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Toute vérité est relative, jamais absolue.

Propos mêlant apparente réalité et science-fiction, imagination féconde, esprit hérétique, fantasque et dérangé, simples hallucinations découlant d'une série de réactions chimiques dans le cerveau du "rêveur cosmique"... la prise de connaissance des "vérités" mises en avant sur ce site en ligne pouvant bousculer voire indisposer les croyances fermement établies, quelle qu'en soit la nature, il en découlera une interrogation légitime quant à leur sérieux, leur véracité. Ce n'est que parce que la ligne de représentation mentale préalable a bougé (les hypothèses en place), et qu'elle a déclenché un remous intérieur par les programmes émotionnels établis (les points sensibles). Aussi, plutôt que de rejeter ou invalider l'assertion sur l'instant, qui caractérise la réaction de l'égo-mental mis en situation d'inconfort (perte de ses repères structurants et de ses habitudes sécurisantes), il est judicieux de laisser son discernement opérer par l'écoute de sa "petite voix" intérieure, celle de sa supra-conscience, non cadenassée par l'égo-mental, et de procéder à ses propres expérimentations et recherches. Alors, peut-être, se reconstituera différemment la croyance initiale, évitant de reproduire la sempiternelle condamnation à travers l'histoire des porteurs de vérités non conventionnelles, et de les étouffer simplement parce qu’elles sont considérées par l'opinion commune comme anormales ou même blâmables*. N'est-il pas simplement judicieux de reconnaître que la pensée humaine ne peut avancer que jusqu’à une certaine limite en un temps donné, et qu'en acceptant les limites de sa compréhension, nous nous donnons la possibilité de nous ouvrir à de nouvelles perspectives afin de recevoir la vérité et la lumière dans un royaume de mensonges et d’obscurité ? Ce serait ainsi penser de manière rationnelle et pratique...

* Les systèmes humains de pensée font en l'état de la conscience l’objet de tolérance tant qu’ils adhèrent à la "réalité" communément acceptée, soit l'adhésion à la surface des phénomènes. C'est pourquoi, dans une réalité gouvernée par le mensonge, plus le processus de pensée s’éloigne de cette réalité admise, plus grande est la nécessité d’intolérance et de cruauté pour garantir la poursuite de son existence (quand on commence à dire la vérité dans un monde dominé et dirigé par le mensonge, les menteurs deviennent complètement fous en essayant de détruire l'émetteur). En comprenant cette peur animale volontairement enfouie dans notre psyché, nous cessons de nourrir par notre polarisation énergétique (pour ou contre) cette illusion irrationnelle, soit l'égrégore de mort  - le mental de la prédation - constitutif de notre espace prison.

 

Quoi qu'irrationnelle ou loufoque puisse apparaître à l'esprit rationnel humain contemporain l'explication de forces de nature métaphysique et extra-terrestre, plus exactement trans-dimensionnelle (ou hyper-dimensionnelle), interférant avec la réalité du monde terrestre telle que conçue dans ses dimensions physiques - la "3-D" -, leur probabilité découle tant de l'étude cachée par les institutions que de celle considérée officielle des éléments constitutifs du vivant, dans les différents domaines du savoir académique (physique de la relativité, mécanique quantique, cosmologie, biologie, physiologie, anthropologie, géologie, histoire, mathématiques, mythologie, religions, ufologie, psychologie, alimentation...). Une partie de cette connaissance est codée, ésotérique, présentée sous forme de mythes, de métaphores, de symboles..., et logée dans des traditions orales comme écrites, dont les Livres dits sacrés (la Bible par exemple) qui traversent le temps.

Une fois le recoupement de leur puzzle effectué par la méthode de corroboration* tant verticale - données localisées dans l’Histoire en tous ses point différents du présent - que latérale - recherche des rapports, comptes rendus de témoins et autres données qui peuvent être considérées comme des preuves circonstancielles à partir du temps présent -, l'appel à ses propres mémoires, logées dans l'ADN cellulaire et au fin fond de sa psyché, et à son intuition, permet d'établir le juste discernement - l'Imaginatio vera -, soit ce qui est exprimé par la raison du cœur comme de l'esprit. De cette manière, le chercheur objectif, débarrassé préalablement des émotions qui l'empêchent de voir à quelles illusions il se cramponne et qui l'empêchent de voir la Vérité dans sa pure manifestation, est en mesure de vérifier s'il y a eu sans ambiguïté aucune des efforts délibérés de "dissimuler".

* Le concept de corroboration a été introduit par le philosophe allemand des sciences Karl Popper en 1934 dans "La logique de la découverte scientifique" (Logik der forschung).

 

Est-ce si surréaliste que ça que d'approfondir sa connaissance sur une emprise irrationnelle, alarmante et angoissante qui signale la "frontière obscure" de la connaissance sur les étranges stupeurs et blessures des êtres humains vivants ? Non, car si l'on reconnaît que l'inconscient est vecteur du monde de la prédation hyper-dimensionnelle faisant partie de notre réalité, alors nous favorisons le processus qui consiste à briser la coquille de l’œuf, de la bulle, de la Matrice involutive, pour nous en extirper. Le voile nous séparant de la Vérité ne peut en effet être pénétré que lentement (si toute la vérité de l’univers était livrée de but en blanc, tout de suite la quasi-totalité des individus disjoncteraient), par l’ensemencement de graines conceptuelles qui incluent inévitablement des conflits d’information notables. Mais de telles graines, à condition de tomber sur un sol fertile d’un pur et authentique désir de vérité, vont germer et conduire, par la qualité du récipient mental constitué, les actions qui mènent à pénétrer le voile.

Comme la plupart des gens ne peuvent pas soutenir la vérité (il y a beaucoup de choses concernant notre réalité qui sont totalement choquantes pour une personne standard*), le contenu de ces publications ne peut être reçu que par une minorité de lecteurs. C'est pourquoi cette vérité n'engage évidemment que celui qui l'exprime, de manière libre et responsable. Aussi, le véritable chercheur de vérité allant toujours vérifier par lui-même si un savoir possède une valeur quelconque (cela s'appelle une démarche épistémologique), à chacun d'assumer sa propre expérimentation du Vivant en recherchant par LUI-MÊME la connaissance et en la testant ! Et pour ce faire, il n'y a pas d'autres moyens que d'avoir préalablement affranchi son esprit du moindre dogme, et de se contreficher du qu'en dira-t-on afin de ne laisser aucun jugement influer sur nos décisions, ce que  nous faisons aujourd'hui déterminant irrévocablement notre futur...

* C'est tout particulièrement le cas concernant le personnage et la vie de Jésus, que seule une investigation profonde de toute l'histoire romaine peut ébranler.

 

"Toute personne est, à tout moment, capable de se souvenir de tout ce qui lui est jamais arrivé, et de percevoir tout ce qui se produit partout dans l'univers. La fonction du cerveau et du système nerveux est de nous empêcher d'être submergés et confus sous cette masse de connaissances en grande partie inutile et incohérente, en interceptant la majeure partie de ce que, sans cela, nous percevrions ou nous rappellerions à tout instant, et ne laissant que ce choix très réduit et spécial qui a des chances d'être utile en pratique".

Dr Charlie Dunbar Broad, philosophe britannique à Cambridge (1887/1971)

 

 

 

"En ces temps d'imposture universelle, dire la Vérité est un acte révolutionnaire.

Le chemin du bon sens, celui de la Réalité, passe par le suivi de sentiers différents de la voie balisée sur laquelle s'engouffrent les foules aveugles.

Il nécessite de prendre le temps de soulever le voile de brume et de découvrir le fil doré qui relie les savoirs enseignés dans leur discipline respective. 

Alors la subtile alchimie opère pour révéler la clé jusqu'alors cachée."

 

 

 

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