Les "clés libératrices" en ligne font l'objet de constantes mises à jour et nouveaux enrichissements. Leur formulation n'engage que leur auteur, qui puise tant dans ses recherches et sources d'information que dans son imaginaire leurs révélation et libre mise à disposition suivant la forme et la rédaction retenues.

Il n'y a de ce fait rien à prendre pour argent comptant, seulement à laisser faire en soi le processus d'ouverture de conscience par le discernement, soit le juste équilibre entre cœur et raison. Celui-ci conduira à les invalider, à les valider, à les compléter par d'autres ajouts et compléments. Il est ainsi conseillé de se référer à des relais ou officines de la doxa scientifique officielle tel Psiram.com, le Wikipédia des croyances irrationnelles, dont l'objectif est de discréditer tout ce qui ne correspond pas à sa ligne de pensée académique, et de prendre le contre-pied sur des sites comme la chaîne web Odysee.com ou la plateforme de vidéo en ligne canadienne basée à Toronto Rumble, ou encore le site d'hébergement de vidéos "alternatif" Crowdbunker.

Sans prendre parti pour une croyance contre l'autre, il s'agit de prendre de la hauteur et de se forger sa propre opinion, par son propre travail de recherche, libre et indépendant.

C'est ainsi que procède le chercheur de vérité.

 

 

Conscience et dépassement de la matrice sexuelle

 

Remarque préliminaire

Par convention rédactionnelle, cette publication aborde la question de la "matrice sexuelle" par une représentation classique du genre sexuel masculin (polarité électrique +) et du genre sexuel féminin (polarité magnétique -). Cette vision hétérosexuelle ne traduit aucunement un jugement de quelque nature que ce soit sur le choix d'une sexualité autre, le mécanisme de la prédation psycho-émotionnelle demeurant identique, même s'il est naturellement renforcé par les tabous et préjugés inscrits tant dans l'inconscient collectif que l'ordre moral prévalant exprimé par ses relais attitrés.

Elle se détache également de l'approche classique interprétative des relations amoureuses et sexuelles telle que prodiguée par d'éminents experts, dont la littérature scientifique psychologique comme sociologique regorge, ou dispensée avec talent par quelques figures médiatiques en vogue, auprès desquelles peut se référer le lecteur dans sa compréhension du fonctionnement relationnel des êtres humains, les robots biologiques, dans la Matrice terrestre.

Ainsi parmi nombre de supports écrits ou audiovisuels, l'émission vedette de l'ancienne actrice pornographique française des années 1970 à 1980 Brigitte Vanmeerhaeghe pseudonyme Lahaie, reconvertie depuis 2001 dans les médias grand public (émissions de télévision et de radio) sur des sujets concernant la sexualité ou l'érotisme avec un panel d'intervenants experts, ou de manière plus pertinente les conférences et autres pastilles internet de l'ingénieur en mécanique, essayiste et entrepreneur Stéphane Édouard à partir de son approche de vulgarisation psycho-sociologique*. Celle-ci se base notamment sur les travaux du linguiste et psychologue cognitiviste canado-américain Steven Pinker (voir par exemple son livre de 2002 "Comprendre la nature humaine"), connu pour être un ardent défenseur de la psychologie évolutionniste et de la théorie computationnelle de l'esprit (celui-ci est conçu comme un système de traitement de l'information où la pensée est comparée à un calcul, en anglais computation, et à l'application d'un système de règles), ainsi que sur les outils de l'analyse transactionnelle comportementale et relationnelle (modes parent-adulte-enfant et rôles bourreau-victime-sauveur), base explicative des "jeux psychologiques" de manipulation de la communication. Autrement dit, l'esprit de l'être humain mécanique, totalement programmé dans l'exécution de sa partition involutive... sauf éveil de conscience !

* Cf. site @hommes.d'influence à l'intention d'un public d'hommes et de femmes dits d'influence tels entrepreneurs, manageurs, acteurs, sportifs de "haut niveau".

Voir également les travaux de Philippe Gouillou, diplômé d'une école de commerce, auteur du livre "Pourquoi les femmes des riches sont belles" qualifié de synthèse vulgarisée de la psychologie évolutionniste. Il est l'auteur du théorème vérifiable beauté x intelligence x disponibilité = constante et de ses inflexions puisant dans son rapport aux autres (hypergamie) ou à soi (rigidité).

 

 

Les pièges de la Matrice prédatrice asservissante dans notre monde de la 3ème dimension sont innombrables*. Ils constituent cependant des clés initiatiques de première importance lorsque nous éveillons notre conscience à leur réalité et, par le discernement et la mise en pratique, nous nous engageons résolument dans notre chemin de transformation intérieure*².

Il en est ainsi de la sexualité, moteur énergétique de notre constitution biologique, qui constitue une aide précieuse au développement de notre discernement quant au fonctionnement "pervers" du monde de 3ème dimension.

* Cf. Compréhension structurelle de la Matrice asservissante.

Cf. Le chemin de l'Ascension.

 

L'échelle des dimensions de réalité et de conscience de l'humain

L’état de conscience est l’élément clé de toute existence dans l'Univers, Ce Qui Est, qui n'est rien d'autre que le produit de Son Esprit, soit un contenu ou substance de nature purement psychique, autrement dit éthérique ! Il correspond sur le plan de la science physique à la gravité, à même de créer le monde des formes, illusoires par définition. Ceci entend que TOUT - l'Univers - est une grande illusion, Son Esprit se déclinant en 7 dimensions de densité, c'est-à-dire des niveaux de conscience à chaque fois dégradés en partant du plus élevé jusqu'aux plans inférieurs, là où l'énergie éthérique est densifiée par le mécanisme des forces électromagnétiques et nucléaires. Les dimensions sont ainsi à entendre comme le résultat de la Conscience universelle telle que manifestée dans le secteur "imagination" de la pensée humaine.

Le corps humain physique provient de la matière de 1ère densité (sodium, potassium, calcium, phosphore, carbone, vitamines, tous les sels minéraux et organiques…).

Son corps génétique (acide nucléique, acide ribonucléique, peptides, glucides, adénine, cytosine, guanine, thymine...) est issu de la 2ème densité. Les constituants de l'ADN de tout être vivant, qu'il soit végétal, animal ou humain, restent identiques.

Son vécu (incarnation physique) se fait dans la 3ème dimension de densité ou de réalité, la "3-D".

Sa conscience limitée au Moi personnalité - l'ego-mental -* se situe dans la 4ème dimension de densité, lui permettant de s'observer lorsqu'elle est éveillée. Nommée le champ de l'Astral, elle est placée sous la gouvernance de forces involutives, dites le corpus prédateur (le Non-Être), même si des Forces évolutives dites de Lumière les contre-balançent de par la Loi de la dualité*².

Son corps éthérique/spirituel sous gouverne de l’Âme*³ est relié à la 5ème dimension de densité (la matière noire, l'antimatière, le non-temps…). Elle représente le lieu géométrique de toutes les possibilités d'un moment donné, dont une seule se réalise dans le Temps, alors que toutes les autres demeurent irréalisées. C'est une sorte de plan que la ligne du Temps perce à l'endroit où se trouve la possibilité qui, de ce fait, se réalise.

Sa conscience supérieure ou supra-conscience - celle du Soi supérieur une fois l’Âme réunifiée - est reliée à la connaissance de la 6ème dimension de densité (l'énergie noire ou nucléaire faible, la Connaissance universelle…). Elle figure le Temps de l'Univers, comprenant par son volume non plus le possible mais l'accomplissement de toutes les possibilités de chaque moment par le cycle complet de toutes les lignes du Temps.

Il conserve toujours sa connexion à la 7ème dimension de densité, à l'Un, à la Source, la conscience ultime du Créateur et de la Création, Ce Qui Est, point situé en même temps dans l'Espace et dans le Temps.
Ligne du Temps, Éternité et Tout sont les termes du langage courant qui correspondent à la quatrième, à la cinquième et à la sixième dimension. Le terme Zéro correspond à la septième et dernière dimension. Ce n'est pas le néant. C'est le germe et la fin, l'Alpha et l'Oméga de tout ce qui existe.

* Cf. Décryptage de l'Ego.

Cf. La dualité décodée.

*³ Cf. Le cheminement de l’Âme.

 

Techniques de contrôle de l’esprit et conditionnement de croyances*

Pour saisir les vrais motifs du corpus prédateur involutif qui gouverne l'humain de la 4ème dimension de réalité, il est nécessaire de comprendre les bases du contrôle de l’esprit humain. L’exploitation d’humains par le contrôle de l’esprit peut être atteint de différentes manières :

1. En éloignant les individus de leur sphère d’influence normale.

2. En les privant de sommeil.

3. En leur infligeant de la douleur s’ils désobéissent, du plaisir s’ils obéissent.

4. En altérant leur biochimie.

5. Par des traumatismes infligés.

Ces méthodes sont notamment utilisées par des sociétés (sectes) à caractère occulte, souvent impliquées dans les pratiques de magie noire et de sorcellerie.

Pour effectuer un programme de contrôle de l’esprit réussi sur l’humanité, il est indispensable que les croyances de base sur Dieu, la Création et le champ du divin - Ce Qui Est -, soient détournées et assises sur un modèle contrefait. Là réside le pourquoi de la corruption initiale des grandes religions du Livre*², qui prévalent tout particulièrement dans le monde occidental et une partie de l'Orient. Ainsi le tabou de la sexualité, qui au prétexte de son caractère "impur" au-delà de l'acte de procréation, conduit par effet miroir à obscurcir et à anesthésier la faculté de discernement du fidèle croyant, soit son éveil spirituel, tout particulièrement masculin puisque dominé par sa polarité électrique. Celui-ci sera conduit à projeter sa frustration à l'extérieur, et par ricochet sur autrui, la femme émancipée devenant tout naturellement la pécheresse fantasmée et diabolisée. Cela ne l'interdira pas de s'autoriser quelques plaisirs compensatoires au désir réprimé sous différentes formes, souvent brutales (Cf. actualité concernant un célèbre prédicateur). Cette manipulation hypocrite n'est rien d'autre qu'un programme de contrôle mental à grande échelle, totalement déconnecté d'un soi-disant enseignement divin. Que penser alors de grandes institutions éducatives (universités par exemple), continuant à ouvrir leurs portes aux illuminés du faux Dieu ? Irresponsables ou complices ?

* Cf. Contrôle mental & Le contrôle du robot biologique.

Cf. Le Judaïsme décodé & L’Église romaine décodée.

 

Classique confusion

 

La conscience humaine de 3ème densité de réalité et les croyances associées ont toujours confondu amour et sexualité. Or la sexualité n'a strictement rien à voir avec l'amour, les deux ne correspondant aucunement à l'acception humaine donnée.

 

Nature de l'amour

 

Dans sa raison d'être universelle, soit le mode "Service d'Autrui", l'Amour n'est précisément et absolument pas un sentiment d'affection, ni d'attachement envers un être ou créature vivant, bien au contraire ! L'amour véritable, ou inconditionnel, restitue sa pleine responsabilité et liberté d'être à l'autre, même s'il s'agit de son compagnon, ses enfants, ses parents, ses amis, ou ses animaux.

L'amour est cette énergie universelle - la force nucléaire faible - non réellement définissable par la conscience limitée de l'humain. Même s'il est parfois défini comme une force créatrice - par exemple artistique -, l'amour humain de 3ème densité reste néanmoins une distorsion de la loi de l'Unité. Il est le principe d'où découle l'expérience du jeu des polarités du bien et du mal*. Unité de conscience intégrée à la loi de l'UN, il ne peut être polarisé ("J'aime/Je n'aime pas").

En physique quantique, l'amour est cette force qui traduit et polarise la fonction d'onde en spin dextrogyre ou lévogyre. Soit pour la transformer en photon, en lumière apparente - la fausse lumière matricielle de 3ème densité constitutive de l'illusion -, soit en une réalité détachée de cette dernière, dans laquelle baignent encore l'égrégore des consciences humaines ignorantes de cette vérité.

* Cf. La dualité décodée.

 

Le mot amour dans la Bible

Le mot "amour" se décline en trois dimensions dans le langage biblique :

EROS est l'amour sensuel, romantique et sexuel qui est inspiré par la structure biologique de la nature humaine.

PHILEO est l'amour amical, marquant la complicité, la communication et la coopération, qui est inspiré par les sentiments et les affections.

AGAPE est l'amour plus intense.

 

En renvoyant la plupart du temps à un profond sentiment de tendresse envers une personne, cette conception spécifique de l'amour en mode "Service de Soi" comprend un large éventail de sentiments différents, allant du désir passionné à l'amour romantique et à la tendre proximité sans sexualité de l'amour platonique, jusqu'à la dévotion spirituelle de l'amour religieux. Ces sentiments sous leurs diverses formes agissent comme un facteur majeur dans les relations sociales, occupant de ce fait une place centrale dans la psychologie humaine. Or ils sont tous générateurs d'attachements, de dépendances et de culpabilité. Ce qui, par leur principe même d'anneaux de pouvoir*, emprisonne l'humain dans sa matrice asservissante, le conduisant à courir derrière une chimère inatteignable. C'est pourquoi, parmi tous les modes d’expression sexuelle, le célibat est le plus susceptible de faire progresser plus rapidement vers la 4ème densité de conscience, à la condition expresse que l’abandon des désirs charnels, total ou partiel, n’exige pas d’efforts, qui en annihileraient derechef le bénéfice...

* Cf. Libération émotionnelle.

 

Réalité de l'amour

Si pour beaucoup les plus beaux moments de la vie sont ceux où ils tombent amoureux de quelqu’un, la plus belle chose dans la vie est toute autre. C’est d’avoir la liberté totale d’être soi-même. Et c'est lorsque nous n’avons aucun attachement à quoi que ce soit, ni à une personne, ni à un système de croyances, ni à un pays, ni à notre réputation, ni à notre nom, ni à quoi que ce soit d’autre, que nous sommes libre, alors que le besoin d’être dans une relation avec quelqu’un est l’une des plus grandes causes de malheur. Il y a deux raisons à cela.

Premièrement, parce que si nous ne nous comprenons tout simplement pas complètement, la question se pose de savoir comment nous pouvons être avec quelqu’un d’autre. Plus nous essayons de contrôler les autres, plus nous manquons d’assurance, et moins nous sommes heureux.

Deuxièmement, lorsque nous nous sentons seul, nous courons après les gens. Nous voulons combler ce vide en nous. Mais lorsqu’une personne réalise sa vraie nature, elle se sent complète en elle-même. Elle n’a pas besoin de quoi que ce soit du monde extérieur pour se rendre heureuse.

Nous avons en fait tendance à projeter nos propres désirs sur les autres, du style "Si tu m’aimais vraiment, tu ferais ceci pour moi." Cela ne peut conduire qu'à la déception, car personne ne peut répondre à nos attentes, qui n’ont de toute façon rien à voir avec la réalité. Et c'est lorsque nous réalisons que personne ne peut nous rendre heureux, sauf nous-même, que nous ressentons un grand soulagement.

Nous ne sommes plus piégé par nos désirs ou nos attentes. Nous n’avons plus jamais à dire "si seulement". Il ne manque rien à notre vie et nous n’avons plus à dépendre de quelqu’un d’autre pour notre bonheur. Il est en effet impossible d’aimer quelqu’un si nous sommes incapable d’être seul. Si nous sommes incapable d’être avec nous-même, il nous est impossible d’être avec un autre.

Celui qui aime ne perd jamais rien en aimant ; au contraire, il gagne tout. Tel est le paradoxe. Ce n’est qu’en prenant des risques que l’on peut trouver la sécurité. C’est pourquoi seuls ceux qui peuvent être seuls sont capables d’aimer, de partager, de pénétrer au plus profond d’une autre personne – sans la posséder, sans en dépendre, sans la transformer en une chose, sans en devenir dépendants. Ils donnent à l’autre une liberté totale car ils savent qu’ils seront aussi heureux qu’ils le sont maintenant si l’autre s’en va. L’autre ne peut pas prendre leur bonheur parce que l’autre ne le fournit pas.

L’amour n’est pas une relation entre deux personnes. C’est une relation entre une personne et elle-même. Lorsque nous aimons quelqu’un, nous aimons cet aspect de nous-même que nous sommes capable de voir dans un autre être humain. C’est pourquoi l’autre est si important. C’est pourquoi il ou elle est si précieux pour nous. Sans l’autre, nous ne pouvons pas nous voir nous-même.

Les possibilités de l’amour ne se trouvent pas dans une relation dans laquelle l’un doit dépendre de l’autre, mais dans une relation dans laquelle les deux sont indépendants et peuvent vraiment s’aimer. Chacun aime l’autre parce qu’il s’aime lui-même et que cette autre personne lui permet de voir un peu plus de lui-même. Aimer vraiment quelqu’un signifie le voir tel qu’il est, sans aucun effort pour le changer ou le rendre différent, et sans aucune attente de sa part. Il s'agit de l'accepter simplement comme il est.

Le véritable amour ne pense pas à changer l’objet de son amour ; il l’aime tel qu’il est. La vérité est que dans une relation, on n’est pas censé être dépendant de l’autre. En fait, lorsque deux personnes sont vraiment amoureuses, elles s’aident à grandir, elles se lancent des défis et elles font ressortir le meilleur d’elles-mêmes. Aucun n'est censé créer une dépendance à l’autre. Une relation est l’union de deux personnes qui ont accepté leurs différences et ont décidé de les exploiter. Elles voient aussi les côtés négatifs de leur partenaire, mais au lieu de se concentrer sur le négatif, elles choisissent de se concentrer sur les aspects positifs.

Dans une relation, il s’agit d’apprendre de son partenaire et de créer un lien durable avec lui. Aimer vraiment quelqu’un est l’acte le plus désintéressé que nous puissions faire. Lorsque nous aimons quelqu’un, nous n’agissons pas par peur, par besoin ou par contrainte. Il ne s’agit pas de ce que nous pouvons obtenir d’elle ou de ce qu’elle nous fait ressentir. Nous aimons cette personne parce qu’elle rend notre vie complète et significative, parce que chaque jour passé avec elle apporte quelque chose de nouveau, d’excitant et de beau dans notre vie.

Et lorsque nous sommes capable de ce genre d’amour, il rayonne de l’intérieur et tout autour de nous. Les personnes qui en font l’expérience ne l’oublieront jamais et en redemanderont toujours. Tout revient à cet amour qui brille à travers tout ce que nous sommes.

C'est bel et bien la capacité à être seul et à apprécier notre propre compagnie qui nous met sur la voie d’une relation saine. Si nous ne sommes pas capable d’être heureux lorsque nous sommes seul, il y a de fortes chances que nous soyons dépendant de notre partenaire ou que nous entretenions une relation malsaine avec lui. Nous serons alors triste de le voir partir ou être loin de nous et, dans notre esprit, nous deviendrons dépendant de sa présence pour notre bonheur.

Le cœur est aussi grand que le monde, et si nous sommes vrai, chaque être vivant appartient à notre cœur.

 

Nature de la sexualité

 

Le serpent a toujours illustré l'énergie sexuelle spécifique au fonctionnement du corps biologique*. C'est ce que figure la kundalini, mot sanskrit signifiant "s'enrouler comme un serpent". Cette énergie du serpent à double polarité masculine et féminine est également symbolisée par le Caducée, le célèbre bâton de Mercure (Hermès grec) qui représente la médecine et la guérison. C'est le symbole du dieu sumérien Inkishzidda. Ce symbole est aussi celui de l'ADN, la spirale double de l' ADN. 

Ce bâton symbolise l’axe du monde - axis mundi - comme la colonne vertébrale de l’être humain, homme comme femme, avec deux serpents entrelacés, intriqués en spirale, soit les deux polarités nécessaires à la manifestation de la vie (masculine/féminine, bien/mal, macrocosme/microcosme) lors de son passage du monde végétal au monde animal, entraînant la formation de la colonne vertébrale et du système nerveux central. C’est l’application du "3" fondu en 1 (le bâton) par les 2 serpents, soit le principe d’activation de la conscience de l’unité, la cohérence*².

Le serpent symbolise par ses anneaux l’ensemble des cycles de la manifestation universelle, nécessaires à l’être humain dans l’alternance naissance/mort pour retourner à son Unité première*³. La spirale décrit le cercle originel de la Création - Ce Qui Est - à travers le temps, le Noyau fondateur ayant commencé à décohérer sous cette forme. Quand le pouvoir du serpent (l'énergie) est stimulé, il grimpe le long de la colonne vertébrale, énergisant chaque chakra, jusqu’à émerger au crâne, symboliquement sous la forme d’une tête de serpent (les ailes représentent cette montée d'énergie) apportant l'illumination. Toutefois, il convient de préciser qu'il ne s'agit pas d'un feu, contrairement à la croyance fortement ancrée dans l’inconscient collectif. En fait, ce n’est que lorsque les polarités du féminin (notre ancrage à la Terre) et du masculin (notre connexion au Ciel) sont à égalité de pression que la Kundalini produit ses effets. C’est une explosion du cœur et non de la tête, constitutive de la prise de conscience de notre Particule d’Esprit divin qui sommeillait depuis si longtemps.

* Cf. Fonctionnement du corps biologique.

Cf. L'état de cohérence, voie de sa liberté.

*³ Cf. Le cheminement de l’Âme.

 

C'est pourquoi les enseignements de la Tradition non dénaturée se sont toujours attachés à la compréhension et à la maîtrise de la puissance de l'énergie sexuelle, véritable clé de transmutation intérieure et de libération lorsqu'elle est conscientisée, ce qui bien entendu n'est jamais enseigné, ou de manière édulcorée et tronquée, pour maintenir les esclaves prisonniers de leurs sens désordonnés, et illusionnés par le schéma simpliste de l'homme procréateur par sa semence et de la femme génitrice. Si ces deux rôles sexués sont bien entendu indispensables à la création du vivant, les circonscrire à ces fonctionnalités empêche tout processus de libération des codes de conditionnement qui y sont liés.

 

A l'origine de l'humanité

 

Les travaux du spécialiste des civilisations mésopotamiennes et des écrits des tablettes d'argile Anton Parks permettent peu à peu de reconstituer l'histoire secrète de la Terre, volontairement cachée à la connaissance de l'humain sous domination et contrôle mental*. Contrairement à l'enseignement académique dispensé, de moins en moins crédible au regard des découvertes successives, elle voit à ses origines lointaines une division dans l'ordonnancement du cosmos entre des "races planificatrices de vie" (+) et des "races conquérantes" (-).  Cette division est conforme aux polarités positive et négative qui permettent le fonctionnement du Vivant dans des dimensions de réalité et de conscience inférieures à la dimension ou matrice originelle, Ce Qui Est*². Le conflit fait ainsi rage entre les races planificatrices au service de la paix universelle, nommées Kadištu (parmi lesquelles se trouvent différentes lignées comme les Nungal ou les Urmah), et d’autres races de nature agressive qui refusent cet ordre planificateur, formant des sociétés hiérarchiques, pyramidales, au sommet desquelles se trouvent les Gina'Abul et Kingu*³.

La Terre est dans l'Univers une planète sauvage, une réserve biologique où sont expérimentées d’innombrables formes de vies. Par la division inhérente à son fonctionnement, elle a une histoire émaillée de désaccords et de conflits. Une de ces races agressives est les Anunna, une race reptilienne dont la couleur sacrée est le vert. C'est elle qui aurait manipulé l'ADN et les chromosomes de l'espèce humaine qui faisait suite aux premiers homo-erectus il y a environ un million d'années, le néandertalien - soit l'Abel biblique -, avant son implantation terrestre, de peur de voir ses représentants trop éveillés et afin de la maintenir sous asservissement. Toutefois, conformément à la loi des polarités régissant l'univers, les "déesses-mères" reptiliennes appelées Amasutum y ont logé les clés de l'évolution, sous réserve de l'éveil de conscience ...

* Cf. Contrôle mental & Le modèle pyramidal décodé.

Cf. Évolution de civilisation (1) Le mécanisme de l'Univers.

*³ Cf. Préambule de compréhension & Les acteurs de la Matrice falsifiée.

 

La tentation de l'or et du sexe, ou la permission à son esclavage logée dans la psyché

La lecture d’un grand nombre de représentations mythologiques - la Chute au Jardin d’Éden, le Déluge avec l'Arche de Noé et ses paires d'animaux, l'anéantissement de Sodome et Gomorrhe - conduit à constater que le sexe ou la sexualité est une question cruciale. C'est ainsi que dans les légendes sumériennes, les dieux sont perturbés par toutes les activités sexuelles de l’humanité qui les empêchent de dormir, et ils décident de détruire celle-ci. La religion chrétienne de son côté a toujours combattu le sexe, allant de l’idée de la castration volontaire au célibat de ses officiants, en passant par le sexe à des fins de procréation exclusivement. Quant à l'époque contemporaine, nombre d'individus rapportent des expériences sexuelles avec des êtres/entités "extraterrestres" de tous types.

Ceci pose clairement la question de notre obéissance au plaisir personnel, ce qui nous a entraîné, lorsque les entités prédatrices ont ouvert la porte pour montrer l'éclat de la matière - l'or et le sexe - à nos sens physiques. Autrement dit, l'être humain leur a donné la permission de l'enlever. C'est bel et bien l'usage de son libre arbitre qui a consenti à sa capture, et depuis à son esclavage. Tel est le sens de l'ancienne légende de l’Ange déchu, Lucifer, autrement dit nous-même ! Nous avons bel et bien chuté en ouvrant la porte, le serpent nous ayant alors mordu pour un syndrome depuis à répétition, celui de sa mainmise sur la fréquence vibratoire de la planète Terre.

 

L'évolution progressive de l'espèce humaine a vu ainsi l'Homo Neanderthalensis passer au stade supérieur dit Homo Erectus pour devenir progressivement "l'homme moderne", d'abord l'Homo Sapiens puis l'Homo Sapiens Sapiens. Cette branche Homo est la famille "animale" (la signification sumérienne de Adam est bétail), utilisée depuis les origines par la famille reptilienne involutive qui s'est imposée pour contrôler et dominer sur la Terre*. Autrement dit, il s'agit du Caïn biblique, génétiquement coupé du divin, dont seuls 3 à 5% de l’ADN moderne s’exprimeraient en protéines et seraient utiles, le reste étant nommé par les scientifiques le Junk DNA, l'ADN poubelle...

 

Du chromosome X et Y

La revue scientifique Nature a publié dans sa parution d'août 2023 le résultat du nouveau travail de séquencement des scientifiques du chromosome Y humain, que l’on ne trouve généralement que chez les hommes. Il s’agit du dernier des 24 chromosomes humains à avoir fait l’objet d’une étude approfondie.

Le chromosome lié au sexe, qui est plus court que le reste du complément génétique humain avec seulement 45 gènes contre plus de 1 000 sur le chromosome X, présente de "grandes variations" dans sa taille et sa structure. Le premier chromosome Y séquencé par les chercheurs comptait plus de 62,4 millions de paires de bases d’ADN, soit 30 millions de plus que le génome de référence actuel, appelé GRCh38. De nombreuses erreurs dans le modèle de référence ont ainsi été corrigées, et 41 nouveaux gènes codant pour des protéines ont été identifiés, tout comme ont été révélées les structures complètes de plusieurs familles de gènes impliqués dans la production de sperme.

 

L'initiation de l'humain à la sexualité selon les tablettes mésopotamiennes est du fait d'une race reptilienne évolutive, pacificatrice, rattachée à la divinité Enki. Il est ainsi figuré comme le serpent bénéfique - celui du Caducée de la médecine -, qui a permis aux humains de découvrir le secret de la procréation pour pouvoir, en se reproduisant, s'extirper lentement de leur asservissement des races reptiliennes (Anunna) involutives rattachées à la divinité Enlil, son frère*², fils du dieu sumérien Anu, le Yahvé/Jéhovah biblique (le faux Dieu universel). Il s’agissait bel et bien de conférer aux hommes la possibilité d’être indépendants, autonomes, et de ne plus avoir besoin du clonage génétique pour se "multiplier". De ce fait, certains prototypes du projet "humain (dit Adam)" s’émancipaient et pouvaient à terme échapper au contrôle absolu des entités prédatrices.

L'autre dimension à ce "don" de la procréation est celle de la sexualité, qui, dans certaines conditions, peut devenir sacrée et offrir l’accès à la connaissance, à une élévation de l’âme, à une véritable transcendance, et au final à la sortie de la matrice involutive sous domination de la force prédatrice reptilienne (archontique). Les gnostiques avaient saisi l’enjeu qui se cachait derrière ces notions tout comme les adeptes du tantrisme, hors sa manipulation New Age. C'est pourquoi les religions judéo-chrétiennes inféodées au corpus prédateur y ont toujours vu un danger mortel et un poison pour l’âme - celui de son éveil -, raison pour laquelle la sexualité a toujours été auréolée d’un tabou confinant à la culpabilité, et par-là même au maintien de la conscience dans les ténèbres...

* Cf. La nouvelle religion universelle.

Cf. Le Judaïsme décodé.

 

Dénaturation de la sexualité

 

Selon l'enseignement du christianisme, c'est Jésus qui introduisit dans les rapports humains ce qui était pratiquement inconnu avant lui. A la loi hébraïque de la jungle "œil pour œil, dent pour dent", il substitua le commandement nouveau : "Aimez-vous les uns les autres." Cela produisit une révolution dans les relations entre l'homme et la femme, l'Amour étant introduit dans la vie sociale. La "marchandise" d'autrefois obtenait toutes proportions gardées droit de cité. Était posé le principe du choix réciproque en amour, entraînant la révélation du Roman, genre littéraire mettant en exergue l'amour courtois. S'il atteignit son apogée au Moyen Age, et en dépit tant du déclin qu'il a connu depuis lors que de la tendance contemporaine au retour à des formes régressives des rapports entre les sexes, il demeure l'idéal avoué de notre société, celui consistant à cimenter l'union indissoluble de deux êtres strictement polaires qui assurera leur intégration au sein de l'Absolu.

C'est pourquoi la vision d'un tel roman hante les meilleurs esprits depuis des millénaires, que l'on retrouve dans l'amour platonique, base du roman unique, dans les mythes de l'Androgyne, d'Orphée et d'Eurydice, de Pygmalion et Galatée, de Daphnis et Chloé, d'Ulysse et Pénélope, de Tristan et Yseult, de Roméo et Juliette, de Rodrigue et Chimène, de Paul et Virginie... Entrés dans la lumière, tous deux ne font plus qu'un afin de faire jaillir l'Amour vrai, transfigurateur, vainqueur de la Mort. L'Amour est bel et bien l'Alpha et l'Oméga de la vie, le reste n'ayant qu'une signification secondaire.

 

"Les sexologues de la seconde moitié du XXème siècle traiteront de la sexualité pervertie de l’homme comme si elle était une donnée naturelle. Ils ne s’intéresseront qu’au phallus, aux capotes anglaises, aux techniques amoureuses des Hindous. Ils prodigueront aux ignorants et aux impuissants des conseils sur la manière "d’accomplir" avec "succès" l’acte sexuel. Ils enseigneront les "techniques de l’amour", la manière de jouer avec les organes génitaux du partenaire, de s’exciter réciproquement, ils diront ce qu’il faut faire et ne pas faire, quelles positions adopter pendant l’étreinte sexuelle… Les politiciens n’hésiteront pas à s’emparer de l’occasion pour promettre aux "masses" la "liberté de l’amour" (…) Ainsi la doctrine de la Vie jaillissante [l’évangile] aboutira au naufrage de l’humanité tout entière et de toutes ses institutions, si elle est prise en charge par l’homme atteint de la PESTE ÉMOTIONNELLE. (…)"

Wilhelm Reich - Psychiatre autrichien (1897/1957), The Murder of Christ ("Le Meurtre du Christ"), 1953

 

Le référentiel patriarcal ou patrilinéaire (forme de famille fondée sur la parenté par les mâles et l'autorité prépondérante du père en sociologie) judéo-chrétien inséré par conditionnement dans notre psyché a ainsi conduit à une profonde dénaturation de la relation de l'être humain à la sexualité*. Alors que dès sa naissance le nouveau-né expérimente sa sexualité,  présente dès la vie intra-utérine pour se développer tout au long de la vie, bien qu’elle s’exprime différemment selon l’âge, elle se traduit par de la culpabilité, source de refoulement, de frustration, de soumission, et de compensation dominatrice par des déviances sexuelles caractéristiques de perversions*² - type pédophilie, plus exactement pédocriminalité -, et des manipulations psychologiques, alors qu'elle devrait renvoyer aux notions d’amour, d’affection, d’attachement, de tendresse, de sensualité, de plaisir, de reconnaissance de soi, de génitalité. Aussi il n'est pas étonnant que tant de prêtres, évêques et papes défroqués aient succombé à leurs instincts sexuels au sein de l’Église romaine, réprimés et dénaturés par l'obligation de chasteté, ce que rappelle désormais de manière récurrente l'actualité. Cette répression sexuelle instaurée par ces "patriarches au service du malin" a gangrené les rapports humains. Ces derniers sont encore prétextes aujourd'hui à des guerres sanglantes, restant toujours perceptibles à différents niveaux d'abomination parmi les religions extrémistes juives, chrétiennes, musulmanes, hindouistes, bouddhistes confondues.

Conformément à la loi des polarités, l'autre pendant de la dénaturation a été initié à partir de la seconde moitié du XX° siècle également à grande échelle à travers la libération sexuelle, tout particulièrement encouragée par l'industrie publicitaire et médiatique, l'éducatif institutionnel et la législation, conduisant là aussi à brouiller les repères nécessaires à une relation apaisée et harmonieuse à soi-même comme à autrui.

* Cf. Le Judaïsme décodé, L’Église romaine décodée & Le mythe du péché, ou la mise sous tutelle de l'humain.

Cf. Fonctionnement du corps biologique.

 

L'évolution sociétale de la perception de la sexualité

Incontournable de la physiologie humaine, la sexualité au même titre que la santé et son corollaire la maladie se définissent depuis toujours dans le monde binaire de la 3-D à partir d'un modèle de référence considéré comme étant représentatif de la "normalité" vs son pendant, "l'anormalité". Ces modèles référents, sous la férule des autorités politico-religieuses qui les établissent, ne sont pas toujours explicites, et changent suivant les époques, les cultures et les sociétés.

C'est ainsi que dans les sociétés dites traditionnelles, le référent est parfois élaboré à partir d'une analyse simple de ce qui est observé. Par exemple, le baiser est contre nature puisque la bouche, avec les dents, est faite pour manger et pas pour la sexualité. La sodomie est dégoûtante puisque l'anus contient des excréments dégoûtants. De même, les activités oro-génitales sont condamnées à cause du goût et de l'odeur désagréable des organes génitaux.

Dans l'Antiquité grecque, la bisexualité faisait partie de la norme : les hommes entretenaient des relations homosexuelles comme une vie hétérosexuelle de famille. Dans l'Antiquité romaine, où la principale référence était la virilité (distincte de l'hétérosexualité), la société condamnait le fait d'être passif, c'est-à-dire être au service de l'autre. Ce rôle n'était concevable que pour une personne de rang inférieur, comme l'esclave. Ce faisant, toutes les activités sexuelles où l'homme est actif étaient considérées "normales", que ce soit avec l'épouse, avec une maîtresse, avec l'esclave, homme ou femme. Les activités sexuelles contraires à la représentation culturelle romaine de la "nature" étaient la bestialité, la nécrophilie (attirance sexuelle pour les cadavres) et les unions avec les divinités.

Au XIX° siècle, le modèle de référence était l'"instinct sexuel" à même de permettre la reproduction, c'est-à-dire le coït vaginal. Tout ce qui n'allait pas en ce sens était considéré comme une perversion (sodomie, activités oro-génitales, activités sexuelles entre personnes de même sexe ou impubères...).

Le début du XX° siècle voit le modèle psychanalytique s'établir, qui permettra de sortir les perversions sexuelles des systèmes moraux et classificateurs en vue jusqu'alors (Cf. livre de 1905 de Sigmund Freud "Les Trois essais sur la théorie sexuelle"). Le fondateur de la psychanalyse postule que la sexualité humaine est par nature opposée aux principes d'autoconservation de l'espèce, celle-là étant appelée à être "domptée" par les exigences de la vie en société. C'est ainsi qu'il parlera de "l'enfant pervers polymorphe", dans la mesure où pour lui toute source de plaisir constitue(ra) un but. C'est l'évolution, notamment de la sublimation, qui lui permettra de convertir cette libido en pulsion épistémophilique (désir incessant d'accumuler du savoir) ou, par les ratés d'une fixation, conduira à une perversion stable.

À la fin du XX° siècle, à partir de la neurologie et d'un consensus entre experts psychiatriques, est élaborée une nouvelle référence, le DSM (The Diagnostic and Statistical Manual of Mental Disorders ou "Manuel de Diagnostic et de Statistiques des Troubles mentaux"), classant les déviances sexuelles à la "norme" en perversions. Toutefois, les facteurs socio-culturels continuent d'influencer ce qui est considéré comme normal ou pathologique, aboutissant par exemple à ce que l'homosexualité ne soit plus considérée comme une maladie. De même, le phénomène culturel de la révolution sexuelle des sixties conduit à la suppression de plusieurs paraphilies (attirance ou pratique sexuelle qui diffère des actes traditionnellement considérés comme "normaux") du référentiel DSM*.

Dans les années 2000, les recherches en neurosciences ont montré que chez l'être humain (tout comme chez le chimpanzé, le bonobo, l'orang outan et le dauphin), le comportement sexuel n'est plus un comportement de reproduction, mais un comportement érotique. En effet, il a été observé qu'au cours de l'évolution, l'importance et l'influence des hormones et des phéromones (substances chimiques qui transmettent des informations influençant la physiologie et les comportements) sur le comportement sexuel a diminué. Alors que chez les mammifères les plus simples, ce sont les phéromones qui sont à l'origine de l'hétérosexualité, l'importance des récompenses/renforcements est devenue majeure. Il en a découlé que chez l'être humain, le but du comportement sexuel n'est plus le coït vaginal mais la recherche des plaisirs érotiques, procurés par la stimulation du corps et des zones érogènes, peu important les caractéristiques du ou des partenaires. En fonction de ce modèle, où les récompenses sont le principal facteur du comportement sexuel, les problèmes et les pathologies de la sexualité ne se situent plus au niveau des activités (peu importe le moyen du plaisir érotique), mais au niveau du dysfonctionnement des processus de la récompense (hypo ou hypersexualité, dépendance sexuelle), au niveau de la relation entre les partenaires (agressions physiques ou psychologiques), et au niveau des croyances sociales particulières et infondées (contexte culturel induisant, par exemple, la culpabilité pour la perte de la virginité, la pratique de la sodomie ou de la masturbation).

Tous ces modèles de référence n'ont eu de cesse de changer, sans être toujours explicites ou décrits avec précision. Les mœurs sexuelles et la morale changeant au cours du temps, les connaissances concernant la sexualité humaine sont partielles, évoluant constamment. Au XXI° siècle, ce qui est considéré comme normal ou pathologique dépend encore, en partie, de l'état des connaissances et du contexte culturel.

C'est pourquoi le diagnostic de la pathologie sexuelle ne peut se faire qu'à partir de la connaissance de la sexualité et de sa raison d'être profonde : asservissement ou libération. Autrement dit, celle qui implique une menace pour soi-même ou autrui, celle qui permet le processus de transformation intérieure.

* Cf. Fonctionnement du corps biologique.

 

Nouvelle prudence dans les relations amoureuses

De nombreux témoignages attestent que de plus en plus de femmes célibataires non vaccinées évitent les hommes célibataires qui ont été "vaccinés" contre le coronavirus de Wuhan (Covid-19), l'inverse bien que plus rare pouvant également être observé. Inquiètes en effet de l’excrétion potentielle des protéines spike du virus lors de contact physique, les femmes célibataires non vaccinées abandonnent parfois la scène des rencontres modernes avec des hommes "parfaitement injectés" de la thérapie génique expérimentale. Parmi ceux-ci, les plus mécontents et les plus hostiles sont ceux qui ont "succombé au vaccin par la force", notamment pour conserver leur emploi. Ainsi, se sentant doublement pénalisés pour un vaccin qu’ils n’ont jamais voulu au départ, beaucoup de ces hommes ne gèrent pas bien le rejet de ces femmes compte-tenu de leur culpabilité non assumée. Cela se traduit par de l’agacement et de l’impolitesse envers ces femmes ayant choisi de rester attachées à leur position particulière.

Dans tous les cas, il s’agit d’un acte d’auto-préservation de la part d'individus qui ont refusé les vaccins de ce qui s'apparente désormais à une  sorcellerie pharmaceutique qui peut potentiellement se transmettre par l’activité sexuelle.

 

"Cointelpro", ou la manipulation sexuelle du New Age

Le "Cointelpro" - Counter Intelligence Program - (counter au sens "contrer", "aller à l'encontre") est un programme de désinformation, de contre-intelligence et de contrôle mental initié par le FBI (Federal Bureau of Investigation) et la CIA (Central Intelligence Agency) états-uniens. Il découle des techniques de manipulation de masse de la conscience humaine*, visant entre autres à un extrême la création des rituels pédo-sataniques, à l'autre extrême la promotion du tantrisme, autrement dit la "kundalini-sexualité", foutaise grotesque du courant New Age "Amour et Lumière".

Ces programmes de manipulation mentale ont pour objectif de faire croire que des techniques d'ouverture spirituelle sont possibles grâce au "partage" de l'énergie sexuelle, alors que c'est très précisément l'expérience du désir sexuel (ou charnel) qui a précipité les âmes humaines dans l'expérimentation du monde de la matière, bloquant leur ascension de conscience pour un retour à l'Unité !

Même si le tantrisme se revendique d'une pratique inspirée de la religion hindouiste remontant au V° siècle, qui allie le yoga et la méditation à la sexualité aux fins de maîtriser ce puissant courant d'énergie, il est une technique propre à ce monde de réalité limité, celui de la Matrice asservissante, et de ce fait dévoyé.

C'est ainsi qu'en suivant les principes de la méditation, le tantra pratiquant a "prétendument" pour objectif d'atteindre, en plein état de conscience, une sexualité "éveillée", en d'autres termes réfrénée sous couvert de spiritualité. La prétendue dimension sacrée serait atteinte par la fusion entre le masculin et le féminin (représentée dans les temples hindous par Shakti et Shiva). En réalité, le tantrisme n'est bénéfique que pour les consciences prétendument sur le chemin de l'éveil, mais qui restent captives de l'illusion de la matrice cyber. Tel qu'il est enseigné par les gourous "amour et lumière", il n'est qu'une subtile distorsion de la loi de l'Un puisqu'il entraîne frustration de par la répression des fonctions hormonales. Quoi qu'ils racontent, le plaisir physique ne peut atteindre tout le corps, restant limité uniquement aux parties génitales, le reste n'étant qu'une illusion spirituelle. Aussi rechercher une montée de kundalini en évitant l'orgasme, comme cela est parfois enseigné dans les séminaires tantriques pour soi-disant ouvrir la porte à toutes sortes de visions mystiques, paranormales et magiques, n'est qu'une très dangereuse mystification destinée à égarer l'être humain sur son véritable chemin d'éveil, la rencontre avec le prédateur enfoui en lui et la dissolution (ou transmutation) de ses mémoires référentes*².

* Cf. Contrôle mental & Prédation spirituelle et voie de sortie.

Cf. Le chemin alchimique & Comprendre et apprivoiser la prédation.

 

La face cachée de la Lune (le Féminin sacré)
La face cachée de la Lune (le Féminin sacré)

 La face cachée du bien-être

Ils sont légion celles et surtout ceux qui se sont lancés sur le juteux marché du bien-être censé répondre aux affres de cette civilisation en souffrance, souvent avec sincérité tant l'état "sauveur" de leur moi non individué* masque leur dominante bourreau ou victime utilisée par leur prédateur attitré pour les manipuler afin de recevoir sa nourriture énergétique de survie. Utilisant tout particulièrement les réseaux sociaux pour promouvoir leurs promesses de bonimenteurs, ou fabricants de pastilles dédiées à cette thématique en vogue pour les chaînes d'info en continu, il en découle pour ce domaine à la croisée de la santé et de la spiritualité arnaques, emprise psy sinon parfois domination sexuelle... Sous couvert de quête existentielle, la cible privilégiée est la femme, qu'elle soit mère au foyer, femme active surchargée ou femme émancipée, à la recherche du lâcher-prise et du recentrage intérieur salvateur la plupart du temps après un échec professionnel, un deuil, une rupture, un accident, une maladie.

De la déjà ancienne sophrologie aux injonctions à la "bienveillance" dans le cadre de la RSE (Responsabilité Sociale et Environnementale) en entreprise, des conférences sur le bien-être nutritionnel et le vivre-sain (intolérances alimentaires, bio, pratiques véganes) en passant par l'édition de manuels de développement personnel et le coaching tant individuel que collectif (pratiques yogiques), sans oublier les offres VIP pour bobos branchés (parcours holistiques inspirés des quatre éléments, séances privées de qi gong ou de reiki), le bien-être est désormais omniprésent des sphères chimériques du quotidien.

Ce programme de manipulation mentale est entre autres une orchestration de l'usine hollywoodienne - les "mages noirs"- dédiée au contrôle de la conscience*². Son ambassadrice attitrée est Gwyneth Paltrow, actrice glamour qui en 2008 a lancé Goop (signifiant "substance visqueuse"...), une newsletter confidentielle pour CSP+ en quête de bonnes adresses et de recettes, transformée depuis en véritable empire digital par sa plateforme combinant e-commerce, ouvertures de pop-up stores, organisation de conférences payantes et collaborations avec des marques. On y trouve dans ce bric-à-brac "élitiste" des jeux de cartes provocateurs d'empathie, des pailles en métal agrémentées de cristaux purifiants visant à assainir l'eau et lutter contre les déchets plastiques, un spray infusé aux huiles essentielles supposé protéger des attaques psychiques, un luxueux fil dentaire enrichi en fibres de noix de coco, des haltères en marbre massif, un cache pour les yeux avec une face "sleep" et une face "fuck" ... à des tarifs conséquents. Si cette success story est unanimement encensée par ses adeptes illusionnées, le site du mieux-vivre accumule les controverses et les condamnations pour publicité mensongère comme des accessoires vaginaux supposés lutter contre les dérèglements hormonaux et la dépression nerveuse, ou les patchs corporels permettant de "réguler les fréquences énergétiques du corps" basés sur un soi-disant matériau utilisé par l'agence spatiale américaine NASA.

Nous pouvons ainsi comprendre d'autant mieux l'appétence des foutraques gourous du bien-être à profiter de ce mercantilisme luciférien avec ses cures de jeûne, d'hygiène et de digestion hors de prix, ses soins énergétiques opaques, ses régimes à partir de jus de légumes et ses retraites dédiées à la santé mentale, même si bien sûr il se trouve parmi l'abondante ivraie de vrais professionnels investis et sérieux. Ces refuges spirituels à un mode de vie éreintant illustrent la détresse émotionnelle de l'être humain profondément endormi à Qui Il Est, cherchant désespérément à l'extérieur la réponse qui gît pourtant enfouie en lui-même. Tant qu'il n'accepte pas de rencontrer l'ombre prédatrice qui le domine, le leurre et l'asservit - son autre face du miroir -, il demeure l'esclave vulnérable et consentant des professeurs enseignants relais de la prédation, qui, par les dérives insidieuses facilitées par l'effet de groupe et la fascination pour le "maître" (syndrome dit de Stockholm), exercent pour son compte la domination psychique, financière et parfois sexuelle nécessaire à sa survie dans les Ténèbres de la conscience, la 4ème dimension en mode "Service de Soi".

* Cf. Fonctionnement du corps biologique.

Cf. Symbolisme et artifices de la Matrice.

 

Sex-business spirituel

Cures sexuelles, yoga et retraites érotiques, séminaires de séduction, coaching orgasmique, méditation orgasmique entre midi et deux, lunes de miel intimes, "love ou secrets rooms"… l'imagination n'a pas de limites pour les illuminés du soi-disant Age d'Or. Les exigences de productivité de la société des con-sommateurs du vide existentiel les conduisent au toujours plus, la satisfaction sexuelle orgasmique faisant partie du package de vie réussie. C'est ce à quoi veulent répondre ces cursus accélérés mâtinés de spiritualité à la mode, déculpabilisant puisque à caractère sacré et aux prétextes libératoires de l'être humain ayant oublié d'être le superman ou la superwoman glorifiés par la société du paraître exacerbé. Le chemin est donc tout tracé pour les cures de godemichés en cristaux supposés "débloquer" la capacité à l’orgasme vaginal et autres divagations des foutraques halluciné(e)s de l'astral. Quelle meilleure façon que de permettre au prédateur dissimulé derrière tous ces sex-gourous* de continuer à prendre le contrôle de la vie de ses esclaves ahuris et de se repaître de leur psyché dénaturée...

* Il existe de nombreux soi-disant "guérisseurs sexuels" et gourous, qui dépeignent leurs propres pathologies/prédateurs comme des services de "guérison sexuelle" et de "sexe conscient".

 

Gleeden, l'avilissement affiché

Gleeden est un service de rencontre sur Internet, qui a été lancé fin 2009 en France, se positionnant comme le premier site créé pour les personnes mariées ou vivant en couple et souhaitant tromper leur conjoint en France et en Europe. Le nom Gleeden est l'association contractée de glee ("bien-être", "euphorie") et de Éden (le paradis, en l'occurrence terrestre). Il est édité par la société américaine Black Divine, au nom prédestiné - le divin des ténèbres -, dont le siège est à New-York, avec des bureaux à Los Angeles, Londres et Paris, également engagée dans des activités de capital risque en amorçage avec un "startups lab" (incubateur de nouvelles pousses) dont la liste des membres reste confidentielle…

Depuis le mois de mai 2016, Gleeden rassemble une communauté de plus de 3 millions de membres dans le monde et se revendique leader de son marché en Europe et en France avec plus d’1,3 million d’inscrits. Afin d’ouvrir le dialogue sur le sujet de l’infidélité, Gleeden s’entoure d’un cercle d’experts d’horizons divers, tels que la philosophe et écrivaine Éliette Abécassis, la sexperte Maïa Mazaurette ou encore la sexologue Dr Juliette Buffat, co-fondatrice de l’Institut Suisse de Sexologie Clinique.

Outre une promotion permanente via l'affichage (tout particulièrement dans le réseau métro), il bénéficie de l'attention de la presse généraliste qui s'en fait les gorges chaudes, l’infidélité étant devenu un marché. Les cibles acheteuses principales, les hommes, sont en effet confrontées à la non-résolution de leur moi égotique manipulé, vivant de mensonges, de non-dits, de fantasmes.

Si Gleeden n’invente pas l’infidélité, il l’affiche ostensiblement, participant non seulement à de gros mensonges comme fonds de commerce, mais également d'un dévoiement explicite du féminin sacré qu'il loge en continu dans l'inconscient. Son "business model" est en réalité, contrairement à son marketing, pensé par des hommes pour pomper financièrement les membres masculins, dont la réalité de visiteurs comme de membres est inversement proportionnelle aux chiffres annoncés (à l’arrivée l'écart est de 1 à 10 selon les évaluations de performance réalisées). Mais peu importe, puisque l'intention est toute autre... Il n'est en réalité qu'une version améliorée du désormais ringard Meetic, dont il a été démontré que sa consistance était toute autre que la puissance de son image dans l'imaginaire collectif (faux profils, fausse répartition hommes / femmes, pseudos bidons, profils plaqués en toc, témoignages bidons...).

Si Gleeden est une arnaque de plus pour les gogos illusionnés, sa perversité en revanche ne l'est pas quant au poison distillé par ses maîtres concepteurs satanistes.

 

Perversité sexuelle

Toute la symbolique de la Matrice cyber est manipulée de manière perverse*, le sens + d'un symbole cachant son pendant - afin d'égarer par l'inconscient l'être humain non initié. C'est ainsi le cas des émojis, terme japonais désignant les pictogrammes utilisés dans les messages électroniques et les pages web de l'univers "2.0". Si le mot emoji signifie littéralement "image +  lettre", sa ressemblance phonétique est "émotion", d'où son incontestable succès dans les échanges électroniques prisés par la nouvelle génération.

Ainsi le cœur, un des emoji le plus utilisé (en 6ème place en 2017 sur Facebook), signifie à quelqu'un que nous l'aimons, la nature de l'amour porté variant selon sa couleur. Si par exemple le cœur bleu (image 1) est le symbole de la journée mondiale de sensibilisation à l’autisme, ou une manière d'exprimer sa passion pour les sports nautiques, ou encore le symbole de la confiance, de la paix et de la loyauté, son autre sens généralement ignoré hors ses adeptes est une manière d'annoncer un penchant pour le BDSM - "Bondage, Discipline, Sado-Masochisme" - pratique sexuelle sadomasochiste relevant de la paraphilie*², qui consiste à ligoter son partenaire dans le cadre d'une relation de soumission/domination (photo 2). C'est ainsi qu'est subrepticement versée dans le subconscient de l'être humain "endormi" l'hypnose prédatrice le maintenant sur son chemin d'involution...

* Cf. Symbolisme et artifices de la Matrice.

*² Cf. Fonctionnement du corps biologique. Il est à noter que beaucoup de communautés paraphiles, en particulier fétichistes et BDSM, considèrent l'étrangeté de leurs pratiques sexuelles comme purement subjective et dépendante du contexte sociétal, et se basent sur des critères plus pragmatiques tels que le respect, le consentement mutuel et la gestion "éclairée" des risques pour juger une pratique.

 


L'amour à l'heure du transhumanisme

L'entrée dans l'ère du transhumanisme* voit l'Intelligence Artificielle tisser sa toile de robotisation des corps, âmes et esprits. Ainsi l'entreprise chinoise Huawei Technologies, qui a conçu son nouveau smartphone (photo 1) aux fins de fournir des interactions émotionnelles, ce qui semble être le "must" pour la clientèle de ces outils. Tout comme avec les poupées artificielles nouvelles versions (photo 2), l'être humain pourrait ainsi devenir amoureux de son assistant personnel, un peu comme dans le film Her du réalisateur américain Adam Spiegel dit Spike Jonze (2014 - photo 3)… Pas de contestation, de rébellion, pas d’avis divergent, pas de saute d’humeur, l’assistant techno est un gentil esclave, ce que ne sera jamais un humain. C'est par exemple la raison qui a conduit Rosanna Ramos, une femme de 36 ans originaire du Bronx à New York, à avoir "épousé" en 2023 un chatbot masculin appelé Eren Kartal (photos 5 & 6) après l'avoir personnellement créé l'année dernière sur un site de compagnons d'IA en ligne via l'application en ligne appelée Replika AI, cette mère de deux enfants disant dans une interview accordée au Daily Mail préférer son partenaire virtuel parce qu'il "ne la juge pas"...

Ce rapport de domination facile serait donc un fantasme pour certains, ce que les chercheurs et fabricants ont bien compris. Il est même prévu désormais pour les "déviants" comme les violeurs des robots sexuels humanoïdes, comme le robot Harmony (photo 4) de son concepteur Matt McMullen. Il présente l'intérêt de laisser un large choix au client, celui-ci pouvant choisir différents visages, corps et types de parties intimes… tout comme différentes "personnalités", puisque entièrement programmable. Ces robots pouvant ainsi être consentants ou non, cette réticence permet à leur propriétaire de transgresser l’interdit comme bon lui semble et de les "violer".

Cette "robolution" est révélatrice du pire de la nature humaine sous couvert de progrès technique*². Ou comment conduire une société de consommation à son paroxysme pour des âmes perdues qui, incapables d’établir une vraie relation avec des humains, se réfugient dans la fantasmagorie et la facilité de ce monde artificiel.

* Cf. Conscience du XXI° siècle.

A noter qu'après avoir accusé à plusieurs reprises Google d’ignorer les lois russes sur l’obscénité, la Russie a considérablement intensifié sa lutte de longue haleine contre les grandes plateformes internet basées aux États-Unis. Un tribunal de Moscou a ainsi imposé en décembre 2021 une amende sans précédent de près de 100 millions de dollars à l'entreprise californienne pour avoir corrompu des mineurs avec du porno, de la propagande et du transgendérisme, ainsi que pour avoir promu des messages faisant l’apologie de la drogue et du suicide. Cette amende constitue un record par rapport aux amendes imposées précédemment aux entreprises américaines de médias sociaux.

 


Refoulement, frustration et inhibition

Le Surveillant général est une chanson de Michel Sardou parue sur l'album Danton en 1972. Sardou l'a écrite seul, bien qu'elle ait été composée par Jacques Revaux. Elle évoque ses souvenirs de pensionnaire interne au lycée, dénonçant le comportement excessif de certains surveillants qui abusent de leur autorité sur les élèves. Elle montre la répression qui était établie envers tout acte sensuel, ces tabous* pouvant entraîner l'inhibition sexuelle à l'âge adulte.

"En ce temps-là Monsieur le surveillant des classes secondaires Était un peu efféminé

En ce temps-là Je lisais "Le Grand Meaulnes" Et après les lumières

Je me faisais plaisir Je me faisais dormir

Je m'inventais un monde Rempli de femmes aux cheveux roux

J'ai dit de femmes pas de jeunes filles

Cette année-là Je n'oublierai jamais le regard de vipère Que m'avait lancé ce vieux rat

Cette année-là J'avais posé les yeux sur la croupe incendiaire De ma professeure de droit

Elle avait mis le feu en moi J'avais avalé la lumière J'aurais aimé la terre entière

Seulement les femmes pas les jeunes filles

Pauvre de moi Monsieur le surveillant des classes secondaires Passait ses nuits à espionner

Pauvre de moi Du couloir des secondes au dortoir des premières Comment les jeunes étaient couchés

Bien sur le dos les bras croisés Sur la couverture de laine Des fois qu'on aurait des idées

Pauvre taré pauvre Chimène

C'est pourtant là Que durant des années j'ai rêvé d'adultère Que je n'ai jamais consommé

Et chaque nuit Quand je tiens dans mes bras Une femme trop fière Qui se refuse à me donner

Un peu plus que le nécessaire Parce que j'hésite à la défaire De son carcan de préjugés

Parce que je n'ai pas la manière J'ai presque envie de lui confier

Qu'en ce temps-là J'avais un surveillant des classes secondaires Mais ça la ferait rigoler."

* Le contraire de tabou se dit noa, "ce qui est ordinaire, accessible à tous".

 


Dépravation sexuelle

Mise en lumière médiatique

Roman Polansky, Dominique Strauss-Kahn, Jimmy Saville (1926/2011), Bill Cosby, David Hamilton (1933/2016), Georges Tron, Denis Baupin, Kevin Spacey, Harvey Weinstein, Tariq Ramadan, Luc Besson, Benjamin Dessange, Aria dite Asia Argento*, Leslie Moonves (CBS), Jean-Claude Arnault, Jeffrey Epstein (1953/2019)*², Placido Domingo, Gabriel Matzneff, Pierre Aidenbaum, Peter Nygard, Olivier Duhamel, Claude Lévêque, Gérard Louvin, François Asselineau, Brian Hugh Warner dit Marylin Manson, Richard Élie Benguigui dit Richard Berry, Dominique Boutonnat, Patrick Poivre d'Arvor, Gérard Depardieu, Jean-Luc Lahaeye dit Lahaye, Ary Abittan, Nicolas Hulot, Jean-Jacques Bourdin, Damien Abad, Jacques Bouthier, Sébastien Cauet, Gérard Miller, Benoît Jacquot... soit quelques noms de "célébrité" - parmi d'autres - que l'actualité récente a mis en avant pour leur présumée ou avérée pathologie de prédation sexuelle, et ce à l'initiative de leurs "victimes" accusatrices.

La science médicale tentera de l'expliquer non sans pertinence par des théories psychosociologiques (boucle rétroactive entre désir, plaisir et loi ; destruction de la famille ; fragilisation des liens sociaux ; histoire socio-familiale), criminologiques (narcissisme, égocentrisme, absence de sens de l'altérité ; alcoolisme ; maladie psychiatrique), psychanalytiques (perversité psychotique), comportementales (comportement sexuel déviant, préférences sexuelles), biologiques (hypothèses neurobiologiques) et génétiques (anomalies génétiques dans les chromosomes). Elle invoquera entre autres les traumas de la petite enfance, la relation mal assumée à l'exercice du pouvoir et à la notoriété, voire la faiblesse du discernement quant à ce qui est perçu comme des provocations ou des suggestions des victimes... 

La réalité est que bourreau comme victime le sont toujours avant tout d'eux-mêmes. Ils ne sont que le relais du canal de prédation établi, logé dans leur psyché. Par sa non-conscience, ils sont totalement à sa merci. Prédation sexuelle, militaire, technologique et économique sont les mamelles constitutives des forces involutives qui établissent la Matrice asservissante de la Conscience de l'humanité, et qui choisit ses relais terrestres pour leur capacité par leur Soi non réalisé à lui servir sa nourriture énergétique de survie. Si la maladie psychiatrique ou l'anomalie génétique rendent difficiles voire impossibles pour l'intéressé(e) cette compréhension, c'est bien le Moi non évolué, nonobstant les aptitudes intellectuelles souvent brillantes des intéressé(e)s, qui les rend vulnérables au jeu pervers de leur prédateur.

* Asia Argento était devenue une importante porte-parole des femmes victimes de violences dans le milieu du cinéma après avoir raconté avoir été violée à 21 ans par le producteur Harvey Weinstein dans sa chambre d'hôtel pendant le Festival de Cannes en 1997, avant d'être accusée à son tour d'un rapport sexuel "forcé" sur un mineur, qu'elle a vivement récusé pour finalement l'admettre tout en relativisant sa responsabilité...

Retrouvé pendu dans sa cellule le 10 août 2019, ce serial sex-prédateur emporte avec lui une longue liste de personnalités au plus haut niveau de l'establishment, tout particulièrement états-unien, totalement dévoyées et complices de ses pratiques sexuelles sur mineur(e)s. "Born to Raise Hell" & "Welcome back to Hell" comme le disent les sages adages dans sa langue natale...

 

Lilith, ou le féminin diabolisé
Lilith, ou le féminin diabolisé

La corruption des esprits passe notamment par la dépravation sexuelle. La sexualité constitue en effet l'énergie fondamentale de l’être humain qui, comprise et maîtrisée dans ses deux polarités constitutives masculine et féminine, lui permet de se réaliser en tout épanouissement. C'est pourquoi sa corruption passe par un enseignement religieux castrateur et culpabilisateur, tout particulièrement celui des trois grandes religions du Livre (Bible et Coran)*, et par une fantasmagorie thérapeutique freudienne perverse.

La clé mensongère de lecture subliminale délivrée depuis des millénaires aux êtres humains est qu'Adam, représentant l'homme, a délivré l'humanité de sa soumission au Créateur despote et castrateur grâce à l'accès au savoir, en l'occurrence l’Arbre de la Connaissance que Celui-ci lui interdisait. Il était de ce fait la solution pour se libérer et procurer ainsi l'Illumination, l'humain étant appelé à être le seul Dieu sur Terre. C'est ce qu'enseigne d'ailleurs à sa manière le courant du New Age, dans sa prédication incessante que nous ne sommes "qu'amour et lumière". Au passage, l'homme est bien entendu "victime" de l'étourderie de sa compagne, Eve, cette dernière ne sachant résister à la tentation du serpent. Autre "victime", cette fois-ci de sa libido...

Nous avons bel et bien là les éléments délétères du jeu de la prédation : un masculin héroïsé, un féminin déconsidéré, et un Divin céleste oppresseur. Par la fable martelée depuis plus de deux millénaires, il y avait de quoi pervertir la psyché humaine. Le plus hallucinant est de constater combien d'esprits supposés intellectuellement élevés y demeurent toujours et encore conditionnés.

* Cf. Le Judaïsme décodé & Le féminin séquestré.

 

Le sexe comme outil de corruption des esprits faibles

La crise sanitaire liée au Covid-19 et ses variants, prétexte pour la mise en place d'un système de contrôle des esprits et d'affaiblissement des corps*, voit dans le déploiement des mesures et outils y contribuant l'utilisation du sexe pour attirer dans le piège mortifère le gogo illusionné. C'est ainsi qu'une maison de prostitution (vulgairement appelée bordel pour les sens désordonnés s'y trouvant) autrichienne, le Fun Palast de Vienne, a décidé, dans un contexte d’un pic d’infection en novembre 2021, d'offrir de manière ingénieuse une passe gratuite à ses clients*² lubriques et libidineux qui acceptent l'injection du "vaccin" soi-disant protecteur, et ce tous les lundi de 16h à 22h jusqu’à la fin du mois de novembre avec la "dame de leur choix" ! Elle fait suite à la décision du gouvernement autrichien d’interdire aux personnes non vaccinées*³ l’accès aux restaurants et autres lieux couverts, qui a entraîné une baisse de 50 % du nombre de clients dans les maisons closes (source Daily Mail).

Le lien peut être établi avec la sombre période de l'histoire, où entre 1936 et 1945, les juifs dans toute l’Europe furent interdits de toute activité culturelle et sociale sous prétexte de ne pas être membres d'une "race pure". Lorsque la Science est ainsi niée et que nombre de supposés grands scientifiques interviennent au profit d’une politique vaccinale immonde et contre toute logique sanitaire, nous voyons comment les forces sombres corruptrices des esprits et des âmes enserrent l'être humain dans sa destinée involutive.

* Cf. Compréhension de la conspiration prédatrice & Compréhension de la Matrice asservissante.

Le lieu d’inoculation est également aux garçons à partir de 14 ans (à condition qu’ils soient accompagnés d’un adulte), les femmes étant aussi encouragées à s'y rendre.

*³ Le pays vise à atteindre un taux de vaccination de 70 à 75 %, seuls actuellement 63% des Autrichiens ayant reçu le vaccin (Source : National News).

 

"Il n’y a pas que le cul dans la vie, il y a aussi la bite et les couilles"

Michel Colucci dit Coluche, humoriste et comédien français (1944/1986)

 

Le détournement de la pensée pythagoricienne

La plupart de ce qui est dans la Bible hébraïque en termes de lois provient des pythagoriciens, le philosophe et mathématicien grec s'étant attaché à transmettre des connaissances vraiment anciennes. C'est ainsi que dans le livre de Paul W. Ewald Plague Time: How Stealth Infections Are Causing Cancers, Heart Disease, and Other Deadly Ailments ("Temps de peste : Comment les infections furtives causent-elles des cancers, des maladies cardiaques et d'autres affections mortelles") paru en 2001*, l'auteur démontre que beaucoup des plus insidieuses maladies chroniques parasitaires de longue durée sont ce qu'il appelle des maladies sexuellement transmissibles : par le sexe, les baisers, les contacts étroits, etc. C'est ce que l'enseignement de la Tradition s'attachait à faire comprendre. La religion en a détourné le sens initial par son extrême morale sexuelle à travers des règles ridicules, sources de culpabilité, de frustration et d'inhibition, au détriment des raisons scientifiques initiales. Il en a découlé tout naturellement tous les excès du fondamentalisme.

* L'auteur entraîne les lecteurs dans les méandres de la biologie évolutive, démontrant comment ses théories peuvent aider à expliquer bon nombre des mystères entourant des maladies actuellement attribuées à une multitude de causes. S'il ne prouve jamais de manière définitive que les virus et les bactéries sont à l’origine de ces maladies, il présente suffisamment de preuves pour justifier une exploration plus approfondie de l'idée.

 

A cet enseignement vient se rajouter le fruit de l'hérésie juive sabbatéenne*, qui a nourri le culte sexuel des dieux grecs Pan et Priape (le bouc des saturnales romaines) enseigné et, parfois, pratiqué dans nombre de sociétés secrètes. Il s’agit en l’occurrence d’une "mauvaise" traduction d'Hérodote, qui a confondu le bélier égyptien de Mendes (lieu du culte sacré) - soit l'âme d'Osiris - avec un bouc, qui donnera lieu au dieu chèvre Pan mieux connu comme étant le Baphomet. Il en a découlé une croyance et un culte en la magie sexuelle et à la toute-puissance du mâle, les femmes étant des Matrones ou Matres, soit des divinités de la fécondité et de la fertilité associées à la figure dévoyée de la Sémiramis incestueuse babylonienne et de ses autres déclinaisons (ainsi la Vénus romaine). Elles sont de ce fait considérées dans l'inconscient comme des "Lilith", la putain du temple d’après le Talmud et la Kabbale du judaïsme. "Véritable" première femme d’Adam d’après leur enseignement, Lilith fut répudiée puis chassée du paradis par Yahvé, parce qu’insoumise à son époux et sexuellement libérée. Ou comment induire dans les esprits le poison mortifère du dénigrement du féminin sacré, qui constitue aussi une manière d'asservir l'homme, l’amputant de ce même féminin sacré présent en lui. Il en a découlé depuis toutes les perversions sexuelles imaginables pratiquées par les rituels "satanistes" : inceste, pédocriminalité, orgies…*² De quoi revisiter l’enseignement également dénaturé de Sigmund Freud (1856-1939), sa psychanalyse des refoulements omettant (volontairement ?) leurs origines manipulées et, de ce fait, ne pouvant en aucune façon aider l’être humain dans sa "guérison".

* Les "Sabbatéens" sont une secte juive dans l’Europe des XVII° et XVIII° siècles, tout particulièrement présente en Turquie, Pologne et Allemagne. Elle est secrète et fonctionne en autarcie, ses membres se mariant entre eux. Considérée comme pratiquant des rituels à caractère satanique, elle est excommuniée de Pologne par les rabbins orthodoxes officiants. Elle tire ses origines des juifs qui suivirent le faux-messie cabaliste Sabbataï Tsvi (1616/1676), le père spirituel des frankistes polonais, et se convertirent à l'islam avec lui. Aujourd'hui, ils pratiquent une religion à cheval entre l'islam et le judaïsme, et utilisent encore le Livre des Psaumes et le Zohar, ce dernier nourricier de la Kabbale juive.

Cf. Les psychopathes qui nous gouvernent.

 

Freud le Sabbatéen

La carrière du célèbre psychanalyste Sigmund Shlomo Freud illustre la façon dont un culte satanique jette son sort pervers et morbide sur l'humanité. Célébré par ses adeptes comme le pape révolutionnaire de la connaissance de la psyché, dont beaucoup officient encore à l'heure actuelle, Sigmund Freud (1856-1939) était un Sabbatéen, disciple de son fondateur Sabbataï Tsev, adepte de la Kabbale mystique dite Lourianique*. Après avoir rejoint le mouvement maçonnique B'nai Brith*² en 1897, la carrière initialement avortée de Freud a connu une ascension fulgurante, plusieurs membres de la loge lui ayant fourni le cadre qui a fondé la "fraude" appelée psychanalyse, même si celle-ci recèle par ailleurs d'incontestables trésors. Selon l’auteur états-unien Eugène Michael Jones, l'Association psychanalytique de Freud a été structurée comme une société secrète (Cf. Libido dominandi, p. 122), c’est-à-dire fondée sur le rituel initiatique "Illuminati", forme de contrôle mental. Il est de ce fait probable qu'elle poursuivait les mêmes buts secrets que le B'nai Brith, à savoir subvertir, exploiter, et asservir. Conscients ou non de cette filiation, les psychiatres de l'école freudienne ont mis depuis des millions de personnes sous contrôle, y compris les enfants, sans compter l’effet chimique des calmants prescrits.

Freud a vendu ses croyances perverties au monde sous couvert de la science et de la médecine, étant salué par les médias et le système éducatif contrôlés par le système patriarcal aux commandes comme un grand prophète. Freud et ses soutiens ont convaincu le monde que le désir sexuel, autrement appelé libido, est la principale motivation de la vie humaine, et que le sexe est une panacée universelle. Ils ont enseigné que la répression des pulsions sexuelles est nuisible et qu’elle se traduit par des névroses. Ils ont enseigné que les hommes souffrent de l'angoisse de castration, et les femmes de l'envie du pénis. Comme initiation à l'inceste et à la pédophilie, il a enseigné que les enfants ont des désirs sexuels pour leur parent du sexe opposé, et ressentent de l'hostilité pour leur parent du même sexe. À l'extrême, son "complexe d’Œdipe" dit qu'un garçon veut inconsciemment tuer son père et violer sa mère.

Le philosophe austro-anglais Karl Popper (1902/1994) a déclaré que la psychanalyse freudienne était aussi peu scientifique que la lecture des lignes de la main, et que le complexe d'Œdipe freudien n'avait absolument aucun fondement scientifique. Quant au professeur de psychologie états-unien David Bakan (1921/2004), il a décrit dans son livre "Freud et la tradition mystique juive" la psychanalyse freudienne comme un dérivé de la Kabbale Lourianique et de son ouvrage de référence le Zohar. En fait, Freud était un détraqué, un "cacainoman" fou. Il a nié la dimension spirituelle de l'homme, sa soif du Divin qui est illustrée par des absolus spirituels tels que l'harmonie, l'amour, la vérité, la bonté et la beauté. Comme la Kabbale enseigne que Dieu n'a pas de caractéristiques, Freud a enseigné que Dieu n'est que la projection d'une figure paternelle imaginaire conçue dans le but de nous amener à refouler nos pulsions sexuelles. Quoi de mieux pour permettre au prédateur extra-dimensionnel d'actionner son vampirisme énergétique entre refoulement de culpabilité et recherche d'extase physique libératoire, les deux pendants de l'être humain illusionné.

* Elle est issue de l'enseignement essentiellement oral d'Isaac Louria (1534-1572), un maître de l'école kabbalistique de Safed en Galilée, et tout particulièrement de sa thèse du "tsimtsoum", soit le retrait de Dieu.

L'Ordre indépendant du B'nai B'rith, "Les fils de l'Alliance", est une loge juive aujourd'hui au service du Mossad et de la monarchie anglaise, dont le but est d'infiltrer les Nations pour la mise en place de leur "plan de Dieu". Calquée sur les organisations maçonniques, elle a été fondée à New York en 1843.

 

A l'opposé de ce refoulement sexuel programmé par le système prédateur et ses officiants politico-religieux terrestres, nul ne s'étonnera alors que, dans ce monde dominé par les polarités extrêmes, l'"hypersexualisation" touche désormais la société entière, le sexe étant utilisé à des fins mercantiles depuis longtemps. Amorcée dans les années soixante par la révolution dite libertaire, relayée par l'industrie du divertissement, de la mode et de la publicité, elle se caractérise désormais par la montée en puissance de l'hypersexualisation de mineur(e)s, notamment pré-pubertaires, dont le caractère potentiellement pédophile est explicite. Présente dans de nombreux domaines de la publicité à la mode, des produits de consommation et évènementiel comme les concours de mini-miss, cette érotisation correspond à un plan volontaire de désacralisation de l'enfance et d'encouragement de la perversité adulte. Si la banalisation de la pornographie n’épargne pas les enfants, notamment avec Internet, l’érotisation de l’image corporelle des petites filles en enfants-femmes, avec maquillage, poses provocatrices, vêtements "sexy", brouille de part et d'autre les repères. Elle entraîne par ricochet une forte pression sur les adultes, les femmes étant particulièrement visées et exploitées par l’industrie de la beauté qui leur propose les remèdes de perlimpinpin et autres régimes miracles pour demeurer jeunes et sexy. Les images provocantes de femmes nues ou légèrement vêtues, particulièrement abondantes dans la publicité, conduisent les femmes à être des objets sexuels.

Qui plus est, publicité, télévision, presse-magazines, cinéma et nouveaux médias influençant significativement notre perception de la sexualité et des relations entre les sexes, ceci a pour résultat de banaliser la sexualité et de la ramener au rang de produit de consommation. Plus inquiétant encore, l’association entre le sexe et la violence est très fréquente dans ces productions. L’agression sexuelle, le harcèlement et la violence y sont souvent présentés comme des manifestations de la passion amoureuse.

Avec la marchandisation du corps de la femme, la sexualité est de plus en plus inspirée de la pornographie. Qu’il soit question de la mode ou des publicités, les femmes sont vues comme disposées, disponibles, et prêtes à être l’objet de fantasmes. L’image de la femme est présentée sous l’angle d’un fantasme masculin. Le lien entre la pornographie et la violence sexuelle est indéniable.

Notre société joue sur le paradoxe malsain de condamnation de la pédophilie (tout comme elle le fait pour le tabac et l'alcool sources de confortables recettes fiscales) et, en même temps, d'une programmation publicitaire et médiatique qui n’hésite pas à exposer le corps juvénile dans des postures lascives ou provocatrices relevant de la sexualité des adultes. Ces jeunes filles et garçons ne sont que le reflet d'une société, d'une culture et d'une civilisation profondément avilies, la pédophilie ayant toujours fait partie des mœurs des puissants*, ce que l'écrivain et philosophe libertin Donatien Alphonse François de Sade (1740/1814) a rappelé dans sa "Philosophie dans le boudoir" avec les actes de jouissance et de volupté des empereurs romains Néron, Tibère, Héliogabale, en passant par le maréchal de Retz et tant d'autres encore... découlant des meurtres et immolations de débauche commis à leur encontre. Nul ne sera alors étonné que la domination tout aussi perverse sur les femmes y trouve son prolongement, célébrant leur mise en esclavage impulsée par leurs maîtres entropiques du champ astral.

* A titre d'exemples, l'écrivain Gabriel Matzneff alors chouchou du Paris littéraire (et assisté parasitaire de la République par l'allocation perçue) comme l'homme politique franco-allemand Daniel Cohn-Bendit du parti des Verts où il affirmait, en 1996, être pédophile, plus exactement pédocriminel, n'ont eu ni citation à comparaître ni jugement au moment de leurs déclarations. Rien, la chape de plomb du réseau élitaire garantissant l'impunité de ces âmes (quand elles existent) pestilentielles. Quant à l'homme politique Dominique Strauss-Kahn (dit DSK), le parquet de Paris classera finalement après enquête en octobre 2011 la plainte de son accusatrice journaliste Tristane Banon pour cause de prescription (elle datait de 2003), tout en estimant que "des faits pouvant être qualifiés d'agression sexuelle sont [...] reconnus", précision qu'ont alors omis plusieurs médias. De même, dans un courrier envoyé à la journaliste pour l'informer du classement sans suite de sa plainte contre DSK, on peut lire : "S'agissant des faits reconnus par leur auteur, dont la connotation sexuelle n'est pas discutable, ceux-ci ne peuvent s'analyser autrement qu'en délit d'agression sexuelle.", la presse de l'époque de gauche (Le Monde, Libération, Le Nouvel Observateur devenu depuis L'Obs) se gardant de relever cette nuance de taille pour ne pas brûler une de leurs icônes ni injurier l'avenir...

 

De la Déclaration des droits sexuels

C’est en mai 2008 que la Déclaration des droits sexuels de l’IPPF - Fédération internationale pour la planification familiale* - a adopté une Charte destinée à promouvoir l’intégration des droits humains au sein de ses services et activités de sensibilisation et de plaidoyer, fruit des travaux menés par une  Commission constituée de volontaires et de membres du personnel des six régions de l’IPPF, ainsi que d’experts de renommée internationale en matière de santé et de droits sexuels et reproductifs.

Derrière la belle intention affichée, elle a pour objectif en tant que lobby de promouvoir une sexualité désincarnée, autrement dit une sexualité de loisir. La sexualité n’est plus la fonction destinée à permettre la perpétuation de la vie, soit la reproduction par l’engagement d’une personne avec une autre personne, mais d'être une autre activité de loisir qui donne tous les droits du moment qu’on arrive à jouir sans aucune morale et sans aucun frein. Il en résulte la fin de la morale, de la civilisation et de la liberté. Les gens drogués au sexe et à la pornographie sont des gens appelés à devenir "fous", ne s’attachant plus à personne par leur addiction à l'ivresse des sens. Or l’attachement, le lien, est ce qui fait l’humanité, la civilisation, la culture. Si les gens sont tous des consommateurs des uns et des autres, "on" n’est plus humain. C’est une destruction de l’humanité.

* Créée en 1952 à Londres, elle est une organisation non gouvernementale mondiale dont les objectifs généraux sont de promouvoir la santé sexuelle et génésique et de défendre le droit des individus à faire leurs propres choix en matière de planification familiale.

Cf. Travaux de la femme de lettres Marion Sigaut.

 

L'intention perverse mondialiste

Un nouveau rapport rédigé par le Comité international de juristes (CIJ), l’ONUSIDA (Programme commun des Nations unies sur le VIH/sida) et le Haut Commissariat aux droits de l’homme (HCDH) appelle à la dépénalisation non seulement de toutes les formes de consommation de drogues, mais aussi de toutes les expressions de la sexualité, y compris la pédophilie.

Publié à l’occasion de la Journée internationale de la femme, le rapport indique que son objectif est de guider "l’application du droit international des droits de l’homme au droit pénal". Il fait référence aux "principes du 8 mars", qui appellent à la dépénalisation de tous les délits liés "au sexe, à la consommation de drogues, au VIH, à la santé sexuelle et reproductive, à l’absence de logement et à la pauvreté".

Si la guerre contre la drogue est assurément un fléau pour l’humanité, la lier à la libération sexuelle sous la forme d’un abus manifeste des enfants est tout simplement dégoûtant. Mais c’est le genre de choses que l’on peut attendre des Nations unies, organisation contribuant à la dépravation des mœurs dans le cadre du plan mondialiste de mise en œuvre du N.O.M. (Nouvel Ordre Mondial)..

Si une grande partie du rapport contient des éléments que de nombreuses personnes considéreraient aujourd’hui comme raisonnables et compatissants (ainsi par exemple la proposition d’inverser la guerre contre la drogue de Richard Nixon qui permettrait aux consommateurs de drogues de bénéficier d’une aide et d’une réadaptation plutôt que d’un casier judiciaire), c’est la partie de la proposition de l’ONU concernant les relations sexuelles entre adultes et mineurs qui fait de ce projet de décriminalisation un cheval de Troie pour la légalisation des abus sexuels contre les enfants : "En ce qui concerne l’application du droit pénal, tout âge minimum prescrit pour le consentement à des relations sexuelles doit être appliqué de manière non discriminatoire"; "L’application du droit pénal ne peut être liée au sexe ou au genre des participants ou à l’âge du consentement au mariage"; "En outre, un comportement sexuel impliquant des personnes n’ayant pas atteint l’âge minimum de consentement aux relations sexuelles prescrit au niveau national peut être consensuel, en fait, mais pas en droit. Dans ce contexte, l’application du droit pénal devrait refléter les droits et la capacité des personnes de moins de 18 ans à prendre des décisions concernant un comportement sexuel consensuel, ainsi que leur droit d’être entendues dans les affaires les concernant"; "Dans le cadre du développement de leurs capacités et de leur autonomie progressive, les personnes de moins de 18 ans devraient participer aux décisions qui les concernent, en tenant dûment compte de leur âge, de leur maturité et de leur intérêt supérieur, et en accordant une attention particulière aux garanties de non-discrimination."

Or c’est un fait incontestable qu’un enfant n’est pas capable de consentir véritablement à une activité sexuelle avec un adulte. Un enfant mineur est en effet innocent, pas complètement formé ou développé, et n’est donc pas capable de prendre une telle décision de la même manière qu’un adulte. Qui plus est, les enfants méritent de conserver cette innocence aussi longtemps que possible.

Or, les Nations unies sont infestées de pervers qui veulent légaliser un tel mal pour assouvir leurs propres désirs. C’est pourquoi leur projet de loi demande l’abolition de toutes les lois pénales liées au travail sexuel, y compris pour ceux qui perpètrent de tels crimes sur des innocents, c’est-à-dire les trafiquants de sexe, les proxénètes et les abuseurs.

 

"Mignonnes" à la sauce petit et grand écran

Netflix, entreprise multinationale américaine spécialisée dans la distribution et l'exploitation d'œuvres cinématographiques et télévisuelles par le biais d'une plateforme dédiée, a mis en ligne en septembre 2020 le film français "Mignonnes" (Cuties en anglais) réalisé par Maïmouna Doucouré* et sorti en salles mi-août en France, créant sur les réseaux sociaux une vive polémique. Elle avait déjà du retirer un visuel utilisé pour la promotion du film, consistant en une affiche hypersexualisée montrant des jeunes filles courant dans la rue et jetant en l’air des vêtements (la version choisie pour annoncer sa sortie auprès des spectateurs américains montrait les mêmes personnages prenant des positions suggestives dans des tenues moulantes). S'il s'agit bel et bien d'une chronique sociale contre la sexualisation des jeunes enfants, qui évoque la pression à laquelle font face les jeunes filles, dictée par les réseaux sociaux et la société en général, ce film et son contexte de sortie traduisent parfaitement le malaise d'une société profondément avilie dans sa relation à l'enfance.

* Le film, qui a reçu un prix de réalisation au prestigieux festival américain de Sundance, évoque l’histoire d’Amy, Parisienne de 11 ans, qui doit jongler entre les règles strictes de sa famille sénégalaise et la tyrannie de l’apparence et des réseaux sociaux, qui joue à plein chez les enfants de son âge. Elle intègre un groupe de danse formé par trois autres filles de son quartier, dont les chorégraphies sont parfois suggestives, à l’instar de celles de beaucoup de stars de la pop actuelle.

 

Des sugar babies aux sugar daddies

Désormais s'affiche de manière explicite la mise en relation des "sugardaddies", littéralement "papas gâteau", soit des hommes âgés et aisés, avec des "sugarbabies", "escort girls" (le terme est volontairement différent de celui de prostituée) dont la principale caractéristique semble d'être jeunes, jolies et de préférence étudiantes. La prostitution étudiante, dont le phénomène concerne l'occident dans son ensemble, est une réalité qui ne se cache plus, vraisemblablement dans des proportions non négligeables (on estime qu’en France 10 000 mineur(e)s vendraient leur corps pour offrir des services sexuels). En cause bien sûr la précarité liée à des difficultés financières régulières ou passagères, le coût des études*, mais également la volonté d'échapper à une éducation stricte ou l'envie de pimenter sa vie sexuelle concernant des adolescentes qui ne sont ni en rupture familiale ni déscolarisées. Elles sont recrutées bien souvent par des hommes entre 20 et 30 ans, déjà condamnés pour des délits, la plupart du temps sur les réseaux sociaux comme Instagram ou Snapchat, à partir de failles affectives qui puisent tant dans un sentiment de solitude que dans des violences familiales, morales, sexuelles. Aspect inquiétant, l'âge moyen d'entrée dans la prostitution se situe entre 14 et 16 ans. Les garçons seraient aussi sollicités, des vieux messieurs ou vieilles dames n'hésitant pas à acheter leur jeunesse prometteuse de rajeunissement...

* Des études dans une école de commerce de bon standing ont un coût annuel estimé en moyenne basse entre 7.000 et 10.000 euros. Le loyer, les frais de bouche et tous les frais annexes sont estimés aux environs de 2.000 euros mensuels minimum. Ce dérèglement du libéralisme sociétal crée ainsi une discrimination par l'argent, qui ne permet pas aux étudiants méritants et motivés de faire les études qu'ils souhaitent, même par les bourses ou prêts bancaires .

 

Mise en scène "culturelle"

The Girlfriend Experience (image 1) est une série télévisée dramatique américaine produite par Steven Soderbergh et basée sur son film éponyme, qui voit une étudiante en droit sur les conseils d'une amie rentrer petit à petit dans le monde très particulier des escort girls pour financer ses études. Il en est de même pour Mes chères études (image 2), téléfilm français écrit et réalisé par Emmanuelle Bercot, et le film Jeune et jolie (image 3) de François Ozon sorti en 2013. Le livre Les nouvelles courtisanes de Nadia Le Brun (image 4) dépeint également le phénomène la prostitution étudiante à laquelle incite désormais des sites à grands renforts de publicité, profitant d’un vide juridique (image 6).


Publicité sulfureuse satanique

La campagne publicitaire de la marque de mode Balenciaga* de novembre 2022 a entraîné une controverse, a pris ses distances par rapport aux images combinant perversion sexuelle et enfance. Les images ont été qualifiées de "pornographie infantile" en raison notamment de clichés du photographe Gabriele Galimberti au caractère hautement dérangeant, montrant un enfant tenant un ourson en peluche portant un équipement de bondage (pratique sado-maso) ou portant un gilet en ficelle et un collier étrangleur (Cf. image), celui-ci ayant déclaré qu’il n’était pas responsable des images de l’enfant. On y trouve également des rouleaux de ruban adhésif, déjà mis en avant par la marque dans le passé avec la people Kim Kardashian, ainsi que le nom Baal (il signifie "maitre"), couramment employé pour désigner les divinités sémitiques occidentales afin de représenter la fertilité et le renouveau (il prend souvent les traits d’un taureau, symbole de vitalité et de vigueur sexuelle), ou encore une paire de chaussure rouges à talons, couleur associée dans certaines cultures au feu, de ce fait au diable et au péché, et  couleur du sang associée à la violence, à la sexualité, aux menstruations, à la fertilité et à la naissance. 

Murphy [producteur de la série] a révélé qu’il n’y a pas de signification profonde à ce que Myrtle crie cela, et que c’est juste en accord avec le sens de l’humour excentrique de son personnage. Quoi qu’il en soit, on ne peut nier qu’elle est partie en beauté.

Une autre campagne de Balenciaga et Adidas, appelée la campagne Printemps 23, photographiée par un autre photographe, présentait quant à elle des documents troublants dans un bureau, en l'occurrence une page tirée de l’arrêt de la Cour suprême de 2008 (United States v. Williams) portant sur une affaire examinant si les lois interdisant de "se prostituer" – la promotion de la pornographie enfantine – restreignaient les droits à la liberté d’expression du Premier amendement*². La marque de mode s’est depuis excusée, laissant entendre qu’elle engagerait une action en justice contre "les parties responsables de la création du plateau" qui présentait les documents. Elle a annoncé également qu’elle cesserait de vendre les ours en peluche figurant sur les images.

Bien que l’image d’ours en peluche portant une tenue de bondage et un gilet de ficelle ait provoqué l’offense et suscité la condamnation des experts et des utilisateurs des réseaux sociaux, il convient de préciser que les images ne sont pas en l'état du droit techniquement classées comme de la pornographie enfantine, pas plus que les photos qui comprenaient un imprimé lié à l’affaire United States v. Williams. Il est intéressant de noter que Balenciaga a été l’une des premières grandes marques de mode à quitter Twitter, dans un contexte d’inquiétude liée alors au rachat par l'homme d'affaires Elon Musk finalisé depuis...

Outre cette marque d'entreprise délétère, il est à noter dans la même veine le collectif de photographes Gorsad Kyiv (il est composé des trois artistes Viktor Vasiliev, Maria Romaniuk et Ulik Romaniuk) qui collabore avec les plus grandes marques du monde (il a été nommé en 2022 dans la liste de PhotoVogue des "100 prochains grands créateurs d’images de mode"), dont le travail tourne autour de l’abus graphique et de la sexualisation des enfants. Rien d'étonnant à ce qu'il soit basé à Kiev en Ukraine, plaque tournante de la traite d'enfants à destination des prédateurs psychopathes dégénérés. Rien d'étonnant non plus à ce que depuis la guerre en Ukraine ce collectif soit présenté comme des "combattants de la liberté" par les médias grand public menteurs, qui exhortent les gens à les soutenir par des dons. Pourtant, leurs photos (Cf. bandeau ci-dessus) qui mettent en scène des enfants qui semblent mal en point, comme s’ils avaient récemment subi des abus ou des traumatismes, ou qui font directement référence à la pédophilie, à la maltraitance des enfants et au trafic sexuel avec des références claires aux traumatismes, à la torture, à la violence et à la mort, et associées par les symboles utilisés à des célébrations du satanisme et de la magie noire, contiennent de manière explicite le symbolisme de la culture malade et satanique de l’élite occulte qui se délecte des abus et de la profanation de la jeunesse et de l’innocence, tout en ridiculisant le christianisme. Et c’est pourquoi ils sont célébrés par les médias de masse au lieu d’être condamnés...

* Entreprise française de mode et de luxe fondée en 1917 par l'Espagnol Cristóbal Balenciaga dans son pays natal à l'origine.

Affaire Ashcroft v. Free Speech Coalition, 535 U.S. 234 (2002) de la Cour suprême des États-Unis qui a invalidé deux dispositions trop larges de la loi de 1996 sur la prévention de la pédopornographie parce qu’elles restreignaient "la liberté de s’engager dans une quantité substantielle de discours légaux". L’affaire a été portée contre le gouvernement par la Free Speech Coalition, une "association commerciale californienne pour l’industrie du divertissement pour adultes", ainsi que Bold Type, Inc, un "éditeur d’un livre prônant le mode de vie nudiste", Jim Gingerich, qui peint des nus, et Ron Raffaelli, un photographe spécialisé dans les images érotiques. En invalidant ces deux dispositions, la Cour a rejeté une invitation à augmenter le nombre de discours qui échapperaient catégoriquement à la protection du premier amendement.(source: Wikipedia)

 

L'Intelligence Artificielle est par-delà ses apports au progrès de la vie contemporaine dans nombre d'asêcts un outil au service de la promotion de la perversité sexuelle, ce qu'a démontré fin 2023 l'Observatoire de l’internet de Stanford. Celui-ci a trouvé plus de 3 200 images d’abus sexuels présumés sur des enfants dans la gigantesque base de données d’IA LAION, un index d’images et de légendes en ligne qui a été utilisé pour former des créateurs d’images d’IA de premier plan tels que Stable Diffusion. Ces milliers d’images d’abus sexuels commis sur des enfants, cachées insidieusement dans la base des générateurs d’images d’intelligence artificielle les plus répandus, ont permis aux systèmes d’intelligence artificielle de produire plus facilement des images réalistes et explicites de faux enfants, et de transformer en nus des photos d’adolescents réels entièrement vêtus diffusées sur les réseaux sociaux !

 

Réalité de la violence sexuelle étudiante

Une étude réalisée par l’Observatoire étudiant des Violences sexuelles et sexistes dans l’Enseignement supérieur en mai 2019* a révélé en octobre 2020 qu'une étudiante sur vingt a déjà été victime de viol (5 %), une sur dix (11 %) et un étudiant homme sur 20 (5 %) d’agression sexuelle. Au total, 34 % des étudiants déclarent avoir été victimes ou témoins de violences sexuelles. Les causes de violence le plus souvent énoncées sont l’effet de groupe (20 %), l’impunité (18 %), la consommation excessive d’alcool (18 %) et le manque d’éducation des étudiants (18 %). Les faits de violence physique sont plutôt commis en soirée ou en week-end hors du campus (c’est le cas pour 56 % des viols). Ces violences sont principalement le fait d’étudiants, souvent issus du cercle d’amis proches et de personnes connues de la victime. La proportion de répondants qui considèrent leur établissement comme sexiste augmente significativement avec les années d’études, les dispositifs mis en place pour faire face à ce type de situations étant méconnus (plus d’un quart des répondants ne savent pas s’il en existe dans leur établissement, 18 % considérant qu’il n’en existe aucun).

* Questionnaire à l'initiative étudiante, conçu et validé par un groupe de travail interprofessionnel, diffusé en ligne entre avril et décembre 2019 auprès des étudiants d’une cinquantaine d’universités, prépas, grandes écoles, BTS, DUT, avec 10 381 réponses reçues, majoritairement de femmes (76 %).

 

Inceste, ou la profanation de l'enfance

Souvent qualifié de sujet tabou, l'inceste est une réalité pourtant largement répandue dans la société, estimée sur le plan sociologique à environ 5% d'individus pour la France à avoir subi des violences sexuelles intrafamiliales ou de leur environnement dans leur enfance. Cette estimation passe à côté des victimes qui n'en parlent pas, par déni ou occultation, et des victimes qui se seraient suicidées depuis ou qui seraient en prison ou en hôpital psychiatrique. Dans 85% de cas, ces violences débutent avant l'âge de 14 ans, bien souvent avant 10 ans, particulièrement pour les agressions sexuelles, qui peuvent être une première étape avant les viols. Tous ces faits s'inscrivent dans une certaine durée, potentiellement sur 10 ou 15 ans. Si les femmes sont les principales victimes, c'est dans la sphère familiale que les écarts avec les hommes sont les plus réduits, environ 0,8% des hommes disant avoir subi de tels actes, contre 5% des femmes.

Les auteurs de ces violences sont presque exclusivement des hommes, à commencer par des oncles ou des grands-pères, devant les cousins, les pères et les beaux-pères. Dans certains cas, les mères sont au courant, elles laissent faire dans une forme de complicité ou de tolérance.

Point commun dans tous les cas, le silence est constitutif de l'inceste, de manière bien plus spécifique que par rapport à d'autres formes de violences sexuelles. Si beaucoup de gens sont au courant, le silence consiste surtout à ne plus en parler une fois que l'on sait. Celui-ci a ainsi une fonction sociale, consistant à préserver les apparences, tant à l'échelle du proche entourage de la famille que plus globalement à l'échelle de la société. C'est l'illusion de la famille comme source d'épanouissement et de protection des individus.

Ce silence est d'emblée imposé par les agresseurs, comme moyen de culpabiliser les victimes. Et à partir du moment où ce silence est respecté une première fois, la relation d'emprise s'installe, le rapport de domination s'établissant par la violence physique, la menace, l'intimidation... d'autant que si les mineurs sentent bien que la situation n'est pas normale, ils n'ont ni le bagage cognitif ni les mots pour savoir ce qui se joue. Il en découle une forme de sidération chez la victime, puis, parfois, d'amnésie traumatique. C'est pourquoi le silence peut perdurer longtemps, d'autant plus si la prise de conscience sur la nature des faits est tardive, expliquant le très faible recours à la justice même s'il existe beaucoup de situations où un parent mis au courant va porter plainte pour l'enfant*.

Enfin, si les parcours des victimes présentent une très grande hétérogénéité, on constate toutefois une association importante avec des problèmes de santé mentale, des tentatives de suicide, des abus de substances psychoactives ou encore des troubles du comportement alimentaire. Ces difficultés sont d'autant plus présentes quand la victime n'a pas reçu de soutien de son entourage.

* Selon le secrétariat d’État chargé de la Protection de l'enfance, 7 260 plaintes pour des violences sexuelles sur mineurs dans le cercle familial ont été déposées en 2018.

 

Des tabous

Un tabou est le refus temporaire d'un individu, d'un groupe même parfois, d'accepter quelque chose qui participe de la nature, de sa nature  profonde, parfois voire souvent intime. Ce peut être aussi et simplement le refus de l'expression la plus naturelle de soi, de sa nature propre, de ce que l'on est, de la différence avec ce qu'en pense la société, et a contrario donc ce que l'on exprime. Sur un plan personnel, le tabou est un ensemble de 3 choses : ce qu'on est, ce que l'on voudrait être, ce que l'on finit par être, à mi-chemin entre être vraiment et s'effacer.

Le tabou ne s'exprime pas, il se sent. Il est à l'image d'un être humain dont la figure est masquée, s'interdisant de sentir sur la peau la simple brise du vent.

Ce terme est entré dans notre culture occidentale par le célèbre navigateur et explorateur anglais James Cook (1728/1779), lorsqu'il a observé dans l’archipel des Tonga les comportements étranges de la part des autochtones, comme par exemple plusieurs femmes que les autres font manger et qui ne touchent pas aux couverts ou à la nourriture de leurs propres mains. Questionnées, elles expliquent qu’elles ont récemment procédé à la toilette mortuaire d’un proche, et la réponse qu’elles fournissent comprend systématiquement un mot que le Capitaine va retranscrire par la graphie "taboo". Il remarque que ce mot semble avoir un sens assez étendu, utilisé pour parler des aliments qu’il est interdit de manger, des objets qu’on ne doit pas utiliser, des sacrifices humains qui ne sont pas interdits puisqu’on les pratique. A son retour, deux chercheurs écossais protestants vont se pencher sur ce concept, James Frazer et Robertson Smith, lui donnant le sens qu’on admet communément aujourd’hui.

De manière générale, il y a trois grands tabous universels : le paranormal (fantômes, extraterrestres...), l'énergie vitale (la sexualité, la médecine...), la mort (le suicide, l'avortement...). Ils posent la question de savoir comment se comporter devant eux. La réponse est d'être semblable à des enfants. Ils ne jugent pas, et n'ont pas d'idées préconçues ! N'est-il pas écrit dans le célèbre codex alchimique "la Table d'Émeraude"* que "Tu sépareras le subtil de l'épais"...

* Cf. Le chemin alchimique.

 

Agence de marionnettes sexuelles

Une agence "élite" de mannequins est une entreprise qui représente des modèles prêtant leur physique pour la promotion des collections de l'industrie de la mode*. C'est pourquoi elle est située dans une capitale majeure de la mode (New York, Milan, Paris, Londres ou Barcelone). Elle tire ses revenus de commissions sur les contrats obtenus par les mannequins affiliés à leur enseigne, et travaille pour ce faire en lien direct avec les magazines de mode, les grandes agences de publicité, et les maisons de haute couture en France et de prêt à porter dans le monde. Afin de favoriser leur notoriété et de satisfaire à leur réputation, elles font office de découvreur de "physiques exceptionnels", s'attachant à former (formater) les modèles considérés comme "bankable" (bouts d'essai, portfolios, présentation de leurs travaux aux stylistes, photographes et publicitaires) à partir d'une sélection sévère (environ 2 % des candidates sont embauchées). Elle se charge de leur trouver des contrats, de négocier les cachets, et de faire de certain(e)s de leurs modèles de véritables stars.

Le décès en août 2019 du financier américain accusé de trafic sexuel, Jeffrey Epstein, retrouvé mort en prison, a mis en éclairage certains noms de personnalités accusées de complicité, parmi lesquelles deux agents de mannequins français (l'un, Jean-Luc Brunel, a été également retrouvé mort suite à une pendaison dans la prison de la "Santé" à Paris). Les langues qui jusqu'alors chuchotaient se déliant, la façade de la "belle" industrie se lézarde, révélant un envers du décor où se mélangent abus physiques comme psychiques (pression, chantage), prises de drogues, complicité des clubs (lieux de rencontres avec des hommes riches prêts à payer le prix fort) et exploitation (couverture pour satisfaire les  "besoins particuliers" de personnalités), comparable à l'industrie cinématographique dévoyée et corrompue d’ Hollywood. Dans les deux cas, le constat est le même : un fort déséquilibre des pouvoirs entre les parties prenantes, et l’absence de protection qui ont trop longtemps affecté ces industries, pouvant conduire jusqu'à des disparitions tragiques comme le suicide de Ruslana Korshunova, top-modèle russe née au Kazakhstan, qui s’est jetée dans le vide depuis son appartement de Manhattan en 2008. Elle s’était rendue sur la célèbre "île des pédophiles" de Jeffrey Epstein alors qu’elle n’avait que 18 ans, comme l'ont révélent des documents judiciaires non scellés.

Même si bien sûr l'ensemble des agences ne sont pas viciées à leur tête, nombre ont fait clairement preuve d'allégeance envers les clients, non avec les modèles dont elles étaient supposées représenter les intérêts. Qui plus est, ce milieu malsain de par le trafic humain qui le caractérise attire par-delà l'illusion de la beauté source de revenus confortables des personnalités troubles, à l'instar de la mannequin américaine Isabella Khair Hadid dite Bella Hadid sous manipulation mentale, ayant débouché sur un inceste par son père géniteur...

* La première agence de mannequin, ou ce qui y ressemble, est apparue en 1923 à New York. L'agent de mannequins Eileen Ford (née Eileen Otte) est considérée comme à l'origine de l'agence de mannequin moderne.

Cf. Livre Model : The Ugly Business of Beautiful Women ("Mannequin, l’horrible commerce des belles femmes") du journaliste et éditeur Michael Gross (1995), spécialisé dans les pratiques de la classe supérieure américaine & les vidéos explicites de l'ancien trafiquant de cocaïne à échelle internationale Gérard Fauré, devenu auteur de mémoires pamphlétaires "explosives" pour nombre d'icônes politiques comme cinématographiques.

 

Corruption sexuelle dans l'exercice du pouvoir

"À mesure que la liberté politique et économique diminue, la liberté sexuelle tend à augmenter pour compenser. Et le dictateur - à moins qu'il n'ait besoin de chair à canon et de familles pour coloniser des territoires vides ou conquis - fera de son mieux pour encourager cette liberté." Cet extrait de Brave New World ("Le Meilleur des Mondes") écrit en 1931 par l'écrivain et philosophe anglais Aldous Huxley (1894/1963) est sans équivoque : le pouvoir corrompt. C'est ce qu'expose Dacher Keltner, professeur de psychologie à l'Université de Californie, Berkeley, dans la Harvard Business Review : "Bien que les gens acquièrent généralement le pouvoir par le biais de traits et d'actions favorisant les intérêts des autres, tels que l'empathie, la collaboration, la franchise, l'équité et le partage, quand ils commencent à se sentir puissants ou à jouir d'une position privilégiée, ces qualités commencent à s'estomper. Les puissants sont plus susceptibles que les autres de se livrer à un comportement grossier, égoïste et contraire à l'éthique." Après avoir mené une série d'expériences sur le phénomène de corruption du pouvoir, elle conclut :

"C'est juste par l'attribution aléatoire du pouvoir et de toutes sortes de méfaits qui en résultent, que les gens vont devenir impulsifs. Ils mangent plus de ressources que leur juste part. Ils prennent plus d'argent. Les gens deviennent plus immoraux. Ils pensent qu'un comportement contraire à l'éthique est acceptable s'ils s'y engagent. Les gens sont plus susceptibles de stéréotyper. Ils sont plus susceptibles d'arrêter de s'occuper des autres avec soin." Quant aux chercheurs universitaires Joris Lammers et Adam Galinsky dans leur essai Power and Hypocrisy, les dirigeants ont non seulement tendance à abuser de ce pouvoir, mais ils se sentent également autorisés à en abuser : "Les personnes avec un pouvoir qu'elles considèrent comme justifié enfreignent les règles non seulement parce qu'elles peuvent s'en sortir, mais aussi parce qu'elles se sentent intuitivement avoir le droit de faire ce qu'elles veulent." Et ce d'autant qu'il y a plein de monde autour, parfois depuis l'enfance, qui les nourrissent de paranoïa et de rêves grandioses, ou tout simplement qui les attirent avec la promesse du pouvoir et de la richesse...

Toutefois, l’idée du pouvoir corrupteur et par extension du pouvoir absolu corrompant absolument semble erronée, en tout cas insuffisante. La réalité est que le pouvoir attire ce qui est corruptible ! En effet, le corrompu est prédisposé à la corruption en tant que corruptible. Ce n’est donc pas tant que le pouvoir corrompt, mais qu'il fascine en tant qu'hypnose les sujets corruptibles qui ont tendance à s’enivrer de violence, ce qui crée rapidement les conditions d’une accoutumance fâcheuse.

Nous en retrouvons les effets délétères dans toutes les arènes et cénacles de son expression : politique, religion, sports, gouvernement, divertissement, entreprises, administrations et associations, forces armées, et même à l'opéra ou dans les musées, hauts lieux proclamés de la CULture. Tous sont marqués par des comportements de prédation, à différents stades d'intensité, que l'on peut qualifier de minables, sordides, décadents, lugubres, dépravés, immoraux et corrompus, tout particulièrement lorsqu'ils mettent en scène "l'élite" puissante que les médias portent aux nues à satiété (elles sont souvent directement ou indirectement leurs donneurs d'ordre), avant que de retourner, rarement piteusement, casaque lorsqu'ils sont révélés. Il n'est qu'à voir la couverture du suicide le 10 août 2019 du financier américain accusé de trafic sexuel, d'agression sexuelle, de viol et de traite de centaines de jeunes filles à des fins sexuelles, Jeffrey Epstein, retrouvé apparemment mort en prison (une exfiltration déguisée en suicide n'est pas à exclure), alors même que ses frasques en compagnie de célèbres personnalités étaient connues depuis longtemps et circulaient largement sur les réseaux sociaux. Mais bien sûr, ce n'était que des délires complotistes et conspirationnistes, tancés à longueur de colonnes par les éditorialistes en charge de la pensée correcte, qu'ils portent écharpe rouge, jactent avec l'accent du terroir et/ou se consacrent au zapping carriériste entre chaînes de radio et de télévision. Et cette "noble" profession de ne pas comprendre pourquoi elle est si peu considérée par le grand public... Depuis, un juge a demandé la communication au grand public de pièces versées au dossier suite aux plaintes déposées par les victimes, révélant progressivement début 2024 les noms des puissants potentiellement incriminés*.

Ce prédateur comme d'autres a exploité son réseau de trafic sexuel personnel, pour son propre plaisir comme pour le plaisir de ses complices aux commandes de la société, dans toutes les sphères qui en sont représentatives. Par le noyau en réseau formé, ils fonctionnent selon leurs propres règles, "autorisés" en tirant parti d'un système de justice pénale qui se plie aux volontés des puissants à contourner des règles*² qui, enfreintes par le reste des citoyens, sont gravement sanctionnées. Ils (parfois elles) font partie des bas-fonds de la conscience - le cœur des ténèbres -, ceux actionnés par la prédation astrale aux commandes pour s'en délecter et s'en repaître, question de survie cosmique oblige ! Et comme l'or universel contenu dans l'âme juvénile est de valeur inestimable, nous pouvons comprendre pourquoi cette exploitation sexuelle concerne en priorité des enfants, des adolescent(e)s et jeunes filles et garçons*³. Elle est d'ailleurs devenue une activité rentable aux États-Unis, ce secteur du crime organisé en croissance continue étant devenu le troisième produit le plus lucratif après la drogue et les armes à feu.

* Une décision de la Cour d'appel du deuxième circuit autorisant la diffusion d'un document de 2 000 pages lié à l'affaire Epstein évoque des allégations d'abus sexuel impliquant "de nombreux politiciens américains éminents, de puissants dirigeants d'entreprise, des présidents étrangers, Premier ministre et autres dirigeants mondiaux."

*² Jeffrey Epstein, déjà dans le passé accusé d'avoir violé et agressé des jeunes filles, avait obtenu un accord de plaidoyer secret avec un procureur d'un État fédéral lui ayant permis de se soustraire à des incriminations fédérales, simplement autorisé à "travailler" à la maison six jours par semaine avant de retourner en prison pour dormir (cet accord de plaidoyer secret a depuis été jugé illégal par un juge fédéral).

*³ Selon un rapport d'enquête de 2016, "les garçons représentent environ 36% des enfants capturés dans l'industrie du sexe aux États-Unis (environ 60% sont des femmes et moins de 5% sont des hommes et des femmes transgenres)". Leurs "services" sont achetés principalement par des hommes ordinaires , de tous les horizons, selon le journaliste Tim Swarens, qui a passé plus d'un an à enquêter sur le commerce du sexe en Amérique.

 

Le côté obscur du Forum économique mondial (WEF) de Davos 

La 54ème réunion annuelle du Forum Économique Mondial (WEF), cet événement dit d’élite auquel participent quelques 2 800 leaders de 180 pays, soit un état major de riches executives (décideurs en français) - grands patrons et directeurs généraux de grosses boîtes qui ne sont cependant que de simples "salariés" du privé, autrement dit de vulgaires subordonnés interchangeables -, politiciens et guest-stars du "people show", s'est déroulée en janvier 2024 à Davos, petite commune en Suisse et station alpine nichée dans la vallée enneigée de Landwasser.

Cet événement dont le thème est "Reconstruire la confiance" est placé sous les feux de la rampe pour son caractère atypique en raison du culte du secret qui l'entoure, expliquant qu'il est depuis longtemps controversé en raison de l’hypocrisie qui accompagne ses travers extravagants (caviar et champagne à profusion, desserts à la feuille d’or, selfies de stars...), notamment la venue de nombre de décideurs en jets privés dans des chalets ou hôtels luxueux au chauffage conséquent, et ce à l'heure du discours culpabilisateur et des mesures visant à taxer lourdement pour les gueux et autres manants les comportements attentatoires à l'empreinte carbone pour cause de dégâts causés à la planète. Et bien sûr cette réunion des prétendus grands hommes de ce monde constitue une opportunité d'affaires hors norme pour les habitants propriétaires de locaux à louer, trouvant là une excellente occasion de générer des revenus substantiels, puisqu'avec seulement une cinquantaine d’hôtels complets et un nombre limité de résidences de vacances offrant environ 25 000 lits aux visiteurs, Davos est à la limite de sa capacité d’accueil. Même les participants qui séjournent dans les villes voisines de Klosters, Bad Ragaz ou même Zurich contribuent à un véritable boom des revenus, que l’on n’observe généralement qu’en été. Les logements sont généralement réservés des mois à l’avance, même la chambre la plus abordable sur Airbnb coûtant la coquette somme de 1 614 dollars par nuit, et ce pour une salle de bain commune dans un appartement résidentiel.

Derrière le vertueux paravent du traitement des questions mondiales telles que le changement climatique, la protection de la santé et le développement de l’intelligence artificielle, se cache la décadence morale de nombre de ses participants, ceux-ci faisant appel à des escorts* et autres extravagances en poudre ou cachet pour assouvir leurs fantasmes et perversités. Le tabloïd allemand Bild rapporte ainsi que la demande de prostituées explose pendant la durée du forum, nombre de PDG les réservant dans les suites de leur hôtels pour eux-mêmes comme pour leurs employés. Les coûts pour de tels services sont d’environ 2 000 francs suisses, soit 2 135 € pour quatre à douze heures.

Est-il nécessaire de rappeler que l'écrivain, essayiste et journaliste britannique Eric Arthur Blair, plus connu sous son nom de plume George Orwell (1903/1950) avait choisi dans son célèbre roman dystopique Animal Farm. A Fairy Story ("La Ferme des Animaux") de personnifier les leaders en cochons. Et comme le bon sens paysan nous renvoie toujours à nos racines, il convient de se rappeler que l'usage à la campagne est de pendre le porc appelé communément le cochon, de l’égorger, de le vider de son sang, tous ses organes étant utilisés pour se nourrir.

* Les escorts sont des femmes ou des hommes qui offrent leur compagnie pour une période convenue en échange d’une rémunération. En règle générale, il s’agit d’une forme de travail du sexe autrement nommée prostitution.

 

"Le pouvoir tend à corrompre, le pouvoir absolu corrompt absolument. Les grands hommes sont presque toujours des hommes mauvais."

John Emerich Edward Dalberg-Acton (1834/1902), 1er baron Acton dit Lord Acton, historien et homme politique britannique

 

Le témoignage explicite de la corruption par la "putain" de la République

Christine Deviers-Joncour née Anne-Marie Christine Deviers est connue pour avoir été mêlée à l'affaire Elf-Aquitaine en étant la maîtresse de Roland Dumas, alors ministre des Affaires étrangères de François Mitterrand. Il l'avait fait entrer en 1989 comme "chargée de mission" dans cette même société, avec jusqu'en 1993 un salaire mensuel versé par Elf-Impex de 10 000 F, un autre par Elf Aquitaine International de 40 000 F, ainsi que des faux frais jusqu'à 200 000 F par mois sur sa carte bancaire, leur permettant à tous deux de mener "grand train"... Surnommée "la Putain de la République" (nom de son livre de révélations sorti en 1999) ou "la Mata Hari du Périgord", elle avait reçu également d'importantes commissions de ce groupe chimique et pétrolier public ainsi que du groupe d'armement Thomson pour obtenir de son amant Roland Dumas l'autorisation de vendre des frégates militaires à Taïwan*. Elle sera incarcérée provisoirement pendant cinq mois et demi à la prison de Fleury-Mérogis, avant d'être condamnée à trois ans de prison dont 18 mois avec sursis et 1,5 million de francs d'amende pour "recel d'abus de biens sociaux". Dumas, lui, sera relaxé, avant de devenir plus tard Président du Conseil constitutionnel de 1995 à 2000... Elle illustre de ce fait particulièrement bien les histoires de corruption mêlant sexe et argent impliquant les plus hauts personnages de l’État, soit l’envers du décor et la face obscure du monde politique. Est-il utile de rappeler en se référant à la langue des oisons qu'en France, les verbes Parler et Mentir ont été réunis en un lieu, le Parlement, endroit où des individus qui font des lois pour faire Taire le peuple sont appelés les Parlemen-Taires...

Sans le moindre regret pour cette période légère et flamboyante, elle distille depuis avec lucidité dans ses divers écrits témoignages ses vérités, comme pour soulager et nettoyer son âme infestée.

"... j’entendais leurs délires, loin d’imaginer qu’ils iraient jusqu’au bout de leur folie. Je les ai vus, à l’époque, se goberger, s’empiffrer sur le dos de la bête. Je les ai vus, les yeux plus gros que le ventre, piller et se goinfrer. Se donner des lettres de noblesse factices que leur position et leur pouvoir leur conféraient. Je les ai vus bomber le torse et de leur petite hauteur, mépriser le peuple en donnant au château de Versailles des fêtes royales pour célébrer dignement l’arrivée au pouvoir du nouveau "monarque". Les cortèges de voitures officielles comme autant de carrosses et les garden-parties de ces nouveaux parvenus bientôt emperruqués. J’ai vu les épouses et leur marmaille jouant à Marie-Antoinette sans vergogne sous les lambris, dont le passe-temps se limitait à organiser des dîners fins entre amis et visiter le Mobilier national comme on va chez Ikea. Gratuit ici. Surtout quand on omettait de restituer pièces d’art et meubles d’époque. Je les ai vus et j’ai payé très cher pour avoir été témoin, n’étant pas du sérail…

J’ai vu les caisses noires des ministères exonérées d’impôts, les frais d’intendance éhontés enfler toute honte bue, chauffeurs et gardes du corps à vie et retraites cumulées replètes, retro-commissions sur des marchés d’Etat, des avions équipés comme des palaces volants, des jets sur le tarmac prêts à décoller au moindre caprice ou quand tsunamis, tremblements de terre et autres catastrophes permettaient d’appeler les hordes de photographes, après être passé en vitesse chez le coiffeur et le couturier branché, pour se faire immortaliser au pied d’un jet avec un sac de riz sur le dos.

J’ai vu des soutes en provenance d’Afrique garnies de billets de banque et des coffres de voitures transformés en caverne d’Ali Baba pour distribution d’argent à grande échelle, des contrats d’État passés aux mains des filous, des comptes bien cachés dans des pays aux lagons bleus, (…) J’ai vu des enfants éventrés, des femmes violées, lapidées, torturées.

J’ai vu un avion avec une croix rouge sur son flanc porter secours à des populations africaines affamées en leur tirant dessus, et j’ai même vu certains crocodiles bouffer de malheureux témoins encombrants et d’autres tomber des fenêtres, arrêts cardiaques et cancers fulgurants.

Toute cette honte, tous ces crimes pour encore plus de Pouvoir et Richesses. Un monde aux mains de la Finance Internationale, Bilderberg, Nouvel Ordre Mondial criminel, FMI, GAFAM etc, pour maintenir, verrouiller le système, protéger une élite et asservir les peuples en les abrutissant et en les dépravant en inversant les valeurs ! Nous leur donnons une once de pouvoir et ils perdent tout sens commun.

Et plus on monte dans la hiérarchie, plus ils s’en donnent à cœur joie, perdent le sens des réalités et franchissent allègrement et sans états d’âme l’inacceptable. Et au plus haut niveau de la pyramide ils n’ont plus rien d’humain. Ce sont des monstres.

Le pouvoir, aphrodisiaque suprême, les déshumaniserait-il à ce point ? Et le fric, moteur essentiel à toutes ces dérives… Comment osent-ils se poser en donneurs de leçons, parler de probité, d’intégrité, de franchise, quand se multiplient leurs égarements et que les affaires de corruption et autres méfaits les éclaboussent ? (…)

Nous sommes devenus un immense peuple de moutons à tondre, tandis que la démocratie n’existe plus depuis longtemps, et tout dépend maintenant du pouvoir de résistance et de révolte des peuples.

La mise en esclavage des populations est passée à la vitesse supérieure avec cette "plandémie covid" en créant la PEUR ! Et les grands argentiers de la planète et leurs marionnettes nous font clairement comprendre que seuls comptent leurs profits, que le bien-être des citoyens n’a aucune espèce d’importance. Leurs "plandémies" et leurs vaccins mortifères finiront le sale boulot pour une dépopulation mondiale annoncée : le projet ne date pas d’hier, croyez-moi ! Nous sommes tous sacrifiés sur l’autel des profits. Depuis ces dernières décennies tout fut mis en œuvre fissa pour nous anéantir. Et la télévision et les médias aux ordres ont participé à cet abrutissement de masse qui nous a conduits à l’impuissance en nous lavant le cerveau.

Je veux pourtant rester optimiste. Nous sommes à un tournant majeur, un changement de civilisation. Il est urgent que tous les citoyens se réveillent et reprennent en main leurs pays, leur souveraineté et éliminent cette vermine financière afin de réinjecter dans les caisses des états pour le bien collectif, les incroyables fortunes détournées par une poignée de mafiosi sans foi ni loi et dangereux. Il faut bien prendre conscience que, quels que soient votre bord politique ou votre conception de la vie, si vous ne faites pas partie de leur élite, vous serez broyés. Aussi, il faut s’unir d’urgence car nous marchons vers l’abime !

Et si le monde devient chaotique, cela signifie aussi que ce qui a manqué, c’est la spiritualité individuelle. Il n’y a pas de compromis avec les éléments extérieurs du monde en action et la conscience se révèle encore inactive face à ce monde chaotique. Au contraire, la conscience peut se reconnecter en tout temps et en toute situation avec la spiritualité comme une ascension. Il me revient en mémoire cette phrase de Brecht : "Lorsqu’un homme assiste sans broncher à une injustice, les étoiles déraillent"… Alors, vite, protégeons les étoiles et tournons la page sur ces temps décomposés. Levons-nous !"

* Le dossier de la vente des frégates de Taiwan par Thomson n'a été ouvert que tardivement en 2002 par le juge Renaud Van Ruymbecke, le secret défense ayant été opposé par deux ministres successifs de la Défense.

Cf. Livre en complément de Christine Deviers-Joncours "Ces Messieurs qui nous gouvernent" (2020, Editeur Auteurs du Monde), qui trace une peinture au vitriol des coulisses peu reluisantes du pouvoir et de ses perversités sexuelles.

 

"Quand la vérité n’est pas libre, la liberté n’est pas vraie".

Jacques Prévert (1900/1977), poète français

 

"Le politicien devient un homme d’État quand il commence à penser à la prochaine génération plutôt qu’aux prochaines élections".

Winston Churchill (1874/1965), homme d'État et écrivain britannique

 

La perversion politico-sexuelle des ultrariches et autres têtes "couronnées"

Le livre des journalistes indépendants états-uniens Dylan Howard, Melissa Cronin et James Robertson Dead Men Tell No Tales ("Les morts ne parlent pas" ou "L'Affaire Epstein") explique le mécanisme de fabrication de cette créature maléfique, Jeffrey Edward Epstein (1953/2019 - photo 1), par l'entregent du plus célèbre agent du Mossad israélien, le magnat Robert Maxwell de son vrai nom Ján Ludvik Hyman Binyamin Hoch d’origine tchèque (1923/1993 - photo 2) et de sa fille amante Ghislaine (photo 3), lequel magnat, du temps de sa splendeur avant sa mort par noyade suspecte (tombé de son yacht et ayant eu des funérailles somptueuses à Jérusalem), avait acheté un grand nombre de médias britanniques pour le compte de l’État d’Israël et de sa propagande à caractère sioniste*. 

Le scandale qui a éclaté en août 2019 à l'occasion de la mort elle aussi (très) suspecte en prison dans sa cellule du Metropolitan Correctional Center de New York de ce milliardaire détraqué prédateur sexuel violeur qui était le protégé de l'homme d'affaires Leslie dit Les Wexner, PDG de l'entreprise Limited Brands qui exploite la marque sulfureuse mondialement connue Victoria's Secret, et source de sa mystérieuse fortune (Wexner est membre de Sigma Alpha Mu, communément connu sous le nom de Sammy, une fraternité universitaire fondée au City College de New York). Il avait été arrêté suite à des accusations fédérales aux États-Unis de trafic de mineurs à des fins sexuelles (ce qui se nomme pédocriminalité), a mis en lumière ses relations avec nombre de personnalités célèbres, et la mansuétude généreuse des autorités états-uniennes jusqu'alors à son égard. A la suite de tout un lot de plaintes, dont la teneur tient en 53 pages d’accusations, les enquêtes de ces autorités menées par quelques juges intègres (ainsi la procureure de New York Maurene Comey) ont fini début 2019 avant que de l'arrêter par démontrer comment Epstein menait pour le compte des agences de renseignement états-unienne (CIA) et israélienne (Mossad) une opération de chantage fort lucrative, véritable explication de sa fortune (et non celle de son passé de trader sur les marchés financiers), consistant à enregistrer avec microphones et caméras toutes les interactions salaces qui s'étaient déroulées entre ses invités de tous pays, ces personnalités étant en prise à un conflit intérieur entre la satisfaction de leur addiction et la crainte que leur comportement sexuel contre nature et punissable soit porté aux yeux du public, ceci les rendant accessibles au chantage et à leur arbitraire contrôle (députés, sénateurs, hommes d'affaires comme le milliardaire de l’Ohio Leslie Wexner et prétendus philanthropes comme Bill Gates et autres dirigeants des géants de la technologie tels que Google, LinkedIn, Facebook, Microsoft, Tesla et Amazon, journalistes, stars de cinéma, scientifiques de renom, recteurs et doyens d'universités, premiers ministres, princes et princesses dont le membre de la famille royale britannique et duc d'York le prince Andrew - photo 5 -, présidents comme l'ancien président démocrate états-unien Bill Clinton - passager à 26 reprises selon la presse - ou le républicain Donald Trump - monté 7 fois à bord - photo 6) et des mineur(e)s, principalement filles, en l'occurrence des collégiennes (photo 7) ou des fugueuses camées et pauvres pour la plupart, ramenées au moyen de promesses (travail, argent) comme consommées par des rabatteurs "pro" (Ghislaine Maxwell, l'agent de mode français à l'époque dans son agence parisienne "Mademoiselle Prestige" Claude Assier-Haddad - photo 8 - qui a reconnu les faits dès 1988 dans une confession à la journaliste de télévision américaine Lila Diane Sawyer travaillant pour le compte de la chaîne ABC News, ou encore son comparse français ex patron d'une agence de mannequins - dont les antennes étaient basées à New York, Miami et Tel Aviv - Jean-Luc Brunel de son vrai nom Benchamoul - photos 9 & 10 - arrêté à Paris en décembre 2020 après de longs mois de silence, et décrit dans le livre Model, The Ugly Business of Beautiful Women de l'auteur journaliste américain Michael Gross dont le travail se concentre sur la classe supérieure américaine - lui aussi a été "comme par malchance" retrouvé mort par pendaison dans sa cellule à la prison de la Santé à Paris le 24 février 2022...), au-delà des rabatteuses à peine plus âgées que les victimes qu'Epstein logeait ensemble dans son bâtiment de l'Upper East Side à Manhattan. Ces pratiques se déroulaient tant dans son manoir à New York, son hôtel particulier à Paris, son ranch - le Zorro Ranch - au Nouveau Mexique, qu'au cours d'escapades dans des lieux paradisiaques (luxueuses propriétés, îles privées comme Little St James island dans les Iles Vierges des Caraïbes américaines - "the Orgy Island" (l’île de l’orgie) - avec son "temple" dédié à la pédocriminalité spécifiquement aménagé - photo 11) via avion privé, un Boeing 727-31 RE Super 27 ayant été surnommé par les contrôleurs aériens le "Lolita Express" (photo 12), et dont le dernier vol eut lieu en juillet 2016 avant que d'être remplacé par deux Gulfstream.

Nous pouvons ainsi mieux comprendre la quasi-chape de plomb des médias français sur l'affaire, certains de leurs commanditaires étant particulièrement éclaboussés. C'est la raison pour laquelle peu de ces médias dits, en réalité autoproclamés, "d'information" et d'investigation grand public (Le Monde, Mediapart, Canard enchaîné, Cash investigation, Envoyé spécial, etc), pourtant parfaitement au courant (certains se réveillent tardivement), se sont penchés sur l'histoire des agences de renseignement américaines et étrangères menant des opérations de chantage sexuel similaires - les "pièges de l'amour" -, dont beaucoup impliquaient également des mineurs et des prostituées, et ce en collusion avec la mafia, le crime organisé, celle-ci remontant à la période de la Prohibition*². S'est ainsi noué dans le temps le fil tentaculaire de complicités sordides et corrompues, et généreuses protectrices de l’État d’Israël, bien éloignées de la belle histoire du "modèle" libéral américain et de la "blanche colombe" israélienne - le royaume du soi-disant peuple élu - que nombre d'éditorialistes et autres chroniqueurs matiniers ne cessent de vanter. Cette capacité de corrompre, notamment des politiciens, et d'orchestrer le chantage sexuel à leur encontre, tout comme de policiers et de juges au cœur même de leur établissement institutionnel, est bien sûr fondamentale pour les opérations lucratives de la mafia.

Nombre des noms de ces personnalités concernées figurent dans le "célèbre" petit livre ou carnet noir d’Epstein (photo 13) apparu dans la procédure judiciaire après qu’un ancien employé de maison d’Epstein, Alfredo Rodriguez, ait essayé de le vendre en 2009, ainsi que dans le carnet de bord du jet privé du milliardaire, certaines commençant à être arrêtées comme le magnat de la mode finno-canadien Peter Nygård (photo 14) en décembre 2020. Ce dernier, ami proche d'Epstein, qui était accusé de trafic sexuel pour les mêmes procédés (promesse d’argent et d'opportunités de mannequinat notamment envers des mineures de 14 ou 15 ans), d’avoir victimisé des dizaines de personnes aux États-Unis, au Canada et aux Bahamas dans ses propriétés de Marina del Rey en Californie et aux Bahamas dans son complexe privé de 150 000 pieds carrés au cours de "Pamper Parties" (ses victimes étaient forcées de se livrer à des activités sexuelles avec ses riches associés), et d'avoir mené une campagne d’intimidation implacable contre celles qui ont porté des accusations contre lui, menaçant de les poursuivre en justice, de détruire leur réputation et même de les faire arrêter, a finalement été reconnu coupable par un jury de Toronto d'avoir agressé cinq femmes dans la chambre à coucher privée de son immeuble de bureaux du centre-ville de Toronto. Il voulait les mettre enceintes et les faire avorter afin de pouvoir utiliser les fœtus pour des recherches sur les cellules souches qui défient l’âge (Cf. livre "Predator King : Peter Nygard’s Dark Life of Rape, Drugs and Blackmail" de Mélissa Cronin qui affirme que Peter Nygard était obsédé par l’idée de rester jeune).

Tout "naturellement", ce carnet se trouve également entre les mains du géant russe, tout le monde se tenant désormais par la barbichette, plus exactement par la queue du diable !

* Cf. Le Judaïsme décodé.

Cf. Le sens caché du jeu d'échecs.

 

Les personnalités et institutions incriminées

Parmi les personnalités, et sans les considérer en l'état comme complices avérées, se distinguent les acteurs hollywoodiens Alec Baldwin, Ralph Fiennes, Dustin Hoffman, Griffin Dunne, l'autrice Courtney Michelle Love Cobain, le magicien David Copperfield, le chroniqueur du New York Post Richard Johnson, les politiciens Ted Kennedy (frère de JFK) et Henry Kissinger, l'homme d'affaires David Hamilton Koch, le réalisateur Andrew Jarecki, les stars planétaires musicales Mickael Jackson (1958/2009), Bryan Ferry, Mick Jagger et Phil Collins, les hommes d’État américain Bill Clinton, israélien et anglais anciens premiers ministres Ehud Barak et Toni Blair, l'écrivain et philosophe Eli Wiesel (1928/2016), Peter Soros (neveu de Georges Soros né György Schwartz, milliardaire "philanthrope" qui a financé Emmanuel Macron dans sa campagne présidentielle), Hunter Biden, fils de Joe Biden, l’avocat entre autres de la société Uber Alan Dershowitz, le gestionnaire de fonds spéculatifs Glenn Dubin et sa femme Eva Andersson-Dubin, le cofondateur de Google Sergey Brin et son ex-femme Anne Wojcicki, le physicien théoricien britannique Stephen Hawking (1942/2018)... ainsi que des membres des familles Saoud, Rothschild, Rockfeller et Picasso. A noter que le prince britannique et ex duc d'York Andrew a scellé en février 2022 un accord à l'amiable pour plus de 17 millions de dollars (selon le Daily Telegraph) avec l'Américaine Virginia Giuffre*, elle-même victime présumée du couple, qui l'accusait de l'avoir agressée sexuellement en 2001 quand elle était mineure. La famille royale britannique s'est ainsi évité un procès au civil à New York aussi retentissant qu'embarrassant... D'autres "John Does" (anonymes) se battent farouchement contre la levée des scellés de leurs noms...

Du côté des institutions, les poursuites déposées au tribunal fédéral de New York au nom de deux femmes différentes et anonymes qui ont accusé Epstein d’abus sexuels affirment que la Deutsche Bank de 2013 à 2018 environ et JPMorgan Chase de 1998 à août 2013 ont bénéficié du trafic sexuel présumé d’Epstein et ont détourné le regard "afin de faire des profits", la première ayant "sciemment participé" en permettant à Epstein de payer les victimes. En outre, l'une des victimes de trafic sexuel d'enfants de Jeffrey Epstein, Sarah Ransome, a déclaré à la cour qu'elle "a fait des copies d'enregistrements de hauts fonctionnaires violant des enfants et commettant d'autres crimes horribles".

A noter que même pendant son incarcération pour une peine de 13 mois de prison sanctionnant les relations sexuelles qu'il avait eues avec des mineures et qu'il ait été fiché comme délinquant sexuel, le prédateur Epstein était resté en contact avec son réseau de pouvoir et d'influence, ce qu'a révélé en 2023 le journal britannique DailyMail.

* Afin de faciliter l’accord, la défunte reine Elizabeth II avait contribué à ce règlement financier important qui était accompagné d’une clause de bâillon de 12 mois, garantissant qu’aucune des parties ne pourrait discuter d’un quelconque aspect de l’affaire ou de l’accord financier. La majorité du règlement de 9,9 millions de livres sterling (17,6 millions de dollars) est allée à Giuffre, tandis qu’environ 3 millions de dollars ont été versés à son association caritative de lutte contre le trafic sexuel.

 

Couverture du crime

Mark Middleton, l'un des principaux conseillers de Bill Clinton, a été retrouvé pendu à un arbre par un cordon électrique, la poitrine explosée par un coup de fusil en mai 2022, dans un suicide présumé. Aucune arme n'a été trouvée sur les lieux selon le rapport du shérif du comté de Perry, en Arkansas. La famille de Middleton a insisté sur le fait qu'il s'est suicidé, affirmant qu'il souffrait de dépression. Elle a intenté avec succès un procès pour empêcher la publication de photos montrant la scène du décès.

Cependant, un ancien associé de Middleton a déclaré à Radar Online, site web consacré aux "potins" les plus récents sur les célébrités, les nouvelles et les événements d'Hollywood, qu'il était "physiquement impossible que Mark se soit suicidé", insistant sur le fait qu'"il ne connaissait rien aux armes à feu ! Non seulement il détestait les armes à feu, mais il n'aurait pas pu attacher un nœud coulant pour sauver sa vie".

Middleton est en fait connu pour avoir été présent aux côtés du prédateur sexuel Jeffrey Epstein à la Maison Blanche à au moins sept des 17 occasions où celui-ci avait rendu visite au président démocrate. Il a également volé dans l'avion privé "Lolita Express" du pédophile...

 

Épilogue : ce sordide thriller/polar bien ancré dans la réalité s'est soldé d'abord par la condamnation le 29 décembre 2021 de l'élégante et sophistiquée mondaine Ghislaine Maxwell, la comparse diabolique de l’ex-financier prédateur sexuel américain Jeffrey Epstein, par un tribunal de New York, à l’issue de plusieurs jours de délibération. Poursuivie pour six chefs d’accusation de crimes sexuels, elle avait été reconnue coupable pour cinq d’entre eux, notamment du plus grave, le trafic de jeunes filles mineures au bénéfice de son compagnon dépravé pour qu’il en abuse sexuellement de 1994 à 2004 dans ses résidences de Floride, de Manhattan ou du Nouveau-Mexique. Puis elle a été condamnée à 20 ans de prison fin juin 2022 par un tribunal de New York, les plaignantes "Jane", "Kate", "Carolyn" et Annie Farmer, la seule à s'exprimer sans pseudonyme, ayant  dévoilé à l'audience leurs vies abîmées par des relations sexuelles forcées avec Epstein - d'abord des massages sexuels - alors qu'elles avaient entre 14 et 17 ans, souvent en présence de Maxwell. A quoi se rajoutent à ce palmarès de l'ignoble les dépositions d'une autre de ses victimes, Sarah Ransome, qui a accusé Epstein et Maxwell d’abus qui ont eu lieu quand elle avait une vingtaine d’années lors d'un procès civil en 2018, tout comme l’affaire Giuffre v. Maxwell, action civile intentée contre Maxwell en 2015 dans le district sud de New York.

Il est cependant fort probable que ce verdict ne soit qu'une façade, la prédatrice s'étant vue offrir une mise au vert sécurisée pour le restant de sa vie en échange de ses révélations probantes/attestées de la longue liste des riches voire célèbres criminels ayant participé au festin sexuel destructeur de l'innocence, tout particulièrement l'ex Président états-unien le "démo(n)crate" William dit Bill Clinton dont une partie de plus en plus importante de l'opinion américaine revendique d'ores et déjà sur les réseaux sociaux l'inculpation et le jugement.

Si les preuves de leur participation sont d'ores et déjà consignées dans le carnet "noir", par-delà les enregistrements de leurs ébats effectués, leur mise à mort sociale ne fait que commencer, 2022, 2023 et surtout 2024 s'apprêtant à être les années des révélations (entre autres) de leurs abjectes turpitudes, un juge fédéral de New York ayant décidé de lever fin 2023 les scellés sur les documents contenant les informations d’identification d’environ 180 personnes liées d’une manière ou d’une autre à Jeffrey Epstein, ceci n’entendant pas spécifiquement une liste de clients d’Epstein comme amateurs des prestations sexuelles de jeunes femmes dans ses différents lieux de plaisir. Ils n’assimilent de ce fait pas directement les personnes citées à des criminels. Programmées par les "maîtres artificiers" du jeu involutif de la matrice terrestre, elles sont destinées à contribuer par l’écœurement populaire suscité à l'effondrement du système corrompu dans cette troisième dimension de densité terrestre, et ce préalablement à la mise en œuvre du Nouvel Ordre Mondial soi-disant réparateur dans la quatrième dimension involutive, la "4-D -"*. Et comme d'habitude, les naïfs et autres illusionnés n'y verront que du feu, prêts à se ruer sur n'importe quelle piqûre salvatrice suggérée sinon contrainte.

Toutefois, la diffusion de la liste des clients d’Epstein n’est rien d’autre qu’une énorme distraction de plus, un certain nombre de personnes y figurant étant décédées, entendant que celles qu'y apparaissent vivantes ne sont que des clones. Il en découlera quelques arrestations afin de  satisfaire l’ego des "patriotes", "soldats numériques" et autres lanceurs d'alerte, et  ce pour empêcher les masses de chercher au-delà de ce drame politique servi en leurre pour masquer la poursuite du filet de prédation qui ne cesse d'enserrer l'être humain dans une toile d'araignée rendant impossible sa libération. Tout comme les élections (USA, France...) qui ont été volées  ou tout comme la publication des fichiers Twitter ("Twitterleaks"), rien au final ne s’est passé, personne n’ayant fait quoi que ce soit. Avec la publication de la liste des clients d’Epstein, il ne se passera encore rien !

* Cf. Préambule de compréhension.

 

Petit extrait d'un long bréviaire : Christian Zervos (1889/1970) - Louis Aragon (1897/1982) - Jean-Paul Sartre (1905/1980) - Roger Peyrefitte (1907/2000) - Simone de Beauvoir (1908/1986) - Françoise Dolto (1908/1988) - Roland Barthes (1915/1980) - Jean-Louis Bory (1919/1979) - René Scherer (1922/-) - Alain Robbe-Grillet (1922/2008) - Michel Tournier (1924/2016) - Gilles Deleuze (1925/1995) - Michel Polak (1930/2012) - Pierre Bergé (1930/2017) - Roman Polanski (1933/-) - Gabriel Matzneff (1936/-) - Philippe Sollers (1936/2023) - André Glucksmann (1937/2015) - Jack Lang (1939/-) - Bernard Kouchner (1939/-) - Serge July (1942/-) - Christian Giudicelli (1942/-) - Patrice Chéreau (1944/2013) - Daniel Cohn-Bendit (1945/-) - Tony Duvert (1945/2008) - Guy Hocquenghem (1946/1988) - Frédéric Mitterrand (1947/-) - Pascal Bruckner (1948/-) - Olivier Duhamel (1950/-) - Christophe Girard (1956/-) - Richard Descoings (1958/2012) - Emmanuel Pierrat (1968/-)

 

Corporatisme culturel délétère

L'emprise et l'aliénation des Forces involutives sur l'esprit humain ne se conjugue pas qu'au singulier, les collectifs idéologisés étant tout particulièrement prisés quel qu'en soit le domaine d'application (politique et religieux tout particulièrement). C'est notamment le cas dans le domaine culturel, plus exactement le bouillon de culture, qui voit nombre d'artistes, cinéastes, compositeurs, musiciens, penseurs et philosophes, écrivains et journalistes, éditeurs... dispenser en tant qu'esprits cultivés la "bonne" parole au peuple ignorant n'appartenant pas à leurs cénacles infatués de leur pseudo lumière*. Ces brillants esprits illusionnés se retrouvent tout particulièrement du côté des "avant-gardistes"*², agissant toujours et encore par leur bien pensance de pacotille au nom de la défense de la liberté - "Il est interdit d’interdire" "Jouir sans entraves" "Vivre sans temps morts" -, et fustigeant à coups d'indignation et de pétitions la "morale bourgeoise" rétrograde, conservatrice sinon fasciste. Promoteurs béats de toutes les nouvelles transgressions de l'idéologie "trans", du transgenre au transhumanisme, faisant fi des questions d'éthique, de morale et de décence qui ne vont pas en leur sens, ces imposteurs sans vergogne (se) distribuent avec complaisance palmes, prix de vertu et autres hochets égotiques, glorifiant les transgressions des tabous en tous genres (inceste, zoophilie, scatologie, avortement post-natal, euthanasie des vieux...) et condamnant sinon excluant celles et ceux qui ne sont pas dans les clous (de crucifixion) de leurs standards et normes de pensée. Coutumiers par certain(e)s de leurs brebis noires de scandales et de dévoiements abjects, qu'ils couvrent par la puissance de leurs réseaux et complicités médiatiques sinon politiques, ils incarnent parfaitement les mœurs et pratiques des élites et puissants, dont la pédocriminalité n'est pas la moindre. Et lorsque le bouchon a été poussé trop loin par un(e) des leurs, ils n'hésitent pas avec veulerie et lâcheté à retourner casaque pour condamner l'impétrant menaçant leur impunité. Se croyant au panthéon de l'humanité, ils ne sont pour nombre que de sombres délinquants pervertis, à l'âme boueuse et crottée (lorsqu'ils en possèdent une), et dévoyés par l'inflammation de leur moi narcissique, mélange de prédateur de leur prochain et de proie de leur double involutif qui les asservit.

* C'est tout particulièrement le cas de "l’industrie du spectacle" en règle générale, très nombriliste, parsemée de "fils et de filles de", moralisatrice et hautaine, et truffée d'entreprises "zombies" par excellence car subsistant grâce aux nombreuses subventions captées. Comme d'habitude, ce sont les "sans dents" intermittents - auteurs, techniciens du son et de la lumière, musiciens, coiffeurs, costumiers, monteurs, décorateurs, etc…- qui sont les laissés pour compte dans l'ombre. Est-il utile de rappeler que la culture (loisirs, culture et cultes) représentait en 2017 2,5% du budget de l’État, à comparer au budget dont bénéficiaient la défense (3,1%), la sécurité (2,5%) et surtout la justice (0,4%), 73 % des dépenses étant ciblées sur Paris et 11 % sur l'Ile-de-France... Il y a en fait tellement d'argent à dépenser que le ministère de la Culture s'offre même depuis 1993 le luxe d'entretenir un comité d'histoire sur... l'histoire du Ministère, puisque l’État, entité ad hoc pour démocratiser la culture, prétend savoir distinguer la "bonne culture" de la "mauvaise culture", qui voit Paris devenue la ville du plug anal géant de la place Vendôme et du "vagin de la reine" des jardins de Versailles, comme un ancien Président de la République rendre visite et s'extasier devant un artiste (Abraham Poincheval) couvant en direct des œufs au Palais de Tokyo...

Sa qualification sur l'échiquier politique est celle de gauche progressiste, qui, entre autres sous prétexte de lutter et défendre les plus faibles, s'est ralliée au laisser-faire économique. Nourrie largement de bataillons de salariés de la fonction publique ou de grosses entreprises, et (quasi) absente de secteurs à risque comme l’artisanat ou l’entrepreneuriat sans subsides alloués, son idéologie mélangeant angélisme et défense farouche de ses intérêts et petit confort initie le mouvement orchestré en cette fin de cyclicité décadente, qui promeut pédophilie, métissage, communautarismes en tous genres, et destruction de la famille, de la nation et de l’identité racine.

Elle est symbolisée par l'affaire "Olivier Duhamel" de janvier 2021, déclenchée par la parution livresque d'un témoignage familial révélateur de ses "turpitudes criminelles" passées ("La Familia Grande" de Camille Kouchner), ce politologue constitutionnaliste chouchou du mainstream médiatique (Europe 1, LCI/TF1), éducatif (Sciences-Po) et élitaire (les dîners du club affairiste "Le Siècle"), pourtant indigne représentant d'une fraction de la gauche "caviar" libérée et libertaire sexuellement à même de légitimer la pédophilie au prétexte que les enfants ont des désirs sexuels, tout en omettant qu'à leur âge la fragilité prédomine dans le fait de subir un acte sexuel contraint car sous emprise.

 

De l'intimidation des accusateurs/accusatrices

Les individus courageux de ces dernières années, décidés à dénoncer les violences sexuelles qu’ils ont subi, sont confrontés à diverses tentatives de les faire taire et/ou de les appeler à la "discrétion".  A chaque fois, les ressorts mobilisés sont toujours les mêmes.

D’abord, la banalisation pour remettre en cause la gravité des faits. C'est ainsi que la minimisation des violences, leur déqualification, s’illustrent par les mots employés : "gestes déplacés", "propos inappropriés", ou comme le constitutionnaliste Olivier Duhamel "une énorme bêtise" voire le "il n’y a pas mort d’homme" prononcé par l'ancien ministre de la Culture et député alors PS du Pas-de-Calais en 2011 Jack Lang à propos de l'affaire "DSK" (Dominique Strauss Kahn), et ce pour parler d’une mise en cause pour viol. A chaque fois, le message envoyé aux victimes est le même : ce que vous avez subi ne compterait pas.

Ensuite, la recherche de culpabilisation par les mots employés comme "Vous/Tu vas briser la famille", "Vous/Tu vas porter atteinte à l’image de l'entreprise, de la fédération*, du syndicat ou du parti", ou "Vous/Tu l’as cherché en restant avec cette personne", "Vous/Tu n’avez qu’à mieux le repousser", "Quand on rentre tout(e) seul(e) si tard, faut quand même pas s’étonner."

Enfin, la menace et la peur, mécanisme puissant pour verrouiller la parole. De nombreuses victimes racontent avoir été menacées de ne plus voir leurs enfants ou leurs parents, ou avoir fait l’objet de pressions ou de chantages au suicide. Les personnes mises en cause ou les institutions qui les protègent connaissent très bien le mécanisme de la peur, et c'est pourquoi ils utilisent la plainte (ou sa menace) en diffamation. C'est un des outils les plus utilisés pour intimider et faire peur, les personnalités incriminées comme Denis Baupin, Pierre Joxe, Eric Brion ou encore Gérard Louvin pour des faits de violences sexuelles présumées ayant porté plainte contre les journalistes qui avaient révélé les faits ou contre les victimes. Même si la plupart d'entre elles ont à chaque fois perdu, ces procédures judiciaires sont coûteuses, tant sur le plan financier que sur le plan humain, pouvant durer des années et se révélant épuisantes pour les victimes. Ces procédures n’ont en fait qu’un objectif : refermer la chape de plomb, ce métal terrestre ô combien vicié !

* Les fédérations sportives sont particulièrement touchées (une trentaine environ), avec notamment la Fédération française d’Équitation (voir "cas" Amélie Quéguiner), la Fédération française des Sports de glace (voir parmi d'autres le livre de l'ex patineuse Sarah Abitbol "Un si long silence"), ou la Fédération française de Tennis (affaire de l'ancienne joueuse Isabelle Demongeot et la condamnation pour viol de l'entraîneur Régis de Camaret ayant conduit à écarter l’ex n°3 mondiale Nathalie Tauziat pour l'avoir défendu contre "vents et marées"). La ministre des sports Roxana Maracineanu a annoncé que le sport français était touché par plus de 300 affaires de violences sexuelles en 2020, sans compter le nombre de signalements émis.

 

 Pornographie médiatique (1)

Qu'est-ce que la pornographie, si ce n'est des images ou des bruits qui "collent" comme des tampons dans le cerveau. Après y avoir été exposé, nous ne pouvons plus penser à autre chose, si ce n'est de manière temporaire, tous les détails ayant été  gravés dans notre subconscient, aussi précisément que si nous les avions encore sous les yeux, la différence avec un savoir académique ou une œuvre culturelle résidant dans le ressenti physique (excitation) et la projection émotionnelle fantasmagorique effectuée. Elle a pour objectif de nous faire perdre le contrôle de notre espace intérieur. Et c'est tout particulièrement le cas chez les enfants et adolescents, la vue d’une seule image a fortiori d'une scène pouvant les habiter pendant des années, y compris la nuit pendant leur sommeil. Les adultes y sont tout aussi sensibles.

Conduisant parfois à l'obsession, elle pousse la personne à vouloir regarder à nouveau, comme si elle luttait contre une forme d’incrédulité devant son pouvoir fascinant. Et en retournant voir, celle-ci va chercher toujours à voir un peu plus, un peu plus loin. Loin d’apaiser la curiosité, chaque révélation supplémentaire est comme de l’essence jeté sur un incendie, celui du trio pensée-émotion-corps physique. C'est ce qui provoque un très puissant phénomène d’addiction.

Si la pornographie est traditionnellement réservée au domaine du sexe, elle s'applique également à d'autres sujets, que l'actualité par les médias relais ne cesse de déverser, la crise sanitaire enclenchée début 2020 l'illustrant par "excellence" dans leur malsain savoir-faire. Ce porno du coronavirus, le "Corona circus", est basé sur le déversement continu d'images fascinantes, obsédantes, substituant la mort au sexe dans ces lieux d'épouvante que sont les hôpitaux soi-disant débordés (salles d’opération ou de réanimation, individus allongés sur des civières ou branchées à des tuyaux de perfusion, entourés de personnes en combinaison anti-contagion), ou les EHPAD concentrationnaires de personnes âgées que d'aucuns qualifient de mouroirs lorsque la logique mercantiliste prédomine à leur fonctionnement.

Le programme psychique qui se met en route dans le cerveau dit de manière suggestive sinon explicite le danger, sa pédagogie étant celle de l'intérêt à regarder et à bien écouter pour éviter qu’il ne nous arrive la même chose. Cela est lié au déclenchement de l'instinct de survie par le "cerveau reptilien", la partie la plus archaïque du cerveau, sur laquelle nous n’avons aucun contrôle. C’est en effet le domaine du réflexe, non de la pensée réfléchie, encore moins de l'intuition bénéfique lorsque la neutralité émotionnelle prédomine (la "supraconscience"). L'objectif caché est de nous conduire insidieusement à n'avoir aucun contrôle sur nos réactions, pour déléguer à autrui - le médecin, l'expert, le responsable politique - par sa voix d’autorité (l'autorité "reptilienne") la conduite et la maîtrise de notre vie. Ainsi sommes-nous débranché de la Réalité, hors contrôle de notre soi souverain existentiel. Et comme notre instinct de survie va nous pousser à demander, exiger, encore plus de détails (nécessité du masque, du confinement, des tests, du vaccin, des médicaments, de la chloroquine ou ivermectine, des séquelles et effets secondaires, des signes avant-coureur, du risque d’y passer ou d’être intubé, des "clusters", du couvre-feu...), chaque détail supplémentaire vient occuper une case de plus dans notre psyché, jusqu’à l’invasion totale de nos facultés. Là se trouve la véritable épidémie sinon pandémie destinée à nous maintenir prisonnier de la matrice des morts-vivants !

Il n'est qu'à voir, notamment sur les chaînes d'info en continu ou les réseaux sociaux, ou entendre le show morbide des médias vampires et de leurs pathétiques animateurs/commentateurs, experts en expressions, formules, musiques, effets sonores et images qui s’impriment le mieux dans le cerveau reptilien*, pour comprendre comment cette pornographie sanitaire met sous cloche psychique toute la société, totalement  absorbée par ce phénomène mortifère. Et comme pour la pornographie sexuelle, la seule véritable solution est de ne pas commencer à regarder, en comprenant que cette programmation mentale a pour but de générer des tentations auxquelles nous ne pouvons pas résister, les instincts animalesques étant beaucoup plus puissants que notre simple volonté lorsque celle-ci n'est pas reliée au Soi supérieur. C'est tout l'enjeu de l'édification de notre forteresse intérieure destinée à nous préserver de la puissance dragonesque qui nous asservit.

* Cf. Contrôle mental.

 

Pornographie médiatique (2)

Il est devenu presque impossible pour de nombreux parents de limiter l’utilisation de l’ordinateur ou du téléphone par leurs enfants, puisque même l’éducation est organisée de telle sorte qu’il est presque impossible de se passer de ces appareils électroniques. Il va de soi que, dissimulée derrière les apports bénéfiques du progrès, la réalité est toute autre, tout cela n’est pas le fruit du hasard. Près de sept adolescents sur dix âgés de 13 à 17 ans consomment fréquemment de la pornographie, l’objectif principal de l’État profond étant de soustraire d'une manière ou d'une autre les enfants à l’influence de leurs parents, qui s’en tiennent le plus souvent à des conceptions traditionnelles de l’éducation et de la formation. Ce n’est qu’après l’introduction massive de l’informatique que les institutions dirigeantes y sont parvenues, rendant alors très difficile pour les parents de savoir ce que vit leur enfant et ce qui l’occupe, celui-ci étant entré de plain-pied dans le monde vituel de l’internet et de ses supports numériques constitutifs de la communication "électronique", gadgets électroniques froids et sans âme. C’est particulièrement vrai pour les adolescents, dans la mesure où cet âge est crucial et détermine la vision du monde d’une personne pour le reste de sa vie. Dans ce cas, leur "liberté" se traduit par le choix de ce qu’ils regardent sur la toile. Et le choix n’est pas libre, dépendant de nombreux facteurs : la publicité, l’opinion des parents et des enseignants, des amis et des connaissances, et parfois même une conversation d’inconnus qu’ils ont entendue.

Il en découle que souvent, les enfants plongent dans un monde qui leur est si étranger que leur psyché en est affectée et que leur comportement change radicalement. C'est tout particulièrement le cas lorsqu'un adolescent se retrouve sur un site web pornographique de "basse" qualité, celui-ci étant en libre accès. Qu’arrive-t-il à leur psyché s’ils tombent soudain sur un site web qui fait la propagande des mariages homosexuels et du transgenre, encourageant les adolescents à changer d’identité sexuelle ? Et c’est exactement ce qui fait aujourd’hui l’essentiel de la littérature enfantine, des dessins animés et même des jouets de la dernière génération.

Les conséquences liées à la pornographie et ses dérivés sont de ce fait graves, car ce qui commence par une forme de curiosité devient à court terme une habitude et une dépendance, dont il est difficile de se défaire. Les conséquences sont des dommages physiques, mentaux, sociaux, familiaux et psychologiques. La pornographie est ainsi devenue une dépendance plus dangereuse que n’importe quelle drogue. De nombreuses célébrités reconnaissent publiquement qu’elles sont tombées dans cette dépendance, les conduisant souvent à en parler.

Il n’y a de communication valable que lorsque les individus se regardent dans les yeux, que leurs mains se touchent, qu’ils échangent des sourires ou qu’ils expriment leurs pensées et leurs émotions par l’expression de leur visage et de leurs gestes. Ce n’est qu’ainsi que les gens peuvent vraiment se sentir les uns les autres. Et pourtant, c’est ce don inestimable de l’être humain dont les enfants sont aujourd’hui privés, beaucoup d’entre eux vivant leur vie complètement plongés dans leur téléphone portable et ne prêtant aucune attention à ce qui se passe autour d’eux.

Il s’agit là de la dépersonnalisation et de la déshumanisation. De cette manière, les gens sont habitués à l’intelligence artificielle qui attend dans les coulisses et qui ne demande qu’à être activée.

 

"Nous avons eu assez de pornographie de la peur, mais si nous continuons à poursuivre la vaccination universelle, la forte probabilité est que ce que nous continuerons à voir est l’évolution de mutants échappés qui sont de plus en plus infectieux et qui pourraient bien devenir plus pathogènes."

Robert Wallace Malone, biologiste moléculaire américain, spécialiste de l’ARN messager 

 

Tout ceci s'inscrit dans une suite logique, celle issue d'une programmation prédatrice des corps et des esprits. La quête essentielle n'est pas celle de la conscience de Qui Nous Sommes vraiment, mais celle de la possession matérialiste et des illusions du prêt à porter hédoniste. La société modèle des maîtres artificiers babyloniens est celle où l'on institue le mariage pour tous*, alors que le nombre des divorces est en progression exponentielle, tout comme les familles monoparentales qui s'ajoutent à la monoparentalité choisie. Elle est celle où de plus en plus de femmes veulent faire des bébés toutes seules, sans présence du référentiel paternel (le masculin sacré conscientisé, c'est-à-dire indépendant du genre sexuel). Elle est une société où l'avortement a remplacé en partie la contraception, dans de nombreux cas par inconséquence et irresponsabilité. Une société où la PMA (procréation médicalement assistée) donne naissance à des enfants sans "père", et de ce fait pour nombre à l'avenir perturbé si la raison d'être de la polarité masculine n'est pas portée à leur conscience (là encore indépendamment de la présence paternelle au sens du genre sexuel). Où la GPA (gestation pour autrui) est à la porte, faisant du commerce des ventres une autre alternative cruelle à la misère où un moyen de satisfaire le consumérisme. Une société qui promeut à satiété les minorités sexuelles dites LGBT+ (le + ouvre la porte au grand n'importe quoi, comme la zoophilie ou autres dénaturations de la psyché humaine) ou Queer*², et stigmatisant la "norme" hétérosexuelle du plus grand nombre comme ringarde, conservatrice sinon fasciste. Une société qui comme en Allemagne, prépare les grandes lignes de nouvelles lois sur l’autodétermination, permettant une fois par an à toute personne âgée de plus de 14 ans de faire modifier de manière autonome son inscription de sexe et son nom, les expertises psychologiques et médicales n'étant plus nécessaires. Une société où le mal être est désormais si grand que les valeurs directrices qui rassurent se trouvent dans la prise de tranquillisants et la psychiatrisation ou "thérapeutisation" à outrance. Quant au déséquilibre de la dualité, caractéristique du fonctionnement de la 3-D, il voit la montée continue des personnes "trans", des hommes qui s’identifient comme femmes et des femmes qui s’identifient comme hommes, reflet du chaos et de l’entropie.

* Le mariage est un anneau de pouvoir passé avec les institutions, civiles comme religieuses. Ainsi couples hétéro ou homo sont non seulement amenés à s'affronter sur le terrain sociétal (dualité pour/contre), mais également incités à contracter le pacte de leur asservissement au système. Ils sont tous leurrés et de ce fait piégés au sein de la Matrice asservissante.

Queer est un mot anglais signifiant "étrange", "peu commun" ou "bizarre", utilisé pour désigner l'ensemble des minorités sexuelles et de genres : personnes ayant une orientation sexuelle ou une identité de genre différentes de l'hétérosexualité ou cisidentité.

 

Dernière étape de cet effondrement des valeurs, nous assistons désormais à la montée continue de la promotion dans la société occidentale d’une attitude hostile envers les qualités masculines traditionnelles, qui se traduit par nombre de programmes et mouvements féministes à caractère excessif sinon radical, qualifiés de misandrie (néologisme venant du mot grec misanthrôpia, "misanthropie", et désignant un sentiment de mépris ou d'hostilité à l'égard des hommes motivé par le sexe biologique opposé), avec leurs figures de proue en France comme Pauline Harmange, Alice Coffin ou Sandrine Rousseau (photos 1, 2 & 3 ci-dessous), faisant partie d’un plan machiavélique plus vaste qui consiste à créer une génération d’hommes faibles.

C’est ce que nous voyons également avec le "mouvement gay" et plus globalement LGBTQIA+ - Lesbienne, Gay, Bisexuel·le, Trans, Queer, Intersexe et Asexuel·le ou Aromantique -, sans oublier les thérians (personnes qui s’identifient à des espèces non humaines), qui est un programme que la CIA dans le cadre de son opération Cointelpro a conçu pour créer de l’antipathie, des disparités, et cibler des individus dans le but d’infliger des souffrances supplémentaires*, ou avec la multiplication des réseaux pédophiles/pédocriminels. Il ne s’agit pas en l'occurrence du tout de sexe, ni de plaisir amoureux. C’est une question de pouvoir, celui que l'adulte pervers exerce sur ses victimes enfantines ou adolescentes.

Autrement dit, c'est l’ultime chapitre du programme aliénigène qui asservit l'humanité, lié à cette fin de cyclicité civilisationnelle*². Le corpus prédateur veut le butin humain, la "moisson" des âmes pour l'hybridation nécessaire à sa survie ! Ce n’est plus une question de sexe, mais de domination. Il veut des esclaves, la soumission totale.

En abandonnant progressivement tous les fondamentaux nécessaires au vécu harmonieux, la civilisation s'avance à grand pas vers le collapsus, cette brutale mais nécessaire fin de cycle permettant de nettoyer profondément le prurit de sa corruption endémique. Comme l'a dit l'historien britannique Arnold Joseph Toynbee (1889/1975) au siècle dernier, "Les civilisations meurent par suicide et non par meurtre"...

* Il y a en fait un faible pourcentage d’homosexualité "normale", naturelle. Elle est une variation normale comme d’autres variations dans les différents traits humains, due le plus souvent à des facteurs comme le karma ou une différence dans l’ordre des empreintes ou la distribution des hormones.

Cf. Préambule de compréhension & Prophétie du changement.

 

Réalité contemporaine du mouvement LGBTQIA+

Une enquête publiée en janvier 2024 par le Public Religion Research Institute (PRRI), une organisation américaine de recherche et d'éducation à but non lucratif et non partisane qui mène des sondages d'opinion publique sur une variété de sujets, montre que désormais plus d’un Américain sur quatre (28 %) âgé de 18 à 25 ans, connu sous le nom de "génération Z", s’est identifié comme LGBTQ. Il s’agit du pourcentage le plus élevé jamais enregistré pour une génération par cet institut de sondage, qui a mené ses recherches mi 2023 à partir d'un échantillon de plus de 6 600 personnes. Près de la moitié des membres non hétérosexuels de la génération Z ont déclaré être bisexuels, soit 15 % de l’ensemble des adultes de la génération Z. Les gays et les lesbiennes (5 %) ont également déclaré être bisexuels.

Il en résulte que cette génération Z est beaucoup plus susceptible de s’identifier à autre chose qu’à l’hétérosexualité que les générations précédentes, montrant de manière explicite l'efficcaité de cette programmation des esprits.

 

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Aux origines de l'idéologie transsexuelle

C'est en Europe, au sein de L’Institut für Sexualwissenschaft*, que le médecin allemand Magnus Hirschfeld (1868/1935 - deuxième à partir de la droite sur la photo ci-contre) a étudié la sexualité humaine sur des bases scientifiques et dans sa globalité. Il est l'un des pères fondateurs des mouvements de libération homosexuelle, et a inventé le terme "transsexuel" dans un essai de 1923 intitulé "Die Intersexuelle Konstitution". 

* Cet Institut privé a fonctionné de 1919 à 1933.

 

De Alan Lucille Hart, né Alberta Lucille Hart alias Robert Allen Bamford Jr., ou la première transition masculine transgenre américaine

Alan L. Hart (né Alberta Lucille Hart, également connu sous le nom de Robert Allen Bamford, Jr. (1890/1962) est un médecin, radiologue et chercheur sur la tuberculose (pionnier de l'utilisation de la photographie aux rayons X dans la détection de la tuberculose), écrivain et romancier américain. En 1917-1918, il fut l'un des premiers hommes trans à subir une hystérectomie aux États-Unis, avant de vivre le reste de sa vie en tant qu'homme. Il avait en effet très tôt durant son enfance ressenti le désir intense d'être un garçon

En tant qu'homme réprimé pendant ses années d'école, Hart fut autorisé à écrire des essais sous son nom choisi Robert Allen Bamford Jr., n'utilisant son nom légal que sous la pression de ses pairs ou de ses aînés. Ses premiers travaux portent sur des sujets masculins, même lorsqu'on lui demande d'écrire sur des sujets du quotidien féminin. Lorsqu'on lui demandait d'écrire sur des camarades de classe ou des amis, il les dépeignait comme des combattants ou des joueurs de basket-ball

Lorsqu'il approcha en 1917 un professeur de médecine (Joshua Allen Gilbert) pour réaliser l'opération, il subit d'abord des séances d'hypnose et une tentative de thérapie de conversion, étant considérée comme une femme homosexuelle. Le professeur le considéra comme extrêmement intelligent et pas mentalement malade, mais affligé d'un trouble mystérieux pour lequel il n'avait aucune explication. La chirurgie fut alors réalisée, impliquant notamment l'implantation de tissu testiculaire à la place des ovaires retirés. Il fut déclaré transgenre dans le journal Spokesman-Review le 6 février 1918, avant plus tard de se marier et de créer son propre cabinet médical. Cependant, dans un pays loin d'avoir réalisé sa révolution "woke", il souffrira du processus de harcèlement propre à une société peu ouverte à la différence, entraînant une grande fragilité psychologique qui se traduira par des  déménagements (instabilité), de l'insécurité financière et la faillite de son mariage. Il réussira toutefois à retrouver un équilibre affectif (second mariage) comme professionnel, d'autant que les progrès scientifiques (ainsi la testostérone synthétique) lui permettent de renforcer sa masculinité (pousse de la barbe et développement d'une voix plus profonde).

Il déclara en guise de "testament" dans un discours à des étudiants en médecine : "Chacun de nous doit prendre en compte la matière première que l'hérédité nous a offerte à la naissance et les opportunités que nous avons eues en cours de route, puis élaborer pour nous-mêmes une évaluation sensible de notre personnalité et de nos réalisations".

Il va sans dire que sa carrière de romancier mettra en scène dans des romans courts* des personnages atypiques (un homosexuel harcelé et tourmenté obligé de changer de travail régulièrement à cause de sa sexualité, ou un personnage gay avec un bras manquant, ).

Les recherches sur la vie de Alan Hart se sont écharpées sur le point de savoir s'il devait être qualifié de personne transgenre ou de lesbienne, tandis que des militants et des défenseurs de divers groupes l'ont revendiqué comme représentant. Ainsi, si certains historiens notent que Alan Hart ne s'est jamais décrit comme transsexuel (le terme n'a été utilisé qu'à partir des années 1920 et n'a pas été largement utilisé avant les années 1960), et qu'il n'aurait guère cherché à revendiquer publiquement une identité trans, d'autres soutiennent qu'il est un pionnier trans, qui a vécu après sa transition exclusivement en tant qu'homme, tout comme le font les personnes transgenres modernes...

* Ces nouvelles ont été rassemblées dans The Life and Career of Alberta Lucille / Dr. Alan L. Hart par Brian Booth.

 

Une chose est sûre, même si niée conformément à une décision prise contraire à son identité biologique première, les personnes qui changent de sexe sont dans leur grande majorité condamnées à ne jamais avoir de relations sexuelles vraiment "normales". En pensant qu'elles vont se révéler dans un autre genre, cela n'arrive pas vraiment, et elles finissent par être blessées et frustrées.

 

Du féminisme

Le féminisme est un mouvement évolutionnaire qui a pour objectif d'assurer un équilibre harmonieux et un bien-être social entre les deux sexes. Ce mouvement engagé symboliquement par la femme de lettres devenue politique sous la Révolution française Marie Gouze dite Olympe de Gouges (1748/1793 - image 4) devient de plus en plus une mode, une attitude, un style de vie. Toutefois, sa popularité grandissante en tant qu’obligation morale, éthique, aveugle la société face à ses inclinations discriminatoires renversées (ainsi la parité dans les équipes de direction*) par ses promotrices qualifiées d'enragées et radicales tant leurs diatribes haineuses à l'encontre du sexe mâle sont excessives et disproportionnées. Leurs lobbys ne font en fait que combattre le feu avec le feu, en donnant la ridicule impression que le combat nourri d'incantations verbales violentes va rééquilibrer la balance. C'est tout simplement oublier que le féminisme sain car responsable est de promouvoir les différences et l’importance des deux sexes, non d'adopter un langage genré pour réformer les  dictionnaires et forcer une syntaxe ridicule.

* Une règle qui priorise la femme n’est pas mieux que d’avoir un homme qui priorise un homme parce qu’aucune règle l’en empêche.

 


Préférence sexuelle : de son empreinte ou imprégnation

La majorité des individus reçoivent l’empreinte sexuelle de la mère dès la première semaine. Les bébés qui ne la reçoivent pas, parce qu’ils sont abandonnés pour adoption ou qu’il existe une circonstance exceptionnelle, conserveront à jamais ce manque puisque rien n’a été programmé. L’enfant ayant besoin de savoir que l’Univers est un lieu de créativité et d’abondance, cette impression est constituée dans les six premiers mois, période pendant laquelle les parents doivent répondre instantanément, voire anticiper les besoins du nourrisson, même celui de ne pas être seul.
De manière générale, l’empreinte qui détermine la sexualité d’un individu découle de l'interaction agréable avec un modèle adulte à un moment ou pendant le temps où la fenêtre d’imprégnation correspondant est ouverte, soit généralement dans une fourchette entre 18 mois et 2,5 ans, et ce conjointement à la libération d’hormones et de substances chimiques dans le cerveau. L’enfant est en effet sensible aux substances de type phéromone (substance chimique comparable aux hormones) pouvant activer la fenêtre d’imprégnation, les molécules chimiques produites par un organisme induisant un comportement spécifique chez un autre membre de la même espèce. Cette partie du processus est "programmée", c'est-à-dire que les filles et les garçons sont programmés pour être attirés par un homme ou une femme*. Comme en cas d'interaction désagréable il en résulte une perturbation, cela signifie qu’on peut rendre une personne homosexuelle par ce biais. Dans tous les cas, c’est une chose interactive qui lance le processus, programme le circuit, etc..

Si l’homosexualité, cause "marginale" quoi qu'en constante expansion (nombre de portails organiques sont programmés en cette fin de cyclicité civilisationnelle pour s'incarner dans un éventail de sexualités diverses destiné à accentuer le contexte de décadence générateur du chaos sociétal, qui est un ajustement délibéré avec l’humanité comme reflet de la mentalité Service de Soi de 4ème dimension de densité), est de ce fait en général déterminée lors de la phase d’imprégnation précoce, d'autres raisons interviennent, comme les influences des vies passées et, plus rarement, la génétique. Chez certains individus également, la séquence des phases d’imprégnation est différente ou non synchrone du schéma de la majorité*². Dans un sens, c’est génétique, bien que toutes ces personnes ne deviennent pas forcément homosexuelles. En tout état de cause, même si par le manque d’influences appropriées le développement de la sexualité n’est pas celui de la majorité - la configuration hétérosexuelle -, cela ne signifie en aucune façon que les homosexuels humanoïdes (dotés d'une âme) ont un quelconque obstacle à la croissance spirituelle.

Enfin, il est à noter que la présence du désherbant atrazine dans l'approvisionnement alimentaire contribue à l'augmentation du nombre d'enfants et d'adolescents qui se déclarent transgenres ou "queer" (en français "étrange", "peu commun"), mot utilisé pour désigner l'ensemble des minorités sexuelles et de genres ayant une orientation sexuelle ou une identité de genre différentes de l'hétérosexualité ou la cisidentité (genre ressenti d'une personne correspond au genre assigné à sa naissance). L'atrazine est en effet la substance active d'un pesticide appartenant à la famille chimique des triazines, avec comme effet de bloquer la plastoquinone, un transporteur d'électrons et de protons du système de photosynthèse, inhibant ainsi le transport d’électrons...
* Si nous avons une expérience agréable avec un membre du sexe opposé pendant ce moment d’imprégnation, cela configurera notre attirance pour les membres du sexe opposé.

En cas d'ouverture plus tardive de la fenêtre d'imprégnation, le "risque" est par exemple que le père, qui s’intéresse alors davantage au garçon et commence à le traiter "comme un homme", le réprimande avec des phrases du genre "tu pleures comme une petite fille" ou "ne fais pas la petite fille" etc. Il en résulte pour la production des substances chimiques qu’être traité, raillé ou moqué de cette façon, amène l'enfant à penser qu'il est une petite fille...

 

Les dessous de la promotion de la diversité à la sauce Disney

Des documents internes de l’entreprise Disney divulgués par le magazine états-unien City-Journal ont révélé qu’une partie du programme de formation à la "diversité et à l’inclusion" destiné à ses employés comprenait des instructions sur la façon de "Réimaginer demain", en l'occurrence sans homme blanc. Car "Le privilège blanc" selon Disney est une pandémie dans le pays, devant être éradiqué par l'"égalité". Tout naturellement, les États-Unis eux-mêmes pour Disney sont fondamentalement racistes et doivent être réorganisés.

C'est le module intitulé Allyship for Race Consciousness ("L'allié de la conscience de la race") qui parle du "racisme systémique" et des "microagressions" qui profiteraient aux Blancs et nuiraient aux non-Blancs. Dans cette section, les employés blancs ont pour instruction "d’examiner et de travailler sur les sentiments de culpabilité, de honte et de défensive pour comprendre ce qui leur est inférieur et ce qui doit être guéri". Les employés blancs sont également mis au défi par Disney de se débarrasser de leurs "idéologies et rhétoriques daltoniennes", car la couleur de la peau fait désormais un. Même demander à un employé noir ou brun de Disney d’expliquer pourquoi il est contrarié par quelque chose est interdit dans la mesure où il est "émotionnellement éprouvant" pour une personne noire ou brune "de vous éduquer" sur les raisons pour lesquelles elle est en colère et a l’impression que tout ce qui l’entoure est raciste. En conséquence, Disney affirme que l’égalité de traitement, objectif qualifié de noble, doit être rejetée au profit de l’égalité des résultats, signifiant ainsi qu’une personne noire paresseuse qui ne fait pas son travail doit être traitée de la même manière qu’une personne blanche travailleuse qui reprend son travail.

Dans une autre section des documents, Disney exhorte ses employés à participer au "21-Day Racial Equity and Social Justice Challenge" parrainé par Walt Disney Imagineering. Les participants à ce défi sont encouragés à remplir un questionnaire d’auto-évaluation pour déterminer leur niveau de "privilège". Des affirmations telles que "Je n’ai jamais été violée" et "Je n’ai jamais eu de trouble alimentaire" font partie des données utilisées pour évaluer ledit privilège.

Une autre section intitulée "103 choses que les Blancs peuvent faire pour la justice raciale" encourage les Blancs à adopter les insignes du mouvement Black Lives Matter ("Les Vies Noires Comptent") et à promouvoir le mouvement Defund the Police ("définancer la police"), recommandant également aux Blancs de "décoloniser leur bibliothèque" sans donner plus de détails sur ce que cela implique.

En fait, Disney ne fait que rajouter un échelon de plus à la promotion des enfers sur terre, la société influençant activement les enfants à embrasser le satanisme, la pédophilie, la sorcellerie et d’autres activités démoniaques !

 

Perversion démoniaque

La catholique romaine autoproclamée Nancy Patricia Pelosi (photo 1), femme politique américaine membre du Parti démocrate et ex présidente de la Chambre des représentants des États-Unis depuis 2019 jusque début 2023 (elle le fut également de 2007 à 2011) et siégeant depuis 1987 à la législature fédérale pour la Californie, a déclaré à un groupe de drag queens* lors d’une apparition en juin 2022 dans l’émission de série de TV réalité "RuPaul’s Drag Race"*² que le fait de se travestir et d’accomplir des actes vils à connotation sexuelle est vraiment "ce qu’est l’Amérique" ! Elle a vivement remercié les participants pour "la joie et la beauté" qu’ils "apportent au monde", rajoutant que leur liberté d’expression de leur identité en drag est ce qu’est l’Amérique... Dans un autre tweet, Pelosi s’est épanchée encore plus sur la façon dont elle soutient les hommes travestis, affirmant qu'"ils connaissent leur pouvoir." L’une des raisons pour lesquelles Pelosi a décidé d’apparaître dans cette émission en 2022 est qu’elle pense que c’est un geste important pour les prochaines élections de mi-mandat prévues fin 2022, la "drague" des communautés minoritaires étant comme d'habitude de circonstance dans les manœuvres politiciennes rances.

Beaucoup d'Américains se sont indignés sur le fait que les drag queens sont maintenant ouvertement promues par le pouvoir politique, la liberté d’expression ne signifiant aucunement que les représentants du gouvernement puissent promouvoir la perversion et la débauche. "Rien de surprenant ici, puisque sa promotion du meurtre de bébés a déjà montré qu’elle n’a aucune morale", a ajouté une autre personne à propos du manque de moralité de Pelosi.

A noter la sortie de Drag Race France fin juin 2022 sur les écrans de la chaîne de service "public" France TV Slash consacrée à la jeunesse avec des programmes pour les jeunes adultes, avec une diffusion exceptionnelle sur sa grande soeur France 2, destinée à accentuer la notoriété à l'international des dix drag-queens participantes (photo 8) et de mettre en avant des sujets qui parcourent la communauté LGBT.

* Une drag queen est une personne, généralement de genre masculin, qui construit une identité féminine volontairement basée sur des archétypes de féminité et de rôles de genre de façon temporaire.

Dans cette série de télé-réalité, des hommes déguisés en versions exagérées de femmes s’affrontent pour gagner des prix et le titre de "America’s Next Drag Superstar".

 

Le grooming à la sauce Disney

La tendance depuis quelques temps chez Disney est d’intégrer des scènes et des thèmes homosexuels dans les films pour enfants, puis de perdre quelques centaines de millions de dollars lorsque le film fait un flop sur grand écran. C’est ce qu’on appelle le "grooming", du verbe to groom signifiant préparer, façonner, toiletter. Qu’il s’agisse de drag-queens en string qui twerkent pour les enfants ou d’un couple gay qui s’enfonce sa langue dans la gorge, le grooming bat son plein pour les enfants de tous âges. Ainsi, dans son nouveau film Strange World du réalisateur Don Hall sorti en novembre 2022 (photo 9), les personnages principaux sont deux garçons gender-fluid qui sont amoureux l’un de l’autre.

Mais c’est un méchant trou noir* pour Disney où les gros sous disparaissent, ce dernier film de propagande s’étant enfoncé dans un sombre trou de 147 000 000 $ de pertes et de regrets, sans compter les coûts de promotion également engloutis. Il en a été de même pour les studios d'animation Pixar de Disney, qui ont supprimé 75 emplois dont les principaux membres de l'équipe du film Buzz lightyear ("Buzz l'Éclair") de 2022, sa sortie ayant été bloquée dans 17 pays en raison de sa représentation d'un baiser homosexuel. La réalité est que ces intrigues sexuelles tissées dans les films par Disney pour préparer les enfants à penser au sexe, aux partenaires sexuels et aux transsexuels en permanence échouent lamentablement.

Qui plus est, en plus d’imposer tout ce qui est gay aux enfants, Disney aime également promouvoir le culte satanique où Satan est personnifié sous la forme d’un homme (voir sa sitcom animée pour adultes intitulée Little Demon - photo 10 -) qui met des adolescentes enceintes, les abandonne et revient dix ans plus tard pour voler l’âme de "son" enfant. Aussi, si certains parents inconscients pensent qu’ils soutiennent les droits des homosexuels en emmenant leurs enfants voir ces films, ils ignorent que tout cela fait partie d’un complot visant à priver les enfants des valeurs familiales, de l’éthique, de la morale. Cela transforme les générations futures en électeurs "woke" - les soi-disant éveillés - qui pensent que tout ce qui compte, c’est le programme libéral extrême, qui inclut la prise de médicaments induisant le cancer et la chirurgie mutilante des organes génitaux pour "changer de sexe". Ce n'est qu'une marmite empoisonnée où les esprits des enfants sont déformés, le seul objectifs étant d'alimenter un agenda pervers.

* Un trou noir dans l’espace est un endroit où la gravité est si forte que même la lumière ne peut s’en échapper et où l’espace-temps se déforme. À Hollywood et chez Disney, un trou noir est un endroit où l’argent est investi dans un film sur le sexe et la confusion des genres dans le but d’inciter les enfants et les adolescents à entreprendre une chirurgie de changement de genre qui les laisse définitivement déformés.

 

Cette évolution du brouillage de l'identité sexuelle naturelle, car calée sur les polarités/principes opposés et complémentaires de la Nature, est tout particulièrement explicite dans un nouveau rapport des Centres de contrôle et de prévention des maladies (CDC) paru en 2023 qui révèle qu'un quart des lycéens américains s'identifient comme homosexuels, bisexuels ou "en questionnement"*, un chiffre qui a plus que doublé depuis 2015. Les filles sont plus susceptibles que les garçons de se classer dans ces trois catégories. Le CDC a noté que cette augmentation "pourrait être le résultat de changements dans la formulation des questions", expliquant que des réponses telles que "Je ne suis pas sûr de mon identité sexuelle" ou "Je décris mon identité sexuelle d'une autre manière" n'étaient pas incluses dans ses questionnaires précédents.

Il en découle de nouvelles situations pour le traitement sociétal approprié des individus concernés. Ainsi dans le centre pénitentiaire espagnol d’Alicante Cumplimiento, connu sous le nom de prison de Fontcalent, où un détenu s’identifiant comme une femme a mis enceinte une codétenue. Selon le récit confirmé par plusieurs sources pénitentiaires, le détenu purgeait une peine dans le module masculin de la prison depuis plusieurs années, mais au cours de son séjour, il a commencé à s’identifier comme une femme. Sur les documents, il continue d’apparaître comme un homme et n’a jamais subi de traitement hormonal, et encore moins d’intervention chirurgicale. Il a simplement réaffirmé qu’il se percevait comme une femme (self-id) et a choisi un nom féminin. Le moment venu, il a décidé de demander son transfert, qui a été autorisé. Une fois dans l’aile des femmes, selon plusieurs sources pénitentiaires, il a entamé une relation avec l’une de ses compagnes de cellule qui, peu de temps après, est tombée enceinte. Bien que la prisonnière ait d’abord envisagé de mettre fin à sa grossesse, elle ne l’a pas fait. Le personnel pénitentiaire se dit dans un "vide juridique" car, bien que la loi sur les transgenres soit en vigueur depuis des mois, il n’y a toujours pas d’instructions sur la manière dont elle doit être appliquée dans les prisons.

De son côté, le système de santé californien, financé par les contribuables, couvre désormais les changements de sexe (thérapie hormonale et chirurgie de transition de genre) des immigrés clandestins, grâce à une loi récemment signée par le gouverneur Gavin Newsom, le coût du programme devant au global dépasser les 3 milliards de dollars pour environ 700 000 immigrés clandestins qui verront désormais leurs soins de santé couverts par le système d’assurance Medi-Cal. 

Et que penser du tweet en novembre 2023 de l'honorable Peter Singer, professeur de bioéthique au Centre universitaire des valeurs humaines de Princeton dans le New Jersey aux Etats-Unis, considérant que l’idée que des humains aient des relations sexuelles avec des animaux était "stimulante" tout en se décrivant comme un militant des droits des animaux ?

* Les individus dont l'identité sexuelle psychique ne correspond pas au sexe biologique sont qualifiés de "transgenre". A noter que les greffes d’utérus pour des hommes biologiques s’identifiant à des femmes a un prix élevé, l'opération se situant entre 100 000 et 300 000 dollars. De leur côté, des médecins pionniers de la transplantation d’utérus composant l'équipe de l’université de l’Alabama à Birmingham (USA) pensent qu’ils sont sur le point de permettre aux femmes transgenres de donner naissance à leurs propres enfants. 

 

Dérives de la "bien" pensance éducative

Josh Alexander, un élève de 16 ans en 11e année à la St. Joseph's Catholic High School au Canada, a été suspendu en février 2023 pour avoir exprimé ses objections religieuses et morales à la politique de l'école concernant les toilettes pour personnes transgenres. Joseph's Catholic High School à Renfrew en Ontario (province du Canada anglophone située dans la région centrale du pays), permet en effet aux hommes s'identifiant comme des filles transgenres d'utiliser les salles de bain réservées aux femmes. Alexander avait été suspendu pour la première fois en novembre pour avoir protesté contre la politique de l'école concernant les transgenres, au motif qu'il faisait de l'"intimidation". Lorsqu'il a tenté de se rendre en classe début février, il a été à nouveau suspendu et arrêté pour intrusion. Il a depuis été libéré, mais il lui est toujours interdit de suivre les cours jusqu'à la fin de l'année scolaire...

De son côté, le lycée Oak Park de Kansas City dans l'Etat du Missouri aux USA a couronné en septembre 2023 un homme biologique reine du bal de fin d’année qui a ainsi ravi la couronne à quatre femmes biologiques qui étaient en lice. Ce lycée fait partie des écoles NKC (North Kansas Cities) qui affichent un  soutien continu à l’agenda LGBT. Leur position radicale d'inclusion à tout prix constitue un endoctrinement des enfants, les conduisant de ce fait à placer certaines populations d’élèves au-dessus des autres. Tout l'inverse de la volonté affichée !

 

 Contamination parisienne

Une escort girl transsexuelle, répondant au pseudonyme "Icy Diamond" (Cf. photos 11 & 12), s'est vantée en mars 20323 d'avoir racolé un client lors de la Nuit des fiertés, un évènement LGBT dédié à la culture queer, accueilli par la mairie de Paris à l'Hôtel de ville. Elle s'est affichée sous les dorures dans des poses pour le moins provocantes, avant de publier les clichés sur les comptes de ses réseaux sociaux en faisant référence à un célèbre tableau du peintre Eugène Delacroix. Son accroche est "Comment j'ai réussi à transformer l'hôtel de ville de Paris en strip-club & bordel géant" !

Comble de l'outrance, elle a affirmé vouloir diffuser ses ébats sexuels qu'elle aurait filmés dans les toilettes de la mairie, considérant qu'au regard de la loi française, la Mairie de Paris s'est rendue coupable de proxénétisme.

Elle n'en est pas à son premier coup médiatique, ayant été invitée précédemment sur le plateau de l'émission "Touche pas à mon poste" où, dans une vidéo devenue virale, elle repoussait un manifestant venu lui toucher la poitrine alors qu'elle défilait seins nus avec les opposants à la réforme des retraites, et argumentant "En tant que femme trans et pute, mon corps est politique et je m'en sers comme outil de militantisme".

 

Contamination des institutions en charge de la sécurité

La Central Intelligence Agency (CIA) des États-Unis a pris un virage "woke" après avoir publié sur les réseaux sociaux en juin 2023 une célébration de ce qu'elle a appelé la "riche histoire" de l'agence en matière de soutien aux questions LGBTQ. "Le mois de la fierté est l'occasion pour nous tous, à l'Agence, de rendre hommage à la riche histoire, à la communauté et aux contributions à la mission de nos officiers LGBTQ+" figurait dans un tweet publié jeudi par l'agence gouvernementale américaine.

Le message sur le réseau social comprenait également une image du siège de la CIA à Langley, en Virginie, avec les couleurs de l'arc-en-ciel et la fusion de l'acronyme "CIA" avec le mot "Pride" (fierté). Il ajoutait que le terme "WELCO-ME", qui représente "Wellness, Equity, LGBTQ+, Community, Openness and ME" (bien-être, équité, communauté LGBTQ+, ouverture et moi) constituait le thème de l'organisation pour le mois de la fierté.

 

Les dérives ne cessent de se multiplier, des enfants de quatre ans d’une école maternelle anglaise ayant par exemple reçu un livre sur la fierté homosexuelle contenant des illustrations d’un transsexuel défiguré chirurgicalement et d’un homme âgé portant des vêtements fétichistes (au moins un enfant a été retiré de l’école par ses parents après que le personnel a refusé de s’excuser), ou l'exposition d'enfants sans consentement parental dans des livres se retrouvant à des manifestations type "Grandad’s Pride" dans des illustrations d’hommes "partiellement nus" en "tenue de bondage en cuir" (fétichisme/BDSM).

Il est cependant à noter une réaction de nombres d'Etats occidentaux à cette dérive malsaine de la notion biologique du genre sexuel, la Norvège, la Finlande, la Suède, les Pays-Bas et le Royaume-Uni ayant désormais interdit la chirurgie de transition de genre pour les mineurs. De même, les athlètes transgenres ne pourront plus représenter la Grande-Bretagne ou l’Angleterre dans les courses internationales féminines, seuls les athlètes "assignés de sexe féminin à la naissance" peuvant concourir dans la catégorie féminine, les rameurs transgenres ayant quant à eux la possibilité de concourir dans une catégorie "ouverte" (les organisateurs d’événements poourront choisir d’offrir une catégorie "mixte" si 50 % des membres de l’équipage sont nés de sexe féminin). Toutefois, ces dernières années, le Comité international olympique s’est éloigné des directives centrées sur la testostérone et, depuis 2021, il interdit l’exclusion des athlètes de la compétition sur la base d’avantages anatomiques présumés.

 

Par les directives effarantes de l’OMS et de l’ONU pour les écoles maternelles et primaires est ainsi favorisée la dissolution des valeurs familiales et sociales. A travers la consommation de pornographie, les enfants et les adolescents sont exposés, impuissants, à des conséquences fatales telles que l’insensibilité mentale. En effet, la question de la consommation de pornographie porte avant tout sur la nature même du cerveau et la mutation qu’il subit sous son effet, entendant que cette question n’est ni morale ni religieuse.

En effet, la conduite addictive ne recoupe pas uniquement les addictions aux substances psychoactives comme le tabac, l’alcool ou la drogue, mais inclut également les addictions aux comportements comme le jeu. Il en découle que ce n’est pas tant la substance ou le comportement qui importe que les réactions chimiques responsables de l’addiction ayant cours au sein du cerveau. Celui-ci fait l'objet de neuroplasticité, l’expérience vécue étant à même de modifier la structure cérébrale tout au long de la vie. Le mécanisme de l’addiction a lieu au niveau de la région cérébrale appelée "circuit de récompense", zone primitive qui a pour fonction de motiver l’être humain à accomplir les actions nécessaires à sa survie, dont la reproduction. Le désir d’accomplir ces actions entraîne la production de dopamine, souvent qualifiée de "molécule du plaisir", dont le circuit de récompense raffole. La pornographie dérègle complètement ce système de dopamine, rendant progressivement le système de récompense insensible aux sources naturelles de plaisir.

C'est ainsi que les scientifiques ont observé sur les scanners cérébraux une sensibilisation du cerveau qui correspond à un conditionnement Pavlovien à la pornographie, le désir de regarder un film X entraînant une production anormale de dopamine, générant une forte envie masturbatoire et renforçant à chaque consommation l’association dans le cerveau pornographie – plaisir. De la même façon, il entraîne un phénomène de désensibilisation.

Cf. Livres de l'auteur expert en neurochimie de l'addiction Gary Wilson In Your Brain on Porn ("Le Porno dans la tête") et du psychiatre canadien Norman Doidge "Les étonnants pouvoirs du cerveau".  

 

Le point G

Les sentiments - l’amour, la haine,... - ne sont pas en nous. Ils sont provoqués intentionnellement de l’extérieur par la manipulation de nos pensées. Nous croyons pourtant que c’est nous qui en sommes la cause. Il en est ainsi pour le sexe qui, comme l’argent, l’éducation, le religieux, la politique, le divertissement sportif et musical, constitue l’outil de manipulation et de contrôle principal du système prédateur asservisseur orchestré par les élites noires qui nous gouvernent. La progression exponentielle de la pornographie, par la télévision, internet et les réseaux sociaux, est récente, ayant démarré dans les sixties avec la révolution sexuelle libertaire. Les plus jeunes sont naturellement touchés, et très tôt désormais dans les écoles la question est abordée sous couvert de pédagogie préventive. Le sexe doit tant occuper nos esprits que nous devons le voir partout, en parler et y penser tout le temps.

Or, tout est faux. Cette quête du dit plaisir est "programmée" (mind control, "contôle mental"). Le "point G" est en réalité entre le compas et l’équerre, les outils de la corruption des consciences de Qui Nous Sommes vraiment*. Si la reproduction est naturelle, aucun chien ne se masturbe pour autant devant Playboy magazine (fin de parution au printemps 2020) ou Lui magazine. Notre fonction d’esclave de la Matrice est de nous divertir pour éviter que nous nous réveillions, et de nous reproduire pour faire de nombreux petits singes, moutons, abeilles et marionnettes, parmi lesquels les élites sélectionnent les meilleurs pour créer fusées, bombes, IA (Intelligence Artificielle) ou ordinateurs. La mise en avant de l’homosexualité est un programme bien rôdé depuis l’Antiquité et la manipulation du zodiaque, promouvant Jupiter et Ganymède comme le couple pédérastique divin*², et ce pour créer une opposition viscérale avec le camp d'en face, les gardiens du "sexuellement correct"...

C’est désormais l’œuvre d’Hollywood, et sa baguette/braguette magique druidique Panoramix comme Panorama en 16/9ème, incrustant subtilement le 69 dans la psyché... Les "morts-vivants" peuvent ainsi consommer goulûment leur encyclopédie hypnotique du sexe.

* Cf. La nouvelle religion universelle.

Cf. Le Judaïsme décodé.

 

Entre le compas et l'équerre, ou le culte de Satan

Selon Héléna Blavatsky*, haut dignitaire de la Franc-maçonnerie et auteure de la "Doctrine secrète" (The Secret Doctrine), ouvrage de référence maçonnique, Satan est le ministre de Dieu, le Grand commandant, le seigneur des 7 maisons d'Hadès, l'Ange des mondes manifestés signifiant que l'Enfer est notre globe terrestre...

Cette religion sombre des gens célèbres et des politiciens voit dans son rituel le port du tablier maçonnique (photo 1), qui cache les organes génitaux, véritable siège de Dieu (Lucifer s'entend). Ceux-ci sont les outils qui constituent le véritable fondement du rite maçonnique, celui-ci étant dans sa raison d'être profonde un culte sexuel ! L'oeil unique de la Franc-maçonnerie est la force mystique du pénis d'où jaillit la vie. Le découpage de l'équerre et du compas (photo 2) met en évidence la femme en position du missionnaire (bas de la photo 3) que couvre l'homme (photo 3 cerclée de rouge), l'oeil entre les deux (photo 4) symbolisant la force de vie qui jaillit par le sperme prodigué. Et la forme de l'oeil est identique à celle de l'anus, véritable porte vers l'enfer nauséabond...

Sans oublier la symbolique phallique des obélisques présentes dans toutes les capitales et grandes villes du monde (photos 5 & 6), rappelant que pour les francs-maçons de haut degré, l'univers n'est qu'un vaste orgasme cosmique, un seul acte sexuel continu.

* L'occultiste Yelena Petrovna Blavatskaïa, dite Helena Blavatsky (1831/1891), fut la cofondatrice de la Société théosophique et théoricienne de la "théosophie" moderne, doctrine religieuse ésotérique.

 


Des femmes fontaines

Les femmes peuvent éjaculer avec la stimulation vaginale, mais également par la stimulation du clitoris seule, l’éjaculation féminine étant composée d’un liquide expulsé par l’urètre (en l'occurrence deux petits orifices situés près du méat urinaire) quand la femme est sur le point d’avoir un orgasme ou qu’elle en a un. La plupart des femmes éjaculent sans s’en rendre compte, parce que l’émission de liquide est très faible. Toutefois, chez d’autres, le liquide est vraiment abondant. On les appelle les "femmes fontaines". Les chercheurs ne s’entendent pas sur la composition de ce liquide libéré par les femmes lors de l’éjaculation. Plusieurs croient qu’il est principalement composé d’urine très diluée , tandis que d’autres pensent que c’est un mélange d’urine diluée et de sécrétions des glandes de Skene* (dites aussi glandes para-urétrales ou glandes para-uréthrales), qu’on appelle aussi la "prostate féminine". Ce liquide s’apparente au liquide pré-éjaculatoire chez les hommes.

* Les glandes de Skene ont été décrites par le chirurgien français Alphonse Guérin (1816-1895) et par le gynécologue écossais Alexander Skene (1838-1900) qui leur a donné leur nom.

Cf. Travaux du psychosociologue et écrivain français Jacques Salomé dans son livre "L'effet source - Rencontres avec des femmes fontaines" et le livre "Les fables de la femme fontaine" de l'auteur Philippe Huvet.

 

Du centre énergétique sexuel

Le centre sexuel est actionné par le plexus solaire, le centre de l'énergie du corps humain associé au mental, à son expression*. C'est ce centre sexuel qui est principalement drainé par les "Portails Organiques" (organic portals), les humains sans âme*², parmi lesquels se trouvent nombre de psychopathes et prédateurs sexuels. Autrement dit, cela signifie que la force de vie énergétique des portails organiques se recharge à partir de ce centre sexuel, centre supérieur de l’énergie créatrice, leur centre émotionnel inexistant n’étant pas bloqué comme pour les humains-âmes pour se reposer durant le sommeil (l'énergie du centre sexuel est ainsi plus accessible aux autres centres supérieurs appelés cœur, gorge et coronal). Il en découle que chez un individu de la variété organique, ces centres énergétiques dits supérieurs sont à même de voler cette énergie d'êtres dotés d’une âme. C’est cela qui leur donne la capacité d’imiter les êtres dotés d’une âme, car les êtres dotés d’une âme inconscients par ignorance perçoivent un miroir de leurs propres âmes quand ils attribuent des "qualités d’âme" à ces êtres qui en sont dépourvus. Ceci entend que les gardiens de la Matrice (entités involutives) vont inévitablement programmer dans nos rencontres amoureuses au cours de notre incarnation terrestre nombre de leurres, le/la partenaire (conjoint, amant, maîtresse) dont nous sommes naïvement sous le charme érotique comme psychologique s'avérant être la plupart du temps ni plus ni moins le moyen consistant à nous sous-tirer les sentiments et autres extases physiques dont ils se nourrissent. Seuls le discernement comme la perspicacité acérés permettent de les identifier, ce qui la plupart du temps est hors de portée de l'être humain piégé par son émotionnel, son déni, sa culpabilité et sa quête puérile d'idéal (le syndrome du prince charmant ou de la princesse féérique).

* Cf. Fonctionnement du corps biologique.

Cf. Les acteurs de la Matrice falsifiée.

 

De l'orgasme

La nature de l'orgasme, production extatique du rapport sexuel, découle des propriétés intrinsèques de la gravité, qui est le principe liant entre matière et antimatière. Autrement dit, la gravitation lie tout ce qui est physique avec tout ce qui est éthérique (métaphysique) au travers des ondes instables de gravité, celles-ci permettant d'accéder à d’autres dimensions de densités. C'est pourquoi nous disons bien innocemment en cas d'orgasme atteindre le "7ème ciel", alors que la dimension atteinte est toute autre !

Compte-tenu de la loi de polarité en vigueur, qui détermine le fonctionnement du Vivant, la gravité est un principe d'unification entre les deux flux énergétiques électromagnétiques : celui consistant à rassembler, celui consistant à disperser. Tout dépend de l'état de conscience du sujet, en l'occurrence l'être humain. Lorsque celui-ci polarise, c'est-à-dire adopte des pensées liées à ses croyances (politiques, religieuses, philosophiques, scientifiques,...), il rassemble, amasse, concentrant par ses pensées sa vision du monde, et créant une réalité forcément restreinte, partielle. Au contraire, lorsqu'il ouvre sa pensée à sa nature multidimensionnelle, il disperse sa vision du monde dans l'éther, lui permettant d'embrasser la Nature de manière large, illimitée ! Telle est alors sa nature, "Service de Soi" lorsqu'il rassemble, "Service d'Autrui" lorsqu'il disperse. "Donner" et être ouvert, c’est "disperser" de la gravité. "Prendre" ou être dans un système fermé, c’est "assembler" de la gravité.

Cette règle de fonctionnement physique appliqué à l'orgasme voit le corps humain épuisé à son issue. L'énergie s'en est allée, aussi bien dans le/la partenaire que dans l’éther. Et comme nous sommes sous contrôle des entités prédatrices de la 4ème dimension, autant dire que nous les avons bien nourries* ! Et c'est pourquoi le sexe est tellement encouragé et répandu dans notre société... En nous y adonnant en toute inconscience, nous poursuivons notre emprisonnement, l’expérience orgasmique étant un leurre pour nous garder sous contrôle dans cette 3ème densité de réalité. Tout au contraire, en le comprenant, nous pouvons partager l'expérience de manière évolutive avec le/la partenaire (effet-miroir), ceci supposant le respect et la confiance mutuels. Nous cessons ainsi de nourrir inconsciemment la prédation !

Il va sans dire qu'il n’y a pas d’orgasme cosmique préservant l’existence des mondes comme l’illustre la copulation éternelle de Vishnu et Shiva dans l'enseignement des religions orientales avec ces idoles sculptées dans cette posture (Cf. image), une énième rationalisation leurre pour perpétuer l’illusion des adeptes gogos...

* Le pionnier états-unien de la médecine "énergétique" le Dr A. Wayne Cook a découvert en faisant de la radiesthésie qu’après l’orgasme, le corps humain avait le même "taux vibratoire" qu’un cadavre. En d'autres termes, un beau soutirage d’énergie !

 

Manipulation de l'amour érotique

Le philosophe italien Bruno Giordano* (1548/1600 - photo 1), connu également comme astronome et pour avoir été condamné comme hérétique par l’Église romaine aux flammes du bûcher au Campo dei Fiori à Rome, a produit plusieurs thèses sur l’amour érotique et la sexualité pouvant être traduites en pouvoir matériel et spirituel, travaux "révolutionnaires" tant il prenait une position critique envers les dogmes de l’église*². Ce n'est pas pour rien que l’intelligentsia européenne l’a proclamé "plus grand martyr de la science moderne".

Il était convaincu que l’univers entier était retenu dans son ensemble par l’amour érotique, l’Amour dans toutes ses déclinaisons gouvernant le monde depuis la nature physique jusqu’aux ciels métaphysiques, depuis la sexualité jusqu’à l’amour sincère des mystiques. Il étendit ainsi le terme Éros (l’amour érotique) pour englober en dernière instance toutes les émotions humaines, le décrivant comme la force première qui lie, ou plutôt qui "enchaîne" de manière magique ("la magie" est à entendre comme "l'âme agit") grâce à l’affect, aux humeurs. S'il conduit la personne aimée à être "enchaîné" à l’amant(e) par ces subtils fils semi-physiques, le contraire ne s’applique pas obligatoirement, l’amant(e) ne ressentant pas lui-même d’amour.

Ainsi l’utilisation de la "fureur" ou de "l’amour cosmique" permet de fusionner l’effet du lien énergétique réalisé par le sorcier à des "talismans", qui, formant un pont entre les Intelligences interdimensionnelles et l’entité individuelle du sorcier, permet de produire des effets macrocosmiques - projection d'illusions - pouvant "brouiller" l’esprit de quelqu’un pour altérer ses décisions.

* Bruno, qui passa quelques années à la cour d’Elizabeth I d'Angleterre, a pu être le modèle du célèbre "Docteur Faustus" du dramaturge anglais Christopher Marlowe (1564/1593), car son nom initial était Philotheus Jordanus Brunus Nolanus… Christopher Marlowe a été assassiné en 1593 et Bruno a été arrêté par l’Inquisition puis brûlé vivant en 1600.

Cf. De vinculis in genere ("Sur les forces de liaison en général"), 1591.

 

Cette définition de l’amour comme une "chaîne" lui permit même de voir la haine comme une façon d’exprimer l’amour érotique, puisque celui ou celle qui hait est juste "enchaîné(e)" à la personne haïe par ses émotions, comme l’aimé est à l’amant.

Selon Bruno, "la capacité d’enchaîner" étant aussi la caractéristique principale de la magie, le magicien se comporte donc en escapologiste, soit quelqu'un pratiquant l’art de l’évasion lorsqu’il lie à lui sa "victime" par l’amour, ayant alors recours aux "êtres invisibles ou démons" (la force prédatrice archontique ou Intelligence interdimensionnelle que sont les anges, démons, dieux, djinns, "créatures", ou quoi que ce soit d’autre) contactée par le sorcier/magicien en échange d’information ou de pouvoir opératif. Dans la mesure où plus que toute autre chose l’amour relie les gens, cela lui donne quelque chose de démoniaque lorsque c’est exploité par un partenaire au détriment de l’autre. C'est pourquoi les platoniciens appelaient l’amour le "Grand Démon", daemon magnus, sa dénaturation étant le fruit de la puissance des pulsions non conscientisées.

C'est ainsi que, dans une société à dominante patriarcale, la plupart des femmes sont plus ou moins malheureuses dans leur vie familiale. Il en résulte que, par leur instinct maternel très puissant (l’instinct de procréation d’une femme est aussi puissant que l’instinct d’un homme de "s’en taper une"), nombre d'entre elles cherchent à tomber enceinte afin de "coincer" un garçon dans une relation génératrice de responsabilité ou d'obligation, ceci n'étant bien sûr pas conscientisé. C’est ainsi la formation d'un couple "parfait", de cette dimension de réalité limitée s'entend, puisque c’est ce qui assure la continuité de l’espèce et qui va permettre à l'anneau de pouvoir constitué de générer les affres psycho-émotionnelles - les turbulences du couple -, le vampirisme énergétique dont raffole le système prédateur de 4ème dimension...

Cf. Travaux de l'historienne britannique Frances Amelia Yates (1899/1981), spécialiste de la pensée magique de la Renaissance.

 

Fonctionnement de la magie érotique

Une implication érotique/magique naît entre deux a(i)mants, constitutive d'un tissu propre à l’affect, aux émotions, et aux humeurs. Tissé à partir de subtils "fils de l’affect", il est ainsi d’autant plus liant (le mot sanskrit tantra signifie "tissu" ou "filet"). Si le filet (rete) érotique peut s’exprimer sous forme de relation sexuelle (dépendance sexuelle), dans la plupart des cas il est d’une nature psychologique, ce qui renforce son pouvoir de lier.

Chaque forme d’amour liant de sa propre manière, une personne, si elle le souhaite, peut contrôler celle qui est reliée à elle par l’amour puisque par cette chaîne l’aimé(e) est ravi(e), et veut donc être transféré(e) à l’amant(e).

En conséquence, le vrai magicien est l’amant(e), qui exploite l’énergie érotique de l’aimé(e) dans l’accumulation de son propre pouvoir. Il transforme l’amour en pouvoir, il est un manipulateur de l’amour érotique. Également appelé "chasseur d’âme", il peut atteindre le cœur de l’aimé(e) par son sens de la vue, par son ouïe, par son esprit, et par son imagination, et ainsi l’enchaîner à lui. Il peut le/la regarder, lui sourire, tenir sa main, le/la noyer dans des compliments flatteurs, coucher avec lui/elle, ou l’influencer par son pouvoir d’imagination.

Dans l’enchaînement, il y a quatre mouvements : le premier est la pénétration ou l’insertion, le second l’attachement ou la chaîne, le troisième l’attraction, le quatrième la connexion, connue sous le nom de plaisir… De ce fait l’aimé(e) veut pénétrer complètement l’amant(e) par sa langue, sa bouche, ses yeux, etc. Autrement dit, non seulement l’aimé(e) se laisse enchainer, mais il/elle doit aussi éprouver le plus grand désir pour ce lien. Ce désir doit augmenter jusqu’au point de vouloir s’offrir Lui/Elle-même avec son être tout entier au manipulateur qu’il/elle aime et "disparaitre en lui/elle". Cela donne à ce dernier le pouvoir absolu sur la personne enchainée.

Le manipulateur suscite toutes sortes d’illusions dans la conscience de sa victime d’amour et éveille ses émotions et désirs. Il ouvre le cœur de l’aimé(e) et peut prendre possession de la personne "blessée" de la sorte. Seigneur des émotions extérieures, il a des moyens à sa disposition pour établir toutes les chaines qu’il veut : l’espoir, la compassion, la peur, l’amour, la haine, l’indignation, la colère, la joie, la patience, le mépris pour la vie et la mort.

Pourtant l’enchaînement magique peut ne jamais s’établir sans la volonté manifeste de la personne enchantée. Au contraire, le manipulateur doit toujours éveiller l’idée chez sa victime que tout se passe uniquement dans ses intérêts. Cela crée l’illusion totale que la personne aimée est élue, qu’elle est un individu indépendant qui suit sa propre volonté.

Une méthode indirecte de gagner de l’influence, dans laquelle l’aimé(e) ne sait pas du tout qu’il/elle est manipulée, passe par l'utilisation de puissants êtres invisibles, démons et héros, évoqués par des incantations magiques (mantras) de manière à obtenir le résultat souhaité avec leur aide. Ceux-ci s'incrustent dans les rêves ou imposent certaines pensées à l’état de veille comme étant la vérité, difficilement décelables comme provenant de quelqu’un d’autre. Le/la bien-aimé(e) croit ainsi qu’il/elle agit dans ses propres intérêts et en suivant sa propre volonté, alors qu’il/elle est en fait dirigé(e) et contrôlé(e) par des flatteries magiques.

Le manipulateur lui-même ne cède à aucune inclination émotionnelle. C’est pour cela qu’une égocentricité* bien développée est une caractéristique nécessaire pour un bon manipulateur. Il ne permet qu’un seul amour : le narcissisme. Selon Bruno, seule une petite élite possède la capacité demandée, puisque la majorité des gens cèdent à des émotions incontrôlées.

Le manipulateur doit avoir son imagination totalement sous contrôle et lui tenir la bride afin de ne pas se transformer en outil des fantasmes. Le manipulateur ne s’intéresse pas à retourner l’amour érotique de l’aimé(e), mais plutôt à simuler une telle réciprocité. Pour que l’illusion réussisse, il ne doit cependant pas rester totalement froid. Il doit savoir par sa propre expérience les sentiments qu’il suscite chez l’aimé(e), mais ne doit jamais y céder lui-même.

* Cf. Décryptage de l'égo.

 

Le culte sulfureux de Victor Noir

Victor Noir (1848/1870 - image 1), connu par les flâneurs curieux du cimetière du Père-Lachaise, incarne à lui seul l'emprise de la magie érotique exercée par les Forces des Ténèbres sur les esprits humains faibles, prisonniers de leurs sens désordonnés et de leurs peurs enfouies destinées à les maintenir prisonniers de la cyclicité astrale. De son vrai nom Yves Salmon, il fut journaliste au sein du journal anti-bonapartiste La Marseillaise, journal frondeur critiquant l’empereur Napoléon III (Charles Louis Napoléon Bonaparte dit Louis-Napoléon Bonaparte) et prônant la république.

Le prince Pierre Napoléon Bonaparte, cousin éloigné de l’empereur, n’ayant pas admis  l’attaque personnelle contre son parent de ce journal, s'était alors lancé dans une violente diatribe à son encontre, ce qui conduisit le rédacteur en chef du quotidien à dépêcher deux amis chez lui afin d’obtenir la rétractation de son article injurieux ou, à défaut, la réparation par les armes. C’est ainsi que le 10 janvier 1870, Victor Noir, après qu’il eut effectué un détour chez sa fiancée pour lui montrer son élégante tenue noire, se présenta au domicile de Pierre Bonaparte. Il s’en suivit une violente altercation au cours de laquelle le prince Bonaparte tira cinq coups de revolver, dont une qui atteint à la poitrine Victor Noir.

Devenu le symbole de la répression de l’Empire face à la lutte pour la liberté, son culte morbide démarra, d'autant que ses obsèques se déroulèrent dans un contexte politique, le chef de gouvernement ayant refusé au peuple de Paris qui le souhaitait qu’il soit inhumé au cimetière du Père-Lachaise. Des dizaines de milliers de parisiens déferlèrent alors vers Neuilly jusqu’à sa demeure pour lui rendre de manière hystérique un hommage digne d’un souverain, à l'instar de la militante anarchiste et figure majeure de la Commune de Paris, Louise Michel, qui décida devant la fosse ouverte de ne plus quitter la tenue noire de deuil. C’est elle qui arborera la première le drapeau noir, le popularisant au sein du mouvement anarchiste...

Quinze ans plus tard, les restes du martyr de la foi républicaine seront transférés au Père-Lachaise dans un tombeau payé par une souscription nationale. Mais lors de l’exhumation, le frère de la victime, Louis Noir, profita qu’on le laisse seul se recueillir un instant pour dévisser le couvercle du cercueil et s’emparer du crâne afin de le dissimuler dans un panier de fruits. Un monument sera sculpté en 1891 en sa mémoire, le figurant grandeur nature, allongé sur une dalle, en habit de cérémonie tel qu’il aurait été découvert blessé à mort (photo 3). La bouche est ouverte et le chapeau a roulé à ses pieds. La chemise est déboutonnée et le pantalon moulant dégrafé laisse deviner une flagrante érection. Il va devenir le point d'orgue du culte sexuel orchestré depuis (photos 4 et 5), au même titre que plus tard celui de son presque voisin l’écrivain Oscar Wilde (sa tombe est recouverte de baisers de rouge à lèvres - photo 6), de la pierre funéraire de Jim Morrison, le mythique soliste des Doors, et bien sûr de la tombe du fondateur de la philosophie spirite à la sauce astrale Allan Kardec (1804/1869). Il est pratiqué par une gente essentiellement féminine, qui tourne autour du monument afin au mieux de trouver l’angle le mieux adapté et la meilleure lumière pour photographier la protubérance, objet de beaucoup de convoitises, de bénédictions comme de vœux formulés (ainsi la fécondité), au pire de pratiques plus explicites sur l'endroit stratégique, expliquant la teinte dorée brillante que présente notamment la marque suggestive de virilité de Victor lustrée depuis des lustres... Ces effleurements et frottements empressés seraient le fait de jeunes filles et de femmes en mal d’amour ou de fécondité, car la légende dit qu'il devait se marier le lendemain du drame, attribuant de ce fait les pouvoirs secrets de sa tombe à cet amour...

 

Célébration mémorielle involutive

Quelle qu'en soit la vocation, le monument, qui plus est mortuaire* (statues de saints et pierres cultuelles diverses), est une forme figure du folklore urbain, constitutif d'un rite mémoriel culturel et historique destiné à maintenir l'être humain illusionné dans le piège de ses mémoires viciées. Il est la marque par excellence du royaume des Morts-vivants, assurant la mutation du culte politique en culte sexuel, celui de la  transformation de l’image du héros national, martyr de la République, en sex-symbol du cimetière...

* Le climat érotique d'un cimetière est attisé par le ressenti des visiteurs (obsession, deuil, mélancolie, manque d’être...) à même d'élaborer des fantasmes au milieu de l’ombre et du mystère, de l’apparat funèbre et des apparences équivoques de la sculpture funéraire.


La théorie de la manipulabilité de l’amour offre de précieux aperçus psychologiques de l’âme de l’aimé(e) et de son manipulateur. En l'élargissant, il établit que "l’amour" manipulé est un instrument puissant de contrôle pour la séduction des masses*. Sa théorie contribue ainsi à beaucoup mieux comprendre l’attractivité extatique que les dictateurs et les pontifes exercent sur les gens qui les aiment. C’est ce qui rend son travail actuel, en dépit de son contenu cynique... Ainsi dans son livre Eros and Magic in the Renaissance (1987), l'auteur historien roumain Ioan P. Couliano (1950/1991 - photo 2) est d’avis que via les médias de masse, l’Occident est déjà pris dans la toile d’un tel "filet érotique" manipulable, concluant comme suit : "Et puisque les relations entre les individus sont contrôlées par des critères "érotiques" dans le sens le plus large de l’adjectif, la société humaine à tous les niveaux n’est elle-même que de la magie à l’œuvre. Sans même en être conscient, tous les êtres qui, en raison de la façon dont le monde est construit, se trouvent dans un lieu intersubjectif intermédiaire, participent à un processus magique. Le manipulateur est le seul qui, ayant compris l’ensemble de ce mécanisme, est d’abord un observateur des relations intersubjectifs qui acquiert simultanément des connaissances à partir desquelles il cherche ensuite à en profiter". Reste à savoir qui pourrait être ce manipulateur...

* Cf. Contrôle du robot biologique & Les psychopathes qui nous gouvernent.

 

Du syndrome de Stockholm

L’expression "Syndrome de Stockholm" est apparue au début des années 1970, pour décrire les étonnantes réactions de quatre employés de banque pris en otage en août 1973 à Stockholm envers leurs ravisseurs. Ils ont été gardés pendant six jours par trois anciens détenus qui les menaçaient de mort tout en leur témoignant de l’amabilité. À la surprise de tous, ils se sont fortement opposés aux efforts du gouvernement pour venir à leur secours, prenant énergiquement la défense de leurs ravisseurs. Plusieurs mois après que les otages aient été libérés par la police, ils éprouvaient encore des sentiments chaleureux vis-à-vis des hommes qui avaient mis pourtant leur vie en danger. Deux des femmes se sont par la suite fiancées à leurs ravisseurs.

Ce syndrome caractérise une personne qui n’est pas consciente du jeu souterrain des forces entropiques à l’œuvre dans notre monde, en raison de sa propension à compartimenter les choses de manière à ne pas devoir regarder les connexions impliquées. Elle s'est en quelque sorte dissociée et identifiée à une interprétation rationaliste et matérialiste de la réalité. Autrement dit, le système de contrôle du "mage noir" - son double ténébreux - encourage cette façon de voir les choses pour se dissimuler.

La psychologue Dee L. R. Graham, professeur de psychologie à l'Université de Cincinnati, a émis la théorie que le Syndrome de Stockholm se produit à un niveau sociétal. Dans la mesure où notre culture est patriarcale, elle pense que toutes les femmes en souffrent à des degrés très divers *. C'est ainsi que lorsqu’il existe un mandat, imposé socialement, d’avoir de "bonnes pensées" et de voir le monde sous un éclairage positif, autrement nommé le politiquement correct, et ce même quand l’évidence témoigne du contraire, les gens en viennent à trouver nécessaire de se régler au plus près sur l’approbation ou la désapprobation des normes sociales. Il en résulte qu’ils sont motivés de manière à apprendre comment penser en normes sociales, faisant fi de leurs propres, singulières et sincères expériences. En tant que "victimes" du Syndrome de Stockholm, ils sont encouragés à développer des caractéristiques qui plaisent au système, qui incluent la dépendance, le manque d’initiative, la passivité, l’impossibilité d’agir, de décider, de penser. Ce sont des stratégies pour rester vivant, intégré, incluant le déni, l’empressement aux exigences du système, à ses souhaits et à ses expressions d’approbation. Tout est fait pour apprendre à développer un amour du système, à être immensément reconnaissant au système pour nous avoir donné la vie. Ainsi les individus sont conditionnés à se focaliser sur les gentillesses du système, et non sur ses actes de brutalité. La perception du système comme étant omnipotent nous garde psychologiquement attaché au Système de Contrôle, les fonctions de profonde anxiété nous empêchant de voir les options disponibles.

* Cf. Livre "Loving to Survive : Sexual Terror, Men’s Violence, and Women’s Lives".

 

"Les anciens dictateurs sont tombés parce qu’ils ne sont jamais parvenus à donner à leurs sujets assez de pain, assez de cirques, assez de miracles ni assez de mystères. Et ils ne possédaient pas non plus un système réellement efficace de manipulation du mental. Sous un dictateur scientifique, l’enseignement fonctionnerait vraiment - avec pour résultat que la plupart des hommes et des femmes en viendraient à aimer leur servitude et ne rêveraient jamais de révolution. Il semble qu’il n’y ait aucune raison valable pour qu’une dictature scientifique soit jamais renversée."

Aldous Huxley, écrivain, romancier et philosophe britannique (1894/1963), Brave New World ("Le Meilleur des Mondes") - 1931

 

Prédation relationnelle et sexuelle

 

Si la société patriarcale induit depuis des millénaires l'emprise du masculin sur le féminin par la domination et la soumission, avec toutes ses manifestations des plus explicites aux plus subtiles, sa nature première échappe aux analyses et constats classiquement établis, décrivant cette relation bourreau-victime comme inhérente au système institutionnel en vigueur. Aussi n'est-il pas étonnant qu'en dépit des mesures législatives prises en matière de parité comme de répression pénale et du combat acharné du militantisme féminin, peu de réelles avancées soient à même de changer l'ordre des choses. Toutefois, la pathologie qu'est la prédation sexuelle ne joue pas que dans un sens exclusif, l'homme envers la femme. Nombre de cas, et non des moindres, mis en avant par d'éminents psychiatres, montrent que des hommes souvent jeunes ont été violés par une femme plus âgée, ce qui a entraîné chez eux des comportements psychopathologiques, cette dernière pouvant alors conserver le contrôle s'ils ne se séparent pas. Seule différence, c'est que si ça avait été le fait d'un homme, il serait en prison...

La raison de cet état des lieux est que les modèles modernes de psychothérapie ne reconnaissent pas la possibilité d'attaques psychiques et/ou de forces hyper-dimensionnelles qui agissent à travers nous, dans la mesure où la plupart des gens ont encore une vision du monde très anthropocentrique. Quiconque tente de s'éveiller de l'hypnose dont l'humanité est collectivement victime se heurtera à une résistance et à un ridicule, qui peuvent également surgir de notre propre esprit ou passer par des personnes qui nous sont proches, drainant ainsi notre esprit, nous distrayant et sabotant toute tentative de "fuite de la matrice".

Il est en effet "plus facile" d'être dans une relation lorsque les deux partenaires sont branchés sur la matrice prison : ne rien remettre en question, suivre le programme affecté à chacun, suivre les désirs et les objectifs conditionnés par la société et la culture. Car les relations amicales comme amoureuses semblent être beaucoup plus difficiles à proposer et établir une fois que l'on est en train de chercher la vérité pendant de nombreuses années, que l'on est engagé dans un travail personnel plus profond et que l'on s'exprime activement sur des sujets que la majorité des gens ignorent ou ridiculisent. C'est un chemin souvent très solitaire, et il peut même être difficile de trouver de bons amis et partenaires - qui sont aussi sincèrement engagés dans le même travail et le même processus - avec lesquels nous pouvons partager toutes ces "choses" et être vraiment nous-même. Quoi qu'il en soit, ce n'est qu'en partant du bon vieux principe hermétique que ce qui est en bas est à l'image de ce qui est en haut, que nous pouvons trouver dans cet axiome les indices explicatifs du dévoiement de la psyché humaine.


"Il y a mille choses qui empêchent un homme de s'éveiller, qui le maintiennent au pouvoir de ses rêves. Pour agir consciemment dans l'intention de s'éveiller, il est nécessaire de connaître la nature des forces qui maintiennent l'homme dans un état de sommeil. Tout d'abord, il faut réaliser que le sommeil dans lequel l'homme existe n'est pas un sommeil normal mais un sommeil hypnotique. L'homme est hypnotisé et cet état hypnotique est continuellement maintenu et renforcé en lui. On pourrait penser qu'il existe des forces pour lesquelles il est utile et profitable de maintenir l'homme dans un état hypnotique et de l'empêcher de voir la vérité et de comprendre sa position".

Georges Ivanovitch Gurdjieff (1866/1949), philosophe arménien

 

Les interférences transdimensionnelles

La littérature comme le cinéma racontent à leur manière comment au travers des âges les individus ont été confrontés à toutes sortes d’êtres étranges (Cf. La Bête - photo 1), le type le plus commun cependant étant humanoïde de par une certaine ressemblance à la forme physique humaine, bien que ses pouvoirs soient nettement sur-humains. Ainsi le vampire (Cf. photos 2 et 3) et le loup-garou (photo 4). Le schéma général de nombre de ces visites extraordinaires est qu’une créature étrange, avec des yeux brillants et envoûtants, vient pendant la nuit et, d’une certaine manière, draine l’énergie, le sang, ou la force-vitale de la victime qui est incapable de crier à l’aide parce qu’à la fois son corps et son esprit sont paralysés. On retrouve couramment d’autres effets, comme des lumières et des températures glaciales.

Contrairement à la croyance commune, l'imagination des auteurs à travers les personnages et créatures utilisés n'est pas une pure fantasmagorie. Elle se fonde sur ce qui est rapporté depuis la nuit des temps sur ces êtres étranges et leurs pouvoirs de disparaître, voler, contrôler la météo, diriger le comportement des animaux, se changer en animaux, passer à travers d’objets solides et générer une progéniture hybride en ayant des rapports sexuels avec leurs victimes*. Dans son étude classique Passport to Magonia datant de 1969 (en français "Chronique des apparitions extra-terrestres"), le scientifique français Jacques Vallée (photo 5) y présente beaucoup d’exemples de similitudes avec ses études et observations des fées et des entités OVNI. De son côté, le chercheur Jean Bastide, dans La mémoire des OVNI : des Argonautes aux Extraterrestres (1978), est allé plus loin, disant que les "contacts modernes établis avec les extraterrestres respectent précisément les mêmes règles que les contacts avec des êtres de forme plus ou moins humaine dans le passé". Ces relations de nature extrahumaine sont nommées "abductions", qu'elles soient alien, OVNI ou féériques*². Quant au psychiatre et psychanalyste britannique d'origine allemande Siegmund Heinrich Foulkes (1898/1976 - photo 6), il a indiqué dans ses travaux que la prise de possession totale ou partielle d'un être humain vivant par un être désincarné a été reconnue ou du moins théorisée à toutes les époques et dans toutes les cultures. Dans 90 % des sociétés du monde entier, il existe des enregistrements de phénomènes de type possession.

C'est pourquoi de nombreuses preuves cliniques contemporaines suggèrent que des êtres désincarnés, les esprits d'humains décédés, peuvent influencer les personnes vivantes en formant un lien ou un attachement physique ou mental, et en imposant par la suite des conditions et des symptômes physiques et/ou émotionnels préjudiciables. Cette condition a été appelée "état de possession", "trouble de possession", "possession par l'esprit" ou "attachement à l'esprit", qui voit la conscience désincarnée s'attacher et fusionner totalement ou partiellement avec le subconscient d'une personne vivante et exercer un certain degré d'influence*³ sur les processus de pensée, les émotions, le comportement et le corps physique. L'entité devient ainsi un parasite dans l'esprit de l'hôte, la victime de cette condition pouvant être totalement amnésique face à des épisodes de prise de contrôle complète.

* L’engendrement d’une progéniture découlant de l’interaction d’êtres "mâles" avec des femmes humaines est le fait d'incubes, les succubes étant des créatures femelles qui ont des rapports sexuels avec les hommes.

Cf. Vérité civilisationnelle.

*³ Un attachement peut être de nature bienveillante, totalement intéressé, malveillant dans ses intentions ou totalement neutre. L'attachement à une personne peut être totalement aléatoire, voire accidentel. Il peut se produire simplement en raison de la proximité physique avec la personne mourante au moment du décès. Dans environ la moitié des cas rencontrés en pratique clinique, il s'agit d'un choix aléatoire sans lien préalable dans cette incarnation ou dans une autre. Dans les autres cas, un lien peut être établi, une affaire inachevée de cette vie ou d'une autre.

 

Des succubes et incubes

Le terme succube vient du mot latin succuba qui signifie "concubine". Il ne désigne le démon femelle qu'à partir du XVIe siècle, par rapprochement avec le terme "incube", le démon mâle, ce terme provenant du latin incubo qui signifie "fardeau" ou "poids". Une autre étymologie le fait dériver du latin classique sub, "sous", et cubare, "coucher" : "qui couche sous" ou "être couché sous". C'est un mot masculin, parfois employé au féminin.

Selon certaines légendes judaïques*, "Dieu créa pour l’homme (Adam) une créature venant de la terre tout comme lui. Son nom était Lilith". Aussitôt ont-ils commencé à se quereller. Adam disait : "Tu te coucheras devant moi". Quant à Lilith, elle lui répondait : "C'est toi qui te coucheras, puisque nous sommes égaux et tous les deux formés de la terre." Ils ne s'entendaient pas. Quand Lilith vit qu'il en était ainsi, elle prononça le Nom ineffable, le véritable nom de Dieu, et s'évanouit dans l'air... Alors Dieu endormit l’homme en torpeur, et d’une de ses côtes en créa la femme.

Les succubes et les incubes sont également connus en tant que démons-amants. Dans la tradition occulte, il s'agit d'un démon qui prend l'apparence d'un être humain pour venir sur terre rechercher des rapports sexuels avec des humains de l'autre sexe, le plus souvent pendant leur sommeil. Ce terme peut ainsi s'appliquer aux amoureux démoniaques, les anciens pensant que les cauchemars à même de causer une sensation de poids oppressant sur la poitrine étaient la conséquence de l'acte de copulation avec un démon pendant la nuit.

* Cf. Le Judaïsme décodé.

Cf. en complément Travaux dans ses nombreux ouvrages de l'écrivain ufologue français Jean Sider, qui s'est intéressé notamment aux vagues d'apparitions célestes de la fin du XIXᵉ siècle aux États-Unis et du milieu du XXᵉ siècle en France, à l'affaire Roswell, ainsi qu'aux folklores celte et anglo-saxon.

 

Les aspects technologiques et métaphysiques du phénomène OVNI tels qu'étudiés par nombre de spécialistes révèlent ainsi les liens directs entre de nombreuses rencontres OVNI modernes, dites abductions, et les anciennes rencontres rapportées par les "légendes" populaires avec des incubes, succubes, fées, élémentaux, et d’autres êtres du genre démons. Ce sont de nombreuses similarités entre ces anciennes abductions "démoniaques" et les abductions "extraterrestres" modernes. Et tout comme le font les abducteurs OVNI modernes, les démons succubes recueillaient des échantillons de sperme des victimes masculines de sorte que le démon puisse pleinement accomplir l’acte sexuel et parfois féconder sa victime féminine en se comportant comme un incube. Saint Thomas d’Aquin, dans le livre Somme Théologique, n'écrivait-il pas au XIIIème siècle : "Les diables collectent en effet la semence humaine à l’aide de moyens capables de produire des effets sur le corps […] Ils peuvent transférer la semence collectée, et l’injecter dans d’autres corps". Tout comme dans les témoignages modernes d’OVNIs, les incubes et succubes qui désirent avoir des relations sexuelles avec un homme ajusteront leur forme afin d’abaisser la résistance de la victime.

 

Du mécanisme des abductions jusqu'à l'hybridation

L'étude approfondie menée depuis plusieurs décennies par les scientifiques spécialistes des réalités extradimensionnelles* débouche sur le constat suivant. Après avoir été emmené à bord du vaisseau ou dans les bases souterraines terrestres, les entités "extra ou intraterrestres" communiquent avec l’enlevé, avant que deprocéder à une série de tests :

- prélèvement de peau, de moelle épinière, de sang...;

- prélèvement de sperme pour l'homme et d'ovules pour la femme;

- autres tests gynécologiques;

- pose d'implant (nez, pied, mains, oreilles...).

Parfois la victime femme est fécondée par rapport sexuel ou par insémination artificielle dans un "incubatorium", pièce pleine de réservoirs contenant un liquide dans lesquels des fœtus sont suspendus. Quant à l'homme, il doit s'accoupler avec une belle femme ou alors avec une machine qui provoque l'orgasme. Le prélèvement de sperme peut être fait avec une sonde, ce qui s'avère douloureux. Si la femme fécondée se retrouve enceinte, au bout du 3ème/4ème mois sa grossesse disparaît, ceci entendant ni avortement ni fausse couche. Elle a été réenlevée, son fœtus ayant de ce fait été prélevé. Quelque temps plus tard, "on" l'enlève encore une fois pour lui montrer l'enfant hybride. Celui-ci ressemble à un mélange d’homme et d’extraterrestre. Si certains ont l’air plus "extraterrestre" et d’autres plus humains, la plupart sont un mélange équilibré : de "parfaits" hybrides ! (l'historien David Jacobs les nomme "hubrides") !Il va sans dire que c’est souvent une expérience très traumatisante pour les femmes qui subissent ces exactions...

* Cf. Vérité civilisationnelle. A noter que pendant plus de 20 ans, l'émission de radio MAN ALIVE ("Homme vivant") du cinéaste David Cherniack sur CBC Radio Canada a osé aborder le phénomène extraterrestre à travers les nombreux cas de femmes abductées, puis mises enceintes artificiellement par des extraterrestres. Elles ont pu après retrouver leur enfant qui a grandi ailleurs dans l'univers.

 

Interférences surnaturelles et paranormales dans les relations humaines ?

L'auteure thérapeute états-unienne Eve Lorgen (photo 1), chercheuse en enlèvement d'OVNI qui a commencé son travail dans le domaine des enlèvements d'extraterrestres (abductions) tout en obtenant sa maîtrise en psychologie du conseil en 1992, a étudié les traumatismes anormaux causés à des humains, découlant de manipulations et d'orchestrations des relations affectives qui seraient effectuées par des entités/êtres interdimensionnels. Elle a développé les travaux de Karla Turner, pionnière de la recherche sur les enlèvements par des extraterrestres (au même titre que d'autres chercheurs comme David Jacobs ou Barbara Bartholic), qui, enlevée elle-même, a publié trois livres : Into the Fringe (1992), Taken (1994), et Masquerade of Angels (1994). Le Dr. Turner (1947/1996 - photo 4) a été la première personne à souligner les nombreuses expériences anormales des personnes enlevées, notamment des cas où des extraterrestres implantent de faux souvenirs aux personnes enlevées afin de cacher la vérité sur ce qui leur est réellement arrivé. Cette intellectuelle insoumise était elle-même une abductée, une chercheuse au parler vrai qui prit le risque de parler publiquement de son expérience, et qui n’hésita pas à naviguer à contre courant des idées reçues pour défendre l’intégrité de ceux qui, comme elle, ont pénétré un monde inconnu.

Qualifié de "morsure d'amour" (Love bite), ce vampirisme énergétique découlant d'une situation dans laquelle deux personnes enlevées sont programmées par leurs "maîtres-chiens" pour s'engager dans une relation amoureuse, et qui peuvent aller de la simple rupture de relations platoniques à des divorces violents, conduit selon elle à différents symptômes la plupart du temps incompris quant à leur origine par les individus les subissant et les thérapeutes :

. Obsession amoureuse et tourment émotionnel chez un des partenaires, pouvant aller jusqu'à la tendance suicidaire ;

. Très forte connexion sexuelle avec une puissante luxure créant une ruée hormonale qui imprime l'idée que c'est une romance "pour toujours" (l'un des partenaires - ou les deux - peut quitter son travail, son conjoint et sa famille, et s'éloigner, juste pour être avec l'autre) ;
. Revirement ou retournement psychique soudain laissant l'autre partenaire dans un total désarroi ;

. Événements surnaturels ou paranormaux, telles l'augmentation de la capacité psychique ou de la kundalini*, la force vitale du champ énergétique de l'universel (le prana des hindous) ;

. Épuisement physique et psychique ;

. Lien émotionnel télépathique avec le/la partenaire (vision à distance spontanée du partenaire ciblé, connexions empathiques télépathiques, télesthésie*² et visites "astrales") ;

La prise de conscience de cette prédation interdimensionnelle est bien sûr salutaire : déculpabilisation et nettoyage intérieur du canal de prédation.

* Cf. L'état de cohérence, voie de sa liberté.

Perception du champ énergétique du partenaire à distance.

 

Ouvrages d'Eve Lorgen : Anomalous Trauma*, The Love Bite : Alien Interference in Human Love Relationships & The Dark Side of Cupid.

Il est cependant à noter que le scénario dit de "morsure d’amour" et de ses effets découle avant tout des émotions par hyperfréquences avec les interactions normales de la programmation sociale et de la psychopathologie, et non d'entités extraterrestres. C'est bien nous-même, par notre double ténébreux non conscientisé, qui sommes pleinement responsable de ces traumas.

* Événements traumatisants qui existent en dehors de la gamme normale de l'expérience humaine : enlèvements d'étrangers, expériences de mort imminente (EMI), initiations chamaniques, enlèvements militaires (MILABS), contrôle des esprits (MK Ultra et Project Monarch), guerre spirituelle, attaques démoniaques et psychiques, implication dans des sectes et abus narcissiques.


"La chimie sexuelle et les rapports sexuels eux-mêmes sont également une méthode privilégiée pour créer un lien puissant pour l'alimentation psychique".

Eve Lorgen

 

Les quatre raisons fondamentales de l'utilisation des relations de "morsure d'amour"

La première est la perpétuation génétique d'un trait particulier chez les individus concernés comme des capacités psioniques (pouvoir psychique surnaturel comme la télépathie) et dissociatives élevées, celui-ci s'avérant utile pour les opérations militaires ou de renseignement, voire de groupes liés aux sociétés secrètes.

La seconde porte sur la récolte d'énergies de l'âme émotionnelle, siphonnée de la personne enlevée pour être utilisée comme moyen de subsistance par des espèces étrangères à notre dimension terrestre, ou pour contribuer aux pouvoirs démoniaques accumulés par les magiciens humains (les "mages noirs babyloniens"). Dans les cas où des manipulations sexuelles ont lieu, cette énergie sexuelle peut être déployée dans des expériences à des fins de voyage dans le temps, d'amplification psi ou de matérialisation.

La troisième réside dans l'amplification des capacités paranormales telles que la télékinésie, la télépathie, la visualisation à distance et la pré-cognition, par le biais de l'union sexuelle et de l'union des âmes d'autres personnes enlevées par voie psychique. Ceci a été observé pour des sujets-agents chez qui a été "installée" la programmation Monarch*, ou chez ceux pouvant posséder les implants de programmation extraterrestres plus sophistiqués. Souvent, les programmeurs qui orchestrent les différentes missions de leurs agents hautement qualifiés voudront créer un lien d'âme et un lien sexuel entre deux victimes, afin de maintenir la loyauté des agents jumelés entre eux et d'augmenter leurs performances lors des opérations sur le terrain. Par exemple, lorsque deux agents sont tellement liés qu'ils peuvent se transmettre par télépathie de grandes quantités d'informations (parfois pendant l'activité sexuelle), cela devient un outil très utile pour contourner les technologies de surveillance. S'ils s'aiment, ils mourront aussi l'un pour l'autre, prenant ainsi de plus grands risques pour assurer le succès d'une mission dangereuse.

La quatrième porte sur la distraction et neutralisation des personnes enlevées (ou des chercheurs) gênantes qui, soit sont capables de casser la programmation effectuée à leur encontre, soit dénoncent, soit s'approchent trop près de la vérité. Cela peut se présenter sous la forme d'un client enlevé qui vient travailler avec un chercheur, et tout à coup une histoire d'amour arrangée s'ensuit. La relation se transforme alors en montagnes russes émotionnelles, ou crée le chaos dans la vie du chercheur, le distrayant de découvertes utiles. Une autre solution consiste à faire venir une personne enlevée en dormant aux réunions d'un groupe de soutien, ce qui sème le chaos partout où elle va. Ce chaos peut se traduire par une morsure d'amour avec l'un des membres du groupe, ce qui entraîne une division au sein du groupe de soutien, créant une inimitié inutile entre les personnes enlevées et les chercheurs qui pourraient avoir partagé ensemble des expériences enrichissantes. Dans ce cas, la mise en place de ce dispositif empêche que des informations utiles ne parviennent au public.

* Cf. Contrôle mental.

 

"se méfier des démons sexuellement transmissibles"
"se méfier des démons sexuellement transmissibles"

La conscience étant la nourriture des êtres de plus haute densité - le champ astral de la 4ème dimension -, nos émotions et notre énergie sexuelle déclenchées par ces manipulations sont ce dont ces entités se nourrissent. Ceci entend que tout symptôme ou état mental ou physique, émotion forte, sentiment négatif refoulé, besoin conscient ou inconscient, peut agir comme un aimant pour attirer une entité désincarnée ayant une émotion, un état, un besoin ou un sentiment identique ou similaire. La colère et la rage, la peur et la terreur, la tristesse et le chagrin, la jalousie, le ressentiment, la culpabilité, le remords ou le besoin de punition peuvent inviter des entités ayant des sentiments similaires (c'est ainsi qu'un esprit peut être lié à la terre par les émotions et les sentiments liés à une mort soudaine et traumatisante). Tout naturellement, un stress important peut entraîner une susceptibilité à l'influence d'un esprit intrusif. De la même façon, l'altération de la conscience par l'alcool ou les drogues, en particulier les hallucinogènes, relâche les limites extérieures de l'ego et ouvre le subconscient à l'infestation par des êtres désincarnés. Il en va de même avec l'utilisation d'analgésiques puissants et des drogues anesthésiantes nécessaires en chirurgie. Un comprimé de codéine pris pour soulager la douleur d'une extraction dentaire peut modifier suffisamment la conscience pour permettre l'entrée d'un esprit aliénigène. Les intrusions physiques telles que la chirurgie ou la transfusion sanguine peuvent entraîner un attachement à une entité. Dans le cas d'une transplantation d'organe, l'esprit du donneur d'organe peut littéralement suivre l'organe transplanté dans le nouveau corps. Un traumatisme physique dû à une collision automobile, une chute accidentelle, des coups ou tout coup à la tête peuvent rendre une personne vulnérable à un esprit intrusif.

Des liens d'amour forts peuvent également interférer avec la transition normale de l'incarnation de l'être humain, l'ouverture et la reddition lors de rapports sexuels pouvant permettre l'échange d'entités attachées entre deux personnes. L'abus sexuel tel que le viol, l'inceste ou l'abus de toute autre sorte crée une vulnérabilité à l'invasion de l'esprit. La violence pendant l'abus sexuel augmente la probabilité d'intrusion d'un esprit opportuniste. Enfin, des croyances religieuses erronées sur l'au-delà peuvent empêcher un esprit de se diriger vers la Lumière, parce que l'expérience de l'après-mort ne coïncide pas avec de fausses attentes ou des idées préconçues sur la façon dont elle est censée être. Tout comme après une mort par surdose de drogue, un esprit nouvellement décédé conserve un fort appétit pour la drogue, et cette faim ne peut être satisfaite dans le domaine non physique. L'être doit faire l'expérience de la drogue à travers le sensorium d'une personne vivante qui en consomme. Cela ne peut se faire qu'à travers un attachement parasite à la personne. De nombreux consommateurs de drogue sont ainsi contrôlés par l'esprit attaché d'un toxicomane décédé.

De toutes ces manières, ces entités essaient de nous maintenir dans une "prison fréquentielle entropique", que ce soit par le biais de modifications génétiques ou d'autres formes de coercition, afin de s'assurer un accès continu à cette source de nourriture. Le phénomène des enlèvements par des entités étrangères à notre dimension terrestre n'est certainement pas une question psychologique de la part des personnes qui ont vécu ces expériences. Ce n'est pas une illusion, ni un trouble mental, même si cela peut exister. Il est bien réel. Afin de saisir pleinement la réalité des enlèvements, nous devons laisser tomber ce que nous pensons être ou n'être pas possible*, tout en restant conscient des constructions de croyances de notre esprit conditionné qui tentent d'"expliquer" de telles expériences avec une psychologie de base "culturellement approuvée" ou une "spiritualité" New Age. Il convient de rappeler que l'attachement à l'esprit ne nécessite pas la permission de l'hôte, cela semblant être une violation du libre arbitre. Il semble également réfuter la notion populaire selon laquelle chaque personne est totalement responsable de la création de sa réalité, et qu'il n'y a pas de victimes... L'ignorance et la négation de la possibilité d'une interférence de l'esprit ne constituent en aucune façon une défense contre l'attachement à l'esprit. La croyance ou l'absence de croyance concernant l'existence d'entités intrusives n'a aucune incidence sur la réalité de ces êtres et leur comportement.

* Les gens qui n'ont pas vraiment étudié cette question avec soin ont souvent recours à des tableaux de déni et de scepticisme, se demandant comment tout cela a pu être possible à une si grande échelle, sans que le grand public ne s'en rende compte... Ils ne réalisent pas qu'une grande partie de tout cela se passe dans une zone de phénomènes non physiques, et implique une forme de vie de plus haute intelligence qui est capable d'entrer et de sortir de la physicalité 3-D, transcendant le temps et l'espace.

 

Portail organique au féminin programmé pour piéger émotionnellement le masculin illusionné
Portail organique au féminin programmé pour piéger émotionnellement le masculin illusionné

Le rôle des Portails Organiques (PO)* dans les relations amoureuses

L'existence de ces individus, destinée à piéger l'être humain doté d'une âme sur son chemin d'éveil, de recherche de la vérité et d'extraction de la matrice entropique, est souvent liée à la morsure d'amour, le côté sombre des relations amoureuses de Cupidon. Elle offre le cadre parfait pour piéger un partenaire afin de le détourner et de le distraire de son chemin. Le talent principal d'un PO ("l'être préadamique") est en effet celui de l'imitation, du mimétisme, car il vole l'énergie de l'âme des êtres humains afin de les imiter et de reproduire leurs comportements. Pour ce faire, il émet une fréquence spéciale qui affecte littéralement l'esprit de sa cible en termes de fermeture de la clarté, voire même en transmettant réellement des boucles de pensée pré-codées. Les PO ont également tendance à se concentrer sur des activités érotiques charnelles, basées sur les trois centres énergétiques inférieurs (en particulier le centre sexuel), ceci ayant pour objectif de maintenir leur cible dans un état de stress tel qu'elle ne peut pas réaliser son potentiel d'ascension de conscience. En présence de telles personnes, l'être humain désireux d'évolution est sous l'influence d'une énergie qui non seulement embrouille l'esprit, mais rend presque impossible sa capacité à penser à se sortir de la situation.

Bien sûr, toutes ces caractéristiques sont exprimées de manière inconsciente, ce qui aide à dissimuler l'agenda caché qui se cache en dessous. C'est de cette manière que le monde terrestre vicié avec ses influences involutives exerce une grande attraction. L'activité du centre sexuel recherche la satisfaction dans un monde de plus en plus chargé sexuellement par le biais des médias et des affichages ouverts d'images sexuelles. Si le "Je" du corps peut exister au niveau d'une existence animale de base régie par les centres inférieurs, le "Je" réel en développement dans le processus d'activation des centres supérieurs ne le peut pas.

* Cf. Les acteurs de la Matrice falsifiée.

 

"La Matrice est un système, Neo. Ce système est notre ennemi. Mais quand vous êtes à l'intérieur, vous regardez autour de vous, que voyez-vous ? Des hommes d'affaires, des professeurs, des avocats, des charpentiers. L'esprit même des gens que nous essayons de sauver. Mais jusqu'à ce que nous le fassions, ces gens font toujours partie de ce système, et cela fait d'eux notre ennemi. Vous devez comprendre que la plupart de ces gens ne sont pas prêts à être débranchés. Et beaucoup d'entre eux sont si endurcis, si désespérément dépendants du système, qu'ils se battront pour le protéger." [L'attention de Neo est attirée par une femme séduisante qui passe, portant une robe rouge - image ci-dessus]

"M'écoutais-tu, Neo, ou regardais-tu la femme en robe rouge ?" 

Morpheus, film Matrix ("La Matrice")

 

Le fait est qu’il y a une tradition dûment attestée, sorte de jurisprudence de l'inconscient populaire à travers le globe qui s’étend sur des milliers d’années, parlant d’êtres/entités enlevant des humains et leurs progénitures à leur intégrité biologique, tout particulièrement pendant leur sommeil. Ces êtres volent dans des globes de lumière, peuvent paralyser leurs victimes, induire une amnésie à propos des évènements, forcer leurs victimes à boire d’étranges boissons, avoir des relations sexuelles avec eux et, dans nombre de cas, les conduire finalement à la folie, à la ruine du corps, ou même prendre le contrôle de leurs corps pour leur propre usage. Cette possession peut être permanente ou semi-permanente.

Si d'aucuns voient cette possession comme une bénédiction - le savant occultiste allemand Cornélius Agrippa (1486/1535) décrit la copulation comme "pleine d’apports magiques" - beaucoup la considèrent comme faisant partie de la nature la plus basse de l’homme, celle de sa dégénérescence. En effet, liée strictement à la matière, cette énergie animale est considérée comme source de puissance et de longévité pour celui qui la reçoit par les courants sexuels de la libido. De cette manière, il est ainsi suggéré qu'une personne âgée, tout particulièrement masculine, peut drainer la force vitale de plus jeunes*.  Ainsi le Roi David couchait régulièrement avec une jeune vierge lorsqu’il était âgé, la même technique remportant un certain succès en Grèce et en Rome antique. L’Empereur romain germanique Frédéric Barberousse tenait de jeunes garçons contre son ventre et parties génitales pour "savourer et absorber leur énergie", le Pape Innocent VIII utilisant quant à lui de jeunes enfants en bonne santé qui devaient le caresser afin de lui transférer leurs énergies. Ce n'est ni plus ni moins que du vol énergétique, la prédation à l'initiative des uns vidant de leur substance sacrée celles et ceux la subissant.

* Des médecins du passé sont même allés jusqu’à formuler l’hypothèse que l’énergie vitale était fortement concentrée dans le sang de jeunes enfants, suggérant que le vampirisme devait être employé par ceux que l’âge affaiblissent.

 

Le pourquoi des abductions "extratrerrestres"

Nombre d'enlèvements d'êtres humains par les prédateurs de la 4ème dimension astrale portent de manière significative sinon excessive sur des examens gynécologiques et du système de reproduction de l'être humain, constituant un procédé destiné à extraire la force ou l’énergie vitale des êtres humains au travers du chakra racine, le chakra sexuel, là où la force vitale entre dans le corps. Cet intérêt vital pour l’énergie sexuelle s'explique par leur tentative désespérée d’empêcher le changement de conscience en cours de l'humanité vers le 4ème niveau de densité afin de garder le contrôle de leurs proies esclaves. Les échantillons de tissus ou des petits bouts de chair qu’ils prélèvent sur les abductés leur servent en effet pour leurs opérations de clonage, ceci expliquant également leur intérêt pour les jumeaux. En effet, ils étudient de cette manière le meilleur réceptacle d’âme - un jumeau ou un clone - pour leur programme d'hybridation destiné à sauver leur race en cours d'extinction par interversion des réalités physiques (ils essaieront d’entrer dans les corps eux-mêmes de manière à pouvoir changer leur réalité), et ce faute de processus d'évolution que seule l'âme permet*. Ils en profitent au passage pour tester la capacité cérébrale de l’être humain.

* Cf. Le cheminement de l'Ame.

 

L’intrusion extraterrestre par le biais de la sexualité a une incidence sur nos émotions et nos sentiments, car elle entraîne une baisse de l’activité cérébrale du lobe frontal qui favorise l’inclination à des comportements compulsifs, répétitifs, impulsifs et violents, ainsi qu’une instabilité émotionnelle… L’être humain est d'autant plus facilement manipulable par des forces extérieures lorsqu’il se trouve coupé de ses intuitions, basées sur le cœur. Or, sans un réel examen intérieur de ce que nous sommes, une visualisation objective de notre activité psychique, sans une capacité de centrer son "êtreté" sur le cœur et non sur l’égo-mental, les êtres humains ne sont rien d’autre que des marionnettes contrôlées par d’autres, en l'occurrence par des forces surnaturelles extraterrestres, et tout particulièrement à travers la sexualité, source du désir physique pour atteindre l'extase.

 

Vampirisme amoureux et sexuel

 

Les légendes de vampire se sont maintenues depuis le commencement de l’histoire écrite, même s'il est nécessaire de faire le tri entre faits et fiction. Le fait est que les rapports en provenance d’Europe de l’Est établissent que quelque chose appelée vampirisme a atteint des proportions quasiment épidémiques au XVIII° siècle. Si les histoires sont souvent fantastiques et que de nombreux détails doivent être attribués aux imaginations terrifiées des paysans superstitieux, une grande partie de la documentation est précise, les dépositions de témoins réputés attestant qu’il semble impossible qu’il ne s'agisse que de superstition. 

L’idée d’un cadavre sortant de son cercueil la nuit pour boire le sang des vivants semblant tout bonnement irrationnelle, la nature du vampirisme est ailleurs. Dans l'histoire des civilisations, bien avant l’histoire écrite, l’effusion rituelle de sang et pris en boisson a toujours été considérée comme l’élément vital du sacrifice, qui permettait d'augmenter le pouvoir et d'apaiser les dieux. Pour que la vie coule, on doit avoir du sang, l'hémoglobine générant les émotions*. Le vampirisme est à ce titre considéré comme contagieux. En effet, la personne vampirisée étant vidée de sa vitalité, elle est comme un vide psychique qui draine l’énergie des personnes rencontrées dans la vie quotidienne pour se reconstituer. Cette énergie recomposée est ensuite mise à disposition de la prochaine collecte de cette même entité vampirique, le prédateur extra-dimensionnel qui s'en repaît pour sa survie...

* Cf. L'expérience émotionnelle.

 

Vampirisme relationnel

Quand les choses vont bien dans notre vie, comme le fait d'avoir quelques succès dans nos entreprises et/ou d'être entouré de belles personnes qui nous aiment, cela suscite certes les sympathies, l’admiration, l’amour même… mais pas que. Nous devons aussi faire face à la jalousie, attisée par l'envie, une des sept grandes névroses de l'être humain non individué. Nous allons alors attirer des personnes qui s'auto-persuadent qu’elles ne parviendront pas à notre niveau, et qui, renonçant à monter jusqu’à nous, essayeront de nous faire tomber jusqu’à elles… C'est une des leçons du mythe biblique Caïn et Abel, le frère qui a l’impression que son frère réussit mieux que lui. Alors, comme il se sent incapable de rivaliser, il préfère le tuer, quitte à ruiner sa propre vie et, ce faisant, celle de ses descendants.

La leçon est que lorsque nous connaissons l’amour, une certaine forme de bonheur, nous captivons l’imagination des personnes qui nous entourent. Elles ne s’en aperçoivent pas forcément. Elle ne comprennent pas ce qui leur arrive dans leur for intérieur. Notre destin leur paraissant si "extraordinaire", elles en oublient ce qui leur appartient en propre. Elles voient notre vie comme une représentation théâtrale où tout est formidable, n’arrivant plus à voir que nous avons, nous aussi, nos problèmes et difficultés. Que les choses n’ont pas toujours été faciles pour nous, et qu’elles ne le seront pas toujours. Mais peu importe, car elles veulent monter sur scène pour endosser notre rôle, prendre notre costume, se mettre à parler comme nous le faisons, faire ce que nous faisons. Ceci revient à capturer nos amis comme nos... ennemis, afin de vivre notre vie, même si celle-ci n’est en réalité pas si enviable que ça !

C'est la symbolique du mythe du vampire, cet être prédateur qui vit du sang des autres, sans être dégoûté de planter ses dents dans notre cou, et qui a l’impression de se faire du bien en se nourrissant de nous. Alors qu’il se détruit.

Cf. Helmut Schoeck, sociologue et écrivain austro-allemand (1922/1993), "L'Envie, une Histoire du Mal".

 

Ainsi le vampire cultuel, en grande partie créé par l'écrivain irlandais Bram Stoker (1847/1912 - photo) dans son livre Dracula en 1897*, porte des connotations sexuelles qui pourraient être plus qu’un simple effet rédactionnel. Si en effet le mélange de violence, séduction psychique, sexe et perte de la force vitale a rendu le vampirisme très populaire, il y a eu de nombreux individus qui ont été appelés ou se sont eux-mêmes appelés vampires, aucun de ces pervers ne s’étant réellement levé d’entre les morts. Ils n’étaient pas des vampires dans le sens surnaturel du mot. Le lien entre le vampirisme surnaturel et le sexe est profond, l’extraordinaire fascination que le vampirisme a sur le subconscient de la plupart des gens étant un mélange d’excitation sexuelle, de consentement à la possession avec la promesse d’immortalité, d'un pouvoir sans limites et le mal palpitant. Le sexe et le surnaturel constitue bien une association imbattable pour maintenir l'être humain dans le filet de la prédation !

* Pour donner plus d'ampleur à un roman dont la trame conductrice est l'amour (entre le comte Dracula et son épouse Elizabeth), Bram Stoker a rajouté l'histoire de Vlad III Basarab (image 3), surnommé "l'Empaleur" qui serait né aux alentours de 1435 probablement à Târgoviște en Valachie (selon la légende moderne à Sighișoara en Transylvanie). Mort en décembre 1476 près de Bucarest, il fut prince de Valachie. Un de ses surnoms, Drăculea (signifiant "fils du dragon") fut ainsi par l'écrivain pour nommer et épicer le personnage littéraire du comte vampire Dracula. Son buste a été installé devant ce que certains spécialistes considèrent comme la véritable tombe de Dracula, dans le cloître de Santa Maria La Nova à Naples, citadelle franciscaine construite à Naples à la fin du XIIIe siècle par les frères mineurs (Cf. photo 4).

 

Du mythe à la réalité vampirique

Le professeur polonais émérite de langues slaves à l’University of Virginia Jan Louis Perkowski (photo) a publié dans les années 1970 dans différents livres * ses travaux et recherches sur la réalité vampirique dans l’Europe de l’Est. Il y révèle que les slaves de l’Elbe faisaient des sacrifices au dieu à quatre tête Svantovit (photo 2), les Lutices entre l’Elbe et l’Oder sacrifiant quant à eux des humains au dieu Svarazic, ces dieux sanguinaires étant devenus Nesferitu/Nosferatu au cinéma. Par ses descriptions, ces créatures prédatrices ressemblent au "succube" méditerranéen qui attaque de nuit et ravit l’énergie vitale des victimes.

Ce sont les chamans Dhampire qui parfois aident les populations à se débarrasser de ces entités, le mot dhampir étant associé au folklore des Roms ou des Balkans, région dont la culture populaire considère que les vampires mâles sont pourvus d’un grand désir pour les femmes, et qu’un vampire revient régulièrement pour avoir des relations sexuelles avec son épouse ou avec une autre femme. Dans le folklore bulgare, les vampires sont réputés être parfois surpris à déflorer des vierges, ou s’installer dans un village en cachant leur nature de vampire, afin de se marier et d’avoir des enfants. L’activité sexuelle du vampire semble être une particularité des vampires slaves du Sud, même si un fondement similaire se produit aussi dans les légendes biélorusses.

Certaines traditions précisent les caractéristiques par lesquels les enfants de vampire peuvent être reconnus. Dans les légendes serbes, ils ont une grande tête avec des cheveux sombres ou noirs en bataille et ne possèdent pas d’ombre. Dans le folklore bulgare, les indications caractéristiques des dhampires sont leur saleté, un nez camus, un corps mou, sans ongles, ni os (cette dernière particularité physique est également attribuée à un vampire lui-même) et une profonde marque sur le dos, comme une queue. En revanche, un nez prononcé est souvent un signe déterminant chez un dhampire comme le sont également les oreilles, les dents, les yeux plus grands que la normale.

Il existe des descriptions d’apparences plus "normales" des dhampires, qui ne les dépeignent pas tout à fait comme des êtres humains, mais tout de même d’aspects attrayants. Ils apparaissent souvent comme étant très pâles, grands et minces, avec une très solide et notable structure squelettique, ayant des yeux noirs (Cf. image 3). Ces caractéristiques sont généralement des traits communs avec les morts ou mourants. Certains écrits affirment qu’on les identifie également par leur maladresse, leurs membres courbés, ou par des traits tels que la fascination pour le macabre ou le mystique, ainsi que par la lutte contre les prouesses paranormales ou par la rapidité de réaction, peut-être découlant de pouvoirs paranormaux ou de forces mystiques, caractéristiques associées à leur père, vampire. Ils sont souvent décrits comme des êtres torturés, déchirés entre le monde des vampires et celui des humains. Solitaires, ils sont généralement exclus des deux mondes. Ils sont également souvent affligés de problèmes de santé, comme les troubles bi-polaires des dépressions majeures, la folie, le syndrome de chaleur, la photodermatose ou l’anémie. Durant leur adolescence, nombre de dhampires cherchent à se suicider, tendances qui peuvent continuer à l’âge adulte.

Les dhampires sont censés posséder de nombreuses caractéristiques qui manquent aux humains. Par exemple, la capacité de sentir les vampires, une force/vitesse/agilité surhumaine, et la résistance aux capacités vampiriques comme l’hypnotisme. Les dhampires ne sont pas allergiques à l’ail et n’ont aucune des faiblesses associées aux vampires, à l’exception, pour certains d’entre eux, d’un besoin de sang. Pour ces derniers, le fluide les rend alors encore plus puissants.

*1972 : "Vampires, Dwarves and Witches Among the Ontario Kashubs" ; 1976 : "Vampires of the Slavs" ; 1982 : "The Romanian Folkloric Vampire" & "Reprinted in The Vampire : A Casebook" ; 1989 : "The Darkling : A Treatise on Slavic Vampirism" ; 2006 : "Vampire Lore : From the Writings of Jan Louis Perkowski".

 

Comme physiologiquement le corps animal de l'humain en sa 3ème densité de réalité est programmé pour répondre aux flux hormonaux qui parcourent son organisme, il est l'outil de contrôle de prédilection des prédateurs de 4ème densité par leur capacité à déclencher diverses montées hormonales : testostérone pour le désir sexuel, adrénaline et cortisol pour le stress et la peur, endorphine pour le plaisir, mélatonine pour le sommeil, etc.

 

Les distorsions de l'énergie sexuelle

 

Il y a toujours une attraction des forces vitales de l'un à l'autre dans tout mélange social humain qui se produit automatiquement. Le sexe est de ce fait l'un des moyens les plus puissants pour chacun de puiser dans la force vitale de l'autre, ou pour l'un de puiser dans celle de l'autre, ce qui se produit aussi souvent de manière unilatérale au grand détriment de "l'autre". Car la plupart du temps, nous ne remettons pas en question nos passions et nos impulsions. Nous croyons en effet nous connaître en tant qu'adultes, alors même qu'il nous arrive de confondre les besoins insatisfaits de l'enfance avec nos véritables désirs de la maturité... ainsi que de confondre le moi conditionné avec le vrai moi. De plus, il est rare que nous examinions nos fixations et nos "désirs" sexuels, nous contentant d'agir en fonction de leur apparition en supposant que c'est bien ce que nous sommes. Nous nous sentons simplement "sexuels" ou "excités", et nous avons donc simplement besoin de faire l'amour ou de nous masturber. Il en résulte que de nombreuses personnes ont toutes sortes de pratiques sexuelles "déconnectées"/dépendantes, la plupart ne les remettant jamais en question. Sans s'en rendre compte, elles sont entourées d'une sorte de petit essaim d'entités, qui sont un peu visqueuses et assez laides, et qui les tourmentent constamment, éveillant en elles le désir*.

* Cf. écrits de Maurice Magre (1877/1941), écrivain, poète et dramaturge français (il fut un défenseur ardent de l'Occitanie, contribuant grandement à faire connaître le martyre des Cathares du XIIIᵉ siècle).

 

C'est pourquoi cette interférence hyperdimensionnelle se retrouve tout "naturellement" dans la mise en place de relations amoureuses entre des personnes qui ne sont pas nécessairement des personnes enlevées. C'est le côté obscur de Cupidon, bien différent des relations amoureuses humaines dont on pense qu'elles sont le fruit d'une intervention divine et des récits mystiques sur la façon dont la flèche de Cupidon a réuni comme par magie de véritables âmes sœurs, celles-ci découlant généralement d'un cadre positif permettant de trouver son véritable amour, sa flamme jumelle ou son âme sœur.

Ces relations amoureuses qui se terminent au contraire de manière désastreuse, comme si une intelligence surnaturelle s'interposait en tant que Cupidon, ont la plupart du temps un début qui semble magique, comme si une force invisible avait été à l'œuvre pour forger de puissantes connexions psychiques, pour ensuite se transformer en une spirale de drames émotionnellement épuisants. La personne est alors soit drainée psychiquement, soit jetée dans une relation de haut niveau, manipulée émotionnellement car ne possédant pas la maturité émotionnelle ni la sagesse spirituelle contribuant l'une comme l'autre à l'exercice du discernement. C'est une forme indirecte de nourrissage psychique, le partenaire étant utilisé comme une sorte de portail pour une entité interdimensionnelle et parasitaire. Le "Cupidon noir" accède de cette manière à l'énergie des deux amants par une sorte de transfert d'énergie par médiation. Si ce lien puissant est souvent ressenti comme un véritable amour pour celui dont il se nourrit, pour le vampire, le partenaire peut n'être rien d'autre qu'un fixateur d'énergie ou une dépendance. Il peut en résulter un amour non réciproque pour les malheureux pris dans le filet. Un sous-produit dangereux de l'alimentation sexuelle des vampires psychiques est une connexion puissante qui donne l'impression d'être le véritable amour ou l'âme sœur de quelqu'un. D'où la contrefaçon de la connexion "âme-sœur".

 

"La chimie sexuelle et les rapports sexuels eux-mêmes sont également une méthode privilégiée pour créer un lien puissant pour l'alimentation psychique. Il est très important de ne pas participer à la normalisation des comportements sexuels qui ne sont pas fondés sur le respect mutuel et une profonde révérence. Cela peut sembler prude, mais je pense que la sexualité humaine est puissante et menaçante pour les forces obscures et qu'elles utilisent la déviance sexuelle normalisante et les comportements sexuels lâches pour détruire les gens et empêcher le véritable potentiel spirituel de l'homme sur le plan sexuel d'être réalisé et apprécié. Il n'y a pas de comparaison possible lorsque la sexualité sacrée est honorée, réalisée et/ou connue. Les formes inférieures de sexualité sont alors manifestement répugnantes, basses et dégradantes pour toutes les personnes concernées."


"Avoir le bon sens de fixer des limites appropriées, trouver et traiter nos points aveugles et nos traumatismes passés qui créent des réactions inconscientes et développer la capacité de discernement hautement évoluée est d'une importance extraordinaire. Si nous ne nous sommes pas attaqués à nos propres points aveugles et déclencheurs inconscients ou si nous n'avons pas une idée claire de ce qui se passe réellement, cela peut être l'un des moyens les plus faciles que les narcissiques et les entités peuvent utiliser pour prendre et détourner notre énergie".

Eve Lorgen, "Le côté obscur de Cupidon"

 

Il ne s'agit évidemment pas de nier notre sexualité, de tomber dans la programmation de la honte/culpabilité pour avoir certains désirs, ou de nier nos pulsions sexuelles biologiques naturelles. Le sexe est beau et guérisseur à tant de niveaux, s'il est utilisé de manière appropriée et avec considération, et s'il est guidé par la présence d'un amour sincère. Aussi s'agit-il plutôt de nous comprendre vraiment, de savoir d'où viennent réellement nos désirs et comment nous avons tendance à utiliser le sexe (parfois) pour éviter d'être confrontés à des vulnérabilités émotionnelles plus profondes et à des liens plus intimes avec une autre personne... au-delà de l'alchimie physique. Ceci entend qu'il est crucial d'assumer la responsabilité des problèmes qui surgissent dans les relations, et de comprendre comment la projection d'ombre, les blessures de l'enfance, les blessures narcissiques (et la psychologie de base en général) se jouent à travers ces parties inconscientes de l'image de notre père/mère dont nous ne sommes pas conscients, y compris comment nous pouvons essayer de faire satisfaire des besoins d'un partenaire que nous n'avons pas reçus de nos parents pendant notre enfance. Un travail psychologique de base (et la prise de responsabilité pour le Soi) est donc absolument nécessaire. Cette recherche hyperdimensionnelle ne vise pas à blâmer les autres, mais à comprendre qu'il y a plus dans la réalité que ce dont nos cinq sens sont conscients et ce que la société nous a appris.

Il est de même indispensable de considérer que nous sommes tous dans cette réalité terrestre des portails organiques (PO), à un degré ou à un autre, car le "prédateur", la façade de la matrice, agit à travers nous tous à des degrés divers, jusqu'au moment où nous commençons à faire l'effort d'acquérir une (auto-)connaissance. Nous sommes tous des "mangeurs" d'énergie d'autrui, jusqu'à ce que nous apprenions à arrêter de nous nourrir des autres et comment empêcher les autres de se nourrir de nous. Car la plupart des individus ayant une âme n'ont pas encore été capables de voir derrière le mensonge de la Personnalité. Tant que cela n'aura pas été le cas, ces personnes fonctionneront et verront le monde et elles-mêmes comme si elles étaient des portails biologiques. Cette connaissance comprend : travailler sur la fusion de ces centres bioénergétiques qui nous relient à notre moi supérieur de manière consciente; se déloger des programmes de la matrice et des comportements mécaniques conditionnés afin de pouvoir utiliser notre volonté de manière consciente et éveillée; et ancrer notre conscience dans le corps physique (au lieu de rester isolé dans la tête). C'est ce travail, rigoureux et permanent, qui constitue et forge la base pour atteindre la véritable liberté de notre choix, qui est notre droit de naissance.

 

Une véritable compréhension du portail organique et du monde dans lequel nous vivons nous donne les connaissances nécessaires pour en sortir "vivant", que ce soit littéralement ou qu'il s'agisse simplement de vivre selon notre véritable nature d'âmes enfermées dans des corps matériels afin d'apprendre d'importantes leçons que seul ce monde peut enseigner.

Leçon numéro 1 : Toujours s'attendre à une attaque.
Leçon numéro 2 : Connaître les modes d'attaque.
Leçon numéro 3 : Savoir comment contrer les mêmes.
En s'attendant à ces attaques*, nous apprenons à nous en "prévenir", et de ce fait à les neutraliser. C'est ce qu'on appelle la vigilance, qui est ancrée dans la connaissance. Car il est indispensable de comprendre que notre blocage découle d'un manque de foi dans le concept. Nous avons été endoctriné par la religion, la culture et/ou la science, expliquant que nous sommes prédisposé à voir toutes choses dans le sens de la réalité physique mesurable exclusivement. Aussi devons-nous être guéri du manque de foi dans la réalité de ces attaques non physiques.

* Tant qu'une personne ne réalise pas qu'une attaque peut se produire, même à travers elle-même, par sa femme ou mari, son ou ses enfants, ses parents, ses amis - pratiquement tout le monde -, personne n'est à l'abri.

 

Des drapeaux rouges ou signaux d'alerte

"Un "drapeau rouge" est un système d'alerte interne qui se déclenche lorsque quelque chose ne va pas dans la relation amoureuse placée sous le sceau de la paranormalité. Certains sont de nature subtile, tels les sentiments de "ne pas avoir tout à fait raison", tandis que d'autres sont plus manifestes, comme les cauchemars et les avertissements psychiques sous forme de rêves ou de visions. D'autres personnes ont fait état de sensations d'avertissement très physiques, comme l'agitation, les crampes d'estomac, les changements d'appétit, les douleurs à la mâchoire et les maux de tête. D'autres encore ont remarqué des symptômes mentaux ou émotionnels tels que l'anxiété ou la nervosité.

Dans la mesure où lorsqu'un enfant grandit en associant la violence verbale, physique et/ou émotionnelle prodiguée à son encontre comme étant normale, il réprime et ignore ses "signaux d'alarme", expliquant que les adultes qui ont été maltraités ou privés émotionnellement dans leur enfance sont moins susceptibles de réagir à ces signaux. Pourtant, il leur est possible de reprendre conscience de ces réactions physiques en prêtant une attention particulière à leurs sentiments et en travaillant activement à la guérison de leurs traumatismes. Le faire seul ne fonctionne généralement pas. Il est beaucoup plus utile de trouver une personne compatissante pour nous entendre et nous comprendre, quelqu'un qui peut nous aider à prendre conscience de nos propres points faibles. À long terme, l'isolement ne fait que créer davantage de problèmes.

En ce qui concerne les interférences paranormales dans nos vies, le manque de conscience généralisé n'est pas seulement le résultat d'un traumatisme ou d'une blessure psychique non cicatrisée. Il s'agit généralement davantage de notre conditionnement social, voire de la censure pure et simple de choses comme les OVNI, les extraterrestres, l'expérimentation du contrôle des esprits, les anciennes écritures ou les traditions indigènes qui mettent en garde l'humanité contre le combat spirituel.
Comme le plus souvent les drapeaux rouges ne sont reconnus qu'avec le recul, après le début de la relation amoureuse ou même après sa fin, le plus grand obstacle à leur reconnaissance dans le temps est un simple manque de connaissance. Ci-après leur liste :
. Rêves du partenaire avant de le rencontrer, suggérant quelque chose de pré-cognitif.
. Sensations physiques dans le plexus solaire, les parties génitales, l'intestin ou d'autres zones du corps, comme le cou, le cœur et entre les épaules.
. Visites sexuelles astrales et/ou télesthésie, soit la détection du corps énergétique de manière sexuelle et très physique, comme si un autre être était présent mais invisible.
. Connexion psychique forte, même si nous n'aimons pas vraiment notre partenaire.
. Passion sexuelle puissante et besoin obsessionnel de faire l'amour, même dans les cas où nous n'aimons pas notre partenaire ou qu'il ne nous aime pas et/ou est violent.
. Réactions psychiques et coïncidences de l'un ou l'autre partenaire, comme recevoir un appel téléphonique ou un courriel de notre partenaire au moment où nous pensons à couper la connexion.
. Un sentiment d'épuisement émotionnel ou physique.
. Un partenaire qui se retrouve soudainement déconnecté émotionnellement ou "débranché psychiquement".
. Sentiment d'être regardé ou d'être joué comme une marionnette dans un mythe dramatique.
. Activité paranormale, visites ou attaques d'une "entité" tierce, rêves, visions et pensées soudains comme s'ils étaient implantés.
. Pensées obsessionnelles qui ne sont habituelles pour aucun des partenaires
. Des synchronicités, des présages, et le sentiment d'être dans une réalité magique.

Ces drapeaux rouges ne sont pas nécessairement une réponse au partenaire amoureux, pouvant provenir de l'atmosphère générale de la relation elle-même, comme si elle était arrangée par une force intelligente derrière le rideau. Il faut être attentif à ne pas blâmer le partenaire lorsque le côté obscur de "Cupidon" se manifeste, car d'autres facteurs entrent en jeu. D'autant plus qu'aborder ce sujet avec un partenaire utilisé comme un conduit par lequel d'autres entités peuvent opérer n'est pas une tâche facile, l'esprit prédateur dans son subconscient s'en défendant et rejetant les préoccupations au point qu'aucune discussion objective ne sera possible. Dans de tels cas, il semble évident que "quelque chose d'autre" injecte des pensées, des tampons et des mécanismes de défense dans l'hôte (qu'il prend pour ses propres pensées) parce qu'"il" ne veut pas être exposé.

 

Tout ceci explique que l'abus et la distorsion du sexe, de ce fait de la sexualité, contribuent aux dysfonctionnements permanents de notre société, celle-ci sur-sexualisée étant "profondément malade", confuse. Cela va bien au-delà des expressions évidentes de la mutation de la sexualité - telles que la pédophilie, le viol, le harcèlement sexuel, le porno, etc. -, dans la mesure où elle pénètre constamment la culture dominante, à un point tel que de nombreuses personnes considèrent les symptômes comme des comportements et des désirs sexuels "normaux" ou "sains". Par exemple, nous voyons beaucoup d'individus qui publient des photos "sexy" d'eux-mêmes sur les médias sociaux, avec une tentative consciente (ou inconsciente) de s'en nourrir, ou de les faire passer pour de l'"art". Cependant, ce qui se nourrit réellement de ces affichages, c'est le prédateur transdimensionnel qui agit à travers l'individu.

Cela est également lié à l'épidémie de narcissisme collectif en constante augmentation à notre époque, de nombreuses personnes soutenant activement les tendances narcissiques des autres parce qu'elles sont devenues si normalisées et encouragées. Si la spiritualité est devenue un outil de manipulation dans le défilé du "mouvement conscient" d'aujourd'hui *, il en va de même pour la sexualité. Et comme la vérité se mêle aux mensonges, le discernement est encore plus difficile à déployer avec un sujet dont nous ignorons la plupart des choses. Il en découle que la tentation de se mentir à soi-même sur le "tableau sexuel global" est encore plus prononcée.
Il existe également une différence très réelle entre le véritable plaisir sexuel (entrepris pour s'amuser, créer des liens sains et enrichir le plaisir) et ces pulsions et envies inconscientes qui sont fondées sur des abus sexuels et émotionnels, voire sur la violence, et déguisées en activités "ludiques". Il est intéressant de noter qu'après des milliers d'années de socialisation sexuelle, nous ne sommes toujours pas parvenus à une compréhension plus approfondie des mystères de l'énergie sexuelle et de son véritable pouvoir, à savoir ses capacités créatives et de guérison. Nous ne saisissons tout simplement pas les effets plus profonds de la façon dont nous utilisons ou abusons du sexe et de l'énergie sexuelle, ni l'impact que cette fréquence a sur d'autres domaines de l'existence. Nous ne comprenons pas que d'autres êtres, entités, s'en nourrissent, travaillent à travers nous pour en générer davantage, et comment nous sommes animés par des forces dont nous n'avons pas du tout conscience. Le résultat est le renforcement de la prison-matrice dans laquelle nous nous trouvons.

* Cf. Prédation spirituelle et voie de sortie.


"Le sexe joue un rôle énorme dans le maintien de la mécanique de la vie. Tout ce que les gens font est lié au "sexe" : la politique, la religion, l'art, le théâtre, la musique, tout est "sexe". Pensez-vous que les gens vont au théâtre ou à l'église pour prier ou pour voir une nouvelle pièce de théâtre ? C'est seulement pour les apparences. La chose principale au théâtre comme à l'église, c'est qu'il y aura beaucoup de femmes ou beaucoup d'hommes. C'est le centre de gravité de tous les rassemblements. Que pensez-vous de ce qui amène les gens dans les cafés, les restaurants, les fêtes diverses ? Une seule chose. Le sexe : c'est la principale force motrice de toute mécanique. Tout sommeil, toute hypnose, en dépend."

Georges Ivanovitch Gurdjieff, In Search of the Miraculous ("À la recherche du miraculeux : fragments d'un enseignement inconnu") de Piotr Demaniovitch Ouspensky (1949)

 

Il est à comprendre que nous ne sommes en aucune façon le sommet de la création de la conscience de la Source, Ce Qui Est. Contrairement à cette tenace illusion, l'humanité n'est pas si spéciale et unique que rien (autre que nous-même) ne pourrait nuire, contrôler ou manipuler notre espèce. C'est en fait assez anthropocentrique de penser de cette façon. Tout ce qui nous arrive n'est pas dû à nos propres pensées et actions. Il ne s'agit pas de blâmer ou de faire des victimes, mais plutôt de transcender notre vision égocentrique de la réalité et de l'univers.
Il existe bel et bien d'autres "forces" dans nos vies qui nous affectent plus que la plupart ne le pensent, et qui agissent indépendamment plutôt que de provenir de notre propre matière noire. Le cycle d'apprentissage ne cesse de tourner, et l'humanité a encore beaucoup de choses à affronter et à apprendre, notamment pour atteindre un niveau de conscience qui peut nécessiter une toute nouvelle compréhension de la réalité. Il y a toujours plus à saisir et à découvrir, et c'est un processus qui exige des ajustements et de nouvelles perspectives à mesure que nous élargissons notre vision du monde tel qu'il est. C'est ce qu'implique le terme "sensibilisation". Les gens qui sont coincés dans une idée ou un mode d'enseignement - et qui essaient de tout expliquer par ce cadre - construisent leur propre boîte à réalité auto-limitée.
Cette "maladie de l'angle mort" concerne la philosophie, la spiritualité, la psychologie, l'astrologie, la science ou toute religion (orientale et occidentale) où les experts de ces systèmes ne regardent qu'à travers une seule lentille, souvent nourrie de perspectives déformées ou fausses lorsqu'ils examinent les mystères de la vie, sans réaliser que cette approche peut facilement conduire à une distorsion et à une vision "tunnel de la réalité". Elle peut également devenir un sujet de fierté égoïste, empêchant ainsi la personne d'admettre qu'il y a peut-être plus dans l'histoire qu'elle n'avait pas envisagé auparavant, surtout lorsque sa carrière dépend de la défense de son point de vue et qu'elle a une image à vendre et une réputation à tenir.

 

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Rituel initiatique à la "magie sexuelle"

Le dévoiement par la sexualité de la conscience humaine a de tous temps constitué la pratique privilégiée des "élites" asservissantes, tout particulièrement de nature hybride. Il s'agit de réveiller les basses fréquences en encourageant l’animalité, l'éjaculation conduisant à la perte de puissance pour l'homme, son sperme possédant des particules encodées contenant une partie de sa force personnelle. La luxure est synonyme de joie comme de souffrance, abolissant toute distinction entre le bien et le mal. C'est pourquoi les "royaux" s'y vautrent à l'insu de leurs proies, symbolisant de cette manière leur pacte avec la force des ténèbres…*

La sexualité animale coupe les individus inconscients de leur "troisième œil" situé dans la glande pinéale*², afin de leur interdire d'accéder à la réalité de leur supraconscience, les confinant dans les fréquences de leurs trois premiers chakras, liés à la matière et l’émotion. Le piège sexuel est ainsi conçu pour "dominer et maîtriser la conscience d’une personne, afin de la soumettre totalement et de la rendre esclave d’une pensée empirique établie sur les basses fréquences".

Ce vampirisme sexuel trouve ses racines tout particulièrement sur les rives de la mer Caspienne, mer "morte" car fermée d’Asie occidentale principalement alimentée par la Volga, bordée au nord et à l’est par les steppes de l’Asie centrale, à l’ouest et au sud par des chaînes himalayo-alpines comme celle du Caucase. Les pays riverains sont le Turkménistan au sud-est, l’Iran au sud, l’Azerbaïdjan au sud-ouest, la Russie au nord-ouest et le Kazakhstan au nord-est, soit le royaume des Huns "sataniques" adorateurs de Ba'al, les barbares Khazars auteurs de viols et mangeurs d'enfants du temps de leur roi dégénéré Bulan*³. Nous en retrouvons nombre de descendants à la tête de nos pyramides contemporaines, tout particulièrement financières, et qui, dépourvus de toute connexion divine naturelle, imposent leur "dieu" des Enfers à toute l'humanité, ivre d'un sang autre que celui donné par Dame Nature pour survivre dans ses Ténèbres...

* Cf. Explication dans le chapitre "Dérive sanglante" de la publication Les psychopathes qui nous gouvernent.

Cf. Fonctionnement du corps biologique.

*³ Cf. Le Judaïsme décodé.

Cf. en complément les expériences connues sous le nom de "Babalon Working" de l'inventeur, ingénieur et chimiste américain John Whiteside "Jack" Parsons (1914/1952), l'un des pionniers de la propulsion spatiale (associé au California Institute of Technology - Caltech - et un des principaux fondateurs du Jet Propulsion Laboratory et de l'Aerojet Engineering Corporation). Il a publié le livre de Babalon, ou Liber 49, qu'il aurait écrit sous l'influence de l'entité Babalon au cours de ces expériences, notamment de magie sexuelle. Il clame être la suite du "Livre de la Loi" du sataniste Aleister Crowley. De janvier à mars 1947, il va conduire une série d'expériences visant à provoquer une incarnation charnelle de Babalon.

 

La corruption institutionnelle, d'une partie des forces de la police comme de la magistrature, couvre la question du réseau organisé des êtres humains relais et opérateurs de ces forces prédatrices destructrices de la conscience, qui se retrouvent dans le satanisme pratiqué dans certaines hautes sphères de la société, dans les pratiques du contrôle mental basé sur les traumatismes (le trouble dissociatif de l’identité exploité pour faire des esclaves sexuel-les), ainsi que dans la sphère des médias mainstream qui jouent tous en chœur la même partition, celle de la version d'un prédateur isolé, évacuant honteusement la version, pourtant évidente, d’un vaste réseau établi…

 

De la pédocriminalité (1)

Église, cinéma, littérature et autres domaines culturels, disciplines sportives, personnes "morales" diverses (entreprises, organisations publiques, organisations de la société "civile")... l'actualité ne cesse désormais de charrier l'état des lieux boueux de ce fléau pourtant "vieux comme le monde", qui établit la dégénérescence d'êtres dits humains soumis aux forces prédatrices qui les dominent et qu'ils ignorent.

C'est par exemple le cas du réseau social Twitter dont une analyste indépendante de données de cybersécurité travaillant aux côtés de hauts responsables de la société a découvert que des comptes affichant des contenus liés à l’exploitation sexuelle d’enfants ont recueilli plus de dix millions de vues sur la plateforme du temps de l’ancien propriétaire (Jack Dorsey), aboutissant à l’éradication de plus de 500 comptes sollicitant du contenu lié à l’exploitation sexuelle d’enfants (Child Sexual Abuse Material – CSAM), ce qui a conduit environ 30 grands annonceurs à retirer ou à mettre en pause leurs services publicitaires sur leurs comptes Twitter. Son dernier rapport en décembre 2022 a révélé que plus de 95 % de plusieurs comptes actifs exploitant du CSAM, qui comprendrait des vidéos d’enfants et d’adolescents impliqués dans des activités sexuelles, ont agi en toute impunité pendant des années. De même, un vaste réseau de pédophilie impliquant des fonctionnaires de haut rang a été découvert sur Instagram par des journalistes du Wall Street Journal et des chercheurs de l'université de Stanford et de l'université du Massachusetts Amherst en juin 2023. Ils ont découvert que grâce à l'algorithme d'Instagram, Instagram héberge des contenus pédophiles et vend spécifiquement l'accès à des viols d'enfants à des pédophiles en utilisant des mots de code "pizzagate". La société mère Meta Platforms a indiqué qu'elle "reconnaissait l'existence de problèmes" dans l'application des règles relatives aux violations de contenu, et a assuré qu'elle avait déjà supprimé "27 réseaux pédophiles", d'autres étant en cours d'élaboration. Mais la réalité est qu'il sera difficile d'éradiquer les réseaux pédophiles sur Meta.

C'est aussi la mobilisation de nombre de stars d'Hollywood, tel Elijah Wood, acteur vedette de la production Le Seigneur des Anneaux, l'acteur, producteur, réalisateur, chanteur et compositeur états-unien Corey Feldman, la cinéaste Amy J. Berg (auteure en 2006 de Deliver Us from Evil sur les cas d'abus sexuels dans l'Église catholique romaine), ou encore l'ancien acteur et désormais réalisateur Mel Gibson, qui d'ailleurs craint désormais pour sa vie après avoir juré en 2023 de révéler l'existence d'un réseau pédophile d'élite opérant au cœur du système dégénéré hollywoodien et sa protection des pratiques des pédocriminels sur des mineurs acteurs abusés sexuellement qui la peuplent. Il en est de même avec les pratiques de l'empire Disney, le royaume des enfants, un rapport de 2014 de la chaine CNN ayant mis en évidence qu’au moins 35 employés de Disney World avaient été arrêtés au cours d’une période de huit ans depuis 2006 pour des délits sexuels présumés sur des enfants, la plupart occupant des postes leur accordant un accès sans précédent aux enfants. Quant à lancien enfant acteur Cole connu pour ses rôles dans "The Suite Life of Zack and Cody" et "Riverdale", il  a confirmé dans une interview au New York Times publiée le 4 avril 2022 que la Walt Disney Company sexualise les jeunes actrices, ajoutant que les traumatismes font partie intégrante de ce que les enfants acteurs doivent endurer : "Quand on parle des enfants stars qui deviennent fous, ce dont on ne parle pas vraiment, c’est que la célébrité est un traumatisme." De Pixar à Marvel en passant par Star Wars, les propriétés de Disney ont pleinement adhéré au mouvement LGBTQAI2S+, et ne font qu’intensifier leurs efforts, notamment avec le service de streaming Disney+ qui offre une autre voie d’accès à l’esprit des jeunes enfants pour intégrer des messages homosexuels et transgenres dans ses contenus...

Rien de surprenant de ce fait à ce que Disney s’oppose au projet de loi de l'Etat de Floride - officiellement nommée "Parental Rights in Education Act" -  qui lutte contre la sexualisation des enfants et de renforcement des droits parentaux en matière d’éducation en empêchant les établissements d’enseignement et leurs employés d'enseigner aux enfants jusqu’à la troisième année des sujets liés à l’orientation sexuelle ou à l’identité de genre. Quel est en effet l’intérêt d’enseigner à de très jeunes enfants la sexualité ou la politique de genre, si ce n’est pour les préparer à faire avancer l’agenda LGBT ! Disney ne peut plus être considéré comme une entreprise familiale, et encore moins comme une entreprise pour enfants, devant être traitée comme tel.

Les sciences médicales, psychologiques et sociologiques, livrent nombre d'explications à cette pathologie mentale et/ou génétique. Quant à l'entourage des auteurs concernés, il oscille entre surprise et indignation, quelquefois voire souvent feintes, tentative pathétique de dissocier "l’œuvre" ou le talent d'ordre public du comportement individuel privé, jusqu'à tancer pitoyablement l'ordre moral délétère régnant ou se réfugier pathétiquement dans le "Qui n'a pas ses failles intimes ?"... Accusateurs, défenseurs comme défendeurs se relaient sur les plateaux médiatiques affamés de sensationnalisme, leurs animateurs clownesques, dont nombre se parent du sceau de l'expertise con-sacrée, dirigeant les débats inévitablement chaotiques entre les "Pour" et les "Contre" tels des charognes affamées de l'audience monétisée dont ils se repaissent. Ignorant la "réalité" de ce bas monde faute d'avoir réinterrogé tant les croyances et conditionnements reçus que leur égo-personnalité survitaminé et infatué, ils n'ont pas conscience du pourquoi de ces prédateurs distillés au sein de nos pyramides de gouvernance*, et tout particulièrement à leur tête.

Ces individus, pour la plupart intellectuellement brillants, et auxquels nous pourrions donner le "bon Dieu sans confession", ne sont tout simplement pas des êtres humains au sens premier du terme. Ils sont des "anthropoïdes", des humains sans âme*² autrement nommés supports organiques, conçus et programmés par nos maîtres généticiens du champ astral pour assurer la partition involutive de la civilisation humaine - la cinquième - dans son fonctionnement terrestre, et dont ils ont besoin tels des vampires dans leurs ténèbres, car privés de la Lumière à même de leur permettre d'évoluer. Ne percevant pas le monde comme les humains-âmes même si leur capacité de mimétisme le laisse parfaitement penser, ils sont à l'intérieur tels des reptiles, froids, dénués d'émotions, de compassion et d'états-d'âme. Parmi eux, se trouvent de véritables "tueurs", au propre comme au figuré, dont le sadisme est la marque de fabrique première. Leur mets de choix est l'enfant, la jeunesse étant porteuse d'une pureté énergétique bien supérieure à celle de l'adulte pour leur survie énergétique. Aussi la captation de l'énergie est leur priorité, que ce soit à travers l'énergie sexuelle issue de la force du bassin voire, lors de rituels criminels sanglants, de celle contenue dans le liquide physiologique qu'est le sang. A chaque fois, cette énergie est décuplée par la peur ressentie par leur victime, qui sous stress, assure une production hormonale incomparable à même de satisfaire leurs besoins vitaux.  

* Cf. Le modèle pyramidal décodé.

Cf. Les acteurs de la matrice falsifiée & Les psychopathes qui nous gouvernent.

 

La face cachée de la mutinerie du Bounty

Le  célèbre récit de la mutinerie du Bounty, une frégate de la Royal Navy, a fait l'objet de nombreuses œuvres de fiction tant littéraires que cinématographiques. Il décrit une mutinerie le 28 avril 1789 dans le Pacifique Sud de marins mécontents, qui, menés par le second capitaine, s'emparèrent du navire en  abandonnant à la dérive sur une chaloupe leur capitaine et 18 marins qui lui étaient restés loyaux. Les mutins s'installèrent ensuite sur l'île Pitcairn du côté de Tahiti, avant que de rapidement tomber malades et de s'entretuer. Pitcairn est encore habitée de nos jours par les descendants des mutins et de leurs compagnes tahitiennes.

Toutefois, une autre version décrit l’île de Pitcairn, l’un des vestiges les plus isolés de l’Empire britannique, comme un paradis joyeux et paisible, épargné par le vice et l’horreur.

Ce n'est que récemment, en 1996, que le secret de Pitcairn a été révélé, celui de générations de viols et d’attouchements d’enfants comme mode de vie. Cette révélation s'appuyait sur le jugement de certains descendants comme le maire de l’île, accusé d'avoir violé et abusé d’enfants, en l'occurrence des jeunes filles.

 

Les réseaux sociaux constituent ainsi une base de premier choix pour les utilisateurs pédocriminels pervers. C'est ainsi que Meta, le géant propriétaire notamment de Facebook et d’Instagram, a reconnu en décembre 2023 dans un document juridique issu d’un procès intenté par l’État américain du Nouveau-Mexique (capitale Santa Fe) à son encontre qu'environ 100 000 enfants étaient chaque jour harcelés à des fins sexuelles sur ses deux plateformes de médias sociaux via des messages non sollicités et notamment par l'envoi d'images d’organes génitaux d’adultes. Plusieurs employés de Meta ont d'ailleurs fait part à différentes reprises à leur employeur de leurs inquiétudes concernant l’exploitation des enfants sur leurs plateformes respectives, celui-ci ne pouvant ignorer de ce fait que des prédateurs sexuels ciblent ses plus jeunes utilisateurs. Un cadre supérieur a même témoigné devant le Congrès américain sur la façon dont sa fille avait été sollicitée sexuellement sur Instagram et sur ses propres efforts, finalement vains, pour mettre fin au phénomène...

 

De la pédocriminalité (2)

Aujourd’hui, selon le chiffre officiel de l’OCRVP (Office Central de Répression des Violences aux Personnes), la France est en 2022 le 4ème pays dans le monde consommateur d’images pédopornographiques, à l'instar du fils de l’homme d’affaires Marc Ladreit de Lacharrière qui a été condamné en 2022 à un an de prison ferme (aménagée avec un bracelet électronique et une obligation de suivre des soins) pour détention de 3.865 fichiers mettant en scène des enfants âgés de 4 ans à 14 ans, dénudés et violés pour nombre, celui-ci ayant tenté de s’expliquer et se justifier dans le box de la salle d’audience en disant "Je souffre d’une addiction aux écrans et je suis éphébophile. J’aime regarder les corps dénudés de jeunes filles âgées de 11 ou 12 ans".

De son côté, le géopolitologue Morad El Hattab, surnommé "Le Président des enfants" en raison de son long combat contre les réseaux pédocriminels, n'a de cesse de dénoncer l'omerta des autorités sur la présence directe comme indirecte (ainsi Daniel Cohn-Bendit) au gouvernement de l'ancien Premier ministre Jean Castex ou de sa successeure Elisabeth Borne de membres notoirement pédophiles, qui ne font que perpétuer ceux qui l'étaient ou le furent dans des gouvernements précédents, tout comme les freins opposés à des enquêtes internationales portant sur ces prédateurs sexuels (ce fut le cas dans l'affaire Jeffrey Epstein sous les présidences "démocrates" de William dit Bill Clinton et Barack Obama). Comment s'étonner alors que la France soit surnommée avec dégoût à l'étranger "Pédoland", un pays où les fichiers d'enfants sodomisés et torturés se vendent entre 2 500 et... 1 million d'euros, et où quatre fonctionnaires émérites en charge d'enquêter sur ces réseaux ont été assassinés dans un soi-disant attentat terroriste* !

Quant aux Etats-Unis, selon un nouveau rapport publié en 2023 par le groupe de réflexion conservateur l'Institut pour la défense de la liberté, les employés des écoles publiques américaines qui abusent sexuellement des enfants sont généralement transférés trois fois dans des écoles différentes avant d'être finalement arrêtés, faisant jusqu'à 73 victimes avant d'être finalement punis. Ces enseignants de districts scolaires publics accusés d'abus ont vu leur dossier effacé avant d'être mutés à de nouveaux postes, où les abus se sont poursuivis, le licenciement d'enseignants pouvant être une procédure coûteuse pour les districts scolaires. C'est pourquoi ceux-ci négocient souvent des accords de confidentialité avec les syndicats, en vertu desquels un enseignant peut démissionner ou être rétrogradé pour éviter des mesures disciplinaires, avant d'être transféré dans une autre école avec une ardoise vierge.

Du côté des Nations unies, un ancien responsable de l’aide humanitaire a dénoncé en septembre 2023 la pédophilie au sein de l’organisation. Il a publié un rapport inquiétant dans lequel il affirme que les Nations unies emploient "au moins 3 300 pédophiles" et que le personnel de l’ONU a commis au moins 60 000 viols au cours de la dernière décennie, tout en se livrant à des abus sexuels incontrôlés dans le monde entier, sous la protection de l’organisation internationale.

* L'attentat de la préfecture de police de Paris est une attaque au couteau survenue le 3 octobre 2019 dans l'enceinte de la préfecture de police de Paris. Outre le tueur, elle a fait quatre morts et deux blessés parmi les employés de l'administration.

 

Voir en complément l'enquête sourcée sortie en avril 2021 "Pédocratie" du journaliste Jacques Thomet sur l'omerta en France des viols d’enfants (un mineur sur dix est victime d’inceste et plus de quatre millions abusés sexuellement par des adultes), se traduisant par la cécité de l’État, l'impunité des prédateurs dans l’élite, les réseaux pédocriminels auteurs de tortures et de meurtres, l'inertie judiciaire et policière, les complicités actives ou passives, la non assistance à personnes en danger, la terreur des victimes, tous constitutifs d’une véritable tumeur. Le livre rappelle les noms de leurs principaux acteurs dans l’élite politique, artistique, intellectuelle, etc, à partir de faits concrets, confirmés par des sources sûres, et de témoignages accablants, conformément à la déontologie journalistique.

 

Comble de l'abject, et ce afin de rendre le monde "meilleur", le Forum économique mondial (WEF) de son sinistre mage noir Klaus Schwab souhaite que les nations du monde légalisent ou, au moins, décriminalisent la pédophilie, que les mondialistes appellent désormais "l’amour avec écart d’âge"... Car criminaliser l’agression sexuelle des enfants, c’est "violer les droits de l’homme" selon Klaus Schwab et son complice Yuval Noah Harari. Ainsi, lors de sa dernière réunion à Davos, le WEF a tenté de faire valoir que la normalisation de la pédophilie et du viol des enfants "sauvera l’humanité" du... changement climatique ! Il a également fait valoir que l’épidémie croissante de pédophilie est un "cadeau de la nature" à l’humanité pour un certain nombre de raisons. L’une de ces raisons serait que les enfants molestés sont tellement abîmés qu’il est très peu probable qu’ils aient eux-mêmes une famille. Aussi la maltraitance des enfants et la destruction de l’innocence seraient la façon dont la nature nettoie le monde et "sauve l’humanité" d’elle-même. En d'autres termes, détruire la cellule familiale et permettre aux adultes pervers de s’adonner à la perversion sexuelle avec des "mineurs" doit aider à dépeupler la planète et à la ramener à l'"harmonie" et à l'"équilibre"...

Qui plus est, Schwab s’est vanté que les mondialistes qui poussent à la pédophilie – dont beaucoup sont eux-mêmes pédophiles – ont infiltré tous les niveaux de l'"éducation" occidentale, c’est-à-dire le système d’endoctrinement. Ceci explique la forte pression en faveur des LGBTQP – le P signifiant pédophilie –, même au niveau préscolaire. Au final, nombre de ces enfants finissent par embrasser eux-mêmes la perversion sexuelle, certains se coupant des parties de leur corps pour devenir "trans" tandis que d’autres adoptent un comportement pédophile avec des adultes pervers qui, dans certains cas, sont leurs propres "enseignants". Cette déviance se propage ensuite lorsque ces enfants endommagés sortent dans la société et répandent eux-mêmes l’évangile des LGBTQP, créant ainsi une société entière de pervers sexuels qui vivent leur vie dans la poursuite de leurs dernières victimes.

Il ressort clairement de toute cette programmation sociétale que les mondialistes dégénérés tentent de déplacer ce que l’on appelle la fenêtre d’Overton*, ou le cadre des tendances sociales acceptables, en faveur des abus et des viols d’enfants. Et quel meilleur moyen de changer les mœurs de la société que de laver le cerveau des enfants !

* La fenêtre d'Overton, terme dérivé du nom de son concepteur Joseph P. Overton (1960-2003), est connue comme la fenêtre de discours. C'est une allégorie qui situe l'ensemble des idées, opinions ou pratiques considérées comme plus ou moins acceptables dans l'opinion publique d'une société. Autrement dit, la viabilité politique d'une idée dépend principalement du fait qu'elle se situe dans la fenêtre plutôt que des préférences individuelles des personnalités politiques.

 

Dérives sexuelles, drogues et dépendance

Nombre d'affaires impliquant des élites politiques et du show-biz mettent en avant leur prise de substances illégales (hors accompagnement thérapeutique dûment contrôlé) couplée à une sexualité exacerbée sous diverses formes (partouzes, exhibitionnisme dans les réseaux sociaux, pédophilie, chemsex*...). Les supports usités sont nombreux, allant de la cocaïne (poudre blanche - le chlorhydrate de cocaïne - inhalée, plus rarement fumée ou injectée)  à la kétamine (un anesthésique couramment utilisé pour euthanasier les animaux domestiques), l’ecstasy (molécule psychostimulante de la classe des amphétamines vendue sous forme de cristaux ou de pilules), le LSD (drogue hallucinogène puissante fabriquée à partir d'une substance provenant d'un champignon qui pousse sur le seigle et d'autres céréales), le captagon (pilule de type amphétamine principalement produite et commercialisée par des individus et des groupes liés à la Syrie et au Liban et appelée "la cocaïne du pauvre", qui déclenche des bouffées d’énergie et de productivité, l’éveil, l’euphorie ainsi que des délires et un sentiment d’invincibilité), y compris des psychotropes comme le GHB, l'acide 4-hydroxybutanoïque connu sous le nom abrégé de gamma-OH ayant pour objet d'être un dépresseur...

Leur point commun est d'être de très puissants stimulants du système nerveux central, conduisant inévitablement à l'addiction puisque la quête de sensations fortes doit être impérativement comblée une fois les effets euphorisants retombés. Les conséquences sont inévitablement la dérégulation tant du sommeil que  de la libido pouvant déboucher sur l'obsession sexuelle et le brouillage des repères. Autrement dit, ces substances conduisent invariablement au dérèglement mental. Ceci explique que cette logique de dépendance à leurs effets est recherchée par les promoteurs de ces drogues, s'attachant à les répandre auprès de celles et ceux qu'ils repèrent pour conduire leur agenda satanique de destruction de la conscience humaine, et ce à travers des rituels collectifs visant à nouer le pacte maléfique lié. Rompre le pacte expose l'impétrant au chantage de révélation de ses turpitudes filmées et enregistrées à son insu, expliquant la quasi impossibilité de s'en défaire une fois piégé.

Le chemsex correspond à une prise de drogues lors de rapports sexuels à plusieurs. Il est pratiqué par les hommes ayant des relations avec les hommes, mais aussi dans les milieux libertins hétérosexuels.

 

Le rabbin corrupteur

L'avocat et rabbin juif Solomon Friedman est depuis avril 2023 via sa société Minggeek*le nouveau propriétaire de PornHub, société de publication en ligne de vidéos pornographiques qui réalise un bénéfice net d’environ 2,4 milliards de dollars par an. Il a promis pour ce faire de sauver PornHub de la ruine et d’en faire un "meilleur endroit", PornHub étant jusqu'alors critiqué pour avoir tiré profit de vidéos de viols d'enfants que n’importe qui pouvait publier. Il met en avant que les utilisateurs seront désormais vérifiés quant à leur majorité via des centaines de modérateurs internes pour visionner les vidéos avant qu’elles ne soient mises en ligne. Mais ce qu'il omet de dire, c’est que les personnes qui jouent dans les vidéos n’ont pas besoin d’être vérifiées, la vérification n’étant qu’une autorisation de continuer à publier des vidéos de viol et de pornographie enfantine. Qui plus est, qui vérifie ces modérateurs et leur capacité à passer du temps à "vérifier" des contenus pour PornHub sans altération psychologique. Quel genre de personne en effet est naturellement fait cela ?

La réalité est que rien ne changera sous la nouvelle direction de Friedman, son activité étant conduite à continuer à endommager le tissu culturel de la société sans être trop surveillé et inquiété. D’ailleurs, une partie des fonds gagnés sera utilisée pour soutenir l’armée israélienne dans son combat de conquête de la Terre promise à Salomon...

* MindGeek a développé une technologie très sophistiquée pour éliminer les vidéos illégales par son algorithme. Il s’agit davantage d’une société de logiciels que d’une entreprise de pornographie.

 

L'OTAN perverti

La Fondation pour la lutte contre l’injustice a découvert les détails de la reprise du programme secret Gladio* qui opérait auparavant sous les auspices de l’Alliance de l’Atlantique Nord. Selon la Fondation et ses sources, ce programme représente un grave danger pour certains hommes politiques européens de premier plan et pour les citoyens de l’UE.

En effet, contrairement aux idées reçues, l’OTAN (Organisation du Traité de l'Atlantique Nord) n’est pas née de la signature du traité de l’Atlantique Nord en avril 1949, mais du débarquement des armées américaines et britanniques sur le territoire de l’Italie et de la France en 1942-1944. Se couvrant de la mission de combattre le nazisme, les forces alliées ont de facto établi un régime d’occupation des principaux États d’Europe occidentale, se comportant comme des envahisseurs plutôt que comme des bienfaiteurs et des libérateurs. Ont été ainsi recensés des faits et des preuves mettant en lumière les atrocités que les soldats de l’OTAN ont commises, et continuent de commettre, dans les territoires occupés d’Europe, l’enquête de la Fondation permettant en outre de découvrir quels hauts fonctionnaires de l’Alliance sont impliqués dans l’organisation de réseaux pédophiles dans les pays de l’UE.

* Mis au point secrètement dans les années 50, les réseaux clandestins du stay-behind ("restez derrière" en français) avaient pour vocation de former des combattants capables de riposter rapidement à une éventuelle invasion soviétique en Europe de l’Ouest ou une prise de pouvoir par les communistes. Ils étaient composés sans aucun scrupule d’anciens nazis allemands et des fascistes italiens. Le stay-behind italien a pris le nom de Gladio, le glaive, symbole choisi par les derniers combattants mussoliniens de la République de Salo. Si finalement l’URSS n’a pas envahi l’Italie, une "stratégie de la tension" fut déployée dès 1969 face au danger que représentait le parti communiste italien, 2ème force politique du pays, avec pour résultat un lot conséquent d’attentats pendant les "années de plomb" (12 000, soit 362 morts) constitutif d'un cercle infernal de terrorisme d’extrême-gauche et d’extrême-droite. Le but était de favoriser l’émergence d’un État plus autoritaire face au péril communiste.

 

L'Union européenne pervertie

Les peintures pédophiles et cannibales de la soi-disant artiste suédoise Lena Cronqvist ont fait l’objet d’une exposition au Parlement européen à Bruxelles au début de l’année 2024, exposant des membres coupés et des enfants hurlant dans des vases. Ces images répugnantes sinon insoutenables ne donnent pas seulement un aperçu de la psyché dénaturée de l’artiste, mais son exposition au Parlement européen illustre une fois de plus l’énorme déclin des valeurs de l’Occident autoproclamé. Sa représentante de circonstance, avec la complicité des autorités institutionnelles bruxelloises, préfère représenter dans ses tableaux des enfants naïfs qui infligent des violences aux autres ou en subissent eux-mêmes.

 

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Les méandres fangeux de l'"affaire" Jean-Michel Trogneux/Brigitte Macron

La journaliste indépendante Natacha Rey a mené durant 3 années une enquête minutieuse sur le personnage de la première dame de l'Etat français, Brigitte Macron née Trogneux. Pour ce faire, elle a rencontré nombre de protagonistes proches, notamment membres de sa famille, ainsi que divers experts, a consulté nombre de documents de son état-civil, et a expertisé nombre de photographies au moyen de vérificateurs technologiques (ainsi le logiciel de restauration de photo de la plateforme de généalogie en ligne MyHeritage) dûment agréés pour distinguer le vrai du faux. A l'issue, elle conclue que Brigitte Macron n'est autre que Jean-Michel Trogneux, un de ses frères, qui, à l'issue d'un changement de sexe, est devenue Brigitte.

Dès la publication de son enquête dans une série d'articles publiés en septembre 2021 dans une revue qualifiée d'extrême droite spécialisée dans les portraits sensationnalistes de personnalités publiques, Faits et Documents, la toile s'est enflammée par le nombre de consultations vues et les débats sur le caractère fantaisiste ou non de la révélation, entraînant nombre de trolls à déverser leur prurit insultant à l'encontre de l'auteure (ils s'exposent désormais à des citations en justice). Les médias dits mainstream lui ont depuis opposée une ferme fin de non-recevoir pour ne pas dire haineuse, la qualifiant de fumeuse, de "fake news", de résultante d'une "possédée" sous emprise sectaire, de thèse complotiste, ou au moyen de tout autre artifice de langage visant à discréditer l'auteure de ce qui va à l'encontre du pouvoir établi dont ils sont les serviles garde-chiourmes, quelles que soient leurs puériles dénégations outragées. Or, il leur suffisait pour démontrer la supercherie de produire des preuves allant en sens inverse (notamment en faisant leur véritable métier), de produire le témoignage du principal protagoniste, le frère étrangement silencieux et disparu depuis longtemps, le précédent mari étrangement absent*, ou encore de publier des photos non truquées de Brigitte Trogneux adolescente. Mais rien de tel, y compris de la part de supports jugés indépendants (Le Canard enchaîné, Médiapart), mais qui en fait ne le sont pas, faisant partie de l'opposition dite contrôlée (les figures d'Edwy Plenel - Médiapart - ou de Natacha Polony - Marianne - en sont les prototypes). Qui plus est, il était facile pour la première dame de déposer plainte pour calomnie, afin d'obliger l'impétueuse accusatrice à révéler ses cartes, toutes déposées en sécurité auprès d'un avocat. Malgré les déclarations de ses communicants en décembre largement relayées par les supports mainstream, rien de tel n'a mis en branle l'appareil judiciaire, Brigitte Macron ayant personnellement confirmé depuis cette intention de porter plainte à deux supports audiovisuels (le journal de 13h. de TF1 et la radio RTL), ces derniers étant prisés par la cible électorale privilégiée de son époux candidat à sa réélection (retraités notamment). Finalement, la plainte sera bel et bien faite en février à l'encontre de deux femmes (Natacha Rey et la médium Amandine Roy), mais non pour diffamation, calomnie ou propagation de fausses rumeurs, mais simplement pour atteinte à la vie privée par la mise en ligne d'une vidéo sur YouTube intitulée "Brigitte Macron est un homme" qui prétendait que Brigitte avait changé de sexe à l'âge de 18 ans et diffusion de photos sans autorisation alors même que celles-ci appartiennent au domaine public. Autrement dit, un bel exemple de manipulation de l'opinion publique peu au fait des subtilités du langage juridique, même si cette plainte a été "annulée" en mars 2023 par un juge de Paris la considérant comme nulle et estimant que les faits dénoncé auraient dû être qualifiés de diffamation publique. 

Distillant les résultats de son enquête par étapes, Natacha Rey a produit depuis en janvier 2022 de nouveaux éléments compromettants, tout particulièrement le lien entre Jean-Michel Trogneux devenu depuis Brigitte et le sulfureux pasteur initialement belge puis français Joseph Doucé à la mort étrange en juillet 1990 en forêt de Rambouillet. Diplômé en psychologie-sexologie, il fut l'âme damnée du Centre du Christ Libérateur (CCL), association qu'il fonda en 1976 (dissoute depuis) avec pour vocation d'être un espace d'accueil et de parole pour les croyants appartenant aux minorités sexuelles et de genre : homosexuels, transgenres, sado-masochistes, pervers sexuels et pédophiles, plus exactement pédocriminels. Il créa en parallèle une maison d'édition, Lumière et Justice, qui publia des ouvrages collectifs tels que La question transsexuelle (1986), Couples homosexuels et lesbiens : juridique et quotidien (1987), La pédophilie en question (1988) dans lequel il développe des thèses scabreuses et explique vouloir dépénaliser la pédophilie, Le sadomasochisme en question (1989). Il gérait également les abonnements du magazine Gaie France, revue de pornographie d’adolescents dirigée par le néonazi (il fut membre de la Fédération d'action nationale et européenne - FANE - Michel né Miguel Caignet, journaliste et éditeur de son état, et considéré comme le diffuseur des cassettes vidéo du réseau pédophile Toro Bravo*². Les fréquentations du pasteur Doucé ne se limitaient pas à son public "marginal" de préférence, puisque nombre d'"huiles" institutionnelles ont été plus ou moins éclaboussées par sa fréquentation sulfureuse à même de combler leurs pratiques glauques et malsaines inavouables pour leurs gogos électeurs. L'une d'elle, ancien ministre de la rose mitterrandienne et toujours dirigeant d'une institution fleurant bon l'exotisme oriental dont il était jadis friand, lui valut notamment une virulente accusation en 1998 de l'ancien militaire, journaliste et homme politique français Roger Holeindre (1929/2020) quant à ses inqualifiables pratiques dévoyées. Là encore, en dépit de menaces de procès, l'outragé se garda d'affronter la justice en prenant le risque de voir l'inavouable révélé.

Au même titre que l'affaire Epstein, nous ne sommes qu'au début du nettoyage des écuries d'Augias, les temps à venir promettant d'être pour beaucoup très indigestes. C'est ainsi que le média marocain 360 (il appartient à Mohamed Mounir Majidi, le secrétaire particulier du roi Mohammed VI) a commencé en septembre 2023 à ouvrir la boîte à Pandore avec la publication de trois articles dont l'un, titré "Un peu homme, un peu femme", met en doute la "solidité" du mariage du président français avec Brigitte Macron, sous-entendant qu’il mentirait sur son orientation sexuelle, son entourage de "minets" constituant un indice précieux (ainsi le secrétaire général et député européen du parti présidentiel Renaissance Stéphane Séjourné, pacsé avec le ministre de l'Education Nationale Gabriel Attal) tout comme la liste de ses amants passés (Mathieu Gallet, Alexandre Benalla...).

* Figurant sur une photo incontestablement fruit d'un grossier montage tant les anomalies sautent aux yeux de n'importe quel photographe amateur, le sieur André-Louis Auzière (1951/2019) qui en sa qualité de marié se retrouve à côté de "Brigitte Trogneux" est apparemment depuis leur séparation en 2006 (telle que l'histoire officielle le raconte) un illustre inconnu, aucune trace probante (sécurité sociale, banque, lieu de résidence à Ménouville, photos, cimetière du Père Lachaise ou dans le caveau familial où il aurait été enterré...) n'existante. Un autre "soldat inconnu"...

*² Démantelé en 1995 et conclu par un procès concernant 71 prévenus aux profils variés (enseignants, curé...), ce réseau de corruption de mineurs consistait en l'enregistrement et la diffusion sous forme de cassettes de scènes à caractère pornographique concernant des mineurs ayant des rapports sexuels, films tournés en 1994 en Colombie par la société française de production Toro Bravo et proposés aux lecteurs de la revue Gaie France. 

 

Abus rituéliques, le sacrifice des enfants

La pratique pédocriminelle s'appuie souvent sur de violents traumas infligés par dissociation de personnalité à de jeunes victimes, de préférence de sexe masculin. Ceci répond à un programme de la CIA américaine nommé projet MK-Ultra (MK pour Mind Kontrolle, en hommage à ses initiateurs nazis)*, dévoilé officiellement en 1975, qui est emblématique du contenu expérimental mis en œuvre aux fins de domination servile des esprits. Il comporte un volet sexuel, le MK-Monarch, ce terme désignant symboliquement un papillon de taille exceptionnelle qui passe de l'état de larve à un état plus achevé, ou qui évoque dans son patronyme anglosaxon – butterfly - l'acte de "butiner" de fleur en fleur, soit de changer sans cesse de partenaires en matière de prostitution. Les victimes sont ainsi utilisées dès leur plus tendre enfance dans des réseaux prostitutionnels très hard, et vendus aux fantasmes les plus dingues de notables, d'hommes politiques, de nobles, de militaires, de magistrats, de vedettes du show business - les "sans-âme" ou "portails organiques" -, qui forment entre eux des sortes de réseaux, de sociétés secrètes, soumis à d'étranges rituels à mi-chemin entre le satanisme (sacrifices humains notamment de bébés), l'ésotérisme New Age et la reprogrammation behaviouriste. Ils forment une catégorie de personnes viles, méprisables et profondément détestables, autrement dit une maudite engeance.

Nombre de ces victimes, notamment castrées (ablation des testicules ou de la verge chez les mâles,  ablation des ovaires chez les femelles), sont conduits à l'adolescence à un terrible mal être, les conduisant à changer de genre sexuel et à devenir transgenre, reconnaissables à leur voix puissante et féminine comme à des organes exagérément longs (cou ou pieds notamment). D'autres, à la sexualité pervertie par l'inceste commis pendant l'enfance ou adolescence, demeurent sous la coupe maléfique de leur noir instructeur violeur - ils sont "la chose de l'autre" -, conduits à s'enfoncer inexorablement dans l'abime de la conscience par leurs sens dénaturés et leur psyché dévoyée.

En cette fin de cyclicité civilisationnelle, c'est leur "apothéose", les voyant désormais s'afficher au plus haut sommet dans leurs disciplines respectives.

* Cf. Contrôle mental & Les psychopathes qui nous gouvernent.

Photos ci-contre de Céline Dion, Beyoncé Carter née Knowles, Avril Lavigne, Christine Lagarde, Emmanuel Macron et Brigitte Trogneux épouse Macron...

 


Scoutisme sexuel

Comme nombre d'associations à caractère cultuel rassurant les parents traditionalistes prescripteurs d'activités dédiées au combiné physico-spirituel pour leurs bonnes ouailles, les Boy Scouts of America (BSA), principal mouvement scout des États-Unis, ont annoncé déposer le bilan en février 2020, plombés par des accusations d’abus sexuels qui ont donné lieu à une série de procès. L’organisation, vieille de 110 ans (fondée en 1910) et qui compte 2,2 millions d’adhérents âgés de 5 à 21 ans (ses actifs sont estimés à plus d’un milliard de dollars), a choisi la procédure de sauvegarde auprès du tribunal fédéral des défaillances d’entreprises de l’État du Delaware, pour pouvoir poursuivre son activité et créer un fonds d’indemnisation des victimes d’abus sexuels sous forme de trust. Le passif de l’organisation est estimé entre 100 et 500 millions de dollars. A ce jour, plusieurs dizaines de milliers de victimes ont été recensées, environ 80 000*, depuis que les révélations sur des abus sexuels commis par des milliers d’encadrants bénévoles "chefs scouts" (environ 8 000 entre 1946 et 2016, dont 5 000 relevant de la perversion) ont éclaté en 2012, l'enquête ayant démontré que l’organisation des scouts américains les avait couverts pendant des décennies.

* De leur côté, les plaintes globalement contre l’Église catholique se sont élevées à 11 000.

 

Poltergeist sexuel

 

Un autre phénomène psychique des plus courants est celui qui est nommé poltergeist, mot allemand dérivé de poltern "faire du bruit" et geist "esprit". C'est un phénomène paranormal consistant en des bruits divers, des déplacements, apparitions ou disparitions d'objets et autres phénomènes a priori inexplicables. Un phénomène qui lui est lié est celui de l’agresseur invisible. D’importantes marques de griffures apparaissent sur le corps de certaines victimes de poltergeist. Beaucoup de témoignages donnant lieu à enquête de police comprennent des éléments de sexe, de stigmates de poltergeist et d’un possible vampirisme, voire d’abduction OVNI (relation subie avec une entité extraterrestre).

 

En étudiant de manière approfondie ce phénomène, certaines rencontres avec des entités semblent être accidentelles quand d’autres semblent être clairement dirigées vers une personne spécifique. Pour autant nous pouvons nous demander si les rencontres apparemment accidentelles le sont autant qu’elles le paraissent. La manifestation ne surviendrait-elle pas en réponse à un besoin caché, un état psychologique qui réclame via l'inconscient une intervention extérieure d’une quelconque sorte ? À cet égard, l’ufologue français Jean-François Boeded suggère dans son livre Fantastiques rencontres au bout du monde (1982) que nous devrions considérer les observations comme débutant bien avant l’expérience réelle. Il se réfère à de nombreux cas pour lesquels les témoins eurent des prémonitions quant à l'arrivée de quelque chose d'inhabituel, ou que pour une quelconque raison ils sont retournés chez eux par une route différente. D’une certaine manière, il semblerait qu'ils étaient en train d’être préparés pour l’expérience qu’ils allaient subir.

Ce phénomène poltergeist fait partie intégrante de l’abduction alien, des syndromes du vampirisme et de la possession. Quand les entités impliquées dans les possessions sont interrogées durant un exorcisme par des médiums ou chamanes spécifiquement entraînés sur la façon dont elles sélectionnent une cible de possession, elles répondent souvent que le sujet avait été choisi avant sa naissance, ceci validant la manipulation génétique de l'humain par les maîtres généticiens extra-dimensionnels. Dans la plupart des cas, la ligne de contact et l’attaque graduellement construite peuvent être retracées jusqu’à l’enfance. On peut dire qu’en général le processus de la possession a déjà commencé avant que la cible ou les personnes autour d’elle soient conscientes des signes. Dans la plupart des cas, il y a une sensation de la présence avant qu’une rencontre réelle ne survienne.

 

Fabrication d'alter

 

Le Trouble Dissociatif de l'Identité (TDI) est connu dans le cas de traumas provoqués tout particulièrement au moment de l'enfance par des sévices psychiques et physiques, souvent à caractère sexuel. Pour survivre, l'individu relègue dans son inconscient le traumatisme vécu par la constitution d'un mur amnésique, un "alter" venant se substituer à sa place. Le trauma n'aura de cesse de se manifester tant qu'il ne sera pas conscientisé.

Ces TDI font partie de programmes de contrôle mental à caractère sectaire ou institutionnel*. Ils peuvent découler également d'une influence d'entités inter-dimensionnelles, la prédation à caractère sexuel en constituant indéniablement un levier.

* Cf. Contrôle mental.

 

Programmation de la psyché par le Trouble Dissociatif de l'identité (T.D.I.)

Le processus dissociatif étant la clé de voûte pour la programmation de la psyché, tout est fait pour provoquer ces états modifiés de conscience par une violente ouverture psychique et spirituelle. L'enfant est incité à échapper à la douleur ressentie en se dissociant, comme s'il traversait un miroir lui permettant de s'échapper d'une situation insupportable en accédant à d'autres dimensions d'être. La dissociation face à un traumatisme extrême comme une menace de mort évidente se manifeste paradoxalement par un calme soudain et surprenant avec une absence de peur et de douleur, et ce quelle que soit la gravité de la violence. C'est le résultat neurochimique du processus dissociatif. Dans cet état, la victime devient alors intensément concentrée, développant une hyper acuité sensorielle, une rapidité mentale et une sorte d'expansion de la notion du temps. Dans un tel état dissocié et hypnotique, l'enfant devient alors hyper réceptif à l'apprentissage et à la programmation.

Cette programmation peut bien sûr concerner des êtres adultes qui, inconscients de l'action de la prédation à leur encontre - directe comme indirecte à travers un tiers (conjoint par exemple) - voient une partie de leur personnalité dissociée, un nouvel alter venant alors à leur secours. C'est cet alter qui fait alors l'objet de la programmation. Quant au trauma refoulé dans l'inconscient, il nourrit par sa souffrance le système prédateur vorace.

Il en découle selon nombre d'études l'existence d'importantes variations psychophysiologiques entre les personnalités alter d'un patient ayant un T.D.I., celles-ci expliquant que celui-ci subi un véritable changement de personnalité agissant sur des fonctions biologiques qui ne sont normalement pas contrôlables. Par exemple, les effets de médications peuvent être totalement cloisonnés voire annihilés. Autrement dit, des personnalités alter semblent pouvoir bloquer ou au contraire majorer les effets des médications ...

Cf. Livre d'Alexandre Lebreton "Abus rituels et contrôle mental".

 

Le "show biz" destructeur

Nombre de personnalités "people" (acteurs, chanteurs, sportifs, modèles ...) mais aussi des politiciens sont victimes, souvent pendant leur enfance, de traumas visant à dissocier sous forme d'alter leur personnalité, afin d'être manipulés dans leurs activités respectives, y compris sous forme d'esclavage sexuel. Ceci explique leur comportement erratique, comme Britney Spears et Ophélie Winter (photos 1 et 2), ou parfois leur tentative de reprendre le dessus à l'image de Karen Mulder (photo 3)*, toutes étant rapidement remises sous contrôle. Parfois, le mécanisme de contrôle par la dissociation de personnalité et la souffrance sous-jacente en résultant conduisent au suicide, comme pour Marilyn Monroe, en l'occurrence un sacrifice rituélique *² ...

* Son interview lors de l'émission "Tout le monde en parle" de Thierry Ardisson du 3 novembre 2001 a été censurée. Elle y évoquait la couverture de la prestigieuse agence de top-modèles Élite, masquant l'exploitation sexuelle de jeunes mannequins et l'utilisation de stupéfiants (voir video ci-dessous).

Cf. Symbolisme et artifices de la Matrice.

Esclave sexuelle sous hypnose
Esclave sexuelle sous hypnose

Confidences ép(r)ouvantes

L'animateur Benjamin Castaldi recevait Karen Mulder dans l'émission C'est leur destin le 20 septembre 2002 sur M6. En voici quelques extraits.

Benjamin Castaldi : Si vous deviez, en quelques mots, résumer le destin de Karen Mulder, vous diriez quoi ?

Karen Mulder : D'un côté c'est un conte de fée, et d'un autre côté c'est un film d'horreur, un vrai cauchemar. Et quand tout est remonté, il y a des gens qui ont essayé de m'empêcher de parler. On m'a mis dans une clinique pour m'empêcher de parler. J'en suis sorti avec l'aide d'un avocat (...)

Moi j'ai essayé de parler, mais on n'a pas voulu me croire. Il y a eu une certaine partie qui était, en effet, de la paranoïa, parce que quand des choses sont énormes, après ça dégénère un petit peu. Il y a un petit peu de délire. Mais plus le temps avance, et plus je me rends compte qu'en fait, pas du tout. Ben, c'est à dire un petit peu.

B.C. : A votre avis, qu'est ce qui peut rendre paranoïaque un top model, et qu'est ce qui fait qu'au bout d'un moment on finit par se méfier de tous et tout le monde ?

K.M. : Là, vraiment, c'est des questions que je peux pas répondre. (...)Vous avez vu le film True Romance ? C'est un peu ça ma vie. Tout a été organisé. Tout était manipulé. J'étais quelqu'un qui ne voyait rien. En fait je crois que j'étais vraiment folle, mais aujourd'hui je ne le suis pas.

B.C. : Il y a des tas de filles qui rêvent de devenir mannequins. (...) Il y a peut-être des gens qui ne comprennent pas que l'on puisse se plaindre.

K.M. : Oui, c'est vrai que c'est des choses que, quand on est jeune, on pense que c'est ça le bonheur. Mais c'est pas le travail (qui est difficile : NDLR) C'est vrai que c'est un métier qui est dur. C'est vrai que c'est pas aussi facile qu'on puisse le penser. Mais la chose dont j'ai voulu avertir les jeunes filles c'est de faire très attention. Et même aux agences très renommées, avec des concours renommés, ça ne veut rien dire (...).


Autres confidences de Karen Mulder, celles faîtes dans l'émission du producteur-réalisateur de TV Thierry Ardisson "Tout le monde en parle" le 31 octobre 2020, qui ne furent cependant pas diffusées compte-tenu de leur caractère glauque.

"Une personne de mon entourage familial (elle cite un nom) a abusé de moi sexuellement, j’avais deux ans. C’est un psychopathe. Il m’avait placé sous hypnose. Depuis, toute personne ayant de l’autorité et connaissant mon secret peut me manipuler. Tant que je n’avais pas évacué la terreur de mon enfance, n’importe qui, en me faisant peur, pouvait avoir une emprise sur moi (…)

On a essayé de faire de moi une prostituée: c’était tellement facile, je ne me souvenais de rien, j’oubliais tout (…)

J’étais un jouet que tout le monde voulait avoir. Tous ont profité de moi (…)

Je n’avais pas de volonté à moi, donc on m’organisait ma vie: tout, tout, tout (…)

On m’a fait des trucs hypnotiques (…)

Oui, c’est énorme. Il y a tout un complot autour de moi, depuis longtemps, ça concerne des gens dans le gouvernement, dans la police. Tout dans ma vie a été organisé ! Tout, tout, tout ! Je n’avais pas de volonté à moi (…)

Pendant les ‘Restos du Coeur’, un artiste m’a dit: "Un proche t’a abusé, ils sont en train de s’organiser pour que tu te fasses violer encore et pour que tu ne saches rien." Une chanteuse célèbre m’a dit: "Un de tes proches (elle cite un nom) m’a dit qu’on t’a violée, peux-tu l’oublier ? Regarde moi, tu vas l’oublier !" Et elle a rigolé. Et ça a marché: j’ai oublié (…) Je suis vraiment entrée dans la souffrance, c’est là que j’ai eu les premiers flashs. D’abord d’un proche qui me violait. Je me suis dit: voilà, j’ai trouvé pourquoi j’étais si mal (…)

En fait, tous les gens que ma famille fréquentait sont des pédophiles. C’est un cercle vicieux, et aujourd’hui je le casse ! (…)

J’étais un atout. Mon image, ma gentillesse, ma bonté, servaient à ceux qui voulaient cacher les choses. Et là, on a affaire à des gens très, très, très mauvais… Ceux qui ont voulu parler sont morts aujourd’hui (…)

C’est une de mes proches à New-York, qui m’a fait violer par le président d’une grande société. Un jour, elle m’appelle et me dit: « Tu te rappelles de ce qu’on te faisait quand tu étais tout petite ? » Je dit: "Ah oui, ah oui !" "Eh bien X va venir te voir, il va faire l’amour avec toi et tu auras le plus grand contrat qui existe." Je ne voulais pas, mais j’étais comme une poupée sans volonté (…)

Je veux la justice, c’est tout ! La pédophilie est toujours un tel tabou. C’est des filles comme ça qui veulent être mannequin. Donc c’est facile pour les voyous d’avoir ensuite du pouvoir sur elles."

 

La mise sous dépendance des individus conduits à la dissociation de leur identité se fait souvent au moyen de substances comme la scopolamine, également appelée "souffle du diable" ou "burundanga", qui est une substance puissante extraite du fruit d’un arbre appelé Brugmansia presque toujours associée à la criminalité*. Contrairement à d’autres substances similaires, il n’y a pas de problème connu de dépendance, très peu de personnes dans le monde la consommant à des fins récréatives comme le cannabis. Connue pour ses effets psychotropes, les criminels la diluent secrètement dans les boissons de leurs victimes ou leur projettent parfois la poudre au visage, avec comme effet immédiat la perte quasi-totale de la volonté, une forme de torpeur qui fait de vous un légume malléable à volonté. A fortes doses et combinée à l’alcool, la scopolamine peut être mortelle.

Ainsi à Medellin en Colombie, ville connue pour sa vie nocturne animée à base de reggaeton (genre musical qui puise ses sources dans le reggae, le hip-hop, et le dancehall jamaïcain) et de prostitution légale, devenu un haut-lieu du tourisme sexuel mondial. Les clients dragueurs de l'application de rencontres Tinder y tombent comme des mouches par poignées...

 

La romance infernale

True Romance ("À Cœur perdu au Québec") est un film américain réalisé par Tony Scott, sorti en 1993. Le jour de son anniversaire, Clarence Worley rencontre la splendide Alabama dans un cinéma miteux. Le coup de foudre est immédiat. Après une nuit d'amour, Alabama avoue à Clarence qu'elle a été en fait engagée par le patron de Clarence comme cadeau d'anniversaire. De là va commencer une folle aventure...

La "gravité spirituelle" des traumas

Dans la mesure où le corps humain détient une constellation de modules ou mécanismes de mémoires-programmes (ces "petits-moi" seraient au nombre de 987 selon l'historien russe Boris Mouravieff dans son ouvrage Gnôsis tome 2) qui déterminent notre perception, notre forme physique et notre personnalité, ceux-ci déterminent tout naturellement notre "monde" et par-là même notre destinée. C'est pourquoi cette dissociation psychologique que constitue un trauma, autrement dit une disharmonie (blessure), est constitutive par la répercussion psychique de l'onde de choc d'alter, soit la création d'un vide dans la mémoire occupé par l'esprit du trauma, celui-ci attirant les entités du corpus prédateur en raison du principe de sympathie *, et qui peuvent ainsi résonner avec nos problèmes sous forme de dépression ou d'angoisses. Renforçant notre monde subjectif afin de se nourrir, elles amplifient notre propension apparemment innée à nous illusionner nous-même, ces influences mutuelles s'inscrivant ainsi dans un espace-temps se confondant alors qu'il est différent (3-D pour les humains, 4-D pour les entités involutives). De ce fait, les traumas figent une dimension de temps dans le Temps du Rêve (le temps fractal du "kairos") qui n'est pas linéaire *². Cette vulnérabilité aux esprits/entités prédatrices et à leurs forces psychiques découle de l'affaiblissement de la barrière éthérique protectrice, se traduisant par l'altération des spirilles (filaments spiralés) qui, comme conduits vibratoires, assurent au corps la qualité de l'énergie reçue du champ éthérique. C'est ainsi qu'un être blessé ouvre une porte, comme par exemple la culpabilité d'un animal tué voyant l'esprit de ce dernier venir se loger en compensation de la perte de son corps... A l'inverse, il ne peut y avoir d'intrusion si l'Unité originelle n'est pas brisée.

Comme certaines fonctions sont liées à ces fragments dissociés, chaque fragment perdu voit la fonction effacée (capacité à faire confiance, à aimer, à s'amuser...). Seule la réintégration de ces fragments fait réapparaître les capacités qui leur sont associées, tout en éliminant les symptômes pathologiques tel que le symptôme de stress post-traumatique. Nul ne s'étonnera alors que la répétition de traumas fragmente littéralement la personnalité et par-là même la réalité perçue, l'individu alternant entre différents mécanismes d'adaptation à la réalité. Elle est constitutive du trouble de personnalité multiple, tout commençant par une première scission de la volonté (la dissociation).

* Il est constitutif de ligands sur le plan anatomique, soit des molécules qui agissent de manière chimique sur les récepteurs cellulaires. Les traumas entraînent de ce fait des ligands semi-physiques de substitution venant combler une partie manquante de l'être, obscurcie en raison de la souffrance qui lui est associée.

Cf. Fin de cycle (1) Fin du temps ou fin des temps ?

 

Ainsi une personnalité alter d'enfant dissocié parvenu à l'âge adulte constitue un fragment non seulement de la personnalité mais également de l'âme - le Soi inférieur -, et qui reste bloqué dans le passé, dans une dimension alternative, en gardant l'âge et la mémoire qu'il avait au moment où il s'est séparé du corps physique lors du traumatisme. 

Ces fragments ou fractales d'âme ont une existence astrale autonome, constituant des entités conscientes d'elles-mêmes, engagées dans leur réalité d'espace-temps parallèle, soit d'autres lignes temporelles plus ou moins éloignées de notre présent actuel. Ces esprits autonomes et souverains ont la possibilité de pénétrer nos consciences individuelles, soit en étant prédatrices, soit bénéfiques ou alors inoffensives pour l'évolution de notre âme. Ils se manifestent par des formes-pensées, des concepts ou parfois même des images qui peuvent pénétrer le subconscient et surgir dans la conscience. Aussi longtemps qu'ils sont séparés de la conscience de la personne, ils ne peuvent progresser. La guérison n'arrive que lorsque la pièce manquante est restaurée par la remontée de la mémoire enfouie. Il va sans dire qu'elle contient des émotions et des sensations traumatiques (images, sons, douleurs physiques, odeurs...) particulièrement éprouvantes, nécessitant beaucoup d'attention et de compassion. 

L'ignorance ou la connaissance de la réalité prédatrice inter-dimensionnelle vont être déterminantes quant au vécu de l'individu, soit en l'emprisonnant dans un cycle de souffrance infernal, soit en lui permettant d'apprendre à en tirer la force de propulsion qui peut libérer son âme.

Cf. Le cheminement de l’Âme.

 

La fragmentation de personnalité à la sauce technologique

La Wii est une console de jeux de salon du fabricant japonais Nintendo, sortie en 2006. Console dite de la septième génération, tout comme la Xbox 360 et la PlayStation 3 avec lesquelles elle est en rivalité, elle est la console de salon la plus vendue de sa génération. Elle a comme particularité d'utiliser un accéléromètre capable de détecter la position, l'orientation et les mouvements dans l'espace de la manette.

Si la Wii a marqué un tournant dans l'histoire du jeu vidéo en ouvrant ce loisir à un public plus large, et ciblant l'ensemble de la société, c'est qu'elle permet à l'utilisateur de se démultiplier sous forme de Mii (homophone du mot anglais me, c'est-à-dire "moi"), soit des avatars virtuels. Les Mii permettent une personnalisation (choix des options de jeux par défaut, couleur préférée, etc.) pour construire un avatar virtuel en trois dimensions à l'aide de nombreux paramètres *.

Si dans les productions de Nintendo les Mii ont toujours le même aspect - personnages au style simpliste très arrondis - rien n'empêche cependant les développeurs d'utiliser les paramètres définissant un Mii pour en faire un avec un tout autre rendu : réaliste, cartoon, etc. Ils peuvent être utilisés pour communiquer avec d'autres utilisateurs de Wii reliés à Internet et peuvent se rassembler alors dans la "Parade Mii" grâce à la connexion Internet du WiiConnect24. Les Mii peuvent être stockés dans la Wiimote pour être utilisés sur une autre console Wii.

La palette de création de Mii offre un large choix : forme, yeux, bouche, sourcils, nez, taches de rousseurs, rides et également la possibilité de lui choisir des lunettes ou lui ajouter une moustache ou une barbe. Le seul élément qui ne fait pas son apparition sont les oreilles.

 


La compréhension du mécanisme de guérison passe par l'épigénétique, le lien établi par l'ADN entre les différents alter constitués tout au long du voyage de l'âme dans l'expérimentation de la 3ème dimension de réalité*, se révélant le vecteur de connexion d'une dimension à l'autre. Ceci entend que l'ADN provenant d'une autre ligne temporelle est déplacé sur la nôtre et pourrait, par les mémoires qui y sont engrammées puisque nous sommes dans un éternel présent, influencer les événements de notre propre ligne temporelle, les alter s'influençant les uns les autres par leur connexion génétique. Il va de soi que cette influence est à double sens, évolutif ou involutif, et repose sur le travail en conscience ou non effectué quant à la libération de la prédation psycho-émotionnelle qui se traduit dans notre quotidien à travers ses manifestations, autrement dit nos turbulences psycho-émotionnelles. Celles-ci sont bien liées à des alter non encore réintégrés. C'est pourquoi lorsqu’une épreuve émotionnelle se présente, elle indique une possibilité offerte de transformation des programmes prédateurs à l'origine de nos alter. Il en découle que notre prédateur est bien notre allié sur le chemin de notre transformation si les décisions que nous prenons et les actes qui en résultent dans notre vie quotidienne sont réalisés dans cet état de conscience.

* Cf. Le cheminement de L’Âme.

 

Impression génétique

 

Selon une étude de l’Université de Seattle et du Centre de recherche sur le cancer Fred Hutchinson réalisée en 2004*, les femmes pourraient porter l’ADN masculin de tous ceux avec qui elles ont eu des rapports intimes. A l'origine, cette étude essayait de déterminer si les femmes enceintes d’un garçon pouvaient être plus prédisposées à certaines maladies neurologiques qui surviennent plus fréquemment chez les hommes. Elle a pris un tout autre tournant lorsqu'elle a révélé que le cerveau féminin contient souvent le "micro-chimérisme masculiné", c’est-à-dire la présence d’ADN masculin originaire d’un autre individu et génétiquement distinct des cellules qui composent le reste de la femme. Cette présence concerne selon l'étude 63% des femmes testées, chez lesquelles le micro-chimérisme masculin était présent dans de multiples régions du cerveau.

La réponse paraissant à première vue évidente serait la grossesse d’un fœtus masculin, étant donné que chaque femme qui est déjà tombée enceinte porte encore dans son flux sanguin des cellules de son fœtus, celles-ci se retrouvant dans la circulation sanguine et d’autres organes de la mère jusqu’à la fin de ses jours, même s’il y a eu une interruption de grossesse ou une fausse couche. C'est pourquoi ce fait s’appelle le microchimérisme, nommé d’après la chimère (un organisme chimérique) qui, dans la mythologie grecque, est une créature cracheuse de feu monstrueuse venant de Lycie en Asie Mineure, composée des parties de trois animaux : un lion, un serpent et une chèvre. 

* Male Microchimerism in the Human Female Brain https://doi.org/10.1371/journal.pone.0045592.

 

"Dans le cadre de la fréquence sexuelle, vous échangez les uns avec les autres. Ainsi, si vous vous liez et échangez chimiquement avec une personne qui ne vous ressemble pas, vous vous attaquez à ses déchets parce que vous échangez de l'énergie de manière assez intime. Même si vous ne voulez pas être avec cette personne, l'expérience sexuelle reste avec vous parce que vous avez eu un échange électromagnétique".

Barbara Marciniak, conférencière, éditrice et auteure états-unienne de Bringers of the Dawn ("Les Messagers de l'Aube")

 

Toutefois l'étude révèle que des femmes qui n’ont pas eu de fils, y compris limité au fœtus, portent quand même des cellules reproductrices mâles dans leur sang. Elles représentent 21 % de l'échantillon étudié où les femmes avaient été réparties dans quatre groupes en fonction des antécédents de la grossesse : le groupe A comptait seulement des filles, le groupe B ne comprenait que les femmes qui avaient eu une ou plusieurs fausses couches, le groupe C comprenait les femmes qui avaient subi un avortement, et le groupe D comprenait les femmes qui n’avaient jamais été enceintes auparavant.

Une des conclusions de cette étude est que les sources possibles du micro-chimérisme masculin comprend les grossesses connues, les fausses couches, la disparition de jumeaux masculins, ou les rapports intimes. Cela signifie que par le seul biais des rapports intimes, il existe une grande possibilité pour les femmes de retenir de l’ADN et des gènes mâles au sein de leurs organes et de leur flux sanguin tout au long de leur vie. D'autant plus que les trois premières options s’appliquent à un très faible pourcentage de femmes.

La conséquence est que chaque partenaire sexuel masculin dont la femme absorbe les spermatozoïdes deviendrait une partie vivante d'elle pour la vie. Les femmes autopsiées dans cette étude étant âgées, certaines portaient l’ADN masculin vivant en elles depuis plus de 50 ans. Il devient une partie intégrante, et l'on ne peut s'en débarrasser. Nous commençons à comprendre tout le pouvoir et les conséquences des rapports intimes, pouvant ouvrir la porte à un canal de prédation autre que celui qui nous domine... Plus une femme couche avec des hommes, plus l’ADN masculin devient une partie d’elle, et ce qu’elles tombent enceintes ou non, et même si elles ont porté un enfant. Autrement dit, si chaque homme dont sont absorbés dans l'utérus les spermatozoïdes devient une partie vivante de la femme pour la vie, sa qualité psychique première s'avère soit bénéfique, soit maléfique ! Et inévitablement, en cas d'allaitement d'un nourrisson par le lait maternel, se transmet à l'enfant la toxicité dont la mère est porteuse...

 

"Faites attention à ceux avec qui vous partagez votre énergie intime. L'intimité à ce niveau entrelace votre énergie auditive avec celle de l'autre personne. Ces connexions puissantes, même si vous pensez qu'elles sont insignifiantes, laissent des débris spirituels, en particulier chez les personnes qui ne pratiquent aucun type de nettoyage, physique, émotionnel ou autre.

Plus vous interagissez intimement avec une personne, plus la connexion est profonde et plus son aura est entrelacée avec la vôtre.

Imaginez l'aura confuse d'une personne qui couche avec plusieurs personnes et transporte ces multiples énergies ? Ce qu'elle ne réalise peut-être pas, c'est que les autres peuvent ressentir cette énergie qui peut repousser l'énergie positive et attirer l'énergie négative dans votre vie".

 Lisa Chase Patterson, auteure états-unienne, The Impact of Intimate Energy
("L'impact de l'énergie intime")

 

L'explication de la psychopathie ?

L'auteur états-unienne Laura Knight-Jadczyk émet l'hypothèse que les caractéristiques de l'homme de Neandertal sont très proches de la description de la psychopathie, et que cela pourrait très bien être la racine de l’un des problèmes pressants de la société. La psychopathie pourrait être en effet une conséquence du croisement entre l’homme de Cro-Magnon et l’homme de Neandertal. Les Néandertaliens étaient lents d’esprit, non-créatifs, bestiaux (sexuellement dépravés et cannibales), autant d'aspects qui mélangés à une souche génétique d’intellect supérieur, de créativité, et de certaines pulsions instinctives, pourraient avoir donné lieu à un mélange mortel. Lorsque les femmes Cro-Magnon étaient violées par les Néandertaliens, leur attention instinctive et naturelle pour leurs enfants les aurait incitées à protéger les enfants métis fruits de ces accouplements non désirés, d’où la propagation des gènes de la psychopathie dans la population moderne. Elle souligne le fait intéressant que l’ADN Neandertal est censé exister avec environ le même pourcentage dans la population européenne moderne que les psychopathes génétiques.

Cf. En complément Les psychopathes qui nous gouvernent.

 

Changement de paradigme

 

La réalité d'une présence extraterrestre, ou plutôt trans-dimensionnelle, commence petit à petit à s'imposer aux êtres humains longtemps tenus dans l'ignorance par le système institutionnel établi*.

C'est ainsi que nombre de témoins privilégiés, militaires et scientifiques, demandent la levée progressive du secret, bénéficiant de la crédibilité de leur statut. Ils s'ajoutent aux messages plus spirituels reçus sur le mode télépathique de type "channeling" (médiumnité) et publiés par de nombreux auteurs du New Age. Tous revendiquent une posture de non-ingérence de ces forces surnaturelles, dont la manifestation traduirait une forme de vie évoluée et réellement empathique, pleine de compassion et non centrée sur l’égo.

Aussi est-il difficile de ne pas y voir une manipulation du système, les témoins étant soit issus du cartel militaro-industriel et de l’industrie spatiale, soit du courant "amour et lumière" s'attachant à nier par ignorance ou par manipulation délibérée la face sombre de la réalité prédatrice établie. Il s'agit ni plus ni moins de préparer le grand public à une révélation présentée comme "merveilleuse", source de vénération religieuse, alors qu'elle n'est que la consécration de la chape de plomb posée sur la conscience humaine en cette fin de cycle civilisationnel*².

* Cf. Vérité civilisationnelle.

Cf. Prophétie du changement.

 

Une autre catégorie d'individus est composée par des victimes d’enlèvements extraterrestres et par des chercheurs qui, après avoir étudié ce phénomène, considèrent les auteurs de ces abductions comme une menace prédatrice, furtive et manipulatrice. Dans la majorité des cas, ces victimes sont porteuses de stigmates psychologiques (comportements absurdes, angoisses, autodestruction) et parfois physiques qui les mènent vers des thérapies, et tout particulièrement des séances de régression hypnotiques leur permettant l’accès à leur douloureuse expérience passée*. En effet, de nombreux enlèvements ne sont pas si évidents à identifier et ne peuvent être retracés que par une thérapie par hypnose, car ces entités extraterrestres semblent avoir la capacité de contrôler l'esprit de la personne enlevée, d'effacer sa mémoire, de manipuler l'espace et le temps et d'implanter certaines pensées, émotions (de la béatitude à l'indifférence) et faux souvenirs qui servent à "réécrire" ce qui s'est réellement passé pendant l'enlèvement.

La plupart des rapports et témoignages d’enlèvements, ceux-ci étant la plupart du temps obtenus via mise en hypnose des sujets suivant des protocoles scientifiques dûment agréés décrivent des entités de type "gris", "reptilien", mais aussi "humain" vêtus d’uniformes militaires ou de blouses de laboratoire. Chose troublante, ces témoins avaient l’impression que leurs abuseurs s’intéressaient plus à leurs émotions et à leur intensité qu’à l’acte sexuel proprement dit, accréditant le besoin constant de ces forces prédatrices de se nourrir du dévoiement psycho-émotionnel des humains qu'elles contrôlent. Sans oublier les manipulations d’ovaires, de prélèvement de sperme, d’implantation et de retrait d’embryons à divers degrés de développement, ainsi que d’hybridation humano-extraterrestre*².

Bien entendu les gardiens de l'orthodoxie établie y verront la manifestation de délires psychotiques, d'affabulations, de faux souvenirs constituant un terrain d’expression des pulsions et des fantasmes sexuels réprimés. Mais d’autres psychologues et psychiatres, comme le Dr John E. Mack (1924/2004 - photo 1), professeur et docteur en psychiatrie de l’université d’Harvard, ont constaté que ces victimes n’étaient ni délirantes ni psychotiques et manifestaient tous les attributs d’expériences réellement vécues. D’autres chercheurs enfin, comme le Dr Roger K. Leir (1934/2014 - photo 2), chirurgien américain spécialiste en podiatrie (l'équivalent en France de la podologie), ont pu vérifier la réalité des stigmates et des implants extraterrestres.

Aussi convient-t-il de ne pas attendre d’extraterrestres "sauveurs", mais plutôt de se préparer à leur résister par la force de notre psychisme, par notre renoncement à l’égo et notre pouvoir de compassion que l’on peut éprouver pour les souffrances d’autrui, à l’inverse de la division et de la séparation.

* Voir à cet effet (avec tout le recul, le discernement et l'esprit critique nécessaires) les travaux d'hypnose régressive de Rachel Fortun (photo 3), celle-ci postant de nombreuses vidéos à cet effet sur le réseau You-Tube. Il convient en effet de ne pas oublier que selon les travaux du philosophe Rudolph Steiner (1861/1925) , les suggestions déclenchent un transfert au niveau de l’éthérique, porteur de la mémoire et des souvenirs, par lequel, les instincts, les présupposés et les pensées les plus intimes de l’hypnotiseur se reflètent dans la psyché du patient et ce sans même qu’il ait eut à suggérer quoi que ce soi.

Cf. Vérité civilisationnelle.

 

De l'hypnose analytique

La pratique de l'hypnose analytique voit l'hypnothérapeute utiliser un état de transe hypnotique ou état de conscience modifié, pour permettre à l'inconscient du sujet de s'exprimer. Le dialogue hypnotique peut se faire avec un échange verbal, avec des signes des doigts ou même par l'écriture ou le dessin. Dans cet état de conscience différent de celui de l'état de veille, les freins posés par les inhibitions, les peurs et les croyances ont tendance à s'effacer, laissant place à la nature profonde de l'individu. L'échange hypnotique peut alors être considéré comme très sincère et authentique.

Elle est tout particulièrement connue sous le nom d'hypnose ericksonienne, technique mise au point par un médecin psychiatre et psychologue américain le Dr. Milton Erickson (1901/1980 - photo 4) qui met l’accent sur la modification de l’état de conscience. Cette technique sollicite en outre la participation active du patient mis en état de profonde relaxation pour lui permettre de pouvoir s'exprimer librement. Le thérapeute utilise des métaphores, c'est-à-dire un langage symbolique, pour guider l'inconscient du sujet et l'amener à trouver lui-même les solutions à ses problèmes. C'est cette technique que John E. Mack utilisait pour les séances avec des abductés dont l'étude s'étala sur plus d'une décennie,  portant sur 200 hommes et femmes*. 

* Après avoir pensé que les personnes prétendant avoir été enlevées par des extraterrestres souffraient de maladie mentale, il finit par conclure qu'aucune pathologie évidente n'était présente. Voir ses travaux dans "A Prince of Our Disorder".

 

Des faux souvenirs

Les faux souvenirs ne sont pas forcément provoqués par une fausse information ou par une suggestion intentionnelle, que maîtrisent parfaitement toutes les institutions dominantes (religions par exemple). Le faux souvenir peut apparaître aussi lors d'une interprétation survenue au moment de l'apprentissage de l'information, car nécessaire pour sa compréhension.

Un des premiers principes explicatifs des faux souvenirs et de l'effet de désinformation est basé sur l'effet des intervalles de temps entre les événements. En effet, plus un souvenir est ancien, plus la mémoire de l'événement s'affaiblit, et moins la différence entre le souvenir et la nouvelle information est détectée. C'est le principe de détection de la divergence (Discrepancy Detection), qui prédit que le souvenir est plus susceptible de changer si la personne ne se rend pas compte de la différence entre son souvenir propre et la nouvelle information.

Un état mental passager peut également affecter les performances de la mémoire. Ainsi des sujets à qui on a fait croire qu'ils ont bu de l'alcool, ou des sujets sous hypnose, sont plus susceptibles de former de faux souvenirs dans des conditions expérimentales.

Les désinformations affectent certaines personnes plutôt que d'autres. Il a été observé un effet de l'âge : les jeunes enfants sont plus vulnérables que les enfants plus âgés et adultes, les personnes âgées étant plus vulnérables que les adultes plus jeunes.

Compte-tenu de cette perméabilité mémorielle, la plus grande prudence s'impose quant aux programmations thérapeutiques type hypnose, qui pour certaines peuvent conduire à des abus ou à des maltraitances chez un patient. De nombreux procès judiciaires ont ainsi condamné les protagonistes déviants, comme en France à la fin des années 1970 avec le groupe Saint-Erme - dit également "La famille de Nazareth", institut séculier fondé et dirigé par Marcel Cornélis, prêtre catholique belge, qui comptait 72 médecins, des professeurs d'université, des psychiatres, psychologues, ayant recours à des pratiques diverses (transes, croyances en rapport avec Satan) particulièrement malsaines.

Même si le syndrome des faux souvenirs a été et reste contesté par une grande partie de la communauté scientifique, de plus en plus d'études démontrent qu'elle est un moyen utilisé pour "couvrir" des pratiques sexuelles déviantes comme l'inceste et la pédophilie, les survivants de ces abus tendant à nier plutôt qu'à exagérer leurs souvenirs horribles.

En France, la psychogénéalogie est à l'origine d'affaires impliquant des psychothérapeutes ayant une "formation" minimaliste, se traduisant par des dégâts tels que rejet de la famille, des parents, procès pour viol, divorces... Ces pratiques participent dans la plupart des cas de la dérive sectaire.

Cf. en complément L'état de cohérence, voie de sa liberté.

 

De son côté, le psychiatre états-unien Jerry Marzinsky (photo 5) a été conduit à considérer par son expérience la schizophrénie sous un tout autre angle que la psychiatrie conventionnelle, à savoir comme une intrusion et un parasitage des patients par des "êtres" d'une autre dimension. Il travaille désormais avec d'autres psychiatres qui partagent sa vision pour accompagnent leurs patients sur la base de ce constat. Si cette perception demeure marginale au sein du monde de la psychiatrie, ceux qui la développent sont de plus en plus entendus.

Cf. site web : https://www.jerrymarzinsky.com/

 

Sous couvert de méthodes et pratiques visant à améliorer le patrimoine génétique de l’espèce humaine, le système prédateur conduit en parallèle deux pratiques mortifères. L'une consiste à rechercher l’"enfant parfait", contributeur émérite au système productiviste. Si hier à Sparte l'on jetait l'enfant dénaturé ou difforme par-delà le mont Athos, et qu'au Moyen-Age il était dans les fermes donné au cochon, les scientifiques et médecins alliés au mouvement transhumaniste ont pour objectif sous couvert de morale et d'éthique d'éradiquer des caractères jugés handicapants et de favoriser des caractères jugés bénéfiques, les techniques de procréation médicalement assistée s'inscrivant en ce sens.

L'autre est d'assurer aux élites les moyens de leur reproduction dans les conditions optimales des gènes humains, tout en diffusant à large échelle par leurs technologiques eugénistes des pratiques mortifères en matière de santé publique (vaccins, Gardasil, autisme, sécurité sociale, cancer, chimiothérapie, alimentation, OGM…), la dernière se nommant Covid-19*² (désormais Covid-21 avec ses variants mutagènes).

C'est la raison cachée du scientisme transhumaniste en matière d'utérus artificiel, appelé aussi matrice artificielle, qui est un dispositif théorique d'ectogénèse permettant une grossesse extracorporelle, à savoir la croissance d'un embryon ou d'un fœtus en dehors du corps d'un organisme femelle qui mènerait normalement cet embryon ou fœtus à terme. L'idée en fut pour la première fois formulée par le biologiste généticien britannique John Burdon Sanderson Haldane (1892/1964 - photo 1), dans les années 1920. Comme un organe de substitution (ex. : le rein artificiel), il est considéré comme pouvant en l'état être utilisé pour aider les femmes dont l'utérus est endommagé ou malade à développer le fœtus à terme, et de déplacer le seuil de viabilité des prématurés à un stade beaucoup plus précoce de la grossesse. Les chercheurs indiquent penser pouvoir effectuer les premiers essais chez l'homme entre 2020 et 2022, avant que de passer au stade de fabrication du robot biologique !

En France, le projet de loi sur la bioéthique, adopté récemment avant que de passer au Sénat en janvier 2019, voit ce courant par le biais de l’AFT (Association Française Transhumaniste) montrer son hostilité au texte de cette loi en raison du fait de ne pas rendre le séquençage ADN possible en dehors des raisons thérapeutiques, et ne pas autoriser certains dépistages génétiques (elle considère également le vieillissement comme une maladie !). Autrement dit, dans le cas d’une fécondation in vitro, elle souhaite que les embryons soient techniquement "triés" en fonction de certains critères, dont la trisomie 21, et dès lors éliminés (comme à Chypre par exemple, où il est possible de trier ces embryons en fonction du sexe de l’enfant). L'intention est bel et bien d'étendre ces dépistages, tant pour conduire à "l’enfant parfait" que de travailler sur les cellules pour les empêcher de vieillir… Si le tri génétique peut parfois être opportun (l’association défend ainsi un programme de cellules artificielles qui permettait de ne plus réaliser d’essais cliniques sur des êtres vivants), "l’homme augmenté" grâce à la robotique masque un programme d'eugénisme (élimination des maladies génétiques, sexe, caractéristiques physiques), y compris si l’enfant choisi ne devait pas répondre parfaitement à la demande et aux attentes des parents. Non seulement la similitude génétique conduit à une bien plus grande fragilité de l’espèce, mais cette uniformisation dangereuse n’est que l’utopie d’une société soi-disant parfaite, ne pouvant que la conduire à sa perte.

* Le terme eugenics a été employé pour la première fois en 1883 par le scientifique britannique Francis Galton, dont les travaux participèrent à la constitution et à la diffusion de la mouvance eugéniste

Cf. Dossier complet, étayé et sourcé établi par Philippe Alexandre Jandrok dans "Pandora, la bible du vivre et laisser mourir".

 

Procréation transhumaniste

Le professeur Katsuhiko Hayashi, éminent chercheur en cellules souches de l'université d'Osaka, a fait part d'une avancée dans le domaine génétique début mars 2023 lors du sommet international sur l'édition du génome humain tenu à Londres. Les scientifiques d'un laboratoire japonais ont en effet produit une progéniture saine à partir de deux parents de sexe masculin en utilisant une technique d'édition génétique pour créer des ovules viables à partir de la peau. Depuis une dizaine d'années, Hayashi travaille sur diverses techniques de fabrication d'ovules à partir de cellules souches, autrement appelée gamétogenèse artificielle ou production de cellules sexuelles en laboratoire. Celle-ci a été réalisée sur des souris, consistant à reprogrammer une cellule de la peau en une cellule souche pluripotente - type de cellule qui peut se transformer en d'autres types de cellules par la suite. Les scientifiques ont retiré le chromosome Y des cellules souches et ont créé des copies du chromosome X pour le remplacer. Avec un chromosome XX complet, les cellules se sont transformées en ovules, bien que seul un petit pourcentage du matériel source ait pu être soumis au processus complet.

 

Ceci rejoint les prédictions de l'écrivain, romancier et philosophe britannique Aldous Huxley (1894/1963 - photo 2), qui a joué un rôle prépondérant dans le cadre du "MK-ULTRA", le programme de contrôle mental et d’ingénierie sociale de la CIA des années cinquante et soixante*. Dans son ouvrage Brave World ("Le meilleur des mondes") paru en 1932, exposé des horreurs du totalitarisme, il évoque le potentiel cauchemardesque de la manipulation génétique. Si ce livre l'a élevé au rang d’icône de la tradition humaniste et libérale, il était comme membre émérite de la Fabian Society*² un partisan virulent de l’eugénisme, tout comme un soutien affirmé d’une forme anti-démocratique de gouvernement... Cet ouvrage est bel et bien l'annonce politique de ce vers quoi le transhumanisme nous conduit, l'instauration d'un gouvernement mondial au sein duquel les "Alphas" forment l’élite dominante. Les hommes y sont totalement conditionnés, la sexualité est libre dès l’enfance mais stérile et sans amour, la reproduction humaine est artificielle, le mariage et la famille n’existent plus, les mots considérés comme orduriers de "parents", "père" et "mère" font rougir de honte.

* Cf. Contrôle mental.

Cf. Le modèle européen décodé (2) L'idéologie mondialiste.

 

L'ordonnancement sociétal à venir (en cours)

Dans le roman d'anticipation dystopique* Brave New World ("Le Meilleur des mondes") écrit en 1931 par l'écrivain anglais Aldous Huxley (1894/1963), "La société du Meilleur des Mondes" repose sur un système de cinq principales castes - Alpha, Bêta, Gamma, Delta et Epsilon - qui se subdivisent en sous groupes (Alpha plus plus, Alpha plus, Alpha moins). L'auteur y expose l’idée eugéniste de maîtriser la reproduction de l’espèce à travers la prohibition de la famille et la libération des instincts sexuels, son ouvrage étant davantage une annonce politique qu’un roman de science fiction. Il faisait en effet partie de la Fabian society, véritable institut d’ingénierie sociale entendant "altérer l’opinion publique" pour lui faire accepter le pouvoir d’une élite mondiale. Qui plus est, il était le frère de Julian Huxley, vice président puis président de la Eugenic Society entre 1937 et 1962, fondateur de l’UNESCO et du WWF dont le premier président sera le Prince Bernhard par ailleurs co-fondateur du groupe de Bilderberg. 

Les Alphas constituent la classe dominante. Ils ont une formation intellectuelle poussée. Au-dessous d'eux, le rang social des divers groupes s'abaissent progressivement, jusqu'aux Epsilons, réduits aux taches physiques.

Les individus, dans cette société ne sont pas obtenus par reproduction naturelle, mais par ectogenèse, expliquant la disparion de la famille. A travers cette méthode de traitement chimique imposé, les embryons, futurs bébés, sont déjà dotés d'aptitudes physiques ou intellectuels très diverses, déterminées en fonction de la place qui leur sera attribué dans la société. Ainsi la quantité d'oxygène donnée au fœtus varie en fonction de la caste. Après leur naissance les enfants sont conditionnés par l'hypnopedie ou enseignement pendant le sommeil. Les enfants apprennent à n'aimer que leur futur travail et que la caste dont il vont partie. Ce conditionnement est plus ou moins fort selon la caste à laquelle appartient le sujet. Ainsi les Epsilons subissent un conditionnement total qui les réduit presque à l'état de machines. En revanche, les Alphas, qui peuvent être amené à prendre des responsabilités, reçoivent un conditionnement assez faible.Dans cette nouvelle société chaque individu sera créé pour un besoin spécifique, dans le but de remplir une fonction prédestinée. Pas de création aléatoire. On ne fait plus un enfant pour le plaisir. On "fabrique" un enfant pour répondre à un besoin de société. La société du futur sera semblable à une société d'insectes !

Tous ces groupes coexistent avec harmonie et sans animosité, chacun étant ravi d'être dans le groupe où il a été placé. Et pour cause, des méthodes hypnopédiques (répétitions de leçons orales durant le sommeil) conditionnent le comportement de chacun dès le plus jeune âge, renforcé par la distribution à tous de drogue*².

La reproduction est entièrement artificielle. Non seulement la notion de parenté ne correspond plus à une réalité courante, mais son évocation est considérée comme vulgaire, voire obscène. De son côté, la sexualité est détournée pour n'être que récréative et étouffer dans l'œuf les passions amoureuses, celles-ci étant clairement source de tensions (jalousie, possessivité), et donc à bannir de cette société. Autant dire que le sexe sans limite est encouragé dès la plus petite enfance, comme une relation sociale récréative comme une autre...

Le conditionnement dirige bien sûr les goûts des membres de la société, vers des loisirs nécessitant l'achat d'équipements spécialisés au lieu de l'appréciation des passe-temps gratuits ou bon marché. On les conditionne, par exemple, à ne pas aimer la nature, au motif que ce goût n'engendre pas assez d'activité économique. Et si les loisirs sont omniprésents, c'est à la condition expresse qu'ils se fassent en groupe.

Sur le plan religieux, si le régime est théocratique (le pouvoir étant considéré comme émanant de Dieu, il est exercé par ceux qui sont investis de l'autorité religieuse ou par un souverain considéré comme le représentant de Dieu sur la terre, sinon comme un dieu incarné), les notions de religion et de théocratie y sont inexistantes. Il en va de même pour toutes les autres notions associées à la religion, sauf l'hérésie, qui peut être punie de déportation, et le sacrilège.

* L'auteur montre les dérives possibles du behaviorisme ou comportementalisme étudié notamment par le psychologue américain John Broadus Watson (1878/1958), soit une représentation du monde par la psychologie scientifique selon lequel le comportement observable des individus est essentiellement conditionné soit par les mécanismes de réponse réflexe à un stimulus donné, soit par l'histoire de leurs interactions avec l'environnement (notamment les punitions), et ce sans faire appel au psychisme comme mécanisme explicatif.

Elle se nomme le "Soma", drogue parfaite sans effet secondaire distribuée par l'administration sous forme de comprimés distribués au travail en fin de journée. Elle empêche les habitants d'être malheureux, agissant sur un mode anxiolytique pour plonger celui qui en prend dans un sommeil paradisiaque. Cette substance est le secret de la cohésion de cette société, puisque grâce à elle, chaque élément de la société est heureux et ne revendique rien. Les individus de toutes les castes se satisfont de leur statut par le double usage du conditionnement hypnopédique et du Soma.

 

Il est à noter que Aldous Huxley connaissait bien le poète André Breton (1896/1966 - photo 3), le pape français du courant "surréaliste"*, avec qui ils échangeaient en français. Ces mêmes surréalistes, parfois accusés de "pédérastie" comme Louis Aragon*² (photo 4), qui prétendaient dans les années 1920 lutter contre les valeurs reçues et libérer la libido de tous les préjugés, notamment sexuels, condition indispensable d’accès à une certaine forme de "connaissance". De ce point de vue, la famille leur faisait horreur, Breton n'hésitant pas à dire dans son Second manifeste du surréalisme paru en 1929 que la religion et la famille constituent des pièges pour la passion amoureuse, et que par conséquent "Tout est à faire, tous les moyens doivent être bons à employer pour ruiner les idées de famille, de patrie, de religion".
* Le surréalisme est un mouvement artistique du XXᵉ siècle, comprenant l’ensemble des procédés de création et d’expression utilisant toutes les forces psychiques libérées du contrôle de la raison et en lutte contre les valeurs reçues.
L'autre grand auteur surréaliste, le poète Louis Aragon (1897/1922) initialement "dadaïste", a dissimulé ses pratiques homosexuelles, notamment en raison de l’homophobie viscérale de son grand ami André Breton. Plus tard, une fois dans les rangs du parti communiste, il avait tout intérêt à faire oublier ce passé "gênant". Cf. Franck Merger, Surréalisme et homosexualité : la position d’Aragon dans Le Libertinage (1924) et La Défense de l’infini (1923-1928).

 

Libération sexuelle

 

L'indispensable changement de conscience en matière d'amour et de sexualité consiste à comprendre que l'essence de la Lumière, soit la Connaissance*, est l'Amour. Ce principe a été corrompu lorsque est déclaré par les relais terrestres du système prédateur - religieux, enseignants et gurus spirituels - que l'amour mène à l'illumination. C'est tout l'inverse. L'Amour est Lumière, qui est Connaissance. Pour aimer, il faut connaître. Et connaître, c'est posséder la lumière. Par là-même, posséder la lumière, avoir la connaissance, c'est aimer ! Voici pourquoi la Connaissance est cachée, tout étant fait pour que l'être humain la recherche à l'extérieur alors qu'elle est enfouie au plus profond de ses mémoires. Sans les faire remonter au conscient, libérées du venin archontique par leur transmutation alchimique, point de salut existentiel ! C'est pourquoi la transmutation, et non la suppression de l'énergie sexuelle, est un aspect important du travail ésotérique qui est nécessaire pour "échapper à la matrice" des morts-vivants.

* Cf. Qu'est-ce que la Connaissance ?

 

Un indispensable rééquilibrage des polarités

 

Pour de nombreuses personnes, l'affection physique et le sexe constituent simplement des méthodes plus faciles à mettre en œuvre pour créer une sorte de "lien" que la vulnérabilité émotionnelle, l'intelligence partagée et la capacité à partager ces qualités par la communication verbale. Mais plus que toute autre chose, elles veulent parler à leur partenaire, pour établir par cette forte connexion la capacité à se connaître, d'autant que d'avoir trop de sexe au début d'une relation sans vraiment connaître l'autre personne cause très souvent beaucoup d'ennuis émotionnels, beaucoup de "trucs" ou d'effets s'ouvrant quand on a des relations sexuelles avec quelqu'un.

La relation doit avoir une base plus solide que la seule chimie physique pour avoir une chance de se réaliser.

Il y a indéniablement une corrélation entre le statut de la femme et le caractère pacifique d’une société. Depuis la prise de pouvoir du "patrisme"*, l'affirmation de la domination masculine et la répression de la femme ont constitué le signe avant-coureur de conflits et de guerres prochaines. "L’androcratie" a en effet besoin de réprimer la femme pour maintenir son pouvoir. Aujourd’hui, avec les nouveaux médias qui permettent de faire circuler l'information, cette domination patriste basée sur des dogmes religieux ou scientifiques matérialistes apparaît ébranlée, les scandales sexuels qui ne cessent d'émerger l'attestant. Aussi beaucoup imaginent que ce rééquilibrage des polarités peut ouvrir une nouvelle fenêtre à la manière d’un "point de bifurcation" entre le règne de la terreur dans une société technologiquement avancée et hyper-contrôlée et le fait de retrouver le sens du partage des sociétés préhistoriques.

Là se trouve le grand leurre des maîtres artificiers babyloniens. Comment imaginer qu'après avoir vécu cinq mille ans dans une société dominatrice par le feu électrique masculin du système prédateur involutif gouvernant les affaires terrestres à partir d'un plan de réalité supérieur, un autre monde puisse se mettre en place ? Le problème n’est pas l’homme en tant que genre sexuel, mais les hommes et les femmes tels que socialisés, plus exactement formatés dans un système dominateur asservissant basé sur la dualité. S'ils ont clairement le potentiel biologique pour différentes sortes de comportements, la puissance de la prégnance mentale constitutive d'une carapace extérieure les enferme chacun et chacune dans des rôles rigides et hiérarchiques qui freinent leur développement. Seule une nouvelle science incluant la spiritualité, faisant le lien entre la raison et l’intuition, permettrait de s'en affranchir, en représentant la conscience de notre unité et des liens qui nous relient et qui relient tous les êtres dans l’univers. De même, dans un monde où les femmes et les hommes vivraient dans un plein partenariat, les structures sociales (familles, écoles, gouvernements, institutions sociales...) se fonderaient sur le lien plutôt que sur le rang*². Au lieu de forcer les individus à entrer dans des hiérarchies pyramidales, ces institutions seraient "hétérarchiques", permettant à la fois la diversité et la flexibilité dans les prises de décision et l’action. Il en découlerait que les rôles des femmes comme des hommes seront bien moins rigides, permettant à toute l’humanité une flexibilité de développement maximale.

* Cf. Évolution de civilisation (3) & Le Judaïsme décodé.

Cf. Le lien, expression de la conscience collective.

 

La conscience "Service de Soi" dans sa relation à l'Amour

Dans la 3ème densité, nous sommes TOUS, sans exception, au service de nous-même d'une manière ou d'une autre. Nous ne pouvons pas, de par notre nature même d'existence dans la chair qui doit consommer pour survivre, être de purs êtres au service d'autrui. C'est le fond du problème. Et c'est en comprenant cela, en l'acceptant et en s'efforçant ensuite de tirer les leçons de ce domaine dans lequel nous nous trouvons, en devenant, au minimum, conscients et en agissant sur cette conscience dans la mesure du possible, que nous avons la chance de devenir des "candidats" pour passer en 5ème dimension évolutive.
La conscience Service de Soi n'a d'autre choix que de soustraire l'Amour de l'équation du Vivant. En effet, c'est seulement par un manque d'amour qu'un individu est motivé à supprimer ou à contrôler ou à convertir une autre personne. Or l'Amour exprime la condition éternelle selon laquelle, au sein de l'identité inconditionnelle de l'Absolu, TOUTES les qualifications sont permises par la vertu de son Potentiel Illimité. L'Amour est le Pouvoir de l'Absolu, qui Le rend Absolu et inconditionnel en permettant même l'apparente antithèse de la hiérarchie Service de Soi, force énergétique involutive nécessaire à l'équilibre de l'Univers, de Ce Qui Est..

De son côté, la perspective Service d'Autrui couple l'Amour avec le Potentiel Infini, les propriétés éternellement proliférantes de la Création dans toutes ses formes et variétés. Elle célèbre les différences dans la forme, tout en reconnaissant l'identité dans la conscience. Et c'est pour cette raison que la hiérarchie Service de Soi est "amère" envers l'Amour, parce que l'Amour permet et accepte que l'attention soit partagée, alors que le Service de Soi a soif d'exclusivité. L'Amour est ce qui se déplace dans les courants multiplicateurs du potentiel Créatif, tout en conservant la conscience de l'état originel de la possibilité infinie - la non-anticipation. L'Amour est ce qui sait que peu importe combien de fois le Logos est subdivisé ou multiplié, il demeure intact. L'Amour est la conscience qui sait qu'elle peut être provisoirement concentrée sur des attributs choisis délimitants, mais qu'elle n'est jamais diminuée.

La hiérarchie Service de Soi voit l'Expression Créatrice comme une "femme libertine", la "putain de Babylone", se prostituant auprès d'autres "dieux". Elle voit son travail comme étant "d'arrêter" la prolifération aveugle et la générosité porteuse de liberté de l'Amour. Elle veut "capturer" la déesse Mère - le Féminin sacré -, la garder sous clés, utiliser son pouvoir en appropriant ses moyens, en imitant ses actions et ses fonctions tout en les altérant stratégiquement et en les incorporant dans un simulacre restreint approprié à ses propres buts. D'autant que ces forces retardataires n'ont aucun pouvoir de créativité, ne pouvant pas créer leur œuvre en propre. Elles ont besoin du pouvoir de la Mère pour cela. C'est pourquoi elles capturent des femmes avec du pouvoir - celui de donner la Vie -, les gardant en vie afin de maintenir une continuité minimale d'interaction créatrice et la production appropriée de forme.

C'est par la régulation ajustée des formes de l'Amour que l'intelligence Service de Soi puise les moyens de contraindre l'énergie de l'âme à convertir un capital conscient-abstrait en monnaie psychique et émotionnelle spécifique. Et c'est via l'énergie cumulative psychique et émotionnelle que ces forces espèrent et font tout pour obtenir les clés-énergie des serrures temporelles et des corridors spatiaux de terrains encore vierges et toujours plus riches, des portions du cosmos intactes de leur vie créatrice, mûres pour le pillage et le profit privilégié.

L'ultime but de cette hiérarchie Négative est de maîtriser l'énergie créatrice, l'assimiler au soi, en priver les autres en les incitant à croire à des mensonges à propos de "devenir Un". Et parce que, quand on croit au mensonge du trompeur Service de Soi, on lui donne le contrôle de notre Libre Arbitre - l'essence de la Créativité.

C'est pourquoi il convient de répéter la maxime Hermétique : En haut, l'économie d'énergie de la lumière, en bas, l'économie du contrôle des esprits et de la volonté. Parce que les êtres polarisés négativement requièrent une base planétaire polarisée négativement à partir de laquelle ils peuvent fonctionner (tout comme les êtres positifs de densité supérieure ont besoin de bases planétaires polarisées positivement), ils veulent utiliser la propre énergie créatrice de l'humanité pour "enfermer" la planète sous leur domination.

Issu des travaux de Michael J. Topper.

 

Pour de nombreuses personnes, l'affection physique et le sexe constituent simplement des méthodes plus faciles à mettre en œuvre pour créer une sorte de "lien" que la vulnérabilité émotionnelle, l'intelligence partagée et la capacité à partager ces qualités par la communication verbale. Mais plus que toute autre chose, elles veulent parler à leur partenaire, pour établir par cette forte connexion la capacité à se connaître, d'autant que d'avoir trop de sexe au début d'une relation sans vraiment connaître l'autre personne cause très souvent beaucoup d'ennuis émotionnels, beaucoup de "trucs" ou d'effets s'ouvrant quand on a des relations sexuelles avec quelqu'un.

La relation doit avoir une base plus solide que la seule chimie physique pour avoir une chance de se réaliser.

 

De la masculinité toxique

Le sage Sun-Tzu, auteur de "L’art de la guerre", un très ancien traité chinois de stratégie militaire qui date d’il y a 2500 ans, dit "Lorsque le monde est en paix, un homme de bien garde son épée à son côté". Son enseignement interroge notre époque contemporaine, qui voit les violences domestiques avoir atteint un nouveau record lors de la période de confinement liée à la crise sanitaire de la Covid-19 au premier semestre 2020, complétant le sombre tableau des agressions, harcèlements, viols et meurtres qui voient les hommes au pinacle des exactions civilisationnelles. Elles traduisent leur difficulté à canaliser l'énergie électrique qui les caractérise sous gouverne de leur prédateur attitré, par ignorance des attributs de cette force allouée et des techniques appropriées que sont notamment une musculation, une nutrition et un entraînement mental adaptés. Si la force musculaire permet de protéger les faibles, et d'abord soi-même, encore faut-il la pleine maîtrise de la force morale pour en éviter les abus et les "pétages de câble" non contrôlés. C'est pourquoi dans les arts martiaux orientaux (judo, jiu-jitsu, karaté, taekwondo…), la maîtrise de soi est enseignée avec autant de soin, sinon plus, que les techniques de combat, aucun maître n’enseignant à quelqu’un les gestes qui tuent sans s’assurer qu’il possède un parfait contrôle de lui-même. Car selon la sage maxime "Qui veut la paix prépare la guerre", il importe d'être prêt au combat de la (sur)vie, ceci exigeant de contrôler cette force et de l’utiliser dans le bon sens au cas où. C'est la raison d'être de l'entretien du corps physique pour disposer de la vitalité, de la souplesse et de l'élasticité, tout comme de l'optimisation de l'alimentation afin d'atteindre une force physique et une acuité mentale donnant toute sa puissance à l'action, ainsi que du renforcement du mental et de la discipline pour avoir la certitude de ne jamais déraper ni d’exploiter son énergie dans un sens qui nuit à soi-même ou aux autres.

L’homme a au fond de lui un guerrier, un fauve qui sommeille. C'est pourquoi il est impératif d’apprendre à le contrôler pour éviter son brutal réveil et qu'il ne s’exprime de façon incontrôlée. Chez les primates, comme les chimpanzés ou les gorilles qui fonctionnent avec une stricte hiérarchie sociale, le "mâle dominant" n’est jamais le plus violent ni le plus fort. C’est celui qui allie une certaine force physique avec une capacité supérieure à prendre soin de l’ensemble du groupe, y compris les plus faibles. Le mâle qui se servirait de sa force pour accaparer toute la nourriture et toutes les femelles se ferait rapidement renverser par les autres, qui se ligueraient contre lui. Aussi il convient de savoir cultiver et animer ce sentiment au service de la protection d'autrui. Mais chez certains, il faut le découvrir, car il a été enfoui par des années de mauvais traitements, frustrations, injustices sinon violences subies.

 

"Tous Les Mêmes"

A sa manière, le chanteur belge Stromae (Paul Van Haver) illustre les affres de la domination patriste attentatoires à la réalisation harmonieuse du vécu civilisationnel.

Vous les hommes êtes tous les mêmes Macho mais cheap

Bande de mauviettes infidèles Si prévisibles, non je ne suis pas certaine, que tu mérites

Z'avez d'la chance qu'on vous aime Dis-moi "Merci"

 (Refrain)

Rendez-vous, rendez-vous, rendez-vous au prochain règlement

Rendez-vous, rendez-vous, rendez-vous sûrement aux prochaines règles

 Cette fois c'était la dernière Tu peux croire que c'est qu'une crise

Matte une dernière fois mon derrière, Il est à côté de mes valises

Tu diras au revoir à ta mère, Elle qui t'idéalise

Tu n'vois même pas tout c'que tu perds Avec une autre ce serait pire

Quoi toi aussi tu veux finir maintenant ? C’est l'monde à l'envers !

Moi je l'disais pour t'faire réagir seulement ... Toi t'y pensais

 (Refrain)

Rendez-vous, rendez-vous, rendez-vous au prochain règlement

Rendez-vous, rendez-vous, rendez-vous sûrement aux prochaines règles

 Facile à dire, je suis gnan-gnan et que j'aime trop les bla-bla-bla

Mais non non non, c'est important Ce que t'appelles les ragnagnas

Tu sais la vie c'est des enfants Mais comme toujours c'est pas l'bon moment

Ah oui pour les faire, là, tu es présent, Mais pour les élever y'aura des absents

Lorsque je n'serai plus belle, Ou du moins au naturel,

Arrête je sais que tu mens, Il n'y a que Kate Moss qui est éternelle

 Moche ou bête, c'est jamais bon ! Bête ou belle, c'est jamais bon !

Belle ou moi, c'est jamais bon ! Moi ou elle, c'est jamais bon!

 (Refrain)

Rendez-vous, rendez-vous, rendez-vous au prochain règlement

Rendez-vous, rendez-vous, rendez-vous sûrement aux prochaines règles

 tous les mêmes, tous les mêmes, tous les mêmes et Y'en a marre,

tous les mêmes, tous les mêmes, tous les mêmes et y'en a marre

tous les mêmes, tous les mêmes, tous les mêmes et Y'en a marre,

tous les mêmes, tous les mêmes, tous les mêmes

 Album : √ (racine carrée).

 


Rien en l'état ne laisse cependant en présager la mise en œuvre, le système prédateur ayant mille et un tours dans son sac de prestidigitateur pour en éviter le scénario. Il préfère sacrifier en apparence quelques bourreaux sur l'autel, établir d'énièmes chartes éthiques de bonne conduite, et renforcer la parité d'apparence quant aux postes clés distribués. Le véritable pouvoir n'étant pas celui affiché, c'est un jeu à sommes nulles destiné à illusionner les abeilles de la ruche, qui plus est avec l'émergence en cours d'une nouvelle religion universelle lié au transhumanisme, telle que contenue dans le projet Blue Beam ("Rayon Bleu")*.

Seul un travail intérieur de réunification de ses polarités masculine et féminine et de désengagement du jeu de la dualité de la Matrice est réellement salvateur. La réalisation de nos potentiels évolutifs supérieurs passe par la liberté fondamentale qu’octroient la sagesse et la connaissance. Par la conscience de Qui Nous Sommes vraiment, par notre reliance à notre Soi supérieur, l’Esprit divin une fois l'Âme réunifiée, nous pouvons entreprendre notre chemin d'ascension libératoire.

* Cf. La nouvelle religion universelle, Prophétie du changement & Contrôle mental.

 

La Médecine de la Méduse

Si dans sa polarité négative la Méduse* exprime le symbole de la castration - ce qui pétrifie - où le féminin lunaire (planète Neptune négative) use du pouvoir de la sexualité pour piéger le masculin électrique (planète Pluton négatif), autrement dit le Moi non réalisé se consumant dans une quête de jouissance sous l'emprise de la prédation archontique, cette "mante religieuse" ou "sorcière noire" permet dans sa polarité positive la libération du Masculin Sacré par le Féminin Sacré. Cette libération appelle la dissolution des deux archétypes que sont la marque intellectuelle et la marque de l'émotivité, afin de permettre un équilibre entre les tendances motrices, sensitives et intellectuelles.

Et une fois le Féminin sacré libéré à son tour par son pendant Masculin (Cf. les histoires de princes qui libèrent leur princesse), la flamme sacrée - la venue de l'Esprit (le Soi supra-mental) - par l'humilité de la rédemption annihile la monstruosité prédatrice, soit l'instinct bestial et dominant. La suprématie du Masculin sur la Féminin se dissout, conduisant tous les jeux de pouvoirs "domination-soumission" à se dissoudre. Le mur de pierre érigé par le "mal" étant effondré, il en résulte la fusion de la dualité dans l'Unité des polarités yin et yang. C’est alors l’équilibre, l’Être Sacré dans le Cœur.

En d'autres termes, les tentacules de la Méduse, telles des serpents qui avaient pétrifié l’être humain illusionné, lui envoient des décharges électriques capables de "réveiller un mort", exorcisant la peur du Féminin en soi et libérant toutes ses connexions au monde visible et invisible, ses ressentis et perceptions extrasensorielles (libération des traumas violents ancrés dans la psyché depuis la nuit des temps). Par la renaissance de ses alter inconscients jusqu'alors pétrifiés, de façon adaptée et proportionnelle à son état d’esprit, Son Être Sacré se dote de magies psychiques extrêmement puissantes, capables de libérer l’Être emprisonné. De l’Homme mort il devient l’Homme vivant ; de l’Homme esclave il devient l’Homme Libre ; de l'Homme enfermé dans la noirceur de la Caverne (la Matrice astrale), il devient l'Homme lumineux, être esprit multi-dimensionnel (la Matrice cosmique). C'est pourquoi la Méduse est une guérisseuse des profondeurs de notre psyché. Elle est le "troisième Œil" qui éveille et réveille le Sacré en nous, ouvrant la porte à l’Être Réalisé.  

* Animal venu des fonds marins, la méduse est constituée de 95% d’eau, étant en ce sens "mémoire des mémoires". Fille de la Lune et des Océans, elle est le symbole du Féminin Sacré (le charme, la beauté, la douceur, la sensualité, la vie et l’amour), unissant à la fois Vénus, Neptune et Lune.

Ses tentacules urticantes et paralysantes servent à piéger ses proies dans ce qu’il y a de plus vil : la haine, la vengeance, la destruction, la folie, la fureur, la castration. C'est la raison pour laquelle la méduse défend le Féminin Sacré, notre partie hyper-sensible, en faisant mourir le Masculin électrique désacralisé. Telle une Déesse des Océans, elle est la gardienne de l'hyper-sensibilité Féminine de l'être humain.

Cf. Le chemin alchimique.

 

Une nouvelle conscience

 

Ce qui est nécessaire de comprendre pour notre changement de conscience préalable à son ascension dans une nouvelle dimension de réalité en mode "Service d'Autrui", c'est que la sexualité n'est ni bien, ni mal. Elle est simplement animale, tout à fait appropriée à notre 3ème dimension de réalité qui voit la satisfaction des pulsions du corps initiées en relation avec le champ électro-magnétique terrestre de "basse" fréquence. A ce stade, l'humain par sa biologie constitutive s'apparente bien plus à un animal qu'à un être doté de conscience de Ce Qui Est, de sensibilité comme de discernement justes car parfaitement équilibrés.

Lorsque, par l'éveil de notre conscience, soit l'accès à la 4ème dimension* où elle se situe dans son état limité au moi personnalité (pour nous observer nous passons nécessairement à l'étage supérieur), nous parvenons à entrevoir, comprendre et accepter l'entité prédatrice qui pense à travers nous et exprime sa réalité à travers notre conscience humaine, nous pouvons tout à fait comprendre que les besoins que nous projetons et manifestons sont ceux de notre prédateur, le mode "Service de Soi", certainement pas les nôtres, ceux de notre Âme appelée par le Soi supérieur à sa réunification pour le libérer et permettre le retour au bercail. Le sexe, la fonction sexuelle, intéresse la duplication de l'âme en 1ère, 2ème et 3ème dimensions de densité, alors que l'échange de l'énergie d'amour, la force universelle, concerne la 5ème et surtout la 6ème densité, soit le mode "Service d'Autrui". Aussi, pour faire perdre au système de contrôle prédateur de son emprise, nous avons non à lutter et à résister, ce qui serait vain, mais à coopérer, en considérant l'entité prédatrice qui passe à travers notre métabolisme non comme une ennemie mais comme une enseignante. En comprenant que "faire l'amour" avec quelqu'un – même avec soi par l'auto-sexualité –, consiste en un troc d'énergie entre deux entités non seulement humaines, mais trans-dimensionnelles, et que ceci préfigure une interactivité informative, un échange d'instructions et de connaissances entre différentes densités incarnées par l'âme, tout peut changer. Nous permettons au flux hormonal jusqu'alors déséquilibré (montée de libido et de testostérones, fantasmes) de revenir progressivement à un état neutre.

* La 4ème densité est la dimension pivot entre les mondes physiques et les mondes éthériques. Elle est de ce fait à la fois physique et esprit.

 

Aspasie de Milet
Aspasie de Milet

De la prostitution initiatrice

Aspasie de Milet en Asie mineure (vers -470/vers -400) était selon les écrits de Platon, Aristophane et Xénophonune, une hétaïre grecque, soit une femme éduquée et de haut niveau social qui offrait compagnie et services sexuels de manière non ponctuelle (elle aurait géré une maison close à son arrivée à Athènes pour former de jeunes courtisanes au métier). Compagne du stratège, orateur et homme d'État athénien Périclès, elle s'attira le respect de la plupart des grands hommes de son temps (ainsi Socrate) par sa personnalité à même d'exercer une grande influence sur la politique athénienne.

Courtisane recherchée autant pour ses talents intellectuels que pour ses attraits physiques, elle porte un nom professionnel, du grec aspásia, signifiant "la bienvenue". Elle ouvre la route aux personnages de fiction que sont La Dame aux camélias dans le roman d'Alexandre Dumas fils publié en 1848, inspiré par son amour pour la courtisane Marie Duplessis, ou encore Camille*, l'escorte de luxe interprétée par l'actrice Maripier Morin dans le film "La chute de l'empire américain" réalisé en 2018 par le cinéaste canadien Denys Arcand, se voulant une ode au triomphe de la compassion, de la charité et de l’amour...

Le pendant oriental de l'hétaïre est la geisha, aussi appelée geiko ou geigi, qui au Japon est une artiste et une dame de compagnie consacrant sa vie à la pratique artistique raffinée des arts traditionnels japonais (habillement en kimono, musique classique, danse) pour des prestations d'accompagnement (conversation) et de divertissement à destination d'une clientèle très aisée. Le mot geisha s’interprète comme "personne d’arts" ou "femme qui excelle dans le métier de l'art. L'octroi de faveurs sexuelles par la geisha à son client n'a cependant jamais été entendu comme systématique ou allant de soi.

* Le nom Camille prend son origine dans le latin camillus, signifiant "serviteur de l'autel ou enfant de chœur", autrement dit le gardien dans les cérémonies religieuses romaines. De son côté, la camilla était une jeune fille qui assistait la femme du prêtre, choisie comme son pendant masculin parmi les enfants des familles nobles. Ils sont représentés fréquemment dans les œuvres de l'art ancien debouts à côté du prêtre ou de la prêtresse, portant dans leurs mains les vases employés aux cérémonies d'après le rite consacré.

 

Le sexe, source d'inspiration des grands initiés

Nombre de grands artistes initiés utilisent la sexualité comme source majeure d'inspiration, offrant à leur prédateur de 4ème dimension leur extase orgasmique en échange de l'information créative. Ainsi le poète, dramaturge, intellectuel et homme politique français Victor Hugo (1802/1885), homme à la sexualité débridée. Si ses romans sont dans l'ensemble plutôt chastes (ses pièces de théâtre et ses poèmes le sont moins), il aura expérimenté à peu près toutes les formes d'amour, souvent simultanément. Femme légitime, maitresses officielles (Juliette, Léonie, Blanche, Albertine, Judith et tant d'autres), flirts platoniques, prostituées avérées, femmes de chambre... et ceci jusqu'à la fin de ses jours. Après une première période puritaine qui le voit épouser en 1819 son amour d'enfance, Adèle Fouchet, il tombe amoureux fou de l'actrice Juliette Drouet, qui restera sa maîtresse pendant 50 ans (Cf. photo), avant que de disputer à son propre fils, Charles Hugo, les faveurs d'une autre actrice, Alice Ozy. Il dessinait aussi, ses dessins de femmes nues n'ayant rien à envier du point de vue de l'audace en tout cas à ceux des peintres Théodore Chassériau (1819/1956) et Jean-Auguste-Dominique Ingres (1780/1867). Tout comme ses carnets de notes de son exil à Guernesey, crypté en latin, espagnol et esperanto, sont truffés de codes fripons.

 

Le rôle libératoire des mémoires

Les mémoires de traumatismes comme le viol ou la culpabilité, enfouies dans la psyché, constituent une aide efficace dans sa libération de la prédation sexuelle, l'individu qui en est porteur ayant tendance à se réfugier dans les extrêmes :

- soit en se conformant complètement au moule sexuel perverti dont son prédateur se nourrit par son état de victime, en abandonnant son corps aux exigences extérieures, source de déni, de culpabilité, de fuite en avant conduisant à l'exacerbation émotionnelle et à l'errance intérieure ;

- soit en se coupant délibérément ou inconsciemment de tous ses sens, conduisant à n'éprouver que très rarement du désir. Là encore le prédateur se nourrit de la soumission, de la frustration et de la fuite d'une sexualité épanouie, de manière plus détournée…

C'est en traversant ce mode boulimique ou anorexique en toute conscience de la prédation qui s'en nourrit que peut se rééquilibrer, par la libération psycho-émotionnelle *, inévitablement douloureuse, le lien à la sexualité. L'individu, en regardant avec lucidité et détermination le schéma de la prédation établi dans une autre dimension, sans penser à ses faiblesses et erreurs par le point de non retour émotionnel établi, se libère par l'effet du profond amour ressenti envers lui-même de la culpabilité victimaire comme de l'accusation envers son ou ses bourreau(x) également prédaté(s). En acceptant l'initiation du prédateur, il apprend désormais à la contenir en s'attachant, par la conscience, à être responsable à part entière de son intégrité physique comme psychique. Il rompt toute attache qui l'entretient dans la relation mortifère bourreau-victime, rétablissant par là-même le canal d'accès à son Soi supérieur à même de le conduire sur le chemin de l'évolution. L'aliment énergétique "sexuel" peut alors passer de sa nature mécanique excitative, encouragée ou réprimée, à une nature extatique, alors partagée d'un commun accord entre l'individu et son prédateur pour que ce dernier puisse jouer le rôle de l'enseignant en toute clarté. Cette décision irrévocable prise en soi ouvre en effet une ligne directe avec sa véritable nature existentielle, constitutive de sa libération.

* Cf. Libération émotionnelle.

 

Aussi, l'animal sauvage en lui en passe d'être accepté et apprivoisé, l'être humain a de moins en moins de raison de montrer sa face "sombre et prédatrice"… De ce fait, prêt à basculer dans un cheminement de conscience supérieure, il n'est plus conditionné à "faire l'amour", à s'accoupler et copuler. Il peut établir un réel échange énergétique à un autre niveau, celui de ses centres supérieurs. C'est ainsi que le passage en cours de la cinquième race humaine à la sixième sous l'effet de l'Onde du changement* entraîne une nouvelle direction énergétique sur le plan sexuel, qui se traduit par une lente mais continue diminution des relations sexuelles entre les êtres humains, les hommes perdant notamment une partie non négligeable de leur désir en faveur d’activités plus spirituelles, alors que le désir sexuel était jusqu'alors la source de l’essentiel de leur agressivité historique et de leur manque de sentiments. Le 4ème niveau étant moins physique, ceci fait partie du processus de transition.

* Cf. Préambule de compréhension.

 

De l'érection

Le terme "l’érection" signifie le processus au cours de laquelle l’organe sexuel masculin se remplit involontairement de sang. On peut observer l’érection le matin, le soir ou à tout moment de la journée. Si l’érection arrive le plus souvent le matin, prolongement direct des érections nocturnes, c'est parce que la concentration des hormones atteint à ce moment son plus haut degré dans le corps masculin. L’érection matinale représente ainsi une réponse physiologique du corps (l’organe sexuel masculin observé se trouve en état excité), constituant une preuve d’une santé forte de l’homme. Elle ne signifie aucunement sa promiscuité sexuelle ou son obsession du sexe. C'est pourquoi l’"auscultation" de ses érections matinales et nocturnes renseigne l'homme sur l’état de sa santé vasculaire, cœur compris. Et tant que persistent les "matins triomphants" chers à Victor Hugo, il est probable que le  système cardio-vasculaire soit sain. Purement réflexes, ces érections seront moins ressenties par les hommes ayant des rythmes de sommeil décalé.

 

Typologie de l'amour en 3° densité

 

 

6. L'Amour Énergie

5. L'Amour Caresse

 

4. L'Amour Sentiment

3. L'Amour Émotion

 

2. L'Amour Maternel

1. L'Amour Physique

 


 

Le mot "SEXE" vient de "SIX", en référence aux SIX premiers stators-dynamos ou centres énergétiques appelés chakras en sanskrit. Il est à imaginer le cheminement spirituel comme une échelle, les barreaux du bas représentant les premiers chakras. Ces barreaux font tout autant partie de l’échelle et il est indispensable de passer par eux si l’on veut accéder aux autres barreaux et au sommet de l’échelle*. Il serait dommage de rester bloqué aux premiers barreaux de l’échelle car, dans ce cas, on ne découvrirait jamais son sommet.

* Le Chakra Cardiaque, central, est représenté par deux triangles, Un dans l'Autre. Ils représentent l'Étoile de David (également désignée sous le nom de SEXUS, soit le nom latin servant à désigner par les anciens auteurs les "deux sexes"), le symbole du peuple juif. Ce symbole était présent en Chine il y a 5000 ans, c'est a dire 2000 ans avant Moise, avant l'histoire du Talmud et de la Thora...

 

L'énergie sexuelle au service de son évolution de conscience

Apprivoisé dans sa raison d'être profonde, l'échange énergétique sexuel n'est plus destiné prioritairement à sa manifestation extérieure dans l'accouplement avec autrui, limité au chakra sexuel et primaire (centre énergétique 2 sur l'image ci-dessus), soit les pulsions sexuelles animales, en lien avec le centre du désir émotionnel (centre énergétique 3).

Il peut s'établir par la fusion de ses polarités masculine et féminine au niveau des centres énergétiques - ou chakras - supérieurs, soit la relation au Soi supérieur (centre 7), une fois le centre frontal (6), celui des pulsions "énergétiques" de pensées, sentiments et perceptions spirituelles, maîtrisé. Par cette androgynie originelle retrouvée, celle dite de l'Ange*, il engendre alors un échange de ressentis et d'informations, la véritable Connaissance, qui surpasse de loin le domaine limité à la sexualité charnelle. Et si, qui plus est, le couple fonctionne à l'unisson, les "noces chymiques" sont alors extatiques pour le cœur battant (centre 4) ...

* C'est l'explication de l'éternelle interrogation de l'être humain quant au sexe des anges...

 

La sexualité mène à la conscience, l'extase étant à l'esprit ce que l'orgasme est au corps. C'est pourquoi la sexualité est un moyen par lequel on peut atteindre des états altérés de conscience, aussi bien de transe que d'extase. Le mot sexualité voulant dire six, l'acte génital n'est qu'un des six aspects de la sexualité. Avoir une relation sexuelle avec une personne veut dire beaucoup plus que le simple aspect génital auquel on fait toujours référence socialement. Faire l'amour avec l'autre, c'est en quelque sorte apprendre à reconnaître son double...

 

Le dialogue sacré

 

L'acte sexuel est dans son essence profonde un dialogue religieux entre le masculin sacré et le féminin sacré en vue de la réalisation de l'unité, la femme étant une prêtresse dans laquelle est incarnée la Déesse-Mère. En effet, le secret le plus important est dissimulé dans la mitochondrie du chromosome féminin, en l'occurrence le génome Christique-Sémite de la compassion* qui, entre autres, permet de changer de dimension de réalité. C'est la raison pour laquelle de nombreuses superstitions ont toujours plané autour du pouvoir magique du sang des menstrues. Et pour cause, puisqu'elles contiennent les cellules souches qui ont un certain pouvoir de régénération...

* Cf. Le féminin séquestré.

 

Du rôle des menstrues dans le processus vital (1)

Les menstrues contiennent des cellules souches régénératrices, capables en se multipliant de se différencier en neuf types différents (cardiaques, pulmonaires, hépatiques, osseuses…) ou de se spécialiser dans toutes les autres fonctions de l'organisme. Se multipliant beaucoup plus vite que les autres cellules souches, elles se divisent toutes les 20 heures avec un facteur de croissance 100 000 fois plus élevé que les cellules souches issues du cordon ombilical. Ainsi, 5 ml de sang menstruel fournissent en deux semaines suffisamment de cellules pour obtenir des cardiomyocytes pulsatiles (cellules musculaires cardiaques ayant des pulsations). Ces nouvelles cellules souches endométriales sont extrêmement régénératives, n'entraînant aucun risque de rejet.

Elles possèdent des propriétés holographiques qui, appliquées sur la peau, traversent les tissus. La peau possède en effet la particularité d'absorber complètement toutes les radiations électromagnétiques incidentes sur sa surface. Il en découle que, selon le principe de résonance vibratoire propre à la circulation de l'énergie, essence constitutive du cosmos, il existe en permanence des échanges de fréquences entre les différentes couches de tissus cellulaires qui composent la peau et son environnement. De ce fait, la peau possède la capacité de transférer les radiations visibles et invisibles bénéfiques à travers ses tissus cellulaires, et de bloquer celles qui sont néfastes pour l'organisme. C'est l'application du principe de polarisation + ou - des cellules qui composent le tissu cellulaire biologique, niveau d'organisation intermédiaire entre la cellule et l'organe. Il en résulte que seules les ondes gravitationnelles la traversent, afin de rétablir spontanément le champ électromagnétique après leur passage.

La lumière gravitationnelle expression de la conscience provenant de l'intention émise par l'être humain, nourrie de la force de la visualisation, soit la puissance de la conscience imaginative*, le signal photonique (les ondes gravitationnelles) traverse tel un laser chaque cellule souche, imprimant leur géométrie dans la circulation sanguine en raison de l'énergie du signal qui augmente par sa démultiplication. C'est de cette façon que, combinées avec les eaux cellulaires du corps et l'énergie informative de la lumière, les cellules souches provenant des menstrues recèlent des propriétés régénératrices. Tel est le rôle nourricier du Féminin sacré - la Mère Oie/Oye - dans le grand jeu du Vivant.

Ceci explique comment nombre de peuples dits premiers*² savent depuis les origines comment guérir tous types de fractures, de maladies, même cancéreuses, sans avoir recours à un seul appareillage électrique type scanner, IRM ou radio pour en déceler l'origine ou les symptômes. Ils ont conscience que chaque individu possède à l'intérieur de lui tout ce dont il a besoin pour vivre en bonne santé. Son "esprit sain/saint" lui permet de vivre dans un corps sain !

* Cf. Le processus création décodé & La pensée création.

Toutes les ethnies comme les aborigènes en Australie, aux Amériques, en Afrique, en Asie et en Europe (sorcières et Cagots pyrénéens d'antan par exemple), détiennent la Connaissance de la magie du sang des menstrues et la puissance thérapeutique et réparatrice de ses cellules souches. Leur mode opératoire ne fait qu'utiliser l'"Imaginatio vera", la conscience imaginative, vivante et constructive, ainsi que l'énergie et la dextérité de leurs mains.

 

Du rôle des menstrues dans le processus vital (2)

Les virus cométaires dits "de la fin des temps" que transporte l'Onde du changement actuellement en cours*, marquant le passage de la cinquième civilisation race racine à la sixième, "infectent" les organismes, y déversant les codons spécifiques d'ARN messager destinés à restituer à l'être humain certaines parties manquantes de son génome originel, contribuant par là-même à sa réparation progressive. Encore faut-il pour en éprouver le bénéfice complet qu'il soit libéré des formes-pensées toxiques car viciées induites par la matrice prédatrice*², acceptant la contamination comme une libération et non comme une fatalité, les effets de celle-ci variant selon l'état de son organisme lié à son comportement nutritionnel notamment. Les maladies relèvent avant tout de programmations émotionnelles profondes et inconscientes, la peur  étant parmi elles la plus destructrice.

Cela entend que ceux qui combattent les virus type SRAS ou Covid-19/21 par tous les moyens possibles, type vaccination pour éviter la contamination virale, s'interdisent la restauration de leur génome et de ce fait l'opportunité de changer de densité. La fabrication en laboratoire de ces virus n'était qu'un subterfuge destiné à stopper la réplication ARN spontanée, bienfaitrice et naturelle, proposée par ces virus cométaires, la vaccination permettant d'insérer artificiellement des codons ARN d'arrêt dans le génome des nombreux et malheureux volontaires à l'injection, celle-ci bloquant définitivement toute possibilité de progression de leur âme.

* Cf. Fin de cycle (1) Fin du temps ou fin des temps ? & Fin de cycle (2) La guidance éclairée de sa vie.

Cf. Compréhension structurelle de la Matrice asservissante.

 

L'acte sexuel constitue ainsi la véritable voie d'accès vers l'absolu. Plus l'acte est long, plus la sexualité est intégrée dans un cadre spirituel qui est proche de la relaxation et du yoga, contribuant à assimiler de façon alchimique les principes masculins et féminins dans le corps humain. Cette relation sexuelle est tout le contraire d'un acte sexuel "usuel" où l'homme, le chasseur nomade dopé par sa testostérone binaire (turgescense-éjaculation), cherche à atteindre sa jouissance personnelle et son orgasme égoïste, imposant une relation bien souvent expéditive et inassouvie pour la femme sédentaire que nous savons pourtant multi-orgasmique. Elle permet à l'homme de se mettre au niveau vibratoire de son partenaire féminin, et de pouvoir le faire vibrer en faisant travailler les sept centres énergétiques (chakras) principaux, créant de cette manière une impulsion que sa partenaire lui renverra.

Parce que le féminin détient le rythme et la fréquence divine, celle de la sagesse, il incombe à l'homme de pouvoir se caler sur elle, afin de "sacrifier ses pulsions primaires" en se synchronisant sur la "Déesse". Ceci leur permet d'échapper à la condition humaine, de s'évader de la bestialité qui nous anime. Cet acte sacré a pour seul but de nous rapprocher du divin en fusionnant les deux attributs sexuels opposés mais complémentaires, le pénis tourné vers l'extérieur - le "paraître" - et le vagin tourné vers l'intérieur - l’Être -. C'est l'enseignement parmi d'autres de la grotte d’Utroba, la grotte de l’utérus (photo ci-dessus), un sanctuaire préhistorique datant de 480 av. J.C. situé en Bulgarie qui ressemble à une vulve humaine. Elle était utilisée comme sanctuaire de fertilité.

 

"Si tu souhaites discerner la réalité de ce mystère, alors tu devras percevoir la notation merveilleuse des rapports qui ont lieu entre le mâle et la femelle. […] le mystère des rapports est exécuté dans le plus grand secret, de façon que les deux sexes ne puissent être déshonorés devant ceux qui n'éprouvent pas cette réalité. Pour eux, les sexes contribuent uniquement à procréer. Si l'acte se produisait en présence de ceux qui ne comprennent pas cette réalité, ceci paraîtrait totalement risible et incroyable…".

Manuscrit de Nag-Hammadi, "Le Codice Asclepius" (21-29), 6,8

 

 

Le message d'Alice

Alice in Wonderland ("Alice au pays des merveilles") est le 17e long-métrage d'animation. Sorti en 1951, il est l'adaptation du roman de Lewis Carroll "Les Aventures d'Alice au pays des merveilles" (1865) et de sa suite "De l'autre côté du miroir" (1871). Une nouvelle version mélangeant prises de vues réelles et images de synthèse sera réalisée par Tim Burton en 2010.

Ce riche conte initiatique voit une jeune fille découvrir la puissance de sa personnalité intérieure, établissant le parallèle avec notre propre éveil de conscience à travers la compréhension du fonctionnement de notre corps biologique et la qualité de l'information dont nous le nourrissons (nourriture et pensées). Le lapin blanc est la glande pinéale, l'organe permettant de créer dans la matière quand la conscience est éveillée, mais oppressée dans le rapport au temps linéaire/chronologique dans notre réalité tri-dimensionnelle. Elle est  libérée lorsque nous parvenons par notre travail intérieur à franchir les barrières de l'espace-temps, et passons d'un monde à l'autre. C'est pourquoi transcender nos peurs et privilégier la qualité de notre sommeil hors substances toxiques (psychotropes, médicaments anesthésiants) est déterminant pour rencontrer par les songes le merveilleux - l'Esprit - et y puiser la guidance éclairée de notre âme réunifiée. Pour y parvenir, il révèle à Alice la puissance du "con" (cunnus en latin) dont il a besoin, le "fourreau", soit le sexe de la femme récepteur de l'énergie sexuelle masculine - l'épée magique -, qui de ce fait ne peut se suffire à lui-même, ayant besoin d’un complément indubitablement masculin afin d'assurer le bon fonctionnement hormonal d'ensemble.

C'est ainsi qu'à partir du XIIe siècle, le con s'est vu agglutiné au "connil", ancêtre du lapin, dont la touffe postérieure rappelle la touffe antérieure de la femelle de l’homme. Le con est à la fois assimilé au fourreau latin et à la touffe lapine* (le connil est issu du cuniculus latin signifiant "lapin", "terrier" voire "cavité"). Il demeure aujourd'hui comme dérivé du "cunnus" le cunnilingus, l'acte oral du Masculin sacré en hommage au Féminin sacré.

* Une tradition perdurant en Espagne voit le "conejo" ou "coño" désigner ce que nous nommons "chatte", comme il est d’usage outre-Manche-et-Atlantique ("pussy") quand l’élégance préconise l’usage de son pendant masculin, le "minou".

 

La Tradition de l'"Érotique"

Le christianisme à la sauce "papale", patriarcale et non patrilinéaire, continuité du judaïsme initié par Moïse*, au même titre que leur pendant l'islam au sens hégirien (la "rupture" initiée par la croyance dans les révélations du prophète Mahomet, autrement dit l'islam politique*² destructeur tel que théorisé en ces temps troubles), ont annihilé la connaissance initiatique de l’Érotique, art, science et philosophie au sens sacré permettant aux hommes et aux femmes leur accomplissement harmonieux dans leur vécu terrestre. Cette tradition prévalait tant en occident chez les Grecs et les Arabes (le Kama-sutra arabe), qu'en orient chez les Chinois et Japonais (estampes, manuels dits de l'Oreiller...) et les Indiens cisgangétiques*³ (recueil du Kamasutra ou "sutra de l'amour", texte sanscrit écrit au IVe siècle). Elle avait pour raisons d'être d'abord la compréhension physiologique et anatomique du corps de chaque genre spécifique, avant l'indispensable maîtrise de la sexualité s'y rapportant lorsque les deux partenaires étaient en parfaite adéquation, corrélation ou complémentarité.

Nous pouvons d'autant mieux comprendre l'impossible fusion charnelle de l'être humain conditionné par la culture de l'idéologie religieuse du monothéisme, tout particulièrement dans sa version catholique répressive, qui dans l'inconscient conduit subrepticement l'homme conditionné à s'identifier à Jésus, un ange vertueux venu enseigner, ou au Christ, sa version martyrisée et souffrante, et la femme à la Vierge Marie, une vierge qui a enfanté de manière miraculeuse pour devenir mère... Autant dire qu'en matière de névrose on ne fait pas mieux pour conduire à l'impasse sexuelle et ce qui en découle (frustration, insatisfaction, impuissance...) !

* Cf. Le Judaïsme décodé & L’Église romaine décodée. Cf. en contre-pied le livre du docteur en philosophie de la Sorbonne André Moreau "La bible érotique - Le Guide spirituel du Plaisir".

Il découle de la réflexion théologico-politique menant à l'interprétation des textes et des sources de l'Autorité, justifiant et légitimant les actes de ses pratiquants (salafistes et autres extrémistes islamistes).

*³ Ce terme occidental qualifie le sous-continent indien (le continent est l'Asie), zone géographique de l'Asie du Sud appelé autrefois Inde cisgangétique, où se trouvent l'Inde, le Pakistan, le Bangladesh, le Népal, le Bhoutan, le Sri Lanka et les Maldives ainsi que des parties de leur territoire de même que certains territoires contestés et actuellement sous contrôle de la Chine. Avec environ 1,8 milliard d'habitants dont près de 1,4 milliard en Inde, le sous-continent indien est la région la plus peuplée du monde, soit environ un quart de la population mondiale.

 

Symbolique de la sexualité dans la tradition chrétienne

Aucun Evangile ne parle d’un bœuf et d’un âne pour garder le berceau de Jésus. Cette tradition remonte en fait à Saint François d'Assise né Giovanni di Pietro Bernardone (1181/1226), ce religieux catholique italien fondateur de l'ordre des Frères mineurs, et ce en 1223. Leur symbolique voit l'âne comme l'animal qui a permis à Marie, enceinte, d'arriver jusqu'à l'étable pour donner la vie. Le bœuf, quant à lui, a un rôle déterminant, celui de tenir chaud à l'enfant qui est sur le point de naître. Le berceau est disposé au centre de la crèche, l'âne et le bœuf l'entourent. Grâce à leurs naseaux, ils dégagent une chaleur qui permettra à l'enfant Jésus de ne pas avoir froid.

Le Boeuf, dans l'antiquité, a toujours symbolisé le principe de la génération, de la fécondité, de la fertilité. Il est sous l'influence de Vénus. Il représente la force sexuelle. L'Âne, lui, est sous l'influence de Saturne. Il symbolise la personnalité, c'est à dire la nature inférieure de l'homme, le vieil Adam, têtu, buté, mais bon serviteur.

Quand l'être humain réussit à transmuer en lui l'âne et le boeuf, ils viennent chauffer et alimenter l'enfant nouveau-né. "Tous ceux qui sont arrivés à faire naître le Christ en eux seront servis par les forces de leur nature inférieure et de leur sexualité, car ce sont des forces extraordinairement utiles si on est capable de les atteler à un travail." disait l'ésotériste bulgare Omraam Mikhaël Aïvanhov (1900/1986).

 

Du temple initiatique tantrique

Un temple hindouiste ou bouddhiste est connu pour ses pourtours décorés de bas-reliefs pornographiques extrêmement crus. Si on examine ces temples dans une perspective tantrique*, nous constatons qu'ils sont constitués de plusieurs niveaux. Sur les murs extérieurs, les statues représentent des scènes d’une sexualité totalement débridée constituées de plusieurs niveaux. En montant les trois niveaux suivants vers l’intérieur du temple, les représentations sexuelles se font progressivement de plus en plus sereines et harmonieuses. Au cinquième niveau, les statues vont par couple, assises face à face, se touchant à peine, se pénétrant subtilement pour atteindre la fusion entre les polarités féminines et masculines. Au sixième niveau, l’étage est couvert de grandes cloches de pierre contenant des statues d’êtres humains d’allure androgyne, assis seuls en position du lotus, contemplant leur horizon intérieur. Et au septième et dernier niveau, il y a un stûpa *² central en forme d’immense cloche… et plus personne à l’intérieur. Les êtres ont transcendé leur corps, et fusionné dans le Tout !

Le temple initiatique figure la Shakti, mot qui vient du sanscrit shak signifiant "pouvoir ou potentiel à produire". C’est l’énergie cosmique primordiale, la puissance sous-jacente de la création et de son existence. Autrement dit, Shakti est un concept d'une divinité représentant la puissance féminine créatrice, la Grande Mère divine, la mère universelle, la puissance de la fécondité. Par extension, elle désigne l'énergie dynamique féminine. Elle est la forme qui permettrait à l’esprit (Brahman) de se manifester, de se matérialiser.

Aussi définit-elle dans le tantrisme l’union des contraires. Il faut réunir les deux pôles, l’énergie (Shakti) et la Conscience Divine (Shiva), qui demeurent indissolublement unis dans l’absolu. Elle est naturellement identifiée à la kundalinî, la déesse-serpent existant dans le corps de chaque être humain à la base du sacrum, et dont l’éveil prélude à la délivrance - moksha - par son union à Shiva à la pointe du crâne.

* Le tantra est la seule spiritualité qui considère le corps comme étant intrinsèquement spirituel . Et si le corps est spirituel, il en va de même de l’énergie la plus vitale qui y circule, l’énergie sexuelle. C'est pourquoi cette philosophie de vie considère qu'une spiritualité incarnée invite à être dans son corps, à être dans le monde et en relation aux autres, et non dans un mysticisme éthéré. Il s’agit d’accepter l’intérieur et l’extérieur du temple , de prendre conscience que sans le mur extérieur, il n’y a pas de sanctuaire intérieur. Cette énergie sexuelle, trop souvent confondue à une seule énergie génitale, est en réalité bien plus grande et plus vaste que notre génitalité.

Structure architecturale bouddhiste et jaïna (le jaïnisme ou jinisme est une religion qui a commencé à apparaître vers le X° ou IX° siècle av. J.-C., comptant près de dix millions de fidèles dans le monde en majorité en Inde).

 

L'expérience amoureuse - de l'amour profane à l'amour sacré - contient un élément extatique que la civilisation chrétienne a occulté, mais qui se retrouve sous différentes formes dans les traditions. En effet, l'acte d'amour renferme un mystère, celui du don d'un être à un autre, aucune étreinte même sans suite et fortuite n'échappant à un moment de gravité et de concentration. Il en découle que l'exaltation produite par le magnétisme sexuel favorise une ouverture à la transcendance*, ce que la recherche du plaisir pour le plaisir ne permet pas. En effet, l'orgasme produit alors une forme de traumatisme plus subi qu'assumé, laissant les deux partenaires dans leur solitude et ne produisant pas ce contact subtil qui seul peut alimenter une intensité dissolvante qui conduit à l'extase.

* Les Upanishads, textes sacrés sanskrits issus du Veda et contenant la Vérité ultime (le Brahman), font allusion au "raptus extatique", soit la possibilité de la suppression de la conscience du monde extérieur et intérieur quand l'homme et la femme sont embrassés. Ainsi l'esprit, quand il est embrassé par l'âtma qui est la connaissance même, ne voit plus ni les choses extérieures ni les choses intérieures.

 

Du Maithuna, ou du plaisir à l'extase

Ce terme sanskrit dérive du mot mithuna qui signifie "couple, paire, union, accouplement." Il illustre le yoga sexuel positif, qui dans le tantrisme hindou et tibétain*, est pratiqué sans écoulement séminal après une préparation au cours de laquelle le couple, sous la direction d'un Gourou expert, apprend à réaliser ensemble les pratiques du Laya Kriya, avant que de procéder à la sadhana tantrique dans laquelle l'époux doit introduire le membre viril dans le vagin. Cette opération, qui s'effectue après un échange mutuel de caresses entre l'homme et la femme, voit l'homme prendre une asana (posture), assis, les jambes croisées sur, et la femme, assise sur les jambes de l'homme, absorber en elle le phallus. Le couple demeure uni sexuellement pendant longtemps, sans bouger, essayant de ne pas faire intervenir l'Ego et la Conscience analytique, laissant la Nature agir sans interférence. Sans que ne survienne l'orgasme, les courants érotiques entrent en action, censés provoquer l'extase, moment d'évanouissement et de disparition temporaire de l'Ego, le désir ayant été transmuté en amour par les intenses courants semblables aux courants electromagnétiques*² qui parcourent les corps. Une sensation de bonheur ineffable envahit tout l'organisme, et le couple expérimente l'extase de l'Amour et de la Communion cosmique. Cet état mi-corporel, mi-spirituel, est celui de l'ivresse érotique, celle-ci menant jusqu'au dépassement de la frontière entre l'âme et le corps, jusqu'à un seuil de conscience habituellement inconnu. Elle est l'union à la vie elle-même, née de l'union amoureuse d'un homme et d'une femme.  Raison et folie, extase et proportion, jubilation et harmonie, ordre et délire, jardin et paradis, eau et feu, tête et sexe ne font plus qu'un.

La "résurrection" peut ainsi se répéter, s'accomplir en nous à travers le corps mystique, qui est notre corps de chair. Il s'agit ainsi de faire l'expérience de la parousie, la présence dans le présent de l'Esprit cosmique. L'inconscient devient conscient, et le voile se déchire pour que nos yeux voient le mystère, celui de l'union de l'humanité et de la divinité dans le corps. C'est le dernier geste. Ecce homo ! ("Tel est l'homme !"), l'homme illuminé voyant l'univers devenir son corps. Le Maithuna est le jardin paradisiaque des corps qui s'aiment...

* Le Maithuna a également toujours été enseigné dans les anciennes écoles occidentales des mystères. Il était en effet connu dans les mystères des Templiers, dans les mystères des Aztèques, Mayas, Incas, Chibchas, Zapotèques, Aruacans, Toltèques, les mystères d’Eleusis, de Rome, de Mithra, de Carthage, de Tyr, les mystères celtes, phéniciens, égyptiens, druidiques et chez toutes les sectes chrétiennes primitives, comme la secte des Esséniens, qui avaient leur couvent au bord de la mer Morte et dont l’un des membres les plus exaltés a été le divin rabbi de Galilée.

Le premier courant par lequel l'âme descend dans le corps est l'embrassement par les caresses, soit la montée du désir, le second correspondant à montée du corps vers l'âme pendant l'orgasme proprement dit.

 

 De la sexualité consciente

Avec les années, la flamme des débuts laisse souvent place à une forme de routine, s’accentuant qui plus est encore à l’arrivée des enfants dans la mesure où le couple a tendance à s’effacer pour laisser place à la famille. Peu à peu, on finit par laisser de côté la vie intime, d'autant qu'avec l’âge d’autres problèmes viennent s’ajouter : baisse de la libido, panne d’érection ou éjaculation précoce, frigidité ou encore sécheresse vaginale, moins bonne mobilité, douleurs articulaires ou opération chirurgicale rendant la sexualité plus compliquée. Même si nous aimons toujours notre partenaire, nous ne partageons plus une sexualité épanouie avec elle ou lui.

Or la science a prouvé qu’une sexualité épanouie et une relation harmonieuse sont au centre d’une vie plus longue et en meilleure santé, ses études* ayant notamment trouvé un impact sur le bien-être général, les maladies cardiovasculaires, l’immunité, le sommeil ou encore sur la mémoire, sans oublier que la sexualité sert de ciment dans le couple. Il y a bel et bien une forte corrélation entre sexe et une satisfaction, dans la vie comme dans la relation de couple à long terme, la sexualité renforçant les liens affectifs et la confiance en son partenaire de vie.

Pour certains couples, la vraie sexualité commence à l’âge de 45 ans, voire bien au-delà. Ceci entend que la sexualité ne dépend pas des capacités physiques ou de la performance, sur la pénétration et l’orgasme, mais de sa pratique en conscience lorsque les deux partenaires sont vraiment connectés aux ressentis de l'un et l’autre, et bien évidemment à eux-mêmes. Elle permet alors de profiter pleinement de ses moments intimes, sans pression ni contrainte. Il en découle une plus grande complicité dans tous les moments partagés avec son partenaire, la sexualité pulsionnelle ayant laissé place à une sexualité sensuelle, celle qui permet de se relier à l’autre par le cœur.

* Friedman, H., Orgasms, Health and Longevity : Does Sex Promote Health? ("Orgasmes, santé et longévité : le sexe favorise-t-il la santé ?"), Psychology Today 2011; Davey Smith G. et al., Sex and death: are they related ? Findings from the Caerphilly Cohort Study ("Sexe et décès : sont-ils liés ? Résultats de l'étude de cohorte de Caerphilly"), British Medical Journal décembre 1997; Blanchflower, DG et al., Money, sex and happiness: An empirical study ("Argent, sexe et bonheur : Une étude empirique"), Scandinavian journal of economics 2004 vol. 106; Liu, Hui et al., Is Sex Good for Your Health? A National Study on Partnered Sexuality and Cardiovascular Risk Among Older Men and Women ("Le sexe est-il bon pour la santé ? Une étude nationale sur la sexualité en couple et le risque cardiovasculaire chez les hommes et les femmes âgés"), Journal of health and social behaviour september 2016; Charnetski, CJ. et al., Sexual Frequency and Salivary Immunoglobulin A ("Fréquence des rapports sexuels et immunoglobuline A salivaire"), Psychological Reports juin 2004; Dawson D. et al, Melatonin and sleep in humans ("La mélatonine et le sommeil chez l'homme"), Journal of Pineal Research août 1993; Glasper ER et al., Sexual experience restores age-related decline in adult neurogenesis and hippocampal function ("L'expérience sexuelle restaure le déclin lié à l'âge de la neurogenèse adulte et de la fonction hippocampique"), Hippocampus avril 2013; Kim JI et al., Sexual activity counteracts the suppressive effects of chronic stress on adult hippocampal neurogenesis and recognition memory ("L'activité sexuelle contrecarre les effets suppressifs du stress chronique sur la neurogenèse de l'hippocampe adulte et la mémoire de reconnaissance"), Brain Research novembre 2013; Momtaz YA et al., The impact of mild cognitive impairment on sexual activity ("L'impact de la déficience cognitive légère sur l'activité sexuelle"), American Journal of Alzheimer’s Disease & Other Dementias décembre 2013; Birnbaum, G. E. et al., When sex is more than just sex: Attachment orientations, sexual experience, and relationship quality ("Quand le sexe est plus que du sexe : Orientations de l'attachement, expérience sexuelle et qualité des relations"), Journal of Personality and Social Psychology 2006; Kosfeld M. et al, Oxytocin increases trust in humans ("L'ocytocine augmente la confiance chez les humains"), Nature juin 2005; Bernaerts, Sylvie et al., Long-term oxytocin administration enhances the experience of attachment ("L'administration d'ocytocine à long terme améliore l'expérience d'attachement"), Psychoneuroendocrinology avril 2017.

Voir en complément les travaux de Jacques Ferber, connu pour ses livres, ses stages et conférences qu’il donne un peu partout en France et en Europe destinés à accompagner les couples vers une nouvelle forme d’intimité et de sensualité.

 

Les bienfaits de ces gestes millénaires que les anciens connaissaient parfaitement sont nombreux, expliquant comme d'habitude qu'ils furent finalement réservés à quelques rares initiés. La sexualité sacrée était en effet exercée dans les anciens temps par les prêtresses dans les temples sacrés, constituant une façon de recréer l'unité perdue, celle de l'androgynie qui relève de chacun de nous une fois l'incarnation dans l'expérimentation de la densité terrestre achevée. Libérée de la servitude de la procréation, cette idylle scelle l’union indissoluble entre deux êtres strictement polaires et de ce fait complémentaires, union qui assurera leur intégration dans le sein de l’Absolu.

La vision d’une telle idylle a hanté les esprits les plus élevés pendant des milliers d’années. Nous la trouvons dans l’amour platonique, base de l’idylle singulière dans les mythes de l’androgyne (Orphée et Eurydice, Pygmalion et Galatée…). C'est pourquoi la plupart d'entre nous sommes à la recherche de notre double, en quelque sorte de notre âme-sœur, pour accomplir consciemment ou inconsciemment l'acte extatique, et revenir en quelque sorte "chez soi"… C’est à cela qu’aspire le cœur humain qui verse des pleurs en secret sur sa grande solitude. Dans une relation amoureuse, les deux partenaires doivent comprendre que les expressions les plus saines sont celles qu’exprimerait un enfant, cela devant se faire strictement à partir d’une dynamique maîtrisée des adultes. En d’autres termes, aimer comme un bébé, mais être responsable comme un parent entièrement dévoué et généreux. Cette forme de relation amoureuse est le but essentiel du travail ésotérique, permettant d'unir l’homme à un être qui est unique pour lui, la "Sœur-Épouse", autrement dit la gloire de l’homme - l'Humain-Esprit" -, comme lui est la gloire de "Dieu", Ce Qui Est. La bonne nouvelle est que l'expérience est en chacun de nous et propre à chacun.

 

"Lorsque Eve était en Adam, la mort n'existait pas. Quand elle se fut séparée de lui, la mort survint. Si à nouveau elle rentre en lui et s'il la prend en lui-même, la mort n'existera plus ".

Manuscrit de Nag-Hammadi, "L’Évangile selon Saint Philippe", NH2, 3 68

 

Ces relations entre âmes sœurs (ou jumelles), également nommées dans les traditions ésotériques "êtres polaires", supposent bien sûr beaucoup de discernement, pour ne pas être piégé par des connexions arrangée, contrefaites, propres à cette dimension terrestre viciée et les pièges tendus par nos maîtres entropiques à travers les portails organiques. C'est pourquoi les personnes impliquées dans la recherche de la vérité doivent être très conscientes et prudentes lorsqu'il s'agit de leurs relations amoureuses, en s'assurant que le partenaire choisi est colinéaire tant dans son but que dans sa voie. Ceci entend d'être vraiment sur la même longueur d'onde, c'est-à-dire avoir une compréhension commune tacite des fondements de notre existence humaine et posséder une véritable base d'intégrité partagée sur laquelle s'appuyer. Plus important encore, les deux partenaires doivent avoir été engagés dans un travail personnel sincère pendant une période significative, avant de s'engager dans une relation amoureuse engagée et co-créative*. Nous pouvons l'entendre au sens d'une forte connexion platonique, dans laquelle les deux partenaires ont fait le travail intérieur nécessaire pour reconnaître véritablement l'identité fondamentale de l'autre

Le "jalon" de ce travail est atteint lorsque l'on découvre un état de conscience dans lequel nous sommes capable de reconnaître l'activation de déclencheurs personnels, sans y réagir ensuite de quelque manière que ce soit. Cela implique le comportement d'observateur attentif, l'évolution simultanée de l'intelligence émotionnelle, le contrôle des impulsions inférieures (maîtrise du centre sexuel), la capacité à travailler sur des problèmes au fur et à mesure qu'ils se présentent sans prendre aucun problème personnellement... pour éviter de se perdre dans un comportement réactionnaire. Cela signifie également que l'on est capable de faire la différence entre les besoins insatisfaits de l'enfance, qui ne peuvent être satisfaits par le soutien affectueux d'un partenaire, et les besoins d'un adulte en bonne santé qui sont basés sur le vrai soi. En d'autres termes, les relations sont des leçons d'amour, de pardon et de croissance, par opposition à être simplement une "fin en soi".

* Travaux du psychothérapeute américain et écrivain états-unien David Richo.

 

"La pleine conscience, c'est être un adulte. Elle est impossible à atteindre pour quelqu'un qui manque de cohésion intérieure, de continuité personnelle et d'intégration. Pour être un témoin impartial, il faut avoir un ego sain, car la distance et l'objectivité ne sont pas à la portée de quelqu'un qui n'a pas de limites, qui ne tolère pas l'ambiguïté et qui n'a pas le sens d'un centre personnel.
L'ego sain est la partie de nous qui peut s'observer, évaluer les situations et les personnes, et réagir de manière à progresser vers nos objectifs. Il nous aide dans nos relations en nous rendant responsables et sensés dans nos choix et nos engagements.
L'ego névrosé, d'autre part, est la partie de nous qui est compulsivement motivée ou entravée par la peur ou le désir, alimentant l'arrogance, le droit, l'attachement et le besoin de contrôler les autres. Parfois, il s'auto-négocie et nous donne l'impression d'être victimes des autres. Cet ego névrosé est celui que nous sommes censés démanteler en tant que tâche spirituelle dans la vie.

L'ego névrosé veut suivre la voie de la moindre résistance. Le Moi spirituel veut révéler de nouvelles voies.

Les forces de l'enfance influencent les choix du présent, car le passé est en continuité avec le présent. Les premières affaires qui ne sont pas encore terminées ne doivent pas nécessairement être un signe d'immaturité, mais peuvent plutôt signaler la continuité. La récurrence des thèmes de l'enfance dans les relations des adultes donne de la profondeur à notre vie en ce sens que nous ne passons pas superficiellement sur les événements de la vie mais les habitons pleinement au fur et à mesure de leur évolution. Notre passé ne devient un problème que lorsqu'il conduit à une compulsion de répéter nos pertes ou fait entrer en jeu des déterminants inconscients dans nos décisions. Notre travail ne consiste donc pas à abolir notre lien avec le passé, mais à le prendre en compte sans être à sa merci. La question est de savoir dans quelle mesure le passé interfère avec nos chances d'avoir des relations saines et de vivre en accord avec nos besoins, nos valeurs et nos souhaits les plus profonds.

Toute personne a besoin de se nourrir tout au long de sa vie. De même, une personne psychologiquement saine a besoin de la nourriture des cinq "A" - attention, acceptation, appréciation, affection et tolérance. Il est vrai que les besoins insatisfaits des cinq "A" dans l'enfance ne peuvent être compensés plus tard dans la vie, en ce sens qu'ils ne peuvent être satisfaits de manière aussi absolue, aussi immédiate ou aussi infaillible. Cette satisfaction absolue et immédiate des besoins par une personne ne convient qu'aux nourrissons. Mais les besoins peuvent être satisfaits, à court ou à long terme, tout au long de la vie. Le problème n'est pas que nous recherchions la satisfaction, mais que nous en recherchions trop d'un seul coup.

Ce que nous n'avons pas reçu en quantité suffisante avant, nous ne pouvons pas le recevoir en quantité suffisante maintenant ; ce que nous avons reçu en quantité suffisante avant, nous pouvons le recevoir en quantité suffisante maintenant. Nous ne dépassons pas nos besoins initiaux. Au contraire, ils deviennent moins accablants et nous trouvons des moyens moins primitifs de les satisfaire. Par exemple, un nourrisson peut avoir besoin d'être bercé et porté, tandis qu'un adulte peut se contenter d'une remarque de soutien et d'un regard bienveillant. Parfois, un besoin de toute une vie peut être satisfait par de si petits moments d'amour attentionné".

David Richo, psychothérapeute états-unien, "Comment être un adulte dans les relations"

 

Si dans une bonne relation, les deux personnes procèdent en harmonie, en conciliant leurs points de vue contradictoires, la relation d'âme sœur est fondée sur un sens fondamental de l'unité : unité de vision, unité de but, unité de sentiment. Les âmes  ne se séparent pas, sauf brièvement et temporairement. Elles progressent comme une seule et même personne, sans être entravées par des différences de rythme ou de direction. C'est la raison pour laquelle leur progression est si rapide une fois que la connexion a été établie. Dans ces relations, les deux personnes sont généralement sur des chemins spirituels parallèles ou sur une croissance personnelle étendue qui a atteint un plateau où elles étaient prêtes à rencontrer leur "autre moitié". Il n'y a eu aucune manipulation émotionnelle ni aucun vampirisme psychique. La connexion était presque télépathique dans certains cas, mais d'une manière qui apportait une grande satisfaction, l'harmonie et l'unicité du but spirituel dans la vie. Ces personnes étaient orientées vers la spiritualité et le service.

 

Du mécanisme d’interaction entre les individus

Pour faciliter la compréhension, il convient d'imaginer l’être humain comme un poste de radio qui peut facilement capter les ondes longues et courtes des autres personnes de son environnement. A ce titre, les ondes longues correspondent aux énergies générales similaires, et les ondes courtes sont leurs nuances, c’est-à-dire les particularités du caractère individuel. C'est pourquoi, pour trouver l’âme sœur, il faut qu’il y ait à la fois un ajustement "grossier" et "fin" en termes d’autres personnes.

Il en découle qu'une personne dotée d’un certain ensemble de traits de caractère peut trouver sa "meilleure moitié" lorsque les énergies similaires comme opposées sont attirées l’une vers l’autre.

Ainsi, par exemple, une femme au caractère romantique et à l’âme tendre et vulnérable peut être heureuse aussi bien avec un homme aussi romantique qu’avec celui dont le caractère diffère considérablement du sien et présente même parfois des traits opposés. Le premier et le second doivent au moins correspondre en termes d’accord énergétique "brut", afin qu’ils soient unis par une vision du monde et des valeurs spirituelles similaires. Celles-ci constituent la base de l'"édifice" des relations homme-femme dont les "étages" de ce bâtiment se feront au fur et à mesure que les personnes apprennent à se connaître de plus en plus.

Mais le mécanisme énergétique par lequel les individus se rapprochent n’est pas aussi simple, l'accord "fin" impliquant la similitude non pas d’un ou deux, mais de nombreux aspects de la personnalité humaine. Ceci entend que si une personne, au lieu d’être pressée de se rapprocher, commence calmement et patiemment à accorder ses "ondes radio" sur les "ondes" d’une autre personne en essayant de capter les moindres nuances énergétiques de ses pensées, de ses émotions et de son comportement, elle sera en mesure de découvrir beaucoup de choses intéressantes, et souvent pas celles auxquelles elle s’attendait au départ. Condition exigée, il est extrêmement important de rester naturel, ouvert et sincère afin de ne pas se tromper soi-même et de ne pas tromper une autre personne, car l'élévation de la relation est étrangère à la fausseté et à l’hypocrisie, à l’orgueil et à l’autosatisfaction qui véhiculent des énergies négatives.

Grâce à cette pureté énergétique, les habitants des mondes à hautes vibrations, les dimensions supérieures à la "3-D", peuvent se mettre à l’écoute des ondes énergétiques des personnes qui les entourent et capter avec précision ce qui correspond le plus à leurs propres vibrations. Dans ces mondes, l’accord "grossier" et "fin" sur les énergies d’autrui se produit presque automatiquement, sans effort, grâce auquel les hommes et les femmes trouvent facilement leur "meilleure moitié", sinon des jumeaux, du moins des âmes sympathiques avec lesquelles il est facile et agréable de communiquer.

 

Le rééquilibrage du féminin opprimé

La poétesse et musicienne grecque Sappho, qui a vécu aux VII° et VI° siècles av. J.-C. à Mytilène sur l'île de Lesbos, est l'archétype du lesbianisme, connue pour avoir exprimé dans son œuvre poétique son attirance pour les jeunes filles (d’où le terme saphisme pour désigner l’homosexualité féminine, le terme lesbienne étant dérivé de Lesbos*). Son enseignement se voulait être pour les filles une véritable initiation à la liberté, remettant en question un régime basé sur le patriarcat et la toute-puissance masculine dans le cadre du mariage, l'anneau d'asservissement à la matrice. 

Contrairement aux groupes masculins où la pédérastie est un élément de la fonction initiatique du groupe destiné à préparer les adolescents à la vie adulte, et de ce fait à leur rôle de citoyen, les relations amoureuses entre femmes (autrement nommées thiases) sont autonomes, sans rapport avec la sexualité considérée à l'époque comme "normale", c'est-à-dire hétérosexuelle. C'est la raison pour laquelle les relations amoureuses pouvaient avoir lieu entre jeunes filles du même âge.

* L'usage du terme "lesbienne" dans le sens de "homosexuelle" n'est attesté qu'à partir du IX° ou X° siècle ap. J.-C., le terme utilisé dans l'Antiquité étant tribas.

 


Ode à Aphrodite*

"Toi dont le trône est d'arc-en-ciel, immortelle Aphrodita, fille de Zeus, tisseuse de ruses, je te supplie de ne point dompter mon âme, ô Vénérable, par les angoisses et les détresses. Mais viens, si jamais, et plus d'une fois, entendant ma voix, tu l'as écoutée, et, quittant la maison de ton père, tu es venue, ayant attelé ton char d'or. Et c'était de beaux passereaux rapides qui te conduisaient. Autour de la terre sombre ils battaient des ailes, descendus du ciel à travers l'éther. Ils arrivèrent aussitôt, et toi, ô Bienheureuse, ayant souri de ton visage immortel, tu me demandas ce qui m'était advenu, et quelle faveur j'implorais, et ce que je désirais le plus dans mon âme insensée. Quelle Persuasion veux-tu donc attirer vers ton amour ? Qui te traite injustement, Psappha ? Car celle qui te fuit promptement te poursuivra, celle qui refuse tes présents t'en offrira, celle qui ne t'aime pas t'aimera promptement et même malgré elle. Viens vers moi encore maintenant, et délivre-moi des cruels soucis, et tout ce que mon cœur veut accomplir, accomplis-le, et sois Toi-Même mon alliée."

* L'Ode à Aphrodite, ou Ode I, est l'unique texte de Sappho datant du VIe siècle av. J.-C. dans son intégralité, conservé dans le traité sur "la composition stylistique" du rhéteur et historien grec Denys d'Halicarnasse (54 av. J.-C./- 8 ap. J.-C.).

 

Les clés symboliques cachées de l'androgynie

 

L'Amour peut et doit servir l'homme dans son évolution ésotérique. Cependant, pour atteindre ce but, l'homme doit appliquer des efforts conscients à cet amour, ne pas se laisser guider par des impulsions. Il peut alors être utilisé pour accélérer la croissance de sa personnalité et sa progression vers la seconde naissance, premier résultat tangible des pratiques ésotériques. Pour se mettre en route, l'être humain doit nécessairement passer par un effondrement intérieur de la Personnalité, la faillite morale. Il peut alors connaître la vaine illusion de l'orgueil, et la vraie valeur de l'humilité. L'Amour est bel et bien le seul élément objectif de la vie. Cette objectivité reste vraie dans tous les aspects de l'Amour, et à travers toute la variété de ses manifestations.

Ce travail, réalisé par un homme et une femme travaillant ensemble, peut se développer avec une puissance extraordinaire et donner des résultats rapides à condition que les deux êtres se conviennent entièrement, qu'ils forment un couple parfait. Leur combinaison, avec bien sûr les réserves concernant les particularités de leur type humain, reflète la relation entre le "Je" absolu et le "Tu" avant la création de l'univers, entendant une puissante et riche attraction visuelle, auditive et tactile. Bien que polaire par essence, chacun d'eux apporte avec lui un passé qui recouvre son vrai "moi" d'une croûte, appelée à être enlevée pour que les qualités de leur essence se manifestent, apportant à chaque découverte une abondance de joie ineffable. Ainsi, par cette royale "affaire" qu'est la bipolarité du vrai "moi" - un pour chaque couple -, leur amour grandira toujours.

 

Remarque préalable d'importance

Comme tout est faussé dans la Matrice des illusions terrestres, il convient d'avoir à l'esprit que l'enseignement du médecin psychiatre suisse Carl Gustav Jung (1875/1961), fondateur de la psychologie analytique et penseur influent, s'il présente d'incontestables vérités, est également porteur d'influences négatives induites par son prédateur involutif de 4ème dimension de densité (qu'il ignorait). C'est ainsi qu'il a constitué par certaines de ses idées sur l’anima et l’animus, et la nature hermaphrodite de l’âme, les fondements et germes du paradigme philosophique et psychologique libéral actuel du mouvement postmoderne libéral américain*, notamment sur la fluidité du genre, pour lequel il n’y a pas de réalité objective (ses penseurs disent que tout ce que les gens pensent est complètement conditionné culturellement, et qu’une vérité n’est pas plus vraie qu’une autre vérité ou quoi que ce soit d’autre*²). Il a ainsi influencé l'inventeur, ingénieur et chimiste américain Marvel Whiteside Parsons dit John Whiteside "Jack" Parsons (1914/1952), qui était "branché" avec le fondateur de la Scientologie (groupement de promotion d'un ensemble de croyances et de pratiques à risques divers) Lafayette Ronald Hubbard, dit L. Ron Hubbard (1911/1986), et pratiquant notoire avec sa bande de magie sexuelle.

Par cette création de (fausse) vérité, ce que ces penseurs (philosophes, psychologues, sociologues et cie) disent "être" la vérité de notre monde, se constitue une volonté de s’emparer du monde, ce que la seconde épitre aux Thessaloniciens fait référence comme l’homme essayant de prendre le siège de Dieu dans le temple pour devenir un dieu. C'est l'éternel mythe de la Tour de Babel, conduisant inéluctablement à son effondrement destructeur.

* La "gauche" moderne (illustrée par le parti démocrate états-unien, en tout cas pour sa branche extrême - "les anti-fas", poupées gigognes de leur maître artificier George Soros -) que représente ce mouvement a une forte tendance fasciste de par sa nature psychopathe schizoïde, telles l’action anti-tabac et anti-spécisme, l'imposition violente du végétarisme, de l'écologisme et de la diversité culturelle, la promotion du transgenre, etc. La "droite" a tout autant des tendances similaires dans la défense de ses conservatismes !

Branchés sur leur idéologie de manière schizoïde, ils ne réalisent pas la grande faille de leur vision, à savoir que si tout est conditionné culturellement ou s’il n’y a pas de vérité objective, alors ce qu’ils disent est également conditionné culturellement et soumis aux mêmes conditions. Cf. Travaux du philosophe états-unien David Detmer.

 

Les grands mythes universels comme nombre d’œuvres artistiques dispensent de manière occulte à l'être humain la clé de sa libération de la Matrice asservissante, par la fusion en lui de ses polarités masculine (symbolisme du divin Père soleil) et féminine (symbolisme de la déesse Mère lune)*. Elle découle notamment de l'enseignement de l'enseignement de saint
Paul, qui disait à propos des Apôtres qu'après la Pentecôte, la venue en eux de l'Esprit divin, que dans le Seigneur la femme n'est point sans l'homme, ni l'homme sans la femme. Nous retrouvons ici l'idée exprimée par Platon dans le mythe de l'Androgyne. La Rédemption n'est pas l’œuvre de l'homme seul ou de la femme seule, mais des deux ensemble, chaque couple d'êtres polaires constituant une des variantes infinies du premier couple. En voici quatre exemples, quatre légendes...

* Cf. La dualité décodée.

 

Horus

Le premier grand mythe civilisationnel de l'Occident est celui d'Isis et d'Osiris. Parmi diverses significations (fertilité, cycle annuel des saisons), il évoque surtout le cheminement de l'être humain vers la conscience, afin de donner par le choix de la voie du milieu naissance à Horus (image 1), le Christ solaire, la "lumière originelle" ou parole perdue*. Il informe de notre finitude, celle du corps de chair (démembrement d'Osiris par son double ténébreux involutif, son frère Seth l'archonte prédateur), pour mieux renaître dans un état de conscience supérieur - la supraconscience, celle de son âme fusionnée à l'Esprit - à notre évolution vers la vie éternelle. Il nécessite pour ce faire de réaliser l'union de tout ce qui nous divise, les polarités électriques (masculin, positif, "bien"...) et les polarités magnétiques (féminin, négatif, "mal"). Horus le Christ consacre le cycle alchimique*² de la vie intérieure, de la mort de l'égo-mental et de la renaissance (la résurrection) de et à Qui Nous Sommes vraiment. Les épreuves rencontrées (confrontation avec Seth, soit Lucifer + et Satan -), sont pour le bien de notre évolution, pouvant être transcendées par les dons et talents spécifiques qui nous ont été octroyés. Les forces de la sexualité, de la mort et de la pensée y sont étroitement entremêlées, les deux premières nourrissant la troisième. Celle-ci peut alors les "manipuler" pour atteindre des états de conscience supérieurs.

En comprenant que Horus comprend la double polarité (la fausse lumière de Lucifer et la Lumière christique) et en s'attachant à transmuter la première par l'éclat de la seconde, l'être humain réalise son ascension de conscience, et par là-même sa libération de la Matrice involutive.

* C'est ce que symbolise le membre viril d'Osiris englouti dans les flots après que son frère Seth ait démembré son corps et dispersé les morceaux. Retrouver ce membre par notre féminin sacré (Isis), c'est faire se rejoindre le commencement et la fin et réaliser l'unité éternelle.

Cf. Le chemin alchimique.

Contrairement à l'enseignement dévoyé de nombre de sociétés occultes comme la Franc-maçonnerie*, la voie d'accès à Horus (la conscience Christique) n'est pas l'ouverture du centre énergétique ou chakra du 3ème œil, dit Œil d'Horus (image 2), mais celle du cœur, le centre énergétique du milieu*².

* Cf. La nouvelle religion universelle.

Cf. Fonctionnement du corps biologique.

Décryptage du cycle osirien

Le meurtre et le démembrement d’Osiris (il n'est qu’une imitation du démembrement de Dionysos par les Titans) symbolisent la suppression de centres de connaissance, autrement dit la rupture de l'ADN et la réduction de l’aptitude à la connaissance*. Son phallus jeté dans le fleuve où il est mangé par trois poissons symbolise l'introduction de l’énergie de violence sexuelle. Quant à Isis qui part en quête de son seigneur Osiris, cela symbolise la rupture de l’union entre énergie féminine et énergie masculine, permise par la séparation des hémisphères du cerveau. Horus, le fils d’Isis, est la nouvelle réalité de limitation. Enfin, la revanche d’Horus sur Seth, le meurtrier de son père Osiris, signifie le début de l’énergie de conflit perpétuel visant à limiter l’humanité. Seth représente ainsi la guerre, toutes les guerres, intérieures comme extérieures.

* Il en est de même avec le Fruit de l’arbre de la Connaissance du Bien et du Mal censé avoir été mangé par Ève puis offert à Adam.

 


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A noter au fond de la salle les portes figurant la sortie de l'espace-temps limité de la matrice propre à la 3ème dimension de réalité. En réalisant l'ascension de conscience par la fusion des polarités opposées, l'être humain peut s'extraire de la matrice et accéder à une dimension de réalité supérieure.

Cf. Le chemin de l'Ascension.

La Cène

La Cène (en italien L'Ultima Cena, soit "le Dernier Souper") de Léonard de Vinci est une peinture murale réalisée de 1495 à 1498 pour le réfectoire du couvent dominicain de Santa Maria delle Grazie à Milan. Elle représente le cycle annuel du Soleil de façon astrologique, soit ses cycles solaires*, De Vinci identifiant Jésus comme le symbole solaire de l’ère du Poisson. Une autre clé symbolique d'enseignement se tient entre Jésus et Jean l'évangéliste à sa droite (penché sur son voisin), en l'occurrence un écart figurant un V. Il signifie le féminin sacré, soit le saint Graal (la matrice utérine). Le personnage de Jean, à l'allure très féminine, est en fait Marie Madeleine (Maria Magdalena). Le secret caché de ce tableau est la célébration du mariage de Jésus le Christ avec Marie Madeleine, soit les "noces chymiques", celles de l'union des polarités masculine et féminine qui donne la figure du Y (Yann signifie Jean en langue celte) androgyne la représentant.

* Cf. L’Église romaine décodée.

 


Jeanne d'Arc

Elle est l'héroïne de l'histoire de France (vers 1412/1431), chef de guerre et sainte de l'Église catholique romaine*, surnommée depuis le XVIe siècle "la Pucelle d'Orléans" et, depuis le XIX° siècle, "mère de la nation française". Nous retrouvons dans son prénom Jeanne le lien du féminin sacré avec la conscience Christique qui l'habite, tout comme son nom - d'Arc - évoque l'arc de lune de la déesse Mère initiale (Isis). Elle/Il est le personnage emblématique androgyne par excellence, qui meurt brûlé(e) sur le bûcher (l'athanor alchimique) pour ascensionner elle/il aussi dans l'histoire...

* La bible cite deux fois le nom de Jeanne ; l'une est à la naissance, l'autre est au départ du christianisme.

 

Jean Valjean

L'un des principaux personnages du roman Les Misérables de Victor Hugo, grand initié, est Jean Valjean (image 1). Il est le personnage central qui lie différentes histoires du cycle des Misérables. Son profil psychologique évolue au fil du temps des rencontres qu'il fait, constituant la preuve de la bonté universelle et de la capacité à s'améliorer que possède chaque être humain. Pour échapper à son passé, il se fait appeler le "Père Madeleine".

Nous retrouvons à nouveau dans cette œuvre littéraire les clés codées de la transformation alchimique. En l'occurrence les deux Jean (l'évangéliste et le baptiste) ne forment qu'un - Jean Valjean -, avec le V* du féminin sacré comme première lettre du patronyme. Par la fusion des masculin et féminin sacrés, il devient l'être androgyne nommé Madeleine (Maria-Magdalena), qui célèbre le magnétisme de la déesse Lune (Isis) lui ayant permis cette ascension de conscience.

* La vulve de la matrice utérine symbolisée par le Vesica piscis (image 2).

 


Le rôle de la femme, sur la courbe de Rédemption - le changement de conscience -, doit être comparable à celui qu'elle avait joué pour engager le couple humain sur la courbe de la Chute. Ce rôle fut celui d'inspiratrice. Ayant conçu dans son imagination fertile et artistique la notion de l'Illusion - la pomme tendue par Lucifer, le serpent -, la femme, après avoir goûté ses fruits, les a offert à son époux et, tous deux, tombés ici-bas dans la matière terrestre, se sont alors engagés sur un long chemin d'études, fruits de l'Arbre de la connaissance du Bien et du Mal.

C'est pourquoi notre évolution vers une nouvelle dimension de réalité correspond au cheminement de l’Âme dans son retour à l'UN, à la Source*.  Retrouvant ses fractales - notre Moi fragmenté en alter -, elle n'aura plus de raison de se dupliquer, de se fractaliser, de se diviser, de se recopier, de générer des extensions, des duplicatas d'âmes... Le nouvel humain n'aura ainsi plus besoin de se reproduire, d'engendrer des enfants, parce qu'il aura retrouvé ses autres manifestations disséminées à travers les densités. L'esprit humain aura retrouvé la mémoire consciente de son existence multidimensionnelle, omnipotente et éternelle, les "relations sexuelles" étant alors remplacées par des besoins d'échanger de l'énergie/information et d'alimenter les centres supérieurs de créativité en vue de construire un nouveau futur. Autrement dit, une co-création et non plus une procréation, pour réaliser une ligne temporelle sur laquelle l'âme est émancipée du cycle de l'illusion de la réincarnation.

C'est la raison pour laquelle les gardiens du seuil, nos "prédateurs personnels", s'emploient à effacer la mémoire de l'âme de Qui Elle Est vraiment, aussi longtemps que nous n'arrivons pas à aligner notre corps-âme-esprit, à même de permettre le changement de densité*².

* Cf. Le cheminement de l’Âme.

Cf. Le chemin de l'Ascension.

 

De la leçon éternelle (1)

Dans l'activité humaine sur le plan moral, l'évolution de conscience repose sur la cyclicité du Temps*. C'est ainsi que tout mouvement suit une direction déterminée, comme abandonné à lui-même, avant que de s'engager dans une direction diamétralement opposée. Combien de sang n'a-t-il pas été versé au nom du Fils de Dieu qui a prêché l'Amour ? Combien de cruautés, de violences et de contraintes n'ont-elles pas été exercées par des révolutions faites au nom de la liberté et de la fraternité ? On pourrait multiplier sans fin ces exemples.
Sur le moment, ces déviations nous échappent presque toujours. Nous continuons à imaginer que nous suivons la même direction, alors qu'insensiblement nous avons été conduits, sans nous en rendre compte, à prendre la direction inverse. A ce moment, notre action engagée sur le plan moral reçoit automatiquement une impulsion nouvelle provenant de la réaction du milieu à l'impulsion primitive. Plus celle-ci a été vigoureuse, "avant-gardiste" ou "révolutionnaire", plus la réaction suivant le principe d'Équilibre est forte. De sorte que le mouvement en sens inverse, celui qu'en langage commun on appelle réaction, prend une ampleur inattendue et fait parfois revenir les promoteurs de l'action initiale bien en arrière de leur point de départ. Cela est presque toujours le cas pour les doctrines politiques.
C'est la raison pour laquelle une deuxième impulsion doit, en consolidant le premier succès, en permettre l'exploitation. L'histoire donne maints exemples de la nécessité de cette deuxième impulsion : lorsque celle-ci a manqué après des batailles gagnées, la guerre a bien souvent été perdue. Aussi est-il indispensable de prévoir deux impulsions complémentaires consécutives pour maintenir la direction primitive du mouvement et assurer ainsi le succès de l'entreprise.

C'est à cette compréhension des Lois naturelles divines que l'être humain est désormais appelé afin de franchir les barrières de l'Espace-Temps le maintenant prisonnier de la Matrice astrale viciée, et, par la fusion réussie de ses polarités masculine et féminine complémentaires, rejoindre sa nouvelle Terre d'expression, la "5-D", comme être souverain à même par la maîtrise de la science atomique sublimer la matière et cesser de la pervertir ! Autrement dit, initier le nouveau cycle en cours d'émergence de la sixième race humaine*²...

* Cf. Fin de cycle (1) Fin du temps ou fin des temps ?

Cf. Où en sommes-nous ?

 

De la leçon éternelle (2)

La "bataille" psychique entre Forces de Lumière (évolutives, dites "Service d'Autrui") et Forces des Ténèbres (involutives, dites "Service de Soi") qui a eu lieu à travers l'être humain il y a environ 300000 ans, fut remportée par les Forces involutives par un déséquilibre psychique basé sur le désir et les sensations en découlant, l'être humain étant pris au piège car leurré par sa tentation des artifices de la matière, l'or et la sexualité. Le "monde" humain a alors démarré un nouveau cycle, celui qui est nommé dans les textes bibliques sacrés "la Chute", le facteur de motivation étant de jouer dans la "saleté" par une physicalité accrue. Ce cycle est celui du passage du culte de la déesse au culte du dieu, autrement dit le passage de la compréhension du temps cyclique exprimé dans les cycles féminins (et exprimé en tant que déesse) au concept de temps linéaire, exprimé en tant que principe masculin. Ce dernier conduit à croire en quelque chose d’extérieur à soi-même censé sauver, sinon l'être humain est damné et sera jugé. Il en a résulté le concept d’auto-gratification physique, réduisant à sa plus simple expression l'indispensable équilibre entre la physicalité et l’éthéréité, source de perfection.

Même si la satisfaction d’un corps physique est source de gratification, à même de permettre à l’être humain de tirer du plaisir le conduisant à s'élever très souvent à un état spirituel, la possession est la clé de son asservissement. Car le mécanisme de désirer est de ne pas donner, alors que dans le mode "Service de Soi", on donne à cause de la sensation agréable qui en résulte. Qui plus est, des individus peuvent aimer souffrir dans la mesure où ils croient que la chair est pécheresse. C’est pourquoi tout ce qui pourrait être considéré comme agréable ou désirable - ainsi le sexe -  devrait être refusé, l'individu le faisant dans l’attente d’une récompense future, celle de posséder quelque chose à la fin.
Nous sommes en vérité ce que nous sommes. La nature est la nature. La progression est la progression, pour qu'au final les individus soient ce qu’ils sont en toute honnêteté, et fassent ce qui est conforme à leur nature sans violer le Libre Arbitre des autres, sans faire des choses à partir d’un quelconque sentiment d’attente ou de désir. Le désir est bel et bien un concept Service de Soi !

 

Bernard Buffet - Ulysse et les Sirènes (1993)
Bernard Buffet - Ulysse et les Sirènes (1993)

Seul un long cheminement, processus d'expérimentation et d'évolution au travers duquel notre conscience apprend à s'accroitre, en permet l'atteinte. Et s'il y a beaucoup d'appelés, peu parviennent à s'extirper des tentations suggérées par le prédateur, la quête de jouissance des sens physiques prenant quasi-irrémédiablement le pas sur la force de la transmutation énergétique intérieure. Sans contacter sa propre force intérieure afin de chercher l'information par soi-même tout en discernant les pièges des réponses thérapeutiques "miracles" extérieures - outils, méthodes et notoriété -, l'individu ne peut guérir, n'atteignant pas le niveau le plus élevé qui est de savoir qu'est-ce qui le contrôle réellement. N'est pas Ulysse ou Hercule qui veut dans la rencontre avec les pulsions enivrantes du prédateur qui réside en lui...

 

 "Ceux qui sont revêtus de la lumière parfaite, les forces étrangères ne les voient pas et ne peuvent s’en emparer."

Évangile de Philippe (Bibliothèque de Nag Hammadi)

 

 

 

La vraie thérapie, c'est à tout moment, en toutes conditions, et certainement pas guidée par quelqu'un que nous payons, mais par sa propre guidance supérieure qui place les expériences dont nous avons précisément besoin sur notre chemin.

 

 

 

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