donne lieu aujourd’hui à une collecte de données et une analyse plus ou moins importante. Et comme nous donnons chaque jour à ceux qui nous gouvernent toutes les informations dont ils ont besoin pour nous contrôler, nous forgeons par nous-même les geôles de notre matrice asservissante. 

* La ville de Nice a déjà autorisé la reconnaissance faciale dans certains secteurs dont la promenade des anglais qui avait été visée par un attentat en 2016. Par ailleurs, la loi anti-casseurs d'avril 2019 interdit désormais de dissimuler son visage...

 

Conscience de la guerre cybernétique

Ils sont appelés les "Chapeaux Noirs". Ce sont les méchants garçons, les bad guys, autrement dit toute la communauté humaine pathologique. Ils sont très bien organisés, et unifiés jusqu'à un certain degré dans leurs activités publiques. Par exemple, Israël est capable de trouver tous ses étudiants à travers le programme Hasbara, un programme de propagande pour tous ses étudiants qui veulent étudier à l'étranger ; le Pentagone a engagé tous ses gens pour s'impliquer dans la guerre cybernétique ; il y a des trolls qui vont partout sur l'internet pour ébranler l'opinion publique en écrivant des commentaires. C'est ce que Edward Joseph Snowden, le lanceur d'alerte américain ancien employé de la Central Intelligence Agency et de la National Security Agency, a montré et expliqué, de manière précise. C'est un énorme programme de guerre cybernétique élaboré, un programme de désinformation, entraînant des gens à travailler au contrôle des esprits d'autres gens. La question est comment se fait-il que les gens avec des opinions et des approches pacifiques, bienveillantes – des gens apparemment de conscience – ne puissent pas se mettre ensemble à la manière dont le mal le fait ? Le philosophe Georges Gurdjieff a donné la réponse : ce sont leurs blessures, leurs programmes, leurs "tampons", qui les laissent prendre des dizaines de directions différentes avec des opinions, des idées, des blessures, des peurs différentes et ainsi de suite. Et ça empêche l'unité. Y a-t-il quoi que ce soit qui puisse changer ça ?

 

Petit manuel du génocide mondial en cours

Technologies à ondes électromagnétiques (wifi, bluetooth, Linky, HAARP…), manipulations virales (Ebola, vaccination de masse…), OGM alimentaires et manipulation chimique du glucose (sucres et  excipients raffinés...), technologies psychotroniques (ampoules à led et lumières bleues des écrans de télé, tablettes et ordinateurs…), technologies Mind Kontrol - MK - (manipulation de la pensée comme celle des forces de l'Ordre en matière de répression violente), ingénieries magnétiques, antigravitationnelles ou furtives, etc.

Cf. Contrôle mental.

 

 "Voici, je vous envoie comme des brebis au milieu des loups. Soyez donc prudents comme les serpents, et simples comme les colombes."

Matthieu 10.16.

 

Faire passer le "mal" pour le bien

 

A travers la manipulation émotionnelle du subconscient, source de culpabilité et d'idéalisme naïf, le système prédateur et ses relais terrestres tant inféodés qu'eux-mêmes manipulés vont y loger de manière suggestive et subliminale - "Parce que vous le valez bien !" - tous les leurres de leur œuvre mortifère attentatoires à la conscience humaine : Restos du cœur, Sidaction, Pièces jaunes, #BalanceTonPorc/#MeToo, levées de fonds diverses à vocation caritative (charity-business & aides humanitaires), ONG, fabrication de héros imaginaires ou en chair et en os, faussaires et/ou dépravés en tête d'affiche, vaccination et autres chimies toxiques, alimentaire dénaturé, pollutions électromagnétiques...

Sans s'attacher à regarder la réalité de ce bas monde à l'envers, l'être humain est irrémédiablement piégé, en échec et mat !

 

De la musique

Art cinétique par excellence (du grec ancien kinêtikos, signifiant "qui se meut, qui met en mouvement"), la musique est un médium très puissant, dans la mesure où il accède à l'imagination, à l'esprit, aux émotions et au corps. Immense envoûtement notamment générationnel, il explique pourquoi tous les pouvoirs en place - les maîtres magiciens sorciers - cherchent à l'utiliser à leur avantage dans leurs programmes de manipulation par suggestion délétère subliminale, au même titre que le contrôle des grands médias d'information, des programmes de télévision et des films *. Mais c'est parce que la musique peut accéder aux émotions directement, et ainsi contourner l'esprit rationnel, plonger dans le subconscient et influencer le corps (et par-là même la santé), qu'elle procure un terrain fertile pour l'observation de soi et l'étude de la 4ème Voie *², celle permettant notre évolution. En effet, une des choses qu'a dites le philosophe arménien enseignant Georges Gurdjieff, comme l'a relaté Piotr Ouspenski, son compère qui utilisa la géométrie dans ses réflexions sur la psychologie et les "dimensions supérieures" de l'existence, dans Fragments d'un enseignement inconnu (1947), est que nous sommes soumis à une série de "j'aime" et "j'aime pas" par tous les petits Moi de l'ego-personnalité : des goûts mesquins, subjectifs, égoïstes. Et la musique est indéniablement un vaste terrain de jeu pour tous ces goûts et dégoûts. Qui plus est, on peut arguer que ce que nous aimons et détestons pourrait même être le reflet de notre état de développement, de conscience et d'être...

Le son ouvrant la porte à l'entrée des paroles pour le meilleur ou pour le pire, il est l'élément le plus important pour déterminer la valeur d'un morceau de musique. Il peut de ce fait ouvrir des portails à différents niveaux et parties de la constitution interne d'un individu. C'est ainsi que les années 70 furent l'époque du développement de concepts et technologies destinées à manipuler l'inconscient, les années 80 étant la période où la mise en œuvre a été plus généralisée. Depuis, 90 pour cent de la musique diffusée comporte des éléments corrupteurs, nécessitant de faire plus attention à ses goûts musicaux, et analyser ce que l'on trouve dans les chansons qu'on aime, qui plus est ce qui écouté en fond sonore. Qui plus est, tout a changé en 1979 avec l'apparition de l'enregistrement numérique destiné à remplacer l'analogique, conduisant progressivement les vertus thérapeutiques bénéfiques de la lecture de disques (réduction du stress, augmentation de l'énergie de vie, encouragement du sommeil, sevrage de tranquillisants...) à s'estomper, provoquant plutôt l’effet inverse, soit des effets extrêmement préjudiciables sur le système émotionnel. Le numérique est cependant, par sa nature subtile électromagnétique, le plus approprié pour capter ou transmettre des effets d’autres réalités ou d’autres densités.
Rien à voir avec la musique des "préhistoriques", beaucoup plus intelligents que ce que le XIXe siècle a bien voulu nous faire croire. Pour obtenir le timbre et la résonance parfaits, ils utilisaient d’étranges pierres polies, de simples pilons, retrouvées par les paléontologues dans divers sites préhistoriques du Sahara. Installées sur des supports et martelées avec de petits maillets, ces pierres appelées lithophones distillent un son très clair, semblable à celui d’une cloche en bronze *³. Probablement l'art d’entrer en état modifié de conscience et de soigner, les tonalités soignantes pour parler aux cellules du corps étant produites quand frappées dans la séquence et la combinaison correcte...

* Cf. Contrôle mental.

Cf. L'état de cohérence, voie de sa liberté.

*³ Voir les découvertes de l’ethno-minéralogiste Eric Gonthier, ainsi que celles de l'ethnologue Georges Condominas en 1954 sur les pierres du Vietnam.

 

Culpabiliser par le "mal"

 

La manipulation émotionnelle basée sur la dualité de l'échiquier, conduit l'être humain à polariser par les choix effectués (Pour/contre, J'aime/Je n'aime pas) et de ce fait à se déséquilibrer, à ne plus être centré. Elle constitue une altération du libre arbitre dans le choix offert, l'évolution en mode "Service d'Autrui" ou l'involution en mode "Service de Soi", cette dernière finissant presque inéluctablement à l'emporter, sauf réveil à la conscience de Qui Nous Sommes vraiment.

Faute de compréhension de cette captation du consentement à son détriment par les règles du Jeu du Vivant qui ne lui sont jamais remises, l'être humain par la culpabilité de sa soumission aux forces de l'Ombre se réfugie pour oublier dans la consommation matérialiste, les jouissances de l'hédonisme et autres évasions chimériques de la Matrice mortifère.

C'est bel et bien la salsa des forces démoniaques qui rythme la cyclicité entropique des boucles du temps, emprisonnant l'âme et la conduisant à mourir d'aimer, sa nature première ...

La Salsa du Démon

Le Grand Orchestre du Splendid (1980)

Mourir D'aimer

Charles Aznavour (1971)


 

7 ans, ou le moissonnage des âmes perdues

Le Vatican a établi par bulles papales successives la "Fiducie testamentaire", soit l'acte testamentaire lui permettant de réclamer toutes les "âmes perdues ou trouvées"*. Une personne peut ainsi être légalement déclarée morte (présomption légale de mort in absentia), et ce malgré l’absence de preuves directes de sa mort, comme retrouver les restes de son corps. Si une telle déclaration est normalement faite quand une personne est disparue depuis un certain temps, et compte-tenu de l’absence d’évidences qu’elle est en vie, elle se révèle comme telle un "jugement préventif".

C'est pourquoi cette fiducie n'est qu'une fiction, un testament temporaire pour le bénéfice d’une personne présumée "morte" après 7 ans, au moment de l’enregistrement et de la collection des actes ou certificats de baptême comme les actes ou certificats de naissance par l'association du Barreau des juges depuis 1815*².

Cette création d'un bien temporaire - la personne - pour le bénéfice d’un autre - l’État -, empêche la personne de réclamer son statut d’Être vivant, autrement dit d’être valide, d’avoir de la valeur, et d’être présente dans toute son unité existentielle et souveraine devant l’Autorité, l’État comme l’Église. Aussi toute réclamation, histoire, statut ou argument/dispute qui dévie en termes d’origine ou de fonction sont considérés par celles-ci comme faux, automatiquement déclarés nuls et non avenus. Il en découle par cette captation qu'un enfant né dans un État sous l'égide de la loi romaine - le Code Justinien*³ - est empêché à tout jamais de revendiquer un droit de propriété réel, d’être libre et reconnu comme un humain à part entière. Homme comme femme, il est seulement considéré comme une créature ou un animal, un "Bien meuble", que les exécuteurs du pouvoir exécutif (ou administrateurs) des biens immobiliers et des propriétés se chargent de faire passer ses droits et bénéfices de jouissance, de liberté et de propriété - sa souveraineté - dans le "Trust" prédateur sous la forme d’un numéro d’enregistrement ou d’État Civil. Ils créent par là-même la personne ou entité juridique comme "morte", présente ou à venir, équivalent à une société privée, l'empêchant de détenir quoi que ce soit, ni même d’avoir des droits. Débitrice et coupable comme administrateur, agent commercial ou représentant légal, c'est-à-dire exécutant ou fiduciant des titres et permis octroyés contre taxations, elle est ainsi jetée dans l’autre monde, l’outre-tombe, entité morte à elle-même pour suivre le chemin de la descente aux enfers …

Consentement par défaut, tromperie, fraude, mise en esclavage et célébration de la Mort, tels sont les liens noués dans la Matrice des Forces de l'Ombre et des Ténèbres par les 3 Couronnes du Culte Romain de l’Église - la propriété réelle (sur Terre), la propriété personnelle (le Corps), la propriété ecclésiastique (l’Âme) -, autrement dit la vraie "Sainte" Trinité dissimulée aux fidèles illusionnés. Chacune de ces couronnes correspond exactement aux trois formes de Lois du Barreau de la Cour : le Code Civil (ou le Code privé de la Loi du Commerce), la Loi Canon (le juge est le banquier), et la Loi du Talmud (le juge est le prêtre). En d'autres termes, le propriétaire (l’État), le banquier et le prêtre, autre version de "Le bon, la brute et le truand" portée à l'écran noir de la Conscience…

* Cf. L’Église romaine décodée.

Cf. Symbolisme et artifices de la Matrice.

*³ Promulgué en 529, le Code de Justinien Ier (codex Iustinianus ou codex legum) est un recueil de constitutions impériales (leges), mise à jour du Code de Théodose de 438. Connu sous son nom latin, le Corpus iuris (ou juris) civilis (littéralement, "corpus de droit civil") est la plus grande compilation du droit romain antique, assez différent du droit romain classique car en accord avec le christianisme, alors religion de l'empire.  Cette œuvre législative qui a pris une importance fondamentale en Occident à partir du XII° siècle est l'ancêtre du droit civil français. Il couvre la notion d'égalité des personnes, le Droit familial, le Droit successoral et le Droit pénal, ainsi que le Droit ecclésiastique, la  procédure judiciaire, le Droit fiscal, le Droit administratif dont les dispositions renforcent la puissance de l'État et son organisation hiérarchique.

 

"Le dernier ennemi à détruire est la mort"

Première épître aux Corinthiens (15,26)

 

Le monde de l'Astral, monde de la Mort

Saturne dévorant ses enfants - Francisco de Goya (1746/1828), peintre et graveur espagnol
Saturne dévorant ses enfants - Francisco de Goya (1746/1828), peintre et graveur espagnol

"L'homo sapiens vit plongé dans les circonstances à tel point qu'il s'oublie et oublie où il va. Et pourtant il sait, sans le ressentir, que la mort tranche tout."

Boris Mouravieff (1890/1966), historien russe - Gnôsis

 

"Le suicide n'est pas un remède à la vie, le seul remède c'est de ne pas être né."

Emil Cioran (1911/1995), philosophe roumain

 

Le monde de l’Astral est un monde qui est vivant tout en étant voué à la mort. Basé sur la dualité*, c’est un monde extrêmement varié, fait de hauts et de bas, qui voit des plans très élevés - le haut astral - où les intelligences sont très positives, et des plans très bas - le bas astral -, où les intelligences sont réellement très négatives. L'être humain doté d'une âme (environ la moitié de l'humanité) est canal de l'information qui y circule, étant le pion de ces intelligences qui suscitent en lui diverses émotions de nature spirituelle, c'est-à-dire issues de ses pensées. Elles lui permettent de ce fait de poursuivre son travail pour une évolution quelconque de l’humanité, soit positive, soit négative si les informations proviennent des plans très bas de l’Astral. Il en découle qu'il peut autant être amené à la folie destructrice (de lui-même comme des autres) que créer des œuvres très grandes.

Toutefois, que ces intelligences soient négatives ou positives, l’être humain doit reconnaître que le plan Astral n’est pas un plan d’Intelligence, mais un plan d’expériences. Le plan d'Intelligence se situe au-delà du champ de l'Astral, dans le champ de conscience de l'Esprit universel (ou cosmique), plan qui n’est ni souillé ni limité par l’expérience. Et pour ce faire, il n'a pas d'autre choix que de réorganiser complètement son mental, de revoir et de reconstituer sa façon de penser comme de recevoir la pensée. Ceci passe par le processus d'individuation, le passage du Moi-Ego au Soi souverain, dont la réalisation aboutie est rare pour la grande majorité des individus faute d'accéder aux règles du Jeu/Je du Vivant.

* Cf. La dualité décodée.

 

Il découle de tout ceci que la plupart des individus ne comprennent pas ce qu’est la mort, passant leur temps à la fuir et non à la rencontrer pour la transcender. Le Monde de la mort - le Démon - est le monde qui sous-tend le monde de la vie mentale et de la vie émotionnelle de l’être humain. Autrement dit, celui-ci est en relation vibratoire et karmique avec le Monde de la mort, ceci créant ce que l’on appelle l’involution. Le monde de la mort est ainsi contenu dans son cerveau ! Et tant qu'il existe dans son mental, l’être humain n’est pas conscient de sa véritable intelligence, non celle qu'il imagine par orgueil, fatuité et vanité, qui plus est lorsqu'elle est récompensée par les diplômes académiques et mise en œuvre dans l'exercice de responsabilités sociétale et professionnelle "d'importance". Assujetti à l’expérience du Monde de la mort dans son mental et inconscient de cette soumission, c’est ce qui l’induit en erreur et le conduit à dysfonctionner*. Il se croit vivant, il n'est qu'un mort-vivant. Mais aussitôt qu'il connaît le mécanisme de son mental*², il est capable de faire la juste séparation entre des pensées fictives et des pensées réelles, et peut neutraliser dans son mental le Monde de la mort. Et pour ce faire, il doit neutraliser dans son mental toutes les mémoires de ce monde vicié logées dans son inconscient - le repère de la prédation de 4ème dimension de réalité (la Caverne enfermante de Platon) -, et qui le gouvernent à 95 % !

* Ainsi en sciences économiques, qui voit dans le langage courant de nombreux responsables d’entreprise utiliser l’expression "point mort" pour parler du seuil de rentabilité (il correspond en fait à la date où ce seuil de rentabilité est atteint), signant par là-même bien inconsciemment leur pacte d'asservissement aux forces qui les manipulent.

Cf. Esprit global & Fonctionnement du corps biologique.

 

L'effet Balzac, ou la théorie des rapports entre le réel et la fiction

L'écrivain français Honoré de Balzac (1799/1850) a publié en 1833 un essai, La Théorie de la démarche, qui constitue la deuxième partie de l’ensemble appelé Pathologie de la vie sociale s'inscrivant dans son œuvre majeure "La Comédie humaine"*, qui expose son talent d’observateur sociologique sous l'angle philosophique (il fut largement inspiré des travaux du romancier écossais Walter Scott). Sous forme d'essai comme de pamphlet, il présente l'homme intérieur, principe du pouvoir et de la longévité, et l’homme extérieur, démontrant l’effet des principes qui commandent par la pensée son mouvement (comportement) dans la vie terrestre. Il en profite pour lancer un violent libelle contre le "pouvoir", facteur d'explication des postures humaines et de leurs effets. Par exemple, "l’habitude de la représentation vicie le corps des princes ; leur bassin se féminise. De là le dandinement connu des Bourbons ; de là, disent les observateurs, l’abâtardissement des races […]5,6". Ou encore les magistrats "obligés de passer leur vie à siéger, se reconnaissent à je ne sais quoi de gêné, à un mouvement d’épaules, à des diagnostics dont je vous fais grâce parce qu’ils n'ont rien de pittoresque".

Cette étude est celle des rapports entre le réel et la fiction, entre le romanesque et le vrai, Balzac considérant que "l’œuvre‑monde" invente ses propres règles. Autrement dit, la matrice de gouvernance de l'humain est une fiction qui prend l'apparence du réel selon la nature des forces qui la nourrissent. Ce cadrage programmatique de la Comédie humaine, où tout est déjà réalisé de par la loi de la cyclicité, n'est rien d'autre qu'une intelligence artificielle (IA), la matrice cyber, s'attachant à faire vrai par la fiction (le cinéma, le roman...), au‑delà du vraisemblable ! En d'autres termes, l’agencement de "l’œuvre‑monde" terrestre est lié à un corpus bien vivant*², inévitablement situé dans une autre dimension de réalité, un autre champ de fréquences, faisant que l'observateur/acteur - l'être-humain - est de manière symétrique (perpétuel va‑et‑vient entre le monde perçu et l’œuvre‑monde) conduit à subir et à participer du désordre de ce monde sous l'effet apparent de l’improbable et de l’aléatoire du réel. C'est pourquoi Balzac, à l'instar de Victor Hugo, qualifie le vécu terrestre - le roman - de drame : "il faut donc que le drame soit un miroir de concentration qui, loin de les affaiblir, ramasse et condense les rayons colorants, qui fasse d’une lueur une lumière, d’une lumière une flamme" (Préface de Cromwell).

* La Comédie humaine est le titre sous lequel Honoré de Balzac a regroupé un ensemble de plus de quatre-vingt-dix ouvrages — romans, nouvelles, contes et essais — de genres réaliste, romantique, fantastique ou philosophique, et dont l’écriture s’échelonne de 1829 à 1850.

L’artisan qui fabrique ce genre de mémoires fausses est défini "proxénète littéraire".

 

Le Monde de la mort est en effet mémoire, soit une illusion expérimentale, expérientielle, le Tout n'étant qu'un même Esprit créateur de formes auxquelles la basse densité de la planète Terre donne l'illusion de leur réalité*. Tout ce qui n’est pas dans le Réel - l'essence de Ce Qui Est - est illusion, et l’intelligence qui est mémorisée n'est que la marque active et créative du mental humain limité à sa conscience astrale. C'est pourquoi l’être humain doit détruire radicalement cette énergie mortifère pour quitter le Monde de la mort afin d'évoluer dans une nouvelle dimension de réalité, débarrassée des peurs et des souffrances génératrices de la nourriture psycho-émotionnelle nécessaire à la survie des entités négatives tapies dans l'obscurité qui le dominent. Il pourra ainsi mettre fin au cycle de Samsara, la roue d'infortune de l'Ouroboros (serpent ou archonte) prédateur !

Nul(le) ne s'étonnera alors que les Lois de la mort sont la fondation même de la psychologie humaine telle que conçue et enseignée par ses artificiers psychopathes, expliquant la destinée entropique de la plupart des êtres humains incapables de la remettre en cause puisque lui donnant crédit et s'en servant dans la conduite de leurs affaires terrestres (ainsi en matière de management de l'humain dans les entreprises) ! Car le Monde de la mort se sert d’un peu de vérité pour dominer l’esprit humain, afin de faire pénétrer ensuite un peu de mensonge pour confondre et leurrer les êtres, expliquant les fondements de toutes les idéologies politiques, religieuses, philosophiques, scientifiques et économiques, relayées dans la littérature comme depuis le XX° siècle par l'industrie magique cinématographique*².

Dans l’astral, regarder par en bas ou regarder par en haut ne veut rien dire, parce que le bas et le haut sont simplement des notions spatiales qui sont enregistrées dans notre cerveau en fonction de notre indispensable équilibre dans cette dimension de réalité terrestre limitée, le haut et le bas n’existant pas dans le Cosmos. Il y a par contre différentes vibrations, hautes ou basses, autrement dit des vibrations qui contiennent beaucoup plus de Feu, d'énergie solaire, que d’autres, comme celles en provenance de l'Est sur la rose des vents par opposition à celles venant de l'Ouest... Ce sont les hautes vibrations qui nous font parler de haut, et ce sont les basses vibrations qui nous font parler de bas. Toutes deux établissent la relation entre la matière et l’Astral, la relation entre la matière et le monde de la pensée créative, manipulée par les Intelligences que nous appelons sataniques (polarité -) ou lucifériennes (polarité +).

A la mort de l'individu, la partie mentale de son esprit s’en va dans le Monde de la Lumière, et la partie astrale qui est mémoire s’en va dans le Monde de la mort. Ceci entend que les enseignements reçus tout au long de sa vie terrestre n’ont jamais mené ni mènent l’être humain à la Connaissance ! Seule sa connexion à l’Intelligence - la Supra-conscience - peut lui expliquer tous les plans de vie. S’il a un contact direct avec cette Intelligence, il peut ainsi comprendre facilement le Monde de la mort, et s'il veut pour une raison quelconque aller dans ce Monde de la mort, il sera dirigé par cette Intelligence, sans pour autant être affecté par le monde de la mort. C'est le choix que font certains grands initiés - ceux appartenant par exemple aux hauts grades de la Franc-Maçonnerie -, afin de préserver le nécessaire équilibre dans la vie terrestre des polarités antagoniques. 

Il n'y a de ce fait dans le Monde de la mort aucune liberté par-delà l'illusion créée par ses entités entropiques afin de maintenir l’humain dans la domination.

* Cf. Fabrication de l'illusion et voie de sortie & Prédation manipulatoire.

Cf. Le cinéma de la Matrice (1) & Le cinéma de la Matrice (2) La science-réalité.

 

Que nous soyons noir ou blanc, roi ou simple pion, nous ne sommes que des pions sur l'échiquier de ce monde de 3ème densité de réalité. Et si nous ne sommes que des pions, c'est que les joueurs sont ailleurs*. Pour les découvrir, il est nécessaire de prendre de la hauteur, celle de la conscience qui se situe à un niveau supérieur, celui de la 4ème dimension, puisqu'une conscience s'exprime toujours dans une densité de réalité qui lui est inférieure.

En d'autres mots, le (vrai) joueur exprime son intelligence à travers la stratégie du jeu de ses pions. C'est ainsi que les Intelligences inter-dimensionnelles involutives qui nous gouvernent depuis cette dimension s'affrontent avec les pions noirs ou blancs, "se jouant" de nous ! Tout en nous laissant croire que nous sommes les joueurs, elles nous attribuent des caractéristiques biologiques spécifiques, une destinée totalement programmée par le verrou astral établi (le zodiaque de Denderah manipulé par la prêtrise païenne), et un rôle (roi, dame, cavalier, fou...) propres à la partition psycho-émotionnelle interprétée dans la pièce jouée, le Jeu de la Vie, ou plutôt de la Mort. Il voit les deux joueurs prédateurs se mesurer l'un à l'autre au moyen des pions noirs ou blancs - leurs relais humains terrestres - en mode "Service de Soi" ou "Service du Moi", c'est-à-dire en perpétuelle compétition pour le prestige, la gloire, la reconnaissance, les possessions affectives comme matérielles, pour gagner ou perdre, pour dominer ou être soumis, pour avoir raison ou s'écraser…, symbolisant de ce fait la lutte du bien contre le mal, la dualité mortifère. C'est de cette façon qu'ils traduisent leur appartenance aux forces involutives, qui sustentent par la production de cette frénésie psycho-émotionnelle la lumière présente dans l'âme de leurs esclaves humains afin de survivre dans les ténèbres. Échec et mat !

* Cf. Les acteurs de la Matrice falsifiée.

 

Le mécanisme de sustentation psycho-émotionnelle de la hiérarchie négative

La hiérarchie négative, à cause de sa nature intrinsèque, doit "emprunter" les extensions créatrices et les outils d'êtres humains en éveil, alors que parallèlement elle est hostile à leur égard ! Car sa nature intrinsèque est celle de la haine de soi, qu'elle doit constamment fuir, ce qui requiert toujours plus d'énergie pour la protéger de sa propre "vérité", involutive il va sans dire.

Tout ceci constitue la Réalité Théologique du jeu d'échecs hyperdimensionnel qui se joue sur notre planète, celui d'un long tournoi cérébral de manoeuvres et de parades, de parties subtiles et furtives, l'idée étant toujours d'attirer les élément et les attributs positifs donnés de l'échiquier afin de progressivement les récupérer, de compromettre sournoisement leur efficacité positive, et d'intégrer graduellement des manoeuvres délétères dans des modèles déviants, soit en optimisant secrètement le potentiel négatif, soit en neutralisant leur efficacité positive, soit en les "intégrant" par des distorsions imperceptibles et progressives de l'alignement loyal et vrai jusqu'à ce qu'ils ajoutent leur propre dimension de négativité consciente et délibérée à la machination stratégique générale.

Les forces Négatives peuvent ainsi exercer un contrôle remarquablement prévoyant. Si un groupe a été efficacement emprisonné et pourrait être complètement annihilié, au lieu de cela, le jeu sera préservé, les conquérants tenant leurs positions intactes, prêts à miser leurs gains dans une gloire négative encore plus grande de "conquête galactique". C'est tout simplement une stratégie supérieure, essayant d'inclure autant de monde que possible en une seule fois, afin qu'une portion comparativement plus large du cosmos multidimensionnel puisse être anéantie en un battement de cils.

 

Représentation de la prédation extra-dimensionnelle asservissante de l'être humain

Images tirées des travaux du géobiologue suisse Stéphane Cardinaux dans ses ouvrages Géométries sacrées (tomes 1 & 2), Bioénergie (2009), Science et conscience de l'invisible : rayonnement électromagnétique et énergétique du corps humain (2012).


 

Nature de la prédation extra-dimensionnelle

Pour en comprendre la nature, il est indispensable de comprendre l'unité de l'Espace-Temps, plus justement le Temps-Espace, qui caractérise le champ de l'Esprit universel, soit la Conscience de Ce Qui Est. Celle-ci réside en 7ème dimension de "réalité". La matrice du champ de "réalité" qui s'applique à la galaxie solaire à laquelle appartient la planète Terre - La Voie lactée - se situe quant à elle en 4ème dimension. Celle-ci définit le champ astral, qui est gouverné par deux forces énergétiques à part égale d'intensité : la Force de la Lumière (le mode "Service d'Autrui"), la Force de l'Ombre et des Ténèbres (le mode "Service de Soi"). La Force de l'Ombre peut être qualifiée de "luciférienne", c'est-à-dire qu'elle est potentiellement évolutive (haut astral). La Force des Ténèbres peut être qualifiée de "sataniste", car définitivement entropique (bas astral).

L'être humain doté d'une âme se situe dans la 3ème dimension de réalité - la 3-D -, gouverné par un état de conscience qui correspond à celui de la 4ème dimension de réalité, soit celle des Forces de l'Ombre et des Ténèbres, ses maîtres généticiens (il leur fournit leur nourriture de survie par la lumière que contient son âme et dont ils sont dépourvus)*. Toutefois, par le biais de cette même lumière "divine" contenue dans son âme, il peut bénéficier d'une connexion à la Force de la Lumière, et envisager sa libération de sa Caverne prédatrice s'il parvient à réaliser la transmutation alchimique salutaire de la matière viciée qui réside en lui, via son ADN et son subconscient*².

En 3-D, il est dans l'illusion du temps linéaire, chronologique (le temps de Saturne ou Kronos), soit le découpage Passé Présent Futur. De ce fait, il a à faire face à deux types de prédation, l'une liée à son "passé" - la prédation archontique ou reptilienne (ses "origines" dénaturées par la manipulation originelle de son ADN), l'autre liée à son "futur" - la prédation des Gris (son évolution entropique de nature scientiste qui conduit à la perte progressive de lumière qui est en lui).

Pour jouer en toute connaissance de cause au Jeu du Vivant - les règles du jeu -, il doit comprendre que ces deux états (Passé et Futur) ne sont qu'illusoires, constituant chacun l'autre face de son propre miroir en raison de sa nature multi-dimensionnelle (au final, c'est le même Esprit - le Tout - qui se démultiplie à l'infini). Tant qu'il y porte attention par les croyances inculquées génératrices de sa conscience limitée, il reste asservi aux forces prédatrices de 4ème dimension qui le manipulent sur un plan psycho-émotionnel. Aussi, pour s'extraire de la Caverne entropique de sa réalité en 3-D, il n'a pas d'autre choix que de comprendre la nature de la prédation extra-dimensionnelle qui l'étreint en parvenant au champ dit du "point zéro" (l'état de neutralité émotionnelle), et ce au moyen du reset (effacement) de toutes les mémoires civilisationnelles humaines gisant en lui, individuelles comme collectives (les égrégores politiques, religieux, philosophiques et scientifiques). Seul son ancrage au moment Présent le permet (Cf. enseignement parmi d'autres de l'écrivain Eckart Tolle). De ce fait, n'étant plus plombé/lesté par la prédation qui le maintient asservi à la matière terrestre par les affres psycho-émotionnelles provoquées, qui est un champ de basse gravité par sa densité, il peut s'en extraire au moyen d'un vortex temporel et passer dans une nouvelle dimension de réalité, la "Nouvelle Terre"*³, celle-ci étant composée également à part égale des deux forces antagoniques et complémentaires (+ et -), mais à un niveau supérieur de conscience. La prédation archontique/reptilienne du "Passé" s'étant effacée, une nouvelle partie du Jeu du Vivant peut alors démarrer, celui de la sixième race humaine en cours d'établissement. En d'autres termes, il quitte (enfin) le bac à sable pour passer en classe supérieure, en mode "Service de Soi +" pour les uns, en mode "Service d'Autrui" pour les autres ...

* Cf. Le Judaïsme décodé, La nouvelle religion universelle & Les acteurs de la Matrice falsifiée.

Cf. Le cheminement de l’Âme & Le chemin alchimique.

*³ Cf. Fin de cycle (2) La guidance éclairée de sa vie.

 

Prédation archontique/reptilienne

Elle est caractérisée par une prédation de type agressive, électrique (le feu guerrier patriarcal de Mars), contrebalancée par le magnétisme pacifique d'une partie de ces entités prédatrices désireuses d'évolution (les Déesses-Mères).

Elle a principalement nourri les mémoires Bourreau Victime Sauveur tout au long des incarnations "passées" de l'être humain, en fait réalisées sur un autre plan dimensionnel (tout se passe dans un éternel Présent).

Ainsi, les situations rencontrées dans cette présente vie, qui sont source de tensions et de souffrances, ne sont qu'un reliquat des jeux karmiques des protagonistes concernés. Leur résolution par la conscience christique (l'état d'unité par l'Amour de Ce Qui Est) permet de s'en affranchir (reset mémoriel) par la compassion et le pardon à soi-même, puisque "l'Autre" n'est que le miroir inversé de notre illusion de la séparation avec le Tout, l'UN, La Source.

Prédation des Gris

Elle se caractérise par une prédation d'aveuglement à l'illusion du scientisme technologique - l'Intelligence Artificielle -, soit l'orgueil de l'être humain à dominer la matière et l'univers grâce à ses prodigieuses facultés mentales/intellectuelles - l'omniscience - (le mythe du progrès).

Les Gris sont la continuité, par projection mentale et psychique, dans le "Futur" de la prédation archontique/reptilienne, soit les êtres humains qui ont contribué à faire évoluer leur technologie et non leur conscience*. Ils sont comme des leurres cybergénétiques, vidés de toute substance lumineuse (absence d'âme), leur système intérieur étant comme une caméra à la puissance chirurgicale d'un laser.

Voie assurément entropique - "les limbes du non-temps" -, elle est cependant contrebalancée par certaines entités ("Nous dans le Futur") qui se sont aperçues de cette impasse et tentent de revenir en "arrière" en nous alertant*², afin que nous les aidions par notre éveil de conscience à sortir de ce cul-de-sac existentiel. Aussi, quelle fréquence vibratoire en nous-même décidons-nous d'observer (la couleur grise est neutre), la conscience créant par la gravité le chemin de notre orientation "future" ? L'espace-temps ou le Temps-Espace ?

* Cf. Conscience du XXI° siècle.

Ainsi la série de crashs d'OVNIs dans le Nevada et dans le Nouveau-Mexique de l'après-Roswell du 4 juillet 1947 aux États-Unis.

 


Science et conscience du pouvoir occulte

Tout être humain qui recherche le pouvoir, matériel comme spirituel, et ce à quelque degré que ce soit, est assujetti de façon inéluctable aux forces occultes du pouvoir, le pouvoir de l'Ombre. Il en découle qu'il sera détruit tout aussi inéluctablement par le pouvoir octroyé, quelle qu'en soit la nature ! Parce que les pouvoirs sont et vont aux pouvoirs de l'Ombre dans la matrice astrale, il y a toujours un prix à payer, celui du chantage de la contrepartie qu'il doit à ces forces de l'astral, même s'il s'imagine benoîtement qu'il ne les doit qu'à lui-même lorsqu'il ne les invoque pas par ce qui relève de la "magie noire", aussi vertueuse en apparence soit son incantation (prière à un saint, un ange ou un archange par exemple chez les croyants religieux). Le savoir spirituel n'est pas monnayable, car le sacré par définition n'est pas à vendre. Ceci entend que l'utilisation de ce savoir dans le but de l'accumulation de pouvoir personnel (santé, guérison, finances, travail, amour...) est la définition-même de la magie noire.

C'est pourquoi l'initiation solaire de l'homme passe nécessairement par sa compréhension du pouvoir de l'Ombre, sa nature et son fonctionnement. Elle se traduit par le travail sur et en lui-même*, et qui, par la pratique rigoureuse et sans concession de l'auto-observation (l'effet-miroir), lui permet de comprendre la façon dont il est manipulé par les forces psychiques inter-dimensionnelles du bas astral - "les forces noires ahrimaniennes" - pour créer le désordre et la confusion dans sa relation au Vivant. Et ce même paré des meilleures intentions, comme dans son engagement initial en politique, dans des mouvements associatifs, ou dans un vécu spirituel en église ou en Franc-Maçonnerie par exemple, pour contrebalancer l'ordre délétère prévalant. En effet, ses idéaux humanistes n'ont pas été suffisamment conscientisés au-delà de la chape de plomb de l'astral par son entière rectitude intérieure, celle là-même qui le préserve de toutes les tentations du pouvoir toujours porteur des deux polarités (+ et -) constitutives du jeu du Vivant.

Là où il y a une structure (État, entreprise, association, institution religieuse, famille...), qui plus est secrète, il y a captation d'un pouvoir, autrement dit celui découlant de la manifestation de la lumière dégradée de l'UN, et qui finit inéluctablement dans la durée par être totalement astralisée par la force archontique régnant sur la matière. C'est la raison pour laquelle toutes les formes propres à la vie terrestre et qui fascinent l'être humain (organisation sociale, idéologies, sciences, mouvements sociaux, musique ...) sont utilisées par ces forces de l'invisible pour éteindre sa conscience ou en retarder l'éveil, son salut résidant exclusivement dans ce travail continu sur lui-même visant la transparence de l'ego pour lui permettre, progressivement, de soulever le voile du secret qui, en l'état, limite singulièrement son intelligence et le maintient dans le bac à sable, par-delà ses croyances dans ses prodigieuses facultés mentales et aptitudes opératives.

Il doit impérativement comprendre que les forces astrales occultes (celles de notre galaxie solaire) le gouvernant alimentent la dualité propre au fonctionnement de la matrice terrestre, source de clivages et de tensions par la polarisation choisie. Compte-tenu du calendrier astral (le Zodiaque) découlant du mouvement des planètes, l'une de ces forces, dite "force d'Orion"*², nourrit présentement l'Occident et sa tête de pont les États-Unis ; l'autre, dite "force d'Andromède" (Andromède est au même titre qu'Isis une Déesse-mère), nourrit son pendant antagonique la Russie. Ce sont ces mêmes deux forces qui ont nourri la première identification de l'homme à la matière par le genre sexuel (initiation à la sexualité occulte...), et par-là même à l'oubli de son androgynie originelle, avant que de lui permettre d'apprendre à penser.

Se rapprochant désormais à grands pas des grands événements cosmiques propres à cette fin de cyclicité*³, l'homme n'a pas d'autre choix que de s'épurer profondément afin de perdre sa naïveté qui le conditionne à n'être qu'un robot biologique prisonnier de son émotivité, celle-ci affectant son mental et par-là même son intelligence, en en faisant un esclave totalement asservi du pouvoir occulte. Il doit comprendre que pour que le Monde change, il est indispensable qu'il change la perception qu'il en a en cessant de vouloir changer "l'illusion de la perversité" qu'il observe, tout comme de vouloir lutter, manifester ou dénoncer les bourreaux. Pour ce faire, il doit apprendre à détecter ce qui le met en réaction en visitant son émotionnel et en réparant les mémoires-implants créant son illusion-réalité, soit une lecture faussée de son univers. Et comme les morts à "soi-même" se nourrissent inconsciemment des vivants, nul besoin d'aller chercher plus loin l'explication du chaos civilisationnel dans lequel l'être humain est embourbé. Il doit comprendre qu'à travers son humanité, autrement dit son corps, sa génétique, sa conscience, son émotionnel, il a en lui le pouvoir d'activer la Force universelle pour la mettre au service de l'humanité, au Service d'Autrui. Ce n'est qu'en effaçant en lui les mémoires de l'expérimentation de la matière viciée par l'entremise de l'âme - "les voyages de l'âme" - qu'il peut recevoir et être gouverné par le Feu de l'Esprit libérateur ...

* Cf. Le chemin alchimique.

Cf. Les pyramides et leur relation à Orion (et le Nil et sa relation à la voie lactée) de l'auteur Robert Bauval dans "Le Mystère du grand Sphinx".

Cf. Prophétie du changement & Fin de cycle (2) La guidance éclairée de sa vie.

 

Le piège de l'émotionnel avec le monde astral

Il est à comprendre que le phénomène extraterrestre, extra-dimensionnel, qui certes est un phénomène mondial, n’a pour autant pas encore atteint l'état de la conscience mondiale. S'il est connu et vécu par des individus en général - ressenti, perception, vision ou télépathie avec une présence paranormale -, ces individus sont toutefois sujets à l’"abrutissement" psychologique. En effet, tout phénomène avec les mondes parallèles induit l’être humain dans une vibration dont il ne connaît pas la nature de l’intelligence qui la sous-tend. Et cette vibration, autrement dit cette énergie du phénomène aliénigène, permet à l’être humain soit d'en connaître un aspect précis, soit un aspect aveuglant, sans pouvoir lui-même, sur sa propre autorité de conscience, échanger avec l’intelligence en manifestation d’une façon égalitaire, même s'il le croit. Et si l’être humain ne peut pas échanger avec le phénomène extraterrestre, c'est tout simplement parce qu’il n’est pas dépouillé de ses émotions*, celles-ci troublant et altérant son discernement. Tant qu'il n'a pas accès à un niveau d’Intelligence Supérieure à sa propre psychologie humaine, ce qui est nommé le Supramental ou Supraconscience, il ne peut comprendre avec aise, sans ambiguïté, les correspondances vibratoires, psychiques, de son expérience.

S'il était capable de parler avec ces entités de par leur vive sensibilité aux vibrations, et qui de ce fait ont un pouvoir de perception de son émotionnel à un très haut niveau, elles sont obligées compte-tenu de sa réalité psychologique - l'émotionnel vicié -, d’éliminer beaucoup d’informations qui pourraient lui servir. Elles ne peuvent en effet donner à l’être humain qui n’est pas "ajusté" mentalement et émotivement l’information qu’elles possèdent sur un plan universel, parce que l’être humain n’est pas capable, à cause de sa faculté subjective de penser, de transposer directement dans sa vie, sur le plan biologique, l’énergie de cette information. Il en résulte que les gens qui font (médiums, channels) ou qui ont eu des expériences avec les mondes parallèles, sont forcés de transmettre cette expérience imposée sur eux sans pouvoir par eux-mêmes intégrer cette expérience d’une façon totale, dans le contexte réel de l’intervention du plan paranormal vers le plan matériel. L'information est de ce fait automatiquement biaisée, et d'autant plus dangereuse si elle découle d'intelligences paranormales qui œuvrent contre l’évolution de l’humain. S'il est dans l'incapacité de détruire cette information en étant raccordé à la lumière de sa propre intelligence supramentale, l'être humain devient automatiquement le bouc émissaire de ces intelligences, contribuant à continuer à vicier la matrice terrestre même sous couvert d'enseignement spirituel*². Qui plus est, il est aussi soumis à l’influence vibratoire et psychologique de cette information voire de la présence qui est devant lui… Ceci explique qu'il lui est alors très facile de devenir un prophète, une sorte de Messie, "choisi" pour une mission non salvatrice comme il le pense mais destructrice !

Tant que l’individu ne réalise pas que sa relation avec ces intelligences est directement liée à des erreurs qui ont été commises par lui dans le "passé", dans le cheminement de son âme dans le bac à sable des illusions terrestres, et devant aujourd’hui être corrigées au cours de son évolution présente, il est soumis à la puissance psychologique insuffisante de son mental, ne pouvant accéder à la lueur de sa propre intelligence absolue, celle qu’il possède en relation avec le Supra-mental. Par orgueil, vanité ou naïveté, il est illusionné par sa croyance en ses intelligence personnelle, éducation et intellect, sans se rendre compte que la puissance de son esprit est amputée par leur conditionnement émotionnel non réinterrogé. Et bien évidemment, c'est ce que savent parfaitement les entités extra-dimensionnelles des mondes parallèles, qu'elles viennent des sphères lumineuses ou des plans retardataires. Tant qu'il n'a pas réalisé la fusion avec l'Esprit cosmique, il demeure incapable de se dissocier totalement sur le plan émotif de la vérité relative*³, prisonnier d'une vérité qui peut être du mensonge. C'est pourquoi confier ses maux à un sauveur tiers - thérapeute, psychologue, médium, chamane... - prétendant travailler avec l'énergie de "l'au-delà" et de ses entités composantes (anges, archanges, Marie, Jésus...), qui plus est moyennant finances, relève de l'illusion absolue, quelle que soit la sincérité de l'intervenant(e) et de sa "beauté" vibratoire apparente. Le guérisseur est soi-même, jamais l'autre. Il en découle que celui/celle qui en fait commerce signe la partition du Je dénaturé interprétée...

* Cf. L'expérience émotionnelle, Fonctionnement du corps biologique & Libération émotionnelle.

Cf. Prédation spirituelle et voie de sortie.

*³ Cf. Qu'est-ce que la Vérité ?

 

Extrait de la programmation d'aliénation psycho-émotionnelle

Le Jeu de l'Oie (les règles du jeu) - New York 2001 - Charlie Hebdo Paris 2015 - Bataclan Paris 2015 - Les Gilets jaunes Paris 2018 (l'or alchimique détourné par le feu destructeur et non libérateur) - Notre Dame 2019 - Rouen 2019 (le bûcher bis repetita placent du féminin sacré - Jeanne d'Arc) - Le phallus d'Osiris place de la Concorde (le vagin de la Déesse-Mère) à Paris - Le monarque (pharaon) relais asservisseur * ("monarq" est l'anagramme dans la langue des oiseaux de Macron) - Le masque alchimique de la Lumière (le vert est la couleur tant de l'Intelligence divine active que de la putréfaction, celle du mort-vivant)*² - le pangolin*³ annonciateur de la Covid-19 mortelle sur la couverture de The Economist 2019 - Décapitation d'un professeur enseignant à Conflans ste Honorine 2020.

* Cf. Les psychopathes qui nous gouvernent.

Image 9 tirée du film The Mask réalisé par Chuck Russell (1994).

*³ Le virus serait parti de Chine en novembre 2019, par la consommation de la chair d'un pangolin, petit mammifère le plus chassé au monde pour les vertus prêtées à sa chair... C'est ce qui initialement a été suggéré par la version "officielle".

Le Jeu de l'Oie entropique

Tout est déjà réalisé dans la matrice cyber, l’homme synthétique – le robot biologique – ayant l’illusion par sa croyance en la linéarité du temps (passé présent futur) de pouvoir contrôler sa vie par l’exercice de son libre arbitre et de "bénéficier" de Dame chance ou déveine comme de la bien- ou mal- veillance du hasard à son égard ou encontre… Ignorant qu’il n’est qu’un pion qui ne fait que dérouler une partition de vie établie par ses maîtres extra-dimensionnels asservisseurs – les dieux de l'astral et les "mages babyloniens" terrestres -, qui le dominent, le manipulent et le leurrent, il se laisse conduire impuissant à sa funeste destinée, grisé par ses succès d’apparence (l’exercice du pouvoir, la quête de l’avoir, la jouissance du paraître) ou résigné et abattu par sa déveine terrestre (solitude et non-considération, misère et pauvreté, maladie …).

Pourtant, il devrait avec lucidité et discernement s'il exerçait son Intelligence divine par la guidance de sa supraconscience, s'apercevoir que le calendrier entropique cadence sans arrêt l’appel des "dieux" asservisseurs à ce qu’il leur livre la nourriture indispensable à leur survie dans l’Ombre et les Ténèbres par le pompage (sustentation) psycho-émotionnel de son or cosmique (la Lumière présente dans son âme), tant de manière individuelle que collective, tout particulièrement à l’occasion de grands événements sataniques conçus à cet effet - la réaction émotionnelle -, et annoncés par leur symbolisme numérique codé pour qui sait les décrypter.

Ainsi parmi tant d’autres au XXI° siècle le feu destructeur des Twin Towers le 11.9.2001 à New York (démarrage de la III° guerre mondiale, c'est-à-dire la drôle de "Guerre à la Terreur", excuse pour mettre en place une législation tyrannique qui dépouille la population de ses droits et consacre la censure), la fureur terroriste sanglante du 13.11.2015 au Bataclan à Paris, le mouvement insurrectionnel démarré en novembre et décembre 2018* des "gilets jaunes" sur le sol de France et ses contrées d’outre-mer, l'incendie de Notre-Dame de Paris en avril 2019 ou de l'usine Lubrizol à Rouen en septembre de la même année, la décapitation d'un enseignant professeur en octobre 2020... qui mettent en œuvre l'électromagnétisme attentatoire à l'unité intérieure, le "champ du point zéro", seul véritable pouvoir libérateur *².

* Il a eu lieu 170 ans (17) après la troisième Révolution française, celle de 1848 (après la Révolution française de 1789 et celle de 1830), soit la fausse lumière dispensée par les artifices étoilés...

*² Cf. L'état de cohérence, voie de sa liberté & Le mode de réalisation unifiée.

 


Le bal vampirique de la soufrière jaune

Les maîtres de l'entropie - les Forces de l'Ombre - et leurs relais terrestres initiés soumis connaissent parfaitement la puissance des symboles solaires. Ils en détournent le sens à leurs fins mortifères, tout particulièrement par l'organisation de gigantesques rituels "sataniques" programmés dans leur agenda occulte destinés à servir et à assurer leur nourriture de survie*. C'est ainsi que le mouvement des "Gilets jaunes", d'aucuns diraient les moutons jaunes, embrase depuis novembre 2018 la terre de France et tout particulièrement son centre "luciférien" Paris, la ville de la fausse lumière. Manipulé et parasité à l'insu de son plein gré par la prédation astrale de 4ème dimension de réalité ou densité, le troupeau des révoltés se mobilise au nom de revendications qui, si elles apparaissent comme légitimes pour leurs soutiens illusionnés - du travail, plus d'argent, plus de concertation et de considération -, ont pour finalité toujours et encore de faire le jeu pour ne pas dire la fortune des élites prédatrices, tout particulièrement dans le domaine juteux de la sécurité (les biens d'équipement professionnel comme les gilets en font par exemple partie), raison d'être première de la survie du système prédateur terrestre...

Alors que l'être individué a pour seule raison d'être de travailler à la libération de ses chaînes terrestres par son épuration intérieure et sa connexion à l'intelligence de l'Esprit souverain, il contribue par son combat extérieur contre les représentants terrestres des Forces de l'Ombre tout autant manipulés - les "RoboCops" des forces sécuritaires quel que soit leur label (militaires, policiers, gendarmes, CRS) - à renforcer les geôles de sa prison. Il est incapable de voir que la majorité des humains sont honorés de célébrer leur lien de subordination à un dominant en charge de diriger leur pyramide d'appartenance - président, patron, dirigeant, entreprise, multinationale, institution,... -, se félicitant et se pavanant d'être parfois parvenus à en gravir les échelons de la réussite et de la méritocratie sociales et à gagner de l'argent, parfois beaucoup, ou à l'inverse de pester et de fulminer contre le manque de reconnaissance et de soutien du système à leur égard. Homme endormi, hypnotisé et enfermé dans son déni, il est dans l'incapacité de se regarder tel qu'il est dans le miroir, un esclave au service d'un système totalement vicié, y compris lorsqu'il se pense du côté des "gagnants", corrompu par les forces de la matrice astrale de 4ème densité qui agissent en lui, et par là-même avide de pouvoir, d'avoir et de paraître, la trinité mortifère.

Dans ce nouveau rituel sacrificiel des agneaux/moutons sur l'autel de la prédation, il a "simplement" oublié par ignorance que son âme (pour les "humanoïdes" qui en disposent*²) s'est incarnée uniquement pour que son individualité apprenne à retrouver sa légitime souveraineté existentielle, afin d'être un créateur libre et inspiré en toute conscience par l'Esprit universel de sa réalité. Et si l'or est un métal porteur des qualités divines, il est aussi par la loi de la dualité associé au démiurge, la formation de ses gisements (comme ceux du platine ou le molybdène) étant due à la présence d'une forme de soufre, l'ion trisulfure*³. C'est bel et bien cet or sulfureux qui irradie en cette fin de cyclicité civilisationnelle !

* Cf. Symbolisme de la Matrice. Les groupes violents n’ont jamais réussi à changer quoi que ce soit. Même s’il y a une révolution, le résultat est identique à la situation précédente : voici le nouveau "patron", le même que l’ancien. Qui plus est, les forces policières mènent des opérations sous fausses bannières, créant des événements violents de toutes pièces et les attribuant à des gens non-violents ou accusant n’importe quel groupe qu'ils veulent accuser, même si ce groupe est 100% non-violent. Et si une protestation non-violente, massive et cohésive, a très souvent amené un changement significatif, les nombreux individus qui en étaient les leaders charismatiques, car dotés d'une conscience au service du peuple, ont été assassinés : Bobby Kennedy, John F. Kennedy, Martin Luther King, John Lennon, Gandhi, et ainsi de suite à travers l’histoire... Ils avaient suffisamment d’influence pour causer des problèmes aux individus de type pathologique qui président.

Cf. Les psychopathes qui nous gouvernent.

Cf. Le chemin alchimique.

 

Prophétie alchimique

Dans son roman "Notre-Dame de Paris - 1482", publié en 1831, Victor Hugo décrivait l’incendie du célèbre monument qui se réalisera le 15 avril 2019, comme allumé par le feu de l'enfer projeté par la Tour Eiffel, une des épines de la couronne satanique du "Par-Isis" (Cf. photo) : "Tous les yeux s’étaient levés vers le haut de l’église. Ce qu’ils voyaient était extraordinaire. Sur le sommet de la galerie la plus élevée, plus haut que la rosace centrale, il y avait une grande flamme qui montait entre les deux clochers avec des tourbillons d’étincelles, une grande flamme désordonnée et furieuse dont le vent emportait par moments un lambeau dans la fumée. Au-dessous de cette flamme, au-dessous de la sombre balustrade à trèfles de braise, deux gouttières en gueules de monstres vomissaient sans relâche cette pluie ardente qui détachait son ruissellement argenté sur les ténèbres de la façade inférieure. À mesure qu’ils approchaient du sol, les deux jets de plomb liquide s’élargissaient en gerbes, comme l’eau qui jaillit des mille trous de l’arrosoir. Au-dessus de la flamme, les énormes tours, de chacune desquelles on voyait deux faces crues et tranchées, l’une toute noire, l’autre toute rouge, semblaient plus grandes encore de toute l’immensité de l’ombre qu’elles projetaient jusque dans le ciel. Leurs innombrables sculptures de diables et de dragons prenaient un aspect lugubre. La clarté inquiète de la flamme les faisait remuer à l’œil. Il y avait des guivres qui avaient l’air de rire, des gargouilles qu’on croyait entendre japper, des salamandres qui soufflaient dans le feu, des tarasques qui éternuaient dans la fumée. Et parmi ces monstres ainsi réveillés de leur sommeil de pierre par cette flamme, par ce bruit, il y en avait un qui marchait et qu’on voyait de temps en temps passer sur le front ardent du bûcher comme une chauve-souris devant une chandelle." Quand on sait que l'emplacement de Notre-Dame était à l'origine celui d'un temple païen gallo-romain dédié à... Jupiter, la découverte du pilier des Nautes*³ découvert en 1711 l'attestant, avant d'être remplacé par une grande basilique paléochrétienne similaire aux basiliques civiles antiques, nous comprenons que ce monument " sacré " contribue bel et bien au déploiement du chaos de cette "fin des Temps".

Cette prophétie est celle de l'ananke grecque* (la "contrainte", "force", "nécessité fatale"), cette déesse du sort (la roue de Fortune du tarot initiatique) dans la mythologie grecque qui signifie la nécessité inévitable comme arbitre du monde dominé par la prédation astrale, les dieux asservisseurs de la 4ème dimension de conscience, qui décident à la naissance d’un homme de son destin et de la fin de sa vie, en en tramant le fil et le coupant à la fin. Autrement dit la fatalité (fatum en latin), qui voit le capitaine de la garde volage Phoebus de Châteaupers (le masculin illusionné par ses attributs physiques et son rang social) et le disgracieux sonneur de cloches Quasimodo (son effet miroir), sous la coupe du prêtre dévoyé Claude Frollo (le religieux mensonger), "triompher" par lâcheté et rancune de la belle Esméralda (le Féminin sacré), sauf si l'être humain se réveille à Ce Qu'Il Est pour en couper le lien par la transformation alchimique réalisée*², et leur reprendre par son droit divin son pouvoir d’Être souverain.

* Dans la préface de son roman, Hugo décrit le mot ananke par les paroles suivantes : "le sens lugubre et fatal qu’elles [i.e. ces majuscules grecques] renferment [...] ce stigmate de crime ou de malheur [...] rien [...] du mot mystérieux [...] rien de la destinée inconnue qu’il [i.e. le mot]

résumait si mélancoliquement". C'est pourquoi les conséquences d’ananke peuvent être pressenties par "stigmate de crime ou de malheur".

Cf. Le chemin alchimique.

Monumentale colonne gallo-romaine érigée en l'honneur de Jupiter par les Nautes de Lutèce au Ier siècle (confrérie d'armateurs mariniers marchands naviguant sur les fleuves et rivières de la Gaule sous le règne de l'empereur romain Tibère), le pilier des Nautes est constitué par l'empilement de quatre blocs ou autels mettant en scène les dieux du panthéon astral tant latins (Jupiter, Mars, Mercure, Vénus, Fortuna, Vulcain, Castor et Pollux) que gaulois (Esus, Cernunnos ...), y compris sous forme d'animaux (Taureau). Ces blocs ont été mis au jour dans les fondations de l'autel de la cathédrale Notre-Dame de Paris le 16 mars 1711 lors des fouilles entreprises pour la réalisation du Vœu de Louis XIII.  Il est le symbole de la première société (personne morale) dont on ait trace à Paris, sacralisée comme telle par sa présence dans la cathédrale de la ville de la fausse Lumière... Le pilier des Nautes est exposé dans la salle du frigidarium des thermes de Cluny.

 

Troublantes coïncidences

L’incendie de Notre Dame qui s’est produit le 15 avril 2019 avait pour date anniversaire celle d’un autre attentat présenté comme un accident, celui du Titanic qui a coulé le 15 avril 1912*. Une cathédrale est d'ailleurs souvent comparée à un vaisseau...

De son côté, l'archivage web a permis de découvrir que le site officiel de la cathédrale avait annoncé fin mars, et ce jusqu’au jour même, que les tours seraient rendues inaccessibles aux visiteurs une heure plus tôt dans la journée du lundi 15 avril. Mais nul ne sait pourquoi les responsables de la cathédrale ont restreint l’accès aux tours une heure plus tôt pour ce 15 avril, aucune explication n'ayant été fournie sur le site à propos de cet avertissement. Détail troublant, la première alarme a retenti à 18h20, et le feu fut constaté vers 18h50, suite à la seconde alarme de 18h43. Et c'est précisément durant la tranche horaire de 17h30/18h30 spécialement interdite aux visiteurs comme aux ouvriers qui avaient tous quitté les lieux à 17h30 que le foyer du feu fut activé…

Les observateurs ont également relevé l'existence d'une vidéo réalisée par la plateforme viewsurf https://www.viewsurf.com/univers/vill..., qui offre des vues de points répertoriés de la ville de Paris au rythme d'une minute par caméra. Ainsi, à cinq minutes suivant l'heure, c'est au tour de la cathédrale Notre-Dame d'être filmée. A 17h05, la caméra a pu filmer l'évolution d'un individu vêtu de couleur sombre sur l'échafaudage recouvrant sa toiture, faisant des allers et retours sans but apparent. Lors de deux instants précis de la minute filmée par la caméra de viewsurf, deux éclairs de lumières de durée différente sont nettement visibles, à la dixième et à la vingt-huitième seconde de la vidéo. La caméra ayant relevé l'empreinte d'un fort dégagement d'énergie électromagnétique émanant d'un objet, ou d'un appareil tenu par l'individu pendant des durées de temps légèrement différentes, et avec également une intensité différente, il est vraisemblable que l'individu tenait à bout de bras un appareil capable de dégager de vastes quantités d'énergie électromagnétiques, en action tout le temps de sa déambulation sur l'échafaudage. A deux reprises, à la dixième et à la vingt-huitième seconde de la vidéo de viewsurf, il a changé l'orientation de cet appareil, de façon à ce que la gueule dégageant de l'énergie soit précisément dans l'axe de la prise de vue de la caméra, ce qui explique l'apparition d'une empreinte sur la vidéo correspondant à une saturation due à une forte énergie électromagnétique. Il en découle trois questions : qui est cet individu, que fait-il exactement sur l'échafaudage couvrant le toit de Notre-Dame de Paris et avec quel appareil ?

Quant à Benjamin Mouton, l'architecte en chef en charge des travaux d'alors, une pointure internationale, il a indiqué que "L'incendie n'a pas pu partir d'un court circuit, d'un simple incident ponctuel. Il faut une vraie charge calorifique au départ pour lancer un tel sinistre. Le chêne est un bois particulièrement résistant." (la charpente était en chêne de 800 ans). Qui plus est, l’installation électrique avait été rénovée, et des installations modernes de détection de feu installées. Et quel produit efficace pouvait assurer l'embrasement constaté, si ce n'est la thermite, un mélange d'aluminium métallique et d'oxyde d'un autre métal produisant une chaleur pouvant aller jusqu'à 4800°, utilisée entre autres par les services secrets dans leurs opérations camouflées.

Dernière coïncidence, le même jour à Jérusalem un incendie s'est déclaré dans la mosquée Al-Aqsa, la plus vaste de Jérusalem, ayant causé des dégâts limités grâce à l'intervention rapide des secours. Qu'en déduire, si ce n'est que ce double incendie correspond à un rituel satanique, plus exactement talmudique, le Talmud - la Loi orale - étant le recueil principal des commentaires de la Torah, la Loi écrite du Judaïsme. Il s'agissait d'une vengeance 777 années après que tous les exemplaires du Talmud aient été brûlés sur le parvis de Notre-Dame...

Comme il n'y a jamais de hasard dans la matrice viciée des illusions, est-il utile de rappeler que le 15 avril correspond à l'arcane 15 du Tarot, le Diable... En l'occurrence, il est le symbole de l'écroulement de la foi et de la sécheresse spirituelle réduit à des valeurs culturelles marchandes... Comme le toit est ce qui permet à un édifice de le protéger de toutes intempéries ou adversités extérieures, il nous indique qu'il n'y désormais plus de protection, l’esprit, le mental, les pensées étant par le feu du couvre-chef libérés et livrés à eux-mêmes, ouvert sur le ciel, l'astral, soumis plus que jamais à ces influences néfastes... Nos croyances étant à la dérive, nous naviguons sur un flot d’illusion et de tromperie qui atteignent le choeur/coeur de notre vie et de toute vie. Nous sommes véritablement à la croisée des chemins, ne pouvant plus compter sur quelques protections divines. Nous ne pourrons compter que sur nous-même, de nos choix et de nos décisions, de notre intégrité et de notre alignement.* Cf. Le modèle européen décodé (2) L'idéologie mondialiste.

 

Le cérémonial satanique sur la Terre de France

En cette fin de cyclicité civilisationnelle*, de plus en plus d'êtres humains dotés d'une âme - les "humanoïdes" - s'éveillent sous l'effet de l'Onde du changement en voie désormais d'extinction, afin de s'extirper de l'emprise des Forces de l'Ombre et des Ténèbres, les dieux asservisseurs du champ astral et leurs relais terrestres inféodés. Il en découle une moindre nourriture de survie pour ces Forces entropiques qui résident en 4ème dimension de réalité - la barrière de fréquences entre l'astral et le champ cosmique des Forces de la Lumière -, celle-ci étant issue de l'Or universel divin contenu dans l'âme et qui de ce fait se raréfie. C'est pourquoi le calendrier occulte s'accélère pour en contrebalancer les effets préjudiciables à la poursuite de leur gouvernance prédatrice, expliquant les évènements dramatiques qui se déroulent au sein du Royaume de France au sein duquel sont cachées les mémoires civilisationnelles originelles (autrement nommées le Graal), dans les Pyrénées ("là où le pire est né"), et se succèdent à un rythme plus soutenu. Ainsi Charlie Hebdo, le Bataclan, l'intronisation du nouveau monarque au Louvre, le deuil national républicain pour Johnny Halliday et le colonel Arnaud Beltrame, les manifestations violentes et leur répression à l'identique (Notre-Dame des Landes, barrage de Sirven, Gilets jaunes et black blocs ...), Notre-Dame de Paris, Lubrizol à Rouen...

Tous sont constitutifs de grands égrégores (collectes énergétiques de masse) à caractère "satanique" parce que célébrant la Mort, destinés par leurs rituels de mise en œuvre à permettre le pompage (ou sustentation) psycho-émotionnel à grande échelle de l'Or universel divin résidant en chacun par le canal de l'âme. Relayés par le battage politico-médiatique exacerbant l'émotionnel tant des Gaulois (les " libertariens " réfractaires à l'Ordre délétère, dont le génome salvateur sémite est prédominant) que des Francs (les Français "autoritariens" soutiens de l'Ordre établi, qu'il soit monarchique/royaliste ou républicain, porteurs en majorité du génome asservisseur aryen), ces événements s'appuient sur une technologie trans-dimensionnelle puissante permise par le dispositif électromagnétique de la ville de la fausse car luciférienne lumière, Paris, celui-ci étant assuré tout particulièrement par le positionnement tellurique des quatre grandes épines de sa "couronne satanique", autrement dit la couronne de l'Antéchrist.

C'est ainsi que les pointes phalliques que sont l'Obélisque de la place de la Concorde (le phallus d'Osiris), la Tour Eiffel (à l'extrémité nord-ouest du parc du Champ-de-Mars, le dieu de la guerre), et la pyramide du Louvre, toutes trois dressées vers le champ astral, lui adressent par l'énergie électrique dispensée le fruit de cette collecte psycho-émotionnelle (sidération, cris, pleurs, colère, détresse, tristesse, souffrances, prières ...), celle-ci étant réceptionnée par le magnétisme des portails dédiés à cet effet, tout particulièrement l'Arche de la Défense (symbole du quartier des "affaires" - le mercantilisme - situé à l'Ouest de Paris) et dans une moindre mesure l'Arc de Triomphe place de l’Étoile (dédié aux armées de la Révolution et de l'Empire et à leurs morts) et ses trois autres "jumeaux" (place du Carrousel, Porte Saint-Denis, Porte Saint-Martin), tous ceux-ci favorisant également comme réceptacles la venue dans le champ terrestre d'entités à caractère "mortifère"*².

* Cf. Prophétie du changement & Fin de cycle (2) La guidance éclairée de sa vie.

Présentation du fonctionnement dans Compréhension structurelle de la Matrice asservissante, Fonctionnement de l'architecture du Vivant, Prédation manipulatoire & Le modèle pyramidal décodé.

 

Du rituel satanique de Notre-Dame

L'incendie de la cathédrale Notre-Dame de Paris en avril 2019 s'est déroulé au démarrage de la semaine sainte d'avant Pâques pour les Chrétiens de toutes confessions (catholiques, protestants, orthodoxes), visant à commémorer la Passion de Jésus Christ avant sa crucifixion. Cette semaine de souffrances, au sens propre comme figuré, est un puissant rituel destiné à ancrer dans la psyché l'égrégore de Mort nourricier des Forces de l'Ombre et des Ténèbres, et dont le Vatican est un des puissants orchestrateurs comme relais "dignitaire" terrestre*. Les reliques symboles utilisées, comme le clou, la couronne d'épines ou le fragment de croix, constituent autant d'artifices extérieurs censés favoriser la transcendance spirituelle de l'être humain dévot par l'émotion suscitée, alors qu'ils ne sont destinés qu'à renforcer sa culpabilité d'éternel pêcheur pour le crime proféré à l'encontre du divin par sa lointaine ascendance, et d'accuser avec force de vindicte les tortionnaires supposés.

Ce feu destructeur annonce en fait l'accélération de la dernière phase de la cyclicité entropique de la cinquième race humaine, soit l'édification, à partir du chaos découlant de l'effondrement de grandes institutions soi-disant protectrices (en l'occurrence l'église), d'un Nouvel Ordre Mondial. Ordo ab Chaos, comme disent les hauts initiés occultes... Il sera suivi par l'instauration d'une nouvelle religion universelle, celle de l'homme robot, considéré comme définitivement mort à sa conscience divine originelle*². Elle passe pour ce faire par l'effondrement de l’Église romaine dévoyée et de son centre névralgique d'impulsion, le Vatican, préalable aux indispensables purification et nettoyage de l'existant afin de renaître sous une forme nouvelle, tout aussi luciférienne car à nouveau source d'illusions pour ses dévots et fidèles.

Pour celles et ceux qui auront (enfin) ouvert les yeux en se débarrassant des croyances limitantes basées sur des conditionnements délétères et toxiques, ce feu les invite à terminer leur purification intérieure - celle de leur cathédrale de vraie Lumière -, pour permettre à l'âme réunifiée de fusionner avec l'Esprit universel souverain, et de franchir le vortex temporel - la barrière de l'espace-temps - afin de rejoindre la nouvelle Terre sur une nouveau champ de fréquence. C'est bel et bien un appel au centrage intérieur qu'indique l'effondrement de la flèche de la cathédrale surplombant la croisée du transept, soit la fusion chymique du Masculin sacré (le solaire électrique) et du Féminin sacré (le lunaire magnétique).

* Cf. L’Église romaine décodée.

*² Cf. La nouvelle religion universelleProphétie du changement.

 

La clé de compréhension réside dans le mythe égyptien d’Osiris (Horus réincarné) et de son épouse Isis, vénérée comme Déesse Mère dans sa version dévoyée (décrédibilisation du Féminin sacré) par tous les groupes occultes au service de l’Ombre, et que les mages babyloniens établirent avec la trinité sulfureuse de Nimrod, Sémiramis et Tammuz s'y substituant*. Par ce maléfice – "le mal est fils" - et le sacrifice originel - "le sacré est fils" (soit l'être humain) - du Père divin créateur (le Masculin sacré), ils signent leur gouvernance patriarcale des affaires terrestres, la Déesse Mère civilisationnelle étant en fait célébrée comme prostituée incestueuse et non comme porteuse de la Connaissance cachée libératrice (Isis est représentée voilée). Tant que l’être humain ne s’éveille pas à Qui Il Est en regardant ce monde d’apparence à l’envers tel qu'il est - le démon - (Seth le frère assassin d'Osiris), et qui voit l'histoire entropique comme un éternel recommencement (les boucles cycliques de la Matrice astrale gouvernée par son calendrier zodiacal occulte), il ne peut réussir son individuation en faisant l’unité en lui afin, par son nouvel état de conscience, de s'en extraire et de redevenir cocréateur de son chemin d'évolution (accès à une nouvelle dimension de réalité, la "nouvelle Terre").

Cf. Le modèle européen décodé (1) Un ADN impérial païen.

 

L'indispensable transmutation des mémoires du théâtre astral

Le monde de la Mort, autrement dit le monde astral nourricier des forces des Ténèbres - les "archontes" prédateurs pour la race humaine - est basé sur le voile de l'oubli jeté sur la conscience des êtres humains, les rendant prisonniers des illusions et des leurres de la physicalité terrestre initiés par leur égo-mental générateur des pensées et des émotions en découlant, positives comme négatives. Ce piège électromagnétique* est constitutif du bagage karmique qui découle des expérimentations de l'âme de la matière*² dans le théâtre des illusions que constitue le Jeu de la Vie en 3ème densité de réalité.

Il se traduit par cinq couches mémorielles attentatoires en cas de non-conscience à la libération de l'esprit pour la venue de la supraconscience (l'Esprit universel) :

- la mémoire pure, autrement dite présente en toute conscience à l'esprit éveillé (rare), soit la mémoire de Qui Nous Sommes vraiment, la Conscience universelle émancipée de ses fractales sources de séparation avec l'Unité première et absolue ;

- la mémoire partielle, dont le contenu lumineux est pour grande partie estompé/brouillé (vague souvenir), et dénaturé par les illusions spirituelles*³ comme la croyance dans le temps chronologique (passé et futur) ;

- la mémoire contrôlée, c'est-à-dire celle que l'être humain a façonné à "sa" guise (en fait son façonnage est dicté par son parasite prédateur) lorsqu'il n'est pas éveillé à Qui Il Est ;

- la mémoire "maudite", qui entraîne par son contenu un fort ressentiment de culpabilité et de mal-être existentiel, latent ou tangible ;

- la mémoire nouvelle, qui est propre à la nouvelle incarnation dans la matière d'une âme.

Tout ce portefeuille mémoriel habite tant la psyché que le génome de l'être humain par la gravure épigénétique établie, empêchant leur indispensable dépollution afin de recevoir la guidance de "l'En Je", c'est-à-dire sa reliance à l'Esprit universel souverain seul à même de rendre l'Homme intelligent pour accéder à son véritable pouvoir de créateur multi-dimensionnel afin qu'il initie une nouvelle réalité. Autrement dit, qu'il établisse une nouvelle ligne temporelle débarrassée des mensonges et fadaises de l'histoire civilisationnelle viciée par ses maîtres entropiques.

* Cf. Compréhension structurelle de la Matrice asservissante.

Cf. Le cheminement de l’Âme.

*³ Cf. Prédation spirituelle et voie de sortie.

 

Ainsi, l'échiquier de la Matrice bien en place, avec la piétaille (le "petit" peuple) au-devant et la noblesse d'église, d’État et d'argent derrière, la partie d'échecs peut dérouler son scénario mortifère, celui d'un système pathocratique, autrement dit d'un gouvernement constitué de déviants psychologiques appelé à produire des effets similaires, qu’il soit dissimulé sous le masque du fascisme, du communisme ou du capitalisme, l’idéologie elle-même n’étant pas importante. Elle sert simplement de couverture et de point de ralliement à un certain pourcentage de la population dont ses représentants ont besoin comme base de soutien, ce groupe croyant aux slogans et étant incapable de voir derrière le masque. Il conduit l'ensemble de ses acteurs illusionnés car manipulés dans les limbes de la conscience... sauf à ce qu'ils se réveillent pour, enfin, s'extraire du piège constitué et ÉVOLUER !

 

Le destin, ou l'illusion de l'idéal démocratique vicié

Les maîtres artisans révolutionnaires de la République des Lumières ont comme maçons patentés de leur maîtres entropiques de 4ème dimension astrale, érigé le mur de l'illusion des êtres humains épris de liberté, celui de la quête libre de leur destin au sein de la République proclamée. Par cette subtile idée ô combien pernicieuse, l’individu, s'imaginant à son tour Roi - de sa vie s'entend -, se défait en réalité de lui-même. En s'éclatant, au propre comme au figuré, dans cet idéal communautaire qui ne cesse de l’y exhorter comme de l'exhausser, il se pense magnifié comme héros de sa vie alors qu'il n'est qu'asservi dans un espace, réel ou symbolique, dont il reste totalement dépendant de ses roués maîtres asservisseurs. Aveuglé et enivré par ses sens idéalisés par la fausse lumière projetée, il ne voit nullement que le destin promis n’est qu'un temps se contractant en un espace prison. C'est tout le génie de la "grand œuvre luciférienne" amorcée au XVII° siècle - la religion de l'humanité contemporaine* -, et qui ne cesse depuis d'étendre les rêts de sa prédation mortifère.

Qu'est-ce que cet idéal communautaire, si ce n'est un gigantesque égrégore d'un esprit vicié commun se cristallisant dans les limites du temple sociétal, et que relaient ses chantres bâtisseurs sous forme allégorique lors de leurs tenues rituéliques afin que s’unissent les multiples énergies individuelles nécessaires à sa vigueur*² ? Les morts à la Conscience universelle gouvernent bel et bien les morts-vivants, car lorsque le monde s’avachit dans la fange putride du matérialisme et que le frelatage des idées tient le haut du pavé institutionnel nauséabond, il permet à ses ordonnateurs prédateurs de se concentrer, autrement dit de rassembler ce qui est épars et de rassembler parmi le multiple. C'est le " sublime " tour de passe-passe de Lucifer se révélant Satan que de rassembler ce que le principe de rupture révolutionnaire moderne avait dissocié, l’intégralité de l’être trouvant là sa justification dans cette construction du "néo Temple" commun, le vivre-ensemble postmoderne !

Qui plus est, ses pierres de fondation ne sont ni plus ni moins que les ancestrales coutumes, celles de la Tradition, devenues lois immuables par leur fétide dévoiement. Parmi elles, l'irréfragable antienne "on ne peut pas abolir le monde tel qu’il est", voire même le réformer. Quant à le révolutionner à nouveau, c'est une prétention désormais fort dangereuse, dont l’histoire montre à loisir, subtil paradoxe, les effets pervers. On ne peut de ce fait que s’accommoder à lui, composer avec lui, s’ajuster à lui, afin de respecter la ... Nature, les rituels emplis d'éléments naturels (feu, eau, air, terre) ne cessant de rappeler cette essentielle humilité calculée à leurs naïfs ou pervers idolâtres.

Voici pourquoi la sensibilité écologique et environnementale contemporaine - d'aucuns la qualifiant d'"écosophie" - est appelée après la théosophie à immortaliser au Panthéon de la crédulité humaine l'immémoriale Sagesse, celle qui apprend la nécessité du sacrifice et l’acceptation de la limite comme garanties de la stabilité du monde. Et si les Romains donnaient à Jupiter le surnom de Stator (de stare, stat "tenir"), le dieu conservant l’ordre des choses, c'était avant tout pour rappeler à l'être humain la nécessité de savoir se tenir dans les limites naturelles afin d'éviter l'hubris, cet orgueil démesuré conduisant, immanquablement, à la dévastation du monde. Il n'est qu'à voir qui incarne désormais Jupiter dans la conduite se voulant éclairée de la basse destinée civilisationnelle...

C'est pourquoi la pensée véritablement libre ne peut aucunement constituer le cœur battant de cette maçonnerie républicaine dédiée à contaminer l’opinion commune, ses parasites et autres virus incubateurs s'échinant à miner l’humanité en répandant leurs idées saumâtres convenues pour empêcher la hauteur de vue nécessaire à l’affrontement de son destin. La linéarité historique du progressisme, système philosophique reposant sur les grandes constructions socialisantes du XIXe siècle, constitue le mythe majeur*³ de cette modernité attentatoire à la véritable libération de l'être humain, sur lequel vient s'adosser l'autre impasse existentielle qu'est la conception circulaire de la temporalité, le retour éternel du néant existentiel tel que célébré par son concepteur le philologue et philosophe allemand Friedrich Wilhelm Nietzsche (1844/1900). La boucle de l'Ouroboros prédateur est ainsi fermement bouclée, consistant à refuser ou à dénier le devenir propre à toutes choses. Autrement dit, c'est la célébration du statu quo ante, la cyclicité involutive de la Matrice astrale !

* Cf. La nouvelle religion universelle.

Cf. Le modèle pyramidal décodé.

*³ Cf. Évolution de civilisation (3) Mythes de la modernité, risques et lois d'évolution universelle.

 

La sortie de la Matrice astrale asservissante pour l'entrée dans la Matrice cosmique originelle - Cliquer pour agrandir
La sortie de la Matrice astrale asservissante pour l'entrée dans la Matrice cosmique originelle - Cliquer pour agrandir
" Quand le sage montre la lune, l'ignorant regarde le doigt " - Lao Tzeu -           (La Lune est le féminin sacré)
" Quand le sage montre la lune, l'ignorant regarde le doigt " - Lao Tzeu - (La Lune est le féminin sacré)

L'image ci-dessus à gauche est typiquement représentative du jeu pervers des gardiens de la Matrice dévoyée, visant à empêcher l'éveil de conscience, tout particulièrement des "spiritualistes en herbe" qui demeurent illusionnés par leurs naïveté et hauts idéaux humanistes, alors même qu'ils n'ont ni recherché la Connaissance ni ne sont épurés pour recevoir la guidance de leur supra-conscience. Pour ce faire, les gardiens prédateurs vont mélanger comme à l'accoutumée le "vrai" avec le "faux", conduisant inéluctablement à l'impasse existentielle sauf à avoir aiguisé son discernement pour regarder le monde à l'envers ou le démon à l'endroit. C'est ainsi que le sens profond de l'image (anagramme de magie) est juste, à un détail près, celui du trou de ver ou chas de l'aiguille indiquant le point de sortie de la Matrice entropique. Il est situé à l'Ouest ! Si l'être humain ne l'inverse pour regarder la juste direction - l'Est, là où le Soleil se lève -, il est piégé, l'information distillée dans son subconscient résonnant à contre-sens et le conduisant à raisonner de la même manière. Il demeure ignorant.

 

Il est un préalable indispensable, celui consistant à ne pas croire que les humains ou les races ont été créées par la même source. Si nous nous laissons influencer par ce concept, nous allons avoir tendance à croire que toutes les intelligences qui viennent des mondes parallèles sont bonnes ou sont bénéfiques. Et ce n’est pas le cas*…

Il y a des intelligences qui sont extrêmement vicieuses, dangereuses, qui ne sont pas intelligentes au sens cosmique. Elles sont intelligentes dans le cadre de leur propre évolution, ayant pour ce faire des facultés mentales très grandes qui, lorsqu’elles viennent en contact avec l’être humain, peuvent créer chez lui l’impression d’une grande intelligence. Par contre, il y a des intelligences, des êtres, des civilisations qui sont extrêmement avancées. Et ce sont ces êtres-là, ces grandes civilisations, qui ne sont pas encore venues en contact avec l’être humain. Lorsque ces civilisations viendront en contact avec l’être humain, la civilisation telle que nous la connaissons aujourd’hui sur notre planète n’existera plus…

Comme il est extrêmement hasardeux de considérer le contact qui se fait entre d’autres intelligences et l’être humain comme étant utile, il est nécessaire que l’être humain se protège des chocs psychologiques et psychiques de grande envergure, mentalement, astralement, contre ces intelligences, et ce pour ne pas être magnétisé. Pour ce faire, il faut qu’il soit réellement dans son esprit, dans sa propre énergie créative, dans sa propre identité*². Il faut qu’il puisse aller à l’intérieur de lui-même sur le plan mental, afin de savoir comment vivre cette expérience par rapport à ces intelligences. En comprenant que c’est lui-même, dans sa fusion de conscience, qui doit faire le partage des choses, il a le pouvoir de ne jamais se laisser imposer de l’extérieur quoi que ce soit !     

* Cf. Les acteurs de la Matrice falsifiée.

Cf. Le mode de réalisation unifiée & Le chemin alchimique.

 

Du rôle des influences extérieures

Le domaine des influences est sans conteste le domaine le plus important pour l’être humain. Il constitue en effet le domaine le plus pernicieux, le plus dangereux, le plus retardataire qui soit. Si l'on pense généralement qu’il y a des bonnes influences et des mauvaises, en fait elles sont toutes mauvaises ! Pourquoi ? Parce que si elle est considérée comme bonne, l’influence affaiblit notre volonté, détruisant l’aptitude interne que nous avons à découvrir en nous-même la Vérité*.

Il y a différentes sortes d’influences fondamentales dans le cosmos. Il y a ce qu’on appelle les influences planétaires, ressenties comme par exemple les effets de la Lune sur l'humeur. Il y a les influences de programmation, établies pour l’évolution de l’être humain par des Intelligences qui se situent sur les plans invisibles supérieurs du Cosmos. Et il y a les influences immondes, en provenance des plans astraux, qui pénètrent en général l’être humain la nuit lorsqu’il dort, injectant différents programmes mortifères*². Elles se servent du fait que l’être humain, ayant la plupart du temps un esprit totalement ignorant des autres mondes, est prisonnier de pensées limitées au corps astral. Aussi sa vision astrale débouche sur un hypnotisme total, favorable à la programmation*³. Seul l'espace en soi qui vibre est connexe avec les Forces de l’évolution qui permettent d’être libre, de développer un jugement juste et d’avoir un discernement total qu’elles que soient les opinions émises. Mais si ce n'est pas le souci de l’être humain matérialiste, qui ne s’occupe que des choses du monde terrestre, celle/celui qui s’intéresse aux choses de l’esprit doit apprendre à faire preuve d'extrême prudence dans la relation mentale avec les Intelligences trans-dimensionnelles, toutes loin s'en faut n'étant pas bien disposées à son égard.

Au final, l’être humain ne peut ni ne doit être influencé. S'il a eu besoin tout au long de son évolution de la venue sur Terre de grands avatars enseignants, de religion et de philosophie, il doit à présent devenir totalement autonome, afin de ne jamais éprouver le besoin d’être enseigné ou influencé de quoi que ce soit par un autre être humain. Et pour ce faire, il doit être dans son Intelligence Universelle.

* Cf. Qu'est-ce que la Vérité ?

C'est par exemple la suggestion à la drogue, qui fait partie des influences ahrimaniennes avec pour objectif de détruire la volonté chez l’être humain. C'est pourquoi les sociétés secrètes se sont toujours servies des drogues pour créer des états de conscience différents et avoir des expériences transcendantes (Cf. Contrôle mental). Or un être humain qui prend de la drogue ne peut pas entrer en contact avec le Supramental, seulement avec des formes d’intelligences sur d’autres plans qui ne sont pas toujours les plus plaisantes…

*³ Ainsi par exemple le bébé dans une crèche, totalement sous l’influence des êtres autour de lui parce qu’il n’a pas les instruments qui lui permettent d’appliquer son individualité à son environnement.

 

Le véritable Jeu du Vivant

Si la 3ème densité de réalité constitue le terrain d'expérimentation des consciences de 4ème densité en mode " Service de Soi ", l'humain étant leur proie relais, ce dernier peut par son éveil de conscience et l'exercice de son libre arbitre s'en extraire. La condition est qu'il réussisse son processus d'individuation* en cessant le jeu de la dualité mortifère : "J'aime/Je n'aime pas, Pour/Contre telle idéologie, telle action, telle personne". Tant qu'il répond à la 4ème densité prédatrice qui le gouverne à travers son inconscient et à ce qu'elle attend de lui - le dévouement ou la rébellion, le patriotisme ou le terrorisme, la paix ou la colère, l'accusation ou la défense... -, il lui est impossible de sortir de ce jeu de la matrice falsifiée entre le bien et le mal.

Or, à un niveau plus élevé de ce jeu d'échec sans issue, l'Esprit universel (le grand champ de conscience supra-astral) qui préside à partir de la fréquence de 5ème densité de réalité est scindé en deux parties, conformément à la loi de la dualité qui préside au fonctionnement du Vivant : la densité "Service d'Autrui" et la Conscience "Service de Soi". Toutes deux président ainsi à l'ordonnancement de la 4ème dimension de réalité. Au-delà, il n'existe plus de force prédatrice, celle-ci étant plafonnée en 5ème densité afin de maintenir dans l'Univers un équilibre entre entropie et création. Ceci entend que la prédation ne s'épanche qu'en 4ème densité de réalité, voyant ses acteurs s'affronter par "guerres galactiques interposées", dont bien sûr celle concernant la galaxie de la Voie lactée dont fait partie la Terre. L'unique but poursuivi est de sauvegarder la matrice entropique établie pour maintenir leur souveraineté sur Terre, leur terrain de jeu à même de leur assurer leur nourriture de subsistance*². C'est la raison pour laquelle la conscience "Service de Soi", qui ne s'exprime que pour gagner ou perdre, ne peut jamais être créatrice du jeu du Vivant, incapable de générer des mondes. Les prédateurs constituent un genre de parasite - un symbiote - pour les mondes subalternes qu'ils occupent par la force, alors même que les êtres humains dotés d'une âme (environ la moitié de l'humanité) possèdent par ce canal cette capacité de fabriquer leur échiquier, d'en ériger des règles, et de procéder à l'arbitrage nécessaire à son équilibre harmonieux.

Ils doivent comprendre que la force de l'Esprit (autrement nommée force lumineuse) ne peut intervenir spécifiquement et directement dans un monde de 3ème densité, tenue de respecter le libre arbitre de l'humain, fruit de sa Création, alors même que cette loi universelle de non-ingérence dans "les affaires des Mondes" établis est une règle que le corpus prédateur de 4ème densité outrepasse allègrement. Elle se contente de n'être que le témoin, l'observateur ou le médiateur, quitte dans des cas extrêmes à s'incarner sous forme humaine ("les grands avatars") afin de corriger le déséquilibre amorcé par la nature entropique des prédateurs.

C'est pourquoi, tant que l'être humain ne s'éveille pas à Qui Il Est vraiment - sa nature divine première -, et ce grâce aux énergies de l'Onde de changement intervenant à un moment précis de la cyclicité des temps*³, il demeure un pion sur l'échiquier entropique, dépossédé de son pouvoir de création et appelé à tourner dans la roue d'infortune (Samsara en sanskrit), jusqu'au moment où, peut-être, la souffrance découlant de son bagage karmique sera telle qu'elle impulsera en lui le réveil solaire salutaire. Il pourra alors préparer son changement de densité de réalité en choisissant la voie du "Service d'Autrui", et jouer dans sa Nouvelle Terre une fois atteinte (le passage du trou de ver) à un jeu totalement différent, simplement pour le plaisir de jouer, de s'entraîner, de s'exercer avec des pions, qu'ils soient noirs ou blancs.

Le jeu d'échec n'est ainsi qu'un moyen pour lui d'exercer son intelligence et son discernement, et de développer sa Conscience créatrice lorsqu'il se met enfin à en rechercher la notice explicative, soit l'apprentissage de la Connaissance dans le respect des règles du jeu de l'Univers...

* Cf. Fonctionnement du corps biologique.

Cf. Comprendre et apprivoiser la prédation.

*³ Cf. Fin de cycle (1) Fin du temps ou fin des temps ?

 

Jean-Baptiste Carpeaux (18271875), sculpteur, peintre et dessinateur français.
Jean-Baptiste Carpeaux (18271875), sculpteur, peintre et dessinateur français.

La sculpture représente Ugolin della Gherardesca (1220/1289), comte de Donoratico, officier et homme politique italien du Moyen Âge, et qualifié de tyran de Pise au XIIIe siècle, en compagnie de ses quatre enfants. Pour châtiment de sa non-humanité - le Non-Être -, il fut enfermé dans une tour avec ses enfants et petits-enfants, condamné, par l'archevêque Ruggeri Ubaldini, à y mourir de faim. Poscia, piú che 'l dolor, poté 'l digiuno ("Puis, la faim fut encore plus forte que la douleur")...

Cette œuvre fait référence au 33e chant de l'Enfer de la Divine Comédie du poète et écrivain florentin Dante Alighieri (1265/1321), qui exprime les passions les plus violentes suggérées à l'être humain inconscient par la prédation astrale qui le domine et l'asservit. Chaque enfant représente une étape vers la mort, autrement dit un péage de souffrances aux forces ténébreuses pour avoir abondamment désiré et consommé les tentations sulfureuses de l'avoir, du pouvoir et du paraître !

 

De la Mort, marque de la vie psychique gouvernée par la prédation astrale

Si l'être humain doit impérativement apprendre à réorganiser sa vie mentale, c'est parce qu'elle est contrôlée par les entités de l'astral, ces intelligences trans-dimensionnelles se situant en 4ème dimension de réalité et qui composent le "Royaume de la Mort". Ces intelligences, indispensables au fonctionnement de Ce Qui Est, l'Univers, font partie d'un monde varié, qui se hiérarchise par gradations successives du haut astral (+) au bas astral (-), ce dernier étant l'expression de ce qu'il y a de plus vil et de laid. Nous en retrouvons la manifestation par effet miroir dans la vie terrestre.

Ce plan intermédiaire qu'est la vie terrestre (la 3-D) constitue ainsi l'expérience du Jeu du Vivant proposée à l'être humain, celui-ci constituant par ses hauts et bas émotionnels la nourriture de ces entités, qui lui offrent la possibilité de gagner sa Liberté à condition qu'il fasse usage de son Intelligence divine, qualité rare chez la plupart tant les artifices de l'illusion prédatrice l'égarent à travers son mental égotique. Tant qu'il ne réagence pas sa manière de penser, par la dissociation totale de son mental et de son émotionnel, il ne peut vivre la fusion avec l'Esprit universel - la supraconscience -, ne pouvant distinguer le Réel du factice. Il demeure totalement polarisé entre vérités et mensonges. En n'y parvenant pas, il est condamné à revivre le cycle de la Mort, s'encombrant de mémoires, fruits de ses expériences viciées qui le lestent et le plombent par les alter constitués (la "fractalisation" de son âme sous forme d'entités énergétiques qui, résonnant en lui, alimentent ses peurs). Seule sa reliance à sa supraconscience permet de couper les liens vibratoires de son esprit et, de cette manière, de redevenir Libre à Ce Qu'il Est vraiment afin de créer des pensées nouvelles comme Créateur à part entière...

Il comprend alors que le cosmos est une organisation de galaxies et de planètes, ayant chacune sa vie propre sous forme d'entités vivantes. Il comprend que celles de la galaxie solaire La Voie lactée appartiennent aux Forces de l'Ombre et des Ténèbres. En comprenant ces lois qui gouvernent l'Esprit, il peut envisager de s'émanciper de leur tutelle prédatrice afin d'évoluer en quittant la vibration plutonienne pour la vibration solaire, non celle du soleil extérieur source d'illusion, mais celle du Soleil intérieur. Car la guidance du Soi supérieur lui permet de revenir au stade premier de l'atome d'hydrogène - le microcosme -, le point d'impulsion originel, seul à même par ce retour à l'unité primordiale de lui permettre de franchir le trou de ver (ou noir), ce corridor d'énergie appelé dans les saintes écritures le ''chas de l'aiguille'', et de quitter le macrocosme limité de sa galaxie solaire d'appartenance qui l'illusionnait jusqu'alors par ses promesses d'extension à l'infini (le mythe du progrès) ! Il a cessé d'être un être borné, conduit par ses polarités électro-magnétiques à aller sans cesse et encore vers la fausse lumière extérieure, et qui l'égare dans les limbes du Temps...

 

L'effondrement du marché boursier, ou le présage d’Hindenburg

Lorsque l'indicateur VIX, dit indice de la peur, au même titre que celui du Baltic Dry Index (coût du fret ou transport), clignotent rouge, toute la planète finance commence à trembler, de peur que le krach (chute incontrôlable des valeurs) arrive rapidement. Ils indiquent que la volatilité monte, ce qui veut dire que les mouvements s’amplifient sur les marchés et qu’ils deviennent moins prévisibles et plus violents, beaucoup plus erratiques. Lorsqu’il y a un krach, le VIX est toujours très haut. Lorsqu’il y a une correction sur les marchés, le VIX repart toujours à la hausse.

VIX en hausse, pétrole en baisse, marché qui cahotent, et Baltic Dry indix qui éternue… les indicateurs virent progressivement tous au rouge. Ils traduisent ce qui est nommé Hindenburg Omen en anglais, Omen signifiant augure, présage, indicateur technique créé par le mathématicien américain devenu professeur de physique James R. Miekka, décédé en 2014. Cet indicateur fonctionne à partir d’une divergence. Dans un contexte "normal", les règles de la moyenne s’appliquent, voyant normalement lors d’un mouvement de hausse tous les titres monter plus ou moins rapidement de manière concomitante. Lorsqu’il y a divergence, les titres marquant des plus hauts sont contre-balancés au même moment par une quantité significative de titres marquant des plus bas. C'est un gros problème. Cet indicateur a été ainsi baptisé en référence à l’accident du dirigeable allemand du même nom, en mai 1937. Ceci explique que le déclenchement de cet indicateur statistiquement très éprouvé, peu avant toutes les dernières grandes crises, lui confère un caractère prédictif relativement sombre. Appliqué au contexte économique actuel, celui de taux d'intérêt très bas, les actions se comportent comme des quasi-obligations, s’appréciant d’autant plus qu’elles versent de gros dividendes et qu’elles sont "trop grosses pour faire faillite", voire qu’elles ont un "princing power", autrement dit une capacité à faire le prix sur leur marché. C'est le cas des sociétés Apple, Amazon, Air Liquide... , entreprises solides, mondialisées, résilientes et robustes, ne cessant d'augmenter en marquant chaque jour de nouveaux plus hauts. Elles sont contrebalancées par des actions d'entreprises qui, parce que fragiles, sont délaissées à juste titre par les investisseurs. Il en résulte une divergence naturelle qui se créée dans les performances des différents groupes d’actions. Aussi, tant que les taux sont bas, que les banques centrales interviennent et que le pétrole est sous contrôle, il n'y a pas de raison d'affronter un accident majeur (faillite retentissante d’une banque, problème géopolitique majeur type guerre dans le Golfe). Mais dès qu'un de ces paramètres changera, alors l'explosion se produira !

Par extension au fonctionnement de la civilisation humaine actuelle, cet indicateur indique que l'écart sans cesse croissant des richesses entre les plus nantis et les autres, conduit à l'inévitable collapse civilisationnel, celui de la corruption d'esprits gouvernés par le système prédateur *².

* Sur le plan mondial, 26 personnes possèdent autant de richesses que la moitié la plus pauvre de l’humanité, soit 3,8 milliards de personnes (ils étaient 43 en 2017), la fortune des milliardaires ayant augmenté de 900 milliards de dollars en 2018 (équivalent de 2,5 milliards par jour). En France, les Français les 10 % les plus aisés touchent en moyenne 6,7 fois plus que les 10 % les plus pauvres (Insee, 2 016), le 1 % le plus fortuné de notre pays possédant 17 % de l’ensemble du patrimoine des ménages les 10 % les plus riches. L’accumulation engendre une reproduction des inégalités de génération en génération. En bas de l’échelle, cinq millions de personnes pauvres vivent avec moins de 855 euros pour une personne seule (Insee, 2016).

Cf. Prophétie du changement & Fin de cycle (1) Fin du temps ou fin des temps ?

 

Héros de sa vie, la croyance illusoire dans la Matrice falsifiée

Selon le psychologue et psychanalyste autrichien Otto Rank (1884/1939), le premier besoin de l’homme ou de la femme est d’être un "héros de sa vie", que ce soit dans son pays, sa ville, sa rue, sa maison, sa famille, sa chambre, ou tout simplement dans son imagination. Il faut qu’il soit quelque part le héros de quelqu’un ou de lui-même, autrement dit un sauveur. Si tel n'est pas le cas, il se sent alors forcément submergé de sentiments négatifs. C'est pourquoi depuis la nuit des temps, les hommes se racontent des histoires, des mythes, où des héros affrontent des monstres, des dragons, des épreuves en tout genre, y compris des épreuves intellectuelles, telles les énigmes posées à Œdipe par le Sphinx. Il ne cesse de se projeter, dans la littérature comme au cinéma, pour suivre les histoires de héros dans leur lutte contre les méchants, tout comme dans la vie " réelle " à travers les aventures tout aussi fantaisistes des politiciens "grands hommes", sportifs, têtes couronnées et célébrités diverses. Ces histoires font battre son cœur, procurant la joie la plus intense, et lui faisant momentanément tout oublier, ses déveines comme ses désespoirs. Avoir un bon ennemi est indispensable pour devenir un héros, car il lui révèle sa force, son habileté, son intelligence, son courage. Hercule/Héraclès ne serait rien sans ses douze travaux, tout comme Ulysse sans ses épreuves initiatiques lors de son voyage de Troie à Ithaque.

S'il est indéniable que l'être humain doit apprendre à maîtriser ses émotions et dominer ses frustrations dans les épreuves qu'il rencontre sur son chemin de vie, il doit comprendre qu'il est son propre ennemi à travers son double ténébreux qui le leurre, manipule, illusionne et asservit, l'autre - l'ennemi - n'étant que son effet miroir destiné à lui renvoyer sa propre corruption. De la même façon, le combat de sa vie n'est pas la rencontre avec la maladie ou la mort, tel qu'enseignée par le philosophe Michel Eyquem de Montaigne (1533/1592) qui disait avoir passé toute sa vie à se préparer à mourir : "Philosopher, c’est apprendre à mourir." Il doit tout au contraire réussir l'épreuve de la Sagesse, divine s'entend car placée sous l'égide des Forces lumineuses, telle qu'enseignée par le philosophe grec Socrate. Elle consiste à n'avoir plus peur de rien, permettant de rencontrer la mort (l'archonte prédateur logé en lui) sans trembler car guidé par l'Esprit (la supraconscience), afin de lui reprendre son essence existentielle souveraine pour ascensionner dans une nouvelle dimension de réalité et quitter le royaume des morts-vivants. Cette épreuve dite du Feu* consiste en l'épuration de ses mémoires civilisationnelles viciées qui résonnent en lui, et qui, réalisée, lui permet de franchir le trou de ver salvateur...

Elle sert de trame à la saga Harry Potter, notamment dans le film "Harry Potter et la coupe de feu" (2005).

 

La science nous sauvera-t-elle ?

Il y a deux grandes illusions chez l'être humain placé à travers son égo-mental sous la férule des forces involutives de l'Astral.

La première est de penser que le paradigme dans lequel nous vivons, c’est-à-dire notre présent, a toujours été, est, et sera toujours. Si cette idée de permanence est juste au sens universel - l'éternel Présent -, elle est fausse dans le fonctionnement cyclique de la réalité civilisationnelle terrestre découlant du temps relatif, chronologique, expliquant qu'elle induit très régulièrement aussi bien les peuples que les décideurs en erreur. C'est pourquoi pour les doctes penseurs il est admis comme indispensable de se garder des dangers de la permanence, et identifier les insoutenabilités des systèmes qui mènent inévitablement à l’effondrement des paradigmes et à l’émergence de nouvelles représentations collectives. Le passage d’un paradigme à un autre nécessite forcément un état transitoire, dit de crise, le monde de demain pouvant ainsi être meilleur que celui d’aujourd’hui. Ceci explique que ce qu’il nous faut penser, c’est les contours d’un paradigme économique soutenable en termes environnementaux, mais aussi en termes sociaux et humain. Il en découle qu'il ne tient qu’à nous tous de porter une représentation du monde, une manière de voir les choses, un modèle cohérent du monde qui repose sur un fondement défini.

La seconde, prolongation de la première, est le mythe du progrès*, autrement dit celui de l'évolution continue de la science et de l'innovation technologique, soit le transhumanisme civilisationnel*². Sa confiance dans le génie humain, capable de régler tous les problèmes en cours ou à venir, le conduit à penser que, par la puissance sans cesse décuplée d’internet et de l’intelligence artificielle, l’homme "augmenté" permettra un avenir forcément radieux. Non seulement cette croyance "Tour de Babel" en la linéarité illimitée du temps est une illusion, mais les performances passées ne préjugent en aucune façon des performances à venir tant sur le plan environnemental que sur les plans économique et énergétique. 

La science, pas plus que la religion, ne viendra à bout de tous les problèmes, quelle que soit la force des prières, incantations, espoirs, convictions ou certitudes ! La réalité terrestre, dimension de conscience limitée, est par nature même involutive. Sa caractéristique est l'exploitation des ressources terrestres à des fins mercantiles, le progrès technique n'étant là que pour en permettre l'optimisation. Cette exploitation est basée sur un rapport de forces entre dominants et dominés, qui inéluctablement passe par la guerre, au sens propre comme figuré, et son cortège de traumas psycho-émotionnels servant de nourriture aux entités prédatrices du champ astral, leurs relais terrestres y trouvant matière à exprimer et satisfaire leur psychopathie*³, autrement dit leur conscience dégénérée. Le reste n'est que fables et fariboles humanistes pour des êtres humains recherchant inlassablement à l'extérieur ce qui gît en eux, la Connaissance, le Savoir de Ce Qu'Ils Sont, l'Intelligence ! Et le moins que l'on puisse dire est que le progrès, en ce début du XXI° siècle, consiste toujours et encore à s’entretuer, désormais à coup d’armes atomiques et de missiles à l’uranium appauvri guidés via un satellite GPS. Aussi parler d'exquis progrès technique relève de l'incongruité pathologique, celle du déni et de l'aveuglement grossier.

Un simple constat géopolitique éclaire la lanterne obscurcie de l'observateur humaniste naïf, incapable de voir la marque de fabrique de sa dimension de réalité viciée, car placée sous la coupe de l'affrontement constant entre le camp des pseudos "bons" contre celui des pseudos "méchants". En 1991, le déclenchement de la première guerre du Golfe par les bons américains et leurs alliés visait à protéger le pétrole saoudien et koweïtien des méchants Irakiens. En 2001, l’intervention en Afghanistan des mêmes gentils  a permis de contrôler les flux et autres pipelines devant passer par ce pays également frontalier de l’Iran. En 2003, la seconde guerre du Golfe a permis (enfin...) d’apporter la soi-disant démocratie aux Irakiens, de neutraliser leurs soi-disant armes de destruction massive, et bien sûr de mettre main basse sur leur pétrole. Puis, en 2011, le camp du bien, autrement dit celui des consommateurs frénétiques de pétrole, a entrepris de protéger les populations libyennes contre elles-mêmes en renversant leur sanguinaire tyran après pourtant lui avoir offert honneurs et accolades, tout particulièrement lors des fastes de sa visite parisienne, le tout chanté de manière lyrique par de chantres philosophes d'opérette. Cette fois-ci, les gentils Anglais et Français sont à la manœuvre, leurs bombardements conduisant leurs multinationales BP et Total à contrôler le pétrole libyen. Plus récemment, le Venezuela, bien sûr dirigé par un méchant, subit des sanctions de l'ami américain pour le bien de sa population, de la démocratie et du monde libre… pas du tout pour son pétrole. C'est le même bon ami américain qui, assis sur d’énormes réserves, a lancé l’exploitation de ses gaz de schistes fortement polluants et non rentables chroniquement, au moyen de dizaines de milliards de dollars dépensés par les marchés boursiers et conduisant à leur déséquilibre. Toujours dans le domaine de la baguette sanction de l'ami américain, l’Iran, qui veut son arme atomique pour protéger ses réserves de pétrole et son indépendance. Il en est de même avec la Russie et l’Ukraine, pays par lequel des gazoducs et oléoducs doivent transiter pour alimenter l’Europe, et peut-être avec la Turquie, compte-tenu de la montée des tensions avec Chypre sur fonds de forages sauvages turcs en eaux troubles chypriotes (le Conseil de l’UE a de son côté suspendu le dialogue à haut niveau avec la Turquie). Et, pendant ce temps, il est demandé aux constructeurs de voitures d’accélérer le passage aux moteurs thermiques et électriques, le géant pétrolier Total décide d’investir dans les forêts, et l’Arabie Saoudite lance son plan "vision 2030", sa production de pétrole s’effondrant pour être estimée à 0 en... 2030.

Que faut-il de plus aux énamourés du progrès démocratique pour comprendre que nous sommes parvenus à une impasse, qui ne se règlera pas en une décennie par la magie scientifique de nos soi-disant brillants et compétents ingénieurs ? Si l'effondrement n'a pas encore eu lieu, c'est en raison des banques centrales occidentales (américaine et européenne), qui financent la poursuite du jeu mortifère au moyen de la planche à billets, les milliers de milliards dépensés par le camp du bien contre les méchants (barbus, terroristes, fondamentalistes, gauchistes, russes, etc). La sirupeuse démocratie n'est qu'un prétexte, la maîtrise des ressources énergétiques étant la seule raison d'être de cette guerre "moderne" visant à garantir ce sang vital - au propre comme au figuré - de l'économie mondiale. C'est pourquoi lorsqu'elle manque, elle est volée à ceux qui en ont encore, pour des prétextes fallacieux qui n'honorent pas celles et ceux qui continuent stupidement à croire aux promesses de leurs dirigeants bonimenteurs, car engoncés dans le déni et l'utopie du rêve humaniste des (fausses) Lumières. C'est ainsi qu'une guerre contre l’Iran serait très "profitable" aux États-Unis (la hausse des cours du pétrole enrichirait l’industrie du gaz de schiste américain passablement endettée, ce qui sauverait Wall-Street, ferait dérailler la Chine, affaiblirait l’Europe et le Japon), à l’Arabie-Saoudite et à Israël pour leur sécurité. Dans un tel monde en ruine, seuls les États-Unis en sortiraient en position de domination !

S'en remettre à autrui, et tout particulièrement au plus haut niveau à l’État, national comme supranational, sinon à Dieu pour l'esprit enfiévré mystique, constitue une totale impasse existentielle. Celui-ci est non seulement prisonnier mais complice actif des lobbys et intérêts financiers, autrement dit du système profondément vicié à la base. Ce n’est ni bien ni mal, c’est ainsi. Il ne peut être réformé, si ce n'est sur les formes, pour l'apparence. Aussi, seul son recentrage intérieur, et le nettoyage profond de toutes ses mémoires constitutives de ses croyances polluées, permettent d'éradiquer sa dépendance à l'égo-mental névrotique et psychotique, pour accéder à sa supra-conscience, la guidance éclairée de sa vie. L’effondrement a déjà commencé, il déroule sa partition déjà réalisée. Le seul espoir est que nous sommes la solution, la clé d'évolution. Le trésor est en nous, une fois le dragon archontique terrassé, ce qui suppose de le regarder sans peur, tel qu'il est, autrement dit tel ce que nous sommes !

* Cf. Évolution de civilisation (3) Mythe de la modernité, risques et Lois d'évolution universelle.

Cf. Conscience du XXI° siècle.

*³ Cf. Les psychopathes qui nous gouvernent.

 

"Le Triomphe de la Mort" - Oeuvre de Pieter Brueghel ou Bruegel dit l'Ancien, peintre et graveur de Brabant-Septentrional (1525/1569). Cliquer pour agrandir.
"Le Triomphe de la Mort" - Oeuvre de Pieter Brueghel ou Bruegel dit l'Ancien, peintre et graveur de Brabant-Septentrional (1525/1569). Cliquer pour agrandir.
“La mort soufflant des bulles” - Oeuvre de Johann Georg Leinberger (vers 1470-1480/1531). Cliquer pour agrandir.
“La mort soufflant des bulles” - Oeuvre de Johann Georg Leinberger (vers 1470-1480/1531). Cliquer pour agrandir.

 

Une fois encore, les grands mythes nous livrent les clés de la "fin" de l'histoire en cours, en l'occurrence celle d'une boucle de la cyclicité entropique. Dans l'Odyssée, épopée épique de la Grèce antique attribuée à l'aède (poète) Homère, nous retrouvons un monde similaire au notre. Quand Ulysse revient à sa maison d'Ithaque, à l'issue du parcours initiatique contribuant à sa profonde transformation intérieure, il la trouve occupée par tous ces psychopathes gouvernant, les "soupirants" du Féminin sacré réprimé (Pénélope), consommant, faisant la fête, buvant, rustres et odieuses personnes. Lui-même, transformé par la déesse de la sagesse protectrice Athéna, revient comme un étranger à ce monde du paraître ostentatoire désacralisé, en mendiant, traité comme un clochard, insulté, recevant des choses jetées à sa figure…

Cela ressemble bel et bien à ce que fait notre monde aujourd’hui, les pauvres et miséreux étant rudement et cyniquement oppressés. C'est comme apocalyptique. Les individus commençant à se comporter comme ça, c’est comme s’ils amenaient la destruction sur leur propre tête, la déesse protectrice conduisant alors le feu sacré cométaire destructeur* ! Car une société sans créativité est condamnée à périr tôt ou tard. Quand les principaux postes de pouvoir de cette société, du gouvernement, de l’industrie, des affaires sont tenus par des pathocrates, le cycle dégénérescent commence.

* Fin de cycle (2) La guidance éclairée de sa vie.

 

La centricité, clé d'accès à la quatrième dimension

La 4ème dimension est une intuition intellectuelle humaine, qui permet à l’être humain de réaliser qu’il y a quelque chose d’autre en dehors des 3 dimensions de l’espace (hauteur, largeur, profondeur). Si elle est valable en tant que concept, elle existe également en tant que réalité directement liée à l’infinité, mais sans être compréhensible au niveau humain. La raison est que l’être humain pense, et que sous la coupe du corpus prédateur qui la domine, la planète Terre est totalement contaminée par sa pensée et ses émotions, servant ainsi de miroir réfléchissant à la corruption. Or, pour comprendre la 4ème dimension, il faut être dans un état de réception vibratoire au niveau du cerveau - état dit du "point zéro" -, autrement dit de l'état de neutralité psycho-émotionnelle. De la sorte, le cerveau sert à véhiculer l’énergie nécessaire en provenance de la supraconscience, l'Esprit universel, pour comprendre les relations qui existent dans cette dimension.

C'est pourquoi la 4ème dimension, si elle constitue une infinité de possibilités, celles-ci sont instantanément arrêtées pour permettre une concrétisation de l’expérience dans la matière viciée nécessaire à l'évolution de l'être humain. Cette expérience fait qu'en l'état, il ne peut pas encore voir ou comprendre que tout ce qui existe en dehors de la conscience humaine ne peut lui parvenir que par l’intuition. Mais celle-ci est trop lente, pas assez compacte donc partielle, parce que le corps mental humain n’est pas encore par son manque de centricité* en harmonie vibratoire totale avec le Supra-mental qui est la Conscience Universelle ou Cosmique. Il est de ce fait assujetti à la forme, qui exerce une grande emprise sur l’émotion de l’être humain, brouillant son esprit et empêchant son intellect de comprendre d’une façon objective et totalement détachée de lui-même.

Pour que l’être humain se conscientise dans le Supra-mental, il doit dépasser petit à petit ces formes qui siègent dans son mental comme dans ses émotions. C’est en effet lorsqu’il apprend à dépasser ces formes que sa centricité se développe, qu’il devient de plus en plus sûr d’être sûr, et que la conscience, c’est-à-dire le contact avec les plans supérieurs, se raffermit, devenant précise et, éventuellement, amenant l’être humain à pouvoir regarder dans l’avenir, à connaître les autres humains, et à se connaître parfaitement. Les fausses formes, les fausses émotions, les pensées subjectives, tout ce qui est négatif, tout ce qui retarde l’être humain, tout ce qui est fondé sur la crainte, doit être dépassé, et ce dépassement se fait au fur et à mesure que l’être humain en prend conscience. Il acquiert pas à pas la force pour briser ces formes, les rompre, les diminuer, diminuer leur emprise sur lui. Il rencontre inévitablement sur ce chemin la souffrance, celle de cette transformation (déconditionnement douloureux par l'abandon de ses croyances et de ses attaches matérielles, morales et affectives*²), métamorphose qu'il doit vivre au fur et à mesure qu’il entre en contact avec des niveaux de plus en plus puissants d’énergie. Alors seulement la chrysalide pourra devenir papillon !  

Cf. L'état de cohérence, voie de sa liberté.

*² L'hystérie émotionnelle à propos de "l'affaire Vincent Lambert" en est représentative entre les "pour"  et les "contre" d'une fin de vie non naturelle !

 

De la leçon philosophique à la décadente modernité

Qu'est-ce que le changement, si ce n'est la constante adaptation au présent, par essence intemporel puisque échappant aux mémoires du passé et à l'illusoire projection fantasmée. Nul besoin de progressivité vers un futur enchanteur telle que martelée par les maîtres illusionnistes entropiques, le mouvement de vie étant spiralé, toujours constant, toujours changeant*. C'est bel et bien l'enracinement dans la Tradition - ce qui a été, est, et sera - qui permet la constance de Ce Qui Est, son impermanence, autrement dit la totalisation présente de l'histoire. C'est la progressivité, telle qu'enseignée depuis la nuit des Temps par la science de la Sagesse, qui initie sans cesse et encore l'être humain expérimentateur de la matière viciée à l'indispensable humilité face à l'Œuvre intemporelle, autrement dit à la relativité des choses, et non à sa projection vers un futur soi-disant parfait à atteindre, le "cybermonde" transhumaniste.

Ce ne sont pas les événements politiques, sociaux et sociétaux, tant assénés par les trompettes et plumes médiatiques qui constituent les préoccupations quotidiennes de la conscience collective, mais bel et bien les "vieux" archétypes de la Sagesse ancestrale nommés initiation, rituel, spirituel, communauté, etc., que le progressisme moderne de l'orthodoxie désuète régnante a décrété dépassés avec morgue et dédain par ses sbires incultes déclamant et officiant. Ils sont les seuls remparts au virtuel désacralisé de la cyberculture, qui ne fait exister le réel qu'à partir de l'irréel quantitatif célébré par les boutiquiers et autres marchands du temple vampires, la raison souveraine s’achevant inéluctablement en un rationalisme morbide. Le virtuel n'est rien d'autre que le savoir collectif issu de la Tradition, des us et coutumes antiques, constitutif de la supra-conscience, celle qui permet au "Je" de se transcender en un Tout autrement plus puissant.

C'est pourquoi la philosophie du progrès, autrement nommée la postmodernité, n’est rien d’autre que la synergie entre le présumé archaïque et la technologie, soit la démultiplication des effets sociétaux nourris de l’apport de la Tradition exhaussé par les potentialités de la technologie de pointe. C’est leur conjonction qui est à même de susciter un imaginaire alternatif à celui qui a fait la "modernité", le culte de l'individualité narcissique et du communautarisme bien-pensant, et de (re)dynamiser un ordre symbolique que l’on avait cru suranné alors qu'il est intangible à Ce Qui Est. N'est-ce d'ailleurs pas cet "être-avec" que l’on retrouve dans la "co-location", le "co-voiturage", le "co-working" et autres déclinaisons du cum ("avec" latin) qui sont au cœur de la reliance postmoderne avec Ce Qui Est, soit la fidélité à l’origine et le secret de la proximité.

Tel est le sens de la démarche initiatique, celui de revenir sans cesse et encore à l’initial, à l’origine, afin de transmettre par l'interaction entre la raison et les sens la clé d'accès au Temple sacré aux générations bâtisseuses de la nouvelle Terre, une fois l'indispensable transmutation alchimique intérieure réalisée*². Alors seulement le destin, débarrassé de ses promesses fallacieuses et de ses transcendances abstraites - religieuse, politique, scientifique, philosophique, économique - peut redevenir la conquête du présent, soit le passage du Moi au Soi, permettant à l'âme personnelle de fusionner avec l'Esprit universel souverain afin de réintégrer l’Âme du monde.

* Cf. Fin de cycle (1) Fin du temps ou fin des temps ?

Cf. Le chemin alchimique.

Inspiré des travaux du sociologue Michel Maffesoli.

 

Pour réussir à long terme dans la vie, il faut être très honnête et transparent, et ce, dans tous les domaines de sa vie. Pourquoi? Parce que la malhonnêteté finit toujours par nous rattraper à court, moyen ou long terme. En fait, l'intégrité est la fondation sur laquelle toutes les autres valeurs sont bâties. Personnelle, c'est-à-dire face à soi-même, c'est elle qui permet la crédibilité face aux autres, et octroie la virtuosité de la vertu amenée à être reconnue par tous. Alors seulement pouvons-nous être conduit aux plans supérieurs d'ÊTRETÉ.

 

"Ce qui est mauvais ici-bas … est bon là-haut.

Tout est là.

Les forces dévastatrices ne sont pas à leur place.

C'est pour cela qu'elles détruisent.

Car il n'y a pas de destruction si tu les élèves.

Du poison – la guérison.

Du feu – la lumière.

C'est pour cette raison que l'homme est debout – il ne rampe pas.

 […]

 Car il n'y a pas de mal,

 Il n'y a que la tâche qui n'est pas reconnue.

 Son non-accomplissement te détruit.

C'est en cela que le mal est le berceau de la Joie.

 En vain vous fuyez le mal !

 Il n'y a pas de mal – éternelle question de l'homme ! – et personne ne le sait.

 […]

Tu accueilles en toi le mal

Et tu le transformes en bien.

 Car le mal n'existe pas,

 Mais seulement la Force non transformée."

Extrait de Dialogues avec l'Ange

 

 

 

La vraie thérapie, c'est à tout moment, en toutes conditions, et certainement pas guidée par quelqu'un que nous payons, mais par sa propre guidance supérieure qui place les expériences dont nous avons précisément besoin sur notre chemin.

 

 

 

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