La formulation de ces clés n'engage que leur auteur, qui puise tant dans ses recherches et sources d'information que dans son imaginaire leur révélation et libre mise à disposition suivant la forme et la rédaction retenues.

Il n'y a de ce fait rien à prendre pour argent comptant, seulement à laisser faire en soi le processus d'ouverture de conscience par le discernement, soit le juste équilibre entre cœur et raison. Celui-ci conduira à les invalider, à les valider, à les compléter par d'autres ajouts et compléments.

C'est ainsi que procède le chercheur de vérité.

 

 

Processus de transformation de conscience (1)

 

Complément à la Publication L'état de cohérence, voie de sa liberté

 

Préalable : le pourquoi de la transformation

 

Le passage du prochain saut évolutif de l'être humain est en cours, d'aucuns diraient "imminent". Il est celui du passage de la cinquième civilisation humaine, ou race racine, à la sixième. C'est ce qui se nomme "l'onde du changement". Nous allons de ce fait changer de milieu, de biosphère, lors de ce prochain saut évolutif, comprenant la composition de l'atmosphère, la radioactivité, le décalage entre la lithosphère et l'orbite terrestre, etc.

L'explication scientifique cosmogonique tient dans le fait que les planètes s'éloignent du Soleil par sauts quantiques déclenchés par des chutes de gros astéroïdes lors de passages cométaires. Elles sautent, comme les électrons, sur des orbites de plus en plus éloignées du Soleil de la galaxie d'appartenance, ce qui n'exclut pas de lents éloignements pour stabiliser la planète quelques temps. Lors des sauts, la lithosphère peut se décaler, changeant la géographie. Par exemple, lors du dernier saut majeur il y a environ 12000 ans, l'équateur était incliné de 30° par rapport à l'équateur actuel.

La génétique des être vivants se modifie brutalement à chacun de ces "sauts quantiques", en fonction de nouveaux gènes "prémutés" dans l'ADN non-codant, qui devient brusquement codant, renvoyant l'ancien génome dans les archives de l'ADN non-codant. Les bouleversements de ce genre peuvent effacer toute trace de civilisation technologique, comme celle dite "des Atlantes" disparue à cette date.

 

Les 7 races racines humaines

Les races racines humaines sont les races qui se succèdent dans le déroulement des Grands Cycles, calendrier cosmique de leur évolution de conscience dans le grand Jeu/Je du Vivant qui correspond au cheminement "Asservir, se servir, servir". Elles ont chacune 7 sous-races avec des ramifications. Ce processus est comparable à celui suivi sur un plan biologique et anatomique par un embryon.

De la même manière que les Atlantes - nos prédécesseurs - ont été avalés par les eaux, les quatre peuples (Noir, Blanc, Jaune et Rouge) de cette présente civilisation dans toutes leurs composantes seront frappés par le feu nucléaire, pour être annihilés par son énergie purificatrice de très grande ampleur. C'est ce que révèlent les Écritures : "Les éléments embrasés se dissoudront et la Terre et toutes les œuvres qu'elle renferme seront consumées" (Pierre III, 6-7, 10). Si l'ancienne Terre a été détruite entre autres par l'eau (tel que le raconte le déluge biblique), cette Terre sera détruite (entre autres) par le feu. C'est aussi ce que disent les traditions des peuples Aztèques et Amérindiens, avec la légende des cinq Soleils, mythe cosmogonique mésoaméricain fondé sur la création puis la destruction de plusieurs mondes (ou soleils) successifs : "Les Fils du Cinquième Soleil périront par le feu et les tremblements de terre…".

Les fils du premier Soleil étaient les humains de la race Polaire ou Adamique, autrement dit les Extranéens Nordiques à "l'origine de la colonisation de la Terre", des êtres protoplasmiques (mi-densifiés, mi-éthériques), de nature androgyne, établis à partir du génome originel et primitif, et qui allaient se développer selon le mécanisme de l'évolution planétaire, jusqu'à l'arrivée du prédateur archontique. Beaucoup ont alors changé de dimension de réalité, soit une autre planète à laquelle la prédation n'avait pas accès compte-tenu de son état de conscience limité.

Les fils du second Soleil étaient les Hyperboréens (continuité des précédents), appelés également "Nez-de-la-Sueur", piégés dans la densité physique par la force archontique/reptilienne colonisatrice à son tour de la planète Terre. Ils ont péri par d'extraordinaires tempêtes, ouragans et cyclones.

Les fils du troisième Soleil étaient les Lémuriens (civilisation de Mu ou Lémurie, ou Kásskara pour les Hopis, située dans le Pacifique au large de l'Amérique du Sud), sous contrôle des entités reptiliennes (Anunnaki) qui vivaient à l'ère proto-sumérienne. Ce sont leurs descendants qui ont sculpté les têtes de pierre sur l’île de Pâques, dont les gigantesques pierres ont été placées par vibration tonale (elles représentent des Nephilim, ces personnages surnaturels de la Bible qui sont en réalité une espèce involutive car agressive de la planète Orion). Cette civilisation a été submergée, et ses habitants ont péri par de gigantesques tempêtes magnétiques solaires, des pluies de feu et d'immenses tremblements de terre.

Les fils du quatrième Soleil sont ceux qui formaient la civilisation Atlante et ses 6 milliards d'habitants (sa durée est d'environ 70.000 années, et correspondant grosso modo aux continents Nord et Sud-américains). Leurs facultés, identiques à celles de l'humain contemporain, ont fini par dégénérer, leur sens (surtout la vue) ne parvenant plus à percevoir les fréquences élémentaires que percevaient leurs ancêtres. Ils ont été avalés par les eaux (le déluge biblique, l'histoire de Noé étant le récit symbolique de l'effondrement de l'empire atlante avec une grosse centaine de millions de survivants), le troisième cataclysme, succédant à deux cataclysmes initiaux (les passages à proximité de Mars puis de Vénus avec leurs interactions cométaires respectives). Ceci explique l'incapacité de l'humain moderne (le Sapiens Sapiens) à percevoir les causes des phénomènes naturels qui se passent autour de lui.

L'humanité actuelle, dite Aryenne, serait constituée par les fils du cinquième Soleil. Il est écrit que, compte-tenu de son état de dégénération, elle périra à son tour par le feu (nucléaire) et les tremblements de terre, dans la mesure où il n'y a plus aucune possibilité d'évolution constructive au sein de la race humaine, hormis celles et ceux qui ont pris vraiment conscience de la réalité.

Par cette purge génétique, ces "élu(e)s" vont connaître un bond gigantesque dans leur processus évolutif, participant à l'émergence d'une nouvelle race humaine qui représentera la sixième race, appelée Race bleue, dotée d'une conscience infiniment plus élevée !

De nouveau apparaîtront de grandes civilisations éveillées aux lois de l'univers, avant que de clore le processus évolutif par une septième grande race, appelée race macrocosmique (c'est le stade de la Perfection), la dernière car éternelle et non soumise à l'illusion du temps. C'est ainsi, pour toute planète de 3 et 4ème densités existant dans le cosmos, que fonctionne le "Grand Plan", répondant par ce mécanisme à la loi du karma ou de rétro-causalité...

 

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Du seuil critique

En science, on utilise l'expression "Le seuil critique" pour parler du "point de non-retour", qui provoque un changement radical et subi. Il fait passer la matière d'un état à un autre, de l'état solide à liquide puis à gazeux, toujours au même degré de température. Et c'est toujours "la goutte ajoutée" qui fait franchir le seuil critique de la cohésion moléculaire superficielle de l'eau.

De son côté, le prêtre jésuite français, chercheur, paléontologue, théologien et philosophe Pierre Teilhard de Chardin (1881/1955) décrivait le seuil critique comme un phénomène de discontinuité entre deux paliers concernant le processus d'évolution de la conscience, celle-ci franchissant des seuils suivant la complexité croissante dans l'évolution de l'ALPHA vers l'OMÉGA (Cf. schéma ci-contre). Et contrairement à la croyance que certains "chocs" sont nécessaires "pour faire avancer les choses", voire qu'"il faut souffrir pour évoluer", c'est plutôt l'émotion provoquée par le choc qui fait passer l'Être à un autre niveau de conscience, entendant qu'on peut tout aussi bien évoluer par "chocs de jouissances" que par souffrances. En effet, on évolue mieux par plaisir, puisqu'on n'est pas prisonnier d'un esprit de vengeance ou de remords culpabilisant qui nous retarde.

A l'image d'un escalier qui permet de changer d’étage, c’est à dire de niveau de conscience, le pied que nous posons sur la marche suivante atteint son seuil critique, permettant automatiquement à l'autre pied d'abandonner comme un lâcher-prise la marche précédente. Nous avançons ainsi de  l'Ancien Monde de plein pied vers un Nouveau Monde...

 

L'important n'est pas de connaître le scénario avec précision, mais de savoir quoi faire pour réussir ce passage. Pour le comprendre, il est utile de nous comparer aux globules rouges qui se trouvent dans les alvéoles pulmonaires. Lorsqu'ils  changent de milieu, ils passent du sang liquide - anaérobie - à l'air des poumons - aérobie -. Ce passage est individuel, car les globules passent dans des veinules tellement fines qu'ils ne peuvent pas se doubler ou passer en groupe. Aussi ils passent un par un, les uns derrière les autres.

De la même manière, nous ne pouvons nous agglutiner dans un égrégore, ensemble collectif, comparable à un caillot de sang, ce qui risquerait de faire mourir la suite de l'évolution humaine (l'organisme) d'une embolie. Le passage doit se faire individuellement, et pas autrement !

 

Ce scénario sera forcément apocalyptique, aux deux sens du terme. Au sens commun, c'est-à-dire une "catastrophe", il entend une inévitable pré-mutation douloureuse, en raison de l'indispensable destruction des anciennes structures composant notre identité limitée à ce stade. Au sens caché, c'est-à-dire une "révélation", chaque être humain concerné sera révélé tel qu'il est réellement : plus personne ne pourra cacher l'état de son évolution ! C'est pourquoi celui qui vit comme un animal deviendra réellement un animal, un super-chimpanzé en l'occurrence...

La nuance importante sera de ce fait dans le plus (+) ou le moins (-). Une chose est mathématique : tout le travail fait avant l'Apocalypse n'aura pas à s'y répéter une seconde fois, et réduira d'autant l'intensité catastrophique de celle-ci. Autrement dit, l'être humain, et par-là même l'humanité, n'auront que l'Apocalypse qu'ils mériteront. Si un grand nombre d'humains réalisent l'indispensable travail, le travail de la catastrophe sera réduit. Inversement, si presque personne ne le réalise et le vit par sa mise en application, l'intensité du processus catastrophique sera du même genre que les deux précédents. Dans ce cas, les rares pré-surhumains se trouveront "miraculeusement" préservés dans de petits foyers de survivants, d'où ils relanceront la vie sans retourner au néolithique grâce aux nouveaux pouvoirs psychiques acquis !

Cf. en complément travaux du physicien et philosophe Jean-Émile Charon (1920/1998), auteur de "L'Esprit, cet inconnu" (1977), et de Pierre-Henri Barnezet, auteur de "La Radioactivité c'est la vie" (1991), "Les mystères du système du monde" (1997) et "Le fil invisible des perles sans trou" (2017).

 

La réalisation de la transformation de l'être humain

 

C’est par le simple accueil de sa vraie nature, en l’état, que l’homme ordinaire, ayant soulevé le voile de l’ignorance, demande à son Esprit - la supra-conscience - de pouvoir "ascensionner" et, ainsi, pouvoir "ressusciter", car tel est son droit le plus absolu selon la loi de l’UN. L’individu, libéré de ses implants involutifs - les mémoires civilisationnelles du champ astral -, a ainsi la capacité de co-créer son ascension vibratoire. Plus qu'un phénomène mental ou spirituel, c'est une évolution naturelle de la matière qui, devenant consciente à la Lumière, s'éthérise, se délestant de la prédation viciée qui l'alourdissait et la maintenait au sein de la Matrice falsifiée (la Caverne platonicienne), et ce selon la voie d'évolution qu'il choisit en son état présent de conscience.

 

Les 5 voies de réalisation de l'être humain

1- La voie du MYSTIQUE : voir et penser.

La voie mystique est subjective. C'est une voie solitaire. Celui qui l'emprunte voit les choses à partir de son oratoire, son monde intérieur. Il travaille sur lui-même. C'est le domaine du magicien, de l'âme qui agit (magie). Le mystique développera ainsi des pouvoirs psychiques, comme la clairvoyance, la clair-audience, la prémonition, etc.

Cette voie est la première. Elle est à la base de tout. C'est la voie la plus pure. Celui qui la suit s'engage uniquement envers lui-même et n'a de compte à rendre à personne, sauf à lui-même. Contrairement à toutes les autres voies, aucun artifice, aucun accessoire n'est utilisé, ni textes sacrés (du religieux), ni instruments (du scientifique), ni armes (du guerrier). Seule une vision ou une inspiration (intuition) est ce qui caractérise sa raison d'être. Le mystique ressent le monde. Tout le travail se passe dans l'invisible, la supraconscience, qui irrigue naturellement le conscient.

2- La voie du RELIGIEUX : parler et lire.

C'est une voie que l'individu emprunte en groupe. C'est la voie des sociétés secrètes, des sectes mystiques et des religions. Les pouvoirs s'acquièrent par un enseignement lu dans des livres sacrés, des grimoires secrets comme Le Grand Albert, Le Petit Albert, Le Dragon noir, Le Dragon rouge, etc. On y apprend des formules magiques et des sortilèges. C'est le domaine des sorciers. Par la méthode enseignée et à laquelle il adhère, le religieux développera des pouvoirs de dévotion avec rituels et formules magiques.

Cette voie est la deuxième. Elle fait suite à la démarche du mystique qui, lorsqu'il a atteint une totale compréhension de son être en relation avec l'univers, manifeste la volonté de transmettre sa connaissance aux autres. Celui qui la suit la voie du Religieux s'engage envers la communauté, il fait le don de soi. Elle fait souvent appel à des accessoires comme des livres sacrés, des rituels, etc. La parole est ce qui la caractérise. Le religieux veut naïvement convaincre le monde, oubliant que dans la réalité terrestre viciée, c'est TOUJOURS la magie noire qui triomphe de la magie blanche.

3- La voie du SCIENTIFIQUE : toucher et expérimenter.

C'est la contrepartie objective de la voie mystique. C'est également une voie solitaire. Celui qui l'emprunte voit les choses à travers les instruments de son laboratoire. Il travaille sur la matière à l'extérieur de lui. Le scientifique développera des pouvoirs sur la matière (kinésie). C'est le domaine du shaman, le scientifique shaman développant des pouvoirs par des mixtures, des potions magiques.

La voie du Scientifique est la troisième voie. Elle est en opposition à la voie Mystique. Opposition non pas dans les résultats obtenus mais dans la manière d'y parvenir. Cette opposition fait appel à la théorie de la science quantique qui voit l'univers comme une toile : au dessus (face visible) il y a le monde phénoménal, matériel et visible, et en dessous le monde nouménal, spirituel et invisible. Le Scientifique travaille dans le monde phénoménal, alors que le Mystique travaille dans le monde nouménal. Chacun utilise la même force, mais du côté opposé de la toile. Le Scientifique fait également appel à de nombreux accessoires : instruments de mesures et autres dans son laboratoire... alors que le Mystique vit dans son oratoire et son vécu personnel en corps et esprit est son instrument de mesure. Prouver et appliquer est ce qui caractérise la voie scientifique, tout son travail se passant dans le visible.

4- La voie du GUERRIER : agir et juger.

C'est la contrepartie de la voie religieuse. Empruntée en groupe également, elle réunit des combattants qui jouent avec les forces de vie et de mort. Le guerrier travaille pour vaincre l'adversaire. C'est le domaine du soldat. Le guerrier développera des pouvoirs de combat.

La quatrième voie, celle du Guerrier, est la plus spectaculaire car la plus visible des voies. Elle est en opposition à la voie Religieuse. Lorsque la parole ne suffit plus pour convaincre, le Guerrier intervient pour vaincre. Celui qui la suit s'engage à la vie et à la mort. Elle fait appel à tous les accessoires de combat disponibles (armes et techniques de combat). L'affrontement est ce qui la caractérise. Le guerrier veut vaincre le monde. Cette voie peut aussi devenir celle du Guerrier pacifique qui s'impose par la maîtrise totale de LA FORCE.

 5- La voie de l'ARTISTE : réaliser son être.
La voie de l'ARTISTE est la voie du milieu, du centre de soi-même. Celui qui s'y engage est passé dans son cheminement karmique* par les quatre voies de pouvoir, et les maîtrise toutes. La maîtrise de son ART lui permet de savoir quand et comment doser chacun de ces quatre pouvoirs en fonction des circonstances et des événements de la vie, dans le but de toujours rechercher l'harmonie. Selon l'adversaire, l'Artiste agira toujours par la voie appropriée par la maîtrise de la QUINTESSENCE.

Cette voie du milieu est verticale, de ce fait réellement évolutive, ne pouvant être vue qu'avec le cœur, l'essentiel étant invisible pour les yeux. De la SOURCE, elle nous inspire et nous aspire. Vers l'ascension dans une dimension de conscience supérieure elle nous transporte. Au centre, se trouve l'être, ICI ET MAINTENANT. Si les voies matérielles - Scientifique et Guerrier*² - lui proposent de s'enfoncer d'avantage dans la caverne (le Tunnel d'Alice qui suit le lapin blanc),et que les voies spirituelles - MYSTIQUE et RELIGIEUX - lui proposent d'en sortir définitivement, par LA VOIE DU CŒUR et émancipé de toute illusion l'être humain est appelé à ne plus être prisonnier. Il peut ainsi sortir et revenir dans sa caverne à VOLONTÉ par sa maîtrise de la science atomique permettant le plein usage de son libre arbitre. Par le passage de lumière au sommet de sa caverne, il accomplit un engagement à la fois matériel et spirituel en toute cohérence. C'est la voie de l'équilibre parfait.

* Cf. Le cheminement de l’Âme.

A noter que le RELIGIEUX et le GUERRIER risquent de devenir des extrémistes et fondamentalistes intolérants à cause des autres qui suivent avec eux la même voie, la force du groupe, de l'égrégore collectif, finissant toujours par l'emporter (c'est pourquoi les membres d'une entreprise sont des guerriers, le pacifiste humaniste ne pouvant longtemps y survivre). Car il n'est pas bon d'être seul, et pire encore, de se singulariser face aux autres !

 

Le processus décrit ci-après présente les différentes étapes incontournables de l'ouverture et de l'ascension de la conscience* à une "dimension d'évolution supérieure", permettant de ne pas rester "prisonnier" des boucles du temps propres à notre actuelle dimension d'appartenance, la 3-D. Dans le langage alchimique, cette étape est appelée la transmutation du corps humain en un corps divin*². Pour une présentation plus exhaustive des éléments de contenu cités, il est nécessaire de se reporter à l'explicatif au sein des différentes publications rédigées.

* Ce que le mouvement "New Age" nomme à tort "ascension" est en fait une descente des énergies universelles. L'effort de l'humanité est de les recevoir en commençant par les accepter. Ce qui ne lui est pas du tout facile, tellement la culture universelle est à l'opposé de la nôtre.

Cf. Le chemin de l'Ascension.

Cf. Le chemin alchimique.

 

Ce processus combine une maîtrise des lois et principes tant physiques que biologiques, tout particulièrement concernant l'ADN cellulaire, avec les lois métaphysiques propres aux interactions entre les trois dimensions de l'être humain que sont le corps, l'âme et l'esprit*, avec comme point d'impulsion central le cœur (plus que le mental). Ces deux dernières dimensions ne reçoivent en l'état aucune caution scientifique, si ce n'est ce qui est admis par ses branches neurosciences et psychologie, tout particulièrement la notion de conscience objective, à savoir la conscience des sens résultant essentiellement d'un processus chimique, nerveux et cérébral.

Aussi, sauf à s'en extirper, la démarche d'ouverture de conscience et l'accès à ses capacités insoupçonnées, soit nos vrais pouvoirs intérieurs*², ne peuvent être menés dans les clous du dogme scientifique en vigueur. L'expérienceur, celui qui veut découvrir, n'a pas d'autre choix que de s'engager par la force de son intention dans sa propre démarche expérimentale d'entrée en résonance avec la Conscience universelle, ainsi que par la confiance et l’ouverture à cette énergie (autrement appelées lâcher-prise), et en valider suivant les grandes étapes présentées ci-après la pertinence comme les bénéfices que sont la santé, la vitalité et la stabilité. C'est alors l'état de cohérence avec Qui Nous Sommes vraiment.

* Cf. Qu'est-ce que l'Homme ?

Dons de guérison par les mains ou le verbe, télépathie, clairvoyance, clair-audience, intuition instantanée...

 

Changement de regard

La mythologie évoque ce changement dans la lutte entre le géant Antée et Hercule le latin (Héraclès en grec). Le géant comme fils de la Terre ne peut conserver sa force et sa vie que par le contact avec le sol. C'est l'homme qui vit uniquement avec le monde matériel, dans son incarnation charnelle. Lorsque Hercule, l'homme à la recherche d'une vie plus haute, le soulève au-dessus du sol, il est épouvanté et, ne possédant aucune valeur psychique, périt.

 

Du changement

"Lorsque tu fais quelque chose, sache que tu auras contre toi ceux qui voudraient faire la même chose, ceux qui voulaient le contraire, et l’immense majorité de ceux qui ne voulaient rien faire."

Confucius, philosophe chinois.

Le monde actuel se divise en deux grandes catégories d’individus : ceux qui ont tourné leur regard vers leur soleil intérieur, la lumière, et ceux qui restent à la rechercher à l’extérieur, ne faisant que regarder la désolation au-dehors. Il y a ainsi d’un côté ceux qui essaient de trouver la Lumière, la paix intérieure, en favorisant leur écoute intérieure, et de l’autre, ceux qui comptabilisent le sombre, le lourd, tout ce qui stimule leurs peurs. Ils auront beau se débattre en cherchant des réponses extérieures, personne ne pourra les leur donner. Nous oscillons tous entre ces deux catégories, jusqu’au jour où l’une prend définitivement le pas sur l’autre.

Pour faire en sorte que nous choisissions d’aller vers la Lumière plutôt que vers la peur, il est nécessaire de comprendre avec son cœur et pas seulement avec sa tête. La déconstruction de l’ancien état n’est jamais aisée, joyeuse, d’autant plus pour ceux qui ne voient aucune lumière, aucun espoir. C’est à l’image de la larve qui devient libellule. La période de sortie de la chrysalide est quelque peu éprouvante, mais elle n’est qu’une étape vers une façon de vivre différente dans un monde qui devient alors différent. La larve de libellule est dans l’eau, dans l’émotion. Le jour où elle arrive à sortir de l’eau via une branche d’herbe pour commencer sa mue, cela semble catastrophique. Toutes les autres sous l’eau lui diront "Ne va pas dans l’autre monde, dans le monde de l’air, dans le monde de la légèreté, dans le monde de la lumière aveuglante, car tu seras détruite !" C’est vrai que la larve sera détruite, et qu’elle prendra une autre forme qui était cachée en elle. En suivant sa petite voix malgré toutes les douleurs, elle découvrira quelle était la véritable divinité qui se cachait en elle. Elle aura découvert une autre dimension où elle peut voler, contrairement à sa nage aquatique. Ce qui peut paraître horrible aux yeux de ceux restés dans les peurs devient majestueux à ceux qui comprennent et vivent la transformation dans la lumière de l’incertain mental tout en étant dans le ressenti intérieur profond et certain. Celui qui ne sait pas voit la chenille se dissoudre dans le néant et la peur. Celui qui sait attend sa vie de libellule avec joie. Il piaffe même d’impatience, mais il faut bien laisser passer les gelées de printemps, sinon ça va grelotter dur de l’autre côté. La patience est de mise sous peine de se faire ramasser par un retour de froid, comme les forces de l’ombre, celles pilotant notre égo-mental, l’aiment bien. Pour celles et ceux qui osent se préparer au déshabillage intégral, le passage se fera, inéluctablement. En pleine acceptation et en plein lâcher-prise, ils vivront cette transformation en pleine conscience. En toute liberté, ils découvriront la maîtrise de ce qui se cachait en eux contre toute attente. Ce n’est que lorsque notre mue est finie que nous pourrons faire la cour à d’autres entités aussi lumineuses que nous.

Aussi est-il indispensable de choisir son camp une fois pour toutes, et de ne pas se poser la question de savoir si nous avons fait le bon choix. Le monde étant dual, toute tiédeur ne fait que nous pénaliser. Une fois la décision prise, ne laissons plus personne remettre en cause notre décision car, après tout, ce sont ceux qui disent nous aimer le plus qui se révèleront les plus nocifs pour notre liberté. Personne n’aime le changement, encore plus nos proches qui devront obligatoirement faire des efforts pour se mettre au niveau. Et comme il y en aura toujours un qui ne sera pas d’accord avec nous, il est inutile d’essayer de le convaincre. Donc pas de panique, juste l’affirmation franche et claire de la direction où nous allons. Celui qui ne s’engage pas consciemment à réaliser ce qui est important, s’engage inconsciemment à réaliser ce qui n’est pas important. En changeant notre regard sur nous-même, nous verrons que le regard du monde changera à notre propos.

 

Toute démarche dans le monde spirituel ne se fait pas cependant sans risque et sans danger. Trois grands dangers guettent l'apprenti sur son chemin d'évolution, constituant un blocage irrémédiable de son ascension s'ils ne sont pas terrassés. Ils sont directement reliés aux trois piliers de l'Esprit que sont la Volonté, l'Amour et l'Intelligence.

. La FOLIE : celui qui devient fou perd tous points de référence avec la réalité. Il perd son équilibre mental et peut souffrir de toutes sortes de maladies comme la paranoïa, l'obsession... La folie est le signe d'un déséquilibre en Intelligence.

. L'ISOLEMENT : celui qui est bloqué est prisonnier de mécanismes de son égo, de sa personnalité et de sa pensée. Il n'arrivera pas à traverser le mur. Il souffrira d'isolement (même dans la foule) et sera antipathique aux autres. Le danger est de ne pas être capable de se connecter à son enfant intérieur (ressenti, amour) en raison des contraintes, des responsabilités et des mécanismes qui ont élevé un mur très haut et très épais entre lui et sa capacité de ressentir.

. La PEUR : celui qui a peur est paralysé, il n'arrive plus à avancer. La peur est un signe d'un manque de Volonté.

 

L'indispensable préparation du corps physique

Le changement de conscience conduisant à son ascension consiste à aller d'une conscience unidirectionnelle et carbonée, propre au champ de fréquences de la dimension de réalité terrestre (la 3-D) et prédominante dans la constitution du corps biologique*, vers une conscience multidirectionnelle de silice, sa principale nature moléculaire constitutive. Autrement dit, elle constitue le passage d'une réalité unique, limitée, vers des réalités multiples.

Si le carbone (photo 1) oriente le flux d'énergie cosmique de façon bipolaire +/- dans son vécu terrestre*², et de ce fait uniquement de façon unidirectionnelle, sans en être véritablement conscient, la silice (photo 2) peut orienter le flux d'énergie cosmique de façon multipolaire et multidirectionnelle, afin de générer une infinité de possibilités d'expérimentations, tout en les visualisant de manière consciente.

C'est pourquoi, afin de nous aider à changer la perception du monde qui nous entoure et contribuer à la réactivation de notre ADN, une supplémentation en silice type silicium organique apparaît nécessaire*³.

* Cf. Fonctionnement du corps biologique.

Cf. La dualité décodée.

*³ Les humains naissent avec 2 ou parfois 4 hélices d'ADN, alors que les thérapeutes et certains chercheurs ont connaissance de l'existence de 12 brins d'ADN sur les plans spirituels qui sont en connexion avec les centres énergétiques ou chakras. Cf. Clé de débridage de notre codeur interne.

 

Des conditions exigées

Elles sont au nombre de quatre.
La première est le désir passionné d'y parvenir. Si elle n'est pas remplie, il est inutile de poursuivre. Si ce désir passionné existe bien, il faut s'appliquer alors à développer la faculté de discernement par tous les moyens, afin de surmonter l'enchevêtrement des faits et des phénomènes réels et imaginaires. La difficulté pour les séparer provient en effet de ce que l'Imaginaire ressemble au Réel, comme l'espace au-delà du miroir reflète ce qui se trouve en deçà. Les deux méthodes pratiques sont d'une part la méthode négative ou d'exclusion (elle applique l'analyse critique la plus serrée et la plus impartiale possible dans l'observation des mouvements de la vie intérieure), recommandée à l'homme de type intellectuel, d'autre part la méthode positive ou d'intégration (elle est l'inverse de la précédente, puisqu'elle tend non plus à l'exclusion d'éléments instables, mais à une synthèse, à une affirmation) qui s'applique à l'homme de type émotif qui, comme le précédent, a tendance à ne pas croire de par sa nature plutôt sceptique. La différence consiste en ce qu'en suivant la première, le chercheur ne verra la lumière qu'à la limite de ses efforts ; en suivant la seconde, il sera encouragé par des étincelles de la conscience du Moi réel qui pourront l'accompagner le long du chemin. Dans les deux cas, la démarche exige une impartialité totale dans les observations et dans les conclusions qui en sont tirées, faute de quoi l'homme risque de tomber d'une manière plus profonde encore dans l'Illusion.

La seconde est tout naturellement l'aptitude au discernement. La troisième est celle d'une discipline de fer, et la quatrième l'esprit d'initiative.

 

Étape 1 : le changement de référentiel

 

Nous vivons sur une planète vieille de plusieurs milliards d'années, au sein d'un système solaire intégré dans une galaxie nommée Voie lactée. L'Univers contient une multitude de galaxies et de systèmes solaires, qui sont mus par des forces énergétiques dites gravitationnelles, nucléaires, électromagnétiques, transportant par cette énergie vibratoire de l'information sous forme de particules subatomiques. Cette interrelation énergétique concerne tous les éléments constitutifs de cet univers, dont bien sûr l'être humain. Ce dernier évoluant dans un champ magnétique de faible densité caractérisé par la dualité, l'opposition des apparents contraires, il lui est difficile d'accéder à d'autres dimensions vibratoires plus élevées, d'autant plus si le système de croyances enseignées et les conditionnements qui en découlent vont à l'encontre de cette compréhension, faisant écran. Il est alors prisonnier d'une matrice, appelée la "matrice cyber" compte-tenu de son orientation scientiste (le mouvement transhumaniste).

Cf. Conscience du XXI° siècle ; Univers en partage ; La dualité décodée ; Compréhension structurelle de la Matrice asservissante.

 

L'échelle des dimensions de réalité et de conscience de l'humain

L’état de conscience, exprimé par la pensée comme par le son, est l’élément clé de toute existence dans l'Univers, Ce Qui Est, qui n'est rien d'autre que le produit de Son Esprit. Il correspond sur le plan de la science physique à la gravité, qui en tant que facilitateur énergétique lie tout ce qui est physique à tout ce qui est éthérique, et ce grâce aux ondes instables de gravité dont la vitesse est supérieure à celle de la lumière qui est son expression énergétique (la lumière appartient au champ de la septième dimension de densité). C'est ainsi qu'à l'instant même où l'énergie psychique (sous forme de pensée, d'émotion, de méditation) de l'observateur est "retirée" de la zone plasmatique, la matière jusqu'alors constatée est défigée, dédensifiée, comme évaporée, la particule élémentaire redevenant onde. C’est l’ingrédient central de toute existence, sa propriété quantitative étant immuable !

Ceci entend que TOUT - l'Univers - est une grande illusion, Son Esprit se déclinant de manière perpendiculaire en 7 dimensions de densité, c'est-à-dire des niveaux de conscience à chaque fois dégradés en partant du plus élevé jusqu'aux plans inférieurs, là où l'énergie éthérique, plasmatique, est densifiée par le mécanisme des forces électromagnétiques et nucléaires. Densité signifie degré de développement mesuré du point de vue de la proximité de l’union avec le "cycle de l’Un" (fonctionnement de l'Univers ou Source). Les dimensions sont ainsi à entendre comme le résultat de la Conscience universelle telle que manifestée dans le secteur "imagination" de la pensée humaine, soit d'apparentes réalités. Le Nom du Jeu du Vivant est la Conscience, le travail de tout être et de toute existence en tout lieu étant toujours celui de la Conscience !

Il est à comprendre que dans l’espace, il n’y a pas de dessus, de dessous, de haut, de bas, de gauche, de droite, de dessous, etc. Il n’y a qu’autour, dans un sens sphérique. En imaginant un cercle avec un point en son centre, les "Mondes" traduisant ces dimensions sont des divisions empiriques, des réalités perpendiculaires basées sur des Forces directrices d’énergie de conscience chargées de les faire croître et changer par l’acquisition de connaissances. Les 3 premières densités sont strictement matérielles, les 3 dernières strictement éthériques. La 4ème, dimension intermédiaire, est dite de "physicalité variable", mixte entre les deux états. La différence entre les densités vient de la différence d'état de conscience et d'évolution des âmes. C'est ainsi que l'on peut passer au niveau supérieur quand "on" a appris toutes ses leçons de vie, un champ de conscience complet incluant tous les opposés, dans un parfait équilibre.

Le théologien, juriste, poète, soufi, métaphysicien et philosophe andalou connu sous le nom d'Ibn ʿArabi (1165/1240), également appelé ach-Cheikh al-Akbar, a abordé les différents niveaux d’être ontologiques en parlant de cercles concentriques, qui définissent chaque niveau d’existence. Chaque niveau renvoie à des relations. À mesure que le niveau s’élève, on se rapproche d’une relation directe avec le cœur de l’existence, alors qu’à la périphérie, on est plus proche de la matière. Il mentionne également le "rayonnement vers l’extérieur" et le "mouvement intérieur" vers la Connaissance. Selon lui, l'être humain peut soit rester au même point dans l’illusion, soit descendre, soit monter. Ce mouvement est en partie déterminé par sa position à l’intérieur du cycle.

Le corps humain physique provient de la matière de 1ère densité (sodium, potassium, calcium, phosphore, carbone, vitamines, tous les sels minéraux et organiques…).

Son corps génétique (acide nucléique, acide ribonucléique, peptides, glucides, adénine, cytosine, guanine, thymine...) est issu de la 2ème densité. Les constituants de l'ADN de tout être vivant, qu'il soit végétal, animal ou humain, restent identiques.

Son vécu (incarnation physique) se fait dans la 3ème dimension de densité ou de réalité, la "3-D".

Sa conscience limitée au Moi personnalité - l'ego-mental -* se situe dans la 4ème dimension de densité, lui permettant de s'observer lorsqu'elle est éveillée. Nommée le champ de l'Astral, elle est placée sous la gouvernance de forces involutives, dites le corpus prédateur (le Non-Être), même si des Forces évolutives dites de Lumière les contre-balançent de par la Loi de la dualité*².

Son corps éthérique/spirituel sous gouverne de l’Âme est relié à la 5ème dimension de densité (la matière noire, l'antimatière, le non-temps…). Elle représente le lieu géométrique de toutes les possibilités d'un moment donné, dont une seule se réalise dans le Temps, alors que toutes les autres demeurent irréalisées. C'est une sorte de plan que la ligne du Temps perce à l'endroit où se trouve la possibilité qui, de ce fait, se réalise.

Sa conscience supérieure ou supra-conscience - celle du Soi supérieur une fois l’Âme réunifiée - est reliée à la connaissance de la 6ème dimension de densité (l'énergie noire ou nucléaire faible, la Connaissance universelle…). Elle figure le Temps de l'Univers, comprenant par son volume non plus le possible mais l'accomplissement de toutes les possibilités de chaque moment par le cycle complet de toutes les lignes du Temps.

Il conserve toujours sa connexion à la 7ème dimension de densité, à l'Un, à la Source, la conscience ultime du Créateur et de la Création, Ce Qui Est, point situé en même temps dans l'Espace et dans le Temps.
Ligne du Temps, Éternité et Tout sont les termes du langage courant qui correspondent à la quatrième, à la cinquième et à la sixième dimension. Le terme Zéro correspond à la septième et dernière dimension. Ce n'est pas le néant. C'est le germe et la fin, l'Alpha et l'Oméga de tout ce qui existe.

* Cf. Décryptage de l'Ego.

Cf. La dualité décodée.

 

Le champ de conscience actuel en vigueur sur la planète Terre est limité par le paradigme du modèle physique standard de l'univers et de ses caractéristiques dites en 3-D, 4-D si l'on rajoute la dimension du temps relatif : l'espace, la masse, l'individualité ou singularité. Elles ne sont que les conditions résultant de la Création - Ce Qui Est - par la Conscience universelle, sans réalité propre si ce n'est dans ce monde spécifique terrestre, afin de le maintenir en ordre pour garantir l'expérience que nous sommes venu y vivre. Ce champ de conscience est dit en mode "Service de Soi", soit impulsé et sous contrôle de l'égo-mental, lui-même sous domination d'un "corpus prédateur" de nature involutive*.

En appréhendant l'Univers comme un Tout énergétique cohérent du macrocosme au microcosme, structuré et organisé selon des Lois spécifiques et immuables d'harmonie appelées cosmiques ou universelles, où tous les éléments le composant sont indissociablement interreliés et contenus en chacun comme un processus holographique, l'homme prend conscience de l'existence de champs multi-dimensionnels, interstellaires, ce que la science matérialiste reconnaît d'ailleurs avec le concept du "multivers"*². Ainsi les notions de topologie et de géométrie, dépassant les dimensions spatiales, n’ont plus rien de commun ou de comparable aux concepts de notre "espace-temps".

* Cf. Décryptage de l'égo.

Cf. Évolution de civilisation (1) Le mécanisme de l'Univers & Fonctionnement de l'architecture du Vivant.

 

Intrication de la pensée

Lorsque nous pensons à quelque chose ou à quelqu’un, nous établissons un pont entre nous et cette chose ou cette personne. C’est un réel circuit d’énergie qui crée un lien supplémentaire dans notre tissu de connexions. Et c'est la fréquence vibratoire de la pensée qui détermine la vitesse à laquelle elle atteint sa cible et nous affecte tous les deux. Les pensées et les sentiments d’une haute fréquence sont reçues immédiatement si leur cible est dans la même octave. Ceci entend que plus il y a de lumière, de clarté parmi nous et en chacun de nous, plus il est facile à chacun de se connecter. Tout comme il n’est pas difficile de voir la lumière dans une pièce remplie de lampes, cela est plus difficile s’il n’y a qu’une bougie dans un coin. De même, si nous assistons à des funérailles où tout le monde est triste et déprimé, nous pouvons facilement nous laisser submerger par ce sentiment de désespoir et y céder nous-même. C'est pourquoi en entretenant le bonheur, la joie, la paix... dans tous les aspects de notre vie, nous contribuons à inciter "tout le monde" à faire de même.

Cf. Esprit global.

 

Mais, dans une culture civilisationnelle globale notamment occidentale circonscrite aux cinq sens physiques, bases du rationalisme scientifique, les êtres humains sont peu sensibilisés à l'existence des sens dits subtils, seuls à même de leur permettre d'accéder par leur non-localité à une "communication interdimensionnelle", qui les conduit à une dimension supérieure, la 5-D, non soumise aux limites du temps et de l'espace. Cette dimension de conscience est dite en mode "Service d'Autrui". Même si l'intuition, le rêve, des techniques thérapeutiques comme l'hypnose, ou la prise de substances végétales - les psychotropes - (avec toutes les précautions et réserves d'usage*) en constituent des rampes d'accès potentielles, elles ne sont que ponctuelles, et ne s'inscrivent pas dans la durée.

* L'ayahuasca ou Yagé, breuvage à base de lianes consommé traditionnellement par les chamanes des tribus indiennes d'Amazonie, utilisé pour sa capacité curative associée aux croyances et pratiques locales, tue chaque année plusieurs touristes. L'ingestion de toute substance non agréée peut conduire à des risques graves si elle n'est pas assortie d'un soutien médical et psychologique ad'hoc.

 

Drogues et perception

Le système physique filtre les pulsions énergétiques de la vie car en excès, nous ne pourrions les traiter. En consommant des drogues psychédéliques ou des psychotropes, l’élimination de certains filtres mentaux et émotionnels peut faire ouvrir les yeux tout en désorientant et en faisant peur. Les connexions provoquées chimiquement sont simplement une dissolution de certains filtres mentaux ou émotionnels, laquelle peut procurer temporairement un aperçu d’une autre façon de voir, mais non une véritable connexion aux autres sphères de la réalité. Nous pouvons les utiliser pour obtenir cet aperçu, mais c’est là leur seul avantage. Si nous découvrons quelque chose d’important pendant que les filtres sont suspendus par ce moyen-là, son sens n’apparaîtra que par un changement de notre mode de connexion.

Si nous pouvons affecter notre réalité physique, notre cycle évolutionnaire pourrait en souffrir si nous ne sommes pas prêt. C'est pourquoi un mauvais usage des drogues peut avoir le même effet. Notre cerveau fonctionne avec des impulsions électriques d’une certaine fréquence vibratoire. Certains psychotropes peuvent changer ces fréquences artificiellement et ouvrir la porte à des perceptions que nous ne sommes pas prêt à gérer, pouvant alors court-circuiter notre aptitude à créer ces voies d’une manière organique. Nous pouvons littéralement brûler nos voies électriques vers des dimensions supérieures en nous connectant à un voltage trop élevé pour la capacité de nos fils.

 

Changement de dimension

Dimension en 3-D (4-D avec le temps relatif)

Conscience locale

Perception d'un mouvement d'énergie entre un point A vers un point B (temps perçu comme linéaire, chronologique)

Dimension en 5-D (a-temporalité)

Conscience non-locale

Le point A entre en résonance avec le point B, dans un éternel instant présent.

 


Or, sous l’influence des vents solaires tout ce qui vibre sur la planète aujourd’hui voit son Taux Vibratoire (T.V.) augmenter fortement depuis quelques dizaines d'années, jusqu’à changer bientôt de catégorie dimensionnelle. Voici révélée la vraie raison, inavouable par les autorités, de l'actuel et incontestable réchauffement climatique, cette fenêtre d'ouverture spatio-temporelle une fois refermée appelant cependant la venue d'une période de glaciation*. Nous sommes en train de passer en 4ème dimension, voire rapidement pour certains en 5-D, après avoir séjourné des centaines de milliers d'années dans la 3ème dimension.

* Cf. Vérité climatique.

 

Mode de fonctionnement de l'humain en 3-D

 

Les trois premiers centres énergétiques (1, 2, 3) assurent par leurs bandes de fréquences progressives la propulsion de l'homme au sein de la matière. C'est au stade basique la relation à l'argent (1), gage de survie, puis à la famille et à la sexualité (2), et enfin au pouvoir - statut, affirmation sociale - par la volonté de l'égo-mental (3). La dimension relationnelle aux autres - altruisme, empathie, charité ... - vient du cœur sous contrôle de l'égo (4), point d'équilibre nécessaire vers les aspirations supérieures des trois autres centres énergétiques (5, 6, 7).

Celles-ci découlent de l'effet miroir des trois premiers centres, projetés au stade supérieur. Elles se traduisent d'abord par un positionnement dans une famille élargie (tribu), en religion et/ou en politique (5), puis par une sensibilité plus prononcée aux aspects paranormaux/occultes/cachés (6), avant que de permettre un état de fusion de nature spirituelle (7) dans l'espoir naïf et illusionné de sauver l'âme, soi-disant gage d'accès au "Paradis" du céleste...

 


Cette réalité en 3-D "Service de Soi" est limitée, conditionnée sous l'effet de fausses croyances et de conditionnements délétères par les affres de l'égo-mental sous contrôle du corpus prédateur involutif* résidant dans le champ astral (la 4ème dimension ou 4-D -, négative), coupé ainsi par le "voile de l'oubli" du Soi supérieur (l’Esprit universel en relation avec l'Âme, sa petite voix intérieure), du Grand Soi substance (Ce Qui Est, le Soi divin, Dieu) et du Grand Soi essence (l'Un, le Tout, La Source). Il en découle les affres des pensées erratiques, des émotions exacerbées et des sentiments chargés, ainsi que des regards polarisés, confinant aux jugements (+ ou -), aux accusations et aux condamnations. La fusion spirituelle qui en découle ne peut en fait qu'être un leurre, rassurant pour l'égo, mais totalement inefficace dans le pouvoir de "co-création" conféré. Elle n'est alors que "spiriduelle", une spiritualité dans la dualité toujours sous gouvernance des Forces de l'Ombre luciférienne*².

* Cf. La falsification de la réalité en 3-D & Les acteurs de la Matrice falsifiée.

Cf. Prédation spirituelle et voie de sortie.

 

La prégnance de la magie noire sur la magie blanche

Dans la réalité terrestre de 3ème densité de conscience, faire le mal est plus facile que faire le bien. En effet, la majorité des individus dotés d'une âme naissent avec un déséquilibre des facultés spirituelles de l'être que sont la Volonté, l'Intelligence et l'Amour. Il s'agit de ce que certains appellent le "péché originel". Il en résulte que lorsque quelqu'un veut combler un manque source d'inconfort, d'insatisfaction et de frustration, il fait appel par la "magie" (anagramme d'image), le pouvoir magique de ses pensées et paroles*, à de l'aide extérieure pour rétablir l'équilibre de ces trois aspects de son être spirituel. Ainsi il croit corriger son déséquilibre. Là où il y a un vide, une lacune dans l'être, un être spirituel extérieur à lui viendra comme une béquille rétablir momentanément son équilibre.

Mais dans ce monde placé sous la gouverne astrale des forces involutives, les démons, entités spirituelles de domination qui nous regardent vivre et connaissent nos moindres faiblesses et lacunes, sont toujours les premiers à se présenter, disposés à fournir de quoi combler les manques avec un succès presque immédiat. Tout naturellement, dans une société de con-sommation basée sur le vide existentiel, les victimes de ces imposteurs sont nombreuses, car les démons savent que les êtres humains sont déficients sur tous les plans spirituels, rare étant celles et ceux qui ont le courage d'affronter l'adversité seuls. Mais un jour, il faudra payer.. et payer très cher, au centuple, avec sa vie et son âme.

Si le principe de la magie blanche est aussi de faire appel à des entités spirituelles extérieures pour combler ses vides et manques, la différence c'est que les "ANGES" - entités spirituelles "en Je", en soi - ne viennent pas le faire à notre place. Cette part de soi la plus élevée, la supraconscience, apporte conseil et guidance reposant sur la foi, la confiance, à même de prodiguer de l'aide destinée à faire face aux épreuves. Le mérite vient de ses propres efforts, complétés par l'apport bienveillant de son entourage. C'est ainsi que certains "miracles" se produisent par magie blanche.

Dans tous les cas de figure, c'est toujours l'être humain qui accepte le processus de la magie opérationnelle, car il jouit de son libre arbitre. Et pour ce faire, avant de rechercher des pouvoirs par la magie, il est indispensable que l'être humain apprenne à bien se connaître lui-même. C'est le "Connais-toi toi-même..." socratique, les pouvoirs venant toujours de soi et non empruntés aux "autres".

* Cf. Le processus création décodé.

 

Aussi l'ouverture d'une conscience en 5-D (passage d'abord en 4ème dimension +, car gouvernée par les Forces de la Lumière), le mode "Service d'Autrui", passe par un changement radical, touchant aux croyances comme aux conditionnements inculqués et à leur reprogrammation, c'est-à-dire la reprogrammation des mémoires civilisationnelles viciées découlant des voyages de l'âme de l'incarnation terrestre*. Si nous voulons retourner en arrière pour changer l’ "Histoire" par rapport à ce qui était jusqu'alors perçu universellement (tout comme nos relations par rapport à des personnes), nous devons d’abord créer un univers alternatif pour ce faire, soit une ligne temporelle parallèle. C'est pourquoi l'ouverture de conscience va à l'encontre de la représentation classique de la Vie et de son apparente réalité, telles qu'inculquées et volontairement entretenues par les institutions liées au corpus prédateur qui en ont la charge*², pour des raisons évidentes de captation du pouvoir énergétique créateur de l'être humain. Lorsque celui-ci le délègue à autrui, il perd par ce transfert de sa puissance. S'il souhaite se le réapproprier, il n'a pas d'autre choix que d'aller à l'encontre du mouvement général et d'entreprendre le "Voyage du Héros"*³, en traversant le monde en solitaire mais non en indifférent...

* Cf. Le cheminement de l’Âme.

Cf. Le modèle pyramidal décodé

*³ Cf. Le Jeu de la Vie.

 

Du travail en réseau

Il nous est peut-être difficile d’imaginer un monde de coopération quand nous regardons ce qui se passe aujourd’hui autour de nous. Pourtant, tout en gouvernant seul(e) la conduite de notre vie, il est possible d’exister dans une réalité où règne le partage, de sorte que tous y gagnent et que personne ne soit privé d’un enrichissement personnel. La satisfaction personnelle sera toujours différente pour chaque individu, mais ensemble chacun sera encouragé à réaliser son meilleur potentiel parce que tous travailleront pour atteindre le même objectif. Si quelqu’un est oublié, l’équipe le récupérera parce qu’elle aura besoin de l’énergie de chaque membre pour réussir. Nous travaillerons ainsi ensemble à maintenir l’énergie du groupe à haut niveau.

C'est pourquoi celles et ceux qui développent l’aptitude à la coopération énergétique mentale et spirituelle, composant ce que la Tradition nomme le Quorum, autrement nommé l'unité tribale, hériteront de la "Nouvelle Terre", fruit de leur création. Il se produira un échange d’énergie au niveau moléculaire entre toutes les formes de vie, avec un objectif commun de création. Au niveau profond, le don mutuel profite à chaque être impliqué dans la relation. Ce puissant échange dynamique requiert une sensibilité à la tonalité émise par tous les êtres vivants et au mouvement sous-jacent des particules atomiques de l’un à l’autre. Lorsque nous échangeons de l’énergie, nous échangeons des particules de vie qui ont également une conscience. Ces unités d’énergie consciente circulent entre les grandes formes vivantes en une danse vibratoire spectaculaire. Quand notre conscience est une vibration plus légère, cet échange se produit facilement et chaque battement est alors intense.

C'est la raison pour laquelle il est nécessaire que le réseau se développe, in situ comme à distance, pour relier comme un réseau d'antennes les chakras, ce qui probablement aide également à soigner. Lorsque les gens sont connectés, ils peuvent s’entraider, à la fois dans et hors du corps, pour faire des changements d’ADN et des changements dans leur système entier. Plus de membres, et surtout plus impliqués, qui font davantage en qualité comme en quantité. En atteignant une masse critique*, cela signifie que nous pouvons avoir cette influence de groupe d’âmes sur tous les membres et déclencher ces changements d'ADN !

* La force d’unité tribale est estimée à 200 personnes par le philosophe Georges Gurdjieff.

 

Mécanisme de la conscience

 

L'atome, en d'autres termes la particule de matière constitutive de notre terrain terrestre d'expression, n'existe que s'il est observé ou perçu par nos sens. Autrement cette particule atomique ne pourrait exister, puisqu'elle ne serait qu'onde vibratoire* ou antimatière, sa nature. Absolument tout notre environnement visible et invisible est constitué d'ondes, la plupart (quasi totalité) des êtres humains n'en ayant pas conscience même s'ils ont pu l'apprendre, tant ils sont illusionnés par leurs sens physiques et les croyances quant à la réalité de la matière distillées par les institutions et leurs représentants inféodés au consortium prédateur.

Ainsi ces ondes projetées et mises en mouvement le sont :

- soit par notre propre conscience humaine, constitutive par là-même de la gravité, afin de les permuter en infinités d'atomes matérialisant directement le quotidien de notre propre bulle de perception (l'univers n'étant que mental, nous créons, plus justement modelons, à chaque instant notre réalité...);

- soit en étant générées par un égrégore de Consciences supérieures de 6ème et 7ème dimensions (le Champ Divin) pour matérialiser notre environnement, notre milieu de vie - la terre, l'eau, les éléments, la chaleur... - et les circonstances que nous appelons les "aléas ou les hasards" de la Vie. Ceux-ci échappent en fait à notre conscience, celle-ci étant limitée par la programmation réalisée par l'amputation de nombre de brins d'ADN par nos maîtres généticiens prédateurs du champ de l'Astral, la 4ème dimension de densité, constitutive du "voile de l'oubli" de Qui Nous Sommes vraiment, l'UN !*².

* Cf. Univers en partage, Esprit global & Fonctionnement de l'architecture du Vivant.

Cf. Évolution de civilisation (1) Le mécanisme de l'Univers & Compréhension de la conspiration prédatrice.

 

Transposée au niveau atomique, la conscience humaine - la gravité physique - peut jouer à la fois le rôle de l'onde créatrice ou de la particule créée, autrement dit du créateur et de sa création. Ainsi se comporte la forme subatomique la plus élémentaire de l'atome, le Boson de Higgs, parfois appelé particule de Dieu, selon la fréquence vibratoire dans laquelle se situe la conscience créatrice, onde ou particule. En d'autres termes, selon qu'une conscience s'exprime au travers d'un corps d'incarnation ou au travers d'un Esprit non incarné (scientifiquement parlant : qu'elle soit ou non soumise à une interaction nucléaire forte ou faible, une interaction électromagnétique ou de la gravitation), le Boson de Higgs est à la fois onde devenant particule ou particule redevenant onde.

Ces deux formes de consciences créatrices – séparées uniquement par notre égo/intellect –, ne font de ce fait qu'une seule entité, que tout être humain doté d'une âme appelle Dieu, Goth, God, Allah, Dios, le Grand Esprit, le Grand Architecte, le Grand Tout, l'UN, La Source...

Entre ces deux extrêmes dimensionnels, c'est à dire entre la 1ère et la 7ème dimension, les consciences s'expriment par leur densification sur les trois premiers plans (1ère, 2ème et 3ème densité) qui sont ceux de la matière, de l'atome et des éléments (le minéral, le végétal et l'animal-humain), la 1ère dimension, celle du minéral, étant la seule densité commune à toutes les autres.

La 4ème dimension est véritablement le siège de la conscience humaine, soumise au jeu dual des Forces involutives ou évolutives qui s'y trouvent. Elle se projette en 3ème dimension au travers de son propre corps de matière, "l'humain", celui-ci étant le seul à posséder dans cette 3ème densité une conscience de soi potentiellement évolutive car réflective s'il décide de demeurer sous la gouverne des forces prédatrices qui le gouvernent pour le maintenir dans le jeu de la Mort. C'est alors l'éveil de conscience, à même de conduire à la mort de l'égo-personnalité manipulé et leurré, et le retour sur le chemin du Vivant une fois le processus d'individuation achevé.

 

Il en découle que d'autres réalités parallèles existent dans cette même 3ème dimension. Elles représentent celles de notre passé et de notre futur, l'univers étant multidimensionnel dans un éternel Présent. Finalement, la 4ème dimension n'est qu'une autre 3ème dimension parallèle à notre 3ème dimension humaine, plus ou moins décalée dans l'espace-temps. Ainsi, lorsqu'une fenêtre dimensionnelle s'ouvre dans notre réalité, celle-ci provient uniquement de notre subconscient individuel ou collectif, qui se décale légèrement de notre temps présent et qui projette, densifie et manifeste sa réalité dans notre présent, par un nouvel agencement gravitationnel qui devient dense, réel et tangible.

 

L'effet tunnel de la conscience, ou le faisceau de lumière projeté sur la scène

La métaphore qui traduit le mieux le fonctionnement de la conscience est celle d'un faisceau de lumière projeté sur la scène obscure d'un théâtre, celui de la Vie s'entend (image 1), également appelée "le coup de projecteur". Bien que paraissant très précise, la conscience ne fournit en effet qu'une vision très parcellaire de la pièce dont l'essentiel se joue en coulisses, celui de l'inconscient ou subconscient s'entend. Elle constitue ainsi le pouvoir de l'attention, celui de faire focus sur quelque chose ou quelqu'un à un moment précis (photo 2). C'est une attention sélective, limitée, le projecteur mettant l'accent sur les processus de contrôle. De cette façon, d'une multitude infinie d'éléments qui pourraient lui être accessibles, la conscience n'en sélectionne que quelques-uns, une portion congrue en quelque sorte.

Cela entend que la conscience que nous connaissons n'est que le résidu d'une Conscience infiniment plus large dont une grande partie est écartée. Nous ne sommes de ce fait pas limité à l'effet inférieur du faisceau de lumière, celui du moi-égo, le moi personnalité, mais pouvons par l'ouverture de conscience tendre vers celle du Soi réalisé ou individué, nécessitant par la conscience sa fusion à l'Esprit universel (l'image 3 illustre les 7 sphères de conscience). C'est tout le sens du chemin d'ascension christique du mythe biblique, voyant le retour au Père, à l'Un* !

* Nous en retrouvons l'application dans The Truman Show (photo 4), film de 1998 du réalisateur Peter Weir, qui voit un individu lambda prisonnier de la matrice des illusions s'y sentir de plus en plus étranger, comme si son entourage jouait un rôle, et se sentir observé. Il va progressivement dissiper le rêve factice pour s'engager sur son chemin de libération.

 

Le déplacement de la conscience

L'analogie du drone associé à la Conscience nous apprend comment déplacer sa conscience comme un point mobile qui remonte tout doucement depuis les pieds jusqu'à la tête. Le corps physique devient alors comme la statue de la liberté : un espace avec un ascenseur du point mobile de conscience. Mieux vaut le piloter très lentement au tout début, puis de varier ensuite la vitesse pour créer du dynamisme à ce déplacement du point de conscience. C'est la "magie" de sa propre conscience que de se détacher d'une réalité sensorielle et corporelle, pour aller voguer vers d'autres contrées, d'autres dimensions de réalité. C'est ce qui arrive par exemple lorsque, au volant de notre voiture, nous mettons notre corps en mode "pilotage automatique" et partons visiter un autre monde, fait de pensées et de rêverie. Nous pouvons s'envoler et redevenir libre comme un oiseau dans le ciel. Nous avons juste à déployer nos ailes, et comprendre cet envol mystique comme un processus réel

La conscience apparaissant comme l'activité de l'Esprit universel - la supraconscience - dans l'Être, à la fois sur les plans spirituel et matériel, il en découle qu'une fois rendu en "haut", nous avons une vision plus globale du monde d'en bas. Nous le voyons de haut, l'impression de futilité des choses humaines avec le sentiment de grandeur et de puissance d'être au dessus de tout apparaissant dans toute sa crudité. Les horizons n'ont plus la même signification non plus. Il nous semble important d'aller au loin, plus loin que ce que nos yeux peuvent voir à la limite du ciel et de la terre.

 

De la personnalité

La raison pour laquelle nous sommes si nombreux à souffrir d’une faible estime de nous, c’est que nous ne voyons pas notre vrai soi. Bien sûr que nous n’aimons pas ce que nous voyons pour telle ou telle raison (aspect physique, situation sociale ou professionnelle, situation matérielle ou affective, maladie, névroses ...), mais ce n’est pas nous. Ce n’est même pas réel. Ce que nous voyons dans le miroir, c’est l’énergie négative à laquelle nous nous sommes connecté(e) dans cette vie-ci et dans les autres, celle générée à travers notre inconscient par les leurres et les manipulations de notre prédateur astral lui permettant de survivre dans les Ténèbres. Elle s’accroche à nous, et nous continuons à y croire en rétablissant constamment le lien avec elle. Il s’agit en réalité d’une entité distincte, d’une basse énergie vibratoire. Nous pouvons l’écarter, ce qui nous procurerait la liberté d’incarner l’être de lumière que nous sommes réellement. Mais comment notre fréquence vibratoire pourrait-elle se connecter si elle est enfoncée dans une vallée ou caverne obscure ? Notre luminosité est cachée et elle doit être libérée. Nous sommes le seul à pouvoir le faire en choisissant la conscience de Qui Nous Sommes vraiment - la conscience du Kiristos (christique) -, et en réussissant l'opération alchimique - la transmutation - salvatrice*.

* Cf. Le chemin alchimique.

 

Le mécanisme de l'intégration des niveaux par la conscience

En matière d'apprentissage, la conscience réalise un même processus d'intégration d'un changement de niveau, et cela en trois temps :

1. Tout d’abord, la prise de contact avec les éléments propres au vécu du niveau (perception, action…).

2. En deuxième lieu, analyse de ces éléments pour les intégrer dans un mécanisme fonctionnel grâce au maniement répété des actes/objets qui correspondent au niveau.

3. Finalement, maîtrise de ces mécanismes.

Lorsque le résultat est acquis, la conscience, avec ses prérogatives "d’absolu", se transfère au niveau immédiatement supérieur pour y répéter le même processus et le niveau abandonné devient automatiquement au service des niveaux supérieurs. Malheureusement, dans un grand nombre de cas, les erreurs pédagogiques commises n’ont pas rendu possible cette maîtrise, entraînant des conséquences psychologiques tant individuelles et sociales au fur et à mesure du déroulement évolutif. La famille, l’école, la société toute entière assument la responsabilité de ces conséquences tragiques pour l’avenir de l’individu et du groupe social.

Ces trois étapes successives sont nommées innovation, intégration et équilibre. Chez les enfants, il est observé généralement qu’à la première de ces étapes l’enfant fait preuve d'un enthousiasme maladroit souvent incompris de l’entourage, du fait qu’il venait d’acquérir une maîtrise satisfaisante sur l’objet de son précédent intérêt. La répression inconsidérée à cette période, avec refoulements concomitants, rend alors définitivement impossible le travail d’organisation et d’intégration de la conscience, d’où les désastres psychologiques qui s’ensuivent...

Cf. Travaux du psychologue et pédiatre états-unien Arnold Lucius Gesell (1880/1961).

 

Étape 2 : la conscience du Moi/Soi supérieur

 

"Frappez et l'on vous ouvrira"

 

Opposé du "petit" moi, dit le moi égotique ou ego-mental* qui est l'expression de notre singularité biologique, le Moi ou Soi supérieur caractérise notre sentiment d'appartenance au Grand Tout unifié. Il est également connu sous les vocables d’Être Supérieur, de Principe ou Moi Christique (ou Bouddhique selon le référentiel culturel), de Moi ou Soi Divin. C'est l'énergie d'amour du "Créateur", ou plus exactement de la Source constitutive de l'Univers, la fameuse quintessence aristotélicienne. Elle a pour fondement les caractéristiques du Principe créateur du cosmos, de son mécanisme, soit l'archétype "Père/Mère" appelé par commodité patriarcale réductrice "Père" et/ou Dieu, qui, à partir de la mise en mouvement de l'énergie primordiale indifférenciée, donne naissance à l'archétype "Fils", le Christ cosmique, soit l'âme universelle de la Création, l'Amour et la Sagesse, la sphère émotionnelle expression de tout cosmos et planète, l'âme individuelle ou conscience dans chaque créature, l'idéal de perfection que doivent atteindre toutes les âmes incarnées. Il confère à la substance le pouvoir de créer des formes par le pouvoir combiné de l'énergie - la Force électrique - et de l'Amour, son complément magnétique*².

* Cf. Décryptage de l'Ego.

Cf. Le processus création décodé.

 

La communication avec l’Invisible (1)

Si tous les êtres humains, qu’ils le sachent ou qu’ils ne le sachent pas selon leur sensibilité, reçoivent de l’information des Plans Supérieurs de l'invisible, leurs émotions et leur conscience astrale, de nature animale, font interférence, de sorte qu’ils ne reçoivent jamais l’énergie de l’information d’une façon parfaite. Leur intellect - l'ego-mental inférieur -, interprète l’énergie de l’information imparfaitement, de sorte qu'ils ne peuvent pas se fier parfaitement à cette information. S'il le pouvait, l’être humain pourrait s'y fier parfaitement, n’ayant aucun problème au niveau de la Connaissance*. Et l’ésotérisme, l’occultisme ou toutes les formes voilées et ce fait dénaturées de la connaissance humaine seraient universellement reconnues.

Ce qui crée les divisions dans cette information reçue source de connaissance relative, c’est que les gens la reçoivent selon la nature de leur personnalité, nourrie en l'état de névroses et de psychoses*² suivant un plan ou partition de vie qu’ils doivent exécuter car programmés par les entités involutives qui les gouvernent, même si les entités positives s'attachent par leur éveil de conscience à les aider à s'en déprogrammer. Toutes deux, selon l’imperfection de son mental supérieur, donnent à l’être humain sur le plan matériel, terrestre, une information qui le spiritualise, qui le fait évoluer, qui lui fait comprendre des choses. Mais il y a toujours le danger d’être mal informé, de ne pas recevoir l’information d’une façon parfaite, autrement dit de ne pas être capable par soi-même de pouvoir juger parfaitement ce que l’on sait, et de ne pas pouvoir par soi-même être totalement indépendant de la signification, de la valeur et de la provenance de l’information*³

La croyance établie est que, derrière l’être humain qui pense, il y a un penseur (Cf. la célèbre formule latine Cogito, ergo sum du mathématicien et philosophe français René Descartes). C'est pourquoi l’être humain, ignorant du corpus prédateur qui le manipule et le leurre via l'inconscient, maintient son identité égotique par le fait qu’il a l’impression que c’est lui qui pense. Cela s'appelle l’intuition parasitée, rien d'autre que le niveau inférieur de la communication télépathique cosmique. Si ses canaux étaient ouverts d’une façon totale, l’être humain entrerait dans le télépathique mental précis avec d’autres intelligences, sur d’autres plans avec d’autres niveaux d’évolution. A ce moment, par la guidance de sa supraconscience, il ferait d’autres choses. Mais parce que les egos humains ne veulent pas admettre qu’il y a d’autres intelligences que la sienne, la communication avec l'invisible se résume à de l'auto-contemplation cervicale, autrement dit à de l’intellectualisme ! Ainsi l’Ego de l’être humain est son plus grand problème, générateur d'une psychologie, individuelle comme clinicienne, dénaturée. La grande psychologie, vraiment Universelle, ne peut être reçue que lorsqu’il est fusionné avec ses autres centres d’énergie à caractère évolutif. A défaut, l’être humain est prisonnier du vrai et du faux, prisonnier de ses illusions entretenues par le système prédateur*

* Cf. Qu'est-ce que la Connaissance ?

Cf. Fonctionnement du corps biologique.

*³ Cf. Prédation spirituelle et voie de sortie.

* Cf. Fabrication de l'illusion et voie de sortie ; Prédation manipulatoire ; Le contrôle du robot biologique ; Le sens caché du jeu d'échecs.

 

La communication avec l’Invisible (2)

Pour que l’être humain ait accès d’une façon parallèle à la connaissance ou au savoir, du "futur" comme du "passé" qui sont connus des autres plans qui ne sont pas liés à la matière comme l’être humain, il faut qu'il soit totalement démuni d’émotions générées par son mental égotique, son intellect. Si tel n’est pas le cas, la connaissance qu’il reçoit crée dans sa vie matérielle une tension, car il va la juger de manière binaire (j'aime/je n'aime pas, je crois/je ne crois pas, bonne/mauvaise pour moi...). Il est ainsi totalement désorganisé, désorienté telle la Tour de Pise qui penche d'un côté, et parfois l'énergie de cette information peut créer chez lui la folie… Ceci entend que l'être humain ne peut pas penser et recevoir de l'Information cosmique en même temps. S'il pense, son canal récepteur d'information est dilué, et il ne peut jamais se fier à 100% à cette information qui sera plus ou moins faussée, puisque la force de prédation se cache derrière ses pensées, le laissant croire à son libre arbitre. C'est bel et bien l’énergie de l'émotion qui brouille la réception de l’information, qui requiert pour sa justesse une fréquence vibratoire épurée de tout parasitage subjectif - le champ du "point Zéro" - propre à l’être humain égoïque, égocentrique, égocentré, prisonnier car illusionné du monde des formes. Or, lorsque l'être humain veut et cherche à savoir et à comprendre, il est automatiquement sensible sur le plan psychique, ouvrant de cette manière le canal de prédation qui le manipule et le leurre.

Et comme le monde des esprits (l'Astral) n’est pas le Monde de la Lumière (le Champ cosmique), la plupart des communications que reçoit l’humanité qui en provient est sujet à haut risque, à haute dangerosité. Ceci explique que la plupart, la quasi-totalité des médiums et channels qui entrent en communication avec des Intelligences extraterrestres, sont conduits soit à former des cercles fermés élitistes par la croyance en leur supériorité sur autrui même si elle est dissimulée par leur bienveillant discours Amour et Lumière, soit à devenir des "évangélistes" ou des "prophètes" qui veulent changer la façon de vivre et de voir, et changer la nature de la civilisation (les gourous enseignants et fondateurs de sectes). Ce ne sont pourtant que des illusions, qui débouchent sur une grande manipulation des foules naïves via conférences, livres, fascicules et autres outils à caractère ésotérique. Quant à l’être humain qui n’est pas conscient de la provenance de l’Intelligence universelle et de l’énergie du Vivant, l'humain matérialiste, il se sent intelligent par son esprit rationaliste, croyant lui aussi naïvement qu'il ne peut être manipulé par la réalité invisible.

Ce n'est que par le processus de l'individuation* qu'il pourra petit à petit commencer à concevoir le phénomène de manipulation, par sa capacité à comprendre la faculté intuitive de son intelligence en rapport direct avec l’invisible, dont le fruit et le but n’ont aucun rapport direct avec le besoin profond de sa personnalité, ÊTRE et non paraître. C'est par cette transmutation mentale qu'il peut se détacher, jusqu'au moment où il est totalement détaché de toute forme d’inquiétude psychologique humaine en provenance de ses émotions orchestrées par son mental dénaturé.

* Ce processus est inconnu de la plupart des enseignants, académiques comme spirituels (les thérapeutes de l'Astral), puisqu'il leur ferait comprendre derechef leur propre partition involutive au service du système prédateur, les confrontant à leur peur matérialiste de ne plus exister socialement pour sauver autrui...

 

Cette conscience supérieure ou supra-conscience permet à l'être humain, par l'intuition non parasitée, le rêve, la prémonition, de se libérer de ses limites et entraves terrestres et d'exprimer par sa création inspirée sa singularité biologique, à sa juste place, afin de jouir de la matière sans limites. Son mental guidé par l'Esprit universel souverain est alors au service exclusif de la manifestation de sa plus haute version, dégagée des parasites, tentations et autres illusions sources d'égarement et de dispersion d'une psyché sous l'emprise des peurs et des souffrances induite par la prédation de 4ème dimension qui le gouvernait jusqu'alors. Enfermé dans le monde sensible, c'est bien pour en sortir en vue de parvenir à un monde ultra-sensible qu'il change de conscience pour trouver la certitude de l’Éternel - l'"éther-nité") en lui. Soulevant le "voile de l'oubli" par cet éveil aux hautes fréquences spirituelles, il peut alors être aligné avec le programme de son âme *, et en assurant la déprogrammation de ses vieilles mémoires civilisationnelles viciées (la réunification), être désormais conduit vers la conscience la plus pure et le meilleur chemin pour accomplir avec perfection son programme de vie sur Terre.

* Cf. Le cheminement de l’Âme.

 

Le voile de l'oubli

C'est le mécanisme spirituel qui nous maintient dans la réalité tri et quadridimensionnelle involutive, cachant la réalité des autres dimensions et de notre conscience supérieure afin de nous permettre de vivre pleinement la condition humaine sans les réminiscences perturbantes de nos vies passées. Ce voile fait partie du corps subtil de chaque humain, expliquant que tout éveil ne peut être qu'individuel. Il s'appréhende par l'hémisphère droit du cerveau, en lien avec le corps énergétique. La reprogrammation intracellulaire de notre ADN (Cf. étape 5) permet de le dématérialiser, révélant des aspects précis de notre personnalité multi-dimensionnelle.

 

Les états de perception du divin

Dans la réalité tridimensionnelle source de densité, l'être humain en mode "Service de Soi" se définit à ce qu’il est et pense être, soit sur le plan matériel (voiture, maison, terrains, possessions, argent), sur le plan social (famille, santé, relations, centres d'intérêt), et sur le plan professionnel (métier, études, carrière, rang hiérarchique). Il peut aussi être poussé à avoir une certaine forme de vie religieuse, exo ou ésotérique, lui permettant d'exprimer les émotions et sentiments du cœur. Sa spiritualité est cependant très liée au mental, qui entretient la vision duale entre le Paradis inaccessible en cette vie et l'enfer de sa réalité terrestre, suite de malentendus, de coups du sort et d’acharnement de la fatalité.

Puis, en s'éveillant, il va commencer à comprendre la supercherie qui lui a fait gober Lucifer et ses maléfices *. Il commence à lâcher prise et se détache des conceptions lourdes qui l’empêchent de suivre son cœur, ses intuitions et ses ressentis. Il aspire à être en paix, à vivre dans la joie de la simplicité, de l’humilité, de l’intégrité, grâce à un discernement qui n’est plus basé uniquement sur son mental. Il remet en cause les fondations de ce qu’il pense être, fait du ménage intérieurement, et en assume la pleine responsabilité quand ça se matérialise extérieurement. Il a pleinement conscience qu’il est plus qu’un mouton que le système tond et de tout ce qu’on lui a raconté sur son compte. Il ose se lever et marcher selon les voies et voix qu’il ressent en lui, même s’il est rejeté par son entourage. Il s'attache à vivre en conscience, afin d’être présent à sa propre divinité que l’on appelle le Soi, l’Âme unifiée, l'Ange *².

Lorsqu'il pénètre dans la cinquième dimension, passé en mode "Service d'Autrui", il est prêt à se présenter devant l’énergie Christique qui règne en maître dans le Grand SOI. Il est prêt pour la "crucifixion" définitive de son moi et sa "résurrection" au Soi, car il sait par son cœur que sa divinité personnelle - son Soi supérieur - touche La Source en direct. Il a emprunté le chemin de l’Unité intérieure, nourri de paix intérieure et d'amour inconditionnel. Il ne cherche plus à convaincre pour avoir raison ou pour sauver d’autres que lui. Il EST dans sa simplicité, tout étant simple quand on s’abandonne totalement à cette intelligence innée située en son cœur.

* Cf. La dualité décodée & Fabrication de l'illusion et voie de sortie.

 

Étape 3 : la conscience de l’Âme

 

Progressivement gommée depuis des siècles en Occident du référentiel théologique chrétien, assimilée confusément à l'esprit, et déniée par le rationalisme de la révolution rationaliste dite des pseudo "Lumières" comme attentatoire à l'esprit moderne, l’Âme, pourtant seul canal d'accès par la pratique de son auto-observation à la vraie réalité de l'être humain, peine à murmurer aux oreilles des consciences fermées sur la délivrance éternelle des chaînes de la matière qu'elle porte en elle, les mémoires de l'épopée civilisationnelle viciée. Si elle gère le corps humain de façon subtile et se reflète dans notre caractère, elle commande aux cellules par l'ADN spirituel, enregistrant les nouvelles mémoires lumineuses propices à la guérison des maux et limitations qui nous entravent. La seule possibilité d'y accéder est l'accès par la conscience au Moi (ou Soi) supérieur, au Moi Christique, afin que l'Esprit universel la nourrisse, établissant alors le Soi divin.

 

Essence de notre personnalité, l’Âme se manifeste et crée tant dans le monde physique que dans le monde spirituel. En communiquant avec elle par le biais d'une guidance intérieure que d'aucuns nomment "les guides de Lumière", nous acquérons une grande sagesse et la paix intérieure. Elle ne s'impose à nous qu'avec notre plein consentement. Par la pratique d’auto-thérapies nourricières d'amour et de pardon, nous pouvons progressivement la nettoyer des traces des chocs émotionnels de toute nature qui l'empêchent de s'exprimer en toute puissance, barrée par l'ego-mental castrateur.

Cf. Qu'est-ce que l'Homme ? & Le cheminement de l’Âme.

 

Comment entrer en contact avec ses propres guides, sa propre guidance ?

1 - C'est le besoin d'établir ce contact qui entraîne le contact, et ce généralement lorsque nous sommes au "pied du mur", en prise avec une épreuve source d'intense souffrance. Elle va faciliter la nécessité absolue de communication avec nos guides. Cette communication étant intérieure, elle est très difficile compte tenu de notre situation aux abois, dans un stress ambiant, et avec une biologie dénaturée et atrophiée par toute la pollution générale et les toxicités qui s'y trouvent, notamment sur le plan alimentaire. C'est un défi, nommé par la Tradition "Le voyage du Héros", qui requiert une énorme motivation.

2 - Il est impératif de se faire confiance, de s'aimer et de ne pas être en guerre intestine comme avec autrui. Cette communication est en effet très subtile, et de ce fait très fragile. Dans un climat hostile, le contact devient très difficile, les causes pouvant être l'alcool, la drogue, la prise de médicaments anesthésiques chimiques, la colère, la violence etc. Il nous faut être calme et en paix intérieurement.

3 - Il s'agit ensuite d'établir le silence en Soi, en se détachant au mieux du bruit de fond incessant. Autant dire que la qualité du sommeil est déterminante, en veillant à la purification du lieu (limitation des ondes électromagnétiques issues d'appareils électroniques), à la suppression de toute prise chimique ou autre toxicité polluante (alcool, tabac), et à la durée du sommeil, sa prise avant minuit étant bénéfique car réparatrice (minuit est à l'épicentre des deux grands cycles ascendant et descendant du sommeil). 

4 - Il convient d'aménager régulièrement des moments de solitude et de grand calme dans la journée, a minima de l'ordre de la demi-heure, en privilégiant le contact avec la Nature (marche, jardinage) et ses composants minéraux, végétaux et animaux. 

5 - Laisser nos guides s'exprimer entend un mode de communication qui se situe dans une autre dimension, le contact s'établissant par notre ADN vibratoire. Les messages n’arrivent pas directement dans notre cerveau, car ce sont nos corps dits subtils qui reçoivent les messages. La réalité matérielle de ce flux de communication est électromagnétique à travers une grille quantique universelle, les impulsions traversant nos différents corps en mode sortant comme entrant. C'est notre cerveau, en terminal de chaîne et simple application d'enregistrement, qui en décode le contenu. Selon les personnes, cette perception sensorielle se présente sous forme visuelle, sonore, au niveau du toucher, ou parfois du goût et de l'odorat. C'est par les sens que nous recevons les réponses et, parfois, leurs questions. C'est pourquoi la fréquentation de la nature facilite notre communication sensorielle avec notre corporalité.

6 - L'observation de notre sensibilité et des synchronicités est comme la lecture de nos mails, car lorsqu'une personne appelle ses guides ils répondent toujours. Reste à en accueillir la manifestation par le discernement.

 

Ce qu'il faut comprendre c'est que nous ne sommes pas ici pour réinventer les voies du Vivant, de Ce Qui Est*. Elles sont déjà ouvertes. Si chacun de nous est en résonance de façon différente avec les énergies multidimensionnelles, c'est en trouvant la voie énergétique qui nous convient que nous trouvons notre groupe d’âmes et pouvons graviter. Il n'y a de ce fait de voie meilleure qu’une autre, sauf que certaines voies, corrompues et affaiblies, conduisent à l'involution et aux limbes du Temps. Plus nous sommes près de la Source, désintoxiqué des pollutions psycho-émotionnelles intérieures comme extérieures, plus notre connexion est pure.

* Cf. Évolution de civilisation (1) Le mécanisme de l'Univers & Symbolisme des neuf premiers nombres.

 

La liberté ou la conformité

La vraie vie est la liberté de l’Âme unique car réalignée, c'est-à-dire réunifiée de toutes ses divisions ou fracturations sous forme d'alter, ces entités énergétiques éclatées au sein du champ astral par les traumas psycho-émotionnels issus de son voyage terrestre (l'apprentissage du Jeu du Vivant par les incarnations de l'âme dans la matière viciée). C’est pourquoi il est tellement satisfaisant pour nous d’être dans une énergie lumineuse lorsque notre âme se libère de l’ego qui, sous emprise de la Force archontique des Ténèbres le dominant, a succombé aux diktats de la société, de la Matrice asservissante. Quand nous rompons avec la conformité, nous devenons le vrai nous, soit un être de lumière créatrice en mouvement. Lorsque cette lumière pénètre dans le courant de l’âme unifiée, elle devient une force puissante. Si nous nous soumettons à une exigence sociale contrôlée par l’ego dévoyé par le prédateur qui s'en nourrit, nous ne pouvons répandre notre lumière. Nous devenons une copie conforme d’un soi mort qui alimente la basse fréquence de la désunion et de la destruction à travers notre partition involutive (les rôles successifs de bourreau, victime et sauveur associé à l'un ou l'autre *). Nous ne donnons rien à l’âme nourrie par l'Esprit universel, notre Double lumineux, qui vit auprès de nous. C’est la destruction de la force vitale de l’âme.

* La profession d'avocat en est typiquement représentative. Nous pouvons d'autant mieux comprendre pourquoi elle est tant choisie par les politicien(ne)s, par-delà le complément monétaire procuré ou la reconversion opérée.

 

Être conscient d'être conscient

 

"L’homme est à la fois le plus proche et le plus éloigné de lui-même"

Augustin d'Hippone ou saint Augustin (354/430), philosophe et théologien chrétien romain

 

L'expression "conscience de soi" peut avoir deux sens :

1. Elle désigne la connaissance qu'a l'homme de ses pensées, de ses sentiments et de ses actes.

2. Elle désigne la capacité qu'a l'homme de faire retour sur ses pensées ou ses actions.

Généralement on considère que la conscience de soi est le propre de l'homme.

La conscience de soi institue l'homme comme un sujet, c'est-à-dire comme un être entretenant des rapports particuliers au monde et à lui-même, qui le distinguent des autres espèces vivantes.

Pour autant, "on" n’aura expliqué la conscience que lorsque cela aura été fait en termes ne faisant pas intervenir le mot ni le concept de "conscience". En effet, la vraie conscience c’est de n’être séparé de rien. C'est pourquoi avoir conscience de soi-même, c'est être conscient d'être conscient. La conscience de soi est le résultat du mouvement de retour sur soi de la conscience qui se prend elle-même comme objet, qui voit l'esprit faire retour sur lui-même. C'est ce geste de retour sur soi de l'esprit qui constitue l'essence de la "prise de conscience", et l'on peut donc caractériser la conscience d'objet comme conscience réflexive.

 

Y a-t-il simple homonymie entre la réflexion (réfléchissante) du miroir et la réflexion (pensante) de l'homme, ou cette ambivalence s'explique-t-elle par une structure commune ? Ce retournement sur elle-même de la conscience est le phénomène que le prêtre jésuite français, chercheur, paléontologue, théologien et philosophe Pierre Teilhard de Chardin (1881/1955) appelle "le Réfléchi". Il voyait l’humanité prendre progressivement conscience d’elle-même et de ses possibilités sur une terre rendue de plus en plus petite sous l’effet de la croissance d’une population humaine toujours plus serrée sur elle-même, donc plus "échauffée" psychiquement, de ce fait plus consciente d’elle-même. C'était une vision prophétique de la mondialisation, qu’il appelait "planétisation".

 

Étape 4 : la conscience de l'indispensable nettoyage intérieur

 

Implants, empreintes, ancrages, mémoires cellulaires, miasmes, engrammes, liens, parasites, interférences, blocages... Quels que soient les vocables, l'être humain est porteur de nombre de dysfonctionnements psychiques et émotionnels qui entravent son ouverture de conscience à une dimension supérieure. Même la science médicale occidentale, très réticente à toute considération métaphysique, reconnaît désormais par la neurogenèse le lien entre la nature des pensées et leur effet sur les gènes moléculaires*. Ces entraves sont aussi bien logées dans les spirales de notre ADN que dans les tréfonds de notre inconscient. Elles peuvent également provenir des groupes culturels et sociaux auxquels nous appartenons.

Leur conscientisation permet alors d'établir une intention de nettoyage préalable à un changement de programmation, qui passe par un travail tant sur le corps que sur la psyché (mental conscient et subconscient).

* Cf. L'expérience émotionnelle.

 

Chercher la vérité

En cherchant inlassablement la vérité sous les couches de déchets sociaux et émotionnels qui se sont accumulés autour de nous, nous finissons par voir la poésie intérieure de notre âme. Notre lumière intérieure est brillante et vraie, prête à se partager avec le monde. C'est pourquoi nous avons à être notre soi véritable, et permettre aussi aux autres (les humains-âmes, non les portails organiques *), d’être ce qu’ils sont. Quand nous sommes notre véritable essence, il n’y a rien à craindre, car nous sommes alors en parfaite synchronie avec la vibration de notre source. Cette source, c’est l’amour pur et inconditionnel.

* Cf. Les acteurs de la Matrice falsifiée.

 

Déconditionnement

 

Les habitudes, traditions (du latin traditio, tradere, de trans "à travers" et dare "donner", "faire passer à un autre, remettre"), mœurs, rituels, obligations... ne font que perpétuer le passé dans le futur, contribuant ainsi à maintenir en place la matrice de 3ème dimension.  Aussi le cheminement libératoire consiste à démanteler toutes les fausses croyances ou croyances limitantes, à réinterroger et à déconstruire mœurs, religions, habitudes, traditions, croyances, devoirs, obligations... afin d'ouvrir des brèches sur de nouvelles réalités permettant de lire la nouvelle réalité que propose la Conscience supérieure. Alors l'être humain peut commencer à percevoir ce qui lui était jusqu'alors invisible, impalpable et inexistant. Et au plus il persévérera d'arrache-pied dans sa quête, au plus cet "invisible et impalpable" lui deviendra tangible et concret.

Ces schémas de pensées, nichés au plus profond de notre ADN cellulaire, relèvent incontestablement de comportements mécaniques et programmés, soit des conditionnements générateurs d'illusions*, dans la psyché tant par le prédateur manipulateur de 4ème densité de réalité que de ses relais terrestres inféodés*². Leur déconstruction doit permettre la résonance de notre nouvelle fréquence vibratoire.

* Cf. Fabrication de l'illusion et voie de sortie.

*² Cf. Contrôle mental & Prédation manipulatoire.

 

Mécanisation

La mécanisation à outrance de la vie de l'humain dans son quotidien opère uniquement par automatisme, machinalement : parce qu'il faut le faire, parce que c'est bien, par convention, par devoir, par obligation, par morale, par culpabilité, pour faire comme les autres... tout cela pour ne pas être pointé du doigt comme le vilain mouton qui voudrait sortir du troupeau.

Tant qu'il reste inféodé à un mode mécanique ou technologique, l'homme n'utilise pas ses capacités, son intelligence, son intuition innées. Aussi seul un travail conscient peut être utile dans toutes les entreprises vers la quatrième voie. L’homme mécanique ne peut pas fournir de travail conscient...

 

Il s'agit bel et bien de s'employer sans répit à déconstruire tous nos programmes de mécanisation et d'attaches émotionnelles* qui nous menottent à cette matrice, afin que la résonance de notre nouvelle fréquence vibratoire puisse offrir à l'humanité la possibilité de renverser son système entropique de l'intérieur, et ce en le débusquant au sein même de notre ADN, bien au-delà de ses fonctions apparentes. C'est en ce sens que s'exprimait le philosophe arménien Georges Gurdjeff (1866/1949) cité par son comparse Piotr Ouspenski : "Aucun travail de la quatrième voie ne requiert une aide mécanique. Seul un travail conscient peut être utile, dans toutes les entreprises de la quatrième voie. L’homme mécanique ne peut pas fournir de travail conscient."

* Cf. Libération émotionnelle.

 

De la constatation, ou l'art du désengagement

Constater signifie reconnaître l'état d'une chose ou d'un phénomène, établir un fait, sans appliquer un jugement personnel quelconque. L'acte de constater* implique de ce fait par la simple observation du fait en question une prise de conscience de soi, autrement dit une application double de l'attention à l'objet et à soi-même. C'est pourquoi elle requiert toute l'impartialité dont on est capable, afin que ne dégénère cette disposition de sa maîtrise intérieure. Elle s'entend aussi bien pour la constatation extérieure, lorsque l'on observe de manière active (par notre choix) ou passive un ou des objets extérieurs y compris soi-même, que pour la constatation intérieure, lorsque l'on observe là encore de manière active ou passive un ou des traits, des faits ou des phénomènes de sa propre vie intérieure. 

Cette attitude, nécessitant un effort conscient dirigé simultanément vers l'extérieur et vers l'intérieur, est incontournable de la lutte permanente et sans relâche contre l'emprise de la somnolence mentale, la perte de conscience de nous-même, qui caractérise l'homme extérieur à lui-même. Elle permet la "deuxième Naissance", naissance de l'Individualité, c'est-à-dire jonction indissoluble de sa Personnalité, développée et née, avec
son Moi réel*².
C'est le moyen précieux pour rejeter en grande partie les représentations fausses que nous avons de nous-même. Aussi, pour connaître cette image de l'Individualité, de sa spécificité autour de laquelle gravitent toutes ses qualités et tous ses défauts, rien de mieux qu'un simple exercice fait avec deux glaces, notre image dans un miroir qui est renversée (le droit y devient gauche et vice-versa) tout comme qui fait apparaitre notre profil la rétablissant à sa juste valeur.

C'est de cette manière que nous apprenons progressivement à explorer notre contenu moral, en constatant que le principal a été relégué quelque part dans les coulisses de l'âme, et en découvrant que nous sommes essentiellement un égoïste prêt à justifier devant lui-même, au besoin par
les procédés les plus faux de rationalisation, n'importe quel état d'âme que nous jugerions méprisable ou criminel chez autrui. Ainsi, par cette impitoyable introspection du mensonge qui gît en nous, se révèle la constatation que nous avons peur de ce que nous sommes en réalité. Rien de bien surprenant, étant donné que l'homme extérieur est né dans le mensonge, vit dans le mensonge et meurt dans le mensonge. Seul le profond travail du "V.I.T.R.I.O.L."*
³ est susceptible de nous conduire hors de cette caverne pleine de bêtes féroces - la prédation -, dans lequel nous vivons. L'homme sur le chemin d'Ascension ne pouvant plus être porteur d'une image mensongère, c'est à ce prix du polissage intérieur que nous pouvons cesser d'être un homme extérieur, devenant alors comme un enfant, dépouillé de mensonge et d'illusion, de tout l'artificiel que son instruction, son éducation et l'expérience de la vie ont déposé en lui. C'est là le sens des paroles de Jésus : "je vous le dis en vérité, si vous ne vous convertissez et si vous ne devenez comme les petits enfants, vous n'entrerez pas dans le royaume des cieux" (Matthieu, XVIII, 3).

Alors seulement, pour participer pleinement à la grande transition et parvenir à surfer sur la vague de changement sans en pâtir, il convient  d'observer les événements, y compris les plus spectaculaires sur le plan émotionnel (ainsi la décapitation sur le trottoir d'un professeur enseignant à la sortie de son collège), avec détachement, en ne cédant ni à la panique ni à la colère. De la même manière, il est indispensable de ne pas s'impliquer dans un conflit, qui d'aucune façon ne nous concerne sauf si nous l'autorisons. C'est la condition pour être épaulé et protégé par les Forces bénéfiques, et ce aussi longtemps que nous respectons ces recommandations, celles-ci étant à même de nourrir les émotions constitutives de notre véritable force, celle de compassion intérieure qui engendre un rapide changement dans notre réalité (si cette force est dirigée vers l'extérieur, contre quelqu'un ou quelque chose, elle se transforme en colère, débouchant sur une inévitable confrontation ou lutte qui conduit à un émotionnel destructeur).

C'est pourquoi nous n'avons pas à nous préoccuper du jeu de tous ces psychopathes qui sont en train de détruire le monde, et éviter à tout prix de nous y confronter. Par le simple fait qu'ils se déchaînent en public, ils se révèlent, et se sabordent d'eux-mêmes !

* Il  a pour base et pour point de départ le précepte général de Jésus aux disciples : "ce que je vous dis, je le dis à tous : Veillez" (Marc, XIII, 37).

"A celui qui vaincra, je donnerai... une pierre blanche sur laquelle est inscrit son nom nouveau que personne ne connaît si ce n'est celui qui le reçoit" Apocalypse, II, 17.

*³Visita Interiora Terrae, Rectificando Invenies Occultum Lapidem ("Visite l’intérieur de la terre et par des rectifications tu trouveras la pierre cachée", soit la véritable médecine).

 

Les illusionnés de la Matrice prédatrice n’y verront malice, et qualifieront de pisse-froid les contempteurs du pacte que, par tacite reconduction, la plupart d'entre les hommes renouvellent chaque fin d’année avec la force prédatrice, les retenant prisonniers dans la Caverne de la Force sombre archontique telle que décrite par Platon. C’est en fêtant et en célébrant leur propre asservissement par les artifices déployés que replongent dans le grand bal de la niaiserie humaine les ignorants, les peureux, les tièdes et les paresseux.

Cf. Prédation manipulatoire & Symbolisme et artifices de la Matrice.

Déconditionnement du traditionnel "festif"

Ainsi convient-il de revisiter le programme ancré en soi de fêter saint Nicolas, Noël, nouvel An*, les Rois, saint-Valentin, Pâques, pot de départ divers, fête des voisins ou de la musique…, c’est-à-dire tous les rituels de fête assujettis à la matrice en mode "Service de Soi", et dont les raisons occultes nous ont habilement été dissimulées et maquillées. Ceci vaut aussi bien pour ceux et celles qui y croient que ceux et celles qui, n'y croyant pas ou plus vraiment, perpétuent ces traditions par obligation familiale et/ou sociale, de peur de ne pas faire comme tout le monde, par attachement, par culpabilité, par habitude, pour faire marcher le commerce...

Ils comprendront, peut-être, que ces traditions basées sur un tissu de mensonges et propagandes séculaires ne servent au final qu'à nous enorgueillir de fausses politesses, nous noyer sous les cadeaux, nous gaver de gâteaux et de sucreries… Autant de faux semblants qui alimentent le système prédateur en nous affaiblissant sur le plan énergétique et en nous maintenant esclaves de nos illusions.

* Ses origines remontent à 2000 ans avant Jésus-Christ, voyant les Babyloniens célébrer la fête d’AKITU qui marquait l’arrivée de la nouvelle année au mois de mars, lors de l’équinoxe du printemps. Les festivités s’étendaient sur 12 jours pendant lesquels on réaffirmait sa loyauté au souverain en place. Tout comme les Babyloniens, les Romains célébraient la nouvelle année au mois de mars, mais le réformateur Jules César décida de porter le premier de l’an au 1er janvier, en référence au dieu Janus représenté par deux visages, l’un regardant vers l’arrière, ce qui symbolise le passé, et l’autre vers l’avant, soit l’avenir. Lors de la nouvelle année, les Romains lui faisaient des promesses.

 


Retour indispensable au seul sens de la fête chrétienne, celui du cœur

 

Conscience et protection du prédateur interne

 

Le prédateur logé au fond de notre psyché n'est pas le fruit du hasard de la vie. Pour en comprendre l'origine, ce que nous qualifions de cerveau reptilien apparait depuis la nuit des temps sous emprise d'entités exo-terrestres ou extra-dimensionnelles*. Elles sont situées au départ dans une autre dimension, la 4-D, puis dans notre dimension en 3-D par le truchement de notre subconscient. Ce n'est qu'en possédant une conscience élargie du puzzle multidimensionnel de l'univers*² que nous pouvons obtenir les clés de sortie de la gigantesque programmation collective qui, dans la plupart du temps, par le biais d'une méthode d'hypnose de masse, ne fait qu'entretenir la psychopathie humaine*³ et ses affres, l'asservissement, la peur et la souffrance. En usant de toute la panoplie des blessures de l'Âme découlant des modes d'expression du moi-ego non individué - bourreau, victime, sauveur -, c'est la forme de manipulation mentale la plus efficace qui soit.

* Cf. La nouvelle religion universelle, Les acteurs de la Matrice falsifiée & Comprendre et apprivoiser la prédation.

Cf. Univers en partage.

*³ Cf. Contrôle mental, Le modèle pyramidal décodé & Les psychopathes qui nous gouvernent.

 

Il est indispensable de se protéger des attaques psychiques de ces parasites de 4ème densité, tout particulièrement en réduisant sa dépendance aux technologies numériques, qui génèrent des champs électromagnétiques propices à leur parasitage, ce qui se traduit par le fait de commettre des actes irréfléchis, illogiques ou déraisonnables (pulsions insensées et incontrôlées), ou à devenir colérique ou susceptible, ou encore à ressentir une fatigue chronique et l'incapacité de réfléchir. Il importe de ne pas alimenter de rancune envers autrui, ni de jugement envers soi-même, dans la mesure où nous ne sommes pas responsable des pensées générées dans notre esprit par l'esprit du prédateur, celui-ci infectant les consciences les plus faibles, c'est-à-dire indécises, confuses, douteuses, dans l'incapacité de faire confiance en leur Soi supérieur. Car ne pas  reconnaître son existence ou croire que nous en sommes protégé permet à l'épidémie psychique de contaminer notre entourage sans difficulté, cette entité psychique parasite étant potentiellement toujours quelque part, prête à tourmenter quelqu'un autour de nous. C'est en révélant sa nature et en observant son influence à l’œuvre, dans notre environnement, chez autrui comme en nous-même, que nous créons un bouclier de protection grâce à l'exercice contemplatif permanent de notre Soi intérieur. Ceci constitue la plus puissante pratique d'exorcisme chamanique qui soit, à même de nous permettre de revenir à la pleine souveraineté de notre Être.

 

Désengagement émotionnel

 

Il est à comprendre que chacun(e) arrange "sa réalité" au fur et à mesure de "sa propre expérience", de par ses croyances et ses conditionnements. Il en découle que chacun fait face, à sa manière, aux évènements qu'il attire dans sa vie par la nature de ses pensées. Et il y répond par la façon dont il perçoit puis interprète dans le champ morphogénétique ce que les circonstances lui présentent. Il attire alors à lui des situations "bonnes ou mauvaises", avec lesquelles il est en résonance parfaite. Mais seulement s'il n'y a pas de résistance à les assumer et les traverser qu'il peut se sentir naturellement en harmonie avec lui-même. C'est donc en atteignant cet état de non-résistance que nous pouvons commencer à changer "notre réalité".

Ainsi l'expérience en 3ème dimension de densité terrestre a pour but de nous aider à dépasser notre condition actuelle, qui est encore de stade primitif. Pour la dépasser, la transcender, afin de ne pas être dans la réactivité émotionnelle source de tensions, de conflits, il importe chaque fois que nous observons une réaction de rejet - le reflet de l'effet miroir - dans un contexte particulier, précis, ou en présence d'une personne, de découvrir ce qui détermine notre charge émotionnelle du moment. Cette compréhension et notre détachement, notre dés-implication émotionnelle, sont le chemin pour atteindre un état de confiance, de sérénité et d'harmonie, soit notre vraie nature existentielle qui, elle, n'est pas programmable.

 

Pour ce faire, il nous appartient de dépasser les deux états propres à notre programmation astrale, celui de victime fataliste et impuissante d'un alter ego, ou au contraire de bourreau de ce même alter ego. Le véritable travail n'est de ce fait pas de refouler ou de rejeter nos responsabilités sur autrui pour les fuir dans ces moments ou situations inconfortables, mais d'en prendre conscience avec détachement. Et, si possible, de les mettre sur table et de les exprimer afin de les regarder avec lucidité, avant que d'en permettre l'évacuation, l'éradication !

Il s'agit bel et bien de transformer nos colères enfouies, constitutives de "décharges émotionnelles" gênantes à vivre, pour des fréquences de résonance plus constructives, créatives, positives ou bénéfiques. Elles vont ainsi s'enregistrer dans le nouveau champ morphogénétique du mode "Service d'Autrui" comme germe de conscience de 4ème densité, celui de la nouvelle humanité, permettant de "modeler notre nouvelle réalité". C'est ainsi que l'être humain s'éduque à devenir conscient afin de fabriquer ou modeler la substance pré-plasmatique, avant qu'elle puisse devenir une réalité densifiée dans son propre présent. La réalité se crée bel et bien à partir de signaux réels, virtuels comme imaginés que nous laissons parvenir au cerveau, nos réactions face à ces signaux n'étant basées que sur des perceptions ou des informations.

 

Tel n'est pas le cas pour les individus "ordinaires", loin de pouvoir assumer ce travail dans la mesure où "l'opinion publique" détermine leur réalité comme quelque chose de défini, de mesurable, quantifiable, palpable, visible, entendable…, mais jamais comme une probabilité réalisable. Celle-ci ne peut devenir une nouvelle réalité que lorsque l'âme agit dans sa recherche, la plupart du temps inconsciente, de fusion avec l'Esprit. C'est le sens du travail proposé dans l'état de méditation, de relaxation profonde, de sommeil, celui-ci incluant les rêves. Mais seule la Connaissance de la réalité multi-dimensionnelle de l'univers permet d'activer le processus consistant progressivement à percevoir ou lire les autres plans de "réalités". Tant qu'ils sont rejetés par le consensus civilisationnel "scientifique" en vigueur, considérant qu'ils ne peuvent pas être mesurés, quantifiés, prouvés au prétexte qu'ils semblent "incroyables" et "impossibles", l'être humain ne peut réussir son individuation, émancipé de ses chaînes psychiques asservissantes.

 

Il en va de même pour notre planète terrestre. Après avoir été isolée pendant une très longue période et grâce au travail en cours produit en réseau par nombre d'êtres humains pour l'élévation de leur fréquence vibratoire, la planète sera à nouveau raccordée à la "structure universelle réelle".

 

Nettoyage mémoriel

 

Ce nettoyage des mémoires intracellulaires est difficile et douloureux. Difficile car ces mémoires sont logées dans le subconscient (l'inconscient). Difficile car elles sont en provenance d'une multitude de sources qui se sont succédé depuis notre venue au monde (parents, famille, éducatif, relationnel de toute nature, représentation institutionnelle diverse), du transgénérationnel familial (lignée généalogique), des différents égrégores collectifs (locaux, nationaux, internationaux dans leurs différents domaines - politique, religieux, économique, sportif, culturel... -), et des mémoires liées à d'autres incarnations lorsque nous y portons crédit. Douloureux, car elles nous confrontent à nos blessures émotionnelles et autres traumatismes psychologiques découlant de peurs enfouies en nous. Douloureux, car elles nous obligent à sortir de l'apparente carapace protectrice que nous nous sommes construit en mode survie pour y faire face. Tous les êtres humains ne sont pas prêts à l'exigence de ce travail, à se confronter avec leur propre miroir, préférant le déni et la cohabitation plaintive * avec leur mal-être existentiel.

* Le statut de "victime", pour inconfortable soit-il, permet de recevoir l'attention dont nous manquons.

 

Transmutation intérieure

C'est l'indispensable descente aux Enfers*, la descente chamanique dans le monde souterrain, pour lutter contre les démons qui s'y trouvent. C'est le démembrement du corps, le décollement de la chair, le dépouillement jusqu'à l'os, suivis de la reconstruction du soi sur une autre fondation, une fondation de vérité et d'intelligence spirituelle. Cette sensation, cette épreuve solitaire au cours de laquelle l'âme est pesée par le soi, finalement et complètement, est effrayante, réellement. Vue par ce qu'elle a vraiment fait jusqu'alors, tout au long de ses voyages précédents et même dans cette vie, nous voyons à quel point la vérité nous fait défaut, en raison de toutes les croyances inculquées et promulguées par la Matrice d'appartenance, et soigneusement entretenues par nos émotions et par les tromperies du prédateur interne qui nous convainc que nous sommes "bons" sinon "purs", que tout est "Un", ou à l'inverse "mauvais" par la malchance, la méchanceté des autres ou de la vie.

Effectivement, on voit qu'il y a bien une "unité", mais la lumière qui est vécue à ce niveau de réalité n'est que la gueule noire et béante de notre ombre qui aspire et dévore tout. On voit que le véritable Amour n'est guère manifesté – ou si peu – à ce niveau d'être. On voit que toutes nos illusions sur la bonté, la vérité et la beauté sont des mensonges. Ce sont des masques dissimulant la prédation. Et cette initiation, cette épreuve de transmutation, est si horrifiante que peu réussissent finalement à la surpasser, tant le prix à payer - la rencontre avec le prédateur que nous sommes - est effrayante et impossible à assumer, puisque c'est forcément "l'autre" (le destin, le hasard, papa et/ou maman,...) qui est responsable.

* Cf. Le Jeu de la Vie & Le chemin alchimique.

 

La lance de Longinus

Même si l'histoire de Jésus telle que racontée n'est pas avérée, loin s'en faut, la crucifixion du Christ recèle tout de même un enseignement essentiel. Elle symbolise la difficulté du cheminement de l'individu candidat au service d'Autrui et non plus de lui-même. C'est pourquoi le chemin de croix du Christ est une métaphore de toutes les épreuves initiatiques que nous vivons dans notre chemin d'ascension de conscience. La lance de Cassius Longinus*, en perçant le flan du Christ, symbolise le déversement hors du corps de toutes les mémoires émotionnelles – donc cellulaires – accumulées durant la vie terrestre.

La coupe, qui d'après la légende recueillit le sang du Christ, est le Saint Graal, plus exactement Saint-Greal, son étymologie signifiant de sang real (royal). Ce vase mystique qui, selon la légende contenait le vin que but Jésus à la dernière Cène, est le "saint bol", représentant l'ensemble des mémoires d'incarnation qui sont résolues avant notre changement de dimension. Il  est l'image des croyances libérées, laissant place à la Connaissance, symbole de l'être humain réunifié à l'issue de sa quête du trésor ("treize ors") qui est en lui. Séparé de lui-même par l'identification à l'égo, il a réuni tout ce qui était épars - sa fragmentation en alter -, et par la fusion de ses polarités masculine et féminine, a accédé à sa supraconscience, le Soi supérieur. Il peut désormais poursuivre son expérimentation de Ce Qui Est dans une autre dimension de conscience.

* Du nom du soldat légionnaire la portant, devenu saint Longin dans l’Église romaine. Adolphe Hitler avait à son époque découvert l'existence de trois autres lances "sacrées" en Europe : l'une au Vatican, une deuxième rapportée à Paris à l'époque des croisades, une troisième dans une église de Cracovie en Pologne. Mais la lance de Longinus a une particularité, avec un clou à sa poignée. Elle passe pour avoir servi de talisman puissant pour Constantin le Grand, le premier empereur chrétien de Rome, pour Charles Martel qui repoussa les Arabes en France au VIIIe siècle, pour Charlemagne et pour le saint empereur romain Frédéric Barberousse. Selon la tradition, tous ceux qui l'ont possédée ont connu la victoire. C'est pourquoi ces qualités mystiques avaient fasciné Hitler, persuadé que sa montée au pouvoir avait été aidée tant par la magie noire que par la lance de Longinus.

 

Le meilleur moyen de puiser dans les souvenirs de nos mémoires passe par le ralentissement des ondes cérébrales à une fréquence utilisée en hypnose, celle équivalente à l'état de méditation. Ces ondes dites alpha, plus lentes, facilitent automatiquement l’accès aux souvenirs de nos possibilités passées et futures, lesquelles sont fondées sur notre position présente dans l’espace-temps. Lorsque nous méditons, nous ralentissons aussi notre fréquence vibratoire afin d’accéder à certaines parties de notre conscience et à l’énergie environnante, pour atteindre un état de conscience dépassant notre état d’éveil actif normal. Si nous sommes capable d’élever notre fréquence vibratoire, ce que nous pouvons faire facilement en passant de l’état bêta à l’état alpha ou thêta, nous pouvons voir ce qui, dans notre mental, est prêt pour un changement.

 

Étape 5 : la reprogrammation de l'ADN

 

L'ADN* détiendrait ainsi le secret de la Vie pour chacun, l'homme comme tout autre élément de la Création - Ce Qui Est - étant considéré comme un hologramme de celle-ci selon le concept d'unicité de l'Univers. Il est l'outil de la véritable transformation alchimique, qui ne concerne ni l'or ni le plomb, mais l'ensemble de nos programmes génétiques. Et c'est ce que les véritables alchimistes, les rares ayant accompli le Grand Œuvre, ont laissé de manière codée dans leurs écrits hermétiques pour ne pas qu'ils tombent entre les mains de lecteurs ordinaires*². Ils nous ont laissé une procédure à découvrir au fur et à mesure de la progression de notre propre alchimie intérieure : celle de la délivrance puis de la métamorphose de notre ADN aux fins d'acquérir une véritable puissance magnétique capable d'attirer et de solidifier d'invisibles éléments astraux – les ondes et particules – dans nos quatre corps (le corps physique, génétique, spirituel/éthérique et celui de la Conscience) qui déterminent les quatre composantes de la manifestation humaine en 3ème et 4ème densité.

En l'état de la science dite "positive", les généticiens sont dans l'incapacité d'y trouver les codes de la conscience, tout simplement parce qu'elle ne nécessite pas des séquences identifiables comme l'ADN "normal" qui codifie la protéine. Ils sont subtils, au même titre que nos sens subtils par rapport à nos cinq sens physiques majeurs.

* Cf. Évolution de civilisation (1) Le mécanisme de l'Univers.

Cf. Le chemin alchimique.

 

De la manipulation génétique par nos maîtres prédateurs généticiens

La nature de conscience actuelle de l'être humain est sujette à désorientation et métamorphose des réalités "d’ailleurs", en raison de sa croyance dans le temps chronologique/linéaire et dans l'uni-dimensionnalité. Elle découle de la manipulation effectuée de son ADN originel par de l'ingénierie biogénétique, technologie maîtrisée par ses maîtres généticiens situés dans la 4ème dimension de réalité, le corpus prédateur des Forces involutives. C'est en insérant délibérément à l'intérieur des gènes un segment de code d'ADN non traduit en protéines, autrement dit non codant, qu'a été tronqué le flux de liquide émetteur chimique (les neuropeptides), ayant pour conséquence une combinaison liante à même de déverrouiller des portions importantes de l'ADN pour assurer la réceptivité des ondes de basses fréquences. Celles-ci contiennent inévitablement des virus, entraînant des maladies et dégénérescences sous différentes formes. Ces manipulations génétiques ont aussi servi à générer la non-confiance, la méfiance, la suspicion, autant de fréquences de résonance de la peur destinées à submerger l'être humain pour qu'il ne puisse pas percevoir ni chercher à comprendre la nature de la réalité qui constitue son environnement quotidien. Il en découle que la plupart des humains sont devenus très facilement manipulables par leurs croyances dans les idéologies distillées, les élites institutionnelles gouvernantes profitant de cette faiblesse. L'objet de cette manipulation est bel et bien de susciter un démantèlement psychologique et social de masse, qui conduit une frange largement majoritaire de la population dans l'insécurité, la non-confiance en soi, la suspicion envers l'autre, et la peur paralysante. Ces individus inconscients de Ce qu'Ils Sont vraiment sont ainsi conduits à toujours remettre leur avenir personnel entre les mains d'une "autorité extérieure", qu'elle soit religieuse, politique, ou toute autre nature institutionnelle. C'est de cette manière que sont contrôlées toutes les strates de la société humaine dans le monde, expliquant leur inévitable corruption.

 

L'ADN, l'acide désoxyribonucléique, est une macromolécule biologique de nature électromagnétique qui contient le code génétique de notre identité corporelle, celle qui nous rend unique, à travers ses deux spirales* supports de stockage de l'information génétique nécessaire au fonctionnement de l'organisme. La science classique la circonscrit au corps physique et aux caractéristiques de caractère, tempérament, attitude, comportement, aptitudes et potentialités telles que validées par les neurosciences et la psychologie. La science métaphysique ou traditionnelle l'élargit aux "directives spirituelles" contrôlant tout l'être humain, faisant intervenir les notions d'âme, d'esprit, de réincarnation, dans un rapport au temps non plus linéaire mais intemporel. Les croyances de chacun comme le ressenti intime décident de la justesse ou non à accorder à cette position, validée ensuite selon le travail intérieur effectué. La réponse appartient bel et bien à chacun !

* En l'état de l'observation scientifique classique, soit la génétique, l'étude des gènes.

 

Des mémoires cellulaires

 

La membrane cellulaire de l'ADN est conçue pour recevoir et absorber les programmes génétiques émis par les rayonnements du cosmos qui nous entourent. Elle est en quelque sorte un "récepteur cosmo-génétique", déterminant notre activité physique et psychologique pour toute notre vie. Autrement dit, elle recèle l'Intelligence de l'Univers -  étoiles, notre galaxie, notre système solaire, phylogenèse, humanité entière, nos sociétés, nos parents et ancêtres -, et l'exprime à travers notre corps. Elle a pour fonction de libérer l'ADN cellulaire de ses anciens programmes (nommés par la métaphysique les annales akkachiques et le karma*), et de réceptionner de nouveaux codes par l'Onde de changement en cours (et sur le point de s'éteindre) pour autoriser l'ADN par l'entremise de l'ARN*² à l'intégrer dans sa génétique. C'est ce que les chercheurs en épigénétique sont sur le point de confirmer.

Ainsi les mémoires cellulaires recèlent notre passé comme notre futur personnel, celui que nous sommes déjà en train de créer en ce moment dans notre présent. Elles constituent notre empreinte cosmo-génétique. Lorsqu’un enfant naît, il reçoit par gravitation une impression de la structure du système solaire, organisme vivant. Autrement dit cet enfant est "bombardé" par un paquet d’informations provenant de l’Intelligence de l’Univers. Et cette impression vient "recadrer" l’engramme générique déjà présent avant la naissance.

* Cf. Le cheminement de l’Âme.

L'acide ribonucléique messager, ARN messager ou ARNm, est une copie transitoire d'une portion de l'ADN correspondant à un ou plusieurs gènes. L'ARNm est utilisé comme intermédiaire par les cellules pour la synthèse des protéines. Le concept d'ARN messager a été émis puis démontré par Jacques Monod, François Jacob et leurs collaborateurs en 1960.

 

Si nous retenons l'hypothèse d'existence de l'ADN "spirituel", invisible à l'observation scientifique, l'information concernant notre hérédité ancestrale, nos vies antérieures et notre famille d'état de conscience y figure. Tant que nous n'actionnons pas ce code, nous sommes limité à notre ego-mental et à ses croyances, et vivons avec les dysfonctionnements qui nous affectent la plupart du temps à notre insu, ou qui peuvent surgir à l'occasion de certains traumatismes physiques (accident) ou émotionnels (événement ou personne qui nous affectent).

 

La nature biochimique et électromagnétique de l'ADN, soit des substances chimiques fabriquant des acides aminés, permet par ses propriétés semi-conductrices un travail de reprogrammation ou réinitialisation intracellulaire*, tout particulièrement sur les cellules souches ou maîtresses en provenance de la moelle osseuse, prioritaires dans le rapport à la maladie et la régénération du corps (équilibre hormonal, élimination des toxines, longévité...). Ainsi, par les pensées positives, le ressenti du bonheur, du bien-être, de la reconnaissance, nous pouvons activer de par l'effet de résonance harmonique les gènes bénéfiques et circonscrire ceux qui ne le sont pas, en comprenant toutefois que nous ne les obtenons pas mais les recevons par l'interaction avec l'onde de fréquence supérieure qui s'approche si la vibration est alignée (des changements psycho-physiologiques apparaissent)... Nous pouvons également activer les banques de mémoires à même de nous délivrer des informations jusqu'alors inconnues, et découvrir comme activer des talents non identifiés.

* Le travail de reprogrammation intracellulaire est comparable aux protocoles usités en thérapie individuelle ou collective, soit l'écoute active et la formulation de phrases et de mots ayant un effet vibratoire intérieur. Chaque méthode et praticien thérapeute étant spécifique, il est conseillé de faire jouer son discernement pour trouver la réponse adéquate à soi-même, la meilleure réponse étant de mettre en œuvre son propre pouvoir d'intention.

L'étude de ce travail relève de l'épigénétique, discipline de la biologie qui étudie les mécanismes moléculaires qui modulent l'expression du patrimoine génétique en fonction du contexte.

 

L’ADN vivant

 

Notre ADN est aussi vivant que n’importe laquelle de nos cellules. Il agit et réagit en fonction du milieu afin d’être en accord avec les forces de vie. Lorsqu’il est à bout de souffle suite aux nombreux traumatismes causé par nos comportements alimentaires, émotionnels, mentaux et spirituels, il arrive à un point de non-retour qui entraîne inéluctablement la mort physique. La plupart du temps, hors enchaînement de causes qui échappent à notre compréhension limitée (accident, attentat, meurtre…), nous ne mourrons pas parce que c’était prévu, mais parce que nous faisons tout pour y arriver par nos inconséquences. S’il existe plein de manières pour tenter de rénover nos fondations biologiques, la seule véritablement efficiente porte sur notre ADN.

Celui-ci comporte en l’état de la connaissance scientifique deux brins "solides", caractéristiques de nos monde et état de dualité et correspondant à notre vibration atomique dans le monde en 3-D où nous nous trouvons. La science métaphysique, rejetée par notre culture rationnelle occidentale, en rajoute dix, correspondant aux douze plans de création enseignés et qui sont en nous*. Ces deux brins fabriquent les molécules "vitaminiques" dites acides aminés. Les autres plans sont des plans magnétiques, où sont stockées les informations nécessaires pour faire fonctionner toute notre machinerie biologique, tout particulièrement celle de nos sens subtils permettant d’accéder moyennant leur ouverture à la Connaissance globale. Autant dire qu’en l’état de nos croyances et conditionnements elle est significativement limitée, même si nous ressentons de plus en plus la nécessité de nous extirper des limitations qui nous contraignent et asservissent.

Aussi le travail porte sur le déblocage du "code d’accès" propre à chacun de ces plans par les centres énergétiques - autrement appelés chakras - qui permettent au corps humain sa reliance à l’univers, au Grand Tout. Les deux premiers brins d’ADN correspondent aux deux premiers centre énergétiques - chakra racine et chakra sacré -, l’un étant la force de la Terre qui garantit la cohésion matérielle du corps, l’autre concernant la reproduction sexuée. En d’autres termes, le premier porte sur la survie individuelle du corps dans la matière, et l’autre sur la survie collective d’une espèce au niveau d’un clan, d’une tribu, d’une famille. Le développement biologique à réaliser concerne désormais le troisième brin d’ADN, celui du troisième centre énergétique lié à la survie au niveau collectif global, inter-ethnique comme inter-espèce. Tant que nous n’accepterons pas la diversité, la différence des autres humains et des autres formes de vie, notre évolution biologique sera limitée. Ce désir d’évolution, caractéristique du chakra dit du plexus solaire, puise dans le quatrième centre énergétique, celui du cœur (chakra du thymus), siège de l’amour inconditionnel.

Pour y parvenir, il est indispensable de vivre en conscience le troisième brin d’ADN sur le plan atomique et moléculaire, afin de le matérialiser. Autrement dit de spiritualiser la matière. La conséquence est la fiabilisation progressive de sa clé de décodage, qui permettra d’aller lire consciemment ce qui s’y trouve, par-delà les limites de l’ego-mental. Dans cet état de conscience particulier que permet notamment la méditation, nous ouvrons l’accès à de l’information nous indiquant la marche à suivre, et traçons ainsi un chemin parmi la jungle informationnelle qui nous habite.

Le "Nouveau Monde", celui de l’éveil à notre version élevée, divine, correspond au passage à la dimension 4-D/5-D, celle de notre âme, qui vit dans l’amour inconditionnel parce qu’elle n’est plus sous la direction du dictateur qu'est le troisième chakra, celui de l’ego-mental qui vit en 3-D. Cette dimension supérieure suppose l’activation du chakra du cœur et du chakra laryngé, porteur du souffle créateur, de l’intention créatrice dans la matière. C’est un lâcher-prise, celui des lourdeurs aussi bien mentales, émotionnelles, spirituelles que physiques.

* Cf. Clé de débridage de notre codeur interne.

 

De la protection de l'accélérateur mortifère du virus Sars-CoV-2

Comme la plupart des virus, le nommé Sars-CoV-2 - Covid-19 par l'Organisation Mondiale de la Santé (OMS) pour la maladie qu'il entraîne - provient des poussières cométaires, pénétrant via les portails trans-dimensionnels. Toutefois, il ne devient pathogène qu'avec le déploiement de la technologie numérique sans fil 5-G*, procédé tant biologique qu'électromagnétique qui devient ravageur lorsqu'ils sont associés. Forme-pensée comme tout élément constitutif du Vivant*², le grand rêve psychique constitutif de Ce Qui Est*³, un virus est de ce fait à considérer avant tout comme un vecteur de changement. En effet, dans la mesure où il se greffe à l'ADN, il offre la possibilité d'une mutation génétique "bénéfique" à l'évolution de conscience humaine, et ce à partir du moment où l'individu contaminé "accepte d'accueillir" cette mutation comme quelque chose de bénéfique ! Le virus chinois n'est donc dangereux que pour celui qui ne l'intègre pas comme une possibilité de mutation, et qui lutte contre lui, d'autant plus sous l'effet de la peur. Et il devient encore plus dangereux par sa synergie avec les fréquences de 3600-3800 MHz propres à la technologie de la 5G, qui plus est associées aux adjuvants contenus dans les "vaccins saisonniers" et aux fréquences qui affaiblissent l'immunité des "individus ordinaires" inconscients des effets de ces ondes. La technologie 4-G comme 5-G n'est pas seulement responsable de la chute de l'immunité chez l'humain, elle l'est pour l'ensemble du vivant. Elle a pour objectif de bloquer tout le processus épigénétique du monde vivant de 3ème densité.

* Cf. Contrôle mental.

Cf. Fonctionnement de l'architecture du Vivant.

*³ Cf. Le Jeu de la Vie.

 

Le rôle de l'ADN dans l'accès à la supraconscience

L'évolution de la recherche scientifique en biologie ne cesse de démontrer l'intrication de tous les éléments vivants qui constituent la biosphère. L'ADN en serait l'élément constitutif, même si cela va à l'encontre de la doxa occidentale. Ce phénomène qui échappe au regard rationnel (en l'occurrence celui de la tradition matérialiste établie par les naturalistes des dix-huitième et dix-neuvième siècles) n'est en réalité perceptible qu'en état de conscience modifiée, plus exactement "défocalisée". S'il n'est pas possible pour l'instant de mesurer l'émission de photons dans les neurones d'un être humain qui est sujet à hallucinations après la prise d'une substance type ayahuasca, la communication biophotonique entre cellules a été déjà démontrée en laboratoire, constituant une propriété remarquable (parmi tant d'autres) de cette molécule qu'est l'ADN.

Ceci suggère, comme hypothèse en l'état, que l'ADN décrit par les scientifiques correspond aux essences animées communes à toutes les formes de vie, celles dont parlent les chamanes et avec lesquelles ils communiquent dans leurs transes. L'ADN et sa machinerie cellulaire constituent bel et bien une technologie hyper-sophistiquée qui démontre que la vie ne se limite pas à "un phénomène physico-chimique normal", la longueur astronomique de l'ADN contenu dans un corps humain - deux cents milliards de kilomètres - le démontrant amplement. Cette "corde céleste" à l'intérieur de nous est certainement assez longue pour relier le ciel et la terre ! Ses longues chaînes d'acides aminés accomplissent quasiment toutes les fonctions essentielles des cellules : elles attrapent des molécules pour les assembler en structures cellulaires, les démontent pour en extraire leur énergie, transportent l'oxygène et d'autres éléments nutritifs entre les cellules, et forment des récepteurs capables de capter des molécules ultra-spécifiques.

L'ADN est un texte contenant de l'information, lu et transcrit en ARN-messagers alimentant les ribosomes, ces véritables ordinateurs moléculaires qui traduisent les instructions grâce au code génétique et construisent le reste de la machinerie cellulaire. Quant aux chromosomes qui se dupliquent et s'assemblent par paires, les deux ensembles de chromosomes s'alignent le long du plan central de la cellule, et migrent vers leur pôle respectif, chaque membre de chaque paire se dirigeant toujours dans le sens contraire de son compagnon. Comment ceci peut-il se dérouler sans qu'il n'y ait une part d'intention, de ce fait de conscience ? Notre propre conscience étant le fruit de la nature, cette dernière peut-elle ne pas être consciente ? C'est bel et bien le "postulat de l'objectivité" qui empêche ses praticiens de voir quelque intention que ce soit dans la nature, l'affirmation par la biologie moléculaire que 97% de l'ADN dans notre corps est de la "camelote" (junk DNA) attestant son degré d'ignorance. Le principe vital étant animé, ceci entend que la nature dans son ensemble est capable de communication*.

* Cf. Fonctionnement de l'architecture du Vivant.

Cf. en complément sur l'ADN Évolution de civilisation (1) Le mécanisme de l'Univers & Décryptage de l'Ego.

 

Reconnexion à l’ADN

 

Chaque couche de l’ADN a une qualité qui est, dans la majorité des cas, indissociable du fonctionnement des autres. Ainsi par exemple le deuxième chakra, soit le corps énergétique, affecte le corps physique (maladie, santé), dépendant du corps émotionnel (joie, peine) ainsi que du corps mental (pensées, mémoires, idées préconçues) et du corps spirituel (croyances associées). Dès que l’une des couches réagit, l’ensemble des autres est mis au courant instantanément. Si nous pouvons regarder chaque couche isolément pour mieux sentir quelle est sa qualité, nous ne pouvons la traiter comme une pièce détachée isolée du reste.

Ceci signifie que la reprogrammation de l’ADN suppose un état de conscience global, unitaire, non un travail d’approche et de modification spécifique, impossible tant la machinerie de ses rouages est subtile et complexe. Ceci ne ferait qu’entretenir les illusions de l’ego-mental, persuadé qu’il peut obtenir ce qu’il désire. Nous ne pouvons modifier aucun rouage de l’ADN, notre mécanisme d’unité, sans aboutir inévitablement à son arrêt. Il n’est qu’à voir le nombre d’attaques bactériologiques et virales (vaccins, coronavirus…), chimiques (nourriture, pollution, médicaments…), rayonnantes (radioactivité, rayons X, wifi, tél portable, antenne radio…) et contraignantes (infos, religions, enseignements, éducation…) que nous subissons pour comprendre combien notre ADN est surprotégé contre toutes les corruptions de l’ego, individuel comme collectif. L’ADN est bel et bien le moteur quantique de l’Unité, l’UN, la Source en action.

Aussi, pour qu’il exécute nos ordres parfaitement, il faut apprendre à communiquer avec lui, non pas avec les parasites du mental mais dans la paix intérieure, dans le calme intérieur, qui est le langage de l’UN, le langage universel. Ceci n’est possible que lorsque le degré de respect et d’amour envers nous-même atteint un certain seuil vibratoire, lorsque nous lâchons les lourdeurs, les ralentisseurs en tous genres qui affectent tous nos corps ou chakras. Incarnation de l’UN en nous, il possède toutes les informations nous concernant, a toute autorité à enclencher les programmes d’activation de la conscience. Il n’a aucun jugement de valeur, raison pour laquelle il est important d’accepter toutes les parties qui nous composent. En les acceptant totalement, nous ne faisons que nous reconnecter avec notre ADN, que recâbler ce qui a été coupé et séparé par une dualité incomprise. En coupant les liens de ce qui nous affecte, nous nous reconnectons au sentiment unitaire qui est le pilier central de l’UN. Faire Un avec nous-même, c’est faire Un avec la totalité de ce qui fait que nous sommes unique. En le mettant en œuvre à chaque instant, nous marchons sur notre chemin intérieur, dans notre légende personnelle. Nous sommes l’UN en action, ce qu’il y a de plus sacré au monde. Le respect de la vie est la clé de voûte de cet ensemble. Sans respect, il ne peut y avoir harmonie. Et sans harmonie il ne peut y avoir unité. Et sans Unité, il ne peut y avoir une fréquence d’amour capable de permettre l’accès à notre ordinateur intérieur, la conscience de l’UN. En s’aimant soi-même, le reste nous est donné de surcroit.

Cf. Le chemin vibratoire.

 

La transmutation génétique de l'âme

Les avancées de la biologie cellulaire démontrent qu’il existe des fragments d’ADN à l’intérieur d’un gène qui ne sont pas traduits en protéines, c'est-à-dire qui sont des régions non-codantes. Elles sont comme un flux tronqué de liquide en sa qualité d'émetteur chimique (neuropeptide), conduisant à une altération de la conception*. Ces séquences intervenantes, nommées "introns", se trouvent dans le pré-ARN messager (ou ARN précurseur), avant d'être éliminées par un processus d'excision programmé qu'on ne retrouve donc pas dans l'ARN mature. Si ceci apparait comme un mystère, ces fragments semblent cependant être un phénomène très commun. Même si la science n'en valide aucunement la possibilité, ces fragments établissent une zone segmentée des composés marqueurs signifiants, autrement dit une "unité tribale" permettant d'établir un profil de l’union physiologique/spirituelle d'un même groupe d'âmes. Ce profil détermine la tribu à laquelle appartient l'être humain, une tribu spirituelle et non nécessairement physique. Elle lui permet de s'y développer en fonction de certains critères, puisque le fait d'être membre d’une unité tribale établit une connexion aux autres membres du groupe via l’ADN, ou les signaux, ou les fréquences, qu’ils soient incarnés ou non !

Dans certains cas, il existe également une composante super-sensorielle, résultant de la mutation menée extérieurement par l’âme de l’occupant elle-même. Il en découle que si une âme choisit un corps ou trouve une fréquence proche correspondant à un corps qu’elle veut utiliser, elle peut également modifier ce corps pour ses propres besoins si c’est nécessaire, et si la correspondance d’ADN n’est pas tout à fait à son goût ou par rapport à ses objectifs. Elle induit de cette manière une mutation. Pour ce faire, différents processus doivent être mis en œuvre, comme un régime alimentaire adéquat permettant d'augmenter la puissance et les potentialités du corps, ainsi que le fait de contracter une maladie nécessaire à cette mutation. En effet, c'est l'occasion pour l'âme de déclencher la modification de l’ADN *² !

L'activation en conscience de nos gènes aux fins d'une transformation physique est indispensable à la réussite de la transition vers la 4e densité orientée "Service d'Autrui" avant que d'ouvrir le passage et l'accès à la "5-D", le Nouveau monde. C'est pourquoi les limites aux transformations du corps physique - grandir, rajeunir, changer son apparence physique ou ses capacités... - sont liées aux aptitudes du récepteur, à sa capacité en conscience de recevoir plus de quelque chose. Autrement dit, son aptitude à fusionner avec L’Esprit cosmique, par la connexion du système nerveux central aux niveaux plus élevés.

* Un segment de code d'ADN non traduit en protéines, autrement dit non codant, est délibérément inséré  à l'intérieur des gènes afin de tronquer le flux de liquide émetteur chimique (les neuropeptides) assurant une combinaison liante à même de déverrouiller des portions importantes de notre ADN, et d'assurer la réceptivité des ondes de basses fréquences. Comme il provient d'entités parasites, il contient inévitablement des virus, leurs non-conscientisation et prises de mesures adéquates (type régime alimentaire) entraînant des maladies et dégénérescences sous différentes formes.

Les chercheurs de l'Université de Lind en Suède ont établi que les virus convertissent leur ADN sous forme liquide afin de faciliter l’infection cellulaire, la phase de transition advenant à 37 °C, c’est-à-dire adaptée à la température du corps humain (c'est le cas de l'herpès et de la bactérie E. coli dans le tube digestif, objets de ces études publiées dans la revue scientifique Nature Chemical Biology and PNAS). C'est de cette manière qu'ils réussissent à éjecter de l’ADN dans les cellules de leur victime. Le fait que tous les deux aient montré une habileté à convertir leur ADN afin de faciliter l’infection indique que ce pourrait être un mécanisme général que l’on pourrait trouver dans de nombreux types de virus.

 

Du système de nourriture

Le mode d'alimentation établit le profil génétique de l'humain-âme et du support ou portail organique*. Ce dernier se retrouve abondamment dans le végétarien ou végétalien, qui privilégie la diète de légumes au régime carnivore. En effet, la plupart des végétariens s'imaginent que manger d’une certaine manière va changer la nature ou la destinée ou les tendances de l’âme. Or manger n’est pas du tout un problème spirituel, c'est une chose pour le corps. Et manger d’une manière optimale consiste à donner au corps le bon carburant pour contribuer de manière optimale à l'expression du potentiel âme*², et non manger pour supporter une illusion ! C'est ainsi que nous obtenons l’énergie optimale en mangeant des créatures qui mangent des légumes. Si tel n'est pas le cas, il en résulte un intestin perméable, caractéristique d’une défaillance de plusieurs systèmes comme le déséquilibre chimique cérébral. Ceci explique chez nombre d'individus les problèmes de leur ligne génétique spécifique non respectée, son expression ayant été altérée après des années d’abus de cette conception du système alimentaire*³.
Ils oublient la raison d'être de la chaîne alimentaire, qui voit les végétaux manger de la roche, les animaux manger des végétaux et pour certains d’autres animaux. De ce fait, leur corps génétique tend vers la nature animale, d'autant plus pour celles et ceux qui ont une nature végétarienne fanatique. Ils ne veulent pas manger de viande, parce que c’est comme manger leur propre espèce, pouvant dans des cas extrêmes être comparable du fait de leur identification au royaume animal à du cannibalisme. Ce faisant, ils traduisent une personnalité type de suiveur servile de l’autorité ! Leur essence étant animale, ils s’identifient avec cette énergétique, ressemblant à des humains sans en être. Leur empathie va vers les animaux, leur propre espèce spirituelle, et pas pour les humains qu’ils peuvent traiter avec indifférence. Concernant la violence de leurs exactions, il convient de ne pas oublier que les psychopathes sont souvent brutaux envers tout ce qui ne peut pas contribuer à leur but. C'est ainsi qu'il est intéressant de noter que dans le mythe biblique, Caïn l'agriculteur - le "végétarien originel" - devient le premier meurtrier psychopathe de l'histoire en tuant son frère Abel , l'éleveur de bétail...

La clé de compréhension se trouve dans la formule attribuée à Jésus professée lors de la messe chrétienne "Prenez et mangez, ceci est mon corps, Prenez et buvez, ceci est mon sang". En d'autres termes, c'est la clé de la résurrection ou du salut par l’histoire du sang, indiquant que la fonction naturelle de la vie passe par un environnement en équilibre. La Terre est ainsi la Nature, "Grande Mère" qui donne son corps littéralement sous forme de créatures avec un certain niveau de conscience afin de subvenir à ses enfants du cosmos. C’est la signification originale de ces paroles ! Il en découle que manger de la chair signifie manger de la conscience qui s’accumule, qui nourrit notre propre conscience pour qu’elle grandisse en parallèle avec nos corps. En mangeant végétarien, nous mangeons fondamentalement une conscience de niveau beaucoup plus bas. Manger de la viande, désintoxiquées des pollutions chimiques il va sans dire, devrait être un sacrement !

* Cf. Les acteurs de la Matrice falsifiée.
Les plus hauts potentiels de l’âme sont associés avec des problèmes physiques, l’âme étant une forte énergie qui s’exprime à travers le corps. Lorsqu'elle n’est pas heureuse, mal à l’aise ou en désarroi, en grande détresse), il est indispensable de lui donner le carburant optimal et d’apprendre comment traiter les problèmes. Cf. Le cheminement de l’Âme & Conscience nutritionnelle.

*³ Le fait de manger exclusivement des hydrates de carbone et des céréales pendant beaucoup d’années conditionne tellement le corps qu'il est très difficile d’en sortir, ceci atrophiant sinon tuant certains ADN.

 

Thérapie et biologie moléculaire : les alarmes de la MIVILUDES

Les autorités de la science internationale nient avec virulence toute idée de conscience spirituelle de la matière. Selon cette logique imposée, elles n'hésitent pas à pourfendre toute approche thérapeutique y faisant référence, en la qualifiant au besoin de sectaire. Ainsi le rôle de la Mission interministérielle de vigilance et de lutte contre les dérives sectaires en France - la MIVILUDES -, créée en 2002 sous l'autorité du Premier Ministre, et composée d’experts attachés au respect des "valeurs républicaines". Si elle ambitionne de prévenir le plus grand nombre des risques inhérents à certaines pratiques dangereuses pour la liberté, l’intégrité physique et mentale et la dignité de l’homme, non sans raison dans nombre de cas, elle constitue également le fer de lance le plus actif des serviteurs zélés du "Gouvernement Planétaire Occulte"*.

Pour autant, certains scientifiques courageux, tels Jérémy Narby, docteur en anthropologie de l’université de Standford (USA), établissent le lien entre d’une part, la tradition des connaissances ancestrales en matière de biologie, botanique et médecine, et d’autre part les connaissances scientifiques modernes du domaine de la biologie moléculaire. Ainsi écrit-il dans son livre "Le serpent cosmique – L’ADN et les origines du savoir" (Éditions Terra Magna, 1998) : Dans la vision chamanique, la conscience est située au niveau moléculaire. Les chamanes accèdent par différentes techniques à de l’information en provenance de l’ADN. Ils l’appellent "essences animées" ou "esprits".  Les cultures indigènes savent depuis des millénaires que le principe vital est biologiquement unique pour toutes les formes de vie présentes dans la nature. Il ressemble à un double serpent entrelacé. L’ADN constitue la source chamanique du savoir botanique et médical. Cette voie de connaissance ne se révèle que dans des états modifiés d’une conscience défocalisée et non rationnelle. Ainsi les explications métaphoriques des chamanes correspondent-elles aux descriptions que la science occidentale commence tout juste à fournir en matière de biologie moléculaire. L’émission permanente de biophotons en provenance de l’ADN explique l’aspect des visualisations et des "éclairs fulgurants de connaissance" expérimentées durant ces états. La source unique du savoir chamanique est donc bien l’ADN serpentin qui vit dans l’eau biologique cellulaire et émet des photons comme le dragon de la tradition crachait du feu. Ce double serpent aux caractéristiques "gémellaires" est bien matériellement le transmetteur de la création et de la connaissance pour tous les règnes du vivant. Il est présent au cœur de toutes les traditions, mythes et religions car il est la base matérielle de toute intention active".

Le Serpent mythique serait donc bien réel et potentiellement actif en chaque créature indépendamment de son statut culturel. Nous pouvons comprendre pourquoi les écrivains de la Bible*² ont appelé "démon corrupteur" l’Esprit d’un tel Serpent, capable d’enseigner aussi facilement et directement aux hommes la science divine de l’Arbre de vie. La fonction de toute religion a ainsi été logiquement de "masquer" un tel danger potentiel pour le filtrer et le distiller au profit de quelques élus initiés. Cette évolution actuelle du chamanisme ancestral, en liaison avec les découvertes sur la biologie moléculaire, constitue bien un enjeu politique et religieux qui n’a pas échappé aux dirigeants français en alerte, comme le montrent les alarmes de La MIVILUDES...

* Cf. La nouvelle religion universelle.

Cf. Le Judaïsme décodé.

 

Étape 6 : le nettoyage des centres de conscience énergétiques

 

Pour que l'effet de résonance harmonique s'établisse entre notre intention d'ouverture de conscience, les pensées émises et leur ressenti émotionnel, l'expression orale des protocoles de reprogrammation de l'ADN, il est indispensable que notre matrice énergétique propre à notre vécu terrestre comme la matrice énergétique universelle au sein de laquelle nous vivons soient mises en cohérence vibratoire. Aussi les différents champs d'ouverture de conscience énergétiques du corps humain*, autrement nommés chakras par les hindouistes, doivent être purifiés pour le permettre.

* Cf. Voir la présentation plus complète dans L'état de cohérence, voie de sa liberté.

 

Carte des centres des corps* et centres de conscience

Cf. Qu'est-ce que l'homme ?

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Également non reconnus sur le plan scientifique, ces centres énergétiques connus depuis des millénaires dans les pratiques médicales orientales (Inde, Chine, Japon...) permettent à l'énergie vitale de circuler dans le corps. Le mot sanskrit chakra signifie "roue de lumière", soit un mini-vortex (Cf. image) d'environ 3 pouces (7,5 cm) réparti sur différents points du corps et constituant une porte énergétique avec le monde des plans subtils, c'est-à-dire hors de notre réalité en 3-D. L'énergie vitale dite cosmique pénètre dans le corps par le chakra dit couronne ou coronal (fontanelle), avant que de se diffuser dans les autres, tous étant inter-reliés. Ensuite cette énergie s'achemine dans tous l'organisme par les glandes endocrines.

 

Ces centres sont dits inférieurs (sept à partir des pieds jusqu'aux hanches), traditionnels (les sept plus connus), et supérieurs (de huit à treize), les inférieurs tournant plus lentement que les traditionnels et les supérieurs. Leur harmonisation permet celle des organes et de toutes les cellules. Le travail de nettoyage et de purification est également basé sur des protocoles de formulation spécifique, pouvant être accompagnés d'acupuncture et de lithothérapie (utilisation de pierres minérales).

Cf. Fonctionnement du corps biologique.

 

Les centres de conscience énergétique

Centres inférieurs

Chakra des plantes de pied

Chakra des pieds

Chakra des chevilles

Chakra des mollets

Chakra des genoux

Chakra des cuisses

Chakra des hanches

Centres traditionnels

Chakra racine (haut du pubis)

Chakra sacré (nombril)

Chakra solaire (estomac)

Chakra du cœur

Chakra laryngé (gorge)

Chakra du 3° œil (front)

Chakra coronal (fontanelle)

 

Centres supérieurs

Chakra de l'âme

Chakra christique

Chakra divin

Chakra multidimensionnel

Chakra de la création

Chakra suprême


Étape 7 : le travail sur l'égo-mental

 

Cf. Fonctionnement du mental : Esprit global. Fonctionnement des émotions : L'expérience émotionnelle & Libération émotionnelle.

 

Le contrôle tant du mental que de l'émotionnel lié constitue une part très importante sinon déterminante dans le changement de conscience, tant leur programmation est source d'automaticités difficiles à modifier. Il repose sur une forte volonté, un engagement tenace, une vigilance de tous les instants et une discipline quotidienne stricte. Il ne faut pas se le cacher, peu d'êtres humains pris dans les sollicitations diverses de la société des désirs et des plaisirs sont à même de mener à bon port les exigences et les efforts requis, qui supposent la remise en question de nombre d'habitudes, perturbante pour soi comme pour son proche entourage. Ce n'est pas pour rien que ce chemin de transformation intérieure s'appelle le "Voyage du Héros"...

 

Le simple fait de parler de conscience Christique est source de confusion sinon de réticence de par la coloration religieuse qu'elle évoque. Dans une société se voulant rationnelle à l'excès ou attachée à une pratique religieuse spécifique qui célèbre la souffrance comme rédemptrice des péchés, cette projection de conscience suppose un lâcher-prise que l'ego-mental conditionné ne peut facilement permettre. Il en est de même pour appréhender le fonctionnement de l'inconscient, qui par définition fait intervenir un vocabulaire et des référents très éloignés de la vie et des pratiques de tous les jours. Enfin, l'approche par l'âme (via le supra-conscient), concept très peu compris, et le cœur, concept mis à toutes les sauces, suppose une capacité de détachement telle de la prégnance matérialiste qu'elle finit par décourager rapidement l'impétrant entreprenant.

 

Se développant dès l'âge de deux ou trois ans à partir des frustrations refoulées dans l'inconscient, puis de notre éducation, de la société et de l'ensemble de nos expériences et ressentis, l'ego* - le faux moi - est constitué par l'accumulation dans les mémoires cellulaires de l'ADN de toute l'information reçue en provenance de l'extérieur, lui conférant autonomie et quasiment toute puissance dans le pilotage de nos vies si nous n'y prenons garde. Il est très malin pour donner par son emprise l'illusion de notre toute puissance sur les autres et dans les choix de comportement dans notre vie. Il vit en fait dans l'illusion de son inconscience et de de ses croyances erronées, sa perception du réel étant illusoire et instable. Tout le travail vise à le rendre coopératif et ouvert au Moi (ou Soi) supérieur qui le dirige. Cela passe par la réconciliation du Masculin, notre polarité électrique, et du Féminin, notre polarité magnétique, leur union harmonieuse nous conférant la complémentarité de leurs spécificités réciproques.

* Cf. Décryptage de l'égo.

 

L'union harmonieuse

Dans les mythes grecs, le seul couple véritablement accompli est celui de Persée et d'Andromède qui après leur union, partirent combattre le mal et redresser les torts.

Nous retrouvons cette union dans le concept extrêmement ancien de "chaman", qui signifie véritablement union du masculin et du féminin divins, sacrés, en gardant aussi à l'esprit que la plus vieille idée du chaman était celle d'un guerrier luttant contre les forces des ténèbres (la prédation asservissante).

Ce thème a été adapté dans la tragédie romantique par William Robert Shakespeare avec Roméo et Juliette, qui raconte l'histoire de deux jeunes amants dont la mort réconcilie leurs familles ennemies, les Montaigu et les Capulet, qui symbolisent deux lignées de prédateurs.

 

Le non-jugement

 

La réalisation de son unité intérieure est liée à l'état de non jugement de ce qui est. Nous avons à comprendre que dans l'univers, l'obscurité et la lumière, les deux polarités de la dualité*, reçoivent la même quantité d'énergie de la part de la Source originelle. Ceci implique que la polarité de la "lumière inversée", sombre, propre au Moi autocentré, est proportionnelle à celle de la "lumière divine", celle du Soi supérieur. La lumière étant de l'information, elle transporte à part égale autant de mensonges que de vérités. C'est donc au discernement, le juste équilibre entre raison et intuition, et propre à la conscience de l'homme, qu'il revient de faire la part des choses.

L'effet miroir, soit ce que projette à notre encontre un événement ou un (ou plusieurs) individus, nous enseigne et nous apprend à nous extraire du jugement envers autrui. Il nous permet de prendre nos propres responsabilités. Il sert également à conscientiser notre multidimensionnalité pour retourner à l'origine de l'Être.

Il n'est donc nullement question d'opposer la "lumière sombre" à la "lumière divine", mais d'admettre que "l'obscurité" n'est qu'une énergie plus dense que "la lumière", ou inversement la "lumière divine" n'est que le prolongement spectral de la "lumière sombre".

* Cf. La dualité décodée.

 

Dés-identification

Le jeu de la prédation consiste à nous maintenir dans le moi séparé de l'Unité, nous conduisant à juger, accuser et condamner Ce Qui Est, et par effet miroir l'autre, les autres. Comme nous sommes des canaux d’énergie, s'identifier à quelque chose conduit à entraîner l'autre dans notre champ de perception, sans respecter sa propre responsabilité dans l'expérimentation du Vivant. Aussi intégrer notre propre responsabilité consiste à cesser de s’identifier par la sortie de l’émotionnel qui vient troubler les filtres de notre relation à Ce Qui Est.

1. Il s'agit pour ce faire d'abord de réunifier nos alter ou fractales d’âme enfermant les traumas psycho-émotionnels qui les ont constitués tout au long de nos expérimentations de cette densité terrestre dans les états du moi séparé (bourreau, victime, sauveur), autrement dit les rôles karmiques. C'est l'état de compassion, associé à l'énergie du pardon, qui le permettent, la conscience christique ayant pour conséquence de rendre transparentes nos mémoires cellulaires (nettoyage épigénétique) en les vidant du poison toxique qu'elles renferment. Nous modifions ainsi l'état de notre bulle de perception qui interagit en permanence avec les programmes/mémoires des autres.

2. Il s'agit ensuite de progressivement cesser notre identification à tout ce qui nous relie à la matrice en mode Service de Soi 3D - notre corps, notre couleur de peau, notre identité, nos possessions matérielles, nos croyances limitantes, nos attachements (icônes, animaux, famille ...), nos traditions et coutumes, notre culture, nos habitudes et rituels - et ce par la conscience de ce que nous sommes réellement, un esprit relayé par une âme.

C'est en comprenant que notre meilleur enseignant est notre prédateur que nous y parvenons, cessant de le fuir pour collaborer.

 

Résister à l’influence de la masse

Il nous appartient entièrement de décider du degré d’ouverture de notre conscience. Quand nous pouvons nous élever au-dessus du statut de ceux qui nous entourent et les inciter à élever aussi leur vibration, nous éprouvons la satisfaction que nous recherchons comme créateurs du Vivant, non la satisfaction égotique flatteuse et de ce fait vaniteuse. Ceux qui se laissent ballotter sans conscience sont facilement influencés par la conscience de masse (dite égrégore) et ils tombent sous l’emprise de motifs négatifs. Si nous nous laissons ballotter ainsi, nous n’avons aucun pouvoir et nous céderons inéluctablement à la volonté du mouvement de masse.

En tant qu’âme consciente d’elle-même, nous pouvons gouverner notre cheminement et transcender toute vibration qui ne nous convient pas. En reconnaissant les basses fréquences, nous pouvons les éviter ou utiliser la force de notre esprit pour les transformer. Pour cela, il faut avoir une mentalité de dirigeant, non de suiveur. Pour résister à de telles forces, vous devons être conscient du pouvoir de notre âme et de notre connexion aux autres à ce niveau de vibration supraconducteur.

 

De l'usage de la parole

La règle donnée à ce sujet par la Tradition est formelle : elle prescrit de se taire ! Ce n'est pas qu'elle exige un véritable vœu de silence, mais de parler dans des limites bien définies. L'homme doit dire ce qu'il faut, quand il le faut, et à celui qu'il faut. Cela exclu bien entendu tout bavardage,
toute loquacité, toute diarrhée oratoire. Si l'on observe les personnes qui participent à une conversation ou à une discussion générale on constate qu'au lieu d'écouter pour soi, c'est-à-dire pour apprendre et de parler pour les autres, chacun parle pour soi et écoute les autres pour eux, par politesse. Chacun veut placer ses idées et cherche l'occasion propice pour le faire. En attendant que celle-ci se présente, nous écoutons avec plus ou moins de patience et d'attention ce qui se dit. Il en découle qu'un entretien conduit de cette manière est un entretien de sourds dont on ne peut guère apprendre et dont, en général, on n'apprend rien. Chacun des participants, au moment de la séparation, emporte le bagage avec lequel il était venu. Qui plus est, cette sorte de conversation provoque une perte considérable d'énergies fines. Il n'est qu'à se souvenir de la parole christique : "ne donnez pas les choses saintes aux chiens et ne jetez pas vos perles devant les pourceaux, de peur qu'ils ne les foulent aux pieds, ne se retournent et ne vous déchirent" (Matthieu, VII, 6 & XII, 34). En vertu de ses efforts conscients, l'homme s'aperçoit ainsi de la futilité de la plupart des relations mondaines.

 

La vie étant électromagnétique, nous sommes des êtres électromagnétiques, de véritables aimants, qui attirons à nous ce que nous vibrons. Nous attirons de ce fait irrémédiablement les circonstances et les personnes appropriées qui entrent en résonance avec nous. Cela ne peut être autrement. Dans la mesure où seules les croyances et les peurs freinent notre Ascension* vers des paliers de conscience plus élevés, l'effet miroir nous permet de décrypter nos conditionnements inconscients, afin de "mettre en lumière" des émotions refoulées. Pour accepter le processus dans sa globalité, il est essentiel d'éviter de laisser monter toutes critiques envers soi-même ou envers l'autre. Tout préjugé doit être neutralisé.

* Cf. Le chemin de l'Ascension.

 

Résolution karmique

 

Les schémas karmiques, fruits de la totalité de nos incarnations/expérimentations de la matière dans le monde de la 3ème dimension, expliquent les rôles que nous jouons dans notre vie actuelle, nous donnant des indices quant à notre lignée originelle de dominant ou victime, de prédateur ou bâtisseur, qui est dissimulée dans notre génétique (l'ADN) et dans notre subconscient depuis la genèse de l'humanité actuelle.

Pour les comprendre, nous devons d'abord consentir que la vie est cyclique. Que ce soit dans notre famille, avec nos amis, notre travail ou alors avec nos "adversaires", détracteurs, concurrents, opposants..., les problématiques qui sont soulevées en leur présence ne sont que le résultat d'une lutte de notre personnalité/égo qui se répète par séquences, au travers de divers rôles ou situations. Notre existence d'aujourd'hui n'est rien d'autre que la résultante d'un cycle karmique.

De ce fait, nous avons toujours été le même genre de personnage, sous différentes formes (sexe, race...), dans un contexte de plus en plus moderne, maniant des technologies adaptées à notre ligne temporelle. Nous n'inventons absolument rien, car tout est déjà encodé dans notre génétique. La finalité de nos rôles karmiques y est inscrite. C'est pourquoi l'accroissement de l'énergie/lumière déclenchée par le réveil de conscience et sa répercussion dans notre ADN mettra un terme à ce cycle.

 

Ainsi, à travers ses multiples incarnations, l'âme a expérimenté la vie et enregistré les résultats de toutes ses expériences (bonnes ou mauvaises) dans les corps énergétiques qu'elle a habité. Ces résultats retranscrits dans l'ADN, au fur et à mesure du déroulement des vies découlant de ce processus karmique, a recréé des circonstances similaires pour que le cerveau par l'égo-mental puisse les conscientiser, parvenir à les comprendre, puis s'en libérer. C'est pourquoi, nos problématiques d'aujourd'hui de colère, déni, abus, rejet, abandon, soumission, peurs de toutes sortes... sont le résultat de nos actes lors des diverses incarnations de notre âme. Ces problématiques sont dues à la nécessité d'un rééquilibrage de notre karma dans lequel notre âme a joué le rôle de tyran, inquisiteur, bourreau, victime... ce qui correspond à l'expérimentation des deux polarités antagoniques qualifiées de bien et de mal. Le fait de trouver la maîtrise entre ces deux polarités pour vibrer neutre dans son corps énergétique permet ainsi de ne plus reproduire son karma.

Aussi la résiliation des rôles karmiques passe par leur conscientisation et par le fait de ne pas les minimiser. Toutes les expériences, qu'elles soient agréables ou difficiles, découlent de nous-même. Nous les attirons et manifestons uniquement à travers les vibrations de notre corps énergétique. Dès que nous en prenons conscience et que nous acceptons de cesser nos jeux d’incarnation de prédateur, de victime ou de sauveur*, nous entamons notre propre libération. Il devient alors absolument impossible et non négociable d'essayer de continuer à fonctionner avec nos vieux schémas. Dès cet instant, nous devons absolument modifier notre comportement et réajuster nos actes à nos pensées. En alignant nos paroles, actes et pensées sur les vibrations qui émanent de nos corps énergétiques, nous "vibrons" notre vérité.

* Cf. Fonctionnement du corps biologique.

 

L'indispensable rencontre avec sa part d'ombre

L’homme agit constamment pour des motifs obscurs, inconnus à lui-même, totalement contraires à son intérêt existentiel.

Ainsi il est dans son intérêt de prendre des compléments alimentaires de vitamine D, d’oméga-3, de magnésium, d’antioxydants, de silicium, d'iode… mais il ne le fait pas. Il est dans son intérêt d’arrêter de fumer, boire, prendre des médicaments, regarder de manière compulsive des écrans numériques jusqu’à tard dans la nuit… mais il ne le fait pas. Il est dans son intérêt de jeûner, entretenir sa vitalité physique en marchant dans la nature, dormir à heures fixes… mais il mange des sucreries, du fast-food, du pain blanc et autres toxicités alimentaires. Il est dans son intérêt de couper les liens avec des personnes amicales comme professionnelles qui ont une mauvaise influence sur lui… mais il est attiré par elles comme par un aimant. Il est dans son intérêt d’étudier constamment, travailler ses dons et talents spécifiques, économiser avec parcimonie son labeur comme son argent… mais il repousse toujours son travail à plus tard et dilapide ses biens intrinsèques comme son argent dans diverses futilités. 

La question qui se pose à lui n'est donc pas "Quel est mon intérêt ?", mais "Comment parvenir à négocier avec moi-même, pour que je fasse enfin ce qui est dans mon intérêt" ! Il lui suffit pour ce faire de se remémorer la leçon socratique "Apprendre à se connaître soi-même", pour enfin apprendre ce dont il a vraiment besoin. Comme tout aspirant à devenir Ce qu'Il Est vraiment, il doit alors entreprendre tel Ulysse ou Hercule le Voyage du Héros en suivant ses indispensables leçons de mise en œuvre.

Il  lui faut savoir quelles sont ses forces, mentales comme physiques, afin de se fixer un objectif atteignable.

Il lui faut apprendre à se récompenser comme il faut, pour se donner les moyens de continuer les efforts jusqu'au bout, sans se décourager.

Il lui faut apprendre à se reposer, faire des pauses, comme toute personne qui entreprend un projet : "Qui veut voyager loin ménage sa monture."

Il lui faut apprendre à être patient avec lui-même, et se pardonner ses propres erreurs.

Il lui faut comprendre qu’il faut se traiter avec délicatesse, respect, et qu’on ne peut pas se donner à soi-même des ordres, comme à un esclave.

Il lui faut accepter de prendre en compte en la rencontrant sa part d'ombre.

L'ombre est cette partie de lui-même qui veut, qui désire, qui convoite des choses qu'il n'aime pourtant pas dans sa version la plus élevée, lumineuse. Elle le pousse à faire des choses qui sont contre son intérêt, qu'il fait tout en sachant qu'il ne devrait pas, et qu'il va regretter ensuite.

L'ombre, c'est comme une autre personne, malfaisante, qui vit en lui. Elle est opposée à ses propres projets et désirs, et pourtant elle prend régulièrement les commandes et lui fait faire ce qu'elle veut. C'est l'action du prédateur astral*, son double involutif, qui tapi dans la 4ème dimension de densité, le gouverne en le manipulant et le leurrant via son ADN cellulaire dénaturé et son subconscient au sein duquel se trouvent les mémoires de son âme fractalisée, les alter multidimensionnels découlant de ses expériences dans la matière en modes bourreau, victime et sauveur. Autrement dit le moi-personnalité non individué par le voile du non-être jeté à sa conscience.

Aussi la meilleure stratégie pour le dissoudre par la transmutation alchimique*² n'est pas de nier son existence, mais tout au contraire d'essayer de bien le connaître en le rencontrant pour le maîtriser, en l'acceptant et en lui offrant, par la compassion, la voie de sa rédemption par dissolution et renaissance ou transfiguration moléculaire.

C'est l'indispensable plongée dans ses profondeurs intérieures, dans l'abîme obscur de sa Caverne putride car viciée des mémoires karmiques non épurées qui s'y trouvent, pour la rencontre face à face avec le monstre reptilien ou Minotaure qui s'y trouve, Anubis, le gardien de l'Hadès, le Royaume des Enfers, de la Mort. La rencontre suprême avec soi-même, dans son véritable état de conscience, en faisant le choix radical de se dévêtir tel quel avant que de revêtir sa nouvelle tunique, celle de la remontée et ascension vers La Lumière pour, enfin, devenir le Maître dans et de sa maison, dans et de son Royaume !

* Cf. Compréhension de la conspiration prédatrice.

Cf. Le chemin alchimique.

 

C'est en contactant les émotions enfouies* dans notre inconscient, celles que nous évitions jusqu'alors de toucher, que nous nous dégageons de notre fonctionnement d'automate au quotidien. Sortir de l'inconscience est la première étape pour briguer l'éveil, l'amour permettant l'état d'équilibre vibratoire. Il ne peut être réalisé que si notre ADN est déprogrammé de son karma et revenu à la vibration au point zéro, en comprenant que ce jeu karmique a été nécessaire pour enraciner l'Amour au plus profond de la matière.

La paix qui découle de l'amour est un état d'être intérieur, qui répond uniquement à la vibration de résonance parfaitement équilibrée et neutre de notre ADN. Cet équilibre intérieur se projetant dans le monde extérieur devient effectif lorsque la parole et les actes sont en parfaite concordance avec la vibration que nos champs énergétiques impriment dans notre quotidien *². C'est pourquoi il est essentiel de ramener la conscience akashique, le karma, de notre être multidimensionnel dans notre physicalité actuelle, afin de trouver la paix en soi et de pouvoir la vibrer au sein de notre environnement. De cette manière, en acceptant ce processus, nous nous libérerons de nos rôles karmiques obsolètes pour que se modifie notre avenir. En nous laissant guider par notre âme, nous apprenons à nous orienter à travers les multiples potentiels de futur que nous offrent les densités supérieures. La "Nouvelle Terre" est un Monde où les âmes se retrouveront après avoir ancré une vibration de neutralité et d'équilibre les uns envers les autres.

* Cf. Libération émotionnelle.

Cf. L'état de cohérence, voie de sa liberté.

 

L'indispensable rééducation du cerveau

 

Notre paresse mentale et la tendance à la somnolence, cette inertie de la matière, constituent le grand obstacle aux conceptions de Ce Qui Est, de Qui Nous sommes vraiment. Elles nous poussent à des conclusions hâtives et à des généralisations injustifiées. Si nous étudions le mécanisme de l'Univers, autrement dit le "Système des cosmos"*, nous entrons de plus en plus dans le domaine des notions nouvelles. Or ce caractère de nouveauté de notions exige de l'homme un effort conscient qui, sous un certain aspect, est un effort créateur. Et c'est la matière relativement lourde de notre cerveau
qui oppose toujours une résistance à cet effort.

C'est la raison pour laquelle on peut dire symboliquement que chaque conception nouvelle laisse une trace, une gravure mnésique à la surface du cerveau. Et plus la pensée qui formule cette conception est nouvelle et frappante, plus le sillon qu'elle imprime sur le cerveau est profond. La fixation de ce sillon exige une concentration de l'attention et de la pensée, celle-ci devant devenir fine et aiguë comme la pointe d'une épingle pour produire ses effets. Alors peut-elle tracer des sillons
suffisamment profonds pour qu'ils ne se comblent pas immédiatement et pour que la matière cérébrale ait ainsi la possibilité de faire son travail de fixation.

* Cf. Évolution de civilisation (1) Le mécanisme de l'Univers & Symbolisme des neuf premiers nombres.


Cependant, ce processus se heurte à un double obstacle. Le premier est la fatigue mentale, résultat de l'épuisement des réserves de forces nécessaires à la concentration voulue. Cette réserve énergétique est minime chez l'homme extérieur à lui-même, qui vit généralement à la limite de ses forces nerveuses, l'absorption d'énergie étant presque immédiatement compensée par une dépense du même ordre de grandeur. C'est pourquoi cet épuisement quasi permanent des énergies
nécessaires pousse l'homme à abandonner le chemin qui le conduit vers le nouveau, donc vers l'inconnu, pour faire glisser sa pensée le long des voies déjà tracées, selon un processus qui n'exige ni efforts conscients ni concentration.

Le second obstacle provient de ce que la matière cérébrale elle-même oppose une résistance à cette pensée aiguë qui, toujours comme la pointe d'une épingle, la blesse. Il en découle des conclusions hâtives, des généralisations gratuites, des slogans, qui sont les moyens techniques courants par lesquels la partie sombre et inerte de la nature humaine cherche en toute
circonstance à faire abandonner les recherches dans le domaine du nouveau, de l'inconnu.

Pour lutter contre ce double obstacle qui offre des difficultés variables selon les personnes, la technique recommandée consiste d'une part à faire des exercices tendant à accumuler des forces en vue de constituer des réserves d'énergie et, d'autre part, des exercices ayant pour but le raffinement du travail des cellules cérébrales, qui sont dotées de la plus grande permanence dans les limites de la vie du corps. A même d'être éduquées car raffinées, leur sensibilité peut atteindre une puissante acuité. 


Il en découle que l'évolution est en principe possible pour tous les humains-âmes*. Mais y parvenir exige des efforts permanents, conscients et créateurs, à défaut desquels le raffinement des cellules s'arrête. Et généralement, cet arrêt se produit lorsque la formation initiale de l'individu, parentale comme éducative, est achevée. Ensuite commence la vie matérielle, c'est-à-dire l'exploitation de la formation reçue, qui mène trop souvent à une sorte de sclérose mentale, à un "durcissement" du
cerveau faisant perdre de plus en plus à l'homme sa capacité d'adaptation et, à plus forte raison de pénétration, dans le domaine de l'inconnu.
* Cf. Les acteurs de la Matrice falsifiée.

 

L'alignement du cœur sur l'énergie cosmique

 

La vérité est nous sommes tous une essence de la création, Ce Qui Est, les trillions d’histoires que nous appelons rêves éveillés se déroulant dans le champ quantique. Ce champ vivant est appelé l’Esprit divin.

Il en résulte que le nom que nous choisissons et attribuons aux choses comme aux êtres dans notre compréhension de l'univers n'est qu'une construction mentale de l’énergie. Il n’y a pas d’ego* dans la force de la création ! C'est pourquoi il nous est dit dans les Saintes Écritures que "Nous avons créé l’homme à notre image". Aussi est-il indispensable de trouver la Vérité*² en comprenant que le nom n’est pas la connaissance absolue. Et c'est la fréquence vibratoire de l’Amour qui nous rapproche de la Vérité.

* Cf. Décryptage de l'Ego.

Cf. Qu'est-ce que la Vérité ?

 

La nature holographique et morphogénique de toute la création est la force qui agit derrière les actions collectives. Ceci entend que lorsque quelqu’un crie et hurle sur une toute petite partie de la planète, l’énergie se déplace et affecte la vie qui est proche, puis se déplace et se dissipe. Mais l’énergie ne meurt pas. Elle se déplace vers les autres dans une fréquence. Aussi chaque mot que nous prononçons, chaque pensée que nous avons, est une énergie qui affecte et change la physiologie de notre corps ainsi que le champ qui vous entoure.

C'est pour cette raison qu'il est impératif d’éviter les informations répétitives qui sont composées de nombreux mensonges et de scénarios répétitifs, à l'instar des chaînes toxiques d'information continue. L’intention est de provoquer la peur et la division, pour nous faire subir lentement un lavage de cerveau destiné à nous soumettre*. Et ceci bien sûr ce verrouillage est antinomique sur une planète de libre arbitre et de nomination divine.

* Cf. Contrôle mental.

 

Comme la dualité* source de division est le défi constant sur la planète terrestre, la clé est de rejoindre notre pouvoir intérieur afin d'annuler tout ce qui est contraire au pouvoir de l’Un, de l'Unité, de l'Univers. Nous nous dirigeons alors avec sagesse vers l’unité sans obscurité ni tromperie, vers ces forces d’amour, de paix et de grande puissance que sont Les Lumières. C'est notre première nature, notre véritable essence, tout l'opposé des conditionnements reçus à se précipiter, à juger, à réagir et à se venger.

Ce moment est parfait, car nourri de reconnaissance. Il permet de ressentir la joie, appelée sans cesse à grandir et à se développer. En prononçant le mot "Merci", nous pouvons alors sentir notre cœur baigné d’amour.

* Cf. La dualité décodée.

 

Étape 8 : l'Ascension de la conscience

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Quand la chrysalide est appelée à redevenir Étoile

Un jour, la chenille ne mange plus. Elle s’accroche entre des feuilles et tisse un cocon. Elle ne bouge plus, on ne la voit plus. A l’intérieur du cocon, la chenille se transforme en chrysalide. C’est le stade par lequel passe la chenille pour se transformer en papillon.

Ceci entend que la transformation est inévitable, l’humanité devant s'élever de l'humain au genre humain, du personnel au trans-personnel, de la conscience de soi à la conscience cosmique. Tous les humains sont appelés à devoir renaitre à leur vraie nature, libérer l’ancien monde pour entrer dans la liberté d’être.

La période "chenille" de l’humanité, qui jusqu'à présent a mangé énormément et fait souvent des ravages sur son passage, est déjà terminée pour un certain nombre. D’autres sont en plein dedans et détruisent encore beaucoup pour survivre. Mais la transformation est inévitable car elle fait partie du cycle naturel de tout ce qui est : se transformer pour manifester le meilleur.

Une partie de l’humanité est ainsi dans le cocon de la transformation, chaque humain devant mourir à ce qui est connu, souffrir, libérer, se transformer dans le noir sans savoir encore à quoi cela va mener, mais dans la simple foi d’un avenir meilleur. Et un jour, il est prêt. Sa nature profonde de papillon s’est manifesté. Il ne lui reste alors qu’à sortir de son cocon, du noir et de la sécurité d’un petit espace connu pour, après des minutes ou des heures de souffrance qui vont le renforcer, pouvoir voler de ses propres ailes et voir le monde différemment.

Et si certains humains se pensant déjà papillons, impatients, se désespèrent de voir les autres trainer dans leur avancement et aimeraient voir disparaitre toutes les chenilles si viles et destructrices, passant leur temps à les critiquer et à vouloir les détruire ou se détruire, ils ne doivent pas oublier que c’est grâce à ce passé qu’ils peuvent être ce qu’ils rêvent d’être. Il leur suffit de se transformer réellement de l’intérieur, pour que tout change à l’extérieur !

 

Un saut quantique

 

De nos jours, nombres d’auteurs spirituels se disant "canalisés" parlent de saut quantique. A part pour ceux qui ont fait de la physique quantique, qui nous amène dans une autre dimension totalement différente des lois physiques que nous connaissons de la 3-D, cela reste un flou assez conséquent. Ce mot vient de quanta, pluriel de quantum, qui est la quantité indivisible d’une grandeur physique. Elle permet de comprendre le mouvement des planètes autour des soleils, tout comme des électrons autour des noyaux des atomes. Si les planètes restent sur leur orbite, se baladant dans le vide intersidéral comme en suspension, c’est parce que ce que nous prenons pour le vide est en fait plein à ras bord d’une autre énergie, non visible par les télescopes scientifiques. Ceci explique la réalité d’autres dimensions dans l’univers que celle mesurée en l’état de la science dans la dimension 3-D, non visible à nos yeux. Autrement dit de manière imagée, lorsque nous passons d’un état solide à un état liquide, puis de l’état liquide à un état gazeux, et ce instantanément, ceci s’appelle sublimation, soit un saut quantique.

Quand un électron passe à un niveau supérieur d’énergie, cela veut dire qu’il a accumulé une énergie suffisante pour le faire. Cette quantité est équivalente à un quanta d’énergie. Puis, lorsqu’il redescend sur sa piste d’origine, il redonne ce quanta d’énergie sous la forme d’un photon qui est la particule lumineuse que nous connaissons.

Il en est de même pour l’être humain, le passage dans un plan dimensionnel supérieur étant permis grâce à l’acquisition d’une énergie thermique et/ou lumineuse minimale, en l’occurrence l’amour. Le thermique est apporté par le cœur, tandis que le lumineux l'est par l’esprit. Comme en chauffant l’eau liquide pour lui donner la possibilité de devenir vapeur (elle est toujours eau, mais dans un état différent), un changement de plan fait que nous sommes toujours le même, sauf que nous nous sentons léger, débarrassé de toutes les impuretés psychiques et émotionnelles par l’action de l’amour et du pardon de nos culpabilités. La chaleur nous aura donné la possibilité de faire le tri en nous. C’est ce que sous-tend le lâcher prise. Plus vite nous abandonnons nos vieilles conceptions, peurs et appréhensions, plus vite "l’eau va bouillir" et permettra notre changement de plan de conscience.

 

L'ascension de conscience ne repose pas sur une simple assertion, à savoir la puissance d'un esprit transcendantal et la foi qui va de pair, mais sur une mutation génétique dûment scientifique. Certes le mécanisme énergétique de l'action de l'esprit sur l'ADN cellulaire reste une hypothèse non certifiée sur le plan scientifique rationnel. Seule l'observation attentive de ses effets suivant le protocole défini* permet de le valider. L'exigence comme l'engagement personnel dans une démarche de nature spirituelle déterminée, sincère, assidue et persévérante, sont susceptibles de produire les effets liés aux nouveaux schèmes de pensée. Ils sont le gage d'un changement de taux vibratoire plus élevé pour accéder, progressivement, à un nouveau plan de conscience.

* Méditation, écoute intérieure active, analyse des rêves, intuition, visualisation créatrice... à partir de la formulation préalable de phrases et de mots ayant un effet vibratoire intérieur.

 

L'élévation de conscience prend appui sur le centre spirituel de l'être - l'esprit -, son point de conscience avec la "Source universelle" l'amenant à entrer en résonance avec toutes les fréquences vibratoires qu'un état de conscience élargi permet, celles du "Moi Christique" comme du " Moi multidimensionnel" (ou Divin). Cette clé de syntonisation, basée sur l'unité corps-âme-esprit, est le point de rencontre de sa verticalité céleste/terrestre et de son horizontalité transfrontière, soit le cœur. En en ressentant la force vibratoire, et par la clarté et la force de son intention, l’individu se met alors en résonance pour faire chanter sa vie.

 

Mécanisme opératoire

L'Onde de changement
L'Onde de changement

 

Il convient de rappeler la nature du champ éthérique dans lequel baigne la planète Terre, sorte d'onde d'énergie de matière-antimatière en vibration constante. Ce mouvement vibratoire est une perpétuelle alternance du passé-futur, l'antimatière, et devient instant présent, la matière, lorsqu'il est perçu par la conscience*. C'est ce mécanisme quantique, soit un champ de torsion induit par un état de conscience supérieur de nature divine (conscience du Tout, de l'UN par le Soi supérieur), qui enclenche par résonance ce même type de processus, et autorise l'ouverture de fenêtres dimensionnelles dans lesquelles toutes les anomalies génétiques (celles d'organismes génétiquement modifiés qui nous limitent) sont déjà réparées. Ceci engendre alors la possibilité d'un nouveau futur.

C'est ce que traduit l'affaissement en cours du champ magnétique terrestre, qui permet à ce qui est nommé "l'Onde du changement" de transporter par ses particules des nouveaux codes génétiques qui affectent profondément le système hormonal et émotionnel humain et se fixent sur le génome humain. Elle a pour effet que la génétique de certains organismes commence à se régénérer, notamment humains. C'est ainsi que le génome primordial provenant de l'ère paléolithique et pré-paléolithique se réveille dans sa génétique, et se répare spontanément en chacun grâce à l'influence des champs morphogénétiques et  de ces champs de torsion qui réparent petit à petit les parties codées défaillantes.

Et c'est ce ré-encodage du génome primordial qui, à un moment donné, est amené à provoquer l'ouverture d'une porte dimensionnelle, celle-ci s'ouvrant vers un futur non encore réalisé. Ce dernier s'exprime alors en dehors de la matrice en 3-D du prochain cycle préparé pour le "bétail" humain par les prédateurs de 4ème densité (bas astral) et leurs relais en 3-D*².

* Cf. Univers en partage.

Cf. Les acteurs de la Matrice falsifiée.

 

De l’Onde du changement

Elle représente une frontière entre deux mondes de fréquences de résonance différente, point de séparation entre notre réalité en 3-D et une autre, cette fois-ci évolutive (la 5-D). Ainsi, en "changeant" notre manière de penser, de réfléchir et d'agir, il devient possible de devenir créateur d'univers parallèles. En d'autres mots, cela implique d'arrêter de supposer, de ressasser le passé, et cesser d'anticiper un futur qui finalement n'est que celui que nous connaissons déjà, si ce n'est situé sur un plan de fréquences supérieur.

Dans notre 3-D, la conscience se déroule de manière linéaire. Aussi vouloir rester sans penser ou réfléchir au passé-futur est quasi impossible, puisque notre prédateur attitré se charge irrémédiablement de nous ramener dans un espace-temps qui lui est familier. La 4-D + (astral supérieur) synchronise quant à elle la conscience de toutes nos mémoires passées résolues, pour nous offrir le choix de multiples possibilités de "futur", en fait un éternel présent réagencé. Nous avons de ce fait la possibilité de choisir un embranchement de futur à partir de nos expériences et leçons intégrées, alors que sous l'emprise du prédateur, il nous est résolument imposé une vision du futur rassurant pour lui, soit de nature entropique. Cette dernière représente simplement une ligne temporelle pré-établie. Par conséquent, en la refusant, nous ne serons plus tributaire d'une dimension de réalité imposée par le corpus prédateur, mais deviendrons maître et même virtuose de notre propre réalité.

Dans la dimension en 3-D, la conscience crée la gravitation, qui elle modifie la conscience. Ce qui sous-entend que soit notre conscience se croit victime, soit elle se croit maître des circonstances de la Vie. De ce fait, en aucun cas elle ne peut être créatrice. A partir de la 4-D +, une fois créé "naturellement" par gravitation, notre nouvel univers correspond simplement à l'interprétation que nous donnons à son sujet *. Toute la puissance nécessaire à modifier la réalité se trouve dans le centre de conviction de l'esprit, là où la "physicalité" n'est plus une prison mais une demeure que nous pouvons modifier à notre guise. En d'autres termes, un nouveau potentiel de futur débute non pas par le mental, "ce que nous croyons", mais par "une conviction", qui n'est autre que l'intime expérimentation de la réalité telle qu'elle est, et non pas telle qu'on nous laisse penser qu'elle est...

* Cf. Le processus création décodé & La falsification de la réalité en 3-D.

 

Douleurs et fatigue

L'insertion de nouveaux gènes dans le génome a pour effet de réactiver d'anciens symptômes de la programmation astrale. Même devenus obsolètes, ils réveillent parfois les traumas physiques et psychiques qui y sont liés par les mémoires cellulaires. Il en découle des maux - fatigue, douleurs violentes, sensation de perte d'équilibre - qui traduisent le passage du psychisme entre l'ancienne réalité et la nouvelle qui peu à peu prend forme. Ces manifestations physiques comme psychiques, qui ont pour origine des mémoires cellulaires de souffrance, traduisent en fait leur dissolution de l'ADN, avant de laisser place à de nouveaux codes génétiques en provenance du nouveau "futur" - la nouvelle Terre, voyant l'être humain par cette métamorphose divine * redevenir pleinement créateur de sa réalité.

* La métamorphose était dans l'Antiquité le changement de nature opéré par les dieux dans la mythologie grecque et latine.

 

L'Onde de changement de nature quantique exprime de nouveaux codes génétiques sous forme de vagues d’énergie parvenant à l'être humain par déchirure ou brèche de l'espace-temps (de là découlent les odeurs de soufre ressenties à différents endroits du globe terrestre), ainsi qu'avec l'essaim cométaire (son cycle est de 3 600 ans) propulsé par l'Onde. Celui-ci a pour effet un alignement planétaire entre Nibiru, une étrange planète ou objet céleste chargé de fer constitutif de sa gigantesque force, le Soleil et la Terre, ce que les anciennes traditions religieuses appelaient "le temps des tribulations" (l'alignement crée en effet un nouvel amas cyclique d’astéroïdes)*. 

Ces vagues d'énergie transportent par les virus cométaires liés les "mémoires du principe universel" sous forme de codes génétiques, mémoires destinées à se substituer à celles découlant des croyances liées aux religions ou au scientisme forcené de ces deux derniers millénaires. Elles réaniment en l'être humain éveillé l'instinct de survivance destiné à lui permettre de poursuivre son évolution par son passage en 5-D (le retour à l'Un, principe d'unité accomplie). Ces virus, qui proviennent du "fond" du cosmos, ont de ce fait une action bénéfique dans l'amélioration du génome d'un individu, autrement nommée embryogenèse, et ce grâce à une protéine très spéciale qu'ils transportent, la syncytine, moteur principal de la croissance du système reproducteur chez pratiquement tous les mammifères par les modifications importantes réalisées au niveau moléculaire du système sanguin, de la morphologie, de l'immunité et du métabolisme.

* Cf. Préambule de compréhension.

 

Cette ouverture trans-dimensionnelle, grâce à un égrégore de conscience à vocation "Service d'Autrui" et non plus "Service de Soi" (même avec des intentions élevées), provoque l'ascension d'une partie de la vie terrestre vers des dimensions supérieures de conscience et d'existence. De la même manière que lors de la chute de la précédente humanité atlante il y a quelques 10 à 12.000 années.

Cette 4ème densité orientée astral supérieur, appelée "Service d'Autrui", est un transit vers la 5-D, troisième niveau descendant de la Matrice universelle. Elle constitue la seule alternative à la 3ème densité actuelle, soit un univers parallèle ré-encodé par un état de conscience nouveau qui, pour la durée de la transition, forme une réalité parallèle sur notre planète, imperceptible au commun des mortels. Cette néo-réalité est appelée à se détacher peu à peu du monde dit du "Service de Soi", qui lui restera plafonné au bas astral.

C'est en rééquilibrant les préjudices causés par le corpus actuel et en supprimant les codes/programmes cellulaires limitants et destructeurs de la génétique humaine, que la nature, par résonance avec le génome du futur humain "Service d'Autrui", reprendra ses droits et soignera les blessures infligées à sa génétique en 3ème densité. Dans ce domaine, les prédateurs de 4ème densité savent que s'ils perdent la main mise sur la génétique de l'homme, ils perdent aussi le contrôle de sa pensée et, de ce fait, le contrôle d'une bonne partie de leur cheptel humain...

 

Les portes dimensionnelles ne s'activent absolument pas par des rituels de magie, contrairement aux vaines pratiques des sociétés occultes. Ces champs de torsion de l'Espace/Temps envoyés par la Conscience supérieure répondent simplement à la fréquence de résonance qui émane de celui/celle qui fait l'effort de sa transformation "alchimique" intérieure. Percevoir les erreurs du passé pour ne plus les reproduire dans un nouveau futur, est l'unique clé pour que s'ouvrent les portes du Temps...

 

Mécanisme physique de fonctionnement trans-dimensionnel

 

L'univers étant tout énergie et esprit, le mouvement planétaire par ses lois physiques (gravité, forces nucléaires, électromagnétisme) caractérise la structuration de l'inter et de l'intra-dimensionnalité (le multivers des physiciens), le fonctionnement de la Vie au sein de chaque dimension correspondant à un calendrier zodiacal (cyclicité du temps) qui lui est spécifique. Conformément à la loi des polarités (principe de symétrie, d'équilibre), ce mouvement voit les spirales galactiques générer des fenêtres temporelles au moyen de trous de ver* d'accès à d'autres dimensions (évolution) ou des dissociations/destructurations au sein de trous noirs (involution). À grande échelle, ces trous noirs, au cœur des spirales galactiques, sont l'expression ultime de la force entropique d'énergie amenée à redevenir non-existence, non conscience, autrement dit de la poussière galactique... Au contraire de la force évolutive, dite "Service d'Autrui", qui rayonne constamment vers les extrémités des spirales galactiques d'énergie et qui, grandissant en Conscience (l'univers n'est qu'Esprit), forme des terreaux de Vie pour engendrer un nouveau big-bang, une nouvelle Création ...

Cf. Univers en partage & Évolution de civilisation (1) Le mécanisme de l'Univers.

* Un trou de ver (en anglais : wormhole) est, en physique, un objet hypothétique qui relierait deux régions ou dimensions distinctes de l'espace-temps, se  manifestant d'un côté comme un trou noir et, de l'autre côté, comme un trou blanc. Un trou de ver forme ainsi un raccourci à travers l'espace-temps.

 

Les spirales galactiques séparent en deux champs électromagnétiques les Mondes vivants telle la Terre, l'un migrant de manière involutive vers un trou noir, l'autre propulsé à l'extérieur de la galaxie d'appartenance (système solaire) pour évoluer dans une dimension supérieure.

 

Le monde entropique du corpus prédateur (dimension 4-D -) se concentre sur le trou noir pour y maintenir la Terre (dimension 3-D), rendant impossible le passage à la dimension supérieure évolutive.


Lorsque ces fenêtres temporelles s'ouvrent, elles voient ainsi la collision de deux univers d'espace-temps différents, l'un dans une nouvelle dimension de réalité, supérieure, l'autre se dissociant et se déstructurant. C'est alors l'état de conscience de l'être humain qui détermine son positionnement.

La collision dimensionnelle

 

Le changement de densité

Même si le passage à la dimension suivante semble se produire graduellement, il y aura un moment où se produira la poussée ultime et où la perception sera complètement modifiée. Avant ce moment, ceux qui s’y préparent auront des aperçus d’un nouveau domaine, et ils en ont sans doute déjà depuis un certain temps. Ces moments d’incursion dans une autre sphère de réalité seront de plus en plus fréquents et de plus en plus intenses jusqu’à ce que la nouvelle conscience devienne la norme plutôt que l’exception. Ce sera alors l’expérience même de notre vie. La navigation dans ce monde nouveau sera toute une nouvelle expérience d’apprentissage.

Quand l’énergie culminera et que le moment de la transition sera venu, l’accélération deviendra évidente, spécialement pour ceux qui seront les mieux préparés, et elle le sera moins pour ceux qui sont sur le seuil de l’éveil. Pour ceux qui ne seront pas préparés, l’accroissement d’énergie amplifiera tout ce qui se trouvera dans leur conscience, et ce ne sera peut-être voire sans doute pas joli. Cela pourra aussi s’évacuer avec le temps. Ceux qui effectueront la transition auront toujours une chance d’attirer les autres au changement tandis qu’ils coexisteront entre deux octaves. Il y aura cependant un point où il sera trop tard et où la planète exécutera son mouvement final avec ceux qui seront alignés sur elle.

 

Il est à noter que pour dissimuler aux êtres humains l'existence des trous de ver, chemins d'accès à des fenêtres interdimensionnelles, la NASA a conduit des essais scientifiques à très haute altitude, consistant à faire exploser plusieurs bombes nucléaires dans les ceintures dites de Van Allen* (Cf. image), et ce aux fins de disperser plusieurs dizaines de tonnes de fines aiguilles de cuivre dans leur champ électromagnétique*². Il s'agissait non pas de générer comme annoncé un miroir artificiel à l'usage des satellites, mais de masquer les trous de ver que certains observateurs initiés à la Vérité pourraient voir, soit les passages interdimensionnels échappatoires à la 3-D. Sachant que la ceinture de Van Allen par ses couches de plasma jouant le rôle de réflecteurs délimitent la sphère de perception de l'humain, autrement dit ses limites de perception, une telle pollution intentionnelle a pour  objectif d'empêcher toute prise de conscience autre que la réalité de l'univers assénée par les gardiens de la Matrice...

* Les ceintures de Van Allen (nom du scientifique physicien et astronome états-unien James Alfred Van Allen - 1914/2006 - qui étudia les propriétés des confins de l'atmosphère, notamment sur les propriétés magnétiques) ne sont pas des ceintures de radiations proprement dit, mais des ceintures magnétiques et électriquement chargées qui piègent les particules à haute énergie issues du soleil. Elles "piègent" ainsi les radiations et protègent la Terre. La radioactivité y est donc très élevée. Ces deux ceintures, interne et externe, ont des origines différentes. Celle découverte par Van Allen occupe une région au-dessus de l'équateur. Elle est un sous-produit du rayonnement cosmique de haute énergie (primaire).

Cf. Contrôle mental.

 

Mécanique gravitationnelle et son relais biologique

 

La conscience crée la gravitation, qui elle modifie la conscience. Il s'agit d'une règle quantique qui est d'une logique implacable. La Conscience, qu'elle soit humaine ou universelle, ce qui au final est la même conscience, utilise l'antimatière – la forme ondulatoire de l'éther – pour s'exprimer et lui donner une forme concrète et tangible. Elle la modèle en solidifiant cette antimatière dans le présent, par l'effet de gravitation. Cela correspond au véritable sens du mot "créer" et c'est ainsi, qu'à partir de la Conscience de 7ème dimension universelle, que se crée l'Univers, la Création*.

La gravitation agit tel un aimant. L'aimant n'est autre que l'observateur qui voit ou ressent, son rôle étant d'agglomérer puis de figer la forme ondulatoire de l'éther, pour la densifier en de multiples champs de particules atomiques. Ils prennent alors une forme et une consistance tangible : la matière, que la conscience humaine peut lire et ressentir, au travers de ses cinq sens humains.

La Conscience est donc l'unique vecteur de la gravitation qui, de cette manière, matérialise sa réalité, dans le seul but de générer un terrain d'expériences pour l'Âme. Lorsque l'Âme parvient à assimiler l'expérience que lui propose la Conscience, elle contribue à accroitre la Conscience/Intelligence de l'Univers, qui de cette façon s'enrichit de cette expérience et s'expanse vers son futur.

La Conscience de l'Univers, par sa substance, le Divin, est obligée de se créer des myriades de réalités densifiées par la dualité, pour pouvoir grandir et se développer. Ce n'est qu'au travers de dimensions densifiées qu'elle peut acquérir de l'expérience et évoluer.

* Cf. Évolution de civilisation (1) Le mécanisme de l'Univers & Le processus création décodé.

 

L'action de transformation de l'ADN par l'intention de l'individu met en œuvre la DMT, soit la diméthyltryptamine. C'est une substance psychotrope puissante (considérée comme un stupéfiant dans certains pays), souvent synthétique, mais aussi présente de façon naturelle dans plusieurs plantes. La DMT est une hormone également produite naturellement pendant le sommeil par la glande pinéale, aussi appelée épiphyse. Habituellement et beaucoup plus en journée, l'épiphyse produit de la mélatonine, la molécule de l'horloge biologique induisant le rythme sommeil/éveil. Cette glande* située au milieu de la boîte crânienne entre les deux lobes du cerveau, est naturellement très perméable et perceptible aux variations du champ magnétique qui entourent le corps et par conséquent, extrêmement sensible aux effets d'une modification éphémère ou définitive de la gravitation. De telles modifications du champ magnétique dans notre environnement se produisent assez fréquemment. Ainsi dans la nature, elles ont lieu parfois très subitement, par exemple lors d'un impact de foudre. Lorsqu'elles se déclenchent de manière plus progressives et soutenues, elles peuvent également être génératrices d'un courant électrique induisant une différence de potentiel important au sein même de notre ADN.

* Cf. Le processus création décodé.

 

Biologie de la création

Lorsque l'esprit humain se branche à la Connaissance – c'est à dire lorsque nous activons notre intuition – notre système biologique fabrique de nouveaux réseaux neuronaux, afin d'augmenter son rendement cérébral. L'accroissement de l'activité intellectuelle provenant du décryptage de votre subconscient – le Soi supérieur – provoque dans le complexe pinéale-pituitaire, des stimuli électriques très particuliers qui libèrent de grosses quantités d'hormones comme entre autres la mélatonine, la sérotonine... Ces hormones, qui sont des neurotransmetteurs, jouent un rôle prépondérant dans la régulation des rythmes biologiques. Lorsqu'elles sont déchargées dans le corps par une suractivité du "subconscient" et lorsque ce genre d'information est transmis et analysé par le système rationnel de l'ego/mental, il se produit une réaction chimique très particulière qui augmente l'excitation intellectuelle et qui a pour effet d'affaiblir la partie résistante de l'ego.

Le récepteur de pensées est la glande dite Pituitaire (Cf. 1 de l'image), nommée en anatomie hypophyse. C'est le point de contact à l’intérieur du cerveau, qui active tant la capacité de recevoir des formes-pensées d’autrui, quelle que soit la distance, que de construire des formes dans l’éther, le champ de Conscience universel. Il représente notre féminin intérieur, l'intuition. Il est relayé par les cellules du nerf optique (2) spécialement conçues pour former par le cerveau des images mentales de nature tridimensionnelle à partir des photons. Dans cette glande réside l’Ego réalisé, le Soi de l’individu parvenu à transcender l'ego-mental, qui interprète les images mentales créées comme des messages complets incluant les sons, couleurs, et autres stimuli sensoriels.

Le transmetteur de pensées est la glande Pinéale (3), nommée en anatomie épiphyse. Cette glande se situe à l'endroit où la moelle épinière vient se rattacher à l'encéphale, partie du système nerveux contenue dans la boîte crânienne, comprenant le cerveau, le cervelet et le tronc cérébral. Elle n'est pas protégée par la barrière hémato-encéphalique, dont le rôle est d'isoler le cerveau des substances indésirables qui peuvent se trouver dans la circulation sanguine. Elle est l'organe de perception spirituelle du dessein de l'âme, le masculin intérieur, dont la glande Pituitaire est la borne ou point négatif de contact. Elle est essentielle au rythme du sommeil et du réveil, et à la préservation du système immunitaire.

Ce couple récepteur-émetteur constitue le conduit énergétique entre le corps physique et l'Univers, autrement le "corps astral", l'âme, comparable à un câble de fibre optique. Dans le cortex encéphalique, la glande Pinéale est le relais de l'âme, transmettant la lumière telle le Soleil, et la glande Pituitaire, expression de la personnalité humaine, peut en modifier ou réfléchir les visions, telle la Lune. Ceci signifie que pour que la réflexion humaine soit possible, elles ont toutes deux nécessité d'être au bon endroit, en bon alignement, donc en parfait état harmonieux de marche.

Dans la pénombre, l'épiphyse stoppe la synthèse de mélatonine pour produire de la DMT endocrine. La pinéale se met alors en fonction, autorisant l'Esprit à quitter le corps pour la 5ème dimension pendant les phases de sommeil paradoxales. Cette phase du sommeil est celle au cours de laquelle se produisent des rêves dont on se souvient. Elle se caractérise par des mouvements oculaires rapides, une diminution voire disparition du tonus et de la contractilité musculaire, une respiration ainsi qu'un rythme cardiaque irrégulier et une température corporelle déréglée. Mais c’est aussi à ce moment que se produisent les attaques (manipulations) trans-dimensionnelles nocturnes par des entités prédatrices de 4ème dimension. On peut donc parfois observer sur un plan strictement physiologique, une dilatation des organes pelviens et, occasionnellement, des érections nocturnes.

L'activité électrique du cerveau en ces moments-là est proche de celle de l'éveil. Ceci signifie que l'Esprit ayant quitté le corps, il en contrôle les fonctions vitales mais n'est plus maître des activités musculaires. Cet état de semi-éveil explique certaines visions pendant une méditation profonde ou un état d'hypnose, résurgences de mémoires vives et de visions provenant d'autres plans d'existence. Celles-ci correspondent à un furtif coup d'œil par une fenêtre ouverte sur un autre monde, soit sur une dimension parallèle, soit sur d'autres dimensions d'existence. Elles parviennent à notre conscience, seulement au moment où notre Esprit réintègre son corps de 3ème dimension.

La protection de ces deux glandes essentielles à notre pouvoir créateur, afin de contenir toute tentative de manipulation extérieure, passe par l’évitement des drogues hallucinogènes ou autres alcaloïdes, surdosées en DMT, qui submergent certaines tâches du cerveau et l'entravent dans ses fonctions de sélection des perceptions. Il devient alors incapable de procéder au tri de ces sensations visuelles, auditives, olfactives ou autres... Il en est de même pour la prise d'antidépresseurs ou de consommation de sucre à outrance*, ces substances bloquant littéralement la faculté que possède l'Esprit d'aller et venir à sa guise d'un corps d'incarnation à un autre, d'une dimension à une autre.

Il n’est pas à chercher plus loin la raison d’être de toutes ces substances prescrites ou encouragées plus ou moins explicitement (ex. publicité) dans le fonctionnement de nos sociétés, par-delà les discours hypocrites des autorités institutionnelles et le sérieux du travail de prévention sanitaire réalisé. Aussi est-il crucial de comprendre que la nourriture végétarienne et ensuite le régime omnivore, modes alimentaires encouragés par le corpus prédateur via le mouvement du New Age, engendrent lentement et sournoisement les plus importantes intoxications aux glucides, compte-tenu des méfaits du fructose et des glucides engendrés par la surconsommation de certains aliments, dont font partie certains fruits et légumes trop riches en sucre.

* Les astronautes adoptent une diète très hypocalorique mise au point par la NASA, qui a pour but d'optimiser les apports alimentaires et de supprimer tout apport glucidique, et ce dans l'optique de réduire les effets de la microgravité et de la gravité. En effet, un abus de glucides risquerait d'entraver par ses effets sur l'épiphyse le retour de l'Esprit dans le corps pendant son sommeil, conduisant l'astronaute à une sorte de coma végétatif jusqu'à son retour sur Terre ou dans un milieu où règne la gravité. Ce phénomène a déjà tué plusieurs cosmonautes, mais jamais révélé, il a toujours été mis sur le compte d'une défaillance technologique ou humaine. Le verrouillage de la pinéale par les glucides se produit de la même manière dans la vie d'un individu consommant trop de glucides. L'esprit devient difficilement apte à ce moment-là de voyager entre les portes dimensionnelles quasi verrouillées.

 

De ce fait, le changement progressif du champ gravitationnel provoqué par la différence de potentiel entre le centre de pensées/consciences provenant des dimensions supérieures de densité - le champ de Conscience universel - et la conscience humaine de 3ème dimension, lorsqu'elles parviennent à se relier et à communiquer, est le moyen pour un individu de parvenir à reconnecter sa supra-conscience, qui affecte et modifie naturellement les programmes de son ADN.

Comme cet ADN projette ses programmes dans le quotidien de l'individu, sa réalité ne se modifiera qu'à condition que la mécanique qui génère l'intégralité de ses croyances profondes permette qu'elles soient totalement jugulées, répudiées et affranchies (croyances représentant l'attachement, la culpabilité, la peur, le contrôle, la possession, le désir... qui représentent toutes les formes pensées de la prédation), qui plus est à partir d'une régénération cellulaire permise par la qualité des télomérases découlant de la nutrition adéquate*.

Aussi la métamorphose ne peut se faire que par la volonté, la force de caractère, le courage, la témérité, l'acharnement que possède l'individu à vouloir changer en outrepassant tous ses conditionnements. Elle induit du même coup une modification plus ou moins rapide de son champ gravitationnel, donc de son environnement, et une variation notable dans son propre champ de conscience et d'expérience.  Alors seulement la véritable Connaissance peut être intégrée jusqu'au plus profond des cellules. C'est la seule et unique façon d'étendre, d'accroître sa Conscience pour enfin parvenir à modifier sa réalité.

* Cf. Conscience nutritionnelle.

 

Alors l'extériorisation de l'Esprit, changeant de dimension de conscience, passe quasi invariablement par un phénomène que nous avons déjà tous connu à un moment de notre vie*. Il s'agit d'une sensation hyperkinétique, qui forme un tourbillon ou une sorte de vortex, le vertige. C'est ainsi qu'un vertige insupportable provoque le jaillissement ou la projection de l'Esprit hors du corps. Et c'est précisément lors de vertiges intenses que nous avons la capacité d'influencer les ondes de gravitation, conduisant notre environnement à se déformer, les conditions de cohésion moléculaire de sa matière constitutive commençant à cesser d'exister.

Ainsi, lorsque nous parvenons par une concentration intense à focaliser une pensée, un acte de volonté, sur un point unique pendant cet épisode de vertige intense, notre pensée gagne en puissance et réveille des facultés inutilisées dans notre état ordinaire. Cette forme-pensée focalisée devient alors une sorte d'impulsion, un levier qui mobilise l'énergie vitale et la dirige vers le point où elle doit opérer. De cette manière l'Esprit localisé en dehors du corps, c'est à dire dans l'antimatière, devient capable de déplacer des montagnes...

* Cette sensation kinétique (ou kinésique) de tourbillon et de renversement arrière peut être éprouvée du haut d'une falaise ou d'un gratte-ciel, lorsqu'on se déplace à reculons, lorsqu'on ingère des psychotropes, lorsqu'on subit une programmation hypnotique, lorsqu'on se balance en arrière sur un siège suspendu...

 

Le centre de la Conscience

Deux centres d'Intelligence de gouvernement, composés d’Êtres supra-intelligents en relation avec les Intelligences supra-cosmiques, orientent, contrôlent et établissent les lois d'évolution des planètes qui s'appliquent à l'être humain dans le grand Jeu (Je) du Vivant*. Elles sont des forces en puissance et en opposition, autrement dit les deux aspects d'un même Réel multi-dimensionnel.

* Cf. Le Jeu de la Vie.

Du Centre l'Agartha

Ce centre d'intelligence puissant a pour fonction de donner à l'être humain le matériel astral (la science matérialiste) dont il a besoin pour l'aider à développer des sens, comme l'intuition, à même de l'aider à construire la civilisation matérielle, dans une perception la plus haute possible de la matière. Il établit les relations vibratoires entre les formes, l'énergie matérialisée, et l'intuition de la pensée.

Il symbolise l'énergie du "Mal" cosmique, le Non-Être (l'égo), l'involution, soit l'indispensable expérience de la séparation (l'irréel) avec le Tout réalisé, l'Absolu, La Source, Ce Qui Est, l’Être.

Du Centre Shamballa

Ce centre d'intelligence est l'opposé de l'Agartha. Il permet à l'être humain de coexister avec l'éternité de sa conscience, l'Esprit universel ou cosmique solaire, le Soi supérieur divin, l’Être.

Il contribue à l'élévation de la vibration de l'être humain, l'évolution conduisant à l'Intelligence, la science de l'Atome, afin de lui permettre de détruire l'illusion des formes conçues par l'Agartha en cessant de penser, et rentrer comme "surhomme" dans le flux éternel de la Lumière. C'est pourquoi il symbolise les Forces de la Lumière, le Paradis universel.

 


La centricité, clé d'accès à la quatrième dimension

La 4ème dimension est une intuition intellectuelle humaine, qui permet à l’être humain de réaliser qu’il y a quelque chose d’autre en dehors des 3 dimensions de l’espace (hauteur, largeur, profondeur). Si elle est valable en tant que concept, elle existe également en tant que réalité directement liée à l’infinité, mais sans être compréhensible au niveau humain. La raison est que l’être humain pense, et que sous la coupe du corpus prédateur qui la domine, la planète Terre est totalement contaminée par sa pensée et ses émotions, servant ainsi de miroir réfléchissant à la corruption. Or, pour comprendre la 4ème dimension, il faut être dans un état de réception vibratoire au niveau du cerveau - état dit du " point zéro " -, autrement dit de l'état de neutralité psycho-émotionnelle. De la sorte, le cerveau sert à véhiculer l’énergie nécessaire en provenance de la supraconscience, l'Esprit universel, pour comprendre les relations qui existent dans cette dimension.

C'est pourquoi la 4ème dimension, si elle constitue une infinité de possibilités, celles-ci sont instantanément arrêtées pour permettre une concrétisation de l’expérience dans la matière viciée nécessaire à l'évolution de l'être humain. Cette expérience fait qu'en l'état, il ne peut pas encore voir ou comprendre que tout ce qui existe en dehors de la conscience humaine ne peut lui parvenir que par l’intuition. Mais celle-ci est trop lente, pas assez compacte donc partielle, parce que le corps mental humain n’est pas encore par son manque de centricité* en harmonie vibratoire totale avec le Supra-mental, la Supra-conscience qui est la Conscience Universelle ou Cosmique. Il est de ce fait assujetti à la forme, qui exerce une grande emprise sur l’émotion de l’être humain, brouillant son esprit et empêchant son intellect de comprendre d’une façon objective et totalement détachée de lui-même.

Pour que l’être humain se conscientise dans le supra-mental, il doit dépasser petit à petit ces formes qui siègent dans son mental comme dans ses émotions. C’est en effet lorsqu’il apprend à dépasser ces formes que sa centricité se développe, qu’il devient de plus en plus sûr d’être sûr, et que la conscience, c’est-à-dire le contact avec les plans supérieurs, se raffermit, devenant précise et, éventuellement, amenant l’être humain à pouvoir regarder dans l’avenir, à connaître les autres humains, et à se connaître parfaitement. Les fausses formes, les fausses émotions, les pensées subjectives, tout ce qui est négatif, tout ce qui retarde l’être humain, tout ce qui est fondé sur la crainte, doit être dépassé, et ce dépassement se fait au fur et à mesure que l’être humain en prend conscience. Il acquiert pas à pas la force pour briser ces formes, les rompre, les diminuer, diminuer leur emprise sur lui. Il rencontre inévitablement sur ce chemin la souffrance, celle de cette transformation (déconditionnement douloureux par l'abandon de ses croyances et de ses attaches matérielles, morales et affectives*²), métamorphose qu'il doit vivre au fur et à mesure qu’il entre en contact avec des niveaux de plus en plus puissants d’énergie. Alors seulement la chrysalide pourra devenir papillon !  

Cf. L'état de cohérence, voie de sa liberté.

*² L'hystérie émotionnelle à propos de "l'affaire Vincent Lambert" en est représentative entre les "pour"  et les "contre" d'une fin de vie non naturelle !

 

Mode de fonctionnement de l'humain en 5-D

Les trois premiers centres énergétiques sont bien sûr identiques à ceux de la 3-D. Cependant, la relation à l'argent (1) est perçue et vécue comme un échange d'énergie harmonieux, tout comme la relation à la sexualité et à la famille (2), apaisée et sans culpabilité. Le mental (3) est mis au "service de", et non plus centré sur l'affirmation du pouvoir. Il écoute la petite voix en provenance du cœur (4), qui conduit l'être humain au don, à l'amour inconditionnel, lui permettant d'offrir son essence authentique.

La relation à l'âme, à la conscience du Soi (7) permet d'accéder au processus de co-création (5), et de se nourrir dans d'autres dimensions (6) comme le rêve lucide. "On est ce que l'on est", dégagé des besoins de se réaliser par la religion ou la politique.

 


Remaniement énergétique

Si jusqu'alors la compréhension et la maîtrise des centres énergétiques (chakras) participaient de la révélation du potentiel d'évolution, ceux-ci sont conduits à s'effacer pour laisser place à une nouvelle relation énergétique à Ce Qui Est. En effet, ces centres, sorte de pilotage automatique, permettait à la matière de prendre forme sans que l'être humain n'ait conscience de son énergie constitutive. Or dès lors que la conscience advient, ils deviennent insuffisants pour insuffler le renouveau au sein du corps physique. C'est désormais une nouvelle carte fréquentielle qui s'établit, expurgée des anciens protocoles vibratoires qui visaient à permettre l'irradiation énergétique - la montée de "kundalini" -, levier de la conscience.

Cette carte est uniquement faîte de ressenti, sans outil protocolaire tel que promu par les enseignants et thérapeutes de l'éveil. Il porte sur tout sur le système cellulaire, de la tête aux pieds, de façon uniforme et globale, sans distinction de points énergétiques spécifiques. Nous sommes devenu un point UNIQUE, comme une cellule totalement interconnectée et unifiée.

 

La 5ème dimension de conscience, située au-delà de la 5ème dimension de densité (ou de réalité), ordonne et organise les différents plans de densification de la matière et réalise sa manifestation dans l'univers que nous percevons. Notre puissance création* s'exprime pleinement. En effet, la Vie n'est plus réellement compartimentée, rassemblée sur un seul plan comme le perçoivent les humains en 3-D. Tout au contraire, la Conscience universelle s'expanse dans toutes les densités et dimensions à la fois, à travers les cycles de la Vie. Elle devient capable de se manifester de manière fractale sur tous les plans où elle a déjà donné naissance à un monde de matière où évolue les multiples formes de vie (le végétal, l'animal, l'humain). Ces mondes manifestés représentent "l'Univers de la Création".

Simultanément, pour maintenir l'équilibre dans ses mondes (loi de symétrie), la Conscience universelle autorise la destruction d'une partie de sa création. Elle en manifeste les circonstances au travers du subconscient entropique de la partie "Service De Soi" de l'humanité, limitée à la 4-D -, afin que la matière puisse redevenir onde ou antimatière et accomplir son cycle dans l'ordre naturel de l'Univers. La déstructuration des mondes ou l'ultime chaos aboutissant dans un trou noir participent ainsi de l'ordre naturel de l'Univers. Une fois passée par le trou noir, l'Onde pourra redevenir particule lorsqu'une Conscience manifestera les conditions gravitationnelles pour ce faire. Cette Connaissance des sept dimensions de l'Univers est exprimée dans la symbolique du chandelier à sept branches, la Ménorah.

* Cf. Le processus création décodé.

 

Les sept dimensions de l'Univers*

* Cf. Évolution de civilisation (1) Le mécanisme de l'Univers.

Les Mondes Créés

Ils sont figurés par les trois premières branches de gauche, soit la 1-2-3ème dimension ou le monde minéral, végétal, animal. Ce sont les mondes visibles, les Mondes Créés (la matière, l'atome perçu et ce qui est lu par notre conscience humaine).

Généralement, l'être humain se croit unique et pense qu'il se trouve soit au dedans, soit en dehors de l'Univers qui l'entoure. Il se retrouve ainsi dans la dualité, restant assujetti à ses croyances, sauf lorsqu'il prend conscience de son Âme, la psyché.

Les Mondes Créateurs

Ils sont figurés par les trois dernières branches de droite, soit la 5-6-7ème dimension. Ce sont la Conscience humaine, la Conscience supérieure et l'Impulsion créatrice, qui est l'Origine de l'Univers. Ces dimensions évoquent les Mondes Créateurs, l'antimatière, l'Onde créatrice vibratoire, l'Esprit (le pneuma, souffle créateur).

La structure de ces Mondes créateurs est absolument immatérielle, donc insaisissable pour les sens humains limités par l'Espace-Temps.


Entre les deux, la quatrième branche est l’Être humain, dans son Univers de 3ème dimension. Il doit trouver l'équilibre, en passant de l'Homme au Service de Soi à l'Homme au Service d'Autrui, lorsqu'il acceptera enfin dans "son présent" de le redevenir. C'est alors la jonction des deux mondes, le symbole de la Croix chrétienne. C'est le rôle de la conscience humaine.

 

Indispensable changement de regard

 

La dualité propre à l'expression de la Création et par-là même à la vie sur Terre oppose classiquement les polarités Bien et Mal, constitutives des interprétations et réflexions philosophiques et religieuses proposées à l'homme. Sans le Mal, le Bien n’existe pas, et mieux encore, sans le Mal, on ne peut ressentir cet attrait fondamental pour le Bien. C'est pourquoi le nouveau regard proposé par l'ouverture de conscience est de ne plus ressentir de "haine", de colère, de frustration, à l'encontre de celles et ceux qui, par leur attitude et comportement, dispensent le "Mal", comprenant qu'ils participent en fait à notre comme à leur évolution positive. Ils sont des enseignants. Sans leurs "méfaits", nous n’en serions pas là aujourd’hui, à évoluer dans nos consciences, nos compréhensions, et à essayer de trouver des solutions. Le but métaphysique dévolu à l’accélération de la propagation du Mal est de nous faire évoluer le plus rapidement possible, et à nous émanciper des tutelles asservissantes qui nous égarent dans notre accomplissement le plus élevé. En effet, seule une humanité émancipée peut survivre aux cataclysmes naturels cycliques qui accompagnent depuis les origines les mutations civilisationnelles, constitutives d'autant de paliers nécessaires à notre retour à l'unité*.

C'est en faisant la paix avec nous-même et avec tout le monde que nous sortirons de l'enfer de la division*². Cette compréhension collective, via aujourd'hui le support de notre plus grande révolution intellectuelle qu'est Internet - l'accès libre pour tous à la Connaissance -, nous conduit au Salut, soit la guérison de l’Humanité par la disparition des peurs. Le Maître Jésus n’était-il pas venu d'ailleurs non pour nous apporter la Paix, mais l’Épée, celle de la confrontation entre les humains pour permettre de faire triompher le Bien ?

Matthieu 10.34. : Ne croyez pas que je sois venu apporter la paix sur la terre ; je ne suis pas venu apporter la paix, mais l’épée.

35 Car je suis venu mettre la division entre l’homme et son père, entre la fille et sa mère, entre la belle-fille et sa belle-mère;

36 et l’homme aura pour ennemis les gens de sa maison.

Par Son enseignement Il nous a libéré du poids du péché, afin que nous puissions librement pécher et comprendre de nos erreurs. Car c’est ce péché, le Mal, source de souffrances et de manque existentiel majeur, qui nous pousse à sortir de nos gonds et à aller résolument vers le Bien par l'Amour, notre véritable et unique substance.

* Cf. Prophétie du changement.

Cf. Le mode de réalisation unifiée.

 

Conscience de l’Unité, ou la montée de l’échelle

Notre évolution passe par la sortie de la dualité pour rencontrer ce que l’on appelle la loi de l’UN. Cette dernière se concrétise, dans notre quotidien, par une vision d’unité derrière toute chose. C’est ce que l’on appelle la conscience de l’Unité. Pour ce faire, un cheminement est nécessaire, à l’image des barreaux d’une échelle que l’on gravit. On ne peut passer d’un barreau à l’autre qu’à la seule condition que l’on veuille monter ou descendre cette échelle. Ceux qui ont peur de l’altitude vont plutôt rester scotchés sur l’un des barreaux tellement ils ont peur, s’agrippant de toutes leurs forces aux deux montants latéraux avec, dans le meilleur des cas, une descente vers les barreaux inférieurs plutôt que la poursuite de la montée.

Il y a six barreaux, chacun correspondant à un centre énergétique (chakra). La limite naturelle se fait entre le Ciel et la Terre, qui nous voit d'une part respirer l’air (l’esprit), d'autre part baigner et nager dans l’eau (corps émotionnel), notre corps physique représentant l’élément terre (la matière). L’élément feu, le souffle vital, nous anime, aussi bien en corps qu’en esprit.

1. Premier barreau.

C’est celui qui est tout au fond, c’est-à-dire celui qui est le plus proche de la densité terrestre, des choses les plus lourdes. C’est le monde où le minéral règne en maitre. Ce niveau est en relation avec la conscience de sommeil, où, lorsque l’on dort, nous sommes comme un caillou, une bûche. Notre corps devient minéral, notre mental étant éteint. C’est une phase de repos. Si le repos devient prolongé, c’est que nous avons rendu l’âme. Nous redevenons alors poussière, tout naturellement.

2. Second barreau.

C’est le niveau des courants et remous émotionnels. Il s’appelle la conscience de rêve. Quand nous y descendons pour cause de sommeil, nos rêves prennent le visage de nos remous intérieurs immédiats. En clair, si ça sent le cauchemar, c’est que quelque chose de profond en nous est en train de faire surface, nous délivrant ainsi un message précieux. En remontant plus haut, nos rêves seront plutôt plus calmes.

3. Troisième barreau.

C’est le niveau normal où nous évoluons. Il correspond à la conscience de veille. Nous avons les yeux ouverts, conscience de notre corps physique et qu’il nous faut respirer pour vivre. Nous baignons dans les deux mondes à la fois, l’eau et l’air. En respirant l’air, nous nous sentons connecté à "l’amour" du champ universel, à l’Esprit, tandis que notre corps dense flotte comme il peut dans la matière. Nous gigotons dans l’émotionnel, sans nous soucier des conséquences quant aux remous créés. Nous vivons à ce stade comme dans un rêve, où se mêlent plus souvent les cauchemars que les rêves agréables. Très peu ont envie de croître, de se développer en levant la tête, d’autant plus que certains gardent l’accès au quatrième barreau, empêchant les autres d’y grimper*. Les plus dangereux sont ceux qui portent les armoiries d’une religion…

4. Quatrième barreau

A partir de cette hauteur nous quittons définitivement le stade du robot biologique qui, sans renier les joies de la matière, respire désormais un air beaucoup plus pur et jouissif en hauteur plutôt qu’au ras de l’eau. Nous prenons conscience qu’il existe d’autres "nous" au sein du cosmos, et comprenons la nécessité de respecter chacun d’entre eux. Nous devenons tolérant et aimant au fil du temps, ressentant une fraternité, un lien de cœur, et développons un amour de type inconditionnel qui fait accepter la différence et l’unicité de chacun. Comprenant que la Vie commence vraiment par cette prise de conscience, nous avons franchi le voile d’oubli, le voile de séparation d’avec notre nature profonde qui s’exprime à travers le corps.

5. Cinquième barreau.

Fort de toute notre gratitude envers les autres, nous commençons à découvrir qu’une étincelle de vie anime chaque forme qui nous entoure. Cette conscience est dite la conscience divine, permettant de ressentir en son cœur l’invisible caché derrière le rideau de la compréhension. Si nous n’arrivons pas à nous l’imaginer dans la tête, notre cœur nous pousse à continuer à grimper à l’échelle. Cette prise de conscience permet de respecter la Vie quelle que soit sa forme, et de comprendre que l’environnement est notre livre de découverte intérieure. Nous nous abandonnons par le silence avec une profonde gratitude et bienveillance à la Nature, détaché de nos bruits mentaux. Nous sommes à l’écoute de notre intériorité, amené à découvrir qu’un langage universel existe au-delà de toutes les différences de forme.

6. Sixième barreau.

C’est le barreau le plus haut, le plus éloigné de la surface de l’eau. De cette position, nous découvrons l’ensemble du tableau qui s’offre à nous et ses séparations apparentes. Nous découvrons la richesse inouïe et quasiment infinie du Vivant tirée vers un même objectif. C’est le stade de la conscience de l’Un, de l’unité, de l’UN-unité, de l’UN-unifié, de l’unicité, de l’UN uni vers son objectif originel, celui qui répond à la question "qui suis-je ?". Nous découvrons qu’unic-ité vécu en un-ité forme un uni-vers.

* Cf. La falsification de la réalité en 3-D.

 

L’ascension est une élévation de fréquence impliquant que notre regard change, surtout à propos de nous-même. Si beaucoup pensent que l’ascension c’est quitter son corps, c’est tout le contraire. Sa réussite passe par le fait de l'aimer et l'accepter, de cesser de le martyriser en le dénigrant. En lui envoyant un autre regard, le reste suivra…

 

Redevenir son état originel

Le processus d'éveil conduisant à sa transformation de conscience a pour effet de structurer son nouveau Moi (re)devenu Soi. En cette fin de cycle civilisationnel, il accompagne le passage dans une nouvelle dimension de conscience constitutive d'une nouvelle dimension de réalité (ou densité). Aussi voit-il un effacement progressif de "sa présence" dans le monde en 3-D, celle-ci étant expurgée de toutes les attaches constitutives des illusions de la fausse lumière. Ainsi par exemple sa présence, obsessionnelle - narcissique - ou utilitariste des réseaux sociaux (YouTube, Facebook, Twitter...), y compris lorsqu'elle était partagée gracieusement avec le monde extérieur.

L'expérimentation du centre que nous devenons actionne ainsi la réalité, soit notre création, rien en soi n'étant appelé à frémir ou s’émotionner. Ce vide absolu est la source de vie, qui nous voit le programmateur détaché, neutre et pragmatique. Ce faisant, subtil paradoxe, nous sommes devenu de plus en plus humain, être créateur n’empêchant aucunement d’être créature. Ces deux états fusionnant l'Alpha et l'Oméga se complètent en toute harmonie, à l'image du mélange alchimique d’une structure mathématique avec celle d'un monde imaginaire fait de poésie et de rêve. Le travail de dissolution a remanié définitivement l'espace neuronal initial et reparamétré la pensée primaire dénaturée. Comme il n'y a plus désormais plus que NOUS, le MOI unifié centre des données de création, TOUT est notre création, la notion de service à autrui disparaissant à son tour. Quel sens en effet donner à toute projection extérieure destinée à offrir à autrui des clés, puisque la notion d'un autre qui ne serait pas nous (moi) est devenue vide de sens ...

C'est désormais notre monde extérieur qui doit faire l'effort de venir à nous/moi, et non plus l'inverse. Et c'est ce mouvement vibratoire des "centres" que nous sommes qui permet d'amorcer les nouvelles communautés conscientes, dans la mesure où nous choisissons les communautés qui résonnent en nous. L'être éveillé ne donne plus rien au collectif, notion devenue étrangère à son intégration du Tout. Il EST, intervenant uniquement dans cette dimension de lui-même dans laquelle se fond autrui, tout en restant lui-même/eux-mêmes dans cette dimension. Il est un centre de gravité, attirant naturellement à lui tout le reste, le fruit de sa création. Retiré du verbe partagé, il perçoit que plus rien en lui ne frémit à cette idée, son humanité - sa version la plus élevée - ayant parfaitement ancré cette évidence.

 

Les pièges de l’ascension de conscience

 

Grimper à l’échelle de conscience n’est pas une chose simple. Les glissades sont courantes parce qu’en fait, tous les jours, nous montons et descendons de l’échelle selon l’état de notre météo intérieure et des conditions de notre vécu terrestre. Nous allons en effet dormir, rêver et vaquer à nos occupations, ce qui met en scène notre corps émotionnel* et ses inévitables remous qui se répercutent sur nos pensées.

Pour maîtriser du mieux qui soit cette ascension, nous nous devons d’être léger (pas de croyances et de rappel du passé), assuré (confiance en soi), tenace (sans peur de recommencer), humble (pour ne pas s’enorgueillir de nos prouesses), intègre. En effet, il existe comme un plafond de verre, qui fait qu’à chaque fois que nous pensons être parvenu tout en haut, nous butons contre quelque chose d’invisible et dégringolons illico presto si nous y sommes arrivé trop vite. C’est tout à fait normal, puisqu’il nous est demandé de vivre dans la matière et non au Ciel !

Trois pièges guettent ainsi l’apprenti escaladeur.

* Cf. Fonctionnement du corps biologique.

 

Le premier se vérifie dans la difficulté de nos relations avec les autres, tout particulièrement avec les "dormeurs" de la grande illusion humaine. Notre ego étant alimenté selon la classe à laquelle il aspire, en l’occurrence être reconnu comme quelqu’un de bien sinon d’exceptionnel, nous allons causer d’humanisme, de respect et d’amour inconditionnel, dans un vocabulaire assez raffiné que personne ne comprend bien d’ailleurs. Nous allons baratiner au sujet d’un "Nouveau Monde" avec aisance tant nous en savons. Le piège est ainsi en place pour nous faire croire que les tempêtes et remous émotionnels ne sont plus là, et que nous sommes déjà auprès des "dieux". Il en découle que les troubles de l’esprit vont se faire ressentir, le mental pouvant partir alors à la dérive... Tout en continuant à lâcher prise sur l’apparence, sur le paraitre, sur l’extérieur, nous allons entendre beaucoup de commentaires sur notre dépouillement extérieur comme intérieur, incompris de ceux qui vivent à fond la densité. Leurs commentaires peuvent être désagréables, nous voyant comme éthéré, perché, mystique. Même si notre ressenti de communion et de connexion avec le Vivant nous comble, nous continuons à vivre dans le marigot, à sentir la pollution, et surtout à connaître les atrocités perpétuées sur toutes les formes de vie.

 

Le second piège va alors consister à se couper des autres, ce qui sera traduit assez rapidement comme une asociabilité de plus en plus grande, voire totale. L’ego nous aura ainsi transformé en "zombie de l’éthéré", qui croit être libre alors qu’il s’est tout simplement encore plus séparé des autres comme sait si bien le faire l’ego-mental. Notre différence est tellement mise en avant dans nos attitudes qu’en fait nous n’appartenons plus à ce monde, paumé à la dérive des vents divins de hautes altitudes !

 

Le dernier piège se rapporte au vécu selon la loi de l’UN, qui est d’abord et surtout un état d’être et non un état de compréhension mentale, dont au passage se délectent tous les enseignants gourous du New Age. Vivre la chose n’est pas comprendre ou penser la chose, ce que le mental veut par notre conformation à des attitudes projetées de ce que nous pensons être la conscience de l’unité. C’est là le troisième et le plus grand piège. La conscience de l’unité n’est qu’un environnement qui rend propice l’avènement de cette chose indescriptible appelée l’Unité. Si nous la simulons, nous n’obtenons rien, sinon le fait que nous sommes en pleine illusion. En conscience de l’unité, croire qu’il va nous arriver des choses merveilleuses est une carotte de l’ego-mental tout simplement. L’Unité, avec ses éclairs de conscience pure, ne se révèlera qu’au moment même où nous n’aurons plus aucune volonté ou pensée de quelque chose. Elle nous tombe dessus au moment où nous nous y attendons le moins, ne pouvant se décrire car n’appartenant pas à notre monde. En clair, qui parle de l’Unité est en fait à côté de l’Unité. Il ne peut que parler de la conscience de l’unité. C’est seulement quand nous sommes dedans que nous savons réellement, car avant, tout n’est que mots ou supputations, soit les illusions du mental.

Plus on s’élève haut, plus les vertiges sont nombreux et plus nous allons nous casser la figure. C’est dans le jeu incessant de montée à l’échelle que nous apprenons, patiemment, à éviter les glissades plus ou moins douloureuses. En choisissant les voix et consignes du cœur plutôt que les voies de de l’ego-mental, nous nous donnons toutes les chances d’y parvenir.

 

De la tri à la quintuple dimensionnalité

Notre monde défini scientifiquement en 3-D par les dimensions hauteur, profondeur et largeur (4-D avec le facteur temps) voit ces trois dimensions conjuguées au féminin avoir un rapport avec la trinité Corps-Âme-Esprit.

Ainsi, la plupart du temps, la hauteur caractérise le désir de l’homme, au masculin s’entend, d’être grand, physiquement comme en esprit par sa profondeur de pensée. Autrement dit pour lui, "il vaut mieux en avoir une plus longue que trop courte", la largeur "d’épaule" indiquant la carrure nécessaire pour assumer, imposer et dominer les choses. Cette vision de la hauteur limitée aux aspects physique et mental est inversement proportionnelle à celle de ses sentiments, au même titre que leur profondeur, un peu mince, et leur largeur, riquiqui.  Pour la femme, c’est quasiment l’inverse. Physiquement, il faut qu’elle soit plus petite à tous les niveaux pour que l’homme ait la superbe et se croit justement dimensionné. Mentalement, elle suivra en se faisant discrète en réputation (la hauteur), inexistante ou pas trop (en profondeur de pensée), et carrément rangée professionnellement comme petite main sans responsabilité (la largeur). Par contre, sur le plan de l’âme, sa hauteur ou grandeur d’âme est sans commune mesure avec celle de son alter-ego masculin, tout comme sa profondeur et largeur de sentiments.

Nous sommes tellement habitué à ce schéma manipulé, bien ancré au fin fond de notre psyché, que nous y voyons les éléments d’une bonne complémentarité. Sauf que la Vie ne voit pas vraiment cela de la même manière. Pour le comprendre, il suffit d’observer le vocabulaire que nous utilisons. En effet, qu’en est-il des pensées, domaine de l’esprit ? Sont-elles profondes, larges ou élevées ? Il est vrai qu’en 3-D nous préférons parler de pensées profondes plutôt que de dire des pensées élevées. Pourtant, si une pensée profonde dit qu’elle sort de l’ordinaire par sa pertinence et qu’elle ne fait pas dans la superficialité, elle est élevée dans sa fréquence. Pour les sentiments, nous aurions plutôt tendance à dire "avoir des sentiments élevés", ce qui nous touche profondément… Les vrais, les bons sentiments sont donc du lourd quand ils nous touchent si profondément.  Aussi les trois dimensions hauteur, profondeur et largeur correspondent à des strates d’influence bien précises. La hauteur se réfère à l’élément air comme la pensée, tandis que la profondeur se rattache à l’élément eau, c’est-à-dire les sentiments. Une montagne a telle altitude, alors qu’un lac a une profondeur. Selon ce principe, la largeur correspondrait au champ d’action, à l’activité qui se résume en surface, et elle pourra être aussi vaste que la surface de la planète. Elle est donc en rapport avec le corps qui, avec ses deux jambes, arquera pour aller d’un point à un autre… En regardant ces trois dimensions, nous découvrons qu’elles recèlent en elles une autre façon de voir les mensurations. Ce que nous prenons seulement pour un espace dimensionnel extérieur est aussi intérieur.

Alors, quelle est la hauteur de nos pensées, la profondeur de nos sentiments et la surface de nos actions dans le quotidien ? Que faisons-nous pour éclaircir nos pensées au point qu’elles soient de hautes fréquences ?  La réponse est simple. En virant de notre cerveau toutes les pollutions mentales et toutes les impuretés conceptuelles, nous permettons à la lumière qui traverse le cristal contenu dans notre cerveau de faire émerger la pureté des fréquences d’amour de l’arc-en-ciel. Il en est de même pour nos profondeurs émotionnelles, les sentiments purs éprouvés chassant les impuretés pour agir puissamment sur la Terre entière.  Quand l’homme arrête de vouloir être grand (hauteur), de vouloir être profond dans son ego et ses misères sentimentales, il découvre que la largeur du chemin vers le "Nouveau Monde" est devenue désormais très étroite à l'heure de la mondialisation. L’homme de la 3-D est arrivé à la fin de son expérience, car il s’est lui-même perdu dans ses dimensions extérieures sans comprendre qu’elles avaient un réel impact dans son intériorité. Il lui appartient désormais de passer à la dimension supérieure, et de comprendre que sans la Nature dans toute sa diversité il n’est rien. Il doit comprendre que pour avoir des pensées élevées, il doit avoir des sentiments aussi purs que profonds. Ce n’est qu’ensuite que sa surface pourra enfin donner de son effet, et étendre son activité pacifique aux nouveaux horizons qui l'attendent.

 

Au-delà de la conscience

Une nouvelle illusion se présente pour le voyageur, croire que la conscience est la seule réponse. Ceci ne fait qu'illustrer les limites de tout programme spirituel, qui ne peut contenir l'impétrant dans sa globalité, l'unification au Tout échappant à toute balise conceptuelle. Vivre la descente de l'Esprit en soi fait en effet disparaître toute conscience, celle-ci marquant la séparation par l'observation et le discernement, alors même qu’Être conduit à ne plus éprouver, y compris les aspects émotionnellement douloureux. L'interface humaine - l'entité incarnée - s'est estompée pour laisser place à Ce Qui Est, sans aucun préconçu spirituel de quelque nature que ce soit.

Il est passé dans l'espace de déconscientisation, ayant compris que la conscience n'était pas le Saint Graal, la clé ultime. Il se situe désormais au-delà de la conscience, du verbe et de la pensée, rien n'existant pour définir cet état originel, celui d'une cellule originelle aussi bien vivante que non vivante.

 

 

En résumé, c'est l'autre partie de nous-même, notre "double spirituel", qui est une conscience plus élevée présente dans les dimensions supérieures et que nous appelons l'Ange, le Soi supérieur par l’Âme réunifiée, qui nous aspire sans cesse vers "Sa Réalité", seule voie d'évolution pour ne pas rester prisonnier de la Matrice asservissante et mortifère, involutive, de la 3-D.  

Aussi notre Ascension personnelle ne se fera que lorsque les réalités multidimensionnelles habitées par des fractales (parcelles ou alter) de notre Âme auront fusionné avec la parcelle d'Âme de notre réalité présente. Ce n'est qu'à ce moment-là que nous pourrons transiter dans une autre dimension d'existence.

Cette métamorphose est génétique, puisque se répercutant sur notre ADN cellulaire afin de permettre la transformation de conscience et du corps physique associé. Elle s'effectue au travers d'impulsions électromagnétiques d'origine cosmique et naturelles, qui préparent notre psychisme et notre biologie à passer en 4ème dimension d'existence. Ce n'est donc pas un phénomène mystique.

Ce processus d'interpénétration dimensionnelle, de la même façon qu'il se manifeste au sein de notre biologie, peut aussi se réaliser directement dans le champ de conscience qui crée et modèle notre réalité. Il provoque de ce fait un changement radical dans notre quotidien, car lorsque dans notre ADN de nouveaux codons sont activés, nos programmes d'incarnation se modifient et de nouvelles possibilités de réalité fusionnent avec celles déjà existantes.

Ce processus synthétise, par une succession de prises de conscience, le cheminement d'un individu de 3ème densité en mode "Service de Soi" à partir du moment où il commence à ouvrir les yeux jusqu'à l'intégration de la réalité de 4ème et 5ème densité en mode "Service d'Autrui".

 

Synthèse des grands éléments du processus de protection des manipulations hyper-dimensionnelles et de ses dommages pour l'évolution de conscience

1. La première chose à faire est d’éviter de se dissocier en nourrissant des boucles de pensées négatives. Cette dissociation nous confine dans un fantasme, qui fait que nous ne pouvons pas faire attention à la réalité.

2. Le point suivant est le régime alimentaire, afin d'éviter tous les produits chimiques conduisant à notre empoisonnement, c'est-à-dire le fait de  gâcher nos protéines et nos antennes dites protéiques. Il convient de garder à cet effet des horaires réguliers autant que possible, et de chercher à avoir un biote du côlon équilibré. Il est ainsi une bonne idée de jeûner un jour par semaine, ou de pratiquer un jeûne intermittent.

3. Le troisième point consiste à partager ses impressions et problèmes (pensées, impressions, inquiétudes, peurs, etc), ceci changeant radicalement son paysage intérieur et pouvant arrêter les récepteurs prédisposant à la manipulation des pensées et des sentiments par des moyens mécaniques (produits chimiques, rayonnement d’ondes, etc). Si l'être humain ne partage pas, il a essentiellement un dialogue intérieur avec sa propre chambre d’écho, n’obtenant pas vraiment de rétroaction, d’information ou de perspectives. Il est ainsi facile de sombrer dans de fausses pensées.
4. Le quatrième point consiste à faire amende honorable quand c’est possible à la personne lésée, et quand ce n’est pas possible, faire amende honorable au "monde" en général par l'épuration de ses pensées parasites. Il s'agit d'obtenir la rédemption en donnant à l’univers et aux autres dans le besoin en termes de pensées, de temps, d’énergie, peu importe.
5. Le cinquième point est de conserver son énergie dans son intégralité, afin de ne pas alimenter la dynamique de la pensée en mode "Service de Soi". C'est un des points les plus difficiles tant ce type de pensée initiée par les prédateurs entropiques de la 4ème dimension de densité (le double involutif) utilisent beaucoup d’astuces et de pièges pour aspirer les gens dans une dynamique négative afin qu’ils deviennent leur nourriture *. Nous pouvons ainsi nous référer à la liste des choses (vices) à éviter que l’apôtre Paul a énumérée (fornication, débauche, inimitié, querelles, jalousie, colère, égoïsme, dissension, envie, ivresse) à appliquer de différentes façons selon la situation, et celle des vertus à honorer (amour, joie, paix, patience, gentillesse, bonté, fidélité, douceur, maîtrise de soi), ayant rajouté que la chair et le sang ne pouvaient pas hériter du "Royaume de Dieu". Ce qu’il a voulu dire n’est pas nécessairement que nous devons mourir, mais que c’est ce moi intérieur, cette conscience, ce moi spirituel qui doit être amené à la conscience et ensuite grandir et se solidifier. C’est ce qu'il appelle être "sauvé". Ne pas oublier que "Tout ce qu’un homme sème, il le récoltera aussi" ! 
6. Le sixième point est de se connecter avec ses ancêtres et les personnes honorées de type bienfaitrices/saintes, qui résident en 5ème ou 6ème dimensions de densité, et ce pour se protéger. Si nous ne trouvons pas les ancêtres correspondant, nous devons/pouvons trouver les ancêtres de quelqu’un d’autre qui a de bons ancêtres, ses ancêtres devenant nos ancêtres en ayant des réalités communes. Nous nous ouvrons ainsi et partageons nos soucis et nos problèmes (les bons ancêtres d’un groupe ou d’une personne d’un groupe deviennent les bons ancêtres des autres membres du groupe). Ceci fait appel au discernement, car pour les ancêtres comme pour les personnes saintes, beaucoup n’étaient pas bons ou es saints, alors que d’autres qui ont été vilipendés étaient vraiment bons *².

* Cela est comparable à la psychopathie. L'être psychopathe essaie en effet toutes sortes de tromperies, de méchancetés, de vacheries, etc. Quand on demeure fort devant toutes sortes d’actions ou de traitements terribles de sa part, il va utiliser une dernière manœuvre, le scénario de la pitié, et ce pour nous inciter à nous sentir coupable. Et se sentir coupable ou avoir pitié de lui , c’est comme… devenir essentiellement de la nourriture, psychique s'entend ! Car la culpabilité est fondamentalement une affaire d’ego de nature très secrète, cela faisant du bien à l'ego de sentir que nous pouvons satisfaire ses désirs et besoins (au même titre que l’impression d’être compatissant qui n'est que de la fausse empathie).

Même si ce n’est pas quelque chose que tout le monde doit faire, lorsqu'un être cher est en train de mourir, cela ne fait pas de mal de lui parler franchement du processus qu’il traverse et de ce à quoi il doit s’attendre.

 

Ce processus traduit le long processus du passage trans-dimensionnel à travers l'Onde du changement en cours. Nous voyons le temps devenir fou, l’humanité devenir folle, les boules de feu augmenter comme les tremblements de terre et les éruptions volcaniques... C'est ce que racontaient les anciennes prophéties, qui disaient que la transition vers une nouvelle réalité est comme une femme à la naissance d’un enfant. Nous commençons par avoir de plus petites douleurs, puis finalement nous arrivons au point où il y a tout le processus de l’accouchement qui est un peu en désordre et culminant. Et en ce moment, il semble que nous soyons bel et bien dans cette longue période où les gens s’acclimatent au chaos, dont l’évolution n’est pas linéaire. Il y a en effet parfois des périodes de calme, qui "aident" à prendre ses désirs pour des réalités/illusions, expliquant que les gens soient facilement égarés en pensant que c’est le pire qu’ils vont vivre avant de reprendre une vie normale.
Or la seule vie dite "normale" est celle de l’expansion à la vie en mode "Service d'Autrui", non celle de la contraction au mode "Service de Soi". La difficulté est que pour beaucoup de personnes désireuses d'évolution pour mener une vie normale est qu’elles sont entourées d’autres personnes qui essaient simplement de mener une vie normale selon le paradigme matérialiste. Cela tend à les empêcher de s’ouvrir, de communiquer, de partager et de faire tout ce qui est nécessaire, la plupart des gens les entourant n'étant pas en harmonie. Elles tombent alors dans la confluence, devenant de moins en moins éveillées et conscientes, leurs antennes finissant par s’éteindre. Et elles descendent en spirale, vers une sorte de trou noir du mode Service de Soi.

"Si vous étiez du monde, le monde aimerait ce qui est à lui ; mais parce que vous n'êtes pas du monde, et que je vous ai choisis du milieu du monde, à cause de cela le monde vous hait."

Jean 15:19

 

 

La vraie thérapie, c'est à tout moment, en toutes conditions, et certainement pas guidée par quelqu'un que nous payons, mais par sa propre guidance supérieure qui place les expériences dont nous avons précisément besoin sur notre chemin.

 

 

 

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