Les "clés libératrices" en ligne font l'objet de constantes mises à jour et nouveaux enrichissements. Leur formulation n'engage que leur auteur, qui puise tant dans ses recherches et sources d'information que dans son imaginaire leurs révélation et libre mise à disposition suivant la forme et la rédaction retenues.

Il n'y a de ce fait rien à prendre pour argent comptant, seulement à laisser faire en soi le processus d'ouverture de conscience par le discernement, soit le juste équilibre entre cœur et raison. Celui-ci conduira à les invalider, à les valider, à les compléter par d'autres ajouts et compléments. Il est ainsi conseillé de se référer à des relais ou officines de la doxa scientifique officielle tel Psiram.com, le Wikipédia des croyances irrationnelles, dont l'objectif est de discréditer tout ce qui ne correspond pas à sa ligne de pensée académique. Sans prendre parti pour une croyance contre l'autre, il s'agit de prendre de la hauteur et de se forger sa propre opinion, par son propre travail de recherche, libre et indépendant.

C'est ainsi que procède le chercheur de vérité.

 

 

La falsification de la réalité en 3-D

 

L’établissement du "voile de l’oubli", soit la perte de notre mémoire originelle lors de l'incarnation terrestre, a entraîné la condition d’esclavage constatée et ressentie pour une grande partie de l’humanité*, tout particulièrement en Occident, masquée par l’illusion du libre arbitre confiné aux seuls sens physiques. Il se traduit par une matrice d’appartenance tronquée et cadenassée sur un plan physique, empêchant à l’individu son accès au champ multidimensionnel constitutif de l’univers, sa véritable nature. Tout voyage interstellaire ou interdimensionnel étant impossible, notre horizon est limité à la réalité tridimensionnelle (quadri avec le Temps relatif) et aux règles de jeu définies par ses ordonnateurs. Cette matrice est structurée selon une conception limitante de l’Espace-Temps. Pour en mesurer la nature, il est nécessaire de passer par quelques notions de géométrie "sacrée", explicative du fonctionnement de La Création, Ce Qui est, tout particulièrement des figures pyramide et octaèdre.

* Cf. La nouvelle religion universelle & Compréhension structurelle de la Matrice asservissante.

 

Pyramides et octaèdres, l’explication de l’Espace-Temps

 

La pyramide a une relation géométrique avec l’UN, le Tout universel constitutif de La Création, grâce à la vision qu’elle exprime de l’Espace-Temps si nous le regardons à partir de notre dimension de réalité, la 3-D, du Temps-Espace si nous le regardons de l'autre perspective, à "l'envers". Elle permet d'en comprendre la structure temporelle, en reliant tous les morceaux de la connaissance éparpillés par l’approche rationnelle propre à notre monde tridimensionnel.

 

Structure de l’octaèdre, double pyramide à base pyramidale

 

En l’occurrence, le Temps et l’Espace correspondent chacun à une pyramide, leur interaction formant un octaèdre (Cf. figure).

La pyramide en contours bleu représente l'Espace, soit la matière, l'incarné, le masculin, l'Esprit (substance), l'information captée, la partie consciente, le révélé, l'intelligence mentale, le support de Vie, l'aspect électrique.

La pyramide en contours rouge représente le Temps, soit l'énergie, le non incarné, le féminin, la Source (essence), l'information diffuse, la partie inconsciente, le non révélé, l'intelligence du cœur, la Vie, l'aspect magnétique.

Cf. La dualité décodée.

Dans la matière terrestre tridimensionnelle, la "3-D", l'homme a pour véhicule le corps biologique, support de vie périssable. Il est relié au "Ciel ", l'Univers, par l'esprit (le moi), générateur de pensées, combinaison de mental/d'intellect et d'intuition. Cette dernière est de nature inconsciente. Ce n'est que par l'Esprit, la conscience universelle (le soi), plus exactement la supraconscience, qu'il peut "féconder" la Matière* par la maîtrise de la science atomique*².

* Cf. présentation exhaustive de l'Esprit et de la conscience dans Esprit global.

Cf. Le chemin alchimique.

 

Structuration du champ d'Intelligence unitaire (1)

L’état de conscience est l’élément clé de toute existence dans l'Univers, Ce Qui Est, qui n'est rien d'autre que le produit de Son Esprit. Il correspond sur le plan de la science physique à la gravité. Ceci entend que TOUT - l'Univers - est une grande illusion, Son Esprit se déclinant en 7 dimensions de densité, c'est-à-dire des niveaux de conscience à chaque fois dégradés en partant du plus élevé jusqu'aux plans inférieurs, là où l'énergie éthérique est densifiée par le mécanisme des forces électromagnétiques et nucléaires. Densité signifie degré de développement mesuré du point de vue de la proximité de l’union avec le cycle de l’Un (fonctionnement de l'Univers ou Source). Les dimensions sont ainsi à entendre comme le résultat de la Conscience universelle telle que manifestée dans le secteur "imagination" de la pensée humaine. 

En imaginant un cercle avec un point en son centre, les "Mondes" traduisant ces dimensions sont des divisions empiriques, des réalités perpendiculaires basées sur des Forces directrices d’énergie de conscience chargées de les faire croître et changer par l’acquisition de connaissances. Les 3 premières densités sont strictement matérielles, les 3 dernières strictement éthériques. La 4ème, dimension intermédiaire, est dite de "physicalité variable", mixte entre les deux états. La différence entre les densités vient de la différence d'état de conscience et d'évolution des âmes*. C'est ainsi que l'on peut passer au niveau supérieur quand "on" a appris toutes ses leçons de vie.

Cf. Le cheminement de l’Âme.

 

Structuration du champ d'Intelligence unitaire (2)

Le corps humain physique provient de la matière de 1ère densité (sodium, potassium, calcium phosphore, carbone, vitamines, tous les sels minéraux et organiques…).

Son corps génétique (acide nucléique, acide ribonucléique, peptides, glucides, adénine, cytosine, guanine, thymine...) est issu de la 2ème densité. Les constituants de l'ADN de tout être vivant, qu'il soit végétal, animal ou humain, restent identiques.

Son vécu (incarnation) se fait dans la 3ème dimension de densité ou de réalité, la "3-D".

Sa conscience limitée au Moi personnalité - l'ego-mental - se situe dans la 4ème dimension de densité, lui permettant de s'observer lorsqu'elle est éveillée. Nommée le champ de l'Astral, elle est placée sous la gouvernance de forces involutives, dites le corpus prédateur (le Non-Être), même si des Forces évolutives dites de Lumière les contre-balançent de par la Loi de la dualité*.

Son corps éthérique/spirituel sous gouverne de l’Âme est relié à la 5ème dimension de densité (la matière noire, l'antimatière, le non-temps…). Elle représente le lieu géométrique de toutes les possibilités d'un moment donné, dont une seule se réalise dans le Temps, alors que toutes les autres demeurent irréalisées. C'est une sorte de plan que la ligne du Temps perce à l'endroit où se trouve la possibilité qui, de ce fait, se réalise.

Sa conscience supérieure ou supra-conscience - celle du Soi supérieur une fois l’Âme réunifiée - est reliée à la connaissance de la 6ème dimension de densité (l'énergie noire ou nucléaire faible, la Connaissance universelle…). Elle figure le Temps de l'Univers, comprenant par son volume non plus le possible mais l'accomplissement de toutes les possibilités de chaque moment par le cycle complet de toutes les lignes du Temps.

Il conserve toujours sa connexion à la 7ème dimension de densité, à l'Un, à la Source, la conscience ultime du Créateur et de la Création, Ce Qui Est, point situé en même temps dans l'Espace et dans le Temps.
Ligne du Temps, Éternité et Tout sont les termes du langage courant qui correspondent à la quatrième, à la cinquième et à la sixième dimension. Le terme Zéro correspond à la septième et dernière dimension. Ce n'est pas le néant. C'est le germe et la fin, l'Alpha et l'Oméga de tout ce qui existe.

* Cf. La dualité décodée.

 

Si nous sommes bluffé par une illusion nous semblant si réelle, la matière, celle-ci n’est pourtant que du vide, en fait un champ d'informations - les particules élémentaires - plein d’un amour infini, la substance de l'univers*. Elle est le fruit de l'essence de l'univers, "La Source Amour", fournisseuse de la structure énergétique de notre galaxie*², autrement appelée par les Anciens l'éther. Ce n’est que lorsque nous la sentons vraiment à l’intérieur de chacune de nos cellules que nous comprenons que parler d’" amour " n’est que la démonstration de notre séparation d’avec Elle. Quand on est amour, on ne peut parler d’amour. On ne peut que l’Être. En parler ou le souhaiter n’est que l’aveu d’une séparation que nous vivons. Il en est de même avec la paix, la justice, la joie ou toute autre chose… Tant que notre ego-mental - l'intellect - en parle, cela veut dire qu’il en est séparé, tout simplement…

* Cf. Univers en partage.

Cf. Le chemin vibratoire.

 

 

L’octaèdre ci-dessus est la représentation géométrique en volume du mouvement de la Création. Il est de ce fait de nature masculine. Il a pour équivalent la figure du Yin-Yang (Cf. figure ci-contre), qui est une représentation géométrique plane de l’Espace-Temps ou Temps-Espace, de nature féminine puisqu'utilisant le cercle pour décrire le mouvement. Elle permet d’en visualiser l’intrication.

 

 

La Création quant à elle est symbolisée également sur un plan géométrique par les polarités masculin/féminin. Le cube (le carré en surface plane) représente le masculin, et la sphère (le cercle en surface plane) le féminin. L'UN est au centre du Tout (figure 1). Ceci permet d'avoir une représentation globale de la Création avec sa structure spatio-temporelle et le point zéro, soit l'équilibre parfait (figure 2), l'état de non-dualité.

 


Formule de l’Espace-Temps

 

Elle est identique aux notions de fréquence et de longueur d’onde permettant de mesurer l'énergie. La pyramide du Temps (en rouge) est l’équivalent d’un aspect vibratoire qui, si nous le mesurons en fonction d’un temps linéaire, s’appelle la fréquence (nombre de cycles par seconde). La pyramide de l’Espace (en bleu) s’appelle la longueur d’onde, qui s’exprime en mètre.

L'UN est l'espace de rencontre entre le Temps et l'Espace. De ce fait, Espace (E) et Temps (T) = 1.

En visualisant cette figure en 3-D dans l'espace, l'octaèdre est le lieu d'intersection entre l'espace et le temps.

 

 

Fonctionnement de l'Espace-Temps

 

Le temps linéaire de notre monde tridimensionnel est la partie temporelle rivée à l’espace (monde quadridimensionnel) où tout n’est que réaction. Une réaction en entrainant une autre, un historique se crée, permettant ainsi de parler de passé, de présent et de futur, le temps linéaire, chronologique. De son côté, le temps intérieur, celui qui se passe en nous, en notre cœur, n’est rattaché à aucune matière directement. Il permet les voyages dans le temps car seul le présent existe. C'est pourquoi la vision mentale de la quasi-totalité des scientifiques concerne la pyramide masculine de l’Espace-Temps (figure bleue avec pointe vers le haut) où on cherche à transporter de la matière dans un temps linéaire qui n’est qu’action et réaction. A la différence de la pyramide temporelle qui, typiquement féminine (figure rouge avec pointe vers le bas), voit le règne total de l’éternel présent, appelé temps fractal*. C'est le Temps-Espace.

La compréhension de ce mécanisme est déterminant pour notre équilibre : l'Espace-Temps est propre à notre sphère limitée d'expression, la 3-D (4-D avec le temps relatif), mais notre nature multidimensionnelle appartient au Temps-Espace, l'éternel Présent. Autrement dit, c'est avoir les pieds dans la matière et la tête dans les étoiles qui nous permet de jouer au Jeu de la Vie en toute conscience de Qui Nous Sommes vraiment !

* Une figure fractale est un objet mathématique, telle une courbe ou une surface, dont la structure est invariante par changement d'échelle.

 

Ainsi l’octaèdre de l’Espace-Temps/Temps-Espace de la Création se décompose de la façon suivante :

. Pyramide du Temps (grand cône rouge avec la pointe vers le bas dans l’Espace) : le Temps dit fractal, soit l’éternel présent, et le Temps extérieur, linéaire, ressenti de manière objective avec les notions de passé et de futur (petit cône bas ci-contre) ;

. Pyramide de l’Espace (grand cône bleu avec la pointe vers le haut dans le Temps) : la matière visible, étudiable et mesurable car objective, et le Temps intérieur non linéaire, ressenti dans la matière de manière subjective (petit cône haut ci-contre).

La raison d'être de ce couple indissociable est que le Temps, par l’information qu'il transporte, permet de transformer l'Espace, la matière. Là réside le secret des alchimistes, la Science de l'Atome. Aussi nécessite-t-il de comprendre comment allier les forces du cœur (l’intelligence du cœur, l’intelligence intuitive) afin de modeler la matérialisation selon son gré par la maîtrise du combiné volonté-énergie-pensée, autrement dit Volonté-Amour-Intelligence*.

* Le processus création décodé.

 

Du Temps présent

La Loi de l’UN est comme un verbe qui se conjugue à tous les temps, et qu’importe le verbe (le concept étudié) lui-même car la conjugaison reste toujours la même, par-delà les illusions du temps linéaire. C’est en la maîtrisant que nous comprenons beaucoup mieux pourquoi, dans notre monde restreint en 3-D, nos conjugaisons commencent toujours par le présent, puis le passé et enfin le futur. Nous découvrons pourquoi il y a aussi les tables du subjonctif (1 Présent, 3 Passés) et du conditionnel (1 Présent, 1 Passé), tout en sachant aussi pourquoi il y a autant de déclinaisons du passé dans la table de l’Indicatif (1 Présent, 5 Passés et 2 Futurs). Somme toute, dans l’affaire, le présent est en minorité absolue...

Il nous faut abandonner toutes ces formes de pensées de 3-D qui ne font que séparer et renforcer les luttes de clans. La Loi de l’UN est comme un rabot qui vient lisser toutes les aspérités mentales, émotionnelles et surtout conceptuelles. Quand nous sommes en unité, tous les paradoxes sont résolus puisque le féminin-masculin est unifié. Le noir n'est plus en opposition avec le blanc, mais en totale harmonie dans un mouvement harmonieux et cohérent. Il en est ainsi pour tout.

 

Pour la physique moderne, il y a équivalence physique entre l’espace et le temps, la matière étant déployée dans l’épaisseur du temps et l’étendue de l’espace. Ce bloc spatio-temporel quadri-dimensionnel inclut tant la présence des êtres vivants que les effets qui en découlent. De ce fait, les futurs contingents existent en acte, non pas dans le présent de nos consciences, mais dans l’épaisseur de l’espace-temps déployé. Ils y sont, à la fois, en tant que futurs (pour nous) et en tant que contingents.

 

De la science physique académique

Dans le cadre de la théorie générale de la relativité,  théorie de la gravitation qui a été développée par le physicien Albert Einstein (1879/1955) entre 1907 et 1915 et qui énonce que l'attraction gravitationnelle observée entre les masses est provoquée par une déformation de l'espace et du temps par ces mêmes masses, les sciences ont généralement recours à un continuum espace-temps à quatre dimensions. En relativité générale classique, les propriétés métriques du continuum sont intrinsèques à celui-ci, mais une cinquième dimension dans laquelle est "incrusté" l’espace-temps normalement perçu par nos sens peut justifier la courbure et les propriétés de l’espace physique.

On pourrait ainsi dire que dans le continuum espace-temps, toutes les parties du monde quadri-dimensionnel existent simultanément dans le sens d’un formalisme mathématique, ce qui est naturellement susceptible de provoquer le complet effondrement des idées philosophiques de la causalité. Toutefois, de nombreux hommes de science qui travaillent sur ces idées ne pensent pas que ce continuum soit "réel" dans un sens physique, qui permette à des êtres physiques d’aller et venir dans le temps aussi aisément que de changer de direction dans un espace tridimensionnel. La théorie particulière de la relativité, quand elle est interprétée de manière trop étroite, ne permet pas de remonter dans le temps : elle relègue ce concept à un formalisme mathématique imaginaire.

Ceci établit une grande spécialisation tout autant qu'une division de la connaissance en petites cases de conscience, ayant pour effet (but ?) de nous empêcher de voir le tableau ou spectre physique en entier, autrement dit de nous empêcher de rassembler des données en provenance de nombreux domaines d’études susceptibles de nous éclairer sur la nature de la réalité.

 

De la non-séparabilité

La non-séparabilité quantique, ou la non-localité, est la théorie physique qui repose sur la notion d’enchevêtrement ou intrication quantique. Elle établit que des particules atomiques restent liées entre elles, et ce quel que soit leur éloignement. Par exemple, deux électrons qui ont interagi dans le passé se comportent ensuite de façon concertée, c'est-à-dire donnant des résultats corrélés si l’on mesure l’un d’eux..., même s’ils sont aux deux extrémités de l’univers à cet instant ! C’est comme si ces électrons "jumeaux" gardaient de leur passé commun un lien invisible et non affecté par la distance. Ce lien est une sorte de trace mémorielle du passé.

Pour les physiciens qui ont découvert et vérifié son existence, ce phénomène est totalement mystérieux en raison de sa nature non physique. C'est pourquoi la non-séparabilité n’a jusqu’ici reçu aucune explication autre que suppositoire. Mais comment peut-il en être autrement si elle est une "supralité" qui vient d’un "psi" (l'esprit éthérique) dont la science académique ignore ou nie l’existence ? Pour celle-ci, on ne peut comprendre un phénomène sans avoir accès à ses causes.

La supralité soude ou rattache le 'psi' de la particule élémentaire à un 'psi' collectif, c'est-à-dire à un champ non-local. Ce champ de "supra-conscience" est à rapprocher de notions telles que les annales akashiques* des Hindous, l’inconscient collectif du psychiatre Carl Gustav Jung et les champs morphogéniques du chercheur en biochimie, physiologie et parapsychologie anglais Rupert Sheldrake. La psychomatière est par son 'psi' reliée au tout de l’univers. Elle est comme le champignon qui, par son mycélium discret étalé dans le sol nourricier, est relié à plus vaste que lui-même. En conclusion, toute particule de psychomatière s’apparente à l’œuf dur et au champignon. A l’œuf dur, parce que son 'psi' est, comme le jaune, masqué. Au champignon, parce que les liens suprals, tels les filaments du mycélium, le prolongent de façon inapparente.

* Cf. Le cheminement de l’Âme.

Voir en complément les travaux du polytechnicien chercheur indépendant Emmanuel Ransford, épistémologue et spécialiste de physique quantique.

 

De l'interface entre l'information cosmique et notre réalité terrestre

L’interface entre l’information du champ cosmique et notre réalité terrestre repose sur la structure mathématique des molécules du corps biologique, que l'on nomme chiralité. Ce concept chimique exprime leur latéralité dans les deux sens opposés, lévogyre (le plan de polarisation de la lumière tourne vers la gauche d'un observateur qui reçoit la lumière) ou dextrogyre (ce plan tourne vers la droite). Ce sont les mêmes composants, les mêmes atomes, qui si chimiquement sont identiques, géométriquement sont différents. Ils sont du fait de cette propriété comme des images miroirs les uns des autres. Ces deux parties des molécules sont presque exactement les mêmes, seule la chiralité étant différente. Il en découle que leurs propriétés sont totalement différentes : l’une peut être un poison, et l’autre peut être très bénéfique. Elles sont l'une et l'autre miroir réciproquement. 

L'univers a une chiralité préférée, celle permettant d'exprimer le Vivant et non la Mort. C'est pourquoi notre ADN a une chiralité préférée. Mais comme les propriétés du symbole géométrique ne sont pas absolues, mais relatives à notre environnement, seule la conscience permet d'en assurer la bonne fréquence de résonance dans la captation des informations (structures géométriques à la base) en provenance du champ cosmique, celles-ci étant par nature relatives de par la dualité actionnée par des forces énergétiques positives, bénéfiques, et leur indispensable pendant négatives, maléfiques. Ceci entend que les informations qui nourrissent et constituent un chemin vers la voie évolutive dite "Service d'Autrui" sont perçues, comprises ou reçues différemment par quelqu’un sur la voie involutive dite "Service de Soi". Certains en effet aiment l’obscurité, d'autres aiment la lumière... La 3ème dimension de densité terrestre est bel et bien la plus difficile en raison de la présence d’un équilibre potentiel de la conscience et de la matière, et donc de la dualité*.

* C'est ainsi par exemple que la montée continue d'individus "trans", d'hommes qui s’identifient comme femmes et de femmes qui s’identifient comme hommes, est un reflet du chaos et de l’entropie en cette fin de cyclicité civilisationnelle. Elle contribue par là-même à une augmentation de la désintégration et la destruction de l’âme.

 

Du décodage des informations

La manifestation de la conscience est une fonction de la nature algébrique du champ cosmique entre ses différentes dimensions de densité, régissant les propriétés géométriques des particules élémentaires porteuses d'informations, qui sont des codes (les codes, stockés en tant qu’information, s'expriment comme énergie sous forme de vagues). Elle en permet le décodage, de manière inconsciente ou consciente lorsqu'elle est éveillée. Cette théorie de l’information repose sur l'envoi de l’information. L’exemple le plus simple est le téléphone, qui voit l'émetteur comme le récepteur se parler, échanger, leurs mots étant transformés ou encodés en signaux électroniques qui voyagent à travers la ligne. Ils sont décodés par le téléphone à chaque extrémité. Si le téléphone est la partie mécanique, ce décodage est lié également à l’information qui existe dans la tête de chaque personne qui parle, exprime des mots, ceux-ci étant codés comme décodés par la machine en sons et qui font des mots. S’il y a de l’information dans une autre dimension et que cette dimension est potentiellement quelque chose à laquelle notre subconscient profond est connecté, alors nous pouvons accéder à cette information. Nous pouvons la décoder, même si c’est inconsciemment.

La gravité, soit la conscience, est comme le code ultime ou l’information ultime, l’électromagnétisme étant son expression d’information. Seuls les divers traumatismes reçus* empêchent l'être humain la pleine maîtrise de ce processus.

* Cf. livre de Laurence Heller et Aline LaPierre "Guérir les traumatismes du développement" complété par les travaux du psychologue et écrivain américain Stanton E. Samenow pour atteindre la capacité de recevoir par la connaissance de son style de survie et de ses erreurs de pensée afin de pouvoir les surveiller.

 

Il en découle que l'âme* de l'être humain, autrement dit le vecteur d'accès à son Soi supérieur - le supra-conscient - une fois unifiée, intermédiaire entre le champ de l'Esprit universel et le moi égotique (ou ego-mental), la personnalité, s'exprime par le biais de fréquences différentes dans deux espace-temps, la 3-D et la 4-D, le mur dit de Planck réalisant la séparation entre la perception du temps linéaire et le non-temps, autrement dit fractal, à partir de la 5-D. Et c'est pourquoi, compte-tenu du principe de symétrie prévalant dans le fonctionnement de l'Univers, il est juste de distinguer :

. Le "Temps-Espace", propre au champ cosmique universel, soit l'étendue de temps infinie sans matérialisation de l'espace. La Conscience jouit d'une liberté totale et simultanée d'existence dans les multivers (multi-univers). Elle n'est pas soumise aux lois gravitationnelles et électromagnétiques et au temps linéaire du monde de la matière au sein de notre galaxie solaire d'appartenance, La Voie lactée.

. L'"Espace-Temps", propre au champ cosmique astral, soit le potentiel infini de matérialisation de l'espace dans lequel la Conscience a choisi d'expérimenter le Vivant. Elle y expérimente les lois gravitationnelles, électromagnétiques et duelles*² liées à la matière qui limitent son expansion. Cette limitation est entretenue par une dimension temporelle linéaire, elle aussi extrêmement restreinte.

* Cf. Qu'est-ce que l'Homme ? & Le cheminement de l’Âme.

Cf. Évolution de civilisation (1) Le mécanisme de l'Univers & La dualité décodée.

 

De la 5ème dimension

Nos scientifiques physiciens sont tenus par les restrictions émises par Einstein sur un voyage plus rapide que la lumière tel que défini par son postulat. Il a cependant proposé par la suite de prendre en considération la "réalité" du monde hyper-dimensionnel. Ainsi a-t-il écrit en 1938, en collaboration avec le physicien allemand naturalisé américain Peter Gabriel Bergmann (1915/2002), un article intitulé "De la généralisation de la théorie de Kaluza"* sur l’électricité : "Jusqu’ici, deux tentatives assez simples et naturelles ont été faites pour relier la gravitation et l’électricité par une théorie des champs unifiés : l’une par Weyl, l’autre par Kaluza*. Il y a eu en outre des tentatives de représenter formellement la théorie de Kaluza de manière à éviter l’introduction de la cinquième dimension du continuum physique. La théorie présentée ici diffère de celle de Kaluza sur un point essentiel : nous attribuons une réalité physique à la cinquième dimension tandis que dans la théorie de Kaluza cette cinquième dimension n’a été introduite que pour obtenir de nouvelles composantes du tenseur métrique représentant le champ électromagnétique".

Pour Einstein, la tentative de Kaluza représente réellement un pas en avant par l’introduction de l’espace à cinq dimensions, ce qui permet une représentation unitaire de la gravitation et de l’électromagnétisme. Et si des efforts significatifs ont été faits pour retenir les essentiels résultats formels obtenus sans sacrifier le caractère quadridimensionnel de l’espace physique, ceci montre clairement combien est forte la résistance de notre intuition physique à l’introduction de la cinquième dimension. Comme tous ces efforts n’ont pas amélioré la situation, il paraît impossible de formuler d’une manière simple l’idée de Kaluza sans introduire la cinquième dimension, et ce bien que nous n’y soyons pas encouragé par l’expérience ordinaire. Aussi la question est à ses yeux de savoir s’il est sensé de présumer la rigoureuse réductibilité à un espace quadridimensionnel. Pour Einstein, la réponse pourrait être "non", pourvu qu’il soit possible de comprendre d’une autre manière le caractère quasi-quadridimensionnel de l’espace physique en prenant pour base le continuum à cinq dimensions et en simplifiant ainsi les hypothèses géométriques élémentaires. Et c'est pourquoi il propose le remplacement de la rigoureuse cylindricité par l’hypothèse que l’espace est fermé (ou périodique). Il veut ainsi dire qu’il passe en boucle sur lui-même !

* Theodor Franz Eduard Kaluza (1885/1954), physicien et mathématicien allemand connu pour avoir été l'un des premiers physiciens à imaginer une théorie avec des dimensions supplémentaires dans l'univers. Son nom est souvent évoqué en introduction à la théorie des cordes.Hermann Weyl (1885/1955), mathématicien et physicien théoricien allemand qui fut le premier, dès 1918, à combiner la relativité générale avec l'électromagnétisme.

 

Mécanisme de passage

 

Dans cet octaèdre qu'est la double pyramide Espace-Temps inversée, il y a deux façons possibles pour une onde de passer du cône supérieur du Temps au cône inférieur de l’Espace.

La première est celle de sa réflexion sur les parois intérieures. Cela s’appelle l’effet miroir, générateur de nos illusions lorsque nous regardons le spectacle du Vivant de manière séparée de l'Unité, par la polarisation égocentrée de nos croyances.

La seconde est celle de la projection, son rayon lumineux passant par le centre et se retrouvant exactement à l’exact opposé dans l’autre cône. Cela s’appelle l’effet lentille, celui de notre conscience multidimensionnelle.

Ce n’est qu’en utilisant les deux méthodes simultanément qu’il y a une parfaite copie entre la figure du haut et celle du bas. Tout en étant opposées, elles sont parfaitement complémentaires : dans le cône supérieur de l’octaèdre se situe le "féminin sacré", l'énergie de la véritable source du pouvoir cocréateur ; dans le cône inférieur se situe le "masculin sacré", l'énergie propre à la matérialisation du désir, de l’intention*.

C’est pourquoi "l’innocent", le sincère, se voit mieux recevoir la Lumière que celui qui a rempli son mental de tous les préjugés et surtout croyances venant du fond des âges par les conditionnements distillés. C’est aussi en cela que l'enseignement du Christ fait écho lorsqu'il dit que les premiers seront les derniers. Il leur faudra apprendre à se désemplir de leur savoir ancien pour bénéficier du vin nouveau. Quant aux derniers, la bouteille étant pratiquement vide, ils se verront remplir avec moins d’effort à fournir.

La vie est renouvellement permanent, et qui n’a pas compris qu’il faut qu’il lâche prise sur l’ancien afin d’accueillir le nouveau, se verra emporté par l’ancien. Ainsi ce qui a été bon et régénérateur à une époque se trouve être, tôt ou tard, ce qui nous emporte vers l’anéantissement. C'est ainsi que le passage à la 5-D, porte d'accès au multidimensionnel, nécessite l'abandon des notions de masse, de matière, d'inertie et d'énergie dépensée. En effet, ce voyage au-delà de la vitesse de la lumière "visible" n’entraine absolument pas une masse infinie, et c'est pourquoi il nous faut absolument sortir de l’entonnoir de la relativité pondue il y a plus d’un siècle.

* Cf. Le processus création décodé & La pensée création.

 

Réalité du temps

 

Notre réalité est un espace formé de multiples miroirs - un hologramme -, donc de multiples illusions*. Nous ne savons pas ce qu'est le temps. Nous pensons toujours que le temps est une flèche linéaire qui se dirige dans une direction et qui continue indéfiniment dans cette même direction, jusqu'à une fin qui par exemple peut être la mort ou autre chose...

En réalité dans notre vie, nous expérimentons plusieurs sortes de temps. Par exemple le moment de la conception, le moment de l'orgasme, les sécrétions hormonales…, qui représentent toutes des événements de durée très courts, et qui, dans un milliardième de seconde, peuvent générer une quantité incroyable d'informations, dont celles des informations génétiques qui sont transportées à ce moment-là.

Alors la vie s'imprime, se manifeste elle-même, par exemple au moment de la conception en de très courts clins d'œil. Il s'agit de ce fait d'un tout autre rythme par rapport à ces milliards de formes de flèches du temps, qui nous rendent dépendant par exemple des aléas - crises financières, catastrophes naturelles, chômage... -, toutes ces choses qui dépendent de notre perception linéaire du temps. Nous ne savons pour autant ce qu'est le temps.

La science ne fait que mesurer le temps "atomique", qui est devenu le temps de référence universel, le temps terrestre. En réalité, cela ne correspond pas au rythme de la vie terrestre. Il s'agit d'une fréquence très particulière, basée sur la fréquence d'un métal, le césium. Cette mesure du temps n'est qu'une convention humaine, pour définir la durée d'un temps. Nous ne savons pas ce qu'est le temps. Nous savons juste qu'il est une illusion.

* Cf. Univers en partage & Fin de cycle (1) : Fin du temps ou fin des temps.

 

L’univers tronqué de la science physique classique

La négation du temps fractal

 

Notre physique, mélange de physique en 3-D selon Newton et de physique quantique selon Einstein circonscrite à la relativité, utilise un modèle limité (Cf. figure), qui s’appuie uniquement sur la dimension géométrique mesurable de nature masculine. Elle nie dans le fonctionnement de l’univers le Temps fractal, celui de l’éternel présent. En effet, comme il n’y a pas de matière, il n’y a pas de réaction physique et donc d’enchainement, ce qui supprime toute possibilité d’avoir un passé et un futur. C’est de l’information pure, disponible sous forme de particules, attendant d’être demandée. Cette énergie dite "noire", invisible, est le siège de "l’Amour véritable", où aucune condition n’est demandée puisqu’il n’y a aucun enchainement, aucun précédent de quoi que ce soit. L’amour ne peut être qu’amour, d’où l’absence de non-amour. Il n’y a de ce fait aucune dualité "matérielle". Dit autrement, cette partie est purement vibratoire, et donc totalement invisible à l’Esprit car hors du champ de la matière. Cette partie totalement féminine (féminin-féminin), est totalement indestructible et incorruptible, tout comme l’amour véritable, puisque c’est en fait la même chose…

Ce n’est donc que dans le cône féminin-masculin (cône violet de la figure, mélange du bleu avec le rouge), le "Temps Intérieur", qu’il y a interaction avec la matière. C’est la zone typique de l’immatériel qui génère les sentiments et les émotions chez l'être humain. Cette zone est donc totalement subjective, et c’est la raison pour laquelle toutes les méthodes scientifiques sont dans l’incapacité de calibrer un sentiment. Aucun appareil ne peut mesurer un sentiment. Il ne peut mesurer que l’effet produit par le sentiment dans le corps. Ce n’est pas une molécule qui produit le sentiment, mais le sentiment qui génère la création de la molécule. La 4-D étant une vibration qui correspond à une énergie féminine, c'est seulement dans cette dimension que se trouve la clé du développement de notre propre vibration, soit par le cœur et non pas dans l’acquisition mentale des choses.

 

Le culte limitant du temps linéaire

 

Lorsque le Temps passe dans le cône masculin-féminin de cette partie inférieure, la matière, nous comprenons que c’est un temps de nature extérieure – le "Temps extérieur" - puisqu’il baigne complètement dans la pyramide de l’Espace. C’est un temps basé sur le mouvement de la matière, comme l’est une planète qui tourne autour d’un soleil. Il est donc linéaire, possédant ainsi un passé et un futur prévisible.

Quant au présent linéaire il n’existe pas. C’est seulement une vue de l’Esprit, puisqu’il est simplement la frontière entre un passé révolu et un futur potentiel. Dit autrement, vivre l’instant présent n’est pas vivre coincé entre un passé et un futur, mais être dans l’éternité elle-même. Le Temps fractal et le Temps intérieur sont en 4-D, tandis que le Temps extérieur, linéaire, est en 3-D au même rayon que la matière dense.

C’est pourquoi la partie basse de l’Espace-Temps (pyramide bleue) correspond à la 3-D, soit l’étage où le mental domine totalement. Il est la partie masculine-masculine (la matière), telle que régie par la physique de Newton, où tout peut être étudié, disséqué, mesuré et reproductible. Quant à la partie masculine-féminine, elle est celle de la physique quantique attribuée entre autres à Einstein, qui dit que tout est vibration et où l’on suppose que l’électron est quelque part autour de l’atome.

La partie haute de l’Espace-Temps (pyramide rouge) correspond à la 4-D, soit l’étage où le cœur domine. C’est seulement en réalisant l'unité des deux parties de l'Espace-Temps que nous pouvons accéder à la 5-D*.

* Cf. Le chemin de l’Ascension & Processus de transformation de conscience.

 

La falsification de l'Espace-Temps

 

Un scientifique physicien "pur jus" ne peut voir que de la matière baignant dans un temps linéaire, et de la non-matière. C'est la vision duale, qui se heurte inexorablement au plafond de verre établissant la frontière entre la 3-D et la 4-D. Il est nommé le champ du "point zéro", celui de la jonction entre les deux pyramides ou de la séparation en gris sur la figure ci-contre. Bien que sachant qu’il y a un étage au-dessus, le fait qu'il appartienne aux sentiments, au temps intérieur, au subjectif, et globalement à l’invisible, ne conduit pas à le mettre en équation. Si le point zéro est bien au centre du yin-yang comme de la double pyramide de l’Espace-Temps, il ne permet de toucher le divin et d'ascensionner. Seul l'équilibre parfait entre son pôle masculin et son pôle féminin y conduit. Autrement dit comprendre l’univers (ce qui fait appel au mental) ne suffit pas pour ascensionner. Il y a nécessité de vivre la chose, d’être la chose (fait appel au cœur). Pourtant, l'enseignement tant scientifique que religieux* dispensé se garde de remettre le bon mode d'emploi, maintenant le "voile de l'oubli" dans la conscience humaine.

* Cf. Mythe, dogme et autres mystifications religieuses.

Mode d'emploi de l'Espace-Temps correct

Résonance optimale entre les deux pyramides

La conscience unitaire est facilement accessible, masculin et féminin étant équilibrés et homogènes

 

Appréhension spatio-temporelle équilibrée avec horizon ouvert

Mode d'emploi de l'Espace-Temps falsifié

Résonance amoindrie du fait du décalage angulaire des deux pyramides

La conscience unitaire est très difficilement accessible, le masculin de la matière (mental) prenant le pas sur le féminin (ressenti)

Appréhension spatio-temporelle déphasée avec horizon bouché


Le temps illusoire de la Matrice en 3-D vs le temps fractal du grand champ de conscience universel
Le temps illusoire de la Matrice en 3-D vs le temps fractal du grand champ de conscience universel

La manipulation des polarités

 

Les gardiens tauliers de notre matrice d'appartenance "cyber"* ont trafiqué le référentiel Espace-Temps afin de construire une prison, celle de l’asservissement des êtres humains à la matière, champ de forte densité accentuant les lourdeurs existentielles (peurs et souffrances). Ce que nous appelons la réalité en 3-D n'est que la caverne sombre de l'ignorance, celle de l'illusion du monde des formes, à l’air émotionnellement chargé par les odeurs de croyances rancies et de conditionnements toxiques, quelle que soit leur nature (scientifique, religieuse, philosophique, politique). Aussi son terreau est fertile pour toutes les graines de la tartufferie et de la bêtise, les "OGM" physiques, mentaux, conceptuels, spirituels, émotionnels...

Cf. Conscience du XXI° siècle, Le modèle pyramidal décodé, Contrôle mental, La nouvelle religion universelle.

 

Le déséquilibre de la pyramide du Temps


La figure 1 représente la pyramide idéale et originelle du Temps, celle qui permet d'être au contact de La Source, de La Lumière, de l'information venant du Soi supérieur. Pour tout être en évolution, son horizon de vie (la surface grise) est directement proportionnel à la surface entre son x et son y, entre son côté féminin et masculin, c'est-à-dire le temps qu’il consacre à son écoute intérieure et à son écoute extérieure. Mais dans la mesure où notre monde en 3-D privilégie le temps extérieur (celui où le temps est de l’argent), le temps consacré au temps intérieur se réduit comme peau de chagrin (figure 2) par la dissymétrie des deux cônes masculin et féminin, entrainant une déformation de la réalité première et une illusion quasi-totale.

 

Si l'individu ne le désire pas ou n’en sent pas l’utilité, son "lampadaire intérieur" ne s’allumera jamais ou très peu, puisque l’énergie de cette pyramide du Temps est l’énergie qui anime le moteur situé à l’étage plus bas, la pyramide masculine de l’Espace. Il en découle un comportement empreint d’une lourdeur qui ralentit radicalement les bonnes intentions (figure ci-contre).

A l'inverse, plus un individu va développer son écoute intérieure en y consacrant du temps linéaire, plus il aura de chance de s’allumer. Mais s’il ne fait plus que cela, le temps extérieur va le rattraper dans le sens où il n’aura plus de contact avec la réalité masculine de la 3-D. Il sera complètement déconnecté du monde, réfutant son incarnation physique.

 

L'amputation du pouvoir de création

 

Une des conséquences majeures de cette falsification est d'avoir singulièrement altéré la puissance du moteur énergétique* de l'humain lui permettant d'être un cocréateur à part entière dans son expérimentation terrestre.

* Cf. Présentation complète dans Le moteur biologique de la co-création.

 

État "normal"

Les polarités énergétiques du circuit masculin (bleu) et du circuit féminin (rouge), équilibrées, fonctionnent à l'unisson de leur complémentarité.

 

État "falsifié"

La prédominance de la réalité en 3-D donne au mental rationnel un poids qui limite pour ne pas dire empêche l'accès à l'intuition par le cœur. Coupé de son intériorité profonde, l'être humain est tel un robot biologique, soucieux de conformité et d'obéissance au système de référence.

 


Le difficile accès à l'unité

 

La séparation des polarités énergétiques masculin (+) et féminin (-), réduites au sexe d'appartenance, ainsi que la négation ou le discrédit du féminin sacré (intuition, rêve, sensibilité, cœur), rendent très difficiles pour l'individu la compréhension de l'indispensable travail d'équilibre de son androgynie, à même de lui procurer plénitude, paix et par-là même respect envers autrui. Tout est fait pour que le rationnel soit la valeur sûre (reproductibilité et prévisibilité), et que l’intérêt personnel, celui de l'ego-mental, prime sur l’intérêt collectif. De son côté, l’irrationnel, le subjectif, est diabolisé au pire, déconsidéré au mieux. Cette dissociation (Cf. schéma de l'Espace-Temps falsifié) du cône féminin du cône masculin conduit à un déphasage empêchant la vibration des individus de s'exprimer dans toute sa dimension, en l'occurrence divine. Le masculin peine à s’équilibrer, baignant exclusivement dans sa polarité, au même titre que le féminin, cette non fluidité entraînant des incompréhensions notoires pour cause de terrain d’entente pratiquement difficile à trouver.

 

En abandonnant ses pouvoirs divins et les confiant à des tiers extérieurs, l'individu se lie pieds et mains aux voleurs d'énergie qui en profitent pour l'asservir. Le tout est si bien fait qu'il s’est même mis à les vénérer… Nous sommes bien dans un monde d’illusion où tout a été inversé suffisamment pour que l'homo-sapiens s’agenouille plus bas que terre. Tout a été trafiqué et falsifié de telle façon qu’il n’y voit que du feu, et qu’en plus il ne veuille même pas changer de réalité. Le mouton parfait, bêlant quand il faut et peureux à souhait devant le moindre éternuement ou courant d’air. La résonance qui se trouve considérablement amoindrie, la frontière entre les 2 cônes qui est presque totalement hermétique, voici l'explication du "voile de l’oubli" de Qui Nous Sommes véritablement. Elle permet de "fabriquer" du mouton, de l’esclave, du robot biologique, du mort-vivant… l’atteinte de la Conscience Unitaire étant presque impossible.

 

 

 

L’équilibre de nos polarités biologiques est indispensable pour remettre en ordre de marche la communication entre nos deux hémisphères cérébraux. Il passe par notre centrage, à travers nos différents centres de conscience (les chakras), afin de permettre à l'essence de l'univers de nous remplir de manière harmonieuse (santé, vitalité, synchronicités, créativité...).

 

 

 

L'atome est une particule matérielle provenant d'une onde immatérielle. Il est omniscient en 1ère, 2ème et 3ème dimensions de densité, et constitue l'élément indispensable qui grâce à la gravitation devient circonstances et manifestations lorsqu'elle est générée par une conscience de 4ème dimension (intuition, rêve, prémonition...). Cela signifie bien que l'humain de 3-D a été réprimé au travers de sa génétique (l'ADN) afin de l'empêcher de percevoir la fréquence de l'atome qui vibre dans les dimensions parallèles. Son  espace de conscience a été confiné à la croyance d'un découpage linéaire passé-présent-futur, l'empêchant d'accéder à un espace panoramique de choix de potentiel de réalité. 

Cela signifie que les croyances sont antinomiques à la conscience, infinie et illimitée. Ainsi, lorsque nous entamons une métamorphose de notre conscience par l'abandon de nos fausses croyances*, nous commençons à influencer le déroulement du temps, puisque la conscience imprègne et structure sa réalité. La conscience agit bel et bien sur la gravité !*²

* Cf. Processus de transformation de conscience.

Cf. Esprit global.

 

La réalité hyper-dimensionnelle de l'univers par la nouvelle physique

Le physicien théoricien américain John Archibald Wheeler (1911/2008), spécialiste de la relativité générale, a sensiblement influencé les recherches sur les trous noirs, ouvrant la possibilité à la compréhension de la manière dont la "réalité" est projetée dans un univers nourri d'informations, selon différents états ou niveaux de fréquences dimensionnelles (autres que la 3-D) qui en traduisent la matérialisation. Par là-même, ceci ouvre la voie à l’idée que ces autres dimensions pourraient être habitées, peuplées de créatures ayant une certaine forme de conscience !

Il en découle que les dimensions mathématiques prisées par les scientifiques physiciens doivent être considérées non comme de " simples " abstractions, mais comme ayant une existence physique, et ce quelle que puisse être la signification du terme "physique". C'est ce que Wheeler a mis en avant dans sa théorie des quanta, suggérant qu’un "observateur", en l'occurrence représenté par l’" œil " (tel que dessiné sur l'image) qui regarde l’univers "en vue de le créer", doit être inclus dans nos considérations... Il conviendrait alors sans doute d'étendre la gamme de ce qui est considéré de nos jours comme "entités physiques" dans notre observabilité d’univers parallèles.

Il y a naturellement une multitude d'observateurs à notre échelle terrestre, constitutif d'une infinité de "futurs nous", c'est-à-dire traçant par leur regard la réalité de leur évolution à partir du "maintenant" qui est perçu. Autrement dit le moment "choisi", la question étant de savoir si nous le choisissons en toute connaissance de cause ou s'il découle d'une incitation/suggestion à le choisir comme tel...  C’est donc à partir de ces futurs probables d’un potentiel infini – un univers "d’informations" – que la réalité est projetée par des ondes de formes, et c'est au travers des êtres humains, par leur état de conscience qui lit ces ondes, que ces énergies sont trans(con)duites par la courbure de l'espace-temps (la courbe du U de l'image) et deviennent "réelles" !

Qu'en déduire ? Que nous les êtres humains, dans l’ici et maintenant (le moment présent), à la conjonction de toutes les probabilités rivalisant les unes avec les autres pour devenir "réelles", n’avons aucune possibilité de "créer" qui et quoi que ce soit dans cette réalité de densité terrestre. Les réalités, les potentiels créateurs, sont des projections à partir de niveaux de densité plus élevés. Nous sommes simplement des récepteurs, des trans(con)ducteurs, des miroirs reflétant l’œil universel ou astral qui nous voit tous !

Là se trouve la clé des réalités hyper-dimensionnelles, où les énergies mentales ou de conscience sont amplifiées et peuvent interagir avec l’environnement. Cette technologie de la création établit que non seulement l’énergie de transport est en partie physique et en partie "éthérique",  mais qu'il en est de même pour la communication ainsi que des pouvoirs de "manifestation". Toutes ces propriétés participent de l’existence hyper-dimensionnelle. Et comme cette possibilité d’état est affirmée depuis des millénaires dans tous les mythes, légendes et récits dits merveilleux comme étant "le monde des dieux", de son bestiaire (dragons, serpents, licornes...) et créatures (fées, lutins...) de tout acabit, il n'est nullement insensé d'émettre l’hypothèse que ces mondes sont habités !

 

 

"Avec le temps" - Léo Ferré (1916/1993)

Paroles écrites et chanson composée en 1969, enregistrée en octobre 1970

Avec le temps... Avec le temps, va, tout s'en va On oublie le visage et l'on oublie la voix

Le cœur, quand ça bat plus, c'est pas la peine d'aller Chercher plus loin, faut laisser faire et c'est très bien

Avec le temps... Avec le temps, va, tout s'en va L'autre qu'on adorait, qu'on cherchait sous la pluie L'autre qu'on devinait au détour d'un regard Entre les mots, entre les lignes et sous le fard D'un serment maquillé qui s'en va faire sa nuit Avec le temps tout s'évanouit

Avec le temps... Avec le temps, va, tout s'en va Même les plus chouettes souvenirs ça t'as une de ces gueules A la Galerie je farfouille dans les rayons de la mort Le samedi soir quand la tendresse s'en va tout seule

Avec le temps... Avec le temps, va, tout s'en va L'autre à qui l'on croyait pour un rhume, pour un rien L'autre à qui l'on donnait du vent et des bijoux Pour qui l'on eût vendu son âme pour quelques sous Devant quoi l'on se traînait comme traînent les chiens Avec le temps, va, tout va bien

Avec le temps... Avec le temps, va, tout s'en va On oublie les passions et l'on oublie les voix Qui vous disaient tout bas les mots des pauvres gens Ne rentre pas trop tard, surtout ne prends pas froid

Avec le temps... Avec le temps, va, tout s'en va Et l'on se sent blanchi comme un cheval fourbu Et l'on se sent glacé dans un lit de hasard Et l'on se sent tout seul peut-être mais peinard Et l'on se sent floué par les années perdues

Alors vraiment Avec le temps* on n'aime plus.

* Le temps linéaire de la matrice involutive il va sans dire...

 

 


Les illustrations sont empruntées aux travaux graphiques mis en ligne par Laurent Dureau.

 

 

 

La vraie thérapie, c'est à tout moment, en toutes conditions, et certainement pas guidée par quelqu'un que nous payons, mais par sa propre guidance supérieure qui place les expériences dont nous avons précisément besoin sur notre chemin.

 

 

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