Préalable

Un réel travail de libération n'a besoin d'aucune "technologie", d'aucun objet, d'aucune structure géométrique ou numérique, même s'ils peuvent faire partie de l'expérience par la compréhension de leur apport. Ceux-ci sont évidemment très attractifs pour l'être néophyte en soif de spiritualité et d'évolution, puisqu'ils contiennent de nombreux signes alchimiques et vérités cosmiques, et qu'ils proposent une solution extérieure de reconnexion magique, à première vue bien plus palpitante que de chercher la clé dans nos failles obscures.

Dans l'impossibilité de citer toutes les sources inspirantes, le lecteur est invité à mener ses propres recherches, tout particulièrement en se référant au blog www.mathematiques-spirituelles.com, son auteur ayant mené un travail exploratoire d'importance à partir de l’œuvre initiale d'Oskar Ernst Bernhardt, sous le nom d’écrivain Abd-ru-shin (1875/1941), intitulée "Dans la Lumière de la Vérité  - Message du Graal", et dont certains éléments sont repris dans la publication qui suit.

 

 

Symbolisme des nombres (1) Les neuf premiers nombres

 

Et si Darwin, qui ne connaissait rien à la cellule, à l'hérédité et à la génétique, s'était trompé ? Les découvertes les plus récentes dans le domaine de la biochimie démontrent sans conteste que les mécanismes de base de la vie sont le résultat d'une conception intelligente, et non d'une lente évolution empirique cellulaire, fruit de forces naturelles comme le hasard (mutation aléatoire) et la sélection naturelle, cette dernière ayant servi de base à nombre de scientifiques médecins psychopathes hier (l'Holocauste) comme aujourd'hui (l'obligation vaccinale) pour justifier l’eugénisme en utilisant l’idée darwinienne de "survie du plus apte" selon les critères définis en matière de santé publique par les autorités institutionnelles tout autant psychopathes aux commandes. Chaque créature biologique sur Terre est ainsi le fruit d'un processus vivant d’auto-assemblage par réplication génétique, l'ADN étant une nanostructure auto-assemblée .

Les mécanismes de bases de la vie étant de mieux en mieux connus, il apparait que les processus aveugles et non programmés ne peuvent rendre compte de l'apparition et du développement d'un grand nombre de mécanismes de base de la biochimie grâce auxquels la vie existe. Aussi le Vivant, comme toute technologie, serait le résultat d'une conception intelligente, à partir d'un ancêtre commun à tous les êtres vivants. Cette conclusion est basée sur les résultats les plus récents des sciences de la vie, et non pas sur leur négation comme c'est le cas chez les créationnistes, les fondamentalistes de "Dieu". Reste à savoir qui en est le "designer", l'architecte, le maître d'ouvrage comme le maître d’œuvre, qui, dans la maîtrise de son art, fait nécessairement appel aux mathématiques...

Cf. Michael J. Behe, professeur de biochimie états-unien, auteur de Darwin's Black Box : The Biochemical Challenge to Evolution ("La boîte noire de Darwin : le défi biochimique de l'Evolution") & The Edge of Evolution : The Search for the Limits of Darwinism ("Le bord de l'Evolution : la recherche des limites du darwinisme").  

 

"Le nombre est l’essence de toute chose", disait le philosophe grec présocratique Pythagore, entendant que les mathématiques sont le seul et unique véritable langage universel. En effet, des études mathématiques avancées, comme la maîtrise de l'algèbre géométrique (ainsi l'algèbre multilinéaire dit de Clifford qui est un objet associé à une forme quadratique), des nombres entiers, de la métrique indéfinie et des probabilités négatives, fournissent les clés qui ouvrent les portes entre les univers d'antimatière et de matière.

Cet enseignement recèle une profonde sagesse pour qui s'attache à découvrir le sens de la vibration que chacun recèle, capable alors de "révolutionner" la perception unidimensionnelle que nous avons de l’univers. Il existe en effet neuf Lois ou Principes numériques qui correspondent aux nombres entiers de 1 à 9, chacun ayant une signification* dans la structuration, l'organisation et le fonctionnement de l'univers, Ce Qui Est. La géométrie, qui n'est que l'expression de la Raison humaine - le rationalisme ou la rationalité -, permet de représenter chaque nombre. De la sorte, on sait expérimentalement ce qu'il est.

* Conformément à la Loi universelle de polarité, la signification est de nature positive (+), évolutive, comme négative (-), involutive.

 

Source : Travaux de Romain Lights www.sacredarithmetic.com
Source : Travaux de Romain Lights www.sacredarithmetic.com

La clé cachée de l'arithmétique et de la géométrie

Si le système de numération décimale permet d'écrire une infinité de nombres à l'aide de dix symboles appelés chiffres dont 0, il constitue une rupture d'harmonie dans la mesure où le 0 (zéro) symbolise le Tout à l'état primal, l'état plasmatique pré-densification, et non le néant comme trop souvent pensé (il n'y a pas de vide dans l'univers, si ce n'est apparent pour l'esprit étroit, limité !). C'est pourquoi l'harmonique de Ce Qui Est est produite uniquement par les neuf premiers nombres, leur chaînage - ou partition - conduisant à l'octave, l'harmonique supérieure, palier de remontée à la perfection unitaire (à l'image du solfège musical...). Ceci entend qu'après 9, la seconde harmonique est 19, la gamme de 1 à 9 étant à nouveau jouée -  11, 12, 13... - (et ainsi de suite : 29, 39...), participant ainsi de l'agrégation progressive du macrocosme au sein du microcosme, confinant à l'état plasmatique post-densification. Ainsi, dans cette matrice des fréquences, une toute autre symphonie du Vivant peut être jouée, nommée par la Tradition musica mundi (la musique des sphères)*, tout à l'inverse du système institutionnel codifié usité, qui voit par exemple le binaire 0 et 1 (les bits du codage informatique) cadencer l'aliénation de l'être humain à la machine et à l'espace-temps limité, et constitutif de la société transhumaniste*²...

Cette harmonique entre céleste et terrestre constitutive de l'espace-temps universel non falsifié*³  - le Temps-Espace - permet de comprendre comment la dynamique du mouvement énergétique crée les formes dans l'espace, chaque nombre étant ainsi dessiné géométriquement par le combiné du cercle (arrondi) et des lignes droites du triangle selon son positionnement aux intersections (Cf. hexagramme figure). Leur combinaison par effet miroir des deux triangles figurant respectivement l'espace (en rouge) et le temps (en bleu), place le nombre 9 (1/8, 7/2, 5/4), symbole de la cyclicité et du Tout accompli, au cœur du dispositif. C'est "l'âme du monde", telle que définie par Platon dans Timée qui voit le philosophe pythagoricien Timée de Locres exposer une réflexion sur l’origine, la nature du monde et les "médiétés" arithmétiques et géométriques en permettant l'harmonie, le scientifique croate Marko Rodin (1911/2007), découvreur des Vortex Maths, pensant de son côté que les chiffres 3/6/9 représentent un vecteur de la troisième à la quatrième dimension qu’il appelle un "champ de flux", soit une énergie de dimension supérieure qui influence le circuit énergétique des six autres points (1, 2, 4, 5, 7, 8). Elle est ainsi d'un point de vue musical composée de quatre octaves (on entend par octave le doublement des vibrations), une quinte et un ton : 2/1 x 2/1 x 2/1 x 2/1 x 3/2 x 9/8 = 27 (9) !

Il en découle que celle ou celui qui parvient à percevoir que le cadencement 3/6/9 constitue l'accès au vortex de franchissement des portes de l'espace-temps, possède alors la clé du langage propre à la création du Vivant dans toutes ses composantes !

* Cf. Évolution de civilisation (1) Le mécanisme de l'Univers & Fonctionnement de l'architecture du Vivant. Les fréquences du solfège sacré sont 174, 285, 396, 432, 528, 639, 741, 852, 963 Hz .

Cf. Conscience du XXI° siècle.

*³ Cf. La falsification de la réalité en 3-D. Le temps universel est par sa nature intemporelle "discriminant et variable". Pour le comprendre, nous pouvons le considérer comme un juke-box qui comporte de nombreux titres que nous pouvons choisir à notre gré, sans être obligé de les écouter dans l’ordre. Les titres sont toujours là, signifiant par là-même que les événements peuvent se produire dans un ordre aléatoire ! Ce qui fait qu’on ne peut percevoir le temps que de manière séquentielle est en l'état le bridage/restructuration de notre ADN.

 

Du Feu vivant

La "formule secrète" constitutive de l'énergie libre, le "Feu vivant", est nommée sous le nom de code initiatique de "Vril" par le romancier et philosophe anglais Lord Edward Bulwer-Lytton* (1803/1873) dans son roman sulfureux The Coming Race ("La Race à venir") paru en 1871, constituant une plongée dans un monde souterrain où habitent des êtres technologiquement très avancés qui ont réussi à se rendre maîtres du "fluide Vril", une sorte d'énergie facilement transportable sur des grandes distances et utilisée pour le bien comme pour le mal et à coté de laquelle notre bombe nucléaire n'est qu'un pétard de carnaval...
Cette énergie a été redécouverte pour partie à l'ère contemporaine notamment par l'inventeur Nikola Tesla (1856/1943) - voir image ci-dessous -. Elle repose sur la dynamique que permettent les propriétés spécifiques de ces trois nombres 3 6 9. En prenant par exemple
ces 3 nombres, en commençant par 3 et en le doublant (3 + 3 = 6 ; 6 + 6 = 12 ; 1 + 2 = 3), il n’y a aucune mention du 9 !

Peut ainsi se comprendre la raison d'être profonde du compas et de l'équerre, et de l'utilisation qu'en font les sociétés occultes à caractère entropique - l'asservissement des consciences - ou les chercheurs de vérité, souvent au péril de leur vie.

* Esotériste, écrivain, homme politique britanique, Impérator de la société secrète Societas Rosicruciana in Anglia (société Rose+Croix), Lord Edward Bulwer-Lytton fut également membre de l'Hermetic Brotherhood of Luxor ("Fraternité hermétique de Louxor"). Selon Louis Pauwels et Jacques Bergier dans le célébrissime "Le Matin des magiciens" publié en octobre 1960 et se présentant comme une "introduction au réalisme fantastique", il inspirât en Allemagne un groupe mystique pré-nazi, la "Loge lumineuse" ou "Société du Vril".

 

 

Comme beaucoup de chercheurs de vérité mus par les meilleures intentions avant et après lui, Nikola Tesla a commis une "erreur" fatale, induite par son prédateur de 4ème dimension (qu'il ignorait) : imaginer pouvoir "sauver" le monde (terrestre s'entend) en mettant à sa disposition l'énergie libre* (telle que mise en œuvre jadis sur les sites de la grande pyramide égyptienne de Khéops ou du site mégalithique druidique de Stonehenge en Angleterre), incompatible avec les intérêts marchands sources de tension prévalant. Cependant, en cette fin de cycle civilisationnel qui voit la société transhumaniste s'ériger, la mise à disposition de tous de l'énergie libre rendant la technologie des hydrocarbures obsolète va devenir l'intention proclamée des acteurs gouvernants du système institutionnel. Si d'aucuns imaginent qu'enfin la conscience humaniste a fini par triompher, ils se leurrent (par leur prédateur attitré) une fois de plus, celle-ci (l'énergie libre) étant incompatible pour son maniement avec les qualités morales du plus grand nombre, qui replongeraient inéluctablement dans une nouvelle forme d'existence robotisée, pâle réplique de l'actuelle société industrialisée, plus exactement carbonée !

C'est pourquoi la promesse de mise à disposition des peuples terrestres de l'énergie libre (ainsi l'électricité sans câbles et la production d'hydrogène neutre en carbone découlant d'algues photosynthétiques*²), donc gratuite, sera assortie d'une contrepartie, celle du puçage électronique de l'être humain, assurant ainsi au système son total asservissement comme robot biologique... Autrement dit, l'avènement du pouvoir et de la suprématie du Nouvel Ordre Mondial, la ferme des animaux orwellienne !

* L'électricité que nous utilisons dans nos maisons est de l'électricité alternative, l'électricité de nos batteries (accumulateurs) étant de l'électricité continue. Nikola Tesla proposait une meilleure sorte d'électricité à très bas coût, l'électricité radiante, que nous pouvons "amplifier" à volonté simplement en utilisant des aimants placés judicieusement sur les fils, juste avant nos appareils électriques. Avantage supplémentaire, on ne peut pas s'électrocuter avec !

Dans des conditions finement réglées à l’intérieur de gouttelettes d’eau sucrée, constitutives de mini-usines biologiques, les algues cessent de produire de l’oxygène et dégagent à la place de l’hydrogène chargé d’énergie, soit une ressource rare difficilement trouvable en l'état dans la nature.

 

De la boîte de Pandore énergétique

Le génie inégalé de Nikola Tesla, un des plus grands inventeurs de l’histoire dont les travaux ont captivé l’imagination des générations vivant dans le monde avec ses plus de 300 brevets déposés dans 27 pays (son invention la plus protégée est sa pompe et sa turbine - brevets américains 1 061 142 et 1 061 206), constitue la feuille de route d'évolution de l'être humain qui a été cachée par la Cabale prédatrice* et inversée pour détruire la physique de la Création, Ce Qui Est. Ses méthodes d'enseignement visent en effet à détruire la cellule familiale, l’esprit des jeunes, le processus éducatif académique, servant à abaisser l’intellect, l’embargo de masse sur ce qui existe, en particulier l’abolition de la pensée créative et l’expansion de l’intellect en apprenant à penser en dehors des schémas de pensée normaux.

L’ouverture de cette boîte à malices maléfique devient ainsi le piège de Pandore*², puisque son ouverture expose tous les mensonges, les tromperies, les vols et les manipulations diaboliques visant à asservir l’humanité de la manière la plus méchante et la plus mauvaise jamais vue. C'est la piste de l’argent qui mène à la cabale maléfique et à ses désirs utopiques, qui ne peuvent persister que si la boîte reste hermétiquement fermée. Ceci entend que l'énergie dont l'être humain a besoin est à sa disposition de manière non marchande, de ce fait totalement gratuite. Mais tel n'est pas le cas pour répondre à l'avidité des prédateurs, ce qui le maintient en situation d'asservissement.

Derrière la technologie complexe de la distribution d’énergie sans fil se cache quelque chose de très simple : la capacité de charger des appareils électroniques sans avoir besoin d’un câble d’alimentation pour chaque appareil. Là résidait le génie de Tesla, inventeur de la technologie du courant alternatif (le monde lui doit l’utilisation de l’électricité sur de longues distances), dont le chef-d’œuvre est resté en l'état inachevé. Il est la clé pour que l'être humain reprenne la maîtrise de sa vie et de sa liberté !

Si l'on se souvient de Nikola Tesla pour ses inventions révolutionnaires telles que le moteur à induction, la distribution d’électricité en courant alternatif, les lampes fluorescentes, les communications sans fil et la commande à distance d’appareils mécaniques, il en est une qui n’a jamais vu le jour. Il s’agissait d’une idée révolutionnaire susceptible de remodeler notre monde en profondeur. Elle est connue sous le nom d’énergie libre et de distribution d’énergie sans fil, générée à partir des champs magnétiques autour de la planète Terre.

Si les lignes électriques conventionnelles sont coûteuses, laides et inutiles, pouvant perdre jusqu’à 14 % de leur énergie en raison de la résistance des câbles en cuivre, l’un des principaux aspects du réseau d’énergie sans fil de Tesla est la distribution d’électricité dans les zones reculées, ainsi que dans les zones urbaines densément peuplées. À grande échelle, cette technologie pourrait permettre aux navires de parcourir les mers sans jamais s’arrêter pour faire le plein, ou aux avions de rester en vol indéfiniment, simplement alimentés constamment par les tours de Tesla à même de transmettre l’électricité dans l’air .

C'est pourquoi il y a environ 120 ans, lorsque la banque JP Morgan (du nom de son fondateur John Pierpont Morgan), empire étendu à de nombreux domaines comme l'électricité, l'acier, le chemin de fer et la navigation qui appartient à la cabale, a découvert le motif caché de Tesla, son financement s’est arrêté, interdisant alors au monde de pouvoir être éclairé gratuitement. Avec cette énergie, il n’y aurait eu ni taxe sur les émissions de CO2, ni canular sur le réchauffement climatique ! Au contraire, en volant à Tesla ses inventions, la cabale prédatrice les a exploitées à des fins diaboliques afin de commercialiser ses propres machines et appareils nuisibles. Son corps sans vie fut retrouvé dans une chambre d'hôtel le 8 janvier 1943, et si le médecin en visite qualifia rapidement la cause du décès de thrombose coronarienne, trouble normalement causé par une accumulation de cholestérol et de graisses dans les parois des vaisseaux sanguins (les principales causes sont une alimentation riche en cholestérol LDL, le tabagisme, un mode de vie sédentaire et l’hypertension artérielle), rien de tel dans son mode de vie ne l'y prédisposait...

* Cf. Compréhension de la conspiration prédatrice.

La boîte de Pandore est un artefact de la mythologie grecque lié au mythe de Pandore dans le poème Les Travaux et les Jours d'Hésiode, datant d'environ 700 avant J.-C. Elle signifie au sens figuré le fait de déclencher imprudemment une série d'événements nocifs inarrêtables ou presque.

 

Les savants atlantes avaient également fait des recherches sur les secrets du "Créateur" - la génétique, la force nucléaire, l'antigravitation - qu’ils n’auraient pas dû connaître en leur état limité de conscience, qui était pourtant bien supérieur à celui de l'actuelle civilisation humaine. Ils en avaient pris connaissance trop tôt, sans s'être libérés de la prédation archontique qui domine la 4ème dimension de réalité. C'est ainsi qu'ils ont utilisé leur savoir pour soumettre d’autres peuples, enfreignant l’ordonnancement divin, la loi de l'Unité par l'Amour de Ce Qui Est. Tout comme les savants de notre actuelle civilisation, ils avaient également étudié d’autres planètes de la galaxie solaire d'appartenance (La Voie lactée), s’y étant même rendus pour constater qu'elles étaient des planètes mortes‚ sans possibilité de vie, devant rester sur la vieille terre Gaïa pour y trouver la clé d'évolution du Jeu du Vivant. Le parallèle est ainsi saisissant avec notre actuelle civilisation et ses programmes de conquête de la Lune (entre autres le programme Apollo) et de Mars par la technologie des Jumprooms trans-dimensionnels*. Tout se répète ainsi à l'identique dans la cyclicité de la vie terrestre - les boucles de rétro-causalité - dominée par la prédation, les hommes reproduisant perpétuellement les mêmes erreurs faute de chercher en eux-mêmes les clés de leur libération constitutives d'un nouveau champ de fréquences. Car celui-ci, constituant leur bouclier de protection, leur permet le franchissement des barrières de l'espace-temps vers la Nouvelle Terre surgissant de l'antimatière, le "futur" !*²

* Cf. Contrôle mental. Cette technologie a pour raison d'être la constitution sur Mars de bases d'expérimentation de savoir-faire techniques puissants, destinés à assurer la gouvernance totalitaire de la vie terrestre par leurs commanditaires.

Cf. Prophétie du changement & Fin de cycle (2) La guidance éclairée de sa vie.

 

Harmonique créatrice ou destructrice

Le 666 a pour puissance 216 (6x6x6) - soit 9 (2+1+6) -, qui correspond à l'harmonique inférieure au 432, fréquence de référence de la musique, bien meilleure que le 440 Hz actuellement usité. Et pour cause, changer la fréquence harmonique de 432 Hz qui existe depuis la Grèce antique* pour dépasser 440 Hz a pour objectif d'assurer le contrôle mental des individus. C'est ainsi qu'en 1910 a été conçu un carillon militaire sur la norme 440 Hz, qui a ensuite été utilisé à des fins de propagande pendant la Seconde Guerre mondiale. De son côté, le dignitaire nazi Joseph Goebbels a adopté en 1936 la norme de 440 Hz, parce qu'il savait que cette fréquence a l’effet le plus fort sur le cerveau humain... 

Quand on sait qu'il y a 21 600 secondes en 6 heures (43 200 en 12), nous constatons l'intrication "divine" de ces nombres créateurs !

* Platon, Hippocrate, Aristote, Pythagore et d’autres grands penseurs et philosophes de l’Antiquité connaissaient les effets curatifs de la musique sur les êtres humains, et guérissaient les gens grâce au pouvoir de la musique.

 

La dynamique du 3 6 9, ou la mécanique de Ce Qui Est

Le 9 est le Tout organisé, soit l'unité réalisée à chaque fin d'harmonique : il contient le 0*, le Tout originel non organisé, redémarrant un cycle par le 1 à chaque palier de fréquence supérieure.

Le 3 et le 6 sont les étapes intermédiaires propres au fonctionnement électromagnétique de la dualité (forces centripète et centrifuge), nécessaires à l'organisation de l'unité de par la constante de structure fine.

La trinité est le 1-4-7 et le 2-5-8, l'unité étant séparée en 3 entités structurantes.

* Le double 0 - 00 - signifie quant à lui  "le reset", la remise à zéro, le point mort avant de pouvoir embrayer sur la nouvelle harmonique, loi de dualité oblige...

 


De la constante de structure fine

En physique, la constante de structure fine* est une constante fondamentale qui régit la force électromagnétique assurant la cohérence des atomes et des molécules. Elle se place à la limite entre relativité, physique quantique et électromagnétisme, caractérisant en particulier la force des interactions entre lumière et matière telles que définies par la théorie de l'électrodynamique quantique.

Étant sans dimension, son existence même implique l'existence d'un mécanisme sous-jacent fixant sa valeur. C'est le défi lancé à la sagacité scientifique moderne, expliquant son lancement depuis les années 1920 afin de l'établir. Et l'énigme reste entière à ce jour, voyant le monde des physiciens se diviser en deux groupes : ceux qui n'osent pas relever le défi, ceux qui n'ont pas la moindre idée de comment le relever.

Sa valeur est proche de 1/137, représentée par le symbole α (alpha), la précision augmentant avec la précision des mesures qui peuvent être réalisées (la mesure la plus précise à ce jour a été réalisée par des physiciens français du Laboratoire Kastler Brossel à Paris). Selon eux : α = 1/137,035 999 037. Chose intéressante, le nombre 137 est l'équivalent numérique du mot hébreu Kabbale...

* Elle a été introduite par le physicien théoricien allemand Arnold Johannes Wilhem Sommerfeld (1868/1951).

 

De l'œuf

La forme géométrique du zéro est un ovale, semblable à un œuf. Le jaune en son intérieur c'est l'esprit. Le blanc, c’est l'âme. La coquille, c'est le corps. Le germe est au centre, le blanc, au milieu, et la coquille à la périphérie. La cellule aussi est construite d'après le même schéma. Seuls les noms (noyau, cytoplasme et membrane) sont différents. Et quand la coquille d'un œuf se casse, que se passe-t-il ? Tout se déverse, et la vie s'en va. Comme la coquille, le corps sert à protéger la vie, c'est-à-dire l'âme et l'esprit. Quand le corps est brisé, la vie s'en va, l'âme et l'esprit le quittent.

Il est à noter que le mot "Big Bang", qui évoquant une explosion résume la conception du monde de nos contemporains, voit désormais la science lui préférer la métaphore de l'éclosion associée à celle de l’œuf cosmique. Sur le plan symbolique, l'astrophysique justifie ce choix dans la mesure où l’univers a en effet la forme d'un œuf dans la représentation la plus proche qu'on a pu en donner*. Le chaos est la première étape, vide primordial ou néant où tout pré-existe. Il reste à y mettre de l’ordre, de l’harmonie pour obtenir l’univers et les lois qui le régissent. C'est pourquoi dans la structure de nombreuses cosmogonies, l’œuf succède en général au chaos, comme un premier principe d'organisation*². Si l’Œuf n'est jamais absolument premier, il symbolise toutefois le germe des premières différenciations. L’œuf cosmique renferme à la fois ciel et terre, les eaux inférieures et les eaux supérieures, etc...

* L'image ci-dessus est la plus précise à ce jour du rayonnement fossile du Big Bang. Elle a été publiée par l'Agence spatiale européenne (ASE). Ce rayonnement correspond à l'écho lumineux du Big Bang, témoin des premiers moments de l'Univers, en quelque sorte une photographie de l'Univers tel qu'il était 380 000 ans après l'événement créateur, il y a environ 13,8 milliards d'années. S'il est invisible à nos yeux, il peut toutefois être détecté dans la gamme des ondes radio. La photo est basée sur les données recueillies par le télescope spatial européen Planck, en orbite à 1,5 million de kilomètres de la Terre depuis mai 2009.

Cet œuf commença à se fendiller, et l'œuf cosmique explosa ! Cela arriva à 0 an, 0 mois, 0 jour, 0 heure, 0 minute, 0 seconde. La coquille de l'œuf primordial fut brisée en 288 (9 en réduction numérique) morceaux par la deuxième force, la force "D", la force division. De cette déflagration jaillirent de la lumière, de la chaleur et une vaste giclée de poussières qui se répandirent en poudre chatoyante dans les ténèbres.

 

De l’œuf poché

Le polytechnicien chercheur indépendant Emmanuel Ransford, épistémologue et spécialiste de physique quantique, a fondé ses travaux sur l'hypothèse que l’aléatoire quantique est endo-causal. Pour la comprendre, il convient de concevoir la particule quantique sur le modèle de... l’œuf poché, avec son blanc visible, opaque et solide, et son jaune mou, gluant et caché par le blanc. Blanc et jaune sont, chez la particule, alternativement actifs ou latents. Le blanc est exo-causal et tangible. Quand il est actif, le jaune est latent et la particule vibre ou ondule de façon déterministe. Le jaune quant à lui est endo-causal et invisible. Quand il est actif, le blanc est latent et la particule saute de façon aléatoire (on parle alors de saut quantique, de collapse ou d’effondrement de l’onde). Un trait important du jaune est qu’il possède une sorte de pouvoir décisionnel, certes  infime mais non strictement nul. C’est une autre façon de le dire endo-causal. Dans ce cas la matière, enrichie de sa dimension endo-causale présumée, devient une "super-matière", qu'il nomme l’holomatière.

Sa définition est celle d'une glaise vivante, qui diffère de la matière ordinaire par le "jaune", cette infime gouttelette endo-causale qu’elle loge dans toute particule élémentaire. Un autre trait important du jaune est qu’il peut se souder à d’autres jaunes, par contact notamment. Il se soude parce qu’il est "gluant" et colle, comme le jaune de l’œuf poché. Quand deux jaunes sont soudés, on les dit enchevêtrés, intriqués, ou en lien non-local. C'est ainsi qu’avec l’holomatière, les bizarreries du monde quantique deviennent intelligibles : toutes sont des manifestations du jaune invisible, quand celui-ci se "réveille" et sort furtivement de sa latence. Elle permet de saisir pourquoi et comment l’aventure du vivant a pu émerger dans un monde a priori inerte et minéral. Elle montre également que les êtres humains possèdent des capacités méconnues mais bien réelles, qu'ils peuvent développer pour le bénéfice de tous. Et comme par les liens non-locaux qui se tissent dans l’univers, nous sommes tous solidaires et reliés dans l’invisible, voici un bien beau message d’espoir !

 

Le point zéro des routes de France à Paris
Le point zéro des routes de France à Paris

Du point Zéro

Ground Zero ("Point Zéro") est un terme anglais utilisé* pour indiquer l'endroit précis sur le sol où a lieu n'importe quelle explosion, comme le bombardement atomique des villes japonaises d'Hiroshima et de Nagasaki en août 1945. Cette expression, souvent associée aux explosions nucléaires, détermine également l'emplacement de l'épicentre d'un tremblement de terre, une épidémie et tout autre désastre faisant beaucoup de dégâts (ainsi l'ancien emplacement du World Trade Center à New York suite aux attentats du 11 septembre 2001), pour désigner les dommages occasionnés décroissant depuis ce point. En France, le Point zéro des routes de France est le point géodésique de Paris, matérialisé par un médaillon de pierre entourant une rose des vents (cf. photo). Il est la référence à partir de laquelle sont calculées les distances entre la capitale et les autres villes de France, comme de nombreux lieux dans beaucoup de capitales d'autres pays. En acupuncture, il est le point majeur de l'oreille, situé en haut de la racine de l'hélix*², sa stimulation étant souveraine contre toutes les algies et spasmes tout en permettant de régulariser le flux nerveux qui s'écoule à partir du pavillon.

Il traduit plus précisément l'état d’énergie minimum du vide, conçu comme un océan de particules virtuelles qui interagissent entre elles et confèrent au "vide" une certaine énergie potentielle. En réalité, le vide n’est pas vide, étant le siège latent de manifestations physiques des plus violentes. En somme, la matière n’est rien d’autre qu’une manifestation du "vide", ce mot étant l'anagramme de dieu (le U latin est une évolution sinon un changement de la lettre V qui descend elle-même de la lettre Y), l’U ayant été formé simplement en arrondissant la partie inférieure du V. Les deux lettres V et U ont toujours été employées, pendant l’Antiquité et le Moyen âge indifféremment l’une pour l’autre, pour représenter le son consonne V ou le son voyelle U (= ou). Toutes ces lettres (U,V et Y) sont des vases, des formes réceptrices.

* Il fut utilisé initialement lors du 1er essai sous le nom de code Trinity d'une bombe atomique au Nouveau-Mexique, le 16 juillet 1945, désignant le point à partir duquel se mesurait le rayonnement radioactif libéré par l'explosion.

Il est également le nom d'un débat radiophonique apprécié par ses auditeurs, traitant de sujets paranormaux et parapolitiques et animé par son créateur Clyde Lewis, un Américain théoricien de la conspiration, et non conspirateur pour les trolls prétendus "débunkers" et les imbéciles reprenant sur l'air des lampions cet anathème à la mode...

Du latin scientifique helix, provenant du grec heliks, -ikos, signifiant spirale, l'hélix est une structure de l'oreille externe.

 

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Le 3 6 9, dynamique créatrice de l'ADN

Le centriole (structure cellulaire cylindrique creuse perpendiculaire* qui intervient sous forme de centrosome dans la formation des fuseaux mitotiques lors des divisions cellulaires), est composé de 9 triplets de microtubules agencés 3 par 3 entourés de nombreuses autres protéines. Il est maintenu dans un mouvement pendulaire grâce aux propriétés de l'eau et à une molécule de dioxyde de silicium (Si02)*².  Autrement dit, le centriole apporte la "lumière" à l'ARN, l'acide nucléique qui est essentiel dans le transport du message génétique et la synthèse des protéines. De cette compréhension découle le travail de symbiose par la conscience entre notre ADN et celui de la Nature*³.

* Il devient parallèle lors de cellules/tumeurs cancéreuses, qui dans ce cas ne sont plus en connexion avec les molécules d'eau en SiO2 (dioxyde de silicium).

Cf. Fonctionnement de l'architecture du Vivant.

*³ Cf. Processus de transformation de conscience (1).

 

La manipulation occulte du 3 6 9

La connaissance de la magie des nombres par les acteurs officiants du système prédateur terrestre - les "mages babyloniens" - les a conduits à en interdire l'accès aux êtres humains par la manipulation de leur symbolique, pour empêcher l'éveil de leur conscience et, par-là même, leur extraction de la Matrice entropique, autrement dit le garde-manger de la prédation extra-dimensionnelle (le mode "Service de Soi") située en 4ème dimension de réalité. Ils ont pour ce faire entre autres dénaturé le rapport au temps (la pyramide de Gizeh et le sphinx à ses pieds sont une gigantesque horloge à ciel ouvert), créé un référent zodiacal (le Zodiaque de Denderah) manipulé par la prêtrise religieuse, tout particulièrement en charge des grandes religions monothéistes, et conçu les rapports inter-relationnels sur la base du dieu argent, source première de rattachement aux illusions de la matière terrestre et de corruption par la marchandisation des corps comme des âmes (la fausse lumière luciférienne conduisant à la corruption sataniste)*.

C'est ainsi que la dynamique énergétique évolutive du 3 6 9 a été verrouillée par le "12", autrement dit le nombre constitutif du barreau mis sur la conscience par le franchissement du 10 (réintégration du zéro originel, le Tout primal) vers la fausse octave supérieure, le 12. Ce secret est celui de la gouvernance terrestre sectaire des affaires humaines, nommé le "principe du 12/9", gouvernance connue par le grand public sous le nom "Illuminati" et par les initiés sous le nom "Moriah"*². Il voit pour ses deux branches mérovingienne et khazar 12 grandes familles royales à caractère hybride (à leur sommet), avec une treizième en chapeau, être servies par 9 intendants dans la toile d'araignée tendue sur la conscience humaine, principe sous-jacent et relayé dans le fonctionnement de tout groupement humain alimentant la prédation terrestre, issu du catholicisme comme du christianisme dans ses autres composantes, du judaïsme, du cabalisme, du soufisme, du Coran, des jésuites, des francs-maçons, des templiers, des rosicruciens... à travers ses discussions sur les géométries sacrées, toutes les sectes citées utilisant les nombres premiers. Il s'appuie sur des structures pyramidales (la racine "pyr" signifie feu, soit fréquence de la lumière) organisées en essaim, conduisant à des activités totalement chaotiques puisque lorsque une ruche est dérangée, toutes les abeilles viennent et fondent sur l'élément perturbateur (cela s’appelle l’"essaimage"), expliquant que tous les organismes soient dans le chaos. Aux niveaux les plus hauts, l'objectif est de convertir toutes les énergies et tous les pouvoirs spécialisés des relais et troupes négatives - les pions, éléments soumis - en modèles d'information acceptables d'une vaste Matrice contribuant à l'amplification de la connaissance et de la conscience des chefs suprêmes de la pyramide (les 12 grandes familles royales), leur permettant d'étendre encore plus loin le terrain qui tombe sous leur juridiction réglementaire. Ainsi se constituent et perpétuent des "fermes" de plus en plus volumineuses d'énergie-nutriment, dont ils s'abreuvent tels des vampires !

Comme d'habitude, les forces ténébreuses (le "démon") inversent le fonctionnement des forces de lumière (le "monde"), qui voit par exemple sur un plan symbolique le maître Jésus/Jeshua - le Kiristos incarné - avoir 12 intendants (les 12 apôtres) servir le Maître - le 9 -, soit le Tout accompli*³... De la même manière, nous en retrouvons l'application dévoyée à travers le 18, soit le seuil en années de la majorité civile octroyée qui a été abaissé depuis le 5 juillet 1974 en France, 21 ans jusqu'alors - les 21 arcanes du Tarot initiatique -, attribuant par sa vibration la reconnaissance de l'âge soi-disant de raison. 18 (3x6) cache le 666 dans sa polarité -, soit le temps "Chronos" (du dieu grec Cronos ou Kronos) qui maintient l'être humain dans la gueule de Saturne (Satan), celui-ci dévorant indéfectiblement ses enfants dans la cyclicité mortifère du monde astral...

Cette non-connaissance du sens réel (sacré) des nombres comme des principes arithmétiques et géométriques qui président à la structuration et au fonctionnement du Vivant, explique que la plupart des êtres humains croyant trouver le salut de leur âme dans les religions traditionnelles ou les groupements à caractère ésotérique (type Franc-Maçonnerie) sont illusionnés par leur naïveté, leur idéalisme, et la prégnance de leur égo-mental (intellect). N'ayant mené aucune véritable recherche de la Connaissance par leurs propres moyens, émancipés pour ce faire de toutes les croyances et conditionnements dont ils sont porteurs à travers l'inconscient et distillés par leurs faux maîtres instructeurs, et seulement guidés par leur supraconscience (et non autrui) à même de leur délivrer la juste information, ils constituent la force armée psycho-émotionnelle de la prédation. Ils pensent sauver leur âme, alors même qu'ils s'alourdissent pour demeurer dans le royaume des morts-vivants, prisonniers de la cyclicité involutive des temps !

* Cf. Le modèle européen décodé (1) Un ADN impérial païen, La falsification de la réalité en 3-D & Fin de cycle (1) Fin du temps ou fin des temps ?

Cf. La nouvelle religion universelle. Le dictionnaire d'anglais d'Oxford indique pour "cult" (secte en français) 1. Un système d'adoration religieuse, spécialement comme exprimé dans son rituel. 2a. Une dévotion ou un hommage à une personne ou à une chose. 2b. Une mode populaire spécialement suivie par une section spécifique de la société 3. Dénotation d'une personne ou d'une chose popularisée de cette façon. Dans sa forme moderne, ce mot est réservé pour n'importe quel groupe formé dans une structure hiérarchique, où une certaine forme de contrainte ou de manipulation des membres de groupe existe, quelle soit psychique et/ou physique (famille, association, fondation, syndicat, ONG, entreprise privée et publique, administration nationale et territoriale, collectivité territoriale, organisation supranationale...).

*³ Cf. symbolique de 12 dans Symbolisme des nombres (2) Autres nombres, Le chemin alchimique & Le sens caché du Tarot initiatique.

 

"Je vous le dis en vérité, quand le Fils de l’homme, au renouvellement de toutes choses, sera assis sur le trône de sa gloire, vous qui m’avez suivi, vous serez de même assis sur douze trônes, et vous jugerez les douze tribus d’Israël."

Parabole du jeune homme riche (Matthieu 19,16-30)

 

Note : de la compréhension du sens profond de cette parabole découle la lecture géopolitique qui voit Israël comme Jérusalem au centre de la grande manipulation des peuples terrestres par le système prédateur, y compris du peuple juif il va sans dire... De la même manière, alors que la plupart des individus sous l'influence des médias désinformateurs* voient l'ex président états-unien Donald Trump sous un angle négatif (non sans raison sous nombre d'aspects caractériels comme comportementaux), ils gagneraient à bien réfléchir sur le sens de l'épître Corinthien 15:52 "car la trompette va sonner, et les morts ressusciteront incorruptibles, et nous serons changés."

En français, trump signifie atout (du jeu) comme trompette (ce mot dérive de l'ancien français Trompeor, le "créateur de trompettes" ou trompettiste), les gesticulations et foucades de l'acteur en scène (qui illustrent le combat des souverainistes populistes contre les mondialistes populicides) recelant bien d'autres significations que les grossières interprétations découlant de l'émotionnel manipulé*². Il joue simplement au "mauvais" sur scène pour être "bon" dans les coulisses, sachant parfaitement à qui et à quoi il fait face. Ne pas oublier qu'en travaillant dans les "affaires", on ne dévoile jamais à l'avance ses plans. Trump est sans conteste le meilleur chef d’État actuel du monde en négociation, car c’est le seul à avoir une expérience de plusieurs décennies en négociation et avoir écrit d’ailleurs un ouvrage consacré à ce sujet appelé "L’art du deal". On ne devient pas "milliardaire" dans la matrice viciée, même en étant fils de, sans avoir un caractère d’acier et un moral trempé, ou l’inverse, les "Macron, Sarkozy, Hollande & Cie" et leurs soutiens énamourés apparaissant comme de benêts et fieffés amateurs ! Devenu milliardaire, ruiné, puis à nouveau richissime, star de télé et enfin président des États-Unis, Trump est un homme capable des engagements les plus grands impliquant aussi les sacrifices les plus élevés, porteur en lui d'une force énergétique "surhumaine" propre à ce combat à mort dans la 4ème dimension de densité des Forces qui nous gouvernent.

* Quand on est enfermé dans sa propre bulle d'écho, branché sur l'idéologie, on ne voit et entend que sa propre propagande... Il n'est qu'à voir comment le mainstream médiatique a pris position à l'occasion des élections présidentielles américaines de 2020 contre Donald Trump (tout comme lors des précédentes), notamment depuis les événements de Minneapolis (mort par brutalité policière d'un afro-américain), occultant la mobilisation de brigades et milices surarmées baptisées machiavéliquement d'"anti-fas" financées par le milliardaire opportunément qualifié de "philanthrope" George Soros, acteur profondément dévoyé de la Matrice des loups et autres crotales. Entre loups et crotales, la loi de dualité voit dans ce combat fratricide l'opposition des forces entropiques lucifériennes (Trump en l'occurrence) et des forces entropiques sataniques (Gates, Soros, famille Clinton, Obama, Biden et consorts), les manigances de ces dernières n'ayant eu de cesse d'échouer : élection de Poutine, non-élection d'Hillary, succès du Brexit..., la pression comme le désespoir causant la hâte et la négligence. Le niveau de mal et de corruption qui existe dans l’élite politique états-unienne actuelle est tellement élevé qu'il n'est pas nécessaire d’avoir un saint ou un bon samaritain pour améliorer les choses, juste d’un être humain relativement normal (nombre de gens qui ont voté pour Trump sont vraiment dans le monde réel en travaillant dans trois jobs et sans pouvoir arrondir leurs fins de mois). Ne jamais oublier de regarder le monde à l'envers !

*² Un bon moyen d'apprécier à quel point son émotionnel est manipulé est d'observer sa fréquence de résonance à l'évocation des noms de Jules César, de Donald Trump et de Vladimir Poutine. Celle ou celui qui ressent de l'empathie fait partie de la même famille d'âmes (les âmes peuvent faire partie d'un groupe d'âmes si elles ont la même origine, comme dans quelque âme plus grande ou une âme supérieure fragmentée de 6ème dimension, la connexion avec les centres supérieurs impliquant une connexion spontanée avec les autres êtres du groupe d’âme), autrement nommée groupe tribal ; à l'inverse, en ressentant de l'antipathie, il ou elle est gouverné(e) par la prédation..., autrement dit il est illusionné(e) !

Il est simplement à comprendre que Trump ou Poutine, à l'instar de Jules César à son époque, sont des forces mises en place sur l'échiquier terrestre à l'initiative des Forces positives, non en leur qualité de saint ou d'humaniste accompli, mais pour leur capacité à rééquilibrer dans le fonctionnement terrestre la puissance destructrice des Forces négatives, qui plus est à l'action en cette fin de cyclicité. Mais eux aussi sont utilisés comme les autres par les "réelles personnes influentes" se tenant en coulisse, étant des effets plutôt que des causes. La vraie structure de pouvoir utilise les pays comme des pions pour ses objectifs, les nations étant sacrifiées quand elle ont fait ce qui était requis d'elles.

 

De la trompette qui sonne

Le 2 décembre 2020, le président états-unien Donald Trump* a parlé et posté une vidéo de 46 minutes. Son discours commençait ainsi : "C’est sans doute le discours le plus important que je n’ai jamais fait. Je veux vous apporter des nouvelles sur nos efforts pour mettre au grand jour la fraude électorale et les irrégularités qui ont eu lieu pendant notre jour d’élection…. Comme président, je n’ai pas de devoir plus élevé que celui de défendre les lois et la Constitution des États-Unis. C’est pourquoi je suis déterminé à protéger notre système électoral qui est désormais la victime d’un assaut coordonné et assiégé. Nous avons expliqué pendant des mois qu’il allait y avoir des problèmes et qu’il faudrait des semaines et sans doute des mois avant de déterminé qui avait gagné. Le processus constitutionnel doit être autorisé à se poursuivre. Nous allons défendre l’intégrité du vote en s’assurant que chaque bulletin de vote légal soit compté et qu’aucun bulletin de vote illégal ne soit compté. Il ne s’agit pas des votes des 74 millions d’Américains qui ont voté pour moi, il s’agit de la confiance des Américains dans cette élection et dans toutes les futures élections."

Ces mots pouvaient être compris comme une déclaration de guerre, entendant un assaut coordonné, un état de siège, une fraude massive. Il indiquait en effet que son devoir le plus haut est de défendre la Constitution, avec détermination. Cela ne ressemblait en aucun cas au discours d’un président sur le départ, qui se préparerait à revenir en 2024 pour les prochaines élections et retenter sa chance dans le cadre d’une démocratie bien illusoire "fair-play", mais à un discours d’un Président qui pourrait déclarer une urgence nationale, et ouvrir la boîte de Pandore, en s'appuyant notamment sur ses fines gâchettes que sont Lin Wood, son avocat, et le général Flynn, éminence grise militaire du président mis en cause dans les fausses histoires d’espionnage avec la Russie et gracié il y a quelques mois, ainsi que sur le DNI (Direction of Strategic Communications, la Direction Nationale du Renseignement) et son Directeur John Ratcliff. Autrement dit une déflagration qui s'annoncerait saisissante ! Et pour ce faire, il pouvait compter s'appuyer sur le cadre prévu depuis le 12 septembre 2018, intitulé "Ordre Exécutif sur l’imposition de certaines sanctions en cas d’ingérence étrangère dans une élection aux États-Unis" disponible sur le site de la Maison-Blanche Whitehouse.gov, texte détaillant avec une très grande précision ce qui sera fait pour enquêter et prouver une fraude massive lors d’élections aux États-Unis *². Même battu par son adversaire Joe Biden, il reste dans l'ombre le véritable Président, déroulant les fils de sa toile d'araignée.

* Donald est un prénom écossais, issu du gaélique Domnall, Dumno-valos (Dumnos du proto-celtique signifie "monde d'en bas", et Valos "celui qui règne, prince, souverain", autrement dit celui qui règne sur le monde d'en bas, ou le prince du monde d'en bas).

La section 1 de cet ordre exécutif indique "Au plus tard 45 jours après la conclusion d’une élection aux États-Unis, le directeur du renseignement national, en consultation avec les chefs de tout autre département exécutif et agence (agence) approprié, procède à une évaluation de toute information indiquant qu’un gouvernement étranger, ou toute personne agissant en tant qu’agent ou au nom d’un gouvernement étranger, a agi avec l’intention ou le but d’interférer dans cette élection. L’évaluation doit identifier, dans toute la mesure possible, la nature de toute ingérence étrangère et les méthodes employées pour l’exécuter, les personnes impliquées et le ou les gouvernements étrangers qui l’ont autorisée, dirigée, parrainée ou soutenue. Le directeur du renseignement national remet cette évaluation et les informations justificatives appropriées au président".

 

Du pacte Russie-Chine

Le pacte Russie-Chine inséré dans l'alliance économique des BRICS* est un pacte d’envergure mondiale pour prendre le relais de la puissance occidentale des États-Unis en voie de déclin. Il correspond exactement au plan ancestral de la haute finance maçonnique qu'a révélé en 1919 le banquier d'investissement américain d'origine allemande Otto Kahn (1867/1934), l’un des banquiers et francs-maçons de haut grade les plus célèbres des États-Unis : "Vous dites que le marxisme est l’ennemi le plus acharné du capitalisme, qui nous est sacré. Mais ce ne sont que des pôles opposés qui nous permettent d’être l’axe des pôles. Les deux pôles ont cependant le même objectif : le renouvellement du monde par le haut, via le contrôle des richesses, et par le bas, via la révolution." Le dirigeant russe Vladimir Poutine est en train de mettre définitivement en œuvre ce plan ancestral, mais comme il l’entend, non comme le scénario le prévoit…

* Cf. Le modéle européen décodé (2) L'idéologie mondialiste.

 

Des douze tribus d'Israël

Elles sont dans le conte biblique hébraïque la figuration dévoyée de l’Âme du monde, soit la représentation de l'Univers comme un être vivant et dont l'âme est Dieu, tel que l'a défini le théologien Origène, père de l'exégèse biblique et l'un des Pères de l'Église (v. 185/v. 253) dans ses "Principes". Son schéma est formé de douze cercles concentriques qui représentent, en partant du centre, tous les éléments constitutifs*, et que nous trouvons figurés dans la Genèse, le premier livre de la Bible hébraïque (l’Ancien Testament), sous la forme des douze fils (ou tribus qu'ils contribuent à fonder) de Jacob, alias Israël, qui s'installent au Pays de Canaan des Hébreux.

* Cf. Le cheminement de l’Âme.

 

Le nombre Un - 1 - : la Force divine cosmique

 

Premier de tous les nombres, le nombre 1 est celui par lequel tous les autres procèdent et se déclinent. Il est à lui tout seul le "commencement et l’origine" - l'Alpha - de toutes choses, pour l’éternité, les concepts de commencement comme de création n'étant que la manière dont l'être humain imagine et qualifie le processus de l'Univers. Il représente l'énergie essentielle comme substantielle, la Force lumineuse et rayonnante de Ce Qui Est, l'UN, que d'aucuns nomment "Le Créateur" (Dieu pour l'homme religieux), par laquelle Tout a été engendré, plus exactement est engendré, le Temps n'existant pas dans l’Éternel Présent. Nous sommes bel et bien entouré d’une Intelligence qui dépasse ce que nous pouvons même comprendre.

Les Saintes Écritures y font tout naturellement référence :

Ésaïe 44 : 6 - "… Je suis le premier et je suis le dernier, Et hors moi il n’y a point de Dieu."

Apocalypse 1 : 8 - "Je suis l’alpha et l’oméga dit le Seigneur Dieu, celui qui est, qui était, et qui vient, le Tout Puissant."

Nombre de la Force divine, sacrée, son éclat illumine le Grand Univers, le cosmos, apportant en tous lieux la chaleur, le mouvement et la vie, pour la promotion et le développement de toutes les créatures qui s’abritent dans ses plis, autrement dit dans ses différentes dimensions de densité et de réalité.

C'est pourquoi le mot "univers" signifie "tourné vers le un", uni vers, ou l'"unique ver", soit la figure symbolique de l'Ouroboros, le serpent ou dragon ésotérique qui avale sa queue. De ce premier nombre procèdent l'extension, l'espace, la forme et la succession (ou le temps). Comme dans la géométrie qui voit un point générer une ligne, une ligne une surface, et une surface un solide, de même ici le connatus (le désir qui fait agir l'homme selon le philosophe néerlandais Baruch Spinoza - 1632/1677 -) du point tend à des lignes, à des surfaces et à des solides*. En d'autres termes, l'Univers est contenu in ovo dans le premier point naturel. Il est le UN FINI, "l'Infini"...

* Le Mouvement vers lequel tend le connatus est circulaire, puisque le cercle est la plus parfaite de toutes les figures. Le genre le plus parfait de mouvement doit être le mouvement circulaire perpétuel, c'est-à-dire un mouvement procédant du centre à la périphérie et de celle-ci au centre.

 

Démonstration scientifique contemporaine

Une équipe de mathématiciens canadiens et égyptiens a utilisé une théorie scientifique de pointe et une série d'équations époustouflantes pour déterminer ce qui a précédé l'univers dans lequel nous vivons. En termes (très) simples, ils ont appliqué les théories du monde de la mécanique quantique à l'ensemble de l'univers, expliquées par la théorie générale de la relativité, et ont découvert que l'univers passe fondamentalement par quatre phases différentes. Plus important encore, ils ont découvert ce qui a précédé cet univers… soit un autre univers ou, plus précisément, une autre "phase cosmologique". Bien que sa taille soit infinie, notre univers est bel et bien cyclique, et a toujours existé dans l'une de ses quatre phases.

 

Le nombre 1 par sa Force constitue les premiers pas d’un germe d’esprit - l'Esprit Universel -, engendrant par sa démultiplication dans tous les sens le mouvement au sein de l’immensité de Ce Qui Est dans ses deux polarités constitutives à part égale, l’Être - la Lumière - et le Non-Être - les Ténèbres. Cette scission des consciences s'entame dès la 6ème dimension de densité, par une division et réplication holographique des âmes* qui ont émergé de l'Un, puis leur dispersion massive à travers les densités et leurs multiples dimensions. Il en découle que plus les âmes s'enfoncent dans les densités "inférieures", plus la dualité devient tangible et séparatrice, et les extrêmes polarisés s'opposent et s'affrontent*². C'est ainsi qu'en deuxième densité, stade préalable à la "3-D" terrestre, la dualité est simplement une affaire de survie, où manger ou être mangé est la question principale. Ceci entend qu'à ce niveau de conscience, ce sont les règles impitoyables de la nature et des lois universelles qui priment, les "jeunes âmes" progressant en 3ème densité ne faisant que perpétuer au départ cet instinct de survie.

* Cf. Le cheminement de l’Âme.

Cf. La dualité décodée.

 

Ce nombre caractérise ainsi tant le désir d’évolution, le germe d’esprit portant en lui de façon inconsciente un "talent", un "don", autrement dit un ensemble de facultés spécifiques qui demandent et exigent d’être développées, que le désir d'involution, l'expérimentation de la matière séparée, de ce fait dégradée et viciée. C'est pourquoi l'être humain est en mouvement, à l'image de l'Arcane Le Mat (ou Fol) dans le Tarot initiatique*.

Comme il ne saurait progresser au départ du mouvement "vers le haut" afin d'expérimenter Ce Qui Est, il se dirige "vers le bas", vers le domaine de la matière, agrégat de l'éther*². C’est "l’expulsion du Paradis" originel, laquelle n’est nullement une punition ou un châtiment contrairement au mythe biblique réagencé par ses rédacteurs faussaires, mais au contraire le début d’une fructueuse phase d’évolution et de développement, autrement nommée le Jeu du Vivant, le "Je de l'Oie"*³.

* Cf. Le sens caché du Tarot initiatique.

Le concept d'éther, le cinquième élément, a toujours posé problème à l'esprit scientifique rationnel, ne concevant pas qu'il puisse être un champ d'informations infini appelé à se densifier par les lois des forces physiques nucléaires et électromagnétiques. C'est ainsi que le physicien et mathématicien écossais James Clerk Maxwell (1831/1879) a introduit le concept d’un champ abstrait, d’un champ électromagnétique, pour se débarrasser de ce concept de l’éther. Et depuis, TOUT est allé de travers ! L’éther est bel et bien l’interface entre l’information et la manifestation, car il y a toujours un lien entre l’information d’une part, et la matière qui en est constituée, l’énergie d’autre part. La gravité, autrement dit la conscience, voyage sur l'éther, l'Eau d'en Haut comme diraient les Anciens !

*³ Cf. Le Jeu de la Vie.

 

Il va de soi que la représentation géométrique du nombre 1 est imparfaite, aucune figure (tout comme aucun vocable) ne pouvant représenter la Force sacrée unique, toute puissante, celle de la Lumière Originelle, la divinité "inessentielle". Seule l'imagination propre à chacun et le ressenti intérieur permettent de traduire la proximité du Très Haut, déclinée en Magnificence, Majesté et Sainteté suprêmes.

Le "UN" ne peut exister si personne ne le regarde, si personne n'a conscience de son existence. C'est pour cette même raison qu'en mathématique quantique le "1" se remplace par 2 x ½ ou ½ + ½ = 2. Cela signifie que celui qui peut avoir conscience du "UN" est obligatoirement séparé du "UN". Là réside la raison d'être de l’Ego*, dont le rôle est de permettre à l'Âme dans son voyage d'expérimentation*² de se croire séparée du "UN" par le voile de l'oubli jeté sur ses mémoires, c'est-à-dire de se différencier de l'Univers qui l'entoure au sein de sa dimension de réalité d'expression. Sinon cet Univers ne pourrait pas exister, puisqu'il n'y aurait personne pour en avoir conscience...

* Cf. Décryptage de l'égo.

Cf. Le cheminement de l’Âme. Il est indispensable de considérer qu'à peu près la moitié des bébés ne reçoivent jamais d’âmes individualisées. Dans certains cas cela peut être très tôt, et dans d’autres aussi tard que l’âge de jeune adulte, tant que le corps n'a pas atteint la fréquence dont elle a besoin (les facteurs de changement de fréquence sont l’expérience, la connaissance, la puberté, les pensées). A contrario, certaines choses comme les vaccinations ou la prise de drogues peuvent changer la fréquence initiale, et provoquer à l'âme des potentiels négatifs, jusqu'à l'expulser définitivement du corps. De la même façon, une opération chirurgicale peut par la technologie utilisée avoir des effets, des personnes se réveillant avec une personnalité différente et une "capacité" nouvelle (comme parler une autre langue)...

 

De la non-séparabilité

La non-séparabilité quantique, ou la non-localité, est la théorie physique qui repose sur la notion d’enchevêtrement ou intrication quantique. Elle établit que des particules atomiques restent liées entre elles, et ce quel que soit leur éloignement. Par exemple, deux électrons qui ont interagi dans le passé se comportent ensuite de façon concertée, c'est-à-dire donnant des résultats corrélés si l’on mesure l’un d’eux..., même s’ils sont aux deux extrémités de l’univers à cet instant ! C’est comme si ces électrons "jumeaux" gardaient de leur passé commun un lien invisible et non affecté par la distance. Ce lien est une sorte de trace mémorielle du passé.

Pour les physiciens qui ont découvert et vérifié son existence, ce phénomène est totalement mystérieux en raison de sa nature non physique. C'est pourquoi la non-séparabilité n’a jusqu’ici reçu aucune explication autre que suppositoire. Mais comment peut-il en être autrement si elle est une "supralité" qui vient d’un "psi" (l'esprit éthérique) dont la science académique ignore ou nie l’existence ? Pour celle-ci, on ne peut comprendre un phénomène sans avoir accès à ses causes.

La supralité soude ou rattache le 'psi' de la particule élémentaire à un 'psi' collectif, c'est-à-dire à un champ non-local. Ce champ de "supra-conscience" est à rapprocher de notions telles que les annales akashiques* des Hindous, l’inconscient collectif du psychiatre Carl Gustav Jung, ou encore les champs morphogéniques du chercheur en biochimie, physiologie et parapsychologie anglais Rupert Sheldrake. La psychomatière est par son 'psi' reliée au tout de l’univers. Elle est comme le champignon qui, par son mycélium discret étalé dans le sol nourricier, est relié à plus vaste que lui-même. En conclusion, toute particule de psychomatière s’apparente à l’œuf dur et au champignon. A l’œuf dur, parce que son 'psi' est, comme le jaune, masqué. Au champignon, parce que les liens suprals, tels les filaments du mycélium, le prolongent de façon inapparente.

* Cf. Le cheminement de l’Âme.

 

C'est ainsi que la relation entre Infinitésimale et Infiniment Grand doit être considérée sous un aspect dynamique, c'est-à-dire sous la forme d'un mouvement cyclique perpétuel. Il conduit en ultime abstraction au schéma fondamental de la Création, rendant intelligible sa raison d'être. Ceci entend que la condition première de la Création est la mise en œuvre du principe d'Imperfection, et du principe d'Asymétrie qui en découle : ceux-ci, à leur tour, sont la condition du surgissement et de la
durée de l'Existence dans l'Espace et dans le Temps.

 

Du Principe absolu

Le Principe absolu est le prototype dont furent tirés tous les autres. Il n'est pas "Dieu", parce que ce n'est pas un Dieu. C'est ce qui est suprême comme Cause - l'Essence -, non comme effet - la Substance -. Il est simplement "Réalité" sans temps, le Cosmos qui contient tout, l'Espace Cosmique infini au sens spirituel le plus élevé. Neutre, Il est la Racine immuable, pure, libre, incorruptible et suprême, Unique Existence vraie, Intelligence, Conscience. Il ne peut être connaisseur, CELA ne pouvant avoir aucun sujet de cognition.

La connaissance de l'Esprit absolu n'est, comme la splendeur du soleil, ou la chaleur dans le feu, autre chose que l'Essence absolue même. CELA est l' "Esprit du Feu", non le Feu même. Aussi les attributs de ce dernier, Chaleur ou Flamme, ne sont pas les attributs de l'Esprit, mais de ce dont l'Esprit est la cause inconsciente. "Ceci" ne peut créer, sauf à travers une agrégation collective de créateurs, car Il est une Cause passive, absolue, inconditionnée. Il ne peut Lui être attribué l'omniscience et l'omnipotence, parce que ce sont des attributs tels qu'ils sont réfléchis dans les perceptions de l'homme. Le TOUT Suprême, l'Esprit et l’Âme, sont à jamais invisibles de la Nature. L'Absolu exclut tout naturellement tout rapport avec l'idée de fini ou de conditionné, l'Infinité présupposant l'extension illimitée de quelque chose et la durée de ce quelque chose. Le Tout Un n'est – comme l'Espace, qui est la seule représentation mentale et physique sur cette terre, sur notre plan d'existence – ni un objet ni un sujet de perception.
Si nous devions supposer que le Tout Éternel et Infini, que l'Unité Omniprésente, au lieu d'être dans l’Éternité, devienne, par des manifestations périodiques, un Univers varié ou une Personnalité multiple, cette Unité cesserait d'en être une. L'espace n'est ni un "vide sans limites" ni une "plénitude conditionnée", mais l'un et l'autre. C'est aussi la Divinité à jamais inconnaissable, qui n'est vide que pour les esprits finis. Il est le Contenant absolu de tout ce qui est, manifesté ou non manifesté. Ce n'est pas le Dieu Un et inconnu, toujours présent dans la Nature, ou la Nature in abscondito ("en secret"), qui est rejeté, mais le Dieu du dogme humain et son "Verbe" humanisé ! Dans son immense suffisance et dans sa vanité, l'homme l'a formé lui-même, de sa main sacrilège, avec les matériaux qu'il a trouvés dans sa petite matrice cérébrale, et l'a imposé au genre humain comme une révélation directe de l'ESPACE unique et non révélé. L’Âme du Monde est bel et bien reliée à tous les phénomènes naturels, connus ou inconnus de la Science...

Cf. "La Doctrine Secrète" de la philosophe russe Helena Petrovna von Hahn épouse Blavatsky.

 

Des algorithmes

Le mot "algorithme" vient du nom du grand mathématicien persan Al Khwarizmi (vers l’an 820), qui introduisit en Occident la numération décimale (rapportée d’Inde) et enseigna les règles élémentaires des calculs s’y rapportant. La notion d’algorithme est donc historiquement liée aux manipulations numériques, mais elle s’est progressivement développée pour porter sur des objets de plus en plus complexes, des textes, des images, des formules logiques, des objets physiques, etc. S'il n'existe par de définition universellement admise du mot "algorithme", sa définition simple est un ensemble d'instructions pour résoudre un problème.

"L'algorithme de Dieu" est une notion qui vient de discussions sur la méthode la plus rapide pour résoudre le Rubik's Cube, casse-tête inventé par Ernő Rubik en 1974 et qui s’est rapidement répandu sur toute la planète au cours des années 1980. Il s'applique à la résolution d'autres casse-tête combinatoires et jeux mathématiques. Cette notion renvoie à un algorithme qui donne le nombre minimum de mouvements pour atteindre la solution, un être omniscient étant capable de déterminer le mouvement optimal à partir de n'importe quel état.

On sait que dans son état primitif l’univers était à l’état quantique : il pouvait se développer selon une multitude de possibles estimée à 10 puissance 500 – soit des milliards de milliards de possibilités. Or il n’en a "choisi" qu’une seule ! D’où l’idée d’un logiciel, choisissant, parmi toutes les informations possibles, celle qui a donné l’univers tel que nous le connaissons. C'est un algorithme qui lui a imprimé une direction cohérente et unique parmi toutes les directions qu’il aurait pu prendre.

 

Le Jeu du Vivant consiste pour l'être humain asservi car sous contrôle des Forces involutives de l'Ombre et des Ténèbres - le Non-Être - qui gouvernent la planète Terre au sein de la Matrice de l'Astral*, à retrouver Qui Il Est. Mais l'emprise de ces Forces de prédation est telle que son développement spirituel est lent, avant que de permettre progressivement l'ouverture de sa conscience à la reconnaissance de ses origines. Il n'a pas d'autre possibilité pour ce faire que de dépasser l’emprise excessive de la cérébralité dans l’élaboration de sa pensée, qui découle de la froideur intellectuelle de son égo-mental qui le rend prisonnier des attractions de la matière, de son jugement binaire*² et de leur cortège de souffrances, de luttes, de guerres et autres épidémies psychiques. Tant que son esprit, par la résonance du cœur et l'accès à sa Supra-conscience - l'Esprit universel -, n'est pas en mesure de reconnaître et de comprendre les Lois divines (notamment celle régissant les Influences terrestres), l’Amour pur et bienveillant de la Source originelle est masqué par ses désordres névrotiques et psychotiques, se traduisant par la sensualité, l’égoïsme, le mensonge et la tromperie, la recherche incessante du pouvoir, de l'avoir et du paraitre…

Et c'est pourquoi en l'état, seul un petit peuple de bergers - appelés par les textes les "élu(e)s" -, suit le cours naturel de l’évolution prévue pour l’humanité, et non celui de l'involution des Forces astrales, la cyclicité des morts-vivants.

* Cf. Compréhension structurelle de la Matrice asservissante.

Cf. La dualité décodée.

 

De la théorie de l'évolution

Si cette théorie intrigue, c'est qu'elle caractérise un grand nombre d'événements dont la probabilité de se produire est quasiment nulle. Si son concepteur le naturaliste et paléontologue anglais Charles Robert Darwin (1809/1882) a pu imaginer que les créatures vivantes avaient évolué les unes par rapport aux autres, les évolutions de la science depuis démontrent que cette histoire ne peut fonctionner, en dépit de la farouche résistance de ses partisans. Fabriquer de nouvelles protéines par hasard est tout simplement impossible ! Comment raisonnablement penser que de la "Soupe Primordiale" des propriétés magiques peuvent créer le vivant à partir d'atomes aléatoires, qui s'assemblent au hasard pour former des molécules et aboutir aux produits chimiques, voyant la première cellule vivante apparaitre tout d'un coup pour se répliquer et ainsi créer plus de cellules. Car pour ce faire, elle a eu besoin d'ADN, avec au moins des dizaines de milliers de nucléotides, produits chimiques simples s'unissant pour former une hélice et codant des protéines fonctionnelles... La réalité biologique est que les chances de faire la bonne protéine au hasard sont d'environ une sur 1077 pour une chaîne de seulement 150 acides aminés, alors même que beaucoup de protéines essentielles sont constituées de plus de 1000 acides aminés. Et tout ceci débouche sur l'ADN, code super-sophistiqué pouvant fabriquer des protéines et se répliquer. Tant de  choses se produisant en même temps est si improbable que même les évolutionnistes considèrent cela impossible, sans pour autant remettre en question leurs certitudes ! Absurde ? Pas pour eux, puisque nous sommes des ignorants...
Il en est de même avec l'apparition des virus, de la mutation des bactéries, l'apparition de millions de nouveaux gènes, ou avec la question de comment les organismes unicellulaires se sont transformés en organismes multicellulaires. Nul ne le sachant, le hasard dans les accidents de la "chaîne" a forcément bien fait les choses, ce qui en termes de probabilités va bien au-delà du millionième ! Et comme il n'y a jamais eu aucune intelligence impliquée dans tout cela, tout étant complètement aléatoire, n'importe quelle créature aurait pu évoluer en n'importe quoi. C'est pourquoi, par un hasard très drôle, les humains ont développé le sens de l'humour. Au moins certains d'entre eux...

 

C'est un nombre dit d'or qui est utilisé dans l'agencement des planètes. En effet, si l'on divise le nombre de jours (terrestres) que la Terre met pour faire sa révolution (sidérale) autour du soleil, par le nombre de jours (terrestres) que Vénus met pour faire sa révolution (sidérale), on obtient comme résultat un nombre d'or φ à 99.53% (voir ci-dessous). Ceci se vérifie par le fait que la conjonction Vénus-Terre-Soleil vue de la terre forme une étoile à 5 branches et un pentagone... ces formes géométriques contenant le nombre d'or, clé de la "gravité étendue".

On attribue une découverte essentielle à l'astronome grec Méton (Ve siècle avant J.‑C.) : "Tous les 19 ans, les phases de la lune reviennent aux mêmes dates par rapport au mouvement de la Terre autour du Soleil". Cette découverte appelée "Cycle de Méton" fut rendue publique en 453 av. J.‑C. lors des jeux Olympiques. Cette nouvelle suscita un tel émerveillement que l'on décida d'attribuer la valeur du Nombre d'Or au cycle lunaire de 19 ans. Les Jeux Olympiques anciens et modernes suivent ainsi le demi-cycle de Vénus, l'étoile à cinq pointes était le symbole des Jeux Olympiques par les cinq anneaux qui ont remplacé les cinq extrémités pointues de l'étoile.

L'astronome Kepler l'avait aussi remarqué, s'étant intéressé au lien entre le nombre d'or et Vénus... ce qu'il a généralisé sous forme de la 3ème loi de Kepler, la "loi des périodes", qui est largement utilisée de nos jours en astronomie.... Et de là Newton en a tiré sa loi sur la gravitation, le lien étant un facteur entre une force et une masse planétaire. C'est ainsi que l'on trouve la constante gravitationnelle.

 

De la gravité étendue

La première possibilité d'exprimer la gravité se fait à partir d’une matrice carrée, qui peut être symétrique, non symétrique ou complexe. Ce sont les possibilités a, b et c.

La seconde possibilité est d’édifier une théorie de la gravité reposant sur une relation qui ressemble à un cube au lieu d’une matrice. Là aussi il y a trois possibilités : pas de courbure mais de la torsion, pas de torsion mais de la courbure, torsion et courbure. Ce sont les possibilités 1, 2 et 3.

Une troisième possibilité est d’utiliser une combinaison de ces deux types de spéculation.

Une quatrième ne reposerait sur rien de ce qui précède, mais serait de partir d’un cube irrégulier ou d’un carré irrégulier.

Une cinquième est d’utiliser autre chose que tout ça, soit un "complexigramme octogonal".
Il n'est qu'à se référer aux travaux de physiciens parlant de générateurs spéciaux nommés "champ de spin", un nouveau type de champ qui pourrait pénétrer le plomb sans aucun problème. Le générateur de ce type de champ consiste grosso modo en des morceaux de ferrite qui tournent avec des petits aimants à l’intérieur. Ce champ peut être détecté par les êtres humains dans l’état de perception approprié. Autrement dit, il s'agit d'une sorte de gravité étendue par torsion, le spin étant censé être une source de torsion dans l’espace. C'est le concept de force de gravitation étendue, qui se rapporte à la gestion de l’espace/temps.

 

C'est la raison pour laquelle le nombre d’or a été utilisé pour atteindre l’équilibre et la beauté dans de nombreuses peintures et sculptures de la Renaissance. Le peintre italien polymathe (à la fois artiste, scientifique, ingénieur, inventeur, anatomiste, sculpteur, peintre, architecte, urbaniste, botaniste, musicien, philosophe et écrivain) Léonard De Vinci (1452/1519) a utilisé le nombre d’or pour définir toutes les proportions de son célèbre tableau La Cène (L'Ultima Cena, "le Dernier Souper"), y compris les dimensions de la table et les proportions des murs et des fonds. Le nombre d’or apparaît également dans d'autres de ses œuvres, comme l’Homme de Vitruve et la Joconde (ou Portrait de Mona Lisa).

 

La poule et l’œuf

Si la première cellule est plus ou moins apparue dans l’eau de mer, environnement vital de base pour la connexion avec le champ d’information cosmique*, il reste toujours la question de savoir comment cette cellule est apparue parce qu’elle est irréductiblement complexe, en ce sens que la cellule a besoin de l’intérieur de la cellule, comme le génome et les protéines, afin de créer la cellule par auto-réplication. A l’intérieur de la cellule, c’est la même chose avec l’ADN : l’ADN a besoin de protéines et d’enzymes pour se répliquer et faire tout ce qu’il fait. Mais les protéines et les enzymes ont besoin d’ADN pour se produire. Il semble que toutes les choses doivent arriver en même temps !

* Le génome fabriqué en 4ème densité est envoyé à travers le rideau dimensionnel d’une manière similaire à la façon dont les virus sont transmis. Ceci entend que la cellule se manifeste simplement. Ça prend forme et on dirait que c’est sorti de nulle part.

Du nombre d'Or Phi

C'est en observant la façon dont la Nature procède en matière de reproduction que se dessine sa dimension sacrée. Le développement mystérieux du germe voit ainsi sa croissance guidée par une force invisible, qu'illustre le nombre "d’or". Il voit ainsi le germe constitué des deux polarités nécessaires à sa croissance, l'une de nature masculine (principe électrique), l'autre de nature féminine (principe magnétique). Elles s'écrivent en langage mathématique 1 et 1, car indissociables, elles sont indifférenciées quant à leur primauté. La loi de développement par leur addition, constitutif d'un nouveau terme résultant de l’union réalisée, qui s'additionne à son tour au précédent pour créer un nouveau terme, et ainsi de suite.

Se forme ainsi la suite complète : 1 ; 1 ; 2 ; 3 ; 5 ; 8 ; 13 ; 21 ; 34 ; 55 ; 89 ; 144 ; 233 ; 377 ; 610 ; 987 ; 1597 ; 2584 ; 4181 ; 6765 ; 10946 ; 17711… Celle-ci, représentée sous forme de quotient et non plus sous forme décimale, permet d'établir le nombre d’or, soit ϕ = 1,6180339887 (il est souvent symbolisé par Phi, d’après la 21e lettre de l’alphabet grec).

Ce nombre spécial est trouvé par la division d'une ligne en deux parties, de telle sorte que la partie la plus longue divisée par la partie la plus petite soit également égale à la longueur totale divisée par la partie la plus longue. Sous forme d’équation, elle se présente comme suit : a/b = (a+b)/a = 1.6180339887498948420…

C'est bel et bien le nombre 1, la Force sacrée divine, qui engendre très naturellement le nombre d’or, qui traduit la "géométrie de la pensée"* dans notre monde en 3 dimensions, Phi étant un élément clé du puzzle qui concerne les ondes de gravité et leur traduction sous forme de champs magnétiques ou de propriétés minérales ! C'est pourquoi les rapports des périodes orbitales des planètes successives du système solaire, des satellites des systèmes planétaires géants et des exoplanètes des systèmes exoplanétaires sont préférentiellement plus proches des fractions irréductibles formées avec des nombres de Fibonacci. Les distances planétaires au sein de notre système solaire sont harmoniquement disposées dans le rapport de la moyenne d'or ou Phi. Ce fait fournit une base pour soutenir un Univers très bien organisé.

* Elle explique une inconnue par une inconnue, dans la mesure où nous ne pouvons connaître en notre état limité le monde en quelque sorte flottant des dimensions de densité supérieures. Il y a seulement avec les mathématiques, les nombres premiers et le nombre d'Or des indices, signifiant qu’il existe des structures mathématiques exceptionnelles qui ont été choisies dans le processus création parce qu’elles sont exceptionnelles.

 


Le secret du Fou

Dans la magie numérologique qui se cache derrière les motifs du Tarot initiatique*, la carte du Fou également appelée "Le Mat" (image 1) est généralement associée au zéro, soit le Tout à l'état primal. Le Fou est l'être humain (l'Ego) en chemin dans le Jeu de la Vie*², appelé à l'éveil de sa conscience pour se souvenir et (re)devenir Qui Il Est, le Tout réalisé. Son premier travail est, en expérimentant la matière, d'en comprendre les symboles pour acquérir la Connaissance. Il est "Le Bateleur", premier arcane (carte) numéroté. C'est pourquoi certains ésotériques le relient à l’aleph, la première lettre de l’alphabet hébraïque (image 2, l'arcane du Bateleur dans ce jeu de tarot italien du milieu du 19ème siècle voit la lettre en hébreu aleph, en haut à droite, se refléter dans la posture de ses bras).

Le secret ("ce qui se crée") du Fou est le conflit apparent entre le zéro - le cercle originel - et l’un, le chiffre un qui se tient seul et droit devant tous les autres nombres. Il est le reflet intime de la nature du Fou, l'être humain, qui se tient toujours seul devant ce qu’il expérimente. Il est l’unique observateur de la pièce de marionnettes qui se produit devant lui et qui le met en tension, en déséquilibre, tant qu'il n'a pas percé le voile de l'oubli de son origine divine pour permettre au Soi supérieur la guidance éclairée de sa vie dans la matière terrestre... Il est à la fois un zéro et un un, représentant quelque chose qui semble être sans fondement – une seule chose séparée du Tout – et qui, en même temps, semble être une unité complète, une individualité unique. Ce conflit entre non-être et être est l’un des thèmes sous-jacents du célèbre monologue du Prince Hamlet dans la pièce de Shakespeare commençant par "Être ou ne pas être...". Il exprime le grand paradoxe de l'univers, où l'apparent vide (99,999999... % selon la science quantique) - le non organisé - génère le réel - l'organisé, l'ordonné -. C'est pourquoi en faisant le vide en soi (de toutes les croyances et de tous les conditionnements logés dans l'inconscient), nous retrouvons notre pleine puissance, celle de l'Unité première et dernière, l'Alpha et l'Oméga fusionnés...

* Cf. Le sens caché du Tarot initiatique.

Cf. Le Jeu de la Vie & Le cheminement de l’Âme.

 

Du zéro

Lorsque deux unités de réalité opposées se rencontrent, cela génère ce que l’on pourrait appeler une friction. Celle-ci, pendant un laps non mesurable de ce que nous appelons "temps", crée un état de non-existence, ou un arrêt des mouvements de toutes les fonctions. C’est ce qu’on appelle un conflit. Entre, ou à l’intersection d’entités en conflit, on trouve toujours zéro temps, zéro mouvement, zéro transfert, zéro échange.


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Dimension sacrée involutive (1) : le sacre du "Démon"

Conformément à la loi de la dualité prévalant dans la structuration et le fonctionnement du Vivant, chaque nombre est porteur des deux polarités, évolutive et involutive. Le nombre 1, la Force divine, n'y échappe pas, comme l'atteste le sacre des monarques appelés à régner sur la matière terrestre.

2017 - 1 en réduction numérique - a ainsi consacré l'élection d'Emmanuel Macron lors des présidentielles de la République tricolore, autrement dit du royaume de France. Il est alors nécessaire pour en comprendre le sens profond de se référer à l'énigmatique quatrain 39 (XXXIX) des prophéties de Michel de Nostredame (1503/1566) dit Nostradamus, un voyageur du temps venu du futur pour enseigner comme d'autres grands initiés (St Jean, Ulrich de Mayence, Edgar Cayce...) et tirant ses informations des "annales akashiques"...

    Le pourvoyeur du Monstre sans pareil,

Se fera voir ainsi que le soleil

Montant le long la ligne Méridienne,

En poursuivant l’Éléphant et le Loup,

Nul Empereur ne fit jamais tel coup,

Et rien de plus pis à ce Prince n'advienne.

Le pourvoyeur du "Monstre" sont les puissances financières bancaires qui prédominent depuis Babylone dans l'orchestration prédatrice à l'échelle planétaire de la gouvernance humaine*, leur avidité gloutonne étant destructrice des âmes et consciences afin de nourrir la prédation de 4ème dimension, les Forces de l'Ombre et des Ténèbres, autrement dites lucifériennes (potentiellement évolutives) et sataniques (définitivement involutives). Le nouveau monarque (Macron est l'anagramme de monarque - "Monarc") -, qui en est issu, est appelé à poursuivre leur œuvre de pouvoir et de domination (l’Éléphant, symbole par ailleurs du parti républicain étoilé), servant ainsi le dieu chacal Anubis (le Loup), le gardien des Enfers autorisé à dévorer les âmes n'ayant pas réussi leur individuation. Cette "œuvre" sombre est censée désormais en cette fin de cyclicité entraîner le pire (pis)*²...

Il est porteur par la programmation de sa date de naissance - 21 décembre 1977 - de l'énergie des forces démoniaques célébrées depuis la nuit des temps pendant le solstice d'hiver par les adorateurs de Ba'al*³, et placé sous le signe du Sagittaire, le neuvième signe astrologique du Zodiaque dénaturé car désacralisé gouverné par la planète... Jupiter, également planète rectrice de la nation France, dont le patronyme vicié a subrepticement été substitué à la Gaule (Galliae en latin) par ses concepteurs faussaires au moment de la Révolution des (fausses) Lumières. Ce patronyme sacré cache en effet les clés du mystère du Vivant, pour qui sait décoder le sens profond de sa racine !

* Cf. Le modèle européen décodé (2) L'idéologie mondialiste.

Cf. Prophétie du changement.

*³ Cf. Les psychopathes qui nous gouvernent - La symbolique cachée de Noël. Le 21.12 (miroir inversé) contient la puissance du nombre 6 (voir plus en avant), décuplée par celle se dégageant de 1977 qui équivaut aussi à 6 (1+9+7+7). En sachant qu'il a été élu à 39 ans - 12, soit le verrou du 9, le Tout accompli -, nous pouvons comprendre la nature véritable de la puissance qui le gouverne au sein de la Matrice astrale...

La soirée de son intronisation présidentielle, le 14 mai 2017, suite au "coup d’éclat/État" réalisé par les puissances le soutenant (multinationales et groupes médias d'influence leur appartenant) et nommé vainqueur avec... 66,06% des voix (le 666 chiffre de la Bête apocalyptique), le voit remonter en "bon marcheur" (photo 1) la ligne méridienne qui traverse la cour du Louvre, anciennement lieu d'élevage de... loups, et haut lieu tellurique d'énergie négative tout particulièrement par la pyramide qui y est érigée (photo 2). Ainsi se fait-il voir, tel le soleil, noir il va sans dire, son pendant rouge (les couleurs du démon) étant figuré par le "3ème Œil" de la pyramide qui rougeoie à ce moment là à son sommet. La couleur blanche quant à elle est celle du drapeau républicain (dans sa partie centrale) comme royaliste (monarchique), correspondant à la ligne méridienne censée l'emmener vers le royaume "céleste", en l'occurrence celui de la Mort, le champ de l'Astral. Cette cérémonie "satanique" n'est rien d'autre que le détournement alchimique de la Conscience universelle, visant à honorer les démons de l'astral et leurs relais terrestres asservisseurs. Et lorsque c'est le groupe ivoirien Magic System qui accompagne la fête du sacre sur scène, nous pouvons par cette signature en forme de clin d’œil (le troisième...) en conclure qu'il n'y a bel et bien aucune place laissée au hasard ! D'ailleurs, dès le lendemain, le nom de domaine giletsjaunes.com était acheté et déposé, sa date d'expiration étant prévue pour le 15 mai 2020...

 

Dimension sacrée involutive (2) : "1792" -1-, le génocide de la mémoire collective

La date de 1792 se trouve dans l’Épître à Henri II des prophéties de Michel de Nostredame, rédigée le 27 Juin 1558. Il est dit qu'il "sera faicte plus grande persécution à l'Eglise Chrestienne que n'a esté faicte en Afrique, et durera ceste-icy iusques à l'an mil sept cens nonante deux (...) que l'on cuidera [croira] être une rénovation du siècle". Cette tourmente révolutionnaire qui va secouer la France entre 1789 et 1799 marque la politique de laïcisation brutale par l'instauration en 1792 du calendrier révolutionnaire de la Terreur afin d'obtenir par le génocide l'effacement de la mémoire collective des Gaulois porteurs pour nombre du génome sémite, le génome du Kiristos (la conscience christique).

L’armee Celtique contre les montaignars,

Qui seront sçeuz & prins à la pipee :

Paysans frez pouseront tost faugnars,

Precipitez tous au fil de l’espee.

IV-63

C'est ainsi que les bretons ("L’armée Celtique") se sont opposés militairement aux révolutionnaires issus du mouvement montagnard, par une armée composée de paysans ayant refusé la conscription militaire pour alimenter en hommes les guerres de l'idéologie révolutionnaire découlant du génome aryen ("frez pouseront tost faugnars"). Cette troupe révolutionnaire a écrasé dans le sang ("Precipitez tous au fil de l’espee") la Bretagne et la Vendée pour mettre fin à l’insurrection contestataire de l'hydre révolutionnaire*, exécutant dans sa rage folle les prisonniers ("Qui seront sçeuz & prins à la pipee")... La France, jusqu'alors considérée comme un parangon de civilisation, a sombré en moins de dix ans dans le chaos complet – 40 000 morts durant la révolution elle-même, puis jusqu’à six millions durant les guerres napoléoniennes qui s’en sont suivies. Une fois encore, les icônes du passé – l’Église, l’aristocratie et la société civile – ont été réduites en miettes. Les prêtres ont dû jurer allégeance au nouveau gouvernement révolutionnaire. A Nantes, ceux qui refusaient étaient enchaînés les uns aux autres et jetés dans la Loire.

* Elle est comparable toutes proportions gardées à la féroce répression en 2019 du mouvement des gilets jaunes par la garde républicaine (les compagnies de CRS), qui a entraîné nombre de mutilations parmi les manifestants.

 

Des "Fils de la loi d'Un"

Le mystique américain Edgar Cayce (1877/1945)* a parlé à différentes reprises dans ses célèbres transes sous hypnose des "Fils de Bélial"*² et "Fils de la loi d’Un". Il traduisait par là toute l’idée monothéiste, qui est le concept de base des "Fils de la loi d’Un", autrement dit le moyen de contrôle le plus ingénieux, sournois et malin mis en œuvre pour l'asservissement des humains. Il en découle que les religieux disent qu'ils ont le SEUL dieu, qu'ils sont ses représentants, et qu'en donnant notre argent ils lui diront d’être bon avec nous dans le prochain monde ! C'est astucieux si l’on est dupé, idiot si on ne l’est pas. Cette supercherie, ce mensonge laissant entendre que le "pouvoir" est ailleurs, est incroyable. Les "Fils de la Loi d’Un" ont été pervertis au judaïsme monothéiste, qui a ensuite été transformé en mythe religieux chrétien, et érigé en thème continu depuis l’époque de l’Atlantide.

* Edgar Cayce s’est taillé l’une des plus solides réputations du XX° siècle pour ses pronostics sur les changements planétaires, utilisant pour ce faire une composition biochimique unique lui permettant une ouverture et une fermeture faciles de sa conscience vis-à-vis de sources externes, sans interférence avec son flux électromagnétique. Un grand nombre de ses prophéties ne se sont pas réalisées, et peuvent de ce fait paraître erronées. Par exemple, il avait prophétisé que l’Atlantide referait surface en 1969. Or, ça n’a pas été le cas, bien qu’au large des côtes des îles Bimini (archipel et district des Bahamas), on ait découvert certaines structures que beaucoup considèrent comme des vestiges de l’Atlantide. Il semble qu’elles aient émergé du sable à cette période-là.

Bélial ou Béliar est un terme qui apparaît dans la Bible hébraïque. Il personnifie le Mal dans la tradition juive et chrétienne de l'Antiquité, et figure parmi les démons dans les croyances occultes. L'étymologie du mot est souvent comprise comme "sans valeur", à partir de deux mots courants : beli ("sans") et ya'al ("avoir de la valeur"). Dans "La Guerre des Fils de la Lumière contre les Fils des Ténèbres", l'un des parchemins en papyrus de la Mer Morte également appelés manuscrits de Qumran mis au jour principalement entre 1947 et 1956 en Palestine mandataire (1947-1948), Belial est le chef des Fils des Ténèbres. Il est utilisé à une seule reprise dans le nouveau testament.

 

Le nombre Deux - 2 - : la Création

 

Il faut deux éléments pour créer quelque chose. Cette loi universelle s’applique à tous les domaines de la création.

Il en est ainsi de la reproduction sexuée des plantes, animaux et des êtres humains. Les deux genres "mâle" et "femelle" sont le produit d’une longue évolution qui permet la reproduction, c'est-à-dire la création d’un être nouveau de la même espèce.

Il faut également deux composants, un carburant et un comburant, pour créer une combustion - par exemple l’hydrogène et l’oxygène -, l’un n’allant pas sans l’autre.

La médecine ancestrale chinoise distingue quant à elle deux sortes d’énergie dans le corps humain, nommées yin, principe féminin, et yang, principe masculin. L’équilibre parfait du yin et du yang crée un bon état de santé du patient.

Cf. La dualité décodée.

 

Une pile électrique possède deux pôles, l’un positif et l’autre négatif, sans lesquels elle ne pourrait créer aucun courant électrique.

 

Pour créer un atome, il faut deux sortes d’électricité, l’électricité positive dans le noyau de l’atome et l’électricité négative dans chacun des électrons qui forme l’enveloppe du noyau.

Ainsi l’atome de carbone comporte une enveloppe de 6 électrons, dite charge électrique négative - 6, et un noyau, dit charge électrique positive 6.

Algébriquement, la complémentarité des 2 genres s’écrit 6 + (- 6) = 0. Loin de représenter le néant ou le vide, le zéro traduit l’une des formes de l’équilibre parfait qui existe entre les forces de l’univers.

Il en est de même pour le magnétisme. Un aimant possède toujours un pôle positif (pôle Nord) et un pôle négatif (pôle Sud). C’est intangible. Les deux pôles sont non seulement complémentaires mais aussi inséparables. La complémentarité positif/négatif est une loi suprême de l’univers.

 

A plus grande échelle, la Terre elle-même possède un pôle Nord magnétique et un pôle Sud magnétique autour desquels s’entend une gigantesque enveloppe magnétique protectrice qui l’abrite des vents solaires et sans laquelle la vie terrestre ne pourrait subsister : la magnétosphère.

 


 

Les deux énergies nécessaires au bon fonctionnement de Ce Qui Est sont qualifiées de positive et de négative, chacune ayant ses spécificités propres. Les courants qui en découlent prennent la forme de mouvement elliptiques comme l’ont noté les astronomes en observant la formation des étoiles et des galaxies.

Genre POSITIF (+)

Actif, vigoureux, robuste, structurant, visible, concret, réalisateur.

Il met en forme, exerce l’autorité, pose des limites, cadre et encadre, affirme, affronte.

Genre NÉGATIF (-)

Sensible, fin, intuitif, subtil, délicat, inspirateur, consolateur, guérisseur.

Moins visible, il agit puissamment par le rayonnement de sa seule présence afin d'assurer l'harmonie.

 


Ainsi, en partant de l'Absolu - le "Big Bang" originel pour une partie du corps scientifique, le "Saint Graal" pour les théologiens -, la Force divine cosmique, principe initiateur créateur (nombre 1), actionne le mouvement de la création par l’irradiation (nombre 2), soit la Lumière jaillissant, celle-ci se scindant en deux courants  pour assurer sa dynamique de fonctionnement : un courant positif et un courant négatif. De ce fait, les 2 genres "positif" et "négatif" se retrouvent dans l’ensemble de la manifestation de Ce Qui Est, leur interaction permanente la structurant. Ils créent des courants qui, prenant la forme de mouvement elliptiques, contribuent à la formation des étoiles et des galaxies. La Lumière ou Clarté, à caractère sacré, est ainsi établie (nombre 3). C'est le passage de l'UN FINI - l'Infini - au DÉFINI, au déterminé. Autrement dit, le passage de l’ÊTRE au PARAITRE !

 

Le nombre 2 permet l’apparition de la forme humaine par des Êtres de Lumière, les Forces planificatrices essentielles du Vivant (les archétypes "archanges et anges" des religions, les "bonnes fées" des contes et légendes). Elles la revêtent de 2 enveloppes, l'une de nature éthérique, l'autre de nature physique. C'est ce qui se nomme les "flammes jumelles". La forme humaine se dirige vers les premiers plans de la matière, freinée puis stoppée par la densité croissante de la matière qui commence à poindre sous l'effet de la gravité. Elle vient d’atteindre le stade intermédiaire, le champ de l'Astral, soit la quatrième dimension de réalité, avant que de s’enfoncer dans son "sol", tel une graine plantée en terre. C’est alors qu'elle va pouvoir s'éveiller après son accouchement terrestre, via deux canaux relais masculin et féminin, à la conscience, individuelle comme collective, sous gouverne de la Force de l'Ombre et des Ténèbres, gardienne du monde involutif qu'est la matière terrestre. Elle doit l'expérimenter de différentes manières, avant que d'aspirer par le canal de son âme où gît l'Or originel * à retourner à la Source, la matrice cosmique, si elle (re)trouve les clés cachées en elle de son ascension *²...

* Cf. Le cheminement de l’Âme.

Cf. Le chemin de l'Ascension.

 

Le nombre des Cathares et Templiers

 Le chiffre deux revêt une importance particulière pour les Templiers dont le sceau de l’Ordre (Cf. image) représente deux hommes sur un même cheval.

Il signifie d'abord l’expression du principe manichéen que l’on retrouve dans les sectes messianiques (ainsi les fils de la Lumière contre les fils des Ténèbres chez les Esséniens, ou l'Apocalypse chez les Nazaréens). Nous pouvons d'autant mieux comprendre l’irréductible opposition de l’Église de Rome (Roma en italien) et des Cathares - il en a été de même avec les Bogomils* -, que ce soit sur la Terre ou dans le Ciel, ces derniers étant horrifiés par l'utilisation de la croix comme instrument du supplice. Aussi considéraient-ils l’Église romaine comme le mal absolu, opposé au principe d’amour (amor en latin est l'inverse de roma...). Dans le Ciel, les Cathares*² croient en un principe Divin supérieur et pur esprit, tandis qu’à leurs yeux, Rome et le monde matériel sont la création d’un démiurge, Prince de la matière et du Mal, l’ange préféré mais déchu.

Le nombre deux signifie ensuite le dédoublement du nom de Jésus Barabbas - Bar Abbas ("Fils du Père"), le Christ historique, en un Barabbas séditieux et brigand (nom donné par les Romains aux Sicaires et Zélotes). Le Jésus de la Foi (celui des évangiles) masque celui du crucifié, le faux Jésus, se parant insidieusement des habits de vertu du Baptiste et de son successeur...

Il fait également référence au Yin et au Yang, les deux grandes forces énergétiques contributives au fonctionnement de l'univers, que nous retrouvons à travers les Gémeaux (en juin), l’homme physique, et le Verseau (en février), l’homme spirituel.

* Le bogomilisme était un mouvement chrétien hétérodoxe né au Xème siècle (aujourd'hui disparu) dont le nom vient du prêtre bulgare Bogomil. Il s'est développé en Bulgarie, puis en Serbie et ensuite en Bosnie, influençant une grande partie des Balkans. Tout comme le catharisme, il se nourrit de l'enseignement chrétien originel non dénaturé par ses idéologues faussaires, autrement nommé le paléochristianisme, soit l'Unification du but de l'espèce humaine pour survivre et éviter la destruction pesant au-dessus d'elle suite aux machinations de la pathologie qu'est la psychopathie prédatrice découlant des influences hyperdimensionnelles. Ce christianisme "ésotérique" est tout à fait semblable au chamanisme sibérien ancestral, soit le reste dégradé de ce qui doit avoir été la "religion" des Peuples du Nord, les constructeurs de mégalithes, dans les temps préhistoriques.

Cf. "La Science antique : Redécouverte des Mythes et de l'Histoire", de Laura Knight-Jadczyk (2002).

Du grec Katharos, signifiant "pur", physiquement par le feu de l'Esprit pour ne pas amener d'impureté, moralement (spirituellement) pour être libéré dans la vie terrestre des désirs corrompus, des vices et de toute culpabilité, les Cathares constituèrent une véritable civilisation d'êtres justes et respectueux de la vie qui s'est épanouie vers les 11ième et 12ième siècles notamment dans le sud de la France. Ils étaient appelés de manière sarcastique "Les Parfaits". Leur symbole était le laurier, "l'Or y est". Ils furent impitoyablement exterminés par l’Église romaine papale lors de la croisade dite des Albigeois par l'entremise d'Arnaud Amaury ou Arnaud Amalric, abbé de Poblet, de Grand Selve, puis de Cîteaux, archevêque de Narbonne, à qui est prêtée la phrase "Tuez-les tous Dieu reconnaîtra les siens". Autrement dit, être Cathare, c'est être libre de tout mélange à ce qui est faux, être sincère et véritable, authentique à Sa Nature première.

 

Le nombre Trois - 3 - : la Lumière divine (le Masculin Sacré)

 

Quelques exemples tirés de la vie réelle - un atome est composé de trois particules subatomiques (proton, neutron et électron) - ou spirituelle : la Sainte Trinité (Dieu, Jésus et le Saint-Esprit) de la Sainte Bible, la mythologie égyptienne mettait en scène trois dieux qui représentaient le ciel, la terre et l’abîme.

 

Le nombre trois est intimement relié à l’activité de Ce Qui Est, le mouvement du Vivant, qui se nourrit de ses trois grandes composantes, la Volonté, l'Intelligence, l'Amour. C'est pourquoi cette Trinité divine est à l’échelle humaine représentée au moyen d’un triangle, dont la pointe supérieure figure Celui/Celle Qui Est, qui, dans Sa Sagesse et Sa Bonté infinies, a conçu notre cadre d’expression. "Il" peut de ce fait être nommé Notre Père, étant également représenté par trois cercles entrecroisés, constitutifs d’une dynamique de création nommée La Fleur de Vie*. Les différentes religions relient quant à elles chaque élément constitutif de la Trinité divine*² d’une figure spécifique à leur dogme enseigné.

Cette "Loi de Trois" explique que tout ce qui est existe comme résultat de l'action convergente sur un même point et au même moment de trois forces : active, passive et neutralisante. Comme telles, elle représentent dans l'Univers créé la manifestation des trois conditions de la Création conçues dans la préexistence du Monde par la Divinité non manifestée. Ainsi, la force passive est la dérivée de la condition statique : l'Espace; la force active est la dérivée de la condition dynamique : le Temps; enfin, la force neutralisante assure le maintien dans l'Univers de l’Équilibre sur tous les plans et à tous les échelons. Ces trois forces sont agissantes, leur désignation étant faite d'après le rôle que chacune d'entre elles joue dans la coopération qui donne naissance au phénomène considéré. C'est pourquoi la vie dans l'Univers n'est qu'un perpétuel processus de création dans tous les domaines, sur tous les plans et à tous les échelons.
L'exemple classique que donnent du jeu des trois forces les écoles initiatiques est le pain. Pour faire du pain, il faut avoir de la farine, du feu et de l'eau. La farine, dans cet exemple, est le conducteur de la force passive, le feu de la force active, l'eau de la force neutralisante. La substance qui sert, dans un cas, de conducteur à la force passive peut, dans d'autres cas, être conductrice de la force active, dans un troisième cas véhicule de la force neutralisante. Selon l'action des trois forces à travers la matière, la Tradition fait les distinctions suivantes : lorsqu'une substance sert de conducteur à la force passive, on l'appelle Oxygène (O); lorsqu'elle sert de conducteur à la force active, on l'appelle Carbone (C); lorsqu'elle sert de conducteur à la force neutralisante, on l'appelle Nitrogène - Azote (N). Considérée indépendamment des forces dont elle est la conductrice, la substance est appelée Hydrogène (H). Ces forces sont contenues dans le "secret" de la Tétraktis pythagoricienne (Cf. nombre 9).

Il va de soi que si le concours des forces demeure pauvre ou stérile, conduisant à l'échec, c'est que leur coopération ne fut pas intégrale, le défaut pouvant provenir de l'une des trois forces, de deux d'entre elles et même des trois. Ainsi par exemple avec la même bonne farine, le pain sera mauvais ou même immangeable si l'on y met trop d'eau — ou pas assez — ou si le feu est faible ou trop fort... La leçon est que la force passive contient en elle toutes les possibilités de la création du phénomène, alors que la force active y intervient comme le réalisateur et la force neutralisante comme le régulateur des rapports entre les deux autres forces en les dosant de manière optimum. Cela explique et justifie l'attribution de la primauté, dans le monde phénoménal, le monde des formes, à la force passive !

* Cf. Le processus créatif décodé.

Cf. Le modèle européen décodé (1) Un ADN impérial païen.

 

Signification ésotérique

Dans la constitution biologique de l'être humain*, l'accès au centre émotif supérieur constitue l'accès au niveau de la conscience du Moi réel, individuel, ou Soi réalisé en psychologie. De son côté, l'accès au centre intellectuel supérieur l'élève au niveau de la Conscience qui constitue, par la communion intérieure qu'elle comporte, sa participation au Moi universel, la Conscience universelle de Ce Qui Est. C'est alors la fin de l'évolution possible pour l'homme dans les conditions terrestres, la matrice involutive en 3-D gouvernée par les forces involutives du champ de l'Astral situées en 4-D, avant que d'évoluer dans une dimension de densité supérieure, la "5-D". C'est ainsi que l'Apôtre saint Paul a dit à propos de cette perspective grandiose "Nous savons... que toutes choses concourent au bien de ceux qui aiment Dieu, de ceux qui sont appelés selon Son dessein. Car ceux qu'Il a connus d'avance, Il les a aussi prédestinés à être semblables à l'image de Son Fils, afin que son Fils fût l'aîné d'une multitude de frère." (Romains, VIII, 28-29).
Nos centres supérieurs sont ainsi deux étincelles divines : l'une issue de l'autre. Le centre émotif supérieur est l'étincelle du Fils, le centre intellectuel supérieur est l'étincelle du Père sous son aspect consubstantiel de Saint-Esprit. Ici se trouve la différence essentielle, signalée par saint Paul, entre philosophie et tradition humaines d'une part, et, d'autre part, Tradition ésotérique. Il en résulte que le chemin à parcourir depuis la naissance jusqu'au sommet est celui de l'évolution du Moi, prenant des formes toujours nouvelles sans toutefois anéantir les anciennes. Le
poète et homme politique russe Gavrila Romanovitch Derjavine (1743/1816) a défini cette évolution dans sa formule célèbre : "je suis ver, je suis esclave, je suis roi, je suis dieu"... En s'attachant à pénétrer dans sa cage ou caverne intérieure, l'être humain verra la cage extérieure, l'Univers dans toute sa réalité et son unité, car l'une et l'autre ne font qu'un !
* Cf. Fonctionnement du corps biologique. Extrait de "Gnôsis" de l'écrivain russe Boris Mouravieff.

Trois est le nombre de la Lumière/Clarté divine, de ce fait sacrée. Si Ce Qui Est est unique et indéfinissable, Son action de création - Sa Volonté - est inséparable de son Amour et de son Intelligence, l’un étant de polarité passive (magnétique) ou féminine (Son Amour), l’autre de polarité active (électrique) ou masculine (Son Esprit, Son Intelligence). C’est pourquoi la Lumière divine est tri-unitaire, les trois dimensions constitutives étant reliées entre elles par de puissants faisceaux de radiations représentés symboliquement par les trois côtés du triangle (images 1 à 3), les "trois Hypostases" de la Trinité. Lorsque le Christ Jésus (Le Fils) disait : "Croyez-moi, je suis dans le Père et le Père est en moi." (Jean 14 : 11), il enseignait notre filiation issue de l’Amour (principe maternel) du Père (principe paternel).

Le but de la vie est d'apprendre, en organisant les morceaux d’information (les particules élémentaires) du champ cosmique reçus par l'esprit et le corps. La collecte d’information, la recherche et l’apprentissage sont les facteurs les plus importants, tout comme l'application de ce qui est appris. C'est ce qui permet l'expansion de l’être, la conscience, dynamique fondamentale de toute réalité par sa nature d'attracteur de l'énergie cosmique, autrement dit de courant électrique voyant toute une ribambelle d'électrons par ici circulant vers là-bas du fait d'une différence de charge. Le pont entre l’information et la matière, l'impulsion, est établi par la gravité. Les ondes de gravité instables caractérisent l'électromagnétisme, la source de lumière, l'ADN comme macromolécule biologique présente dans toutes les cellules étant le récepteur comme antenne, intermédiaire entre le champ d’information et l’organisme. Comme le champ d’information module quelle partie de l’ADN est activée et quelle partie est désactivée, les pensées manifestées par l'esprit sont déterminantes, sources d'harmonie ou de virus... C'est ainsi que l'être humain peut restaurer les codes originaux de ses codons d’ADN tronqués, et intégrer les nouveaux.

La Lumière divine fait ainsi vibrer l’ensemble de l'Œuvre depuis les plus hautes sphères spirituelles jusque dans les profondeurs et noirceurs de la matérialité terrestre viciée, domaine de densité électromagnétique moindre. Elle est source d'équilibre, d’harmonie bienfaisante lorsque les êtres humains apprennent à s’extraire de la dualité*, ce qui se retrouve dans les associations à trois composants de leurs actions de vie. L'un vient à manquer, et l'harmonie est rompue, d'autant que s'il y a plein de forces positives dans le cosmos, il n'y a simplement pas assez de gens qui travaillent à être éveillés et conscients, qui suivent leurs instincts pour ainsi dire et laissent l'univers - en réalité le champ involutif de l'Astral - guider, conduire et amplifier pour que tout ça se manifeste (ne pas oublier que c'est nous-même dans le futur qui sommes le programmeur qui nous dirige) ! C'est pourquoi elle est représentée par le troisième œil (image 3), en référence à ce passage des Évangiles : "La lampe du corps, c’est l’œil; si donc ton œil est simple, ton corps tout entier sera plein de lumière." (Mathieu 6:22). En le comprenant, l'être humain sait qu'il possède un corps parfait pour œuvrer dans la matière*², à l'image de tous les soi-disant "arts martiaux", qui ne sont que des tentatives de réaliser physiquement, par le biais de "techniques", ce qui était obtenu autrefois par la parfaite maîtrise de l’énergie. Reste à appliquer la Volonté par la maîtrise de la science atomique, en Intelligence, sa fusion avec l'Esprit universel, dans l'Amour de Ce Qui Est !

* Cf. La dualité décodée.

Cf. Qu'est-ce que l'Homme ?

 

De l'Œil

Le symbole de l'Œil est un des plus prisés et utilisés dans les rituels et cérémonies de la Tradition initiatique (ainsi l’Œil d’Horus chez les Égyptiens - image 4), ou les confréries initiatiques à caractère occulte comme la Franc-Maçonnerie (le troisième Œil du modèle pyramidal - images 5 à 7), de même pour qualifier les "Illuminati", les relais terrestres à haut niveau et aux manettes dans les coulisses du consortium prédateur de la 4ème dimension de densité. L'Œil Moaï (image 8) évoque l'utilisation du symbole de l’œil dans les anciennes civilisations (Inde, Yucatan, îles du Pacifique, Égypte...), faisant le lien avec la précédente engloutie, l'Atlantide. Les yeux des Moaïs que l'on a retrouvés sur l'Île de Pâques possédaient des yeux blancs fait de coraux, l'iris rouge étant en tuf volcanique ou noir obsidienne. Ils indiquent la provenance du pouvoir spirituel, le "mana"*. Il est le symbole de l'union des qualités solaire et lunaire, faisant référence à l'état édénique, "monde parallèle" à un niveau bien plus subtil que notre troisième densité terrestre. Quant à l'œil d'un cyclone tropical, fait de vents dévastateurs qui tournent en rond, il est une zone de vents calmes et de temps clément, siégeant en général au centre de la circulation cyclonique, à l'image de la conscience christique (Jésus pour les chrétiens*²), qui incarne ce lieu au cœur de nos tempêtes. Il est délimité par le mur de l'œil, un mur d'orages où la plupart du temps extrême du cyclone se produit. 

Dans la mythologie grecque, Hypnos (en grec ancien Húpnos - image 9) est le dieu du sommeil, connu chez les Romains sous le nom de Somnus. Il est également considéré comme le gardien de la nuit, qui reste éveillé quand le monde est endormi (le prédateur asservisseur nous maintenant dans l'hypnose). Il est en effet le fils de Nyx, la Nuit, et le frère jumeau de Thanatos, la personnification de la Mort, soit la binarité limitante de nos deux yeux non "ouverts" à la vraie Réalité. Sur les tombeaux, il désigne l'éternel Sommeil. Il est aussi le père de Morphée, dieu des rêves. Il peut endormir aussi bien les hommes que les (faux) dieux, y compris Zeus, le dieu des dieux de la Matrice astrale...

Le message est clair. Tant que l'être humain est endormi à Qui Il Est, il regarde le monde de manière hypnotique par la prédation archontique qui le manipule et l'asservit, ce qui le conduit dans la cyclicité entropique de la Matrice asservissante entropique car mortifère. Ce n'est qu'en sortant de sa léthargie, par l'ouverture de son œil spirituel - l'appel du Soi supérieur par l'âme réunifiée - qu'il peut regarder Qui Il Est et Ce Qui Est à l'endroit et s'extirper du piège de la Matrice de 3ème dimension de réalité.

* Mana constitue la racine étymologique du verbe to manage en anglais ("gérer, administrer"), ayant donné lieu à la science ô combien païenne du management des structures/organisations. Elle est maîtrisée au plus haut niveau par les "élites" qui en ont la charge, la plupart des dirigeants subalternes (les "executives" ou cadres supérieurs) se révélant très souvent ignorants des artifices composant ce pouvoir magique utilisé. Cf. Le modèle pyramidal décodé.

Dans le récit de l'évangile, les disciples paniquent car ils risquent d'être éjectés dans le tourbillon de la Passion à venir. Agités, ils réveillent le Christ pour qu'Il entre avec eux dans cette panique. Mais l'agitation et la tempête n'ont aucun effet sur Jésus, qui leur dit : "N'avez-vous pas de confiance ?" Et son calme intérieur va avoir autorité sur l'agitation extérieure. C'est pourquoi il est demandé de marcher droit jusque dans l’œil du cyclone, où le tumulte fait place au silence, où l’être se retrouve en son essence quand l’ego affolé tournoie en vociférant tout autour. C’est en ce lieu de paix où l’émotion est neutre qu’il est possible de rassembler les pièces éparses de notre puzzle individuel, y compris celles qui constituent le Moi – l’ego qui est une part non négociable de nous – de reconnaître la forme de l’instant présent et de le dissocier des tourbillons émotionnels du passé. Là en son œil, en ce lieu de pouvoir que nous avons reconnu, nous voyons alors mourir notre cyclone égotique, faute de l’énergie des tourments dont nous le nourrissions jusque-là. La Paix Profonde est sans hésiter une posture de l’esprit, associée à un état du corps.

 

"Si ton œil droit est pour toi une occasion de chute, arrache-le et jette-le loin de toi ; car il est avantageux pour toi qu'un seul de tes membres périsse, et que ton corps entier ne soit pas jeté dans la géhenne."

Matthieu 5:29

 

Shamash, la pure conscience de la Kabbale hébraïque

Le Sepher Yetzirah, texte sacré hébraïque, fait remonter la Kabbale* à un groupe d'anges qui apprirent les "lois secrètes" et les transmirent à certains humains. Ses 22 lettres représentent les trois premiers éléments - les trois Mères A, M, Sh -, qui émanèrent des trois Pères : l'air, l'eau, et le feu. Ils produisirent 7 lettres "simples", les sept planètes ou mondes (dimensions de réalité). Les trois lettres Mères sont composantes du dieu Shamash (image 10), le dieu du soleil (noir) babylonien, qui représente la trinité, le Triangle du Pouvoir de la Matrice de l'Astral gouvernées par les Forces entropiques tout en donnant à l'initié les clés de son réveil, s'il sait en comprendre les polarités d'enseignement. Dans l'alphabet Maya, en retrouve le "sh" dans la lettre X qui représente le principe de génération. Dans la Bible et les textes mésopotamiens, Shem et Shamain font référence au ciel. En Chine, Shen signifie l'Esprit. C'est l'idée du "troisième œil", ce point central au milieu des couches concentriques d'illusions. Shem signifie aussi l'enceinte interne d'un temple, dont le Zohar (le Sepher ha-Zohar est l'œuvre maîtresse de la Kabbale, rédigée en araméen) nous apprend qu'il s'agit du temple humain. Le Zohar parle aussi de Neshamah, dans lequel se trouve le mot Sham, qu'on peut lier à Shamir, le joyau protecteur du roi Salomon. Dans Shamash, il y a aussi ash, qui est en lien au 17ème jour du pèlerinage de l'homme selon les Mayas. C'est un nombre associé au Graal. En Égypte, on retrouve le mot Shu, la lumière de l'orient. Shu a la même fonction de passage ciel-terre que Shamash. Shu ou Shamash est "la pure conscience".

Cf. Travaux de l'archéologue Elizabeth Douglas Van Buren (1881/1961).

* Le terme "cabala" viendrait de Cybèle ou Kybèle, la femme de Saturne, vénérée sous la forme de la pierre noire en Phrygie et Asie mineure. Le terme "Kabbale" viendrait aussi de Kbl (Kebel), signifiant "recevoir oralement" une certaine connaissance.

 

S'étant incarné dans un corps physique, le germe d'esprit de l'être humain, conformément aux sages dispositions de la Lumière divine, vibre alors dans la loi du 3, car il possède :

- un noyau spirituel, l’étincelle d’Esprit ou germe de l'Esprit universel ;

- des enveloppes subtiles, qui entourent et protègent le noyau spirituel ;

- un corps physique, pour œuvrer sur la Terre pendant la durée de son incarnation.

Il convient de ne pas confondre l’âme et les enveloppes subtiles de l’Esprit. L’âme, c’est l’Esprit entouré de ses enveloppes subtiles mais qui laisse place à l'esprit, le mental égotique ou moi-personnalité, pour expérimenter la matière viciée. Après le décès du corps physique et son inévitable décomposition, c’est donc véritablement une âme humaine qui séjourne dans les plans de l’au-delà les plus rapprochés de la Terre - le champ de l'Astral -, sauf si, pendant l'incarnation, elle a réussi son individuation et sa fusion avec l'Esprit universel souverain* (ce qui était extrêmement rare jusqu'à nos jours *²). L'être humain peut alors poursuivre son chemin d'évolution dans une nouvelle dimension de densité, la "Nouvelle Terre", calée sur une fréquence supérieure, la 4ème dimension + (le mode de l'Être dit "Service d'Autrui").

* Cf. Le cheminement de l’Âme & Le chemin alchimique.

L'Onde du changement initiant la mise en œuvre de la sixième race humaine (voir le nombre 7), destinée à remplacer progressivement la cinquième en cours de périclitation, a lentement démarré à la fin de la seconde guerre mondiale, avec les bombardements atomiques d'Hiroshima et de Nagasaki les 6 et 9 août 1945 au Japon faisant suite à la terrible course contre la montre amorcée le 3 août 1939 dans la communauté scientifique (Cf. Le 3 6 9 libératoire du préambule). Ce feu électro-nucléaire destructeur par la fracturation de l'atome d'hydrogène a en effet provoqué une coupure dans le champ magnétique terrestre, constitutif par ses effets d'une rupture dans le continuum espace-temps de la galaxie solaire. Il a ainsi ouvert de nouveaux potentiels dans le champ électronucléaire faible, son pendant, à même de permettre à certains humains-âmes - les élu(e)s - de préparer leur changement de conscience afin d'évoluer dans une nouvelle dimension de réalité, la "Nouvelle Terre". Pour les autres, les évènements du 11 septembre 2001 à New York ont amorcé symboliquement le démarrage de la "3ème guerre mondiale", qui verra la disparition de la cinquième civilisation humaine par la puissance du feu nucléaire purificateur de ses vices non épurés.

Cf. Fin de cycle (2) La guidance éclairée de sa vie.

 

Triptyque

Amour - Justice - Fidélité

 

Force - Délicatesse - Discernement

 

 

 Autorité -Compassion -Justice

 

 

  Corps - Âme -Esprit

 

 

 Pensée - Parole - Action

 

  Liberté - Égalité - Fraternité

 

 Intuition - Pensée - Sentiment

 Simplicité - Clarté - Naturel

 

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Caractéristiques

Le véritable amour inspire la fidélité. Il est aussi pur et juste pour les êtres concernés.

La force a besoin du discernement pour exercer son action dans la bonne direction. Sans la délicatesse, la force devient brutalité et peut blesser gravement physiquement et psychiquement.

Sans la compassion et la justice, l’autorité se dégrade en autoritarisme et dictature. Un vrai chef militaire possède naturellement ces 3 belles qualités.

Les trois composantes indissociables de l’être humain terrestre. En nous souciant uniquement de notre corps, nous négligeons notre âme et notre esprit, et bloquons notre développement spirituel.

Une belle pensée, c’est bien. Il lui faut toutefois être exprimée en parole afin d’être partagée avec nos prochains et concrétisée en actes.

Nous mesurons chaque jour la difficulté d'en assurer l'harmonie, par-delà la force incantatoire de la devise républicaine.

Elle illustre l'alchimie à réaliser entre l'âme, l'esprit et le corps.

Si l'authenticité ne préside pas à la simplicité et à la clarté de la parole, elle en déséquilibre la manifestation.

 


Le ternaire scientifique

Dans le domaine scientifique, les différentes disciplines utilisent également ces accords ternaires :

Addition -Multiplication - Exponentiation sont les 3 opérations de base de l’algèbre ;

Longueur - Largeur - Hauteur caractérisent l'espace physique dans lequel nous évoluons ;

Passé - Présent - Futur caractérisent la perception (limitée) humaine du temps ;

Expérimenter - Découvrir - Utiliser sont les 3 étapes de la méthode scientifique ;

Données - Théorème - Conclusion permettent une démonstration.

 

L'identification d'un Romain se faisait par trois noms, le "tria nomina", voyant dans l'ordre le praenomen (prénom, l'usage étant de donner le prénom d'un ancêtre ou un prénom qui fait écho à une particularité de sa naissance), le nomen (nom, qui se termine généralement en -us/ius, caractérisant le groupement social de la taille d’un clan), et le cognomen (surnom distinguant une branche spécifique du nom ou en référence à un acte commis*, et pouvant changer en cours de vie). Ce sont ses trois noms d’homme libre ! Ainsi César, qui s’appelait de son nom complet Caius (prénom) Julius (nom) Caesar (surnom), ou Cicéron, qui s'appelait Marcus Tullius Cicero.

* Un général vainqueur recevait un nom supplémentaire, tiré de la peuplade vaincue, comme Scipion l'Africain vainqueur des Carthaginois, l'empereur Claude le Gothique vainqueur des Goths, Germanicus vainqueur des Germains. Chaque empereur, lors de son accession au trône, ajoutait César ou Auguste à ses noms, usage ayant fini par transformer ces cognomens en titres synonymes d’"empereur".

 

Le troisième élément en physique, illustration de la rupture

Le mathématicien français Henri Poincaré (1854/1912) a le premier informé sur la pensée du "système fermé" de la mécanique Newtonienne. En effet, selon la physique classique dite physique Newtonienne, un système fermé est parfaitement ordonné et prévisible. C'est ainsi qu'un pendule dans un vide, sans friction et résistance de l'air, conservera son énergie, et se balancera dans les deux sens pour toute l'éternité. Il ne sera pas soumis à la dissipation d'entropie dans les systèmes en les causant à céder leur énergie à l'environnement. C'est pourquoi les planètes, comme les pendules, ne peuvent pas être dérangées sauf par un "hasard" extérieur, et qu'elles ne doivent pas varier dans leurs promenades autour du soleil.

Cette apparente stabilité du système solaire, observée sur une longue période de temps, et permettant notamment de prévoir les éclipses des années à l'avance, a longtemps constitué un principe de la foi scientifique. Il en découlait que par la connaissance de la loi de force et de masse des corps, n'importe quel bon scientifique était à même de prévoir les interactions avec les équations de Newton. La loi de force, l'inverse du carré de la loi de gravitation, était toute enveloppée dans un paquet agréable, propre.

Mais comme Poincaré avait fait quelques maths, il savait qu'il y avait une petite difficulté : pour un système contenant seulement deux corps, les équations de Newton fonctionnaient, entendant que pour un système à deux corps idéal, les orbites sont stables. Le problème surgit quand on passe de deux à trois corps, comme l'inclusion du Soleil dans les équations. Les équations de Newton deviennent alors non solubles ! Ceci explique que pour des raisons mathématiques formelles, l'équation à trois corps ne peut pas être développée plus près qu'une "approximation". Autrement dit, Poincaré avait compris que si la méthode d'approximation semblait fonctionner pour les premiers termes supplémentaires, lorsque le nombre de termes augmentait par l'ajout de plus en plus de corps au système, incluant par exemple quelques astéroïdes de rechange et leurs perturbations très infimes du système au cours de longues périodes de temps, à un certain moment les orbites changent et le système solaire commence à se séparer sous ses propres forces internes.

Il en résulte que, mathématiquement, ce problème est non-linéaire et non intégrable. L'ajout d'un terme à un système de deux corps augmente la complexité non-linéaire, ou les rétroactions du système. Poincaré avait de ce fait découvert qu'avec même la perturbation la plus petite, quelques orbites se comportaient d'une manière irrégulière, voire même chaotique. Ses calculs ont montré qu'une gravitation infime d'un troisième corps pourrait conduire une planète à vaciller et à osciller en titubant sur son orbite, et sortir même entièrement du système solaire ! Il n'est alors qu'à imaginer ce qu'un essaim de comètes pourrait faire... Poincaré avait tout "simplement" découvert que le chaos est l'essence du système non-linéaire, révélant que même un système complètement déterminé comme notre système solaire pourrait faire des choses folles avec la moindre provocation. Les effets les plus petits pourraient être agrandis par des réactions positives et un système simple peut éclater en complexité choquante.

Cf. Manfred Schroeder, "Fractales, Chaos, Lois de la Mécanique" (1991).

 

Le ternaire spirituel

Toute démarche d'élévation spirituelle, but majeur de chaque vie humaine, consiste dans la réalisation de 3 étapes successives comme intriquées. Elles sont décrites par toutes les traditions, exotériques comme ésotériques :

- ainsi dans la mystique rhénane de Maître Eckart, les étapes ou parties sont qualifiées de Débutant Progressant Parfait ;

- en Franc-Maçonnerie, elles se nomment Apprenti Compagnon Maître (le mot Maître vient de l’ancien français maistre, lui-même issu du latin magister, "celui qui commande ou dirige, maître qui enseigne", découlant du mot majus - mega en grec -, c’est-à-dire grand, puissant, qui donne également majesté et majuscule);

- dans le bouddhisme, elles sont appelées Arhat Bodhisattva Bouddha;

- dans le film très symbolique Star Wars, on parle de Padawan, Kiwan et Jedi.

A noter que dans la tradition taoïste, trois zones de concentration du Qì (l'énergie) alignées verticalement dans le corps établissent le concept fondamental nommé Dān Tián (Dān peut être traduit par "champ d’élixir", Tián par "champ" ou "terre cultivée"). Ces centres énergétiques essentiels de la physiologie subtile du corps humain sont les lieux au travers desquels le Qi se concentre et se transforme sur l’axe médian le long des méridiens vaisseaux. Ils se nomment Sheng (pour le ciel), Qi (pour l'homme) et Jing (pour la terre).

La première étape, celle du débutant, est une phase purgative, soit une simplification de sa vie par le lâcher-prise mental de ses croyances et attaches. Il s'agit d'être présent aux choses qui sont ou se présentent, sans jugement ni accusation, en toutes simplicité et humilité. C'est la mise en route, qui passe par un travail incessant et inévitablement douloureux sur tous les poisons de l'âme (orgueil, colère, envie, paresse, luxure...), ce que l’Église romaine a qualifié de péchés capitaux.

La seconde étape, celle du progressant ou disciple (le mot disciple vient du grec diké qui signifie "montrer la voie juste", le disciple étant celui qui suit la voie juste qu’on lui a montrée, la discipline étant quant à elle la technique qui permet de suivre la voie juste), est une phase de pacification, de paix intérieure. Elle se traduit par le calme de ses émotions, de sa réactivité, par l'auto-observation permanente du roulis émotionnel et son recentrage. C'est l'hésychasme (du grec hesychasmos, hesychia, l'immobilité, le repos, calme, le silence), pratique spirituelle mystique enracinée dans la tradition de l'Église orthodoxe et observée par l'hésychaste. Elle conduit à l'illumination, l'éclairage intérieur.

La troisième étape, celle du Maître, est la phase d'unité avec le Soi supérieur, l’Âme (ré)unifiée (re)libérant l'Esprit*. Elle permet à ce stade la conduite de sa vie par le divin, autrement dit la supraconscience. C'est l'état christique ou bouddhique, celui qui voit son intérieur profond baigné par l'Amour, la Compassion, la Joie, l’Équanimité. Elle n'est pas réservée à des saints, mais à chaque être humain comprenant Qui Il Est vraiment et désireux de s'extirper des barreaux mortifères de la troisième dimension de réalité.

C'est pourquoi l'expérimentation par l'âme de la matière terrestre viciée est au moins triple pour se parfaire, avant que de pouvoir prétendre à évoluer dans une dimension de réalité supérieure, cette triple réincarnation faisant partie des "Lois de Mars, la Lune et Mercure". Mars étant la planète du conflit, la Lune des passions et Mercure de l'Intelligence, ce n'est qu'en ayant fait son apprentissage sous la gouverne de ces trois fondations et coordonnées géométriques de l'expérience que l'être humain peut être complémentaire, "complet en Terre"*² !

* Cf. Qu'est-ce que l'Homme ?

Cf. Le cheminement de l’Âme.


"Celui qui ne dépasse pas son maître est un pauvre disciple.''

Léonard de Vinci

En d'autres mots, l'élève doit dépasser son maître, ce qui a conduit à l'adage ''Le Maître disparaît lorsque l'Élève est prêt'', signifiant que quand une personne ouvre d’abord son esprit , elle va trouver un enseignant, un enseignement ou une organisation qui correspond à son niveau spirituel courant de maturité ou d’immaturité. Cette apparition ne se produit que lorsque l’être incarné a suffisamment erré dans ses illusions pour sacrifier son ego, abandonner ses croyances et son faux mode de vie. Si le chercheur pense blanc, le Maître va dire noir, et s’il pense noir, il lui dit blanc, manière de lui faire explorer tous les aspects du spectre du Savoir. Il y a bel et bien un enseignant pour chaque niveau de conscience, le Maître restant toujours en chemin parce qu’il sait justement que la Voie est le chemin. S’arrêter, c’est croire que l’on est arrivé, c’est retomber dans le monde profane et perdre la notion du sacré.

 

La loi spirituelle ternaire du "Donner et recevoir"

Lorsque nous donnons quelque chose (il ne s’agit pas forcément de quelque chose de matériel : ce peut être un sourire, une marque de gentillesse ou de compassion, une bonne parole, une pensée bienveillante, une action charitable…), les lois supérieures qui gouvernent les univers tant matériels que spirituels entrent immédiatement en action, prennent en compte notre don, le font fructifier et évoluer, et produisent immanquablement un résultat.

Même si souvent nous ne remarquons rien, car une longue période peut s'écouler entre nos semailles et leur récolte, la loi du Donner et recevoir  est immanquablement suivie d'effet, car elle est ancrée dans le nombre 3.

Son processus est le suivant :

1. Nous donnons avec générosité, sincérité et authenticité "quelque chose" à l’univers.

2. Les lois de l’Univers reçoivent notre don, le développent et l'amplifient, et l’acheminent vers sa destination à une époque et sous une forme que seule la providence divine connaît.

3. Nous recevons notre rétribution. C’est le "juste retour des choses".

 

"Ne vous y trompez pas : on ne se moque pas de Dieu. Ce qu'un homme aura semé, il le moissonnera aussi."

Galates 6 : 7

 

La trinité constitutive de l'Autorité

La véritable autorité de l'être humain initié dans la maîtrise de sa vie découle de l'équilibre créé par l'action harmonisée et la concordance (symbiose) totale de ses trois "cerveaux" de guidance : la raison (coloration mentale) et l'intuition (coloration intuitive) pour la vie planétaire (astrale), la conscience supra-mentale (coloration intelligente) pour la vie cosmique. Point culminant de la conscience humaine au sens universel et non plus astral, la vibration Autorité est le perfectionnement de l'Intelligence, autrement dit la perfection réalisée des trois cerveaux énergétiques, qui permettent à l'être humain par cet état d'esprit de servir de manière alternative et créative les besoins de sa cause dans sa vie terrestre une fois l'égo-mental transcendé. Il est alors à ce centre ou point de vérité un esprit réalisé, parfait, et de ce fait immortel par sa maîtrise des lois de la matière et par-là même du mensonge !

 

La raison fondamentale du ternaire universel se trouve dans une vue globale de l'unité-complexité de tout être et élément dans la nature. Ce sont les trois phases du Vivant : apparition, évolution, destruction (ou transformation) ; naissance, croissance, décès ; évolution, culmination, involution.

Toutefois, si le 3 est à ce titre le chiffre du Sacré, il n'est pas le chiffre de l'accomplissement unitaire tel que trop souvent suggéré par l'enseignement de l’Église judéo-chrétienne, des sociétés ésotériques (comme la Franc-Maçonnerie) ou des communautés New Age. La clé est donnée par l'ADN biologique. A l'échelle de l'être humain, sa polarité est masculine*, de nature électrique, non à l'image de l'appareil génital de l'homme avec le pénis et les deux testicules, mais par sa composante chromosomique XY. Elle doit de ce fait conduire à considérer l'importance incontournable du 4, la polarité féminine de nature magnétique, qui lui offre le creuset permettant sa réelle transformation par sa composante chromosomique XX*². Leur addition, 3 + 4, conduira alors vers le 7, fruit de leur complémentarité et de leur union harmonieuse. Bien évidemment, ceci n'est pas enseigné. Car si la "Sainte Trinité" est une valeur extrêmement présente et puissante, elle sert avant tout pour ses maîtres artificiers (prêtres, rabbins, imams, vénérables maîtres...) à maintenir l'endormissement plutôt que de permettre l'éveil par la manipulation des mots, des gestes, des lettres, des chiffres, des symboles... C'est pourquoi ils utilisent le 3 porteur de l'énergie masculine et le pervertissent afin d'en faire un chiffre culte destiné à maintenir bloqués à un certain palier leurs adeptes illusionnés "du Père, du Fils et du Saint Esprit" ou autre trinité à caractère masculin. C'est la méthode retenue par le patriarcat prédateur pour laisser croire qu'en ce schéma réside l'accomplissement...

* Il n'y a pas d'opposition avec les lames du tarot, où le 3 est symbolisé par l'Impératrice (le féminin) et le 4 par l'Empereur (le masculin), l'identification par les personnages pouvant occulter la subtilité de l'enseignement dispensé.

Le chromosome X est l'un des deux chromosomes sexuels de l'être humain et de certains animaux. Il existe normalement une inactivation lors de la télomérase (enzyme contribuant à la réplication de l'ARN) de l'un des deux chromosomes, qui prend une forme condensée et visible. Ce processus d'inactivation à partir duquel un des deux chromosomes X de la femelle mammifère est inactivé est appelé lyonisation, du nom de la généticienne britannique Mary Frances Lyon (1925/2014) qui l'a découvert en 1961. Or ce chromosome X, contrairement au chromosome Y, possède de nombreux gènes impliqués dans le fonctionnement des cellules. Sans l'inactivation, la femelle produirait donc deux fois plus de certaines protéines que le mâle. De la compréhension de ce processus résulte la question de notre type d'alimentation, peu à même en l'état de redonner à notre ADN toute sa puissance originelle...

 

Du chromosome Y

Nombre d'êtres humains sont porteurs des gènes des Nephilim, ces géants présents dans la Bible fruits de l'union d’anges déchus et de femmes humaines, variante des Titans de la mythologique grecque, et dont la réalité manifestée dans notre "réalité" civilisationnelle se dissimule à travers moultes indices, tel le mystère autour de Néfertiti, l'épouse du pharaon Akhenaton (fils d’Amenhotep III) et responsable du culte du Soleil initié par ce dernier en l'honneur futur de Ra (marquant ainsi le passage du culte de la Lune jusqu'alors en vigueur à celui du Soleil), celle-ci ainsi que ses enfants ayant des caractéristiques physiques particulières comme un crâne allongé (de la même manière que les célèbres têtes d’Ica au Pérou), marque d'une génétique hybride (le nom Néfertiti signifie "Une Belle Femme Est Venue", alors même que personne ne semble savoir d’où elle est venue ni qui elle était, avant que de disparaitre de l’histoire, son corps comme celui d’Akhenaton n'ayant été retrouvés, ce dernier ayant été noyé dans le Nil)*. Ceux-ci constituent une race involutive, masculine, située dans la constellation Orion, plus spécifiquement en provenance de la planète Kantek (elle est la cinquième planète du système solaire, et qui, ayant été détruite, constitue désormais la ceinture des astéroïdes). Ils ont à ce titre contribué à la manipulation du génome humain établie par le corpus prédateur reptilien*².

Sans que ceci ne constitue une règle intangible, nombre d'individus présentant de conséquents troubles de la personnalité (comme des tueurs en série) sont souvent de type caucasien (Celte) et très grands. C'est aussi le cas chez les "motards", souvent porteurs du gène Nephilim, qui forment des "bandes" parfois pour le meilleur, d'autres pour le pire comme certains chapitres du Hells Angels Motorcycle Club (littéralement "Club de moto des anges de l'enfer") ou le "gang des Outlaws" de triste mémoire aux États-Unis, etc... lorsqu'ils sont associés comme relais terrestres aux prédateurs cosmiques de 4ème densité. Sans oublier nombre d'individus œuvrant dans les forces de répression policière, "amateurs" du taser (le pistolet paralysant) ou du lanceur de balles de défense (lbd), dans les forces militaires et leur attirail destructeur, ou encore parmi les chasseurs (les "massacreurs jouisseurs", non les "régulateurs" bénéfiques). C'est le cas depuis l’escalade du conflit ukrainien en 2022 de milliers de mercenaires étrangers accueillis en Ukraine, prêts à tuer qui bon leur semble pour l’argent, les sensations fortes et la possibilité d’assassiner des gens en toute impunité.

Ils sont pour nombre des agents en tant que portails organiques (PO) du consortium prédateur trans-dimensionnel, formatés, conditionnés et contrôlés à distance comme des jouets télécommandés, tout comme des humains avec âme, hommes et femmes conduits puis endoctrinés à jouer ce rôle de prédation par un "idéal de service" de type bourreau sauveur ou victime sauveur découlant souvent d'une blessure narcissique infantile. Tous sont enfermés dans une prison psychique, une toile d'araignée invisible, virtuelle, dont les fils tissés dans leur inconscient les y emprisonnent irrémédiablement.

Peut ainsi mieux se comprendre l’idée de la race supérieure nazie aryenne, qui avait pour but de créer un terrain fertile à la réintroduction des Nephilim en vue d’un contrôle total de la 3ème densité en amont de l’élévation vers la 4ème, ceux-là mêmes qui véhiculent la génétique des entités psychiques involutives et qui, il y a quelques 12 000 ans avant notre ère, ont saccagé la civilisation d'Atlantis...

* Cf. Le Judaïsme décodé. Néfertiti s'est en fait enfuie de la cour du pharaon avec Abraham venu la secourir (elle est Sarah, son épouse, qui lui remettra l'Arche d'Alliance, centre majeur de pouvoir en provenance du laboratoire technologique du corpus prédateur d'Orion, volé à Akhenaton), Abraham formant avec Moïse le même personnage (lui et sa troupe passeront environ 40 ans dans le désert comme bédouins). Une autre façon de décoder le conte biblique totalement réagencé par ses concepteurs faussaires, les "preuves" étant tenues au secret dans la partie inaccessible de la Bibliothèque apostolique vaticane (BAV) à Rome... C'est d'ailleurs toujours la même histoire avec l’œuvre de Hérodote avec comme personnages Hélène de Troie/Nefertiti/Sarah et Paris/Alexandre qui ne sont que la même personne qu’Abraham/Moïse, tant le parallélisme est troublant, y compris avec les personnages "secondaires" (la guerre de Troie a été superposée à l’événement biblique de 1600 av. J.-C.).

Cf. Préambule explicatif.

 

De la race des géants dans l'histoire

Dans le numéro du 23 août 1896, le New York Journal publiait un article détaillant l’existence de géants antiques, indiquant qu'en 1868 des fouilles avaient permis de découvrir des empreintes d’oiseaux des marais, puis des ossements de mastodontes à une profondeur de 5 mètres, ainsi que plusieurs centaines d’empreintes de pas humains faites dans l’argile molle il y a plusieurs milliers d’années et préservées grâce à la roche métamorphique qui les recouvrait. Les empreintes mesuraient 53 cm de long jusqu'à 73 cm de long !

Grands par la taille mais aussi sans doute par l'esprit, leur science immense et leurs pouvoirs étendus les ont établis comme géants. Il y a à travers la planète terre tant de preuves de technologies supérieures, l'évolution de la taille étant inversement proportionnelle à celle de la civilisation. Ceci entend que chaque civilisation précédente avait une taille moyenne plus grande que les civilisations qui la suivaient, et chaque civilisation suivante avait une taille moyenne plus courte que les civilisations qui la précédaient, les tailles diminuant après chaque déluge et à chaque nouvelle ère astrologique dans laquelle l'humanité entre.

C'est d'abord Hérodote, le grand historien grec, qui rapporte que l'un des premiers roi d’Égypte, nommé Hercule, aurait été un géant. D'ailleurs, des textes égyptiens confirment qu'il existait effectivement des géants dans les temps anciens, et que les hommes avaient été en guerre avec certains d'entre eux. De son côté, Maximin le Thrace (presqu'île de la mer Égée), empereur romain qui régna de 235 à 238 après J.C., avait une stature hors du commun, sa taille devant être au moins de 2,60 m, vu que son squelette faisait déjà 2,59 m..., ce qui pour l'époque, où la taille moyenne des hommes s'établissait plutôt autour de 1,60 m, correspondait pratiquement à un géant ! Le géant Goliath de la ville de Gath que vainquit le futur roi David, avait une taille de six coudées et un empan, soit environ 2,80 m (La Bible, Livre de Samuel 17-4). D'autres références aux géants se trouvent dans le Livre des Nombres (Chapitre 13), ou dans le livre de Baruch (chapitre III,26-28). Quant au roi Og de la cité de Basan, du peuple des Réphaïms (Palestine) qui était le dernier fils des géants, il disposait d'un lit de neuf coudées de long (soit près de 4,30 m). A la condition que les écrits du Deutéronome III (de 3 à 11) soient exacts, le roi devait donc mesurer environ 3,80 m...

En 1456, un squelette de 7 m environ... aurait été découvert au bord du Rhône, vers Valence (France). En 1519, Hernan Cortès, le fieffé conquistador, débarque au Mexique. Les Indiens le prennent pour un demi-dieu, et lui montrent un fémur humain géant. Il l'envoie comme curiosité à son roi Charles Quint, avec tous les biens et l'or qu'il a pu récolter. Vers 1550, l'historien des Conquistadors d'Amérique du Sud (notamment du Pérou) Pedro Cieza de Leon rapporte que les indigènes du Sud de la Colombie (actuelle) à Santa Elena racontaient que, dans le passé, une horde de géants était venue de la mer sur des radeaux et avait envahi leur territoire. En 1577, un squelette humain de 5,90 m environ aurait été découvert sous un chêne dans le canton de Luzerne (Suisse). En 1579, l'aumonier Fletcher de Sir Francis Drake, au cours du voyage du Monde, rapporta avoir rencontré en Patagonie de très grands hommes. En 1590, Anthony Knivet, qui voyageait avec Sir Thomas Cavendish autour du Monde, affirma avoir vu en Patagonie des cadavres humains mesurant un peu plus de 12 pieds (soit 3,70 m). En 1599, le livre de bord de William Adams mentionne qu'il a rencontré en Patagonie des hommes mesurant de 10 à 12 pieds (ce qui correspond à environ 3,30 m). Il eut d'ailleurs des affrontements avec ces géants. Vers 1562, et selon le manuscrit mexicain de Pedro de los Rios (l’Évangile entre le Prédicateur et le Néophyte) il est écrit : "Avant le déluge que l'on estime à 4008 ans après la création du monde, la terra d'Anahuanac était habitée par des êtres gigantesques, les Tzocuillixeo". En 1613, un squelette de 7,90 m environ... presque complet, aurait été découvert près du château de Chaumont (France). En 1879, un squelette humain de 2,60 m environ a été découvert sous un tumulus à Brewersville en Indiana (USA). En 1883, un squelette humain de 3,60 m environ a été découvert sur les terres du ranch de Lompoc, Californie (USA). En 1931, le 19 juin, deux squelettes humains de 3, 50 m ont été découverts dans le lac asséché Humboldt, situé près de la ville de Lovelock (Nevada). En 1936, sur les bords du lac Elyasi (Afrique du Sud), furent découverts par l'anthropologiste d'origine allemande Larson Kohl des ossements humains géants. En 1937, le paléontologiste allemand Gustave Königswald vit dans une pharmacie de Hong Kong des ossements d'une taille tout à fait inhabituelle. En 1950, le Dr Louis Burkhalter avait mentionné dans la Revue du musée de Beyrouth l'existence d'une race de géants vivant dans la période Acheuléenne. Selon lui, trois découvertes assez récentes à l'époque, justifiaient cette assertion : la découverte du géant de la Chine du Sud, la découverte du géant de Java, la découverte du géant du Transvaal (Afrique du Sud). En 1964, dans le Caucase, lors de fouilles dans une grotte de la région d'Alguetca, des squelettes d'hommes mesurant entre 2,80 et 3 m furent mis à jour. En 1974, un physicien américain de Los Angeles, Bruce Russel, découvrit dans une caverne de la Vallée de la mort, des ossements humains d'hommes de 2,70 m. En 1996, le 3 janvier, le chef de la sécurité de la ville de Yatzitz en Israël, Herzl Constantini, découvrit dans son jardin les empreintes d'un géant estimé à 3,30 m. En 2002, des empreintes de pieds humains géants ont été découvertes dans une montagne faisant partie de la Forêt Nationale de Cleveland (USA). En 2010, des archéologues ont découvert dans une grotte près de Lovelock dans le Nevada les restes momifiés de deux géants aux cheveux roux. Il s'agit d'une femme de 2,30 m et d'un homme de 2,80 m.

Cette découverte confirme les légendes des Indiens Paiutes de la région qui affirmaient qu'il existaient dans les temps anciens, des géants qui s'en prenaient régulièrement à leurs ancêtres et les mangeaient. Ils les avaient combattu et finalement exterminés.

Autre trace, dans les montagnes du nord du Laos dans la province de Xieng Khouang, principalement sur un plateau autour de la ville de Phonsavan, sont éparpillées des milliers de jarres géantes, en pierre, pesant chacune plusieurs tonnes (jusqu’à 7 tonnes). Les jarres sont disposées en général en groupes qui peuvent comporter jusqu’à plusieurs centaines de jarres, au nombre total d'environ 3000 pots disséminés sur 90 sites et s’étendant sur près de 1000 km². Chaque jarre peut mesurer jusqu’à 3 mètres de hauteur, toutes étant taillées dans des blocs de roche, souvent en calcaire de grès, et parfois en granit. Certaines jarres sont ornées de bas-relief sur l’extérieur. La "Plaine des Jarres" est considérée comme vieille de 2000 ans, étant l’un des sites archéologiques les plus importants d’Asie du Sud-Est.

De même, en Sardaigne, les traces de ces soi-disant géants Géants sont visibles dans toute l’île et son histoire ancienne, notamment sur le site archéologique du Mont’e Prama, l’un des exemples les plus célèbres de cette culture des géants avec des tombes et des sites funéraires monumentaux datant de l’ère pré-nuragique (culture préhistorique qui s'est développée en Sardaigne entre environ 1800 et 500 av. J.-C.).

Les conditions sur la planète terre ayant changé de manière significative au moment de la destruction de l’Empire romain*, les Géants de cette époque ont dû faire face à des conditions de plus en plus difficiles, leur survie devenant progressivement intenable (leur santé a décliné à cause des changements environnementaux contaminant leur ADN, celui-ci se comportant comme une antenne fractale dans un champ électro-magnétique). Ce sont leurs traces qui ont été découvertes par les explorateurs après "l’Âge sombre", établissant même la spécificité de leur langage similaire au Basque, tout comme celui des Atlantes...

* Tous les phénomènes électriques vraiment particuliers d'alors ont été enregistrés dans les archives de l’Antiquité gréco-romaine. Ils ont semblé s’arrêter lorsque les archives ont repris après la destruction du monde antique.

Cf. en complément recherches de "La Smithsonian Institution", institution de recherche scientifique créée sous l'égide de l'administration américaine en 1846 et associée à un vaste complexe de dix-neuf musées et neuf centres de recherche, principalement situés à Washington D.C., ainsi que de l'auteur chercheur écossais controversé Graham Hancock à partir de l'observation des monuments mégalithiques et de l'étude des connaissances astronomiques et calendaires de peuples disparus (voir notamment ses livres "L'Empreinte des dieux" et "Civilisations englouties").

 

De la terre plate

Qualifié comme il se doit d'extravagant et considéré comme porte-étendard des théories qualifiées de complotistes, le concept de la terre plate nécessite pour sa bonne compréhension de sortir d'une représentation de la Terre dans sa forme sphérique telle qu'apprise car martelée depuis des siècles dans les processus éducatifs.

La planète Terre, appelée dans la Tradition Gaïa* (à distinguer du terme en vogue dans le courant New Age), s'apparente à un dôme, soit la couverture d'un grand édifice dont la taille globale avoisine 634 000 km. Celui-ci est constitué de l'addition de sept continents (dont l'Atlantide), le plus élevé (à la pointe) étant le continent terrestre de l'actuelle civilisation humaine, celle-ci ayant été dénaturée au fil du temps par l'hybridation reptilienne sujette aux vibrations basses. Ce sont ces dernières qui permettent d'élaborer l'illusion destinée à enfermer les êtres humains dans une zone interdite afin qu’ils n’aient même pas l’idée de l’explorer davantage.

Les six autres continents sont séparés de celui-ci par la mer de glace, barrière que constitue l'Antarctique (le pôle nord) sous forme d'anneau (sa largeur va de 2 à 3000 km), et dont l'accès est interdit à tout explorateur non agréé par les autorités institutionnelles internationales de nature "reptilienne" qui en assurent la garde (il a été franchi à l'occasion de l'expédition de l'amiral Byrd). Il existe une voie d’accès à cet inconnu par ce que l’on appelle la "Porte d’été", qui s'ouvre lorsque la glace de l’Antarctique fond en été pour permettre aux navires autorisés de passer. C’est pourquoi aucun avion ne traverse l’Antarctique et qu’il est interdit aux individus ordinaires de l’explorer. Les mondes extérieurs leur sont cachés afin de perpétuer la colonie d’esclaves obéissants dans le cercle intérieur.

D'anciennes cités (bases) construites par les Atlantes se retrouvent sous la glace, utilisées pour des recherches militaires perverses sinon horribles par le consortium prédateur, à l'instar des biolabs chinois ou ukrainiens, ou constitutives de bases extraterrestres. Sa meilleure représentation est la carte de Gleason ou de l'ONU (Cf. images 7 & 8). Au total, Gaïa compte environ quarante milliards d'êtres humains, une grande majorité étant des géants. 

Ceci constitue le "Grand secret", uniquement révélé aux titulaires du grade le plus élevé en Franc-maçonnerie.

* Dans la mythologie grecque, Gaïa ou Gê est la déesse primordiale identifiée à la "Déesse Mère" et à la "Mère des titans".

Cf. Livres d'Eric Dubay The Atlantean Conspiracy (Final Edition) & The Flat-Earth Conspiracy (Revaluation Books Exeter).

 

L'hexagramme représenté en figure 1 ci-dessus a été établi par Éliphas Lévi, né Alphonse-Louis Constant (1810/1875 - photo 3), ecclésiastique français et figure reconnue de l'occultisme. Il est en fait la représentation de l'arcane XV du Tarot initiatique, Le Diable ou en alchimie "l'Agent magique", celui qui permet de transférer des informations de bas en haut et de haut en bas. Autrement dit, il est le dragon corrupteur du monde à l'envers, le démon qui divise, et qui conduit le profane comme le pseudo-initié à l'illusion luciférienne, voire à sa dérive satanique entropique, sauf lorsque ceux-ci, en le rencontrant et en le dissolvant, s'engagent résolument sur le chemin d'évolution (le dragon a des ailes...) en se dépouillant de l'avoir et du paraître par leur reliance au Soi supérieur.

Le message caché du nombre 3

Il se retrouve dans le symbole de la pyramide et sa figure géométrique unidimensionnelle correspondante, le triangle. Si nous mettons un triangle pointe en haut, ce qui donne 3, et que nous l'entrecroisons à un triangle pointe en bas, qui donne aussi 3, le résultat symbolique est 33. Cette figure est un hexagramme (Cf. image 1), dit également "Sceau de Salomon" ou "Étoile de David" (le Shrî-Antara des Brâhmanes), présenté comme la figure d’une étoile symbolisant la relation du Divin, de l'Esprit (pointe en haut) et de la Matière, de l'Humain (pointe en bas). Dans les mystères liés au nombre 33, il symbolise la plus haute conscience que l’homme peut atteindre, le troisième œil, soit la conscience du cycle obscurité-lumière permettant de sortir de la "Roue du Changement". La symbolique cachée du 33 est cependant toute autre :  c'est la quadrature du cercle... un cercle dont il est impossible de sortir, sauf (véritable) éveil de conscience !


Le 33 représente en effet le Serpent (ou la Méduse), l’Ouroboros enroulé autour du système, soit la Matrice* au service de l'exercice du pouvoir de la caste élitaire prédatrice (Cf. image 2). Comme dans le yoga, il établit l'union des courants négatifs et positifs de la colonne vertébrale, composée de 33 vertèbres, activant le canal central, sushumna, et qui forme le Caducée… Il renvoie au groupe d'entités extraterrestres et d'humains dotés de connaissances et de pouvoirs supérieurs unis dans la Fraternité du Serpent*², et qui "distrait" les autres humains avec les mathématiques, la géométrie sacrée et la connaissance supérieure pour détourner leur attention du fait qu'ils sont manipulés à un niveau supérieur. Nous pouvons ainsi comprendre pourquoi il correspond au plus haut grade de certaines Obédiences de la Franc-Maçonnerie comme le Rite Écossais Ancien et Accepté, qui retranché derrière ses dénégations humanistes, est au service du système occulte asservissant (même si tous les Frères ou Sœurs maçons ne sont pas à mettre dans le même sac, de vipères ou de mambas s'entend). Contrairement à d'autres obédiences maçonniques, il a choisi de construire son rituel sur la base de trois éléments, et non du quaternaire traditionnel explicatif de la structuration de la Nature.

En effet, le "Seigneur du Serpent" déguisé sous ses oripeaux de Grand Maître promet à ses adeptes la puissance infinie, qu’ils ne pourront obtenir qu’en recherchant la connaissance infinie, à laquelle ils font allégeance infiniment, et qu’ils possèdent soi-disant pour toute l’éternité, pourvu qu’ils trouvent la sagesse infinie qu’ils recherchent de toute infinité. Et c'est bien évidemment un cercle vicieux car vicié… un cercle dont il est impossible de sortir pour l'âme manipulée qui s'y trouve enserrée ! C’est là qu’est la supercherie, ceux dont le but consiste à se servir eux-mêmes par la recherche du pouvoir suprême étant condamnés à en servir d’autres comme eux de par les liens "fraternels" établis, latéralement comme verticalement, et ne voient que ce qu’ils veulent voir. Fort logiquement, par cette voie "Service de Soi" qui est celle d'individus voués à servir le (petit) soi, ils sont égoïstes et égocentriques tout en se parant des oripeaux de l'humanisme éclairé; ils veulent pousser autrui à les servir tout en prétendant servir le bon fonctionnement sociétal; ils veulent réduire les autres en esclavage, puisque les considérant comme non initiés; et ils trouvent des moyens de manipuler les autres pour qu’ils les servent. Mais ils finissent eux aussi par être poussés à servir d’autres êtres qui leur sont supérieurs, et que la plupart ignorent de par leurs arrogance et naïveté. Parce qu’on les a dupés en leur faisant croire qu’ainsi ils attireraient à eux le pouvoir grâce à ces enseignements — y compris ceux des religions populaires qui proclament que se contenter de croire et abandonner son pouvoir procurent le "salut", on en arrive à une pyramide de gens qui prennent aux autres par la tromperie et la manipulation. Celui qui prend devient celui à qui l’on prend. Résultat, tous ceux qui sont en bas de la pyramide, la majorité, n’ont personne à qui prendre, de sorte qu’ils se font absorber par le niveau supérieur, d’échelon en échelon jusqu’au sommet, où tout disparaît. La hiérarchie Négative symbolisée au sommet de la pyramide est bel et bien orientée vers la consommation d'énergie lumière rayonnante dans un flot unilatéral, consistant au plus haut sommet à "Devenir Un" par l'octroi de ce pouvoir progressif résultant de la "capture" et de l'incorporation permanente de toutes les sources de lumière radiante par cette canalisation en entonnoir. L'objectif suprême est de nourrir et étendre une subjectivité de conscience exclusive, dans la mesure où l'effort est dirigé vers la subordination de toute chose au narcissisme magnifié appartenant à la conscience dévote de l'ego, seulement intéressé par la destruction de ce qui résiste à sa domination et par la préservation d'un minimum vital de ressources capturées afin de disposer d'un approvisionnement continu de nutriment. C'est ainsi que l'être négatif au sommet de la pyramide alimentaire, au service des densités supérieures involutives par effet-miroir, le "Vénérable" Grand Maître, prend la configuration d'une présence solitaire menaçante, entité possédant le regard proverbial du basilic (le "Roi serpent") et ne détournant seulement le flot de son attention de cette infinie auto-absorption intensifiée/contractile que par faux égard envers les mondes créés. C'est l'auto-luminance narcissique du postulat de l'Ego négatif, l'Anti-Logos, le Soi autocentré de la Conscience, qui, ne pouvant pas se retirer du monde matériel de la création, doit l'absorber en lui par l'incessant besoin de cette énergie alimentant son infinie auto-contemplation. Comme l'objectif désiré de l’Être au Sommet est l'ultime destruction totale, entendant la consommation totale de même ses séides et zélotes relais, ceci explique qu'elle soit masquée aux êtres situés en dessous de lui. Et même si les niveaux inférieurs peuvent "sentir" ou "deviner" le trou noir menaçant de l'annihilation absolue lorsqu'ils montent dans la hiérarchie, les plaisirs immédiats de leurs festins frénétiques les maintiennent occupés, ce qui renforce leur refus de regarder plus profondément dans le Cœur des Ténèbres.

Alors que dans le mode "Service d'Autrui", le maître-mot est "donner". Tout le monde reçoit, et il n’y a personne en bas ni au sommet, "dans le vide". À la fin, il semble que chacun finit par servir quelqu’un d’autre, le principe étant l’intention, claire, transparente et sincère, car non manipulée. Et comme il s’agit plus d’un cercle, d’un équilibre, personne alors ne peut manquer de rien. Il convient pour le comprendre de ne pas oublier la règle physique de la conscience, qui veut que lorsqu'on sait assister une personne on disperse la gravité, alors que lorsqu’on exerce un contrôle mental ou autre sur autrui, même si l’on n’est pas conscient de drainer l’énergie de cette personne, on accumule de la gravité. On devient alors comme un trou noir, s’affaissant sur soi-même car cette voie mène inéluctablement à la dissolution...

* Cf. Compréhension structurelle de la Matrice asservissante. Voir en complément le "Manuscrit de Voynich", livre illustré anonyme rédigé dans une écriture à ce jour non déchiffrée (dite cryptographie) et une langue non identifiée, et longtemps attribué par erreur au moine Roger Bacon décédé en 1294. Il est tout naturellement présenté comme une mystification. C'est un certain Wilfrid Michael Voynich, antiquaire et bibliophile polonais, qui l'a découvert en 1912 à Frascati près de Rome dans la bibliothèque d'une communauté de jésuites. Depuis 1969, le manuscrit est conservé sous la cote MS 408 à la Bibliothèque Beinecke de livres rares et manuscrits de l’université Yale, aux États-Unis.

Cf. La nouvelle religion universelle. Il y a tout naturellement un lien entre le nombre 33 et la pyramide de Khéops, signifiant que les bâtisseurs de la pyramide faisaient partie de cette société secrète.

Voir en complément "Gods of Eden" (Les dieux de l'Eden) de l'auteur états-unien William Braley (1989).

 

De la racine Gal

Galice, Galilée, Gaule... Tout le monde sait que le Sauveur Christ-Roi a été surnommé Galiléen parce qu'il avait été élevé selon les enseignements dispensés à Nazareth, ville de Galilée en Palestine d'alors. Ses disciples, et les chrétiens en général, ont aussi été nommés Galiléens (Ac 2 :7), parce que les apôtres étaient eux aussi de Galilée... Galiléens est un terme un peu péjoratif, utilisé au Ier siècle pour désigner la mouvance à laquelle appartiennent les mouvements se révoltant contre l'empire Romain en Palestine.

Ce choix de la Galilée s'explique en fait selon les règles de la kabbale hébraïque*, interprétation ésotérique manipulatrice du soi-disant texte sacré, la Bible, destiné aux gogos et autres chercheurs de vérité spirituelle de circonstance. Galilée s'écrit en effet GLYL en hébreu, et sa racine GAL est GL, dont le redoublement donne "GALGAL", qui signifie Roue, Cercle. Jésus (Yeshua ou Yehoshoua) meurt au GOLGOTHA, qui a la même racine de GALGAL. La valeur numérique en guématrie de GL est G=3+L=30, soit 33, le nombre de la vie mystique de Yehoshoua dit Jésus. Yehoshoua lui-même a une guématrie par rang de 58, anagramme numérique de 85, qui signifie PH, la "Bouche", le "Verbe". Sa guématrie classique quant à elle est de Y-H-W-SH-A = 10+5+6+300+70, soit 391, nombre égal à 33 +358 ! Et le nombre de 358 est celui du Nahash, le Serpent brûlant de Moïse, dont l'évangile de Jean en fait le symbole du Messie. Il est le signe de l'OUROBOROS, le serpent en ellipse dont la tête rejoint sa queue, soit le symbole de l'éternel retour dans la Matrice des illusions, non de la fusion des contraires, de l'Infini et de l’Éternel, comme enseigné aux apprentis ignorants!

33, correspondant au plus haut grade des obédiences maçonniques opérant au REEA (Rite écossais ancien et accepté), est le chiffre racine de la roue ou sphère, celle destinée à maintenir les êtres humains illusionnés dans la cyclicité du royaume des Morts, le cercle astral, la roue de la conscience involutive.

* Cf. Le Judaïsme décodé.

 

Le nombre de consécration de la Maçonnerie Noire

La cérémonie du 30ème (3) degré de la Franc-Maçonnerie au REEA (Rite Écossais Ancien et Accepté) initie l'impétrant adepte au grade de Chevalier de Kadosh* (photo ci-contre). Si le maçon illusionné considère qu'il ne s'agit que d'une énième cérémonie symbolique dans sa progression vers l'humanisme éclairé, celle-ci "con-sacre" comme doctrine cachée*² l’œuvre mortifère de la Force des Ténèbres dans l'adoubement de ses serviteurs terrestres, la mort de l'Esprit par l'âme dévoyée et viciée. 

En frappant (figuration d'un poignardage) selon le rituel 3 crânes sur lesquels sont posés une couronne - une couronne royale, une couronne (tiare) papale, une couronne de laurier - en croyant les terrasser, l'impétrant signifie tout au contraire son allégeance aux 3 forces terrestres asservissantes et destructrices : la royauté du pouvoir temporel, la royauté du pouvoir spirituel, la royauté du pouvoir matériel ("l'Or y est"), soit le détournement de l'Ordre initiatique des Templiers protecteur de l'enseignement christique qui avait renoncé aux ors lucifériens*³.

* Le terme "Kadosh" est issu d'un mot hébreu qui signifie "sacré" ou "consacré".

La Maçonnerie Noire s'applique aux grades du 19° au 30° degré.

*³ Cf. La nouvelle religion universelle & L’Église romaine décodée.

Cf. en complément Charles Webster Leadbeater, prêtre et écrivain anglais (1854/1934), "Ancient Mystic Rites" ; Albert Mackey, médecin états-unien (1807/1881), "An Encyclopedia of Freemasonry" ; Eliphas Levi, "Histoire de la Magie".

 

Symbole alchimique de l'arsenic
Symbole alchimique de l'arsenic

Le nombre 33 correspond au numéro atomique attribué à l'élément chimique arsenic, noté par le symbole As. Ses propriétés intrinsèques sont aussi bien destructrices car corruptrices (de la matière comme de l'esprit) que régénératrices et évolutives pour celles et ceux qui savent le manier et l'associer à ce que de droit* ... En comprenant à quelle polarité vibre ce nombre sacré, christique ou luciférienne, l'être humain possède une clé déterminante pour l'exécution de sa partition dans le Jeu du Vivant.

* Cf. Le chemin alchimique.

 

La folle dérive mystique du 3

Dans l'occultisme, certaines pratiques se réfèrent à "l’Oracle de force astrale", une étrange méthode arithmétique censée mettre en rapport avec de non moins étranges "Petites Lumières", elles-mêmes liées aux "Trois Sages", que l’on ne manque pas de rapprocher d’autres triades plus ou moins légendaires : les Trois Sages de l’Atlantide, les Trois Druides qui créèrent le Ciel et les Dieux, les Trois Vieillards qui recueillirent la parole de Brahma, les Trois Sages qui se prosternèrent devant le berceau de Krishna, et les trois "chefs" de l’Agartha : le Brahâtmâ, le Mahâtmâ et le Mahânga. C'est cet Oracle qui, en 1925, commença à prédire pour ses praticiens dévoyés* la venue de "Celui qui Attend" — un Occidental qui n’était autre que le chef suprême de la race terrestre mutante du corpus prédateur involutif (en provenance de la constellation Orion) nommée les "Polaires" (les "Hyperboréens") ou l'"Alliance nordique", vivant dans des états transdensitaires - en l'occurrence des cavernes aménagées en cryptes depuis des siècles -, soit les Celtes aryens du "Vinland"*² nazi situé dans une vaste base souterraine sous l’Antarctique, celle-là même entraperçue par le contre-amiral aviateur états-unien Richard Evelyn Byrd lors de son exploration polaire nommée "Highjump" en 1946 destinée dans ses raisons secrètes à les y en déloger (ce qui s'est traduit par un sanglant échec*³)... Autrement dit "le dernier Avatâra, manifestation du Verbe à la fin du Cycle ou Manvantara actuel, manifestation représentée sous la figure symbolique du Cheval Blanc dans les Purânas et dans l’Apocalypse."

Nous avons pu en observer et en mesurer les conséquences pour le "bienfait" de l'humanité, Adolphe Hitler s'étant mis en communication vibratoire avec les Forces entropiques de l’Astral quand il a commencé à mélanger sa politique avec de l’ésotérisme, de l’occultisme, le conduisant à vouloir faire sur terre une race parfaite (leurs successeurs ressortent désormais sous la forme des suprémacistes blancs qui surgissent de partout). Hitler faisait en fait partie dans une de ses précédentes incarnations terrestres des "Grands Maîtres de Bélial" (l'un des 7 Rois de l'Enfer) de l'Atlantique, revenu une fois encore par sa magie noire ancienne conduire le projet destructeur des Forces des Ténèbres, en l'occurrence la destruction du peuple juif soutenu par les Forces des Lumières, et allié des États-Unis sur l'échiquier civilisationnel dans le factice combat des forces du bien contre les forces du mal illusionnant l'être humain non individué... Ces Forces contribuent ainsi à soutenir l'indispensable équilibre du fonctionnement de la planète terrestre, et ce quel que soit l'état d'inconscience vicié des Nations et de leurs représentants.

* En l'occurrence ceux de l’association Thulé, "cercle intérieur" du Germanenorden (l’Ordre des Germains), fondée en août 1918 sur l’initiative du baron Rudolph von Sebottendorf, groupement antisémite d’extrême-droite composé d'intellectuels intéressés par l'occultisme, la politique et le mysticisme racial, et dont le maître-adepte était l'activiste politique Dietrich Eckart. Ce groupe, au contact des "Antaréens" avant et pendant la Première Guerre mondiale, nom que s’attribuaient certains groupes de 4ème densité avec lesquels il était en relation, servait de façade à l'Ordre Allemand, inspiré des anciens Chevaliers Teutoniques, qui a contribué à la formation et au financement du Parti des Travailleurs Allemands. Hitler est entré en contact pour la première fois avec des membres de la Société de Thulé quand il avait vingt-neuf ans. Celui-ci reconnaîtra plus tard que cette pratique découlait de l’ancienne Franc-Maçonnerie turque et de son Ordre fondé par Hâjî Baqtâsh au 14ème siècle (ou Hâjî Bektash), à savoir une technique opérative étroitement liée à la venue du Mahdi à la fin des temps. Cf. Die Praxis der alten Tiirkischen Freirnaurerei (Leipzig, 1924 ; trad, française) : "La pratique opérative de l’ancienne Franc-Maçonnerie turque", éd. du Baucens, Braine-le-Comte, 1974.

Vinland est le nom donné par le Viking islandais Leif Erikson au territoire qu’il explora le premier autour de l’an 1000.

*³ Cet échec explique que toutes les bases scientifiques de différents pays - Russie, États-Unis, Grande-Bretagne - présents en périphérie de l’Antarctique, qui servent pour des études et pour surveiller ce qui se passe, ne sont pas implantées à l'intérieur de l'Antarctique. Il est à noter la mort "régulière" de nombre de scientifiques du climat travaillant à proximité sous forme d'expéditions, comme en 2015 celle de quatre Anglais et d'un États-unien alors en plein travail sur la couverture arctique canadienne dans le cadre d'un projet visant à représenter visuellement la gravité avec des satellites pour la zone arctique et la terre en général (ils pouvaient voir la Terre sous la couche de glace avec un genre d'outil à senseur gravitationnel, de ce fait capable de détecter des bases souterraines ainsi que les gisements d'or à proximité qui permet de transiter entre les densités), et ayant découvert certaines anomalies ou quelque chose de spécial non destiné à être révélé... En l'occurrence que la densité de la matière est aussi reliée aux réalités hyper-dimensionnelles !

La symbolique du nombre 3 qui conduit en filigrane "tous" les actes rituéliques des francs-maçons (le cadencement du ternaire) est ainsi à double tranchant, ses adeptes illusionnés n'en retenant que la partie "lumineuse" au service de l'humanisme éclairé. Ils oublient cependant que travailler sur le symbolisme occulte des nombres attire derechef de par la loi des polarités leur partie "ténébreuse"*. Ainsi l'exprime le sceau de Salomon ci-contre. Et c'est selon ce même principe qu'Adolphe Hitler serait né et qu'aurait été programmé son suicide à une date formant le nombre 333, celui-ci étant manipulé secrètement en coulisses par des forces qu'il ne pouvait maîtriser. Une fois qu'il eut rempli son rôle, il fut sciemment saboté et abandonné.

Le nombre 333 est en effet important, représentant plus encore que 33 le troisième œil, car 33,3 est exactement un tiers de 100. Si 10 (1 et 0) est le nombre "Parfait" dans le fonctionnement binaire terrestre, alors 100 est le Nombre Parfait au carré, celui du divin céleste, expliquant pourquoi il est verrouillé par le 101 par ses maîtres artificiers occultes (Cf. ci-dessous). C'est pourquoi il symbolise la mort, la résurrection et l'ascension... Autre exemple, la paume de la main est sacrée car elle mesure 3,33 pouces : elle est la paume de paix du bouddha d'Asie comme celle du salut nazi*²... Reste ainsi à savoir quelle est l'intention véritable qui préside à toute cérémonie occulte, entre l'affichée et la dissimulée, l'adepte une fois embarqué n'étant plus à même de contrôler la puissance de l'égrégore négatif à son encontre, ce qui est le cas pour toutes celles et ceux qui fréquentent la plupart des sociétés et loges secrètes !

Le 333, c’est aussi les 9 degrés de l’initiation, les 9 mois de gestation.

* Cf. La dualité décodée.

Cf. Symbolisme et artifices de la Matrice.

 


Il est à remarquer au centre du Jeu symbolique de 2018 la 32ème icône, revêtue d'une couleur unique (le violet du 7ème chakra, couleur de l'ordre et de la pureté) par rapport aux autres. C'est un vélo, en l'occurrence celui qui évoque le Giro d'Italia (Tour d'Italie), dont la 101ème édition* s'est tenue en mai 2018, et dont le départ était Jérusalem. Le 101 symbolise l'Arche de Noé*² comme le Temple de Salomon, avec leurs deux piliers énergétiques, le Yin à l'Est et le Yang à l'Ouest (Jakin et Boaz pour les Francs-Maçons). Son sens est double, conformément à la loi de dualité qui prévaut dans le fonctionnement de l'univers. Il indique l'indispensable équilibre à trouver en soi pour la victoire finale (l'extraction de la Matrice entropique), Jérusalem étant appelée à devenir la capitale du Nouvel Ordre Mondial en cours d'édification *³ pour tous ceux appelés à demeurer dans les filets de la prédation, ces deux piliers enfermant le 0 - le Tout primal - comme verrous mis de part et d'autre de la conscience de l'être humain...

* La première étape était longue de 10,1 km...

Cet archétype symbolique de la Bible fait référence à Noé - le Nouveau Soleil -, rescapé de l'Atlantide suite à sa chute et du nettoyage diluvien qui suivit. Celui-ci et ses compagnons inaugurent le nouveau cycle civilisationnel astral qui se déploie de l'Est à l'Ouest, et amené à se clore sous l'égide de la bannière étoilée corrompue, les (faux) États-Unis... Si l'être humain ne s'éveille pas à Qui Il Est, il ne peut devenir "Neo", sa rectification évolutive de "Noé", son pendant devenu entropique, afin de s'extraire de la cyclicité mortifère du champ astral par son retour à l'Est, là où le soleil se lève...

*³ Cf. La nouvelle religion universelle & Prophétie du changement. Ceci est confirmé par le code-barre figurant sur le sac que tient dans son bec la cigogne figurant sur la page de couverture de l'édition 2019, qui renvoie à une société de services télécoms sise à Ephrata (Pennsylvanie) aux États-Unis, autre nom utilisé par les Juifs pour nommer Bethléem, le lieu de naissance et de couronnement du roi David (et non de Jésus de Nazareth comme le pensent les chrétiens)...

Le Jeu de l'Oie alchimique - Cliquer pour agrandir
Le Jeu de l'Oie alchimique - Cliquer pour agrandir

La fin de cycle annoncée

L'agenda occulte de la Matrice asservissante est délivré par des clés ésotériques dissimulées, comme par The Economist, une publication anglaise élitaire dont les rédacteurs en chef (Zaddy Minton Beddoes actuellement comme John Micklethwaith précédemment) ont assisté à plusieurs reprises à la Conférence Bilderberg, la réunion secrète où les figures les plus puissantes du monde de la politique, des affaires, de la finance et des médias discutent des politiques mondiales*. C'est pourquoi les gens de The Economist savent des choses que la plupart des gens ignorent.

C'est ainsi que son édition 2018 comporte sur sa page de couverture 63 - 9 en réduction numérique - icônes (le 3 6 9 libératoire), comme le nombre de cases du Jeu De l'Oie, symbole du Jeu de la Vie*² par ses hiéroglyphes alchimiques (l'oie symbolise la première matière du Grand Œuvre).

La première case en haut à droite (à l'Est) est figurée par le pèlerin (Le Mat du Tarot initiatique), qui engage son chemin initiatique pour parvenir en fin de jeu (case 63) au caducée, icône en jaune (l'or alchimique), soit en retournant à l'Est ... S'il n'a pas réussi son changement de conscience par les "noces chymiques"*³, 2019 (réduction numérique 12 puis 3) annonce à l'être humain par sa page de couverture avec l'Homme de Vitruve robotisé et génétiquement modifié que "Game is over"* ! Il s'agit en effet de la 33ème édition de cette publication...

* Cf. Le modèle européen décodé (2) L'idéologie mondialiste.

Cf. Le Jeu de la Vie.

*³ Cf. Le chemin alchimique.

* Cf. Le jeu de (fausses) pistes de la Matrice.

 


La clé cachée de 2019 (nombre 3)

À l’automne 2019, le musée du Louvre a organisé une exposition exceptionnelle consacrée au grand génie italien de la Renaissance, Léonard de Vinci, qui mourut au Clos Lucé à Amboise le 2 mai 1519, situé à quelques pas de la résidence royale du roi de France, François Ier. Nommé par ce dernier "premier peintre, ingénieur et architecte du roi", le maître italien y avait vécu les trois dernières années de sa vie, organisant ses notes sur divers sujets scientifiques et artistiques en vue d’en publier des traités, et travaillant à ses tableaux dont il n’avait jamais voulu se séparer : la Sainte Anne, La Joconde, le Saint Jean Baptiste. C'est quelques mois avant sa mort terrestre qu'il écrivit dans son journal - récemment découvert - sa visite de l'année 2019, répondant par ce voyage à l'invitation d'un mystérieux voyageur du temps, en l'occurrence son double, son Soi supérieur, qui l'embarqua dans un périple tout au long de cette année cruciale. Il put ainsi connaître et comprendre la date de basculement de cette fin de cyclicité civilisationnelle, la cinquième de la race humaine, gangrénée et corrompue par sa folle dérive techno-scientiste, le transhumanisme *. Il en rapporta quelques croquis d'objets dans une verve prophétique qui continue d'étonner l'humain contemporain, incapable dans son langage de l'époque de les nommer des vocables usités de nos jours. Nul ne s'étonnera alors de retrouver dans le film hollywoodien Back to the Future II ("Retour vers le Futur") du réalisateur Robert Zemeckis sorti en 1989 la montre connectée, les lunettes en réalité virtuelle, la tablette tactile, les lunettes de jeu sans fil, la biométrie, la vision-conférence, les drones à usage courant, les écrans TV plats, la publicité virtuelle... soit autant d'indices disséminés sur la page de garde de l'édition 33 de The Economist. Sans oublier que ce même film avait prédit 12 ans avant les attentats de septembre 2001 sur le territoire américain !

Tout étant déjà réalisé dans le calendrier de la matrice astrale*², 2019 est bel et bien l'année de bifurcation pour les êtres humains, entre le chemin de leur destinée entropique - le faux Age d'Or - pour le plus grand nombre, et celui de la destinée évolutive, pour celles et ceux - les élu(e)s - qui seront parvenus à la transformation de leur conscience créatrice d'une Nouvelle Terre.

* Cf. Conscience du XXI° siècle.

Cf. Le cinéma de la Matrice (1) et Le cinéma de la Matrice (2) La science-réalité.

 

Prophétie alchimique du ternaire involutif

Dans son roman "Notre-Dame de Paris - 1482", publié en 1831, Victor Hugo décrivait l’incendie du célèbre monument qui se réalisera le 15 avril 2019, comme allumé par le feu de l'enfer projeté par la Tour Eiffel le dominant, une des épines de la couronne satanique du "Par-Isis" : "Tous les yeux s’étaient levés vers le haut de l’église. Ce qu’ils voyaient était extraordinaire. Sur le sommet de la galerie la plus élevée, plus haut que la rosace centrale, il y avait une grande flamme qui montait entre les deux clochers avec des tourbillons d’étincelles, une grande flamme désordonnée et furieuse dont le vent emportait par moments un lambeau dans la fumée. Au-dessous de cette flamme, au-dessous de la sombre balustrade à trèfles de braise, deux gouttières en gueules de monstres vomissaient sans relâche cette pluie ardente qui détachait son ruissellement argenté sur les ténèbres de la façade inférieure. À mesure qu’ils approchaient du sol, les deux jets de plomb liquide s’élargissaient en gerbes, comme l’eau qui jaillit des mille trous de l’arrosoir. Au-dessus de la flamme, les énormes tours, de chacune desquelles on voyait deux faces crues et tranchées, l’une toute noire, l’autre toute rouge, semblaient plus grandes encore de toute l’immensité de l’ombre qu’elles projetaient jusque dans le ciel. Leurs innombrables sculptures de diables et de dragons prenaient un aspect lugubre. La clarté inquiète de la flamme les faisait remuer à l’œil. Il y avait des guivres qui avaient l’air de rire, des gargouilles qu’on croyait entendre japper, des salamandres qui soufflaient dans le feu, des tarasques qui éternuaient dans la fumée. Et parmi ces monstres ainsi réveillés de leur sommeil de pierre par cette flamme, par ce bruit, il y en avait un qui marchait et qu’on voyait de temps en temps passer sur le front ardent du bûcher comme une chauve-souris devant une chandelle." Quand on sait que l'emplacement de Notre-Dame était à l'origine celui d'un temple païen gallo-romain dédié à... Jupiter, la découverte du pilier des Nautes *³ découvert en 1711 l'attestant, avant d'être remplacé par une grande basilique paléochrétienne similaire aux basiliques civiles antiques, nous comprenons que ce monument "sacré" contribue bel et bien au déploiement du chaos de cette "fin des Temps".

Cette prophétie est celle de l'ananke grecque* (la "contrainte", "force", "nécessité fatale"), cette déesse du sort (la roue de Fortune du tarot initiatique) dans la mythologie grecque qui signifie la nécessité inévitable comme arbitre du monde dominé par la prédation astrale, les dieux asservisseurs de la 4ème dimension de conscience, qui décident à la naissance d’un homme de son destin et de la fin de sa vie, tramant le fil de sa vie et le coupant à la fin. Autrement dit la fatalité (fatum en latin), qui voit le capitaine volage de la garde Phoebus de Châteaupers (le masculin illusionné) et le disgracieux sonneur de cloches Quasimodo (son effet miroir), sous la coupe du prêtre dévoyé Claude Frollo, "triompher" par lâcheté et rancune de la belle Esméralda (le Féminin sacré), sauf si l'être humain se réveille à Ce Qu'Il Est pour en couper le lien par la transformation alchimique réalisée*², et leur reprendre par son droit divin son pouvoir d’Être souverain.

* Dans la préface de son roman, Hugo décrit le mot ananke par les paroles suivantes : "le sens lugubre et fatal qu’elles [i.e. ces majuscules grecques] renferment [...] ce stigmate de crime ou de malheur [...] rien [...] du mot mystérieux [...] rien de la destinée inconnue qu’il [i.e. le mot]

résumait si mélancoliquement". C'est pourquoi les conséquences d’ananke peuvent être pressenties par "stigmate de crime ou de malheur".

Cf. Le chemin alchimique.

Monumentale colonne gallo-romaine érigée en l'honneur de Jupiter par les Nautes de Lutèce au Ier siècle (confrérie d'armateurs mariniers marchands naviguant sur les fleuves et rivières de la Gaule sous le règne de l'empereur romain Tibère), le pilier des Nautes est constitué par l'empilement de quatre blocs ou autels mettant en scène les dieux du panthéon astral tant latins (Jupiter, Mars, Mercure, Vénus, Fortuna, Vulcain, Castor et Pollux) que gaulois (Esus, Cernunnos ...), y compris sous forme d'animaux (Taureau). Ces blocs ont été mis au jour dans les fondations de l'autel de la cathédrale Notre-Dame de Paris le 16 mars 1711 lors des fouilles entreprises pour la réalisation du Vœu de Louis XIII. Il est le symbole de la première société (personne morale) dont on ait trace à Paris, sacralisée comme telle par sa présence dans la cathédrale de la ville de la fausse Lumière... Le pilier des Nautes est exposé dans la salle du frigidarium des thermes de Cluny.

 

Le nombre Trois recèle un autre secret d'importance : il est le nombre de la mémoire, celle de Qui Nous Sommes, le système prédateur officiant faisant tout pour en empêcher la remontée à notre champ conscient. C'est ainsi que la trentaine - 33 ans précisément (l'âge de la mort symbolique de Jésus/Jeshua le Christ incarné)* - caractérise une génération dans l'ordonnancement des cycles civilisationnels, soit le passage de témoin à la suivante. Et au bout de trois générations (99 années - 1 siècle), la mémoire collective (familiale par exemple) s'estompe presque irrémédiablement, pour disparaître définitivement au bout de neuf générations (297 années, soit 9 en réduction numérique). Ceci permet aux élites gouvernantes relais terrestres du système prédateur trans-dimensionnel d'imposer leur vision entropique, l'histoire étant toujours écrite par les vainqueurs...

Sans travail en profondeur sur lui-même, l'être humain est ainsi appelé à demeurer l'esclave illusionné de la matrice entropique terrestre, dans l'incapacité de percer le voile de l'oubli de Sa mémoire originelle jeté sur sa conscience...

* Nous retrouvons également le 33ème degré de certaines obédiences maçonniques, signifiant la chape occulte posée sur la conscience humaine par les hauts initiés ayant atteint ce degré, et ce de manière inconsciente pour un certain nombre d'entre eux.

 

Le nombre Quatre - 4 - : la Nature divine (le Féminin sacré)

La matrice utérine magnétique (nombre 4) qui reçoit le Feu sacré engendreur électrique (nombre 3) permet de donner forme à la Création par le principe physique de gravité. C'est la "Materia prima", phénomène psychique (les ondes de forme) prenant forme dans un état dégradé selon l'état de conscience - la fréquence vibratoire - de l'observateur, l'être humain expérimentateur. Constitutif de la Nature, le terrain d'expérimentation du Vivant, le nombre 4 en assure la structuration, l'organisation et le fonctionnement.

C'est pourquoi il s’impose à chaque instant dans le déroulé de notre vie, très souvent à notre insu tellement nous y sommes habitués. Lorsque nous consultons l’heure, nous téléphonons, nous effectuons des achats, nous respectons les limitations de vitesse... il est incontournable comme marqueur d’information et d’échange. De leur côté, les banques de données qui permettent les prévisions (météorologie, élections, marchés financiers…) requièrent l’utilisation de puissants algorithmes mathématiques, nécessitant des quantités énormes de mesures et de calculs. Quelle que soit l’élaboration d’un produit, d’un service ou de tout élément participant du fonctionnement économique de nos sociétés, le recours aux nombres est indispensable. C’est pourquoi les sciences et leurs applications technologiques sont basées sur l’utilisation de nombres et de calculs, se déclinant en températures, pressions, poids et masses, charges électriques, longueurs d’onde, fréquences, gravitation, forces nucléaires, équations, calculs différentiels, tenseurs…

Le nombre est utilisé dans tous les cas comme la mesure d’une quantité. Chacun permet ainsi de mesurer une longueur, d’effectuer un trajet de telle durée, d’acheter un objet de tel prix, de demander un objet de tel poids ou en telle quantité … L’un, toutefois, exprime aussi une idée, une notion, un principe qu’il est aisé d’observer. C’est le nombre 4, qui se retrouve dans toutes les manifestations en rapport avec la Nature, lieu d’expression de notre relation à la vie...

 

Le quaternaire au sein de la Nature

4 éléments : l’air, l’eau, la terre, le feu

4 dimensions dans notre univers terrestre : trois dimensions spatiales (longueur, largeur, hauteur - 3D -) et une dimension temporelle (4-D)

4 angles égaux (4 angles droits) formés par la direction verticale (le Ciel) et la direction horizontale (la Terre)

4 forces fondamentales dans l’univers : force gravitationnelle, force électromagnétisme et deux types de forces nucléaires (forte et faible)

4 saisons : printemps, été, automne, hiver

4 règnes : minéral, végétal, animal, humain

4 états de la matière : solide, liquide, gazeux, plasma

4 éléments chimiques à la base de la vie : l’hydrogène, l’oxygène, l’azote, le carbone

4 directions fondamentales pour se repérer à la surface de la Terre (points cardinaux) : Nord ; Sud ; Est ; Ouest

4 membres pour les animaux les plus évolués (primates)

4 étapes pour la vie terrestre : la conception, l’incarnation (au milieu de la gestation), la naissance, le décès

4 périodes pour la vie terrestre : l’enfance, l’adolescence, l’âge mur, la vieillesse

4 groupes sanguins humains de base : A ; O ; B ; AB

4 marées toutes les 6 heures* (à l'échelle du globe, soit 2 par hémisphère de 12 h chacune), montantes et descendantes en alternance

C'est ainsi que la Tradition indique que "La Divinité est un arcane, un Feu vivant (ou mouvant), et les éternels témoins de cette Présence Invisible sont la Lumière, la Chaleur et l'Humidité", cette trinité incluant tous les phénomènes de la Nature et en étant la cause.

* Cf. symbolique du nombre 6. Les 4 marées terrestres se succèdent toutes les 6 heures, épousant les cycles lunaires en corrélation avec le lever ou coucher du soleil.

 

Le nombre 4 exprime une notion, un principe, une qualité, une force énergétique, celle qui structure l’univers, répandant son énergie et ses vibrations dans le cosmos pour la création, le développement et l’entretien de ce que nous appelons la Nature. A cet effet, il a été représenté par toutes les religions sous différentes formes. Ainsi dans le christianisme, les quatre évangélistes* du Nouveau Testament sont les quatre éléments nécessaires au fonctionnement de l'Univers, associés à un archétype, une planète, un élément, une énergie et un attribut.

* Le symbole des quatre évangélistes ne s'est pas imposé d'emblée aux chrétiens tel que nous le connaissons aujourd'hui. Ils ont au départ rapproché les quatre évangélistes des quatre grands prophètes (Isaïe, Jérémie, Ézéchiel, Daniel), puis des quatre pères de l'Église (St Augustin, St Ambroise, St Jérôme, St Grégoire le Grand), et des quatre fleuves du paradis.

Évangéliste

 

Archétype

 

 Planète

 

Élément

 

Énergie

 

Attribut

Marc

 

Lion

 

 Mars ou le Soleil

 

 Feu

(électromagnétisme)

Sexuelle 

 

Majesté

Matthieu

 

Verseau, Homme ou Ange

Vénus, la Lune ou Neptune

Eau

(force de gravitation)

Émotionnelle

 

Souplesse

Jean

 

Aigle

 

 Jupiter ou Mercure

 

 Air

(force nucléaire -)

Intellectuelle/mentale

 

 Justice

Luc

 

Bœuf/Taureau

 

 Saturne

 

 Terre

(force nucléaire +)

Physique

 

Force

 


La tradition chrétienne découle des quatre gardiens du monde ou quatre porteurs du ciel disposés aux quatre coins du firmament de l'ancien Orient, images qui reposent sur les symboles stellaires du zodiaque de la "croix fixe" qui sont le taureau, le lion, le scorpion et le verseau (le scorpion étant remplacé par l'aigle et le verseau par l'homme chez les chrétiens). Ce découpage quaternaire tire son origine des quatre éléments, du dualisme entre les forces amies et ennemies de l'homme : Le Feu (le lion, l'énergie sexuelle) et l'Eau (le verseau ou l'homme, l'énergie psycho-émotionnelle) d'un côté lui sont bénéfiques, la Terre (le taureau, l'énergie physique) et l'Air (le scorpion ou l'aigle, l'énergie intellectuelle ou mentale) de l'autre côté lui sont hostiles.

C'est ce que figure la structure du Sphinx qui, comme celle des pyramides sur le site de Gizeh en Égypte, est liée aux constellations. Toute la surface du site est en relation avec le Zodiaque, le Sphinx pointant dans la direction de l'actuelle constellation du Lion. Il est un "chérubin chimérique", figure que l'on trouvait en Mésopotamie, combinant le corps d'un Taureau, les pieds du Lion, les ailes et la poitrine d'un Aigle et une tête d'un Homme portant une mitre (coiffe) avec six cornes. Ces symboles alchimiques sont également en association avec les quatre éléments (feu, terre, air, eau). Le Sphinx, le regard tourné vers l'est, incarne le verrouillage du temps par les quatre constellations cardinales du zodiaque. Ces quatre coins du cosmos que sont le Lion, le Taureau, le Scorpion et le Verseau forment une croix centrée sur l'immobile étoile Polaire. C'est la plus grande icône de l'Antiquité, un monument qui commémore la première fois où les quatre éléments se sont réunis, quand la matière a pu enfin devenir solide, que la conscience lui fut enfin rattachée, que les lois de la physique s'organisèrent, et que la datation put être clairement établie*. A noter qu'un objet similaire au Sphinx a été découvert en Iran, cette sculpture géante s’élevant au-dessus du paysage rocheux du sud du Baloutchistan.

Ceci entend que les douze signes du zodiaque sont une illusion destinée à égarer l'être humain, à le priver de découvrir en lui la clé de sa libération du faux calendrier astral saturnien institué par ses maîtres prédateurs pour le "dévorer". C'est le secret - le "treize ors" (trésor) - qu'a caché Léonard De Vinci dans son célèbre tableau La Cène (en italien L'Ultima Cena, soit "le Dernier Souper"), qui représente le cycle annuel du Soleil de façon astrologique, voyant les apôtres regroupés en quatre groupes (saisons) de trois*². Autant dire que consulter un astrologue (comme tout autre magicien de l'illusion archontique type tarologue) pour connaître son avenir ne peut en aucune façon permettre sa libération de la Matrice d'asservissement terrestre, tout au contraire de s'y ancrer !

* Selon le mystique états-unien Edgar Cayce (1877/1945), se trouve proche du Sphinx la salle des archives et documents atlantes, là où la "ligne d'ombre" tombe entre les pattes du Sphinx (la pénétration dans les salles souterraines se fait en partant de la patte droite du Sphinx). 

*² Cf. L’Église romaine décodée.

 

Clé de compréhension

Le symbolisme du Sphinx est celui de la représentation d'un cadran d'une horloge au pied de la grande pyramide qui le domine de toute sa puissance luciférienne imposante. Ce cadran indique par 4 archétypes le temps constitué par les éléments générateurs du Vivant : le Lion pour le Feu est à midi (12 heures), le Scorpion ou l'Aigle pour l'Air est à 3 heures, le Verseau ou l'Homme pour l'Eau est à 6 heures, le Taureau pour la Terre est à 9 heures. Ce n'est qu'en s'émancipant par son propre travail de rectification intérieure de l'horloge du temps astral, celui de la "père-version", soit l'espace-temps figé et cadencé asservisseur (le temps saturnien qui dévore ses enfants), que l'être humain peut basculer dans le Temps-Espace universel, l'"effet-mère", redevenant ainsi maître de la création par cette alchimisation des quatre éléments. C'est la quintessence libératoire, l'obtention du cinquième élément lui permettant de passer dans une nouvelle dimension de réalité, la "5-D" !

 

Ces quatre piliers sont les quatre marches à franchir pour l'éveil de la conscience et la mise en œuvre du processus d'Ascension*, le franchissement des trois  premiers piliers faisant alors surgir le quatrième - la conscience christique - jusqu'alors dissimulé.

Le premier pilier nécessaire est celui d'une volonté de lion et d'un courage à toute épreuve, comme les symbolisent tous les héros dans leur mythe respectif (Ulysse, Hercule, Jésus, Arthur...).

Le second est la force du taureau pour parvenir à l'équilibre harmonieux en soi de ses polarités masculine (nombre 3) et féminine (nombre 4), symbolisé par un cercle ou vortex énergétique (Cf. image) qui offre la possibilité d'allier ces deux énergies complémentaires pour expérimenter par le sept l'équilibre en mouvement*².

Le troisième est la recherche assidue de la Connaissance, pour aiguiser tel l'aigle toujours davantage son discernement, notamment concernant les ruses infinies des prédateurs de l'entropie.

Le quatrième est la mission de l'humain sur terre, s'élever au Soi supérieur divin, sa supraconscience, en comprenant qu'il est Ange, et ce par la fusion et l'intégration par l'expérimentation des trois piliers précédents, le triptyque Volonté-Amour-Intelligence. C'est alors la quintessence, celle du sept accompli (3+4), soit le passage à l'immortalité !

* Quatre, nombre des éléments, est le nombre de portes que doit franchir l'adepte de la voie mystique selon la tradition des Soufis et des anciennes congrégations de derviches turcs. A chacune des ces portes est associé un des quatre éléments, dans l'ordre de progression suivant : air, feu, eau, terre.

La doctrine Soufi est en effet partie du postulat selon lequel ce que nous nommons Réalité n'est qu'un reflet (irréel donc) de la seule Réalité, divine et transcendante, cachée par le voile de dualité qui sépare le non-croyant de Dieu.

* Cf. Le chemin de l'Ascension.

Cf. Conscience et dépassement de la Matrice sexuelle.

 

Ce parcours initiatique se retrouve dans nombre de Traditions. Ainsi dans le Livre des Morts en Égypte antique, qui voit un procès où le "défunt" - l'impétrant qui meurt à lui-même (la crucifixion de Jésus pour les chrétiens) - doit comparaître pour faire reconnaître ses droits à la vie éternelle (l'ascension de conscience) par la pesée du cœur, dont la pureté d'intention et d'amour de l'UN - le mode "Service d'Autrui" - est déterminante. Confronté à un "accusateur" divin - le Soi supérieur lorsque l’Âme est unifiée de ses polarités masculine et féminine - l'impétrant est jugé à l'aune de la Maât, la déesse de la vérité et de la justice, devant rendre compte par l'intermédiaire du fils Horus à Osiris (ou à Rê) le Père de ses actions et de sa manière de vivre sur terre. Si la pesée des polarités opposées +/- est déséquilibrée par la plume (air) mise par la Maât sur la balance, l'âme du "défunt" est dévorée par Âmmout, "la dévoreuse des morts", déesse représentée avec un corps d’hippopotame (terre), une tête de crocodile (eau) et des pattes de lion (feu). Elle est la version kémite du dragon de l'alchimie traditionnelle occidentale, l'archonte prédateur logé dans l'inconscient et qui nous maintient dans le royaume des morts-vivants tant que nous ne l'avons apprivoisé et transmuté.

Si la pesée des polarités opposées +/- est équilibrée de manière juste - leur union a été réalisée pendant la traversée des ténèbres (les trois jours au royaume des morts ou des enfers pour les chrétiens) -, alors le "mort" à son égo ressuscite et ascensionne, et par là-même peut quitter la Matrice involutive (dominée par Seth, Saturne, Satan...) et les boucles cycliques du karma *... Nous en retrouvons les éléments dans la Passion de Jésus-Christ telle que racontée par Le Nouveau Testament.

* Cf. Le cheminement de l’Âme.

 

La mise en quarantaine, ou le retour à l'état naturel

La quarantaine, terme attesté en français depuis les années 1180, signifie "espace de quarante jours". Il est le fait de mettre à l'écart des personnes, des animaux ou des végétaux durant une certaine période*. Cet isolement sanitaire forcé, qui avait pour but d'empêcher la transmission de maladies supposées contagieuses, est toujours utilisé en cas de suspicion de ce type de maladies. Chiffre de l'attente, il renvoie dans la Bible à la pluie qui tomba sur la terre quarante jours et quarante nuits (livre de la Genèse), au livre de l'Exode dans lequel les Hébreux voyagent pendant quarante ans dans le désert après avoir traversé la mer Rouge, aux fameux 40 jours du Christ poussé par l'Esprit dans le désert dans lequel il est tenté quarante jours durant par Satan, vivant parmi les bêtes sauvages, et avec des anges qui le servent (ils sont constitutifs du Carême, du latin quadragesima, "quarantième" précédant Pâques). De son côté, la tradition ésotérique enseigne que certaines unités de conscience se dissipent sur une période de 40 jours après la mort, à moins que l’individu n’ait cristallisé une âme individuée pour préparer sa nouvelle incarnation.

La mise en quarantaine est le passage nécessaire dans le processus d'éveil à la conscience de Qui Nous Sommes vraiment. Il correspond à cette période inévitablement douloureuse pendant laquelle nous allons regarder et affronter nos démons prédateurs intérieurs et cesser de les projeter à l'extérieur. Notre résistance égotique tel Satan va tout faire pour nous amener à renoncer, créant des illusions - conjugaison de promesses et de frayeurs - quant à l'aspect inutile de cette démarche. Il faudra une très grande force de caractère pour ne pas renoncer, ce dont bien peu d'êtres humains sont capables. C'est pourquoi les textes sacrés disent qu'il y a beaucoup d'appelés (par le Soi supérieur) et peu d'élus qui parviennent à traverser le chas de l'aiguille...

* La quarantaine; de l’italien quarantena, "40 jours", est une mesure sanitaire mise en place au Moyen Âge pour isoler les navires suspectés d’être porteurs de la peste (selon Hippocrate qui estimait qu’une maladie aiguë ne se manifestait pas après 40 jours). Imposée en 1377 par le port de Dubrovnik, elle est vite reprise par Venise qui isole les navires sur l’île Sainte-Marie-de-Nazareth (par le rapprochement entre Nazareth et Lazare, le lépreux de l’Évangile, le "lazaret" deviendra le lieu d’isolement des navires suspects et de leurs équipages).

 

Du carillon

Un carillon est un instrument de musique composé de cloches, accordées à des fréquences différentes et émettant chacune leur son propre. Pour des carillons de grande taille, les battants des cloches sont actionnés par le carillonneur au moyen d'un clavier manuel et éventuellement d'un pédalier. Le mot carillon est une forme altérée de l'ancien français, issue du gallo-roman QUADRINIONE, elle-même altération du bas latin quaternio, désignant un "groupe de quatre". Un carillon comporte donc un ensemble d'au moins quatre cloches consonantes entre elles. Dans un carillon, les cloches restent immobiles, et c'est un marteau (ou battant) qui vient les frapper.

C'est le drapeau de Carillon qui est à l'origine du drapeau québécois, la version moderne remontant à 1902 (son auteur est l'abbé Elphège Filiatrault). Son nom provient de la bataille de Fort Carillon qui, en juillet 1758, a opposé les Français aux Britanniques au sud du Lac Champlain pendant la guerre de Sept Ans. Il fut utilisé à l'époque par les troupes de Louis Joseph de Montcalm-Gozon (1712/1759), lieutenant-général français des armées en Nouvelle-France, puis perdu dans le temps, avant d'être retrouvé vers la moitié du 19e siècle. C'est à ce moment qu'il devint populaire au Québec, et qu'il inspira son drapeau national sur lequel figurent quatre lys.

 

Le quaternaire alchimique

Les quatre Œuvres de la démarche alchimique permettent à l’Être humain de réaliser sa transformation intérieure, afin de récupérer la pleine puissance de son énergie créatrice et d'évoluer dans une autre dimension de conscience comme de réalité* : conscientisation (l’Œuvre au Noir ou Nigredo) - libération (l’Œuvre au Blanc ou Albedo) - unification (l'Œuvre au Jaune ou Citrinitas) - guérison (l'Œuvre au Rouge ou Rubedo).

Quant au philosophe arménien Georges Gurdjieff (1866/1949), il considère la "Quatrième Voie" comme le mode d'éveil de conscience le plus puissant pour l'être humain afin de se libérer du pouvoir de ses automatismes et de son inconscience, les trois premières voies - celle du fakir par la maîtrise du corps, du moine par la maîtrise des émotions, du yogi par la maîtrise des pensées (intellect) - étant chacune limitée par le centre de gravité correspondant.

* Cf. Le chemin alchimique.

 

Les Quatre Cavaliers de l'Apocalypse

Ils sont mentionnés dans le Nouveau Testament, au sixième chapitre du livre de l'Apocalypse (6, 1-8), remaniement de deux visions de Zacharie, un prophète de l'Ancien Testament. Leur chevauchée inaugure le commencement de la fin du cycle civilisationnel, car ils apparaissent lorsque l'Agneau, figure de Jésus ressuscité (la conscience christique de l'être humain éveillé à Qui Il Est vraiment), ouvre les quatre premiers sceaux. Bien qu'ils paraissent se succéder dans le temps, le dernier verset semble suggérer que leurs chevauchées sont simultanées : "Le pouvoir leur fut donné sur le quart de la terre, pour faire périr les hommes par le glaive, par la famine, par la mortalité, et par les bêtes sauvages de la terre."

Chacune de leur couleur porte la spécificité de l'épuration terrestre : le Cavalier Blanc en assure la mise en œuvre par la Puissance ; le Cavalier Rouge Sang apporte le conflit entre les peuples par la Violence de sa Grande Épée ; le Cavalier Noir amène la stérilité des terres et l'amaigrissement des bêtes et des hommes par la Famine ; le Cavalier Blême amène la maladie par sa Faux, puis met fin à toute vie sur la Terre des hommes*.

 

"Quand il ouvrit le quatrième sceau,

j’entendis la voix du quatrième être vivant qui disait : Viens.

Je regardai, et voici, parut un cheval d’une couleur pâle.

Celui qui le montait se nommait la mort,

et le séjour des morts l’accompagnait.

Le pouvoir leur fut donné sur le quart de la terre,

pour faire périr les hommes par l’épée,

par la famine, par la mortalité, et par les bêtes sauvages de la terre."

Apocalypse (Révélation) 6 : 7-8

 

Si l'ensemble de ce passage (le sixième chapitre) a reçu des interprétations très variées, il traduit sans conteste la nature du processus alchimique préalable à toute renaissance salvatrice, l'avènement de la conscience christique libératrice (Blanc) passant par la douloureuse épuration (Noir et Blême) avant que de couper la tête au dragon pour faire jaillir son sang et renaître au Feu de l'Esprit (Rouge).

C'est ce cheval dont la sculpture (10 mètres de haut en fibres de verre, qui a les veines qui ressortent de son corps et des yeux rouges démoniaques qui brillent dans le noir) accueille le passager ou visiteur au sinistre Aéroport International de Denver, qui livre les clés de cette fin de cyclicité. Cf. Le jeu de (fausses) pistes de la Matrice.

 

Le nombre Cinq - 5 - : l'Amour

 

Quelles que soient les suites de nombres de base utilisées (hors le 0) – suite continue, suite en colonnes, suite des nombres impairs -, le nombre 5 se trouve toujours au centre, point d’équilibre de l’édifice. Il constitue à ce titre ce qu’il y a de plus important dans le fonctionnement de la Création, et tout particulièrement pour les hommes, l’Amour. C’est ce que le Christ Jésus a enseigné avec clarté, rapporté dans Marc 12 : 30-31 :

12: 30 Tu aimeras le Seigneur, ton Dieu, de tout ton cœur, de toute ton âme, de toute ta pensée, et de toute ta force.

12: 31 Voici le second (commandement) : tu aimeras ton prochain comme toi-même. Il n'y a pas d'autre commandement plus grand que ceux-là.

 

 


Le nombre 5 est donc celui de l’Amour universel issu du Créateur cosmique, qui protège, guide, apaise, guérit et cherche à faire le bien de toutes les créatures et de tous les éléments, qu’il s’agisse d’une pierre, d’une plante, d’un animal, d’un être humain, d’une planète, d’une constellation... Le nombre sacré 5 est l’Amour, pur, juste et sévère. Car l’Amour véritable c’est "la main de fer dans le gant de velours", qui oblige ainsi à se diriger vers le haut, c'est-à-dire à sortir de sa gangue pour s’élever.

 

L’observation scrupuleuse de l’univers permet d’y découvrir les manifestations de l’Amour de Ce Qui Est, ce que les artistes n’ont cessé de magnifier dans leurs œuvres respectives. C’est tout particulièrement le chef d’œuvre du corps humain terrestre, "outil" nécessaire à l’évolution de l’esprit lorsqu’il est plongé dans la matière terrestre pour expérimenter la Création. Ainsi la conception d’un enfant passe par une phase de gestation du corps en formation dans le ventre maternel. A son milieu, au cinquième mois, l’embryon est suffisamment constitué pour se préparer à l’arrivée extérieure, l’âme commençant à se manifester par les premiers mouvements.

Quant à la forme générale du corps humain, Léonard de Vinci a parfaitement mis en évidence dans ses dessins et croquis ses cinq extrémités (extrémités des bras et des jambes et sommet de la tête). Cette configuration, inscrite dans un cercle (l'Univers) et un carré (la Terre), a été immortalisée par le Maître italien dans un célèbre croquis inspiré des travaux de l’architecte romain Vitruve.

Au moyen de ses cinq sens physiques tout comme de ses cinq extrémités que sont les doigts, l’être humain fait l’expérience de la Nature (le nombre 4) qu’il complète progressivement par l’ouverture de ses sens subtils. Au contact de celle-ci nait l’Amour de l'Œuvre divine. Ceci est particulièrement visible chez les jeunes enfants, qui éprouvent un amour pur, ardent et sincère pour tout ce qui la compose (pierres, sable, eau, plantes, animaux…). C’est pourquoi numériquement le 5 succède au 4.

 

L’Homme (Anthropos) de Vitruvius, canon attribué à Léonard de Vinci

Anagramme de Léonard de Vinci : "le don divin créa"

L’Homme de Vitruve attribué à Léonard de Vinci a été également réalisé à partir du nombre dit d’or. Il met en exergue les parfaites proportions de l'Anthropos (l'être humain dans son genre masculin et son genre féminin) au sein de l’espace (la sphère) qui permettent son juste alignement, vertical comme horizontal :

plante des pieds – nombril ; nombril – sommet du crâne = a/b = ф

plante des pieds – genoux ; genoux – pubis = c/d = ф

pubis – sternum ; sternum – base du cou = e/f = ф

  base du cou – yeux ; yeux – sommet du crâne = g/h = ф

Sa tête est orientée vers les étoiles, ses pieds sont bien ancrés dans la matière (le carré), le centre se situant au niveau de son nombril (au niveau de son sexe s'il serre les talons). Il rayonne, la lumière (la conscience) pénétrant à travers lui, via l’esprit, la matière dans laquelle il est ancré par le corps, et qui le circonscrit tant qu'il ne la transcende pas. Sa conscience est un processus d'aller et retour, un échange d'information entre le vide quantique et la structure atomique de son corps. Tout l'ensemble reflète l’harmonie, l’unité et l’indivisibilité.

Cette représentation éclaire la relation de l'Homme à la Vie, le moi étant étiré sur le Soi. En épousant gracieusement sa dynamique fluide, en se laissant guider par sa subtile rythmique, il interprète avec maestria son ballet d’harmonie. Tour à tour scénariste, producteur, réalisateur, acteur et spectateur, le but de chaque être humain dans son expérimentation terrestre est ainsi d’équilibrer l’énergie de la manifestation physique du corps avec celle de l’esprit créateur.

 

La main humaine, instrument privilégié pour manifester et donner de l’Amour

La main est un des membres les plus sollicités du corps par sa fonction, et des plus remarquables par sa complexité. Elle est composée de multiples vaisseaux, de nerfs, de cartilages, et de petits os au nombre de 27 au total, soit la valeur numérique du mot "ange". 27 X 2 = 54 est de son côté la valeur numérique du mot "homme".

Troublante et mystique, ne dit-on pas "ton destin est entre tes mains" ? Le verbe hébreu Yada qui veut dire "connaître" est quant à lui construit sur la racine yad – "main" et la racine ayin – "œil". La main est donc "voyante", douée de vision, et l’œil d’une certaine qualité de toucher : "caresser avec les yeux". La main et l’œil mènent ainsi à la connaissance qui libère. La main est un œil qui prend, possédant les secrets les plus enfouis de la connaissance. La main perfectionne l’enquête menée par l’œil.

Avec ses cinq doigts, la main humaine (hu-MAIN)* présente sous une forme bien visible la présence de l’Amour. La main est en effet reliée à l’Amour car elle bénit, caresse, guide, console, encourage, guérit. La mère caresse son bébé pour le consoler et le tranquilliser. Nous mettons la main sur la tête d’un enfant pour lui témoigner l’Amour que nous lui portons. Nous serrons la main d’une personne que nous aimons (à condition que notre poignée de main ne soit pas devenue un geste mécanique et sans vie comme c’est souvent le cas). Lorsque nous voulons aider quelqu’un, nous disons que nous lui "prêtons main forte". Nous mettons une main sur l’épaule d’une personne souffrante pour l’encourager et lui témoigner notre amitié. D’un geste de la main, nous saluons une personne de loin. Le magnétiseur ou le guérisseur pratiquent l’imposition des mains pour soulager leur patient. Et ainsi de suite car c’est inépuisable.

Par nos deux mains dont l’addition 10 ramène à 1 (1+0), nous obtenons le nombre de la Force divine. C’est ainsi que, en joignant nos deux mains pour prier, nous nous préparons pour la réception de cette Force que le Très-Haut renouvelle chaque année à la Pentecôte, jour sacré de l’épanchement du Saint-Esprit, se produisant au mois de mai, le cinquième de l’année.

* C'est ce qui différencie l'humain d'autres espèces humanoïdes qui ne possèdent pas cette spécificité biologique, même si nombre d'êtres humains d'apparence physique ne sont pas (encore) dotés des propriétés de l'âme, la conscience du Soi supérieur (Cf. Les acteurs de la Matrice falsifiée).

 

Sa figure géométrique est le Pentacle, figurant l’homme qui tente de retrouver l’équilibre en se centrant. Figurant l’union du pair et de l’impair, du masculin et du féminin, il est l’emblème de l’immortalité, l’apex (pointe, sommet) de la pyramide, l’élément de l’Éther.

Des cinq éléments

Si la théorie des quatre éléments place le Feu et l’Eau, l’Air et la Terre au centre d’un système de correspondances symboliques, il ne faut pas comprendre le mot "élément" avec sa signification réduite aux domaines physique et chimique. Il s’agit plutôt de "carrefours de sens", à mi-chemin entre le réel et l’imaginaire. Et si la science n'a retenu que 3 états, sources de vie dans la matière (gaz, liquide, solide), l'ésotérisme les incorpore dans les 4 éléments fondamentaux (le feu, la terre, l'air et l'eau.Je vous ai donc parlé des 4 éléments). Il y a un 5ème élément, caché/dissimulé aux sens de l'homme profane. C'est l'éther pour les Grecs anciens. De leur côté, les Chinois ont identifié également 5 éléments, que sont l’Eau, le Feu, la Terre, le Bois et le Métal, la sixième initiation dans la Grande Tradition Primordiale ésotérique*. En Inde, les 5 éléments sont la Terre, l’Eau, le Vent, le Feu et l’Espace… Quant à la tradition, elle nous montre l'Homme et l'Univers par la croix et ses 4 branches (le feu, la terre, l'air et l'eau), formant l'horizontalité et la verticalité.

Le cinquième élément, centre, est la quintessence de l'homme, reliant les forces cosmiques et telluriques dans une telle harmonie universelle qu'on peut le nommer AMOUR.

* Symbole du "Guerrier", il peut devenir sceau ou épée pour donner la vie (en transportant l'eau) ou donner la mort (le retour à la terre). Par le métal, les alliages apportent des propriétés nouvelles et supérieures aux métaux qui fusionnent.

 

Les 5 voies de réalisation de l'être humain

1- La voie du MYSTIQUE : voir et penser.

La voie mystique est subjective. C'est une voie solitaire. Celui qui l'emprunte voit les choses à partir de son oratoire, son monde intérieur. Il travaille sur lui-même. C'est le domaine du magicien, de l'âme qui agit (magie). Le mystique développera ainsi des pouvoirs psychiques, comme la clairvoyance, la clair-audience, la prémonition, etc.

Cette voie est la première. Elle est à la base de tout. C'est la voie la plus pure. Celui qui la suit s'engage uniquement envers lui-même et n'a de compte à rendre à personne, sauf à lui-même. Contrairement à toutes les autres voies, aucun artifice, aucun accessoire n'est utilisé, ni textes sacrés (du religieux), ni instruments (du scientifique), ni armes (du guerrier). Seule une vision ou une inspiration (intuition) est ce qui caractérise sa raison d'être. Le mystique ressent le monde. Tout le travail se passe dans l'invisible, la supraconscience, qui irrigue naturellement le conscient.

2- La voie du RELIGIEUX : parler et lire.

C'est une voie que l'individu emprunte en groupe. C'est la voie des sociétés secrètes, des sectes mystiques et des religions. Les pouvoirs s'acquièrent par un enseignement lu dans des livres sacrés, des grimoires secrets comme Le Grand Albert, Le Petit Albert, Le Dragon noir, Le Dragon rouge, etc. On y apprend des formules magiques et des sortilèges. C'est le domaine des sorciers. Par la méthode enseignée et à laquelle il adhère, le religieux développera des pouvoirs de dévotion avec rituels et formules magiques.

Cette voie est la deuxième. Elle fait suite à la démarche du mystique qui, lorsqu'il a atteint une totale compréhension de son être en relation avec l'univers, manifeste la volonté de transmettre sa connaissance aux autres. Celui qui suit la voie du Religieux s'engage envers la communauté, il fait le don de soi. Elle fait souvent appel à des accessoires comme des livres sacrés, des rituels, etc. La parole est ce qui la caractérise. Le religieux veut naïvement convaincre le monde, oubliant que dans la réalité terrestre viciée, c'est TOUJOURS la magie noire qui triomphe de la magie blanche.

3- La voie du SCIENTIFIQUE : toucher et expérimenter.

C'est la contrepartie objective de la voie mystique. C'est également une voie solitaire. Celui qui l'emprunte voit les choses à travers les instruments de son laboratoire. Il travaille sur la matière à l'extérieur de lui. Le scientifique développera des pouvoirs sur la matière (kinésie). C'est le domaine du shaman, le scientifique shaman développant des pouvoirs par des mixtures, des potions magiques.

La voie du Scientifique est la troisième voie. Elle est en opposition à la voie Mystique. Opposition non pas dans les résultats obtenus mais dans la manière d'y parvenir. Cette opposition fait appel à la théorie de la science quantique qui voit l'univers comme une toile : au-dessus (face visible) il y a le monde phénoménal, matériel et visible, et en-dessous le monde nouménal, spirituel et invisible. Le Scientifique travaille dans le monde phénoménal, alors que le Mystique travaille dans le monde nouménal. Chacun utilise la même force, mais du côté opposé de la toile. Le Scientifique fait également appel à de nombreux accessoires : instruments de mesures et autres dans son laboratoire... alors que le Mystique vit dans son oratoire et son vécu personnel en corps et esprit est son instrument de mesure. Prouver et appliquer est ce qui caractérise la voie scientifique, tout son travail se passant dans le visible.

4- La voie du GUERRIER : agir et juger.

C'est la contrepartie de la voie religieuse. Empruntée en groupe également, elle réunit des combattants qui jouent avec les forces de vie et de mort. Le guerrier travaille pour vaincre l'adversaire. C'est le domaine du soldat. Le guerrier développera des pouvoirs de combat.

La quatrième voie, celle du Guerrier, est la plus spectaculaire car la plus visible des voies. Elle est en opposition à la voie Religieuse. Lorsque la parole ne suffit plus pour convaincre, le Guerrier intervient pour vaincre. Celui qui la suit s'engage à la vie et à la mort. Elle fait appel à tous les accessoires de combat disponibles (armes et techniques de combat, au sens propre comme figuré). L'affrontement est ce qui la caractérise. Le guerrier veut vaincre le monde. Cette voie peut aussi devenir celle du Guerrier pacifique qui s'impose par la maîtrise totale de LA FORCE.

 5- La voie de l'ARTISTE : réaliser son être.
La voie de l'ARTISTE est la voie du milieu, du centre de soi-même. Celui qui s'y engage est passé dans son cheminement karmique* par les quatre voies de pouvoir, et les maîtrise toutes. La maîtrise de son ART lui permet de savoir quand et comment doser chacun de ces quatre pouvoirs en fonction des circonstances et des événements de la vie, dans le but de toujours rechercher l'harmonie. Selon l'adversaire, l'Artiste agira toujours par la voie appropriée par sa maîtrise de la QUINTESSENCE.

Cette voie du milieu est verticale, de ce fait réellement évolutive, ne pouvant être vue qu'avec le cœur, l'essentiel étant invisible pour les yeux. De la SOURCE, elle nous inspire et nous aspire. Vers l'ascension dans une dimension de conscience supérieure elle nous transporte. Au centre, se trouve l'être, ICI ET MAINTENANT. Si les voies matérielles - Scientifique et Guerrier*² - lui proposent de s'enfoncer d'avantage dans la caverne (le Tunnel d'Alice qui suit le lapin blanc), et que les voies spirituelles - MYSTIQUE et RELIGIEUX - lui proposent d'en sortir définitivement, par LA VOIE DU CŒUR et émancipé de toute illusion l'être humain est appelé à ne plus être prisonnier. Il peut ainsi sortir et revenir dans sa caverne à VOLONTÉ par sa maîtrise de la science atomique permettant le plein usage de son libre arbitre. Par le passage de lumière au sommet de sa caverne, il accomplit un engagement à la fois matériel et spirituel en toute cohérence. C'est la voie de l'équilibre parfait.

* Cf. Le cheminement de l’Âme.

A noter que le RELIGIEUX et le GUERRIER risquent de devenir des extrémistes et fondamentalistes intolérants à cause des autres qui suivent avec eux la même voie, la force du groupe, de l'égrégore collectif, finissant toujours par l'emporter (c'est pourquoi les membres d'une entreprise sont des guerriers, le pacifiste humaniste ne pouvant longtemps y survivre). Car il n'est pas bon d'être seul, et pire encore, de se singulariser face aux autres !

 

Être multidimensionnel, en route vers la 5ème dimension

Par définition, chaque organisme vivant est un assemblage de plusieurs dimensions simultanées sinon il ne pourrait exister, tout simplement. Ainsi la matière est la première dimension, celle du corps physique composé de multiples parties s’imbriquant les unes dans les autres, toutes solidaires entre elles. Il est l’enveloppe de notre singularité biologique, dite l’égo*, le moi personnalité, la plus basse vibration par son ancrage dans la densité. La seconde dimension est ce qui l’anime, appelé corps énergétique (ou éthérique), le corps de la santé, du souffle de vie. Il demande un entretien régulier en qualité, pour ne pas le détériorer par des méthodes et contenus toxiques (tabac, alcool, sucres, malbouffe…). Ainsi le corps physique est comparable à un moteur électrique qu’alimente le corps énergétique (l’électricité), lui permettant de bouger et de se manifester au sein d’un environnement matériel.

La troisième dimension est celle du corps mental, permettant l’action du corps et son guidage dans son environnement matériel. Il est au service de la quatrième dimension, celle de l’Âme, de "l’enfant intérieur", soit le corps émotionnel – celui du cœur - lié aux sentiments éprouvés dans l’action. La difficulté vient du fait que le sentiment est au contact de l’égo-mental, pouvant être pollué par celui-ci. Comme l’égo ne peut avoir la mainmise sur nous sans les émotions, il manipule le mental selon ses voies attachées à la survie du "petit moi", les émotions allant ainsi dans la même direction… Tout l’art consiste à se défaire des émotions délétères pour créer des sentiments nourrissant notre bien-être, notre harmonie et notre paix intérieure, qui ne peuvent être compatibles avec la colère, le ressentiment, l’énervement, l’impatience issus de l’égotisme, symbole de la séparation… Cette quatrième dimension est charnière pour se détacher de l’état de séparation, avec ses peurs, ses souffrances, ses états d’âme. Pour en sortir, la conscience de l’individu doit lui permettre de reconnaître que ce n’est pas lui qui décide de la destination, son rôle premier étant de conduire avec dextérité et sérénité sa singularité au sein de la dualité*² par le juste équilibre. Il ne peut s’atteindre que par l’amour inconditionnel, source de joie et de paix. La vibration du cœur fait tourner le compteur de notre richesse intérieure, qui se répercute inévitablement à l’extérieur.

Le corps mental constitue ainsi le support du moteur électrique qu’est le corps physique, au sein duquel circule l’énergie que sont les sentiments, le corps émotionnel, "sous-produit" du corps de sentiment qu’est l’âme ou l’enfant intérieur.

La cinquième dimension est un corps composé de l’esprit créateur, alimenté par le courant issu du rêve, de l’intuition ou assimilé. Il est nommé corps atmique, lui-même en relation avec le corps dit spirituel ou "petit Soi", moteur d’une conscience vibratoire nettement plus élevée que le précédent.

Ces multi dimensionnalités sont emboîtées les unes dans les autres comme des poupées russes dimensionnellement distinctes mais vibratoirement reliées. C’est en raccrochant les opposés complémentaires de la dualité par l’amour inconditionnel, sans jugement, et dans l’acceptation pleine et entière de tout ce qui nous habite que nous pouvons aspirer à retrouver l’Unité. En nous nous aimant le monde nous appartient, notre unicité nous permettant d’être le Tout. Nous en sommes chacun une facette de vie, qui donne la plus grande lumière au diamant appelé La Source. Elle est à l’image du moteur électrique dont nous sommes la vibration qui le parcourt. Nous sommes à la fois dans toutes les dimensions précitées par notre conscience.

* Cf. Décryptage de l'Ego.

Cf. La dualité décodée.

 

Le nombre Six - 6 - : la Puissance

Il existe une puissance capable d’édifier et de bouleverser l’ordre de la nature, de sculpter les paysages, de promouvoir le développement des espèces vivantes et de provoquer leur disparition une fois leur rôle accompli. Cette puissance est capable de fendre la roche la plus dure, d’aplanir les plus hautes montagnes, de provoquer la désintégration d’une étoile. Cette puissance, c’est le temps, intimement relié au nombre 6, le premier livre de la Bible - la Genèse, qui signifie le commencement - relatant la création du monde en 6 "jours", c’est-à-dire en 6 périodes.

Le temps est un élément incontournable des sciences fondamentales, ces dernières étant dans l’incapacité de lui donner une définition précise, la physique n’en comprenant ni la signification, ni le rôle, ni la fonction mécanique*. Comment en effet le monde pourrait-il se créer au fur et à mesure que le temps s’écoule dans le présent ? Perçu généralement par l’être humain comme une ligne rectiligne allant à l’infini, linéaire, chronologique, uniforme et donc quantifiable, ce qui est une réalité incontestable de la dimension limitée 4-D*², la théorie de la relativité d’Einstein a réfuté l’idée selon laquelle le temps est une constante universelle. Le temps est une vibration limitée sur la corde de l’espace infini, dépendant dans son appréciation de la conscience de celui qui le perçoit. Lorsque l’on se déplace dans l’espace, ce n’est pas à travers quelque chose de vide n’ayant aucun effet sur nous : le temps est mû par une forme d’énergie qui forme la trame temporelle. Mais comme nous avançons à une vitesse plus ou moins constante, notre expérience et notre ressenti du temps demeurent stable et uniforme. De son côté, la physique quantique montre que des événements séparés par le temps peuvent être corrélés, intriqués, sans qu’aucune causalité n’intervienne. Le temps est en fait spatial, indépendant de la causalité. Il est un, unifié, simultané, Tout Puissant.

* Cf. Fin de cycle (1) Fin du temps ou fin des temps ?

Cf. La falsification de la réalité en 3-D.

Cf. en complément Évolution de civilisation (2) Les synchronicités de l'Histoire.

 

La civilisation sumérienne s'est distinguée par un développement très poussé des mathématiques, à partir d'un système sexagésimal, basé sur le nombre 60, plutôt que notre système décimal fondé sur le nombre 10. C’est à cette civilisation que nous devons la division du cercle et du ciel en 360 degrés et la division des heures en 60 minutes puis en 60 secondes. Si les Sumériens ont choisi le nombre 60 comme base, c'est qu'ils en connaissaient toute la puissance.

 

Aujourd’hui encore, la mesure du temps est basée sur le chiffre 6. Le cadran d’horloge, en forme de cercle (Cf. figure 1), est divisé en 6 puis en 12 par la séparation de chacune des six parties en deux. Nous divisons aussi 1 heure en 60 minutes et 1 minute en 60 secondes.

Le cercle se laisse naturellement diviser en 6. En effet, pour le diviser en 6, il suffit de choisir un point de départ - le point A -, de prendre pour ouverture du compas la mesure du rayon du cercle, et de reporter cette mesure six fois sur le cercle. De cette façon, nous obtenons les points B, C, D, E et F puis, pour le 6ième report, nous retombons exactement sur le point A.

Cette figure est riche de significations et laisse apparaître un hexagone régulier contenant 6 trigones, soit 6 triangles équilatéraux (Cf. figure 2). Il permet de constituer également deux tétraèdres, un de nature féminine – pointe vers le bas - et l’autre de nature masculine – pointe vers le haut - (Cf. figure 3). Ces deux tétraèdres dessinent un hexagramme, dit également Sceau de Salomon ou Étoile de David, soit la figure d’une étoile (Cf. figure 4).

Cet hexagone étoilé représente l’alliance entre le divin (le triangle dont la pointe est en haut) et l’humanité terrestre (le triangle dont la pointe est en bas). Le triangle divin s’élargit en descendant*, signifiant que la force divine s’épanche de la pointe supérieure pour illuminer l’univers et l’humanité terrestre, l’autre triangle signifiant que l’humanité terrestre cherche la voie de remontée "vers le haut". Il permet également de comprendre le fonctionnement du Temps et de l'Espace*², et la façon dont les forces involutives l'ont manipulé pour empêcher les êtres humains de s'extirper de la matrice asservissante astrale, soit leur Caverne d'esclavage.

Ceci explique que le lys soit par excellence la fleur céleste et la fleur française, celle qui excelle sur toutes les autres fleurs en odeur suave, en fécondité et en hauteur, constituant le symbole de la royauté par les trois fleurons qui la composent (image 5) figurant la Sainte Trinité (le haut fleuron signifie la sainte foi et loi de Jésus-Christ, et les deux de moyenne hauteur signifient sapience - sagesse et science - et noblesse - prouesse). Ou comment se dissimuler derrière la soi-disant Église de Dieu pour mieux asservir l'humain illusionné, s'imaginant naïvement que c'est par leur intermédiaire qu'il est à même de fusionner avec les plans d'en-haut ! En observant cette fleur de lys du dessus, on obtient l'étoile à 6 branches dite étoile de David (images 6 et 7). Elle a en effet son origine en Égypte (d'où vient Moïse), où elle ornait plusieurs monuments et objets d'art. Dans ce pays, cet emblème floral distinguait les dieux et les souverains, car il représentait le double pouvoir spirituel et royal. Osiris, Isis et Horus en étaient couronnés, et cet emblème se retrouvait souvent sur le front des statues et des sphinx.

* Cf. Évolution de civilisation (1) Le mécanisme de l'Univers.

Cf. La falsification de la réalité en 3-D.

 

L'hexagone, cette forme répétée dans chaque cellule, est la plus efficace du cosmos. Par son exactitude géométrique, elle ne laisse aucun espace vide entre chaque rayon. C'est pourquoi les forces avec lesquelles la Terre crée ces cristaux hexagonaux se trouvent en chaque être humain, puisque le corps humain est plein de quartz sous forme soluble. Notre survie dépend du fait que le corps s’efforce continuellement de former des cristaux à six faces. Il est à noter que le quartz peut se cristalliser en un système hexagonal, comme la glace. On retrouve la forme hexagonale sur le pôle Nord de Saturne dit "hexagone de Saturne" de par son motif nuageux hexagonal*. Saturne étant pour l'initié Satan, l'archétype latin des Forces des Ténèbres, c'est dire si sa puissance entropique domine les affaires terrestres, son vortex isolé au-dessus de son pôle Sud constituant cependant le trou de ver libérateur et salvateur pour l'initié accompli*²...

* Il a été découvert par l'une des sondes du programme Voyager en 1981. Selon les observations du télescope spatial Hubble, il n'y a pas d'hexagone au-dessus du pôle Sud de Saturne, mais un vortex isolé (qui existe également au centre de l'hexagone au pôle Nord).

Cf. Le chemin alchimique.

 

La puissance sexuelle

Le mot "SEXE" vient de "SIX", en référence aux SIX premiers stators-dynamos ou centres énergétiques* appelés chakras en sanskrit. Le mot sexualité veut dire six comme :

Sex, une abréviation de la constellation Sextans.
Sextuor : un groupe de six musiciens.
Sexagénaire : une personne âgée de six décades.
Sextuplé : six enfants nés en même temps, de la même femme.
Sexdactylie : une maladie génétique qui donne aux gens six doigts à la place des cinq doigts réguliers de la main.
Sextant : un instrument de mesure sous la forme d'un sixième de cercle.
Sextilis : le sixième mois du calendrier romain ancien
Bisextile :une année comptant 366 jours au lieu de 365. Le terme vient du latin bis-sextilis, qui signifie "deux fois (bis) sixième (sextus)".

* Cf. en complément L'état de cohérence, voie de sa liberté, Fonctionnement du corps biologique & Conscience et dépassement de la Matrice sexuelle.

 

 

Structuration de l'espace

Si le nombre 6 structure le temps, il structure aussi l’espace par l'axe des 6 directions. Aussi, dans le langage scientifique actuel, nous pourrions dire que l’espace-temps est structuré par le nombre 6.

 

 

Structuration des couleurs

Le 6 structure également notre perception humaine des couleurs*, les 3 couleurs dites primaires - rouge, jaune et bleu – et les 3 couleurs secondaires - orange, vert et violet -, correspondant chacune à un centre de conscience autrement appelé chakra*² .

* Trois couleurs sont primaires entre elles si aucune des trois ne peut être reproduite par un mélange des deux autres.

Fonctionnement du corps biologique.

 

Structuration des sons

Il en est de même pour la gamme musicale* et les tempéraments des sons, et ses 12 notes dans la gamme dite de Zarlino*².

* La gamme musicale, placée entre les limites d'une octave (on entend par octave le doublement des vibrations), comprend sept tons et cinq demi-tons.

Gioseffo Zarlino (1517–1590) fut le premier à reconnaître l’importance de la tierce majeure comme intervalle fondateur de l’harmonie. Il a élaboré une gamme naturelle en reconnaissant une place importante à l’intervalle de tierce "pure", et plus généralement aux intervalles purs, c’est-à-dire correspondant à un rapport de fréquence s'exprimant par une fraction simple.

 

De la création musicale de l'Univers et de notre galaxie solaire

La gamme musicale, placée entre les limites d'une octave (on entend par octave le doublement des vibrations), comprend sept tons et cinq demi-tons, ainsi que deux demi-tons déficients* placés pour l'un entre les notes MI et FA, et pour l'autre entre SI et DO. Le caractère de la progression des vibrations se fait d'une manière discontinue, correspondant à la Loi divine dite de Sept (Cf. le nombre 7), ou Loi d'Octave. Comme tout phénomène existant existe dans le Temps, il est par conséquent mouvement, dont la discontinuité est exprimée en fractions et en nombres entiers et, d'autre part, par la courbe de discontinuité d'une octave musicale.

En parallèle, l'action de l'Absolu qui créa l'Univers voit son existence à tous les échelons être assurée par une deuxième Loi divine, la Loi de Trois (Cf. nombre 3). Celle-ci se développe aussi dans le Temps, donc suivant la Loi de Sept. C'est pourquoi le Rayon de Création, progressant de l'Absolu jusqu'aux satellites des planètes, et jusqu'à la Lune pour la galaxie solaire de la Voie lactée, suit nécessairement la cadence de l'octave. Il est nommé dans la Tradition la Grande Octave, ou l'Octave Cosmique. C'est une octave descendante. Nous en retrouvons la mise en œuvre dans les noms des notes de la gamme musicale qui fut établie par le bénédictin italien Guido d'Arezzo (995-1050 environ), qui utilisa l'hymne à saint Jean-Baptiste, composé deux siècles auparavant par le moine bénédictin, historien et poète lombard du VIIIᵉ siècle Paul Diacre (vers 720-vers 799). L'hymne à saint Jean-Baptiste est ainsi conçu : UT queant laxis REsonare fibris MIra gestorum FAmuli tuorum SOLve polluti LAbii reatum Sancte Johannes, signifiant Pour que tes fidèles puissent de toutes les fibres (de leur âme) chanter les merveilles de ta vie — purifie leurs lèvres souillées (du péché), ô saint Jean !

Nous pouvons ainsi comprendre le parfait ordonnancement musical de Ce Qui Est, à l'échelle universelle comme de chaque galaxie solaire, chaque note ayant sa juste place pour sa juste résonance :

DO - Dieu, l'Absolu, le Soleil central (DOminus)

SI - Ciel étoilé, l'ensemble de tous les mondes (SIdereus orbis)

LA - Notre grand Monde, La Voie lactée (LActeus orbis)

SOL - Soleil (SOL)

FA - Monde planétaire ou astral, agissant sur notre destinée (FAtum)

MI - Terre, monde imparfait régi par la dualité entre Bien et Mal - le microcosmos (MIxtus orbis)

RE - Lune, la régente du sort des humains (REgina astris)

A défaut de connaître, de comprendre et de maîtriser sa partition évolutive, soit de "chanter" juste  - penser, parler, agir -, l'être humain ne peut que subir les couacs disgracieux qui le privent de l'accès à la symphonie suprême !

* Ils correspondent à la notion du Destin (Fatum pour les Anciens), soit la bifurcation ou tendance à la déviation involutive pour l'être humain illusionné gouverné par les Forces de l'Astral, autrement dit le corpus prédateur de la 4ème dimension de densité, dans la mesure où la puissance du Rayon de Création est atténuée dans sa progression descendante.

Cf. En complément Évolution de civilisation (1) Le mécanisme de l'Univers.

 

 

La puissance de l’eau

Rien ne résiste à l’assaut des vagues, au courant d’un fleuve tumultueux. Sous forme de glace, l’eau fait éclater les rochers, forme des icebergs capables de couler les plus puissants navires, dévale les pentes montagneuses sous forme d’avalanches. L’examen au microscope des cristaux de neige enseigne que si leurs formes diffèrent, chacun cependant comporte exactement 6 axes de symétrie.

 

 

Du nombre de la "Bête", le 666

Le nombre 666 apparaît dans le dernier texte de la Bible, l’Apocalypse, mot qui signifie révélation : "C’est ici la sagesse. Que celui qui a de l’intelligence calcule le nombre de la bête. Car c’est un nombre d’homme, et son nombre est six cent soixante-six."  (13: 18). Une indication nous est donnée sur sa nature : "Puis je vis monter de la terre une autre bête, qui avait deux cornes semblables à celles d’un agneau, et qui parlait comme un dragon. " (13: 11). Le dragon est l’image de Lucifer, l’Archange "déchu" dans la matière viciée, porteur des deux polarités expressives du Vivant, celle à caractère définitivement entropique (-) lui conférant le qualificatif de Satan.

Ce texte, deux mille ans après sa rédaction, évoque un symbole mathématique du Zodiaque égyptien* qui a été détourné de son sens originel, le 666 étant le chiffre du corps humain dans la mesure où il correspond aux 6 neutrons, 6 protons, 6  électrons du corps de carbone, alors que le véritable chiffre du démiurge (Yaldabaoth ou Yahvé) est le 777. Il nécessite également de comprendre un langage biblique qui véhicule des images pour transmettre des notions, le langage humain dans les limites de son auteur à son époque tentant d'en décrire la réalité spirituelle. Ainsi les deux cornes de la bête désignent l’horrible "bête" avec laquelle l'être humain est aux prises, le vice ou péché (le prédateur reptilien qui est en soi) contre sa propre nature divine. Comme 6 est le nombre de la Puissance, sa signification est la triple puissance de cette "bête" qui nous menace et nous mène inéluctablement à la mort, non à l'Ascension (changement de dimension, soit le passage à la 5-D, celle du "Service d'Autrui"). Elle passe en cette fin de cyclicité civilisationnelle par la mise en place d'un système de contrôle total des êtres humains, tout particulièrement par le contrôle total des transactions monétaires à partir de la carte de crédit bancaire, la carte VISA (VI équivaut à 6 en chiffres romains, S correspondait à 6 dans l’Égypte ancienne, A était 6 en sanskrit) qui donne 666...

Si un nombre est presque toujours perçu comme la mesure d’une quantité (distance, durée, poids), il possède également une qualité, sorte de personnalité qui traduit la Création*² et ses lois cosmiques. Celles-ci sont des forces données pour l'évolution tant individuelle que globale. Par notre libre arbitre, nous pouvons les utiliser pour une bonne comme une mauvaise cause. C'est pourquoi le 666 fait partie de l'épreuve tant de l'humanité au sens civilisationnel que de l'individu dans l'expérimentation terrestre limitée en conscience, avant que de tenter de retourner à la Lumière originelle. L’Histoire montre ainsi que la Puissance, le nombre 6, a été mobilisée le plus souvent pour opprimer, envahir et asservir les peuples en raison de la prédation astrale de 4ème dimension qui gouverne la conscience humaine. Cependant, l'Apocalypse nous disant que le nombre 666 est celui d’un homme, nous trouvons Jean le Baptiste, qui annonce l’arrivée d’un Fils de Dieu dont l'enseignement permet à l'homme, s'il comprend l'énergie de l'âme qui coule en lui, de se libérer par transmutation personnelle du péché, autrement dit de son prédateur ancré dans sa psyché appartenant aux Forces involutives confinées aux Ténèbres. Dans ce nombre que l'homme comme l'humanité doivent obligatoirement expérimenter, s'exprime une fois encore la loi de la polarité propre au vécu au sein de la matière, soit d’un côté le péché, et de l’autre la toute-puissance de la Vérité par la Clarté conférée. Une fois cette loi comprise et assimilée, et l'énergie de l'âme viciée transmutée par sa fusion à l'Esprit universel, alors le 666 n'a plus aucun pouvoir sur l'être humain, celui-ci ayant réussi son ascension de conscience !
* Cf. Le modèle européen décodé (1) Un ADN impérial païen.

Cf. L'arbre des Séphiroth dans Le processus de création décodé. L'antique système sumérien était quant à lui fondé sur une base soixante qui, avec ses dérivés, se répètent à l'infini à travers l'humain, les planètes, la mesure du temps... Ses séquences incluaient 360, 3600 et 6x6x6 (216).

Cf. en complément lien avec les nombres 23 et 666 dans Symbolisme des autres nombres.

 

Le nombre Sept - 7 - : la Volonté

 

Les propriétés mathématiques du nombre 7 sont exceptionnelles. C'est pourquoi il est un chiffre extrêmement sacré. Il fait référence à la Grande Ourse, soit les "sept dieux" qui sont descendus sur Terre, autrement dit les sept grandes énergies nourricières, telles qu'illustrées par les chakras (centres énergétiques) de l'hindouisme. Il est en lien avec le 22, celui-ci étant la circonférence d’un cercle d’un diamètre de 7. Dans le Tarot initiatique, le 22ième arcane - non numéroté - est Le Mat*, soit l'impétrant expérimentateur de la matière viciée dans sa configuration en trois dimensions dont les structures exceptionnelles  sont appelées les solides de Platon (il n’y en a que 7), et porteur enfouie au plus profond de lui-même de l'énergie de la Volonté pour exercer avec puissance sa pensée création*².

* Cf. Le sens caché du Tarot initiatique.

Cf. La pensée création.

 

Les 7 éléments de la structure de l'Univers

Ils constituent ce qui est nommé dans la Tradition le "Rayon de Création", ou "Cône de la Création du Monde". Son schéma en partant du bas* voit la Terre avoir la Lune pour satellite. C'est la limite, le dernier échelon de la Création après lequel il n'y a plus rien. La Lune en effet — pas
plus que les satellites des autres planètes — n'a elle-même de satellite. La Terre fait partie du Monde planétaire qui gravite autour du Soleil, maître de notre système. Le Soleil est l'une des étoiles du système connu sous le nom de Voie Lactée, système auquel appartient l'ensemble du système solaire. La Voie Lactée n'est pas unique en son genre, puisqu'on observe d'autres galaxies dans le ciel, semblables à la nôtre, qui constituent des mondes qui ne lui ressembleraient pas. Ces grandes unités, dans leur ensemble, constituent Tous les Mondes, c'est-à-dire tout le contenu de l'Univers qui gravite autour de ce qu'on appelle dans la Tradition le Soleil Central, l'Absolu, le Divin manifesté. Et, de par le principe de l'unité du Monde, ces sept éléments sont sept cosmos*², sept Êtres vivants, qui forment dans leur ensemble, le Macrocosmos, un cycle complet de vie en perpétuelle renaissance.

* Aussi ne représente-t-il qu'un rayon de la Création, et non pas l'Univers dans son ensemble.

Chaque cosmos est un être vivant, tridimensionnel, régi par des lois identiques, comme le Microcosmos, c'est-à-dire l'homme. Comme lui, chacun vit dans le temps.

 

Les 7 solides de Platon

Pour le philosophe grec Platon (428-427/348-347 av. J.-C) dans son ouvrage Le Timée, nourri de l’enseignement prodigué par Socrate, ce sont les cinq codes (ou patterns) de la création tridimensionnelle - Octaèdre, Tétraèdre, Dodécaèdre, Hexaèdre, Icosaèdre -, modèles géométriques dits de base ou élémentaires, dont la surface est entièrement constituée de triangles équilatéraux, de carrés et de pentagones, toutes les arêtes étant égales comme les valeurs des angles inférieurs. Inter-reliés, ils caractérisent l’harmonique, la régularité, de tous les éléments trouvés dans la nature et l’univers. Il les considère comme des formes parfaites, immuables et éternelles, accessibles à l’homme dans certaines conditions. Il les fait correspondre aux quatre éléments fondamentaux (feu, terre, air, eau). Le cinquième, le "dodécaèdre", forme terminale en géométrie, représente le cosmos, l’univers tout entier, soit la forme de conscience la plus élevée. De ce fait, le monde est une structure figée, que des lois mathématiques* intemporelles gouvernent avec précision. Se rajoutent deux autres formes géométriques spécifiques, la Sphère et la Merkaba*², pour en permettre la pleine puissance d'expression.

* L’origine des mathématiques serait non arabe mais d’Inde, ce que tend à démontrer les chants liturgiques et les formules sacrificielles des Vedas comme la nature de la construction des édifices sacrés.

Cf. Le chemin alchimique.

 

Des 7 composantes organiques du corps humain

Les organes vitaux indispensables au bon fonctionnement et à la survie du corps sont au nombre de 7 : le cœur, le cerveau, la peau, les poumons, le foie, le pancréas, les reins et la peau. Ils s'appuient sur le système endocrinien qui produit des hormones, soit des substances déversées dans le sang pour en réguler le bon fonctionnement. Et les principales glandes endocrines sont également au nombre de 7 : la glande pinéale ou épiphyse dont la fonction est de sécréter l'hormone mélatonine; l’hypophyse ou glande pituitaire; la glande thyroïde; le thymus qui est l'un des centres de production et de maturation des lymphocytes T (globules blancs) qui jouent un rôle dans les processus de défense de l'organisme (réactions immunologiques); les glandes surrénales qui jouent un rôle essentiel dans le contrôle de la tension artérielle et dans la synthèse de l'hormone vitale qu'est le cortisol; le pancréas qui assure la sécrétion de sucs pour la digestion et de l'insuline pour la régulation de la glycémie ("taux de sucre" ou "taux de glucose" dans le sang); les glandes sexuelles (testicules chez l'homme, ovaires chez la femme).

Au global, le corps humain est structuré au moyen du nombre 7, s’organisant autour du squelette pour son ossature, les muscles et les articulations pour sa motricité, les organes pour ses fonctions vitales, le système circulatoire (artères et veines) pour son irrigation (sang), le système endocrinien au moyen des hormones pour son contrôle, le système nerveux , et la peau pour sa protection contre les agressions extérieures, la captation des informations sensorielles et la régulation thermique corporelle.

 

Son sens : accompagnement énergétique de l’humanité

La Volonté divine est une Énergie de configurations d’information à permutations et de durée infinies. Autrement dit, les permutations infinies de configurations ou types d’information produisent de l’énergie. Comme ce qui est en Haut est comme ce qui est en Bas, les activités humaines reflètent les processus cosmiques. C'est pourquoi, quand les anciens parlaient de la volonté divine, ils disaient que l’histoire qui se déroule est une conséquence de la volonté divine. Il y a de ce fait des choses qui tout simplement arrivent, et il n’y a rien que l’on puisse faire pour changer cela. Au regard de l'état des lieux actuels, nous pouvons considérer que le chaos précède la création, des éléments devant être décomposés afin qu’ils soient réutilisés dans un procès créatif *. C'est ce que traduit le nombre 7.

* Un processus cosmique créatif peut être imagé comme un géant motoculteur cosmique qui passe à travers l’univers en tournant le sol et distribuant l’engrais pour la nouvelle pousse afin de maintenir l’univers comme un bon jardinier. Nous sommes comme une petite graine, qui ressentons les vibrations du motoculteur pendant toutes nos vies, suivant qu'il soit plus ou moins éloigné... Actuellement le motoculteur s’approche de plus en plus, et certain(e)s vont se coller aux lames du motoculteur de par leur "poids karmique" pour être foudroyés dans l’espace !

 

La Loi de Sept

Après la Loi de Trois (Cf. Le nombre 3), la deuxième loi fondamentale divine est la Loi de Sept. Cette loi ne s'applique ni à la création ni à l'existence des choses et phénomènes dans l'espace, mais à leur évolution dans le Temps. Elle concerne l'action de toutes les catégories de mouvements, sur tous les plans et à tous les échelons de la Création. Sa nécessité objective découle du caractère destructeur du Temps, deuxième condition de la Création après l'Espace. En vertu de ce principe, tout ce qui naît ou qui est créé — y compris l'homme — est voué à l'anéantissement. Ainsi l'Univers, dès sa création, était menacé d'anéantissement par l'action du Temps. Pour faire face à ce danger, la Loi de sept représente le moyen par lequel l'action destructrice du Temps est neutralisée dans une certaine mesure.
Un mouvement ne pouvant être dissocié de sa durée, toute action est mouvement extérieur ou intérieur ; elle se trouve donc engagée dans le Temps. La Loi de Sept consiste précisément en ce que tout mouvement ainsi déclenché subit à un certain moment une déviation, puis, après
un parcours dans une nouvelle direction, une nouvelle déviation et ainsi de suite. Si l'impulsion initiale est assez forte, après avoir décrit un hexagone, le mouvement, par la dernière déviation, revient à son point de départ. Ainsi, sous l'influence de la Loi de sept, toute l'action engagée dans l'Univers se déroule selon des cycles.

Ceci explique que si la Loi de Trois est une loi naturelle, la Loi de Sept est artificielle. En ne neutralisant pas complètement l'action destructrice du Temps, elle la tempère en imposant à toute action ou mouvement des courbures successives pour les enfermer dans des cycles. En premier lieu, le Temps lui-même se trouve courbé, dévié de la ligne droite et enfermé dans un grand Cycle *², englobant tous les cycles subordonnés. Il en résulte que l'anéantissement ne survient au cours du premier cycle ou des cycles suivants que lorsque la force de l'impulsion initiale se trouve épuisée, même si la loi admet la possibilité de raviver le mouvement en perte d'énergie — et de vitesse — en lui imprimant des impulsions complémentaires aux moments et aux points opportuns.

* Le Grand Cycle, qui circonscrit le Temps à partir de la première impulsion de la manifestation divine jusqu'à l'Accomplissement, c'est-à-dire la fin du Monde, est conçu dans la Tradition comme l’Éternité. L’Éternité n'est de ce fait pas infinie. Comme tout ce qui est créé, elle est limitée. Elle embrasse toute la Manifestation de Ce Qui Est, et comprend en elle l'accomplissement de toutes les possibilités et de toutes les promesses.
La courbure du Temps le fait donc revenir lui aussi à son point de départ. Ainsi considérée, l’Éternité a une certaine durée.

Cf. en complément Fin de cycle (1) Fin du temps ou fin des temps ?

 

Ainsi, depuis fort longtemps, le nombre 7 rythme notre perception de l’écoulement du temps par les jours qui passent. Leur groupement par 7 a semble-t-il été utilisé pour la première fois en Mésopotamie par les astronomes chaldéens, qui avaient identifié 7 astres dans le ciel : la Lune (lundi), Mercure (mercredi), Vénus (vendredi), le Soleil (dimanche), Mars (mardi), Jupiter (vendredi) et Saturne (samedi)*. Par la suite, la semaine de 7 jours fut utilisée par les Hébreux, les Chinois et finalement par l’Occident chrétien.

Pythagore lui-même fit appel au nombre 7 dans un tout autre domaine. Découvrant le lien qui existe entre la longueur d’une corde vibrante et le son qu’elle émet, il créa la première gamme musicale de l’histoire. Cette gamme comporte 7 notes.

De leur côté, les 7 "merveilles du monde" du monde antique (le Phare d’Alexandrie, les Jardins suspendus de Babylone, le Colosse de Rhodes…) sont encore évoquées de nos jours. Par-delà les siècles, il n’en subsiste cependant plus qu’une : la Grande Pyramide. Ce célèbre et colossal édifice est donc historiquement le premier et le dernier, c'est-à-dire l’alpha et l’oméga. Construit sur l’ordre de "Dieu", il est porteur d’un message qu’il nous appartient de découvrir*² afin de pouvoir retourner à la Source, une fois les Forces de l'Ombre et des Ténèbres transcendées.

* Ce groupement jours/planètes est appelé le cercle de "saṃsāra", terme sanskrit signifiant "ensemble de ce qui circule". Cf. en complément travaux de Patrick Jarnoüen dans ses livres "Le Cosmos est conscience" et "Le Cosmos est langage" (Éditions Nouvelle Terre).

Cf. Le modèle pyramidal décodé.

 

De nos jours, la science moderne a établi que la matière est composée d’atomes (carbone, azote, oxygène, fer …), qui se répartissent en 7 groupes d’éléments chimiques dans un tableau* (image 1) élaboré par le chimiste russe Dmitri Ivanovitch Mendeleïev (1834/1907) dans la seconde moitié du XIXe siècle (1869), et que l'on retrouve dans la Tétraktys pythagoricienne (voir plus en avant le nombre 9). Chaque ligne du tableau constitue un groupe ou "période", les éléments étant ordonnés par numéro atomique croissant et organisés en fonction de leur configuration électronique, laquelle sous-tend leurs propriétés chimiques.

Lorsqu’ils sont régulièrement répartis dans l’espace, les atomes forment des cristaux. Dans un cristal, un motif de base (la maille) se répète à l’identique pour former un réseau cristallin. Ainsi, la pyrite cristallise dans le système cubique (image 2). Il existe 7 systèmes cristallins fondamentaux (triclinique, monoclinique, orthorhombique, quadratique, rhomboédrique, hexagonal, cubique). Cette géométrie atomique*² explique la concordance ou non des protons de ces éléments, qui font que lorsque deux éléments sont côte à côte avec un seul neutron comme différence, l’un est très bénéfique et l’autre très toxique.

* Ce tableau a connu de nombreux réajustements depuis lors jusqu'à prendre la forme que nous lui connaissons aujourd'hui. Il est devenu un référentiel universel auquel peuvent être rapportés tous les types de comportements physique et chimique des éléments. Depuis sa mise à jour du 28 novembre 2016, sa forme standard comporte 118 éléments.

Il en est de même sur le plan organique, les molécules ayant des propriétés intrinsèques complètement différentes en raison de leur conformation géométrique par rapport au champ d’information cosmique. C'est ce qui est appelé chiralité en chimie, un composé chimique étant dit chiral s'il n'est pas superposable à son image dans un miroir. Il existe un certain nombre de raisons pour lesquelles une molécule peut être chirale : la présence d'un ou plusieurs centre asymétrique ; une forme en spirale ; un plan de chiralité. C'est ce qui explique que les propriétés du symbole géométrique ne sont pas absolues, mais relatives à notre environnement.

 

De la transformation alchimique

Transposée dans le tableau périodique des éléments, la transformation alchimique*, nommée transmutation, consiste à transformer le plomb - élément n°82 Pb (abréviation française du mot "Problème") - en élément n°79, Au ou Or, autrement dit le Trésor, la véritable richesse, intérieure s'entend.

Cf. Le chemin alchimique.

 

Symbolisme mystique du nombre 7

 

Le symbole du nombre 7 est l’étoile à 7 branches. Contrairement à l’étoile à 5 branches et à 6 branches, l’étoile à 7 branches n’est pas constructible avec les instruments usuels de la géométrie (règle et compas). Il existe certes des constructions approximatives mais aucune construction exacte. Nous sommes bel et bien en présence d’un nombre particulier qui dépasse les limites de la compréhension humaine. Un nombre "surhumain" en quelque sorte... tant que l'être humain ne s'est pas éveillé à Sa véritable essence, la Science atomique ! Le nombre 7 de par sa spécificité est bel et bien le nombre qui organise la complexité dans le cosmos.

 

Les apparitions du nombre 7 dans la Bible sont innombrables. C’est notamment le cas dans l’Apocalypse, mot d’origine grecque qui signifie "révélation". Ce texte révélé décrit sous forme d’images des réalités et des évènements qui ne sont nullement terrestres mais divins, soit les clés de compréhension du Jeu du Vivant *. C’est pourquoi l’Apocalypse est presque toujours incomprise tant par le simple lecteur que nombre de prétendus érudits maintenus sous hypnose par la prédation astrale de 4ème dimension de densité qui gouverne l'inflammation de leur psyché (le moi-personnalité).

Ainsi dans son chapitre 1, retrouve-t-on les citations suivantes, qui décrivent notamment un Majestueux Personnage s’adressant aux 7 Églises, accompagné par 7 esprits qui sont devant son trône, qui marche au milieu de 7 chandeliers d’or et qui tient 7 étoiles dans sa main droite.

Apocalypse 1 : 4 : "Jean aux sept églises qui sont en Asie : que la grâce et la paix vous soient données de la part de celui qui est, qui était et qui vient, et de la part des sept esprits qui sont devant son trône, et de la part de Jésus-Christ, le témoin fidèle, le premier né des morts, et le chef des rois de la terre !". Avec cette citation se distinguent deux Personnages, puisque la grâce et la paix sont données de la part de "Celui Qui Est, Qui Était et Qui Vient" et de la part de Jésus-Christ, le Kiristos (la conscience christique). Deux Fils de Dieu !

A présent, Jean entend la voix du Majestueux Personnage mais il ne le voit pas encore.   

Apocalypse 1 : 10-11 :  "Je fus ravi en esprit, le jour du Seigneur, et j’entendis derrière moi une voix forte, comme le son d’un trompette, qui disait : ce que tu vois, écris-le dans un livre, et envoie-le aux sept Églises, à Éphèse, à Smyrne, à Pergame, à Thyatire, à Sardes, à Philadelphie, et à Laodicée."

Si la tentation est d’assimiler les sept Églises à des communautés terrestres, nous comprenons vite que les descriptions qui sont données concernent les plus hauts évènements spirituels.

* Cf. Le Jeu de la Vie.

 

Dans le "La Lumière de la Vérité - Message du Graal" de l'écrivain allemand Oskar Ernst Bernhardt, l’explication ultime nous est suggérée. Tout ce que la science actuelle connait de l’univers matériel, c'est-à-dire des milliards de galaxies comportant chacune des milliards d’étoiles et de planètes, constitue une parcelle d’une gigantesque partie cosmique, au sein de laquelle gravite la Terre, dans la galaxie solaire La Voie lactée dont elle est le centre, l'Agartha selon la Tradition. Elle se nomme "Éphèse" (ou Ephesus). Mais, beaucoup plus loin, dans les espaces sidéraux et totalement hors de portée de nos instruments d’observation, existent 6 autres parties cosmiques tout aussi imposantes : Pergame, Sardes, Thyatire, Smyrne, Philadelphie et Laodicée.

Ensemble, les 7 parties cosmiques forment une sorte de prodigieuse "couronne" en rotation dans l’univers matériel et au sein desquelles s’incarnent les germes d’esprits humains en cours d’évolution, selon les niveaux ou états de conscience atteints.

 

Voici maintenant la description du Céleste Personnage dont Jean a entendu la voix :

Apocalypse 1 : 12-16 : "Je me retournais pour connaître quelle était la voix qui me parlait. Et après m’être retourné, je vis sept chandeliers d’or, et, au milieu des sept chandeliers, quelqu’un qui ressemblait à un fils d’homme, vêtu d’une longue robe, et ayant une ceinture d’or sur la poitrine. Sa tête et ses cheveux étaient blancs comme de la laine blanche, comme de la neige ; ses yeux étaient comme une flamme de feu ; ses pieds étaient semblables à de l’airain ardent, comme s’il eût été embrasé dans une fournaise ; et sa voix était comme le bruit des grandes eaux. Il avait dans sa main droite sept étoiles. De sa bouche sortait une épée aiguë, à deux tranchants ; et son visage était comme le soleil lorsqu’il brille dans sa force." Une Force divine sublime et rayonnante s’échappe de ce Personnage. L’irradiation intense qui émane de sa tête est d’une blancheur éblouissante et son regard est semblable à "une flamme de feu". L’épée aiguë à deux tranchants qui "sort de sa bouche" est la Parole du Divin, Celle qui apporte Justice et Jugement, permettant de préserver l'équilibre de Ce Qui Est, balance entre Être - les Forces évolutives - et Non-Être, les Forces involutives. Le yin-yang taoïste...

Dans les versets 19 et 20 se trouve la signification des "sept chandeliers" et des "sept étoiles" : "Écris donc les choses que tu as vues, et celles qui sont, et celles qui doivent arriver après elles, le mystère des sept étoiles que tu as vues dans ma main droite, et des sept chandeliers d’or. Les sept étoiles sont les anges des sept Églises, et les sept chandeliers sont les sept Églises." Nous apprenons ici que chaque "chandelier" est gardé par un "ange". Autrement dit, chacune des 7 parties ou continents cosmiques est fidèlement gardée et protégée par une entité spécifique de la Nature, un Être de Lumière planificateur du Vivant. Compte-tenu de la taille gigantesque de chaque partie cosmique, cette entité ne saurait être de petite taille. Sévère et vigilante, elle s’assure du développement et du bon fonctionnement de la partie cosmique dont elle a la charge et s’efforce d’en garantir les équilibres.

Dans le chapitre 2 de l’Apocalypse, le Majestueux Personnage examine la situation de chaque partie cosmique, énonçant un verdict. Pour ce qui concerne notre partie cosmique (Éphèse), après quelques compliments il prononce de sévères paroles d’avertissement (versets 2: 4 et 2: 5) : "Mais ce que j’ai contre toi, c’est que tu as abandonné ton premier amour. Souviens-toi donc d’où tu es tombé, repens-toi, et pratique tes premières œuvres ; sinon, je viendrais à toi, et j’ôterais ton chandelier de sa place, à moins que tu ne te repentes." Il nous est reproché d’avoir abandonné "notre premier amour", c'est-à-dire la conscience spirituelle lumineuse des premiers âges de l’humanité (l’âge d’or). Nous sommes invités à nous souvenir "d’où nous sommes tombés" et exhortés à pratiquer "nos premières œuvres." Et à deux reprises, nous sommes sommés de nous repentir. Le message est très clair, et d’une actualité brûlante...

 

7 lampes ardentes qui sont les 7 esprits de Dieu, livre sacré* scellé de 7 sceaux, "agneau"*² qui avait 7 cornes et 7 yeux, 7 anges qui se tiennent devant Dieu et 7 trompettes qui leur sont données, 7 coupes d’or pleines de la colère de Dieu... le nombre 7 est celui de la Volonté du Divin - Ce Qui Est -, avec la concernant ce passage mystérieux : "Quand les sept tonnerres eurent parlé, j’allais écrire mais j’entendis du ciel une voix me dire : "Tiens secrètes les paroles des sept tonnerres et ne les écris pas." Qu'est-ce que Jean tient caché ? Pourquoi a-t-il dit qu’il avait caché quelque chose ? À quoi bon cet intermède bizarre, cette remarque ? Qu’est-ce que l’homme ne doit pas savoir ? Le sens de la Révélation ne consiste-t-il justement pas à ce que l’homme sache? Peut-être la notion même de connaissance nous rend-elle malheureux... Dans ce détail, il y a une noblesse incroyable, absolument inhumaine, devant laquelle l’homme se sent un petit enfant, à la fois sans défense et protégé. Cela permet à notre savoir d’être incomplet, de ne pas profaner l’infini, l'UN fini, de laisser un espoir. Dans l’ignorance de l’homme, il y a un espoir. L’ignorance est noble. Le savoir profane est vulgaire. C’est pourquoi cette préoccupation exprimée dans l’Apocalypse a davantage tendance à nous donner espoir qu’à effrayer, une fois terrassée l'agitation de l'égo-mental par son besoin incessant de savoir !

* Ce livre contient le total des expériences karmiques de l'humain réalisées dans la matière terrestre.

L'agneau symbolise la formation de la conscience pure (christique) chez l'être humain, lui permettant dans son évolution de devenir Intelligent. Il passe ainsi de la conscience spirituelle à la conscience atomique, la conscience de l'Intelligence universelle.

 

Des sept sceaux

Les sceaux représentent les conditions primordiales nécessaires à l'évolution de la conscience humaine au sein d'une planète, autrement dit les capacités de l'âme à faire évoluer l'égo-personnalité vers le Soi supérieur (ou supra-mental) par sa fusion à l'Esprit universel. Ils sont des points de repère dans la voûte étoilée, autrement dit la matrice astrale, permettant lorsque l'être humain parvient à les décacheter par son ouverture de conscience - son intelligence interne - de recevoir les énergies en provenance du champ cosmique placé sous la tutelle des Forces de Lumière à travers ses propres centres d'énergie (ou chakras). Il peut alors, ayant dépassé la temporalité ou cyclicité "saturnienne" de la matrice astrale, assurer son propre rayonnement de créateur de la matière par sa maîtrise de la Science atomique, à même de la sublimer et non plus de la pervertir.

Cf. Processus de transformation de conscience (1).

 

Des sept trompettes

Les trompettes représentent les formes rayonnantes des forces créatives divines (angéliques, deviques...), autrement nommées substances-forces, qui façonnent le mouvement chronique des événements se déroulant sur la Terre en relation avec les événements historiques de la planète. Ces événements sont aussi en relation avec le pouvoir conféré à l'homme ayant réussi à cesser de penser, de changer le cours de sa destinée totalement programmée, et ce par l'éveil de sa conscience et par sa fusion à Qui Il Est vraiment. Selon que le temps passe et que les trompettes résonnent dans la cyclicité mortifère de l'expérience karmique, l'homme a de moins en moins le temps de changer de manière psychologiquement stable sa relation au Vivant et aux autres, se dirigeant alors inéluctablement vers le chaos, le sien comme celui de la civilisation*. C'est pourquoi, lorsque les trompettes*² sonnent, l'Apocalypse manifeste son intention, pour le meilleur - l'extraction des "élu(e)s" de l'illusion du temps terrestre -, ou pour le pire, la descente aux Enfers de l'être humain illusionné !

Appliquée à l'actuelle matrice involutive terrestre, cette sonnerie est appelée à sonner la fin du jeu mortifère (noir) par le feu nucléaire entre Orient et Occident et leurs forces militaires respectives, les super-puissances russe et états-unienne (blanc), chinoise (jaune) et pakistanaise (rouge). En attendant la venue du faux "Seigneur" libérateur par le "portail d'Enlil" (vortex énergétique relié à la planète Orion) dirigé par l’État d'Israël, la 7° trompette ou l'Antéchrist, la 6ème prédit une guerre majeure le long de l'Euphrate, vraisemblablement l'Iran après celle qui fut menée en Irak, ces deux nations étant constitutives de l'antique Perse - "perce (pour) voir"-...

* Cf. Fin de cycle (2) La guidance éclairée de sa vie.

La septième Trompette annonce que l’œuvre entreprise par l'Absolu est achevée, soit l'épuration de la cinquième race humaine involutive et sa renaissance évolutive en tant que sixième race.

 

Du message de l'Apocalypse

Dans le texte biblique prophétique, après que la septième trompette eut résonné, une femme apparaît dans le ciel, revêtue du Soleil et ayant une Lune à ses pieds ainsi qu'une couronne de douze étoiles. La femme représente la nouvelle humanité, la sixième race humaine. Le Soleil représente la conscience universelle, la conscience cosmique, celle du Soi supérieur, le supra-mental. La Lune sous les pieds représente l'impossibilité désormais faite aux forces astrales entropiques d'influencer la conscience humaine dans son champ d'activité expérimenté jusqu'alors (la cyclicité karmique de l’Âme séparée de l'Esprit *). C'est pourquoi elles sont totalement piétinées, l'être humain ayant à présent la tête baignant complètement dans le Soleil. Quant aux douze couronnes, elles figurent les douze tribus de Judas, soit les aspects différenciés de l'humanité, et appelés à être totalement ré-harmonisés.

* Cf. Le cheminement de l’Âme.

 

 

La cartographie de l'histoire civilisationnelle secrète par le chef Hopi Ours blanc - Cliquer pour agrandir
La cartographie de l'histoire civilisationnelle secrète par le chef Hopi Ours blanc - Cliquer pour agrandir

Les 7 races racines humaines

Les races racines humaines sont les races qui se succèdent dans le déroulement des Grands Cycles, calendrier cosmique de leur évolution de conscience dans le grand Jeu/Je du Vivant qui correspond au cheminement "Asservir, se servir, servir". Elles ont chacune 7 sous-races avec des ramifications. Ce processus est comparable à celui suivi sur un plan biologique et anatomique par un embryon.

Cette différenciation en terme de "Races" ne se fonde pas sur un racisme biologique au sens contemporain (la pensée libérale de "gauche"), composé de haine et de mépris, mais sur une idée de stades de développement de la conscience parmi les Hommes, et cela quelle que soit leur pseudo-appartenance à une "race" particulière d'un point de vue biologique. Le patrimoine génétique est commun à tous les Hommes qui peuplent notre planète et que, en étant le corollaire, l'Humanité est Une, spirituellement parlant.

De la même manière que les Atlantes - nos prédécesseurs - ont été avalés par les eaux, les quatre peuples (Noir, Blanc, Jaune et Rouge) de cette présente civilisation dans toutes leurs composantes seront frappés par le feu nucléaire, pour être annihilés par son énergie purificatrice de très grande ampleur. C'est ce que révèlent les Écritures : "Les éléments embrasés se dissoudront et la Terre et toutes les œuvres qu'elle renferme seront consumées" (Pierre III, 6-7, 10). Si l'ancienne Terre a été détruite entre autres par l'eau (tel que le raconte le déluge biblique), cette Terre sera détruite (entre autres) par le feu. C'est aussi ce que disent les traditions des peuples Aztèques et Amérindiens, avec la légende des cinq Soleils*, mythe cosmogonique mésoaméricain fondé sur la création puis la destruction de plusieurs mondes (ou soleils) successifs : "Les Fils du Cinquième Soleil périront par le feu et les tremblements de terre…".

Les fils du premier Soleil étaient les humains de la race Polaire ou Adamique, autrement dit les Extranéens Nordiques à "l'origine de la colonisation de la Terre", des êtres protoplasmiques (mi-densifiés, mi-éthériques), de nature androgyne, établis à partir du génome originel et primitif, et qui allaient se développer selon le mécanisme de l'évolution planétaire*², jusqu'à l'arrivée du prédateur archontique. Beaucoup ont alors changé de dimension de réalité, soit une autre planète à laquelle la prédation n'avait pas accès compte-tenu de son état de conscience limité.

Les fils du second Soleil étaient les Hyperboréens (continuité des précédents), appelés également "Nez-de-la-Sueur", piégés dans la densité physique par la force archontique/reptilienne colonisatrice à son tour de la planète Terre. Ils ont péri par d'extraordinaires tempêtes, ouragans et cyclones.

Les fils du troisième Soleil étaient les Lémuriens (civilisation de Mu ou Lémurie, ou Kásskara pour les Hopis, située dans le Pacifique au large de l'Amérique du Sud), sous contrôle des entités reptiliennes (Anunnaki) qui vivaient à l'ère proto-sumérienne. Ce sont leurs descendants qui ont sculpté les têtes de pierre sur l’île de Pâques, dont les gigantesques pierres ont été placées par vibration tonale (elles représentent des Nephilim, ces personnages surnaturels de la Bible qui sont en réalité une espèce involutive car agressive de la planète Orion). Cette civilisation a été submergée, et ses habitants ont péri par de gigantesques tempêtes magnétiques solaires, des pluies de feu et d'immenses tremblements de terre.

Les fils du quatrième Soleil sont ceux qui formaient la civilisation Atlante et ses 6 milliards d'habitants (sa durée est d'environ 70.000 années, et correspondant grosso modo aux continents Nord et Sud-américains)Cette civilisation était hautement développée, dotée d’une technologie de pointe avec des vaisseaux spatiaux qui utilisaient une énergie d’une puissance illimitée (ce que de nombreuses preuves corroborent par l’étude des mythes indiens, grecs, égyptiens, mayas et même des contes persans des Mille et Une Nuits). Les facultés des Atlantes, identiques à celles de l'humain contemporain, ont fini par dégénérer, leur sens (surtout la vue) ne parvenant plus à percevoir les fréquences élémentaires que percevaient leurs ancêtres. Ceci explique l'incapacité de l'humain moderne (le Sapiens Sapiens) à percevoir les causes des phénomènes naturels qui se passent autour de lui. L’Atlantide a alors vécu une période de décadence, des guerres terribles ayant lieu avec des armées employant des armes sophistiquées, avant qu'un grand déluge ne survienne. Les Atlantes ont été avalés par les eaux, ce que raconte le déluge biblique, l'histoire de Noé étant le récit symbolique de l'effondrement de l'empire atlante avec une grosse centaine de millions de survivants suite à un troisième cataclysme succédant à deux cataclysmes initiaux (les passages à proximité de Mars puis de Vénus avec leurs interactions cométaires respectives). De nombreux survivants de l’Atlantide, de la Lémurie et de l’Hyperborée ont trouvé refuge dans la Terre creuse, où ils ont pu vivre en tant que civilisation. 

L'humanité actuelle, dite Aryenne, serait constituée par les fils du cinquième Soleil. Il est écrit que, compte-tenu de son état de dégénération, elle périra à son tour par le feu (nucléaire) et les tremblements de terre*³, dans la mesure où il n'y a plus aucune possibilité d'évolution constructive au sein de la race humaine, hormis celles et ceux qui ont pris vraiment conscience de la réalité. Notre humanité semble bel et bien suivre les mêmes étapes autodestructives, à moins qu’elle ne fasse quelque chose pour l’éviter... Par cette purge génétique, ces "élu(e)s" vont connaître un bond gigantesque dans leur processus évolutif, participant à l'émergence d'une nouvelle race humaine qui représentera la sixième race, appelée Race bleue, dotée d'une conscience infiniment plus élevée !

De nouveau apparaîtront de grandes civilisations éveillées aux lois de l'univers, avant que de clore le processus évolutif par une septième grande race, appelée race macrocosmique (c'est le stade de la Perfection), la dernière car éternelle et non soumise à l'illusion du temps. C'est ainsi, pour toute planète de 3 et 4ème densités existant dans le cosmos, que fonctionne le "Grand Plan", répondant par ce mécanisme à la loi du karma ou de rétro-causalité...

* Cf. Ce sont Ocelotonatiuh (Soleil Jaguar) ou Yoaltonatiuh (Soleil de nuit) ou encore Tlaltonatiuh (Soleil de terre) selon les versions ; Ehecatonatiuh (Soleil de Vent) ; Quiauhtonatiuh (Soleil de Pluie) ; Atonatiuh (Soleil d'Eau) ; Ollintonatiuh (Soleil de mouvement).

Cf. Évolution de civilisation (1) Le mécanisme de l'Univers.

Cf. Prophétie du changement, Fin de cycle (1) Fin du temps ou fin des temps ? & Fin de cycle (2) La guidance éclairée de sa vie.

 

Des 7 sous- races racines humaines

Chaque race-racine est composée de 7 sous-races. Pour ce qui concerne notre actuelle cinquième race-racine, dite Aryenne, la 1ère est la sous-race Hindou, dont les représentants s'installèrent dans le Nord de l'Inde en expulsant les magiciens noirs qui s'y étaient réfugiés après la catastrophe de l'Atlantide. Leurs descendants sont les Hindous tels que nous les connaissons.

La 2ème sous-Race est l'Egypto-Chaldéo-Assyrienne. Jusqu'à la 6ème Dynastie, l'Égypte fut un centre atlante, les autres (Chaldée et Assyrie) étant  aryennes. Il en découla les Empires assyrien et babylonien, les mathématiques et l'astronomie. Ses descendants sont les Arabes et Juifs, poursuivant de nos jours leurs affrontements belliqueux pour n'avoir pas su évoluer.

La 3ème sous-race est l'Iranienne, caractérisée par Zoroastre, la Perse, l'Afghanistan, l'Alchimie et l'agriculture. Ses descendants sont les Parsis et les Iraniens (mélange de sang originel et de sang arabe), les Kurdes, les Afghans, les Baluchis avec des mélanges divers.

La 4ème sous-race est la Celtique, initiée sous la conduite d'Orphée. Elles caractérise la Grèce, l'Italie, la Gaule, l'Angleterre, l'Écosse, l'Irlande. Ses descendants sont les Grecs "archaïques" (les Pélages), les Albanais, les Italiens, les Celtes (en France et en Espagne), et une branche mélangée à la 5ème sous-race atlante, les Sémites originaux, et à la 2ème sous-race aryenne, les Arabes, constituant les Berbères, les Maures, les Kabyles, et les Guanches des Iles Canaries. Les Irlandais sont un mélange de cette 4ème sous-race Celte avec des Teutons de la 5ème sous-race aryenne,  constitués d'un grand patchwork de différentes racines. Quant aux Grecs contemporains (Athènes et enseignements d'Orphée), ils sont les descendants d'une des premières branches, les Géorgiens.

La 5ème sous-race est la Teutonne, sous la conduite d'Odin. Elle est présente en Europe Centrale, Amérique du Nord, Australie, Nouvelle Zélande. Elle fait partie de la race dite Anglo-Saxonne, dont les descendants sont les Slavons, Russes, puis Croates, Serbes, Bosniaques, Lettons, Lituaniens, Prussiens, Germains, Goths, Scandinaves et Anglo-Saxons.

La 6ème sous-race est en cours de développement, préalable à son passage dans la 4ème dimension de réalité découlant de la "catastrophe" qui détruira le continent européen. Elle a commencé à se développer en Australie et en Amérique, ses membres s'étant depuis dispersés dans d'autres pays. Ses caractéristiques sont le développement de la fraternité, de la collaboration, et de la diversité des formes. Ses membres seront bruns ou blonds, aux yeux noisette ou bleus.

La 7ème sous-race se développera en Amérique du Sud.

 

Des Atlantes

Durant la période lémurienne, la 3ème race humaine, il ne se passait que très peu de choses sur la Terre, le corps éthérique de l’être humain commençant à se densifier et à prendre conscience de la dimensionnalité de l’espace et des contours de l’espace. C'est dans la période atlantéenne que l’être humain a commencé à développer énormément d’énergie émotionnelle, pouvant aller facilement sur les plans astraux. Son activité de nuit était de ce fait très importante. Tout naturellement, il commença à faire des dieux de l'astral ses références. Si les initiés présents sur Terre s'attachèrent à lui donner de la connaissance pour l’éveiller un peu et pour qu’il développe des lignes d’évolution, cette information était voilée, partielle, afin de lui permettre d'expérimenter l'espace-temps limité, la matière terrestre viciée. Il était en stage "involutionnaire" !

Même si les Atlantes avaient un certain contrôle sur la gravité, ils demeuraient sous l’influence de la gravité planétaire, incapables de s'en soustraire complètement. Percevant la Lumière comme l'être humain actuel la perçoit dans ses rêves, leur conscience individuelle était presque non existante, au détriment d'une conscience collective très élevée (tout l'inverse d'aujourd'hui). Ceci explique leur développement technologique supérieur, celui de notre actuelle civilisation n'en étant qu'une manifestation directe. C’est pour cela que les États-Unis sont les plus avancés dans le monde au niveau de la technologie (ainsi dans la Silicone Vallée), dans la mesure où l'on y retrouve le plus grand nombre d’incarnations d’anciens Atlantes.

En raison de leur forte astralité, les Atlantes ont fini par choir, leurs caractères extrêmement passionnés ayant entraîné sous l'influence du corpus prédateur du champ astral les dominant nombre de divisions débouchant sur des guerres fratricides, leur haute technologie générant leur inévitable destruction parachevée par une activité solaire inhabituelle qui a déclenché les processus destructeurs de cette civilisation (les mêmes événements solaires semblent être sur le point de se produire une fois de plus...).. Nous en retrouverons par la suite les mêmes effets chez les Incas, chez les Amérindiens, et dans toutes les formes de cannibalisme prédatoire de la cinquième race humaine. Les Atlantes se sont détruits, leur conscience limitée sous l'influence de certaines intempéries solaires qui bouleversaient alors la Planète terrestre leur interdisant d'observer en eux la Lumière, qui faisait partie du rayonnement entre eux et les autres plans du Cosmos. En perdant cette Lumière, leur race est devenue aveugle. Ne sachant se tourner vers l’intérieur pour développer des pouvoirs, elle s’est éteinte, passant le témoin à la cinquième race amenée à développer l'Ego*, pour que l'être humain dans sa quête d’évolution puisse atteindre le stade de l’individualité.

En commençant une nouvelle période d’évolution, il prend sur lui la responsabilité de ce qu’il fait, devenant lui-même responsable de ce qu’il est. Le tournant entre l’involution et l’évolution se produisant présentement, il est à comprendre que nous sommes au point de rencontre des deux, démarrant cette nouvelle phase sous l'effet de l'Onde du changement du développement de l’Intelligence Supramentale, marque de la sixième race en cours d'émergence ! Même si les Forces involutives troublent la descente de l'énergie nouvelle, faisant tout pour la retarder, elle est inéluctable. La seule différence est que certain(e)s vont beaucoup plus vite - les élu(e)s -, appelés à s'extirper plus vite de la Matrice involutive pour initier la Nouvelle Terre. Ils éviteront de ce fait de perpétuer encore pendant plusieurs siècles les boucles cycliques de souffrance de leur âme*² non individuée, par son incapacité à communiquer avec des Intelligences qui viennent des Mondes de Lumière…

Cf. Décryptage de l'Ego.

*² Cf. Le cheminement de l’Âme.

 

Note complémentaire sur les Lémuriens : l'auteure franco-canadienne Aurélia Louise Jones (1941/2009), qui a œuvré comme naturopathe et homéopathe, aurait canalisé pendant son vivant un message télépathique provenant d’Adama et des membres du Haut-Conseil de Telos. Ces canalisations présentent les enseignements lémuriens qui sont la base des livres "Telos" qu'elle a rédigés, qui donnent une description de la vie dans la cinquième dimension ainsi qu'une multitude d'outils permettant d’atteindre ce niveau d'évolution. Le but de cet enseignement est d'assister l'éveil de la Conscience Christique pour chaque être humain.

 

Du chiffre 7 dans les aventures de Tintin

Georges Remi dit Hergé (1907/1983 - photo 1) est un célèbre auteur de bande dessinée belge, principalement connu pour Les Aventures de Tintin, l'une des bandes dessinées européennes les plus populaires du XXᵉ siècle. L'ésotérisme était omniprésent tant dans son œuvre que dans sa vie, les phénomènes paranormaux se retrouvant à foison dans ses albums : pouvoirs magiques des fakirs indiens, malédiction des momies, rêves prémonitoires et visions, voyance, astrologie et lévitation, télépathie, superstition, phénomènes paranormaux et extraterrestres, radiesthésie et magnétisme, animaux extraordinaires comme le yéti ou Ranko, le gorille destiné à effrayer ou éliminer les intrus dans "L'Ile Noire". Comme il n’y a pas d’initiation sans voyage, ceux de Tintin le reporter, figurés dans 22 albums sur 24, symbolisent le seul grand voyage qui est intérieur, la quête de la Sagesse et de l’Harmonie.

C'est ainsi que "Les 7 boules de Cristal" (image 2) et "Le Temple du Soleil" (image 3) procèdent du même registre associés au chiffre 7. Dans le premier, la couverture montre  le professeur Tournesol assis sur le carré de sa chaise, symbolisant la terre et le chiffre 4, surmonté d’un cercle de feu, le ciel, associé au chiffre 3. 4+3=7, la figure évoquant une élévation vers le ciel par les spirales tournoyantes* du vortex constitué. Tournesol en est le Maître. Dans le second, Tintin monte les 7 marches qui conduisent à l’autel du Temple du Soleil, et ce après avoir franchi 7 vallées, autrement dit les 7 dimensions du Temps-Espace universel. L’alliance de l’ombre et de la Lumière y est partout présente, jusqu’à l’éclipse finale. Si "Le soleil ni la mort ne peuvent se regarder en face" comme l'a écrit le mathématicien, physicien, inventeur, philosophe, moraliste et théologien français Blaise Pascal (1623/1662), Tintin ose pourtant le faire, comme s’il était mûr pour l’ultime initiation (image 4), la rencontre de la mort et du soleil.

De son côté, le septentrion, aujourd’hui appelé la Petite Ourse, en latin Ursa Minor, qui est une constellation de l'hémisphère céleste nord, porte en son nom le chiffre 7, faisant référence à la constellation des sept bœufs qui contient sept étoiles (image 5). L’étoile la plus brillante, alpha ursis minor, est l’étoile polaire, qui donne le nord, donc la "bonne direction" avec le plus de précision (image 6).

Sur la couverture de l’album "Les 7 boules de cristal" est dessinée la table d’Emeraude, le texte fondateur de l’alchimie*² ou Art Royal. Cet album correspond à l’Œuvre au Blanc, ou Petit Œuvre, qui voit le Moi se réaliser hors de toute tension intérieure, dans la paix avec les autres. De son côté, "Le Temple du Soleil" correspond à l’Œuvre au Rouge, ou Grand Œuvre, aboutissement de l’Homme transcendant les traditions et réussissant l’intégration du Soi. L’individu est alors en communion avec l’Univers et les Dieux, selon l’adage célèbre de Socrate.

* Les Chakras Émettent parfois des spasmes lumineux ou boules d'énergie qui sont émises lors d'une grande émotion façon "les 7 boules de cristal" dans Tintin par le corps de lumière.

L'album posthume de Hergé, "Tintin et l'Alph-Art" (image 7), le vingt-quatrième, constitue son autre testament, en l'occurrence le testament alchimique. Son titre est l'homonyme d’Alphard, l’étoile principale de la constellation de l’Hydre, la constellation des alchimistes. Elle représente la Pierre Philosophale, celle-ci figurant également dans l'album "L'étoile mystérieuse" (image 8) : d'abord sous forme de l'étoile Ariane, c'est-à-dire l'étoile centrale de la Couronne boréale (petite constellation de l'hémisphère nord) formée d'étoiles disposées en un arc-de-cercle représentant la couronne offerte à Ariane lors de son mariage avec Dionysos (image 9); ensuite sous forme d'un champignon entomopathogène appelé araignée qui porte aussi le diadème, l'insigne de la royauté, fait à partir du Calystène, métal nommé par le professeur Calys (image 10) grâce à une photographie spectroscopique. Dans cet album, Tintin reproduit le même geste que le personnage de l’arcane XVII du Tarot, l'Etoile... Cf. en complément Le chemin alchimique.

 

Perceval et la quête du Graal

 

Au sommet de l’immense Création, à la limite de la sphère divine, règne Parzival (le chevalier de la Table ronde Perceval en français, Peredur le gallois, ou Persée, le roi argien héros de la mythologie grecque), autrement dit l’Être humain réalisé, (ré)unifié à l'Esprit universel. C’est par l’irradiation de son pur noyau divin que s’est formée la Création, le mouvement de Ce Qui Est, tandis que tous les rayonnements bénéfiques formés dans la création remontent à Lui. Parzival est le commencement et la fin du mouvement créateur - l’inspire et l’expire -, l’alpha et l’oméga des Saintes Écritures, le Roi du Saint-Graal *. Le Graal, principe créateur du cosmos, est la compréhension de sa conscience, la "part royale en soi", son être intérieur, la dimension végétative de l'être humain, appréhendée par le questionnement et la compassion pour découvrir la voie du cœur, voie de l'humanité, la Sagesse accomplie.

Dans le "Message du Graal", Parzival apparaît dans toute Sa Majesté : "Une tête éblouissante aux formes les plus parfaites, entourée du mouvement éternel de la Lumière vivante, une tête dont l’éclat terrasse tout être créé qui la contemple et lui fait perdre conscience. Un corps couvert d’une enveloppe rayonnante, semblable à une souple cuirasse d’écailles, les ailes protectrices de la colombe déployées au-dessus de Sa tête, ainsi pouvez-vous vous Le représenter. Il est puissant, impératif, invincible, inaccessible, la Force divine personnifiée, le flamboiement divin ayant pris forme : PARZIVAL, le Fils de Lumière dans le spirituel-primordial placé au sommet de la création ! Le Pur Portail qui s’est ouvert du royaume divin vers la création, Celui qui conduit de Dieu vers l’homme !" (Message du Graal, tome III, exposé 58). C'est pourquoi le code mathématique de Parzival est... 777 !

* C'est le "Soma" des Hindous, le "Homa" des Perses, le chaudron des celtes.

 

Du Graal

Comme toujours, la clé d'accès à la Connaissance qui libère l'être humain de la Matrice astrale qui l'emprisonne comme nourriture des forces involutives qui le gouvernent, est masquée par la manipulation des pouvoirs des symboles occultes constitutifs de ses illusions. Le Graal, archétype majeur de la quête mystique, en fait partie comme composante électronique des formes destinées à pénétrer son mental égotique pour le maintenir enchaîné au monde des formes. Tant que l'être humain ne s'est débarrassé de cette fièvre des formes (attribution d'un symbole visuel ou représentation archétypale) qui embrume son esprit, et par-là même sa conscience, il ne peut parvenir à franchir les barrières de l'espace-temps prison, le royaume de la folie et de la Mort.

 

Le chandelier à 7 branches

Symbole de la volonté de Dieu, il n’est donc pas étonnant de trouver des représentations du nombre 7 dans les édifices religieux. Il y a dans les temples juifs la Menorah, chandelier à 7 branches qui, pour les Hébreux, symbolisait " la flamme ", c'est-à-dire la présence de Dieu (Cf. photo 1). Les chrétiens eux-aussi placèrent des chandeliers à 7 branches dans leurs églises, comme dans l’église Saint-Roch à Paris (Cf. photo 2).

Le chandelier à 7 branches exprime les sept dimensions de l'Univers.

Les Mondes Créés

Ils sont figurés par les trois premières branches de gauche, soit la 1-2-3ème dimension ou le monde minéral, végétal, animal. Ce sont les mondes visibles, les Mondes Créés (la matière, l'atome perçu et ce qui est lu par notre conscience humaine).

Généralement, l'être humain se croit unique et pense qu'il se trouve soit au dedans, soit en dehors de l'Univers qui l'entoure. Il se retrouve ainsi dans la dualité, restant assujetti à ses croyances, sauf lorsqu'il prend conscience de son Âme, la psyché.

Les Mondes Créateurs

Ils sont figurés par les trois dernières branches de droite, soit la 5-6-7ème dimension. Ce sont la Conscience humaine (l'Ange), la Conscience supérieure (le Séraphin) et l'Impulsion créatrice (L'UN), qui est l'Origine de l'Univers. Ces dimensions évoquent les Mondes Créateurs, l'antimatière, l'Onde créatrice vibratoire, l'Esprit (le pneuma, souffle créateur).

La structure de ces Mondes créateurs est absolument immatérielle, donc insaisissable pour les sens humains limités par l'Espace-Temps.


Entre les deux, la quatrième branche est l’Être humain, pour l'instant encore dans son univers de 3ème dimension de réalité, au stade de l'animal... Pour y parvenir, il doit trouver l'équilibre par l'union en lui de ses polarités masculine et féminine, et trouver la brèche pour passer de l'Homme au " Service de Soi " à l'Homme au " Service d'Autrui ", lorsqu'il acceptera enfin dans " son présent " de le redevenir. C'est alors la jonction des deux mondes, le symbole de la Croix chrétienne.

C'est le rôle de la conscience humaine que de le lui permettre. Transposée au niveau atomique, elle peut jouer à la fois le rôle de l'onde créatrice ou de la particule créée, autrement dit du créateur et de sa création. Ainsi se comporte la forme subatomique la plus élémentaire de l'atome, le Boson de Higgs, parfois appelé particule de Dieu, selon la fréquence vibratoire dans laquelle se situe la conscience créatrice, onde ou particule. En d'autres termes, selon qu'une conscience s'exprime au travers d'un corps d'incarnation ou au travers d'un Esprit non incarné (scientifiquement parlant, qu'elle soit ou non soumise à une interaction nucléaire forte ou faible, une interaction électromagnétique ou de la gravitation), le Boson de Higgs est à la fois onde devenant particule ou particule redevenant onde.

 

La représentation symbolique de ce chandelier voit également les 6 branches latérales former 3 coupes, tandis que la branche médiane tient une position plus élevée et traverse les 3 coupes (Cf. image 1). Cette branche représente la Force divine qui, en provenance des hauteurs les plus sublimes, se déverse dans les plans successifs de la Création. Des artistes inspirés ont pressenti cette prodigieuse réalité et l’ont incarnée dans la pierre des fontaines. L’eau s’écoule en partant du haut et se déverse de vasque en vasque jusqu’en bas (Cf. photos 2 à 5).

C’est le grandiose processus cosmique que nous pouvons pressentir : la Force divine sacrée s’épanche généreusement vers le bas de sphère en sphère pour le plus grand bénéfice de toutes les créatures qui y résident.

 

 

Enfin, puisque la Nature reflète l’ordre cosmique, nous pouvons également y trouver sa manifestation, comme sur cette créature animale, le zèbre.

 

 

 

"Mourir à 7 ans"

 

Dans toutes les sociétés initiatiques ésotériques occultes, l'âge de 7 ans revêt une signification précise, la mort de la volonté. En apparence, nous pourrions penser que c'est celle de l'égo, afin de renaître à un état de conscience supérieur. La réalité est cependant toute autre. 

Phase clé dans la construction de l'identité pendant l'enfance, il s'agit par le système "éducatif"* et ses maîtres occultes de programmer la "machine humaine" et de détruire le pouvoir naturel de l'être humain issu de son essence divine originelle (autrement nommée l'Enfant intérieur ou l'Enfant divin pour le psychanalyste suisse Carl Gustav Jung), et ce par une succession de traumas à caractère physique et/ou psychique plus ou moins violents se répercutant sur le thymus, organe glandulaire majeur du système immunitaire en relation avec le cœur (le Féminin sacré), qu'ils découlent des conditionnements du moule parental, éducatif institutionnel, ou de rituels tribaux religieux à caractère patriarcal (ainsi la pratique de la circoncision ou de l'excision créant un choc destiné à bloquer le cœur, soit l'accès à la "source mère"). Ainsi l’enfant, qui accomplit ce qu’on lui dit de faire par le cadrage de savoirs exclusivement mentaux et du comportement, se voit retiré toute force intérieure. Et c'est vers sept ans, dès le début de l’adolescence, que cette force disparaît définitivement, sauf éveil ultérieur de conscience. Les maîtres du système considèrent ces personnes comme dès lors "mortes" à elles-même, faisant tout pour qu'il en soit ainsi.

* E-duquer signifie étymologiquement CONDUIRE HORS DE, c'est-à-dire hors de notre état naturel d’innocence et de vérité. C'est pourquoi le mot élever est préférable.

 

Tout être humain possède une personnalité grâce à laquelle il interagit avec le monde, cette personnalité étant constituée uniquement de programmes, représentatifs des différents aspects de lui-même, souvent contradictoires, et qui avec d’autres facteurs forment le "caractère". C'est pourquoi le système privilégie le formatage mental du caractère au développement de l’essence, c'est-à-dire l'expression du moi véritable. Il conduit à associer le ressentir à un sentiment de peur, d’impuissance et d’isolement - Wilhelm Reich le qualifiait d'"anxiété orgastique" -, lié aux profondeurs d'un inconscient non accessible par la raison. Le mouton/robot biologique* est ainsi constitué par la prégnance du mental - le caractère est le conformisme -, la "père-version" (la mémoire expurgée de la "mère-version", l'"effet-mère"), interdisant tout accès aux profondeurs intimes permettant d'y puiser sa créativité authentique (l'intuition) comme y débusquer ses peurs et permettre de s'en affranchir. Ce qui ne s'apprend pas par la sagesse s'apprend par la souffrance dans le royaume de l'Astral, le royaume des morts-vivants...

Il en découle que le caractère mental suppléant le caractère lié aux sentiments, l’identification de l'individu est formée sur la base d’éléments extérieurs au détriment de ses goûts subjectifs, son idée de lui-même, sa capacité à accéder à des émotions transcendantes fortes. Tuer ce caractère revient à tuer la personne. Détruire ce en quoi la personne croit profondément revient à détruire la personne elle-même, car si le caractère émotionnel purifié des émotions viciées (celles attisées par le spectacle tragique quotidien orchestré) est retiré, il n’y a plus rien. L'individu doit mourir à sept ans pour le système prédateur et ses relais institutionnels désacralisés !*²

* Cf. Le contrôle du robot biologique.

Cf. Compréhension structurelle de la Matrice asservissante.

 

Décérébralisation de l'enfance

Dans son ouvrage "W ou le souvenir d’enfance" paru, l'écrivain Georges Pérec (1936/1982) relate l’entrée dans la hiérarchie uniquement tournée vers le "sport" ou "l’athlétisme", lorsque les enfants atteignent un âge suffisant, de la sorte :

"Ainsi se passera sa première journée. Ainsi se passera les suivantes. Au début, il ne comprendra pas. Des novices un peu plus anciens que lui essaieront parfois de lui expliquer, de lui raconter, ce qui se passe, comment ça se passe, ce qu’il faut faire et ce qu’il ne faut pas faire. Comment expliquer que ce qu’il découvre n’est pas quelque chose d’épouvantable, n’est pas un cauchemar, n’est pas quelque chose dont il va se réveiller brusquement, quelque chose qu’il va chasser de son esprit, comment expliquer que c’est cela la vie, la vie réelle, que c’est cela qu’il y aura tous les jours, que c’est cela qui existe et rien d’autre, qu’il est inutile de croire que quelque chose d’autre existe, de faire semblant de croire à autre chose, que ce n’est même pas la peine d’essayer de déguiser cela, d’essayer de l’affubler, que ce n’est même pas la peine de faire semblant de croire à quelque chose qu’il y aurait derrière cela, ou au-dessous, ou au-dessus. Il y a cela et c’est tout. Il y a les compétitions tous les jours, les Victoires ou les défaites. Il faut se battre pour vivre. Il n’y a pas d’autre choix. Il n’existe aucune alternative. Il n’est pas possible de se boucher les yeux, il n’est pas possible de refuser. Il n’y a ni recours, ni pitié, ni salut à attendre de personne. Il n’y a même pas à espérer que le temps arrange cela. Il y a cela, il y a ce qu’il a vu, et parfois ce sera moins terrible que ce qu’il a vu, et parfois ce sera beaucoup plus terrible que ce qu’il a vu. Mais où qu’il tourne les yeux, c’est cela qu’il verra et rien d’autre et c’est cela seul qui sera vrai. Mais même les plus anciens Athlètes, même les vétérans gâteux qui viennent faire les pitres sur les pistes entre deux épreuves et que la foule hilare nourrit de trognons pourris, même ceux-là croient encore qu’il y a autre chose, que le ciel peut être plus bleu, la soupe meilleure, la Loi moins dure, croient que le mérite sera récompensé, croient que la victoire leur sourira et qu’elle sera belle.

Plus vite, plus haut, plus fort. Lentement, au fil des mois de la Quarantaine, la fière devise olympique se grave dans la tête des novices. Très peu tentent de se suicider, très peu deviennent vraiment fous. Quelques-uns ne cessent de hurler, mais la plupart se taisent, obstinément." (Ed. Gallimard, p.191).

"Les Matins d'Hiver" - Gérard Lenorman (Album Olympia 75)

 

Des cycles et de l'âge de 7 ans chez Rudolf Steiner

Le polygraphe et occultiste autrichien puis suisse Rudolf Steiner* (1861/1925), considéré par d'aucuns comme un des plus grands hommes du XXe siècle avec Einstein, est le fondateur entre autres de "L'école Waldorf", école associative autonome (il y a environ 1 000 sites dans le monde, principalement en Europe et en Amérique du Nord, dont 200 en Allemagne et une vingtaine en France). Aussi connue sous le nom d'école Steiner, elle cherche à articuler les enseignements intellectuels et l'exercice d'activités artistiques et manuelles. Selon cette pédagogie, l'enfant et l'adolescent se développeraient selon des cycles de sept années, où les changements physiques vont de pair avec des métamorphoses plus profondes correspondant aux "naissances" successives des constituants de l'être humain (corps éthérique, corps astral, moi), celles-ci étant visibles par clairvoyance.

Steiner considère que jusqu'à sept ans, le corps éthérique se constitue et s'autonomise progressivement. L'enfant est alors dans une phase d'imitation, où il est important de développer sa sensorialité. Il entre ensuite jusqu'à la puberté dans une phase où il doit être nourri par un enseignement fortement imagé qui accompagne l'édification du corps astral. Le pôle du sentiment y est particulièrement soigné grâce à la production artistique, dans un climat de confiance. À partir de quatorze ans, il accède à la pensée abstraite avec la naissance progressive de l'individualité consciente et pensante qui lui permettra d'atteindre la maturité intellectuelle et un jugement libre. Le rôle de l'enseignant est d'équilibrer ces processus d'édification en agissant sur les forces spirituelles notamment par le choix et la durée des matières enseignées, chacune stimulant plus ou moins l'aspect "spirituel/cosmique" ou "matériel/terrestre". Par exemple, un enfant chez qui l'organisation cosmique prédomine, repérable par la beauté plastique de son visage, devrait faire de l'histoire et de la géographie, alors qu'un enfant terrestre devrait être "spiritualisé" avec de l'eurythmie.

La notion de tempérament, considérée comme l'expression de modes de relation entre le psycho-spirituel et le physico-corporel, est utilisée aussi comme une clé importante pour orienter de façon plus individuelles les pratiques éducatives. On essaie de s'adresser aux enfants en fonction de leurs tempéraments (mélancolique, flegmatique, sanguin, colérique) ; on peut les placer dans la classe par tempéraments semblables ou leur faire jouer des rôles différents dans certaines activités. Un mauvais équilibre des forces spirituelles pourrait engendrer un criminel ou au contraire un rêveur. Le principe du karma* joue aussi un rôle important dans l'éducation de l'enfant.

* Cf. Le cheminement de l'Ame.

 

7 ans, ou le moissonnage des âmes perdues

Le Vatican a établi par bulles papales successives la "Fiducie testamentaire", soit l'acte testamentaire lui permettant de réclamer toutes les "âmes perdues ou trouvées"*. Une personne peut ainsi être légalement déclarée morte (présomption légale de mort in absentia), et ce malgré l’absence de preuves directes de sa mort, comme retrouver les restes de son corps. Si une telle déclaration est normalement faite quand une personne est disparue depuis un certain temps, et compte-tenu de l’absence d’évidences qu’elle est en vie, elle se révèle comme telle un "jugement préventif".

C'est pourquoi cette fiducie n'est qu'une fiction, un testament temporaire pour le bénéfice d’une personne présumée "morte" après 7 ans, au moment de l’enregistrement et de la collection des actes ou certificats de baptême comme les actes ou certificats de naissance par l'association du Barreau des juges depuis 1815*².

Cette création d'un bien temporaire - la personne - pour le bénéfice d’un autre - l’État -, empêche la personne de réclamer son statut d’Être vivant, autrement dit d’être valide, d’avoir de la valeur, et d’être présente dans toute son unité existentielle et souveraine devant l’Autorité, l’État comme l’Église. Aussi toute réclamation, histoire, statut ou argument/dispute qui dévie en terme d’origine ou de fonction sont considérés par celles-ci comme faux, automatiquement déclarés nuls et non avenus. Il en découle par cette captation qu'un enfant né dans un État sous l'égide de la loi romaine - le Code Justinien*³ - est empêché à tout jamais de revendiquer un droit de propriété réel, d’être libre et reconnu comme un humain à part entière. Homme comme femme, il est seulement considéré comme une créature ou un animal, un "Bien meuble", que les  exécuteurs du pouvoir exécutif (ou administrateurs) des biens immobiliers et des propriétés se chargent de faire passer ses droits et bénéfices de jouissance, de liberté et de propriété - sa souveraineté - dans le "Trust" prédateur sous la forme d’un numéro d’enregistrement ou d’État Civil. Il créent par là-même la personne ou entité juridique comme "morte", présente ou à venir, équivalent à une société privée, l'empêchant de détenir quoi que ce soit, ni même d’avoir des droits. Débitrice et coupable comme administrateur, agent commercial ou représentant légal, c'est-à-dire exécutant ou fiduciant des titres et permis octroyés contre taxations, elle est ainsi jetée dans l’autre monde, l’outre-tombe, entité morte à elle-même pour suivre le chemin de la descente aux enfers …

Consentement par défaut, tromperie, fraude, mise en esclavage et célébration de la Mort, tels sont les liens noués dans la Matrice des Forces de l'Ombre et des Ténèbres par les 3 Couronnes du Culte Romain de l’Église - la propriété réelle (sur Terre), la propriété personnelle (le Corps), la propriété ecclésiastique (l’Âme) -, autrement dit la vraie "Sainte" Trinité dissimulée aux fidèles illusionnés, et encadrée par les barreaux des 7 sacrements dans leur polarité négative que sont le baptême, l'eucharistie, la confirmation, le sacrement de réconciliation (appelé aussi sacrement de pénitence), l'onction des malades (aussi appelée sacrement des malades, anciennement extrême-onction), le mariage, l'ordination. Chacune de ces couronnes correspond exactement aux trois formes de Lois du Barreau de la Cour : le Code Civil (ou le Code privé de la Loi du Commerce), la Loi Canon (le juge est le banquier), et la Loi du Talmud (le juge est le prêtre). En d'autres termes, le propriétaire (l’État), le banquier et le prêtre, autre version de "Le bon, la brute et le truand" porté à l'écran noir de la Conscience…

* Cf. L’Église romaine décodée.

Cf. Symbolisme et artifices de la Matrice.

Promulgué en 529, le Code de Justinien Ier (codex Iustinianus ou codex legum) est un recueil de constitutions impériales (leges), mise à jour du Code de Théodose de 438. Connu sous son nom latin, le Corpus iuris (ou juris) civilis (littéralement, "corpus de droit civil") est la plus grande compilation du droit romain antique, assez différent du droit romain classique car en accord avec le christianisme, alors religion de l'empire.  Cette œuvre législative qui a pris une importance fondamentale en Occident à partir du XII° siècle est l'ancêtre du droit civil français. Il couvre la notion d'égalité des personnes, le Droit familial, le Droit successoral et le Droit pénal, ainsi que le Droit ecclésiastique, la  procédure judiciaire, le    Droit fiscal, le Droit administratif dont les dispositions renforcent la puissance de l'État et son organisation hiérarchique.

 

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Les 7 Péchés capitaux et les Quatre Dernières Étapes humaines

Le tableau ci-nommé, attribué au peintre hollandais Jérôme Bosch et réalisé vers 1500, représente une série de scènes circulaires. Quatre petits cercles à chaque extrémité (de la Matrice astrale s'entend) représentent les grandes étapes de la cyclicité du Jeu/Je de la Vie dans la dimension d'appartenance terrestre - la 3-D - placée sous la gouvernance des Forces involutives (le Non-Être). Ils se nomment la "Mort du pécheur", le "Jugement dernier", l'"Enfer" et la "Gloire" pour celles et ceux qui auront réussi le passage trans-dimensionnel, soit le franchissement du trou de ver pour un changement de densité de fréquences (en haut à l'Est), la "Nouvelle Terre" située en 4ème dimension de densité et orientée en mode "Service d'Autrui".

Pour ce faire, le Héros de sa vie doit parvenir à s'épurer de la prédation asservissante qui le leurre et manipule à travers son égo-mental, son moi-personnalité, entraînant les affres psycho-émotionnelles nécessaires à sa survie dans les ténèbres. Elle utilise pour y parvenir ce que le cercle plus grand contient, les "sept péchés capitaux" tels que définis par l’Église romaine : la colère dans sa partie inférieure, puis dans le sens des aiguilles d'une montre l'envie, l'avarice, la gourmandise, la paresse, l'extravagance (la luxure ou le paraître) et l'orgueil *.

Le centre du cercle central est censé représenter l'œil de Dieu, l'Esprit universel divin, au sein duquel on peut voir le Christ (le Kiristos, la conscience christique) émergeant de sa tombe. En dessous de cette image figure l'inscription en latin Cave cave dominus videt ("Attention, Attention, Dieu vous voit").

Au-dessus et en dessous de l'image centrale, les citations en latin sont extraites du Deutéronome, contenant les mots suivants : au-dessus (32:28-29) "Car c'est une nation dépourvue de jugement, et il n'y a en eux aucune intelligence" et "Oh ! s'ils étaient sages! Ils considéreraient ceci, ils réfléchiraient à ce qui leur arrivera à la fin" ; en dessous (32:20) "Je leur cacherai ma face, Je verrai quelle sera leur fin".

* Une des grandes manifestations de l'orgueil est celle de l'expert "académique", quelle que soit sa discipline, et tout particulièrement en matière de spiritualité. Il se pense propriétaire exclusif de son savoir par sa propre intelligence et son travail de recherche, qui plus est dans le cadre du droit d'auteur qui le "sacralise" (au sens païen s'entend). Il oublie que son intelligence n'a fait que puiser dans le grand champ informationnel l'information qui s'y trouve, afin de la porter à la connaissance civilisationnelle. Se pensant "unique", séparé d'autrui, il est inconscient du jeu du prédateur involutif qui gouverne sa conscience, incapable de comprendre le concept scientifique du "battement d’ailes du papillon", soit le partage généreux de l’information sans exclusive et des perspectives en découlant au service de l'évolution de l'humanité...

 

De l'orgueil

La nécessité absolue de l'exigence commune à toutes les religions et à toutes les traditions ésotériques est l'humilité. Son opposé est l'orgueil, autrement dit l'affirmation par la Personnalité (l'ego) de sa primauté par rapport au Moi réel. Chez l'homme extérieur à lui-même, une telle attitude est naturelle, et s'il réussit dans la vie, cela le confirme dans cette attitude. Or, la loi ésotérique est formelle. Dieu dit : je me tiens à la porte et je frappe (Apocalypse, III, 20). Cela veut dire que tout homme se trouve sous une pression permanente venant du Centre de l'univers, Ce Qui Est, sous la forme des influences. Cependant, c'est l'homme lui-même qui, par ses propres efforts, doit ouvrir la porte, autrement dit, discerner et assimiler ces influences. Alors, la Personnalité, surmontant sa nature orgueilleuse, doit se plier et accepter la primauté du Moi réel, la supraconscience. Et elle doit le faire d'avance, par un acte de foi et d'espérance, sans savoir exactement où elle va. Tel est le rôle de l'humilité comme condition sine qua non d'un travail ésotérique constructif. C'est le sens de la maxime antique que Dieu résiste aux orgueilleux, mais fait grâce aux humbles (Proverbes, XXIX, 23). La Personnalité qui habituellement commande en l'homme doit ainsi, avec le Moi du corps, s'incliner devant le Moi réel et lui rendre hommage, car elle n'est qu'un Moi provisoire, périssable*. Et pour arriver à cela, la grande difficulté à vaincre est celle-ci : l'Illusion*², se croyant réalité, prend la Réalité pour l'illusion !

* L'être humain extérieur à lui-même est comme les empires qui ne reculent pas. Ils tiennent leurs positions et s’accrochent à leurs illusions d’exceptionnalisme. Ils jouent leur va-tout... et finissent avec rien.

Cf. Fabrication de l'Illusion et voie de sortie.

 

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Les 7 tours du Diable

Selon l’écrivain français René Guénon (1886/1951), les "7 tours du Diable" constituent les centres de projection des influences sataniques à travers le monde, allant dans le quadrillage énergétique terrestre * du centre de l’Afrique à la Sibérie. Elles sont sous l'influence de la planète impulsive Mars à travers le métal fer, qui entraîne la guerre par sa résonance de précipitation, d’impatience et en définitif de la chute. Tel est le monde d’aujourd'hui, autrement dit l’Age sombre de toutes les fraudes psychiques comme le scientisme du transhumanisme, la psychanalyse dévoyée, les divers dieux polythéistes, le culte de la matérialité, du progrès et de la technologie, soit autant de causes constitutives de troubles rendant quasi impossible toute libération de l'être humain de la Matrice prédatrice asservissante.

* Cf. Compréhension structurelle de la Matrice asservissante & Fonctionnement de l'architecture du Vivant.

Cf. Ouvrage de Jean-Marc Allemand "René Guénon & les Sept Tours du diable".

 

Le nombre Huit - 8 - : l'Intelligence, l'Esprit universel

Le symbole géométrique du nombre 8 est l’octogone (figure 2), découlant de deux carrés entrecroisés (figure 1). Il est un polygone à huit côtés, que l’on retrouve dans la plupart des édifices sacrés chrétiens (églises et cathédrales), comme le baptistère (Cf. figures 3 et 4). Le nombre 8 est ainsi relié au baptême, un des 7 sacrements de l’Église catholique romaine, c'est-à-dire le sacrement par lequel l’esprit humain est censé recevoir le Saint-Esprit de Ce Qui Est, qu’il soit assuré par un tiers officiant (prêtre) ou par la prise de conscience de son essence divine par l'accès à sa supraconscience, l'Esprit universel. La "Chute" originelle est ainsi représentée par le chiffre 8, l’Esprit tombant dans la matière pour expérimenter la matière viciée par la perte de La Clarté originelle, le Non-Être, et sa captation par les Forces entropiques qui gouvernent l'Astral, le royaume des morts-vivants. Il réunit les 4 éléments de l'espace et de la matière (figure 7).

 

Nous retrouvons le chiffre 8 comme étant sacré dans le bouddisme, avec la roue du Dharma (figure 8), dont les 8 rayons (ils peuvent aller jusqu'à 24) illustrent le chemin octuple pour atteindre l’illumination, en l'occurrence les enseignements de Siddharta Gautama et les règles qu’il a suivies sur le chemin de l’illumination (les 10 règles du bouddhisme). Il s’agit de la vue juste, de l’intention, de la parole, de l’action, des moyens de subsistance, de l’effort, de la concentration et de la pleine conscience. Chez les hindous, la roue du dharma fait couramment partie des représentations de Vishnu, le dieu de la préservation, considérée comme une arme puissante capable de vaincre les désirs et les passions, alors que dans le jaïnisme, elle symbolise la roue du temps, qui n’a ni début ni fin.

Il en est de même en Égypte pour Toth, le dieu lunaire (image 5), dont un texte d'Edfou* relate la naissance : "Au sein de l'océan primordial apparut la terre émergée. Sur celle-ci, les Huit vinrent à l'existence. Ils firent apparaître un lotus d'où sortit Rê, assimilé à Shou. Puis il vint un bouton de lotus d'où émergea une naine, auxiliaire féminin nécessaire, que Rê vit et désira. De leur union naquit Thot qui créa le monde par le Verbe."

Le huit représentant l’éternité se décline à travers la cyclicité du Temps*², étant dans la Bible le signifiant de la Résurrection, du jour éternel et du Royaume de Dieu. Ainsi, dans l’Évangile de Jean, qui est celui du Fils de Dieu, on trouve huit miracles, huit signes du Royaume de Dieu :

- Les huit béatitudes du sermon sur la montagne (Mt 5,3-11) ;

- Les huit malédictions aux scribes et aux pharisiens annoncées par Jésus (Mt 23,13-31) ;

- Les huit phrases du Magnificat ou Cantique de Marie (Lc 1,46-56) ;

- Jésus fut circoncis huit jours après la naissance, selon la loi établie (Lv 12,3; Gn 17,12 et 21,4; Lc 2,21) ;

- Les huit marches de l'escalier donnant au parvis extérieur du temple d'Ezèchiel (Ez 40, 26) ;

- Les huit paroles créatrices du Verbe en six jours, dans la Genèse chapitre 1, versets 3, 6, 9, 11, 14, 20, 24, 26 ;

- Les huit personnes qui ont été sauvées du déluge dans l'arche de Noé (Gn 7,13).

Nul(le) ne s'étonnera alors que la marche du Maître (ou Maîtresse pour les loges féminines) en Franc-Maçonnerie signifie avant toute chose la marche vers l’éternel à travers le franchissement de huit stations (Cf. image 6) !

* Cf. Edfou, ville de Haute-Égypte, fut nommée Apollinopolis Magna par les Grecs, qui avaient identifié le dieu Horus avec Apollon.

Cf. Fin de cycle (1) : fin du temps ou fin des temps ?

 

Le Saint-Esprit dans les Évangiles

Jean 1 : 6-8

6 Jean avait un vêtement de poils de chameau, et une ceinture de cuir autour des reins. Il se nourrissait de sauterelles et de miel sauvage. 7 Il prêchait, disant : Il vient après moi celui qui est plus puissant que moi, et je ne suis pas digne de délier, en me baissant, la courroie de ses souliers. 8 Moi, je vous ai baptisés d’eau ; lui (le Christ), il vous baptisera du Saint-Esprit.

Luc 3 : 15-16

15 Comme le peuple était dans l'attente, et que tous se demandaient en eux-mêmes si Jean n'était pas le Christ, 16 il leur dit à tous : Moi, je vous baptise d’eau ; mais il vient, celui qui est plus puissant que moi, et je ne suis pas digne de délier la courroie de ses souliers. Lui, il vous baptisera du Saint-Esprit et de feu.

 

Les deux cercles constitutifs du 8 sont tangents. Leur point de contact symbolise la possible jonction entre l’esprit de l’homme et le Saint-Esprit, jonction rendue possible par le baptême. La forme même du nombre 8 traduit cette grâce que constitue cette jonction, que ce soit sur le plan vertical (figure 1) ou sur le plan horizontal avec la courbe physique nommée la lemniscate (figure 2). Elle figure un mouvement d’ascension de l’énergie, qui a servi à l’astronome et ingénieur italien Giovanni Domenico Cassini pour décrire la trajectoire de la Terre autour du Soleil. Cette courbe se compose de deux " bras " qui semblent s’opposer. Ainsi en suivant le bras de droite dans le sens horaire (spirale dite lévogyre) nous parcourons l’autre dans un sens antihoraire (spirale dite dextrogyre). Cette double rotation génère un mouvement d’énergie qui s’éloigne comme se rapproche de l’émetteur de la forme pensée, l’énergie subtile tournant toujours dans le sens des aiguilles d’une montre *. C’est ainsi que l’Esprit de la conscience universelle se propage dans l’esprit de l’être humain incarné.

* Le mouvement circulaire de la lemniscate se retrouve dans le travail de conscience de la fluidité du corps humain, depuis les plantes de pieds qui puisent la force du sol, jusqu'au bassin où vibre la force de la vie, jusqu'aux omoplates qui s'ouvrent comme des ailes.


En traçant les diagonales de l’octogone, nous obtenons deux croix. D’abord la croix de la Vérité (en rouge dans la figure 1) ou croix du Saint Graal (figure 2) qui symbolisent l’Esprit de Dieu, le Saint-Esprit. Ensuite la croix de Saint-André (en bleu dans la figure 1), qui symbolise l’activité de l’esprit humain*. Par le baptême, l’esprit humain acte sa conformation ou son alignement à son Créateur, à son Saint-Esprit, mais que seul l’état unitaire de pleine conscience permettra*². Telle une sorte de sceau, l’association des deux croix forme l’octogone, le nombre de l’Esprit, le nombre 8.

* On la retrouve sur nombre de drapeaux ou d’emblèmes de monarchies, nations, régions, armées ou forces politiques européennes (provinces de Bourgogne et de Franche-Comté en France ; Pays basque en France et en Espagne ; emblème de la monarchie espagnole ; drapeau de l’Écosse, de l’Alabama et de la Floride aux États-Unis ; drapeau de saint Patrick en Irlande …).

Cf. L’état de cohérence, voie de sa liberté.& Le chemin de l'Ascension.

 

Le souffle de Dieu et le souffle de l’homme

Le Saint-Esprit est le souffle de Dieu, comme l'indiquent les passages suivants des Saintes Écritures.

Job 32 : 8 (ancien testament) " Mais en réalité, dans l'homme, c'est l'esprit, Le souffle du Tout-Puissant, qui donne l'intelligence  ";

Jean 3 : 8 (nouveau testament) " Le vent souffle où il veut, et tu en entends le bruit ; mais tu ne sais d'où il vient, ni où il va. Il en est ainsi de tout homme qui est né de l'Esprit. "

Jean 20 : 21 et 20 : 22 (nouveau testament) "Jésus leur dit de nouveau (il s’adresse à ses Apôtres) : La paix soit avec vous ! Comme le Père m'a envoyé, moi aussi je vous envoie. Après ces paroles, il souffla sur eux, et leur dit : Recevez le Saint-Esprit. "

Le Saint-Esprit est le souffle du Tout-Puissant, qui accompagne la vie de l’esprit humain incarné. Entre son premier souffle (à l’instant de sa naissance) et son dernier souffle (à l’instant de son départ), l’esprit anime le corps physique*. C’est lui qui lui donne le souffle. Durant la vie terrestre, l’état d’esprit influence profondément la qualité de la respiration. Ressentons-nous de la peur ? Alors nous avons le souffle coupé. Sommes-nous oppressés ? Alors notre respiration se fait plus pesante. La respiration nous renseigne donc sur ce qu’éprouve notre esprit.

* Cf. Esprit global.

 

L’octaèdre, symbole de l’air

Le lien entre notre respiration et le nombre 8, le nombre de l’Esprit, a été donné par le philosophe grec Platon (─430/─350 environ av. J.-C.) en géométrie euclidienne avec ses cinq solides, soit des polyèdres réguliers et convexes. Parmi eux l’octaèdre, le symbole de l’air, qui comporte 8 faces triangulaires.

 

 

 

L’oxygène, élément vital

Au cours de la respiration, l’homme absorbe un élément vital, l’oxygène, qui dans la classification des éléments chimiques est le huitième élément. L’enveloppe de l’atome d’oxygène comporte 8 électrons. Qui plus est, un élément chimique donné peut exister sous différentes formes ayant les mêmes propriétés chimiques, ce que l’on appelle des isotopes. Il existe ainsi 17 isotopes de l’oxygène, tous ayant la même enveloppe comportant ces 8 électrons. Seuls les noyaux changent. Et chaque noyau comporte 8 protons, soit des particules contenant une charge d’électricité positive, qui font face aux 8 électrons de l’enveloppe contenant chacun une charge d’électricité négative. L’oxygène que nous respirons étant l’oxygène 16 (à 99,76 %), sa structure est donc la suivante : noyau de 8 protons et de 8 neutrons, soit 16 particules, et enveloppe du noyau de 8 électrons.

En conclusion, le souffle est bien une émanation de notre esprit, dont le nombre est 8, lui-même relié à l’Esprit universel, le Saint-Esprit. Le souffle est relié à l’oxygène, élément vital structuré par le nombre 8. Il en découle que lorsque notre esprit aura retrouvé la faculté de recevoir le Saint-Esprit, l’humanité sera sur le chemin de sa guérison.

 

Le nombre d'Enoch

Enoch (ou Henoch)*, dit "le juste", est un initiateur, ce qui explique son nom hébreu Hanokh : "initié". Ce patriarche biblique, arrière-grand-père de Noé, est le seul personnage mystagogue capable de jouer le rôle de messager, le seul à prétendre posséder les secrets du Ciel et de la Terre, le seul à pouvoir parler au nom des dieux, à pouvoir régler les conflits entre les dieux, à pouvoir intercéder pour les dieux et les humains et à avoir l’aptitude d’écrire la Maât (justice). Il n’est autre que le dieu du pilier du temple égyptien : Thot. Sa sagesse fait de lui le pilier de l’Égypte entière, d’où son nom grec Hermès "le pilier". Il est par sa connaissance de la coudée royale "le Seigneur du Pilier", N-Ukha (Enukha), "Celui du Pilier". Il se retrouve également dans le terme hébreu Hanouka dont la racine signifie "inaugurer" ou "inauguration" et dont le chiffre est le 8. Il est celui qui inaugure, surveille et célèbre avec la déesse Séchat les rites de fondation d’un temple.

Le chiffre 8, associé à la fête juive des lumières Hanouka, est aussi relié à Thot en sa qualité de "chef des Huit" et Seigneur de Khnumu, la "ville des Huit", titre faisant allusion aux 8 entités primordiales reptiliennes et amphibiennes qui auraient organisé la matière.

Thot est également le "Vizir de la Lumière (Râ)", comme Enoch est le "ministre de Yahvé" *. Enoch est un prophète, alors que Thot (Enukha) porte l’épithète de "Celui qui sait, qui annonce le lendemain et qui perçoit l’avenir sans se tromper". Thot a annoncé la naissance d’Horus à Isis, comme Enoch a prophétisé la venue du Messie dans le Livre d’Enoch, au chapitre 61 (1 à 13).

Dans le Livre "Des clavicules de Salomon" de l'ecclésiastique français Alphonse-Louis Constant dit Éliphas Lévi, il est mention du second avénement d'Hénoch, appelé à survenir lorsque la papauté aura perdu toute son autorité dans le monde (en cours accéléré) et que les sciences kabbalistiques auront ressuscité. C'est à ce moment que seront apportées énormément de connaissances aux initiés de la 6e race racine humaine en cours d'émergence, autrement dit à ceux qui, par leur transformation/transmutation de conscience, sont "activés" ou "remplis" par l'énergie christique (le Kiristos) à même de les guider et de les protéger dans ce changement de cycle.

* Le nom énochien est construit sur le nom d'Hénoch. Ce terme est une invention récente (1584), fruit du travail du célèbre mathématicien, astronome, astrologue, géographe et occultiste britannique John Dee (1527/1608) qui a consacré une grande partie de sa vie à l’étude de l’alchimie, de la divination et de l'hermétisme. Selon lui, il s'agit du tout premier langage, qui appelait "langage céleste", "langage des anges", "langage sacré" ou encore "la langue adamique" qui aurait été utilisée par Adam pour nommer les choses et les êtres qui l'entouraient. En effet, après sa chute du "Paradis", Adam ayant tout oublié construisit un proto-hébreu fondé sur un vague souvenir de l'énochien. Ce second langage devint le langage universel jusqu'à la confusion des langues de la Tour de Babel. À partir de là, toutes les langues du monde furent développées.

 

La puissance alchimique lunaire

Les astres solaire et lunaire expriment la combinaison indispensable au fonctionnement du Vivant dans notre dimension de réalité terrestre au sein de la galaxie solaire, autrement dit le champ astral de référence. La compréhension de leur puissance électromagnétique conduit au secret de la libération de l'être humain de cette matrice d'appartenance limitante. Elle est appelée les "noces chymiques", soit la fusion/l’union de l’anima - principe masculin électrique - et de l’animus - principe féminin magnétique -*.

Cependant, le système prédateur asservisseur à caractère patriarcal s'est attaché tout particulièrement par la manipulation de l'enseignement religieux à diaboliser la nuit et son symbole lunaire lié au féminin sacré (Cf. les déesses lunaires comme Isis). C'est en effet le temps de repos de l'esprit après le temps de travail diurne symbolisé par le feu solaire, qui permet à la conscience d'accéder au grand champ universel d'information (le champ quantique) par les rêves et songes et, en se ressourçant, de nourrir l'intuition. C'est pourquoi nombre de peurs ont été jetées dans l'inconscient collectif (sabbat des sorcières, loups-garous, vampires, agitations psychiques nocturnes...), visant à empêcher l'être humain de recevoir avec quiétude les messages du champ divin.

Toute la puissance nocturne se retrouve dans le mot NUIT, le N décrivant par son tracé la relation du haut vers le bas et son retour vers le haut (le quantique est relié au tri-dimensionnel), le UIT dans la langue des oiseaux évoquant l'infini du 8. Il en est de même avec la nuit en allemand - NACHT (acht signifie 8) - et en anglais - NIGHT (eight) -.

* Cf. Le chemin alchimique.

 

L'Apocalypse 8 : 11, l'Avertissement

Ce passage est ainsi rédigé : "Le nom de cette étoile est "Absinthe". Le tiers des eaux fut changé en absinthe et beaucoup d'hommes moururent à cause de ces eaux, parce qu'elles étaient devenues amères." Telle est la prophétie, lorsque le 3ème ange a sonné de la trompette. En latin Artemisia absinthium, l'absinthe est à la base une plante médicinale, celle de la déesse Artémis, contenant un principe amer, l'absinthine. De par ses sécrétions racinaires, elle exerce un effet inhibiteur sur la croissance des autres plantes, se révélant ainsi très utile dans la lutte contre les mauvaises herbes ou adventices. Ses propriétés médicinales voient son utilisation contre le mal de mer et les nausées, la lutte contre la fatigue et en cas d'insuffisance de suc gastrique et d'excrétion biliaire. Elle active la circulation sanguine dans les régions du bassin (emménagogue). Enfin, elle agit comme désinfectant, renfermant un alcool, le thuyol, et le produit de son oxydation, la thuyone. Cette dernière substance est un poison du système nerveux, convulsivante (12 g d'essence provoquent une crise épileptiforme chez l'homme). Cela fait de l'absinthe une plante toxique à forte dose*.

Symbolisant l’amertume et la toxicité, elle rappelle à l'être humain des prescriptions et règles nécessaires à sa bonne relation au Vivant, sous peine de connaitre de sérieux "déboires" lorsqu'il s'abandonne à un fonctionnement inconséquent. C'est alors la "condamnation des eaux amères", telle que le lui rappellent nombre de textes bibliques (Proverbes 5 :3-5, Deutéronome 32 :32 et Nombre 5 : 11-28). C'est pourquoi la conduite immorale, découlant de son emprise aux Forces du "Mal", mène à une fin amère et à la mort. Et lorsque les eaux mercurielles sont devenues sulfureuses en raison d'une civilisation grandement viciée, immorale, beaucoup d’hommes sont appelés à mourir. C'est ce qu'indique la grande étoile, l'Absinthe, le Kiristos, qui, brûlant comme un flambeau, éclaire très fortement pour faire apparaître l'inconduite des gens et ce qu’il y a au plus profond de leur conscience. Tout est mis à nu devant l’intensité de cette lumière purificatrice, qui fait remonter les sentiments de culpabilité pour celles et ceux qui sont conscients de leurs actes mauvais.

Aussi, dans la fin de cyclicité de la Matrice astrale, le feu nucléaire purificateur est envoyé sur Terre, brûlant ainsi le tiers de la mer, de la Terre et des arbres… Nul(le) ne sera alors étonné qu'en ukrainien, l'absinthe se dise tchernobyl*² !

* Connue pour avoir été l'ingrédient de base d'une boisson alcoolisée (spiritueux) populaire au XIXème siècle, la consommation d'absinthe est autorisée en France après avoir été longtemps interdite, seule sa vente étant soumise à une mesure européenne (la teneur en thuyone ne doit pas dépasser 35 mg par litre).

Accident nucléaire majeur qui a commencé le 26 avril 1986 dans la centrale nucléaire V.I. Lénine, située à l'époque en République socialiste soviétique d'Ukraine en URSS.

 

Le nombre neuf - 9 - : la Foi du Vivant

 

Symbolisé par la figure ésotérique de l'énéagramme* (Cf. figure ci-dessus), le polygone type de l'énergie, le nombre 9 par son graphisme comporte deux parties distinctes mais néanmoins reliées, exprimant parfaitement la notion d’un cycle à l’autre qu’il représente :

- un cercle;

- un arc de cercle qui s’échappe du cercle, traduisant le passage d'un cycle à l'autre.

Le neuf, "l’Ennéade", est un chiffre étrange, qui a des propriétés uniques. Multiplié par tout autre nombre, la somme égale toujours neuf. Aussi, si on pose une soustraction comme 4321-1234, on obtient 3087 (3+0+8+7=18, 1+8=9). Si le Neuf est le chiffre de la Mort - fin de cycle -, il est aussi celui de la Vie - renaissance -, signifiant que le Vivant est bel et bien l'essence de Ce Qui Est, La Source divine. C’est pourquoi il est le chiffre de l’initiation (neuf mois de grossesse, 3×3, etc) aux fins d'accomplissement, le retour à l'UN, que symbolise l'arcane VIIII du Tarot initiatique*², "L'Hermite", qui éclaire son chemin avec le feu de la Connaissance...

* Le mot a été construit avec la racine grecque ennea qui signifie neuf et gramma dont le sens est figure. Il a été utilisé dans son enseignement par le controversé philosophe arménien Georges Gurdjieff (1866/1949), qui ne la comprenant pas complètement car ignorant des réalités hyper-dimensionnelles, s’est empêtré dedans en essayant de faire un système soi-disant "scientifique" pour le développement personnel (il a prétendu que cela venait d’un ancien système qu’il ramenait de ses aventures). La réalité est que Gurdjieff expérimentait sur les gens en se basant sur une vision du monde ou du cosmos très déformée - le Grand Absolu - car purement mécaniste, limitée à la 3-D, même si partiellement juste.

Cf. Le sens caché du Tarot initiatique.

Cf. en complément le livre "Les neufs marches - Un regard spirituel sur la grossesse et la naissance" de Anne Givaudan et Daniel Meurois (2006).

 

Les 9 vies du chat, ou le chemin vers l’immortalité

Le chat était l'un des nombreux animaux dont les attributs furent vénérés dans l'Égypte antique, notamment associé au symbole de protection, les Égyptiens ayant été parmi les premiers à domestiquer le chat. Il était nommé par l'onomatopée "miou", dont la transcription est miw au masculin et miwt au féminin, ce genre d'onomatopée se retrouvant dans le verbe miauler. Chaque temple possédait ses propres chats, un "gardien des chats" (poste important transmis héréditairement) en en ayant la charge. Il était interdit de tuer ou même de maltraiter les chats, les contrevenants risquant une peine très lourde pouvant aller jusqu'à la mort. Le chat accompagnait parfois son maître dans l'au-delà sous forme de statuette (ou sculpté sur les sépultures).

Suivant les croyances, le chat a sept vies*, parfois neuf.  Ce félin domestiqué fait partie de la race cosmique animale Léo, le nom des constellations du cosmos correspondant à l’origine à des animaux. Toutes les familles d’étoiles ou constellations tout autour du globe (notre galaxie solaire) ont contribué à implanter les animaux sur terre à un moment des cycles de Ce Qui Est. Le lion est lié spécialement aux trois étoiles de la ceinture d’Orion, et également à la constellation appelée "Lion exilé", autrement dit Leo. Selon l'auteur franco-allemand Anton Parks, il fait partie d'un peuple galactique nommé Urmah, qui a une génétique humano-féline et un tempérament guerrier, et dont le rôle est de veiller à l'équilibre interstellaire.

Pour les chamanes, la Terre Mère a demandé au "Lion exilé" d’envoyer de grands carnivores sur terre – lions, léopards et chats sauvages – pour protéger l’humanité des entités négatives. L’homme ayant trop peur de vivre avec des lions, il a alors choisi d’apprivoiser les chats sauvages et les avoir à la maison. Par ce compromis, il s'entoure de "mini-lions", plutôt que de rencontrer véritablement son lion ou lionne intérieure pour vaincre ses peurs. Quant à la genèse selon les Égyptiens, elle se nomme Zep Tepi (Zep = temps, tepi = premier). Cela signifie aussi "les ancêtres", ceux qui viennent en premier. Tepi-aui sont les divinités ancestrales qui créèrent la civilisation durant l’Âge d’Or. Le hiéroglyphe correspondant montre un lion, ce qui indique que les premiers ancêtres étaient léonins. Horus descend donc d’un lignage de divinités léonines.

Comme le chiffre 9 est composé de trois fois 3 dieux (une trinité), il était en Égypte un chiffre qui portait bonheur. Très étonnés par la grande résistance du chat à échapper régulièrement au danger, les Égyptiens étaient persuadés que le félin possédait neuf vies. Chez les hindouistes, la légende veut qu'un vieux matou, mathématicien de son état, fort distrait et incroyablement paresseux, somnolait à l’entrée d’un temple. S’étirant et baillant profondément, il se mit à réciter "Un, deux, trois, quatre…" avec une petite moue de dédain amusée, avant que d'être à sept à moitié endormi, et à neuf de ronfler profondément, plongé dans un sommeil béat. Alors le grand Shiva décréta "Puisque tu sais seulement compter jusqu’à neuf, je t’accorde neuf vies". Quant à l'époque de l'inquisition, les sorcières, disait-on, pouvaient se transformer en chat mais seulement neuf fois...

* C'est le cas en Italie et dans le monde arabe, le sept étant le nombre sacré le plus important après le trois dans les traditions des civilisations orientales.

 

Le nombre de la cyclicité

 

La première partie du graphisme (le cercle) symbolise le cycle de notre périple spirituel - le Jeu/Je de l'Oie -, qui voit chaque esprit humain quitter un jour le plan spirituel originel sur lequel il séjournait à l’état de germe d’esprit inconscient pour plonger dans les profondeurs de la Création afin d’expérimenter la matière viciée, autrement dit expérimenter l'involution, le Non-Être. C’est le principe du jeu de la Vie*, soit un périple enrichissant et formateur qui doit permettre au germe d’esprit de s’éveiller à la conscience et de développer les merveilleuses facultés qu’il porte en lui. S'il s'éveille...

* Cf. Le Jeu de la Vie.

 

Pour ce faire, son désir naissant, qui s’éveille doucement, suffit à enclencher le processus. La pure vibration spirituelle du germe d’esprit entre alors aussitôt en contact avec la Force divine cosmique, l’énergie universelle qui donne la Lumière, la Clarté, qui, dans toutes les parties de Ce Qui Est se tient prête, aidante et agissante. Elle n’est en effet qu’Amour. Avec cette Force qui lui est donné, le germe d’esprit se met en mouvement et commence sa descente dans les profondeurs de Ce Qui Est. Ce faisant, en cours de route - le chemin initiatique du pèlerin -, il vit maintes expériences qui l’enrichissent et lui permettent de se développer. Les incarnations terrestres en font partie, même si elles sont gouvernées par les Forces ténébreuses, involutives, nécessaires à l'équilibre de l'Univers, Ce Qui Est. Chaque incarnation est l’occasion d’un progrès*. Bénéficiant des prodigieuses opportunités offertes par notre magnifique planète et en comprenant ses Lois de structuration, d'organisation et de fonctionnement (le mode d'emploi ou les règles du jeu du Vivant), chaque esprit humain en cours d’évolution peut "tout" obtenir, pour son développement propre et pour l’enrichissement de l’ensemble de l’humanité, même si cette faculté échoit à quelques "bons élèves" seulement, qui ont pris le temps de les étudier, en s'observant eux-mêmes. Effet miroir oblige, le corps terrestre étant la parfaite réplique du corps cosmique*² !

L'être humain bénéficiaire peut alors réussir l'alliage du triptyque divin composé des trois grandes énergies solaires - la Volonté, l'Intelligence, l'Amour -, qui découlent de neuf atomes ou unités d'intelligence se manifestant dans tout le cosmos, sur l'ensemble des plans le composant. Ils sont l'"ajusteur" de Sa pensée, non plus celle découlant de son égo-personnalité, mais de sa supra-conscience. Il est devenu le "surhomme" !

* Cf. Le cheminement de l’Âme.

Cf. Qu'est-ce que l'Homme ?

 

Tétraktis pythagoricienne
Tétraktis pythagoricienne

Du secret de la "Fin des temps"

La fin des temps dans la Matrice astrale involutive qui régit la galaxie solaire au sein de laquelle se situe à son épicentre la planète Terre, repose sur un codage numérique que contient en son sein la Tétraktys pythagoricienne, nombre représenté par 10 chiffres sous forme de points disposés en triangle (Cf. image), qui correspondent aux atomes à l’origine de la vie dont le fondement est le carbone (C), suivi en remontant vers le haut de la pyramide de l'azote (N), de l'oxygène (O) et enfin de l'hydrogène (H) à sa pointe. En alchimie, science traditionnelle de la vie*, la valeur dix représente les capacités multiplicatrices de la pierre, philosophale s'entend (le Tout primal - le 0 - est appelé à être sublimé par l'individu - le 1 - éveillé à l'Esprit universel par sa supra-conscience).

Cette figure géométrique majeure dans l'enseignement initiatique, composée de 9 triangles, est également nommée Quaternaire ou Quadrature du Cercle. Elle signifie la cyclicité limitée car mortifère de la Vie au sein de la Matrice astrale patriarcale (le triangle) dominée par les Forces ténébreuses et leurs relais institutionnels terrestres installés à la tête de ces pyramides (beaucoup de manière inconsciente, d'autres en toute connaissance), le "9 accompli" au sein du 10 (1+2+3+4, soit le comptage des niveaux à partir du sommet) voyant une nouvelle boucle recommencer tant que l'être humain n'a pas réussi son ascension de conscience par sa fusion avec l'Esprit universel souverain pour s'en extirper. Il ne s'agit aucunement de la quadrature du cercle cosmique, piège destiné à leurrer le chercheur de vérité spirituelle !

Ce rapport de la fin de cycle (partiel s'entend) à son (re)commencement, illustré par la figure de l'Ouroboros (le serpent qui se mord la queue), établit par là-même la durée des cycles entre les "déluges destructeurs" de la civilisation humaine, perpétuant l'indispensable reset mémoriel (remise à zéro) préalable à une nouvelle "partie d'échecs" par les prédateurs du champ Astral*². Son calcul est l'addition des 3 niveaux de la Tétraktys en partant du bas (ceux contenant les 9 triangles), soit 4+3+2 (9). C'est ainsi que la durée entre deux déluges destructeurs, qui combinent à chaque fois un déluge d'eau suivi d'un déluge de feu, s'établit à 4320 années (addition des niveaux des 9 triangles - 4+3+2 - à laquelle se rajoute 0, le "Tout" à l'état primal puisque toujours gouverné par les Forces involutives), ce que valident d'innombrables sources toutes convergentes depuis les temps antiques telles qu'enseignées par Platon et Hérodote*³.

Ce basculement civilisationnel est toujours précédé par une inversion de quelques degrés de l'axe de rotation de la Terre, entraînant de ce fait le Soleil se lever à l'ouest et non plus à l'est. De ce fait, il ne se couche plus dans un hémisphère, faisant griller la Terre par l'intensité de la chaleur régnante, alors que dans l'autre c'est la nuit totale. Ce basculement est en fait causé par l'arrivée d'un second Soleil, au volume impressionnant (10 fois supérieur à la Terre), s'approchant de son barycentre (centre de gravité). C'est ce qui vient d'être reconnu par nombre de scientifiques avec le repérage, déduit d'observations astronomiques réalisées entre 1983 et 2016, de l'arrivée imminente de la planète nommée Neuf (Planet Nine), ou Phattie, planète X, Némésis, Nibiru, son existence étant suggérée par les perturbations de l'orbite de plusieurs objets transneptuniens. Cette planète, chargée de fer tel que racontée dans la 57° sourate médinoise du Coran Al-Hadid (le Fer), le livre sacré de l'Islam, n'est autre que la Bête de l'Apocalypse appelée à son œuvre destructrice !

* Cf. Le chemin alchimique.

*² Cf. Le sens caché du jeu d'échecs.

*³ Parmi une abondante bibliographie, il est à retenir "Les Histoires" ou "l'Enquête", la seule œuvre connue de l'historien grec Hérodote (date de publication originale 440 av. J.-C.); les travaux de Bérose ou Bérossos, dit Bérose le Chaldéen, prêtre chaldéen, astronome et historien né à Babylone pendant ou avant le règne d'Alexandre le Grand sur Babylone, célèbre pour avoir exposé la théorie de l'Éternel Retour et de la Grande Année (les révolutions annuelles du Soleil et de la Lune sont des sous-multiples d'une même période commune, la Grande Année, au terme de laquelle le Soleil, la Lune et les planètes reprennent leur position initiale par rapport aux étoiles fixes), qui voit deux cataclysmes, l'un de feu (une Conflagration) au solstice d'été et le second un cataclysme d'eau, un Déluge, au solstice d'hiver de l'univers, lors de la conjonction des planètes en Capricorne; "Histoire ante-diluvienne de la Chine" par Agricol Joseph François Fortia d'Urban; "Histoire des Empires et des Républiques, depuis le Déluge jusqu'à Jésus-Christ..." de Claude Marie Guyon; "Histoire des Chichimèques ou des anciens rois de Tezcuco" par Don Fernando d'Alva; "Le Traité du déluge" par l'abbé Guglielmini; "Introduction à la science de l'histoire" de Philippe-Joseph-Benjamin Buchez; "Histoire naturelle" par Pline l'Ancien; "Révélations Alchimiques sur la Fin du Monde" par Jean Laplace.

 

Le nombre de la Foi

 

L’esprit humain désormais arrivé à maturité, ayant appris à se connaître et à connaître les rouages de l’immense Création, possède désormais la Connaissance*. Il ne s’agit pas de la connaissance intellectuelle, si souvent prétentieuse et toujours éphémère, mais la vraie Connaissance, c'est-à-dire la compréhension profonde des choses et des merveilleuses lois divines qui régissent la Grande Création, telle que distillée par son double lumineux, l'Esprit universel souverain (la Supra-conscience).

Un tel esprit a acquis la Foi. La vraie Foi, c’est à dire la conviction de l'Intelligence divine par sa fusion en Elle. De ce fait, il lui est possible de "remonter" pour rejoindre le haut plan spirituel qu’il quitta "jadis" à l’état de germe d’esprit inconscient, le mode "Service d'Autrui". Il célèbre alors sa résurrection hors de la matière viciée, dans le sas du "Paradis", le Grand champ de conscience universel et éternel, ce qui équivaut à sa rédemption.

* Cf. Qu’est-ce que la Connaissance ?

 

 "Quand on a la foi, on peut se passer de la Vérité."

Friedrich Wilhelm Nietzsche (1844/1900), philosophe, compositeur, poète, écrivain et philologue allemand

 

Puisque tout est mouvement dans la Création, un nouveau cycle commence alors pour lui, ce qui est figuré par l’arc qui s’échappe du cercle. Avec le nombre 9, un cycle est achevé et un nouveau cycle commence. C’est un accomplissement voulu et exigé par la Volonté divine. C’est pourquoi 9 est un nombre sacré.

 

Si cette cyclicité est le cours normal des choses, notre paresse spirituelle nous met toutefois à la merci de la régression, tout particulièrement dans l’ambiance délétère et toxique de notre époque. Or "il" nous a été dit il y a plus de deux mille ans que durant le Jugement "les tièdes seront vomis" (Apocalypse 3: 16). Il s’agit là d’un sévère avertissement qui nous met en garde contre l’endormissement spirituel, lequel conduit à la stagnation puis à la régression.

 

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Les 9 cercles de l'Enfer

L'écrivain, penseur et homme politique florentin Dante Alighieri (1265/1321) a décrit dans la première partie de son ouvrage Commedia ("la Divine Comédie") neuf zones circulaires concentriques et superposées constituant l'Enfer, qu'il a découvert lors de son voyage imaginaire initiatique dans l'au-delà (la 4ème dimension de conscience), égaré dans une forêt située sur une colline, "au milieu du chemin de notre vie". Cet immense gouffre de l'Enfer se trouve sous la cité de... Jérusalem *. Dans chaque cercle sont punis ceux dont la vie fut entachée d'un type bien défini de péché.  .

Le premier cercle se nomme les Limbes, dans lequel se trouvent les personnes privées de la foi, ne pouvant jouir de ce fait de la vision du Divin.

Le deuxième cercle est celui de la Luxure, dont le sort des âmes damnées qui s'y trouvent est d'être balayées par des vents sans relâche. Le péché de ces âmes est celui d'avoir soumis la raison à leurs appétits charnels.

Le troisième cercle concerne la Gourmandise, dont les âmes contaminées sont immergées dans une fange puante, sous une pluie sans trêve, mordus et griffés par Cerbère, troisième gardien de l'Enfer.

Le quatrième cercle, l'Avarice, voit les avares et les prodigues divisés en deux groupes, s'affrontant éternellement en roulant des tas de pierres tout autour du cercle

Dans le cinquième cercle, la Colère, les eaux boueuses punissent les coléreux et les indifférents qui rêvent maintenant de n'être jamais nés ("Combien sont-ils là-haut, vivant comme des princes qui deviendront un jour des porcs dans le bourbier, laissant pour souvenir un horrible mépris ?").

Le sixième cercle, l'Hérésie, voit les pécheurs conscients de leur péché punis, les épicuriens et les hérétiques (tous les hommes assez présomptueux pour faire de leur pensée et de leur volonté propres la mesure de toute chose) étant enterrés et brûlés dans un brasier sans fin.

Dans le septième cercle, la Violence, se trouve un fleuve de sang en ébullition où sont ébouillantés les damnés, ainsi que d'autres sources de tourments pour les violents contre eux-mêmes (les suicidés, les gaspilleurs, les violents contre Dieu, la nature et l'art, les blasphémateurs, les sodomites et les usuriers).

Le huitième cercle, la Ruse et tromperie, voit punis dans différentes fosses les fraudeurs, les ruffians (proxénètes) et séducteurs, adulateurs et flatteurs, fraudeurs et simoniaques (acheteurs et vendeurs de biens spirituels, de sacrements, de postes hiérarchiques, de charges ecclésiastiques ou de services intellectuels), devins et ensorceleurs, concussionnaires, hypocrites, voleurs, conseillers fourbes.

Enfin, dans la neuvième fosse, la Trahison (Lucifer y résiderait), sont punis les traîtres à la parenté, à la patrie, à leurs hôtes et à leurs bienfaiteurs.

Tous ces cercles traduisent l'ignorance de l'être humain, qui, par son comportement sous l'emprise de la force prédatrice asservissante, entraîne les souffrances de l'âme séparée de l'Esprit universel. Ce n'est qu'en assurant leur fusion par le processus de transmutation alchimique *² qu'il peut devenir Intelligent, mettant irrémédiablement fin à son involution - le chemin cyclique des Enfers (le mur des souffrances) - au sein de la matrice des morts-vivants...

* Cf. La nouvelle religion universelle & Prophétie du changement.

Cf. Le chemin alchimique.

 

Les neuf Neter, ou la loi d'harmonie des humains... sans âme

Le scientifique ingénieur chimiste français-suisse, mathématicien, philosophe et alchimiste René Schwaller de Lubicz (1887-1961), connu surtout pour ses travaux sur le symbolisme de la civilisation égyptienne, a consacré son œuvre au monde des causes et au processus de transfiguration de l’être humain. Les clés qu'il propose gravitent autour de trois thèmes essentiels, l'intelligence du cœur, la loi de genèse et le symbolisme, qu'il approfondit avec nombre d'illustres comparses (Gaston Revel, Pierre Loti, Henri Duvernois, Fernand Léger, Camille Flammarion...) au sein du groupe dit Les Veilleurs, qui possédait un aspect plus secret avec les Frères de l'Ordre Mystique de la Résurrection. Ils pratiquaient une sorte de culte du Feu et étaient au nombre de douze.

Les bases posées de leur science étaient celles de la connaissance de la loi d'harmonie, que Schwaller de Lubicz appelait loi de genèse. Elle mettait en avant l'idée d'une âme-groupe "totémique"*, qui, assise sur "neuf Neter ou principes", sont canalisés par un grand nombre d'individus. Ce sont les principes de la vie naturelle, physiquement manifestée, voie incontournable à l'existence plus haute" où l'alimentation - proie et prédation –est un concept continu. Induite par son prédateur involutif de 4ème dimension de réalité que le savant ignorait, cette idée s'applique en réalité aux individus sans âme, les Portails organiques (PO)*², qui ne sont pas "conscient" de leur état, tout comme nos compagnons animaux... Tant qu'ils incorporent les caractéristiques de leur âme-groupe totémique d'essence animale (crocodile, serpent, singe...), ils agissent et réagissent comme leur animal totem, seul le niveau de dangerosité les distinguant (s'il est possible d'interagir avec certains d'entre eux, interagir avec d'autres peut être fatal). Et comme ce qui n'est pas matériellement orienté peut seulement être "installé" via l'esprit, interfacé avec le corps via le cerveau, la conscience pour le savant consiste en l'auto-réflexion et la re-immersion dans le royaume physique, là où l'être humain n'est plus inhibé par les "émotions" du corps qui sont "l'intelligence du cœur". Alors seulement peut-il avoir accès aux idées purement abstraites comme ce qui peut être, ce qui pourrait avoir été, ou ce qui devrait être. Celles-ci sont des idées qui peuvent être traitées via la raison, même s'il n'y a aucune manifestation apparente d'elles dans notre réalité. Or s'aligner sur les centres de pensée en mode Service de Soi, comme Schwaller (et d'autres) enseigne, aboutit à une augmentation de la "conscience dormante" ou des "pensées irréalistes" de la matière, et une diminution de Conscience Spirituelle...

C'est oublier, ou ne pas comprendre, que l'homme a une possibilité de changer sa fréquence vibratoire en s'alignant sur la polarité Service d'Autrui, et l'amplifier par le processus de Vibration de Résonance de Fréquence qui résulte de l'oscillation volontaire de faire les choix d'alignement avec ce centre de pensée en mode Service d'Autrui, et ce lorsqu'il "épouse la connaissance" lui permettant de vraiment savoir ce que son choix est, et comment le mettre en oeuvre. Ces choix sont les "poussées" de l'oscillation. Si l'amplitude suffisante est réalisée, TOUTES ses autres fréquences se déplaceront aussi graduellement dans la Vibration de Résonance de Fréquence.

* Cf. Le cheminement de l’Âme.

Cf. Les psychopathes qui nous gouvernent.

 

L'Affaire du "col Dyatlov", ou l'inversion du 9 en 6

Cette affaire est un événement qui se solda dans la nuit du 1er au 2 février 1959 par la mort de neuf skieurs/randonneurs dans le nord de l'Oural, en Union soviétique d'alors, aujourd'hui en Russie. Elle eut lieu sur le versant est du mont Kholat Syakhl, nom d'un dialecte mansi (apparenté au hongrois) signifiant "Montagne morte", col de montagne qui depuis a été renommé col Dyatlov d'après le nom du chef du groupe, Igor Dyatlov. Compte-tenu de l'absence de témoins oculaires (pas de survivants), ce fait a donné naissance à beaucoup de spéculations, l'enquête menée à l'époque des faits par les autorités soviétiques déterminant uniquement qu'"une force irrésistible" inconnue avait causé la mort des randonneurs. L'accès à la région fut interdit pour les skieurs et autres aventuriers pendant trois ans après l'affaire.

Les enquêteurs avaient ainsi déterminé que les randonneurs, après avoir arraché leur tente de l'intérieur, sortirent nu-pieds dans la neige, leurs corps ayant été retrouvés dans un rayon de 1,5 km de cet emplacement. Ils ne présentaient aucun signe de lutte entre eux, seules deux victimes présentant des crânes fracturés, deux autres des côtes cassées, et il manquait la langue et les yeux de l'une d'entre elles. Quatre victimes retrouvées tardivement feront l'objet d'une expertise physico-technique, qui a révélé que les habits de deux d'entre elles présentaient des niveaux élevés de radiations (comme le potassium 40, radioisotope du milieu naturel qu'on trouve par exemple dans la bauxite et les boues rouges) dus, selon l'expert de l'époque, à de la "poussière radioactive tombée de l'atmosphère" ou à la "manipulation de substances radioactives". En 2019, le Parquet général de Russie a ré ouvert l'enquête avec l'étude de 3 hypothèses (sur les 75 existantes), toutes liées à des phénomènes météorologiques (ouragan ou avalanche), en précisant que la thèse du crime meurtrier restait peu probable en raison de l'absence totale de preuve (tout en procédant à un nouvel examen des blessures des victimes afin de déterminer leur origine). Les résultats ont été communiqués le 11 juillet 2020, la cause de la mort des neuf touristes étant définitivement attribuée à une avalanche combinée à une mauvaise visibilité.

9 personnes étant mortes dans l’affaire du col Dyatlov, dont l'inversion équivaut à 6, la puissance énergétique destructrice de l'affaire pouvant se traduire par le 666, qu'en conclure ? Que le col de Dyatlov est une parmi tant d'autres affaires similaires sur la planète terrestre*, les événements en question se rapportant plus à un transfert trans-dimensionnel et une dilatation du temps qu’à des expériences "secrètes" ou les aléas climatiques. Si leurs tentes ont été coupées de l’intérieur comme s’ils s’échappaient à partir de là, cela indique que c'est à cet endroit précis qu'un portail ou vortex est apparu, marquant le passage/l'ouverture entre 2 dimensions de densité (la 3ème et la 4ème), vraisemblablement pour restituer les corps après leur enlèvement et leur expérimentation par des entités prédatrices de la 4ème dimension de densité. Les randonneurs morts d’hypothermie étaient revenus plus ou moins en vie, avant que de mourir d’hypothermie en ouvrant les tentes en les coupant, devenus fous en s’échappant de ces entités prédatrices par leur brutal réveil de leur sommeil hypnotique. Quant aux autres morts de blessures graves, incluant celui qui avait la langue découpée, ils avaient été ramenés plus tard à l'issue de l'expérimentation organique réalisée (dés-assemblement moléculaire). C'est pourquoi ils étaient tous porteurs de divers symptômes physiologiques non consécutifs à une lutte carnage entre eux.

C'est en fait l'importance de cet endroit (structure et contenu minéral sous-terrain favorisant des types de plantes inconnus sur le plan botanique) qui a prédisposé ces 9 malheureux randonneurs Russes amateurs et désireux d'en découvrir les "secrets" à cet enlèvement, les portails trans-dimensionnels se situant toujours à des endroits spécifiques du globe terrestre*² ! Le mont Kholat Syakhl porte bel et bien dans sa signification sa nature vampirique profonde...

* Cf. "Du vol 19 au vol MH370, ou la suspension de l'espace-temps limité" dans la publication Le sens caché du Jeu d'échecs.

Cf. Compréhension structurelle de la Matrice asservissante & Fonctionnement de l'architecture du Vivant.

 

Le Conseil des Neuf - The Council Of Nine

The Council of Nine sont des êtres censés être considérés comme des extraterrestres que les anciens Egyptiens auraient adoré en dieux, qui en fait pourraient être des intelligences informatiques puisqu'elles ont été décrites comme telles par Andrija Puharich, pseudonyme d'Henry Karel Puharić, médecin et chercheur américain en parapsychologie (1918/1995). A l'instar du scientifique Nikola Tesla, il a travaillé pour l'armée et la CIA, ayant "découvert" le psychique israélien Uri Geller. Il fit partie d'un groupe d'occultistes riches à Glen Cove, dans le Maine aux Etats-Unis, qui formaient une organisation qu'ils appelaient la Table ronde en 1952. Les "Neuf" leur apparurent cette année même à travers un visiteur mystérieux venu de l'Est (l'Inde apparemment), une docteresse mystique nommée DG Vinod. Commencèrent ainsi les révélations publiques du Conseil des Neuf*, canalisées lors de l'étude de parapsychologie menée par le Dr Andrija Puharich.

* Certains de leurs concepts transmis ont été relayés dans les premiers films de l'oeuvre cinématographique Star Trek, ainsi que dans sa suite appelée The Next Generation et Deep Space Nine (il y a ainsi un personnage nommé 'Vinod" dans un épisode de Deep Space Nine).

 

La foi se vit dans le coeur, n'étant en rien rattachée au mental. La foi, même si elle y est fréquemment associée, n'est bien évidemment pas exclusivement religieuse. La foi sommeille en chacun de nous, et peut s'exprimer dans des registres spécifiques de nos vies si nous lui en laissons la place. Elle émane du coeur. Lorsque la foi nous anime, la peur n'existe plus. C'est très simple. La foi naît de l'intérieur, elle est une force, une certitude profonde qui nous habite, sans que jamais personne n'ait eu à nous l'inculquer.

La foi est là, depuis notre naissance, même depuis bien plus longtemps. Nous n'en héritons de personne, elle est intemporelle. Pourtant, nous ne sommes pas habitués à lui laisser une place dans notre vie, puisque depuis notre plus tendre enfance, nous avons été programmés à rechercher toute vérité à l'extérieur. La société et les religions ont étouffé la foi pour imposer leurs croyances. Un être humain qui croit à quelque chose ne peut pas s’affranchir de cette croyance sur le plan émotif, et automatiquement il se barre la porte à l’infinité de son esprit.

Aussi il convient tant que possible de faire le ménage et d'engager un travail introspectif, permettant de dissocier notre foi de nos croyances. La peur est le baromètre infaillible nous indiquant si nous sommes dans le mental ou dans le coeur. Prendre conscience de nos croyances nous allège déjà d'un grand poids, et nous aide à nous en libérer au fil du temps. La foi ne peut être dissoute puisqu'elle fait partie intégrante de nous. Elle est cette partie intime de nous qui sait et qui nous guide dans l'inspiration sur le chemin de la vie, jusqu’à temps que l’être humain change de plan vibratoire pour entrer dans le supramental, la supraconscience, où on ne croit à rien puisqu’il n’y a rien à croire, il n’y a rien à penser. Alors il sait ! Il est en dehors de la croyance, non en dehors de la réalité...

 

La foi au service de l'involution de conscience

Si les religions institutionnelles répandues - les monothéismes judaïsme, christianisme, islam et le bouddhisme - ont tant d'emprise sur notre monde, c'est qu'elles sont fondées sur le rituel et la "dévotion pour une personne ou une chose". C'est ce qui caractérise la notion de "secte", le terme en sa forme moderne étant réservé pour n'importe quel groupe formé dans une structure hiérarchique (ainsi la famille), où une certaine forme de contrainte ou de manipulation des membres du groupe existe, psychique et/ou physique. La question de la justification pour l'adoration ou l'allégeance - c'est-à-dire la contrainte et la manipulation - est d'habitude liée aux bénéfices perçus ou exposés ou aux bénéfices potentiels à être tirés de la croyance, l'adoration ou l'allégeance, autrement dit les promesses de récompense céleste qui ne peut jamais être démontrée ou prouvée, les promesses de survie de la fin du monde pour être le "Peuple Élu" qui règne, ou celles des houris (femmes belles et sensuelles) portant du vin aux martyrs au paradis. Les trois "grandes" religions monothéistes sont historiquement parlant des cultes vils, sanglants, violents*, le bouddhisme recélant également certaines dérives équivalentes. Et comme la foi (fides, credo) peut "déplacer des montagnes", elle est naturellement promue par leurs cultes afin que le "fidèle" en la cultivant puisse en recevoir les bénéfices promis par la hiérarchie. C'est l'exemple même de l'empressement d'Abraham de sacrifier son fils, Isaac, exemple suprême de la manière de s'approcher de "Dieu". Il ne s'agit que d'outils destinés à "former ou créer" la réalité, les techniques de sacrifice étant des actes de magie, noire il va sans dire, afin que le sacrificateur sache comment exécuter un sacrifice prescrit correctement pour qu'il produise son effet, son allégeance aux forces involutives. Il ne s'agit rien d'autre que de la manipulation, la contrainte à son niveau le plus subtil étant censée promouvoir la "foi" comme celle qui apporte le salut. Il en découle que cette "foi" subjective est en opposition avec la réalité objective, conséquence de ce vol du véritable libre arbitre, marque caractéristique de l'être humain individué.

La "certitude absolue" du fondamentaliste va ainsi l'enserrer et l'enfermer dans l'entropie, son énergie créatrice alimentant ce gigantesque système d'illusion. Par la création et la maintenance des idoles qu'il adore, le schizophrène paranoïde qu'il est devenu invente les systèmes baroques et ingénieux de perception, les définissant comme "donnés par Dieu". Il dépense sans cesse une énorme somme d'énergie à modifier toutes les impressions qui sont contraires à son système d'illusion, ne cessant de s'affaiblir. Qui plus est, il regarde de haut tous ceux qui ne partagent pas sa foi, ne pouvant tolérer l'avis de quelqu'un d'autre s'il diffère du sien, parce qu'il menace sa "légitimité". Celle-ci retient ses  craintes les plus mauvaises par son incapacité à se sentir vraiment aimé et accepté profondément. Il est devenu un être échoué dans un cauchemar dont il ne peut pas se réveiller.

Nul ne sera surpris que cette diabolique recette soit tant prisée par tout "leader charismatique", l'utilisant pour inciter, directement ou de manière subliminale, suggérée, ses disciples à s'engager dans la violence et les atrocités, quelle que soit leurs formes, contre d'autres êtres humains. Il peut ainsi asseoir la préservation de ses intérêts au sommet de la pyramide de pouvoir. C'est pourquoi il est un psychopathe*².

* C'est ainsi par exemple que la hiérarchie chrétienne naissante du Haut Moyen Age fut rapide à mobiliser des forces militaires contre les croyants en d'autres dieux, et plus particulièrement contre d'autres chrétiens qui avaient promu des systèmes de croyance bien moins extrêmes, à l'instar des Cathares. 

Cf. Les psychopathes qui nous gouvernent.

 

"Même les feux de l'enfer ont une raison d'être. Ils détruisent l'homme s'il est faible, mais s'il est fort, ils le purifient en brûlant ses scories. [...]

La spiritualité est en fait un océan très agité. Les courants de la vie sont entrelacés, et le Bien et le Mal, la Lumière et l'Ombre, ne sont séparés que par un cheveu."

Theodore Illion (1898/1984)

 

Ses manifestations terrestres

 

Le symbolisme du nombre 9 s’observe partout, y compris dans la matérialité terrestre. C'est par exemple le cas de la gestation humaine d'une durée de 9 mois. Une fois ce cycle terminé, survient la naissance de l’enfant et avec elle un nouveau cycle, les premières années enfantines de sa nouvelle vie terrestre.

En astronomie, nous comptons 9 planètes à partir du Soleil : Mercure, Vénus, la Terre, Mars, Jupiter, Saturne, Uranus, Neptune, Pluton. En astrologie, l’énergie de la neuvième planète, Pluton, est considérée comme permettant la transformation et la régénération du natif.

En physique, il est possible de calculer la pesanteur qui règne au voisinage d’un corps cosmique (par exemple une planète). Cette grandeur est habituellement désignée par la lettre g, qui est augmentée lorsqu’on s’approche de la surface du corps cosmique.

Pour ce qui est de la Terre, à 1.000.000 km de la surface, l’intensité de la pesanteur est équivalente à 7,33. A 500.000 km de la surface, sa valeur est 8,43. A la surface de la Terre, l’intensité ultime de la pesanteur est 9,81. Or ce nombre 9,81 regorge de 9 puisque :

- sa partie entière est 9 ;

- l’addition des deux chiffres de sa partie décimale donne 9 : 8 + 1 = 9 ;

- sa partie décimale est le carré de 9 : 81 = 9 × 9 = 9².

 

Il est aussi le nombre de barreaux de l'échelle d'ascension de conscience*, qui permet de quitter notre monde tridimensionnel terrestre et d'accéder à d'autres réalités dans d'autres dimensions de conscience. En prenant de l'altitude, l'être humain change de perspective. "Un petit pas pour l'Homme, un grand pas pour l'Humanité", tout est une question d'échelle !

Ce symbole numéral de la gestation humaine - neuf mois - est la clé cachée des expéditions américaines vers la lune baptisée Apollo, du dieu solaire Apollon, voyage initiatique qui a (aurait) permis à douze humains - les "astropôtres" - de toucher le ciel...

* Cf. Le chemin de l'Ascension & Symbolisme et artifices de la Matrice.

 

La dénaturation du sacré par la numérologie contemporaine

Cette numérologie pratiquée par nombre de "charlatans" illusionné(e)s - les thérapeutes du New Age -, associe à chaque lettre son numéro d’ordre dans l’alphabet (Cf. tableau ci-contre). A titre d’exemple, à la lettre H est associé le nombre 8 car H est la 8ième lettre de l’alphabet. Lorsque le nombre obtenu dépasse 9, une réduction est effectuée en ajoutant les chiffres du nombre. Ainsi, la lettre L étant la 12ième lettre de l’alphabet, le nombre 12 qui lui est associée est réduit à 3 puisque 1 + 2 = 3.

Ce procédé très simple est simpliste, manquant tant de finesse que de justesse, des lettres différentes se voyant attribuer le même nombre, autrement dit la même "vibration". Ainsi pour A, J et S la valeur est 1 ; pour B, K et T la valeur est 2…, etc. Sans connaître le sens profond du 9, celles et ceux qui s'y fient sont leurrés, empêchés de décoder les messages du Vivant !

 

L'alphabet numérique du Vivant

C'est la "table de 9" qui nous en livre la clé, dans sa forme traditionnelle : 9 × 1 = 9 ; 9 × 2 = 18 ; 9 × 3 = 27 ; 9 × 4 = 36… En l’étendant jusqu'au 26ième multiple de 9, il nous est possible d’associer un nombre à chaque lettre de notre alphabet (Cf. tableau ci-contre). Par exemple, la lettre M, qui est la 13ième lettre de l’alphabet, se voit associer le nombre 9 × 13 = 117, sans réduction. Ce procédé permet de "numériser" notre alphabet en évitant que des lettres différentes se voient attribuer la même valeur, exprimant ainsi leur spécificité propre. C'est ce qui se nomme gématrie.

C'est ainsi qu'il est possible de calculer le nombre d’un mot, autrement dit sa puissance vibratoire avec sa double polarité (+ et -). Si nous prenons par exemple le mot GUERRE, nous obtenons 63 + 189 + 45 + 162 + 162 + 45 = 666. De même LUCIFER donne 108 + 189 + 27 + 81 + 54 + 45 + 162 = 666. Si 666 signifie dans sa polarité positive la toute puissance de la Vérité (Cf. le nombre six), il est dans son versant négatif le nombre du péché, c'est-à-dire l’action qui s’oppose aux lois divines. C'est le message codé que nous adresse l'Univers, les Forces de la Lumière, signifiant que la guerre, avec son cortège de barbaries, est un énorme péché (pour l’agresseur), et que Lucifer est bel et bien le tentateur archonte qui incite l’être humain à sombrer dans le péché. Rien d'étonnant que l’archange déchu - les Forces ténébreuses - utilise la triple Puissance cosmique 666 à ses fins mortifères. Tant que Lucifer n'a pas été épuré en soi par la transmutation alchimique christique, il demeure hostile au principe de l’Amour divin, la loi de l'Unité. Il est l’antéchrist lui-même. Reste à découvrir la vibration de son propre patronyme, pour en mesurer la vibration et en comprendre la signification...

Toutefois cette clé n'est que partielle, le nombre huit - 8 - de son côté représentant dans la Tradition l’infini, l’équilibre cosmique, la perfection, la renaissance, l’éternité, le Christ cosmique, l’univers dans sa globalité … Et il en est de même pour tous les autres nombres, nous maintenant dans la confusion la plus totale tant que n'avons pas réussi la fusion alchimique avec l'Esprit souverain*.

* Cf. Le chemin alchimique.

 

De la Gématrie/Guématrie

Le mot gematria est dérivé du mot grec signifiant "géométrie". La Gématrie est une science cabalistique*, déjà connue de la haute antiquité, qui consiste à utiliser la valeur numérale de chaque lettre d'un mot ou d'une phrase afin d'établir avec clairvoyance et après de sages réflexions le propre de l'homme lié avec le Divin. Elle se rapproche de l'Arithmologie, appelée communément "la Numérologie". Elle est la science des mathématiques sacrées.

S'il y aurait plusieurs "Gématrie", plusieurs façons de la pratiquer la Gématrie, le véritable but commun est de découvrir l’homme lié au Divin.

* Comme en Hébreu il n'y a pas de chiffre, ce sont les vingt deux lettres qui représentent les valeurs numérales avec un alphabet qui ne comporte pas non plus de voyelle.

 

Ses manifestations dans les arts

 

Les arts accompagnent l’humanité depuis la nuit des temps. A l’instar de tous les êtres humains, la question se pose de savoir où les artistes puisent leur inspiration. Le grand compositeur allemand Ludwig van Beethoven (1770/1827) en donne l’explication :  

"Le soir, quand j’admire avec étonnement le ciel et le nombre impressionnant des astres rayonnants, mon esprit s’envole, bien au-delà des étoiles, jusqu'à la Source éternelle d’où vient tout ce qui est créé et d’où s’écoulent sans fin de nouvelles créations. Oui ! Il faut que cela vienne d’En-Haut pour être capable de toucher les cœurs. Autrement, la musique n’est que notes froides, un corps sans âme."

 

Selon la légende, le philosophe grec Platon aurait fait édifier dans son école un autel dédié au Muses, celles décrites dans la mythologie grecque. Platon considérait ces entités féminines comme des médiatrices capables d’apporter l’inspiration au poète. "Chacun n'est capable de composer avec succès que dans le genre où il est poussé par la Muse." a-t-il écrit.

Si les Égyptiens semblent n'avoir compté que trois muses - Milete, Mnémé, Odé -, c'est-à-dire celle qui produit ou génère, celle qui conserve ou désigne, celle qui idéalise et rend compréhensible, les Grecs en portèrent le nombre à neuf, en distinguant davantage les attributs. Ils les dirent filles de Zeus et de Mnémosyne*, c'est-à-dire de l'être éternellement vivant et de la faculté mémorielle. Les neuf muses reconnaissaient pour chef Apollon, le générateur universel, et prenaient quelquefois pour guide Hercule, le seigneur et le maître de l'Univers.

- Calliope, Muse de l’éloquence et de la poésie épique, celle qui raconte les faits éclatants.

- Clio (Cleo), Muse de l’histoire, celle qui célèbre.

- Érato, Muse du chant nuptial, celle qui aime.

- Euterpe (Eaterpe), Muse de la musique, celle qui ravit.

- Melpomène, Muse de la tragédie, celle qui chante les faits dignes de mémoire.

- Polymnie, Muse de la rhétorique et de la pantomime, celle qui explique les différents arts.

- Thalia (Thalie), Muse de la comédie, celle qui s'épanouit et cherche l'agrément.

- Terpsichore, Muse de la poésie lyrique et de la danse, celle qui se délecte de la pause.

- Uranie, Muse de l’astronomie et de l’astrologie, celle qui considère le ciel.

* Après avoir vaincu les Titans, les dieux grecs ont demandé à Zeus (Jupiter latin) de créer des forces divines capables de glorifier cette victoire. Il s’accouplât avec Mnémosyne, fille de Gé et Ouranos, pour engendrer les neuf Muses.

 

La classification contemporaine des arts

Si le cinéma* est le septième art, la 7ème discipline qui a été qualifiée d'art en 1919 à l'initiative d'un des pionniers de la critique cinématographique l'écrivain italien Riccioto Canudo (1877/1923), il existe neuf arts reconnus comme tels, le philosophe allemand Georg Wilhelm Friedrich Hegel (1770/1831) ayant défini les cinq premiers, du plus matériel et moins expressif au plus expressif et moins matériel, comme suit :

1. Architecture

2. Sculpture

3. Peinture

4. Musique

5. Littérature (poésie)

Sont ensuite venues s'ajouter de nouvelles disciplines :

6. Danse, Théâtre et Cirque (les arts vivants)

7. Cinéma (depuis le début du XXème siècle)

8. Photographie, Télévision, Radio (les arts médiatiques)

9. Bande-dessinée.

* Cf. Le cinéma de la Matrice.

 

Il existait autrefois un château-observatoire astronomique dédié à Uranie, la 9ème Muse. Construit sur l’ile de Ven, dans le détroit du Sund (cette île aujourd'hui suédoise appartenait à l'époque au Danemark), à l’initiative de l’astronome danois Tycho Brahé (1546/1601), cet observatoire se nommait Uraniborg, mot signifiant "Le Palais d’Uranie". Il comporte de ce fait 9 lettres. Dans le langage des nombres, Uraniborg = 365, c’est à dire une donnée astronomique de base.

 

La clé d'Uranie

La muse de l’astronomie et de l’astrologie Uranie, celle qui considère le ciel, vient d'Uraš - la Terre en sumérien -, qui est un carrefour inévitable depuis la nuit des temps dans la structuration de l'univers. Lieu des planificateurs Kadištu*, il existe en effet très peu de planètes comme la Terre dans notre univers, avec autant de diversités dans tous les domaines. C'est pourquoi Uraš est un lieu d’expérimentations multi-millénaires, qui a toujours été considéré comme un gigantesque laboratoire. C'est dans ce lieu où il peut se dérouler des imprévus, surtout lorsque des intrus s’y introduisent sans autorisation, que les créateurs entropiques reptiliens nommés Gina’abul ont pratiqué il y a environ 300000 ans l’expérimentation de façon intensive, voyant notamment les mâles de la souche royale Kingú suivis des Anunnas (ou Anunnakis) se livrer à de nombreuses expériences génétiques. Celles-ci s'appliqueront à l'être humain qu'ils asserviront pour leur servir de nourriture (prédation psycho-émotionnelle).

C'est la raison pour laquelle Uraš (ou Urash) est dans la mythologie sumérienne une déesse de la terre et l'un des époux du dieu céleste An/Anu. Elle n'a peut-être été qu'un autre nom pour Antum, la femme d'Anu. Le nom d'Uras a même été appliqué à Anu lui-même et a acquis le sens de "ciel".

* Cf. Préambule de compréhension.

 

L'archétype du prédateur présent en nous, représenté par le serpent-dragon, a fait plonger l'esprit humain au cœur de la création cosmique, faisant "remonter" notre conscience très loin dans l'inconscient collectif, jusqu'aux confins du Savoir contenu dans les mémoires de l'âme. La pénétration des secrets de l'existence, du Vivant, se fait dans toutes les directions à la fois, car le sens qui doit se révéler ne privilégie en réalité aucune direction. La Connaissance est potentiellement présente dans chaque direction vers laquelle nous regardons. Connaître le Soi de Qui Nous Sommes vraiment constitue l’opportunité de chaque vie, qui nous invite à l'élargissement de cette connaissance. En règle générale, c'est lorsque le degré d'inconfort, d'insatisfaction, d'incompréhension et de souffrance a atteint un niveau qui nous est propre, que nous nous mettons en mouvement.

D’éternité en éternité, il n’y a que l’essence du Tout, La Source, l'UN, et sa substance, Le Créateur, Dieu le Père. Si Sa Lumière illumine tout, certains ne voient rien du tout. Car ce n’est qu’avec la vraie Foi que s’ouvrent nos yeux spirituels. Nous n’avons alors besoin de rien d’autre, recevant sans y penser et sans même le demander tout ce qui est nécessaire à la poursuite de notre évolution. Ainsi se manifeste l’insigne Amour du Créateur qui toujours et en tous lieux veut le bien de toutes les composantes de Sa Création. Avec la Foi, tout est possible. Le Christ Jésus ne disait-il pas à ses disciples que la Foi peut transporter les montagnes ? (Mathieu 17 : 20).

Tout est cyclique dans le grand univers*. Un cycle est-il à peine achevé qu’un autre débute, plus large, plus vaste, plus ample que le précédent. Ainsi se déroule la Vie, propulsée par la Force éternelle du Créateur, qui jamais ne permet l’arrêt du mouvement. Telle est la signification profonde du nombre 9.

* Évolution de civilisation (2) Les synchronicités de l'Histoire.

 

9 x 7, ou le Jeu de la Mère Oie / l'amère Loi

Sauf à être enseigné très tôt, ce qui est rarement le cas, le jeu de la Vie est un parcours initiatique, d'éveil, à partir de notre propre expérimentation de la matière terrestre et de ce qu'elle entraîne à l'intérieur de nous-même. Ce parcours est figuré par le jeu ancestral de l'Oie, appelé également Jeu de la Mère L'Oie* (Oye en vieux français), qui est un symbole ludique de la "roue de la naissance et de la mort", nommée Samsara dans l'hindouisme, la victoire étant le Nirvana, l'"extinction" des réincarnations dans le cycle temporel de la 3-D. Il se présente sous forme de spirale enroulée vers l'intérieur, représentant la cyclicité du temps biologique, le Kairos, ce dieu de l'occasion opportune, soit le "juste" temps pour celle/celui qui applique le V.I.T.R.I.O.L. alchimique (Visita Interiora Terrae, Rectificando Invenies Occultum Lapidem)*². Il comprend 63 cases (le 3 6 9 libératoire), les cases fastes étant disposées de 9 en 9 par sept fois, et comporte un certain nombre de pièges à l'issue des 7 sous-cycles, représentés sous forme de ponts, puits, prison, mort. Le but est d'arriver à la dernière case avec 2 dés, les deux polarités énergétiques de nature électromagnétique et nucléaire, chacune étant au sens physique d'essence masculine (+) ou féminine (-), leur maîtrise combinatoire étant décisive, ou non... 

Ce jeu illustre l’incontournable pèlerinage, celui du périple "alchimique" vers la Connaissance que doit accomplir tout apprenti désireux d’être initié au mystère de la Vie, de l’Univers, de la Création. La finalité est la purification intérieure, par la décomposition des croyances (fausses ou limitantes) et des conditionnements liés, des habitudes et du carcan des préjugés, et par la dissolution des certitudes. Autrement dit, Ce Qui Est en haut peut devenir Ce Qui Est en bas, une fois que Ce Qui Est en bas a été capable d'absorber Ce Qui Est en haut, ceci entendant la dissolution des mémoires viciées de l'âme, de l'attachement à toutes les formes - matérielles comme spirituelles -, et de sa soumission à l'ego-mental, le petit moi personnalité limité au champ astral. Alors seulement peut-il réaliser l'Unité totale !

En triomphant de l'entité prédatrice qui les active par sa gouvernance de la psyché humaine, symbolisée par l'Ouroboros*³ - le serpent luciférien du conte biblique -, l'être humain peut renaître à sa lumière, la Supra-conscience (l'Esprit universel souverain), libéré de ses troubles psychiques et émotionnels qui le conduisent inéluctablement dans ce labyrinthe sulfureux (la Caverne dans l'allégorie de Platon) à la Mort. Telle est l'amère Loi, pour celle ou celui qui n'aura pas su jouer avec dextérité au Je du Vivant, faute d'en avoir recherché les règles, lois et principes !

* Dans la cosmogonie égyptienne d’Héliopolis, le dieu de la Terre était appelé Geb ou le Grand Caqueteur, sa figure hiéroglyphique étant une oie et une jambe (la patte d’oie). La légende égyptienne fait sortir Ré, le créateur du monde, d’un œuf qu’une oie céleste vint déposer sur l’île du lac sacré d’Hermopolis (ville consacrée au dieu Thot) après avoir brisé le silence de l’univers par son caquetage...

Cf. Fin de cycle (1) Fin du temps ou fin des temps ? & Le chemin alchimique.

*³ Appelé également Léviathan par les Phéniciens, l'Ouroboros chez les Grecs symbolise la force universelle cyclique en mouvement : sa tête, bouche ouverte, cherche à avaler sa queue, forme pleine et répulsive, marquant le retour à l'Unité primordiale. "Ouro" signifie en copte roi, et "ob" serpent en hébreu. Les quatre O correspondent à la cyclicité - ainsi les saisons -, soit la lumière (our) dérobée (robe) à la substance qu'est le futur pour permettre le présent.

 

 

 

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