Avant-propos

"Le jour viendra où l'homme se réveillera de l'oubli,

comprendra qui il est vraiment et

à qui il a cédé les rênes de sa propre existence :

à un mental fallacieux et mensonger

qui l'emprisonne et le réduit à l'esclavage.

 L'homme n'a pas de limites et lorsqu'il s'en rendra compte,

 il sera libre même ici-bas, dans ce monde."

Fillipo Bruno, dit Bruno Giordano, philosophe italien et frère dominicain (1548/1600)

 

Certains auteurs - écrivains, philosophes, penseurs - affirment assez ironiquement que nous vivons dans un univers où le "Créateur" semble avoir abandonné Sa Création, tentant de comprendre pourquoi notre monde est une vallée de larmes perpétuelle. A regarder l'état du monde, nous sommes effectivement en droit de nous le demander. C'est oublier que tout individu a le choix, celui de dire OUI ou de dire NON à ce qui EST. Il a le choix de CROIRE ou de ne PAS CROIRE. Et ceci est totalement identique dans l'invisible, conformément aux lois de fonctionnement de l'univers et du Vivant qui, quoi qu'en pensent encore quelques sceptiques irréductibles, ne peuvent reposer sur le hasard. Le Vivant est affaire de responsabilité, individuelle comme collective. Ceci vaut pour chaque élément, chaque créature, chaque espèce, chaque entité qui le constituent, en bas comme en haut, et vice versa.

Aussi, plutôt que de se poser la question de savoir où se cacherait Dieu et le pourquoi de son désintérêt, il serait préférable de se demander quelles sont ces lois du Vivant, ces règles de fonctionnement. Et pour ce faire, nous avons le choix. Soit le demander à ceux qui nous gouvernent - scientifiques, religieux, philosophes, politiques -, au risque qu'ils se trompent ou qu'ils nous mentent. Soit plus simplement et plus directement le demander à l'univers, en utilisant tous nos sens - physiques comme subtils - pour en recevoir et comprendre la réponse. Mais ceci fait appel à deux choses : la Connaissance et le discernement. Sommes-nous certain que nous nous donnons les moyens de les rechercher et de les mettre en œuvre dans notre vie, tant nous sommes habitué, par confort et par paresse, à déléguer à autrui leur administration. La réalité est que la plupart des individus rejettent en bloc la possibilité que coexistent d'autres réalités et d'autres espaces-temps. Par peur de découvrir que ces autres réalités le dépassent, l'individu profane* préfère les renier, parler de pures coïncidences ou les qualifier de fictions plutôt que d'admettre son ignorance.

* Un individu profane, de ce fait non initié, n'a en son état pas fait l'objet d'une initiation solaire, soit la manifestation de la supraconscience à ses sens anesthésiés, conditionnés, illusionnés, par-delà ses aptitudes et facultés mentales, intellectuelles. Cette initiation n'a strictement rien à voir avec les démarches initiatiques de groupements ésotériques de pseudo-éveillés, destinées à maintenir leurs adeptes dans le sommeil de la conscience.

 

La Source du Vivant ne nous a jamais abandonné. C'est nous qui l'avons abandonnée… Parce que nos croyances dans cette vie terrestre conditionnent notre vision du monde, sommes-nous certain que celles qui nous guident sont justes en Vérité ? Pourquoi prenons-nous pour argent comptant celles qui nous ont été transmises et que nous avons adoptées ? Sommes-nous sûr qu'elles ne reposent pas sur des conditionnements toxiques et manipulatoires par les institutions et individus transmetteurs, y compris notre propre famille ? Ce serait faire preuve de beaucoup d'arrogance, de suffisance et d'orgueil. Et surtout, c'est oublier que Nous Sommes le véritable Héros de notre Vie. Et que fait un Héros ? Il part à la conquête d'un trésor, qui se nomme Liberté. Pourquoi donc avons-nous décidé d'y renoncer, nous qui pourtant la réclamons sans cesse à nos gouvernants ?

 

Avons-nous encore envie de croire à toutes leurs promesses de bonimenteurs, eux qui depuis des millénaires s'échinent soi-disant à la conquête de la paix et du bonheur pour leurs ouailles ? N'avons-nous pas encore compris que les différentes institutions politico-religieuses profitent de notre manque de connaissance et de discernement pour nous manipuler et apporter leurs solutions narcissiques à peine voilées ? De cette ignorance individuelle comme collective*, elles soutirent l'énergie importante dont elles ont besoin dans le seul but qu'elles poursuivent : la soif de puissance et de prédation. Tant que le système économique fonctionne et que les gens doivent en dépendre pour leurs besoins, "l’élite"*² au pouvoir n’a aucune difficulté à mettre en place ses plans de domination mondiale, l’état de l’économie étant totalement illusoire puisque dépendant entièrement de ce qu’on fait croire aux populations. Ce sont des voleuses d'énergie, des prédatrices, rien d'autre. Elles nous séduisent sans cesse, que ce soit pour soutenir l'ordre établi en place ou rejoindre les dissidents insatisfaits du système en place. Le résultat est strictement le même. Qui plus est, elles croient véritablement à la forme de pouvoir que renferme le mental. L'esprit du cœur est un sens trop abstrait à leurs yeux. Il ne s'agit que d'une spécificité stupide, un attrape nigaud, alors que le mental reflète pour elles l'intellect et la raison. "Je pense, alors je suis !" Pourtant, l'esprit et le cœur n'empêchent pas de penser non plus, bien au contraire pour notre harmonie intérieure.

* Matthieu (XV, 14) et Luc (VI, 39) parlent dans leurs Évangiles respectifs de "la comédie de la vie, où des aveugles prétentieux conduisent les aveugles modestes vers un gouffre qui engloutit les uns et les autres".

Ce vocable, au singulier comme au pluriel "les élites" ou "les autorités institutionnelles" (déclinées également en patriciens, aristocrates, nobles, propriétaires, gentry, hidalgos, bourgeois...), peut être aisément taxé de "représentation", c'est-à-dire d'une croyance partagée à propos d’une situation, de "stéréotype", représentation caricaturale ou simpliste que l’on a sur un groupe d’individus, ou encore "d'attribution", qui désigne les raisons que les individus donnent pour expliquer un événement ou le comportement d’une ou plusieurs personnes. Il constitue en l'occurrence une facilité rédactionnelle, et c'est pourquoi il appartient au lecteur d'opérer sa juste mesure, pour éviter de tomber dans le piège de l'amalgame simplificateur.

 

L’étude de l’esprit a ainsi été rendue stérile par le mécanisme de contrôle mental au moyen de superstitions religieuses que le système prédateur a instillé dans les pensées des hommes. Parallèlement, l’étude de l’esprit et du mental a été prohibée par la science qui rejette tout ce qui n’est pas mesurable dans l’univers physique, et qui a perdu son honneur et son chemin quand elle a été utilisée pour tuer, l'expérience nazie au vingtième siècle comme au vingt et unième siècle rebaptisée covidisme l'attestant. La science est la religion de la matière. Elle rend un culte à la matière, niant l'esprit sur la base de principes généraux ou de principes scientifiques matérialistes. Le paradigme de la science est que la Création est tout, et que le Créateur n’est rien. Or toutes les théories scientifiques, sans exception, sont culturelles, seul le temps validant la pertinence de leurs découvertes et affirmations consistant en des modèles - les habits des idées - faisant croire qu'ils sont justes. La religion de son côté prétend que le Créateur est tout, et que la Création n’est rien. La religion nie la réalité du monde des esprits tel qu’il existe réellement, les croyants ne faisant que suivre de manière servile les préceptes de leur livre sacré (non seulement ils n’ont pas de réponse, mais ils n’ont pas de questions non plus). Ces deux extrêmes de la Création miraculeuse, les "Big Bangers et darwinistes" - les créationnistes scientifiques - d'un côté et les fondamentalistes religieux créationnistes de l'autre, sont les barreaux de la même cellule, qui voient les êtres humains hypnotisés suivre servilement les croyances, les diktat ou idées des autorités constituées génératrices de leurs vaches sacrées, les opinions, selon ce qu’ils considèrent comme juste dans leur besoin non conscientisé d'être (r)assurés*. Ils empêchent d’observer la totalité du phénomène comme un ensemble interactif*², la conscience et l’information à laquelle elle accède si elle est alignée étant fondamentales pour ce faire, car il n’y a de place ni pour "l’ébullition" ni pour l’émergence aléatoire puisque le champ d’information universel contient déjà TOUTES les informations possibles.

Aussi est-il d’un intérêt vital pour le système carcéral de nous empêcher d’examiner notre propre esprit. Il redoute que nous parvenions à distinguer dans notre propre mémoire les maîtres esclavagistes qui nous maintiennent emprisonnés, ceci conduisant à mieux comprendre notre propre place, se libérer de leur programmation, discerner un mécanisme interne délétère ou voir la matrice dans son ensemble fonctionner sur chacun d’entre nous.

La prison est formée de fantômes qui habitent nos pensées. Ces fantômes sont faits de mensonges, de douleur, de perte et de peur, pour nous rendre incapables de récupérer notre mémoire et de reconquérir la réalisation de notre "soi", l’auto-détermination. Cette question ne peut être résolue en imposant des normes morales au comportement, ou par le contrôle des individus à travers le mystère, la foi, les drogues, les armes, ni par quelque autre dogme imposé par une société esclavagiste. Et certainement pas par l’utilisation d’électrochocs et de commandes hypnotiques instillées.

* La grande majorité des gens ne veulent assumer aucune responsabilité. Ils veulent seulement qu’on les mène comme des moutons. Et il arrive à la grande majorité du bétail qui broute dans son pâturage que, quand c’est l’heure, on le fait grimper dans le camion direction l’abattoir. Le professeur retraité de psychologie, l'états-unien Bob Altemeyer, a écrit un livre à propos de sa collecte de données et d'analyse des gens qui sont nés dans un entourage et une famille très religieux, expérimentant de ce fait une programmation pendant qu'ils grandissaient, puis qui ont changé d'opinion. Il en a fait de même avec des gens qui furent plongés dans des environnements non religieux, voire anti religieux, et qui par la suite se sont convertis à la religion ou au fondamentalisme, d'aucuns diraient le fanatisme. Pour ces derniers, il a remarqué que la plupart d'entre eux avaient de très sérieux problèmes psychologiques, ayant été abusés et de ce fait endommagés sans avoir pu venir à bout de leurs problèmes. Ils devaient chercher, fondamentalement, un sauveur à l'extérieur qui leur donnerait des réponses (individualistes, ils avaient besoin de suivre servilement quelqu'un ou quelque chose). Quant à ceux qui avaient eu un passé religieux avant de changer d'opinion, ils se révélaient plus indépendants, qu'ils soient devenus athées ou spirituels mais non religieux. Ils avaient une très forte croyance innée de ce qui était juste, leur passé religieux les ayant aidés à chercher à trouver la vérité qu'ils ne pouvaient trouver dans leur religion. Ils se révélaient qui plus est bien plus intelligents que leurs pairs, qu'ils aient de bons diplômes ou non.

La scission entre Platon et Aristote semble être à l'origine de la scission entre la religion et la science. Elle est à la fois ontologique (théories philosophiques relative à la nature de ce que sont les choses, sur ce qui est là dehors, sur ce qu'est l'existence) et épistémologique (théories philosophiques qui s'intéressent à la nature de la connaissance elle-même, ses possibilités, sa portée et son assise générale, sur les moyens de découvrir ce qui est là dehors).

 

Le système carcéral de la Matrice astrale d'appartenance fait tout pour empêcher l'être humain en quête de vérité d'accéder à sa liberté d’Être Ce Qu'Il Est vraiment

- Extrait du film Matrix* -

* Cf. Le cinéma de la Matrice (2) La science-réalité.

 

Nous vivons sur une planète nommée Terre, au sein d'un système solaire qui lui-même fait partie d'une galaxie, appelée La Voie lactée. Nos scientifiques que notre esprit rationnel vénère nous ont appris que notre dimension cosmique d'appartenance est un espace tridimensionnel - la 3-D -, en 4-D si nous rajoutons la dimension Temps, circonscrit à la relativité, soit la vitesse calculée de la lumière. N'y aurait-il pas dans l'infini d'autres dimensions, d'autres formes de vie ? Et n'avons-nous pas en nous des sens dit subtils, comme l'intuition ou la prémonition, qui nous permettent d'aller au-delà de l'Espace-Temps scientifique déterminé ? Aussi, si la Vie ne dépend pas d'un simple hasard ayant abouti à cette construction hors-normes, si nos sens indiquent que nous pouvons dépasser la barrière dimensionnelle déterminée, pourquoi ne recherchons-nous pas les règles du jeu de la Vie autrement que dans la confiance béate octroyée aux prédateurs qui nous confisquent la liberté de créer le Monde que nous désirons ?

 

Le voyage dans l'espace cosmique à la rencontre de Qui Nous Sommes vraiment n'est pas réservé à Jules Verne, à Tintin ou aux astronautes de la NASA. Nous sommes ce voyageur qui peut partir à la recherche de la connaissance vraie pour récupérer le pouvoir de création qui lui a été confisqué, voyant certaines personnes penser que le monde existe pour être conquis, ignoré ou rejeté. Aussi, pour ces individus, le monde cessera, devenant exactement ce qu’ils donnent à la vie, un simple rêve du "passé", alors que ceux qui portent une attention rigoureuse à la réalité objective, dans son intégralité, deviendront la réalité du "futur". Même si nous le partageons avec d'autres, il n'y a que nous qui pouvons mener cette expérimentation du Vivant hors des chemins balisés tracés par d'autres, nous racontant leurs histoires et nous divertissant pour nous empêcher de mener notre propre enquête, notre propre expérience. Et comme il est toujours important de vérifier les fondations d'une demeure avant de s'y installer, l'exploration se fait de bas en haut, et surtout pas le contraire. Cessons d'attendre du Ciel les réponses qui ne pourront venir si nous n'allons pas les chercher par nous-même. Et nous nous rendrons compte au passage que celles qui nous parvenaient n'étaient que pour grande partie duperie et mensonge. Autrement dit, le "modéliste" de l’Œuvre que nous imaginions jusqu'alors n’est pas celui dont nous nous étions fait l'idée !

 

Seules l'indépendance et notre autonomie de pensée sont les gages de notre réussite, si notre demande est sincère et si elle vient du cœur. Aussi, parce que nous en avons fait le choix, il nous appartient de cesser d'être influencé, obéissant et aveugle sous la coupe de groupes influents, qui donnent l'illusion de protéger et servir les intérêts de chacun alors qu'ils ne servent que les leurs. Et pour ce faire, "observer les phénomènes" qui se présentent à nous signifie très littéralement acquérir et assembler des connaissances de toutes les formes et sortes, de manière à disposer d’une banque de données suffisante, de laquelle il est possible d’extraire des conclusions aux observations de notre environnement. Et comme l'au-delà est un reflet exact de ce qui existe sur Terre*, nous devons apprendre la prudence et le discernement. C'est toujours notre petite voix intérieure, branchée sur notre âme épurée, qui, tels la Fée Clochette ou Jiminy Cricket, nous guidera dans les pièges et méandres de ce voyage.

Tout individu est un créateur potentiel par le pouvoir de Sa Volonté.

Lorsque chaque humain aura compris qu'il possède un potentiel divin en lui, qu'il aura pris conscience que l'addition de ce potentiel avec les forces bienveillantes de l'univers forme une force incommensurable, qu'il se souviendra d'où il vient en passant du temps à travailler pour découvrir ce qui se rapproche le plus de la vérité et ce qui s’en éloigne le plus, en apprenant à discriminer en testant et analysant, alors il pourra faire tomber les fondations de la sphère limitée des parasites et virus prédateurs qui dirigent l'humanité dans l'invisible comme dans le visible.

* L'anthropologue culturel américain Clifford Geertz (1926/2006) a fait remarquer qu'il existe une relation dynamique entre ce que les gens croient à propos de leur monde et leur ethos (caractère habituel, manière d'être, habitudes d'une personne). Autrement dit, à partir de "ce qui est" selon notre état de conscience naît "comment devrions-nous nous comporter".

 

Autrement dit, par l’étude constante et la prise de conscience d’autres réalités tout comme la protection rigoureuse de notre ADN qui fait l’objet d’une guerre pour son affaiblissement, nous constituons de manière salutaire et fondamentale une "plateforme" tant psychique que physique à partir de laquelle nous pouvons résister à "l’éclipse de réalités" qui nous asservit, celle des interférences aliénigènes, nous permettant de garder dans leurs unité et intégralité nos champs d’énergie en évitant qu'ils n'entrent en conflit. L’information étant une connaissance et la connaissance étant le pouvoir, seule la juste information épurée de tout mensonge nous donne le pouvoir, celui de notre libération. 

Ce n'est qu'une prise de conscience, et ce changement peut survenir dès à présent, car dès que l'on s’aperçoit de la futilité des limites de l’existence en 3ème dimension de densité, cela signifie qu’on est prêt à changer de classe* !

* Il convient de préciser que ce changement nécessite que l'individu en question possède une psyché propre, pleinement fonctionnelle et surtout saine, avant de s'engager dans le processus de transformation. Car s'il ne peut gérer efficacement sa vie quotidienne, il ne pourra faire confiance à son état psychologique désordonné, dans l'incapacité de lui fournir des repères solides et des mécanismes de rétroaction pour le guider.

 

 

 

 

 

 

 

 

Imagine there's no heaven

It's easy if you try
No hell below us
Above us only sky
Imagine all the people
Living for today...

Imagine there's no countries
It isn't hard to do
Nothing to kill or die for
And no religion too
Imagine all the people
Living life in peace...

You may say I'm a dreamer
But I'm not the only one

I hope someday you'll join us
And the world will be as one

Imagine no possessions
I wonder if you can
No need for greed or hunger
A brotherhood of man
Imagine all the people
Sharing all the world...

You may say I'm a dreamer
But I'm not the only one
I hope someday you'll join us
And the world will live as one

 

John Lennon - Musicien, auteur-compositeur, guitariste, chanteur et écrivain britannique (1940/1990)

 

 

 

Imagine qu'il n'y a aucun Paradis,
C'est facile si tu essaies,
Aucun enfer en-dessous de nous,
Au dessus de nous, seulement le ciel,
Imagine tous les gens,
Vivant pour aujourd'hui...

Imagine qu'il n'y a aucun pays,
Ce n'est pas dur à faire,
Aucune cause pour laquelle tuer ou mourir,
Aucune religion non plus,
Imagine tous les gens,
Vivant leurs vies en paix...

Tu peux dire que je suis un rêveur,

Mais je ne suis pas le seul,

J'espère qu'un jour tu nous rejoindras,
Et que le monde vivra uni

Imagine aucune possession,
Je me demande si tu peux,
Aucun besoin d'avidité ou de faim,
Une fraternité humaine,
Imagine tous les gens,
Partageant tout le monde...

Tu peux dire que je suis un rêveur,
Mais je ne suis pas le seul,
J'espère qu'un jour tu nous rejoindras,
Et que le monde vivra uni

 


"En ces temps d'imposture universelle, dire la Vérité est un acte révolutionnaire.

Le chemin du bon sens, celui de la Réalité, passe par le suivi de sentiers différents de la voie balisée sur laquelle s'engouffrent les foules aveugles.

Il nécessite de prendre le temps de soulever le voile de brume et de découvrir le fil doré qui relie les savoirs enseignés dans leur discipline respective. 

Alors la subtile alchimie opère pour révéler la clé jusqu'alors cachée."