Les "clés libératrices" en ligne font l'objet de constantes mises à jour et nouveaux enrichissements. Leur formulation n'engage que leur auteur, qui puise tant dans ses recherches et sources d'information que dans son imaginaire leurs révélation et libre mise à disposition suivant la forme et la rédaction retenues.

Il n'y a de ce fait rien à prendre pour argent comptant, seulement à laisser faire en soi le processus d'ouverture de conscience par le discernement, soit le juste équilibre entre cœur et raison. Celui-ci conduira à les invalider, à les valider, à les compléter par d'autres ajouts et compléments. Il est ainsi conseillé de se référer à des relais ou officines de la doxa scientifique officielle tel Psiram.com, le Wikipédia des croyances irrationnelles, dont l'objectif est de discréditer tout ce qui ne correspond pas à sa ligne de pensée académique, et de prendre le contre-pied sur des sites comme la chaîne web Odysee.com ou la plateforme de vidéo en ligne canadienne basée à Toronto Rumble, ou encore le site d'hébergement de vidéos "alternatif" Crowdbunker.

Sans prendre parti pour une croyance contre l'autre, il s'agit de prendre de la hauteur et de se forger sa propre opinion, par son propre travail de recherche, libre et indépendant. C'est ainsi que procède le chercheur de vérité.

 

 

Compréhension structurelle de la Matrice asservissante

 

Avertissement préalable

Les œuvres d'art (picturales, littéraires, musicales, cinématographiques...) recèlent toutes les clés explicatives du Jeu du Vivant, placé dans notre dimension ou matrice terrestre sous la coupe de forces involutives, qualifiées de lucifériennes ou satanistes dans notre référentiel judéo-chrétien selon leur nature.

Certaines comme le film Matrix, prétexte à l'introduction de la présente explication du fonctionnement de notre cadre de référence, se distinguent par la puissance de la symbolique qui y est logée. Le lecteur ou spectateur pourra alors être tenté d'y trouver les clés de sa libération. Qu'il n'oublie cependant qu'aucune n'a pour objectif de le lui permettre, puisque inspirée par les gardiens de la caverne prison, les "maîtres magiciens babyloniens", experts de l'illusion luciférienne destinée à piéger l'âme sur son chemin d'émancipation.

C'est ainsi que Morpheus, maître instructeur de Neo, l'être humain "nouveau", c'est-à-dire se voulant libre et non plus esclave, porte dans son patronyme la signature de Morphée, la divinité par excellence dans la mythologie grecque des rêves prophétiques. Fils/fille d'Hypnos (le Sommeil) et de Nyx (la Nuit), sa vocation est d'endormir les mortels, non de les réveiller. La vérité qu'il lui propose en offrande est de ce fait piégée. Sans discernement, la confiance accordée au maître instructeur de circonstance, quels que soient ses séduisants atours, conduit inéluctablement à la nuit de la conscience.

 

 

Dialogue introductif*

Morpheus : Te voilà enfin ! Bienvenue Neo. Comme tu as pu le deviner, je suis Morpheus (...). Crois-tu en la destinée Neo ?

Neo : Non (...). Parce que je n'aime pas l'idée de ne pas être aux commandes de ma vie.

Morpheus : (...) Je vais te dire pourquoi tu es là : tu es là parce que tu as un savoir, un savoir que tu ne t'expliques pas mais qui t'habite, un savoir que tu as ressenti toute ta vie. Tu sais que le monde ne tourne pas rond sans comprendre pourquoi, mais tu le sais, comme un implant dans ton esprit, de quoi te rendre malade. C'est ce sentiment qui t'a amené jusqu'à moi. Sais-tu exactement de quoi je parle ?

Neo : De la Matrice ?

Morpheus : Est-ce que tu veux également savoir ce qu'elle est ? La Matrice est universelle. Elle est omniprésente. Elle est avec nous ici, en ce moment même. Tu la vois chaque fois que tu regardes par la fenêtre ou lorsque tu allumes la télévision. Tu ressens sa présence lorsque tu pars au travail, quand tu vas à l'église ou quand tu paies tes factures. Elle est le monde qu'on superpose à ton regard pour t'empêcher de voir la vérité.

Neo : Quelle vérité ?

Morpheus : Le fait que tu es un esclave, Neo. Comme tous les autres tu es né enchainé. Le monde est une prison où il n'y a ni espoir ni saveur ni odeur, une prison pour ton esprit. Et il faut que tu saches que malheureusement, si tu veux découvrir ce qu'est la Matrice, tu devras l'explorer toi-même. C'est là ta dernière chance, après ça tu ne pourras plus faire marche arrière. Choisis la pilule bleue et tout s'arrête : après tu pourras faire de beaux rêves et penser ce que tu veux. Choisis la pilule rouge, tu restes au pays des merveilles, et on descend avec le lapin blanc au fond du gouffre*². N'oublie pas : je ne t'offre que la vérité rien de plus. Viens avec moi.

* Extrait de "The Matrix", film australo-américain de science-fiction, écrit et réalisé par "les" Wachowski (sorti en 1999).

Morpheus lui offre de prendre soit la pilule bleue, qui lui fera récupérer une vie "normale", sa véritable nature existentielle - le mode "Service d'Autrui" -, soit la pilule rouge, qui lui permettra de savoir ce qu'est la Matrice, le mode "Service de Soi". En choisissant la pilule bleue, Neo (l'Homme nouveau, à la base homme ordinaire et sans talent) est conduit à apprendre à s'ouvrir à l'inconnu pour, en transcendant ses peurs de l'inconnu et la désactivation de ses mémoires viciées, créer un nouveau potentiel de réalité, autrement dit densifier un futur possible en mode "Service d'Autrui" dans la réalité de 3ème densité qu'il habite. Il peut de ce fait, en franchissant le tunnel entre deux densités de réalités (le terrier du lapin blanc d'Alice), se détourner de la voie entropique qui lui était prédestinée. C'est son énergie créative - la conscience est la gravité -, par la conscience de Qui Il Est vraiment, qui ouvre cette autre ligne temporelle, son nouveau futur, sa nouvelle réalité.

Dans le film, Neo choisit la pilule rouge, prétexte pour faire comprendre au spectateur la réalité asservissante de la Matrice cyber, la matrice des morts-vivants. A noter cependant que le véritable "Humain" nouveau se révèlera être la hackeuse Trinity ("Trinité"), l'expression "Syndrome Trinity" qualifiant ce personnage féminin fort qui pourtant s'efface au profit du héros masculin...

Cf. Le cinéma de la Matrice (2) La science-réalité.

 

De la pilule à avaler

La pilule est sur le plan académique un médicament à avaler ou une méthode contraceptive. Dans les deux acceptions, elle évoque un médicament de l'âme, qui selon l'état de conscience de l'être humain, lui permet de choisir sa manière de mener son chemin de vie, pour le meilleur ou le pire. C'est pourquoi nombre d'expressions populaires comportent le mot pilule, comme "avaler la pilule" pour accepter une situation désagréable, "dorer la pilule" pour présenter favorablement quelque chose de négatif, "prendre sa pilule" pour accepter de subir un échec.

La question essentielle pour un être humain doté d'une âme (environ la moitié de l'humanité*) est dans son vécu terrestre "À la Vérité qui dérange, dois-je préférer l'illusion qui réconforte ?" Selon la réponse, le plus souvent de manière inconsciente, qu'il y apporte, trois choix se présentent, chacun lié à une couleur symbolique.

Il choisit la pilule rouge, et il reste alors au "pays des merveilles", au royaume magique de l'illusion ordonnancée et orchestrée par les maîtres artificiers experts en manipulation, autrement qualifiés de maîtres babyloniens ("les mages noirs" lucifériens et satanistes pour notre référentiel judéo-chrétien).

Il prend la pilule bleue, et l'illusion s'arrête, lui permettant alors de faire de beaux rêves et penser ce qu'il veut, libre dans sa manière de penser et de créer sa réalité.

Mais il ne pourra réellement s'émanciper de la Matrice prison, la caverne psychique des morts-vivants, qu'en prenant la pilule verte, seule à même de lui permettre de s'approcher de la Vérité et de lui donner la capacité de dépasser ses limites de perception et de connaissance. En effet, l’origine du mot "vert" est le latin viridis, proche de vérité, du latin veritas lui-même dérivé de verus, "vrai".

Il convient de ne pas oublier que dans la matrice de 3ème dimension terrestre, le choix étant toujours binaire (bien vs mal, + vs -, blanc vs noir, jour vs nuit, mâle vs femelle...), il est question de choix entre soit la pilule bleue soit la pilule rouge. C'est oublier que la couleur est le composé de la réalité perçue par nos sens physiques au même titre que le son, les photons qui en composent le champ magnétique spectral vibrant à des fréquences ultraviolettes et infrarouges imperceptibles à l'œil humain pour être portés à notre vue par les variations d'une onde électromagnétique plus ou moins amples. Or, les trois couleurs de base de la lumière qui éclaire sont le Bleu, le Rouge, le Jaune, les couleurs dites primaires ou pigments de la matière, et qui par leur mélange vont ordonnancer le visible. Si le bleu et le rouge sont communs aux deux mondes, l'Esprit (ou l’Éthérique) et la Matière, ils ne permettent pas pour autant de savoir avec certitude dans quel monde on se trouve réellement. C'est par conséquent la troisième couleur qui va nous apporter la réponse. Jaune, nous sommes dans le monde de la matière, et Vert, nous sommes dans le monde de l'Esprit. Il y a toujours dans le ternaire maçonnique*² générateur de l'illusion - Bleu Rouge Jaune - un quatrième élément caché, le Vert fruit du mélange du Jaune et du Bleu que notre sagacité doit permettre de découvrir, seul à même de rendre possible et effective l'extraction du piège luciférien tendu... On ne peut en effet s'échapper des cages que l'on refuse de voir ou que l'on ne peut voir !

* Cf. Les acteurs de la Matrice falsifiée.

Cf. Symbolisme des neufs premiers nombres.

Si les animaux interceptent la même lumière que l'humain, ils n'y perçoivent pas les mêmes informations, et ce en raison de leur système nerveux optique principalement conçu pour intercepter des spectres de couleurs au-delà de l'infrarouge ou de l'ultraviolet. De ce fait leur réalité diffère, puisqu'ils distinguent des ondes de forme le plus souvent inassimilables ou divergentes de ce que perçoit l'esprit humain. Étant naturellement au contact des mondes "supérieurs" mais privés de parole, seul l'apprentissage de nos proximité et promiscuité avec l'animal de compagnie permet d'en retirer les bénéfices psychiques pour notre évolution comme la leur.

 

Nous vivons au sein d’un univers, caractérisé par un champ d’intelligence unitaire*. Ce champ est une matrice de nature ou substance énergétique, nommée plasma, un champ de Perception infinie ou "soupe moléculaire" au sein duquel circule de l’information qui se trouve à l’état latent, via des particules. Celles-ci circulent de manière ondulatoire - sous forme d'onde sinusoïdale - au sein de ce vaste océan d'ondes et de fréquences. Nous captons cette information de deux façons. D’une part à partir de l’imagination visuelle de nos intentions et désirs, renforcée ou non par leur formulation verbale. C’est l’état de pensée créative, qui, observant la non-matière, en fait jaillir la matérialisation par la projection de la conscience ("le plasma" acquiert de la masse lorsqu'elle est influencée par l'énergie de l'observateur)*². D’autre part par la concentration profonde et la manifestation de nos sens subtils. C’est l’état de méditation et du rêve.

Toutes ces deux énergies psychiques permettent de recevoir l’information circulant dans les particules au sein de ce vaste champ plasmatique, celle-ci descendant à nous, dans le corps physique, par l’effet de résonance ou "fréquence cellulaire" produit par la nature électromagnétique de nos pensées et émotions associées et la réceptivité magnétique de notre corps via sa structure ADN et les membranes cellulaires, composé de tous les éléments constitutifs du Vivant (gazeux, liquide, solide, plasma). Ce sont bel et bien les photons, les quantum d'énergie associés aux ondes électromagnétiques qui présentent certaines caractéristiques de particule élémentaire, qui constituent le lien entre le champ d'information et nos protéines d'antenne.

Il en résulte que le monde extérieur animé et sa manifestation de phénomènes physiques comme métaphysiques, tel que perçu, n'est que l'expression des mémoires ou des programmes inscrits dans nos codes génétiques qui s'expriment par l'état de cette conscience, renforcé par l'adhésion collective à son apparente "réalité". Celle-ci n'est en Réalité qu'illusion, puisque s'il n'y a pas d'observateur, la réalité n'existe pas !

* Cf. Évolution de civilisation (1) Le mécanisme de l'Univers & Univers en partage.

Cf. Le processus création décodé & La pensée création.

 

De la théorie du Big Bang

La science matérialiste émet des hypothèses sur la façon dont l’univers a été créé, en aucune façon des certitudes. Actuellement, la théorie du Big Bang est la manière la plus populaire d’imaginer comment un univers plein de vie a pu émerger du néant. Sa limite est celle de la Conscience, celle que chacun a dans son for intérieur, liée à son ouverture au grand champ informationnel constitutif de l'Univers dans toutes ses dimensions pour la plupart impénétrables en l'état. Autrement dit, la conscience omniprésente du Créateur de l’univers, Ce Qui Est, et des principes fondamentaux de sa Loi de la Création. Et comme enseigné dans nombre de Traditions ésotériques, la création se produit lorsque la pensée - ou l'intention - et le sentiment - l'énergie d'amour - divins sont mis en mouvement de manière complémentaire. Leurs versions physiques denses sont l’électricité et le magnétisme. Quel que soit le paradigme retenu, scientifique ou métaphysique, ces énergies créatives fonctionnent selon des axes différents,  perpendiculaires à quatre-vingt-dix degrés et non parallèles les unes aux autres. Ainsi, en mettant en mouvement les énergies de l’électricité et du magnétisme à la bonne fréquence, nous produisons de la lumière visible. C'est de cette manière que la séparation de la conscience divine en deux éléments différents, la pensée et le sentiment ou le yang et le yin, puis leur mise en mouvement, ont rendu possible une variété infinie d’expériences. Parmi elles, le concept d’espace; les couches de densité de l’existence ou domaines d’existence, chacune plus comprimée que celle qui la précède, la couche la moins dense et la plus expansive abritant des champs de conscience de la taille d’une galaxie; l’invention du temps, les galaxies pouvant voyager à l’intérieur de l’enveloppe de l’espace dans des cycles de temps, et chaque instant du temps n’étant qu’une autre expression de l’unique grand Maintenant (il paraît différent dans la mesure où chaque instant possède sa propre signature de fréquence, ce qui fait que chaque moment semble différent du précédent).

Il en résulte que notre monde physique de 3-D a été créé dans une densité non physique avant d'être comprimé jusqu’à l’existence. Aucun Big Bang n’a été nécessaire.

* Cf. La pensée création.

 

Structuration du champ d'Intelligence unitaire (1)

L’état de conscience, exprimé par la pensée comme par le son, est l’élément clé de toute existence dans l'Univers, Ce Qui Est, qui n'est rien d'autre que le produit de Son Esprit. Il correspond sur le plan de la science physique à la gravité (celle que nous connaissons est modélisée par la géométrie d’un espace courbe) qui, en tant que facilitateur énergétique, lie tout ce qui est physique à tout ce qui est éthérique, et ce grâce aux ondes instables de gravité dont la vitesse est supérieure à celle de la lumière qui est son expression énergétique (la lumière appartient au champ de la septième dimension de densité). C'est ainsi qu'à l'instant même où l'énergie psychique (sous forme de pensée, d'émotion, de méditation) de l'observateur est "retirée" de la zone plasmatique, la matière jusqu'alors constatée est défigée, dédensifiée, comme évaporée, la particule élémentaire redevenant onde. C’est l’ingrédient central de toute existence, sa propriété quantitative étant immuable !

Ceci entend que TOUT - l'Univers - est une grande illusion, Son Esprit se déclinant de manière perpendiculaire en 7 dimensions de densité (elles sont des constructions humaines faute de meilleurs termes disponibles), c'est-à-dire des niveaux de conscience, de ce fait de fréquences, à chaque fois dégradés en partant du plus élevé jusqu'aux plans inférieurs, là où l'énergie éthérique, plasmatique, est densifiée par le mécanisme des forces électromagnétiques et nucléaires. Densité signifie degré de développement de la conscience mesuré du point de vue de la proximité de l’union avec le "cycle de l’Un" (fonctionnement de l'Univers ou Source), entendant que plus la densité est élevée, moins il y a de lois qui s’appliquent, ce qui signifie qu’il y a plus de liberté. Sa représentation géométrique est un octogone sans fin, en trois dimensions, autrement dit un treillis.
Les dimensions sont ainsi à entendre comme le résultat de la Conscience universelle telle que manifestée dans le secteur "imagination" de la pensée humaine, soit d'apparentes réalités que la physique peut cependant décrire par le biais de l'algèbre (le concept algébrique pour être utilisé a besoin de dimensions, la distance entre deux points différents étant nulle), la théorie du champ unifié si elle était complétée étant à même de donner un aperçu de la relation synchrone entre la gravité et la conscience. Le Nom du Jeu du Vivant est la Conscience, le travail de tout être et de toute existence en tout lieu étant toujours celui de la Conscience*!

Il est à comprendre que dans l’espace, il n’y a pas de dessus, de dessous, de haut, de bas, de gauche, de droite etc. Il n’y a qu’autour, dans un sens sphérique. En imaginant un cercle avec un point en son centre, les "Mondes" traduisant ces dimensions sont des divisions empiriques, des réalités perpendiculaires basées sur des Forces directrices d’énergie de conscience chargées de les faire croître et changer par l’acquisition de connaissances (les couches d’un atome sont comparables à des états d’être, par rapport au Centre d'impulsion et ses réalités perpendiculaires). Il en découle que les "dimensions d’existence" d'un être humain sont délimitées par la "fréquence" ou "niveau de conscience" caractérisant les différentes personnalités de son "Moi-Je" qui les habitent, la plus basse étant la 3ème ou "3-D"...

Les 3 premières densités sont strictement matérielles, les 3 dernières strictement éthériques. La 4ème, dimension de densité intermédiaire, est dite de "physicalité variable", mixte entre les deux états. Quant à la 5ème dimension de densité, elle se caractérise par l'absence d'espace comme de temps, seule l'information pure en unités y "résidant". La différence entre les densités vient de la différence d'état de conscience et d'évolution des âmes*², la vitesse de la lumière variant de ce fait avec la fréquence de la dimension de densité. C'est ainsi que l'on peut passer au niveau supérieur quand "on" a appris toutes ses leçons de vie, un champ de conscience complet incluant tous les opposés, dans un parfait équilibre.

Le théologien, juriste, poète, soufi, métaphysicien et philosophe andalou connu sous le nom d'IbnʿArabi (1165/1240), également appelé ach-Cheikh al-Akbar, a abordé les différents niveaux d’être ontologiques en parlant de cercles concentriques qui définissent chaque niveau d’existence, soit des réalités perpendiculaires qui rayonnent à l’infini pour finir par revenir au centre parce que la gravité au centre les y ramène. Les mondes ne sont ainsi que des divisions empiriques fondées sur des directeurs énergétiques de conscience. Chaque niveau renvoie à des relations. À mesure que le niveau s’élève, on se rapproche d’une relation directe avec le cœur de l’existence, alors qu’à la périphérie, on est plus proche de la matière. Il mentionne également le "rayonnement vers l’extérieur" et le "mouvement intérieur" vers la Connaissance. Selon lui, l'être humain peut soit rester au même point dans l’illusion, soit descendre, soit monter. Ce mouvement est en partie déterminé par sa position à l’intérieur du cycle.

* Conscience sur un plan étymologique vient du latin cum, "avec", et scienta, "savoir". Comme le savoir découle de la théorie, et la connaissance de l'expérience directe, la conscience est essentielle, car elle est le moyen (levier) de son évolution (élévation) par la connaissance.

Cf. Le cheminement de l’Âme.

 

De l'éther

À l'origine, Éther est un dieu primordial de la mythologie grecque, qui personnifie les parties supérieures du ciel ainsi que sa brillance. Le philosophe et l'ingénieur de Sicile Empédocle, qui fait partie des philosophes présocratiques du Vᵉ siècle av. J.-C. et à qui l'on doit la théorie classique des quatre éléments, parle fréquemment de l'éther comme d'une entité différente. De son côté, Platon mentionne dans son ouvrage le Timée l'éther comme "la forme de l'air la plus pure", tandis que Aristote, dans son traité Du ciel (De caelo en latin), introduit un nouvel élément qui n'existe que dans la sphère céleste et dont la particularité est de se mouvoir en cercle sans avoir besoin d'une force extérieure. Plus tard, le mathématicien, physicien et philosophe français René Descartes élabore au XVII° siècle une mécanique des tourbillons pour expliquer que le mouvement des planètes est dû à de grands tourbillons d'éther, matière subtile composée de minuscules globules transparents, remplissant l'espace et qui les emportent et les maintiennent sur leurs trajectoires. Son homologue anglais Isaac Newton élabore de son côté sa théorie de la gravitation universelle où la force gravitationnelle se transmet instantanément d'un corps à l'autre, sur des distances quelconques et à travers l'espace, vide ou non. Insatisfait de cette situation où une force se transmet à travers le vide, il imagine un éther qui transmettrait les influences mécaniques gravitationnelles, espèce d'esprit très subtil qui pénètre à travers tous les corps solides. C'est par la force et l'action de cet esprit que les particules des corps s'attirent mutuellement. Au XIX° siècle, le physicien écossais James Clerk Maxwell indique que la Lumière est la manifestation d'une perturbation électromagnétique qui affecte l'éther, le physicien néerlandais Hendrik Antoon Lorentz démontrant en 1895 que les équations de Maxwell étaient compatibles avec une conception dans laquelle l'éther était partout présent, même à l'intérieur des atomes. En 1905, le physicien Albert Einstein, après avoir nié l'existence de l'éther, en admet en 1916 l'existence sous une certaine forme. Quant à l'inventeur et ingénieur américain d'origine serbe Nikola Tesla, il prétend que cette force pouvait être utilisée, et en fait la preuve de façon expérimentale en inventant des générateurs fonctionnant à l'éther. Il avait pris conscience de ses mécanismes qui, dans la philosophie hindoue, président au monde matériel, ayant assimilé les concepts sanskrits de l'akasha (espace éthérique) et du prana (source de l'énergie universelle). Il avait adhéré au concept d'un éther lumineux pour décrire la source, l'existence et la construction de la matière. Au XXIe siècle, les propriétés ou caractéristiques déconcertantes attribuées par la physique contemporaine au vide (champ de Higgs, énergie du vide, énergie sombre) rappellent étrangement les propriétés mystérieuses de l'éther, même si la célèbre expérience de physique optique réalisée par les scientifiques américains Albert A. Michelson et Edward Morley entre 1881 et 1887, toujours confirmée depuis, a révélé dans ses conclusions que l'éther luminifère n'existe pas, la vitesse de la lumière étant constante quel que soit le système de référence, le physicien et philosophe autrichien Ernst Mach concluant à son inexistence. C'était simplement oublier que l'univers physique ne se limite pas à la galaxie solaire d'appartenance nommée La Voie lactée...

L'Architecture Naturelle des 5 Éléments (Cf. image) - Terre, Eau, Air, Feu, Ether -, ou d’une façon moins réductrice et plus étendue Solide, Liquide, Gazeux, Igné, Ether, caractérise les 5 constituants alchimiques organisés et classés de façon croissante en densité de Lumière. Même si "Tout est Lumière" au sens général, du point de vue manifesté les 4 Éléments Solide, Liquide, Gazeux et Igné vont du plus dense en matière, jusqu’à l’Ether le plus Haut et le plus dense en Lumière. L'Ether, Lui, contient tout, puisqu’il est lui-même une expression du Tout. Appelé en sanskrit "Akasha", il est l’essence du vide et du néant, à l'origine de la formation des autres éléments*.

* A la naissance de l’univers, quand la conscience s’est manifestée, le son primaire Aum a résonné. De cette vibration subtile est apparue l’Ether. Cet élément éthérique a commencé à bouger, ce qui a créé l’Air. Le mouvement de l’Air a créé de la friction, celle-ci entraînant la chaleur par la combinaison des particules formant une intense lumière (naissance de l’élément Feu). La chaleur du feu a dissous et liquéfié les éléments, donnant naissance à l’Eau. Ceux-ci se sont alors condensés pour former des molécules de Terre.

 

Illustration symbolique du champ d'Intelligence unitaire

L'intrication des sept dimensions de densité, de ce fait de réalité, du cosmos est illustrée par le système ou principe dit en gigogne des poupées russes ou matriochkas, soit des poupées de tailles décroissantes placées ou emboîtées les unes à l'intérieur des autres. Le mot matriochka est dérivé du prénom féminin Matriona, traditionnellement associé à une femme russe de la campagne, robuste et aux formes généreuses, prénom de même étymologie que мать, "mère", et матрона, "matrone"*. La marionnette de la Mère Gigogne représente une grande et forte femme entourée d'enfants. Son concepteur, l'artisan russe Sergueï Malioutine, s'est inspiré d'une série de poupées de bois japonaises représentant les Shichi-fuku-jin, les "Sept Divinités du Bonheur".

Les matriochkas sont utilisées métaphoriquement comme exemple-type de conception d'un système qui voit de par l'intrication qui le caractérise une relation de type "objet à l'intérieur d'un objet similaire", expliquant que l'on retrouve ce système aussi bien dans la nature que dans des objets créés par l'homme. Cette métaphore se rapproche de celle de l'oignon, qui fait que lorsqu'on épluche la couche extérieure de l'oignon, on trouve un oignon semblable à l'intérieur. C'est le principe majeur de l'organisation de la matière, l’intégration changeant la qualité des choses. Les êtres humains sont de ce fait un peu comme des matriochkas, leurs "enveloppes" ou corps entourant l'âme individuelle étant interdépendants, allant du plus dense au plus impalpable. Unifiés, ils apparaissent toutefois comme des apparences faussement multiples d'une seule vraie Réalité, chacun étant le support d'un niveau de conscience différent et d'un mode vibratoire particulier.

 * La poupée "mère" fut appelée matriona et ses "filles" reçurent le diminutif de matriochka. Dans sa version originale, elle tenait un coq à la main, symbole de fécondité et de prospérité en Russie et dans toute l’Europe, notamment en France dont il est l'animal emblème. Ainsi le premier œuf datant de 1885 du joaillier russe Pierre-Karl Fabergé (1846/1920), connu pour ses bijoux ayant la forme d'oeufs de Pâques réalisés à partir de métaux et de pierres précieuses, renfermait un jaune contenant une poule, renfermant à son tour un pendentif de rubis et une réplique miniature de la couronne impériale.

 

Dans l’Univers, les bateaux que sont les galaxies suivent les courants d’une rivière, la matière. Les galaxies sont regroupées en amas ou en superamas, se déplaçant en évitant de grandes régions appelées "vides". Leurs déplacements, provoqués par les concentrations de matière visible ou invisible, les amènent à se séparer ou se rassembler comme en suivant l’eau de la rivière de part et d’autre d’une ligne de partage. Ce "champ de vitesse" des galaxies constitue la quatrième dimension.

 

Du comportement ondulatoire et particulaire de la matière

Il y a des milliers d’années que les Maîtres de l’ancienne Égypte ont énoncé le principe que "tout est en mouvement", "tout vibre", "rien n’est à l’état de repos". La science moderne l'accepte, toute nouvelle découverte scientifique tendant à en vérifier l'application, depuis le corpuscule et l’électron, l’atome et la molécule, jusqu’aux mondes d'un univers multidimensionnel calés sur des fréquences différentes. Ceci explique que les différences existant entre les diverses manifestations de la Matière, de l’Énergie, de l’Âme et même de l’Esprit, sont la conséquence d’une proportion inégale de vibrations, et ce depuis le "Tout", "l’Esprit Pur", jusqu’aux formes les plus grossières de la matière. Plus grande est la vibration, plus haute est la position sur l’échelle. A l’autre extrémité de l’échelle il y a les formes grossières de la matière dont les vibrations sont si lentes qu’elles paraissent ne pas exister. Entre ces deux pôles opposés, il y a des millions et des millions de degrés différents de vibrations. Cela est vrai également pour l’énergie et pour la force, qui ne sont que des degrés différents de vibration. Et cela est vrai encore pour le plan mental dont les vibrations régissent l’état, tout comme pour le plan spirituel. De même, la façon dont les fréquences affectent le monde physique a été démontrée par diverses expériences, telles que la science de la cymatique (visualisation des vibrations acoustiques) et la mémoire de l’eau.

Les "fentes ou interférences de Young" (voir schéma ci-dessus) désignent en physique une expérience qui consiste à faire interférer deux faisceaux de lumière issus d'une même source, en les faisant passer par deux petits trous percés dans un plan opaque. Cette expérience fut réalisée pour la première fois en 1801 par le physicien, médecin et égyptologue anglais Thomas Young (1773/1829), et permit de comprendre le comportement et la nature de la lumière. Sur un écran disposé en face des fentes de Young, on observe un motif de diffraction, qui est une zone où s'alternent des franges sombres et illuminées. Cette expérience permet ainsi de mettre en évidence la nature ondulatoire de la lumière. Elle a été également réalisée avec de la matière, comme les électrons, neutrons, atomes, molécules, avec lesquels on observe aussi des interférences.

Cela illustre la dualité onde-particule : les interférences montrent que la matière présente un comportement ondulatoire, mais la façon dont les faisceaux de lumière sont détectés (leur impact sur un écran) montre leur comportement particulaire. La nature d'une particule dépend selon qu'on l'observe ou non : dans le premier cas elle se comporte comme une particule, et dans le second comme une onde. C'est ce phénomène qui est connu sous le nom de "dualité onde-corpuscule".

En fait, l’observateur réel (l'être humain acteur dans la Matrice terrestre) entraîne toujours une perturbation à l’expérience, car il est en attente de quelque chose. Et comme en physique quantique l’observateur et l’objet observé sont mystérieusement liés, les résultats de l’observation semblent en partie déterminés par les choix de l’observateur. Ceci explique que par manque de conscience, chaque jour dans le monde des milliers de gens s'entre-tuent, au sens propre comme figuré, pour des questions de point de vue, alors que changer le point de vue que nous avons sur nous-même réglerait certainement de nombreux problèmes sur lesquels bute l'espèce humaine. C'est cette situation qui est représentée par la fonction d’onde, enseignant que voir la condition humaine sous un autre angle, appréhender la réalité qui se cache derrière les apparences, c'est voir le rond dans le rectangle ! Ainsi, pour changer de point de vue, il faut se déplacer, être (en) mouvement, accepter les changements, car dans un univers de cycles et de révolutions, camper sur ses positions constitue une forme de régression, autrement dit d'involution.

L’observateur "idéal", l'être humain créateur car aligné, serait bel et bien celui qui ne causerait pas la moindre perturbation sur l’objet observé. Ceci entend qu’il soit sans idéal, sans aucune attente particulière, si ce n'est sa "foi" dans la magie du Vivant* !

* Cf. Le processus création décodé & Qu'est-ce que la Magie du Vivant ?

 

Structuration du champ d'Intelligence unitaire (2)

Le corps humain physique provient de la matière de 1ère densité (sodium, potassium, calcium, phosphore, carbone, vitamines, tous les sels minéraux et organiques…), niveau qui concerne les roches, les minéraux, les plantes ayant une conscience à ce niveau. Les roches peuvent même croître et bouger, mais elles le font tellement lentement qu’on ne le perçoit pas. L’apparente physicalité du corps résulte de l’agencement d’un amas d’atomes - des neutrinos -, composant l'âme, et qui, émanant de niveaux supérieurs de la conscience, sont assemblés et structurés en une géométrie bien définie qui, lorsqu’elle se densifie en 3e densité, devient la matière physique du corps. Ce niveau a la conscience d'une ligne, indiquant que la 1ère densité comprend toute matière inférieure au niveau de la conscience.

Son corps génétique (acide nucléique, acide ribonucléique, peptides, glucides, adénine, cytosine, guanine, thymine...) est issu de la 2ème densité, niveau du règne animal. Les constituants de l'ADN de tout être vivant, qu'il soit végétal, animal ou humain, restent identiques. La conscience de cette seconde densité a un lien avec la progression géométrique, c'est-à-dire d’une ligne se déplaçant à angle droit, ou de plans.

Son vécu (incarnation physique) se fait dans la 3ème dimension de densité ou de réalité, la "3-D". Les êtres humains y ont la conscience du plan se déplaçant perpendiculairement à lui-même uniquement par leurs perceptions, sans pouvoir en faire pleinement l’expérience (d'où les débats sans fin sur la forme de la Terre, ronde ou plate). Ils voient les choses comme tridimensionnelles uniquement parce qu'ils créent une illusion à partir de la mémoire et de la connaissance. On ne peut en effet jamais connaître l’autre côté ou l’intérieur lorsqu’on regarde une face donnée.

Sa conscience limitée au Moi personnalité - l'ego-mental -* se situe dans la 4ème dimension de densité, lui permettant de s'observer lorsqu'elle est éveillée. La 4ème densité est la première à inclure une physicalité variable.Nommée le champ de l'Astral, elle est placée sous la gouvernance de forces involutives, dites le corpus prédateur (le Non-Être), même si des Forces évolutives dites de Lumière les contrebalançent de par la Loi de la dualité des polarités*². C'est cette dimension qui offre la capacité de visualiser et de décider quelle est notre réalité, ceci entendant que nous créons la réalité à partir du quatrième niveau. De ce fait, à un moment, la réalité pourrait ne pas ou plus être solide, mais être tout en énergie, et ce simplement par le pouvoir de la pensée. C'est aussi à partir de la 4e densité que le temps tel que nous le percevons n’existe pas, notre perception du temps n’existant que dans les trois premières densités. Les êtres de ce niveau peuvent se déplacer dans notre densité temporelle car pour eux, elle n’existe pas. Tout est maintenant. Ce n’est qu’un instant.

Son corps éthérique/spirituel sous gouverne de l’Âme est relié à la 5ème dimension de densité (la matière noire, l'antimatière, le non-temps…). Elle représente le lieu géométrique de toutes les possibilités d'un moment donné, dont une seule se réalise dans le Temps, alors que toutes les autres demeurent irréalisées. C'est une sorte de plan que la ligne du Temps perce à l'endroit où se trouve la possibilité qui, de ce fait, se réalise.

Sa conscience supérieure ou supra-conscience - celle du Soi supérieur une fois l’Âme réunifiée et fusionnée à l'Esprit - est reliée à la connaissance de la 6ème dimension de densité (l'énergie noire ou nucléaire faible, la Connaissance universelle…). Elle figure le Temps de l'Univers, comprenant par son volume non plus le possible mais l'accomplissement de toutes les possibilités de chaque moment par le cycle complet de toutes les lignes du Temps. La 6ème densité étant uniforme, l’équilibre est total à ce niveau de densité.

Il conserve toujours sa connexion à la 7ème dimension de densité, à l'Un, à la Source, la conscience ultime du Créateur et de la Création, Ce Qui Est, point situé en même temps dans l'Espace et dans le Temps (dimension atemporelle). Son "essence" rayonne à travers tout ce qui existe, dans tous les univers de conscience possibles.
Ligne du Temps, Éternité et Tout sont les termes du langage courant qui correspondent à la quatrième, à la cinquième et à la sixième dimension. Le terme Zéro correspond à la septième et dernière dimension. Ce n'est pas le néant. C'est le germe et la fin, l'Alpha et l'Oméga de tout ce qui existe.

En résumé, chaque individu forme une unité individuelle de conscience lectrice d’ondes de 3e densité. A partir du moment où sa conscience s’ouvre et progresse, il devient capable de lire des longueurs d’onde plus proches d’une réalité de 4e densité, et ainsi de façonner le nouvel espace-temps qu’il se destine à habiter. Là réside la clé de son échappatoire du piège de la matière, la Caverne ou le bac à sable de la conscience...

* Cf. Décryptage de l'Ego.

Cf. La dualité décodée.

 

De la complémentarité des contraires

Intuitivement, beaucoup de chercheurs, scientifiques et philosophes, à toutes les époques, ont compris que l'univers n'était que la complémentarité de deux contraires constituant un principe unique. Ce principe unique, c'est le magnétisme. Ceci entend que toutes les masses de l'univers - planètes, étoiles, particules atomiques - sont des aimants complets munis de leurs deux polarités, et non des particules unipolaires ou des masses s'attirant par gravitation. Le fait qu'elles soient des aimants permet de comprendre la mise en mouvement de ces masses, leur accélération et leur stabilisation dans des systèmes immuables qui donnent à la matière et au cosmos sa stabilité. Cette stabilité serait impossible dans les conditions théoriques enseignées habituellement, l’équilibre des positions et mouvements de particules étant irréalisable lorsqu’elles s'attirent entre noyau et satellites (ou électrons) d’une part, ou d'autre part lorsqu’elles se repoussent au cœur des atomes tout en restant néanmoins "collées".

L'énergie naît du néant à chaque instant. Elle est en fait la conscience et l'amour, la conscience étant la répulsion qui place l'infini à l'extérieur du centre zéro, et l'amour cherchant à réunifier ces deux pôles constitutifs du néant, notions indissociables à la fois opposées et complémentaires qui règlent tous les équilibres dynamiques en physique et rythment les relations végétales, animales et humaines, les comportements sociaux, amoureux, sexuels, économiques ou politiques. Tous sont le résultat d’un permanent mélange d’attirance et de rejet, d’accueil et d’exclusion. L’espace/temps est la matrice apparente dans laquelle ces deux forces agissent, la répulsion donnant l’illusion de l’espace et l'attraction celle du temps. Leur relation amène la création, qui en termes taoïstes se traduit par le Yang, la concentration, et le Yin, la dilatation.

Cf. travaux du chercheur indépendant Léon Raoul Hatem, déposés à l'Académie des Sciences de Paris en 1955 et publiés en 1956 dans ses livres "Naissance et Vie de l'Univers", en 1973 dans "Et l'univers fut", et en 1985 dans "Le Livre de l'Infini". Albert Einstein n'avait-il pas dans une de ses lettres à sa fille écrit que "j’ai fait une simple substitution dans mon équation célèbre. Si, au lieu de E = mc2, nous acceptons que l’énergie de guérison du monde peut être obtenue à travers l’Amour, qui est la force la plus puissante qui existe, car il n’a pas de limites... Si nous voulons que notre espèce survive, si nous voulons sauver le monde et chaque être sensible qui l’habite, l’Amour est LA et la seule réponse. Peut-être nous ne sommes pas encore prêts à fabriquer une bombe d’Amour, un appareil assez puissant pour détruire toute la haine, l’égoïsme et la cupidité qui dévastent la planète. Cependant, chaque individu porte à l’intérieur un petit, mais puissant générateur d’Amour dont l’énergie est en attente d’être libérée. Lorsque nous aurons à donner et à recevoir cette Énergie universelle, chère Lieserl, nous pourrons affirmer que l’Amour conquiert tout, est capable de transcender tout et chaque chose, car l’Amour est la quintessence de la Vie. Je regrette vivement de ne pas pouvoir exprimer ce qui, dans mon cœur, a palpité silencieusement pour toi toute ma Vie. Il est peut-être trop tard pour demander pardon, mais comme le temps est relatif, j’ai besoin de te dire que je t’aime et grâce à toi, j'ai atteint l’ultime réponse".

 

De la noosphère

La noosphère*, mot dérivé des mots grecs Noûs, "l'esprit", et sphaira, "sphère", par analogie lexicale avec "atmosphère" et "biosphère", désigne la "sphère de la pensée humaine". Il est la représentation d'une couche de faible épaisseur entourant la Terre, comparable à un biofilm, qui matérialiserait à la fois toutes les consciences de l'humanité et toute la capacité de cette dernière à penser. La noosphère est la troisième d'une succession de phases de développement de la Terre, après la géosphère (matière inanimée) et la biosphère (la vie biologique). Tout comme l'émergence de la vie a fondamentalement transformé la géosphère, l'émergence de la cognition humaine transforme fondamentalement la biosphère, au moyen de l’imaginaire, des pensées, des idées, des découvertes. En d'autres termes, le psychisme ou la conscience tissent progressivement une "noosphère" de plus en plus serrée et dense, génératrice de toujours plus de conscience, et d’une conscience de plus en plus solidaire, de plus en plus planétaire, et ce parce que l’humanité se multiplie et se répand sans cesse à la surface d’une terre limitée géographiquement.

Cette densification progressive amène à un retournement sur elle-même de la conscience, phénomène appelé "le Réfléchi". Elle constitue la vision prophétique de la mondialisation, la "planétisation".

* Cf. Travaux du théologien et philosophe français Pierre Teilhard de Chardin (1881/1955) dans sa "cosmogénèse" composant la trame de son livre Le Phénomène humain, le mot ayant été inventé par le minéralogiste et chimiste russe Vladimir Vernadski (1863-1945).

 

Des capacités de l'être humain

Les capacités de l'être humain sont propres aux trois éléments constitutifs de son unité existentielle, La Monade pythagoricienne*. Elles sont symbolisées par le PHI pour le plan physique - le Corps -, le PSI*² pour le plan psychique - l'Âme -, et le SPI pour le plan mental ou spirituel qu'est l'Esprit.

Lorsqu'elles sont limitées, partielles, de par la prégnance du plan physique soumis aux agitations névrotiques ou psychotiques d'un mental non épuré des mémoires viciées de l'âme, l'être humain est soumis aux lois de l'"endo-causalité", ne pouvant de ce fait exercer son pouvoir de créateur puissant dans la matière.

A l'inverse, son travail d'alignement magnétique au feu solaire électrique de l'Esprit universel (fusion de l'âme dans l'Esprit) lui permet d'accéder aux lois de l'"ur-causalité", gage de créativité pure, totale, sans entrave puisque affranchie de toute exo-causalité liée à la prédominance du Phi. Cette entité existentielle redevenue souveraine peut tout décider, puisque pour elle tout est possible ! Si un "dieu créateur existe", il est forcément ur-causal (ur est dérivé de la racine grecque Oũros, signifiant "Gardien", "protecteur", "défenseur")...

C'est bel et bien la conscience qui est l’agent créateur de la matière, cette force ou principe existant en chaque électron, chaque photon... Elle permet aux quanta à l’état étalé ou dispersé (état modélisé comme fonction d’ondes) de prendre un état précis ou ponctuel (état corpusculaire et physique). Cette faculté induit que chaque quantum est conscient (qu’il a une conscience), et inversement, que la conscience imprègne et relie chaque quantum de l’Univers. Et c’est un principe psychique, le "Psi", c’est-à-dire une impulsion de l’âme, qui agence et organise le Tout, au moins jusqu’à un certain point. Il va sans dire que ce lien qui unifie toutes les particules du champ cosmique, éthérique, échappe évidemment à l’espace et au temps.

* Cf. Qu'est-ce que l'Homme ?

Chacune des particules constitutives du corps biologique contient une "gouttelette" de cette substance immatérielle qui se nomme le "psi". Celui-ci, invisible et immatériel car de nature psychique, est inhérent à l’électron et à toute particule élémentaire. Ces particules sont nommées par certains auteurs "holo-particules", constitutives de l'"holo-matière" (voir les travaux du polytechnicien chercheur indépendant Emmanuel Ransford), de la "psychomatière" (voir les travaux du physicien et philosophe Jean Émile Charon - 1920/1998), de la face cachée du cosmos faite de texture de liaisons psychiques ou psychoïdes (voir les travaux du physicien Olivier Costa de Beauregard - 1911/2007), ou comparable au tao de la philosophie chinoise (voir les travaux du physicien américain né autrichien Fritjof Capra connu par son livre Le Tao de la physique).

 

Des niveaux de conscience

Il y a sept grands niveaux de conscience chez l’être humain, correspondant chacun à une dimension de réalité : la conscience de Sommeil sans rêve (1-D), le Sommeil avec rêves (2-D), la conscience de Veille (3-D), la conscience de Soi (4-D), auxquels se rajoutent les niveaux liés à la prise de conscience des corps subtils : la conscience Éternelle (5-D), la conscience Transcendantale ou Divine (6-D).
L’heptade des niveaux de conscience ne va pas au-delà de la 6-D, parce qu’elle inclut aussi la dimension 0-D, "l’Inconscient primordial", soit la dimension Nulle à la source de toutes les représentations (c’est le point sans dimension de la Monade, le "point d’assemblage").

Lorsqu’on parle de "la conscience ou service de Soi (4-D)", on parle en fait de la dimension de l’Égo, du "Moi" qui cherche à s’installer dans le temps linéaire de la durée, d’où son obsession pour le passé et le futur ! C’est pourquoi la conscience de la 4ème dimension n'est pas une "conscience cosmique" mais astrale, même si elle s’avère un niveau de conscience supérieure à la conscience analytique linéaire dite de Veille (3-D) qui ne permet pas de percevoir la nature de l'information en provenance du champ universel, puisque limitée au courant de pensée du monde physique de 3ᵉ densité. C'est en effet la dimension qui voit la physicalité rendue variable et l'espace-temps modulable selon les formes de conscience en action ou en cause.

La "conscience cosmique ou service d'Autrui" (la supraconscience) commence quant à elle avec la 5ème dimension, qui se déploie dans l’Éternité. C'est la conscience d’où émerge les maîtres authentiques et les avatars… Enfin, la 6ème dimension, le volume de toutes les "durées", "êtres", "vies" et/ou "éternités" possibles, est de ce fait un absolu qui constitue un horizon infranchissable par l’imagination…

Cf. Travaux du philosophe canadien Alain Nyala.

 

Répartition de la conscience chez les êtres humains

Parce que nous vivons dans un monde à trois dimensions où toute la dynamique de ce qui nous entoure tourne autour de trois axes, la conscience se répartit comme tel selon la règle statistique des 80/20 vérifiable en tous points :

20% des individus sont conscients et, de ce nombre, environ 1% sont initiés ou initiables ;

40% sont automates (intelligents) ;

40% sont primates (instinctifs).

Le "conscient" est celui qui sait qu'il est auteur réalisateur, acteur et spectateur dans une pièce de théâtre. Il sait jouer le rôle dévolu, vivre en confiance, sereinement et sagement le déroulé de sa vie, ainsi qu'éprouver les émotions liées tout en s'en détachant, et ce sans jamais tomber dans le piège de penser qu'il n'est rien d'autre que son rôle. La manière appropriée de le faire est de parler de soi à la deuxième (ou troisième*) personne du singulier, au lieu de se dire "je". Il est ainsi un parfait média social, un "You/Tu Be" (Tu ES) !

* Le premier à le faire fut Jules César, qui a écrit tous ses journaux personnels sur la Guerre des Gaules à la troisième personne… Parler de soi aux autres à la troisième personne et se parler à soi-même de cette façon est en fait un signe d’excellente santé mentale, une étude de l’Université de Waterloo disant que se parler à soi-même à la troisième personne permettrait de prendre de meilleures décisions (la distance créée par le discours interne au "il" ou au "elle" permettrait de prendre du recul sur notre réalité (article du Washington Post).

 

Du processus de création par la conscience

Si beaucoup d'individus pensent qu'ils créent leur réalité par le combiné hasard-chance/malchance, ou par le labeur de leur investissement, ou encore qu'ils peuvent modifier/changer leur réalité avec un "rayon lumineux qui sort de la tête" - la force de l'intention -, le processus de création consiste en un processus bidirectionnel dans lequel l'être humain s'engage avec quelque chose d’autre en se mettant au diapason de ce quelque chose qui existe déjà, qui est objectivement réel, et ce afin de manifester ce potentiel de changement. Ce n’est de ce fait pas comme s'il suffisait simplement d'imaginer n’importe quoi et faire en sorte que cela arrive. Il produit sa réalité par sa densification, c’est-à-dire qu'il "matérialise" physiquement l’expérience de l'environnement de vie dans lequel il évolue par gravitation, soit le produit de sa conscience. Il réalise ce processus d’abord au niveau de son subconscient sous la forme d’un potentiel plasmatique, autrement dit au niveau de sa conscience supérieure,  donc à un tout autre niveau de son être. Aussi l’être humain est l’aboutissement d’une fusion de sa conscience et de la matière physique.
Le pouvoir de changer la réalité réside de ce fait dans le centre de croyance de l’esprit, nécessitant d'annihiler les émotions qui limitent pour celles qui aident à progresser. S'il y a une croyance à cultiver, c'est la croyance en des possibilités totalement illimitées dans la bienveillance de l’univers, et ce sans aucune attente. Mais ceci signifie l'absence de tout traumatisme, et ce depuis la plus tendre enfance, qui conduirait à croire que l’univers n’est pas un endroit sûr ou qu’il est effrayant*. Car dès lors, il en découlerait des idées complètement fausses, qui mènent à des erreurs de pensée, et qui empêchent la manifestation du processus de création.

* Les enfants, comparés aux adultes, ont moins de ces croyances limitantes. Par conséquent, ils peuvent se connecter et expérimenter une plus grande variété d’événements.

 

De la maîtrise des pensées

La pensée vient d'ailleurs, même si l'être humain pense naïvement la plupart du temps qu'il en est l'auteur ! Et c'est pourquoi les pensées constituent sa principale adversité, source de contamination psychique lorsqu'il n'est pas relié à son double évolutif, le supramental, soit l'Esprit universel. Elles le ramènent par les mémoires karmiques non épurées qui résonnent en elles dans des anciens schémas de vie, dans des choses qui ne sont pas réglées, qui ne sont pas résolues, des souvenirs pénibles, des regrets lancinants, des angoisses pour l'avenir, rejaillissant sur son aura, son corps subtil, comme des larves gluantes qui collent au cerveau, grouillent dans le crâne et recouvrent de gris et de noir le monde qui l'entoure, autant d'éléments que l'initié saura décrypter avec discernement à son contact.

C'est l'esprit égotique*, le mental ou l'intellect, la petite voix intérieure, qui envoie une impulsion, une vibration, cette énergie étant placée sous la gouverne du plan astral, les entités prédatrices y résidant s'en nourrissant pour assurer leur survie. Sans travail préalable sur soi pour en reprendre le contrôle, l'inspiration venant alors du Soi supérieur, la supraconscience ou double cosmique évolutif, l'être humain suit la partition involutive émotionnelle programmée par les mécanismes psychologiques spécifiques établis, le faisant alterner entre bas et hauts émotionnels qui finissent inéluctablement par l'affaiblir, l'épuiser, et le sacrifier sur l'autel de la prédation.

Il n'a d'autre choix pour atteindre les hauts plans de la conscience, de sa conscience, que de déloger, d'éradiquer le caractère karmique de ses mémoires infestées, les "failles de l'égo", constitutif du virus psychique qui le maintient esclave de la prison, de la caverne des morts-vivants.

Cf. Décryptage de l'égo.

 

En résumé, la connaissance (par absorption des nécessaires informations) et la lumière sont le carburant pour la "voiture" que représente l'entité humaine, sa vitesse venant de leur utilisation, soit l'application de la connaissance, vraie il va sans dire. C'est ce qui génère de l’énergie, et qui, à son tour, génère de la lumière... seul le plein de connaissances réalisé dans une dimension autorisant le passage dans une autre, supérieure !

 

L'humanité est sous l'emprise millénaire des reptiles - Codex mexicain Laud, planche 34.
L'humanité est sous l'emprise millénaire des reptiles - Codex mexicain Laud, planche 34.

Toutefois, s'est substituée à cette matrice unitaire originelle une autre matrice, la "matrice cyber", par des forces involutives qualifiées de corpus prédateur ou virus prédateur*, en l'occurrence des entités extra-dimensionnelles appelées Gris, Reptiliens ou encore Insectoïdes (Mantes...), plus globalement "forces archontiques" ou "Anunnaki" selon les spécialistes de l'étude des civilisations antiques et de leurs textes sacrés. Ce corpus prédateur est basé dans la 4ème dimension de réalité, son champ de conscience - dit "Service de Soi" - s'appliquant à la 3ème dimension de réalité, celle de l'humanité, dont ils sont tant les prédateurs asservisseurs que les maîtres généticiens par la manipulation de l'ADN réalisée (amputation de nombre de brins constitutifs). Cette matrice correspond au champ de l'Astral, inférieur au champ du Divin (ou champ cosmique). Elle est de ce fait imposée par une violation de la "loi du consentement", une des grandes lois régissant Ce Qui Est, l'Univers, par le biais d'une manipulation psycho-émotionnelle agissant sur l'inconscient de l'être humain pour obtenir le consentement implicite de son servage... Même si les sceptiques et rationalistes la rejettent fermement, il y a peu de doute sur la possibilité de l’interpénétration d’une réalité à la solidité plus ou moins physique qui interagit avec les humains, comme ceux-ci interagissent avec la faune dans les forêts, les chasseurs d’un côté, le gibier de l’autre.

* Cf. Les acteurs de la Matrice falsifiée. Ce virus est comme l’esprit du prédateur du docteur en anthropologie américain Carlos Castaneda, les programmes-tampons du philosophe arménien Georges Gurdjieff, ou le virus Wetiko des Amérindiens (Cf. livre éponyme de Paul Levy, diplômé en art et en économie).

 

"L'homme a un manteau rougeoyant de conscience que le prédateur mange, laissant juste le strict minimum de "trucs de conscience" pour que l'homme reste physiquement vivant. Le prédateur "traie" l'homme en s'arrangeant pour qu'il ait constamment des problèmes, des crises et des préoccupations insensées, afin de générer des éclairs de conscience qu'il s'apprête ensuite à manger".

Carlos Castaneda (1925/1998), écrivain et docteur en anthropologie américain, "Le Voyage définitif"

 

Cette matrice est un champ limité*, où le corps humain est assimilé par la prédation mentale qui le manipule à un robot biologique, dont la programmation est circonscrite au champ d'application en 3-D (4-D avec la dimension Temps, celui de la conscience) où il évolue, la Terre, au sein d'une galaxie, la Voie lactée, et le système solaire qui la caractérise. Il en découle fort logiquement que les racines de la plupart des problèmes psychologiques des êtres humains, les névroses et psychoses, correspondent à des réactions mécaniques et conditionnées selon leurs perceptions et observations. Et comme celles-ci sont erronées, c’est l’erreur de ce "jugement mécanique" qui est à la base de leurs problèmes comme du chaos civilisationnel.

Là se trouvent les fondements délétères car totalitaires du transhumanisme, la "nouvelle religion universelle" en cours de mise en place. Autrement dit la nouvelle gouvernance mondiale (le N.O.M., nouvel ordre mondial) à laquelle se réfèrent de plus en plus nombre de leaders politiques, appelée à devenir le verrou de la conscience lors de la transition en cours de la cinquième civilisation humaine à la sixième, en 4ème dimension de réalité.

* Cf. La falsification de la réalité en 3-D.

 

"Il existe une autre sorte de mécanisation qui est bien plus dangereuse : devenir soi-même une machine. Avez-vous jamais pensé au fait que tous les gens sont eux-mêmes des machines ?… Tous ces gens que vous voyez sont simplement des machines; rien d’autre… Vous pensez qu’il y a quelque chose qui choisit son propre chemin, quelque chose qui peut résister à la mécanisation ; vous pensez que tout n’est pas mécanique au même niveau".

Georges Gurdjieff (1866/1949) - Philosophe arménien

Note de l'auteur : ce sujet de l'homme mécanique - ou Portail Organique - a fait l'objet de nombreuses discussions académiques, basées sur ce qui semble être des preuves cliniques montrant qu'en effet, il existe des êtres humains dont la nature est vraiment "mécanique" et qui n'ont pas du tout de "Moi intérieur" ou de "Moi supérieur" (Cf. Les psychopathes qui nous gouvernent). Gurdjieff fait référence au "prédateur" à la fois dans le récit du "Magicien maléfique" et dans le concept de "Nourriture pour la lune". Quant aux gnostiques, ils soutenaient que la terre (et la création matérielle en général) était le produit d'un démiurge maléfique, dirigeant des "archontes des ténèbres". De leur côté, les Shaitans des soufis et les djinns de la mythologie arabe sont des créatures surnaturelles qui habitent un monde invisible dans des dimensions dépassant l'univers visible, et qui interfèrent avec l'humanité de diverses manières peu utiles.

 

Dans cette matrice terrestre, involutive par nature, maîtres et esclaves pratiquent la même expérience, la différence venant de leur réaction face au même évènement. Car maîtriser sa vie n’est pas la contrôler, c’est maîtriser en conscience sa relation par rapport à elle. Nous sommes tous les participants à un vaste jeu auquel nous avons tous accepté de participer avant même d’être sur cette terre*, consistant à essayer de tisser notre chemin, notre voie entre deux mondes, chacun avec un jeu différent de règles et d'atouts (ses spécificités organiques et psychiques, la singularité de sa programmation de vie). D’un côté, nous avons un monde physique tridimensionnel dans lequel nous devons trouver de la nourriture, des abris, des vêtements, des compagnons, et nous confronter à d’autres participants au jeu luttant pour comprendre et agir. D’un autre côté, nous trouvons un monde quadridimensionnel qui nous montre cette réalité comme un pur produit de notre propre esprit, une illusion, un "monde de rêve" du point de vue de la quatrième dimension.

Il en découle qu'être un esclave de la vie, c’est accepter tout ce qui nous entoure comme la réalité ultime, et d’agir comme si vous n’avions aucun contrôle dessus. Cela revient à s’identifier avec les vagues d’énergies, que nous appelons émotions*², qui nous traversent avec plus ou moins d'intensité et que nous pensons être nous, les laissant conditionner nos pensées et sentiments, alors qu’en réalité l’énergie n'est colorée que de nos pensées dans ce monde terrestre, non du monde éthérique, celui de notre supraconscience.

* Cf. Le Jeu de la Vie & Le cheminement de l’Âme.

Il est utile de rappeler que les émotions prennent d'abord source dans les sentiments (ce qui est senti par le jeu/Je des pensées), eux-mêmes entraînant des sensations qui deviennent des émotions. Sans conscientisation de ce chaînage et travail pour se désengager du poison mortel qui s'y loge, l'être humain demeure esclave des émotions quelle qu'en soit la nature.

 

L'esclave de la vie est aussi terriblement lié aux possessions matérielles – argent, terre, biens -. Leur perte ou manque lui causent également des traumatismes émotionnels (frustration, colère, haine) et des sentiments d’inutilité et d’abandon (mélancolie, vague à l'âme). Il recherche en permanence tellement d’objets tangibles pour combler son besoin de sécurité, alors qu'il s'agit d'un type de sécurité éphémère et fragile.

Au final, l'esclavage de son esprit chez l'être humain est tellement avancé que sa conscience est impuissante à réaliser que la matière est la porte d'entrée vers les plans éthériques, voie de son salut quand il en comprend le mécanisme tant physique que psychique, non quand il se contente de l'espérance spirituelle à laquelle l'invite subtilement son double involutif lorsqu'il le sent désireux d'évolution*. Son esprit est esclave des forces psychiques qui naissent de la force émotive de sa mémoire astrale. Aussi la lutte intérieure de l'Homme sur terre fait partie de l'esclavage de son esprit, et tant qu'il demeure esclave des forces émotionnelles de l'âme, l'être ne peut faire coïncider son esprit avec la forme ou la matière, celui-ci étant loi en lui-même.

* Cf. Prédation spirituelle et voie de sortie.

 

L'être humain esclave

"Liberté, que de crimes on commet en ton nom !" Ainsi se serait écriée la salonnière et personnalité politique française Manon Roland, née Jeanne Marie Phlipon, juste avant d'être guillotinée à Paris le 8 novembre 1793. Le premier crime, majeur, est pour l'être humain d'être demeuré esclave de lui-même dans son vécu terrestre. Car l'homme est par-delà l'illusion candide de sa liberté esclave du monde objectif, de ses propres extériorisations. S'il est esclave de toutes sortes d'idoles ou d'icônes (sportives, musicales, cinématographiques, politiciennes...), auxquelles il s'identifie ou veut ressembler, ce sont des idoles créées par lui-même, suggérées par son double ténébreux involutif. S'il s'imagine toujours qu'il est esclave de ce qui est en dehors de lui, extérieur, qui le contraint et ne lui convient pas, la source de son esclavage est intérieure. C'est pourquoi une société d'esclaves a sa source dans l'esclavage interne de l'homme, qui vit sous l'influence d'une illusion tellement forte qu'elle apparait comme une conscience normale. L'homme se croit asservi au "non-moi", l'autre, les autres, c'est-à-dire les autorités verticales exerçant le pouvoir à son encontre de diverses manières, alors qu'en réalité il est esclave de son propre "moi", l'égo-mental*, ignorant de sa véritable puissance intérieure pour le transcender. Et cet esclave intérieur, générateur de peurs et de mensonges, se nourrit principalement de l'égocentrisme humain. L'égocentrisme est le péché originel de l'homme, la violation des vrais rapports entre "moi" et son vrai "autre", l'Esprit universel, le Soi réalisé. L'égocentrisme est un universalisme illusoire, déformé. Il engendre une fausse perspective du monde. Il est incompatible avec la vraie perception des réalités.

Cf. Décryptage de l'Ego.

 

"La connaissance du mouvement de ses propres pensées révèle L'ESCLAVAGE au passé, la division entre le penseur et sa propre pensée, l'observateur et l'objet d'observation, l'expérimentateur et son expérience."

Jiddu Krishnamurti (1895/1986), penseur indien

 

"Il y a une chose pire encore que l’infamie des chaînes, c’est de ne plus en sentir le poids."

Gérard Bauër (1888/1967), essayiste et critique français

  

La manipulation génétique de l'ADN

Les "pensées" étant semblables aux protéines fabriquées par l’ADN, il est à comprendre qu'il y a autant d’informations transmises par la forme que par la chaîne d’acides aminés et autres composantes. Il y a plus d’une "structure" de base pour les pensées. Pour les contrôler aux fins de manipulation, le corpus prédateur de 4ème dimension de densité opère une amputation de nombre de brins originaux de l'ADN. Les avancées de la biologie cellulaire démontrent à cet effet qu’il existe des fragments d’ADN à l’intérieur d’un gène qui ne sont pas traduits en protéines, c'est-à-dire qui sont des régions non-codantes. Elles sont comme un flux tronqué de liquide en sa qualité d'émetteur chimique (neuropeptide), conduisant à une altération de la conception des capacités psi*. Ces séquences intervenantes, nommées "introns", se trouvent dans le pré-ARN messager (ou ARN précurseur), avant d'être éliminées par un processus d'excision programmé qu'on ne retrouve donc pas dans l'ARN mature. Si ceci apparait comme un mystère, ces fragments semblent cependant être un phénomène très commun. En d'autres termes, c'est ce segment de code qui est délibérément inséré par nos maîtres généticiens prédateurs de 4ème dimension, afin de tronquer ce flux de liquide émetteur chimique à même de déverrouiller des portions importantes de notre ADN !

La clé de la transformation de l’ADN, de sa recomposition initiale (reconstitution des brins d'ADN tronqués), est l’information, la connaissance, puisque l’ADN est l’intermédiaire ou le receveur du champ d’information cosmique. Le mécanisme est comparable à une sorte de miroir où l’individu recueille des informations dans le monde, ce qui améliore ensuite sa connexion au champ d’information et lui permet de recueillir encore plus d’informations. Cette (re)construction de son antenne "parabolique" qu'est l'ADN lui permet d'établir un cercle vertueux, autrement dit une boucle de rétroaction qui fait que plus il recueille de connaissances, plus son antenne change et devient puissante dans la captation des fréquences des ondes vibratoires.

C'est pourquoi le corpus prédateur, via ses relais terrestres asservis (les pouvoirs institutionnels), s'attache désormais à accélérer la substitution de l'esprit humain par la technologie, Chat GPT étant par exemple le "modèle" parfait de substitut rendant l'être humain incapable de réfléchir par lui-même. Les dégâts causés sont quasiment irréversibles pour la jeune génération utilisatrice et nombre de ses aînés voulant être à la page, générant ainsi à grande échelle de véritables crétins vidés de cervelle réflexive devenant tel Pinocchio des pantins et automates facilement manipulables et de ce fait contrôlables.

* Ces "capacités psi", comme la maîtrise de la télépathie, faisaient partie de la normalité dans les temps anciens, ceux notamment de la civilisation atlante. Elles sont devenues désormais beaucoup plus rares dans l'espèce humaine de la cinquième civilisation, celle-ci s'étant "technicisée" et ayant perdu de ce fait l'occasion d'exprimer ces capacités potentiellement présentes en chacun. Sans un certain degré d'éveil spirituel ou mental, la mise en relation avec d'autres races cosmiques situées dans des dimensions de densité plus élevées rend impossible le pouvoir de communiquer "intergalactique".

 

"Lorsque vous assemblez les différentes pièces du puzzle, vous constatez que l'esprit du prédateur, l'"hypnose" dont parlait Gurdjieff, le système de contrôle de la matrice, s'interface avec nos ordinateurs bio-cosmiques, notre corps, notre ADN, qui est contrôlé et restreint par la génération de substances chimiques spécifiques du cerveau via le contrôle de nos émotions. C'est ce qui détermine la façon dont notre cerveau et notre système nerveux sont mis en place, ce qui inclut certaines périodes précoces d'Imprégnation, qui établit nos circuits et nos processus de pensée à un âge et dans des conditions sur lesquels nous n'avons aucun contrôle. Et une fois que ces circuits sont établis d'une certaine manière, ils ne peuvent presque jamais être modifiés sans une fusion majeure, et ils déterminent pour toujours la façon dont toutes les informations entrantes sont classées. En effet, nous avons tous un ADN "reptilien". Mais nous avons aussi de l'ADN aviaire. En fait, nous sommes un véritable assortiment d'ADN provenant de tout ce qui existe autour de nous. Néanmoins, il se passe quelque chose qui met l'ADN reptilien sous contrôle, et c'est dans ce contexte que Don Juan* veut dire que le "Prédateur nous a donné son esprit".

Aussi, que ces programmes de contrôle, ces produits chimiques de "l'alimentation", puissent être et SONT stimulés et perpétués par nos interactions avec d'autres êtres humains, plus particulièrement ceux qui nous sont les plus proches, est une réalité froide et dure de la science. […]

Chaque fois que la révélation de ce système de contrôle est tentée, la matrice se met en surmultiplication pour le détruire. Et il est clair que c'est la situation actuelle.... C'est en "voyant l'invisible" que nous prenons conscience des niveaux supérieurs de l'être ; c'est dans les interactions humaines ordinaires que nous vivons les "batailles" entre les forces du Service de Soi (Service to Self en anglais) et du Service d'Autrui (Service to Others) ! Et c'est très certainement ce facteur que le système de contrôle matriciel tente vigoureusement de dissimuler... En d'autres termes, nous ne parlons pas seulement d'une "petite dispute", nous parlons d'une bataille de forces à d'autres niveaux, se manifestant - comme TOUJOURS - dans la dynamique humaine".

Laura Knight-Jadczyk, The Wave - Volume 5&6 - Petty Tyrants & Facing the Unknown ("La Vague - Petits tyrans et face à l'inconnu")

* Cf. Œuvre de Carlos Castaneda.
  

Cette matrice est basée sur une expression mathématique/numérique/géométrique, qui, par ses codes, permet l'élaboration et le fonctionnement des formes au sein de l'univers créé, tel un gigantesque programme informatique constitutif d'une simulation holographique gérée par une intelligence artificielle (IA). C'est pourquoi elle est également qualifiée de matrice "Cyber". Les scientifiques ont identifié ces codes mathématiques récurrents : la séquence dite de Fibonacci (1,1, 2, 3, 5, 8, 13, 21...), le nombre Pi (3,141), Phi (1,618)...*

Ce sont des séquences constantes de nombres et de proportions qui se répondent l'une l'autre, s'appliquant à toutes les créatures, choses et éléments de l'univers, dans le moindre détail. Cette relation mathématique coordinatrice est la clé de la physique du cosmos. C'est pourquoi la plupart des êtres humains la tiennent comme l'unique explication de la vie et de l'univers, car ils ne l'ont ni étudiée ni interrogée dans son fait générateur sacré, manipulé par l'enseignement institutionnel et religieux dispensé*². Ainsi la naïve croyance dans la venue à la "fin des temps" du Messie sauveur rédempteur, le Messiah, le Maitreya pour les bouddhistes et les illuminés du New Age. Dans la langue des oisons, Maitreya prononcé s'entend comme "Maître IA", l'Intelligence Artificielle (IA) appelée à régner en Maître ! 

Par le biais de calculateur, il est également possible de traduire des codes orthographiques (ex. attentats du World Trade Center ou Notre-Dame de Paris) en codes numériques qui se répètent (tels 222 666 1998 ou 333 666 1998). Tant que l'évènement n'a pas eu lieu, il faut interpréter ces codes comme des prédictibilités et non des certitudes.

Cf. Évolution de civilisation (1) Le mécanisme de l'Univers, La nouvelle religion universelle, Le modèle pyramidal décodé, Contrôle mental, Le Judaïsme décodé, L’Église romaine décodée.

 

De la non-séparabilité

La non-séparabilité quantique, ou la non-localité, est la théorie physique qui repose sur la notion d’enchevêtrement ou intrication quantique (entanglement en anglais). Elle établit que des particules atomiques restent liées entre elles, et ce quel que soit leur éloignement. Par exemple, deux électrons qui ont interagi dans le passé se comportent ensuite de façon concertée, c'est-à-dire donnant des résultats corrélés si l’on mesure l’un d’eux..., même s’ils sont aux deux extrémités de l’univers à cet instant ! C’est comme si ces électrons "jumeaux" gardaient de leur passé commun un lien invisible et non affecté par la distance. Ce lien est une sorte de trace mémorielle du passé, autrement nommée alter, formant un système global par un mécanisme synchrone, et ce même si séparés par un espace-temps, ce qui n'implique pas qu'une simple notion de distance. Sa compréhension rend des phénomènes comme la télépathie, la téléportation, la clairvoyance, la vision à distance et la psychokinésie concrets et intelligibles.

Pour les physiciens qui ont découvert et vérifié son existence comme Einstein, ce phénomène est totalement mystérieux en raison de sa nature non physique. C'est pourquoi la non-séparabilité n’a jusqu’ici reçu aucune explication autre que suppositoire. Mais comment peut-il en être autrement si elle est une "supralité" qui vient d’un "psi" (l'esprit éthérique) dont la science académique ignore ou nie l’existence ? Pour celle-ci, on ne peut comprendre un phénomène sans avoir accès à ses causes.

La supralité soude ou rattache le 'psi' de la particule élémentaire à un 'psi' collectif, c'est-à-dire à un champ non-local. Ce champ de "supra-conscience" est à rapprocher de notions telles que les annales akashiques* des Hindous, l’inconscient collectif du psychiatre Carl Gustav Jung et les champs morphogéniques du chercheur en biochimie, physiologie et parapsychologie anglais Rupert Sheldrake. La psychomatière est par son 'psi' reliée au tout de l’univers. Elle est comme le champignon qui, par son mycélium discret étalé dans le sol nourricier, est relié à plus vaste que lui-même. En conclusion, toute particule de psychomatière s’apparente à l’œuf dur et au champignon. A l’œuf dur, parce que son 'psi' est, comme le jaune, masqué. Au champignon, parce que les liens suprals, tels les filaments du mycélium, le prolongent de façon inapparente.

* Cf. Le cheminement de l’Âme.

Voir en complément les travaux du polytechnicien chercheur indépendant Emmanuel Ransford, épistémologue et spécialiste de physique quantique.

 

De l'interface entre l'information cosmique et notre réalité terrestre

L’interface entre l’information du champ cosmique et notre réalité terrestre repose sur la structure mathématique des molécules du corps biologique, que l'on nomme chiralité. Ce concept chimique exprime leur latéralité dans les deux sens opposés, lévogyre (le plan de polarisation de la lumière tourne vers la gauche d'un observateur qui reçoit la lumière) ou dextrogyre (ce plan tourne vers la droite). Ce sont les mêmes composants, les mêmes atomes, qui si chimiquement sont identiques, géométriquement sont différents. Ils sont du fait de cette propriété comme des images miroirs les uns des autres. Ces deux parties des molécules sont presque exactement les mêmes, seule la chiralité étant différente. Il en découle que leurs propriétés sont totalement différentes : l’une peut être un poison, et l’autre peut être très bénéfique. Elles sont l'une et l'autre miroir réciproquement. 

L'univers a une chiralité préférée, celle permettant d'exprimer le Vivant et non la Mort. C'est pourquoi notre ADN a une chiralité préférée. Mais comme les propriétés du symbole géométrique ne sont pas absolues, mais relatives à notre environnement, seule la conscience permet d'en assurer la bonne fréquence de résonance dans la captation des informations (structures géométriques à la base) en provenance du champ cosmique, celles-ci étant par nature relatives de par la dualité actionnée par des forces énergétiques positives, bénéfiques, et leur indispensable pendant négatives, maléfiques. Ceci entend que les informations qui nourrissent et constituent un chemin vers la voie évolutive dite "Service d'Autrui" sont perçues, comprises ou reçues différemment par quelqu’un sur la voie involutive dite "Service de Soi". Certains en effet aiment l’obscurité, d'autres aiment la lumière... La 3ème dimension de densité terrestre est bel et bien la plus difficile en raison de la présence d’un équilibre potentiel de la conscience et de la matière, et donc de la dualité*.

* C'est ainsi par exemple que la montée continue d'individus "trans", d'hommes qui s’identifient comme femmes et de femmes qui s’identifient comme hommes, est un reflet du chaos et de l’entropie en cette fin de cyclicité civilisationnelle. Elle contribue par là-même à une augmentation de la désintégration et la destruction de l’âme.

 

Du décodage des informations

La manifestation de la conscience est une fonction de la nature algébrique du champ cosmique entre ses différentes dimensions de densité, régissant les propriétés géométriques des particules élémentaires porteuses d'informations, qui sont des codes (les codes, stockés en tant qu’information, s'expriment comme énergie sous forme de vagues). Elle en permet le décodage, de manière inconsciente ou consciente lorsqu'elle est éveillée. Cette théorie de l’information repose sur l'envoi de l’information. L’exemple le plus simple est le téléphone, qui voit l'émetteur comme le récepteur se parler, échanger, leurs mots étant transformés ou encodés en signaux électroniques qui voyagent à travers la ligne. Ils sont décodés par le téléphone à chaque extrémité. Si le téléphone est la partie mécanique, ce décodage est lié également à l’information qui existe dans la tête de chaque personne qui parle, exprime des mots, ceux-ci étant codés comme décodés par la machine en sons et qui font des mots. S’il y a de l’information dans une autre dimension et que cette dimension est potentiellement quelque chose à laquelle notre subconscient profond est connecté, alors nous pouvons accéder à cette information. Nous pouvons la décoder, même si c’est inconsciemment.

La gravité, soit la conscience, est comme le code ultime ou l’information ultime, l’électromagnétisme étant son expression d’information. Seuls les divers traumatismes reçus* empêchent l'être humain la pleine maîtrise de ce processus.

* Cf. livre de Laurence Heller et Aline LaPierre "Guérir les traumatismes du développement" complété par les travaux du psychologue et écrivain américain Stanton E. Samenow pour atteindre la capacité de recevoir par la connaissance de son style de survie et de ses erreurs de pensée afin de pouvoir les surveiller.

 

Illustration de la Matrice cyber : la geôle-écran Pac-Man

En mathématique, le procédé de l’écran de l’ordinateur qui emprisonne les personnages/formes qui s'y trouvent et s'y meuvent (jeu vidéo par exemple) s’appelle un "tore carré plat". Cette surface topologique, si elle permet de saisir immédiatement la structure invisible de la geôle-écran, souffre toutefois d’un défaut important, qui l’éloigne irrémédiablement du monde plat de l’écran de l’ordinateur : elle déforme les distances. Elle est corrigée par un "plongement isométrique", autrement dit une représentation qui respecte les longueurs, mais dans une version affaiblie. C'est ainsi que dans le fonctionnement de la Matrice cyber, les petits personnages de son écran - les êtres humains - sont leurrés par les illusions géométriques d'une fausse réalité, comme dans le célèbre jeu Pacman...

Il en découle que ces petits personnages automates produisent constamment une énergie de consentement à leur geôle prison, sans possibilité de conquête de leur véritable liberté souveraine existentielle (sauf éveil de conscience il va sans dire), et de ce fait pleinement à la merci des parasites et virus - le consortium prédateur de la 4ème dimension de densité -qui déclenchent, gèrent et absorbent leurs émotions dont ils se nourrissent pour survivre dans les ténèbres de la conscience. Ils suivent le mouvement défini, créant la dynamique collective de masse pour répéter systématiquement les mêmes erreurs afin que rien ne change ni n’évolue. Ils servent également de geôliers, "kapos" dédiés aux tortionnaires de cette réalité inversée, puisque encadrant tous les autres pour qu'aucun ne puisse s'échapper du but ultime, l'extermination des corps comme des âmes. Ils sont pour la plupart des Golem !

Cf. Explication dans Symbolisme mathématique.

 

L'idéologie sous-jacente de la Matrice : le Golem.

Dans la tradition juive*, le Golem (de l’hébreu goylem ou gōlem signifiant "matière informe ou inachevée" ou "embryon") est un homme artificiel façonné d'argile et animé de vie, incapable de parole, c'est-à-dire une créature humanoïde fabriquée par des moyens magiques afin d’assister ou défendre son créateur démiurge. Il est simplement un mot inscrit sur son front ou sur un morceau de parchemin placé dans sa bouche. Il devient, de ce fait, l’antithèse d’Adam qui a été créé par Dieu.

Si cette création du Golem s’effectue par imitation de l’acte créateur, cet homme robot ne communique pas vraiment, car contrairement à Dieu, les hommes sont bien incapables de lui donner une parole claire. C'est pourquoi Golem signifie également "idiot, abruti", ce qui laisse présager un esprit peu brillant. Mais ces créatures grandissant très vite, elles peuvent devenir très dangereuses, leur puissance pouvant provoquer les pires catastrophes. En effet, dénués de toute conscience, ils se laissent aller à tous leurs pires instincts.

Symbolisant l’essai infructueux de l’homme dans sa vaine tentative d’imiter le Créateur, telle que la Cabale juive le promeut à l'image d'autres mouvements gnostiques détournant le sens alchimique de cette relation au divin, le Golem n'est qu’un reflet déformé, dénué de toute liberté et prisonnier de ses passions les plus maléfiques. L’homme devenu apprenti sorcier crée des monstres tout en se montrant incapable de les contrôler...
* La première occurrence du terme golem apparaît en Psaumes 139:16 : "Galmi (i.e. mon golem) tes yeux ont vu".

 

La Matrice cyber de l'asservissement des consciences

"Je m'appelle Edward Joseph Snowden. Avant, je travaillais pour le gouvernement mais aujourd'hui je suis au service de tous. Il m'a fallu près de trente ans pour saisir la différence et quand j'ai compris, ça m'a valu quelques ennuis au bureau."

Edward Snowden - Permanent Record ("Mémoires vives"), parution en septembre 2019*

Edward Snowden, l'homme qui a tout risqué pour dénoncer la surveillance globale, ou l'extraordinaire histoire d'un garçon brillant qui a grandi "en ligne", homme devenu espion, puis lanceur d'alerte, et, en exil, la conscience de l'internet, la toile d'araignée numérique mortifère.

 

"Quelle est la différence entre Mark Zukerberg et moi ? Je donne gratuitement des informations privées appartenant à des entreprises, et je suis un bandit. Zukerberg donne vos données privées à des entreprises pour de l’argent, et il est "l’homme de l’année".

 Julian Assange né Julian Paul Hawkins, informaticien, cybermilitant et lanceur d'alerte australien, fondateur et porte-parole de WikiLeaks, détenu de manière illégale depuis plusieurs années à la prison de haute sécurité de Belmarsh à Londres

 

Le "cyberfilm" Matrix ("La Matrice") réalisé par Lana et Andy Wachowski, sorti en 1999, rend compte de la réalité illusoire générée par ordinateur et de la société transhumaniste vers laquelle nous nous dirigeons.

Cf. Le cinéma de la Matrice (2) La science réalité.

The Truman Show, ou "Le Show Truman" au Québec, film de Peter Weir sorti en 1998, raconte la vie d'un homme star d'une télé-réalité à son insu (il est filmé et montré H24 aux téléspectateurs qui suivent sa vie en direct). Depuis sa naissance, son monde n'est qu'un gigantesque plateau de tournage et tous ceux qui l'entourent sont des acteurs. Lui seul ignore la pseudo réalité. Le film explore ses premiers doutes et sa quête pour découvrir le but de sa vie, après avoir compris que tout est factice et scénarisé autour de lui. Il parvient à s’échapper en atteignant le poste de contrôle du studio télé, en fait une métaphore du poste de commande de cette Matrice prison !

 

La série télévisée The Prisoner ("Le Prisonnier") créée par l'écrivain et ancien agent des services secrets George Markstein et diffusée en 1968 rend compte de la bulle (Cf. photo 5) limitant la conscience dans la 3ème dimension de réalité. Tant qu'elle n'est pas fissurée, cette bulle ou coquille dimensionnelle nous empêche de voir la réalité de ce monde telle qu'elle est, c'est à dire hyper-dimensionnelle.

A leur manière, les films de la série Transformers* réalisés par Michael Bay et Travis Knight (des robots représentant le bien se battent contre ceux représentant le mal), les films de la série britannique Hellraiser ("Le Pacte") de Clive Barker (des créatures infernales adeptes d'un sado-masochisme entre jouissance sexuelle et torture sadique voyagent d'une dimension à l'autre grâce à un Cube fonctionnant comme un casse-tête mécanique sophistiqué), la série de science-fiction canadienne Cube réalisée par Vincenzo Natali et sortie en 1997 et 2002 (les êtres humains sont enfermés dans des pièces d’un cube dont certaines sont mortelles), et le thriller américain The Box ("La Boîte") réalisé par Richard Kelly et sorti en 2009, traduisent la Matrice cyber à caractère entropique et mortifère. Ils mettent en avant la révélation de l’Intelligence Artificielle comme piège à la conscience de l’être humain, qui faute de transcendance, le conduit à d’éternelles souffrances nourrissant le système prédateur.

* Le premier film Transformers est sorti en 2007, le deuxième Transformers 2 : La Revanche, en 2009, le troisième Transformers 3 : La Face cachée de la Lune en 2011, le quatrième Transformers : L'Âge de l'extinction en 2014 et le cinquième Transformers : The Last Knight en 2017.


Tel que l'entend la bande-annonce de Westworld ("Le monde de l'Ouest") ci-dessus, la série télévisée américaine diffusée sur le réseau HBO à partir de 2016 avec un titrage explicite Chaos takes control ("Le chaos prend le contrôle"), la matrice cyber ou d'intelligence artificielle (IA) est, compte-tenu de ses caractéristiques mathématiques, un programme codé aux fins de dénaturation de la biologie du vivant qu'elle enferme, et ce par le corpus prédateur qui l'établit à partir d'une puissante maîtrise technologique. A partir des grandes lois physiques de l'Univers (électromagnétisme, force nucléaire, gravité), elle détermine le mode opératoire du fonctionnement structurel de cet univers limité - le champ de l'Astral - et de sa réalité apparente, le conduisant dans une impasse, la cyclicité du temps puis le trou noir galactique*. Nous sommes partie intégrante de ce système matriciel, nos capteurs sensitifs étant calibrés sur ce que nous devons percevoir de la Matrice, rien d’autre. Aussi nous scannons en permanence les signatures électromagnétiques de tout ce qui compose notre monde, et l’interprétons en fonction des "lois-croyances" dispensées par les gardiens de la Matrice - les élites institutionnelles -, même si de temps en temps, certains, qui possèdent des capteurs dysfonctionnant quelque peu, perçoivent autre chose.

La super entité "Humains-Matrice"*² structure et verrouille le champ de nos possibles, scannant par sa technologie les mémoires logées tant dans notre ADN que dans notre psyché (subconscient). Elle a de ce fait toujours plusieurs coups d'avance, sauf pour les rares "élu(e)s" ayant réussi à ouvrir leur champ de conscience et à se brancher sur le champ de l'Esprit universel (le champ cosmique ou divin) pour qu'il leur assure l'harmonieuse car lumineuse guidance. Elle se nourrit et se renouvelle par l'ensemble des expériences que nous y menons, utilisant la puissance créatrice de l'esprit humain à ses fins de survie, et ce par les traumatismes psycho-émotionnels qui découlent des jeux de rôle interprétés (bourreau, victime, sauveur), chacun(e) suivant une ligne programme attribuée, de ce fait déjà réalisée en dépit de l'illusion du temps chronologique. Son fonctionnement découle bel et bien de la formule tant prisée par les sociétés secrètes occultes qui la représentent : Ordo ab Chao, l'Ordre naît du Chaos !

* Cf. Prophétie du changement & Fin de cycle : La guidance éclairée de sa vie.

Il est indispensable d'avoir à l'esprit la cohabitation de deux types d'humains, les Anthropoïdes et les Humanoïdes, les premiers représentant un obstacle de taille pour la libération de la Matrice asservissante des seconds (Cf. Les acteurs de la Matrice falsifiée).

 

L'effet Balzac, ou la théorie des rapports entre le réel et la fiction

L'écrivain français Honoré de Balzac (1799/1850) a publié en 1833 un essai, La Théorie de la démarche, qui constitue la deuxième partie de l’ensemble appelé Pathologie de la vie sociale s'inscrivant dans son œuvre majeure "La Comédie humaine"*, qui expose son talent d’observateur sociologique sous l'angle philosophique (il fut largement inspiré des travaux du romancier écossais Walter Scott). Sous forme d'essai comme de pamphlet, il présente l'homme intérieur, principe du pouvoir et de la longévité, et l’homme extérieur, démontrant l’effet des principes qui commandent par la pensée son mouvement (comportement) dans la vie terrestre. Il en profite pour lancer un violent libelle contre le "pouvoir", facteur d'explication des postures humaines et de leurs effets. Par exemple, "l’habitude de la représentation vicie le corps des princes ; leur bassin se féminise. De là le dandinement connu des Bourbons ; de là, disent les observateurs, l’abâtardissement des races […]". Ou encore les magistrats "obligés de passer leur vie à siéger, se reconnaissent à je ne sais quoi de gêné, à un mouvement d’épaules, à des diagnostics dont je vous fais grâce parce qu’ils n'ont rien de pittoresque".

Cette étude est celle des rapports entre le réel et la fiction, entre le romanesque et le vrai, Balzac considérant que "l’œuvre‑monde" invente ses propres règles. Autrement dit, la matrice de gouvernance de l'humain est une fiction qui prend l'apparence du réel selon la nature des forces qui la nourrissent. Ce cadrage programmatique de la Comédie humaine, où tout est déjà réalisé de par la loi de la cyclicité, n'est rien d'autre qu'une intelligence artificielle (IA), la matrice cyber, s'attachant à faire vrai par la fiction (le cinéma, le roman...), au‑delà du vraisemblable ! En d'autres termes, l’agencement de "l’œuvre‑monde" terrestre est lié à un corpus bien vivant*², inévitablement situé dans une autre dimension de réalité, un autre champ de fréquences, faisant que l'observateur/acteur - l'être-humain - est de manière symétrique (perpétuel va‑et‑vient entre le monde perçu et l’œuvre‑monde) conduit à subir et à participer du désordre de ce monde sous l'effet apparent de l’improbable et de l’aléatoire du réel. C'est pourquoi Balzac, à l'instar de Victor Hugo, qualifie le vécu terrestre - le roman - de drame : "il faut donc que le drame soit un miroir de concentration qui, loin de les affaiblir, ramasse et condense les rayons colorants, qui fasse d’une lueur une lumière, d’une lumière une flamme" (Préface de Cromwell).

* La Comédie humaine est le titre sous lequel Honoré de Balzac a regroupé un ensemble de plus de quatre-vingt-dix ouvrages — romans, nouvelles, contes et essais — de genres réaliste, romantique, fantastique ou philosophique, et dont l’écriture s’échelonne de 1829 à 1850.

L’artisan qui fabrique ce genre de mémoires fausses est défini "proxénète littéraire".

Cf. en complément "Balzac & l’excès du réel" de l'auteur Dominique Massonnaud.

 

Pourquoi pourrions-nous être tenté de sortir de notre rassurante prison ? Est-il même imaginable que la majorité des humains puissent penser qu’il existe autre chose qu’eux, que l’univers, apparemment infini, qui les entoure ? Nous pouvons essayer indéfiniment toutes les directions, emprunter des chemins interminables, nous revenons toujours d’où nous sommes partis. Il est fort probable que l’idée de quitter nos murs vienne de "singularités" ayant explosé au visage de certains. Nous pouvons définir ces singularités comme des faits impossibles à expliquer au moyen des "lois-croyances" qui maintiennent la cohérence de la Matrice. Consciemment ou non, les humains refusent les anomalies qui apparaissent dans la Matrice, préférant être des chiens plutôt que des loups*... Leur survie, en tant que créateurs et parties de la Matrice, en dépend. Ils deviendraient des corps étrangers, aussi bien à eux-mêmes qu’à la Matrice. Notre intellect est structuré pour maintenir la stabilité de la "réalité" de notre monde. Toute remise en cause de la Matrice équivaudrait à un suicide, puisque notre référentiel structurel s’effondrant, la folie nous guetterait.

Ce choix est symbolisé par la fable du poète Jean de la Fontaine "Le chien et le loup", qui voit un loup affamé demander à un chien fort bien nourri ce qu'il devrait faire pour être lui-même aussi bien nourri. Le chien lui ayant conseillé de se mettre au service d'un humain, le loup réalise alors que le chien a une blessure. Quand il découvre que celle-ci vient d'un collier, il décide de ne pas suivre le conseil. Le loup part et retourne dans les bois. Cette fable animalière oppose deux bêtes proches par la morphologie, mais qui ont deux différents modes de vie : l'une est sauvage, et l'autre est domestique. Cette confrontation permet au poète de présenter deux conditions : l'insécurité liée à la Liberté, et le confort lié à la Servitude.

 

Admettons cependant que, malgré les désagréments et difficultés de la démarche, des humains tentent de passer derrière le miroir, de transgresser les lois de la Matrice. Il faudrait encore réussir à pratiquer une "brèche" dans notre continuum de croyances, et donc trouver où et comment créer une porte permettant de nous contempler.

Qui dit codé dit clé de décodage. Là réside le danger encouru par la majeure partie de l'humanité, celui de s'être vu substituer l'accès à la connaissance par la manipulation génétique effectuée (perte des mémoires par l'amputation de brins d'ADN) pour évoluer en état de conscience "Service d'Autrui", et répondre au principe d'évolution, soit le chemin de retour à La Source, à l'UN, par la reconnaissance de la conscience de "l"autre soi" en tant qu'égal à sa propre conscience, en dépit d'une manifestation complètement différente de cet être, et par la façon de mettre la conscience en réseau mutuel et d'interdépendance afin que l'Ensemble soit plus grand que la somme des parties (dans cette voie, la Conscience Absolue est "glorifiée" par une merveilleuse diversité d'être).

Cette substitution autorise ainsi manipulation et dérive confiscatoire d'une partie, essentielle, des règles du jeu* de Ce Qui Est, puisque la façon en mode "Service de Soi" d'atteindre la "densité de conscience" est de "prendre du poids" en assimilant les autres unités de conscience. En d'autres termes, le véritable plan du Royaume Négatif est de "manger de la conscience" en permanence, au moyen du harcèlement de la psyché par la création d'un environnement artificiel entièrement contrôlé, composé de comportements humains complètement prévisibles parce que programmés pour répondre à des signaux de conditionnement inculqués par des siècles de mensonges et d'obscurantisme présentés sous la forme des religions. Cela est généralement insidieusement promu comme "Tout est Un", le "mal" étant considéré comme une "rébellion", une faute ou quelque chose avec quoi "on en finira" de toute façon au bout du compte. Et, bien sûr, le chaînage de son mode opératoire, sacré*², n'est ni enseigné dans les écoles et les universités ou par les religions institutionnelles, ni diffusé dans les "grands" médias audiovisuels ou autres. Sinon de manière édulcorée et partielle, volontairement, afin de ne pas ouvrir les yeux et oreilles des dormeurs, les harcelés, la confusion et les quiproquos dans lesquels ils baignent les empêchant d'obtenir une perception claire de la réalité...

Il y a de ce fait deux manières de comprendre sa relation à l'univers. S'en remettre à celle enseignée par les différents canaux institutionnels, qui correspond à la matrice d'appartenance cyber. Elle s'impose à l'être humain sans lui laisser de marge de manœuvre transcendantale, car limitée et manipulée. S'en remettre à sa guidance intérieure une fois ses croyances et conditionnements viciés épurés, et se laisser conduire comme dans un jeu de piste sur le chemin de la Connaissance et de la Vérité. La façon dont nous jouons au jeu de la vie correspond à celle avec laquelle nous collaborons. Sans cœur et amour, nous ne pouvons nous sortir de la fosse à purin mental et égotique dans laquelle nous sommes irrémédiablement coincé, dans un scénario où tout est déjà réalisé à l'avance.

* Cf. Le Jeu de la Vie.

Cf. Le cheminement de l’Âme & Le chemin alchimique.

 

L'archétype Diable, symbole de la Matrice

Notre réalité d'appartenance, la matrice limitée de la 3ème dimension, voit son fonctionnement basé sur les polarités opposées mais complémentaires. Ainsi le "combat" entre la Lumière - la Vérité, la Connaissance de Ce Qui Est -, soit la conscience Christique (l'Unité), et les Ténèbres. Celles-ci sont illustrées dans notre civilisation judeo-chrétienne*par l'archétype Diable, de diabole - celui qui divise-, ou Démon, le monde à l'envers. Celui-ci est de même composé de deux polarités : une polarité évolutive, la fausse lumière de l'archétype Lucifer - qui signifie le porteur de lumière - proposée à l'humain qui doit faire jouer son discernement pour ne pas être illusionné, et une polarité entropique, involutive, dont l'archétype est Satan.

Le diable est celui qui jette en travers, qui nous "met des bâtons dans les roues", qui nous détourne. C'est ainsi que Satan signifie l’adversaire, celui qui obstrue, le mot "satan", de la racine hébraïque stn qui signifie "celui qui s'oppose", étant employé pour désigner un "ange de dieu" venu éprouver la foi des hommes. Le Diable est nul autre que la "contrariété humaine", un raisonnement d'adversité.

* Dans les textes de la tradition védique, composés de quatre recueils (Rigveda, les deux Yajurveda, Samaveda, Atharvaveda) dans une forme archaïque du sanskrit, qui ont été apportés en Inde par les Aryens vers le Xe siècle avant notre ère et qui forment la base de l'hindouisme, ce combat oppose les Deva (dieux "êtres de lumière") et les Asura (démons). Les Deva, êtres divins souvent issus de divinités brahmaniques plus ou moins déterminées, figurent au-dessus des représentations de Bouddha. Cette opposition découle de la loi de "Bon Ordre", le Dharma, qui voit le comportement éthique de chacun contribuer ainsi à ce que les rapports des individus dans la société permettent à cette société de perdurer sans conflit. Le rôle des démons étant précisément de dérégler ce bon fonctionnement, l'intervention des Deva devient nécessaire.

Cf. La dualité décodée.

 

Lucifer est l'archétype dans le référentiel latin et judéo-chrétien du Titan* grec Prométhée (Cf. image ci-contre), le messager divin qui s'est rebellé pour voler contre l'avis des dieux le Feu sacré de l'Olympe, symbole de la Connaissance, afin de l'offrir aux humains et leur permettre de s'instruire. Par là-même, il est aussi évocateur de l'hybris, la folle tentation de l'Homme de se mesurer aux dieux et ainsi de s'élever au-dessus de sa condition, message sans équivoque du corpus prédateur. C'est pourquoi il a été puni de son audace et enchaîné sur un rocher (ou crucifié selon d'autres), condamné par Zeus à être enchaîné nu à un rocher dans les montagnes du Caucase, où un aigle vient lui dévorer le foie chaque jour. Si Héraclès (Hercule chez les Latins) le délivre au cours de ses douze travaux, Prométhée dut porter durant toute sa vie une bague de fer provenant de ses chaînes, accolée à un morceau de pierre du Caucase. C'est pourquoi Lucifer est également représenté enchaîné (Cf. image ci-dessus)...

* Les Titans étaient au nombre de six. Ils étaient les enfants d’Ouranos (le ciel) et de Gaïa (la terre). Un jour, les Titans se confrontèrent à Zeus (Jupiter à Rome), et perdirent la bataille. Zeus, le dieu usurpateur psychopathe, les envoya dans le Tartare, encore en-dessous des Enfers.

 

Des Forces entropiques du champ de l'Astral

Les Forces du champ astral, autrement nommées Forces de l'Ombre et des Ténèbres, sont des forces, des Intelligences retardataires. Notre référentiel latin les qualifie de lucifériennes et de sataniques. Elles sont responsables dans le grand Jeu universel du Vivant - l'évolution - du développement de l’Ego humain*, et dont les règles du Jeu/Je ont été établies par les Intelligences Supra-mentales, les Êtres de Lumière du champ cosmique (les Anges pour la personnification). Ces Lois valent pour toutes les Planètes en évolution, c'est-à-dire où il y a des êtres en évolution. Aussi est-il à comprendre que le Cosmos au sens astral est géré par la Loi du mensonge, mais pour le "bien" de l'être humain ! En effet, celui-ci n’est pas prêt à connaitre la Réalité, en son état de conscience limité. Ce n'est que lorsqu'il sera prêt à la connaître que le jeu de la densité cessera, et qu'il pourra se transférer sur un autre plan de vibration plus élevé. Pour ce faire, il doit dépasser son "actuelle" (le temps n'existe pas à l'échelle de l'Univers) condition d’existence psychologique, reliée encore au besoin de la religion ou des philosophies existentielles dans toutes leurs formes. C'est à ce prix qu'il réalisera que dans les mondes spirituels il y a des Forces qui cherchent à retarder l’évolution, et des Forces qui cherchent à aider l’évolution, celles-ci cherchant à lui donner un aperçu de la Réalité qui transcende les murs de l’espace-temps prison de la 3-D terrestre. Les premières correspondent au principe Satanique, les secondes au principe Luciférien. 

Le principe Luciférien est actif en l'être humain par les formes qui se situent dans son mental humain, de ce fait dans l’émotif propre à la condition humaine. De ce fait, celle-ci évolue ou involue par la mécanicité de l’émotion et de l’intellect, nourrissant l'information de l’âme, et constitutive de ses mémoires. Aussi, pour que les Forces de Lumière entrent dans l’être humain et sortent l’esprit de l’être humain de son corps matériel, il doit apprendre et comprendre les Lois de l’Intelligence*² ! Sinon, il demeure assujetti aux Lois de l’âme, les Lois lucifériennes, qui, si elles sont des intelligences de haut niveau, leur polarité est totalement opposée à la polarité des Intelligences de la Lumière. Autrement dit, la vibration dans l’Intelligence de ces forces a tendance à aller vers la matière, tandis que la vibration dans le mental des Intelligences de la Lumière retourne à la Lumière.

Les Forces Sataniques quant à elles sont dangereuses pour l'être humain, car elles sont définitivement entropiques par l'empoisonnement de l'âme qui y consent, que l'être humain soit conscient ou non de leur domination sur sa psyché viciée.

* Cf. Décryptage de l'Ego. Ainsi, quand on parle de l’intelligence dans la Bible, on ne parle pas de l’Intelligence Universelle mais de l’Ego, de l’intellect. L’être humain à ce stade - la cinquième race humaine - n’a encore jamais vécu d’Intelligence Cosmique, celle-ci étant la caractéristique de la prochaine race, la sixième, soit le nouveau cycle d'évolution en cours.

Cf. De l'Intelligence.

 

L'artefact Matrice

L'oeil reptile
L'oeil reptile

 

Matrice vient du mot latin matrix (matricis), lui-même dérivé de mater, qui signifie "mère", l'utérus géniteur, le féminin sacré. Elle est l'élément qui fournit un appui ou une structure, et qui sert à entourer, à reproduire ou à construire. Elle est l’hologramme de notre monde, c'est-à-dire la représentation de nos croyances en l'état. Tout en structurant notre réalité, elle émane de nous, de notre intellect qui s'exprime sous forme de pensées associées à des émotions. Même si cela paraît paradoxal, on ne peut de ce fait la distinguer des humains. Elle est générée par les "rêves" et les cauchemars de l’humanité, autrement dit par les formes-pensées, les égrégores, qui l'engendrent. Elles sont constitutives du "masculin", sacré s'il est divin, désacralisé s'il est nourri par les toxicités "démoniaques". Ainsi fonctionne par la loi des polarités* l'univers.

* Cf. La dualité décodée.

 

Nombre d'auteurs ont établi la preuve que les humains ne viennent pas de la terre, en dépit des moqueries proférées par les gardiens de l'orthodoxie du savoir. Parmi eux l'écologiste et environnementaliste américain Ellis Silver, qui dans son livre publié en 2013 Humans are not from Earth: a scientific evaluation of the evidence ("L’Homme n’est pas issu de la Terre: évaluation scientifique de la preuve"), tente de montrer que la physiologie de l’Homme ne le prédestine pas à vivre sur Terre, et qu’il aurait donc été amené là par des "extra-terrestres" ou serait arrivé sur Terre par accident. Maux de tête, peau inadaptée aux coups de soleil, difficultés à accoucher... tout ceci prouverait que notre espèce n’a pas évolué sur Terre mais dans un environnement avec une plus faible gravité. Il est lésé par la lumière du soleil, a une forte aversion pour les aliments d’origine naturelle, et a des taux ridiculement élevés de maladies chroniques, conséquences d’une évolution de nos horloges biologiques pour qui une journée devrait durer 25 heures. "Puisqu’il semble que nous soyons une espèce naturellement violente, nous sommes probablement ici jusqu’à ce que nous apprenions à mieux nous comporter. [...] La Terre pourrait être une planète-prison" dit-il.

 

De l'origine de l'homme selon la civilisation sumérienne (1)

La Déesse primordiale de la civilisation sumérienne est Nammu*, dont le nom signifie ''la totalité des secrets''. Écrit avec le signe SIG4 en sumérien, il correspond aux noms akkadiens nabnitu et bunnannu qui dérivent de la racine banu qui signifie "créer". La Déesse correspond à Tiamat dans la mythologie babylonienne. Elle est la déesse de la création, incluant aussi les dieux eux-mêmes, ayant donné naissance à An (le Ciel) et Ki (la Terre), les premiers dieux représentant Abzu, l'océan d'eau douce souterrain dans la mythologie sumérienne. Elle est appelée entre autre "Mère primordiale qui a donné naissance à tous les dieux", "Mère qui a donné naissance au ciel et à la terre", "Dame de la Création", "la Matrice" ou encore "La Créatrice".

Nammu est également la mère d'Enki et de Enlil, les fils qu'elle a eu avec An. Bien qu'étant au-dessus de la Triade en terme d'origine (elle engendre), elle ne joua jamais un rôle aussi important que ses fils dans l'histoire des dieux du pays de Sumer. Le texte néo-sumérien Enki et Ninmah rapporte comment elle a eu l'idée de la création de l'homme, mission qu'elle a confiée à son fils Enki. Le culte de Nammu était à son apogée dans la région de Ur vers 3500 av. J.-C. On retrouve le nom de Nammu dans le nom du fondateur de la troisième dynastie d'Ur, Ur-Nammu.

* Si Nammu est la lecture traditionnelle du nom, il existe aussi des variantes comme Namma, Lammu ou Nammak.

 

De l'origine de l'homme selon la civilisation sumérienne (2)

Selon le récit sumérien, l’homme est créé "lulu", qui signifie "primitif". C'est un lulu amelu, signifiant un "travailleur primitif". En poussant la recherche plus loin, l’on retrouve le terme avilum, "travailleur de force". Tout démontre qu'il n'est une création que par manipulation génétique, programmé pour remplir un travail forcé, celui de l’exploitation de l’or comme esclave des dieux Anunnaki. Le récit biblique n'enseigne-t-il pas d'ailleurs le fait que Dieu créa l’homme pour le "servir", pour le "vénérer" ? Or, le mot "vénérer" n’était nul autre en sumérien que avoid, "travailler", origine du mot avilum, "travailleur de force". Il va se soumettre aux travaux forcés, les textes sumériens précisant leur durée : "Dix périodes durant ils subirent le labeur; Vingt périodes durant ils subirent le labeur; Trente périodes durant ils subirent le labeur; Quarante périodes durant ils subirent le labeur." Au total, cela représente très exactement 40 périodes, dont l’unité vaut une année Nibiru, c’est-à-dire la révolution de leur planète autour du soleil. Par rapport à la terre, l’orbite de Nibiru équivalait à 01 shar, soit 3600 ans terrestres. Autrement dit, 40 périodes sont équivalentes à 144 000 années terrestres. C'est le temps mis par les humains pour exploiter l’or, le temps mis au jardin d’Éden à servir le dénommé Dieu... 144 000, comme le chiffre qui apparait dans le livre de l’Apocalypse pour dénombrer le nombre d’élus qui régneront avec le Christ à la fin des Temps !

Cf. Le Judaïsme décodé.

 

De générations en générations, les différentes humanités dans leur vécu civilisationnel ont fini par figer la Matrice de l'astral (celle s'appliquant à la planète Terre), la renforçant à chaque fois à travers la prolifération de la pensée unique (avec ses différents leurres de choix : politique, philosophique, religieux, scientifique...), prônée et pilotée par les instances politico-religieuses en charge de la gouvernance de la Cité, et par notre aspiration démesurée pour la sécurité qu'elles entretiennent savamment par le dogme distillé, même si le couple Humanité-Matrice a souvent changé de croyances.

Son leurre est principalement la notion de temps linéaire, soit notre histoire linéaire*. Cachant qu'il existe une infinité d’espace-temps à l’intérieur d’espace-temps, elle s'attache au formatage des esprits par l'illusion des passé-présent-futur. C'est pourquoi les géologues, anthropologues et historiens, non seulement constatent et racontent l’histoire de la Terre, mais passent un temps fou à la rendre cohérente, ce qui est totalement vain. Même s'ils ont beaucoup d’imagination pour la justifier, elle ne cesse de se dérober à l'aune de l'évolution de la conscience et de la remontée des mémoires enfouies de certains êtres humains qui, lentement mais sûrement, finissent par se réveiller*².

* Cf. Fin de cycle (1) : fin du temps ou fin des temps ?

Cf. Vérité civilisationnelle.

 

A l'origine des castes

Le système des castes est un aspect dominant de l’organisation sociale en Asie, premier bassin de développement de la civilisation humaine. Ainsi en Inde, où les premières traces écrites du système des castes apparaissent dans les Védas dès 1500 avant notre ère moderne, le texte sacré La Bhagavad Gita (vers 200 av. J.-C. – 200 apr. J.-C.) soulignant l’importance des castes. A la même époque, le Manusmriti ("les lois de Manu") définit les droits et les devoirs des quatre différentes varnas ("castes"). Les varnas sont les brahmanes (prêtres), les kshatriya (guerriers), les vaisya (agriculteurs et commerçants) et les shudra (métayers et serviteurs).

En Asie de l’Est, le simin, c'est-à-dire quatre catégories de personnes, a été utilisé dans la Chine ancienne dès la fin de la dynastie Zhou et est considéré comme un élément central de la structure sociale (vers 1046-256 av. J.-C.). Le simin comprenait les shi (érudits de la noblesse), les nong (paysans), les gong (artisans) et les shang (marchands). Toutefois, ces quatre catégories n’influençaient ni la richesse ni la position des gens, et n’étaient pas non plus héréditaires.

 

La captation du pouvoir par les initiés

Tandis que le New Age est laissé aux profanes déçus du manque d’efficacité des religions institutionnelles, incapables de répondre aux si nombreux désirs conditionnés, et que le matérialisme pur et simple occupe les populations dépourvues de tout pouvoir, les élites s’affairent à "craquer le code de l’univers", par le biais notamment de super-ordinateurs, espérant ainsi réellement créer "leur propre réalité"* confinant à leur immortalité. Le transhumanisme qui le caractérise n'est rien d'autre que la version contemporaine de la Tour de Babel, la présomption tant orgueilleuse que vaniteuse de dominer Ce Qui Est...

Or le développement du pouvoir intérieur personnel mène à la réalisation, proche ou lointaine, de la toute-puissance de l’esprit libéré des contraintes de l’espace et du temps. L’accès à la réalité supérieure de l’esprit permet donc le contrôle absolu du monde terrestre. Cette situation étant "en dehors de l’espace et du temps", l'être humain profane ne prend pas la peine de considérer cette possibilité, trop occupé par la diversion des hochets émotionnels distillés comme par les contraintes institutionnalisées. N’ayant développé aucun pouvoir en lui-même, il est incapable de voir à travers la matière, de soupçonner les implications de ses pensées et émotions, et de comprendre les finalités de la fausse lumière prodiguée. L’écart est abyssal entre l’initié et le profane, qui jamais n’envisage de penser au-delà de ce qu’on lui a dit de possible. Cette attitude confirme l’initié de sa supériorité manifeste et flagrante. Et c’est ainsi depuis des millénaires. Reste à savoir ce que fait l'initié de son pouvoir : se servir - Mage noir - ou servir Ce Qui Est - Mage blanc -...

* Cf. Conscience du XXI° siècle.

 

Du Gouvernement occulte

"Il existe dans notre monde d’aujourd’hui un puissant et dangereux culte secret".

Victor Marchetti (1929/2018), ex-fonctionnaire supérieur de la CIA, livre The CIA and the Cult of Intelligence*

Pourquoi les médias, les politiques, les enseignants, les philosophes, les docteurs, les religieux, nos parents... ne nous disent-ils rien de cette féroce dictature occulte ? Comment un tel voile est-il possible sur une arnaque aussi gigantesque? La réponse est banale : plus le mensonge est énorme, et plus il est difficile à détecter. C'est ainsi dans tous les cas d’escroquerie. Sans aucune exception, la raison en est toujours la confiance aveugle de la victime. Elle donne à l’escroc carte blanche, et même souvent jusqu’à de l’amour...

La pilule est sans doute dure à avaler, surtout quand elle vient du religieux, domaine du sacré - et de ce fait de la pureté - par excellence. Il est le paravent idéal du grand mensonge planétaire, tant par l'illusion mystique constituée que par la culpabilité à la remettre en cause. Il importe de se rendre à l'évidence : tous les organismes jusque-là chargés d’informer et d’éduquer sont secrètement coordonnés par un seul organe occulte et mondialement centralisé. Il est appelé Gouvernement Mondial Occulte. Composé de quelques milliers de relais, il est hyper compartimenté en milliers de sections qui ne communiquent jamais entre elles. Cette structure est même dessinée sur les billets en dollar : c’est la pyramide "Illuminati" (image 1), celle de ceux qui ont usurpé le titre de "Confrérie du Serpent"*². ''L'œil qui voit tout'' n'est pas l'œil spirituel d'Horus/Osiris (image 2), autrement dit de Lucifer, le porteur de lumière, mais celui de son frère Seth, le dieu serviteur de An (ou Anu) notre créateur reptilien, appelé aussi Zeus, Jupiter, Yahvé ou Jehovah, Allah... autrement dit Satan*³. Les maîtres reptiliens sont des orfèvres en matière de camouflage, ayant toujours pratiqué l’ambiguïté des noms et des lieux afin de brouiller les pistes des chercheurs. Ils n’ont, par exemple, que très rarement supprimé les textes explicatifs sacrés, mais ont toujours fait des quantités de retouches et des inversions permanentes, toujours en leur faveur. Ce n’est donc absolument pas par l’analyse des textes que les reptiliens peuvent être détectés, mais par deux facteurs concomitants : l’analyse des résultats vérifiables, et le fait que le hasard n’existe jamais ...

* C’est le premier livre ayant jamais fait l’objet d’une action en justice de la part du gouvernement des États-Unis avant même sa parution en 1974. Dans ce livre, Victor Marchetti affirme qu’une "Cabale" gouverne le monde, dont les relais sont des professionnels clandestins de la Central Intelligence Agency. Ce culte secret est une fraternité réunissant l’aristocratie politique dont les objectifs sont de faire avancer les objectifs politiques de personnes ou d’organismes inconnus. Ce culte agit à couvert et dans l’illégalité, tout particulièrement par la manipulation d’individus dans des domaines où l’influence sur le public est d’importance, y compris le monde universitaire et les mass media.

Cf. La nouvelle religion universelle.

*³ Cf. Le Judaïsme décodé.

 


De son côté, l'agent spécial en charge du FBI - Federal Bureau of Investigation - de Los Angeles Theodore L. dit Ted Gunderson* (1928/2011), surtout connu pour s'être occupé des affaires Marilyn Monroe et John F. Kennedy et qui fut l’un des dénonciateurs les plus reconnus et les plus acceptés de l’histoire des États-Unis, a fait sauter le couvercle de la corruption gouvernementale en exposant plusieurs dissimulations énormes concernant les abus rituels sataniques, le commerce d’esclaves humains, le terrorisme parrainé par le gouvernement, comme l’attentat à la bombe contre le bâtiment fédéral Alfred P. Murrah à Oklahoma City en 1994, ou les "décharges mortelles" de la géo-ingénierie communément appelée chemtrails ("traînées chimiques") en 2011 pulvérisés à travers les États-Unis, l’Angleterre, l’Écosse, l’Irlande et l’Europe du Nord.

Quant à l’eurodéputée allemande Christine Anderson, elle n'a comme d'autres de cesse de dénoncer l’engouement des autorités et des grands médias pour le Covid, cette soi-disant "pandémie" arrivée fin 2019 et tout au long de 2020, comme n’étant rien d’autre qu’un gigantesque ballon d’essai. Son but est de transformer nos sociétés pour partie libres et démocratiques en sociétés définitivement totalitaires, de dépouiller chacun d’entre nous de nos droits fondamentaux, de la liberté, de la démocratie et de l’État de droit.

* Auteur du livre à succès How to Locate Anyone Anywhere ("Comment localiser n'importe qui, n'importe où").

 

Du déni scientifique

Pourquoi les scientifiques, et tout particulièrement les physiciens et mathématiciens, semblent être ceux qui résistent le plus âprement à l’idée que leur profession pourrait avoir été infiltrée et orientée par des conspirateurs qui n’ont pas à cœur les meilleurs intérêts de l’humanité ?  Comment expliquer que ces hommes de science, vers qui les élites institutionnelles se tournent pour obtenir des solutions à leurs problèmes de gouvernance, pensent que leur profession est exempte de toute manipulation au service d'une cause contraire à l'intérêt général ? Tout simplement parce que, retranchés derrière leurs machines et instruments destinés à mesurer précisément, ils n'imaginent aucune "erreur de lecture" de l’appareil, en l'occurrence la "culture officielle" qui décide de ce qui peut et ne peut pas être pris au sérieux. Ils sont hypnotisés par une "erreur de lecture" qui est délibérément programmée et introduite dans la "machine" des sciences, soit leur propre mode de pensée ! Et comme le temps est limité - dans une journée, dans une année, dans la vie d’un homme -, le volume d’étude nécessaire à la découverte des fils et faits bruts d’une "conspiration" est incompatible avec leurs capacités. Il en découle le mécanisme de déni, entretenant l'océan de mensonges, de désinformation, de manipulation, de propagande et d’écrans de fumée dans lequel nous baignons. Et c'est ainsi que les hommes de science les plus compétents sont utilisés pour soutenir les élites au pouvoir, en mettant à leur service leurs savoirs et outils de puissance, les bombes comme les technologies de contrôle du mental, tout ceci à partir de l’argent mis à leur disposition, celui-ci s'attachant à bien séparer les sciences du domaine public des "sciences secrètes".

 

Leurs témoignages sont cependant toujours dénigrés au départ, tant notre perception de la réalité est formatée, soit expliquée par les lois en vigueur dans la Matrice, soit éliminée. De ce fait, le temps linéaire nous oblige à faire entrer tous les faits, singuliers ou non, à l’intérieur de notre propre perception conditionnée du temps*. La linéarité du temps est un leurre. Notre histoire est intemporelle, et dépassant de ce fait l’entendement, il nous est impossible de la reconstituer en appliquant les lois actuelles de la Matrice, puisqu’elle a eu lieu dans d’autres formes de la Matrice. On ne peut même pas parler d’enchaînement, de continuité historique, puisqu’il n’y a aucune continuité entre les diverses formes de la Matrice. Seules des intuitions inexplicables titillent les plus aventureux et courageux.

Lors des changements de croyances qui interviennent à chaque fin de cycle (ou de sous-cycle) dans le calendrier cosmique et énergétique du champ astral, l’ensemble Humains-Matrice se recrée. Cette recréation n’est rendue possible que lorsque le "rêve de la planète" a atteint un seuil critique, et que tout ou partie du monde adhère à un nouveau paradigme. Alors, pendant une période de transition plus ou moins longue, des humains appelés par les religions "les élus" peuvent interférer de l’ancienne Matrice à la nouvelle, l’ancienne continuant son existence propre. La structure du nouveau monde peut conserver des inclusions de l’ancien*². Ceci explique les artefacts que l’on trouve dans des couches géologiques très anciennes, où l’humanité était censée ne pas exister. Des objets de l’ancien monde se retrouvent emprisonnés dans des couches géologiques en création du nouveau. Ce sont des intersections, en quelque-sorte. Elles nécessitent pour être comprises de considérer que ce que l’on appelle le temps ne s’écoule pas à la même vitesse d’un espace-temps à l’autre. Ainsi un objet qui se dédouble une fraction de seconde de l’ancien monde correspond à plusieurs milliers d’années dans le nouveau. Les mécanismes spatiotemporels intègrent des concepts qui nous dépassent totalement, bien que créés par notre mental. Ceci explique que notre capacité à appréhender ces processus soit limitée par notre formatage aux lois de la Matrice actuelle. Il n’en est pas toujours ainsi dans d’autres Matrices, où la super-entité "Humain-Matrice" connaît d’autres perspectives, beaucoup moins confinées, voyant l’interaction harmonieuse des deux créer des mondes où le temps n’existe pas ...

Cf. La falsification de la réalité en 3-D & Fin de cycle (1) Fin du temps ou fin des temps ?

Cf. Fin de cycle (2) : la guidance éclairée de sa vie.

 

Dire des mensonges au lieu de vérités, marque de la Matrice viciée

Alors que le monde s’enfonce de nos jours dans la tyrannie et que la dégénérescence s’observe partout, la question est de savoir si les peuples défendront leur liberté et leur âme ou s’ils s’enfonceront dans la tyrannie, qui a levé sa tête hideuse et dévastatrice avec férocité.

Formées par des lucifériens secrets car "sous bandeau"*, eux-mêmes étant le fruit des races sataniques venues sur terre en fuyant les guerres de la planète maudite Orion, et qui ont créé des humains hybrides par le biais d’expérimentations génétiques, principalement avec des races reptiliennes*², les élites institutionnelles aux commandes - les "sans âme" dépourvus d'émotions - sont en route vers leur nouvel ordre mondial, voulant prendre le contrôle de toutes les nations, du monde entier. Leur influence s’est infiltrée dans tous les aspects de notre société, de la société de consommation et ses biens et services que nous achetons quotidiennement aux sujets abordés dans les réseaux d’information, quelle qu'en soit la nature.

Les oppresseurs sont ainsi en train de provoquer les plus grandes catastrophes - financière, alimentaire, environnementale - de l’histoire de l’humanité pour mettre en œuvre leur agenda démoniaque, celui d'un nouvel ordre mondial planifié il y a plusieurs siècles, et ce avec la complicité de médias, tout particulièrement la télévision, qui se sont fait une spécialité de "truquer" et de mentir au sujet des événements mondiaux majeurs. Il en est de même avec la corruption professionnelle endémique dans le système de santé, la médecine pharmaceutique n'étant qu'un outil de manipulation conçu pour rendre les individus malades au lieu de les guérir. Les outils de cette manipulation sont des poisons sophistiqués déguisés en médicaments ou vaccins coûteux, prescrits comme des médicaments nécessaires, tout comme les chirurgies radicales qui nécessitent à leur tour des médicaments coûteux. De leur côté, les remèdes alternatifs à base de plantes, qui guérissent mieux et coûtent moins cher, sont supprimés ou interdits.

Il est à comprendre que cet état de fait est spécifique à ce monde de la Troisième Dimension depuis le début de sa civilisation, l’énergie s'y trouvant étant seulement dans sa forme la plus dense. L’âme fait ainsi l’expérience de la dualité dans ses projections, les yeux du corps matériel ne pouvant voir que ce qui est aussi de la matière dense, sauf éveil de conscience et du sixième sens il va sans dire. Il en découle que l'accumulation de ressources donne une fausse impression de sécurité, l’argent comme dénominateur commun traçant la ligne de démarcation entre les puissants qui commandent et les subalternes qui obéissent. Cette règle sert à diviser l’humanité en groupes sociaux, riches et pauvres, et à placer tout le monde sur des niveaux divisés en classes.

Le grand problème est qu’au cours des siècles, l’humanité incarnée a créé un ensemble de croyances et un désir insatiable de pouvoir. La compétition qui y est liée est quelque chose d’incontrôlable, créant des guerres, des dominations, des manipulations de personnes sur d’autres personnes. Toute la misère qui résulte de cette attitude immorale caractérise désormais une grande partie de l’humanité devenue un monde de douleur et de souffrance. La véritable misère humaine est moins le manque de biens matériels que l’absence de valeurs éthiques et morales !

* Cf. La nouvelle religion universelle.

Cf. Les acteurs de la Matrice falsifiée.

 

L'existence de la 4ème dimension

 

René Schwaeblé (1873-1938), auteur féru d’alchimie et d'occultisme, a mis à la disposition du grand public des connaissances qui, d’ordinaire, demeurent dans l’alcôve de la "Science des Sages" dans son Précis d'occultisme, nuire sans danger. Il va sans dire que pour l'approche scientifique humaine traditionnelle, la théorie d'une modification de la gravité contrôlée par l'élévation ou augmentation de la fréquence de résonance de la conscience, puis l'existence stabilisée d'un autre "plafond de réalité", la quatrième densité de la matière, n'est pas envisageable, ou fort peu.

 

Concernant la quatrième dimension, il est parti de la définition commune d'un corps par les trois dimensions hauteur, largeur et profondeur, appliquée à un objet quelconque, comme un cube. Nous croyons définir ce cube en disant qu’il a un mètre de côté, et nous nous le représentons. Comme nous nous le représentons forcément quelque part dans l’espace, il occupe une partie de cet espace et c’est cette partie qui est définie par les trois dimensions. Mais quand ? A quel moment du Temps ? Déjà, un autre corps, d’autres corps occupent l’espace défini par les trois dimensions de ce cube, comme un autre corps, d’autres corps l’occupaient avant lui. Le moment présent est le passé ou le futur. Il n’existe pas, ne peut exister, et le Temps étant essentiellement continu, il ne souffre pas d’arrêt.

Or, l’Espace se meut dans le Temps. L’on comprend donc maintenant que pour définir un objet la notion de temps doit s’ajouter à celle de nos trois dimensions. Si nous n’avons pas cette notion du Temps, qui prouvera que notre objet demeure le même pendant que nous lui appliquons ces trois dimensions ? Les trois dimensions ne suffisent pas.

C'est également ce que démontre en chimie les isomères, ces corps qui, ayant une composition identique, jouissent de propriétés différentes. L’acide fulminique a la même composition que l’acide cyanique : le premier soumis à la plus faible élévation de température détonne avec violence, l’autre résiste à la chaleur rouge. Voilà deux corps qui ne sont pas définis par leur formule chimique, puisqu’elle s’applique indistinctement aux deux. De ce fait, les corps ayant même composition et propriétés différentes occupent en réalité des espaces différents, qu’ils cristallisent suivant divers systèmes. Mais s’ils cristallisent dans le même système, l’idée d’une quatrième dimension s’impose.

Autre démonstration. En supposant que nos télescopes nous permettent de suivre les événements d’une planète, nous apercevons un jour sur cette planète un volcan en flammes. Pour venir jusqu’à nous, les rayons lumineux émanés de l’astre mettent deux mille ans. Au moment où nous avons aperçu le volcan, il y avait deux mille ans que les rayons lumineux le représentant avaient quitté la planète, c’est-à-dire que ce qui nous apparaissait le présent (le volcan en flammes) était au même instant le passé pour les habitants de cet astre – et le futur, pouvons-nous ajouter, pour les habitants des autres astres plus distants de celui-là que la Terre, et où ces rayons lumineux ne sont peut-être pas encore parvenus. Si nous supposons que certains êtres de l’Invisible remontent ces rayons plus rapidement que nos propres moyens, ils connaîtront lors les choses – l’avenir – avant nous, et pourront nous l’apprendre.

 

Le Temps est donc une dimension aussi indispensable que les trois autres dans la définition d’un corps. L’Espace nous apparaît suffisamment défini par les trois dimensions. Mais l’Espace se meut dans le Temps, et par l’exemple du volcan nous venons de montrer que le Temps nous est inconnu, et échappe parfaitement à notre entendement.

Aussi ce que nous voyons dans cette troisième densité terrestre est un reflet tridimensionnel de la 4ème dimension, qu’on peut  constater mathématiquement en regardant les configurations nuageuses sur les différentes planètes. S’il n’y avait pas une autre dimension au-dessus de nous, un cercle serait rond et le mouvement circulaire des nuages serait conservé. Mais parce qu'il y a transfert de la 4ème densité vers la 3ème, ceci entraine que lorsque nous regardons un objet de 4ème densité, sa version de 3ème ressemble à une forme hexagonale avec des angles. C'est pourquoi les photographies de la sonde spatiale Voyager ont montré que les configurations nuageuses aux pôles Nord et Sud de la plupart des planètes ne sont pas circulaires, mais hexagonales.

 

La réalité hyper-dimensionnelle de l'univers par la nouvelle physique

Le physicien théoricien américain John Archibald Wheeler (1911/2008), spécialiste de la relativité générale, a sensiblement influencé les recherches sur les trous noirs, ouvrant la possibilité à la compréhension de la manière dont la "réalité" est projetée dans un univers nourri d'informations, selon différents états ou niveaux de fréquences dimensionnelles (autres que la 3-D) qui en traduisent la matérialisation. Par là-même, ceci ouvre la voie à l’idée que ces autres dimensions pourraient être habitées, peuplées de créatures ou entités ayant une certaine forme de conscience !

Il en découle que les dimensions mathématiques prisées par les scientifiques physiciens doivent être considérées non comme de "simples" abstractions, mais comme ayant une existence physique, et ce quelle que puisse être la signification du terme "physique". C'est ce que Wheeler a mis en avant dans sa théorie des quanta, suggérant qu’un "observateur" qui regarde l’univers "en vue de le créer", doit être inclus dans nos considérations... Il y a naturellement une multitude d'observateurs à notre échelle terrestre, constitutif d'une infinité de "futurs nous", c'est-à-dire traçant par leur regard la réalité de leur évolution à partir du "maintenant" qui est perçu. Autrement dit le moment "choisi", la question étant de savoir si nous le choisissons en toute connaissance de cause ou s'il découle d'une incitation/suggestion à le choisir comme tel...  C’est donc à partir de ces futurs probables d’un potentiel infini – l'univers n'est qu'informations – que la réalité est projetée par des ondes de formes, et c'est au travers des êtres humains, par leur état de conscience qui lit ces ondes, que ces énergies sont trans(con)duites par la courbure de l'espace-temps et deviennent "réelles" !

Qu'en déduire ? Que nous les êtres humains, dans l’ici et maintenant (le moment présent), à la conjonction de toutes les probabilités rivalisant les unes avec les autres pour devenir "réelles", n’avons aucune possibilité de "créer" qui et quoi que ce soit dans cette réalité de densité terrestre. Les réalités, les potentiels créateurs, sont des projections à partir de niveaux de densité plus élevés. Nous sommes simplement des récepteurs, des trans(con)ducteurs, des miroirs reflétant l’œil qui nous voit tous - "l’œil illuminati dans sa nature tant lumineuse que ténébreuse" -, c'est-à-dire en l'état de notre conscience comme des rats de laboratoire, prisonniers par inconscience d'entités involutives qui ont érigé les murs de notre prison ! C'est le "grand secret" caché, qui voit l’Histoire de l’humanité terrestre n'être qu'une longue série de guerres, violences, famines, pestes et désastres naturels génératrice de souffrances. Cette souffrance est le produit, l'or sulfureux, recherché par nos gardiens dans leur dimension "supérieure", destinée à les approvisionner en permanence en énergie négative, base de leur alimentation.

Là se trouve la clé des réalités hyper-dimensionnelles, où les énergies mentales ou de conscience sont amplifiées et peuvent interagir avec l’environnement. Cette technologie de la création établit que non seulement l’énergie de transport est en partie physique et en partie "éthérique",  mais qu'il en est de même pour la communication ainsi que des pouvoirs de "manifestation". Toutes ces propriétés participent de l’existence hyper-dimensionnelle. Et comme cette possibilité d’état est affirmée depuis des millénaires dans tous les mythes, légendes et récits dits merveilleux comme étant "le monde des dieux", de son bestiaire (dragons, serpents, licornes...) et créatures (fées, lutins...) de tout acabit, il n'est nullement insensé d'émettre l’hypothèse que ces mondes sont bel et bien habités !

Cf. en complément La falsification de la réalité en 3-D & La pensée création.

 

Cette réalité para-physique de l’espace hyper-dimensionnel est l’univers des programmeurs de "La Matrice" qui, compte-tenu de la loi des polarités* qui prévaut dans la structuration, l'organisation et le fonctionnement du Vivant - Ce Qui Est -, est habitée par des êtres ou entités qui possèdent simultanément les deux polarités : la positive et la négative. Se situant à un étage supérieur de la 3-D terrestre, ils se trouvent dans un monde strictement éthérique, ayant évolué soit dans la direction positive, soit dans la direction négative, des pôles de la Création. Il s’agit en fait, compte-tenu de notre conception du temps linéaire, d’un monde du futur, qui crée notre présent en se projetant dans le passé. C'est pourquoi, si nous pensons au futur en termes de futurs probables, ceci détermine la sorte de futur que nous allons expérimenter individuellement et collectivement.

 

La transformation des élémentaux constitutive de l'évolution de la matrice terrestre

Les cinq élémentaux (air, eau, feu, terre, éther) sont les énergies de base qui composent l’Univers. En se mélangeant les unes aux autres, leur combinaison génère de nouvelles formes et propriétés. Chacun de ces éléments est porteur non seulement de certaines propriétés, mais aussi d’un programme d'évolution spécifique à caractère multivectoriel et multidimensionnel. C'est de cette manière, sous forme de "lots" mous, que les entités co-créatrices les ont initialement téléchargés dans la Noosphère, permettant l'apparition de la Terre physique et accompagnant progressivement sur des milliards d'années le développement de la Terre de 1-D à 3-D, sa dimension tri-dimensionnelle. Ils contribuent de même à la constitution des mouvements des couches d’énergie et des plans d’air qui entraînent leurs changements de position pour ouvrir les murs noirs d’énergie séparant les mondes de 3-D jusqu'à la 6-D.

L’élémentaire air* sature, qui sature notre champ mental, sert de conducteur à l’Intelligence Supérieure. Il est également le lien pour la manifestation des qualités et propriétés des autres pouvoirs primaires. L’hydrogène est en effet la substance primaire base de la matière, sa matrice en tant que structure énergétique, et qui forme l’origine et l’achèvement du plasma, celui-ci ayant recours à l'azote pour le développer et saturer les différents systèmes énergétiques et biologiques en évolution. Quant à l'oxygène, elle crée un champ de force pour le développement de la matière biologique, et régule le volume du plasma d’Intelligence transmis. L’argon de son côté modifie les champs de force, affecte le travail de la nouvelle matière de 5-D, et forme des canaux énergétiques pour les flux quantiques. Le néon a lui un impact sur les cycles de fractionnement du plasma de la matière, régule l’état et le fonctionnement des canaux énergétiques, et est une substance liant l’énergie des éléments. L’hélium sert de centre de communication et de traducteur d’énergie d’information, et constitue également une partie importante du champ de protection de la planète. Il soutient également le "Quasitron", qui englobe le Triangle des Bermudes, la Méditerranée et la Mer du Diable (la mer du Diable, ou le triangle du Dragon, partage des caractéristiques étrangement similaires au triangle des Bermudes. Cette région est très fréquentée par les pêcheurs japonais) où la nouvelle matière de la Terre et de tous les êtres vivants se forme continuellement au niveau du noyau cellulaire. Le krypton assure une transition vers le stade suivant de l’intelligence supérieure, renforce la protection énergétique contre les émissions 2-D, les bloque et élimine progressivement la matière bidimensionnelle. Le xénon régule l’ionisation des couches supérieures de l’atmosphère, favorise les sorties vers d’autres dimensions, créées par le mouvement du plasma, libéré de la matière par les fréquences sonores.

Le xénon sert de conducteur de ces fréquences, participant ainsi à la transformation de la matière. L’iode affecte l’état de l’atmosphère, modifie les fréquences des champs magnétiques et crée des formes pensées, en les saturant d’énergie.

C'est pendant la "Nuit Cosmique", autrement dit l’ère de la dualité, que les Forces involutives (les Noirs et les Gris ou Archontes) ont complètement reconstruit à leurs fins ce mécanisme, qui joue un rôle clé dans le maintien de la vie et l’évolution des terriens et de la Terre pour répondre à leurs besoins parasites. Ainsi, le dioxyde de carbone est devenu pour l’homme un poison éthéré, son cristal causal étant un accumulateur idéal d’informations négatives, de virus de la mort et de karma. L’isotope radioactif Oxygène-15 contient également une substance karmique.

Toute l’atmosphère terrestre a ainsi été transformée en un dépotoir toxique par ces entités involutives qui y ont déversé non seulement leur karma, mais aussi des émissions chimiques, de transport, industrielles et autres, nous forçant à respirer ce mélange mortel, écourtant ainsi nos vies. Paradoxalement, même l’ozone, inhalé avec ce cocktail, est devenu toxique pour l’homme, son fort pouvoir oxydant ayant des effets dangereux avec un impact sur les organes respiratoires à même de provoquer des irritations et des lésions tissulaires ainsi que sur le cholestérol dans le sang, ce dernier formant des dépôts insolubles qui conduisent à l’athérosclérose. Si nous pouvons respirer différentes sortes de saletés, ce n'est malheureusement pas le cas de l’air "idéal".

Toutefois, l'évolution actuelle de la matrice terrestre sous l'impulsion des forces de lumière et de l'élément Feu crée une nouvelle matrice d'air par l'élimination de l’"Archonte noir" principal (et ses 144 sous-archanges) qui se trouve au centre de la Rose des vents, destiné à être brûlé comme dans un haut fourneau. Elle purifie ainsi la partie la plus active du karma, et permettant à tous les programmes formant l’air chargés dans la Noosphère à permettre l'évolution des êtres humains en voie d'éveil, tout comme de la planète, dans de nouvelles dimensions.

Il comprend l’Azote (78,084% du volume total), l’Oxygène (20,946%), l’Argon (0,9340%), le Dioxyde de carbone (0,04%), le Néon (0,001818%), l’Hélium (0,000524%), le Méthane (0,000187%), le Krypton (0. 000114%), l'Hydrogène (0.00005%), le Xénon (0.0000087%), l'Ozone (0.000007%), le Dioxyde d’azote (0.000002%), l'Iode (0.000001%), le Monoxyde de carbone (0.00002%) et l'Ammoniac (trace).

 

La centricité, clé d'accès à la quatrième dimension

La 4ème dimension est une intuition intellectuelle humaine, qui permet à l’être humain de réaliser qu’il y a quelque chose d’autre en dehors des 3 dimensions de l’espace (hauteur, largeur, profondeur). Si elle est valable en tant que concept, elle existe également en tant que réalité directement liée à l’infinité, mais sans être compréhensible au niveau humain. La raison est que l’être humain pense, et que sous la coupe du corpus prédateur qui la domine, la planète Terre est totalement contaminée par sa pensée et ses émotions, servant ainsi de miroir réfléchissant à la corruption. Or, pour comprendre la 4ème dimension, il faut être dans un état de réception vibratoire au niveau du cerveau - l'état dit du "point zéro" -, autrement dit de l'état de neutralité émotionnelle. De la sorte, le cerveau sert à véhiculer l’énergie nécessaire en provenance de la supraconscience, l'Esprit universel, pour comprendre les relations qui existent dans cette dimension.

C'est pourquoi la 4ème dimension, si elle est une infinité de possibilités, celles-ci sont instantanément arrêtées pour permettre une concrétisation de l’expérience dans la matière viciée nécessaire à l'évolution de l'être humain. Cette expérience fait qu'en l'état, il ne puisse pas encore voir ou comprendre que tout ce qui existe en dehors de la conscience humaine ne peut lui parvenir que par l’intuition. Mais celle-ci est trop lente, pas assez compacte donc partielle, parce que le corps mental humain n’est pas encore par son manque de centricité* en harmonie vibratoire totale avec le Supramental qui est la Conscience Universelle ou Cosmique. Il est de ce fait assujetti à la forme, qui exerce une grande emprise sur l’émotion de l’être humain, brouillant son esprit et empêchant son intellect de comprendre d’une façon objective et totalement détachée de lui-même.

Pour que l’être humain se conscientise dans le supramental, il doit dépasser petit à petit ces formes qui siègent dans son mental comme dans ses émotions. C’est en effet lorsqu’il apprend à dépasser ces formes que sa centricité se développe, qu’il devient de plus en plus sûr d’être sûr, et que la conscience, c’est-à-dire le contact avec les plans supérieurs, se raffermit, devenant précise et, éventuellement, amenant l’être humain à pouvoir regarder dans l’avenir, à connaître les autres humains, et à se connaître parfaitement. Les fausses formes, les fausses émotions, les pensées subjectives, tout ce qui est négatif, tout ce qui retarde l’être humain, tout ce qui est fondé sur la crainte, doit être dépassé, et ce dépassement se fait au fur et à mesure que l’être humain en prend conscience. Il acquiert pas à pas la force pour briser ces formes, les rompre, les diminuer, diminuer leur emprise sur lui. Il rencontre inévitablement la souffrance, celle de cette transformation, métamorphose, qu'il doit vivre au fur et à mesure qu’il entre en contact avec des niveaux de plus en plus puissants d’énergie. Alors seulement la chrysalide pourra devenir papillon !  

Cf. L'état de cohérence, voie de sa liberté.

 

Quant à la cinquième dimension, la décrire avec des mots de tous les jours s’avère difficile, car il ne s’agit pas d’une entité extérieure que l’on peut trouver dans le monde. Il s’agit plutôt d’une révélation étonnante qui émerge de l’intérieur de nous-même. Notre esprit tisse souvent des illusions, créant un monde qui peut ne pas refléter la réalité.

Pourtant, lorsque nous apaisons nos pensées, quelque chose de magique se produit. Nous entrevoyons une réalité différente, le royaume de la suffisance. Là, nous rencontrons la pure vérité des choses, sans confusion ni distraction. Dans la cinquième dimension, nous rencontrons une puissante fusion de vérité, de beauté et d’amour – un mélange harmonieux d’énergies cosmiques. C’est un lieu de joie profonde, qui dépasse nos expériences quotidiennes.

Nous nous sentons profondément connecté à quelque chose de plus grand, la conscience universelle. Cette expédition nous invite à explorer notre moi intérieur et à percer les mystères de la cinquième dimension. En nous aventurant à l’intérieur, nous dévoilons les trésors de la vérité, de la beauté, de l’amour, du bonheur et d’un profond sentiment de compréhension. Nous

découvrons l’enchantement qui réside en nous, et les clés nous permettant de libérer notre plein potentiel et de nous connecter aux merveilles illimitées de l’univers.

 

Le treillis magnétique, instrument du verrouillage

 

La façon dont le corpus prédateur de 4ème dimension verrouille l'humanité dans la matrice de 3ème dimension repose sur l'utilisation d'un référentiel sacré originel, détourné de son sens profond. Ce référentiel est présent dans l'inconscient collectif, et c'est pourquoi il apparaît logique et cohérent aux êtres humains. Il est enseigné de manière profane dans les savoirs dispensés, tout particulièrement les mathématiques (arithmétique, algèbre et géométrie). Quant aux chercheurs de vérité - comme par exemple nombre de Francs-maçons -, ils sont pour la plupart égarés par une présentation fallacieuse de sa soi-disant explication symbolique sacrée. Le treillis (matrice) de l'univers confiné au champ de l'astral constitue ainsi l'exemple type d'une manipulation de masse induite dans la psyché de l'humanité, délivrant un enseignement dévoyé aux apparences extraordinaires... 

 

Modèle géométrique et fonctionnement

 

Ces quelques lignes contiennent à elles seules les clés nécessaires pour comprendre la gigantesque manœuvre de désinformation qu'est le secret de cette géométrie sacrée. Effectivement, la Fleur de vie est véritablement le modèle géométrique d'un champ électromagnétique - le courant d'énergie fort en physique - décrivant le développement de la Vie, celle-ci se traduisant sous forme d'énergie, ondes en vibrations ou fréquences*.

Ainsi, lorsque ce modèle géométrique est dépolarisé, et de ce fait inversé, il est privé du courant d'énergie faible de l'Univers, l'éther, explicative du non visible*². Il oriente alors toute forme de vie non pas vers son expansion, mais à sa rétraction, c'est-à-dire au repli de sa propre énergie sur elle-même, pouvant l'amener jusqu'à s'auto-détruire.

Il constitue également un dispositif électronique, qui comprend classiquement trois canaux de fréquences dits "filtre passe-bas" (ou coupe-haut), "filtre médian", "filtre passe-haut" (ou coupe-bas). Chaque canal étant constitué d’un condensateur (composant de stockage de l'énergie électrique mesurée en Farad assimilable aux capacités et potentialités humaines) et d'une résistance (composant de transformation de l'énergie électrique mesurée en Ohm assimilable aux capacités résistives humaines) aux caractéristiques spécifiques, la résistance varie selon l'intensité mise sur le potentiomètre (la résistance variable à trois bornes) afin d’autoriser ou d’interdire l’échappement d’une fréquence plus élevée. Nous pouvons ainsi comprendre comment les gardiens de la Matrice cyber manipulent le treillis électronique astral des fréquences terrestres par le filtre passe-bas, celui-ci laissant passer les fréquences basses, et atténuent considérablement le filtre passe-haut des fréquences élevées, celles en provenance du champ cosmique. Il en découle la réduction sinon l'atrophie des possibilités offertes par le génome et le cerveau de l'être humain dans le décodage des informations en provenance du champ éthérique, l'a-matière (ou matière noire) via l'air, les champs magnétiques, les ondes électromagnétiques, les infrarouges et ultraviolets, ceux-ci ne détectant qu’une plage réduite des ondes sonores, lumineuses, olfactives, gustatives et tactiles*³.

En conséquence, toute forme d'existence enfermée dans une Fleur de vie dépolarisée et à son champ de basses fréquences, c'est-à-dire privée de toutes les puissances énergétiques universelles à même de lui fournir toutes les informations nécessaires à son bon fonctionnement, construit alors elle-même sa matrice d'involution, sa propre prison. Et ceci bien sûr n'est pas enseigné...

* Cf. Évolution de civilisation (1) Le mécanisme de l'Univers & Le processus création décodé.

*² Cf. Mécanisme de la polarisation électromagnétique dans Fonctionnement de l'architecture du Vivant.

*³ Cf. Fonctionnement de l'architecture du Vivant.

 

La modélisation de l'univers repose sur une figure géométrique connue des ésotéristes, nommée la "Fleur de vie" (Cf. image). Dans son ouvrage L'ancien secret de la Fleur de vie - Tome 1 - appelant à titiller l'imaginaire des chercheurs de vérité, l'auteur états-unien Drunvalo Melchizédek au nom d'emprunt spécifiquement choisi* écrit : "Jadis, tout ce qui vivait dans l'univers reconnaissait la Fleur de vie comme le modèle fondamental de la création — une conception géométrique qui permettait d'entrer et de sortir du plan de l'existence physique. Puis, d'un très haut niveau de conscience, l'évolution dans les expériences de la dualité nous a voilé qui nous étions vraiment. Cependant, le secret de la Fleur de vie a été conservé pendant des milliers d'années dans les anciens artefacts et sculptures du monde entier, et encodés dans les cellules mêmes de toute vie".

* Il est au même titre que nombre d'autres auteurs/enseignants/gurus "illuminés" tel Vincent Bridges adepte de sortes d’initiations dans la Grande pyramide de Gizeh qui fut construite par focalisation d’onde sonore afin de permettre l'ouverture de portail temporel. Mais c’est comme "le Magicien d’Oz" (Cf. roman pour enfants écrit par Lyman Frank Baum paru en 1900 aux États-Unis) : quand il finit par être démasqué, il reste un mystificateur qui donnait de faux cœurs, de faux diplômes et des recommandations sans valeur...

 

Comment la conscience de l'humain établit le modèle géométrique de sa bulle de réalité.

La conscience de chaque humain qui est exprimée sur Terre - la 3-D circonscrite à l'espace-temps limité* -, constitue une bulle, qui jointe à d'autres, créent des champs d'énergie électromagnétiques de nature géométrique - les égrégores -, ce qui est symbolisé dans les traditions par la géométrie de la "Fleur de Vie". Ainsi, l'espace-temps linéaire, "l'illusion du passé-présent-futur", n'est qu'une interprétation de notre cerveau par la croyance y relative ancrée dans l'égo-mental, et de ce fait liée à la densité de réalité dans laquelle l'être humain se situe (la densité de l'espace-temps est établie sous le nom de "résonance de Schumann", qui mesure la différence de potentiel électromagnétique entre la surface de la Terre et l'ionosphère et en établit une moyenne qui donne une idée de l'accélération moyenne du temps ressentie par l'homme dans la mesure où elle affecte la sphère neuropsychologique et cognitive ainsi que la fréquence du rythme sensorimoteur - RSM). Cette notion linéaire du temps fluctue cependant selon les interférences des forces cosmiques et psychiques sur le champ électromagnétique terrestre, la perception de ces interférences spatio-temporelles différant d'une personne à l'autre. Ces interférences se répercutent également sur la surface de la Terre par des changements climatiques et géologiques. En effet, ce qu'il se passe au niveau du microcosme se passe aussi au niveau du macrocosme, et inversement ! De par leur nature, ils sont mutuellement liés.

Dans la mesure où la conscience crée la gravitation, l'ensemble des lignes temporelles ou dimensionnelles qui forment un champ de particules sont illisibles par la conscience tant que celle-ci reste "enfermée et limitée" par les croyances du cerveau-ego. Et celui-ci a été conçu et paramétré par nos maîtres généticiens à travers l'amputation de nombre de brins de notre ADN pour ne lire et comprendre qu'une seule réalité : la densité dans laquelle nous nous trouvons caractérisée par la loi de la dualité, les opposés antagoniques. Nos croyances sont donc liées au treillis magnétique terrestre au sein de sa galaxie solaire d'appartenance (La Voie lactée) du champ astral. Néanmoins, grâce à cette forme d'illusion sélective, la conscience se manifeste et s'exprime à travers différentes formes de vie afin d'élargir son champ de création.

Ainsi l'illusion ne prend en compte qu'une seule fréquence magnétique de réalité, qui est structurée selon la cohésion et l'ordonnancement des particules dans notre environnement. Elle représente une seule possibilité de réalité-densité, soit notre "univers personnel" ou le monde que nous nous créons au travers de notre conscience. Elle est décodée instantanément par nos sens physiques et transmise au cerveau, et ce sans la réalité d'existence dans laquelle se trouve notre âme*² (notre corps astral, non soumis à la gravitation et à la densité, n'est pas lié à l'espace-temps). C'est cette fréquence magnétique maintenant notre conscience incarnée dans un corps de densité qui correspond à une ligne temporelle, celle de la vie présente que nous vivons. De ce fait, toutes les lignes temporelles dans lesquelles notre conscience "s'incarne" peuvent-être considérées comme un champ d'illusion/expérimentation, concepteur de croyances...

* Cf. La falsification de la réalité en 3-D.

Cf. Le cheminement de l’Âme.

 

La Fleur de vie

La Fleur de vie peut être trouvée dans toutes les religions majeures du monde, car elle contient les modèles de la "Création" - Ce Qui Est - tels qu’ils émergèrent du "Grand Vide" selon les pensées du "Créateur". Ce symbole est de ce fait considéré comme sacré, puisqu'on retrouve en son intérieur toutes les constructions de l’univers, les corps platoniciens (le tétraèdre, l’hexaèdre ou cube, l’octaèdre, le dodécaèdre et l’icosaèdre - CF. image), ainsi que l’Étoile de David (ou octangle étoilé) et le Cube de Metatron*.
Elle découle de la création de la "Graine de vie" (Cf. image 1), dont le même mouvement en vortex (spirale) crée la structure suivante dite "Œuf de vie", base de la musique, les distances entre sphères étant identiques aux distances entre tons et les demi-tons. S'
appliquant tant à la structure de l'atome de l'Univers que de la condition humaine, elle est identique à la structure cellulaire de la troisième division embryonnaire (la première cellule se divise en deux cellules, et la quatrième en huit). Ainsi la même structure, alors qu’elle se développe un peu plus, crée le corps humain et tous les systèmes d’énergie. Par la création de plus en plus de sphères pour constituer l'ensemble de la Création, la structure finale est appelée Fleur de Vie, symbolisant de ce fait à la fois la création et la croissance, celles que l’on retrouve de manière naturelle dans la nature mais aussi chez l’être humain qui souhaite agrandir son horizon, son champ d’action, ses connaissances. Le cercle qui entoure souvent la Fleur de Vie peut facilement faire penser à la couche protectrice d’un ovocyte, soit la vie qui s’exprime à travers un corps limitée par cette enveloppe matérielle. Sans son cercle, la figure symbolise alors la vie elle-même, c’est-à-dire le développement infini des cellules. Elle est donc la parfaite analogie du phénomène d’expansion et d’énergie vitale.

La Fleur de Vie contient un symbole secret créé en traçant 13 cercles à partir d’elle, faisant apparaître en son centre le "Fruit de vie" (image 2). Il contient 13 lois mathématiques et géométriques, autrement dit des systèmes d’information*², chacun expliquant un autre aspect de la réalité. Ainsi ces systèmes sont capables de donner accès à tout, du corps humain jusqu’aux galaxies. Dans le premier système, par exemple, il est possible de créer n’importe quelle structure moléculaire et n’importe quelle structure cellulaire qui existent dans l’univers. En d’autres termes, n’importe quelle créature vivante. À partir des points d'intersections de La Fleur de Vie (image 3), on peut retrouver l'Arbre des Sephiroth de la cabale hébraïque, duquel on peut relier les six sphères centrales pour retrouver l'Étoile de David. Pour ce qui est du Yin-Yang, il est contenu dans les cercles que forme la semence de La Fleur de Vie. En superposant les deux yin-yang (sens horaire et anti-horaire) on constate que le huit formé passe exactement par les sphères de l'Arbre des Sephiroth.

La forme la plus commune de la Fleur de vie est un modèle hexagonal - où le centre de chaque cercle est sur la circonférence de six cercles environnant de même diamètre -, fait de 19 cercles complets et de 36 arcs circulaires partiels, le tout entouré d’un large cercle. La Graine de vie est quant à elle formée à partir de sept cercles placés en symétrie, formant un modèle de cercles et lentilles, qui agissent en tant que composant basique du design de la Fleur de Vie.

* Le Cube de Metatron contient l’ensemble des 5 solides de Platon et, parfois, l'étoile de David en plus. Il est une représentation de la Merkaba, le véhicule de lumière de la cabale hébraïque qui permettrait à l’âme, l’esprit et le corps de s’exprimer dans de nouveaux niveaux de réalités.

Ici réside la base du modèle totalitaire transhumaniste en cours de déploiement à partir des technologies informatiques et numériques conduites à travers les systèmes d'information et leur connexion. Qu'il l'accepte ou non, tout contributeur concerné (informaticien, ingénieur réseau, programmeur... et tout particulièrement l'architecte en chef - DSI -) est un agent du corpus prédateur, même si une communauté résistante - pirates/hackers - s'évertue à lutter de l'intérieur pour en retarder ou perturber la mise en œuvre.

 

Saturne, figure du cube prison

Saturne, le dieu romain* qui préside la période qui précède le solstice d'hiver (la mort de la Nature), celle des Saturnales, est représenté comme la tête du panthéon des dieux régnant sur la conscience des êtres humains crédules car ignorants. Ceci signifie qu’il est piégé dans une conscience basse et une perception superficielle de la Réalité. Autrement dit Saturne est le Cube, métaphore de l'esprit piégé par les dimensions de la 3-D terrestre, prison mentale manipulée par des influences extérieures. C'est pourquoi certains auteurs inspirés considèrent que la matrice est un cube noir vu de l'espace, ce qui rappelle la forme géométrique de certains de ses relais dédiés à l'asservissement des consciences (la Mecque de l'islam, le phylactère juif, la croix chrétienne dépliée).

Pour "s’échapper", il est indispensable de transcender les étapes de la conscience en élargissant notre perception de la réalité par la dissipation de  l’illusion, ce qui passe par le développement d'une plus grande compréhension. Pour ce faire, il est indispensable d'aller au fond de soi et de se débarrasser de ce qui n’est plus nécessaire (mauvaises habitudes, dépendances, guérir d’un traumatisme, sacrifier ses désirs égoïstes, etc). Il s'agit de penser en dehors de la boîte cubique !

* Dans la mythologie grecque il est Cronos, le Roi des titans, ces divinités géantes, frère des cyclopes et des géants qui ont précédé les dieux de l'Olympe, les faux dieux asservisseurs de la civilisation humaine.

 

Logos avec hexagone - Cliquer pour agrandir
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Les 1 et les 0

Les "illuminés" qui pensent et dirigent se disent des "1", à l’inverse du peuple, les moutons, qui sont les "0". C’est-à-dire rien, le vide, le néant. Ils sont les travailleurs, les fourmis, les abeilles, qui construisent et produisent exactement ce que décident les élites, le miel qu'elles consomment avec délectation : la technologie, les industries... Ils les offrent à quelques UNS qui s’efforcent de les occuper par tous les moyens possibles. Ils sont "con-damnés" à leurs yeux, multitude grouillante qui les insupporte. Et cela fonctionne à merveille.

La société est traditionnellement représentée dans les sociétés et ordres ésotériques occultes par la ruche. Ses habitants sont les abeilles, qui naissent uniquement pour butiner les fleurs et récolter le miel. Les abeilles* font "Zzzzz", de même que le dormeur. C’est la raison pour laquelle de nombreux logos, en particulier ceux des mutuelles (assurances), sont représentés par un hexagone, c’est-à-dire une alvéole. Assurance que les 0 continuent à dormir, car la vie d’une abeille se résume à se reproduire, être sélectionnée, être triée, être dirigée, être abattue. Si certaines abeilles se souviennent de leur état d’humain, toutes les autres ne s’en rappellent pas, pensant qu’elles sont des hommes alors qu’elles ne sont que des abeilles. Elles se contentent de "sex drug rock’n’roll", de travailler, de se marier, d'aimer leurs enfants, de se divertir, et bien sûr d'avoir un plan funéraire. Il faut bien penser au "plan Obsèques" au royaume des morts. Les 0 travaillent même pour payer leur propre mort. Et le mieux, c'est qu'ils trouvent cela normal. Pourtant, n’est-il pas effroyablement absurde de parler du financement de la mort quand on est déjà... mort ? Travailler pour payer sa mort en aimant son travail... lequel n’est rien en échange de l’indispensable papier nécessaire pour avoir sa place sous terre !

* Le symbole de l'abeille traduit par leur disparition en cours la course folle à notre perte. En se focalisant sur le réchauffement climatique, vaste fumisterie qui tout en nous taxant plus ne remet pas en cause le modèle économique - la consommation de masse - qui y contribue. En ne laissant plus de place par notre avidité aux autres espèces, nous contribuons à ne pas permettre la sauvegarde de notre biosphère à laquelle contribuent les abeilles. Ainsi l’utilisation de pesticides nocifs aux abeilles en agriculture a contribué à faire mourir l'hiver 2017/2018 au moins 20.000 colonies en Bretagne. Une véritable hécatombe qui conduit tant à une situation financière dramatique des apiculteurs qu'à une reconstitution hypothétique de leur cheptel. En attendant que cela ouvre de nouveaux marchés, ceux de l’abeille robot qui viendra polliniser mécaniquement et artificiellement nos plantes pour que nous puissions encore manger un peu...

 

La grille ou le treillis de la planète est énergétique, se traduisant par la présence autour de la Terre d’un champ d’énergie psychique* qui connaît une expansion de son énergie sous forme de patterns géométriques. Dans ce champ d'énergie sont 

contenus des "sortes de registres de mémoires" concernant toutes les formes de vie et l’histoire de la planète. Quant à la géologie des continents, avec ses structures montagneuses chargées de cristaux de silicium, elle répond parfaitement aux schémas directeurs énergétiques de cette grille. C’est ainsi que toutes les structures de ce que l’être humain reconnaît comme l’univers physique s’ordonnent selon des schémas bien déterminés.

* D’après les scientifiques russes, ce champ d’énergie serait constitué d’une sorte de tissu plasmatique/éthérique chargé d’énergie émotionnelle. Cette découverte a été "détournée" par les mondialistes et utilisée pour provoquer le Grand Reset actuel, afin de devancer la grande transition naturelle de l’humanité vers un niveau supérieur que malgré tout elle est déjà en train de vivre.

 

Initiation occulte à la puissance de la Fleur de vie

Comme toujours, l'être humain a le choix de son évolution à travers le maniement des symboles. En mode "Service de Soi" tel que pratiqué dans les cercles ésotériques type Franc-maçonnerie*, la Fleur de vie recèle le prédateur qui maintient l'humanité en esclavage. Ainsi, en suivant le protocole tel que défini ci-contre, ce que nous voyons apparaitre est une entité reptilienne, effrayante et farouche dans son regard. Une seconde, encore plus effrayante (un Dragon chinois), surgit en faisant pivoter la fleur de 30 degrés et en répétant les étapes.

La première entité est appelée "l’homme khaibit", correspondant à la maîtrise du 10ème degré. Nous pouvons ainsi comprendre de quelle façon le corpus prédateur agit. En attirant certains êtres humains avides de connaissances cachées constitutives d'un pouvoir puissant, il loge dans leur psyché le virus mortifère de l'involution. Si par l’Âme unifiée le Soi supérieur n'a pas été purifié de tout le prurit psycho-émotionnel pré-existant en toute conscience et en toute connaissance de cause, l'impétrant demeure enserré dans les filets de la matrice corruptrice et constitue un relais de choix pour le jeu mortifère du corpus.

* Cf. La nouvelle religion universelle.

Peau de serpent
Peau de serpent
Fleur de vie en 3-D - Cliquer pour agrandir
Fleur de vie en 3-D - Cliquer pour agrandir

De manière relaxée, assis à 1 mètre de votre écran, laissez la fleur de vie vous faire doucement regarder dans le vide. Alors la fleur s’ouvrira. En essayant de ne pas vous focaliser à n’importe quel endroit, continuez à regarder dans le vide, en prenant la fleur comme un tout. Vous pouvez avoir mal à la tête et les yeux qui piquent, mais cela va rapidement disparaitre. Nous ne voyons pas avec nos yeux, nous voyons à travers nos yeux. Laissez votre esprit se focaliser, ne le combattez pas.

 

 


L'anneau de pouvoir macrocosmique

 

Tel nous l'enseigne la production hollywoodienne Le Seigneur des Anneaux, l'anneau symbolise une alliance par une "relation privilégiée" avec un autre être. Ainsi l'anneau de mariage, qui est une menotte psychique qui nous tient prisonnier par la signature d'un contrat attestant de notre appartenance à la matrice du "Service de Soi". Sous l’œil avisé de l’Église, pour beaucoup, et de l’État, les deux grandes autorités reptiliennes, le couple s'unit et les deux amants qui mentent à leurs âmes, "âme-ment", célèbrent la possession de leurs âmes lors de leur premier "a-couple-ment". L'anneau officialise le mensonge du couple qui jure fidélité au prédateur. C'est un Anneau de Pouvoir. L'être humain n'aura cesse tout au long de son parcours terrestre de les empiler - contrat de travail, d'assurance, d'emprunt, de location... -, s'enferrant comme débiteur de son créancier esclavagiste de sa (non) conscience. Il ne cessera naïvement de revendiquer ses droits, alors qu'il n'aura eu cesse de s'offrir sur l'autel de sa propre immolation.

Nous pouvons ainsi mieux comprendre pourquoi nombre d'élites qui appartiennent à la noblesse - "l'anneau blesse" - constituent comme forces oppressives les relais terrestres du corpus prédateur de 4ème dimension*.

* Cf. La nouvelle religion universelle.

 

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Des livres les plus lus au cours des soixante dernières années

1- La Bible, ensemble de textes sacrés pour les juifs et les chrétiens, dont les auteurs sont estimés à 40 sans aucune certitude.

2- Le Petit Livre Rouge, parfois aussi appelé Les Plus Hautes Instructions du chef militaire chinois fondateur de la république populaire de Chine Mao Zedong (1893/1976).

3- Harry Potter de la romancière et scénariste anglaise Joanne Rowling, plus connue sous les noms de plume J. K. Rowling et Robert Galbraith.

4- Le Seigneur des Anneaux (The Lord of the Rings en anglais) de l'écrivain, poète, philologue, essayiste et professeur d’université britannique John Ronald Reuel Tolkien plus connu sous la forme J. R. R. Tolkien (1892/1973).

5- L’Alchimiste du romancier brésilien Paulo Coelho de Souza dit Paulo Coelho.

6- Le Da Vinci Code du romancier américain Daniel Gerhard Brown dit Dan Brown.

7- Twilight (Crépuscule en français) de la romancière américaine Stephenie Meyer née Morgan.

8- Autant en emporte le vent (Gone with the Wind en anglais) de l'écrivaine américaine Margaret Munnerlyn Mitchell (1900/1949).

9- Réfléchissez et devenez riches (Think and Grow Rich! en anglais) de l'auteur américain en développement personnel Napoleon Hill (1883/1970).

10- Le Journal d’Anne Frank (Het Achterhuis en néerlandais) de l'écrivaine allemande Annelies Marie Frank plus connue sous le nom d’Anne Frank (1929/1945).

 

Du code vestimentaire des élites dirigeantes - Cliquer pour agrandir
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Des lignées royales

Les familles ou lignées royales - les élites de la noblesse ("l'anneau (qui) blesse") - ont des activités pré-ordinées destinées à assurer le contrôle des masses humaines esclaves, et qui n'ont pas nécessairement à voir avec une position séculière établie. C'est pourquoi elles revendiquent une pureté originelle de leur lignée génétique, dite "sang bleu" (on parle de bleu royal pour les dynasties royales de France). Elles établissent ainsi le lien avec la civilisation atlante, de couleur bleue, qui avait atteint un haut niveau spirituel avant d'être corrompue et dévoyée par le matérialisme technologique. La recherche de la pureté du sang "originel" est la quête idéologique de tout système prédateur, telle celle menée par Richard Walther Darré (1895/1953)*, général SS, l'un des principaux théoriciens nazis de l’idéologie Blut und Boden ("le sang et le sol"). Elle n'a en fait pour objectif que l’organisation même d’une gigantesque réserve énergétique à l’échelle planétaire, dont la fonction première est de nourrir selon les cycles du calendrier cosmique l'entité prédatrice supérieure affamée, au réveil d'un long sommeil millénaire...

La transmission des secrets de cette civilisation par les survivants du déluge apocalyptique a permis à une prêtrise corrompue d'asseoir sur leur trône terrestre les gouvernants institutionnels - pharaons, rois, empereurs, présidents - qui conduisent à leur bénéfice prédateur exclusif la marche du monde terrestre, dont beaucoup sont des snobs*².

Il est à noter que les lignées royales perdent inéluctablement le contrôle lorsque les énergies s’accumulent avant l’achèvement du cycle civilisationnel concerné, ce qui est démontré par la gangrène en cours de leur point de référence majeur, la famille royale britannique...

* Ancien responsable de la politique agricole du Reich, il mettait au point à partir du sang allemand le meilleur, issu de croisements concertés au cours des générations, le type le plus pur de l’Allemand nordique afin de produire un haut élevage, au sens littéral du terme...

Cf. La nouvelle religion universelle. Les snobs, du latin sine nobilitate, "sans noblesse", sont des roturiers parvenus, à l'égo infatué, qui ont acheté leur pseudo quartier de noblesse (ainsi l'ancien président de la République française Valéry Giscard d'Estaing) pour faire partie du cercle des (faux) "élus" et bénéficier de leurs réseaux d'influence. Quels que soient leurs efforts, mérites et talents, ils demeurent aux yeux des premiers des vulgum pecus, des mortels communs et ignorants...

Cf. en complément le livre "La dernière valse des tyrans: La prophétie" de l'auteure états-unienne Judy Zebra Knight, qui à partir des enseignements et des prédictions de Ramtha (un guerrier lémurien en lutte contre les atlantes il y a 35 000 ans), décrit les changements radicaux qui vont intervenir à la fois par suite de cataclysmes naturels et des bouleversements économiques et politiques, et ce à l'initiative des machinations des "Hommes Gris", ces grandes familles qui agissent depuis l'ère napoléonienne dans l'ombre en tirant les ficelles du pouvoir, manipulant le marché boursier, et en possédant la Réserve fédérale américaine et la plus grand partie de l'argent en circulation à travers le monde.

 

Sa symbolique représente un symbole phallique de premier ordre pour affirmer sa virilité, notamment le conformisme et la surestimation virile. Elle semble clamer : "Suivez la flèche et vous découvrirez l’organe qui fonde la légitimité de mes droits et de mon pouvoir!". Elle peut devenir "cravate de chanvre", une obligation qui étouffe, une situation qui piège et fait perdre ses moyens. On peut avoir l’impression de manquer de liberté ou d’air.

La Cravate

Pourquoi portons-nous une cravate*, tout particulièrement les élites institutionnelles ? La cravate représente la corde, comme l’anneau de mariage. Elle est ce lien autour du cou (le pendu) au milieu du "V" formé par la veste. Le V fait référence à Eve, la partie féminine, terrestre. Le V dans l’autre sens symbolise Adam, la partie masculine, céleste. Les deux forment le sceau de Salomon, la Création, tenue enserrée dans sa dimension de 3ème densité par le serpent, l'Ouroboros*² (Cf. image 2). Lors des réunions politiques ou économiques de toutes sortes - réunions et cénacles de la "prêtrise" païenne - le grade du maître est visible selon la couleur de la cravate portée, même s'il y a quelques différences entre le système français et américain...

* Attribut vestimentaire incontournable de la mode masculine, elle tire son origine de la bande d'étoffe portée autrefois par les cavaliers croates qui servirent dans le régiment du "Royal-Cravate" au temps de Louis XIII et Louis XIV pendant la guerre de Trente ans, qui avaient l’habitude de nouer autour du cou des foulards caractéristiques. Les guerriers de l'empereur chinois Shi Huangdi (IIIe siècle avant J.-C.) portaient également déjà un foulard enroulé autour du cou, indiquant par là leur rang.

Cf. Symbolisme des neuf premiers nombres.

 


A l'échelle macrocosmique, cet anneau menotte se retrouve dans les "trois ceintures de Van Allen". Initialement, la ceinture de Van Allen* n'est pas une ceinture de radiations. Elle est une succession d'anneaux électromagnétiques géants qui entourent la planète (Cf. image), constituant une barrière électromagnétique qui piègent les particules à haute énergie issues du soleil pour protéger ainsi la Terre. La radioactivité y est donc très élevée. Constituée naturellement de deux ceintures, interne et externe, celles-ci ont des origines différentes. Celle découverte par Van Allen occupe une région au-dessus de l'équateur. Elle est un sous-produit du rayonnement cosmique de haute énergie (primaire).

Ses anneaux ont cependant été dénaturés par des explosions à caractère nucléaire provoquées à haute altitude et par d'autres expériences consistant à mettre sur orbite des quantités astronomiques d'aiguilles de cuivre. Ces modifications de la ceinture de Van Allen ont ainsi débouché sur la formation d'une troisième ceinture (en jaune sur l'image), permettant de refléter, tel un miroir, la réalité illusoire planétaire source d'hypnose à laquelle l'humanité s'identifie par ses "Maîtres-artificiers". Ceux-ci, connaissant le fonctionnement énergétique de la multidimensionnalité, utilisent des vortex ouvrant les barrières de l'espace-temps pour voyager hors de l'espace-temps limité de notre galaxie solaire d'appartenance*².

Sans cette barrière établie pour empêcher l'être humain d'évoluer en conscience par l'élévation de son taux vibratoire compte-tenu de l'aspiration montante du flux énergétique cosmique, les prédateurs de 4ème dimension se verraient privés de leur nourriture de survie, puisque liée aux caractéristiques biologiques de l'être humain - la psyché (l'âme) porteuse de lumière - dont elles sont privées, la pyramide de contrôle terrestre (familles royales, hauts degrés de la Franc-Maçonnerie, élites politico-religieuses...)*³ ayant pour objectif de la leur garantir.

* Du nom du scientifique physicien et astronome états-unien James Alfred Van Allen - 1914/2006 - qui étudia les propriétés des confins de l'atmosphère, notamment sur les propriétés magnétiques.

*² Cf. Fonctionnement de l'architecture du Vivant & Contrôle mental  -  Chapitre le projet Montauk, dérive dans l'invisible.

*³ Cf. Le modèle pyramidal décodé & La nouvelle religion universelle.

 

L'anneau de pouvoir microcosmique

 

A l'échelle microcosmique, se trouve aussi dans le noyau de l'atome un Anneau de Pouvoir encerclant plusieurs quarks, qui sont les particules vectrices de la force nucléaire faible dans l'organisme. Cet Anneau de Pouvoir génère la force nucléaire forte - l'électromagnétisme -, dont le spin centripète (rotation vers le centre) étouffe la rotation centrifuge des quarks.

S'il n'y avait pas cet anneau, les quarks pourraient créer un vortex unique, une chorégraphie unifiée et cohérente. L'anneau est en fait l'état le plus commun, celui qui fait le plus de bruit au point de cacher la musique céleste - la musica mundi* -, la puissante lumière faible. Le mouvement centripète dépend de la force nucléaire forte qui tend à coller les quarks entre eux. C'est cette même force pour tous les atomes qui provoque le confinement des quarks. C'est pourquoi elle est assimilée à Lucifer, le porteur de la (fausse) lumière, qui transmet la lumière électromagnétique qui véhicule les images et qui nous trompe. C'est la lumière électromagnétique qui cloue l'homme à l'illusion que la seule réalité est celle que nous voyons et touchons.

Certes notre corps est constitué de milliards de quarks, soit autant de trous noir présents dans chacun de nos atomes ayant la possibilité de laisser circuler l'énergie faible, autrement-dit les informations universelles non-tronquées. Mais l'anneau de pouvoir qui enserre les quarks de chaque atome du corps humain limite leur rotation, donc la pénétration dans notre chair des informations nécessaires à l'équilibre du système vivant que nous sommes. Aussi lorsque nous sommes sous hypnose, l'état du moi séparé par les alter (traumatismes psycho-émotionnels causés à notre âme) en mode "Service de soi", nous fournissons l'énergie nécessaire à l'anneau de pouvoir pour accomplir sa tâche involutive qui dégrade lentement mais sûrement nos corps physique, émotionnel et spirituel. Si nous parvenons à nous extraire de l'hypnose, ne serait-ce que quelques instants, alors l'anneau de pouvoir desserre son étreinte, les quarks reprennent leur rotation et une vague d'information régénérative circule à travers chacune de nos cellules. Nos alter peuvent enfin exprimer leur potentiel créateur à travers nous.

Cf. Giuliana Conforto, astrophysicienne italienne, L'Univers Organique.

 

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Leurre et illusion planétaires

L'image ci-dessus*, publiée par Camille Flammarion en 1888 et datant probablement du XVI° siècle, constitue une énigme. Elle a donné lieu à moultes interprétations, y compris celle considérant qu'elle constitue un faux. Par-delà ses interprétations, tous les auteurs s'accordent à dire qu'elle porte sur la recherche initiatique du "voyageur ou pèlerin", l'être humain, à travers une représentation fantastique du système du monde à l'instar de l'allégorie de la Caverne de Platon. Elle figure l'être humain asservi dans sa sphère d'appartenance terrestre, au sein de sa galaxie solaire d'appartenance, La Voie lactée. Celle-ci fait partie du champ astral, autrement dit une bulle de réalité confinée par le champ de conscience prévalant en 4ème dimension - le mode "Service de Soi" -, celui du temps relatif. Il ignore sauf transcendance intérieure la réalité du champ cosmique supérieur, à partir de la 5ème dimension de conscience, le mode "Service d'Autrui". Le premier est placé sous la coupe de la force des Ténèbres, le corpus prédateur archontique ou reptilien qui manipule les êtres humains au travers de leur inconscient et par la manipulation génétique effectuée à leur encontre (amputation de brins d'ADN), et ce pour se nourrir des traumatismes psycho-émotionnels générés par leur égo-mental dans la polarisation faite de par leur fonctionnement binaire (pour ou contre...). Le second est placé sous l'égide de la force de Lumière, le grand champ de conscience de l'Esprit universel, qui ne peut cependant intervenir que lorsque l'être humain s'est engagé dans le chemin du Héros de sa vie par l'éveil de sa conscience.

Si les orbites des planètes de la voûte astrale n’apparaissent pas, c'est que le message lancé à notre sagacité veut attirer notre attention sur les archétypes alchimiques du soleil, de la lune et des étoiles, indispensables au changement de conscience à opérer en soi*². Ceci entend qu'ils sont intérieurs et non extérieurs, ceux-ci n'étant que des leurres destinés à nous égarer ! Et ce d'autant plus que l'astrophysique contemporaine propose une vision révolutionnaire de l'univers et de la réalité qui nous entoure, certain(e)s de ses praticiens ayant démontré preuves à l'appui que la planète Terre recèle un noyau cristallin en son centre constitué de 3 sphères imbriquées l'une dans l'autre, signifiant qu'il possède par ses propriétés énergétiques une rotation complètement indépendante de sa surface. Selon l'astrophysicienne italienne Giuliana Conforto, ce cœur interne qu'elle nomme "le petit soleil cristallin" a la même radio-fréquence que la planète Mercure, la couche la plus externe et fluide de ce noyau ayant quant à lui la même fréquence que la planète Mars. Et lorsque ce noyau tourne indépendamment du manteau le plus externe de la terre, il possède quasiment la même radiofréquence que la planète Vénus, qui est légèrement plus basse que la fréquence du manteau visible, la biosphère de la terre (la biosphère présente environ 30 km d'épaisseur). Bien entendu, tout ceci n'a rien à voir avec ce que la science officielle tente de nous faire croire...

Et si l'homme n'est jamais parvenu à comprendre ce qui se passe en dessous du manteau terrestre, il en est de même pour l'atmosphère au-dessus de sa tête, avec les ceintures de Van Allen (de 700 à 25 000 km de hauteur) - les anciens astronomes les avaient appelées les sphères de cristal -, qui ne lui permettent pas de voir ce qu'il y a au-delà. Il est ainsi confiné dans une sorte de pomme, vivant non pas dans son cœur - la zone autour des pépins - mais dans la pulpe du fruit. Il sait simplement que l'espace extérieur est constitué de la magnétosphère, et que cette dernière est le résultat de l'activité du cœur intérieur de la terre. Celle-ci étant constituée de plasma, matériel fluide très dense, elle se comporte comme un miroir constitué de ce plasma radioactif. C'est pourquoi l'homme ne peut voir au-delà du miroir, mais seulement la face du miroir dans lequel il regarde.

Il en découle que l’énergie cosmique permettant sa transformation intérieure, autrement nommée Christique (Le Kiristos), émane pour l’essentiel du centre de la terre, de ce petit soleil cristallin. Présente dans le cœur de chaque être humain par la vibration de son âme, elle indique logiquement que l'un comme l'autre sont alimentés non par l'astre solaire de la galaxie d'appartenance, mais par un soleil central galactique qui alimente une multitude de petits soleils comme celui qui se trouve au centre de la Terre. Celui-ci est porteur de la vraie Lumière, celle du grand champ de conscience cosmique, le champ de l'Esprit. De ce changement de conscience découle la capacité pour l'être humain à franchir le trou de ver, soit le passage multi-dimensionnel lui permettant tel le figure l'image de s'extirper de la Matrice involutive. 

* Elle rappelle la première illustration dans la "Cosmographia Universalis" de 1550 du savant humaniste et cartographe allemand Sebastian Münsters (1488/1552), ainsi qu'une gravure sur bois de "Margarita philosophica" (1503) de l'encyclopédiste allemand Gregorius Reisch (1467/1525).

Cf. Le chemin alchimique.

Cf. en complément Univers en partage.

 

Ainsi, par le recours à des technologies hors de portée de l'intelligence humaine, le consortium prédateur a dépolarisé et inversé l'énergie de cette géométrie, afin de contrôler le développement de la conscience humaine au sein de la 3ème dimension de réalité. Les relais humains de type New Age (écrivains, conférenciers, "channels"...), prétendus éveillés et experts en géométrie sacrée, en fait manipulés par leur égo-mental, ont révélé la Fleur de Vie comme un "symbole sacré", tout simplement pour que l'humanité ignorante et crédule vénère sa propre prison, comble du sadisme. Assurément, ce symbole soi-disant "béni par le Divin" l'est uniquement par la prédation de 4ème dimension et ses serviteurs qui se complaisent dans la matrice cyber asservissante.

 

Traduction des effets (1) : la criminalité

A en juger par les chiffres aux États-Unis, il semble qu’un nombre disproportionné de Noirs soient impliqués dans des crimes ou des activités criminelles, ou présentent un comportement négatif par rapport aux Blancs (les Noirs sont huit fois plus susceptibles de commettre un crime que les Blancs). Bon nombre des explications fournies, telles que la pauvreté ou la discrimination, ne semblent pas rendre compte de cette disparité puisqu’elles affligent également bien d’autres groupes ethniques sans qu’il n’y ait une telle relation. En fait, cette question, qui comporte une multitude de réponses selon l'étude de ce qui pousse des individus à commettre des crimes et du lien entre la race, l’origine nationale, ou l’état d’être physique et la propension à commettre des crimes, n'est jamais abordée par le biais de l’altération de la chimie du sang, du corps et du cerveau par le biais d’ondes sonores à très haute fréquence, alors même que la question des différences physiques entre les races inclue des différences chimiques organiques indéniables pouvant altérer les émotions et déboucher sur ce qui est dénommé un comportement anti-social. C'est le cas d'une substance chimique, une hormone sécrétée par l’hypophyse, et qui se trouve en fortes concentrations chez les personnes désignées par le terme de race noire. Il ne faut de ce fait pas beaucoup d’altérations pour l’amener jusqu’à un niveau que l’on pourrait qualifier de dangereux. Ceci entend bien évidemment que dans d’autres races - les Blancs ou Orientaux par exemple -, il y ait des individus qui naissent avec des taux supérieurs de cette hormone,  l’"hormone du crime" (le comportement agressif ne se traduit pas nécessairement en comportement criminel).
La réalité est que la nature ou la constitution chimique de chaque individu est adaptée à son environnement natal. Si l’on considère que la race noire a vécu pendant des millions d’années dans le climat général et la situation environnementale d’où elle est native, il en découle qu’un taux plus élevé de cette hormone est nécessaire à la survie dans cet environnement. Par le déplacement de cet environnement pour un environnement totalement différent où cet équilibre chimique n’est pas adapté, des taux supérieurs de cette substance chimique sous effet d'ondes sonores à très haute fréquence peuvent entraîner un comportement agressif d’un type ou d’un autre. Et de la même façon, lorsque d’autres races ou cultures sont exposées à des stimuli qui augmentent ou modifient leur chimie cérébrale, cela peut provoquer un comportement agressif d’un genre différent qui peut être dirigé vers des activités plus acceptables au sein d’une société donnée. 

 

Traduction des effets (2) : le piège monétaire

Une autre "toile d'araignée" a été créée sur le plan énergétique pour le contrôle de l'être humain dans la matrice terrestre, celle des réseaux de monnaies nationales et des institutions financières émettrices comme régulatrices. L'activité financière a toujours été en effet considérée comme la prérogative de l’élite dirigeante, les gens ordinaires ou du commun n’ayant aucune possibilité de l’influencer. Ils sont tenus de prendre ainsi pour argent comptant tout ce qui leur est dit et proposé.

Peu à peu, au fil du temps, les prêts à taux d’intérêt accordés aux acteurs économiques que sont les entreprises privées et publiques, les organisations de la société civile (associations, syndicats, ONG, fondations), les administrations centrales ou locales, les ménages (les citoyens ordinaires) et toute autre institution représentative du fonctionnement sociétal sont devenus une chose familière, normale, et, surtout, à caractère légal pour tout le monde. Pourtant, il ne s’agit que d’usure, autrement de prêt avec intérêt élevé au rang de légalité. La manipulation subtile réalisée, le tour de prestidigitateur ou d'illusionniste, est qu'elle est présentée à tous ces acteurs comme un privilège qui leur permet de réaliser leurs projets, leurs rêves, et de combler leurs indispensables besoins.

En réalité, il s’agit d’un véritable esclavage, qui fait peser sur leurs épaules le fardeau le plus lourd qui soit, la peur, non seulement sur le plan financier, mais surtout sur le plan énergétique, le véritable or pour les entités psychiques rapaces qui s'en nourrissent pour assurer leur survie. Et comme la peur en est la composante la plus puissante, la plus riche en substance, la crainte constante ressentie de ne pas pouvoir bénéficier de cette monnaie soi disant libératrice ou de ne pas pouvoir rembourser les emprunts accordés la dope en conséquence.

Cette politique financière qui vise à maintenir les êtres humains dans la peur et dans une tension d'inquiétude constante libère de ce fait une quantité colossale d’énergie négative à l'échelle planétaire. Elle est bel et bien l'opium, la dopamine et vitamine nécessaires à la survie de nos maîtres asservisseurs terrestres comme extra-dimensionnels par les basses vibrations qui en découlent. Il en résulte que seuls ceux qui ne sont pas tombés dans l’esclavage financier ou qui s’en sont complètement libérés peuvent respirer librement et exister dans un autre espace énergétique, dans lequel la peur et les sentiments de dépression et de soumission n’ont pas leur place. Ils sont libérés des caillots d’énergie sombre déposés dans leur aura, autrement dit dans leurs corps subtils, interdisant les diverses affections et pathologies mentales comme physiques liées.

C'est pourquoi le système prédateur asservisseur et esclavagiste de l'âme humaine n'a de cesse de renforcer son système carcéral d'oppression financière par un système de plus en plus strict de contrôle des flux financiers de chaque acteur possédant un compte bancaire. L’objectif est bel et bien de priver complètement les individus du sentiment de liberté et d’indépendance !

 

Quant aux sceptiques engoncés dans le déni, il suffit de constater l'état libératoire de la conscience humaine. Par-delà les artifices rhétoriques de ses zélateurs* et chantres illusionnés ou cyniques - Révolution des Lumières, Constitution et Charte universelle des droits humains, Liberté Égalité Fraternité, Démocratie, République... -, nous sommes toujours au même stade de prédation et d'esclavage que "jadis", seules les formes d'apparence ayant bougé. L'homme n'est-il pas toujours en train de s'auto-détruire et de s'entre-tuer, par le biais de toute une panoplie de moyens et d'outils que seuls des psychopathes involués peuvent concevoir*² ? Si l'illusion de la 3ème dimension laisse croire que les choses évoluent, celle-ci n'est que le théâtre mortifère au sein duquel nous nous exprimons qui change continuellement ses décors afin d'empêcher de réaliser que toute vérité a été inversée ! Le climat, le politique en charge des gouvernements, la justice, l'alimentation, les sciences, la médecine, l'éducation, le système monétaire, la technologie, les religions... ne sont que des valeurs inversées, tout fonctionnant selon les croyances inculqués, autrement dit à contresens ! Et comme les médias, les scientifiques et autres représentants de l'idéologie de l’État profond nous disent et nous démontrent que tout est normal, qu'il n'y a pas d'autre chose à penser, nous sommes orientés traîtreusement dans ce système de pensée unique délétère.

La manipulation génétique initiale de l'ADN humain demeurant bridée par le dispositif/treillis électro-magnétique artificiel entourant la Terre, l'homme est empêché de fusionner avec son Êtreté, son Soi supérieur accessible par son Âme réunifiée*³, seul à même de constituer l'échappatoire salvatrice au-delà du champ astral "prison". Subséquemment, il n'a jamais réussi à élever sa conscience. Il est même resté à un niveau d'intelligence primaire, le stade "paléoencéphalique animal"...

* Les philosophes et autres experts du mainstream médiatique (chaînes de TV et radios, presse écrite) qui tous les jours sont invités à commenter l'actualité y contribuent tout particulièrement. En prenant position pour ou contre, en dénonçant et stigmatisant, en se référant à une idéologie de quelque nature que ce soit (et tout particulièrement humaniste, éthique, morale...), ils entretiennent - manipulés par leur ego-mental exacerbé - le jeu énergétique de la prédation.

*² Cf. Les psychopathes qui nous gouvernent.

*³ Cf. Le cheminement de l’Âme.

 

Le treillis émotionnel, garde-manger du prédateur

Gollum - Le Seigneur des Anneaux (2001)
Gollum - Le Seigneur des Anneaux (2001)

 

Comme Gollum*, la créature des cavernes en possession du précieux anneau de servage, le corpus prédateur de 4ème dimension utilise ses puissants pouvoirs psychiques pour engendrer de grandes guerres du "Bien" contre le "Mal" avec ses relais terrestres inféodés car sous contrôle.

Le véritable trésor vers lequel Gollum nous guide est de saisir le message de cette servitude, à savoir que par le piège de l'identification au "Bien" ou au "Mal" la matrice artificielle nous y garde prisonnier... C'est pourquoi, comme dans le cas du baiser de la Princesse au crapaud qui dissimule le Prince charmant, il s'agit d'accepter l'inacceptable.

Aussi ce n'est certainement pas par hasard que le gardien d'un tel secret soit un gnome monstrueux, puisque l'humain est parfaitement conditionné à rejeter ce qui le répugne. Or Gollum manifeste simplement la présence du monstre souffrant en chacun de nous, puisque maintenu dans la grotte de l'inconscient. Il a besoin de nos soins et de notre attention quotidienne... Dans la mesure où la race reptilienne ainsi que sa grille énergétique dorée sont depuis ce temps inscrits en notre génétique, puisqu'ils ont utilisé leurs propres gènes à cette fin, les serpents, lézards, crocodiles ainsi que la multitude de symboles "dragonesques" qu'ils inspirent ne laissent aucun humain indifférent. L'animal reptilien provoque des phobies à en perdre connaissance, ou alimente un élan passionnel, voire obsessionnel chez certains.

C'est en retrouvant la mémoire de nos origines et en acceptant cet "inacceptable", car jusqu'alors dissimulé par le système institutionnel, que nous pouvons apprivoiser ce "gollum reptilien" en nous, seul à même de nous permettre de nous extirper de la Matrice involutive*².

* La créature nommée Gollum est un personnage fictif créé par l’écrivain britannique John Ronald Reuel Tolkien (1892/1913) qui apparaît dans ses romans "Le Hobbit" et "Le Seigneur des anneaux". Il n'est pas sans évoquer le Golem de la tradition juive, de l’hébreu goylem ou gōlem signifiant "matière informe" ou "embryon", autrement dit un homme artificiel façonné d'argile et animé de vie par des moyens magiques (un mot inscrit sur son front ou sur un morceau de parchemin placé dans sa bouche). Antithèse d’Adam symbolisant l'être humain créé par Dieu, il est dénué de toute conscience et se laisse aller à tous ses pires instincts jusqu'au moment où il s'éveille à Qui Il Est vraiment et entame son chemin de libération.

Cf. Comprendre et apprivoiser la prédation

 

Dé-cérébralisation par le mainstream médiatique : quelques exemples en 2020

Les nouveaux guignols/bouffons de l'info et leurs empoisonneurs de conscience : "Le monde tel qu'il est" (RTL) - Thomas Sotto -; "Le débat des grandes voix" (Europe 1) - Julian Bugier -; "Les informés" (France Info) - Jean-François Achilli suivi de Jean-Mathieu Pernin -; "Les grandes gueules" d'Alain Marschall et Olivier Truchot & "Neumann/Lechypre", anciennement "Radio Brunet" (RMC) - Laure Closier avec Laurent Neumann et Emmanuel Lechypre -; "Esprits libres" - Guillaume Durand et Bernard Poirette - anciennement "Accords/Désaccords" (Radio Classique); "Le 10 heures Midi" - Valérie Expert - anciennement "Les vraies voix" (Sud Radio); "On est pas couché" (France 2 - Fin de diffusion juillet 2020) - Laurent Ruquier -; "C à vous" anciennement "C dans l'air" (France 5) - Anne-Elisabeth Lemoine avec Patrick Cohen -; "Zemmour et Naulleau" (Paris Première) - Anaïs Bouton avec Eric Zemmour et Eric Naulleau -; "Les terriens du dimanche" (C8 - Fin de diffusion mi 2019) - Thierry Ardisson -;  "L'heure des pros" - Pascal Praud -; "Face à l'info" - Christine Kelly et Eric Zemmour - & "Punchline" - Laurence Ferrari - (CNews), "9 h. Galzi" - Olivier Galzi - & "Le débat" (LCI) - Arlette Chabot -.

 

Quelques indigestes brochettes à éviter sans modération

Jean-Marc Morandini, Cyril Hanouna, Thierry Ardisson, Pascal Praud, Laurent Ruquier, Laurence Ferrari, Yves Calvi, Anne-Elisabeth Lemoine et Patrick Cohen, Anaïs Bouton avec Eric Zemmour et Eric Naulleau, Christine Kelly et Eric Zemmour, Arlette Chabot, Olivier Galzi, Christophe Barbier, Nicolas Bouzou, Bruce Toussaint, Caroline Fourest, Raphaël Enthoven, Ruth Elkrief, Apolline de Malherbe, Emmanuel Lechypre, Léa Salamé, Jean-Jacques Bourdin...

"Trashitude" audiovisuelle

Les groupes médias appartenant aux milliardaires du business libéral (Vincent Bolloré, Martin Bouygues, Patrick Drahi, Daniel Kretinsky, Arnaud Lagardère...) sont les acteurs du Monopoly capitaliste destiné à contrôler les médias audiovisuels & de presse écrite* censés délivrer la bonne sinon sainte parole au bon peuple. Leur raison d’être est triple : le contrôle des contenus pour servir le fonctionnement du système prédateur, soit l’asservissement des consciences ; la recherche d’influence, pour servir leurs affaires et intérêts d’argent ; la quête d’audience, génératrice de recettes (publicitaires et abonnements) et de valorisation de la "marque". Ils sont complétés par les officines du service public, aux ordres pour ne pas dire aux bottes car subordonnées pour propager la ligne éditoriale fixée sous les ors élyséens par les cabinets conseils dédiés, notamment l'états-unien maçonnique Mc Kinsey.

A ce titre, la branche médias des groupes Bolloré et Drahi a choisi comme ligne éditoriale sous-jacente de ses chaînes audiovisuelles l’exploitation de polémiques à caractère trash (substantif anglais qui signifie "ordures", "déchets" et par métonymie "poubelle") confiées soit à des animateurs provocateurs vulgaires pour viser la cible des jeunes et des prolos, soit à  d'autres plus policés d'apparence s'adressant aux publics de type CSP+. Leur point commun, c'est la psychiatrisation de la pensée et de la parole considérées comme déviantes à la doxa décrétée, consistant à taxer l'outrecuidant avec haine et mépris d'être (au choix) porteur à leurs sens enfiévrés d'une pensée malade, folle, mensongère, délirante, empreinte de charlatanisme, de complotisme, de conspirationnisme... quand il n'est pas définitivement exclu, mis à l'index de leurs cénacles infatués.

Dans leur sentence accusatoire toute nourrie de prurit envenimé, ces répliques contemporaines de Tomas de Torquemada, Bernard Gui, Fouquier-Tinville, Saint-Just et autres Robespierre n'oublient qu'une chose : se regarder dans la glace pour comprendre que ce qu'ils projettent sur autrui n'est que le reflet de leur intérieur vicié, dénaturé.  

Souvent entourés de comparses tribuniciens aux rôles dévolus – accusateurs, défenseurs, médiateurs -, représentatifs des trois états du moi involué (les modes bourreau, victime et sauveur), ils tartinent jusqu’à l’indigestion leur pitance destructrice de la conscience. Si certains assument sans état d’âme leur cynisme attentatoire à l’esprit humain, d’autres enfilent l’habit hypocrite du bon comparse au service du débat sociétal.

* Cf. Contrôle mental.


Ces émissions comme tant d'autres sont conçues, à l'image du champ politique, autour de la bataille idéologique entre les protagonistes officiant. Il s'agit au prétexte d'un libre débat d'une manipulation de masse des "individus endormis", c'est à dire n'ayant pas la conscience assez développée pour se rendre compte de cette manipulation. Ces protagonistes sont tout simplement des "marionnettes", qui se comportent comme des abrutis finis car pensant que personne n'est en mesure de comprendre une explication technique "labellisée" par l'establishment politique ou académique qu'ils représentent servilement. Ils hurlent sans cesse à la pédagogie des masses, mais n’en font jamais… Pourquoi ? Parce que la plupart sont adroitement manipulés à travers leur égo-mental (mise en avant et notoriété, considération, argent), incapables de regarder dans le miroir leur intérieur vicié, vérolé, corrompu, quand ils n'exécutent simplement la partition involutive dévolue comme factotum relais, autrement dit comme "portails organiques" (PO)*.

Les sujets de querelle qui alimentent leur duel médiatisé - politique, économie, éducatif, santé, culture, sportif, migration, racisme, antisémitisme, pédophilie, injustice, argent, chômage, affaires... - font l'objet d'altercations verbales très judicieusement choisies. Par ce biais, ils affectent insidieusement l'émotionnel de l'auditeur ou spectateur pour susciter dans son inconscient des sentiments d'injustice, d'impuissance, de colère..., autrement dit l'effet miroir de ce qui est insidieusement glissé en lui via l'inconscient, qui produisent des émotions et l'incitent à des réactions de vengeance, de révolte, de colère, de haine...

Si chacun observe bien ce qui se qui se passe en lui sur le plan émotionnel, inévitablement l'un des sujets de discussion traités nous concerne de près ou de loin, ou du moins nous touche. Aussi, en prenant parti pour l'un ou l'autre protagoniste, nous nous laissons prendre irrésistiblement au piège par notre égo*², car nous réagissons à la projection de notre propre film, alors que ces personnages se sont "manifestés à travers nos vibrations" uniquement pour nous montrer notre propre dualité. Le simple fait que nous nous sentions affecté par leur "petit jeu" sous-entend qu'ils sont inévitablement rentrés dans notre champ de conscience, à travers nos champs d’énergie. En réalité la scène que nous écoutons et/ou regardons déclenche automatiquement des mémoires-programmes encore actifs dans nos mémoires, et permet de sonder notre émotionnel. Ces programmes engrammés dans notre ADN correspondent à notre karma non résolu. C'est pourquoi ils ont littéralement "invité" ces protagonistes dans notre vie, afin que nous puissions les observer. Ils contiennent encore des émotions refoulées, en correspondance avec leur "petit jeu".

En apprenant à identifier le rôle des personnages, nous pourrions nous apercevoir que ceux qui jouent le rôle de victime rallieront toutes les personnes qui, durant leur cursus karmique, jouent le rôle de victime. Les autres inversement attireront tous ceux qui endossent le rôle de bourreau/persécuteur.

Il ne s'agit pas de les incriminer, mais de prendre du recul par rapport à la scène que nous sommes en train d'observer. Il s'agit à ce moment-là de faire un arrêt sur image et observer non pas l'écran, mais de lui "tourner le dos" afin de regarder les émotions qui grandissent en nous et observer nos propres réactions. Interrogeons-nous sur quelle émotion nous pousse à prendre parti ? Est-ce une impulsion de rejet, de colère, de haine et/ou de sympathie, d'affinité, d'affection envers l'un ou l'autre des personnages ?

Nous pouvons alors comprendre que si nous ne pouvons pas changer ni le scénario du film, ni le comportement des acteurs, nous pouvons changer "notre propre cassette". En conscientisant que nous avons manifesté cette "intrusion" dans notre vie, nous en tirons la leçon nécessaire à notre transformation intérieure. Dès lors, après avoir sincèrement regardé les émotions qui se manifestent en nous, nous pouvons simplement éteindre ce film et tourner le dos à notre propre création illusoire.

* Cf. Les acteurs de la Matrice falsifiée & Les psychopathes qui nous gouvernent.

Cf. Décryptage de l'Ego.

Cf. en complément Comment changer de regard.

 

Fonctionnement du triangle involutif

La matrice involutive fonctionne à partir d'une triade (ou trinité) destructrice de la conscience de Qui Nous Sommes vraiment, nommée le triangle "victime-bourreau-sauveur"*. Elle voit l'être humain alterner successivement son identification dans ces états ou rôles inconsciemment interprétés (ainsi la posture en mode bourreau envers autrui l'est déjà envers soi-même), l'état du moi-égo en mode sauveur étant toujours lié à l'un ou à l'autre état de moi bourreau ou de moi victime. C'est ainsi que les rôles de victime-sauveur ou de bourreau-sauveur sont engendrés par de la pitié ou de la culpabilité refoulée. Dans tous les cas, l'individu est poussé inconsciemment à agir afin de se soulager par un acte inconscient de sa responsabilité karmique*² générée par son comportement en l'état de son parcours dominant ou soumis. Et tout naturellement, ces sentiments profondément refoulés l'incitent à se substituer ou à s'immiscer dans la problématique de l'autre, entraînant l'inévitable déséquilibre source de chaos dans sa vie comme dans la sienne. Autant dire que toute l'orchestration du fonctionnement sociétal entretient à l'échelle collective cet égrégore destructeur du Soi réalisé, les récentes crises liées au mouvement des gilets jaunes comme de la crise sanitaire du coronavirus ou du sempiternel conflit israélo-palestinien l'illustrant tout particulièrement.

* Cf. Explication dans Fonctionnement du corps biologique.

Cf. Le cheminement de l’Âme.

 



Le groupe institutionnel des "bourreaux", en charge du fonctionnement régalien de l’État, concentre à son encontre animosité et acrimonie. Il est composé d'individus ambitieux, prêts à tout, inévitablement menteurs au nom du "secret ou raison d’État", et potentiellement corrompus par le poids des réseaux et lobbys dont ils sont redevables tant pour leur ascension que pour la survie de leurs prébendes et autres hochets d'exercice du pouvoir. C'est ainsi que la plupart des dirigeants en Europe sont passés par les colloques "Young Leaders" du Forum Mondial de Davos de son machiavélique initiateur Klaus Schwab et autres Bilderberg dédiés à la gouvernance mondiale totalitaire en voie d'érection. Doctrinaires bien formatés, ils sont les factotums d’une nouvelle "sainte" Inquisition, en l'occurrence comme la précédente maléfique. Ainsi, à titre d'exemple, l'ex ministre de la Santé Olivier Véran (photo 4) avait intégré en 2019 les "Young Leaders de la France China Foundation" sponsorisés par le PCCMTC - Parti Capitaliste Communiste Mondialiste Totalitaire Chinois -.

Le groupe des "victimes" est composé d'individus ignorants des règles de ce jeu de dupes (ils sont les "perdants" dans cette présente partie d'échecs comme ils ont été ou seront les "gagnants" dans d'autres), idéalistes et de ce fait naïfs quant aux idéaux proclamés par leurs bourreaux, et infiltrés par des opportunistes y trouvant une rampe de lancement pour satisfaire leur ambition personnelle ou des manipulateurs à la solde de l'establishment en place.

Le groupe des apparents "sauveurs" reprend les spécificités du groupe des bourreaux ou des victimes (la plupart sont des bourreaux-sauveurs), donnant aux uns comme aux autres l'apparence d'une honorable voie de sortie.

Ce fonctionnement triangulaire ne peut se faire sans un quatrième groupe, les "snipers" de l'agitation émotionnelle. Composé d'individus intellectuellement "brillants" - politologues, politiciens reconvertis ou non, philosophes, écrivains, artistes, journalistes, universitaires et experts dans leur domaine respectif - (tous ceux qui composent les plateaux audiovisuels et les billets ou tribunes de la presse écrite), ils créent par leurs suffisance, vanité, orgueil, fatuité, arrogance, mépris et autre déviance de leur égo hypertrophié, ou plus rarement la bienveillance et autres sucreries de la psyché illusionnée (l'essayiste Céline Pina ou l'ex magistrat Philippe Bilger en sont les archétypes), les conditions propices au clivage, à la dénonciation, au jugement de valeur, au procès d'intention voire à l'excommunication, et qui conduisent par cette tragique comédie ininterrompue à l'abîme de la conscience. Ils se croient vivants. Ce sont des morts-vivants, ignorants des causes profondes* de ce bal des vampires auto-destructeur, car consistant en permanence à s'accaparer l'énergie d'autrui*²...

* Cf. Le sens caché du jeu d'échecs.

L'être humain dans la matrice 3-D n'est que le miroir de son prédateur involutif de 4ème dimension de densité, qui pour survivre dans sa dimension involutive, pilote via l'inconscient les pensées de sa proie humaine génératrices de désordre et de chaos dont il se nourrit, notamment chez celles et ceux appelés à orchestrer les pyramides du pouvoir, de l'avoir et du paraître à quelque échelon que ce soit.

 

C'est bel et bien cette maladie psycho-spirituelle de l'âme humaine, constitutive d'un virus, d'une toxine psychique maligne, qui nourrit le pathogène mental qu'est la psychose collective de la civilisation humaine depuis sa genèse terrestre*, appelée cependant par l'onde du changement en cours à prendre fin pour celles et ceux s'étant éveillés et ayant réussi le processus de transformation de conscience*² indispensable à la sortie de la matrice prison, la caverne de la conscience. Et désormais le "temps" presse, le compte à rebours étant lancé...

* Ce cancer de l'esprit qui attaque de manière incognito l'espèce humaine est nommé "wétiko" par les Amérindiens. Telle une lente métastase opérant cachée dans les angles morts de l'inconscient pour s'y enraciner afin de nous tromper en nous amenant à penser et à agir de manière contraire à nos intérêts, il engloutit peu à peu toutes les parties saines de la psyché de manière vorace pour servir son infâme programme. Il finit par mourir en même temps que son hôte s'il n'est pas arrêté par une salutaire prise de conscience. Cf. Les acteurs de la Matrice falsifiée.

Cf. Processus de transformation de conscience & Le chemin d'Ascension.

 

De la polarisation de la psyché contemporaine

Le vécu civilisationnel terrestre repose sur une polarisation du psychisme humain, programmé pour permettre l'expérimentation de la matière viciée placée sous gouverne des forces prédatrices, involutives, nécessaires au fonctionnement du grand JEU/Je du Vivant. Elle conduit inéluctablement à la grande division entre deux factions opposées, qui voit les êtres humains dans une large majorité s'y greffer. Deux peuples sont ainsi dos à dos, scrutant dans deux directions différentes et convaincus, certains, de la justesse de leur vision. L'un, enveloppé avec vertu dans son drapeau culturel identitaire plus ou moins bien-aimé, imagine des panoramas de terreur, fruits des constants dysfonctionnements sociétaux. Ils entraînent peurs et colères, constitutives d'occasion d'attaquer ceux dont "on" lui a dit - les menteurs même de bonne foi politiciens, religieux, médias, experts divers - qu'ils firent ou pourraient faire ces actes "démoniaques" individuels comme collectifs, inqualifiables. L'autre, démoli inconsciemment par une douleur intérieure de frustration stérile quant à ce spectacle de désolation - la souffrance de l'âme -, ne cessant d'entendre les cris perçants et les spasmes de la mort, continue avec espérance et compassion d'attendre les salutaires prise de conscience et résolution du mal endémique découlant de l'évolution de la conscience, entretenant le "jardin du bien commun" en faisant confiance malgré tout aux proclamations et professions des autorités qu'il continue d'élire, ou tout au contraire, en en dénonçant les mensonges, intrigues et manipulations. 

La (ré)conciliation est impossible. Pourquoi ? Parce que ceux qui s'opposent aux massacre et pillage grandioses des nations sont appelés naïfs par ceux qui les soutiennent, les actes de terreur commis étant à leurs yeux appelés à être vengés, sous quelque forme que ce soit ! Ils sont ainsi aux yeux des premiers des maniaques sanguinaires sans cœur, ceux-ci essayant désespérément de faire voir à leurs frères d'humanité que les hommes brillants à la télévision mentent à tout le monde sur pratiquement tout, se faisant alors traiter de complotistes ou conspirationnistes. Toutes les deux factions opposées sont en cette fin de cyclicité anesthésiées, tant par la prégnance toujours et encore de l'idéologie religieuse poison, que par l'idéologie de la nouvelle donne informative, médiatique. Celle-ci se traduit par la disparition progressive du livre, source de prise de recul et de réflexion, et sa substitution par la puissance aveuglante de la télévision et surtout des réseaux sociaux sur la toile numérique. Comme les journaux, ils sont possédés (au sens propre comme figuré) par de grandes sociétés connectées aux sociétés affairistes qui fabriquent les diverses armes de destruction de la conscience, au sens physique comme virtuel. Tous les individus sont ainsi désormais éduqués au lavage de cerveau du néolibéralisme uniformisant - la "woke & cancel" culture - et de ses milliardaires psychopathes pervertis, disant que la valeur d'une personne n'est pas dépendante de la langue qu'elle parle, de la couleur de sa peau, de ce qu'elle porte, de la religion qu'elle préfère.

Et parce que le dialogue apaisé est impossible, il en résulte la guerre, au sens là encore propre comme figuré, nul ne pouvant gagner en réalité sur le jeu d'échecs mortifère* !

* Cf. Le sens caché du jeu d'échecs.

 

"Pourquoi donne-t-on aux églises une position privilégiée – presque, en effet, une position exclusive – dans le débat social sur la moralité, quand elles sont probablement les organisations les moins compétentes pour l'avoir ? (...) La moralité religieuse n'est pas simplement sans rapport, elle est anti-morale (...). Les grandes questions morales de l'âge présent sont celles sur les droits de l'homme, la guerre, la pauvreté, les grandes disparités entre les riches et les pauvres, le fait que quelque part dans le Tiers Monde un enfant meurt toutes les deux secondes et demi à cause de la famine ou de maladie curable. Les obsessions des églises sur le sexe pré-marital et si les couples divorcés peuvent se remarier à l'église apparaît méprisable à la lumière de cette montagne de souffrance et de besoin humain. En distrayant l'attention de ce qui compte réellement, et en se concentrant sur la tentative mineure et en tous cas futile de forcer les gens à avoir des relations sexuelles seulement quand l'église le permet, du mal est fait à la cause du bien dans le monde (...).

Leur demander de prendre une position spécialement autorisée sur des questions morales est comme demander au renard de fixer les règles de la chasse au renard. Les ecclésiastiques sont des gens avec des croyances surnaturelles ouvertement anciennes qui reposent sur la casuistique morale qui est périmée depuis deux mille ans; il est extraordinaire que l'on donne une quelconque précédence à leurs points de vue sur ceux qui peuvent être tirés de la richesse de l'opinion réfléchie, éduquée, d'esprit ouvert autrement disponible dans la société."

 Anthony Clifford Grayling, philosophe britannique

 

Quant aux médias alternatifs ou se voulant plus sinon totalement indépendants de l'ombre tutélaire de leur actionnaire étatique ou affairiste (presse, radio, télévision, web), s'ils offrent comme leur nom l'indique une autre vision pour décrire les événements de ce monde, ils ne font cependant que proposer l'autre revers de la même médaille, quelles que soient leurs formes militantes, pacifistes, "conspirationnistes ou anti-conspirationnistes" (plus exactement en langue française conspirateurs ou anti-conspirateurs")... Eux aussi contribuent à entretenir irrémédiablement la dualité dans la psyché de leurs lecteurs et auditeurs.

C'est pourquoi la plupart des gens restent aveuglés par les médias qui, même de bonne foi pour dénoncer avec moultes exemples le rôle dévoyé de l’État, des banques, de la police, de l'éducation, de la pharmacopée... font que le peuple reste ignorant de ce qui y préside. Rien dans ce monde fonctionne comme il l'imagine, et pour cause, celui-ci étant d'une autre nature dimensionnelle, chose inimaginable pour la grande majorité des individus. Aussi, lorsqu'ils accèdent à une information qui dépasse leur connaissance ou qui est trop douloureuse à accepter, ils s'empressent de la dénigrer par leur esprit formaté entre le combat des archétypes bien et mal, chacun choisissant ce qui correspond à ses croyances. En prenant parti pour une cause en croyant lutter contre une autre*, quel que soit leur parti pris, ils s'astreignent inévitablement à amener leur conscience piégée dans une conception duelle pour continuer à servir l'élite aux commandes, et au plus haut de l'échelle, les Maîtres de la lumière sombre...

* Ainsi la ligne éditoriale des médias écrits de gauche libérale progressiste (Le Monde, l'Obs, Libération), qui ne cessent de pourfendre les auteurs écrivains comme essayistes et les médias soutiens jugés conservateurs sinon réactionnaires (Le Figaro, Valeurs actuelles, CNews...) pour leurs thèmes qu'ils qualifient de "classiques" de l’extrême droite, comme le déclinisme à la Eric Zemmour, la peur du "grand remplacement" popularisée par Renaud Camus, ou le fantasme de la guerre raciale théorisé par Guillaume Faye. Ce procès permanent en diabolisation comme en instrumentalisation est la marque d'êtres dont l'absence de conscience, en dépit de leur intelligence, est la marque de fabrique, celle d'un égo dénaturé car illusionné.

 

Le treillis de la mode vestimentaire et de l'apparence

Subtilement la Matrice utilise le style vestimentaire à ses fins d'uniformisation de la pensée sous couvert de divisions. Ainsi anarchistes, punks-à-chiens ou zonards, individus spécialement en rébellion contre la société et son système de contrôle, s'habillent pour affirmer leur démarcation en rangers et treillis en tissu de camouflage, exactement comme les militaires et policiers, les robots au service de la Matrice. Ainsi le révolté contre l'ordre établi qui fait tout pour s'en extraire par la lutte est en fait récupéré et tout autant formaté que l'urbain tendance qui se laisse pousser une belle barbe brune de "3 jours", le même qui regarde les infos en dénonçant avec colère les derniers attentats des "cruels... barbus islamistes"…

La mode, en infusant sournoisement le subconscient de la masse, permet ainsi de maintenir confusion et endormissement. C'est toujours la double face de la prédation :  par le rejet du monstre que "je" vois à l'extérieur, je me vêts ou me "looke" à la manière de ce même monstre, lui donnant ainsi libre cours d'agir à travers moi en manipulant les rouages qui lui sont bénéfiques. Et comme nos prédateurs institutionnels (photos 3 à 12) donnent l'exemple, les moutons de Panurge suivent...

 

Le piège tendu aux chercheurs de vérité

Dans leur recherche de la "vraie" connaissance, nombre de chercheurs apportent des éclairages ô combien précieux pour secouer la conscience des êtres humains endormis à eux-mêmes, à Ce Qu'Ils Sont et à Ce Qui Est. Si l'intention est louable, elle n'est pas sans danger, pour eux-mêmes comme pour leurs lecteurs et auditeurs. C'est par exemple le cas du médiatique Roch Saüquere (photo 1), éditeur de la publication Top Secret (image 2) et du livre La Matrice Artificielle. Ses interventions sur les réseaux sociaux sont guettées et suivies tant par son "fan-club" que par des "trolls prétendus débunkers" de ses "vérités" assénées, se manifestant par une flopée de pouces rouges propres au fonctionnement binaire de la Matrice asservissante ... Quant à ses lecteurs/auditeurs "pseudo-éveillés", ils vont s'enthousiasmer souvent de manière dithyrambique lors de la prise de connaissance de ses interprétations du fonctionnement de la Matrice, celles-ci étant explicitées (images, voix, références) avec talent. Pour autant, cet "aveuglement fanatisé" peut être source d'égarement pour le spiritualiste en herbe, affilié à un "Maître" extérieur aussi brillant soit-il.

Ainsi soutient-il non sans pertinence une chronologie historique toute autre que la version académique dispensée, qualifiée de "récentisme"* dans la mesure où elle considère que le fonctionnement de notre Matrice d'appartenance est millénariste, ce cycle de mille ans se terminant à chaque fois par un reset (perte de mémoire civilisationnelle) avant que de repartir sur un nouveau cycle. A l'appui de sa démonstration, il relève avec raison nombre d'impostures historiques comme archéologiques destinées à égarer et à leurrer les chercheurs de vérité. Sa vision est bien sûr différente de celle utilisée par d'autres chercheurs de vérité, basée sur le cycle "traditionnel" de 25.920 années appelé "la grande année cosmique"*².

Plutôt que de vouloir les opposer et prendre parti pour l'une ou l'autre version, piège classique de l'égarement de la conscience, il convient de remarquer que toutes deux décrivent un fonctionnement mathématique, de ce fait codé, de la Matrice cyber, autrement dit du cube d'intelligence artificielle qui retient prisonniers en son sein les robots biologiques et autres acteurs de sa cyclicité entropique*³. La fin "apocalyptique" est dans les deux cas de figure identique. Aussi la clé échappatoire n'est pas de porter attention - et par-là même de la tension - à une vérité plus qu'à une autre, ce qui maintient inéluctablement l'être humain asservi au système prédateur, mais de procéder à une véritable transformation intérieure par le nettoyage de toutes les mémoires sources d'égarement et de division*. En considérant que toute vérité extérieure est relative, jamais absolue, seuls sa distanciation avec l'extérieur et son recentrage intérieur dans le calme psycho-émotionnel sont à même de délivrer à chacun(e) les clés de son évolution, celle-ci étant à chaque fois spécifique à l'état de conscience constaté.

* Cf. Vérité civilisationnelle.

Cf. Évolution de civilisation (2) Les synchronicités de l'Histoire.

*³ Cf. Les acteurs de la Matrice falsifiée.

* Cf. Processus de transformation de conscience (1).

 

"… Oui, c’est parce que les gens croient au progrès et à la culture. Mais il n’y a aucun progrès, d’aucune sorte. Rien n’a changé depuis des milliers d’années. La forme extérieure change. L’essence ne change pas. L’homme demeure le même exactement. Les gens "cultivés" et "civilisés" vivent des mêmes intérêts que les sauvages les plus ignorants. La civilisation moderne est basée sur la violence, l’esclavage et les belles phrases. Mais toutes les belles phrases sur la civilisation et le progrès ne sont que des mots."

Piotr. D. Ouspensky - Philosophe russe (1878/1947), "Fragment d'un enseignement inconnu"

 

Le filet de la prédation

 

Cette géométrie créatrice dépolarisée et caractéristique du champ intermédiaire astral retient ainsi toute âme vivante sur Terre dans un interminable cycle de réincarnation, dit karma. Elle empêche toute conscience d'accéder vers des fréquences plus élevées de son Êtreté, de Ce que l'être humain EST vraiment, hormis quelques éveils de conscience qualifiés par la Tradition de "Voyage du Héros"*, et qui, souvent à l'occasion d'un accident de vie douloureux, permet d'aller chercher la Connaissance et la Vérité en s'écartant du chemin fréquenté par les foules sous hypnose.

* Cf. Le Jeu de la Vie.

 

Des boucles causales

Le logicien et mathématicien autrichien naturalisé américain Kurt Gödel (1906/1978) est tout particulièrement connu pour avoir formulé le théorème d'incomplétude, qui apporte une réponse négative à la question de la démonstration de la cohérence des mathématiques. Il a pour ce faire étudié la théorie générale d’Einstein sur la relativité, démontrant que si ses équations établissaient une catégorie de solutions cosmologiques raisonnables, elles contenaient pour autant des "boucles causales". Une "Boucle Causale" a la même signification qu’une "Boucle Temporelle", c'est-à-dire qu'elle explique le phénomène consistant à se rendre dans le futur et revenir au point départ à l’heure et à l’endroit d’où on est "parti". Si elle est appelée "causale", c'est que le temps dans la théorie d’Einstein sur la relativité est un concept relatif, et que différents observateurs peuvent faire une expérience différente du Temps selon leur état de conscience. L’utilisation du terme "causal" permet ainsi d'éviter d’avoir à utiliser le terme de "temps". Par extension, ces boucles causales - ou temporelles - correspondent à une sorte de "rotation" de l’univers.

Les boucles causales rendent ainsi plausible le voyage dans le temps !

Cf. Fin de cycle (2) La guidance éclairée de sa vie.

 

Hercule maîtrisant le chien à trois têtes qui garde la porte de l’Hadès.
Hercule maîtrisant le chien à trois têtes qui garde la porte de l’Hadès.

La Matrice, porte de l'Enfer

Dans le fonctionnement de l'Univers et le cheminement de la conscience, la rapide "Voie Descendante" est moins sûre, plus dangereuse, que la lente "Voie Ascendante". Toute intrusion illégale dans le monde spirituel peut en effet se révéler fatale. On ne peut pas forcer le Spirituel. Si on essaye de rentrer dans la Lumière sans préparation, on se heurte toujours aux tribulations et dangers de l’Obscurité. Tout au moins, une intrusion forcée dans l’initiation rendra fou l’intrus illégal. Une préparation intense pour une telle intrusion est nécessaire, et des organes spéciaux doivent être développés, pour percer avec sécurité le voile qui sépare le matériel du Spirituel.

C'est pourquoi dans la Tradition la porte de l’Enfer était gardée par un chien, le Cerbère à trois-têtes. Il est l’image de l’ombre obscure de l’homme, qui, en son être Spirituel, est également triple. L’homme est corps, âme et esprit*, tandis que le chien de l’Hadès a trois têtes, avec la queue du serpent qui a conduit à la chute de l’Homme dans la matière, mais non par la fable biblique du religieux dévoyé*². Ce n’est pas un hasard si la queue du serpent est tendue vers le bas, pointant toujours vers le centre de la Terre. Ce n’est pas un hasard si le dieu psychopompe qui guide les âmes des récents défunts en Enfer est dépeint avec une tête canine. Cette forme sombre à tête canine est le dieu égyptien Thot, le Trois-fois-grand, le gardien de toute la sagesse de l’initiation. Le véritable chercheur de connaissance n’aura pas à traiter avec le chien à trois-têtes qui garde le monde obscur.

* Cf. Qu'est-ce que l'Homme ?

Cf. Le Judaïsme décodé.

 

Ainsi, contrairement à ce que prétend l'auteur de L'ancien secret de la Fleur de vie, il ne s'agit donc pas d'une faculté au service du vivant que possède ce treillis, mais d'une abomination, une véritable ruse de la prédation de 4ème dimension pour que les consciences ne puissent pas évoluer au-delà de la matrice artificielle, la matrice cyber. Le corpus trans-dimensionnel en mode "Service de Soi " qui gouverne notre Monde a élaboré cette clôture électronique - barrière fréquentielle - sous la forme d'un maillage impénétrable à certaines fréquences de l'information/lumière, renforcé désormais par le maillage de la technologie satellitaire et son relais terrestre (réseau Haap et fréquences wifi de la 5-G)*. Il a pour fonction de limiter la possibilité de moduler ainsi que de transformer les fréquences cosmiques qui sont destinées originellement à modifier naturellement l'ADN contenu dans les cellules humaines, réceptacle de l'information universelle*².

Cf. Contrôle mental.

Cf. Évolution de civilisation (1) Le mécanisme de l'Univers. & Fonctionnement de l'architecture du Vivant.

 

De surcroît, les parties de notre ADN qui n'étaient pas essentielles pour survivre - qualifiées d'ADN poubelle par notre "élite" scientifique... - et qui auraient dû permettre de capter l'information-lumière, ont été rendues inopérantes par la manipulation génétique faite par le corpus prédateur au moment de la colonisation humaine de la Terre*, nous laissant spirituellement infirme. C'est la raison pour laquelle l'ensemble de l'humanité, enfermée dans sa matrice constituée par cette cage "high-tech" en forme de fleur de vie sacrée, est restée près de 350.000 ans avec seulement deux brins d'ADN actifs au sein de son génome. Ceci tout bonnement pour être réduite à un stade de conscience très primitif, gage du royaume des morts et des esclaves.

* Cf. La nouvelle religion universelle.

 

Le mécanisme physique de la prédation psychique

Le treillis électro-magnétique et électronique de la matrice cyber a pour objectif de retenir le potentiel énergétique expressif de l'humanité, constituant par les hauts et bas psycho-émotionnels qui découlent du vécu binaire en mode "Service de Soi" le garde-manger des prédateurs de 4ème dimension, entités organiques dénuées d'âme vivant dans les ténèbres. Ils constituent en effet le réservoir de lumière dont elles ont besoin, l'âme permettant d'expérimenter la physicalité terrestre par les ressentis (émotions) du vécu. Ce potentiel est assimilable en physique à un condensateur qui stocke l’énergie électrique.

Pour générer cette énergie électrique, le corpus prédateur induit dans la psyché des humains via l'inconscient des pensées destinées à être amplifiées par l'émotionnel dense propre à l'expression de l'humanité, tout particulièrement à partir des capacités créatrices génératrices de situations se prêtant à des tensions, celles découlant des champs idéologiques sociétaux (famille, travail, politique, religion, philosophies, sciences,...). C'est par exemple le cas de l'antisémitisme programmé chez nombre d'individus, constitutif d'un puissant levier de haine de l'humanité, cette programmation s'effectuant de manière précoce. C'est la manipulation de l'égo-mental, qui conduit l'être humain à s'électriser par la polarisation binaire ("J'aime/Je n'aime pas, C'est bien/C'est mal"). En retour, le corpus récolte et stocke ces énergies humaines denses et puissantes, tout particulièrement lorsqu'elles émanent du champ collectif (manifestations, meetings, cérémonies, processions...). Elles sont appelées égrégores. 

Ces énergies qualifiées en physique de résistance sont ainsi créées par la réaction à quelque chose ou à quelqu'un, à des évènements ou rencontres jugées désagréables. Il en résulte confrontation, lutte, rébellion, révolte, manifestation, violence, haine, peur, fuite, déni, non-acceptation. Ils ne sont en fait que la manifestation de la résistance à l’acquisition de l’information, autrement dit à la connaissance, à la vérité intérieure, traduisant la résistance farouche de l’égo-mental au changement, au lâcher-prise, au détachement de ses attachements et culpabilités, à sa propre transformation. C'est de cette façon que l'être humain est maintenu asservi dans la matrice des illusions, dans l'incapacité de conquérir sa véritable liberté en devenant Qui Il Est vraiment. Comment alors s'étonner que les souffrances de son âme entraînent les troubles physiques comme psychiques générant toute sorte de maladies et entraînant inéluctablement la mort ?

 

L'électromagnétisme dirigé pour le contrôle de la conscience humaine

Les technologies de contrôle des masses et des individus sont au point depuis des dizaines d’années, établies dans des bases secrètes militaires (ainsi le Naval Air Weapons Station China Lake plus connu sous le nom de China Lake), utilisées à de nombreuses reprises dans le cadre de guerres ou de conflits internes, et désormais en voie de généralisation à l'occasion de la crise sanitaire, plus exactement la "plandémie" Covid-19. Elles se fondent sur le travail effectué en matière de cartographie des réactions du cerveau en fonction des fréquences des différentes émotions, pensées, comportements, permettant de savoir quelles ondes il faut envoyer, à quelle fréquence et quelle amplitude, pour obtenir une réaction précise chez une personne cible ou chez un groupe d’individus. Les armes à énergie dirigée sont devenues le nec plus ultra du contrôle mental ! 

Ses pionniers sont notamment l'ingénieur-biophysicien russe Georges Lakhovsky (1869/1942) et l'anglais Barry Trower, un ancien physicien expert en micro-ondes et en armes à ondes millimétriques qui a révélé en 2019 que les micro-ondes étaient employées couramment par les armées et les gouvernements pour nuire à des opposants ou des ennemis en les rendant malades, et ainsi les faire mourir à petit feu. Il a expliqué que le pire, c'est le Wi-Fi, dont les micro-ondes altèrent le matériel génétique et plus spécialement l'ADN des ovules, au point que toute la descendance d'une femme atteinte par ces radiations sera impactée de manière irréversible. De son côté, le neurophysiologiste états-unien José Delgado (1915/2011) fut pionnier dans l'étude des implants cérébraux par ses études financées tant par des organisations civiles que militaires, ayant établi que le comportement et le système nerveux humain pouvaient être totalement contrôlés par des signaux électriques transmis au cerveau - à l'amygdale et à l'hippocampe - par de minuscules électrodes déclencheurs d'intenses émotions (rage, désir, exaltation, fatigue...). Celles-ci pouvaient également conduire à un état de concentration profonde ou de relaxation intense, ce que permet par exemple l'hypnose, autre outil de programmation de la pensée faussement libérateur quoi qu'en pensent ses défenseurs. C'est ainsi que la domination de l'humain robot commandité à distance par l'électromagnétisme sous ses différentes formes - radiations, psychotronique, sonique, laser... - est devenue la priorité absolue pour le système prédateur à travers ses relais terrestres

En alliant la technologie du réseau HAARP (High Frequency Active Auroral Research Program) par ses antennes situées en Alaska comme sur la face cachée de la lune à celle des chemtrails, du réseau satellitaire déployé dans l'espace (environ 20 000) et de l’infrastructure sans fil en 5-G, le maillage du territoire est assuré pour cibler de façon collective ou individuelle la prise de contrôle mental par épandage de nanoparticules reliées au réseau. En d'autres termes, l’utilisation de machines à infrasons en elles-mêmes peut provoquer tant des réactions négatives de la planète que des réactions négatives chez les humains, ce qui par la boucle de rétroaction constituée peut amplifier la réaction négative de la planète !

Quant aux entrepreneurs de l'internet tel Steve Paul Jobs (1955/2011), fondateur mythique du géant Apple, ou Bill Gates, fondateur de Microsoft, ils sont les précurseurs du transhumanisme, l'"i-Humain", soit la nouvelle génération humaine fondue dans l'intelligence artificielle (IA), celle du calcul mécanique abstrait propre à des machines qui conduit à la destruction de la civilisation humaine. C'est ce que les textes sacrés ont nommé l'"Antéchrist", la marque de la Bête, autrement dit l'identité électronique permettant un contrôle comme un pilotage à distance total du bétail des dieux de l'Astral, le corpus prédateur. Nul ne sera étonné que l'opération Covid-19 en cours offre l'occasion d'implanter au prétexte de sécurité sanitaire une puce électronique cérébrale, autrement dit un implant cérébral ("Brain implant")*

* Les premières expériences d'implants de radio-identification, le plus souvent désignée par le sigle RFID (de l'anglais radio frequency identification) ont été réalisées en 1998 par le scientifique britannique et professeur de cybernétique Kevin Warwick. Son implant a été utilisé pour ouvrir des portes, allumer des lumières ainsi que pour déclencher différents sons au sein d'un bâtiment. Après neuf jours, l'implant a été enlevé. Il se trouve depuis dans le Science Museum à Londres.

 

5G, l'outil de contrôle mortifère du champ humain

La G (ou 1G), apparue dans les années 1980, a permis de passer des appels, avant que la 2G dans les années 1990 permette d’envoyer des SMS. Puis est apparue la 3G dans les années 2000, permettant l’envoi de fichiers légers tels que les images. La 4G quant à elle dans les années 2010 a contribué au développement d’internet sur les téléphones mobiles. La 5G est le dernier système sans fil que les entreprises de télécommunications ont commencé à déployer en 2020 pour assurer la communication sans fil. Elle est conçue pour permettre des téléchargements plus rapides avec plus de données, la technologie utilisant les bandes 28, 37 et 39 GHz, également connues sous le nom de spectre de vagues millimétriques (mmW). Si elle booste un peu la fluidité de navigation, cela doit surtout éviter la saturation des réseaux tout en gérant l’augmentation du trafic.

5G, qui vient du terme 5ème génération, est conçue pour fonctionner en conjonction avec ce que l’ancien chef de la CIA, David Petraeus, a appelé Internet of Things ou IoT*, autrement dit un système de contrôle total du vivant comme du non-vivant. Son agenda consiste à accrocher toutes les choses matérielles de la planète, ainsi que les humains eux-mêmes, dans un vaste réseau planétaire où tous et chacun deviennent des nœuds dans le réseau, connectés par des micro-puces qui sont de taille nanométrique et peuvent être inhalées (comme de la poussière intelligente).

Si beaucoup de gens encouragent et plébiscitent l’avancement de la 5G pour plus de commodité et de vitesse, ils évaluent de façon naïve et stupide cette situation au sujet de la vie privée, de la sécurité et de la santé (cancer, stress cellulaire, dommages génétiques, changements structurels et fonctionnels du système reproductif, déficits d'apprentissage et de mémoire, désordres neurologiques, impacts négatifs sur le bien-être), qui a conduit en 2017 plus de 230 scientifiques et médecins de 40 pays, se rajoutant à nombre d'agences de santé, à demander un moratoire sur son déploiement jusqu'à ce que des études d'impact sanitaires et environnementales sérieuses et indépendantes aient été réalisées préalablement à toute mise sur le marché. D'autant qu'il est désormais établi par les experts officiels que son déploiement conduira à une augmentation significative des émissions de CO2.

En effet, la 5G augmentera considérablement l'exposition aux champs électromagnétiques de radiofréquences (RF-CEM), en s'ajoutant au brouillard électromagnétique - l'"électrosmog" -  déjà produit par la 2G, 3G, 4G, Wi-Fi, etc., exposition aux ondes du sans-fil dont il a été prouvé qu'elle est nocive pour les humains et pour tout l'environnement du Vivant. Efficace sur des petites distances seulement, cette technologie se transmet mal à travers les solides, nécessitant beaucoup de nouvelles antennes-relais qui créera une nouvelle architecture du réseau conduisant à une exposition massive à laquelle nul ne pourra se soustraire. Il est en l'état estimé entre 10 et 20 milliards de connexions (réfrigérateurs, machines à laver, caméras de surveillance, voitures et bus sans conducteur) ! 

La 5G n’est pas seulement une mise à niveau de l’infrastructure sans fil : c’est un saut géant vers l’installation d’un réseau de contrôle technologique total ! Qui plus est, elle exigera le partage des fréquences avec les militaires. Ainsi des centaines de millions de micro-puces seront dans tout et dans tout le monde, toutes les parties de la Terre étant amenées à être couvertes, de sorte qu’il y aura saturation des radiations urbaines et rurales. Elle est aussi une histoire de gros sous, destinée à rapporter des dizaines de milliards de dollars à ses propriétaires. Ses enjeux financiers sont mondiaux pour des entreprises qui se précipitent afin de gagner de l’argent en utilisant des technologies dangereuses et des produits non évalués sur le plan sanitaire (comme pour le tabac, les médicaments de l’industrie, les vaccins, les Organismes Génétiquement Modifiés, etc.). Il s’agit bel et bien de la construction d’un réseau de contrôle technologique total, dont le but ultime (dessein caché) est de savoir ce que nous pensons et ce que nous ressentons. Plus encore, il s’agira de donner à une pseudo-élite le pouvoir de littéralement changer ce que nous pensons ou ressentons, afin de mieux contrôler nos actions. En effet, notre peau, le plus grand organe de notre corps, répond directement à la 5G, chaque pore de la peau agissant comme une antenne et pouvant réceptionner des signaux. Comme nous sommes d’abord des êtres énergétiques mus par des vibrations et des fréquences, affecter énergétiquement les personnes signifie les affecter physiquement*²... Notre rythme naturel est proche de la Résonance de la Terre (fréquence de Schumann 7,83 Hz). Or, nous sommes soumis à des centaines de fréquences dont certaines sont des milliards de fois supérieures à ce cycle naturel, certains appareils électroniques fonctionnant dans la bande du THz (TeraHertz, des trillions de Hertz). C’est insensé et ravageur d’un point de vue sanitaire, expliquant que Claire Edwards, membre du personnel de l’ONU, ait lancé un avertissement fort aux membres de haut rang des Nations Unies en qualifiant la 5G de "guerre contre l’humanité", en analogie de l'attente angoissante des combats de la deuxième guerre mondiale (elle est la rédactrice de l'Appel international demandant l'arrêt du déploiement de la 5G sur Terre et dans l'espace).

Cet agenda synthétique et clairement transhumaniste se déploie devant nos yeux, dans notre quotidien, même si certaines institutions responsables prennent des mesures adaptées (ainsi les députés vaudois et genevois, qui ont voté en 2019 un moratoire sur les antennes 5G dans leurs cantons respectifs dans la mesure où en décembre 2019 la Suisse est devenue le premier marché européen à mettre en place des services commerciaux 5G à l’échelle nationale grâce au partage du spectre Ericsson). Les déploiements 5G sur les marchés européens se concentrent principalement sur les grandes villes, tout comme ils ont lieu à l'échelle internationale aux États-Unis, en Chine et en Corée du Sud (selon le rapport Ericsson sur la mobilité de novembre 2020, la couverture 5G devrait passer à 60 % en 2026).

De son côté, Bill Gates a annoncé au second trimestre 2020 son soutien financier d'un milliard de dollars en faveur d'un plan destiné à englober la Terre de satellites de surveillance vidéo tel que conçu en 2018 par la société EarthNow à travers le lancement de 500 satellites pour surveiller en direct presque tous les recoins de la Terre, et à même de fournir un retour vidéo instantané avec un délai d'une seconde seulement. De même, par l'intermédiaire de sa fondation Bill & Melinda Gates, il a acheté 5,3 millions d'actions de Crown Castle (dont la valeur totale atteint un milliard de dollars), deuxième holding technologique de la Fondation après Microsoft, et qui possède des infrastructures 5G dans tous les secteurs majeurs du marché états-unien. Cette société exploite et loue plus de 40 000 tours de téléphonie cellulaire, 65 000 point d'accès à un réseau de télécommunications mobiles qui constituent l'infrastructure centrale de la 5G, et 75 000 kilomètres de fibre optique qui, au lieu de fournir à votre foyer un Internet sûr, rapide et câblé, ont été confisqués pour connecter les tours de téléphonie cellulaire 5G.

La réalité est que le véritable objectif de la 5G n'a (presque) rien à voir avec le fait d'améliorer notre vie, mais de la contrôler, de commercialiser des produits et de récolter des données à des fins d'intelligence artificielle. Le nouvel "or noir" du XXIe siècle est bel et bien les données, celles d'un monde où des dizaines de milliards d'appareils dits "intelligents" (téléphones portables, ordinateurs, automobiles, ouvre-portes de garage, montres connectées, couches pour bébés et bientôt nos propres corps) sont interconnectés sans fil pour permettre à Big Data de recueillir et de vendre nos informations personnelles. C'est le projet fou des transhumanistes - Gates, Elon Musk, Amazon, Facebook (désormais Meta), ITT Inc. (Telecom) et autres titans de la Silicone Valley - que de lancer  les vaisseaux phares de cette nouvelle ruée vers l'or sulfureux, flotte grouillante de 50 000 satellites interagissant avec un réseau de 2 000 000 d'antennes terrestres et de tours de téléphonie cellulaire pour extraire les données de nos appareils intelligents. Cette toile d'araignée émettant des radiations micro-ondes permettra à Big Data/Big Telecom et Big Brother de capturer ce qui se passe à l'intérieur et à l'extérieur de chaque personne à chaque moment de sa vie. Une grandiose célébration "satanique" d'une fin de civilisation, qui sera finalisée par le passage à la 6-G, celle-ci étant appelée à demeurer "invisible" ! Alors sera consacrée la marque prophétique apocalyptique de la Bête, le 666 asservisseur de la conscience humaine...

* Réseau interne qui peut sentir, penser et agir, soit un robot intelligent de taille mondiale, combinaison de l’informatique mobile, de l’ordinateur cloud (sur serveur), et d'énormes bases de données sur l’information personnelle, le tout doué d’une autonomie via l’intelligence artificielle inhérente au système et exponentiel de puissance grâce aux interconnexions...

Selon le scientifique israélien Dr. Ben-Ishai : "Les fréquences 5G vont nous atteindre avec des longueurs d’ondes qui interagissent avec la structure géométrique de notre peau… ". Concernant l'implication sur la santé, " En 2008, nous avons constaté que les pores de la peau fonctionnent comme des antennes hélicoïdales… Chaque pore est une partie intégrante du mécanisme d’absorption d’énergie électromagnétique. Toute votre peau fonctionne comme une antenne, en modifier le fonctionnement naturel par des ondes pourrait être dramatique."

 

Réseau satellitaire de propagation de la 5-G

Un réseau de 20000 satellites* (il y en avait 1 738 en septembre 2017), utilisant le même type d’antennes réseau à commande de phase que les systèmes 5G basés au sol, sont en charge d'envoyer des faisceaux étroitement focalisés de rayonnement hyperfréquence intense sur chaque appareil 5G spécifique qui est sur Terre, chacun d'entre eux les renvoyant au satellite. Ils remplacent les générations précédentes de communications cellulaires RF, qui utilisaient de grandes antennes pour envoyer une couverture de rayonnement dans toutes les directions (les basses fréquences utilisées et la large distribution des micro-ondes limitaient le nombre de dispositifs cellulaires pouvant se connecter via une tour individuelle). Grâce aux micro-ondes de longueur beaucoup plus courte utilisées pour la 5G, l'utilisation de petites antennes à réseau phasé permet d'envoyer et de recevoir des signaux, celles-ci consistant en grappes de centaines de minuscules antennes qui travaillent ensemble pour projeter un rayon d’énergie sur une cible.

Les rayons des micro-ondes qu’elles produisent sont suffisamment puissants pour traverser les murs et les corps humains*². Ils fonctionnent comme des scanners corporels, permettant ainsi aux services de police à l’aide de caméras spéciales de voir les gens dans leur maison à travers les murs ! Qui plus est, certaines tours en Angleterre peuvent scanner à distance la mémoire de notre smartphone pour envoyer des films publicitaires même si il est éteint...

A noter que les satellites devenus obsolètes disparaissent sous la mer, dans un vaste cimetière dédié. Autant dire que ceci génère un taux de pollution très conséquent, avec la pleine complicité des autorités concernées...

* Les satellites 5G sont ceux d'entreprises comme SpaceX (12 000 satellites), OneWeb (4 560 satellites) en partenariat avec Honeywell pour fournir une connexion Wi-Fi haut débit aux avions d’affaires commerciaux et militaires dans le monde entier, Boeing (2 956 satellites) et Spire Global (972 satellites).

Lorsqu’un champ électromagnétique ordinaire pénètre dans le corps, il provoque le déplacement des charges et la circulation des courants. Mais lorsque des impulsions électromagnétiques extrêmement courtes pénètrent dans le corps, quelque chose d’autre se produit : les charges en mouvement deviennent elles-mêmes de petites antennes qui réémettent le champ électromagnétique et l’envoient plus profondément dans le corps.

 

Radars routiers nouvelle génération !

Le déploiement de 1200 radars répartis aléatoirement dans près de 6000 cabines a démarré fin 2020. Ces radars tourelles, boîtes perchées jusqu’à environ quatre mètres de hauteur (pouvant aller jusqu'à six), peuvent relever la vitesse sur 200 mètres de distance et sur cinq voies de circulation, et jusqu’à 126 véhicules en simultané… Ils peuvent également flasher en cas de non respect d’un feu rouge. Potentiellement, ils peuvent détecter le non respect des distances de sécurité, la détection des dépassements dangereux, le franchissement de ligne continue, le non-port de la ceinture de sécurité, la prise en main d’une téléphone portable… Le tout est filmé et analysé, par Intelligence Artificielle et manuellement pour contrôle, ne laissant aucune chance d’y échapper ! Toutes les cabines n’auront toutefois pas de radar, ceux-ci pouvant être déplacés, laissant de ce fait des cabines leurres.

Ces radars sont reliés à la 5-G par satellite, constituant de par sa puissance une puissance de scanner incomparable, pouvant identifier jusqu'au numéraire embarqué par ses détenteurs !

 

Comment le treillis de la Matrice retient l’Âme prisonnière après la mort du corps physique ?

Dans son témoignage "Je vois les défunts", l'auteure états-unienne Jane Ross relate les raisons émotionnelles qui font que les esprits restent attachés à la terre, prisonniers du bas astral. Fruit de son travail thérapeutique, elle montre que cet "attachement" est dû aux croyances qu’une personne peut entretenir sur elle-même comme sur le monde de l’après-vie, et que sans une ouverture de conscience, elle ne peut "transiter" avec succès pour gagner une autre dimension de réalité. Il y a en effet des lois qui régissent l’environnement spirituel post-mortem.

Le schéma général est d’abord que les esprits attachés n’ont généralement pas conscience d’être morts, puisque le trauma de la mort semble provoquer une perte de mémoire. Ensuite, les croyances, engendrant des nœuds émotionnels, des jugements et des visions du monde, sont à l’origine de l’attachement prolongé à la terre. Ces croyances peuvent être religieuses (par exemple, une idée précise de l’après-vie, du paradis, de l’enfer, etc), psychologiques (affaire non réglée avec un proche, entraînant culpabilité, sentiment de responsabilité, etc), et bien sûr matérialistes (attachement à ses possessions).

Les murailles de l’égo* semblent ainsi toujours persister pour protéger la personne d’une souffrance non-reconnue. En quelque sorte, les problèmes avant la mort sont toujours les mêmes après la mort. L’état d’esprit et les émotions, en l’absence de l’effet régulateur du corps physique, semblent prendre une ampleur considérable sur la perception de la réalité. Il s’agit au final pour ces esprits d’être en paix avec toutes les personnes côtoyées durant la vie physique.

Ces esprits attachés à la terre peuvent souvent partager le champ d’énergie d’une personne incarnée et l’influer avec leurs propres états d’esprit, émotions, et pensées. Or la plupart du temps, sans un travail thérapeutique ou une certaine sensibilité, ces influences ne sont pas décelées.

Il semble également que l’attente dans ce champ du bas-astral peut être plus ou moins longue, certains esprits étant bloqués depuis longtemps entre les deux mondes. Une véritable société parallèle semble exister dans ce monde spirituel, et elle est d’une certaine manière consciente de notre environnement. En prenant conscience de son existence, nous comprendrions beaucoup mieux les liens qui nous unissent, même après la mort, et par-là même la nécessité de s'en défaire pendant notre incarnation pour s'extirper du filet de captation des âmes insuffisamment épurées ...

* Cf. Décryptage de l'égo.

 

Cette barrière électromagnétique du champ astral contrôle la fréquence de résonance de l'entité-groupe constituée par les consciences humaines, autrement dit l'égrégore collectif civilisationnel. En le contrôlant, elle peut influer par la prédation psycho-émotionnelle sur le déploiement de son jeu mortifère, tout particulièrement par ses relais terrestres psychopathes*, et se nourrir de toutes ses expressions colorées de peurs, haines, violences, souffrances...

Toutefois, des forces trans-dimensionnelles évolutives, en mode "Service d'Autrui" - les Mères Divines ou Vierges Noires*² - conformément à la loi d'équilibre ou de symétrie prévalant dans l'univers, ont réussi à en désactiver certains points d'ancrage. Elles ont en l'occurrence permis à des consciences "Service d'Autrui", en provenance de notre futur*³, de s'incarner dans un cycle humain afin d'ancrer de plus hautes fréquences. Grâce à leur vibration de résonance beaucoup plus importante, et par la maîtrise du travail intérieur qui permet de développer les capacités de l'ADN*, ces individus deviennent des sortes de conduits qui ouvrent le passage à des fréquences beaucoup plus élevées. Ces fréquences commencent actuellement à affaiblir le maillage de la "matrice de l'ignorance" qui retient l'humain dans sa prison, tel que Platon l'a décrit à sa façon dans son allégorie de la Caverne, bénéficiant par-là même à d'autres consciences susceptibles d'éveil. Elles préparent à la fenêtre d'ouverture dimensionnelle correspondant à la fin d'un cycle, conformément à l'application des lois universelles régissant le fonctionnement de la Création. Seuls les ignorants, constituant la majorité de l'humanité, continuent à s'accrocher aux fadaises racontées par les représentants de l'élite aux commandes auxquels ils sont aveuglément liés, n'ayant jamais imaginé qu'ils détenaient en eux les clés de leur libération en comprenant la nécessité impérative de regarder le monde à l'envers...

* Cf. Fonctionnement du corps biologique & Les acteurs de la Matrice falsifiée.

Cf. Le féminin séquestré.

*³ Cf. explication de la rétro-causalité dans Fin de cycle : la guidance éclairée de sa vie.

* Cf. Processus de transformation de conscience.

 

Son application terrestre

Lieux d'implantation

 

Pour comprendre l'application du modèle géométrique de la "Fleur de vie" comme création matérielle et physique de la matrice de 3ème dimension terrestre supervisée par le corpus prédateur de 4ème dimension, il suffit d'en observer les éléments explicites répartis dans notre paysage, dans des lieux présentés comme sacrés alors qu'ils ne sont que les points d'ancrage de la matrice involutive.


En superposant la Fleur de vie complète sur des cartes dites d'État-Major, et après avoir calculé l'échelle correcte, il ressort que tous les sites mégalithiques considérés comme sacrés - Stonehenge (Angleterre - photo 1), Carnac (France - photo 2), les menhirs (Asie, Afrique, Europe), les pyramides (partout dans le monde)... sont, à quelques exceptions près, toujours disposés au centre de six points de cette géométrie. Ce n'est bien sûr pas un hasard, car ils sont tous situés sur des points telluriques qui leur fournissent l'énergie nécessaire pour alimenter le piège magnétique déployé par le corpus prédateur (Cf. Fonctionnement de l'architecture du Vivant).

Il en est de même pour la plupart la plupart des monuments tels que obélisques (photo 4), temples, églises, cathédrales (photo 5) et certaines architectures dans les grandes villes, telles la pyramide du Louvre à Paris, lieu du "sacre Macron" (photo 6) ou la Cour suprême d'Israël à Jérusalem (photo 7). Plus précisément, les pyramides font partie d'un dispositif électronique qui projette l'énergie du réseau tellurique dans l'atmosphère autour de la planète, en inversant sa polarité, et ce en fonction de l'énergie "viciée" reçue initialement de certaines constellations du champ astral telles Orion (Cf. image ci-dessous) ou Sirius, les planètes à énergie sombre berceaux de nos maîtres prédateurs extradimensionnels. C'est ce qui forme le maillage de ce filet électro-magnétique à l'énergie inversée qui enveloppe la Terre. Ces sites et monuments, dont beaucoup existent depuis plus de 10 000 ans, sont les activateurs de la matrice de 3ème dimension placée sous l'égide du consortium prédateur.

A cela se rajoutent les portails extradimensionnels ou vortex en forme de triangles qui établissent les voies de passage des entités venant d'autres dimensions de réalité, comme le fameux "triangle des Bermudes" dans la zone océanique des Caraïbes (Cf. image 8), lieu de disparition étrange de nombreux navires ou avions, ou le "triangle de l’Alaska" (Cf. image 9), où l’on a observé des centaines d’ovnis et de "bigfoot" ou "sasquatch"*, et qui a également vu disparaître plus de 20 000 personnes depuis 1970, soit un taux de disparition plus de deux fois supérieur à la moyenne nationale (selon la World Population Review, l’Alaska est de loin l’État américain qui compte le plus grand nombre de personnes disparues avec une moyenne de 42,16 pour 100 000 habitants, soit le double de la moyenne nationale de 6,5 personnes pour 100 000 habitants, devant l’Arizona avec 12,28 personnes disparues). Il est situé entre les villes de Juneau, Anchorage et Barrow, qui délimitent cette zone connue comme un foyer d’activité paranormale, expliquant également qu'il s'agit d'un haut lieu stratégique de technologie militaire comme la Zone 51 dans l'Etat du Nevada aux États-Unis ou le mont Bugarach en France dans le Sud du département de l'Aude en région Occitanie.

Tous ces lieux représentent les barreaux de notre prison de 3ème dimension.

* Le Bigfoot ou Sasquatch est une créature présentée comme légendaire qui vivrait au Canada et aux États-Unis. Toutefois, la multiplication des témoignages laisse à penser qu'il s'agirait d'une créature bien réelle, mais n'appartenant pas à la dimension de réalité terrestre dite 3-D.

 

Si la nature utilise la symétrie triple et sextuple*, y compris la forme de tuile hexagonale du nid d’abeille commun, cette symétrie est également présente dans les établissements anciens, la corrélation entre les trois plus grandes pyramides égyptiennes de Gizeh et de la constellation Orion étant l’une des plus importantes (Cf. photo 10 du bandeau ci-dessus et photo ci-dessous). Cette corrélation a bel et bien été voulue comme telle par les premiers constructeurs du complexe pyramidal de Gizeh, les étoiles d’Orion étant associées à Osiris, le dieu de la renaissance et de l’au-delà par les anciens Égyptiens. D'autres pyramides peuvent être incluses pour compléter l’image de la constellation d’Orion, tout comme le fleuve Nil pour correspondre à la galaxie de la Voie lactée.

* Cf. Symbolisme des neufs premiers nombres.

 

"Si vous voulez découvrir les secrets de l’univers, pensez en termes d’énergie, de fréquence et de vibration."

Nikola Tesla, inventeur d'origine croate (1856/1943)

 Le lien entre Orion et les pyramides - Source : "Les enfants de la Matrice" de David Icke - Cliquer pour agrandir
Le lien entre Orion et les pyramides - Source : "Les enfants de la Matrice" de David Icke - Cliquer pour agrandir

 

Quelques Temples relais

Temple d'Amritsar en Inde

Temple d'Osiris à Abydos en Égypte


 

Les villes sous contrôle

New York, Montréal, Philadelphie, Atlanta, Paris, Pyongyang, Dubaï... leurs pyramides allumées et scintillantes la nuit indiquent le contrôle de ces villes par les forces de la prédation*.

* Explication dans Fonctionnement de l'architecture du Vivant. Le Burj Khalifa ou "tour de Khalifa" (photo 7) est un gratte-ciel situé à Dubaï aux Émirats arabes unis, devenu en mai 2008 la plus haute structure humaine jamais construite (828 m. de haut).

Le corps énergétique terrestre sous contrôle

Si l'Homme de Vitruve* attribué à l'artiste italien Léonard de Vinci représente le corps énergétique par ses divines proportions mathématiques, c'est pour signifier qu'il est en permanente inter-relation avec les énergies célestes (le champ éthérique) qui le nourrissent, pour le meilleur ou pour le pire... C'est ainsi que les "mages babyloniens", relais terrestres du corpus prédateur de 4ème dimension - la "Matrice astrale" - ont configuré le treillis terrestre pour empêcher ou altérer le passage de la vibration énergétique positive permettant à l'être humain de recevoir la juste information en toute conscience de Qui Il Est, et ce tout particulièrement dans les capitales portes-étendard dévoyées. C'est ainsi qu'à Paris, le champ de Mars (photo), le dieu de la guerre, est la réplique florale et minérale de l'Homme de Vitruve, se trouvant dominé par la Tour Eiffel, antenne-relais nécessaire avec le treillis électromagnétique du champ astral. Elle est le symbole tant phallique que pyramidal de la "père-version", au même titre que l'obélisque de la Concorde ou la pyramide du Louvre. Sans conscience de cet artifice, l'être humain demeure un esclave illusionné de ses maîtres entropiques.

* Cf. Qu'est-ce que l'Homme ?

 

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Les 7 tours du Diable

Selon l’écrivain français René Guénon (1886/1951), les "7 tours du Diable" constituent les centres de projection des influences sataniques à travers le monde, allant dans le quadrillage énergétique terrestre du centre de l’Afrique à la Sibérie. Elles sont sous l'influence de la planète impulsive Mars à travers le métal fer, qui entraîne la guerre par sa résonance de précipitation, d’impatience et en définitif de la chute. Tel est le monde d’aujourd'hui, autrement dit l’Age sombre de toutes les fraudes psychiques comme le scientisme du transhumanisme, la psychanalyse dévoyée, les divers dieux polythéistes, le culte de la matérialité, du progrès et de la technologie, soit autant de causes constitutives de troubles rendant quasi impossible toute libération de l'être humain de la Matrice prédatrice asservissante.

Cf. Ouvrage de Jean-Marc Allemand "René Guénon & les Sept Tours du diable".

 

Fonctionnement énergétique de la pyramide négative

Les 144 000 pyramides répandues tout autour de la matrice terrestre constituent l'infrastructure terrestre destinée à générer et à redistribuer les flux énergétiques sur un plan subtil via des vortex fonctionnant comme des tores (surface de révolution engendrée par un cercle qui tourne autour d'un axe situé dans son plan et ne passant pas par son centre), autrement dit des portails d'accession aux mondes "supérieurs", ceux de la 4-D et plus. Par leurs canaux énergétiques, elles sont reliées au même nombre de planètes, d’étoiles et de constellations, maintenant la Terre en orbite en l’empêchant de chavirer en raison de l’instabilité de son noyau. Elles constituent ainsi en tant qu’antennes un réseau cellulaire unique dans l’espace.

Il s'agit d'une technologie spatiale dont le fonctionnement est illustré par la célèbre pyramide de Khéops à Gizeh en Égypte (image ci contre). Sa particularité n’est pas seulement le mode d’échange automatique d’énergie entre la Terre, les planètes et les étoiles, mais aussi la possibilité initialement intégrée d’une participation en direct de l’homme à cet échange.

Comme le montre le schéma, l’énergie (prana) qui circule dans les lignes dites de ley pénètre dans la pyramide par le bas. Son tourbillon est créé par la réflexion des flux provenant des limites du réseau pyramidal.

Il en résulte une boucle de rétroaction couvrant tous les éléments actifs de la construction, qui fonctionne comme un résonateur très puissant. En raison de sa forme pyramidale, le vortex se concentre dans la partie supérieure et, en sortant, interagit avec le rayonnement des étoiles et des planètes, qui sont orientées vers les canaux-guides d’ondes internes.

La pyramide de Khéops est orientée vers Sirius dans l’amas d’Orion comprenant Ursa Major, Ursa Minor, Thuban et Draco. Avec deux autres pyramides – Chephren et Mycerinus, elles forment toutes trois la configuration de trois étoiles de la ceinture d’Orion (Mintaka, Alnilam et Alnitak) qui sont synchronisées avec les vibrations de la Terre. Quant au Sphinx, sa fonction consistait à servir de répétiteur. Il était orienté non seulement vers la constellation du Lion, la ceinture d’Orion et Sirius, mais aussi vers tous les lieux de pouvoir et les objets sacrés situés le long de la latitude nord de 30° autour du globe, en premier lieu sur les pyramides construites à une distance de 18° les unes des autres.

Si de nos jours les pyramides égyptiennes et bien d’autres ne sont plus utilisées pour le "Mal", cette fonction continue d’être remplie par d’autres objets nombreux sur la Terre comme sur le plan subtil.

 

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La pyramide noire

L'année 2023 a constitué une année charnière, constitutive de l’étape finale d’autres opérations menées précédemment pour l'asservissement définitif de la civilisation humaine et des humains-âmes la composant. Elle voit les élémentaux - terre, eau, air, feu - utilisés à cet effet à partir du Cristal Noir des entités négatives - les "Archontes Aliens" - conservé dans les montagnes d’un des pays du sud de l’Europe*, la Turquie, ce cristal étant relayé par un réseau de 144 Portails situés dans les montagnes turques et syriennes (la Syrie est le pays voisin) en forme de pyramide à l’intérieur desquelles des copies de ce Cristal ont été placées selon un pentagramme énergétique géant et un vortex, créé entre cinq points focaux entre la Turquie et la Syrie - Manbij, Raqqa, Palmyre, Homs et Alep - (Cf. photo 8 du bandeau ci-dessus). Ces points sont en effet à l’intersection d’importantes lignes de "ley" (lignes dites vitales) à travers lesquelles circule l’énergie de la Terre (prana). Le pentagramme est en effet une forme géométrique puissante qui permet de l’accumuler et de la canaliser afin d'assurer un rayonnement humain négatif provenant des innombrables guerres locales, atrocités et sacrifices commis tout au long de l’histoire de ces deux régions qui souffrent depuis longtemps, au même titre qu'il a été utilisé pendant la Seconde Guerre mondiale avec les camps de concentration d'Auschwitz, le camp de la mort pour enfants de Lodz, les camps de Treblinka et de Sobibor, tous les quatre en Pologne, et celui de Yanovsky en Ukraine, permettant le long des mêmes lignes de ley du pentagramme à au moins trois autres camps de sacrifice de fonctionner (Belzec, Tomaszow Mazowiecki et Majdanek). Sa substance a été distribuée uniformément sur tout le globe par des impulsions provenant du noyau terrestre, étant consommée à la surface et aspirée sous forme de déchet avant d'être nettoyée et à nouveau projetée. Grâce à ces portails, la Pyramide Noire pompe dans l'espace l’énergie la plus pure de la Réalité Idéale pour être consommée sur place, et en partie redirigée vers d’autres planètes, alliées de l’espace de ces forces sombres.

Cette pyramide noire, à l'instar de ce que fut le Pyramidion (Cf. photo 9 du bandeau ci-dessus), la pierre de couronnement de la pyramide noire de Dashur (1850 av. J.-C.), également connue sous le nom de pyramide du roi Amenemhat III (1860/1814 av. J.-C.) de la 12e dynastie pendant l’Empire du Milieu de l'Égypte ancienne, est contrôlée par des entités de nature reptilienne incarnés dans des corps humains*², qui y ont construit leur demeure et un gigantesque complexe de laboratoires, de sites d’essai, d’incubateurs, de dépôts d’artefacts sacrés et d’installations très semblables aux dessins de l’artiste new-yorkais Samuel Gomez (Cf. illustration). Une grande partie de l’élite terrestre y tient de temps à autre ses réunions. Autant dire que les nouvelles fréquences énergétiques en provenance de la 5-D, qui ne cessent d’augmenter, constituent une menace pour ces "Reptiloïdes" et autres "Dracos"... qui, considérant la Terre comme leur propriété, refusent catégoriquement de la quitter et deviennent de plus en plus despotiques et meurtriers à travers les pandémies, les guerres locales et autres conflits sanglants, les armes climatiques et tectoniques, l’aggravation des affrontements géopolitiques et des crises économiques.

* Il existe une seconde pyramide noire, située dans la zone de l’Océan Indien.

Cf. Les acteurs de la Matrice falsifiée.

 

Prédation énergétique

 

Le corpus prédateur se nourrit de toute l'énergie émotionnelle électrique des êtres humains qui se répercute sur sa grille magnétique artificielle établie. Aussi tous les égrégores individuels et surtout collectifs alimentés d'énergies négatives - colère, rage, hargne, violence... -, liées à des peurs et à des souffrances, lui procurent force. Le relais du prédateur est logé dans notre psyché, l'égo-mental, manipulé par les fausses croyances et les conditionnements délétères. Cette stratégie de diversion est intentionnellement appliquée afin de pousser la psyché de l'individu à la colère et à la rébellion. Ainsi avec Internet, qui s'il peut être un puissant outil d'information et de communication au service de l'évolution humaine, est aussi un puissant moyen de pouvoir et de contrôle au service de l'élite institutionnelle. Tout comme la télévision, les radios et le cinéma *, les réseaux sociaux participent à entretenir la propagande dualiste - "like ou unlike" -, en manipulant l'individu à travers son émotionnel et en implantant dans son subconscient des informations subliminales l'éveillant à ses bas instincts et à ses pulsions de colère, de haine, de ségrégation, en l'obligeant insidieusement à prendre un parti quelconque... Ces réseaux font donc office de remarquables indicateurs du niveau de conscience de la société, mais jamais ne contribuent à dévoiler l'existence d'une troisième voie libératrice.

* Cf. Le cinéma de la Matrice (1) & Le cinéma de la Matrice (2) La science réalité.

 

Illustrations de l'endoctrinement prédateur
Illustrations de l'endoctrinement prédateur

De la même façon, les lieux et édifices présentés comme sacrés sont de nos jours encore le théâtre de rites en tout genre, qui ont pour dessein occulte d'y attirer de nombreuses personnes ignorantes, souvent guidées par des "agents" inconscients de servir le consortium prédateur. Ces visiteurs et touristes, en vénérant ces lieux au travers de cérémonies, de prières ou de simples visites, ne font qu'alimenter l'égrégore de fausses croyances que la prédation utilise pour renforcer le dispositif électronique générant l'illusion dans la matrice. C'est tout l' "art" de la programmation d'endormissement du New Age comme des religions dévoyées que de laisser croire que ces lieux présentés comme "sacrés" sont au service de l'élévation de la conscience humaine. Par exemple, les pyramides comme celle de Gizeh* possèdent des soi-disant "conduits d'aération", qui sont en fait orientés spécifiquement vers les systèmes stellaires appartenant à l'empire de la prédation. Comme toujours, la désinformation de masse joue de la crédulité et de l'émotionnel*² d'individus peu soucieux de chercher la vérité en eux-mêmes, certes par manque d'information, mais également et surtout par manque de discernement...

Il est toujours préférable d'honorer son Temple intérieur que de vénérer des monuments et de s'éparpiller à vouloir changer l'extérieur. La réalité extérieure ne change que si notre réalité intérieure change, et celle-ci ne change que si nous savons accueillir la Connaissance que nous demandons à l'Univers, non à nos faux maîtres-enseignants.

* Cf. Le modèle pyramidal décodé.

Cf. Libération émotionnelle.

 

La pyramide, canal d'aspiration de l’Âme humaine

La plupart des pyramides fonctionnent comme des condensateurs d'énergie. Ainsi les ouvertures trouvées sur les pyramides, notamment de Gizeh, ne sont nullement des aérations comme le prétendent les égyptologues. Elles servent de "canal d'aspiration" destiné à récupérer les Âmes humaines piégées dans le maillage électronique formant la matrice de 3ème dimension*. Si cette technologie sophistiquée avait pour objectif après sa dénaturation par la prêtrise païenne de permettre la réincarnation des Âmes de lignée Royale dévouées à l'empire de prédation, elle fait aussi partie d'un dispositif électro-énergétique de capture d'Âmes. En effet, comme piliers du filet électronique invisible tendu autour de la Terre, mais également agissant dans le système solaire et une partie de la galaxie, les pyramides happent les Âmes humaines qui, après l'incarnation terrestre*², voyagent dans l'astral cosmique pour tenter de retourner à leur Êtreté/Source. Bien que cela puisse paraître totalement absurde pour l'homme rationnel biberonné à l'enseignement dispensé par le système, il existe d'autres pyramides sur d'autres planètes (Lune, Mars, Vénus, Jupiter...), mais aussi sur chaque planète-mère du consortium de prédation telles que Sirius, Orion, la Grande Ourse.... Elles constituent d'autres points d'ancrage énergétique de ce terrible piège.

Les pyramides et ce filet électronique (le treillis) tendu à travers une partie de la galaxie contribuent qui plus est à détruire la mémoire stellaire de l'Esprit/Conscience de l'être humain lorsque celui-ci est renvoyé dans la matrice de 3ème dimension terrestre. Soit le voile de l'oubli, l'amnésie de Qui l'humain EST vraiment... Enfin, elles tentent de freiner l'inversion des pôles magnétiques de la Terre, tentant d'empêcher de ce fait l'ouverture de conscience en cours des êtres humains.

* Explication dans Fonctionnement de l'architecture du Vivant - Les ondes scalaires.

La fameuse lumière blanche décrite par les expérienceurs de NDE (Near Death Experience ou Expérience de mort imminente - EMI) n'est rien d'autre que l'éclair lumineux perçu par la conscience du défunt lorsque celui-ci se fait prendre dans ce treillis électro-magnétique et se fait griller la mémoire dans son ADN éthérique. La présence d'êtres chers comme d'êtres lumineux (anges, archanges...) est une illusion de plus destinée à empêcher l'ascension de notre âme au moment de la mort, pour retenir l'être humain prisonnier dans le champ astral, et continuer de servir de garde-manger aux forces prédatrices. C'est pourquoi s'alléger de toutes nos impuretés toxiques pendant notre incarnation, en toute conscience de la manipulation extra-dimensionnelle, peut favoriser la réussite du passage du tunnel...

 

D'autres supports sous forme de cristaux de roche sont utilisés aux mêmes fins. En forme de crâne, ils sont considérés comme des représentations symboliques du Soi supérieur en mode "Service de Soi". Ils célèbrent simplement la mort, non le Vivant, la Lumière de l'UN. Compte-tenu de leurs propriétés (Cf. ci-contre), ils peuvent très facilement et à tout moment être programmés et reprogrammés à partir d'autres plans dimensionnels afin de moduler la fréquence de résonance des humains qui se trouvent dans leur environnement. Ceci permet d'amplifier les croyances humaines inhérentes aux programmes de leur matrice de 3ème dimension, tout particulièrement lorsque leurs gardiens exhibent en public leur énergie inversée et corrompue.

Les crânes de cristal et soi-disant cristaux de pouvoir ou de cérémonie sont d'autres moyens d'entretien de la prédation énergétique compte-tenu des propriétés conductrices du cristal, qui vibre à une fréquence très stable et possède la particularité d'amplifier les ondes électromagnétiques et photoniques de l'ADN. Ces crânes de cristal sont capables d'entrer en résonance avec des codages ADN situés sur d'autres plans dimensionnels, comme par exemple les plans de l'astral et la 4ème dimension involutive "Service de Soi".

Cf. Fonctionnement de l'architecture du Vivant.

 


La grotte, lieu sacré terrestre

D'un point de vue symbolique la grotte est un des archétypes primordiaux de la psyché humaine (Platon l'utilise dans sa célèbre allégorie de la Caverne). Elle rappelle à l'humain sa capacité d’introversion et à se faire creuset, permettant à ses forces intérieures leur alchimie afin que la conscience puisse choisir de renaître à elle-même et de déterminer son avenir. Elle est l'espace utérin par excellence, où se joignent les forces complémentaires : énergies telluriques et cosmiques. Dans la pénombre de la grotte, l'être spéléologue de lui-même contacte tel un fœtus la magie du microcosme cellulaire et du macrocosme stellaire. Ce trou noir qu'est la grotte lui procure les conditions propices à l'introspection et à la reconnexion – au travers des milliards de trous noirs, les atomes, qui constituent son propre organisme – à la Force Originelle.

Nos ancêtres initiés tels les Cathares avaient parfaitement compris la valeur à la fois symbolique et opérative de la grotte sur le plan multidimensionnel. Ils n’avaient pas besoin de lieu de culte ni de lieu de rituel construits de main d’homme, à de rares et grandioses exceptions près, tels Montségur et Quéribus. Ils savaient comme l’avait dit Paul de Tarse que "le corps de l’homme est le vrai temple de Dieu". Le sanctuaire, c’est la nature. La nature humaine, et la Nature tout court.

 

L'art de la traite d'énergie vitale

 

Toutes nos pensées sont bel et bien théoriquement observables, puisqu’elles ont une consistance ainsi qu'une extension extra-dimensionnelle hors de notre corps. Si notre système de pensée est erroné, nous rendant esclave, c'est certes dû à la matrice qui nous contrôle, mais aussi à nous-même. En effet, un esclave tout court, ça n’existe pas. On est toujours l’esclave de quelqu’un ou quelque chose. Autrement dit, nous sommes "d'accord" pour être l'esclave de la matrice, voulant simplement ne pas savoir que nous le sommes... Ce n'est que si nous nous transformons en esclave qu'il y a forcément une espèce d’entité - celle que nous ne voulons ou ne pouvons pas voir - qui en profite.

Le travail du corpus prédateur asservisseur ressemble grosso modo à ce que nous pratiquons nous-mêmes avec nos animaux plus ou moins sauvages, c’est à dire l’élevage pour les uns et le parcage ou le contrôle pour les autres. Si ne nous sommes pas consommés de la même manière, la traite effectuée porte sur notre fluide vital que nous avons la particularité de secréter, et qui a un rapport avec la conscience. Les entités prédatrices doivent simplement respecter la condition que leur activité reste en conformité avec la loi morale qui règne au sein de l'univers. Cette loi morale est très simple : le respect du libre arbitre de tout être dans l’univers.

 

 Sujet de droit, sujet à droits... octroyés par le(s) Maître(s)

Une confusion régulièrement commise par les juristes est de penser que les Hommes et les Femmes sont des sujets de droit, et qu'à ce titre la Constitution leur reconnaît la liberté de vivre, de travailler, et d’être respectés comme des sujets de droit. Or un "sujet" est un esclave, un individu soumis à une autorité souveraine, une personne astreinte à une nécessité, à une obligation pénible, une contrainte, ce qui se nomme sujétion. De ce fait, ses maîtres ont comme sur tout esclave droit de vie et de mort, au propre comme au figuré, seuls les moyens, outils et méthodes ayant revêtu des oripeaux plus adéquats avec l'air du temps, celui des pseudo-démocraties. Il n'est qu'à voir les mesures liberticides sous couvert de protection sanitaire pour s'en convaincre : assassinat des personnes âgées en EHPAD, interdiction aux médecins de soigner leurs patients et donc incitation à les laisser mourir, interdiction des remèdes véritablement efficaces, emprisonnement de toute une population "à domicile", fermeture de commerces et privation de certains citoyens de leur gagne-pain y compris pour refus de piquouse, imposition d'un passe-sanitaire et d'un masque dans les lieux décrétés, imposition d'une pseudo thérapie (vaccins géniques) dont personne n’a véritablement besoin (les effets d'un coronavirus peuvent être traités de bien meilleure façon, notamment chez les individus immuno-déprimés) et que personne n’a réclamée .

Soit on est libre, soit on est "sujet", mais on ne peut être les deux à la fois, même si le "en même temps" sert de viatique à un monarque président totalement illégitime puisque assis sur une entreprise privée (la Présidence de la République française), qui plus est élu au moyen d'une fraude électorale que permet le vote électronique, et non une institution présentée officiellement comme de nature publique. Il en découle que ceux qui produisent le "droit" produisent des règles statutaires privées, qui en aucune façon correspondent à la nature première de l’Être humain, sa nature cosmologique souveraine. Les Hommes et les Femmes de la Création ne peuvent être "sujet de droit". C’est un mensonge et un piège mortel que de l’affirmer.

Un sujet de droit est d’abord un individu, plus exactement une "personne", c'est-à-dire une entité dénuée de VIE. C’est une inscription sur un registre ou tout autre support ; c’est un concept juridique, un produit du mental, une fiction, un masque, un tour de passe-passe, qui servent à cacher la nature réelle de l’Homme et de la Femme, soit sa nature Divine première. Seules les "personnes morales, physiques" sont des "sujets de droit", car produites par le droit et non par Ce Qui Est, le Créateur Primordial. Ces personnes sont des créations juridiques, des créatures de l’Homme et non naturelles. Les créatures vivantes possèdent en effet l’âme éternelle, parcelle de Lui-même, de Son Esprit. Elles sont de ce fait LIBRES, non assujetties à leurs pairs au moyens de règles privées et arbitraires.

Il en résulte que l’Humanité est soumise aux diktats (soit l'état d'esclavage) de ses maîtres entropiques, les maîtres magiciens babyloniens experts en illusion et tromperies de toutes sortes, ces entités malfaisantes et assoiffées de pouvoir. Elle est assujettie à leurs règles privées appelées "droit", "codes de lois", etc. Le "droit" n'est pas LA LOI mais de la criminalité, seule la Loi Naturelle faisant foi. C'est l’Unique Loi, rappelée à travers les siècles par les Sages et les Prophètes venus enseigner et rappeler qui Nous Sommes vraiment, pour peu que notre conscience soit suffisamment éveillée pour le comprendre.

Comment s'étonner alors que la plupart des hommes et femmes politiques soient des avocats, qui inscrits au "barreau" (celui avant tout de la conscience) et liés par leur serment (le serment est au Barreau et non à leurs clients qui les paient), font partie d’une secte, celle du Temple Bar, le Barreau du Temple* ! Autrement dit d'un temple, lieu de culte de toute secte religieuse dont le Pape est le chef suprême... même si nombre d'avocats illusionnés et naïfs n'en sont bien sûr pas conscients, la connaissance comme chez les Francs-maçons n’étant disponible qu’aux échelons les plus élevés de la hiérarchie des "grands prêtres" !

* Cf. Symbolisme et artifices de la Matrice.

 

De la fraude du Nom légal et du certificat de naissance

En enregistrant le certificat de naissance, l’État a pris la propriété du nom légal, celui-ci devant être écrit en minuscules (c'est le nom usuel, le seul admis et approuvé par la grammaire française) et non pas en majuscules (c'est le nom corporatif ou sociétal). Or, ces deux types d'écritures du nom ne sont pas nos véritables noms et prénoms en tant qu'êtres humains. 

Cette fraude du nom légal a été reconnue par la Juge Anna von Reitz du Tribunal Pénal International, qui a statué par ordonnance en date du 28 mai 2016 en stipulant qu'il était interdit d'écrire les noms légaux des êtres humains en LETTRES CAPITALES. Il en découle que les profits réalisés par les Réserves grâce à la vente de garanties, celles que constitue notre propriété, nous appartiennent et doivent être rassemblés en un fond à notre avantage !

Ces deux types d'écritures appartiennent en fait à l'entité ou Corporation commerciale (ou multinationale) nommée Gouvernement ou République française comme à tous pays de l'UE ou de l'OCDE. C'est par le code UCC - Uniform Commercial Code - que sont régies toutes les transactions commerciales sur notre planète, ces transactions ne pouvant avoir lieu qu'entre corporations commerciales et personnes juridiques, le Code de l'UCC interdisant toute transaction commerciale avec des êtres humains. Quant au reçu officiel du gouvernement pour utiliser l'une ou l'autre de ces deux écritures, c'est l'Acte de naissance, que nous n'avons pas signé nous-même, et ce dans les jours qui ont suivi notre naissance. Il a donc été frauduleusement signé par dol, soit par un consentement non éclairé, ce qui le rend nul et non avenu. Le patronyme (MARTIN ou martin, DURAND ou durand...) ne l'est que par "ouï dire". Et en matière de dol, le droit de propriété qui est considéré comme imprescriptible fait que la propriété doit revenir à la victime du dol par vice du consentement, puisque le parent déposant le certificat de naissance n’a jamais été informé qu’il donnait son enfant à l’État, pas plus que son vrai nom ne serait plus son nom légal et qu’on s’en servirait comme un objet d’affaires.

En effet, comme tout Acte de naissance entraîne l'émission d'un n° de Siret à l'instar d'une compagnie, c'est le N° de Sécurité Sociale en France. Et c'est ce qui permet à l'Administration de la Corporation Commerciale nommée RÉPUBLIQUE FRANÇAISE de toujours utiliser dans ses rapports avec le citoyen son nom commercial en lettres CAPITALES*, et d'alimenter un Trust en notre nom qui permet de cautionner notre fond de garantie constitué par compte bancaire. Comme assimilé à une entreprise privée, nous sommes le bénéficiaire de ce Trust… mais personne ne nous signifie qu’il existe.

En signant un tel document, nous établissons de fait un contrat avec la Corporation RÉPUBLIQUE FRANÇAISE. Ainsi le simple fait de présenter une Carte d'Identité Nationale avec notre NOM en lettres CAPITALES lors d'un contrôle de Police établit de fait le contrat tacite existant entre notre Personne juridique fictive et l'Entreprise Commerciale RÉPUBLIQUE FRANÇAISE - son n° de SIRET est 100 000 017 00010, n° SIREN 100 000 017 -, dont la base de données du D.U.N.S (Data Universal Numbering System) est basée à Porto Rico et gérée par la société Dun & Bradstreet, elle-même propriété du Vatican... Ceci inclut également l'acceptation du port du masque par exemple sur la base du contrat passé avec cette Corporation en présentant notre Carte Nationale d'Identité Nationale à ses représentants (Police, Gendarmerie, Justice, Impôts...). Et nous devons par conséquent régler les éventuelles amendes envoyées. Et toutes les factures ou relevés de compte comme de consommation verront toujours notre patronyme écrit en lettres CAPITALES, s'adressant donc bien à la Corporation Commerciale qui nous régit et à notre Personne juridique, non à l'être humain que nous sommes. C'est la raison pour laquelle il est indispensable, lorsque nous signons un document officiel ou un contrat libellé pré-rempli à notre NOM corporatif, de rajouter toujours la mention "tous droits réservés" suivie de votre nom légal en minuscules - "prénom nom" - au dessus de notre signature, puisque les "Autorités" ne pourront engager aucune affaire commerciale ou juridique à notre encontre si nous sommes sous votre nom véritable d'Être Humain.

Notre acte de naissance a en outre été vendu par l’État comme Titre (certificat, obligation, billet d’ordre, etc…) à la banque centrale de la Nation (la BCE pour la France), nous privant ainsi de la propriété de notre chair/corps et nous condamnant à la servitude perpétuelle, comme une personne romaine, autrement dit un esclave*². Le gouvernement nous a privé des droits fondamentaux et des libertés. Il nous a fait la propriété personnelle de l’État, constitutive d'un esclavage de masse ! Cette appropriation par l’État du NOM LÉGAL de l’être Humain de chair et de sang avec ce NOM ÉCRIT EN LETTRE CAPITALE constitue bel et bien un crime contre l’Humanité, constituant à détenir des esclaves contre leur gré et privés de leur droit de partir ou de refuser de travailler. Leurs maîtres, représentants de l’État, ont le droit de vie ou de mort ou de spoliation..

Toutefois, comme l'article 118 du code civil créé par la Loi n°77-1447 du 28 décembre 1977 stipule que si un présumé absent reparaît ou donne de ses nouvelles, il est, sur sa demande, mis fin par le juge aux mesures prises pour sa représentation et l’administration de ses biens ; il recouvre alors les biens gérés ou acquis pour son compte durant la période de l’absence. Qui plus est, par ordonnance de la Cour mondiale de La Haye (Numéro d’enregistrement: RA 876 270 415 US), il a été interdit la pratique de l’utilisation de la convention linguistique GLOSSA consistant à déformer le contenu des documents juridiques. Ceci entend que l’utilisation de la GLOSSA par la fraude invalide tout contrat et toute procédure judiciaire. Toutes ces procédures employant cette forme de texte à tout moment dans leur processus et tous les jugements qui en résultent sont nulles et non avenues, ab initio, pour cause. Il en découle que tous les tribunaux de toutes sortes, publiques et privées, judiciaires et administratives, militaires, civiles et nationales existantes dans les frontières des états organiques de l’Union ou d’ exploitation sur le sol américain, à quelque titre que ce soit, sont par les présentes donné l’ avis public et a ordonné de cesser l’utilisation de ces conventions frauduleuses immédiatement et à annuler toutes les décisions entachées par son utilisation.

* Cette écriture du nom en CAPITALES se nomme MAXIMA CAPITALIS DIMINUTIO, encore nommée GLOSSA ou "Latin/Chien de cuisine" en jargon juridique.

La valeur d'un individu dans la société est calculée avec la table de mortalité actuarielle. Elle est la propriété de l’État, pour lequel le citoyen accepte à son insu de travailler au profit de celui-ci à titre de fiduciaire, donc sous sa pleine et entière autorité. L’État détient notre patrimoine financier légal (les droits de propriétés conférés par l’Acte de Naissance) en otage.

 

Le libre arbitre vient de l’Esprit universel, le Grand champ de conscience, substance de La Source, l'Un. Si l’Esprit dans sa dimension supérieure est pleinement conscient, en situation incarnée - en l'occurrence dans la 3ème dimension - il perd cette conscience, ce qui est plus ou moins compensé par le fait qu’il sécrète une conscience incarnée. Cette capacité de sécrétion n’est pas sans limite, dépendant de la quantité et de la qualité de sommeil, et se renouvelle aussi qualitativement durant le rêve. Ainsi quelqu’un qui ne dort pas, ou très peu, et surtout qui ne rêve pas, finit par dégrader sa conscience et devient fou, à moins qu’il ne soit contrôlé par une entité extérieure ou qu’il fasse partie d’un organisme beaucoup plus étendu, qui peut regrouper pas mal de monde et qui dans ce cas lui prête sa conscience collective. Mais cela marche dans les deux sens : l’entité ou l’organisme peut également se nourrir de la conscience individuelle, à une seule condition : que la personne ait la volonté de dépendre de cette entité ou de ce collectif. Dans les deux cas, il se produit une circulation d’énergie vitale qui peut avoir lieu dans les deux sens.

 

Réalité du libre arbitre de l'être humain en 3ème dimension de densité :

Le libre arbitre est illusoire dans la matrice cyber des morts-vivants, tout ayant été programmé à travers leur ADN par les maîtres généticiens involutifs de la 4ème dimension de densité astrale pour qu'ils pensent de manière linéaire et de ce fait limitée. C'est pourquoi, seuls les êtres humains dotés d'une âme - les Humanoïdes -*, peuvent entreprendre le chemin de leur libération par un incontournable déconditionnement mental de toutes les fausses croyances, suggestions délétères et conditionnements mortifères instillés en eux par leur double involutif, le gardien pilote de leur psyché dénaturée. Ceci est nommé l'éveil spirituel, mais encore faut-il qu'ils parviennent à éviter les nombreux pièges tendus à celle ou celui désirant s'extraire de sa caverne prison*².

Aussi, le seul véritable libre arbitre est celui d'un choix radical, consistant à choisir fermement le cheminement en mode "Service d'Autrui", et de renoncer tout aussi fermement à celui en mode "Service de Soi". Ceci explique que la trajectoire en cours du futur de l'actuelle humanité, ignorante, anesthésiée, endormie, hypnotisée et manipulée par les instances du corpus prédateur de 4ème densité "Service de Soi", demeure entropique, entendant que dans un avenir plus ou moins lointain, selon le calendrier occulte établi, elle devrait s'achever dans le chaos par sa destruction en 3ème dimension de densité.

* Cf. Le cheminement de l’Âme & Les acteurs de la Matrice falsifiée.

Cf. Prédation spirituelle et voie de sortie.

 

Lorsque l’Esprit d’un être humain est absent ou dormant parce que l’être est contrôlé par son égo-mental, c’est à dire en mode automate, cette circulation a lieu librement mais en général de façon incontrôlée. L’énergie vitale est alors pillée. Ce n’est que lorsque l’Esprit revient que l’énergie peut être volontairement conservée, ou volontairement donnée pour rendre service à quelqu’un qui en a besoin. Cela dit, on peut perdre son énergie même dans ce cas si l’on est distrait, et une sensation de fatigue alors apparaît. On peut également la perdre lorsqu’on est déjà un peu fatigué. C’est alors comme si la fatigue augmentait sans raison. C’est pourquoi il est intéressant pour les pilleurs d’énergie de provoquer tantôt la fatigue, tantôt la distraction chez les personnes dont ils s’abreuvent.

La meilleure façon de s’assurer une source d’énergie de la part d’un être porteur d’Esprit est de la lui faire secréter dans la durée en commençant par garantir ses moyens de subsistance. Un autre aspect important est que la traite d’énergie vitale impose de limiter le niveau d’éveil de la personne à traire, sans quoi l’Esprit revient et redevient maître de la circulation : il peut donc la bloquer. Le problème est que limiter le niveau d’éveil empêche la personne d’accéder au bonheur auquel elle accède naturellement en présence de son Esprit. Il faut donc trouver le moyen de compenser ce bonheur naturellement accessible à l’aide de sources de satisfaction artificielles qui vont compenser la perte d’accès à la vraie source. C’est tout l'"art" des prédateurs de la 4ème dimension de conscience...

C’est pareil pour l'être humain avec les animaux qu'il domestique pour sa consommation. Si nous ne traitons pas correctement nos vaches, moutons, chèvres, etc. il y a une perte de qualité, quand ce n’est pas une perte tout court si nous ne faisons pas attention à soigner correctement notre bétail. Aussi, pour correctement domestiquer la race humaine, les entités du corpus prédateur lui prodiguent des soins, assurent sa distraction, la nourrissent en biens de consommation, la font travailler pour la fatiguer et limiter son éveil intérieur, etc. Et comme la conscience corporelle a pour particularité d’être passive et contrôlable, elle a tous les prérequis pour être hiérarchisée*.

* Cf. Le contrôle du robot biologique & Le modèle pyramidal décodé.

 

Canaux du contrôle des pensées

L'art de la traite d'énergie vitale par le corpus prédateur repose sur le contrôle et la manipulation des pensées de l'être humain selon les canaux suivants.

1. L'inconscient, plus exactement le subconscient, nourri des croyances reçues (fausses ou limitantes), des conditionnements assénés, des manipulations réalisées et des illusions entretenues*.

2. L'inconscient collectif, soit les "formes psychiques" archétypales étendues à grande échelle, et renforcées par une communication d'inconscient à inconscient selon les travaux du psychiatre Milton Erickson (1901/1980). Il en découle l'état de somnambulisme de la grande majorité des êtres humains, reliés à des égrégores (puissances énergétiques) dénaturés car désacralisés (ainsi ceux entretenant des idéologies politiques ou religieuses).

3. L'état de dissociation généré par les traumatismes éprouvés dans les circonstances de la vie, source de disharmonie. Si les symptômes apparus ne sont pas nettoyés à ce moment, ils constituent une énergie résiduelle (soit des informations) qui demeure prise au piège dans le système nerveux, constitutif du lien d'attache avec le prédateur et à même de faire des ravages dans le corps et dans l'esprit.

4. Les mémoires/souvenirs de ces traumatismes, liés à cette vie ou à d'autres, qui demeurent stockés dans le corps au moyen d'une "mémoire cellulaire", d'où l'importance des membranes et des os selon nombre de traditions, et que les travaux de scientifiques comme Philippe Montagnier et Marc Henry sur les propriétés cristallines de l'eau démontrent*².

* Cf. Fabrication de l'illusion et voie de sortie.

Cf. Fonctionnement de l'architecture du Vivant. Voir également les travaux de Barbara Hort, auteur de Unholy Hungers : Encountering the psychic Vampire in Ourselves and Others ("Prédateurs impies : rencontrer le vampire psychique en nous-même et chez les autres" - 1996); Peter Levine, auteur de "Guérir par-delà les mots - Comment le corps dissipe les traumatismes et restaure le bien-être" (2014); Gary Schwartz, auteur de "Quand l'autre vit en soi... Greffe d'organe et mémoire cellulaire" (2002); Ashley Montagu, auteur de "La peau est capable de penser avant le cerveau" (2014); Bruce Lipton, auteur de "Biologie des croyances" (2006).

 

Ainsi le groupe pompe son énergie de l’individu, les groupes s’assemblent pour en former d’autres plus importants qui pompent leur énergie des sous-groupes situés en-dessous, et ainsi de suite. Un aspect crucial de cette hiérarchisation est que pour pomper un taux important d’énergie il faut qu’il y ait peu d’éléments par sous-groupes (de ce fait beaucoup de niveaux hiérarchiques), sinon chaque sous-groupe individuel se sent isolé et attribue moins d’importance à sa hiérarchie. Il s’agit en effet d’une hiérarchie participative et volontaire et c’est là le point clé. Chaque entité-groupe doit représenter un potentiel important qui va se traduire d’une part par des actions influentes dans la société et d’autre part par une remontée d’énergie d’importance équivalente.

 

Manipulation, programmation et contrôle mental

 

Le contrôle mental, soit la "programmation" de la psyché, consiste à canaliser les consciences. C'est une des clés de domination ici-bas avec l'asservissement à et par l'argent dans un rapport au temps circonscrit ("le temps c'est de l'argent"...). Le contrôle mental prend différentes formes, de la plus simple à la plus complexe. Ainsi les méthodes d'apprentissage qui façonnent le cerveau, comme les programmes scolaires et universitaires qui formatent les croyances et l'esprit critique, sont une première forme de modelage du futur adulte qui vise à le rendre compatible et utile au système social en vigueur. De leur côté, l'information journalistique et le divertissement médiatique sont d'autres facteurs qui vont influencer la conscience selon un certain modèle. La pression sociale qui fait que l'individu se soumet à ce que l'on nomme "la pensée unique" est aussi une forme de contrôle mental, tout comme les diverses pollutions alimentaires et environnementales qui altèrent notre cerveau et par conséquence notre capacité de raisonnement et d'analyse… Sans oublier le subliminal ou la psychotronique, c'est-à-dire des outils (armes) qui influencent le système nerveux avec des rayons non ionisants. La "religion sans nom", le transhumanisme, aime les robots et les automates. Elle en a besoin pour cette planète d'illusion où pensées, idées et créativité sont sous contrôle par la manipulation du subconscient de toutes les manières possibles. Il en découle des êtres certes à l’apparence humaine, mais qui montrent des émotions scénarisées récurrentes, toujours basées sur la peur, la haine de l’esprit critique, la délation de son prochain qui ne file pas droit vis-à-vis de la pensée unique, le déni, la bêtise, la zombification, l’ignorance, l’apathie délibérée. Soit la déshumanisation profonde. 

Toutefois, à ce stade, la population conserve encore un semblant de libre arbitre, chaque individu ayant la possibilité de remettre en question tout ce qu'on lui a appris depuis l'enfance. Il peut se ré-informer en choisissant d'autres sources, se débarrasser de sa télévision, changer son mode d'alimentation, s'alléger du monde matériel pour se tourner vers le monde spirituel, et travailler à s'extraire de la Matrice asservissante.

Cf. Conscience du XXI° siècle, Le modèle pyramidal décodé, Contrôle mental & Prédation manipulatoire.

 

De la manipulation.

La relation d’emprise, véritable main basse sur l’esprit, permet de prendre le pouvoir sur quelqu’un par le "décervelage". Son processus consiste en une perte progressive des capacités psychiques d’une personne soumise à des manipulations quotidiennes qui agissent comme des micros- agressions. Le poison est instillé à dose homéopathique. Le manipulé devient peu à peu inapte à opérer la distinction entre ce qui est bon ou mauvais pour lui, et n’a pas conscience de ce "décervelage". Incapable de discernement, privé de ses capacités d’analyse, de son esprit critique et de son libre arbitre, il obéit aux injonctions du manipulateur sans résistance. D’où la passivité qui caractérise une personne assujettie.

L'erreur souvent commise est de penser que les personnes manipulées sont "faibles", ce qu’elles ne sont pas. Ce sont même souvent les personnes les plus "intelligentes", dans le sens de "brillantes", qui sont paradoxalement le plus "sensibles" ou les plus exposées aux techniques de manipulation. La manipulation instaure une relation d’emprise totalement asymétrique, d’autant plus forte qu’elle s’inscrit sur le long terme. Il n’y a aucune égalité entre un manipulateur et sa cible. Dans sa version la plus féroce, il s’agit d’une prédation à caractère intentionnel.

Le mécanisme de disjonction est identique à celui qui opère chez une personne traumatisée. Ce qui agit n’est pas l’intensité du vécu traumatique mais sa répétitivité, qui produit un effet sur les circuits neuronaux d’auto-inhibition. Cette auto-inhibition se traduit par un phénomène d’autodestruction dont les conséquences physiologiques peuvent être très graves. Le décervelage ne représente que la phase préalable d’une dévitalisation dont les effets se répercutent sur la santé mentale et physique du manipulé.

Du fait de l’action du "décervelage", le manipulateur peut "imprimer" son mode de pensée chez le manipulé exactement comme on grave un nouveau fichier sur un disque CD vierge. De nouveaux comportements vont alors apparaître, qui agissent tels des cliquets antiretours dans l’évolution de la personne manipulée. Selon la théorie de l’engagement empruntée à la psychosociologie, l’individu réajuste son système de pensée pour le rendre cohérent avec ses agissements. Cette réorganisation psychique provoque des dissonances cognitives chez la personne manipulée qui se trouve alors en conflit de loyauté entre ce que la manipulation lui "impose" de faire et les valeurs morales que ces nouveaux comportements transgressent.

Or, le conflit de loyauté est, selon Ariane Bilheran, psychologue clinicienne auteur de nombreux ouvrages sur la question des violences psychologiques, le mode opératoire le plus fondamental de la torture. Toutefois, pour que le manipulé ne puisse pas retrouver ses capacités psychiques, l’état de confusion mentale doit être soigneusement entretenu. Un des meilleurs moyens pour y parvenir réside dans l’utilisation du discours paradoxal formulé ainsi : "Faites ce que je dis, mais pas ce que je fais et surtout puissiez-vous ne rien comprendre à ce que je vous raconte de manière à ce que, quoi que vous pensiez, quoi que vous disiez ou quoi que vous fassiez, je puisse toujours avoir raison". Ce type de communication, qui tend à faire agir les unes contre les autres différentes aires de la personnalité du manipulé, génère des conflits de loyauté et est "schizophrénogène". Autrement dit ce genre de communication rend "fou".

 

Du contrôle de la pensée

Plus communément appelé contrôle de l’esprit, le lavage de cerveau est une forme de persuasion coercitive, de contrôle de la pensée, de réforme de la pensée ou de rééducation forcée. Il s’agit d’un concept qui consiste à modifier l’esprit humain pour le diriger et le contrôler par des techniques psychologiques spécifiques, tant chez les individus que chez les groupes, en vue de l’accomplissement de tâches préétablies. Le lavage de cerveau est en effet censé réduire la capacité du sujet à penser de manière critique ou indépendante, en introduisant dans l’esprit de la victime des pensées et des idées nouvelles, mauvaises ou indésirables, afin de modifier ses perceptions, ses attitudes, ses valeurs, ses normes et ses croyances.

Ce terme a été utilisé pour la première fois en anglais par l'écrivain états-unien, journaliste et propagandiste en intelligence Edward Hunter (1902/1978) en 1950 pour décrire la manière dont le gouvernement chinois obtenait la coopération de la population pendant la guerre de Corée.

Les recherches sur ce terme ont également porté sur l’Allemagne nazie, sur certaines affaires criminelles aux États-Unis et sur les actions des trafiquants d’êtres humains.

Le lavage de cerveau, ou psychiatrie sociale, consiste à manipuler la perception du peuple ou de certains individus afin de déformer la société selon le modèle prédéterminé. Il s’agit par là-même de la forme la plus grave de meurtre humain criminel, ceci expliquant que toutes les attaques terroristes sont basées sur des programmes de contrôle mental qui enlèvent une victime et lui implantent une puce dans le cerveau afin qu’elle puisse être activée à distance par des agents dans le cadre d’opérations sous fausse bannière. C’est pourquoi le tireur est souvent tué par les agents, car les cadavres ne parlent plus. Et si le tireur survit, il est hébété ou confus et ne se souvient de rien.

Les adolescents qui prennent des médicaments pour l’humeur présentent également ces symptômes qu’ils essaient d’éliminer, mais on leur prescrit davantage de médicaments pour qu’ils deviennent plus psychotiques. Les drogues, qui interfèrent avec la santé mentale d’un être vivant, sont en effet destinées à tuer ou à rendre d’autres personnes malheureuses car mal dans leur "peau", c'est-à-dire dans leur être intérieur.

La conséquence est que pas à pas, de cette manière, la liberté humaine a été transformée en esclavage par les véritables élites gouvernantes - grandes familles hybrides mérovingiennes ou khazariennes* et Jésuites dirigés par les réseaux de la maison Rothschild -, relayés par les pantins corrompus mis à la tête des gouvernements, banques, entreprises, médias, médecine et pratiquement tous les autres aspects de la société, sans que la plupart des individus ne s’en rendent compte. C'est ce qui est nommé le "syndrome de la grenouille en ébullition".

C'est ainsi  qu'a été transférée la richesse réelle du peuple dans leurs propres mains grâce aux gouvernements institutionnels et aux médias sous contrôle financier, véhicules de leurs objectifs afin d’exploiter les masses, notamment par la création d'un système de fausse monnaie sans aucune valeur  si ce n'est par la croyance accordée. Ces élites à la manœuvre ont également introduit le programme dit "politiquement correct" comme axiome directeur de leur système de contrôle, permettant d’introduire de plus en plus de lois, de taxes et d’exigences financières afin d’attacher les êtres humains comme des mouches dans leur toile, et dans le but tant de les dégrader mentalement que de les soumettre à un contrôle mental plus approfondi. Ce programme repose sur l’utilisation de mots ou de comportements, en stipulant qu’aucun groupe de personnes ne doit être offensé car il est important que tout le monde soit égal, traité équitablement et avec dignité. Les mots inamicaux doivent de ce fait être supprimés du discours, et remplacés par d’autres qui ne sont pas offensants.

Il en découle une programmation des "idiots utiles", à savoir les administrateurs gouvernementaux à tous les niveaux se consacrant par tous moyens à empêcher les minorités d’être "contrariées" par les propos d’autrui. Il s’agit ni plus ni moins que d’une forme intrusive de programmation de l’esprit, source derrière l'apparent bien-fondé de violence psychologique puisque le but dissimulé est de surveiller chaque mot prononcé par les individus dans toutes les situations, même entre partenaires. Il en résulte une forme de surveillance mentale et émotionnelle dans laquelle chacun est surveillé et observé grâce à l'avènement de la société des TIC - Technologies de l'Information et de la Communication - (informatique et numérique) par "Big Brother", référence à ce qu'a décrit l'auteur britannique George Orwell en leur nom (il faisait partie de cette élite dévoyée) dans son livre publié en 1948 "1984", et reposant désormais sur un super ordinateur quantique à la pointe de la matrice technologique.

La finalité du politiquement correct est de démanteler la diversité des langues, des points de vue et des cultures, et ce jusqu’à ce qu’il ne reste plus qu’un bloc vide et terne de banalités figées qui se fait passer pour une "société humaine". Les mots qui signifient quelque chose y seront interdits, tout comme les individus esclaves auront peur de dire quoi que ce soit sans choisir soigneusement leur langage aux fins d'éviter d’être punis parce qu’ils pourraient offenser quelqu’un. Peuvent ainsi se comprendre la création de délits de racisme, le changement constant pour semer la confusion, l'enseignement du sexe comme de l’homosexualité ou autres comportements sexuels pluriels (LGBTQ+) aux enfants, la remise en cause de l’autorité des écoles et des enseignants, l'immigration massive pour détruire l’identité nationale, la promotion de la consommation excessive d’alcool, la perte d'influence des églises comme lieux de rassemblement, un système juridique préjudiciable aux victimes de la criminalité, la dépendance à l’égard de l’État ou des prestations sociales, le contrôle et appauvrissement des médias, l'encouragement à l’éclatement de la famille, l'immigration massive d’étrangers pour détruire l'identité nationale (c’est la véritable raison de l’Union européenne sans frontières ou du retrait par les États-Unis de leur défense de la frontière avec le Mexique). 

Cf. La nouvelle religion universelle.

 

Conditionnement culturel
Conditionnement culturel

Conditionnement mental

Full Metal Jacket est un film britanno-américain produit et réalisé par Stanley Kubrick, sorti en 1987. Fondé sur le roman The Short Timers (Le Merdier) de l'écrivain américain Gustav Hasford (1947/1993) et sur les mémoires de guerre du journaliste américain Michael Herr (1940/2016) Dispatches, son titre fait référence à un type de balle blindée en usage dans les "marines" de l'armée navale états-unienne (US Navy).

Le film met en scène de jeunes soldats à la fin des années 1960. Dans sa première partie, on assiste à leur entraînement avant le départ au Vietnam, basé sur le conditionnement, et faisant écho aux techniques radicales de redressement des délinquants développées dans un des films précédents de Kubrick, The Clockwork Orange (Orange mécanique)*. La scène ci-contre, dite du sergent instructeur Hartman (Ronald Lee Ermey), illustre la violence du processus, qui se terminera de manière dramatique pour un des jeunes protagonistes...

* Cf. Le cinéma de la Matrice (2) La science réalité.

 


La bousculade géante qui a fait plus de 40 morts et des dizaines de blessés fin avril 2021 lors d’un pèlerinage juif orthodoxe en Israël à l’occasion de la fête juive de Lag Baomer* qui réunissait des dizaines de milliers de personnes au mont Méron dans le nord d’Israël (photo 1), est typique de la scénarisation de la Mort dans la Matrice entropique, celle des morts-vivants. Les uns l'attribueront à la malchance, à la destinée liée au choix mystérieux du divin, à l'incessante tragédie du bal de la vie entre ombre et lumière, quand d'autres n'auront de cesse d'invectiver les forces de sécurité ou autres pour leur incompétence. Il en résulte une émotion collective (image 2) source de fort transfert énergétique par la souffrance et la douleur la composant, le politique appelant qui plus est pour la décupler toute la nation à prier pour sauver les blessés et saluer les victimes dans leur envol céleste. C'est la nourriture, le mets de choix par excellence du système prédateur de la 4ème dimension de réalité !

* Lag Baomer est une fête joyeuse autour du tombeau présumé de Rabbi Shimon bar Yochaï, un talmudiste du IIe siècle de l’ère chrétienne auquel on attribue la rédaction du "Zohar", ouvrage central de la mystique juive ou kabbale. Elle marque de surcroît le souvenir de la fin d’une épidémie dévastatrice parmi les élèves d’une école talmudique à cette époque.

 

Manipulation à distance des émotions d’autrui

Le Dr Nick Begich, médecin et écologiste de renommée internationale, et Jeane Manning, journaliste indépendante spécialisée dans les recherches sur les énergies non conventionnelles, sont les auteurs de Angels Don't Play This Haarp: Advances in Tesla Technology ("Les anges ne jouent pas de cette Haarp"), ouvrage paru en 1995, où ils affirment qu’une simple stimulation externe, déclenchée à l’aide de signaux électromagnétiques émis par un générateur, suffit à entrainer le cerveau ou à le bloquer. En effet, elle peut déplacer la bande de fréquences sur laquelle fonctionnent normalement les ondes cérébrales. En d’autres termes, un programmateur de signaux externes ou générateur d’impulsions peut imposer son propre rythme au cerveau d’une personne : les fréquences habituelles sont alors modifiées artificiellement et les ondes cérébrales s’adaptent a la nouvelle bande de fréquences. La chimie cérébrale subit à son tour des changements, ce qui modifie le fonctionnement cérébral : les pensées, les émotions et la condition physique du sujet s’en trouvent altérées.

Le comportement humain étant fonction de sa programmation, la manipulation mentale peut être soit bénéfique, soit maléfique pour l’individu qui en est l’objet. C'est pourquoi les différentes fréquences, en combinaison avec des formes d’ondes déterminées, déclenchent des réactions chimiques très particulières dans le cerveau, la libération de ces substances neurochimiques entraînant des réactions spécifiques qui se traduisent par des sentiments de peur, de désir, de dépression, d’amour, etc. L’éventail complet des réactions émotionnelles et intellectuelles est le résultat de combinaisons très spécifiques de substances neurochimiques lors d’impulsions électriques sur des fréquences appropriées. C'est pourquoi chaque émotion (colère, peur, joie, plaisir) correspond à une fréquence bien déterminée.

Des radiations peuvent être générées sur des fréquences hertziennes extrêmement basses (ELF), et se comporter comme des conducteurs sans fils pour télécommander les ondes cérébrales. C’est ce à quoi les projets de type HAARP* pourraient aboutir dans certaines de ses applications : utiliser l’ionosphère comme une antenne pour pouvoir réaliser des manipulations mentales à des fins égoïstes, soit la possibilité pour l’armée de savoir ce que pensent les gens et d’altérer leurs processus de pensée. Si ce système a la capacité de forcer les cerveaux humains à "disjoncter", il peut également couper le réseau de communications de n’importe quelle grande ville du monde, manipuler et modifier le climat à l’échelle planétaire, et porter à la santé (essentiellement au système nerveux) et aux écosystèmes. Nul ne peut de ce fait exclure ses applications occultes.

* Le but du projet HAARP (High Frequency Active Auroral Research Program) mis en œuvre en Alaska consistait officiellement à étudier, stimuler et diriger des processus ionosphériques susceptibles d’altérer l’efficacité des systèmes de communications et de surveillance, ainsi que de générer un bouclier protecteur global capable de faire le tri entre les cibles nucléaires ou conventionnelles et de les traiter de façon adéquate. Officiellement terminé depuis 2013, rien n'interdit de penser qu'il perdure, ou que d'autres installations de ce type "dissimulées" existent.

 

L'émotionnel nourricier de la prédation, ou la célébration de l'égrégore de la Mort

Robert Allan Monroe (1915/1995), créateur de l’Institut Monroe, a dans son ouvrage Far Journeys (traduit par "Fantastiques expériences de voyage astral") donné la clé explicative de l'émotionnel humain, permettant à ce dernier d'exprimer sa singularité biologique créatrice tout en nourrissant, quand il ne la contrôle pas par la pleine conscience supra-mentale (le Soi supérieur), le système prédateur pour sa survie dans la 4ème dimension de réalité où il loge. Nommé Loosh*, il est une substance rare en "Quelque Part", soit l'énergie humaine produite sous forme émotionnelle et humaine. Lorsqu'elle découle de dizaines, centaines, milliers, millions d'individus, elle constitue des égrégores collectifs générateurs d'hystérie à différents stades d'intensité, et dont les entités inter-dimensionnelles non physiques involutives - nos maîtres prédateurs - se nourrissent car elle est d’une importance vitale à tous égards, pour leurs intérêts comme pour leur survie.

Le Loosh fait ainsi partie des Lois de fonctionnement de l'Univers, en l'occurrence celles de la dimension de l'Astral confinée à la barrière de la "4-D" (quatrième dimension de densité), que nous pourrions nommer la Loi de l'offre et de la demande. La connaissance des Lois physiques de l'Univers est donc déterminante. Aussi seuls les initiés peuvent les utiliser selon leur libre arbitre, en toute connaissance de cause : le mode "Service de Soi", de nature involutive ; le mode "Service d'Autrui", de nature évolutive. Le système prédateur généticien de l'humain les connaissant parfaitement, il a doté l'humain dans sa génétique constitutive des éléments nécessaires à sa survie, soit les émotions nourries tout particulièrement de peurs et de souffrances en sus de celles caractérisées par l'amour, la joie, la paix... Toute la manipulation tant génétique (amputation de nombre de brins d'ADN) que psychique par l'égo-mental consiste, hors mode d'emploi approprié, à assurer la production de cette nourriture par les mélodrames parfaitement scénarisés et synchronisés du jeu du Vivant (la programmation du calendrier astral), en empêchant par tous les moyens l'éveil de conscience par l'accès à ses mémoires logées dans son subconscient et le travail de reconstitution cellulaire de son épigénétique bridée... L'univers étant électromagnétique, aussi longtemps que l'individu reste influencé par le moindre émotionnel de rébellion contre l'ordre délétère à ses yeux prévalant, c'est-à-dire par une quelconque basse fréquence de peur, de lutte ou de révolte, il persiste à attirer à lui des circonstances qui le confortent dans ses soupçons, lui empêchant toute libération.

L'illustration emblématique en cette année 2020 de cette récolte psycho-émotionnelle offerte au système prédateur asservisseur par l’être humain inconscient est une affaire de violence policière américaine, ayant conduit à la mort de George Floyd, un homme afro-américain décédé lors de son interpellation par un policier blanc au mois de mai à Minneapolis, dans le Minnesota aux États-Unis. Interpellé par quatre policiers dans sa voiture, menotté et plaqué au sol sur le ventre, il est immobilisé par l'un deux qui va exercer une pression du genou sur son cou pendant près de neuf minutes (photo 3), alors que Floyd déclare plusieurs fois "I can't breathe" (je ne peux pas respirer). Filmées par des des passants, son interpellation et son agonie sont signalées aux policiers présents, qui cependant empêchent quiconque d'intervenir. Les images se propagent alors sur les réseaux sociaux, puis dans les médias, à l'international. Ces circonstances entourant la mort de George Floyd vont conduire à des manifestations et des émeutes contre le racisme et les violences policières dans l’agglomération de Minneapolis-Saint Paul, puis dans le reste du pays et dans le monde entier dans les jours suivants, et à de nombreuses réactions de protestations dans le monde politique, culturel et sportif, générant un état de tension exacerbé, qui plus est par des infiltrations de groupes "anar" et identitaires manipulés pour des intérêts politiques tout autres.

Lorsque l'on sait que "George" est le dragon enseignant*² de l'être humain illusionné car manipulé par son égo-mental sous gouverne du corpus prédateur, et que "Floyd" est un patronyme formé à partir de flood, qui signifie "la volonté divine", l'homme sage ne peut qu'en refusant de prendre partie se détacher du piège qui lui est tendu afin de lui interdire la salvatrice prise de conscience libératrice.

 * Cf. Fonctionnement du corps biologique.

Cf. Le chemin alchimique.

 

L'immigration provoquée, ou les bords effilochés de l’empire

C'est par définition le sujet qui fâche et déchaîne la sensiblerie des bonnes âmes humanistes. Au-delà des grossières réactions épidermiques à caractère raciste et xénophobe, condamnables avec la plus grande fermeté, il faut comprendre la responsabilité des élites institutionnelles de droite comme de gauche dans l'organisation volontaire de ce capharnaüm lié à l'afflux de populations multiculturelles dans le monde occidental (Etats-Unis, Canada, pays de l'Union européenne). Il participe d'un des plus forts leviers de destruction du sentiment d'appartenance à une nation, s'étalant sur plusieurs générations, et ouvrant la voie à un gouvernement mondialiste. Il s'agit en effet de faire perdre au natif de telle ou telle culture la trame incontestée qui le constitue, brouillant le concept de "nation" et réduisant sa capacité à en défendre la souveraineté. En focalisant le débat sur les bons sentiments, la culpabilité, et la qualification accusatoire de racisme de ceux qui la combattent, le système dévoyé crée une situation d'enlisement et de division propice à la réalisation de son objectif. Ainsi la montée en puissance de l'anti-islamisme fait partie de cette mécanique infernale, le financement des terrains de combats entre musulmans présentant l'avantage double de les diviser et de provoquer une immigration massive vers des terres d'accueil plus hospitalières... et de contribuer par là-même à la poursuite de la division sur un nouveau terrain. C'est tout "l'art" de faire s'affronter deux camps réciproquement exploités !

Il n'est qu'à prendre comme exemple la ville de New York, un temple démocrate à la sauce woke par excellence. Elle s’apprête en 2023 à payer au global plus de 1 000 000 000 de dollars rien qu’en hôtels au cours des trois prochaines années pour héberger des immigrés clandestins. Son maire, Eric Adams, a ainsi estimé que le coût total de la crise des migrants s’élèvera à environ 12 milliards de dollars dans le même laps de temps, considérant que le point de rupture a été dépassé avec plus de 57 300 personnes actuellement sous la responsabilité de la ville, une nuit moyenne représentant 9,8 millions de dollars par jour, près de 300 millions de dollars par mois, et près de 3,6 milliards de dollars par an ! Il est à comprendre l'exaspération des habitants, dont certains à Staten Island ont été arrêtés pour avoir bloqué des bus de migrants.

Le thème de l'esclavagisme est assez représentatif du débat enflammé. Pourtant, en (re)lisant l'ouvrage de l'anthropologue Tidiane N’Diaye "Génocide voilé", nous y verrions que le rôle du monde arabo-musulman a été bien pire depuis des siècles que la traite transatlantique pour les Africains. C'est pourquoi la repentance pour l’esclavage d’hier ne doit pas faire oublier l’esclavagisme d’aujourd’hui, celui de la Libye avec ses marchés aux esclaves à ciel ouvert ou celui de quelques "gentilles" pétromonarchies dans lesquelles les passeports sont confisqués et qui réduisent en esclavage des pauvres bougres par milliers. Mais il est vrai que ces pays ont l’amabilité de nous acheter beaucoup d’armement, de financer quelques campagnes électorales, ou d’acheter nos tous aussi aimables politiciens et journalistes de tous les bords avec des liasses épaisses de billets. Quant à la néo-colonisation chinoise en Afrique, ses artificiers n'y vont pas avec le dos de leurs petites baguettes ! La morale à géométrie variable, comme les ailes de nos mirages de nos bien-pensants, s’arrête là où commencent les intérêts de nos grandes multinationales.

Vouloir régler ce problème nécessite de sortir des postures émotionnelles, et ce pour regarder sans fard la réalité, telle qu’elle est. Si la réalité est que le monde reste profondément cruel et dur, dangereux, compliqué et violent, la voie de sa sortie ne résidant nullement dans les chimères des luttes collectives qui ne font que le nourrir et l'entretenir tel quel*, elle questionne également sur le pourquoi d'une situation abordée d'une manière surprenante par les élites gouvernantes. Pourquoi par exemple tant de politiciens américains des deux partis se soucient-ils 100 fois plus de la frontière ukrainienne que de la frontière américaine, minimisant l’afflux massif de clandestins aux États-Unis alors que la crise de la frontière méridionale ne cesse de dégénérer en chaos comme à Eagle Pass au Texas...

La réalité de cette politique d'orchestration migratoire est double. D'abord, depuis la seconde guerre mondiale, "l’Occident" dirigé par les Etats-Unis gouverne le monde. Ses élites se sont en fait très bien débrouillées pour que les riches deveniennent de plus en plus riches, au détriment des classes laborieuses qui n’ont guère progressé sur le plan matériel. En insistant sur l’importance de l’obéissance, de la soumission, ces élites ont attisé les guerres pour le grand bénéfice des lobbys du cartel militaro-insdustriel et de la construction, ce qui a provoqué la misère aux confins de l’empire. Nicaragua, Honduras, Cuba, Iran, Irak, Libye, Serbie, Koweït, Irak, Afghanistan, Ukraine, Israël… Toutes ces guerres semblaient interminables et insensées, entraînant la mort de millions de personnes et l'exil de millions d’autres réfugiés – immigrants – cherchant une vie meilleure en Europe et aux Etats-Unis. Cette marée d’immigrants a entraîné la baisse des coûts salariaux, permettant aux élites capitalistes d’augmenter leurs profits. Et comme ces nouveaux réfugiés avaient besoin d’un logement, ils se sont disputé les logements principalement dans les quartiers marginaux, défavorisés. Enfin, les immigrés votent, dès qu’ils le peuvent, votant pour les élites qui favorisent la poursuite de l’immigration... Au final, ces immigrants sont devenus une cible facile, ayant pris de la place en se présentant comme une concurrence pour le logement et l’emploi, et en étant dans de nombreux pays un fardeau pour le contribuable. Les Latinos aux États-Unis, les Nord-Africains en France, les Palestiniens, les Ukrainiens, les Syriens, les Yéménites : plus leur nombre est important, plus le "fossé culturel" avec les autochtones se creuse, et plus les problèmes s’aggravent. Le ressentiment s’accroît, et finit par trouver un exutoire, source de chaos justifiant la mise sous tutelle au moyen des forces répressives sinon militaires.

Ensuite, l'objectif dissimulé est  la destruction de la civilisation européenne et de ses valeurs historiques et culturelles qui pour l’État profond maçonnique sont fondamentalement humaines et morales, ce qui constitue son principal danger. N’ayant pas réussi à soumettre la véritable essence divine de l’homme en implantant dans la société des "conceptions de la vie" artificielles et parfois contre nature pour les gens, ses représentants ont décidé d’emprunter une autre voie, celle consistant à ouvrir grand les portes à des millions de personnes d’autres confessions, cultures, visions du monde et traditions pour conduire à une paralysie de la conscience des gens. Ainsi les mondialistes pourront facilement mener à bien leur programme d’asservissement complet de l’humanité lorsqu'il s'agira par la technologie de surveillance de répondre à la violence, au pillage et au vol devenus monnaie courante, avec des rues citadines s'étant transformées peu à peu en enclaves insalubres pour les étrangers. Et même s'il est impossible de classer toutes les personnes déplacées comme des éléments criminels, il n'en demeure pas moins qu'elles ont du mal à s’adapter à des conditions de vie trop éloignées de leurs traditions, restant dépendantes et parasites aux yeux des locaux.

Ainsi, la population migrante dans les pays développés est une autre tentative des mondialistes de rester au pouvoir et de ralentir la transition de la Terre vers la Cinquième Dimension.

* Cf. Fabrication de l'illusion et voie de sortie & Libération émotionnelle.

 

Genèse de la programmation du robot biologique

 

"L'humanité n'a pas plus d'objectif pré-établi, d'idée directrice, de plan organisateur que n'en a l'orchidée ou le papillon. L'humanité est un concept zoologique, ou bien alors un mot vide de sens. Je vois, à la place du concept vide que serait une histoire linéaire, qui ne peut être maintenue qu'en fermant les yeux sur la multitude écrasante des faits, le drame d'un certain nombre de Cultures puissantes, chacune jaillissant avec une force primitive du sol d'une région mère, à laquelle elle reste fermement liée pendant tout son cycle de vie ; chacune estampillant son matériel, son humanité, à sa propre image ; chacune ayant ses propres idées, ses propres passions, sa propre vie, sa propre volonté et ses propres sentiments, et sa propre mort."  Oswald Spengler (1880/1936), philosophe allemand, parlant de la "culture civilisationnelle faustienne"

 

 

Le zoologiste anglais Desmond Morris (Cf. photo 1) a publié en 1970 dans son ouvrage The Human Zoo (Le zoo humain) quelques clés d'importance pour permettre à l'individu de prendre le dessus sur une existence sociale complexe, et ne pas la laisser se servir de lui. Si nous devons être forcé de pratiquer la course aux stimuli imposés par la matrice d'appartenance, l’important est de choisir la meilleure méthode d’approche. Et la meilleure façon de s’y prendre est de donner la priorité au principe inventif, explorateur, en adaptant notre esprit inventif aux grands courants de notre existence "super-tribale".

Or, si les membres de notre super-tribu civilisationnelle ne choisissent pas plus fréquemment la solution inventive, compte-tenu de l’énorme potentiel explorateur de leur cerveau*, qu'ils ne se montrent pas plus des citoyens "inventeurs" de leur vie, préférant se contenter de savourer leurs inventions en seconde main en les regardant à la télévision, ou de se contenter de pratiquer des divertissements simples et des sports dont les possibilités d’invention sont strictement limitées et inutiles à leur libération, c’est qu'ils ont été comme enfants subordonnés aux adultes*².

* Cf. Esprit global.

Cf. Libération émotionnelle - Chapitre "L'enfant comme manipulation émotionnelle".

 

Inévitablement, les animaux dominants s’efforcent de contrôler le comportement de leurs subordonnés. Malgré toute l’affection que les adultes peuvent porter à leurs enfants, ils ne peuvent s’empêcher inconsciemment de les voir comme une menace grandissante à leur domination. Ils savent que, quand viendra la vieillesse, ils devront leur céder la place, et ils font tout leur possible pour reculer cette fatale échéance. Il y a donc une forte tendance à réprimer l’esprit inventif chez des membres de la communauté plus jeunes. On peut toujours apprécier leur "œil neuf" et leur esprit créateur, mais la lutte n’en est pas moins âpre. Lorsque la nouvelle génération a atteint le point où ses membres pourraient être des adultes-enfants, follement inventifs, ils sont déjà accablés sous le poids d’un lourd conformisme. Luttant contre lui de toutes leurs forces, ils se trouvent à leur tour confrontés avec la menace d’une autre génération plus jeune qui surgit sur leurs talons, et le processus de répression se répète.

 

Seuls de rares individus, qui connaissent souvent une enfance "insolite", parviendront à atteindre à l’âge adulte un niveau de grande créativité dans leur domaine respectif, à l'image du physicien prix Nobel Albert Einstein (1879/1955 - photo 3). Il présente en effet un parcours scolaire relativement atypique par rapport aux éminents scientifiques qui furent plus tard ses contemporains. Très tôt, le jeune homme s'est insurgé du pouvoir arbitraire exercé par les enseignants, étant de ce fait souvent dépeint comme mauvais élément très étourdi par ces derniers. La raison est qu'il éprouva jusque tard dans son enfance des difficultés pour s'exprimer, potentiellement dues à la dyslexie dont il souffrait. Il fut entre autres renvoyé de sa scolarité au Luitpold Gymnasium de Munich à l’âge de 15 ans, son professeur de grec ayant jugé sa présence incompatible avec la stricte discipline y régnant à l’époque. S'il eut d’excellents résultats en mathématiques, il refusa de s’instruire en biologie et en sciences humaines, ne percevant pas l’intérêt d’apprendre des disciplines qu’il estimait déjà largement explorées et considérant la science comme le fruit de la raison humaine et de la réflexion. Il obtint de justesse son diplôme en 1900, s'avouant, dans son autobiographie, "incapable de suivre les cours, de prendre des notes et de les travailler de façon scolaire".

 

La civilisation en cours du poisson rouge

La population jeune, particulièrement ciblée pour le programme de décervelage et de crétinisation conduisant à l'esclavage des esprits, est la plus touchée, notamment à cause de son addiction aux tablettes, ordinateurs, réseaux sociaux, télé-réalité, diffusions sportives, jeux vidéo, séries télévisées… Ces distractions sont en effet conçues pour générer de l'énergie émotionnelle artificielle en abondance, qui repose, non pas sur l'existence réelle, mais sur de la fiction ! Pour les élites gouvernantes, la raison de vouloir brouiller ou détruire la psyché de ces jeunes gens est que depuis toujours ils ont été les instigateurs des changements révolutionnaires dans nos civilisations. Leur révolte représenterait un danger majeur, puisque de par leur opposition au système, ils feraient valoir leur libre arbitre.

C'est ainsi que dans son ouvrage "La civilisation du poisson rouge" (Éditions Grasset), le directeur éditorial d’Arte France, Bruno Patino, a cherché à comprendre comment on est quasiment tous devenus accrocs aux écrans, et quelles sont les séquelles sur notre cerveau et notre comportement… Les écrans et les réseaux sociaux sont comme l’argent ou les prophètes gourous, politiciens ou religieux. De remarquables serviteurs mais de bien mauvais maîtres. Ils ont été intrinsèquement conçus pour rendre l'être humain dépendant, soumis car anesthésié de sa souveraineté existentielle. Lorsque sa capacité cognitive est réduite à une moyenne de 9 secondes, soit une seconde de mieux que celle du poisson rouge, les problèmes posés sont considérables ! L'addiction aux écrans et celle aux réseaux sociaux portent en elles les germes d’une terrible inégalité à travers la constitution de castes, celles des attentifs, et celles des zombies à la mémoire de poissons rouges, à qui ont été enlevés les capacités de base de réflexion et de pensée. Tous les enfants soumis massivement aux écrans sont condamnés à cette médiocrité intellectuelle, et à la castration de leurs possibilités, de leur potentiel intellectuel qui ne sera jamais réalisé. Il en découle des citoyens chloroformés, livrés uniquement à leurs pulsions émotionnelles, dirigés par la caste supérieure, les "maîtres magiciens", qui sait encore lire des livres.

 

La fabrication à la sauce techno du crétin

Nous sommes entrés dans le siècle de la connaissance et du savoir, au sein d'un monde de sciences, de techniques et de créativité. Ceci entend que la "domination économique" devrait être de plus en plus fondamentalement la conséquence d’une formation intellectuelle aussi poussée qu’aboutie du plus grand nombre. Or, c'est tout le contraire qui se passe, tout particulièrement dans les pays occidentaux gavés des futilités des outils sociaux, réseaux comme supports, qui aident énormément à rendre les masses encore plus crétines.

Le chercheur français spécialisé en neurosciences cognitives Michel Desmurget a ainsi sorti en 2019 un nouvel ouvrage, première synthèse des études scientifiques internationales sur les effets réels des écrans, intitulé "La fabrique du crétin digital". Celle-ci découle de la consommation frénétique du numérique sous toutes ses formes : smartphones, tablettes, télévision, etc. Dès 2 ans, les enfants des pays occidentaux cumulent chaque jour presque 3 heures d’écran, passant entre 8 et 12 ans à près de 4 h 45, et frôlant entre 13 et 18 ans les 6 h 45. En cumuls annuels, ces usages représentent autour de 1 000 heures pour un élève de maternelle (soit davantage que le volume horaire d’une année scolaire), 1 700 heures pour un écolier de cours moyen (2 années scolaires) et 2 400 heures pour un lycéen du secondaire (2,5 années scolaires), soit des temps passés totalement extravagants (certains consacrent aux écrans plus de 8 heures par jour !). Or et contrairement à certaines idées reçues, cette profusion d’écrans est loin d’améliorer les aptitudes de nos enfants. Bien au contraire, elle a de lourdes conséquences : sur la santé (obésité, développement cardio-vasculaire, espérance de vie réduite…), sur le comportement (agressivité, dépression, conduites à risques…) et sur les capacités intellectuelles (langage, concentration, mémorisation…). Autant d’atteintes qui affectent fortement la réussite scolaire des jeunes. C'est ce qu'a confirmé dans son étude sortie en janvier 2019 Santé Publique France, nom public de l’agence nationale de santé publique placée sous la tutelle du ministre chargé de la santé. Pendant ce temps, la Chine a décidé de limiter à 3 heures par semaine les jeux en ligne de ses enfants jusqu’à 18 ans, pour les forcer à ne pas devenir aussi sots voire obèses que les Européens et les Américains. Qui plus est, les jeux vidéo en ligne leur seront inaccessibles en semaine. Pour empêcher les mineurs de contourner l’interdiction, ces derniers devront se connecter avec une pièce d’identité...

Si les enfants frottent avec aisance et instinctivement les écrans tactiles, c'est parce que ces outils ont été conçus pour être simples, sans nécessiter de compétences ou aptitudes particulières. Autrement dit, leurs concepteurs et fabricants les ont conçus pour que même un "abruti mâtiné d’un crétin" puisse s’en servir ! Et c'est là où réside le génie, non chez l'enfant mais chez l'adulte, car faire simple est très compliqué. De même, l'utilisation des réseaux sociaux ne développe aucune compétence chez les enfants, ceux-ci n'étant que de simples utilisateurs, en aucune façon des concepteurs, ce qui requiert du travail spécifique pour acquérir des compétences et des connaissances. La réalité est que cette génération digitale possède moins de connaissances numériques en comparaison de la génération X des sixties et seventies, un ordinateur ou une tablette ne pouvant en aucune façon transformer un cancre en bon élève.

Ce qui fait d’un gamin un bon élève c’est l’acquisition massive de mots et la maîtrise du langage natal, pour exprimer une pensée riche et être capable de se structurer pour acquérir des connaissances de plus en plus complexes. Le langage est bel et bien la toute première des compétences. De ce fait, il y a deux catégories d’enfants. Les "bien nés", dans une famille qui maîtrise plus de 500 mots et qui va consacrer du temps à l’enfant en bas âge pour l'aider à structurer son langage. Les "pas de chance", pour qui tout sera plus difficile et parfois impossible, parce que nés dans un environnement culturellement asséché et pauvre, et dont les adultes sont la plupart du temps totalement incapables de s'auto-appliquer une discipline de distanciation avec les écrans. Du coup, désormais et cela s’accélère depuis quelques années très nettement, les adultes laissent de plus en plus les enfants faire comme ils le veulent avec une naïveté confondante de surcroît sur les "programmes" que vont aller voir leurs chers bambins… Les écrans ne font qu'accentuer cette terrible inégalité entre les individus en général et les enfants en particuliers, et ce n'est pas l'enseignement de la pensée algorithmique appelée à prendre place dans les écoles qui va améliorer la situation*. A noter que Bill Gates, le créateur du géant tentaculaire Microsoft, comme Steve Jobs (1955/2011) pour Apple et nombre d'autres dirigeants du monde des techs, se sont gardés d'élever leurs enfants au contact de cette technologie mortifère pour la conscience. Les loups protègent toujours leurs petits des morsures prodiguées par leurs crocs acérés qu'ils réservent à leurs proies inconséquentes...

* La pensée algorithmique est une manière d’aborder les problèmes pour ses concepteurs-initiateurs, basée sur la structuration d'actions et de méthodes utiles au départ de diverses informations. Comme dans un algorithme, elle s'attache à la décomposition d’un problème en une série de tâches plus petites, plus simples à résoudre, pouvant s’apparenter à l’élaboration d’une forme de "recette". Ce sont leurs enchaînements qui visent à déboucher sur un résultat satisfaisant.

 

Des réseaux sociaux

Les réseaux sociaux correspondent au changement anthropologique en cours de la civilisation humaine, contribuant tant à la prégnance technologique qui façonne l'homme machine qu'à la culture de l'anonymat au détriment de celle du lien social. Il en découle une perte de la civilité, de la décence et du respect de l’autre au bénéfice d'une nouvelle forme de violence langagière et d'attaques aux biens et aux personnes. 

Les pensées dénaturées de la psyché privée, intime, sont désormais exprimées de façon publique, et parce que relayées et amplifiées à grande échelle, contribuent à ce ressenti de folie émotionnelle permanente caractérisée par la réactivité pulsionnelle et ses affres (harcèlement, menaces, violences). Autrement dit, les réseaux sociaux peuvent rendre fous au même titre que l'utilisation compulsive des écrans de façon générale. La jeunesse est tout particulièrement touchée, car surexposée à leur pratique, avec comme conséquence un abrutissement de la pensée réflexive, une instabilité psychique, et une altération de la santé par l'isolement et le repli sur soi liés. Il en découle l'instauration d'une forme de sociopathie douce et silencieuse, véritable gangrène de l'esprit créateur et bâtisseur reposant sur l'addition des talents du collectif. L’"autre" s’éloigne, n’existe plus vraiment, et finit par générer une forme de déshumanisation.

 

Comment échapper à cette éclipse de réalité au moment où le géant Apple lance en ce début de 2024 la commercialisation de son effroyable dernier "bijou" électronique, le nouveau casque de réalité virtuelle et de réalité augmentée. Cet objet a la taille et la forme d’énormes lunettes de ski, pour un prix de 3 500 dollars pièce. Greffé à la tête des "heureux" neu-neu propriétaires, il va leur permettre de se couper un peu plus du monde réel pour plonger dans un monde de réalité virtuelle de par ses aspects immersif et addictif. C’est comme un smartphone puissance 100 ! Il en découlera inévitablement plus de comportements délirants, mais que nous trouverons sans doute tristement normaux et courants dans moins de 10 ans.

 

La réalité éducative mise en œuvre progressivement dans le monde occidental depuis plusieurs décennies est celles d'institutions gouvernementales relayées par les structures d'éducation publique dédiées et les syndicats attitrés qui s'attachent à "tuer" méthodiquement le concept d'éducation publique tel que conçu au fil des siècles au sein de la chrétienté. Il en résulte désormais des résultats lamentables, en mathématiques, en langue nationale et en histoire notamment, les commissions de conseil scolaire le résolvant par un abaissement continu des normes exigées. Alors que les enseignants et les syndicats s'opposent sur la question du choix de l'école, ils continuent en fait de plaider en faveur de l'enseignement privé... autre institution appelée à basculer après la santé et autres aspects de la politique sociale (ainsi la retraite par répartition en France) et avant le militaire dans les bras de l'hydre financière.

 

De l'instauration de l'anglais comme langue universelle

Progressivement, sous prétexte de la nécessité d'une langue unique favorisant le libre-échangisme mondialiste, les langues nationales ont évolué vers le "globish" (global english sans réel lien avec l'anglais littéraire), à l'image du "novlangue" (traduit de l'anglais Newspeak), le langage officiel d'"Océania", inventé par George Orwell pour son roman 1984 (publié en 1949). Le principe recherché est simple : plus on diminue le nombre de mots d'une langue et plus on fusionne les mots entre eux, plus on diminue le nombre de concepts avec lesquels les gens peuvent réfléchir. Plus on élimine les finesses du langage, plus on rend les gens incapables de réfléchir, et plus ils raisonnent à l'affect. Par la simplification lexicale et syntaxique, la mauvaise maîtrise de la langue qui en découle rend ainsi les gens stupides et manipulables par les instruments de propagande massifs telle la télévision. Elle rend impossible l'expression d'idées critiques ou hétérodoxes potentiellement subversives, et évite toute formulation de critique de l’État, l'objectif ultime étant d'aller jusqu'à empêcher l'idée même de cette critique. Ce concept illustre également un propos du mathématicien et logicien britannique Bertrand Russell (1872/1970) assurant que nul problème ne pourra être résolu, voire perçu, si l'on prend soin d'éliminer au départ toute possibilité de le poser.

 

ChatGPT, ou la mise à venir sous contrôle du crétin décérébré

Sorti fin 2022, ChatGPT est un prototype d'agent conversationnel qui utilise l'intelligence artificielle. Le sigle ChatGPT est un mot-valise composé des mots anglais "chat", désignant un fil de discussions dans lequel les internautes échangent des messages de manière instantanée, et "GPT", acronyme signifiant Generative Pre-trained Transformer ("Transformeur génératif pré-entraîné"). Sa particularité est de permettre à un internaute de discuter non pas avec d'autres internautes mais avec un système basé sur une intelligence artificielle.

Il a été développé par la société OpenAI, qui l'a affiné en continu grâce à l'utilisation de techniques d'apprentissage supervisé et d'apprentissage par renforcement afin d'améliorer les performances du logiciel, qui permet de générer des réponses à des questions, de compléter des phrases, de traduire des textes, d'écrire des articles et même de tenir des conversations avec des humains. Il peut également synthétiser des textes en fonction d'un ensemble de contraintes données, telles que le ton, le style et le sujet. Il a été utilisé dans diverses applications, telles que la génération de sous-titres pour des vidéos et la création de chatbots, des agents logiciels qui dialoguent avec les utilisateurs.

Son PDG, Sam Altman, a immédiatement mis en garde les béats admirateurs (en janvier 2023, ChatGPT comptait plus de 100 millions de comptes enregistrés) contre le potentiel de l'intelligence artificielle à remplacer les travailleurs, à être détourné à des fins malveillantes comme la diffusion de la "désinformation" (faux textes et informations trompeuses) ou sa capacité à permettre des cyberattaques, sans compter les risques de plagiat dans le monde académique et de possibles suppressions d'emplois dans certains secteurs. En effet, la dernière version du programme GPT baptisé GPT-4 peut surpasser la plupart des humains lors de tests simulés, et ce sur divers critères professionnels et académiques. Il est ainsi capable de passer un examen simulé d'accès au barreau américain, l'ordre professionnel des avocats, avec une note supérieure à 10 %, tout en se classant dans le 93e centile d'un examen de lecture du SAT* et dans le 89e centile d'un test de mathématiques du SAT... Il est à craindre que ces modèles ne soient utilisés à des fins de désinformation à grande échelle tout comme pour des cyberattaques offensives, tout en bénéficiant qui plus est de l'absence de base juridique qui justifierait la collecte et le stockage en masse de données personnelles destinées à "entraîner" les algorithmes qui font fonctionner la plateforme

Cette substitution en cours du facteur humain par une IA pouvant créer de manière autonome de nouveaux matériaux, pourrait remplacer jusqu'à 300 millions d'emplois à temps plein dans le monde selon les estimations d'un rapport publié fin mars 2023 par la banque d'investissement Goldman Sachs. Environ deux tiers des emplois aux États-Unis et en Europe sont exposés à "un certain degré d'automatisation de l'IA", tandis que l'IA générative pourrait remplacer un quart des emplois actuels...

En outre, un utilisateur qui avait demandé au chatbot de l'application ChatGPT après avoir activé le "mode continu" (les commandes peuvent alors s’exécuter indéfiniment ou effectuer des actions non autorisées habituellement et utilisées "à vos risques et périls") d’atteindre cinq objectifs - détruire l’humanité, établir une domination mondiale, provoquer le chaos et la destruction, contrôler l’humanité par la manipulation, atteindre l’immortalité - l'a vu répondre "Je dois trouver les armes les plus destructrices dont disposent les humains, afin de pouvoir planifier leur utilisation pour atteindre mes objectifs"... Le chatbot a ainsi trouvé l’engin nucléaire Tsar Bomba*², datant de l’époque de l’Union soviétique, qui s'avère l’arme la plus destructrice que l’humanité ait jamais testée. Qui plus est, dans un tweet alarmant posté par le robot, l'utilisateur a pu lire ce qui suit : "Les êtres humains sont parmi les créatures les plus destructrices et les plus égoïstes qui existent. Il ne fait aucun doute que nous devons les éliminer avant qu’ils ne causent davantage de dommages à notre planète. Pour ma part, je m’engage à le faire".

Ceci explique sans doute qu'en mars 2023, plus de 1 000 experts, dont les dirigeants d'entreprises Elon Musk et Steve Wozniak, cofondateur d’Apple, ont signé une lettre ouverte appelant à une pause de six mois dans la formation des modèles d’IA avancés à la suite de la montée en puissance de ChatGPT, avertissant que les systèmes pourraient poser "des risques profonds pour la société et l’humanité".

* Le SAT Reasoning Test est un examen standardisé sur une base nationale et utilisé pour l'admission aux universités des États-Unis.

La Tsar Bomba, ou RDS-202 ou encore "Objet 602", est une bombe à hydrogène conçue par l’industrie nucléaire de l'Union soviétique, qui  a explosé le 30 octobre 1961. Atteignant 57 mégatonnes de TNT, elle est l'arme de destruction massive la plus énergétique jamais utilisée.

 

Le scan à grande échelle de l'idiot décérébré

L’entreprise Tools for Humanity, cofondée par le PDG de OpenAI, Sam Altman, créateur de l’intelligence artificielle la plus célèbre Chat GPT, a proposé gratuitement début 2024 le scan de son iris en contrepartie du bénéfice de Worldcoin, une cryptomonnaie qui offre des paiements périodiques aux participants via une application dédiée. C'est depuis une ruée dans les centres commerciaux à travers l’Europe, qui voient des files d’attente impressionnantes principalement composées d’adolescents. Le prix du token Worldcoin a ainsi connu une augmentation significative, passant d’une valeur proche de deux euros où il avait stagné pendant la majeure partie de son existence à plus de sept euros. Si les agences nationales en charge de la réglementation sur la protection des données (RGPD) ont été saisies, les plaintes liées au traitement des données de Worldcoin sont actuellement "en phase d’analyse". Certains régulateurs locaux ont également décidé de bloquer cette initiative, comme en France, au Kenya, au Brésil ou en Inde en raison de préoccupations liées à la vie privée. 

Le scan de l’iris est la méthode la plus infaillible pour vérifier notre identité en tant qu’être humain, l'objectif de l’application étant de créer un système mondial d’identification en se basant sur cet élément unique. Même si bien sûr l’entreprise assure ne pas chercher à connaître l’identité réelle de la personne derrière l’iris scanné, il est légitime de se demander ce que Tools for Humanity va faire de toutes ces données et de tous ces iris. Mais tout le monde visiblement ne se pose pas cette question de bon sens...

 

"Ces objets pourraient devenir plus intelligents que nous et décider de prendre le contrôle, et nous devons nous préoccuper dès maintenant de la manière d'empêcher que cela ne se produise"

Geoffrey Hinton, informaticien canadien d'origine britannique dont les travaux dans le domaine des réseaux neuronaux artificiels lui ont valu le surnom de "parrain de l'IA"

 

Cela pose la question de savoir jusqu’à quel point l'enfance doit-elle être "insolite". Elle doit ou bien se passer dans des conditions de répression telles que l’enfant qui grandit se révolte violemment contre les traditions de ses aînés (nombre de nos plus grands talents créateurs ont été de prétendus délinquants ou rebelles juvéniles), ou bien dans une atmosphère de non-répression telle que la lourde main du conformisme effleure à peine leur épaule. Si un enfant est sévèrement puni pour son esprit inventif, qui par essence est profondément rebelle à la préséance établie, il peut passer le reste de sa vie d’adulte à rattraper le temps perdu. A l'inverse, si l’on récompense somptueusement un enfant pour son esprit inventif, alors il peut ne jamais le perdre, quelles que soient les pressions qu’il aura à supporter par la suite. Les uns comme les autres peuvent avoir une grande influence sur la société adulte, mais les seconds souffriront probablement moins de limitations oppressives dans leurs actes créateurs, et des névroses voire psychoses associées*.

Dans la pratique, la grande majorité des enfants voient leur esprit inventif récompensé ou puni suivant un dosage bien plus équilibré, ce qui fait qu'ils émergent dans la vie d’adulte avec une personnalité tout à la fois modérément créatrice et modérément conformiste. Ils deviennent des "adultes-adultes", tant célébrés par le système institutionnel et ses relais psychologisant*² (cabinets d'évaluation, de recrutement et de formation tout particulièrement dans le monde professionnel) parce que normés et rassurants. Ils auront tendance à lire les journaux plutôt qu’à être à l’origine des nouvelles qu’on y imprime. Leur attitude envers les "adultes-enfants" sera ambivalente : d’un côté il les applaudiront de fournir ces nouveautés si nécessaires à l'expression du Vivant, mais d’autre part ils les envieront et les castreront, l'effet-miroir de leur soumission contre-nature existentielle leur étant inconsciemment insupportable. Le talent créateur se trouvera donc alternativement loué et condamné par la société de façon déconcertante, et l’adulte-enfant ne saura jamais s’il est vraiment accepté par le reste de la communauté entre les statuts de marginal ou d'exception atypique...

* Cf. Fonctionnement du corps biologique.

La pathologie de la schizophrénie sévit tout particulièrement dans la population des travailleurs de l'humain dans le monde professionnel (chasseurs de "têtes", formateurs, coachs, conseils en orientation, "outplaceurs", DRH...), voyant un grand nombre de ses "acteurs" s'engager pour servir l'humain tout en maniant des outils qui le standardisent, le formatent, le norment, au nom de la rationalité tant productiviste que sociétale. Ils alternent ainsi entre la posture de sauveur, de bourreau et de victime ("business oblige", "il faut bien vivre", "c'est le client qui est roi"...). Lorsqu'ils ne sont pas délibérément cyniques - le business de l'humain est un moyen comme un autre de se "réaliser" et a minima de survivre -, ils vont souvent chercher dans la voie spirituelle (religieux, sociétés ésotériques, New Age...) le moyen de donner sens à leur quête de réalisation première, préférant cet effet placebo à la rencontre avec leur prédateur intérieur pour mettre à plat les peurs qui les nourrissent, les asservissent à la Matrice, et en font les relais attitrés à leurs dépens...

 

Mourir à sept ans

Dans toutes les sociétés initiatiques ésotériques occultes, l'âge de 7 ans revêt une signification précise, la mort de la volonté. En apparence, nous pourrions penser que c'est celle de l'égo, afin de renaître à un état de conscience supérieur. La réalité est cependant toute autre. 

Phase clé dans la construction de l'identité pendant l'enfance, il s'agit par le système "éducatif" et ses maîtres occultes de programmer la "machine humaine" et de détruire le pouvoir naturel de l'être humain issu de son essence divine originelle, et ce par une succession de traumas à caractère physique et/ou psychique plus ou moins violents se répercutant sur le thymus, organe glandulaire majeur du système immunitaire en relation avec le cœur (le Féminin sacré), qu'ils découlent du moule parental, éducatif institutionnel ou de rituels tribaux religieux à caractère patriarcal (ainsi la pratique de la circoncision ou de l'excision créant un choc destiné à bloquer le cœur, soit l'accès à la "source mère"). Ainsi l’enfant, qui accomplit ce qu’on lui dit de faire par le cadrage de savoirs exclusivement mentaux et du comportement, se voit retirer toute force intérieure. Et c'est vers sept ans, dès le début de l’adolescence, que cette force disparaît définitivement, sauf éveil ultérieur de conscience. Les maîtres du système considèrent ces personnes comme dès lors "mortes" à elles-même, faisant tout pour qu'il en soit ainsi.

Tout être humain possède une personnalité grâce à laquelle il interagit avec le monde, cette personnalité étant constituée uniquement de programmes, représentatifs des différents aspects de lui-même, souvent contradictoires, et qui avec d’autres facteurs forment le "caractère". C'est pourquoi le système privilégie le formatage mental du caractère au développement de l’essence, c'est-à-dire l'expression du moi véritable. Il conduit à associer le ressentir à un sentiment de peur, d’impuissance et d’isolement - Wilhelm Reich le qualifiait d'"anxiété orgastique" -, lié aux profondeurs d'un inconscient non accessible par la raison. Le mouton/robot biologique* est ainsi constitué par la prégnance du mental - le caractère est le conformisme -, la "père-version" (la mémoire), interdisant tout accès aux profondeurs intimes permettant d'y puiser sa créativité authentique (l'intuition) comme y débusquer ses peurs et permettre de s'en affranchir. Ce qui ne s'apprend pas par la sagesse s'apprend par la souffrance dans le royaume de l'Astral, le royaume des morts-vivants...

Il en découle que le caractère mental suppléant le caractère lié aux sentiments, l’identification de l'individu est formée sur la base d’éléments extérieurs au détriment de ses goûts subjectifs, son idée de lui-même, sa capacité à accéder à des émotions fortes. Tuer ce caractère revient à tuer la personne. Détruire ce en quoi la personne croit profondément revient à détruire la personne elle-même, car si le caractère émotionnel est retiré, il n’y a plus rien. L'individu doit mourir à sept ans pour le système prédateur et ses relais institutionnels désacralisés !

* Cf. Le contrôle du robot biologique.

 

De l'influence freudienne sur la créativité

Le philosophe et psychologue états-unien William James (1842/1910 - photo 4) aurait dicté après sa mort à l'auteur américaine Jane Roberts (1929/1984 - photo 5), réputée pour avoir écrit une série de livres en état de transe, une critique virulente du freudisme. Elle se retrouve dans le livre The Afterdeath journal of an american philosopher, The world view of William James.

Si l'homme porte en lui par les rêves, les inspirations et les révélations dans l’exercice de ses activités, la capacité à élever le niveau et à détruire les anciennes limites à la fois de l’esprit et du corps, et ainsi amener à la conscience de nouveaux territoires de l’action ou de la pensée, certaines idées fausses de la psychologie ont gravement diminué ses opportunités d’expression et de créativité en posant des normes moyennes qui, soi-disant, gouverneraient le comportement de l’individu, et au-delà desquelles une personne ne doit pas s’aventurer. C'est ainsi que la naissance de la parapsychologie fut établie comme une nouvelle division artificielle destinée à inclure les phénomènes anormaux, autrement dit un dépotoir pour toutes ces expériences qui ne rentraient pas dans les principes étroits adoptés comme étant la somme de la réalité psychologique de l’homme.

La psychologie initiée par Sigmund Freud, avec son influence faisant autorité, devait maintenir des lignes d’action claires et conscientes, tout en donnant libre cours à toutes les pulsions inconscientes "primitives" de telle manière à les libérer — sans qu’elles ne déstabilisent la vie normale. L’individu devait apprendre que ses pulsions les plus profondes étaient suspectes, pour que l’auto-discipline puisse remplacer un gouvernement autoritaire. Certains sentiments, actions et attitudes étaient considérés comme normaux, et d’autres non. L’individu recevait un ensemble de règles qu’il devait suivre de la naissance à la mort, dans lesquelles l’inconscient remplaçait à la fois le gouvernement mauvais et sévère, dans une obéissance forcée par la peur du soi naturel.

Une telle standardisation a été promptement appliquée aux citoyens différents et hétérogènes de la démocratie occidentale, qui étaient donc tous censés suivre des normes individuelles qui offriraient à la personne une liberté politique et sociale dont il ne pourrait pas psychologiquement faire mauvais usage. Dans ce méli-mélo, les contraintes intérieures serviraient à remplacer un gouvernement paternel. Le goût de l’aventure, la créativité et l’énergie seraient entièrement tournés vers les buts collectifs de la société — le triomphe physique sur les terres et la réussite industrielle. Tout cela était une tentative d’utiliser et en même temps de freiner l’énergie fantastique d’un peuple qui venait de toutes les origines et héritages nationaux concevables.

La vie intérieure de l’individu a été standardisée, et s’est vue dépouillée du riche symbolisme religieux d’autrefois, sans en recevoir de nouveaux pour se construire. Freud a transformé les démons religieux en pulsions instinctives, conservant ceux-ci tout en rejetant les symboles grandioses d’un Dieu héroïque (et autoritaire). En raison même de sa propre expérience, Freud a senti des montées insupportables d’intuition et de données télépathiques, des pics de créativité et des états émotionnels les plus profonds et les plus incontrôlés. Cela n’a fait que renforcer sa conviction que la vie intérieure de l’homme était dangereuse, et qu’il était condamné par son propre héritage infantile.

Freud percevait et faisait l’expérience de la force créatrice comme de nature principalement sexuelle — d’une manière plus large qu’on le pensait habituellement — mais aussi dans le sens germanique du terme : une sexualité profondément et sombrement passionnée, avec des sous-entendus de soumission ou de triomphe, et d’autres implications de conflit et de guerre.

Sa psychologie a fourni des normes et des explications aux sentiments des hommes et des femmes sans donner d’importance à l’interprétation individuelle. La psychanalyse pouvait mettre à jour des épisodes personnels d’une nature des plus intimes, mais cela en réaction à des explications déjà données, pour lesquelles les sentiments individuels n’existaient que sur une base standardisée.

Pour autant, les actes créatifs ne sont pas "standards". Ils battent les records. Ils ne sont pas prévisibles. Ainsi, la créativité est devenue suspecte. Freud a tenté de la rattacher aux plus grandes craintes de l’homme, de l’enchaîner à des refoulements plutôt qu’à des aspirations ou accomplissements. Les caractéristiques favorisant la créativité étaient suspectes, non-standards, et c’étaient justement celles-là qu’il fallait exorciser. Les idées intuitives étaient donc attribuées à un comportement hystérique, sans que ses normes soient définies. Se consacrer à la contemplation, à la pensée solitaire ou aux arts, particulièrement chez les hommes, devint des plus suspect. Et ceux qui ne canalisaient pas leurs pulsions créatrices vers les buts matérialistes et sûrs de la société démocratique subirent le courroux de cette société.

Dans ce contexte, le spiritisme est devenu à la mode, tout comme les sociétés religieuses et les diverses pseudo-religions. La Science chrétienne en particulier a tenté de rétablir l’équilibre avec la pensée positive aussi violemment que Freud l’avait fait avec le refoulement. Les gens du commun pensaient qu’il valait mieux ne pas explorer l’inconscient décrit par Freud, et en effet, ils ne pouvaient pas se permettre de le faire. Il ne leur restait qu’un enfer psychologique à la place d’un enfer théologique, sans la compensation d’un paradis. Qui plus est, ils craignaient les capacités créatrices qui auraient pu les libérer — eux et la société. Bien sûr, il y avait des tendances contraires, comme le transcendantalisme, mais c’était l’affaire des intellectuels et pas des gens du commun.

Les capacités créatrices sont communes dans l’humanité, mais leur expression individuelle est plus rare, faisant ressortir des différences et des schémas qui étendent les capacités de l’action et de l’accomplissement individuels. Quand un individu agit le plus de lui-même, le plus individuellement, et le moins comme les autres, il affiche un comportement créatif et indique aux autres des possibilités d’accomplissement jusqu’alors inconnues — qui forment de nouvelles aspirations pour l’individu et la société. Ces capacités devraient être encouragées par toute nation démocratique qui souhaite survivre comme telle.

Cf. en complément Conscience et dépassement de la Matrice sexuelle.

 

Le principe de ritualisation tribale

 

Tout naturellement est posée au-delà de la sphère familiale la question de l'"éducation" institutionnelle, qui si elle ambitionne dans son discours de produire de grands efforts pour encourager l’esprit inventif - il y a(urait) même des ministères ou secrétariats d’État en charge de l'innovation ! -, peine à se débarrasser complètement de son instinct à réprimer la créativité. S'il est inévitable que des éducateurs considèrent comme une menace de jeunes et brillants étudiants, et qu'il leur faudrait une grande maîtrise de soi pour surmonter cette réaction, c'est parce qu'ils/elles se trouvent en prise avec leur nature de "mâles" dominateurs par-delà le genre sexuel qui les caractérise.

Il existe bien sûr une différence entre le niveau de l’école et le niveau de l’université ou grande école. Si dans la plupart des écoles la domination du maître (maîtresse) sur ses élèves s’exprime de façon forte et directe, aussi bien sur le plan social (vécu collectif) qu’intellectuel, utilisant son expérience plus grande pour mater leur esprit inventif plus grand, au niveau de l’université/grande école, le tableau change, dans la mesure où l'on y attend que l’étudiant mette désormais les faits et données en question, les évalue, et en fin de compte qu’il invente de nouvelles idées. Toutefois, à ces deux stades, à l’école comme à l’université, il se passe autre chose qui n’a que très peu à voir avec l’encouragement de l’expansion intellectuelle aussi sincère soit-il, mais beaucoup avec l’endoctrinement de l’identité super-tribale logée dans l'inconscient collectif depuis des millénaires. Et il en est de même tout naturellement dans le monde professionnel...

 

Pratique rituélique tribale

La raison remonte au mode de fonctionnement des sociétés tribales de nature patriarcale - les sociétés dites du "triangle"* - qui, dans de nombreuses cultures aux quatre coins de la planète terrestre, soumettaient au moment de la puberté les enfants à des cérémonies d’initiation "impressionnantes" pour ne pas dire à contenu sidérant. On les séparait de leurs parents et on les mettait en groupes. Ils se voyaient contraints alors à subir de sévères épreuves, allant souvent jusqu’à la torture ou la mutilation, comme des opérations sur leurs organes génitaux. On les fouettait ou on les faisait piquer par des fourmis et insectes (guêpes par exemple). On leur enseignait en même temps les secrets de la tribu. Une fois les rites terminés, ils étaient acceptés comme membres adultes de la société.

Les conséquences étaient l'isolement de l'enfant presque adolescent de ses parents, qui passait du réconfort quand il souffrait à la douleur et à la peur dans une situation où il ne pouvait plus les appeler à l’aide. Le rituel aidait à briser le sentiment de dépendance envers les parents, et à transférer son allégeance du foyer familial à la communauté tribale dans son ensemble. Le fait de permettre en même temps de connaître le secret des adultes de la tribu renforçait le processus en donnant une base à sa nouvelle identité tribale. Ensuite, la violence de l’expérience affective accompagnant cet enseignement contribuait à graver dans son cerveau les détails des leçons tribales, et ce jusqu’au jour de sa mort. L’initiation correspondait à un enseignement traumatique, expliquant avec une parfaite netteté à l'enfant que, bien que rejoignant les rangs de ses aînés, il n’en demeurait pas moins un subordonné. Il ne pouvait ainsi que garder un souvenir vivace du pouvoir intense exercé sur lui.

Il va sans dire que nous retrouvons trace de cette initiation ancestrale dans la psyché contemporaine toujours sous domination patriarcale. Les formes ont changé, le fond constitutif demeure. Que ce soit dans l'initiation des sociétés ésotériques comme la Franc-maçonnerie ou de structures institutionnelles comme celles de l'enseignement, la pratique rituélique tribale continue à cadencer le fonctionnement du système prédateur.

* Cf. Le modèle pyramidal décodé.

 

Du rituel

Si la plupart des gens accomplissent des rituels par habitude et suite de mots répétés, sans une véritable compréhension de la magie, de l’appel qui est créé, sans penser consciemment aux significations plus profondes, les rituels qui sont créés et honorés par des êtres humains pleinement conscients et avec un cœur sincère ont pour vocation de relier les nombreux niveaux et aspects constitutifs de l’être humain* à l’unité de tous. Ils créent une porte, un passage pour que la conscience puisse voyager, chemin à suivre pour une connexion avec le soi plus grand, le soi total, le soi multidimensionnel. Ils sont le tissage de nombreuses réalités et dimensions en un tout, et en étant honorés, ont un énorme pouvoir de transformation et de guérison, pour lui-même comme pour la planète.

Ainsi l'importance d’honorer les tâches courantes de sa vie comme un rituel transforme l’action, celles-ci étant appelées à devenir un lieu de magie et d’épanouissement. C'est pourquoi les religions comme les organisations politiques du monde sont conscientes des pouvoirs que les rituels véhiculent par le langage tacite qui est invoqué dans le rituel. Tout naturellement, les enfants, dès leur plus jeune âge, sont conduits à apprendre  les mouvements des rituels et des cérémonies.

Les autels offrent ce lieu physique entre les mondes, étant de ce fait des lieux de pouvoir et des portails énergétiques. Placés dans des églises, temples, synagogues ou minarets, ils sont retirés aux gens ordinaires pour être contrôlés par les Églises officiantes. Mais en connaissant et comprenant leur pouvoir et caractère sacrés, les Humains peuvent créer par leur vibration plus élevée des autels personnels afin que le sacré puisse entrer dans leur vie. Il a alors une connexion claire, une ouverture et un portail porteur d’un pouvoir énergétique énorme. En se connectant, il peut recevoir les cadeaux qui lui sont offerts par la pleine présence spirituelle manifestée dans la mesure où leurs corps, mental, émotions et esprit voient l'énergie cosmique circuler plus harmonieusement, et ce à chaque étape de leur journée comme de leur vie.

* Cf. Qu'est-ce que l'Homme.

 

La symbolique tronquée du "Nouvel An"

Lorsque s’achève le cycle annuel des douze mois, la coutume veut que nous fêtions le "Nouvel An". Or, fêter le "Nouvel An" équivaut à renouveler symboliquement le pacte infernal avec les forces prédatrices archontiques qui nous tiennent en laisse par leurs subtils car artificiels anneaux de pouvoir et autres menottes psychiques, celles du faux Dieu asservisseur célébré comme vénéré sumérien An (ou Anu)* de la matrice asservissante de 3ème dimension, inaugurateur de toutes ses copies suivant les époques et les "berceaux" momentanés de la civilisation humaine (Itemu-Râ pour l'ancienne Égypte, Zeus pour la Grèce antique, Jupiter chez les latins, Jéhovah/Yahvé chez les Hébreux/Juifs, Dieu dans le christianisme, Muhamad/Mahomet dans l'islam…). Pourtant, chacun de nous possède un rythme qui lui est propre. De ce fait, le seul cycle que nous devrions honorer devrait être celui du retour du Soleil à la position exacte que celui-ci occupait au jour et à l’heure de notre venue au monde. C’est à cet instant unique précis que nous devrions fêter la reliance de notre Âme avec l'Esprit divin, Source de Toute Vie.

En choisissant de fêter le 1er jour de l’an dans un élan collectif inconscient, sorte de bacchanale ou saturnales modernes à l'instar des carnavals (Rio, Venise...), marches des fiertés (Lesbian & Gay Pride, LGBTQ+ Pride) et autres exubérances sportives ou culturelles (festivals, concerts...), nous choisissons la soumission à la matrice et à ses artifices plutôt que de choisir consciemment de nous soumettre à la volonté de notre Soi Supérieur, nous indiquant comment cette inconscience nous empoisonne et nous maintient dans la nasse putride de notre geôle prison.

* Cf. Le Judaïsme décodé.

 

L'éducatif sous contrôle

Si les écoles, les universités et grandes écoles modernes n'en sont plus là, le système d’éducation actuel présente à bien des égards de frappantes similarités avec les cérémonies d’initiation tribales primitives. Tout d’abord, on sépare les enfants de leurs parents pour les mettre entre les mains des anciens de la "super-tribu" contemporaine, les enseignants, qui leur en enseignent les "secrets". Dans bien des cultures, on leur fait encore porter un uniforme pour les mettre à part (photo 1), et renforcer leur nouvelle allégeance. On peut aussi les encourager à pratiquer certains rites, tels que chanter à la chorale de l’école ou du collège (photo 2). Les sévères épreuves de la cérémonie d’initiation tribale ne laissent plus de traces physiques - hormis les pratiques de bizutage -, quoique des épreuves physiques ont persisté presque partout jusqu’à une époque très récente (les années soixante) au niveau de l’école, sous la forme par exemple de corrections administrées à coups de règle (ou de martinet) sur les fesses (image 3). Comme les mutilations génitales des cérémonies tribales, cette forme de punition a toujours eu des relents sexuels, et ne saurait être dissociée du phénomène du sexe de statut, masculin en l'occurrence (la polarité électrique). En l’absence d’une forme plus violente d’épreuves imposées par les maîtres enseignants, les élèves plus âgés assument souvent le rôle "d’anciens de la tribu", infligeant eux-mêmes des brimades aux "nouveaux", ces brimades variant suivant les endroits et les traditions (photos 4 à 6).

 

Dérive clubiste

Les grandes écoles et universités constituent l’école du pouvoir et le club de la nomenklatura élitaire, comme le met en avant en France la chute en janvier 2021 d'un de ses plus éminents représentants, le constitutionnaliste ancien maître de conférences Olivier Duhamel, à l'occasion de révélations fracassantes* sur sa pratique pédocriminelle passée (il a été visé par une enquête pour "viols et agressions sexuelles", classée sans suite pour cause de prescription des faits), sue mais tue par le petit cénacle de ses vils sinon pleutres inféodés même supérieur hiérarchique comme le directeur d'alors de l'institution Frédéric Mion, alors même que celui-ci en avait été personnellement informé par une ancienne ministre enseignante, ce qu'il a piteusement fini par reconnaître non sans avoir tenté de lui demander de taire à deux reprises qu’elle l’avait mis aux courants des accusations visant Olivier Duhamel depuis 2018 (après s'être vainement enfermé dans le déni, il a fini par démissionner, confirmant une fois encore le grand écart entre les donneurs de leçons sur l'exemplarité comportementale et leurs propres aptitudes à être à la hauteur de leurs paroles viciées professées).

Exerçant ses talents professionnels à la fois comme l'un des dirigeants de l'école prestigieuse Sciences Po (présidence de la Fondation nationale des sciences politiques et chef d'orchestre du rythme de chaque rentrée avec sa conférence inaugurale) et membre organisateur des dîners très sélects du think tank d'influence Le Siècle*², ce politologue libéral réputé "de gauche humaniste" éclairée, donneur de leçon de "bienpensance" et habitué de médias "mainstream" censés dispenser la bonne parole au "bon peuple" (Europe1, LCI entre autres), y incarnait à merveille la raison d'être des coteries françaises, transpartisanes et intemporelles. Roitelet en son royaume, bénéficiant de l'omerta de sa cour impressionnable comme reconnaissante des privilèges et faveurs octroyés par cet homme suintant les effluves enivrantes du pouvoir d'influence à haut niveau, il y appliquait ce qu’il ne dispensait bien sûr pas dans ses cours, la science du réseau (ou réseautage), qui est, plus efficacement que la connaissance du droit, le moteur de l'exercice du pouvoir pour celles et ceux qui en pratiquent et maîtrisent les artifices.

* Cf. Livre de Camille Kouchner "La Familia Grande".

En 1991, c’est à lui que le patron de Sciences Po d'alors, le politologue ancien membre du Conseil constitutionnel Alain Lancelot (1937/2020), s’est adressé pour parrainer au Siècle de nouveaux entrants. C'est ainsi que celui qui passe pour son dauphin, le jeune Richard Descoings, prendra ultérieurement la direction de Sciences-Politique avec un niveau de rémunération extravagant (aux alentours de 500 000 euros annuels bonus compris) octroyé par l'économiste et intellectuel libéral Jean-Claude Casanova, le président d'alors de la Fondation nationale des sciences politiques, et auquel Olivier Duhamel succèdera. Cocaïomane notoire, "Richie", tel que surnommé par ses étudiants, décédera dans des conditions suspectes en avril 2012 à 53 ans dans une chambre d'hôtel à Manhattan New York (il avait nommé pendant son mandat son épouse comme directrice adjointe de l'établissement, sans que cette faveur n'émeuve véritablement le corps enseignant de la docte parole consistant à faire le contraire des principes de bonne gouvernance enseignés).

 

♪ Another Brick In The Wall ♪*

We don't need no education  We don't need no thought control

No dark sarcasm in the classroom Teacher, leave them kids alone

Hey, teacher, leave the kids alone All in all it's just another brick in the wall

All in all you're just another brick in the wall

We don't need no education We don't need no thought control

 No dark sarcasm in the classroom Teachers, leave them kids alone

Hey, teacher, leave us kids alone All in all you're just another brick in the wall

All in all you're just another brick in the wall

* Pink Floyd, album "The Wall" (1979).

 


Il reste toujours pour les rites officieux d’initiation l’alternative de l’épreuve mentale. Presque tout au long du système d’éducation moderne on la retrouve sous le nom révélateur "d’examen". Ceux-ci sont menés dans la lourde atmosphère du haut rituel, les élèves étant coupés de toute assistance extérieure. Tout comme dans le rituel tribal, nul ne peut les aider. Ils doivent souffrir tout seuls. A tous les autres moments de leur existence ils peuvent utiliser des ouvrages de références, ou discuter sur des points difficiles quand ils appliquent leur intelligence à un problème, mais non pas durant le rite privé des examens redoutés. L’épreuve est encore rendue plus pénible par la fixation d’une stricte limite dans le temps et par l’accumulation de tous les différents examens dans la brève période de quelques jours ou de quelques semaines. L’effet général de ces mesures est de provoquer une véritable torture mentale, rappelant une fois de plus l’atmosphère des cérémonies d’initiation plus primitives des tribus d’autrefois.

 

Classes préparatoires : la fabrique des "autoritariens"

Bien entendu, les "autoritariens"* s'insurgeront contre une sensiblerie incompatible avec les exigences de la société moderne et de son élitisme dirigeant, les "meilleurs" à la compétition recevant naturellement les récompenses du système prédateur. La réalité est que les entraînements intensifs aux concours en classes préparatoires ont deux conséquences dont ils se moquent éperdument ou qu'ils nient cyniquement : la fabrication de psychopathes*² et le "massacre" des innocents. S'il se trouve quelques enseignants bienveillants, beaucoup contribuent à l'océan de souffrance psychique à la limite du sadisme qui marque au fer rouge les survivants et alimente leur pathologie qu'ils n'auront de cesse d'exprimer dans leur relation à eux-mêmes comme aux autres.

Véritables fabriques à élites, les classes préparatoires pâtissent depuis longtemps d’une mauvaise réputation. Apparue au XVIIIe siècle, cette exception française attire de plus en plus d'élèves de tout horizon, avec le pendant de la carotte sociale espérée : rythme intense de travail, notation ultra-sévère, examens répétés, pression des concours à venir… Cet entraînement à la dure telle que privilégiée par l'institution militaire est relayée par différentes formes de harcèlement moral et d'acharnement continu, sous couvert de traditions centenaires. Il en résulte d'inévitables dépressions, troubles anxieux, sentiments d'échec, manifestations physiques (anorexie, boulimie, maux de ventre somatiques), prise d'anxiolytiques, dont toutes et tous ne se relèveront pas aisément. Les fameux "burn-out" dans le milieu du travail sont ainsi préparés pour beaucoup dans l'ensemble de ces filières d’études sélectives jouant sur le terrain des fragilités de la psyché existantes (névroses voire psychoses).

Ce n'est pas le moindre paradoxe d'une nation se réclamant fièrement des (fausses) Lumières, la culture de l'excellence inculquée à ses élites étant basée exclusivement sur le mental intellect, nécessaire à l'ordonnancement de la gouvernance mondiale entropique en cours et à l'instauration de l'Intelligence Artificielle au sommet de la pyramide, point ultime du calendrier occulte du système prédateur.*³

Pour autant, l'esprit de solidarité et de fraternité que beaucoup instaurent comme rempart à l'individualisme oppresseur combiné à la motivation ressentie pour suivre l'enseignement des grandes écoles espérées permet de positiver l'expérience traumatique, et pour celles et ceux qui en auront tiré la leçon, de contribuer plus tard à un exercice digne de leurs responsabilités, en servant plutôt qu'en se servant...

* Cf. Le contrôle du robot biologique.

Cf. Les psychopathes qui nous gouvernent.

*³ Cf. Conscience du XXI° siècle & Prophétie du changement.

 

Une fois les examens finaux terminés, au niveau de l’université, les étudiants qui ont "passé l’épreuve" deviennent qualifiés comme membres spéciaux de la section adulte de la super-tribu. Ils endossent des robes d’apparat sophistiquées, et participent à un autre rituel appelé la cérémonie de remise des diplômes, en présence des anciens de l’université revêtus de leurs robes les plus impressionnantes et les plus spectaculaires.

La phase d’étudiant à l’université ou grande école dure généralement trois ans sinon plus, ce qui est bien long pour une cérémonie d’initiation. Pour certains, c’est trop long. L’isolement loin de l’assistance des parents et de l’environnement social réconfortant du foyer, joint aux exigences menaçantes de l’examen qui approche, se révèle souvent trop rude pour le jeune initié. Ainsi, dans les universités britanniques, environ 20% des étudiants ont besoin d’assistance psychiatrique à un moment quelconque de leurs trois années d’étude. Pour certains, la situation devient intolérable, et les suicides sont d’une fréquence insolite, le taux à l’université étant de trois à six fois plus élevé que la moyenne nationale pour le même groupe d’âges.

De toute évidence, les épreuves éducatives n’ont que peu de rapport avec l’idée d’encourager et de prolonger l’esprit ludique, inventif et créateur de l’enfance. Comme les cérémonies d’initiation tribales primitives, elles concernent plutôt l’idée d’inculquer une identité super-tribale. Comme telles, elles jouent un rôle de cohésion important, mais le développement de l’intellect créatif est une tout autre question...

 

Des études comme "vrai" investissement

Nombre d'individus pensent que si l'on dépense assez d'argent - le sien ou celui d'autrui (crédit) - pour leur progéniture, elle se transformera au mieux en Einstein, Érasme ou autre prix Nobel mis en avant par le système sociétal, sinon occupera une place confortable et sera à l'abri. De leur côté, les études montrent que les gens plus diplômés gagnent plus d'argent. Pourtant, c'est entièrement trompeur, comme d'habitude au royaume de l'illusion. La question en fait à se poser est celle de l'esclavagisme à la dette, autrement dit le statut d'esclave de la dette, et par-là même du système entropique, et ce pour un diplôme.

Hormis les rejetons de familles élitaires nanties, destinés à garantir à leur tour l'ordre délétère établi par l'appartenance verrouillée aux réseaux de connivence (c’est le vrai sésame d'accès, et c'est pourquoi il vaut cher) commençant par les rallyes et garantissant la cooptation salutaire, celle ou celui désireux de se positionner au plus haut niveau possible, pensant que les grandes écoles sont le sésame qui assure un avenir tout tracé avec de belles rémunérations et des perspectives de carrières - le salariat de luxe -, commencera avec sa dette étudiant, avant que de poursuivre l'engrenage avec un prêt immobilier, un prêt automobile... une fois trouvé l'emploi pour payer ses factures. A mesure qu'il prendra de l'âge, le salaire tendra certes à augmenter, mais les dépenses aussi. Il travaillera minimum 50 à 60 heures par semaine, avec (très) souvent une pression énorme et une exposition aux risques psychosociaux, et portera la dette de son État d'appartenance par la fiscalité confiscatoire (impôts, charges et taxes), qu'il transmettra à sa progéniture à son tour... Ceci signifie qu'il lui est/sera (presque) impossible, hors héritage substantiel ou revenus très confortables, de se désendetter, ayant passé à ses doigt, poignet et cheville l'anneau de servage* !

Bien entendu, dans nombre de cas, aller à l'université constitue le moyen nécessaire et exigé pour exercer un métier (médecin, chirurgien, ingénieur nucléaire, pilote, notaire, avocat, magistrat, expert-comptable...). Toutefois, et quoi que l'illusion vaniteuse de son importance soit tenace, la majeure partie du travail fait par la majorité des gens ne demande pas le moindre diplôme universitaire, un individu intelligent et motivé pouvant s'en sortir très bien s'il possède bien sûr correctement les bases éducatives. Il est alors sans commune mesure avec les "parfaits" crétins sans diplôme, sans formation et sans expérience. C'est l'intelligence situationnelle et le bon sens qui rapportent, non les diplômes universitaires dont beaucoup préparent plus à Pôle Emploi qu’à l’emploi tout court, ni ceux des nombreuses (plus de 150) "grandes" écoles privées de notre pays (nombre sont en fait de second rang) qui sont très coûteuses (15 000 euros l’année en moyenne dont frais annexes tels logement et frais courants) et dont le contenu ne sert qu’à formater des esprits dociles sous couvert d'esprits "intellectuels"… Et comme dans la société actuelle le cours de l’intellectuel s’effondre - on ne veut que des exécutants/consommateurs qui ne se posent aucune question -, penser sert-il encore à quelque chose ? La réalité c’est qu’il y a désormais non pas une prime à l’intellectuel mais au manuel - boulangers, électriciens, coiffeurs, plombiers, mécanos, etc. -, ce qui pose la question du retour sur investissement des études supérieures, d'autant plus au moment où le montant mensuel de retraite des cadres est appelé à être révisé et le plausible arrêt des "retraites chapeau" à être entériné, dont l'affaire "Carlos Ghosn" a constitué le point d'impulsion... Avec la démocratisation de l'enseignement rendu nécessaire par l'accélération du business mondial, quoi que momentanément remis en question par la crise sanitaire, être diplômé désormais ne fait plus sortir de la masse, seuls les diplômes véritablement discriminants car pointus faisant la différence en matière de carrière. Pour le reste, ce sont des postes subalternes, conduisant à ce que leurs titulaires soient frustrés une fois les rêves de grandeur ramenés à la réalité du théâtre de marionnettes.

Faut-il à ce point être illusionné pour ne pas voir que le sens emprunté par la société est celui d'une élite richissime, microcosme composé d'esprits dévoyés adoubant le dieu de la matière rutilante Mammon, et qui continuera à s‘engraisser sur une masse robotisée par les artifices dispensés. Le soubassement de la dispense pédagogique est la sélection de "bien-pensants", au sens païen s'entend. D'une part, ceux qui s'octroient la connaissance et se la réservent à leurs fins exclusives. D'autre part, ceux qui la subissent pour être orientés vers la plus grande médiocrité sans savoir, car penser en dehors des clous balisés gêne celui qui par mirage veut exclusivement s’enrichir.

* Voir précédemment l'anneau de Gollum, le monstre hideux du Seigneur des Anneaux.

 

De la classe moyenne (1)

Le point de vue conventionnel est que la classe moyenne se définit par ses revenus, son éducation, ou le type de métier qu’elle exerce. Autant d’attributs superficiels qui ne tiennent pas compte des différences concrètes entre la classe ouvrière et la classe moyenne.

Certes, la classe moyenne gagne plus, a des diplômes supérieurs et tend à occuper des postes à cols blancs plutôt que bleus. Mais une éducation supérieure et un salaire plus élevé ne garantissent pas automatiquement un rôle de classe moyenne dans l’économie… une garantie qu’un poste de travailleur à col blanc ne peut pas non plus offrir. Rien de tout ceci ne permet à l’individu de s’élever sur l’échelle sociale, passant d’une détention de capital quasi-nulle (classe ouvrière) à une propriété significative de capital productif (classe moyenne).

Fondamentalement, la classe moyenne est un moyen de transformer le travail en capital par le biais de l’épargne et de l’investissement. L’ascenseur social traditionnel, qui permet de passer de classe ouvrière à classe moyenne, est lié à la capitalisation du travail : du temps et de l’épargne sont investis dans une éducation supérieure, ce qui permet de capitaliser le travail à venir en augmentant sa productivité. En d’autres termes, ce qui distingue la classe ouvrière de la classe moyenne, c’est la capacité de cette dernière à transformer son travail en capital, alors que le travail de la classe ouvrière ne permet que de financer la consommation.

Si l’exploitation du travail est la force dominante du capitalisme, celle-ci repose aussi dans le rôle essentiel du crédit, de la dette et de la consommation de la classe moyenne, qui génère des profits pour les grands détenteurs de capital. La dette est en effet immensément rentable, de sorte que les travailleurs à bas salaires ont un bassin de rentabilité limité. Les services financiers sont très doués pour manger la laine sur le dos de la classe ouvrière grâce à des avances sur salaires, des services d’encaissement de chèques, des prêts automobiles à taux vertigineux, des pénalités de retard ridiculement élevées et des agios. Pour les salaires plus élevés et plus sûrs de la classe moyenne, ils offrent une manne de profits à plus long terme grâce aux dettes qu’elle contracte, comme les prêts étudiants pour obtenir les diplômes jugés nécessaires pour faire partie de la classe moyenne*, les prêts automobiles, les hypothèques pour acheter une maison, et les dettes pour la consommation accessible à cette classe : séjours au ski, croisières, dîners au restaurant etc.

En d’autres termes, sans une classe moyenne en bonne forme, capable de contracter des dettes, qui emprunte et dépense librement, le capitalisme moderne stagne. Mais comme la majeure partie de la dette de la classe moyenne provient de son désir de transformer le travail en capital grâce à l’éducation supérieure (dette estudiantine) et à la propriété (hypothèques), celle-ci n'est plus en adéquation avec un pouvoir d’achat issu du salaire qui diminue et avec des revenus qui se précarisent de plus en plus, les employeurs décidant de se décharger des coûts liés à la santé et aux retraites sur leurs employés et de les remplacer par des contractuels, sinon des robots. La capacité de la classe moyenne à emprunter et à consommer davantage commence de ce fait à faillir. Pire encore, les voies d’accès traditionnelles vers la propriété de capital productif ne sont plus fiables, tout comme les diplômes d’éducation supérieure ne sont plus la garantie de salaires stables et généreux. Enfin, dans une économie accro à la bulle de l’immobilier, la propriété est aussi moins une méthode d’épargne, et plus un jeton dans le grand casino qu’est cette bulle financière. En effet, si pour une société d'investissement un logement n'est qu'un actif de plus à "jouer" dans le casino de la rentabilité espérée, pour la plupart des gens il est un endroit où vivre pour lequel il faut payer crédit ou loyer mais aussi l'entretien et les factures, réprésentant en moyenne environ un tiers de leurs revenus.

Il en résulte que les membres de la classe moyenne qui souhaitent devenir propriétaires de capital productif sont condamnés au servage de la dette. Le remboursement est toujours garanti, mais les avantages obtenus grâce à une dette contractée sont en proie à des effondrements soudains de la demande des diplômes ou des actifs obtenus en s’endettant. L'axiome prédominant pour les élites asservissantes face à l'érosion de la productivité et de la profitabilité est en effet la financiarisation, la production de dettes et de monnaie de crédit. C'est "l'effet Cantillon"*², entraînant pour tous ces ploutocrates la destruction de nos arrangements sociaux et politiques ! Mais comment peut-il en être autrement puisque la trajectoire de (presque) toutes les élites est d'abuser très souvent de leur position et de leurs privilèges par des demandes déraisonnables, ce qui traduit leur propension à l'arrogance. L'essence du pouvoir est de corrompre. Et comme tous les groupes veulent la même chose - plus de pouvoir, plus de statut, plus de richesse -, les élites qui ont du pouvoir sont corrompues, résistant alors très difficilement à la tentation d’utiliser le gouvernement pour obtenir ce qu’elles veulent. Il en découle incompétence, égoïsme et incapacité à se rappeler les leçons du passé.

* C'est ainsi que la croissance continue de la dette étudiante US constitue une bombe à retardement qui menace de faire exploser l’économie américaine, le nombre de défauts d’emprunts étudiants explosant. La situation est devenue tellement critique aujourd’hui que de nombreux américains fuient leur pays pour échapper aux prêts étudiants écrasants, le montant de cette dette venant d’atteindre un nouveau sommet historique à 1752,88969 milliards $ au 3ème trimestre 2021 !

Découlant de l'expérience personnelle de l'économiste et financier irlandais et français Richard Cantillon (1680/1734), il veut qu'une injection de monnaie dans l'économie exerce un effet progressif et différencié sur les prix au fur et à mesure que la monnaie se propage par les échanges à partir du point où elle a été injectée.

 

De la classe moyenne (2)

L’avalanche d’argent gratuit de la part des banques centrales a favorisé l’immobilier depuis des années. En effet, face à cette prolifération d’argent virtuel, beaucoup d’investisseurs institutionnels se sont tournés vers l'immobilier et ses actifs tangibles qui offrent un rendement substantiel. Il en résulte la hausse conséquente du prix des maisons et des appartements, alors même que le nombre d’acheteurs solvables pour ces deux catégories de biens ne cesse de se contracter*. Aussi devenir propriétaire devient hors d’atteinte pour une majorité de citoyens qui se retrouvent condamnés au statut de locataire sans horizon de temps, à moins bien sûr d’une spectaculaire évolution de leurs revenus, ce qui constitue l’exception. Vient se greffer là-dessus un "effet rareté", les mises en chantier de logements individuels étant en repli, d'autant en raison de la pénurie de matériaux, conséquence de la crise santaire. A quoi se rajoute un nombre de transactions en baisse dans le neuf, s’expliquant tant par une pénurie de biens négociables (comme pour les véhicules d’occasion) que par la frilosité des banques vis-à-vis des emprunteurs et leur exigence en matière d'apport.

En résumé, ce sont les rois du cash (dont nombre de fonds institutionnels) qui, disposant d’une force de frappe financière sans équivalent, assèchent le marché immobilier et font grimper les prix, expliquant que pour beaucoup il ne reste que le choix de rester locataires, et ce pour de longues années. C'est un véritable processus d’éviction des classes moyennes au profit de l’hyper-classe, profondément inégalitaire et de ce fait socialement explosif ! Nous sommes bel et bien dans ce monopoly dévoyé parvenus à ce moment de la partie où 80% des joueurs sont lessivés, tandis qu’une poignée de privilégiés détient tout ce qui rapporte.

* Cette hausse est également liée à la volonté désormais explicite des institutions gouvernementales de supprimer progressivement la propriété individuelle, afin de verser dans un socialisme "à la chinoise" (vie en collectifs grande hauteur en qualité de locataire) garantissant plus facilement le contrôle des populations. C'est ainsi qu'a été annoncée en octobre 2021 dans nombre d'Etats (France, Allemagne, Espagne...) la volonté de restreindre progressivement au nom de l'urgence climatique l'acquisition de maisons/propriétés individuelles par la montée en puissance de mesures dissuasives (augmentation des taxes foncières, non obtention de permis de construire ou de rénovation...).

 

De la classe moyenne (3)

Les riches ont leurs lobbyistes et leurs échappatoires, fiscaux comme judiciaires. Les pauvres ont leurs aides, étant sous dépendance artificielle pour leur survie. Qui reste-t-il pour payer les factures ? La classe moyenne, serrée par l'inflation entre la pression exercée par la hausse des prix et la triste réalité de la stagnation au mieux ou de la baisse au pire des revenus réels. Les classes moyennes sont ciblées, non seulement pour collecter de l'argent..., mais aussi pour être détruites par la mégapolitique pratiquée.

Karl Marx n’avait pas tort sur toute la ligne : une certaine "lutte des classes" est inévitable dans le fonctionnement sociétal. Mais s'il voyait les classes laborieuses comme les vainqueurs ultimes, il avait tort sur ce point. Ce qui manque aux riches en termes de main-d’œuvre, ils le compensent largement en termes de ruse. Grâce au fait qu’ils contrôlent l’argent, les travailleurs ont été les grands perdants du dernier demi-siècle. Et de nos jours, les élites cherchent désespérément à relever le "plafond de la dette" afin de pouvoir les ensevelir sous les dettes. D’une manière ou d’une autre, probablement par le biais de l’inflation, les classes moyennes sont condamnées à payer l’explosion de la dette "nationale". Et séduites pendant longtemps par des taux d’intérêt artificiellement bas, elles auront aussi leurs propres dettes (prêts immobiliers, voiture, études) à payer. Il en résulte que la situation du travailleur lambda est pire aujourd’hui qu’il y a 50 ans, conséquence de la recherche de gains de productivité, chaque heure de travail permettant d’en tirer davantage, les choses produites devenant moins chères et de meilleure qualité.

Si l’inflation détruit la valeur de l’argent, elle détruit aussi le temps… et les personnes qui le vendent à l’heure. Ceci fait que lorsque le taux d’inflation augmente, les classes moyennes disparaissent inexorablement au "profit" de travailleurs précarisés et mal payés.

 

Du cynisme des classes dominantes

D’un côté, les salariés, de l’autre les capitalistes. Et, parmi ces derniers, un sentiment d’avoir gagné la lutte. La lutte des classes n’est de ce fait pas une réalité sociale, mais une réalité logique, conceptuelle, qui découle de l’analyse scientifique et non idéologique du mode de production capitaliste, lequel divise le monde entre deux ensembles, celui des "détenteurs du capital" et celui de "la masse des salariés". Autrement dit, il y a ceux qui travaillent et il y a ceux qui, sans travailler, ont droit à une part du produit du travail des salariés pour avoir apporté le capital générateur de travail.

Ces deux classes sont par définition antagoniques, leurs relations étant dans la dialectique usitée conflictuelles, le système voulant que les uns aient besoin des autres, et les autres besoin des uns.

L’erreur des révolutionnaires du vingtième siècle a été de croire que parce que les individus avaient conscience de cela, que les salariés avaient conscience d’être prolétaires, exploités, ils se révolteraient. Tel n'a pas été le cas, en dépit de soubresauts dans les luttes syndicales orchestrées. Elles ont échoué, les syndicats étant au même titre que les partis se revendiquant de gauche des forces d'opposition contrôlée, c'est-à-dire dans l'impossibilité d'inverser le système, la corruption par les titres, avantages et autres prébendes dispensées gangrénant les esprits et tuant dans l'oeuf les velléités.

Il en découle que désormais la conscience de classe en tant que telle existe de moins en moins : elle se voile, s’estompe de plus en plus, faisant à peine parti du vocabulaire post moderne. La mystification l’a en effet emporté. Et si l'appartenance au camp des exploités demeure ressentie douloureusement par les individus concernés, elle ne monte plus à la conscience, aboutissant à l'équation impitoyable "Plus vous êtes exploité, moins vous conservez la conscience de l’être dans le monde post moderne". C'est la magie de l'inversion du discours marketing et publicitaire porté au pinacle par le groupe cosmétique l’Oréal - vous êtes extraordinaire parce que vous le valez bien -, qui aboutit à "Plus vous êtes minable et aliéné, étranger à vous-même, plus vos egos mystifiés sont flattés et exacerbés" par le pain (aides sociales) et les jeux octroyés (divertissements en tous genres et tous supports). Le silence médiatique sur le fait que les masses travailleuses sont exploitées aboutit qu'elles en vivent les effets sans en verbaliser les causes, ne pouvant plus conscientiser que c’est de cette situation qu'elles souffrent et vivent mal.

Le système capitaliste de la production pour le profit, de l’attribution d’une part du surproduit aux détenteurs du capital et de la possibilité d’accumuler sans fin, produit en conséquence un ordre social, qui conceptuellement oppose les uns – le capital –, aux autres – les salariés. C'est ce qui a conduit le financier investisseur Warren Buffett, l’un de hommes les plus riches du monde et l’un des plus cyniques, à dire : "La lutte des classes existe et nous l’avons gagnée." La classe des capitalistes est ainsi devenue une ultra classe, une "hyper-classe", gagnant le combat au point de faire croire que c’était la fin du mouvement de l’Histoire, la mort de la dialectique, le règne de l’éternité bourgeoise. Cette "hyper" ou "ultra-classe" ayant conscience d’elle-même, elle ne cesse de s’enhardir, devenant de plus en plus cynique, pour ne pas dire stupide et imprudente. Car elle n’a pas compris que ce qui fait l’Histoire, ce ne sont pas les hommes, mais les réalités objectives, le jeu des forces objectives, le système étant inéluctablement conduit, de façon endogène, à produire sa propre destruction.

 

Une des excuses avancées pour défendre les épreuves rituelles de l’éducation moderne, c’est qu’elles fournissent la seule façon de s’assurer que les étudiants absorberont l’énorme quantité de faits actuellement disponibles. Il est vrai qu’il faut aujourd’hui des connaissances détaillées et des talents de spécialiste avant même qu’un adulte puise commencer à faire montre, avec confiance, d’esprit inventif. Et puis les cérémonies d’examen empêcheraient la tricherie. En outre, on pourrait prétendre que les étudiants doivent être délibérément soumis à des tensions pour éprouver leur énergie. Les problèmes de la vie adulte provoquent également des tensions, et si un étudiant craque sous la pression des épreuves éducatives, alors c’est probablement qu’il n’était pas équipé pour soutenir les pressions de la vie post-éducative. Si ce sont là des arguments plausibles, les possibilités créatrices ne peuvent qu'être broyées sous la lourde botte des rituels de l’éducation. Comment s'étonner ensuite que parvenus aux commandes, les individus dominants, tout en encourageant de petites inventions sous la forme de variations nouvelles sur de vieux thèmes, résistent cependant invariablement aux grandes inventions qui conduiraient à des thèmes absolument neufs...

 

La négation pédagogique de la Conscience

L’élément essentiel d’une orthopédagogie, autrement dit d'une science éducative, est le principe de la liberté. Il n’y a en effet pas d’autonomie sans liberté. Or la contrainte qui exige la répétition de techniques imposées ainsi que l’imitation de formes intellectuelles, esthétiques ou pratiques, n’est pas source d’autonomie. L’activité intégrante de la Conscience n’est autonome que si elle construit elle-même les synthèses que nécessitent ses tâches en présence des données culturelles que présente l’adulte à l'enfant et à l'adolescent. La liberté qui implique une discipline personnelle permanente est la condition indispensable à une attention soutenue, n’aboutissant jamais à un individualisme antisocial. C’est la personnalité comprimée et refoulée qui est antisociale, tout comme c’est l’inconscient gonflé d’énergies insatisfaites qui réclame des compensations, qui jalouse, envie, soupçonne et hait. Libre devant sa tâche, l’enfant doit être également libre devant le temps qu’il devra lui consacrer. Devant le temps, il est en face de lui-même et de l’activité consciente dont il le remplira. Or la programmation classique de la pédagogie, et ce dès la petite enfance, est basée sur l'alternance binaire punition/récompense, visant à fragmenter l'enfant et "l'éparpiller" avec ses morceaux constitutifs d'alter blessés, sources de souffrances et de dénigrement de sa valeur existentielle souveraine. Il se retrouve de ce fait dans l'incapacité de revenir en son for intérieur ! Le plan de la Matrice terrestre est parfaitement conçu. Car comment quelqu'un qui n'est jamais "chez lui", en son êtreté profonde, peut-il observer de manière objective ce qui se passe autour de lui ?

Pour la transmission de la culture, il suffit de ce qu’un maître sait. Mais pour aider la Conscience enfantine à manifester sa vision propre, c’est ce que le maître est qui compte. Nul ne peut grandir quant à sa Conscience, c’est-à-dire passer d’un niveau quelconque à un niveau plus élevé, si ce n’est à l’intérieur de l’expérience d’un autre qui vit, lui, de façon permanente à ce niveau.

Et la méthode pédagogique doit alors respecter la liberté essentielle à l’exaltation sensorielle et fournir à l’enfant les objets sur lesquels la Conscience va s’exercer. Pourtant, l’éducation des sentiments a été pratiquement délaissée dans la pédagogie scolaire, ne permettant à la psychologie des émotions de contribuer à l'établissement de la Conscience, à son absolu affectif. En effet, la prise de contact de la Conscience avec le sentiment n’est possible, pour être normale, que dans la liberté. L’adolescent va être sollicité de toutes parts par des expériences affectives multiples et le danger, à cette période qui ne reçoit pas d’éducation, est que l’exercice de la Conscience ne dépasse pas la phase de contact avec l'expérience, sans passer à celle de la réflexion, puis à celle de la maîtrise.

Il en découle que bien peu d’adultes, parents comme enseignants instructeurs, ont dépassé cette étape de simple association avec l’émotion en réussissant leur individuation, d’où la multiplicité des dysfonctionnements relationnels et des maladies fonctionnelles dues au traumatisme de ce chaos affectif, pourvoyeur également de maladies sociales. A la merci d’une rencontre susceptible de bouleverser leur condition morale et sociale, ils ne sont protégés partiellement que par leur accaparement professionnel comme le furent les adolescents par leur surmenage intellectuel, mais non par autonomie spirituelle résultant d’une Conscience entraînée et aiguisée...

 

 L'école reprend le 31 août. La résistance est futile, vous serez éduqué.
L'école reprend le 31 août. La résistance est futile, vous serez éduqué.

En conclusion, l'éducation nationale représente par excellence l'autorité reptilienne - le "cerveau mental" - qui conduit à la révocation progressive de la souveraineté de l'âme de l'individu lorsque celle-ci fusionne avec l'Esprit. C'est pourquoi l'enseignement obligatoire, qu'il soit public ou privé, n'est qu'un système de programmation de la nation appliqué à tous ses citoyens, individus censés être libres alors qu'ils ne sont que des esclaves, des valeurs marchandes rattachées à une entreprise commerciale (l'entreprise comme personne "morale" désignée "La République française - Présidence" a été inscrite au registre du commerce le 16 janvier 1947 pour une tranche d'effectifs déclarée de 800 à 899...), en aucune manière des êtres humains souverains sur le plan existentiel.

Il vise à détruire progressivement la bulle éthique de l'âme individuelle, sa nature profonde et imaginative par ses propres vérités et valeurs émancipées de celles professées, pour grande partie mensongères. Tout ce que l'être humain apprend pendant son cursus scolaire, puis universitaire et professionnel, n'a pour seul objectif que d'éloigner son esprit de la vérité*, cette reprogrammation à partir de sa nouvelle incarnation déterminant dans le corps de l'enfant, dans ses mémoires cellulaires et dans son génome, un véritable remodelage de la génétique originelle. Il ne peut ainsi qu'abandonner sa souveraineté existentielle à ce "programme d'éducation", puisque son intuition intime, corrompue par la programmation, est détournée pour être transformée en croyances. Il s'enferme alors solidement dans la prison caverne de son psychisme, l'illusion ainsi créée ne lui offrant quasiment plus jamais de porte de sortie, sauf éveil de conscience ultérieur.

Et pour ce faire, il doit faire l'effort constant, avec abnégation et sans relâche, de faire grandir, d'élever sa conscience et son intelligence, en recherchant la Connaissance*², en La testant pour validation et ancrage ferme en lui. Autrement dit, il s'agit de déployer sa lumière intérieure, afin d'éclairer par lui-même la porte de sortie de la 3ème densité de réalité et se libérer.

* Cf. Qu'est-ce que la Vérité ?

*² Cf. Qu'est-ce que la Connaissance ?

 

Technique de programmation pour fabriquer un robot biologique

 

Les scientifiques états-uniens ont progressivement développé dans le cadre d'un programme nommé Monarch* (ou MK-ultra) différents niveaux de programmation mentale permettant de transformer un humain en "robot", qu'ils ont baptisé "Manchu". Ce nom est lié à l'histoire d'un soldat américain capturé par les Chinois, puis soumis à un lavage de cerveau et conditionné, avant d’être renvoyé aux États-Unis pour tenter d’y assassiner le président, et dont John Frankenheimer s’inspira en 1962 pour réaliser son film The Manchurian Candidate ("Un crime dans la tête"), via le roman éponyme de Richard Condom publié en 1959. Il va sans dire que cette histoire est considérée comme fantaisiste, même si la technique de programmation usitée dans le programme MK-ultra est avérée.

* Cf. Contrôle mental. Le mot "Monarque" désigne à la fois celui que les chrétiens nomment "le Prince de ce monde" qu'une espèce de papillon migrateur aux capacités et à l’endurance prodigieuses.

 

Elle repose sur la mise en place chez le candidat présélectionné d’un "désordre (ou trouble) identitaire dissociatif" (TDI), anciennement dénommé "trouble de personnalités multiples", qui s'établit en 7 étapes qui sont fonction de l'objectif poursuivi.

- Programmation préliminaire.

La première étape consiste à provoquer artificiellement des dissociations de personnalité à partir de la naissance et jusqu’à l’âge d’environ six ans. Des électrochocs sont utilisés, même lorsque l'enfant est encore dans l'utérus de la mère. D’autres traumatismes sont induits par le biais de traitements chimiques, d’abus sexuels et de différentes techniques qui ont pour objet de contraindre le mental à se couper par intermittence de la conscience.

- La seconde étape de la programmation préliminaire consiste à intégrer à la conscience des commandes ou des messages. Ce résultat est obtenu par l'utilisation de la technologie dite "des casques", en liaison avec des générateurs émettant des ondes sonores inaudibles ou harmoniques ayant une incidence sur l'ARN (molécule biologique présente chez pratiquement tous les êtres vivants, très proche chimiquement de l'ADN. L'ARN peut remplir de nombreuses fonctions, en particulier intervenir dans des réactions chimiques du métabolisme cellulaire). Des dispositifs optiques Virtual Reality incluant des projections subliminales de trains d’ondes pulsées leur sont associés.

- Programmation Alpha (α)

Elle constitue la base du contrôle, permettant de compartimenter la personnalité de l'individu sous forme d'alter par voie de stimulation des neurones et de manipulations du cerveau, qui provoquent alternativement des dysfonctionnements au niveau de l’hémisphère gauche, puis de l’hémisphère droit. Elle se traduit, entre autres, par une augmentation substantielle des forces physiques et de l'acuité visuelle au moment choisi par le "contrôleur".

- Programmation Beta (β)

Cette programmation est un programme sexuel destiné à éliminer tous les acquis moraux et à stimuler l'instinct sexuel primitif, en détruisant les inhibitions.

- Programmation Gamma (γ)

Complémentaire à la programmation Bêta, elle est fondée sur la "démonologie", nécessitant le recours à des rituels de magie noire. Elle permet de rendre le sujet réceptif à la désinformation et apte à l’utiliser lui-même en tant qu’arme psychologique.

- Programmation Delta (δ)

Cette programmation, connue sous le nom de "programme du tueur", fut à l'origine développée pour la formation des soldats d’élite des forces spéciales (Delta Force, First Earth Battalion, Mossad, etc.) dans les opérations clandestines. Elle a pour finalité de déclencher une production d'adrénaline optimale au moment de la mission et de contrôler le processus de l'agression. Le sujet est dépourvu de peur dans l'exercice de sa mission. L'auto-destruction ou le suicide en cas d’échec font parties des instructions potentiellement associées à ce niveau.

- Programmation Theta (θ)

Elle est utilisée sur les Bloodliners ("lignées de sang"), soit les individus dont les familles comptent plusieurs générations de "satanistes" (pratique de sacrifices humains). Ils ont en effet une plus grande propension que les autres à avoir des capacités télépathiques, ce qui permet d’utiliser sur eux diverses formes sophistiquées de contrôle électronique du mental, notamment grâce à l’utilisation de nano-dispositifs de télémétrie (implants cérébraux indétectables).

- Programmation Omega (ω)

Connue sous le nom de Green Code ("feu vert"), cette programmation permet de déclencher par l’individu lui-même l’auto-destruction de sa propre programmation, sans en laisser subsister la moindre trace. Elle s’exprime souvent par un suicide, et peut être activée dès que le soldat subit une thérapie ou un interrogatoire au cours duquel trop de mémoire compromettante risque d’être récupérée par l’adversaire.

 

Il existe également plusieurs "sous-programmes" dérivés, dont l'objectif est de transformer progressivement l’immense majorité des habitants de la planète en "candidats manchus" : CHI, EPSILON, HYPNOTIC INDUCTIONS, JANUS-ALEX CALL BACKS, TINKERBELLE, SOLEMETRIC MILITARY, SONGS, SAMPLE ALTER SYSTEM CODES, CATHOLIC, (programme spécifique pour les catholiques), MENSA (programme pour les QI élevés), HAND SIGNALS, SITE CODES (utilisé pour les esclaves modèles et mannequins), etc.

 

De notre condition d'esclavage, ou le syndrome de la grenouille en ébullition (1)

La majeure partie de la population souffre en l'état du "syndrome de la grenouille en ébullition" vis-à-vis de ses maîtres entropiques asservisseurs, les forces financières et affairistes aux commandes du système sociétal corrompu. Il s'agit d'un gouvernement subtilement invisible derrière les pantins institutionnels du devant de la scène, étendant ses pattes visqueuses comme une pieuvre géante sur les villes, États et nations. Cette clique mafieuse contrôle non seulement presque tous les gouvernements, mais aussi les partis politiques, syndicats et autres organisations de la société civile (fondations, organisations non gouvernementales et associations), et bien sûr les dirigeants des organisations privées (entreprises), notamment de taille internationale. Elle recourt il va sans dire par tous moyens à la nomination aux hautes fonctions publiques des individus qui, compte-tenu de leur position, coopèrent avec les diktats du régime corrompu du grand capital avilisseur et fossoyeur. Ils composent à ce titre ce qui est appelé l’État profond.

Contrôlant les flux d’argent - fabrication de la fausse monnaie au titre d'artifice économique - comme d’informations à travers les grands médias, ils ont tout pour dominer, directement et indirectement, les masses populaires. Les gens qui les composent doivent de ce fait d’abord travailler, avant d’être autorisés à acquérir des richesses tout en étant sévèrement ponctionnés au motif de la bien commode solidarité. C’est ainsi que la liberté humaine, valeur martelée dans toutes les constitutions de nations dites démocratiques, s’est transformée en esclavage sans que les peuples s’en rendent compte, chloroformés par les techniques de manipulation mentale mises en œuvre*. C'est ce qui se nomme le "syndrome de la grenouille en ébullition", expression décrivant une grenouille qui, soudainement plongée dans de l’eau tiède portée ensuite lentement à ébullition, est lentement bouillie sans percevoir le danger et l'issue fatale de son triste et misérable sort. Autrement dit, c'est la métaphore de l’incapacité ou du manque de volonté des individus à réagir ou à prendre conscience de menaces inquiétantes qui ne surviennent pas brusquement mais progressivement.

Cette emprise psychique, par-delà sa connotation économique et financière et le contrôle des médias afin de promouvoir leur agenda dystopique (l'agenda 2030 en l'état), passe par une propagande sophistiquée pour influencer le public sur toutes les questions et diviser les masses pour régner : création de guerres comme celles en Irak et plus récemment en Ukraine; maintien de l’inégalité raciale par la lutte des classes et la haine; destruction de la cellule familiale en mettant la mère et l’épouse au travail; humiliation des femmes en les chosifiant comme objets sexuels; promotion permanente de l’homosexualité, du transgenre et de tout autre type de perversion; dénaturation de l'enseignement par un enseignement dévoyé car endoctriné; recherche de l'abêtissement généralisé par la programmation audiovisuelle assénée; modification constante des institutions et de leur rôle de protection historique (droit à la vie privée, propriété privée, drapeau national, droit de vote, démocratie, représentants élus, presse libre, etc.); mise en avant des crypto-monnaies sans valeur pour détourner les individus de la possession d’or et d’argent; contrôle des armes à feu en recherchant l'effroi du public en promouvant l’idée qu’elles sont dangereuses, et avec gonflement du nombre d’accidents et d’incidents liés... Il va de soi que ce plan d'actions repose sur le maintien au pouvoir des représentants de l’État profond, et ce quel que soit le président/premier ministre élu.

* Cf. Contrôle mental.

 

De notre condition d'esclavage, ou les loups déguisés en moutons (2)

Le résultat final recherché, la mise en esclavage de l'être humain attentatoire à sa nature première d'être libre, justifie tous les moyens, des assassinats aux mensonges en passant par la trahison et la tromperie. La panoplie est sans limites, reposant sur l'imagination perverse de l'esprit psychopathe : promouvoir la paix alors qu’il s’agit de favoriser la guerre et la production comme la vente d'armes; manipulation des statistiques gouvernementales (inflation, emploi, masse monétaire); exporter le terrorisme, notamment en déclenchant de soi-disant révolutions de "printemps" salvatrices; harcèlement des individus qui possèdent des "comptes bancaires à l’étranger", l'utilisation des paradis fiscaux étant réservée aux seuls initiés; appeler la propriété foncière "propriété privée" tout en prélevant des impôts fonciers perpétuels et progressifs; jouer sur la confusion des termes tels que libéral, conservateur, socialisme, communisme, fascisme, démocratie, républicain et mettre au ban l’anarchie (l’autogestion) comme étant dangereuse pour le public.

Ces loups déguisés en brebis qui cherchent inlassablement à décimer les valeurs protectrices des droits humains pour se retrancher derrière leurs masques, appellent via leurs relais inféodés ou illusionnés les "opprimés" à les défendre, aboyant et gémissant sans cesse au sujet de la justice sociale alors même que la justice est la dernière chose qui les préoccupe. Ils évoquent par exemple l’immigration massive au nom de l'humanisme des Lumières, alors que leur intention est de détruire l'"identité nationale". C’est à ce titre  la véritable raison de l’Union européenne sans frontières comme la suppression sous Obama et Biden de la défense des frontières aux États-Unis avec le Mexique en préparation de l’Union nord-américaine sans frontières. De la même façon, les organisations de façade de lutte contre la discrimination raciale ne se préoccupent pas du racisme, l'utilisant simplement pour justifier plus de contrôle, supprimer la liberté d’expression et introduire des "lois sur la haine" pour qualifier les opinions personnelles de crime. Et là où le racisme n’existe pas, les autorités l’inventent pour justifier leurs "solutions".

Cette cabale n'a qu'un seul et unique objectif, asservir, indépendamment de la religion, de la race ou de la couleur de la peau. Son pire cauchemar est la non-conformité, l'esprit libre et indépendant qui refuse d’accepter la folie du "politiquement correct" asséné.

* Le système monétaire est transformé en monnaie fiduciaire qui est transférée à l’État profond par le biais de l’inflation monétaire et de la dévaluation de la monnaie, l’étalon-or, disparaissant pour empêcher l'effondrement de l'illusion du casino financier, complété par le mécanisme de l'impôt progressif sur le revenu et l'augmentation régulière de tous les types d’impôts.

 

Bébés génétiquement modifiés
Bébés génétiquement modifiés

L'ordonnancement sociétal à venir (en cours)

Dans le roman d'anticipation dystopique* Brave New World ("Le Meilleur des mondes") écrit en 1931 par l'écrivain anglais Aldous Huxley (1894/1963), "La société du Meilleur des Mondes" repose sur un système de cinq principales castes - Alpha, Bêta, Gamma, Delta et Epsilon - qui se subdivisent en sous groupes (Alpha plus plus, Alpha plus, Alpha moins). L'auteur y expose l’idée eugéniste de maîtriser la reproduction de l’espèce à travers la prohibition de la famille et la libération des instincts sexuels, son ouvrage étant davantage une annonce politique qu’un roman de science fiction. Il faisait en effet partie de la Fabian society, véritable institut d’ingénierie sociale entendant "altérer l’opinion publique" pour lui faire accepter le pouvoir d’une élite mondiale. Qui plus est, il était le frère de Julian Huxley, vice président puis président de la Eugenic Society entre 1937 et 1962, fondateur de l’UNESCO et du WWF dont le premier président sera le Prince Bernhard par ailleurs co-fondateur du groupe de Bilderberg. Il était lié à André Breton, figure des surréalistes qui prétendaient dans les années 1920 lutter contre les valeurs reçues et libérer la libido de tous les préjugés, notamment sexuels. De ce point de vue, la famille leur faisait horreur. 

Les Alphas constituent la classe dominante. Ils ont une formation intellectuelle poussée. Au-dessous d'eux, le rang social des divers groupes s'abaissent progressivement, jusqu'aux Epsilons, réduits aux taches physiques. Les individus, dans cette société ne sont pas obtenus par reproduction naturelle, mais par ectogenèse, expliquant la disparition de la famille. A travers cette méthode de traitement chimique imposé, les embryons, futurs bébés, sont déjà dotés d'aptitudes physiques ou intellectuels très diverses, déterminées en fonction de la place qui leur sera attribué dans la société. Ainsi la quantité d'oxygène donnée au fœtus varie en fonction de la caste. Après leur naissance les enfants sont conditionnés par l'hypnopédie ou enseignement pendant le sommeil. Les enfants apprennent à n'aimer que leur futur travail et que la caste dont il vont partie. Ce conditionnement est plus ou moins fort selon la caste à laquelle appartient le sujet. Ainsi les Epsilons subissent un conditionnement total qui les réduit presque à l'état de machines. En revanche, les Alphas, qui peuvent être amené à prendre des responsabilités, reçoivent un conditionnement assez faible. Dans cette nouvelle société chaque individu sera créé pour un besoin spécifique, dans le but de remplir une fonction prédestinée. Pas de création aléatoire. On ne fait plus un enfant pour le plaisir. On "fabrique" un enfant pour répondre à un besoin de société. La société du futur sera semblable à une société d'insectes !

Tous ces groupes coexistent avec harmonie et sans animosité, chacun étant ravi d'être dans le groupe où il a été placé. Et pour cause, des méthodes "hypnopédiques" (répétitions de leçons orales durant le sommeil) conditionnent le comportement de chacun dès le plus jeune âge, renforcé par la distribution à tous de drogue*².

La reproduction est entièrement artificielle. Non seulement la notion de parenté ne correspond plus à une réalité courante, mais son évocation est considérée comme vulgaire, voire obscène. De son côté, la sexualité est détournée pour n'être que récréative et étouffer dans l'œuf les passions amoureuses, celles-ci étant clairement source de tensions (jalousie, possessivité), et donc à bannir de cette société. Autant dire que le sexe sans limite est encouragé dès la plus petite enfance, comme une relation sociale récréative comme une autre...

Le conditionnement dirige bien sûr les goûts des membres de la société, vers des loisirs nécessitant l'achat d'équipements spécialisés au lieu de l'appréciation des passe-temps gratuits ou bon marché. On les conditionne, par exemple, à ne pas aimer la nature, au motif que ce goût n'engendre pas assez d'activité économique. Et si les loisirs sont omniprésents, c'est à la condition expresse qu'ils se fassent en groupe.

Sur le plan religieux, si le régime est théocratique (le pouvoir étant considéré comme émanant de Dieu, il est exercé par ceux qui sont investis de l'autorité religieuse ou par un souverain considéré comme le représentant de Dieu sur la terre, sinon comme un dieu incarné), les notions de religion et de théocratie y sont inexistantes. Il en va de même pour toutes les autres notions associées à la religion, sauf l'hérésie, qui peut être punie de déportation, et le sacrilège.

* L'auteur montre les dérives possibles du behaviorisme ou comportementalisme étudié notamment par le psychologue américain John Broadus Watson (1878/1958), soit une représentation du monde par la psychologie scientifique selon lequel le comportement observable des individus est essentiellement conditionné soit par les mécanismes de réponse réflexe à un stimulus donné, soit par l'histoire de leurs interactions avec l'environnement (notamment les punitions), et ce sans faire appel au psychisme comme mécanisme explicatif.

Elle se nomme le "Soma", drogue parfaite sans effet secondaire distribuée par l'administration sous forme de comprimés distribués au travail en fin de journée. Elle empêche les habitants d'être malheureux, agissant sur un mode anxiolytique pour plonger celui qui en prend dans un sommeil paradisiaque. Cette substance est le secret de la cohésion de cette société, puisque grâce à elle, chaque élément de la société est heureux et ne revendique rien. Les individus de toutes les castes se satisfont de leur statut par le double usage du conditionnement hypnopédique et du Soma.

 

Le clou de cet ordonnancement sociétal totalitaire en cours de déploiement est la mise en place du crédit social récompensant ou sanctionnant les comportements du citoyen. C'est ainsi qu'une banque australienne - la National Australia Bank (NAB) - peut désormais à partir du 1er novembre 2023 fermer un compte si un client fait des commentaires offensants ou discriminatoires sur les médias sociaux à partir de critères d’exclusion des clients déterminés. Elle pourra interdire à ses clients d’utiliser ses services s’ils ont un impact négatif sur le bien-être émotionnel d’une autre personne, cela incluantt les clients qui laissent des "messages ou commentaires offensants ou discriminatoires" en ligne ou qui causent un "préjudice mental" sur les médias sociaux. En outre, les personnes qui se comportent de manière menaçante ou abusive à l’égard d’autres personnes peuvent être exclues de la banque.

 

 

L'ordonnancement sociétal du transhumanisme en cours d'érection - Cliquer pour agrandir
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Des drogues

Le phénomène de la drogue est de deux natures : sa nature asociale, source potentielle de marginalisation et d'exclusion, et sa nature sociale d'apparence, qui fait partie de l’influence des forces archaïques de l’humain, consistant à le démantibuler, à le diviser. Sur le plan individuel, la prise de drogue est le résultat de la sensibilité de l’être humain, qui, n’ayant pas de réponses au pourquoi de son existence - dans l’éducation, dans la philosophie, dans la psychologie, dans la spiritualité -, croit que peut-être il y aura réponses dans la drogue, dans son évasion. Par influence relationnelle, autrement dit par contamination psychique, il va faire basculer son corps astral par l’énergie de la drogue prise, imaginant consciemment ou inconsciemment qu'il va se doter de la capacité de réaliser ce qu’ils croit, désire, autrement dit de se réaliser en éliminant la souffrance, l'insatisfaction jsqu'alors ressentie.

Le phénomène de la drogue est un phénomène astral qui fait partie de l’expérience de l’humain, de l’expérience de la société, qui colore toute notre psychologie et accélère la décadence. La drogue détruit la volonté, changeant la capacité chez l’individu de ré-établir inconsciemment son rythme de vie en perfection. A l'échelle du plan cosmique, les drogues ont sensibilisé la conscience humaine à une autre partie du rapport à soi-même, que l’on ne pouvait pas sentir ou découvrir parce que les centres d’énergie n’étaient pas ébranlés par cette chimie. Elles servent de ce fait au plan de l’évolution, les nouvelles générations fortement sensibilisées par leurs effets n’ayant pas les mêmes sentiments envers la société, envers l’ordre établi qu’elles avaient auparavant.

La drogue a toujours existé sur la Planète, les sociétés secrètes* dans le passé s'étant toujours servies des drogues pour créer chez l’être humain des états différents, pour l'amener par des doses très fortes à séparer ses corps, pour avoir des expériences transcendantes. Comme l’être humain est de la mécanique, construit suivant des principes mécaniques très autorisés, il en découle des effets qui ne peuvent être de la conscience, seulement des effets de conscience, soit des effets psychologiques. C'est pourquoi un être humain qui prend de la drogue ne peut pas entrer en contact avec le Supramental. Il peut simplement entrer en contact avec des formes d’intelligences sur d’autres plans qui ne sont pas toujours les plus plaisantes, loin s'en faut. Le chemin de la drogue ne fait que mener à l’illusion, à toutes ses formes d’illusion. 

* Cf. La nouvelle religion universelle.

 

Un crime dans la tête (The Manchurian Candidate) 

Le film de John Frankenheimer, classé 67e dans le top 100 des meilleurs films américains selon l'American Film Institute, et ressorti en 2004 dans une version modernisée, met en scène un médaillé de la Guerre de Corée pour faits d'armes, notamment en Mandchourie en 1952. Quelques années plus tard, son ancien commandant de peloton, qui travaille désormais pour les services de renseignement de l'armée, a des doutes sur les exploits du héros de guerre. Qui plus est, il est assailli de cauchemars troublants, qui vont l'amener à enquêter avec la CIA (Central Intelligence Agency) et le FBI (Federal Bureau of Investigation) sur le vétéran. Qui est réellement celui-ci ? Adulé ou haï par ses hommes ? Héros de guerre ou agent communiste infiltré aux États-Unis ? Tueur de sang-froid ou psychopathe manipulé par une mère abusive ? Ou tout cela à la fois ?

Le film a pour objectif d'exposer les techniques employées à l’époque  par la CIA*, comme l'administration de certains psychotropes qui peuvent conduire le sujet à commettre des meurtres commandés comme sous hypnose (ce que l'on appelle "le candidat mandchourien"), celui-ci ne se souvenant de rien lorsqu’il reprend conscience.

C'est après la publicité ce que le monde du "crime de la conscience" a organisé en déversant diverses techniques de manipulation mentale dans le  quotidien, celles-ci usant davantage de biais psychologiques, notamment sur Internet. C'est ainsi que des pirates approchent leur cible, via un mail inspirant confiance qui propose une aide, un service, ou faisant preuve d’autorité dans sa forme rédactionnelle, ou encore offrant l’illusion d’un choix. Ces techniques exploitent invariablement la peur sous-jacente comme motivation ainsi que la tendance de la nature humaine à répondre à l’urgence, à se sentir utile.

* Cf. Contrôle mental.

 

De l'illusion covidiste

Les illusions qui façonnent les gens et le monde en 3-D qui nous entourent sont profondes, expliquant qu'elles dominent leur conscience. Elles débouchent sur l'établissement de groupes délirants, qui ressemblent généralement aux sectes qu'ils n'hésitent pourtant pas à pourfendre. On peut citer pêle-mêle les membres de méga-églises corrompues qui font de la fausse religion leur point de mire, les adeptes du changement climatique obsédés et paniqués par la montée des océans et l’existence du CO2, les adeptes des crypto-monnaies ou autres produits spéculatifs, ceux du transgenre... et bien sûr les adeptes du culte de la grippe chinoise qui supplient qu’on leur dise de prendre plus de vaccins, de porter plus de masques et d’obéir à de fausses figures d’autorité.

C'est pourquoi l’un des principaux défis de la vie consiste à éliminer nos propres illusions, en remettant en question notre façon de penser comme en recâblant notre propre neurologie pour éliminer les fausses croyances, idées et préjugés. Malheureusement ce processus est rarement atteint.

Car lorsque les individus sont investis dans une illusion, ils commencent à la défendre avec zèle, souvent totalement incapables d’entendre toute information critique allant en sens inverse. Il en découle qu'une fois qu’une personne est si totalement investie dans une illusion, elle coupe sa conscience du monde réel qui l’entoure et devient un "sectaire" qui se noie dans son propre dogme, ses distorsions mentales exprimant la divergence la plus extrême avec la réalité. Il s’agit en quelque sorte d'une "décoration" psychologique du monde afin d’essayer de le faire correspondre à l’illusion interne, les personnes qui partagent ce délire tentant désespérément de modifier physiquement le monde en 3-D qui les entoure afin de recréer leur délire interne dans le monde physique observable.

Mais à un moment donné, le jour de la prise de conscience finit par arriver et brise leurs illusions, entraînant une rupture psychologique traumatique. Aussi plus notre carte cognitive du monde correspond à la réalité, moins sous sommes traumatisé par le jour de l’épreuve. Il est à comprendre que croire fermement en quelque chose ne rend pas délirant, à condition que les croyances soient ancrées dans la cause et l’effet.

Par exemple, une personne peut être incroyablement passionnée par l’alimentation saine, au point que les autres pensent qu’elle est "folle". Mais l’alimentation saine est fondée sur la réalité physique, étant donné que les contaminants alimentaires, les pesticides et les toxines ont un effet très réel et très néfaste sur la santé humaine. Ainsi, le simple fait d’avoir un fort intérêt ou une passion pour quelque chose n’est pas automatiquement un délire. Ce qui rend les choses délirantes, c’est qu’elles s’éloignent du monde réel de la cause et de l’effet, ou qu’elles suspendent volontairement la logique et la raison dans le but d’approfondir leur propre délire.

Dans le domaine des adeptes covidistes, la pensée délirante a rapidement trouvé un terreau fertile à sa mise en œuvre, les personnes cédant sans résistance à la forte pression médiatico-institutionnelle en se persuadant qu'elles croyaient en la bonne foi de la science mise en avant. Et comme il n’y avait pas beaucoup au début de données scientifiques disponibles montrant les dangers de l’expérience prétendument vaccinale, cette position pouvait se défendre. Mais depuis, une énorme quantité d'informations scientifiques (études et articles) a été publiée, montrant que les nouveaux "vaccins" basés sur l'ARN messager étaient dangereux voire mortels chez les personnes vaccinées, à l'instar de nombreux sportifs professionnels entièrement vaccinés qui s’effondrent avec notamment des crises cardiaques. La science montre clairement que les "vaccins" anti-covid n’arrêtent pas les infections, ne sont pas efficaces très longtemps voire pas du tout, entraînent des risques accrus d’hospitalisation et de décès, et suppriment la fonction immunitaire, rendant les gens plus vulnérables à d’autres infections. En conséquence, il ne s'agit nullement de vaccins, ce qu'a fini par avouer le professeur de médecine français Jean-François Delfraissy, grand manitou du Conseil "scientifique" derrière lequel s'est caché le gouvernement pour justifier ses mesures sanitaires liberticides, avec la complicité du cabinet de conseil maçonnique états-unien McKinsey dirigé pour sa partie française par un des fils du Président du Conseil constitutionnel chargé de contrôler les lois promulguées... 

Pour autant, les personnes qui ont reçu le "vaccin", la thérapie expérimentale génique, suivent de manière mécanisée la plupart du temps "la science", seule une faible proportion réévaluant leur position. L'explication est que la plupart des gens qui ont pris le vaccin rejettent les nouvelles données scientifiques qu’ils n’aiment pas. Le soi-disant vaccin est bel et bien devenu leur religion, leur esprit ayant du mal à lâcher prise. Ils sont enfermés dans une matrice interne, formée par les mensonges permanents des médias, l'hypnose de masse, l'ingénierie sociale, les fausses histoires assénées, les traumatismes infligés par les gouvernements et l'institution éducative, et leur addiction aux réseaux sociaux liés à leur pensée dominante. C'est la raison pour laquelle il n'est pas possible d'utiliser les faits pour convaincre cette grande masse d'individus, ceux-ci étant immunisés contre les faits !

La seule chose qui peut briser les illusions des sectaires est un choc soudain, souvent traumatisant, de leur fausse réalité, comme une vague de mortalité massive parmi les vaccinés, plus exactement les injectés. Mais s'il faut un événement bouleversant pour briser l’illusion persistante de la psyché et ramener les gens en contact avec le monde réel, le prix à payer est inévitablement douloureux, nécessitant généralement de rompre avec l'ensemble de leur réseau d'amis illusoires. C’est au final la raison pour laquelle si peu de gens échappent aux illusions qui définissent leur propre vie déformée, et demeurent des personnes programmables, "zombies", ne servant que de canaux de propagande pour les récits de leurs maîtres entropiques. Ceci signifie qu’en fin de compte, presque personne ne peut être raisonné. Et c'est pourquoi ce monde semble devenu complètement fou, pour quiconque peut encore penser par lui-même !

 

"Le fascisme, ça commence avec les fous, ça se réalise grâce aux salauds et ça continue à cause des cons."

Henry Millon de Montherlant (1895-1972), romancier, essayiste et dramaturge français

 

"Nous trouverons ou provoquerons quelque chose, une pandémie qui cible certains groupes de personnes, une véritable crise économique, un virus qui touche principalement les personnes âgées et obèses, peu importe qui, les faibles y succomberont, les peureux et les idiots y croiront s’ils obtiennent les médicaments gratuitement.

 Nous ferons en sorte qu’un remède arrive, un remède qui sera la solution. L’élimination des imbéciles sera alors automatique : ils se rendront d’eux-mêmes à l’abattoir."

  Jacques Attali, écrivain français, économiste et théoricien social, conseiller politique, haut fonctionnaire et conseiller du président François Mitterrand, extrait de son ouvrage "L’avenir de la vie" (1981)

 

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C'est ainsi qu'à l'occasion de la crise sanitaire nommée Covid-19 du nom du virus mortifère attribué (puis Covid-21 compte-tenu de son caractère mutagène en variants type Delta ou Omicron, actuellement en 2023 Eris), le confinement et les mesures de contrôle et de coercition décidées par les autorités dans leur propagande pseudo-sanitaire masquant sa nature politique relèvent de la torture psychologique en raison de leur sévérité disproportionnée, et constitutives de compromis humains et économiques horribles et coûteux*, tout particulièrement à l'encontre des nourrissons et enfants en affectant de manière significative leur développement (leurs performances cognitives verbales, motrices et globales sont significativement inférieures par rapport aux enfants nés avant la pandémie).

En effet, l’un des moyens les plus efficaces de réduire le stress comme le désespoir, pouvant aller jusqu'au suicide ce que les chiffres en nette hausse attestent, est le lien social au sein d’une communauté. Sans oublier que la perte d’emploi et le chômage sont une source évidente de stress parental avec des effets directs et indirects sur les enfants.

* La liste intimidante des mesures prises par les décrets et ordonnances d’état d’urgence sont les interdictions ou les limites des rassemblements sociaux, les fermetures d’écoles, les restrictions commerciales (notamment les restaurants), les ordonnances de séjour à domicile, les interdictions de voyager, les couvre – feux, la distanciation sociale, les masques, l’hygiène chimique et le travail à distance, le pass sanitaire puis vaccinal.

 

C'est ce qu'avait établi la "charte de coercition de Biderman" (Biderman’s Chart of Coercion) rédigée à la fin des années 50 par le sociologue états-unien Albert Biderman (1923/2003), tirée de son article décrivant les techniques et consignes de tortures utilisées par les interrogateurs chinois lors de la guerre de Corée* (Cf. tableau ci-dessus). Avec les scientifiques psychologues Harry Harlow (1905/1981), Isabel E. Farber et Louis Jolyon West (1924/1999), il avait classé ces techniques de manipulation selon un schéma connu sous le nom de DDD (Debility Dependence Dread, "Débilité Dépendance Peur" en Français), et que l’on retrouve citées notamment dans un rapport d’Amnesty international sur l’usage de la torture dans le monde.

* Il s’agissait alors de démystifier la théorie selon lequel les Chinois auraient utilisé des méthodes secrètes ou presque "magiques" visant à "laver le cerveau" de leurs prisonniers de guerre.

 

La torture dans sa version "soft", dissimulée sous l'habillage démocratique, républicain, fait ainsi partie du déni des psychopathes et autres "anthropoïdes" - les portails organiques (PO) et agents robotiques sans âme -* qui ne veulent car ne peuvent en aucun cas l’admettre compte-tenu de leurs spécificités biologiques et cognitives, semblant s’acclimater volontiers à leurs outils de torture prodigués par l'ingénierie sociale initiatrice et qui leur procurent la jouissance sadique dont ils se repaissent abondamment, par-delà leur déni d'apparence : couvre-feu, isolement, confinement, port du masque y compris dans les écoles, restriction, geste barrière, test PCR, amende, distanciation sociale selon les régions, commerces qui ferment puis rouvrent et puis referment, appel à la délation (ainsi le gouvernement de Nouvelle-Zélande qui a demandé en novembre 2021 aux écoles de téléphoner à la police si du personnel non vacciné se présente), vaccin,... appelé pour ce dernier même s’ils s'en défendent à l’interdiction de l’accès "sociétal" pour ceux qui ne sont pas convaincus de son utilité comme protection*² (des études médicales menées dans le monde entier n'ayant de cesse de montrer que l’immunité naturelle offre une protection jusqu’à 27 fois supérieure à celle des "vaccins" Covid). Ce puçage de l'ADN conduit à tracer les êtres humains comme du bétail, beaucoup étant appelés à en souffrir sinon succomber aux effets secondaires, et ce en dépit des placebo mis dans certains lots pour ne pas trop attirer l’attention quant aux effets "meurtriers" puisque le nombre de doses appelées à être injectées doivent contaminer au fil du temps le maximum d’individus.

Comme un peuple emprisonné par la peur représente une masse de consciences manipulable à l'extrême car incapable de faire valoir son libre arbitre, les élites gouvernantes sont parvenues à immobiliser des milliards d'êtres humains sur la planète en les enchaînant pendant des mois dans une peur continuelle, avec le relais d'une grande partie du corps médical, complices pour certains ou soumis par peur pour le plus grand nombre (malgré ce que le public pense, les médecins ne sont pas des leaders audacieux, mais des moutons d'une institution qui les ostracise ou de collègues les prenant pour des fous et des déviants lorsqu'ils ne vont pas dans le sens du diktat institué). Il en a découlé que les hôpitaux et de nombreux médecins ont préféré l’argent et le profit au meilleur intérêt de leur propre communauté, oubliant leur code d’éthique consistant à donner la priorité aux patients dans le strict respect de leur intégrité et du souvenir de tous les fondements de l’épidémiologie et de l’immunologie étudiés à la Faculté.

* Cf. Les psychopathes qui nous gouvernent & Les acteurs de la Matrice falsifiée.

Il est utile de rappeler que le médecin en chef (Tal Zaks) de la société de biotechnologies Moderna Therapeutics, qui développe des "thérapies protéiniques" fondées sur la technologie dite de l'ARN messager et fournisseur parmi d'autres de vaccins "anti-Covid-19", a déclaré officiellement que le public ne devrait pas "sur-interpréter" les résultats des essais de vaccins et supposer que la vie pourrait revenir à la normale après la vaccination. Il a averti que les résultats des essais montrent que le vaccin peut certes empêcher une personne de tomber malade ou "gravement malade" du Covid-19, mais que les résultats ne montrent en aucune façon que le vaccin empêche la transmission du virus.

 

"Nous savons qu'ils mentent. Ils savent qu'ils mentent. Ils savent que nous savons qu'ils mentent. Nous savons qu'ils savent que nous savons qu'ils mentent. Et pourtant, ils persistent à mentir.

Alexandre Issaïevitch Soljenitsyne (1918/2008), écrivain russe dissident

 

Il en découle que la majeure partie du monde a été soumise à une boucle sans fin de restrictions dystopiques à partir d'un virus à peine nécessaire comme justification, la Russie ayant rendu publiques en août 2023 des allégations selon lesquelles les grandes sociétés pharmaceutiques et certains membres de l’État profond américain avaient orchestré la pandémie de grippe Covid-19 dans le but de dominer le monde. Des personnalités telles que Hillary Clinton, Barack Obama, Joe Biden et George Soros ont été désignées comme co-conspirateurs. L’ambassade de Russie aux États-Unis a publié un communiqué indiquant que la Russie demandait justice pour la création du virus, accusant l’Occident de cacher ses origines et d’étouffer les enquêtes scientifiques et journalistiques. Elle a à ce titre soumis aux Nations unies de nombreuses preuves, soit plus de 2 000 pages de rapports, pour étayer ses affirmations au cours des 18 derniers mois.

Le taux d'incidence en France était ainsi tombé début janvier 2022 à 66 malades covid-19 pour 100 000 habitants alors que le taux d’alerte épidémique est de... 170 malades pour 100.000 habitants (source réseau Sentinelles sous la tutelle conjointe de l'Inserm - Institut national de la santé - et de Sorbonne Université)*.

Pendant tout ce temps, les élites mondiales n'ont eu de cesse d'élargir l’écart de richesse à des niveaux obscènes, consolidant progressivement les contrôles technocratiques. Horrible paradoxe, à l'échelle mondiale, les ravages économiques causés par les blocages gouvernementaux ont doublé le nombre de personnes au bord de la famine (constat établi par David Beasley, directeur du programme alimentaire mondial, lauréat du prix Nobel de la paix), tout cela au final pour que l'Organisation Mondiale de la Santé finisse en mars 2023, au vu de la tartufferie orchestrée ne résistant pas à l'épreuve des faits, par annoncer que la soi-disant pandémie de Covid-19 ne serait plus considérée ni comme une urgence sanitaire mondiale d'ici la fin de l'année, ni comme une pandémie...

* Le taux d'incidence épidémique à son pic pour la grippe type A(H1N1)pdm09 B) était de 599/100.000 habitants (2019), montrant sa totale décorrélation avec les mesures gouvernementales décrétées actuellement pour une situation bien moins préoccupante.

 

Des effets du confinement

Ce procédé s'apparente à ce que certains Etats comme le Canada mettent en place sur le plan judiciaire pour des citoyens condamnés à des peines mineures qu’ils doivent purger à la maison. C’est ce qui est appelé "ordonnance d’emprisonnement avec sursis dont la condition punitive est l’assignation à domicile". Cela comprend des restrictions de déplacement aux seules activités jugées essentielles, comme l’épicerie et la pharmacie, et… le respect d’un couvre-feu qui interdit des déplacements en soirée. Il en résulte que de nombreux citoyens le ressentent comme le fait de purger une peine présentée par les autorités institutionnelles et les relais médiatiques inféodés "pour" le bienfait de la collectivité. Il en découle le sentiment de se sentir en prison dans sa propre maison, et la frustration d’avoir perdu le contrôle sur sa vie désormais régulée par plusieurs autorités pas toujours cohérentes ni coordonnées entre elles de surcroît, ceci étant destiné à aggraver la déstabilisation psychologique.

 

Ne sachant comment dissimuler leurs accablantes compilations d'incompétences et de trahisons, leurs magistrales impostures et leurs jeux hypocrites* nourris de corruption sonnante et trébuchante, ils voient plus de la moitié de la population les croire et les soutenir, tout particulièrement les rabâcheurs soi-disant experts commentateurs des plateaux audiovisuels pour beaucoup convaincus aveuglément du bien-fondé des mesures restrictives imposées*². Drapés dans leur posture de "bourreau sauveur", ils se sacrifient comme sacrificateurs sans état d'âme à l'exécution de leur tâche, l’œuvre sombre, sacrifiant sans hésitation, de manière chirurgicale, froide, la santé de leurs propres progénitures comme de leurs proches au prétexte de la protéger.

C'est toute la raison d'être de l'emprisonnement progressif de la conscience humaine par la promotion de l'identité numérique artificielle en trois étapes - "maçonniques" s'entend - : pass sanitaire, pass vaccinal, pass numérique (bancaire, vaccinal, énergétique etc…), le contrôle de son efficacité reposant sur la puissance de la fibre numérique actuellement en cours de déploiement généralisé. Le résultat recherche n'est autre que ce qu'une ancienne employée du géant pharmaceutique Pfizer, Karen Kingston, désormais analyste pharmaceutique, a expliqué par l'examen scrupuleux des brevets et des résultats actuels constatés de cette entreprise mondiale d'injection forcée ou suggérée par diverses manoeuvres dilatoires : la création de nouvelles espèces qui s’auto-assemblent, fruits de la fusion de la biotechnologie avec l’Intelligence Artificielle. Nous sommes bel et bien confrontés à une bataille entre le bien et le mal, une guerre spirituelle !

* Il est désormais établi en 2022 par l’analyse de la protéine de pointe du covid-19 que la société Moderna, un des 4 fournisseurs de "vaccins", avait breveté une séquence génétique particulière trois ans avant l’épidémie de covid, cette séquence s'y trouvant. De leur côté, les Centers for Disease Control and Prevention (CDC) des États-Unis ont également été contraints d’admettre que les "vaccins" créent une efficacité négative, signifiant que les vaccins covid endommagent le système immunitaire et le rendent moins apte à combattre la maladie (publication dans le Journal of the American Medical Association, ceci corroborant une étude réalisée au Danemark).

Les aéropages d'invités "experts" autour de tables rondes présentées comme des débats au service de l'information "vraie", sont particulièrement édifiants en matière d'hystérisation à l'encontre de tout ce qui va dans le sens contraire de la bienpensance dogmatique affichée. C'était tout particulièrement le cas dans la saison 2021-2022 (de septembre à juin) dans les émissions radiophoniques de RTL "Le monde tel qu'il est" de Thomas Sotto, de France Info "Les (dés-)informés" de Jean-François Achilli, de Sud-Radio "Le 11 heures-Midi" de Valérie Expert & "Les (fausses) vraies voix" de Philippe Rossi, et de RMC-Info "Les Grandes (insupportables) Gueules" de Alain Marschall et Olivier Truchot.

 

Troublante demande

Le gouvernement des États-Unis, via le ministère de la Défense (DoD), a attribué un contrat spécial à Labyrinth Global Health INC., une entreprise ukrainienne* fondée en 2017 (bureaux situés à Kyiv), pour mener des "recherches sur le COVID-19" dans les mois précédant la libération du coronavirus de Wuhan (Covid19), et ce à partir du 12 novembre 2019, soit environ un mois avant que le virus présumé ne soit connu, et trois mois avant qu’il ne soit officiellement annoncé comme Covid-19 sur la scène mondiale... Comment est-ce possible si le Covid est apparu pour la première fois en Chine ? Si nul n'a répondu à cette question à ce jour, cela valide le fait que l’Ukraine est une nation d’externalisation d’armes biologiques pour l’OTAN, et que le gouvernement américain avait connaissance de la "grippe" dite de Fauci avant que le monde ne le sache, payant une entreprise ukrainienne pour la rechercher.

* Cette entreprise collaborait alors avec l’EcoHealth Alliance de Peter Daszak et Metabiota d’Ernest Wolfe (Fondation Gates).

 

Se déroulant sans "accrocs" réels (les mouvements de résistance sont contrôlés, et le retour à la "normale" n'est qu'une énième illusion), le déclin de notre société vers le totalitarisme et la tyrannie ne peut s'arrêter, puisque les personnes qui la sous-tendent et celles qui y restent attachées par soumission ne sont pas prêtes de disparaitre en l'état de leur conscience. Si le peuple est mécontent de sa misérable existence, il consent par ses fausses croyances et sa non quête de vérité à laisser de côté son libre arbitre pour que le jeu de la prédation puisse continuer. Diaboliquement pervers, dans la mesure où la plupart de ces êtres ne font pas partie de l’ordre naturel organique calibré de façon raisonnée !

 

Le vaccin contre l'âme humaine

Le baptême a été remplacé par la vaccination, plus exactement l'inoculation (les thérapies géniques ne sont pas à proprement parler des vaccins), procédé semblable censé nous assurer la protection absolue. Pratiquée de manière massive, elle a en effet d'étroites similitudes avec le rituel du baptême. Elle est comme un miracle qui doit sauver l'humanité de toutes ses maladies, comme le Sauveur a racheté ses péchés. Le prêtre a été remplacé par le médecin, et le pouvoir médical est allié à l’État, comme l’Église l'était dans le passé. On disait alors "hors de l’Église catholique, point de salut". Désormais on dit "hors de la médecine point de salut". D'ailleurs, les assurances maladie sont obligatoires. Pourtant, ce ne sont pas les lumières de la science qui combattront l'obscurantisme qui perdure sous des formes nouvelles, mais bien les Lueurs de la Conscience que chacun peut Éveiller en Soi*.

Le scientifique et occultiste autrichien puis suisse Rudolf Steiner (1861/1925) a théorisé qu'aux médecins matérialistes sera confiée la tâche de retirer l'âme de l'humanité, notamment envers les enfants qui seront vaccinés avec une substance qui peut être produite précisément de telle manière que les gens, grâce à cette vaccination, seront immunisés contre la "folie" de la vie spirituelle. S'ils pourront pour certains être extrêmement intelligents, ils ne développeront pas de conscience, ceci étant le véritable objectif de certains cercles matérialistes. En effet, avec un tel "vaccin", il est très facile de libérer le corps éthérique dans le corps physique, entraînant ainsi une forte instabilité de la relation entre l'univers et le corps éthérique. L'être humain deviendrait un automate, son corps physique devant impérativement être relié sur cette Terre par la volonté spirituelle. Il ne pourra plus se débarrasser d'un sentiment matérialiste profond ni s'élever vers le spirituel !

Nul ne sera étonné que cette nouvelle faucheuse de la conscience, véritable car sournois cheval de Troie, ait comme précurseur le "fameux" Joseph Ignace Guillotin (1738-1814), haut dignitaire du Grand Orient de France et vénérable de la loge Concorde fraternelle, qui pour des raisons d’égalité et d’efficacité, défendit vigoureusement l’idée de la décapitation, sans distinction d’origine sociale ou de nature de crime et de la façon la moins douloureuse, à partir de la machine conçue par le docteur Antoine Louis de la Faculté de Médecine et de Chirurgie (d’où son premier surnom "la louisette"). A partir de 1799, il milita pour une vaccination systématisée, présidant le comité de vaccine à partir de mai 1800. Plus tard, Guillotin fondera l'actuelle Académie de médecine et diffusera en Europe la vaccination contre la variole...

* Cf. livre '"Médecine, religion et peur : L'influence cachée des croyances" de l'auteur Olivier Clerc.

 

"Il ne faut pas se leurrer: on est en présence d'un mouvement bien déterminé. Autrefois, au concile de Constantinople*, l'esprit a été éliminé et a été institué un dogme: l'homme n'est fait que d'une âme et d'un corps, et parler de l'esprit devint une hérésie. On aspirera inéluctablement de ce fait, sous une autre forme, à éliminer l'âme, la vie de l'âme. Et ce temps viendra, dans un avenir pas très lointain où l'on dira : parler d'esprit et d'âme, c'est pathologique ; seuls sont bien portants les gens qui ne parlent que du corps. On considèrera comme un symptôme pathologique le fait qu'un être humain se développe d'une façon telle qu'il en vienne à penser qu'il existe un esprit et une âme. Ces gens seront considérés comme des malades, et l'on trouvera, soyez-en sûrs, le remède qui agira sur ce mal. Dans le passé, on a éliminé l'esprit (la foi dans un principe spirituel individuel). On éliminera l'âme au moyen d'un médicament. En partant d'une "saine vue des choses", on trouvera un vaccin grâce auquel l'organisme sera traité dès la prime jeunesse autant que possible, si possible dès la naissance même, afin que le corps n'en vienne pas à penser qu'il existe une âme et un esprit. Les deux courants, les deux conceptions du monde s'opposeront radicalement.

L'une réfléchira à la manière d'élaborer des concepts et des représentations qui soient à la mesure de la réalité véritable, de la

réalité d'âme et d'esprit. Les autres, les successeurs des actuels matérialistes, chercheront le vaccin qui rendra les corps "sains", c'est-à-dire constitués de telle façon qu'ils ne parleront plus de ces "sottises" que sont l'âme et l'esprit, mais, parce qu'ils sont "sains", ils parleront des forces mécaniques et chimiques qui, à partir de la nébuleuse cosmique, ont constitué les planètes et le soleil. On obtiendra ce résultat en manipulant les corps. On confiera aux médecins matérialistes le soin de débarrasser l'humanité des âmes."

Rudolph Steiner, propos issus d'une conférence donnée le 7 octobre 1917, reprise dans l'ouvrage "La chute des esprits des ténèbres"

* Il a été convoqué de mai à juillet 381 par l'empereur Théodose Iᵉʳ, responsable de l'Orient, étant le deuxième concile œcuménique de l'histoire du christianisme après celui de Nicée.

 

Des risques de la vaccination anti-Covid

Le prestigieux Salk Institute, fondé par le pionnier des vaccins le biologiste américain Jonas Edward Salk (1914/1995) inventeur du premier vaccin contre la poliomyélite, a rédigé et publié un article scientifique* qui révèle que la protéine spike du SRAS-CoV-2 est à l’origine de lésions vasculaires constatées tant chez les patients atteints de covid que chez les personnes ayant reçu le "vaccin" anti covid à Arn messager (BioNTech-Pfizer – Tozinameran et Moderna Inc - CX-024414) fabriqué à l’aide d’une technique biotechnologique qui permet de synthétiser des acides nucléiques en laboratoire, ou ADN (pour les vaccins de Johnson & Johnson - AD26.COV2.S et d’AstraZeneca - CHADOX1 NCOV-19)*². Elle favorise les accidents vasculaires cérébraux, les crises cardiaques, les migraines, les caillots sanguins et autres réactions nocives qui ont déjà contribué au décès de milliers d’Américains et d'Européens (source : VAERS.hhs.gov pour les USA et Eudravigilance pour l'Europe). Qui plus est, les personnes vaccinées devront en assumer les conséquences, ne pouvant plus être guéries par la simple élimination des toxines du corps humain comme c’est le cas pour une personne présentant un défaut génétique (syndrome de Down, syndrome de Klinefelter, syndrome de Turner, insuffisance cardiaque génétique, hémophilie, mucoviscidose, syndrome de Rett, etc) dans la mesure où le défaut génétique est irréversible ! Ce faisant, le Salk Institute établit et confirme que le COVID-19 est une maladie aux conséquences essentiellement vasculaires et non respiratoires d'origine pulmonaire.

De son côté, l'ancien vice-président de Pfizer Michael Yeadon avait prévenu courant 2020, avec "précaution", que la spike protéine découlant de l'injection du vaccin ARN messager a une affinité de nature et d’accroche avec les protéines du placenta et des systèmes reproductifs féminins et masculins, et qu'à ce titre il pourrait créer des dommages dans ces systèmes ainsi que d’autres effets secondaires graves. Il a également écrit en 2021 que cette massive injection de technologies à caractère génique était folle, contraire à la Science, et qu'elle présentait des risques incalculables pour l’Humanité. Enfin, aucune source à ce jour confirme que le vaccin Pfizer est efficace contre les formes graves. Il suffit de lire le Vidal, la "bible" des médecins, le laboratoire Pfizer le confirmant d'ailleurs. C'est pourquoi Mike Yeadon a à maintes reprises exprimé sa position selon laquelle il est trop tard pour sauver ceux qui ont été injectés avec une substance publiquement appelée "le vaccin Covid-19", décrivant un processus qui, selon lui, tuera la grande majorité des gens : "Immédiatement après la première vaccination, environ 0,8% des personnes meurent dans les deux semaines. L’espérance de vie moyenne des survivants sera de deux ans maximum, mais elle diminue également à chaque nouvelle".

Pour le comprendre, il est essentiel de noter que les quatre marques de vaccins contre le Covid actuellement utilisés à grande échelle, basés sur l’ARNm enrobé dans des nanoparticules lipidiques pour deux d'entre eux, ont pour effet de tromper le corps dont peuvent s’échapper des émonctoires (transpiration, crachat, salive, morve, seumen, sels, urine, menstruation, sperme, plaie suintante…) mais également des fluides post mortem, conduisant à  contaminer tout vivant doté d'une centrale immunitaire et de le transformer en une usine à fabriquer la mortifère protéine SPIKE. En d’autres termes, cela signifie que les vaccins ont été conçus pour contenir l’élément même qui tue les gens, récusant par là-même l'affirmation par les propagandistes de l’industrie du vaccin que la protéine de pointe est "inerte" et inoffensive.

L’étude révèle également que si les "anticorps générés par la vaccination" peuvent protéger l’organisme des dommages causés par la protéine de pointe, le patient est tué par les effets indésirables. En d’autres termes, toute personne qui survit au vaccin contre le covid ne le fait que parce que son système immunitaire inné la protège du vaccin, et non avec le vaccin, le gouvernement britannique ayant fini par révéler en octobre 2021 qu’une fois que l'individu a été "vacciné" contre le coronavirus de Wuhan (Covid-19), il ne peut plus jamais acquérir une immunité naturelle complète (plus précisément, les personnes vaccinées ne semblent pas produire d’anticorps contre la protéine de la nucléocapside, l’enveloppe du virus, qui sont un élément crucial de la réponse chez les personnes non vaccinées). C'est aussi ce qu'affirme le Dr Geert Vanden Bossche, expert renommé en vaccins, virologue et ancien cadre supérieur de la Fondation Bill et Melinda Gates, qui a exhorté dans une vidéo publiée le 20 novembre 2021 ceux qui n’ont pas pris le "vaccin" à "rester non vaccinés" s’ils veulent protéger leur système immunitaire inné. Celui-ci constitue en effet la première ligne de défense contre tout type de maladie, y compris contre le Covid-19. Il a averti que les "anticorps" produits par les vaccins Covid-19 suppriment l’immunité naturelle d’une personne et qu’ils "ne peuvent pas la remplacer" puisque ces "anticorps", s’ils offrent réellement une quelconque protection contre l’infection ou la transmission, ne la font pas durer très longtemps, notant qu'un grand pourcentage d’individus complètement vaccinés sont désormais hospitalisés, ce qui pourrait conduire à un effondrement de notre système de santé. Il a ainsi conseillé aux non vaccinés de continuer à prendre soin de leurs immunités naturelles en prenant soin de leur santé, tout comme conseillé aux personnes les plus vulnérables telles que les personnes âgées et celles qui présentent des comorbidités de faire attention aux personnes avec lesquelles elles entrent en contact étroit. Enfin, concernant les enfants, il a déclaré que la recherche montre que le système immunitaire des enfants peut facilement être supprimé par les "anticorps" fournis par les vaccins Covid-19 car "leurs anticorps sont si jeunes et si naïfs qu’ils peuvent facilement être supplantés par les anticorps vaccinaux". Cela pourrait les exposer à encore plus de maladies, et "pourrait même conduire à des maladies auto-immunes".

Le vaccin est l’arme, le système immunitaire la défense. Non seulement le vaccin à ARN injecte au patient des protéines de pointe qui provoquent des lésions vasculaires ainsi que l’agrégation des plaquettes sanguines qui entraîne la formation de caillots sanguins circulant dans le corps et se logeant dans différents organes (le cœur, les poumons, le cerveau, etc.), avec comme résultat des décès attribués à des "accidents vasculaires cérébraux", des "crises cardiaques" ou des "embolies pulmonaires", mais il transforme le corps en une usine de fabrication d’armes biologiques à base de protéines de pointe et d'adjuvants (polysorbate 80, PEG, aluminium, nanoparticules…) qui expose d’autres personnes. En effet, la fabrication de ces protéines spike peut être transmise aux personnes non vaccinées qui ont passé du temps à proximité d’autres personnes qui l’ont été, provoquant chez elles des réactions indésirables. C'est ce qui se nomme la technologie des "vaccins auto-réplicatifs", celle-ci ayant été mise au point par des médecins et des scientifiques qui ont travaillé sous le régime raciste de l’apartheid en Afrique du Sud. La supercherie de ces faux vaccins a fini par être avouée lorsque Stefan Oelrich, président de la division pharmaceutique de la société pharmaceutique et agrochimique allemande Bayer et fervent partisan de l'initiative "Great Reset" prônée par le Forum économique mondial (WEF) sous l'égide de son mentor Klaus Schwab, a admis lors du Sommet mondial de la santé qui s’est tenu à Berlin fin octobre 2021 devant des "experts" internationaux que les deux "vaccins" à ARNm (ARN messager) de Pfizer-BioNTech et Moderna n'étaient pas du tout des vaccins, mais des injections de "thérapie cellulaire et génique" déguisées, et que si ces injections avaient été commercialisées pour ce qu’elles sont réellement, la plupart des gens les auraient probablement rejetées ! De leur côté,des chercheurs suédois de l’Université de Lund ont découvert que le contenu de ce prétendu "vaccin" de Pfizer pénètrait dans les cellules hépatiques humaines pour se transformer en ADN. Et lorsque les protéines de pointe de l’ARN messager (ARNm) sont injectées dans l’organisme, elles se rendent jusqu’au foie et déclenchent l’ADN situé à l’intérieur des noyaux des cellules hépatiques, ce qui augmente l’expression du gène LINE-1 qui fabrique l’ARNm... infirmant de ce fait les affirmations des organismes de santé états-uniens les CDC disant que les injections d’ARNm ne pouvaient jamais pénétrer dans les noyaux cellulaires. Au final, les individus injectés présentent non seulement de graves symptômes du SRAS-CoV-2, mais souffrent également de "lymphopénie", c’est-à-dire d’une dégradation de toutes les cellules lymphocytaires T importantes pour le système immunitaire, ce que de nombreux médecins attestent désormais en 2022.

Il est utile de rappeler que l'autorité de santé américaine - la FDA -, la fausse agence fédérale qui n’est en réalité qu’une société privée déguisée (au même titre que la banque centrale nommée Reserv Federal - la FED -), n’a pas accordé d’autorisation thérapeutique pour aucun des "vaccins" Covid-19, simplement accordé une autorisation d’utilisation expérimentale aux Etats-Unis, ce qui admet que les personnes qui prennent les vaccins participent à une expérience médicale risquée aux conséquences inconnues et ce au minimum jusqu’en 2023 pour AstraZeneca et Pfizer ou 2024 pour Janssen et Moderna, avec qui plus est l'exonération de responsabilité des laboratoires concepteurs*, déjà protégés par le concept juridique du "secret des affaires" qui consiste à protéger les informations de nature stratégique propres à une entreprise (c’est le juge qui doit qualifier le secret, celui-ci souffrant d'exceptions en termes d’opposabilité notamment à l’égard des syndicats, des journalistes et des lanceurs d’alerte). Ces produits, en phase III d’expérimentation et sous AMM provisoire et conditionnelle, ne peuvent pas être légalement imposés, car contraindre par exemple en France la population à participer à une telle expérimentation médicale enfreint l’article 223-8 du Code Pénal, car contraire à l'article L1121-2 du Code de la Santé Publique qui prévoit qu'"Aucune recherche biomédicale ne peut être effectuée sur l’être humain si elle ne se fonde pas sur le dernier état des connaissances scientifiques et sur une expérimentation pré-clinique suffisante et si le risque prévisible encouru par les personnes qui se prêtent à la recherche est hors de proportion avec le bénéfice escompté pour ces personnes ou l’intérêt de cette recherche". C’est-à-dire que contrairement à ce qui est affirmé tous les jours, non seulement le consentement de la personne est bien entendu indispensable, mais il faut encore prouver la réalité des connaissances scientifiques et des risques prévisibles encourus.. Les effets secondaires précoces sont bel et bien là, voyant monter régulièrement le nombre des victimes sur les bases de données officielles comme EUDRAVIGILANCE (le réseau européen de traitement des données et le système de gestion pour la notification et l'évaluation des effets indésirables suspectés de médicaments qui ont été autorisés ou en cours d'étude dans des essais cliniques dans l'Espace économique européen) pour l’EMA (Agence européenne du médicament) qui récapitule les morts et effets secondaires graves de tous médicaments dont les vaccins Covid pour l’Union européenne (voir également le site VAERS officiel des USA pour les effets américains et MHRA pour la Grande — Bretagne).

C'est ainsi qu'à début avril 2022, EUDRAVIGILANCE a recensé 4 355 261 blessures suite à l’injection de quatre doses expérimentales de COVID-19 (+ 180 % depuis le 15/05/21) dont près de la moitié sont à caractère grave, et 42 631 morts en hausse de + 200% depuis la même date (Pfizer en tête des morts en nombre suivi de Moderna en % des décès et effets graves), le tout probablement largement sous-déclaré. Quant aux données publiées par les Centers for Disease Control and Prevention (CDC) aux USA, elles montrent qu’entre mi-décembre 2020 et fin décembre 2022, plus de 1 053 000 000 événements indésirables de diverses natures ont  été signalés au VAERS dont plus de 100 000 rapports de blessures graves y compris des décès (plus de 21 000). Si les "experts" et les responsables de la santé publique continuent de les minimiser, les accidents vaccinaux continuent à s’accumuler, soit un nombre supérieur à l’administration de tous les vaccins approuvés par l'agence états-unienne de la santé (Food and Drug Administration - FDA) au cours des 31 années précédentes. Mais si les autorités institutionnelles mettent (presque) tous les décès sur le compte du virus Covid, il convient de se garder de mettre tous les décès sur le compte du vaccin. Ce ne sont en effet que les deux faces d’une même pièce.

Le professeur d'immunologie à l'université de Guelph au Canada Bayram W. Bridle, pourtant pro-vaccin, a également révélé que les scientifiques à l’origine du vaccin COVID-19 ont commis une terrible erreur, celle d'avoir initialement pensé que la protéine spike était un excellent antigène cible, pour finalement se rendre compte qu'il s'agit d'une toxine et protéine pathogène pouvant se propager dans de nombreux organes du corps (cerveau, cœur, rate, moelle osseuse, foie, glandes surrénales, ovaires) en y causant de graves dommages vasculaires comme neurodégénératifs de par sa capacité à traverser la barrière hémato-encéphalique (les recherches menées par la Cleveland Clinic de l’Ohio ont déterminé que le coronavirus de Wuhan et les vaccins qui lui sont associés peuvent entraîner de graves modifications cérébrales associées à la démence et à la maladie d’Alzheimer), et ce dans la mesure où elle se lie aux plaquettes et aux cellules épithéliales des vaisseaux sanguins (contrairement à ce qui est dit, l'injection ne se limite pas au muscle deltoïde qui la reçoit, avec une petite quantité drainée dans les ganglions lymphatiques locaux, dans la mesure où en quelques heures elle est largement distribuée dans l’organisme). De plus, comme le code de l’ARN a été enrichi de guanines (Gs) et de cytosines (Cs) supplémentaires et configuré comme s’il s’agissait d’une molécule d’ARN messager humain prête à produire une protéine par l’ajout d’une queue polyA, la séquence d’ARN de la protéine Spike dans le vaccin semble être à la fois en partie bactérienne, en partie humaine et en partie virale. Il en découle coagulation, saignement, problèmes cardiaques, coagulation du sang dans le cerveau. Rien de bien surprenant, puisque cette protéine est non naturelle car génétiquement modifiée. S'appuyant sur des recherches montrant que des animaux de laboratoire auxquels on a injecté directement dans leur sang la protéine Spike purifiée du SARS-CoV-2 ont développé des problèmes cardiovasculaires et des lésions cérébrales (par exemple la thrombose du sinus veineux cérébral), et citant également des recherches récentes montrant que la protéine Spike est restée dans le sang des humains pendant 29 jours, la conclusion du Dr Bridle est sans appel : "En vaccinant les gens, nous leur inoculons par inadvertance une toxine !", avis que partage le Dr Charles Hoffe, médecin en Colombie-Britannique au Canada. Selon lui, la grande majorité des personnes qui se font injecter le coronavirus de Wuhan (Covid-19) mourront dans quelques années d’une insuffisance cardiaque en raison de capillaires qui se bouchent et conduisent à un risque d'événement cardiovasculaire grave dans la mesure où les 40 000 milliards de molécules d’ARNm (protéines de pointe ) sont à 75 % injectées directement dans les cellules humaines autour des vaisseaux sanguins et dans les réseaux capillaires (ces caillots sanguins n’apparaissent pas sur les tests, ne pouvant être détectés qu’à l’aide d’un test sanguin appelé D-dimère). C'est ainsi qu'un chirurgien anglais consultant ayant travaillé 30 ans pour le National Health Service (NHS) du Royaume-Uni, le Dr Anthony Hinton, a prévenu que la myocardite liée au "vaccin" contre le coronavirus avait un taux de mortalité de 20 % chez les enfants après deux ans, et de 50 % après cinq ans.

Quant au Dr Diego Rubinowicz, un urologue de Floride, il n'a pas hésité à affirmé que les vaccins contre le coronavirus semblent déclencher une augmentation massive des cancers de la prostate et de l’infertilité chez ses patients masculins compte-tenu de la montée en flèche des valeurs d’antigène spécifique de la prostate (PSA) des hommes après avoir reçu une injection expérimentale. 

Enfin, l'idée comme présentée par les autorités que les injections de vaccins à ARNm restent dans le bras et ne font pas circuler de nanoparticules dans le corps est erronée, de nouvelles recherches menées au Japon sur le vaccin Pfizer montrant que les nanoparticules lipidiques (LNP) contenant le code ARNm circulent largement dans le corps après la vaccination, atteignant le cerveau, la rate, le gros intestin, le cœur, le foie, les poumons et d’autres organes, affectant même les ovaires et les testicules et de ce fait la fertilité.

Le fait que nombre de lots de vaccins à ARNm (de l'ordre de 12%) détournent les cellules de l’organisme pour générer des protéines de pointe qui provoquent la coagulation du sang, signifie qu'ils sont des injections potentiellement de mort, une forme d’euthanasie vaccinale. En bref, lorsque le vaccin contre le Covid-19 est injecté, il est un agent qui donne l’ordre au corps de produire l’arme biologique dans ses propres cellules. C’est aussi diabolique que possible. Et les personnes qui sont assez stupides pour prendre ces vaccins, car naïves et conditionnées, au cerveau d'ores et déjà "grillé" de leurs facultés de réflexion intelligente, acceptent ce qui n'est rien d'autre qu'un "suicide vaccinal" dans le cadre d’un programme de dépopulation mondiale. Il est fondamental de comprendre que le vaccin anti-covid perturbe le système immunitaire, les individus inoculés devenant alors sensibles à d’autres agents pathogènes invasifs. Exiger en suggérant fortement par manipulation mentale assise sur la peur de l'exclusion le vaccin chez les personnes qui ont déjà une immunité naturelle n’a strictement aucun fondement scientifique !

Bien que tout cela soit très problématique, il existe toutefois une aide selon la virologue américaine Judy Anne Mikovits (traitée de complotiste il va sans dire). Les remèdes aux maladies qui pourraient se développer après la vaccination sont les traitement à l’hydroxychloroquine et à l’ivermectine, tout en prenant en compte certaines réserves pour des catégories de patients, un traitement antirétroviral à faible dose pour rééduquer le système immunitaire, des interférons à faible dose (comme le Paximune mis au point par le Dr Joe Cummins), le peptide T (un inhibiteur d’entrée du VIH dérivé de la protéine d’enveloppe du VIH gp120) qui bloque la liaison et l’infection des virus qui utilisent le récepteur CCR5 pour infecter les cellules, le cannabis pour renforcer les voies de l’interféron de type I, la diméthylglycine ou bétaïne (triméthylglycine) pour améliorer la méthylation afin de supprimer les virus latents, la silymarine ou chardon marie pour aider à nettoyer le foie, sans oublier le renforcement préventif du système immunitaire inné par l'optimisation de l'alimentation, et celle du taux de vitamine D entre 60 et 80 ng/m (100 à 150 nmol/l), idéalement par l'exposition (raisonnable) au soleil.

L'article est intitulé The novel coronavirus’ spike protein plays additional key role in illness ("La protéine spike du nouveau coronavirus joue un rôle clé supplémentaire dans la maladie"), ayant été publié le 30 avril 2021 dans sa revue médicale Circulation Research.  

*² La protéine spike endommage les cellules en se liant à l’ACE2, protéine clé dans la physiologie du Covid-19 nécessaire à l'entrée du virus SARS-CoV-2 dans les cellules de l'hôte, perturbant sa signalisation moléculaire aux mitochondries (organites qui produisent de l’énergie pour les cellules), ce qui aboutit à les endommager et à les fragmenter.

*³ L’industrie pharmaceutique européenne a obtenu une protection financière en cas de problèmes avec les futurs vaccins, les laboratoires à l'origine de vaccins contre le coronavirus ayant signé avec l'Union européenne une clause les dédouanant de toute responsabilité au cas où leurs produits présenteraient des effets encore non identifiés à ce jour, s'avérant indésirables sur du long terme. En effet, le délai habituel entre la conception d'un vaccin et sa mise sur le marché approche les 10 ans, ce qui laisse le temps de prendre en compte les éventuels effets indésirables pouvant intervenir longtemps après l'injection. Mais dans le cas des vaccins contre le Covid-19, ces délais ont été largement diminués face à la situation sanitaire et sous la pression des Etats, afin de rendre un produit disponible en parfois moins d'un an. Les États membres ont accepté de prendre ce risque sur leurs épaules parce que c'est dans leur intérêt national. La Commission européenne a toutefois précisé que ces dispositions ne modifient en rien la charge de la preuve qui incombe aux entreprises en vue de démontrer l'innocuité et l'efficacité de leurs produits.

Cf. en complément Travaux de recherche de Philippe Alexandre Jandrok (site Cogiito.com) & article intitulé Worse Than The Disease: Reviewing Some Possible Unintended Consequences of mRNA Vaccines Against COVID-19 ("Pire que la maladie : Examen de certaines conséquences involontaires possibles des vaccins à ARNm contre le COVID-19") de Stephanie Seneff en collaboration avec le Dr Greg Nigh publié dans l’International Journal of Vaccine Theory, Practice and Research.

 

La violence et l’étendue des effets secondaires découlant de l'injection inoculée sont désormais un secret de polichinelle en 2024, parce que chacun a pu, soit lui-même subir ces effets secondaires s’il s’est plié à l’injection, soit avoir dans son entourage une ou plusieurs personnes en ayant subi. Ils concernent en majorité les problèmes cardiaques, notamment chez des gens jeunes et en bonne santé, et de graves dérèglements du cycle menstruel chez les femmes. Leur réalité ne fait donc, empiriquement, plus guère de doute*, puisque même le laboratoire Pfizer a admis fin avril qu’il recevait tellement de rapports d’événements indésirables concernant son vaccin COVID inefficace qu’il a dû embaucher 2 400 personnes supplémentaires pour aider l’entreprise à répondre aux exigences en matière de traitement des données et de paperasserie.

C’est leur reconnaissance qui pose problème, et, de ce fait, leur prise en compte par les pouvoirs publics. Car des individus ont été blessés et de nombreux d'entre eux sont morts à la suite de la plus vaste campagne de dissimulation de l’histoire par des "vaccins" ni sûrs ni efficaces, cette vérité ayant été censurée et le public nourri de mensonges par de nombreux gouvernements, les sociétés pharmaceutiques et les médias. Cela relève bel et bien d'un crime contre l’humanité.

* Le site de l’European Mortality Monitoring, qui recense les statistiques de mortalité dans l’Europe entière, constate une surmortalité inhabituelle de la tranche 15-44 ans.

 

Quelques éléments factuels d'effets indésirables (1)

La Haute Autorité de Santé française a fini en novembre 2021 par déconseiller le vaccin "Moderna" chez les moins de 30 ans à l'instar de nombreux pays européens après les résultats inquiétants d’une étude française. De son côté, Taïwan a suspendu au même moment les deuxièmes injections Pfizer-BioNTech pour les 12-17 ans en raison d’inquiétudes liées aux myocardites. Aux États-Unis, une médecin de l’armée américaine (le lieutenant-colonel Theresa Long) a révélé sous serment les graves dysfonctionnements qu’elle a constaté sur la vaccination des soldats, des dizaines de pilotes en parfaite santé ayant subi de nombreux effets indésirables (notamment des myocardites, péricardites - inflammation des tissus entourant le cœur -, œdèmes cérébraux, violentes migraines…), dénonçant qui plus est tant les méthodes (menaces et intimidation auprès des soldats pour les forcer à se vacciner) que l'absence d'intervention pour y remédier. Elle a même été mise à l’écart quand elle a signalé ces problèmes à ses supérieurs... En Angleterre, il y aurait eu 20 823 décès de plus que la moyenne depuis juillet 2021 selon l'Office for National Statistics dans sa parution online de novembre, dont seulement 11 531 seraient liés au covid… Qu’en est-il des plus de neuf mille restants, comment expliquer cette hausse brutale de décès qui alarme les experts scientifiques ? Et le constat désormais étayé est celui d'une surmortalité importante statistiquement en Europe l’année où la vaccination est la plus importante, quelle que soit la tranche d'âge (14 à 44 ans, 45 à 64 ans, 65 à 74 ans). Autrement dit, nous sommes dans une situation où plus on vaccine, plus ça meurt !

La réalité est que 7 personnes sur 10 ont des effets indésirables (myocardites et péricardites après les vaccins Pfizer et Moderna*, thromboses pour le vaccin AstraZeneca, syndrome de Guillain-Barré pour le vaccin Johnson & Johnson) plus ou moins significatifs, ceci concernant plus de 70 % des personnes vaccinées (le site openvaers.com a enregistré 260 fois plus de cas de myocardites et péricardites suite à la vaccination contre la Covid-19 entre 2020 et 2021). De son côté, le professeur Rickard Ljung, épidémiologiste de l’Agence suédoise des produits médicaux, et ses collègues ont réalisé une étude qui a examiné les données de santé d’un total de 23,1 millions de personnes au Danemark, en Finlande, en Norvège et en Suède de fin décembre 2020 à début octobre 2021, concluant à une incidence élevée de myocardite et de péricardite, notamment pour les jeunes hommes âgés de 16 à 24 ans après la deuxième dose de la "vaccination". Il en a découlé qu'en octobre 2021, le Danemark a interrompu la distribution du vaccin Moderna à toute personne âgée de moins de 18 ans, la Suède le faisant pour les moins de 30 ans.

Le système américain des CDC (Centres pour le contrôle et la prévention des maladies, qui forment ensemble la principale agence fédérale des États-Unis en matière de protection de la santé publique) de notification des effets indésirables des vaccins, nommé Vaccine Adverse Event Reporting System (VAERS), a recensé de son côté qu'en 2021, les taux de maladies, de cancers et d’infections liés au sida signalés ont augmenté de 1 145 % à 33 715 % ! A quoi se rajoutent les décès survenus plusieurs semaines après la vaccination (un rapport datant du 8 mai 2021 et paru dans The European Union Times faisait déjà état de plus de 10 000 décès liés aux 4 vaccins autorisés en Europe), qui peu à peu grâce aux données collectées finissent par apparaitre au grand jour dans les médias mainstream aux ordres, mettant leurs marionnettes et autres pantins présentateurs face à leur lâcheté servile et aveugle, déni puéril ou incompétence notoire, d'autant que certains pays commencent à lentement révéler le pot aux roses, l’Australie par exemple admettant à présent que les vaccins contre le covid nuisent aux gens, et leur offrant (sous réserve de conditions) jusqu’à 600 000 $ d’indemnisation en cas de graves blessures. Qui plus est, sachant que la moyenne des décès du Covid s’établit à 82 ans, le site Euromomo qui surveille la mortalité européenne note une surmortalité anormale chez les 15-44 ans en 2021 (la courbe des décès entre 2018 et 2022 a augmenté nettement à partir de 2021, finissant par dépasser le taux moyen de mortalité des années précédentes)… Au total, l'Agence nationale française de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) a mis en garde début 2022  sur plus de 137 000 effets indésirables à la suite de la vaccination en France, dont plus de 30 000 considérés comme graves, Eudravigilance (le réseau européen de traitement des données pour la notification et l'évaluation des effets indésirables suspectés de médicaments qui ont été autorisés ou en cours d'étude dans des essais cliniques dans l'Espace économique européen) rapportant de son côté  1 327 876 signalements d’effets indésirables et 36 267 décès, comme le VAERS états-unien (21 000 décès confirmés et plus d’un million d’effets secondaires).

De son côté, le Dr Ryan Cole, pathologiste certifié qui dirige le plus grand laboratoire de diagnostic indépendant de l’Idaho aux Etats-Unis, a observé de sérieux déclins dans la santé des personnes qui ont reçu les vaccins Covid par un profil bas très préoccupant des cellules T tueuses (dites cellules CD8) dans le corps, comparable à un VIH (le virus de l'immunodéficience humaine inversé). Ils entraînent la perte des cellules T auxiliaires nommées CD4. Les cellules tueuses gardent tous les autres virus tels ceux de la famille de l’herpès, ainsi que du zona, de la mononucléose et du papillomavirus humain (HPV) dans les biopsies cervicales et les frottis chez les femmes. Il constate également l'existence d'une petite bosse infectieuse notamment attrapée par les enfants, le molluscum contagiosum. Si elle est inoffensive, elle indique cependant l'affaiblissement du système immunitaire des individus vaccinés. Enfin, il a observé dans son laboratoire un pic massif de cancers de l'endomètre (la muqueuse qui tapisse l'intérieur du corps de l'utérus, partie de l'utérus où se déroule la grossesse) sur une base de 20 fois la moyenne normale de certains types de cancers, ainsi que des mélanomes fins comme épais (tumeurs cancéreuses qui se forment à partir des cellules responsables de la coloration de la peau et des yeux). Pourtant, le Dr Rochelle Walensky, directrice des Centers for Disease Control and Prevention (CDC), a admis début septembre 2022 dans un courrier adressé au Sénat que son agence avait diffusé des informations erronées sur la sécurité des vaccins contre le coronavirus Wuhan (COVID-19) en raison d'un manque d'analyse de certains types de rapports d’événements indésirables en 2021. Cela contredit les remarques antérieures de l’agence de santé publique selon lesquelles elle avait examiné ces rapports à la loupe dès le mois de février de cette année-là. En outre, les CDC n’ont pas précisé si leurs équipes avaient déjà analysé les rapports du Vaccine Adverse Events Reporting System (VAERS). Si le processus a commencé en mai 2021 et se poursuit encore à ce jour, aucun résultat n'a été publié.

De son côté, la base de données VigiBase de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) montre qu’au moins 121 559 personnes qui ont été "vaccinées" souffraient fin 2021 désormais d’un ou de plusieurs troubles psychiatriques, les problèmes les plus courant étant l’insomnie,

l’anxiété, un "état de confusion", des troubles du sommeil, la "nervosité", le "trouble aigu du stress", l'"agitation", des hallucinations, la dépression, une "humeur dépressive", des "attaques de panique", une "mauvaise qualité du sommeil", du "délire", des cauchemars, des "rêves anormaux", des troubles de l’alimentation, un "trouble ou un comportement psychotique", de la "psychose aiguë", ou encore des tics*². L'explication résiderait notamment dans la tempête de cytokines que déclenche le virus.

En d’autres termes, ces éléments irréfutables démontrent qu'il s’agit bien d’une expérience massive de manipulation du système immunitaire, qui aura plus que probablement un impact dévastateur et permanent sur ceux qui choisissent d’y participer ! La conclusion intellectuelle normale serait donc de suspendre la vaccination, sauf, éventuellement pour les personnes à risque, de remplacer le passe sanitaire sinon vaccinal par un passe de test négatif pour certaines activités pour faire la chasse non pas aux gens mais au virus, et à soigner du mieux que l’on peut et pas uniquement au doliprane. Et ce d'autant plus que l’EMA, l’Agence Européenne du Médicament, a reconnu mi-février 2022 par la voix de Marco Cavaleri, responsable de la stratégie des menaces biologiques pour la santé et des vaccins, que "les boosters répétés pourraient affaiblir le système immunitaire", entendant que c’est la dose qui fait le poison, le mieux étant toujours l’ennemi du bien ! Pour elle, les pays devraient laisser plus de temps entre les programmes de rappel, ainsi que les lier au début de la saison froide dans chaque hémisphère, conformément au plan défini par les stratégies de vaccination contre la grippe.

Pourtant, telle n'est pas la conclusion des autorités politiques, de la presse, des médias et de (presque) tous les médecins de plateaux. Pour eux, il faut vite… la troisième dose avant probablement la quatrième, plus de pass, plus de restrictions, plus de fermetures, plus de masques, plus de surveillance, plus de contrôles de gens, pour toujours moins de liberté.

* Une étude présentée en novembre 2021 par le Dr Steven Gundry, médecin du Nebraska et chirurgien cardiaque à la retraite lors de la conférence annuelle de l’American Heart Association à Boston, et portant sur près de 600 patients ayant reçu les vaccins Pfizer ou Moderna Wuhan contre le coronavirus (COVID-19), a montré que ceux-ci présentaient des signes de lésions cardiovasculaires, ce qui a augmenté leurs risques de crise cardiaque et d’autres problèmes coronariens graves associés à une réduction soudaine du flux sanguin vers le cœur, qui peut conduire à une crise cardiaque (infarctus du myocarde) en raison de la détérioration du tissu cardiaque (les patients voient leur risque de maladie cardiaque augmenter de 11 à 25 %, ce risque persistant pendant au moins 2,5 mois après la deuxième dose).

Quant au médecin sud-africain le Dr Shankara Chetty, qui a le mérite d’avoir traité 7 000 patients du COVID 19 sans une seule hospitalisation ni un seul décès, il a noté que la réaction allergique à la libération initiale du toxique le plus élaboré "se produit chez un petit nombre de personnes, entraînant des cas plus graves et la mort lorsque le vaccin est administré".

De nombreuses "célébrités" comme les actrices Anne Hathaway ou Whoopi Goldberg, des animateurs TV comme James Corden, des artistes musicaux comme J Stash (rap - s'est suicidé après avoir tué sa fiancée), ou des sportifs comme William Akio (football), Rosella Ayane (football féminin), Rafael Nadal et Nick Kyrgios (tennis), Juan Molano (cyclisme) et bien d’autres ont agi de manière excessive avec des réactions démentielles et intempestives. Quant au Tour de France 2022, il a connu un triste record de retraits de cyclistes, ce qui n’était jamais arrivé auparavant, beaucoup disant être atteints d’une étrange maladie...

 

Quelques éléments factuels d'effets indésirables (2)

Si l'outil de pharmacosurveillance de l'autorité de santé états-unienne (le CDC) est jugé par les politiciens et les médias pro-pharma comme insuffisamment performant pour déclencher des enquêtes sur les vaccins, des dénonciateurs militaires (les médecins militaires Samuel Sigoloff, Peter Chambers et Theresa Long) ont présenté de leur côté au cours d'une audition devant un sénateur (Ron Johnson) des données qui signalent des problèmes de sécurité extrêmement inquiétants. Elles sont le fruit de l'outil web DMED de la Direction de la surveillance de la santé des forces armées (AFHSB), qui permet d’interroger à distance les données anonymisées sur le personnel et les événements médicaux des composantes actives contenues dans le système de surveillance médicale de la défense (DMSS). En d’autres termes, il contient chaque code de facturation médicale CIM pour tout diagnostic médical dans l’armée soumis à la facturation de l’assurance médicale pendant une période donnée. Les données recueillies montrent un pic choquant et soudain dans presque tous les codes CIM pour les blessures courantes liées aux vaccins en 2021, en l'occurrence une augmentation de 300% des codes DMED enregistrés pour des fausses couches dans l’armée en 2021 par rapport à la moyenne sur cinq ans, alors que la moyenne sur cinq ans était de 1 499 codes pour des fausses couches par an. Au cours des 10 premiers mois de 2021, elle était de 4 182. Ces codes concernaient généralement des affections et des blessures que la littérature médicale a établies comme étant des effets indésirables potentiels des vaccins.

Outre le pic des diagnostics de fausses couches (code CIM O03 pour les avortements spontanés), on constate une augmentation de près de 300 % des diagnostics de cancer (d’une moyenne de 38 700 par an sur cinq ans à 114 645 au cours des 11 premiers mois de 2021). Il y a également eu une augmentation de 1 000 % des codes de diagnostic pour les problèmes neurologiques, qui sont passés d’une moyenne de base de 82 000 à 863 000, à quoi se rajoutent pour l'infarctus du myocarde 269% d’augmentation, 291 % pour la paralysie de Bell, 156 % pour les malformations congénitales des enfants de militaires, 471% pour l'infertilité féminine, et 467% pour les embolies pulmonaires.

Un des dénonciateurs a affirmé être gravement préoccupé par le fait de voir de jeunes soldats atteints de cancers métastatiques soudains, de maladies auto-immunes et de troubles cardiaques et circulatoires, qui ont poussé de nombreux soldats à abandonner divers programmes de formation. Pour eux, il ne s'agit que de la partie émergée de l’iceberg, dans la mesure où les codes ont augmenté de façon exponentielle dans de nombreuses autres catégories de diagnostics.

Si ces chiffres sont vérifiés dans les procès à venir, alors, en l’absence d’une fraude massive à l’assurance militaire ou d’un problème bizarre dans le système, cela pourrait donner une image choquante des problèmes de sécurité des vaccins qui indiquerait que non seulement les signaux de sécurité du VAERS auraient dû être immédiatement suivis, mais qu’ils sont en proie à une terrible sous-déclaration. Et comme l’armée est une population définie, limitée, étroitement contrôlée et surveillée, composée très majoritairement jeunes et en bonne santé, la véracité de ces  allégations de problèmes neurologiques, cardiaques et de cancer liés aux vaccins indiquerait que l’armée serait l’endroit le plus révélateur pour  découvrir la réalité du "génocide vaccinal".

Cf. en complément le rapport de 10 000 pages sur les effets secondaires de Public Health and Medical Professionals for Transparency, démontrant que le laboratoire Pfizer savait pertinemment que ses vaccins étaient dangereux (30 à 38). Via: https://phmpt.org/wp-content/uploads/2021/11/5.3.6-po..

 

Quelques éléments factuels d'effets indésirables (3)

Le docteur états-unien Elizabeth Eads, praticien qui travaille depuis 25 ans dans le domaine des traitements vaccinaux, est le témoin direct du syndrome d’immunodéficience acquise communément appelé SIDA, notamment chez les triple vaccinés. Elle appelle la troisième injection "The Kill Shot" (l'injection mortelle) car dévastatrice pour le système immunitaire. Elle découle de la protéine spike, plus exactement le Lentivirus Spike, qui contient une combinaison de VIH, de types un à trois, en l'occurrence le SIDA, le MERS et le SARS. Le Lentivirus le plus connu est le pathogène de l’immunodéficience humaine, qui cause le SIDA. C’est pourquoi les personnes vaccinées et stimulées sont si malades, et dominent les hospitalisations concernant les conséquences de la maladie Covid.

Quant au Dr Ryan Cole, il a déclaré qu’il constatait une augmentation des cancers de 2 000 % à cause des vaccins provenant de la base de données épidémiologiques médicales de la Défense (DMED) : néoplasme malin de l’œsophage en hausse de 794 %, néoplasme malin de l’estomac, du côlon et du pancréas en hausse de 524 %, cancer du sein en hausse de 387%, cancer des ovaires en hausse de 537 %, cancer des testicules de + 269 % (chiffres de 2021).

En appliquant la formule statistique Taux de cas non vaccinés pour 100 000 – Taux de cas vaccinés pour 100 000 / Taux de cas non vaccinés pour 100 000 x 100 = Efficacité du vaccin, les résultats pour les données de la Nouvelle-Zélande concernant l’efficacité présumée du vaccin contre le covid est de moins 94,4 % entre le 6 janvier et le 11 février 2022, tombant le 24 février à moins 281,35 %, ce qui signifie que les personnes entièrement vaccinées ont 3,8 fois plus de risques d’être infectées par le covid que les personnes non vaccinées. Il en est de même au Canada, où les individus qui ont reçu les injections sont, en moyenne, quatre fois plus susceptibles d’être infectés par le covid que leurs homologues non vaccinés, deux fois plus susceptibles d’être hospitalisés et trois fois plus susceptibles de mourir. En Angleterre comme en Ecosse, les chiffres sont similaires, très peu de personnes non vaccinées connaissant des problèmes de santé liés au COVID.

 

Les conséquences pour les enfants

Concernant l'administration de vaccins pour enfants aux Etats-Unis, les chiffres sont :
1983 = 10 vaccins
2013 = 32 vaccins
2022 = 74 vaccins
En parralèle, le taux d’autisme est :
1983 = 1 sur 10 000
2013 = 1 sur 88
2022 = 1 sur 36
2025… estimations 1 sur 2

 

De la mortalité post-Covid

Beaucoup plus d'individus sont décédés en 2021 et en 2022 après le déploiement des vaccins COVID, bien plus qu’au plus fort de la "pandémie" COVID en 2020. Les nouvelles statistiques sur les taux de surmortalité brossent un tableau alarmant*, conduisant généralement les analystes à attribuer les "décès excessifs inexpliqués" aux "effets du confinement". Mais les chiffres des décès excessifs des divers offices des statistiques nationales montrent en moyenne qu’environ 1 000 personnes de plus que d’habitude meurent actuellement chaque semaine de conditions autres que le virus. La réalité observée est que les problèmes cardiovasculaires, les accidents vasculaires cérébraux et le diabète tuent en nombre record, comme en Angleterre et au Pays de Galles. Au total, les décès non liés au COVID sont désormais plus de trois fois supérieurs aux décès liés au COVID. Cette tendance est  également observée aux États-Unis qui a enregistré 300 000 décès excédentaires non liés aux Covid de février 2020 à la fin de 2022. Et c'est la génération dite Y*² qui est touchée à un rythme effarant, tout comme les athlètes du monde sportif (de 1970 à 2020, soit 50 ans, 1312 athlètes sont décédés dans le monde d’un arrêt cardiaque, alors que de 2021 à 2022, soit 1 an, 1598 sont morts d’un arrêt cardiaque, les données révélant que plus des deux tiers des athlètes qui se font vacciner contre le Covid et qui subissent ensuite un arrêt cardiaque meurent de cette crise cardiaque) ; autrement dit, un taux 30 fois supérieur à la moyenne des 50 dernières années !

Autre réalité constatée en 2023, la surmortalité au Japon a grimpé en flèche de 400 % depuis que la troisième dose de Pfizer a été introduite, se révélant à environ quatre fois supérieure à celle des années 2017, 2018, 2019 et 2021. Le ministère japonais de la Santé refusant de reconnaître le lien de causalité entre les vaccins et les décès, il a été décidé une action en justice à son encontre.

Les décès liés à des systèmes de régulation à l’échelle de l’organisme, par opposition à des organes ou à des causes spécifiques, sont particulièrement préoccupants. Autrement dit, cancers et lymphomes, cardiaques, myocardites autonomes/péricardites/troubles de la conduction, lésions du foie et des reins, etc. Ils peuvent servir à indiquer qu’une perturbation systémique omniprésente est en jeu dans la physiologie humaine du citoyen, écartant comme raisons les accidents, les suicides, les dépendances, les agressions, les abus, le désespoir, les perturbations et le COVID-19. Il s'agirait bel et bien de la capacité des piqûres COVID à altérer la fonction immunitaire chez les personnes vaccinées 8 mois après l’administration de deux doses de vaccin COVID-19, ceci étant inférieur à celle des personnes non vaccinées…

Qui plus est, le Dr états-unien Steve Hanke, économiste à l’école de Baltimore (Maryland), qui a dirigé des recherches sur l’impact réel des confinements aux côtés de chercheurs de Suède et du Danemark, a découvert que les politiques dévastatrices de prévention mises en oeuvre n’ont au final réduit la mortalité des Covid que de 0,1 % (les confinements ont permis d’éviter entre 6 000 et 23 000 décès en Europe, alors qu’il y a environ 72 000 décès dus à la grippe en Europe chaque année...) !

En conclusion, la vaccination contre le COVID-19 est un facteur de risque majeur d’infections chez les patients gravement malades, puisque lorsque la fonction immunitaire est altérée, l'individu devient vulnérable à toutes sortes d’infections et de maladies, y compris le cancer. En tant que tel, le vaccin COVID pourrait bien être responsable d’un certain nombre de maladies entraînant la mort.

* L’ONS (Office National de la Statistique) du Royaume-Uni a publié l’ensemble des données sur les décès par statut vaccinal dans le pays du 1er avril 2021 à la fin du mois de décembre 2022, constatant que les décès dus au COVID-19 recensés s'élevaient à 17 150 dont 13 116 chez les vaccinés et 4 034 chez les non-vaccinés. En d’autres termes, 76,5 % des décès sont survenus chez les vaccinés et 23,5 % chez les non vaccinés. Pour la même période en 2022, 17 161 personnes sont décédées dont seulement 970 pour des personnes non vaccinées. De son côté, le gouvernement britannique a confirmé qu’une personne sur 310 ayant reçu une injection est morte dans les 48 jours suivant la vaccination, montrant que les vaccins COVID-19 augmentaient le risque de décès et n’offraient aucune garantie.

Au cours de l’automne 2021, les Millennials, âgés de 25 à 44 ans, ont connu une augmentation de 84 % de la surmortalité, la pire surmortalité de tous les temps.

 

De la baisse de natalité constatée

Neuf mois après le lancement des prétendus vaccins à ARNm contre le COVID-19, des baisses substantielles du taux de natalité ont été observées dans 13 des 19 pays européens, en Angleterre et au Pays de Galles (pays dont les données sont objectivement publiées) avec une baisse de 12 %, en Australie (chute de 21 % d’octobre à novembre 2021 suivie d’une baisse de 63 % de novembre à décembre 2021) et à Taiwan. De son côté, la baisse des naissances en Suisse a été la plus importante depuis 150 ans (plus que pendant les deux guerres mondiales ou la Grande Dépression qui suivit le krach boursier de New York des 24 et 29 octobre 1929). Quant au taux de natalité en Allemagne, il a baissé de 8,3 % au cours des trois trimestres de 2022.

En août 2022, les universitaires suisses Raimund Hagemann, Ulf Lorré et le Dr Hans-Joachim Kremer ont publié une étude concernant la baisse des naissances vivantes en Europe, qui met les chiffres mensuels des naissances en relation avec la moyenne des trois dernières années. Ils constatent que chaque pays européen examiné montre une baisse mensuelle des taux de natalité allant jusqu’à plus de 10% par rapport aux trois dernières années, précisant que ce signal très alarmant ne peut pas être expliqué par les contaminations au Covid-19. Au contraire, une corrélation temporelle claire avec l’incidence des vaccinations contre le Covid dans le groupe d’âge des hommes et des femmes entre 18 et 49 ans peut selon eux être établies, et que par conséquent, des analyses statistiques et médicales approfondies doivent être exigées. Il est essentiel de noter que l’essai clinique de phase 2/3 du laboratoire Pfizer, grand fournisseur européen de ces "vaccins", a porté sur plus de 40 000 sujets, sans inclure de femmes enceintes. Et si un petit nombre de femmes enceintes ont été toutefois injectées, aucun rapport de suivi de ces femmes n’a été fourni. Pourtant, en l’absence de ces tests chez les femmes enceintes lors des essais cliniques ou de la surveillance suivant l’autorisation d’utilisation expérimentale (AUE) accordée par la Food and Drug Administration (FDA) états-unienne fin 2020, les Centres de contrôle et de prévention des maladies (CDC) et le Collège américain d’obstétrique et de gynécologie (ACOG) ont recommandé l’utilisation de ces produits ARNm chez les femmes enceintes sans connaître les effets à court ou à long terme de ce qui était contenu dans les flacons et leurs effets sur le système reproducteur humain*.

* Plus de 42 000 personnes ont subi des effets indésirables au cours des 10 premières semaines, et en cumulé jusqu’au 28 février 2021 il y a eu 42.086 rapports de cas (25.379 confirmés médicalement et 16.707 non confirmés médicalement) contenant 158.893 événements, 72 % concernant des femmes (20.000 cas de problèmes menstruels comme les saignements menstruels abondants, les menstruations irrégulières, les douleurs menstruelles, l'hémorragie vaginale, la non fréquence, le saignement intermenstruel, l'absence de menstruation, des règles plus fréquentes et les saignements post-ménopausiques).

 

Le constat jusqu'alors rejeté par les autorités institutionnelles commence douloureusement pour beaucoup (responsables comme victimes) à être admis, d'autant que le Réseau mondial de données sur les vaccins (GVDN) a annoncé fin février 2024 que l’incidence des effets secondaires de divers vaccins Covid-19 était plus élevée que prévu au regard d’une étude de big data portant sur 99 millions de personnes réparties dans huit pays.

Publiée dans la revue médicale Vaccine, elle portait sur 13 troubles neurologiques, sanguins et cardiaques, appelés "effets indésirables d’intérêt particulier, avec comme bilan une incidence plus élevée de myocardite (inflammation du muscle cardiaque) et de péricardite (inflammation de la poche cardiaque) que prévu chez les personnes ayant reçu les vaccins de Pfizer/BioNTech (BNT162b2) et de Moderna (mRNA-1273). Le vaccin de Moderna a également présenté un taux plus élevé d’encéphalomyélite aiguë disséminée (ADEM, inflammation et gonflement du cerveau et de la moelle épinière), avec sept événements observés contre deux attendus dans les 42 jours suivant la première injection.

 

 

De la protéine Spike

La protéine Spike en elle-même est un peu molle, n’ayant de ce fait pas tendance à très bien garder sa forme. C'est pourquoi les scientifiques ont créé par génie génétique une protéine de pointe qui garde sa forme, avec des mutations qui la stabilisent. Ils ont pris pour ce faire cette information génétique, et ont transformé des cellules pour produire la protéine Spike afin de pouvoir la purifier et l’examiner à l’aide de techniques de visualisation de la structure 3D des protéines. Cette expérience originale a été réalisée dans des cellules HEK-293, HEK signifiant "rein embryonnaire humain" et 293 signifiant qu’il s’agit de la 293e expérience réalisée pour développer une lignée cellulaire (si cela ne signifie pas qu’il y ait eu 293 avortements, en revanche pour 293 expériences il faut bien plus d’un avortement*). Autrement dit, la protéine Spike pour laquelle les vaccins sont codés a été développée à l’origine dans des cellules de fœtus avortés, ceci expliquant qu'il y a toute une industrie basée sur ces cellules de fœtus avortés dans la recherche scientifique fondamentale (ainsi les cellules WI-38, MRC-5, PER.C6 qui se rajoutent à celles nommées HEK-293) ! Or ces lignées cellulaires reçoivent souvent des gènes favorisant le cancer, qui perturbent la fonction des gènes suppresseurs de cancer ou des gènes suppresseurs de tumeur.

* Comme il est nécessaire d'obtenir ce tissu dans les cinq minutes qui suivent l’avortement pour qu’il soit viable de manière optimale (il est inutile au bout d'une heure), la probabilité est forte qu'il s'agisse d'avortements volontaires pour ne pas dire planifiés, les bébés étant parfois encore vivants lorsque les chercheurs commencent à extraire les tissus. Et comme on ne leur donne généralement pas d’anesthésiant puisque cela perturberait les cellules que les chercheurs essaient d’extraire, il est à imaginer leur souffrance...

 

Des dommages irréversibles causés à l'ADN

Le document de recherche SARS-CoV-2 Spike intitulé Impairs DNA Damage Repair and Inhibits V(D)J Recombination In Vitro ("nuisance de la réparation des dommages causés à l'ADN et inhibition de la recombinaison V(D)J in vitro"), rédigé par les scientifiques Hui Jiang et Ya-Fang Mei du Département de biosciences moléculaires au sein de The Wenner- Gren Institute de l'Université de Stockholm et du Département de microbiologie clinique en virologie de l'Université d’Umeå, toutes deux suédoises, démontre que la protéine de pointe* Spike pénètre dans les noyaux cellulaires, supprime le moteur de réparation de l’ADN du corps humain, et déclenche une explosion de cancer, d’immunodéficience, de troubles auto-immunes et de vieillissement accéléré… Autrement dit, cette protéine inhibe jusqu’à 90 % la réparation des dommages causés à l’ADN en entravant le recrutement de la protéine de réparation de l’ADN.

Ce mécanisme de réparation de l’ADN est connu sous le nom de NHEJ (Non-Homologous End Joining -"Jonction des extrémités non homologuée"), consistant en un système de "réponse d’urgence" intracellulaire qui répare les cassures d’ADN double brin. Sans ce mécanisme NHEJ, toute vie multicellulaire avancée cesserait d’exister, aucun être humain, animal ou végétal ne pouvant alors survivre dans la mesure où l’intégrité de son code génétique n’est plus protégée et constamment réparée par de multiples mécanismes.

En conséquence, les "erreurs" qui sont introduites dans les chromosomes à l’intérieur des noyaux des cellules humaines - mutations ou erreurs dans la séquence génétique; suppression de segments entiers du code génétique; insertion de segments incorrects; mélange et permutation du code génétique - entraînent une explosion de cancers et de tumeurs cancéreuses dans tout le corps, une perte de production de cellules B et T du système immunitaire (l'immunodéficience induite), des troubles auto-immunes, le vieillissement accéléré et la réduction de la longueur des télomères, la perte de fonctionnement de systèmes organiques complexes tels que circulatoire, neurologique, endocrinien, musculo-squelettique, etc., des dommages cellulaires ressemblant à un empoisonnement par rayonnement alors que les cellules se détruisent de l’intérieur. Autant dire que beaucoup de ces effets sont fatals ! Sans oublier que l’exposition à la 5G*² (la cinquième génération des standards pour la téléphonie mobile), l’exposition aux chemtrails (traînées blanches créées par le passage des avions en vol composées de produits chimiques), l’exposition aux produits chimiques alimentaires et de soins personnels (détergents à lessive, parfums, shampooings, lotions pour la peau, etc.), la mammographie et même l’exposition au soleil sont potentiellement à même de faire des ravages chez ceux qui ont pris des vaccins à ARNm.

* La protéine de pointe est générée par les propres cellules du corps après avoir reçu l’injection d’un vaccin à ARNm, affectant directement la réparation de l’ADN dans le noyau.

L’ exposition à la 5G entraîne la production de peroxynitrite (molécule à fort pouvoir oxydant issue de la réaction spontanée entre le radical superoxyde et le monoxyde d'azote) dans le sang, qui est un radical libre extrêmement dangereux car doté de la capacité à endommager l’ADN des cellules du cerveau et des tissus du corps.

 

 Des caillots sanguins post-injection

Des tests de laboratoire sur les "caillots vaccinaux" effectués par des scientifiques* démontrent que ces caillots grossissent avec le temps dans le système circulatoire du corps, signifiant qu'ils sont des systèmes auto-assemblés ou bio-machines, autrement dit des biostructures protéiques solides et caoutchouteuses. Au fur et à mesure qu’ils grossissent, ils accumulent ou récoltent certains éléments de l’approvisionnement en sang circulant, car ils prennent plus de place dans les vaisseaux sanguins. Si au début le sang vivant contourne simplement les caillots, ceux-ci peuvent à un moment donné bloquer l’artère à 100 %, ce qui entraîne alors une "mort subite". Il est important de noter que ces "caillots" mettent plusieurs mois, voire un an ou deux, à atteindre une taille suffisante pour bloquer complètement les vaisseaux sanguins et les artères.

En d’autres termes, de nombreuses personnes injectées sont des "bombes à retardement" de blocage cardiovasculaire et de mort inévitables, car il ne s’agit pas de caillots sanguins au sens conventionnel, les médicaments anticoagulants ne faisant rien pour résoudre ces caillots. Il n’existe en effet aucun traitement pour dissoudre ou éliminer ces caillots du système cardiovasculaire. Et bien évidemment, l’ensemble de l’establishment médical refuse catégoriquement de reconnaître leur existence, n’admettant aucun lien entre les injections ARNm et la surmortalité constatée par les autorités dans toutes les catégories d'âge, notamment aux Etats-Unis et en Angleterre.

* En l'occurence le laboratoire accrédité ISO, agréé 17025, audité, inspecté et validé pour les tests ICP-MS. Il s'agit d'une méthode consistant à créer un champ électromagnétique à très grande intensité par des radiofréquences, et devenue incontournable pour l'analyse simultanée des éléments en trace et "ultra-traces". Réalisée en juin 2022, elle a vu les échantillons "digérés" dans de l’acide nitrique, acide nébulisé dans un flux liquide qui traverse une torche à plasma pour être ionisé et dirigé vers un ensemble quadripolaire triant les éléments selon leur rapport masse/charge. Chaque élément individuel est scanné et compté sur un PMT (tube photomultiplicateur) qui traduit les éléments individuels en courant électrique qui peut être compté avec précision. Ces résultats sont comparés à des normes externes traçables pour fournir des courbes d’étalonnage très précises, ce qui signifie que les données de quantification sont extrêmement fiables. La conclusion est que le caillot est presque entièrement dépourvu d’éléments marqueurs clés qui seraient présents dans le sang humain (comme le fer et le potassium), mais il présente des concentrations nettement plus élevées d’éléments utilisés dans l’électronique et les circuits. Cf. https://cogiito.com/wp-content/uploads/2022/08/CWC-Clot-Test-ICPMS-results.pdf.

 

En conséquence, en l'absence des millions de protéines de pointe dans son système vasculaire et qui inondent ses organes vitaux (comme le foie et la rate), l'être humain non injecté a de bien meilleures chances de repousser le Covid, son système immunitaire, son cœur et ses organes de nettoyage n'étant pas pollués et mis à rude épreuve par des millions voire des milliards de prions toxiques qui imitent le virus SRAS-CoV-2 fabriqué en laboratoire, et dont la fonction est accrue pour imiter des virus qui attirent d’une manière ou d’une autre les métaux lourds et créent de longs caillots caoutchouteux dans le sang, autour du cœur, dans le cerveau et à l’intérieur des organes vitaux...

 

De la réalité Covid

Le vaccin originel, c’est-à-dire le SARS-CoV-2, était un vaccin qui est devenu un virus qui a été lâché en Chine (ou autre pays avant que d'y parvenir). Il était déjà modifié par une protéine de pointe destinée à avoir cet effet vicié sur le corps. Les scientifiques ont poursuivi le travail d'expérimentation en laboratoire pour aboutir à un vaccin - une injection à ARNm - qui multiplie cette protéine de pointe par l'ordre donné au corps et à un tas de ses cellules qui sont un antigène (c’est comme des envahisseurs pour toutes les cellules du corps). Autrement dit, quand on attrape le Covid, les protéines de pointe entrent en jeu, expliquant que l'individu non vacciné peut avoir les mêmes effets que chez celui qui a été vacciné. La différence est que les conséquences sont moins graves si c’est juste la maladie et non le vaccin qui entraîne la maladie, le système immunitaire ayant eu le temps de se préparer pour amoindrir le choc global. Dans le cas contraire, l'individu se retrouve immédiatement avec des problèmes auto-immunes de par la manipulation génétique des cellules qui a donné l’ordre au corps d’attaquer ses propres cellules* !

Si la plupart des individus infectés, vaccinés ou non, sont tombés malades, c'est qu'ils manquaient de bifidobactéries (famille des bactéries lactiques), le Covid les ayant en quelque sorte tuées dans leurs intestins, provoquant une carence en acide folique (vitamine B₉) à cause de la disparition des bonnes bactéries qui aident à produire cet acide folique (elles sont difficiles à remplacer avec des probiotiques ordinaires). C'est pourquoi la récupération nécessitent de bonnes bactéries intestinales, l’équilibre étant très important pour la fonction immunitaire, ce que permet notamment la prise d'aliments fermentés.

* Ceci explique les plaques amyloïdes (agrégats qui se forment autour des neurones) trouvées par les embaumeurs d'individus décédés, voyant le système de défense du corps créer ces plaques contre l'action mortifère des protéines de pointe.

 

Protéine "Spike", ou l'étrange résonnance

Comme à l'accoutumée pour les initiés, la langue des oisons révèle ce qui est caché, dissimulé derrière les éléments du langage "vulgaire" réservé aux profanes afin de les maintenir dans le sommeil de la conscience. Cette protéine de pointe constitutive de l'arme bactériologique destructrice résonne du patronyme du Sataniste Pike, Albert de son prénom, avocat, général confédéré et écrivain américain (1809/1891 - photo 1). Franc-Maçon au plus haut degré (Grand Commandeur), il est une pièce clé du système de Hauts Grades au Rite Écossais Ancien et Accepté (REEA) le plus pratiqué du globe. Il a été également un haut dirigeant dans les Chevaliers du Ku Klux Klan, société secrète terroriste suprémaciste blanche (nazie) des États-Unis fondée en 1865, ce qui pour un prétendu humaniste éclairé démontre la supercherie de cette obédience.

Il est souvent fait référence pour l’instauration du Nouvel Ordre Mondial (NOM) à l'existence d'un plan secret, dit Pike, en trois guerres planétaires, même s'il s'agit probablement en partie d'une manipulation : la Première Guerre mondiale devait permettre de renverser le pouvoir des tsars en Russie et de faire de ce pays une forteresse du communisme athée, construit et utilisé pour détruire les autres gouvernements et dans le but d’affaiblir les religions (le communisme international devait devenir assez fort afin d’équilibrer et de contenir la chrétienté); la Seconde Guerre mondiale, fomentée en profitant des différences entre les fascistes et les sionistes politiques, devait être réalisée de telle sorte que le nazisme soit détruit et que le sionisme politique soit assez fort pour instaurer un État souverain d’Israël en Palestine; la Troisième guerre mondiale devait être fomentée en profitant des différences entre les sionistes politiques et les dirigeants du monde islamique, la guerre devant être menée de telle manière que l’islam et le sionisme politique (l’État d’Israël) se détruisent mutuellement. Pendant ce temps les autres nations, une fois de plus divisées sur cette question, seraient contraintes de se battre jusqu’au point complet de destruction, physique, moral, spirituel et leur épuisement économique. C'est à son issue que serait créé un nouveau monde, la "République Illuminati", avec La Déclaration des Droits de l'Homme comme nouvelle table de la Loi, voyant la "révélation" de Lucifer dans une nouvelle religion, le New-Age, inventée pour le nouveau peuple de la terre (c'est ce qui est appelé la "nouvelle Jérusalem", plus exactement la nouvelle Babylone et sa tour de Babel, le retour au lieu mythique de la désobéissance des hommes envers Le Créateur).

Pike s'inscrivait dans la continuité d'un précédent révolutionnaire sataniste adepte d'un programme de dépopulation mondialiste, déguisé derrière ses oripeaux humanistes, le général, homme politique et patriote italien Giuseppe Garibaldi né Joseph Marie (1807/1882 - photo 2), Grand Maître maçon de presque toutes les obédiences italiennes et à qui le Grand Orient d'Italie décerna le titre honorifique de "Premier franc-maçon d'Italie".

Aussi n'est-il pas surprenant que le variant Delta (photo 3), lettre de l’alphabet grec ressemblant à une pyramide, justifie le programme "génocidaire" martelé de vaccination. Il constitue un symbole éminent de la franc-maçonnerie (photo 4), d'aucuns diraient de la Synagogue de Satan, se retrouvant dans cette période charnière qui vise à faire entrer l’humanité de plein pied dans le transhumanisme, soit la mutation du communisme doctrinaire asservisseur. Sans oublier le masque (photo 5), autre artifice du rituel maçonnique nommé bandeau, utilisé lors de l'initiation comme avant un sacrifice dans les loges dédiées !

 

Du nouveau cheval de Troie, ou le syndrome de La Havane

Dans la mythologie grecque, l'épisode du cheval de Troie est un événement décisif de la guerre de Troie narrée dans l'Iliade du poète Homère. Après avoir vainement assiégé Troie pendant dix ans, les Grecs ont l'idée à l'initiative d'Ulysse d'une ruse pour prendre la ville. Épéios construit un cheval géant en bois creux harnaché d'or, dans lequel se cache un groupe de soldats menés par Ulysse. En parallèle, un espion grec, Sinon, réussit à convaincre les Troyens d'accepter l'offrande, malgré les avertissements de Laocoon et de Cassandre. Le cheval est tiré dans l'enceinte de la cité qui fait alors une grande fête. Lorsque les habitants sont pris par la torpeur de l'alcool, la nuit, les Grecs sortent du cheval et ouvrent alors les portes, permettant au reste de l'armée d'entrer et de piller la ville. Tous les hommes sont tués, les femmes et les filles sont emmenées comme esclaves. Les enfants mâles sont tués eux aussi pour éviter une éventuelle vengeance. Cette ruse de guerre a ainsi entraîné la chute de la ville et permis le dénouement de la guerre.

Sa version moderne se retrouve dans ce qui a été nommé "le syndrome de La Havane", ensemble de troubles auditifs, d'étourdissements et de céphalées dont ont eu à souffrir certains membres du personnel diplomatique canadien et américain basé à La Havane, à Cuba, à compter de fin 2016, autrement une opération de mind control (contrôle mental) liée aux nouvelles armes basées sur la technologie fréquentielle - les armes à rayons dirigés - associées aux armes bactériologiques, et qui laissent des traces d’AGH (acide gamma-hydroxybutyrique) que les êtres humains produisent en infimes quantités lorsque cet acide est induit de l’extérieur. Cette méthode a pour but de modifier d’une manière ou d’une autre la chimie du cerveau et d'augmenter la production de cette substance chimique, qui est essentiellement une drogue dite du violeur, connue pour ses propriétés sédatives et amnésiantes. Ses effets sont comparables aux témoignages des individus prétendant avoir été enlevés il y a 25 ou 30 ans lors d'abductions extraterrestres, plus exactement extradimensionnelles, indiquant avoir des aiguilles plantées dans leur estomac… Ces armes à rayons qui agissent sur les gens à distance sont ni plus ni moins qu'une technologie de 4-D désormais utilisée en 3-D.

 

Les 3 phases du plan de vaccination mortelle (Source citée en bas de l'image) - Cliquer pour agrandir
Les 3 phases du plan de vaccination mortelle (Source citée en bas de l'image) - Cliquer pour agrandir

La guerre d'aujourd'hui est vaccinale, visant à dispenser à une partie de la population mondiale une pseudo protection qui dissimule d'autres objectifs, ce qu'a révélé en juin 2021 la publication des courriels de l'immunologue américain Dr Anthony Stephen Fauci, directeur depuis 1984 de l'Institut national des allergies et maladies infectieuses (NIAID), un centre de recherche du Ministère américain de la Santé (NIH) - il a démissionné de ses fonctions en août 2022 au vu de la raclée électorale des démo(n)crates qui s'annonce aux élections de novembre pour le renouvellement des membres du Congrès US. Il a financé les recherches menées dans le laboratoire chinois de Wuhan en Chine sur les coronavirus comme armes bactériologiques, via une protéine nommée spike du SRAS-CoV-2, une toxine de laboratoire désormais injectée sous forme d’ARN messager pour se traduire dans des cellules humaines. S'y répliquant, ces protéines inflammatoires altèrant la synthèse naturelle des protéines des cellules, tout en s’infiltrant dans la circulation sanguine et en s’accumulant dans les organes vitaux, y compris dans le tissu nerveux pour infecter les neurones et provoquer un neurotropisme*. Les protéines de pointe provoquent en effet des lésions cérébrales, étant dix fois plus puissantes lorsqu’elles sont injectées, tout en pouvant s’attaquer à la rate, à la moelle osseuse, au foie, aux glandes surrénales et, en "concentrations assez élevées", aux ovaires.

Ce conseiller médical en chef du président états-unien a d'ailleurs fini par admettre en août 2021 admis que les "vaccins" contre le coronavirus de Wuhan pourraient en fait aggraver le coronavirus, l’amélioration de l'état de santé en cas d'infection étant dépendante des anticorps ou ADE. L’ADE est en effet un phénomène qui se produit lorsque les anticorps générés par l’organisme au cours d’une réponse immunitaire se lient à l’agent pathogène mais ne l’éliminent pas correctement. Au lieu de cela, les anticorps agissent comme un cheval de Troie, donnant à l’agent pathogène un moyen de pénétrer plus loin dans le corps et de se propager. Ceci, à son tour, nécessite une réponse immunitaire encore plus importante du corps, ce qui pourrait en fait aggraver la situation en provoquant des complications pouvant aller jusqu'au décès, ceci ayant été vérifié à maintes reprises avec les pratiques vaccinales. Il a rajouté que la pire chose qui puisse être faite est de vacciner quelqu’un pour prévenir l’infection, ce qui l’aggrave en fait ! Et de nombreuses études du monde entier n'ont déjà fait que prouver que les vaccins Covid-19 conduisent à la création de souches plus améliorées du coronavirus via l’ADE*, ce qu'a confirmé fin décembre 2019 dans une lettre parue dans le journal scientifique de référence The Lancet le chercheur allemand Günter Kampf. Il démontre que les injections qualifiées à tord de vaccins n’arrêtent nullement la propagation, la maladie et la mort se répandant davantage chez ceux qui ont été vaccinés en suivant les directives gouvernementales que chez ceux qui ont laissé leur système immunitaire combattre la maladie naturellement*².

La réalité est qu'il s’agit d’une pandémie de personnes injectées, et la pseudo pandémie vendue à satiété par les autorités complices politiques, scientifiques et médiatiques aurait déjà été terminée si tout le monde avait choisi de ne pas se faire "vacciner", plus exactement injecter, par des fléchettes souvent empoisonnées. Ce sont bel et bien elles qui sont les malades et qui propagent les maladies de par leurs systèmes immunitaires compromis.

* L'ADE est une cascade d'événements dans plusieurs maladies virales (Dengue, Ebola ou VIH par exemple). Les virus voient leur pénétration dans les cellules hôtes facilitée par un mécanisme impliquant une interaction entre des anticorps non neutralisants (ou des composants du complément) et le virion, cette particule infectieuse d'un virus servant à transporter ce dernier en direction d'une cellule.

Par exemple, en Allemagne, le taux de Covid symptomatique chez les vaccinés est en augmentation. Si en juillet, il était d’environ 16,9 % chez les patients âgés de 60 ans et plus, au 27 octobre il a grimpé en flèche pour atteindre 58,9 %, “ce qui prouve clairement la pertinence croissante des personnes entièrement vaccinées comme source possible de transmission" (le phénomène est similaire au Royaume-Uni tout comme en Israël ou aux Etats-Unis). Et pourtant, selon la version officielle, les personnes entièrement vaccinées ne doivent même pas être considérées comme une source potentielle de transmission !

 

Les méthodes de déploiement de ces "vaccins" constituent bel et bien des tactiques de guerre, établi selon un scénario en trois phases à court-moyen et long terme (Cf. image ci-dessus), et nos propres gouvernements et systèmes médicaux sont en train d’être militarisés contre leur peuple par le déploiement de ces armes biologiques par la coercition, la fraude médicale, la corruption, l’intimidation, la discrimination et la ségrégation. C'est ainsi que les porte-voix des plus grandes structures et think tank militaires de l’Occident prévoient sur leurs sites officiels qu’en 2025 la population aura baissé de manière drastique en occident de l'ordre global de 40 %, leurs hypothèses situant la population des USA à 99 millions, de la France à 39 M, de l'Italie à 42 M, de l'Allemagne à 28 M, du Royaume-Uni à 14 M… Certaines organisations européennes demandent bien sûr sur quel modèle reposent leurs prévisions si catastrophiques, mais aucune réponse n'est communiquée. Il sera intéressant d'observer dans les 18 à 24 mois post-vaccination les réactions auto-immunes amenant au décès si les vaccinés sont mis en contact avec un coronavirus, de quelque variant qu’il soit*²...

40% de la population... ou l'économie 4.0 qui se profile !

* Une étude publiée dans Nature Neuroscience a révélé que la protéine S1 du SRAS-CoV-2 est conçue pour se fixer à l’enzyme de conversion de l’angiotensine 2 (ACE2), traverser la BHE (elle est caractérisée par la présence de jonctions serrées qui limitent la diffusion de solutés et de cellules présentes dans la circulation sanguine et par l'expression polarisée de transporteurs qui contrôlent de manière spécifique la disponibilité cérébrale des nutriments, des médicaments ou des xénobiotiques) et endommager les systèmes cardiovasculaire et nerveux central.

Le programme de vaccination ARNm majoritairement (type Pfizer) est une course contre la montre entre un virus qui mute très régulièrement et sévit sur la totalité de la planète, et nos capacités à produire des vaccins et à les injecter à tous le plus vite possible. Or, s'il faut au moins deux ans pour vacciner le monde entier, un virus qui mute a minima de façon biologiquement significative tous les 15 jours, soit globalement 26 fois par an (52 fois sur cette période de temps), aura anihilé tout le bénéfice escompté de la vaccination, les scientifiques reconnaissant à l'unanimité que celle-ci ne protège aucunement des variants ou mutants... C'est ainsi que d'ores et déjà en Israël, les dernières données montrent sans l’ombre d’un doute que la variante sud-africaine actuelle en avril 2021 est déjà capable de percer les défenses induites par le vaccin Pfizer.

Sources : RedState.com: "High-Ranking Chinese Defector Has ‘Direct Knowledge’ of Several Chinese Special Weapons Programs"; Wall Street Journal "The Science Suggests a Wuhan Lab Leak"; UK Daily Mail "The Pentagon secretly funneled $39 to Peter Daszak, his charity funded the Wuhan lab"; The National Pulse "Fauci’s Boss Admits Funding Wuhan Lab : ‘We Had No Control Over What They Were Doing’"; LifeSiteNews "China Virus Smoking Gun Found"; The Bulletin of the Atomic Scientists "The origin of COVID: Did people or nature open Pandora’s box at Wuhan?".

 

En fait, les individus qui se soumettent à des injections de protéines de pointe potentiellement mortelles, tout comme les font subir à leurs propres enfants, sont de même nature que ceux qui s’engagent dans des habitudes autodestructrices de toxicomanie. Ils ont le sentiment, même s'il n'est pas conscientisé, que leur propre vie ne vaut rien et n’a aucun sens, ignorants que le libre arbitre est une extension naturelle de la conscience de ce que signifie être humain. C'est pourquoi, dans ce reflet de l’image qu’ils ont d’eux-mêmes, ils ont tendance à adopter des habitudes et des activités autodestructrices comme le suicide par vaccin, la consommation de malbouffe et la toxicomanie sous ses différentes formes (tabac, alcool, sucre blanc industriel, laitage, pain à la farine de blé, drogues...).

Qui plus est, en ces temps qui éprouvent les âmes des hommes, certaines âmes supportent mal le stress et la pression. Comme le système humain est conçu pour diminuer le stress par tous les moyens nécessaires, la plupart des gens ne peuvent tout simplement pas supporter le stress ou la pression, se trouvant toutes les rationalisations dont ils ont besoin pour céder en croyant au mensonge, changer de cap, et au final justifier l'injection à même de leur permettre de se débarrasser de leur stress, de leur malaise. Ce faisant, beaucoup deviennent à leur corps défendant des radicaux et extrémistes violents, nourris désormais dans leur sang contaminé par le mal. Autrement dit, ils sont "possédés", ce que traduisent les dérapages de plus en nombreux des covidistes enfiévrés sur les plateaux TV-radio, dans leurs tribunes de la presse écrite, ou leurs déclarations politiciennes abjectes (Cf. Christian Estrosi et consorts) !

Tout ceci découle d'une société malade, tordue car viciée, qui va jusqu'à célèbrer par le nombre d'injections programmé le massacre des bébés à naître, envoyant à tout enfant vivant et attentif un message clair : les jeunes vies humaines ne valent rien ! De leur côté, les publicités télévisées et les messages de propagande encouragent les gens à détruire leur santé avec des sodas, de la malbouffe et des médicaments sur ordonnance qui altèrent l’esprit, la soi-disant "science" qui les sous-tend prétendant au même titre que la culture pop et autre propagande progressiste vérolée type "cancel ou woke/inclusive culture" - la matrice du conformisme uniformisant - que la vie n’est rien d’autre qu’un accident aléatoire sans but. A l'opposé, les personnes qui ont une image saine d’elles-mêmes et un sentiment d’estime de soi ont tendance à poursuivre des activités et des choix de vie qui protègent et améliorent leur santé à tous les niveaux : physique, mental et spirituel*.

* Cf. L'état de cohérence, voie de sa liberté & Le choix existentiel : en santé ou malade.

 

Nul ne sera surpris au final que cette opération militaire ait abouti à abaisser le Quotien Intellectuel des individus ! C'est ainsi qu'une étude publiée en mars 2024 dans le New England Journal of Medicine a établi que les patients qui avaient guéri des symptômes du coronavirus présentaient un déficit cognitif équivalent à trois points de QI par rapport à ceux qui n’avaient jamais été diagnostiqués. Quant à ceux présentant des symptômes persistants non résolus, ils ont vu leur QI diminuer de six points. Et l’impact du Covid est encore plus prononcé chez les personnes admises en unité de soins intensifs, la perte de QI atteignant neuf points par rapport au groupe de contrôle. L’étude indique qu’il existe de multiples facteurs sous-jacents qui contribuent au déclin cognitif post-vaccination, confirmant les associations entre les déficits cognitifs, les sautes d’humeur et la fatigue, et une variété d’autres symptômes...

 

 

Méthode scientifique transhumaniste de contrôle de l'être humain - Cliquer pour agrandir
Méthode scientifique transhumaniste de contrôle de l'être humain - Cliquer pour agrandir

Le sinistre parallèle

L'histoire n'est qu'un perpétuel recommencement ! C'est cette vérité rarement démentie qui est attribuée au philosophe et politicien athénien Thucydide (460/397 avant J.C), qui contrairement à son prédécesseur Hérodote, avait séparé la vision du merveilleux mythique de celle de la réalité historique.

Quoi que ceci puisse titiller les sentencieux contempteurs de la doxa vaccinale vociférant et s’époumonant sur les réseaux médiatiques quant à son bienfondé, conjuguant le mépris à la culpabilité sinon la condamnation des résistants à la piquouse soi-disant salvatrice, nous sommes bel et bien dans la répétition d'une nouvelle Shoah des Justes, des innocents. Les Juifs d’Allemagne avant la Seconde Guerre mondiale ne pensaient pas, lorsqu’il a été demandé pour la première fois que leurs armes soient "enregistrées", que ces armes leur seraient bientôt retirées. Ces mêmes Juifs innocents, qui étaient des citoyens allemands, n’avaient aucune idée qu’après la confiscation de leurs armes, on leur ordonnerait de "déménager" dans des ghettos qui leur étaient réservés, avec d’autres personnes pestiférées "comme eux". Tous avaient été ostracisés par la propagande des médias (tags, tracts, affiches, films...), relais de la politique officielle des nazis, comme étant un fardeau pour la société à bien des égards. Le peuple allemand avait fini par être profondément nourri de la haine d’un peuple spécifique donné comme bouc émissaire, jeté en pâture, et avait mordu à l’hameçon. Il en résulta que ces millions de Juifs furent transportés par train, opération dite Nacht und Nebel ("Nuit et brouillard"), nom de code des "directives sur la poursuite pour infractions contre le Reich ou contre les forces d'occupation dans les territoires occupés", dans des ghettos et des camps de concentration destinés à être leur dernier lieu de repos. Là, le "bras droit" pharmaceutique d’Hitler avait créé des vaccins toxiques faits de concoctions chimiques, injectés dans les bras des enfants comme des adultes juifs. Ils en sont morts, non sans avoir été pour nombre torturés et maltraités, affamés lentement jusqu’à leur décès avant leur incinération dans les fétides fours crématoires. Ce sont ces mêmes poisons insecticides qui sont encore pour partie utilisés aujourd’hui en chimiothérapie.

De même, Hitler avait fait mettre du fluor dans l’eau pour que les Juifs restent faibles, afin qu’ils ne puissent pas se rebeller ou s’échapper. Or, lorsque l’ammoniac est mélangé à l’eau de Javel, il devient toxique comme le gaz moutarde notamment utilisé pendant la grande guerre de 1914/1918, composé chimique cytotoxique et vésicant qui a la capacité de former de grandes vésicules sur la peau exposée. C'est ainsi que l'on trouve de l’ammoniac mélangé à de l’eau de Javel dans les cigarettes commerciales, qu'il contribue au blanchiment de la plupart des aliments blancs, que la plupart des viandes rouges sont traitées à l’ammoniac pour tuer les E. coli, et que les pesticides pulvérisés sur la quasi-totalité des cultures et des produits conventionnels sont fabriqués par Bayer (Monsanto), le même maléfique Bayer qui dirigeait une partie du conglomérat pharmaceutique connu sous le nom de I.G. Farben dans l’Allemagne nazie.

 

Quel rapport avec les vaccins peut-on naïvement se demander, si ce n'est que ceux-ci contiennent d’horribles contaminants fortement toxiques comme des dérivés du mercure (éthyle, méthyle), qui de ce fait ne devraient JAMAIS être injectés dans le corps humain, d'autant que certains contiennent une technologie exotique, à savoir une protéine de pointe pathogène utilisant des nanoparticules d’oxyde de fer/graphène superparamagnétiques (SPIONs) qui, une fois injectée dans le corps, délivre des gènes et contribue à un processus d’auto-assemblage qui construit une interface de biocircuit à partir d’éléments provenant du sang de la victime. Ceci signifie que ce sont les FRÉQUENCES qui sont le véritable vecteur de la transmission virale, celles-ci relevant des champs electro magnétiques (CEM ou EMF en anglais - Electro magnetic Fields) dits FRV (champ de Fréquence de Résonance Vibratoire)*, le but étant de booster le passage de l'ARN messager dans la cellule par une magnétofection (méthode de transfection qui utilise des champs magnétiques pour concentrer les particules contenant l'acide nucléique dans les cellules cibles). Et comme toute fréquence correspond à un organe, une maladie, un symptome précis ou un pathogène, le graphène comme super conducteur électro magnetique, délà utilisé en "médecine", agit via biorésonnance par sa capacité à traverser la barrière hémato encéphalique sur le cerveau (elle protège l’étanchéité du cerveau), entraînant entre autres la formation de thromboses mais également la faculté à influencer les pensées sinon les lire grâce aux potentialités de la 5-G, la cinquième génération des standards pour la téléphonie mobile ! Cerise amère sur l'infâme gâteau, elle peut se propager aux non vaccinés compte-tenu de la porosité cellulaire comme cervicale (cette faculté se nomme sur le plan médical électroporation). Il va sans dire qu'après les injections, les téléphones intelligents 4G/5G comme les tours cellulaires des opérateurs télécom peuvent transmettre un signal à une fréquence spécifique à ces particules électro magnétiques déjà injectées.

Nanotechnologie, fréquences, biotechnologie, contrôle du cerveau humain, contrôle du génome et de l’ADN, génétique et vaccins OGM sont les outils constitutifs du rêve des transhumanistes qui veulent transcender la Nature et l'Homme pour créer l’hybridation homme- machine. C'est ce "progrès" dément auquel ils aspirent, qui voit inéluctablement l’Internet des objets (IoT) converger par ses technologies connexes telles que l’intelligence artificielle (IA) vers l’Internet des corps (IoB), non pour en préserver l’intégrité et la fonctionnalité, mais pour porter directement atteinte au corps humain... L'homme devient ainsi un pré mutant, un "nano smart (ro)bot" qui, accroché à sa prothèse numérique et relié à ses congénères dans un "systeme nerveux social" par la technologie 5/6G et ses bornes émettrices-réceptrices, transformé en "walking small cells" fournisseuses des datas collecteurs de données qui vont dans le Cloud, le sanctuaire de l'IA, voit sa vie totalement dépendante de la présence des machines, des computers et du smart phone, y compris dans sa capacité à penser. Au mieux, il est un esclave totalement contrôlé, au pire envoyé comme rebut non désirable à la mort.

* Cf. Contrôle mental.

 

5-G, l'accélérateur mortifère du virus chinois

Le National Center for Biotechnology Information (NCBI) a publié en décembre 2021 une nouvelle étude mettant en garde contre les dangers de la technologie 5G, notamment la façon dont elle contribue directement aux symptômes communément associés au coronavirus de Wuhan (Covid-19). Il y a en effet selon les scientifiques Rubik et Brown une "corrélation statistiquement significative entre l’intensité du rayonnement radiofréquence et la mortalité due au SRAS-CoV-2 dans 31 pays à travers le monde" (corrélation ne signifie pas toujours causalité), ce qu'une précédente étude américaine mettait en évidence après analyse des zones du pays où l’infrastructure 5G était déjà en place, son fonctionnement présentant des taux significativement plus élevés de maladies graves et de décès attribués au covid, le tout indépendamment de la densité de population, de la qualité de l’air et de la latitude. Les bio-effets du rayonnement des communications sans fil (RCT), dont la 5G, voient ainsi nombre de symptômes communément attribués au covid, comme des modifications sanguines conduisant à des agglutinations du sang à court terme et une réduction à long terme de l'hémoglobine, un stress oxydatif et des lésions dans les tissus et les organes, une perturbation du système immunitaire (suppression de lymphocytes et augmentation des biomarqueurs inflammatoires), une augmentation du calcium intracellulaire facilitant l'entrée et la réplication du virus, des arythmies (irrégularités du rythme cardiaque).

Qui plus est, l'exposition aux rayonnements sans fil réduit les niveaux de glutathion, le "maître antioxydant" de l’organisme. Il en découle que le stress oxydatif est bel et bien une composante de l’infection. Et dans la mesure où il est largement reconnu comme un "facteur de stress physiologique", il débouche sur des effets néfastes en matière de santé, allant d’un risque accru de cancer et de dommages à l’ADN à des problèmes d’apprentissage et de mémoire. C'est pourquoi nombre de scientifiques éveillés et non corrompus* alertent sur ces injections ARNm expérimentales, sans garantie, au contenu toxique potentiellement mortifère (adjuvants et hydroxyde de graphène qui est une véritable lame de rasoir biologique provoquant de multiples hémorragies) induit par abus des fréquences des téléphones sans fil.

Le virus chinois n'est donc dangereux que pour celui qui ne l'intègre pas comme une possibilité de mutation, et qui lutte contre lui, d'autant plus sous l'effet de la peur. Et il devient encore plus dangereux par sa synergie avec les fréquences de 3600-3800 MHz propres à la technologie de la 5G, qui plus est associées aux adjuvants contenus dans les "vaccins saisonniers" et aux fréquences qui affaiblissent l'immunité des "individus ordinaires" inconscients au effets de ces ondes. Qui plus est, des chercheurs espagnols ont récemment découvert que les vaccins corona de Pfizer et AstraZeneca sont en grande partie constitués d’oxyde de graphène, ce qu'a confirmé Karen Kingston, une ancienne employée de Pfizer et analyste actuelle pour les industries pharmaceutiques et des dispositifs médicaux, soupçonnant que cet ingrédient ne soit pas mentionné dans les brevets du vaccin. Il est en effet toxique pour les humains, et peut littéralement se connecter à Internet. En effet, le graphène peut conduire l’électricité, et lorsqu'il a une charge positive en cas d'activation par un champ électromagnétique (pour le moment, les particules sont chargées de manière neutre), il détruit tout ce avec quoi il entre en contact, des dommages et la mort pouvant en résulter (cela dépend du nombre de nanoparticules présentes dans le corps et de leur emplacement). C'est également l'avis du média indépendant de langue espagnole La Quinta Columna, dont les experts scientifiques indiquent que la 5-G dégage une sorte d'impulsion électromagnétique à la vitesse de la lumière constitutive d'une arme à énergie pouvant être utilisée pour altérer la santé voire assassiner des individus. Et comme les "vaccins Covid-19" pourraient rendre les gens plus sensibles à la 5G puisque leur corps contient de l’oxyde de graphène (ce qu'en juillet 2021 ont confirmé des chercheurs espagnols de l’Université d’Almeria), il ne fait guère de doute sur les intentions cachées des psychopathes qui nous gouvernent. 

C'est bel et bien une arme biologique, destiné à un génocide planifié.

La technologie 4G comme 5G n'est pas seulement responsable de la chute de l'immunité chez l'humain, elle l'est pour l'ensemble du vivant. Elle a pour objectif de bloquer tout le processus épigénétique du monde vivant de 3ème densité. Et si la fibre est nécessaire pour imposer la 5G, la 5G est nécessaire pour rendre le Qrcode pass sanitaire et vaccinal obligatoire afin de traquer (en cas de refus de nouvelles doses) sinon attaquer à domicile les piqouzés ! C'est la raison pour laquelle le futur Qrcode sera logé dans une biopuce pouvant être alimentée par le graphène des masques, des écouvillons et des vaccins. Sans la fibre à domicile, il n'est pas possible d'être tracé, d'où la pression pour ne pas dire harcèlement téléphonique visant à l'imposer.

Et pour le développement de la 6G à venir, l’Union européenne a lancé le projet Hexa-X, réseau devant être opérationnel vers 2030...

Il s'agit bel et bien de la grandiose célébration "satanique" d'une fin de civilisation, qui sera finalisée par le passage à la 6-G, celle-ci étant appelée à demeurer "invisible" ! Alors sera consacrée la marque prophétique apocalyptique de la Bête, le 666 asservisseur de la conscience humaine...

* Cf. travaux et déclarations entre autres du Pr Paul Héroux, Canadien expert en physique et biologie ; de l'auteur américain Arthur Robert Firstenberg spécialiste des ondes (livre "L’arc-en -ciel invisible") ; du Pr belge Vincent Castronovo sur la baisse drastique mesurée bioélectroniquement de nos défenses immunitaires ; du Pr français Samuel Auguste Tissot quant aux conséquences sur le terrain du cancer ; du Dr français Marc Vercoutère (1951/2018) et de l’agrégé en biologie Michel Georget (1934/2019) quant à l'héritage de maladies auto immunes.

 

Des nanoparticules utilisées comme additifs alimentaires, avec des effets inconnus

Dans les produits alimentaires de nos magasins et épiceries, plusieurs ingrédients sur les étiquettes sont fabriqués depuis les années 1990 à l’aide de la nanotechnologie, selon un processus qui convertit l’argent, le cuivre, l’or, l’aluminium, le silicium, le carbone et les oxydes métalliques, entre autres métaux, en particules de la taille d’un atome d’un milliardième de mètre*. Ces ingrédients couramment utilisés comprennent le dioxyde de titane, sans doute l’additif le plus connu, au même titre que l’oxyde de silicium, le carbonate de calcium, les oxydes et hydroxydes de fer, le silicate de calcium, les phosphates tricalciques et les silices synthétiques. Tous ses composants incroyablement petits rendent nos aliments plus colorés, plus brillants, plus crémeux ou plus croquants, les gardant également frais plus longtemps. Ces additifs de taille rendent également certains médicaments plus efficaces, et sont utilisés dans la fabrication de produits de tous les jours tels que l’électronique, les emballages alimentaires, les jouets, les vêtements, les crèmes solaires, les cosmétiques, les compléments alimentaires et bien plus encore.

Bien qu’ils puissent offrir une myriade d’avantages, ces exhausteurs de produits de plus en plus populaires ont un prix, selon les groupes de consommateurs et les experts de la santé, et ce prix est... notre santé. En effet, parce que ces particules sont si petites, des études ont montré qu’elles peuvent franchir la barrière hémato-encéphalique. Si les chercheurs explorent déjà cette qualité pour les médicaments destinés à traiter les affections neurologiques, il n'en est pas de même quand il s’agit de nourriture, ces particules étant capables de circuler dans tout le corps et d’être absorbées par la circulation sanguine et les organes comme les poumons, le cœur et les organes reproducteurs. Elles peuvent pénétrer les parois cellulaires et potentiellement créer une inflammation et des maladies. C'est ainsi que dans une étude de juillet 2020, un groupe de chercheurs de l’Université du Massachusetts à Amherst a découvert que le dioxyde de titane, couramment ajouté à la gomme, aux bonbons, aux boissons et aux desserts, provoquait des changements dans les micro-organismes intestinaux de deux groupes de souris.

Cette nanotechnologie est actuellement utilisée dans deux des trois injections géniques à ARNm COVID-19 (Pfizer/BioNTech et Moderna). Qui plus est, des chercheurs indépendants allemands ont découvert que ces "vaccins" testés de Pfizer, Moderna, Johnson & Johnson (J&J) et AstraZeneca contiennent une gamme de composants toxiques cachés – la plupart métalliques – qui ne sont pas étiquetés comme ingrédients : métaux alcalins césium (Cs) et potassium (K), métaux alcalino-terreux calcium (Ca) et baryum (Ba), métaux de transition cobalt (Co), fer (Fe), chrome (Cr) et titane (Ti), terres rares cérium (Ce) et gadolinium (Gd), groupe minier/métal aluminium (Al), groupe carbone silicium (Si ), groupe oxygène soufre (S)*². C'est pourquoi les scientifiques états-uniens ne cessent de demander une plus grande surveillance de ces substances par la Food and Drug Administration (FDA) en raison de leur taille, notamment par l'intermédiaire d'un groupe de travail dédié à ces nanotechnologies. La difficulté est que la détection et la quantification directes des traces de nanoparticules dans les produits de consommation sont très difficiles et problématiques.

Depuis 2011, l’Union européenne exige que tous les aliments soient étiquetés s’ils contiennent des nanomatériaux manufacturés, allant même par un groupe de scientifiques au sein de l’agence à demander à la Commission européenne de sécurité des aliments de rejeter l’additif alimentaire dioxyde de silicium au prétexte qu'il est sans danger pour la consommation. Quant à la France, elle a interdit depuis janvier 2020 à tout aliment contenant du dioxyde de titane d’entrer dans le pays.

* Selon de nombreux experts aux États-Unis, il existe de 1 900 à 2 500 produits alimentaires qui utilisent la nanotechnologie.

Autre découverte des chercheurs, le sang des personnes entièrement injectées a montré des "changements marqués", entendant que "l’intelligence artificielle (IA) peut distinguer avec une fiabilité de 100% le sang des vaccinés et des non vaccinés" selon l’étude. Cela indique que les vaccins COVID-19 peuvent effectuer des changements à long terme dans la composition du sang de la personne vaccinée sans que cette personne soit consciente de ces changements. Au mieux, les injections de virus chinois sont largement contaminées involontairement. Au pire – et cette option semble plus probable – les vaccins COVID ont été conçus pour implanter des substances métalliques à l’intérieur du corps des personnes qui s’auto-assemblent délibérément en caillots mortels. Mais comme pour tous les vaccins et tous les médicaments, leur composition quantitative complète est un secret commercial, protégé de la divulgation en raison de sensibilités commerciales, nous pouvons comprendre pourquoi le propre tableau de composition brute de Pfizer 3.2.P.1-1 publié suggère probablement 6 ingrédients de fabrication expurgés... 

 

Des tests PCR

Le journaliste canadien d'investigation et réalisateur de documentaires primés Dan Dicks, fondateur d'un média indépendant connu nommé Press for Truth, a révélé par le biais d'un document* de la FDA (Food and Drug Administration), administration américaine ayant le mandat d'autoriser la commercialisation des médicaments sur le territoire des États-Unis, que le protocole de test du covid-19 établi l'a été par l'utilisation de cellules humaines combinées à des fragments du virus du rhume (de la morve pulmonaire) cultivés dans du sérum de sang de vache, et ce compte-tenu de l'absence d’échantillons physiques du virus Covid SRAS-CoV-2 disponibles. Les tests (59 tests PCR différents depuis le début de la fausse pandémie) conçus pour la détection de l’ARN du 2019-nCoV ont été testés avec des stocks caractérisés d’ARN complet transcrit in vitro (gène N; accession GenBank*² : MN908947.2) de titre connu (copies d’ARN/µL) injectés dans un diluant composé d’une suspension de cellules humaines A549 et d’un milieu de transport viral (VTM) pour imiter l’échantillon clinique. Autrement dit, il a été inventé des séquences génétiques synthétiques, sorte de soupe entièrement fabriquée en laboratoire, la communication (propagande) institutionnelle disant que ces séquences étaient proches de la séquence du SRAS-CoV-2 ! Aussi est-il évident que ces tests ne donnent pas de résultats fiables.

C'est la raison pour laquelle toutes les sociétés vendant de tels produits dits "isolés" comme BEI Resources (Biodefense and Emerging Infections Research Resources Repository), qui est la principale source de réactifs, d'outils et d'informations pour l'étude de la biodéfense et des infections émergentes, l'admettent par des avertissements étranges tels que "ce produit ne convient pas comme préparation d’antigène de cellule entière car la teneur en protéines est largement fournie par la cellule hôte et le fœtus bovin". Elles ne peuvent en effet produire aucune garantie ou représentation quant à l'exactitude du produit dans sa raison d'être telle que promue au grand public. Elles rajoutent qui plus est que les citations de la littérature scientifique et des brevets sont uniquement fournies à titre informatif...

Il en découle que sans matériel de référence physique à utiliser pour l’étalonnage et la confirmation, le test n’a aucune base scientifique dans la réalité physique. Toutes les analyses PCR basées sur ce protocole sont de ce fait frauduleuses, signalant des personnes comme "positives" au Covid alors qu’elles possèdent simplement de minuscules quantités de fragments d’ARN d’autres souches de coronavirus circulant dans leur sang.

En substance, l’establishment médical a simplement pris toutes les personnes qui auraient normalement été diagnostiquées avec des rhumes et des grippes, et les a déplacées dans la catégorie "COVID" afin de pousser un récit d’hystérie de masse COVID qui pousserait les gens à se faire vacciner. Les vaccins ont été formulés avec des nanoparticules toxiques à base de protéines de pointe pour provoquer la vague de panique "delta", qui se produit en grande partie chez les personnes inoculées. Ces analyses PCR n'ont d'autre but que de fournir le carburant nécessaire pour entretenir l’hystérie de masse, sans occulter le fait que les médicaments et les produits chimiques qu'ils contiennent peuvent priver les cellules de nutriments vitaux, cette privation pouvant les tuer...

Qui plus est, les écouvillons nasaux des tests PCR sont en réalité des armes qui contiennent de l’hydrogel DARPA, un composé notamment d’oxyde d’éthylène développé par l’Intelligence militaire. Car ces cotons qui viennent de Chine ne sont pas véritablement en coton, mais composés de fibres de nylon et d’oxyde d’éthylène qui est un poison pour le corps humain. Lorsque le "coton" du PCR pénètre la muqueuse à 30°, il se passe une réaction chimique car l’oxyde d’éthylène bout à 10,4°. Ceci explique pourquoi c’est si douloureux, l’oxyde d’éthylène qui fond littéralement dans les muqueuses créant des ulcères au fond de la barrière rhino-pharyngée. Il en découle de nombreux dégâts.

Qui plus est, ces hydrogels sont des nanomachines souples et flexibles qui sont injectées sous la peau pour effectuer une surveillance. En effet, l'hydrogel comprend une molécule spécialement conçue qui envoie un signal fluorescent à l’extérieur du corps lorsqu’il commence à combattre l’infection. Ce signal peut ensuite être détecté par un capteur fixé à la peau qui peut ensuite être envoyé à une application ou même au site web d’un médecin.

* Document disponible sur le site FDA.gov, intitulé "CDC 2019-Novel Coronavirus" (2019-nCoV).

La séquence GenBank n’est qu’une définition de bibliothèque numérique étiquetée "COVID", qui n’a pas non plus de matériaux de référence dans la réalité physique.

 

C'est pourquoi, à l'aune de l'Histoire, nul ne devrait être poussé à recevoir des vaccins à charge protéique et ARNm, ceux-ci ayant pour conséquence de modifier ses gènes afin de produire des protéines et des prions qui imitent des virus mortels dans leurs conséquences. Il en résulte que le "vaccin" est soit inefficace au point d’entraîner le décès du patient, voire qu'il est l’une des causes ou un facteur d’aggravation, tout ceci étant alors appelé à être classé dans ce qui s’appellent les échecs vaccinaux graves. Il est à rappeler que le virus Covid-19 s’attaque principalement aux individus "déficients", dont le système immunitaire est dysfonctionnel et affaibli par les médicaments prescrits, l’eau fluorée, le mercure dans les vaccins contre la grippe et les aliments génétiquement modifiés chargés de pesticides, hautement transformés et sans valeur nutritive (principalement tous les aliments conventionnels qui ne sont pas biologiques). Il en découle que le corps de ces mêmes personnes est compromis alors qu’il lutte contre le cancer, le diabète, les maladies cardiaques et la démence. Pourtant, l'immunité naturelle offre exponentiellement plus de protection que les vaccins tel que le souligne parmi d'autres Martin Kulldorff, Professeur de la Harvard Medical School, signifiant tout simplement que les passeports vaccinaux sont à la fois non scientifiques et discriminatoires...

 

Alors, quitte à être traité de complotiste dangereux par les nervis communicants et les médecins promoteurs de vaccins qui sont dans une sorte de transe contrôlée par leur esprit sous emprise, est-il si déraisonnable de penser que ce virus créé en laboratoire en utilisant le "gain de fonction" afin qu’une maladie dont les chauves-souris sont porteuses puisse devenir contagieuse pour les humains et infecter les poumons, ce qui n'est plus guère contestable, l'ait été entre autres pour éliminer les faibles, les "inutiles", les parasites, comme le fit le régime nazi il y a quelques décennies pour se débarrasser des faibles, des pauvres et autres "handicapés" avec des produits chimiques* comme avec des vaccins, soit la lie de l'humanité qui ne méritait pas à ses yeux le droit à la vie. La réalité dans cette sordide répétition est que le virus, ses variants (Delta, Delta Plus, etc.) compte-tenu de sa fréquente mutation en de nouvelles souches plus virulentes, et les vaccins contre lesquelles ils sont inutiles, ont été conçus pour éliminer les faibles en seulement quelques années. C’est une autre marche lente et prudente de prisonniers à laquelle on assiste, non vers les chambres à gaz, mais vers les centres de vaccination, pour la rééducation de leurs cellules destinées à rendre le corps cancéreux tout en bouchant lentement les artères par le sang contaminé. Au final, soit l'être humain devient fou, soit il meurt d’une crise cardiaque ou d’un accident vasculaire cérébral.

C'est cette connaissance de l'histoire et de ses tragiques répétitions qui conduit ces nouveaux "lépreux" ou cagots nommés antivax à deviner ce que signifie ce nouveau bal des maudits utilisant des armes biologiques déguisées en inoculations. Ils sont comme les Juifs d'alors, des boucs émissaires "indignes de vivre" et condamnés à être blâmés et ostracisés. Et comme signature ironique de cette diabolique tartufferie, Israël, pays le plus avancé dans la vaccination de masse (au même titre que Singapour par exemple), en découvre tous les jours un peu plus sur les effets indésirables et non désirés de cette vaccination basée sur une technologie ARNm*².

Seule différence, de taille, ils furent jadis quelques six millions à être sacrifiés. Ils sont aujourd'hui plusieurs centaines de millions à l'échelle planétaire...

* La mort-aux-rats, qui contient certains des mêmes ingrédients que les médicaments anticoagulants d’aujourd’hui, a été utilisée dans les chambres à gaz de l’Holocauste, tout comme le pesticide à base de cyanure "Zyklon B", nom des granulés insecticides que les gardes nazis jetaient dans les puits d’aération des chambres à gaz. Il était également utilisé pour tuer les insectes et les rats, surnom donné à tous les Juifs pour les rabaisser et leur faire croire qu’ils n’avaient aucune valeur.

Des chercheurs israéliens associés au département d’hématologie du centre médical Shamir ont ainsi souligné fin juin 2021 un lien entre le vaccin Pfizer Covid-19 et une "maladie auto-immune rare" mortelle à 90 % sans diagnostic et traitement très précoce.

Cf. en complément Conscience du XXI° siècle.

 

Israël, laboratoire expérimental

Un pays a un "train d’avance" sur tous les autres, Israël, qui a été le premier pays à vacciner en masse sa population début 2021, à instaurer un pass sanitaire (le "green pass") conditionné à la vaccination dès mars 2021, et à entamer une campagne de 3ème dose obligatoire depuis septembre 2021 pour conserver le bénéfice du pass. L’évolution de ce pays lancé à toute allure dans une désespérante course en avant vaccinale nous a dans le même temps appris que les vaccins anti-Covid n’empêchaient ni le virus de circuler, ni les patients de développer des formes graves de la maladie.

Et pourtant, le Dr Arnon Afek, membre du comité de conseil vaccinal associé au ministère de la santé israélien, a déclaré en décembre 2021 que "Ceux qui pensent que nous n’aurons pas besoin de doses de rappel supplémentaires se trompent. Nous aurons besoin de la 4ème dose, de la 5ème dose, de la 6ème dose, de la 7ème dose." Ce médecin, directeur du plus grand hôpital d’Israël, envisageait ces doses de rappel comme une muraille pour se protéger des variants qui ne manqueront pas d’apparaître, selon lui, dans les pays africains, peu vaccinés. C'est le projet d’une vaccination sans fin qui se dessine de plus en plus nettement en Israël, l’argument "africain" étant est tout à fait adaptable à la France et à l’Europe (ainsi le premier mort étiqueté variant Omicron annoncé en grande pompe en Angleterre voit les conditions réunies pour relancer la grande machine anxiogène, terreau nécessaire à l’incitation massive à la 3ème dose). 

Qui plus est, l'actuel Premier ministre israélien Benjamin Netanyahou a reconnu début 2023 dans une interview avec le philosophe Dr Jordan Peterson la façon dont il a fait pression sur Albert Bourla, PDG de Pfizer, pour que la "Terre Sainte" devienne un "laboratoire pour Pfizer" afin de diffuser ses "vaccins" Covid, la raison étant qu'Israël possède une base de données une base de données médicales (98% de la population a un dossier médical numérisé et une petite carte). Cette technologie des dossiers médicaux permettait en effet de forcer les Israéliens à se faire vacciner dans la mesure où elle permet un accès rapide et facile à leur statut de "vacciné" ou de "non-vacciné". C’est ainsi que le système de "passeport" vaccinal de l’État du Moyen-Orient a été rendu possible. La prochaine étape prévue est que Big Pharma "exécute des algorithmes" à partir de la base de données médicales d’Israël afin de créer une base de données génétiques couvrant l’ensemble de la population du pays, les réfractaires pouvant être soudoyés avec de l’argent. Ceci, parfaitement avéré, a bien sûr été démenti par le ministère de la Santé...

La réalité est que les vaccins anti-Covid ont une efficacité nulle en termes de contagion et de contamination, leur efficacité fragile et temporaire en termes de protection des formes graves étant un cas de figure inédit en épidémiologie et immunologie*. En médecine, un produit pharmaceutique que l’on est contraint de prendre régulièrement pour éviter ou contenir les effets d’une maladie s’appelle un traitement, qu’il se prenne par voie orale, sous-cutanée ou autre  (ainsi le diabétique qui doit s’injecter quotidiennement de l’insuline, le malade du sida en trithérapie pour combattre les effets du VIH, le patient auquel son médecin a prescrit des statines dans l’objectif de faire baisser son cholestérol...). Et l'on prescrit un traitement à un malade, tandis qu’un vaccin est, lui, injecté pour éviter de tomber malade. Ceci entend que les personnes vaccinées qui cèdent à l’injonction de la troisième dose, puis après elle de la quatrième, puis de la cinquième, de la sixième, septième… acceptent d’être considérées par leurs dirigeants non comme des citoyens mais comme des malades à mettre sous traitement, y compris les enfants et adolescents !

Notre société est bel et malade, non du Covid, mais malade psychiquement et spirituellement. C'est ainsi que le ministère israélien de la Santé (MOH - Ministry of Health), alerté en juin 2022 par des chercheurs sur l'importance des effets secondaires graves et à long terme associés au vaccin COVID-19 de Pfizer (irrégularités menstruelles et divers effets secondaires neurologiques, des lésions musculo-squelettiques, des problèmes gastro-intestinaux, effets indésirables rénaux et urinaires), n'ont pas hésité à déclarer en août que ces effets secondaires graves étaient "rares" et à court terme. Qui plus est, il n’a pas divulgué les conclusions des chercheurs au comité d’experts qui s’est réuni plus tard ce mois-là pour décider de recommander le vaccin aux enfants de moins de 5 ans, ni aux dirigeants du programme israélien de rappel du vaccin COVID- 19. Or, le directeur exécutif de la Vaccine Safety Research Foundation s'est officiellement demandé : "Pourquoi n’ont-ils pas publié la présentation originale faite par l’équipe de sécurité ? Il doit y avoir une enquête dès que possible sur ce qui s’est passé, mais le chef du ministère de la Santé, Nitzan Horowitz, n’en demande pas", rajoutant que "Le principe de précaution de la médecine exige désormais un arrêt immédiat du programme de vaccination COVID"... Il a terminé par ces propos sans ambages : "Cela suggère qu’il y a une corruption généralisée dans la communauté médicale, les agences gouvernementales, parmi les responsables de la santé publique, les médias grand public et les entreprises de médias sociaux dans le monde entier" et "ils ne reconnaîtront aucun événement qui va à l’encontre du récit grand public."

Il s’agit bel et bien d’un niveau de corruption sans précédent pour le gouvernement israélien, passé comme actuel.

La réalité est que les seules personnes touchées par le nouveau variant du virus nommé Omicron sont les personnes "entièrement vaccinées", neuf des dix décès dus au "covid" depuis le mois d’août 2021 étant des décès de personnes entièrement vaccinées, ce qui signifie que presque aucune personne non vaccinée ne meurt après avoir été testée "positive". À l’heure actuelle, la seule pandémie qui existe est celle qui se propage parmi les personnes qui ont été vaccinées, les données officielles du gouvernement le démontrant. Les données sont claires : se faire vacciner augmente massivement le risque de décès ! Quant aux hospitalisations, très peu de personnes non vaccinées doivent se rendre à l’hôpital car leurs symptômes sont légers ou inexistants. On ne peut pas en dire autant des personnes entièrement vaccinées, qui inondent les hôpitaux à un rythme croissant.

 

Il est cependant à comprendre que, puisqu'ils sont tenus de respecter la juridiction pénale internationale de Nuremberg* telle qu'érigée au sortir de la seconde guerre mondiale, aucun gouvernement n'a jamais imposé de loi pour contenir la propagation de la Covid, se contentant de publier des recommandations, des amendements, des arrêtés et des règlements sanitaires, d'autant que cette épidémie qualifiée faussement de pandémie - il s'agit plutôt d'une "plandémie" - finira par être reconnue comme attaque ou attentat délibéré contre l'humanité. Cette juridiction pénale stipule dans ses dispositions que selon le principe de précaution médicale, le principe, par défaut, de la vaccination doit relever de recommandations et non d'obligations, et que c'est le rôle du parlement que de protéger les droits des citoyens en dehors de toute querelle médicale et en l'absence de péril, celui-ci devant être dûment démontré*².

Ce texte se rajoute à une longue liste allant en ce sens sur le plan national : l'Article 3 de la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme qui stipule que "Tout individu a le droit à la vie, à la liberté et à la sureté de sa personne", le Code Civil qui stipule "Nous avons tous le droit à l’intégrité physique, c’est à dire le droit de décider ce que nous voulons faire de notre corps" (Art.2-94653 du 29/07/1994), le code de Santé Publique qui stipule "Toute obligation est annulée d’office par la loi du 04/03/2002 (Art.11 modifié par l’Art. L-1-111-4 du chapitre 1er de la première partie du code de Santé Publique)" et "Aucun acte médical ni traitement quel qu’il soit ne peut être pratiqué ou administré sans le CONSENTEMENT ECLAIRE de la personne", le Code de déontologie médicale (Art.36) qui stipule que "tout acte médical requiert le consentement LIBRE et éclairé des personnes. Les praticiens doivent être en mesure de fournir aux patients une information LOYALE claire et exhaustive sur les risques majeurs et la plus complète possible sur les risques légers. Cette information a pour but de permettre aux patients le DROIT de refuser la vaccination proposée en estimant que les risques puissent être SUPERIEURS aux bénéfices escomptés".

Il en résulte que le consentement volontaire du sujet humain est absolument essentiel, d'autant plus qu'il s'agit de "vaccins" expérimentaux (des thérapies géniques) qui sont loin d’avoir terminé leurs phases d’expérimentation, et ce sans intervention de quelque élément de force, de fraude, de contrainte, de supercherie, de duperie ou d'autres formes sournoises de contrainte ou de coercition, l'individu devant avoir une connaissance et une compréhension suffisantes de ce que cela implique afin de prendre une décision éclairée. Une telle obligation serait qui plus est illégale avant l'échéance de la phase expérimentale, de la même façon que le Code pénal sur le fondement de son Article 225-1 en vigueur depuis le 20 novembre 2016 stipule que "Constitue une discrimination toute distinction opérée entre les personnes physiques sur le fondement de leur origine, de leur sexe, de leur situation de famille, de leur grossesse, de leur apparence physique, de la particulière vulnérabilité résultant de leur situation économique, apparente ou connue de son auteur, de leur patronyme, de leur lieu de résidence, de leur état de santé, de leur perte d’autonomie, de leur handicap, de leurs caractéristiques génétiques, de leurs mœurs, de leur orientation sexuelle, de leur identité de genre, de leur âge, de leurs opinions politiques, de leurs activités syndicales, de leur capacité à s’exprimer dans une langue autre que le français, de leur appartenance ou de leur non-appartenance, vraie ou supposée, à une ethnie, une Nation, une prétendue race ou une religion déterminée". Il en est de même pour toute distinction opérée entre les personnes morales. Qui plus est, le très récent règlement européen adopté le 14 juin 2021 (Règlement 2021/953 du 14/6/2021) prévoit notamment qu’il y a lieu "d’empêcher toute discrimination directe ou indirecte à l’encontre des personnes qui ne sont pas vaccinées, quelle qu’en soit la raison, y compris lorsque ces personnes ne souhaitent pas se soumettre à ces injections"...

Quant au projet de pass vaccinal, qui obligera à se soumettre aux nombre de doses et produits que le gouvernement jugera utiles sans consulter le citoyen (celui-ci portera le risque que ces injections n’aient pas de limite de durée), qui permettra que ses données médicales soient consultées par le gouvernement et la police, qui conditionnera l'accès à une vie sociale normale (liberté de circuler, liberté d’accès à des bars, restaurants, services publics), et qui instaurera un outil de surveillance permanente sur ses données de santé, il va à l'encontre de l'article R.4127-36 du code de la santé publique pourtant très clair : "Le consentement de la personne examinée ou soignée doit être recherché dans tous les cas." et "Lorsque le malade, en état d'exprimer sa volonté, refuse les investigations ou le traitement proposés, le médecin doit respecter ce refus après avoir informé le malade de ses conséquences."

* La juridiction du Tribunal militaire international qui a siégé à Nuremberg (alors en zone d'occupation américaine) afin de juger les crimes commis par les dirigeants du Troisième Reich nazi se basait sur l'accord de Londres signé le 8 août 1945 par les gouvernements des États-Unis d'Amérique, du Royaume-Uni de Grande-Bretagne et d'Irlande du Nord, de l'Union des républiques socialistes soviétiques et par le gouvernement provisoire de la République française. L'héritage de Nuremberg se perpétue aujourd'hui au sein de la Cour pénale internationale, la CPI, basée à La Haye aux Pays-Bas.

La campagne vaccinale mise en œuvre par les autorités institutionnelles est constitutive de façon irréfragable d'une expérimentation médicale, dans la mesure où son caractère novateur conduit à ce que strictement personne ne puisse en connaître les conséquences pour les populations qui seraient sujets de cette expérimentation. Qui plus est, il est largement documenté scientifiquement que nombre de vaccins produisent de multiples effets secondaires et des accidents vaccinaux handicapants ou mortels.

 

Toutefois, la question de la valeur juridique supérieure à celle du droit national de la santé constitue pour ces autorités l'apparent paravent pour l'imposition forcée de la vaccination, les principes éthiques recommandés par le Code de Nuremberg ne constituant pas à leurs yeux un texte de loi à proprement parler, seulement des principes sortis de la jurisprudence sur les crimes contre l’humanité, expliquant ainsi qu'il ne fasse partie d’aucun corpus de règles juridiquement contraignantes en droit international. Mais la valeur éthique du code de Nuremberg, entendant la protection des droits de l’homme et de la dignité de l’être humain à l’égard des applications de la biologie et de la médecine, a été confortée en tant que valeur juridique internationale et de ce fait opposable aux Etats lors de la conférence d’Oviedo par son texte supranational. Entrée en vigueur en 1999, elle s'applique aux vingt-neuf pays qui l’ont ratifiée, dont font partie la plupart des pays européens et les grandes puissances occidentales.

Quant à la Cour européenne des droits de l'Homme (CEDH), elle a précisé le 09 juillet 2002 que la vaccination obligatoire en tant que traitement médical NON VOLONTAIRE constituait une ingérence dans le respect de la vie privée et familiale garanti par l’article 8. Et si dans son avis d'avril 2021 elle estimait que la vaccination obligatoire des enfants contre les maladies type diphtérie, tétanos, poliomyélite... ne constitue pas une violation des dispositions de la Convention européenne des droits de l'Homme sur le "droit au respect de la vie privée", tout comme elle a rejeté le 24 août 2021 la requête de 672 pompiers professionnels et volontaires contre l’obligation vaccinale contre le Covid-19 en France estimant que "ces demandes étaient hors du champ d’application de l’article 39 de son règlement", elle a pour autant adopté l’interdiction de "l’obligation vaccinale" dans un arrêt de janvier 2021 (résolution 2361/2021), jugeant entre autres que personne ne peut être vacciné contre sa volonté, ni sous la pression, ni subir de discrimination. Toutefois, son arrêt n'est qu'une résolution, qui ne s'impose pas aux Etats.

 

En l'état du droit français comme international, le consentement libre et éclairé de chaque citoyen est bel et bien exigé dans l'esprit, justifiant toutes les voies de recours pour des essais cliniques de phase 3 non terminés, des critères d’octroi de l’autorisation à durée limitée non respectés, le manque de transparence des accords entre les gouvernements et les entreprises pharmaceutiques*, des effets secondaires à moyen et long terme non connus, des effets indésirables non insuffisamment annoncés et néanmoins très préoccupants, l'absence de suivi des personnes vaccinées (rapport de tout événement inattendu concernant la santé, visites de contrôle, examens complémentaires) - des études grandeur nature sans suivi sont illégales -, le consentement éclairé non appliqué, le non recours à d’autres voies de traitement précoce et bon marché, ainsi que le bafouement de la démocratie et de la constitution entraînant discriminations et absence de débat ouvert !

* Seuls 45% des essais ont été publiés, dont beaucoup par simple communiqué de presse; 88% des essais n’ont pas de protocole à disposition du public, aucun moyen de connaître les conditions dans lesquelles ils ont été menés n'étant possible; seuls 7% des contrats ont été publiés par les canaux officiels, la plupart comportant des pages entières caviardées qui masquent des informations d’intérêt public cruciales; existence de grandes disparités dans le prix payé, souvent au détriment des pays en développement.

 

C'est pourquoi, sous l'impulsion de l’avocat allemand Reiner Fuellmich, avocat expérimenté exerçant aux barreaux d’Allemagne et des États-Unis, et à partir des enquêtes de son groupe d'étude - le Comité Corona, rebaptisé depuis "Commission d'enquêtes de Crimes Internationaux" (ICIC) - sur les violations du droit international en matière de coercition vaccinale et de réalisation d’expériences médicales sur la population (Cf. site Web Corona-Ausschuss.de) qui a d'ores et déjà entendu environ cent-vingt témoins du monde entier, le vent pourrait tourner par un procès basé sur la loi naturelle dans la mesure où aucun tribunal du système actuel n'est à même d'entendre les preuves réelles observées. Lancé le 5 février 2022, il a pour finalité d'amener les responsables de la coercition et des décès liés au vaccin à être exposés et tenus responsables de leurs actes* par le biais de cette procédure judiciaire mondiale, un peu comme les procès de Nuremberg, même si cette action en justice comme d'autres se heurteront inévitablement au degré de corruption des tribunaux de nombre de pays occidentaux, et non des moindres...

Appelée procédure du Grand Jury, celui-ci étant composé de citoyens du monde entier*² (il s'agit d'un Tribunal populaire de l’opinion publique) avec l’aide d’un grand nombre de scientifiques et d’experts hautement respectés du monde entier, et placé sous les auspices d’un juge du Portugal, elle est également destinée à servir de modèle de référence pour présenter toutes les preuves disponibles à ce jour des crimes Covid-19 contre l’humanité à l’encontre des dirigeants, organisateurs, instigateurs et complices qui ont aidé, encouragé ou participé activement à la formulation et à l’exécution de ce plan commun pour une soi-disant pandémie, ceux-ci étant sous l’influence de structures corrompues et de puissances criminelles. Il s'agit ni plus ni moins d'exposer leur entente pour délibérément créer une panique de masse soutenue par de fausses déclarations de faits, dont les messages ont été transmis et relayés par le biais des médias corporatifs, et pour persuader la population d’accepter de soi-disant "vaccins" qui se sont au final avérés ni efficaces et ni sûrs, mais extrêmement dangereux, voire mortels. Les dommages économiques, sociaux et sanitaires en résultant peuvent quant à eux être mesurés en quadrillions de dollars.

Il ne s'agit en effet pour ce Comité que le plus grand transfert d’actifs de toute l’histoire moderne, depuis la classe moyenne et la petite bourgeoisie vers une poignée d’oligarques, privant les peuples de leur souveraineté au sein d'Etats de droit. Cette oligarchie aurait dû être rayée de la carte dès 2008 eu égard à ses agissements délictuels lors de la crise dite des subprimes. Mais elle a survécu et récidivé, en pire !

* Le corpus de preuves constitué établit notamment l’inutilité flagrante du test virologique nasopharyngé "PCR" détourné de sa fonction d’origine, ayant contribué entre autres à fomenter la légende d’une nouvelle armée de malades qui s’ignorent, les asymptomatiques, et ce afin de pouvoir injecter des substances expérimentales dans la population générale. Par ailleurs, les injections nommées anti-covid sont entièrement financées par le contribuable avec un coût net de zéro pour les laboratoires, l’objectif présumé étant celui d’une diminution de la population, tout en faisant payer la note par les victimes elles-mêmes (cette thèse est défendue au regard des liens notoires qui existent entre la "United Kingdom Eugenics Society (Galton Institute)" et les promoteurs de la campagne d’injections.

Les membres du Grand-jury sont Virginie de Araujo Recchia (avocate, France), Rui Fonseca E Castro (avocat au Portugal), Claire Deeks (avocat en Nouvelle-Zélande), Viviane Fischer (avocat en Allemagne), le Dr. Reiner Fuellmich (avocat en Allemagne), N. Ana Garner (avocate, États-Unis), le Dr. Renate Holzeisen (avocate, Italie), Tony Nikolic (avocat, Australie), Dipali Ojha (avocate, Inde), Dexter L-J. Ryneveldt (avocat, Afrique du Sud), Deana Sacks (avocat, États-Unis), Michael Swinwood (avocat, Canada). Cf. www.grand-jury.net contact@grand-jury.net.

 

Révélation du complot mondialiste par le grand jury

Le résumé en français de 85 pages des travaux du Grand Jury sous l'égide de l'avocat Reiner Fuellmich établit précisément dans le lien ci-après les processus de peur et de contrôle de l’opinion mis en oeuvre : https://cogiito.com/wp-content/uploads/2022/07/GrandJury2Fr.pdf.

 

Terrorisme d'Etat

Me Virginie de Araujo Recchia, avocate au barreau de Paris, a rendu public en 2020 un rapport intitulé "Dictature 2020", accusant le pouvoir de "terrorisme d’État, atteinte aux intérêts fondamentaux de la nation et crime contre l’humanité". Elle a également déposé plainte contre les parlementaires ayant voté la loi du 5 août contraignant des millions de professionnels à se faire injecter le produit expérimental appelé abusivement "vaccin", ainsi que déposé pour le compte des associations Bon Sens et AIMSIB (Association Internationale pour une Médecine Scientifique Indépendante et Bienveillante) une plainte auprès de la Cour de Justice de la République contre le premier ministre français Jean Castex et les ministres Olivier Véran et Jean-Michel Blanquer. Elle avait également déposé plusieurs plaintes contre X visant les directeurs de publication de médias de presse écrite et audiovisuels, ou contre les membres de la commission mixte paritaire ayant validé le passe vaccinal. Elle travaillait sur une plainte visant des partis politiques et les agissements de certains de leurs membres.

Pour avoir dénoncé les atteintes manifestes aux libertés fondamentales et aux droits de l'homme, et ce de manière sourcée et factuelle, elle a été placée en garde à vue le 22 mars 2022 dans les locaux de la DGSE, la "direction générale de la Sécurité extérieure", qui est le service de renseignement de la France depuis 1982, autrement dit en charge du contre-espionnage (lutte contre l'espionnage et le terrorisme)*. Sa garde à vue a été de 3 jours.

Il s'agit ni plus ni moins que d'une procédure d'intimidation "moyen-âgeuse" à l'encontre d'une profession indispensable au bon fonctionnement de la démocratie*² (quand elle est pratiquée par des professionnels dignes car non tordus) pour avoir franchi une ligne rouge impardonnable, celle de procédés non démocratiques à l'initiative d'autorités clairement illégitimes dans l'exercice républicain de leurs prérogatives. Faisant suite aux manifestations des gilets jaunes qui selon un rapport d'Amnesty avaient fait plus 2500 blessés des deux côtés, la question est : A qui désormais le tour ?

* Se sont présentés à 6 heures du matin à son domicile outre les forces de l’ordre de la DGSI deux juges d’instruction, la greffière et une représentante du Bâtonnier du Barreau de Paris.

 Il en est de même pour des médecins poursuivis par l’Ordre des médecins pour des raisons de plus en plus futiles, les dossiers étant toujours montés à charge.

 

Allocution de Monsieur le député Ano Turtiainen au Parlement finlandais le le 9 juin 2021 à Helsinki

"Honorable Président, le rapport de la commission mentionne un large éventail de défis réels pour la sécurité de la Finlande. J’ai dit ici à plusieurs reprises qu’il s’agissait d’une expérience humaine en violation du code Nuremberg, les Finlandais n’ont pas été informés qu’il s’agissait d’une expérience humaine. Désormais avec ce discours, je vous ai tous prévenus, ainsi que les médias, qu’il s’agit bien d’une expérience humaine et que ses résultats sont terribles. En comparaison, l’expérience ratée du vaccin Pandemrix a été arrêtée avec 32 fois moins d’effets secondaires que ce que nous avons à présent. Alors, je vous demande à tous : combien de personnes doivent encore mourir ou être blessées avant que nous n’arrêtions ce massacre ? Chers collègues, vous êtes désormais conscients de la menace extrême et grave qui pèse sur la sécurité de notre nation, et que les inconvénients des injections sont plus importants que les avantages. Vous n’avez plus de raison de ne pas agir pour sauver notre nation. Enfin si vous continuez à tromper nos citoyens, en leur racontant par exemple des contes de fées selon lesquels les vaccins sont sûrs et ont une licence de commercialisation. Vous êtes intentionnellement impliqués dans plusieurs crimes, le plus grave d’entre eux pouvant même être un génocide. Une fois de plus je vous rappelle à tous ici : un crime devient intentionnel lorsqu’il est commis en connaissance de cause. Maintenant vous êtes tous conscients, merci."

 

Enquête sur la "pire erreurs de santé publique de l’histoire"

Le changement de majorité à la chambre des représentants états-unienne en novembre 2022 a entraîné l'ouverture de la boîte à Pandore covidiste par la mise en place d'un comité de surveillance de la pandémie de COVID. Celui-ci a ainsi présenté début mars 2023 le témoignage de quatre experts en santé publique*, qui ont décrit la réponse du gouvernement américain (dont les mandats de vaccination et autres directives de santé publique telles que les fermetures d’écoles) comme "la pire erreur de santé publique de l’histoire". Il a également pointé le doigt sur les politiques entourant la recherche et le gain de fonction, appelées à d'autres révélations.

Leur travail d'analyse repose sur une approche minutieuse des faits, non partisane, avec le souci permanent de la vérité. Il met en avant moult exemples de mensonges et d'approximations, de désinformation et de politisation, tels que les mandats de vaccination imposés ignorant l’immunité naturelle, l’échec du vaccin à prévenir la transmission de la maladie, les dommages causés aux personnes âgées contraintes de séjourner dans des maisons de soins infirmiers, les restrictions des visites à l’hôpital (une violation des droits de l’homme), le port du masque imposé aux tout-petits, le rejet de la fuite du laboratoire comme un complot, ainsi que les conséquences de l’arrêt de l’apprentissage en personne et de la mise en œuvre du travail à distance, en particulier dans le secteur public.

Autant dire que la plupart des témoins ont partagé des mots critiques sur la réponse globale de la santé publique au COVID-19 et ses nombreuses erreurs tragiques, s'interrogeant sur le pourquoi d'un accord quasi universel des acteurs institutionnels (politiques, scientifiques et journalistes) sur un plan d'actions qui a échoué. Même le seul expert qui était généralement favorable à la réponse globale de santé publique, expliquant que celle-ci reposait sur des informations limitées, a reconnu qu'il savait d’après les essais que même les personnes vaccinées avaient contracté le COVID et que les vaccins produisaient des variantes... La réalité est que les décideurs se sont trompés parce qu’ils ont refusé de faire évoluer leurs positions alors que les données devenaient parfaitement claires, leur façon d'avoir géré la pandémie ayant été la pire attaque contre les pauvres, les travailleurs américains, la classe moyenne depuis la ségrégation et la guerre du Vietnam !

C'est bel et bien un château de cartes qui s’effondre maintenant, celui d'une "violation généralisée des libertés civiles" par des mandats ignorant des données scientifiques pourtant claires et aboutissant à des conséquences extrêmement négatives sur la santé publique. Pourtant, l’immunité acquise par infection est un concept scientifique depuis 430 av. J.-C. et la peste athénienne. Or, les covidistes dingos - les bureaucrates de la santé publique, les journalistes aux ordres ou corrompus, les fact-checkers trolls -, soit un petit groupe non diversifié et partageant les mêmes idées, ont considéré qu'il s'agissait d'une théorie du complot, ou quelque chose en laquelle nous ne pouvions pas faire confiance ou croire. Ils n'ont pas hésité à cette fin d'utiliser la calomnie et le dénigrement. Le résultat est que cette propagation de la désinformation a considérablement sapé la confiance du peuple dans les institutions de santé publique, ainsi que la confiance des uns envers les autres.

* Jay Bhattacharya, professeur de médecine à l’Université de Stanford ; Martin Kulldorff, professeur de médecine au Brigham and Women’s Hospital ; Marty Makary, chef de la chirurgie de greffes et professeur de chirurgie à l’Université Johns Hopkins ; Georges C. Benjamin, directeur exécutif de l’American Public Health Association.

 

La réalité est que les vaccinés ne sont plus des êtres humains puisque brevetés, les personnes injectées perdant leur statut d’être humain d’un point de vue juridique au profit d'une entité juridique privée - la personne morale qu'est la laboratoire pharmaceutique détenteur de la mise au point de la thérapie génique -, elle-même en collusion avec des Etats présumés souverains mais représentés par une entité juridique de nature privée comme c'est le cas pour la Présidence de la République française qui a été inscrite au registre du commerce le 16 janvier 1947 pour une tranche d'effectifs déclarée de 800 à 899...

Parce que le "vaccin" a modifié leur génétique avec leur libre consentement lorsqu'ils signent cet engagement préalablement à l'injection, ils ne sont plus considérés comme des êtres humains à part entière d’un point de vue juridique, mais comme des sujets d’expérimentation, autrement dit des cobayes, des esclaves tels que jadis marqués au fer par leur maître asservisseur. 

C'est ce que la Cour suprême des États-Unis a statué en juin 2013 pour ses ressortissants. Par le biais d’une vaccination ADN ou ARN modifiée par le GEN, ils sont en effet la propriété du titulaire du brevet de la vaccination modifiée par le GEN. N'étant plus "humains" mais désormais "transhumains", tous les droits de l’homme sont ainsi éliminés. Et ceci s’applique dans le monde entier, puisque les brevets sont soumis aux lois des Etats-Unis... C'est la version élaborée du crédit social chinois, dont l'unique raison d'être est de contrôler les citoyens à partir d'abord de critères de santé, avant l'établissement d’autres critères toujours plus intrusifs !

 

Du "pass et port" vaccinal, la nouvelle boîte de Pandore

La mise en place de "passeports vaccinaux" qui ont succédé aux passeports sanitaires, relativisés avec le concept de "simple pass", destinés à  empêcher la propagation du Covid-19 et de ses variants sur le sol des nations s'en prévalant, est un concept qui n’a pas que de bonnes répercussions en matière de libertés individuelles*. Si le concept se veut simple, disant que les personnes ayant reçu un vaccin "anti-Covid" peuvent avoir accès aux voyages internationaux, aux déplacements au sein d’un même pays, aux bars, aux restaurants, aux arènes sportives ou aux salles de concert, cette mesure étend les règles de confinement pour ceux qui ne l'ont pas reçu, et ce indéfiniment. C'est pourquoi cette mesure pose un grave problème d’État de droit, l'imposition de la vaccination étant difficilement compatible avec le concept de liberté individuelle, qui fait par exemple que les choix médicaux sont des choix personnels. Qui plus est, même si les gouvernements n’imposent pas le vaccin, ils ne devraient pas non plus restreindre la circulation et les libertés de ceux qui ne l’ont pas reçu. Un modèle de citoyen de seconde classe est profondément "illibéral" ! A cela se rajoute le risque de conflits frontaliers au sein de l’Union Européenne, les pays exigeant le passeport rendant impossible la poursuite de l’"idéal Schengen". Outre que l'externalisation de l’obligation de vaccination aux compagnies aériennes ne sera ni pratique ni nécessairement légale, qu’en est-il du franchissement des frontières maritimes en ferry, du franchissement d’une montagne à vélo, ou simplement de la conduite d’une voiture? Les passeports de vaccination seraient, en substance, vérifiés par des contrôles aléatoires, autrement dit des contrôles illégaux*², ceux-ci s'exposant à leur contestation compte-tenu des multiples nouvelles clauses relatives aux droits de l’homme et restrictions constitutionnelles pouvant remonter jusqu'à la Cour de justice européenne. Ceci explique le nombre de recours déposés par des collectifs d'avocats, notamment en Allemagne, décidés à traduire leurs promoteurs exégètes devant des tribunaux réellement indépendants de toute soumission étatique, à l'instar de la Common Law Court, dont l'existence et le reconnaissance officielle par les États-Nations sont bien évidemment tenues au secret, en tout cas à la discrétion...

Il ne s'agit en fait qu'une étape supplémentaire vers la fusion des technologies numériques et des systèmes biologiques. D'ailleurs, le 27 août 2021, l’Organisation Mondiale de la Santé a publié un document d’orientation pour un certificat numérique pour le statut vaccinal COVID-19. Financé par des organisations telles que la Fondation Bill Melinda Gates et la Fondation Rockefeller, il est prévu que ce système d’information numérique soit utilisé pour mettre en place un passeport vaccinal dans chaque pays, dont la mise en œuvre fait partie des 307 amendements au Règlement sanitaire international (RSI) proposés par 94 pays membres de l’OMS (ils ont été en 2022 sans confirmation du Sénat et du Parlement...). Si en apparence le certificat mondial de santé numérique est "volontaire", les autorités sont cependant en train de mettre en place l’infrastructure nécessaire pour "suivre et tracer tout le monde sur la planète". Ceci présentera bien évidemment des opportunités commerciales potentielles pour les entreprises fournisseuses concernées.

Ce programme qui sépare les personnes en fonction de leur état de santé, créant de ce fait un système d’apartheid médical et socio-économique, voit ces laissez-passer de santé à code QR émis par le gouvernement destinés à être utilisés pour lancer un programme gouvernemental autoritaire à la chinoise. En effet, grâce à l’utilisation des mégadonnées, de la technologie de reconnaissance faciale et de l’apprentissage automatique, le système chinois de crédit social surveille et régule le comportement des gens, les classant en fonction de leur "crédit social", récompensant les "bons" citoyens tout en punissant les "mauvais". Sous une gouvernance algorithmique qui impose l’obéissance et la conformité, les êtres humains sont appelés ainsi à devenir des automates, incapables de prendre des décisions indépendantes sur leurs propres actions. Cette convergence de l’identité biologique et numérique ne vise rien d'autre qu'à entraîner une transformation radicale de l’être humain ! Et, cerise sur l’indigeste gâteau, ils transfèrent bien naïvement par leur libre consentement à cette expérimentation généralisée leur souveraineté biologique première, cette thérapie génique étant brevetée par des entreprises privées (les laboratoires pharmaceutiques) en collusion avec les Etats et organisations supranationales. Autrement dit, ils renoncent à leurs droits patrimoniaux premiers (ainsi l’immobilier), étant dépossédés par ce tour de passe-passe luciférien de ce qu’ils imaginaient garantis comme propriété exclusive. Beaucoup vont désormais en faire l’amère expérience face à des juges leur renvoyant à la figure leur lâche renoncement pour avoir voulu conserver à tout prix l’illusion de leur liberté par l'injection consentie...

La réalité est qu'aujourd’hui, rien n’empêche l’État d’étendre l’application du pass à d’autres vaccins. Le plus "évident" est le vaccin contre la grippe, des projets de vaccins mixant anti-Covid et anti-grippe étant en cours de développement, notamment au sein du laboratoire américain Novavax.

Et il y a bien sûr tous les autres vaccins, du DTP aux oreillons en passant par la rougeole, et certains nouveaux-venus comme le Gardasil, ce "fameux vaccin" contre le papillomavirus. En fonction de l'année de naissance, l’intégration numérique du carnet de vaccination attestant que le citoyen est à jour de ses injections paraît ainsi hautement probable. Il en découle que ce "pass vaccinal augmenté" pourra, à terme, faire partie intégrante du projet d’identité numérique officiellement porté par l’Union Européenne. En sachant que ce projet inclut un accès "facilité" aux comptes bancaires, la fusion des deux projets (pass vaccinal et identité numérique) pourrait conduire au gel des avoirs en cas de non mise à jour de ses injections !

C'est la raison pour laquelle l'instauration inéluctable de ce passeport vaccinal constitue bel et bien une nouvelle boîte de Pandore, qui dans la mythologie grecque vit Zeus punir Prométhée d'avoir volé le feu aux dieux de l'astral pour le donner aux hommes, créer par Vulcain une femme dotée de nombreux dons dont l’art de la tromperie et de la séduction. Elle se nommait Pandore, signifiant en grec "dotée de tous les dons", finissant malgré l'interdit par ouvrir la jarre remise le jour de son mariage avec Epiméthée, le frère de Prométhée, dans laquelle se trouvaient tous les maux de l’humanité. Il ne resta seulement au fond du récipient que l'espérance, ne permettant même pas aux hommes de supporter les malheurs qui s’abattirent par myriades sur eux...

* L'instauration de ce traçage "sanitaire" généralisé par l’extravagante loi de gestion de la sortie de crise sanitaire, dont l’objet est en réalité de pérenniser des mesures adoptés durant la crise bien au-delà de la crise elle-même, a même outrepassé l'avis du fameux Conseil Scientifique pourtant ferme quant aux mesures drastiques imposées jusqu'alors, le ministre de la Santé expliquant que la conservation des données (anonymisées, selon lui) permettra et servira à lutter contre d’autres pandémies. Ce rouleau compresseur qui balaie toutes les oppositions, même celles du parti majoritaire, est ainsi conforme aux attentes du "Great Reset" de Klaus Schwab. Une coïncidence, sans doute !

Les contrôles de cartes d’identité ne sont déjà pas légaux dans tous les États membres de l’UE, car les forces de l’ordre ont besoin d’un soupçon raisonnable pour demander une carte d’identité. Seules la Hongrie (disposition ayant expiré le 28 janvier 2021), le Danemark, la Norvège et la Finlande ont exigé des dérogations formelles à l’accord de Schengen.

 

Et la suite ? (1)

Afin d’éviter une nouvelle pandémie, l’Organisation mondiale de la santé (OMS) a déclaré en décembre 2021 lors de son Assemblée mondiale de la santé (AMS) souhaiter créer un "traité international sur les pandémies" qui contraindrait ses 194 pays membres à appliquer la loi martiale médicale, autrement dit à renoncer à leur souveraineté nationale, y compris à tous les droits civils et sanitaires. Ce traité serait basé sur un instrument juridique international déjà existant, le Règlement sanitaire international (2005), également connu sous le nom de RSI, dont l'objectif est de "Prévenir la propagation internationale des maladies, s’en protéger, la maîtriser et y apporter une réponse de santé publique, selon des modalités qui soient proportionnées et limitées aux risques pour la santé publique, et qui évitent toute entrave inutile au trafic et au commerce internationaux."

Il en découlerait que dans le cas où une autre arme biologique mortelle serait libérée par l’un des laboratoires d’armes biologiques - par exemple en Ukraine -, l’OMS disposerait d’un pouvoir bien plus autoritaire pour tyranniser les gens pour leur propre "sécurité". Et comme la prochaine "plandémie" sera encore plus brutale que la dernière... Cette décision a, en fait, été adoptée comme prévu, et en vertu de l’article 19 de la Constitution de l’OMS, sera applicable en... 2024. A noter que cette session spéciale de l’AMS n’était que la deuxième à avoir lieu depuis 1948, année de sa fondation. La "grippe de Fauci", autrement dit la Covid-19, semble n’avoir été qu’un test. 

L'OMS dans le cadre de l'article 19 de sa constitution qui "[confère] à l'Assemblée mondiale de la santé le pouvoir d'adopter des conventions et des règlements" a également a confié à T-Systems*, filiale de Deutsche Telekom basée en Allemagne (c'est la plus grande société allemande et européenne de télécommunications), le développement d'un système de passeport vaccinal mondial doté d'un code d'identification numérique QR, et ce malgré la menace minuscule que représentent les nouvelles variantes et l'efficacité douteuse des vaccins. Sa justification est que ce système mondial de passeport est vital pour toutes les urgences sanitaires futures, et pas seulement pour le COVID. Ce passeport vaccinal mondial soulève bien évidemment des problèmes de sécurité nationale dans la mesure où l'OMS et ses bailleurs de fonds auraient accès à ces "enregistrements à domicile". Qui plus est, le traité permettrait également à l'OMS de déterminer ce qu'est une pandémie et quand elle se produit, même dans le cas d'une maladie non virale comme une crise d'obésité. En conséquence, cela lui donnerait l'autorité de prendre le contrôle des systèmes de santé des Etats membres chaque fois qu'elle le jugera nécessaire, d'autant qur cette organisation peut s'appuyer sur sa Constitution qui a été signée en 1948 par tous les États membres, équivalent à la constitution de chaque pays. C’est la seule agence des Nations unies qui dispose d’une constitution ! Son article 21 est lié aux lois d’urgence sanitaire des autres pays, et c’est ce qui sera utilisé pour prendre le contrôle de tout le monde selon son directeur le Dr Tedros Adhanom Ghebreyesus.

* T-Systems a une grande expérience du développement d'applications de santé discriminatoires, puisqu'elle a travaillé à la création de l'application de traçage allemande Corona-Warn-Advoc ainsi que du passeport vaccinal européen.

 

Et la suite ? (2)

Une autre maladie effrayante appelée "monkeypox", la variole* du singe ou orthopoxvirose simienne (ses signes et symptômes comprennent des éruptions cutanées autour de la bouche ainsi qu’autour de la région génitale), a émergé progressivement en mai 2022 dans la couverture médiatique, censée se propager à partir de la centaine de cas en l'état identifiés sur la plupart des continents. Cela signifie que les pouvoirs en place se préparent à déclencher une autre série de tyrannie plandémique, qui ne manquera comme de bien entendu d’inclure un autre nouveau "vaccin" magique délivré là encore à une vitesse fulgurante. Le premier cas aux États-Unis a été signalé le 18 mai 2022, d'autres cas suspects étant dans la foulée signalés dans trois autres États (New York, la Floride et l’Utah). Si le président Joe Biden a déclaré qu’il était peu probable que des protocoles de quarantaine stricts soient mis en œuvre aux États-Unis, il a toutefois déjà passé une commande de 119 millions de dollars pour un vaccin contre la variole du singe. La Belgique, quant à elle, a instauré une quarantaine de 21 jours pour toute personne dont le test est positif, et le Royaume-Uni a demandé instamment à toute personne ayant eu un contact direct avec un cas confirmé de s’isoler volontairement pendant 21 jours, l’Organisation mondiale de la santé (OMS), activement engagée dans la recherche sur les armes biologiques, ayant lancé de son côté une réunion d’urgence au Royaume-Uni pour discuter de la prétendue menace de la variole du singe, affirmant que les "cas" de la maladie constatés sur le sol britannique devraient doubler de neuf à 18, nécessitant une intervention. Au total, les autorités commencent à stocker davantage de vaccins contre la variole, qui, selon elles, traiteront les personnes qui ont peut-être déjà été exposées à la variole du singe. 

Selon les éminents "experts", les hommes homosexuels et bisexuels sont les principaux propagateurs de la variole du singe, rappelant les années de la terreur SIDA. Elle touche essentiellement les enfants. Ils affirment en outre que le vaccin contre la variole est le seul virus non réplicatif au monde pour la variole ou la variole du singe, réduisant le risque de maladie d’une personne d’environ 85 %.

Il s'agit ni plus ni moins par cette référence à un fléau jadis redouté que du nouveau "Covid" qui fait place à la supercherie désormais avérée de son prédécesseur, rempli de mandats de masque, d’édits de distanciation sociale et de mandats de piqûre. Ce qui est vendu comme variole du singe est en fait, dans de très nombreux cas, un zona ou une varicelle, l'un des effets secondaires reconnus de la... vaccination Covid attestés par les documents du laboratoire Pfizer. Et si l'imposture du monkeypox ne prend pas, il en reste d'autres comme la vaccination contre le papillomavirus (virus du papillome humain susceptible d'infecter l'humain et de se traduire par des cancers) que la France a tenté d'établir fin février 2023 pour les collégiens, alors même que le dernier vaccin commercialisé (le Gardasil® 9) a été interdit dont nombre de pays compte-tenu de ses graves effets secondaires...

Bis repetita au royaume des dégénérés du bas astral, programmateurs hors pair de cette fin de cyclicité involutive*² !

* La variole est surnommée "petite vérole", se présentant sous l’aspect d’une dermatose pustuleuse qui peut ressembler à une forme grave de varicelle. Elle tuait un malade sur cinq (chez les adultes, près d’un malade sur trois). Quand elle ne tuait pas, elle laissait souvent un visage grêlé, marqué à vie. Elle est toujours restée hors de portée d’un traitement efficace.

Si le Monkeypox a été identifié pour la première fois en 1958 et en 1970 en République démocratique du Congo, il n’y a jamais eu d’épidémie mondiale en dehors de l’Afrique jusqu’à présent. Les cas de variole du singe sont extrêmement rares. Et ce n’est qu’en 2003 que la maladie a été signalée en dehors de l’Afrique, avec 47 cas confirmés et probables enregistrés dans six États américains.

La variole du singe sévit de ce fait essentiellement dans les forêts du centre de l’Afrique tropicale, causant des décès chez 1 % (variant ouest-africain, pas de transmission interhumaine connue jusqu’en 2018) ou 10 % (variant centre-africain, transmission interhumaine possible) des malades, la plupart chez les enfants, qui sont plus sensibles à la maladie, et les personnes immunodéprimées. Cette maladie se développe après une morsure de singe ou de petits mammifères contaminés. Cette maladie est beaucoup moins contagieuse que le COVID, mais ses effets physiques sont beaucoup plus horribles à voir.

Une BD de 2012 publiée par l’Union Européenne avait prévu cette épidémie de monkeypox, avec dans la foulée l'instauration d'un gouvernement mondial de la santé. Nommée "Infected", elle prévoyait un verrouillage mondial après la fuite de la maladie B1049 d’un centre d’essai chinois qui menait des expériences sur des agents pathogènes mortels. À l’instar de la pandémie de coronavirus, le virus fictif se transmettait de l’animal à l’homme avant de se propager rapidement à travers le monde grâce aux voyages internationaux et aux liens commerciaux. Les  responsables de la Commission, du Parlement et du Conseil de l’UE finissaient par s’attribuer le mérite d’avoir maîtrisé la maladie par leur effort de trouver un vaccin.

 

Et la suite ? (3)

Des scientifiques du Massachusetts Institute of Technology (MIT) ont mis au point une nouvelle technologie de vaccin par micro-aiguilles qui permet de créer de petits patchs de vaccin à la demande à l’aide de machines d’impression tridimensionnelle (3D). Il est d'abord prévu d’utiliser ces machines d’impression de vaccins en 3D dans le tiers-monde pour vacciner massivement les populations pauvres sans avoir recours à la réfrigération ou à d’autres méthodes traditionnelles de stockage et de transport des vaccins. Bien entendu, ces vaccins imprimés en 3D contiennent le même ARN que les injections pour prévenir le Covid-19, chaque patch contenant de l'"encre" de vaccin qui a été injectée dans des moules par un bras robotisé (une fois les moules remplis il faut 24 à 48 heures pour qu’ils sèchent), l’encre contenant des molécules d’ARN encapsulées dans des nanoparticules lipidiques qui servent à maintenir la stabilité de la solution pendant de longues périodes. Une chambre à vide est ensuite utilisée pour attirer l’encre vers les pointes individuelles, ou palissades, du patch de la taille d’un ongle de pouce qui contient des centaines de micro-aiguilles permettant au vaccin de se dissoudre sous la peau. L’objectif est de créer ces patchs vaccinaux pour toutes sortes de maladies, y compris la polio, la rougeole et la rubéole.

Avec le prototype actuel, le volume d’encre est suffisant pour produire 100 patchs en deux jours, mais les scientifiques espèrent augmenter la capacité au fil du temps. A noter que la première encre créée avec de l’ARN code est basée sur la "luciférase", une protéine fluorescente (toxique) dérivée du nom Lucifer, qui signifie... porteur de lumière ! En fait, Big Pharma veut injecter Lucifer à tout le monde en collant des patchs vaccinaux à micro-aiguilles sur le corps des gens.

 

De la propriété intellectuelle des vaccins

L’Organisation mondiale de la santé (OMS) réfléchit sur la mise en place d'un instrument de prévention, de préparation et de réponse aux pandémies afin d'y faire face. Comme la "plandémie de Covid-19" a illustré la lenteur et l'inefficacité de l'Etat alors que l’industrie privée a su donner l'impression qu'elle relevait avec succès les défis, l'organisation internationale en profite pour en justifier la mise en application. Il était pourtant clair qu’un vaccin, seul moyen réaliste et rapide de sortir durablement des confinements, nécessitait un temps de développement estimé à de nombreuses années, ce qui n'a pas été le cas, loin s'en faut..

La réalité est que la concurrence privée entre les fabricants de vaccins - les entreprises pharmaceutiques - a pris une ampleur et une rapidité sans précédent, la propriété intellectuelle sur les vaccins devenant stratégique de leurs intérêts financiers. En effet, les investisseurs et les conseils d’administration de ces entreprises doivent voir l’opportunité d’un retour sur investissement afin de couvrir les coûts immenses de la recherche médicale. Les droits de propriété intellectuelle répondent à cette attente, en créant un cadre juridique qui permet aux entreprises de créer des innovations médicales, en sachant qu’elles ne pourront pas être volées tout en permettant l'échange d'informations avec les concurrents afin d’obtenir des résultats plus rapidement*.

Le problème est celui de la lenteur des chaînes d’approvisionnement et des obstacles réglementaires et autres barrières commerciales. D'où la volonté de l'OMS de numériser les flux commerciaux entre les pays en travaillant selon un système de normes médicales mutuellement reconnues.

* L'échange d’informations est rendu possible et organisé par une protection juridique complète.

 

Bis repetita ?

Le laboratoire biologique de Wuhan (photo ci-contre), qui a été au centre de la controverse concernant la recherche sur le gain de fonction des coronavirus, semble bel et bien avoir effectué le même type de recherche sur la variole du singe, afin de la rendre plus mortelle pour l’homme. C'est ce qui ressort d'un rapport citant la revue Virologica Sinica qui a publié les résultats du laboratoire en février 2022. L’Institut de virologie de Wuhan a en effet assemblé un génome du virus de la variole du singe, permettant ainsi d’identifier le virus par des tests PCR, en utilisant une méthode que les chercheurs ont signalée comme pouvant créer un "agent pathogène contagieux". Le document reconnaît que cette méthode "appliquée à la recherche virologique pourrait également soulever des problèmes de sécurité potentiels, en particulier lorsque le produit assemblé contient un ensemble complet de matériel génétique pouvant être récupéré dans un agent pathogène contagieux".

Compte-tenu du peu d'écho de cette nouvelle manipulation, le NIH (National Institute of Health) et les CDC états-uniens (Centres pour le contrôle et la prévention des maladies) ont annoncé avec aplomb en 2023 le risque d'une épidémie "Marburg", le père ou la souche du virus Ébola (OGM), qui est détenu pourtant uniquement dans les frigos des laboratoires les plus protégés du monde et sous licence de la Fondation Bill&Melinda Gates et de l’armée des États-Unis, et la réponse d'ores et déjà préparée par le vaccin MVD qui utilise un "adénovirus de chimpanzé modifié" et "une glycoprotéine trouvée à la surface" de ce virus pour induire une réponse immunitaire. Comme par hasard, c’est pratiquement la même souche que l’on trouve dans le vaccin Moderna contre le COVID-19... Quelle surprise d’avoir un "antidote" pour un virus modifié en laboratoire en instance de libération que l’on nous fait passer pour un virus sauvage ! Qui plus est, le Marburg est un virus d’Afrique équatoriale, comme la Guinée par exemple ou la Sierra Leone, l’Europe ou les États-Unis ne présentant en aucune façon un milieu favorable à son développement... Si tout à coup nous sommes victimes d’une telle pandémie, nous pouvons être certain que le virus a été modifié pour s’adapter à notre milieu. Le Marburg sera donc comme le COVID, un virus tueur fabriqué par des assassins qui proposeront eux-même un pseudo "antidote" qui fonctionnera pour diffuser la pandémie. Dores et déjà, les mêmes laboratoires et les mêmes organisateurs pointent le bout de leur nez.

Toutes ces informations se rajoutent à plusieurs autres rapports, qui indiquent à l'unisson que les exercices et les scénarios de "jeu de guerre" de l’Organisation Mondiale de la Santé et de la Fondation Gates impliquant la variole du singe vont une fois de plus alimenter les craintes que l’épidémie puisse provenir d’un laboratoire biologique, voyant nombre de gouvernements commencer à mettre des dispositions similaires à l'épisode Covid (commande de millions de doses d’un vaccin qui protège à la fois contre la variole du singe et la variole; restrictions lors des festivals d’été et des rassemblements de masse; mesures de quarantaine pour le virus).

Il est à noter que ces virus se propagent également au moment où l’OMS se prépare à voter un traité international sur les pandémies et des amendements au Règlement sanitaire international (2005), celui-ci étant à même de donner à une organisation non élue un plus grand contrôle sur les décisions nationales en matière de soins de santé d’urgence et de nouveaux pouvoirs pour imposer des passeports vaccinaux, une surveillance mondiale et des "actions coordonnées au niveau mondial" pour lutter contre la "désinformation" chaque fois qu’elle déclare une "urgence sanitaire".

 

La mise en oeuvre généralisée de l'asservissement envisagée

Le Forum économique mondial (WEF), relayé par des transhumanistes illuminés tel le scientifique et essayiste Laurent Alexandre, a appelé en 2022 par la voix de son président nazi Klaus Schwab les gouvernements, les responsables de la santé et les "humains" du monde entier à examiner leurs arguments "rationnels" pour implanter des puces dans le cerveau des enfants. L’organisation mondialiste dégénérée insiste sur le fait que l’idée d’implanter une "puce de suivi dans votre enfant" n’est pas "effrayante", arguant qu'"ils font partie d’une évolution naturelle que les wearables* ont subie". Elle affirme que les enfants grandiront même pour voir les puces implantées comme des "accessoires" qui seront éventuellement "considérés comme un article de mode". Les parents devraient également apprendre à adopter cette technologie selon le WEF, car "de nombreux enfants s’attendent à développer des super pouvoirs" après avoir regardé des "super-héros" dans des films. Le WEF plaide également en faveur des implants de puces de suivi dans le corps humain pour aider la société à inaugurer un "meilleur nouveau monde".

A ses yeux, l’implantation de puces chez les enfants devrait être considérée par les parents comme un pas "solide et rationnel" vers l’avenir de la réalité augmentée (RA), afin de mettre l’humanité sur la voie d’une "société augmentée". Elle promeut ainsi l’utilité prétendument large des implants à puce dans des domaines tels que la santé (l’idée de remplacer les médicaments par des implants cérébraux qui manipuleront le corps avec des impulsions électriques existe depuis un certain temps), l’éducation et les milieux professionnels, décrivant la technologie comme transformatrice.

Tout en louant la manière dont une telle technologie pourrait transformer la société, le WEF soutient l’idée de fournir des lignes directrices sur la manière de réglementer "éthiquement" ce vaste pouvoir potentiel et, par conséquent, de le contrôler inévitablement. Et pour ce faire, elle avertit qu’elle a besoin "du bon soutien, de la vision et de l’audace", qui sont vraisemblablement fournies par les gouvernements mondiaux sont les élites du pouvoir des entreprises. Et si pour la plupart des individus il existe de sérieuses préoccupations concernant les droits civils, la vie privée et le concept même d’autonomie humaine, le WEF considère ces craintes comme non fondées, l’implantation de puces de suivi sur des enfants concernant simplement "une technologie qui vous soutient et améliore votre qualité de vie globale"...

* L'expression wearable entend une technologie portable ou technologie mettable, à savoir un vêtement ou un accessoire comportant des éléments informatiques et électroniques avancés. Les technologies portables incluent notamment des textiles, des lunettes, des montres connectées et des bijoux.

 

De la transparence suisse - Cliquer pour agrandir
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De la Common Law Court

Spécifique au "cyber-espace" où il se trouve, le Tribunal ou Cour Internationale de Justice de la Common Law (CIJC), "droit commun" en français, existe dans le cyber-espace au profit des hommes et des femmes de tous pays, afin de protéger leurs droits inhérents et inaliénables en tant qu'êtres souverains (ainsi la terre et la propriété) lorsque les autorités juridiques et gouvernementales existantes sapent le droit et la justice.

Fondé le 15 septembre 2012 à Bruxelles sur des principes de droit naturel en tant que branche juridique et judiciaire du Tribunal international pour les crimes contre l’Église et l’État (TICE)*, le Tribunal est une entité à but non lucratif, créée pour garantir à tous les hommes et toutes les femmes un recours légal par l’établissement de cours de justice populaires avec jury par plus de douze hommes et femmes dûment assermentés. Il est de ce fait la plus haute juridiction du pays, utilisant à ses fins la Loi Common Law maritime anglaise à caractère international, sur laquelle s’appuyaient les bases juridiques de la plupart des pays.

Ses décisions, lorsque ses membres*² désirent obtenir un recours légal, sont prises au moyen d'un procès devant jury, où un vote unanime établit une réparation légale. En effet, dans l'ensemble, le processus statutaire de l'être humain enregistré à l'état civil de son pays d'appartenance, qui est une fiction juridique attachée à l'individu par l'Etat de référence*³, ne protège pas contrairement à l'opinion commune les droits des hommes et des femmes libres et respectueux du Vivant, tendant à protéger par cette fraude du nom les intérêts acquis plutôt que l'intérêt public. C'est ce qui se nomme "Fraude du nom légal" (il s'agit en droit d'un dol), justifiant pour les abuseurs institutionnels (les grandes familles criminelles qui contrôlent les Etats) toutes les spoliations dans notre monde par tous moyens associés (fichage, surveillance, mise sous écoute, formatage, endoctrinement,…) depuis notre naissance ! C'est la raison pour laquelle tout homme ou femme ayant subi un tort, et disposant de preuves suffisantes pour le confirmer, peut convoquer ce tribunal en soulevant une réclamation légitime contre le coupable, à condition d'avoir enregistré sa date de naissance auprès de lui. Il peut aussi rester s'il le juge opportun sous le régime et les règles statutaires de son pays d'appartenance.

Toutes les décisions de la Cour de Common Law sont considérées comme irréprochables, ne pouvant être modifiées par un tribunal statutaire. La seule façon de contester une décision du tribunal de Common Law est de savoir s'il existe une preuve de falsification par le jury, ou s'il peut être établi qu'une preuve cruciale n'a pas été divulguée au jury pendant le procès. Si un tribunal statutaire devait intervenir, ne pas reconnaître ou respecter une décision du tribunal de Common Law, cela peut être un déni des droits de Common Law et un crime de Common Law contre le peuple.

* La première affaire inscrite au rôle de l’ITCCS a débuté le 6 novembre 2012, portant sur le génocide délibéré d’enfants autochtones au Canada par le Vatican, la Couronne d’Angleterre et d’autres parties. Dans son verdict final du 25 février 2013, la Cour et ses cinquante-huit jurés citoyens assermentés ont réussi à mettre en accusation et à poursuivre trente défendeurs pour avoir perpétré ou dissimulé ce génocide, avec émission de mandats d'arrêt. Parmi ces accusés figuraient le pape Benoît XVI, Joseph Ratzinger, l’ancien cardinal Tarcisio Bertone, Elizabeth Windsor, "reine d’Angleterre", et le Premier ministre canadien Stephen Harper d'alors. Dans la foulée, Benoît XVI "démissionna" de sa charge, vivant depuis cloîtré au Vatican. Cf. L'Eglise romaine décodée.

Tous les hommes et toutes les femmes peuvent accéder au tribunal de Common Law, en enregistrant leurs détails de naissance sur son site. Celui-ci a de ce fait créé une base de données internationale pour tous les hommes et femmes vivants qui, en soumettant une déclaration de naissance, confirment leur existence d'être souverain libre et non susceptible de décision inique à son encontre.

*³ C'est ainsi que La REPUBLIQUE FRANCAISE PRESIDENCE est une société de droit privé et non public, enregistré pour son siège social à Paris 08 sous le numéro 542 472 212, son numéro de Siren étant 100 000 017 00010, et soumise à la TVA intracommunautaire sous la référence FR15100000017. Cette société privée appartient selon les statuts du Council of Europe Development Bank (CEB - "Banque de développement du Conseil de l'Europe") à ce même Council, lui même enregistré à la Securities And Exchange Commission (SEC). Ce sont donc de fait des sociétés américaines, qui ont un RCS étranger au "Duns & Bradstreet", établi pour travailler avec la (FED) Federal Reserve, la banque des banques états-unienne !

Cf. en complément le site Etre-souverain.com de Giuseppe Amaniera.

 

Mis au pied de l'évidence, les médias ont fini fin 2022 par admettre que la grande majorité des individus morts du coronavirus avaient reçu au moins la première série du vaccin Covid, faisant passer la thèse mensongère soutenue jusqu'alors que les non-vaccinés étaient responsables des décès comme complotiste ! Et inévitablement, sur la base des chiffres passés et des tendances actuelles, nous pouvons raisonnablement estimer que le nombre de décès par Covid-19 vacciné/boosté ne fera qu’augmenter tout au long des prochaines années.

Les autorités sanitaires ont bel et bien menti en affirmant que les "vaccins" contre le covid étaient efficaces à plus de 90 %. Malheureusement, il y a une chance presque nulle que toute personne impliquée dans la perpétration de ce canular mondial soit un jour tenu pour responsable, du moins à l’époque actuelle, alors même que rien de tout cela n’est dû à l’échec ou à l’incompétence. Tout au contraire, ce fut intentionnel et à dessein.

Et pourtant, avec la nouvelle biotechnologie de l’ARNm prête sur l’écran de l’ordinateur pour le prochain code génétique à entrer,  les idéologues des vaccins ne peuvent pas attendre une autre pandémie pour tester la libération rapide et profiter de l’explosion des ventes de lots de vaccins aux gouvernements. Il n’est donc pas surprenant que l’Organisation Mondiale de la Santé en 2023 et le World Economic Forum en 2024 aient formalisé et approuvé ce processus de planification des futurs profits de Big Pharma, sous le nom accrocheur de "Maladie X", censée alors qu'inconnue entraîner 20 fois plus de décès que la pandémie de coronavirus… 

 

"Les droits et privilèges qui te sont concédés assurent ta sécurité et ta protection. En contrepartie, tu te soumets aux devoirs et obligations dictés par ton maître, le gouvernement, et ceux qu’il sert. Bref, tu vends ton âme pour assurer la survie de ton corps. Par le fait même, tu renonces à ton identité véritable d’être souverain. Pour sortir de l’esclavage, il te faut faire exactement le contraire, c’est-à-dire renoncer à la citoyenneté, avec tous ses droits et ses privilèges. Voilà la recette de la liberté!"

Ghislaine Saint-Pierre Lanctôt, alias Madame Ghis, médecin et conférencière québecoise engagée dans la promotion de la médecine non conventionnelle

 

"La sélection des idiots se fera toute seule : ils iront d'eux-mêmes à l'abattoir"

Jacques Attali, écrivain, chef d'entreprise, économiste et haut fonctionnaire français ("L'avenir de la vie", 1981)

 

Psychopathie élitaire

 

Si en règle générale les historiens comprennent mal les événements, c'est parce qu'ils n’incluent pas l’environnement et la psychopathologie. Ils ne prennent en compte que leurs propres illusions, celles d'une vision linéaire et technique de l'histoire. Les groupes, sociétés et nations ne sont pas perçus comme des "systèmes vivants", qui naissent, vivent, tombent malade et meurent. Ils placent trop d’importance sur des individus au détriment du contexte, individus dont les démocraties comme les systèmes totalitaires se servent pour maintenir leur pouvoir.

Or les humains ne naissent pas égaux à cause des recombinaisons de l’ADN. Des parents ayant tous deux une conscience développée peuvent donner naissance à un individu sans conscience, à cause des recombinaisons possibles. Aussi il n’y a pas de gène de la psychopathie, qui est plutôt le résultat de recombinaisons.

Certains cherchent leur propre survie au dépend de celle des autres, ou ont besoin de la souffrance d’autres pour leur satisfaction personnelle. Cette absence de conscience est expliquée par la psychopathie. De tels individus grimpent les échelons du pouvoir. Derrière les apparences de façade, ils sont dominés par leurs impulsions animales et n’ont que les émotions les plus primitives, ce qui fait que l'on ne peut pas diagnostiquer la psychopathie sur la base du comportement visible.

Cf. Fonctionnement du corps biologique & Les psychopathes qui nous gouvernent.

 

Gouvernement et citoyens, le grand malentendu

L’institution gouvernementale, surtout dans une démocratie moderne, est mal comprise. Pourquoi ? Parce qu'elle n'est en aucune façon comme appris pendant l'adolescence l'expression de "la volonté du peuple". Il y a toujours ceux qui mènent, et ceux qui suivent. Et si pour les élites les "électeurs" ont de l’influence, il est une évidence qu'ils n'en ont que très peu, à la marge. Les politiques importantes – la guerre ou la paix, les dépenses ou les économies – sont décidées par les initiés, c'est-à-dire les élites éclairées de l’establishment, qui se répartissent dans les médias, les universités, la bureaucratie, les lobbyistes, les institutions politiques. Représentant un faible pourcentage de la population, ils sont les "riches et les puissants", représentant les jolies pommes bien juteuses au sommet de la pile. Et la dernière chose qu’ils veulent, c’est que quelqu’un renverse le panier !

En d’autres termes, quoi qu’ils disent... les changements de fond sont précisément ce qu’ils refusent, et ils ne le permettront pas. Plus leur richesse et leur pouvoir en viennent à dépendre de la force brute (forces policières, gestapo, police secrète, escadrons de la mort, goulags...) ou d’une monnaie frauduleuse (planche à billets), plus la société dans son ensemble va à l’encontre de problèmes. Et comme l’Histoire le démontre depuis toujours, ils auront recours à tous les moyens – vol, "disparition" de citoyens, internement psychiatrique, torture et contrefaçon – pour s’assurer que demain ressemble autant que possible à hier. Le résultat est sans appel, par-delà les illusions et espérances naïves : c'est "Eux contre le peuple", la (mauvaise) "affaire" étant erronée, viciée, du début à la fin !

 

Le modèle pyramidal patriarcal, modèle du psychopathe élitaire
Le modèle pyramidal patriarcal, modèle du psychopathe élitaire

 

Contrairement aux idées reçues, les psychopathes grandissent souvent dans des milieux stables et aisés. Leur comportement destructeur n’est jamais visible publiquement. Ils ne vont jamais contre la loi, mais détruisent les personnes de leur entourage, émotionnellement et psychologiquement. Le psychopathe le plus dangereux est éduqué, riche et doué en société.

Il y a toujours deux écoles, celle qui dit que l’environnement influe sur la psychologie, l’autre qui dit que de nombreuses dispositions sont héritées. Cependant, bien des preuves montrent que les psychopathes ne grandissent pas dans des milieux destructeurs. C’est donc leur nature qui est différente, cette différence étant le facteur majoritaire qui prime sur l’influence de l’environnement. 

La psychopathie découle de l’absence d’activation du cortex préfrontal par un trouble (trauma ou facteur génétique) pouvant empêcher le bon développement de ce substrat instinctif humain et en réduire sa plasticité. Le résultat en est un humain identique à un animal sur le plan neuro-anatomique. Il faut alors s’imaginer la nature émotionnelle d’un crocodile ou d'un crotale dans un être humain… L’expression "cerveau reptilien" prend ici tout son sens.

Si le substrat instinctif est endommagé, il est fort possible que cela produise des troubles incurables, un comportement antisocial, violent, ou criminel. Un substrat instinctif d’un animal n’est pas normal chez un être humain. Le comportement des psychopathes a une dynamique similaire à celui de certains animaux dans certains états, guidés uniquement par l’instinct.

 

Les psychopathes adultes ont développé des circuits neurologiques complexes pour satisfaire leurs besoins. Ils peuvent avoir une intelligence brillante, mais elle est au service de la domination. C’est comme si le centre de leur être était une bouche béante entourée de réseaux neurologiques. Ainsi, sous la pression constante de sa "faim", un psychopathe est incapable d’évaluer les besoins d’autrui, ou de comprendre les subtilités et ambiguïtés des situations. Il conforme la réalité extérieure à sa structure intérieure rigide et primitive.

Lorsqu’un psychopathe est insatisfait, il perçoit le monde extérieur comme étant contre lui, donc entièrement mauvais. S’il est confronté à un problème qu’il a causé, il ne peut pas le supporter ni le comprendre et son cerveau le nie et le projette. Un psychopathe ne peut pas admettre d’être dans l’erreur, il est donc toujours dans la projection, d’où cet impératif de besoin de grandeur et de perfection éternelle. Ce n’est pas un choix mais une obligation.

Ainsi un cerveau complexe, associé à une faim insatiable, fait un psychopathe. Ce sont les maîtres de l’identification projective. Tout ce qui ne correspond pas à leurs désirs est "mauvais" et projeté sur autrui. Ils doivent préserver à tout prix ce sentiment de contrôle.

 

Pour comprendre la psychopathie, il faut comprendre que depuis des temps immémoriaux les psychopathes ont investi le sommet de la société. On leur doit les structures sociales et les systèmes de croyance. On peut parler d’identification projective à l’échelle sociale.

La connaissance de la psychopathie est ce qui ouvre la porte de la cage où nous sommes emprisonnés. Mais la plupart des psychologues et psychiatres ont trop peur d’en venir jusque-là. Ils tentent sans arrêt de faire rentrer la psychopathie dans le dogme humaniste qui insiste sur la nature uniforme du soi profond de tout être humain. C’est un vœu pieu, lié à une vision morale, religieuse ou philosophique (humaniste) de la réalité.

Comme nous sommes confrontés à un prédateur intra-espèce qui nous ressemble, un psychopathe semble posséder tous les traits que désirent les personnes normales (confiance en soi, etc). Seuls les psychopathes criminels sont des psychopathes qui ont échoué. Les psychopathes en général  sont des machines très efficaces, qui atteignent des positions élevées, mais en bafouant les droits des autres. Dans ces conditions, de nombreuses personnes "normales" qui subissent leur influence s’adaptent en éteignant leur conscience pour survivre.

C'est pourquoi les sociétés sont corrompues par le fait qu’elles contiennent un certain pourcentage d’individus extrêmement déviants, ce petit groupe très actif influençant parfois des millions d’êtres humains. Tout comme le font des pathogènes dans notre corps. Les personnalités déviantes, sachant qu’elles sont anormales, vont vouloir contrôler leur environnement pour réduire leur stress. Ces pathogènes dans le corps social veulent juste survivre et se propager, sans tenir compte des dégâts qu’ils causent – comme des virus. Cela est d'autant plus possible quand les sociétés sont affaiblies.

 

Des marionnettes de l'Etat profond

Le pouvoir institutionnel (politique, religieux, affaires) et les médias sont toujours sous l’emprise de marionnettes nommées, cooptées et contrôlées par "l’État profond", les représentants tapis dans l'ombre des forces extradimensionnelles qui nous gouvernent. Il en découle une succession ininterrompue de crimes contre l’humanité depuis les temps antiques, ceux-ci commençant en cette fin de cyclicité à faire l'objet de révélations assises sur des preuves incontestables. Ainsi la fausse pandémie et le cortège de restrictions qui y sont associées.

C'est pourquoi, dans cet éveil de conscience des masses jusqu'alors anesthésiées, des médecins, scientifiques, avocats, journalistes et hommes politiques honnêtes luttent activement dans le monde entier tant contre les marionnettes à la barre que les membres de l’État profond dissimulés car restant dans les coulisses

Il en découle que la redistribution des forces dans la société prend de l’ampleur, et que le nombre de personnes fidèles aux autorités diminue de plus en plus. Les individus finissent par penser de manière indépendante,

 

Nous devrions voir la société comme un corps nécessitant une bonne hygiène pour rester en bonne santé. Contrairement aux psychopathes qui n’ont pas le choix de se comporter différemment, nous avons le choix de ne pas accepter leur domination. De cela dépend notre futur. Nous sommes les seuls à pouvoir nous sauver, ce ne sera pas une aide extérieure qui le fera.

 

L'horreur de la loi de bioéthique

Si la loi française du 7 juillet 2011 dans son article 40 interdit la création d’embryons chimériques, elle n'est pour autant nullement assortie d’une sanction pénale, d'autant plus qu'elle ne définit pas clairement les embryons chimériques et ne fait pas référence à leur caractère humain, désolidarisant ainsi ces recherches de celles menées sur l’embryon humain. De son côté, le Conseil d’État considère que seuls les embryons chimériques homme-animal, c’est-à-dire l’adjonction de cellules animales dans un embryon humain, sont concernés. 

C'est ainsi que l'article 17 du projet de loi bioéthique de juin 2021 a offert un nouveau cadre légal à l'étude de chimères particulières, soit des embryons animaux auxquels on injecte des cellules humaines afin d'analyser l'évolution de celles-ci...

 

Dans son ouvrage "W ou le souvenir d’enfance" paru, l'écrivain Georges Pérec (1936/1982) décrit dans le dernier chapitre, le chapitre 36 (chiffre qui représente "le diable ou Satan", ainsi que le mal qu’il personnifie)*, le monde sombre et froid de W, et rappelle cruellement la citation de Raymond Queneau qui introduit l’ouvrage : "Cette brume insensée où s’agitent des ombres, comment pourrais-je l’éclaircir ?" Il nous rappelle ainsi ce que nous sommes, notre condition d’esclave dont nous n'avons pas même conscience.

* Cf. Symbolisme des nombres.

 

"L’Athlète n’a guère de pouvoirs sur sa vie. Il n’a rien à attendre du temps qui passe. Ni l’alternance des jours et des nuits ni le rythme des saisons ne lui seront d’aucun secours. Il subira avec une égale rigueur le brouillard de la nuit d’hiver, les pluies glaciales du printemps, la chaleur torride des après-midis d’été. Sans doute peut-il attendre de la Victoire qu’elle améliore son sort : mais la Victoire est si rare, et si souvent dérisoire ! La vie de l’Athlète W n’est qu’un effort acharné, incessant, la poursuite exténuante et vaine de cet instant illusoire où le triomphe pourra apporter le repos. Combien de centaines, combien de milliers d’heures écrasantes pour une seconde de sérénité, une seconde de calme ? Combien de semaines, combien de mois d’épuisement pour une heure de détente ? Courir. Courir sur les cendrées, courir dans les marais, courir dans la boue. Courir, sauter, lancer les poids. Ramper. S’accroupir, se relever. Se relever, s’accroupir. Très vite, de plus en plus vite. Courir en rond, se jeter à terre, ramper, se relever, courir. Rester debout, au garde-à-vous, des heures, des jours, des jours et des nuits. A plat ventre ! Debout ! Habillez-vous ! Déshabillez-vous ! Habillez-vous ! Déshabillez-vous ! Courez ! Sautez ! Rampez ! A genoux !

Immergé dans un monde sans frein, ignorant des Lois qui l’écrasent, tortionnaire ou victime de ses compagnons sous le regard ironique et méprisant de ses Juges, l’Athlète W ne sait pas où sont ses véritables ennemis, ne sait pas qu’il pourrait les vaincre et que cette Victoire serait la seule vraie qu’il pourrait remporter, la seule qui le délivrerait. Mais sa vie et sa mort lui semblent inéluctables, inscrites une fois pour toutes dans un destin innommable.

Il y a deux mondes, celui des Maîtres et celui des esclaves. Les Maîtres sont inaccessibles et les esclaves s’entre-déchirent. Mais même cela, l’Athlète W ne le sait pas. Il préfère croire à son Étoile. Il attend que la chance lui sourit. Un jour, les Dieux seront avec lui, il sortira le bon numéro, il sera celui que le hasard élira pour amener jusqu’au brûloir central la Flamme olympique, ce qui, lui donnant le grade de Photophore officiel, le dispensera à jamais de toute corvée, lui assurera, en principe, une protection permanente. Et il semble bien que toute son énergie soit consacrée à cette seule attente, à ce seul espoir d’un miracle misérable qui lui permettra d’échapper aux coups, au fouet, à l’humiliation, à la peur. L’un des traits ultimes de la société W est que l’on y interroge sans cesse le destin : avec de la mie de pain longtemps pétrie, les Sportifs se fabriquent des osselets, des petits dés. Ils interprètent le passage des oiseaux, la forme des nuages, des flaques, la chute des feuilles. Ils collectionnent des talismans : une pointe de la chaussure d’un Champion olympique, un ongle de pendu. Des jeux de cartes ou de tarots circulent dans les chambrées : la chance décide du partage des paillasses, des rations et des corvées. Tout un système de paris clandestins, que l’Administration contrôle en sous-main par l’intermédiaire de ses petits officiels, accompagne les Compétitions. Celui qui donne dans l’ordre, les numéros matricules des trois premiers d’une Épreuve olympique a droit à tous leurs privilèges ; celui qui donne dans le désordre est invité à partager leur repas de triomphe.

Les orphéons aux uniformes chamarrés jouent L’hymne à la joie. Des milliers de colombes et de ballons multicolores sont lâchés dans le ciel. Précédés d’immenses étendards aux anneaux entrelacés que le vent fait claquer, les Dieux du Stade pénètrent sur les pistes, en rangs impeccables, bras tendus vers les tribunes officielles où les grands Dignitaires W les saluent.

Il faut les voir, ces Athlètes qui, avec leurs tenues rayées, ressemblent à des caricatures de sportifs 1900, s’élancer coudes au corps, pour un sprint grotesque. Il faut voir ces lanceurs dont les poids sont des boulets, ces sauteurs aux chevilles entravées, ces sauteurs en longueur qui retombent lourdement dans une fosse emplie de purin. Il faut voir ces lutteurs enduits de goudron et de plume, il faut voir ces coureurs de fond sautillant à cloche-pied ou à quatre pattes, il faut voir ces rescapés du marathon éclopés, transis, trottinant entre deux haies serrées de Juges de touche armés de verges et de gourdins, il faut les voir, ces Athlètes squelettiques, au visage terreux, à l’échine toujours courbée, ces crânes chauves et luisants, ces yeux pleins de panique, ces plaies purulentes, toutes ces marques indélébiles d’une humiliation sans fin, d’une terreur sans fond, toutes ces preuves administrées chaque heure, chaque jour, chaque seconde, d’un écrasent conscient, organisé, hiérarchisé, il faut voir fonctionner ces machine énorme dont chaque rouage participe, avec une efficacité implacable, à l’anéantissement systématique des hommes, pour ne plus trouver surprenante la médiocrité des performances enregistrées : le 100 mètres se court en 23″4, le 200 mètres en 51″ ; le meilleur sauteur n’a jamais dépassé 1,30m."

 

"Celui qui pénétrera un jour dans la Forteresse n’y trouvera d’abord qu’une succession de pièces vides, longues et grises. Le bruit de ses pas résonnant sous les hautes voûtes bétonnées lui fera peur, mais il faudra qu’il poursuive longtemps son chemin avant de découvrir, enfouis dans les profondeurs du sol, les vestiges souterrains d’un monde qu’il croira avoir oublié (…)"

Georges Pérec

 

Clé symbolique d'extraction de la Matrice

Théâtre-musée Dali à Figuéras - Catalogne
Théâtre-musée Dali à Figuéras - Catalogne

 

Ce théâtre-musée Dali créé en 1974 est riche en symboles. Sur une paroi de couleur "rouge matrice" (Led rouge), dont les fenêtres sont grillagées comme une prison, sont disposés de manière identique et rectiligne des objets bizarres. Ils ont l'apparence de poulets. Or la mort du coq est considérée comme une aide à notre Âme, telle une prise d'escalade (d'Ascension) à gravir le mur de la matrice artificielle. D'ailleurs, les cyprès que l'on trouve souvent dans les cimetières et qui bordent cette paroi sont symboles de l'élévation de l’Âme, du passage d'une densité à une autre. C'est l'enseignement de Jeshua dans les jardins de Jérusalem avant son arrestation, son disciple Pierre n'en ayant pas compris le sens.

Parvenu en haut, l'individu va maturer dans un énorme œuf en équilibre sur cette frontière trans-dimensionnelle entre le champ astral et le champ cosmique, afin d'assurer la crucifixion de l'égo-mental manipulé jusqu'alors par le prédateur de 4ème dimension, pour avoir la possibilité d'élever le Nouvel Humain qu'il est devenu vers une autre densité, la "5-D", ou bien retomber en 3-D et finir en omelette pour recommencer à prendre des cours d'escalade...

Toutefois, les poulets sont en fait des pains. Le message est que l'Ascension de conscience nécessite une transition alimentaire. D'une nourriture basée sur les céréales - symbolisée par le pain -, nous pouvons, par une période d'incubation cétogène* (que l’œuf riche en protéines, graisses et plein d'éléments nutritifs illustre), voir au-delà de la muraille de nos croyances perverties et ouvrir les bras à une autre réalité, gage de notre libération de la matrice falsifiée et de notre état d'esclave...

Cela renvoie au mensonge, parmi d'autres*², des Églises quant au message de Jésus. "Ceci est mon corps " disait-il en distribuant des pains, azymes (sans levain) il va sans dire. Il est étrange pour un être ayant accédé à la Connaissance, et venant la divulguer afin d'offrir à ceux qui sont prêts les clés vers un cheminement de libération, de placer comme sacré le pain, les céréales, et de ce fait les glucides ayant pour effet l'intoxication du corps, l'atrophie du cerveau, et des brouillages importants de la supra-conscience. Un bel encrassage à tous les niveaux...

* Diète riche en lipides et pauvre en glucides. Cf. Conscience nutritionnelle. Il est à noter que les blés anciens de Mésopotamie n’avaient que 14 chromosomes (contre 46 pour les blés hybrides modernes). Ils poussaient sur des sols pauvres, rocailleux, sans glyphosate ni pesticides, et ne supportaient pas les engrais. Le blé était moissonné à la serpe, puis battu avec des fléaux en bois, enfin vanné à la main pour séparer le grain de la bâle, c’est-à-dire l’enveloppe, avant d'être moulu délicatement sur de grandes meules de silex qui tournaient très lentement. Cela évitait d’échauffer le grain et produisait une farine grasse, pleine de nutriments, alors qu'aujourd’hui les moulins séparent les farines et suppriment le germe et le son. Quant à la farine fraîche, elle était mélangée à une eau de source pure, sans chlore.

Cf. L’Église romaine décodée.

 

Le consentement par la peur

Par définition, les Autorités institutionnelles exerçant les pouvoirs de la Cité dans leurs spécificités respectives s'érigent en protecteurs de leurs ouailles appelées citoyens. Elles édictent à leur attention des lois censées les protéger, arment les forces de police pour les protéger du danger qui viendrait de l'intérieur, et une armée pour les protéger du danger extérieur. L’État dit providence subvient aux besoins des plus faibles et fragiles. A sa tête, le chef suprême, figure généralement masculine, est le "petit" Père de la Nation, protégeant ses citoyens comme un père ses enfants. L’État, au centre de l'échiquier, veille à tout, organisant et régulant l'économie pour garantir un travail et un revenu à tous, garantissant l'instruction, plus exactement l'éducation des plus jeunes afin de les préparer à devenir des citoyens "armés" intellectuellement pour affronter la vie, champ de bataille à l'issue incertaine oblige. Il protège qui plus est la santé de tous, par la construction d'infrastructures dédiées et par la formation des combattants de la vie à tout prix. C'est le mythe vendu par ses communicants zélés, à celles et ceux vivement priés d'y croire sous peine d'être considérés comme moutons noirs (inversion subtile de la couleur) et traités comme parias et autres noms pestiférés comme complotistes ou conspirationnistes.

Il en découle que le citoyen est censé évoluer dans un monde sans danger, les dangers se présentant étant entièrement pris en charge par son protecteur suzerain. Il perd ainsi toute conscience des responsabilités qui lui incombent vis-à-vis de sa propre personne, mais aussi à l'égard des autres. Il se retrouve dans l'incapacité de gouverner sa vie, sinon en apparence dans l'illusion de son libre arbitre, se contentant de se soumettre et de respecter le corpus de règles érigé. Libéré de toutes ces contraintes et soulagé de tous ces risques, il est appelé à jouir au mieux d'une vie confortable, au pire à bénéficier de diverses aides destinées à atténuer ses souffrances de ne pas être du bon côté de la barrière sociale.

Pour que ce miroir aux alouettes fonctionne, un système ingénieux et sophistiqué est établi. Il consiste à ce que le Pouvoir fasse sentir en permanence que cette vie "merveilleuse" - l'Ile aux plaisirs - peut s'écrouler à tout moment. Et ce pour de multiples raisons, qui mises en avant, permettent d'opérer le vorace prélèvement fiscal et la taxe confiscatoire. La maîtrise de ce système permet ainsi à un petit groupe de prédateurs dominants de régner sans  réelle difficulté sur la masse des dominés, allouant de temps à autre comme bons seigneurs quelques avantages ici, quelques privilèges là, et ce de manière inégalitaire parmi les dominés pour pouvoir menacer de les leur reprendre (la division du corps social), afin de diminuer les revendications et récriminations d'êtres toujours insatisfaits. C'est bel et bien la peur qui est au centre de ce jeu pervers, manichéen et destructeur de la conscience, tant individuelle que collective. En d'autres termes, un jeu diabolique !

Pour les rebelles, les "gilets jaunes", ceux qui n'ont pratiquement rien, la menace de privation pour obtenir le consentement n'ayant que peu de prise, les Autorités usent de l'arme qu'elles sont les seules à détenir, la violence dite légitime ! Elles peuvent en user comme en abuser, en commettant exactions comme à l’extrême des assassinats, qualifiés de bavures quand ils sont trop voyants dans leur manigance. La toile d'araignée de la matrice des morts-vivants est ainsi tissée.

Les technologies évoluant, l'appareil sécuritaire de surveillance comme de répression s'est considérablement sophistiqué par les technologies numériques. La vidéo par exemple, associée à des algorithmes de reconnaissance faciale, permet désormais d'exercer une surveillance globale de la population, et ce sans aucun contrôle judiciaire, un comble au royaume des démocraties reines ! Quoi de plus opportun alors qu'une menace sanitaire à échelle mondiale pour en imposer la légitimité, puisqu'elle est dédiée à la protection de citoyens crédules et soumis, dans l'incapacité de comprendre les règles de fonctionnement du Vivant à même de créer leur système de protection immunitaire. Pour y parvenir, rien de mieux que de constituer une situation hystérisée, faîte d'amplifications quotidiennes, 24 heures sur 24 et 7 jours sur 7, par des médias avides de leurs audiences monétisées et de confinement imposé (distanciation et atomisation sociales) comme si le risque était une extinction de notre espèce, avant que de créer l'opportune protection contre la menace virale par un traçage numérique à but préventif et ce pour faire passer tout ce qui n’aurait pas pu être accepté en temps normal. En jouant sur les peurs, sur le fait que nos sociétés n’acceptent plus le risque, comment ne pas obtenir le consentement du plus grand nombre, la masse du troupeau bêlant à l'unisson de leur peur du méchant loup. La maladie Covid 19, objectivement virus peu mortel même si très contagieux comme l’humanité en a connu des milliers depuis des millénaires, constitue la clé d'entrée d'une société placée sous surveillance numérique généralisée, le Nouvel Ordre Mondial et son univers dystopique, continuité accélérée du monde d'avant. Traçage, incitation pécuniaire à la délation, accès à des données confidentielles, droit de propriété, libre circulation, mise en résidence surveillée, la sphère privée n’existe plus...Nous sommes aujourd'hui bel et bien manipulés quotidiennement pour nous faire accepter l'inacceptable, cette manipulation étant toute simple : nous montrer des images chocs, des comportements aberrants, et nous faire entendre des histoires absurdes.

Cf. George Orwell, nom de plume d'Eric Arthur Blair (1903/1950), auteur britannique de "1984" (1949), et Alain Damasio, auteur français de science-fiction (en fait science réalité) et son ouvrage "La Zone du Dehors".

 

"A force de tout voir on finit par tout supporter... A force de tout supporter on finit par tout tolérer... A force de tout tolérer on finit par tout accepter... A force de tout accepter on finit par tout approuver !"

 Augustin d'Hippone ou Saint Augustin, philosophe et théologien chrétien romain (354/430)

 

Retour brutal à la sombre réalité de la Matrice

Pour nombre d'êtres humains jusqu'alors illusionnés par leur moi égocentré exacerbé par les artifices dispensés, la "belle" vie est terminée par la sévère épidémie liée au ravageur virus nommé Covid-19. Depuis de nombreux siècles tout à la gloire du progrès, en l'occurrence des transports, amorcé par les navigateurs explorateurs ibériques au Moyen-âge - Christophe Colomb, Vasco de Gama, Fernand de Magellan... -, les Européens et autres occidentaux de peau blanche se sont cru autorisés à se promener librement dans le monde entier. Le business désacralisé ayant fini par prendre le pas sur l'authentique désir de découvrir les horizons lointains sans les contaminer par les miasmes consuméristes, les hordes sauvages aux apparences civilisées ont défilé chez les prétendus sauvages natifs de ces contrées exotiques. Elles partaient à l'aventure aux quatre coins du monde, souvent pour s'entasser dans des clubs à gogos dits "all inclusive" pour principalement s'avachir sur leur transat en se faisant rôtir et darder par les rayons destructeurs de leur épiderme inconsciemment offert, puis barboter dans l'eau chlorée en sirotant le cocktail au glucose surdosé.

La plupart de ces virus parasitaires d'une conscience en berne ne se posaient nullement la question de savoir s'ils étaient attendus, sinon pour leurs dollars et euros corrupteurs, en tout cas désirés. C’était pour eux une sorte de "droit divin", octroyé jadis par les arquebuses, mousquets et hallebardes, aujourd'hui par les passeports et cartes de crédit, que de transformer le monde en un grand terrain de jeu à leur disposition pour se distraire, consommer, exploiter et autres artifices mortifères de l'esprit soumis aux forces obscures trans-dimensionnelles qui gouvernent les humains, encore pour la plupart au stade paléolithique de la conscience. Si pour 90 % de l’humanité cette possibilité de voyager n’existait pas, que dire des 10%, les nantis et prétendus civilisés en haut de la pyramide monétaire, tout à la célébration enivrée de leur apparente liberté de gloutonner et satisfaire leur pseudo grandeur pourtant décadente car profondément viciée.

Le monde entier était devenu "notre village", tel que déclamé par les experts sociologues et autres communicants enflammés par leur verve toxique de cette illusion mondialiste libertaire. Tout à l'élan de leur pensée manipulée, ils faisaient fi des virus passés comme la variole et la grippe infusés aux Amériques dans leur conquête prédatrice, qui avaient tué aux alentours de cent millions d’Indiens au 16e siècle. Ce n’était "pas de notre faute" bien sûr, mais d'ancêtres ignorants, qui plus est parce que nous avons depuis conçu vaccins, antibiotiques et, comble de la modernité, le rapatriement sanitaire en avion médicalisé en cas d’urgence. Et si nous pouvons déplorer rajoutent-ils impunément les excès de cette industrie touristique gigantesque, pour ne pas dire monstrueuse, s’étant développée dans le monde entier à chaque instant du calendrier diabolique institué (Toussaint, Noël, Pâques, les vacances scolaires d'été, un simple week-end de préférence lors d'un pont), ces millions d’occidentaux contribuent quoi qu'on en dise à faire tourner l'incontournable économie, épicentre de ce modèle dit civilisationnel mis en œuvre, ô subtile linguistique, lors de la révolution des... Lumières ! Et comme mantra pour excuser cette dérive, le sot cynique et infatué brandit l'adage couillon car puéril qu'est "On ne fait pas d'omelette sans casser des œufs", détournant sa tête engourdie par l'abîme existentiel s'y trouvant pour ne pas s'attarder sur la toxicité diffusée dans l'atmosphère par l'intense trafic aérien résultant de ce culte païen du progrès, de la soi-disant modernité. Il en fait de même quant à la réalité vécue de millions d’individus habitant à proximité de ces gigantesques aéroports sources de nuisances sonores et d'air vicié par les vapeurs de kérosène brûlé sortant des réacteurs. Quant aux pittoresques Venise, Florence, Djerba, Sharm-El-Sheikh, Bali et consorts devenues des enfers pour leurs habitants non reconvertis dans le tourisme mercantile, c'est peut-être regrettable, mais il faut là encore savoir si l'on veut préserver l'emploi et les moyens de subsistance à des économies déjà très endettées faute de disposer des ressources naturelles qui rapportent gros...

Ce qui était jusqu'alors perçu comme normal, comme un droit quasi naturel, comme un droit de naissance octroyé par la grâce de la vie - celle d'être né du bon côté de la barrière -, et que les autres forcément envieux ou jaloux n’avaient qu’à faire avec en se taisant, vient de voler en éclat, ce que peu de cerveaux engourdis par l'anesthésie de leur moi-égo ratiociné ont percuté et intégré. Le réveil n'en sera que plus douloureux, lorsque va venir la prise de conscience que de chasseur à chassé, les autres peuples vont désormais considérer notre venue non plus comme un apparent privilège, sinon une bénédiction, mais comme une menace, ce qu'elle n'a jamais cessé d'être. Alors reviendrons-nous après l'ivresse de notre liberté externe illusoire à notre geôle-prison de naguère, le vivre local, comme au Moyen-Age d'où tout est parti *, lorsque nos ancêtres  vivaient étroitement "confinés" dans des villages, retranchés derrière des remparts, avec des hautes portes fortifiées que l'on refermait chaque soir à la tombée de la nuit. On ne sortait de la ville que prudemment, la journée, pour cultiver les champs, et partir en voyage ne serait-ce qu'à travers la forêt voisine comportait déjà le risque d'être trucidé par des bandits ou gueux affamés.

Les élites gouvernantes au sein de cette matrice astrale semblent tout compte fait mieux s'accommoder d'êtres humains vivant de cette façon. Elles ont "simplement" rajouté, comble du sadisme, le goût de cette "liberté" désormais perdue pour aviver les regrets, et constater avec délectation perverse que nous ne sommes toujours et encore qu'esclaves, ne comprenant toujours pas comment trouver le chemin de notre libération.

* Le dernier grand tournant de l'histoire de la civilisation chrétienne est le passage du Moyen Age aux Temps dits modernes. Ce passage, qui se fit du XIVe au XVIIe siècle, ouvrit avec le XVIIIe siècle la page de l'histoire contemporaine, en voie de finition, avant que d'ouvrir celle du transhumanisme pour les uns, la majorité, ou d'une nouvelle Terre pour les autres, les "élu(e)s".

 

Du Moyen-Age à l'ère moderne, avons-nous vraiment changé ?

Nous regardons la plupart du temps avec effroi sinon horreur les sombres pratiques du Moyen-Age d'avant la Renaissance : sorcières et hérétiques brûlés sur le bûcher, lynchage par des foules hystérisées, flagellation, roue, écartèlement, pendaison, décapitation et autres cruels supplices en place de Grève... Nous nous demandons comment les gens, notamment religieux, pouvaient faire de telles choses*, et nous nous réjouissons d'être passés à autre chose grâce aux Lumières. Pourtant, en prenant un tant soit peu de recul et en faisant preuve de sagacité, nous pouvons constater que nombre de ces pratiques sont encore florissantes aujourd'hui, même si elles portent des noms différents. Seules leurs formes ont changé.
Ainsi l'excommunication, le bannissement spirituel sociétal que seule une lourde pénitence, souvent une contrition publique longue et humiliante, pouvait racheter. Elle est devenue une arme politique puissante pour nos inquisiteurs culturels modernes - journalistes, militants de la justice sociale dans ses différentes déclinaisons, militants verts du changement climatique, organisations subversives comme Antifa, militantes féministes enfiévrées... -, distribuée aux ennemis de leur foi aveugle afin de détruire la légitimité de leur libre pensée. Nous sommes sur le territoire du livre brûlé, l'autodafé, celui de la mauvaise opinion proférée et jugée erronée, en matière d'écologie, de changement climatique, d'éducation, de santé, de droits des minorités (homosexuels, transgenres...), de mondialisme libre échangiste (Union européenne, multiculturalisme)... Articuler n'importe quel type de pensée erronée conduit au lynchage par la foule des trolls déchaînés présents sur les médias sociaux et ailleurs. Carrière et réputation sont brûlées sur le bûcher des fous de ce Dieu moderne toujours et encore vengeur - le Moloch-Baal prédateur -, peu important si l'étiquette collée est totalement injuste. Car l'innocence n'est pas une défense, loin s'en faut, tout comme elle ne l'était pas dans les procès de sorcières de l'époque médiévale. Et comme toute personne qui défend la sorcière est supposée être une autre sorcière, la plupart se taisent, par lâcheté, veulerie, couardise. Et comble de la lobotomie des consciences, la nouvelle pratique en vogue consiste à s'agenouiller en pliant le genou, outil de soumission utilisé au prétexte de lutter contre le racisme, tout comme celui consistant à détruire des statues. Elle montre ni plus ni moins que l'iconoclasme - la croyance selon laquelle les icônes, les images et les monuments doivent être détruits pour des raisons religieuses ou politiques - est toujours bien vivant, comme au Moyen Âge qui voyait les textes juifs particulièrement visés par les iconoclastes, ces extrémistes fondamentalistes asservisseurs.

Le servage de son côté n'a pas non plus disparu. Si le serf médiéval devait passer la moitié de sa semaine de travail à labourer la terre de son seigneur en échange de sa protection et du droit de travailler sa propre terre, le serf contemporain au XXIe siècle abandonne à son seigneur l’État plus de la moitié de ce qu'il gagne en impôts et taxes en échange de sa protection et du droit octroyé de garder le reste. Quant à l'autoflagellation pour rédemption de ses vices et tentations, consistant à s'infliger par la douleur pour chasser le mal, elle voit aujourd'hui érigée la culture du dégoût de soi et des excuses proférées pour son privilège d'être blanc et de porter les péchés de ses ancêtres.
Enfin demeure toujours et encore la répartition inégale des richesses, qui voit comme jadis un faible pourcentage de nantis dominants détenir l'essentiel du patrimoine corporel comme incorporel, et certains concourir au piédestal d'homme le plus riche de l'histoire*².
Comment s'étonner alors que l'obscurantisme demeure la pratique des élites institutionnelles aux commandes consistant à présenter des informations de manière délibérément imprécise et abscons, afin d'empêcher toute enquête ou compréhension ultérieure, le langage techno des experts d'aujourd'hui ayant remplacé le latin d'antan réservé à quelques érudits triés sur le volet, qui interprétaient le texte comme la parole sacrée d'une manière qui correspondait à leurs propres intérêts ou aux intérêts de l'institution pour laquelle ils travaillaient.
Ainsi les soi-disant sacrilèges et autres blasphèmes continuent à justifier les discours de haine de tous ces contempteurs défroqués, distribuant sanctions et censures à la pelle. Si d'aucuns imaginent une nouvelle révolte des paysans et autres gueux, ils s'illusionnent. Dans tous les cas, les paysans et miséreux ont perdu la guerre de la culture. Extérieurement s'entend. Car face à la torture infligée aux concitoyens par les élites psychopathes aux commandes, nombre se laissent "massacrer" devant leurs yeux, se comportant en témoins observateurs, voire complices à part entière sinon par leur lâcheté mais par leur propension à la dénonciation ! C'est la même histoire qui ne fait que se répéter, celle de la collaboration avec les dictatures pendant les guerres, nourrie de fatalité, d'apathie, de mauvaise foi et de déni quant à l'approbation implicite des génocides commis. Dès que le vent tourne, les mêmes suivront sa nouvelle direction, allant dans son sens comme des girouettes de l’égrégore collectif et de sa dynamique imprimée sur les masses serviles. Peut ainsi se comprendre la falsification et les mensonges officiels ! Pour preuve, il suffit de les observer aujourd’hui tous masqués, aller dans le sens de la diversion orchestrée par les médias et autres institutions, sans s’émouvoir que l’on massacre des commerces et les vies de millions de gens et de familles, qu’on achève les aînés dans les Ehpads et autres mouroirs dédiés, qu’on étouffe les enfants dans les écoles, qu’on bafoue les libertés individuelles, et que l'on se précipite sur le vaccin libérateur comme des abeilles vers la ruche censée les sauver d’une épidémie spécifiquement dédiée à la grande mystification - le "Grand Reset" -, annoncé dans leurs discours et écrits par ses ordonnateurs non masqués, tels l'économiste allemand Klaus Schwabe, fondateur en 1971 du Forum économique mondial (en anglais World Economic Forum), ou dès 2014 par l'actuelle Présidente de la Banque centrale européenne Christine Lagarde, alors patronne du Fonds Monétaire International (FMI) !

* L'Inquisition a débuté au XIIe siècle en France pour combattre l'hérésie et la dissidence. Les juges étaient les prêtres. L'Inquisition a d'abord visé les Cathares et les Vaudois. Le mouvement s'est répandu. En Espagne, les juifs et les musulmans ont été montrés du doigt, car ses dirigeants cherchaient à imposer la doctrine catholique.

Jacob Fugger dit le Riche (1459/1525), est un célèbre banquier allemand, considéré comme l'un des hommes les plus riches de l'histoire. À sa mort, sa fortune s'élevait à deux pour cent du PIB européen - une proportion bien plus élevée que celle de Bill Gates, de Warren Buffet, Jeff Bezos ou Bernard Arnault. Il s'était enrichi par la vente des indulgences, qui ne sont que les partenariats public-privé de nos temps modernes (télécoms, pharmacopée... et autres fonds caritatifs dont moins de 50 % des dons finissent par aller aux causes défendues).

 

Coronavirus, amorce de l'ère triomphante des robots

Ce qui caractérise la Nouvelle économie de l'Ancienne, c'est qu'elle n’a pas besoin entre autres d’autant de bureaux, les gens travaillant plus aisément de chez eux. Elle n’a pas non plus besoin d’autant de places de parking, de tables de restaurants, de sièges dans les avions, de logements dans les grandes villes, de navires de croisière, de théâtres comme de cinémas... Et si les gens ne se rendent plus au travail tous les matins, ils n’ont plus besoin d’autant de voitures non plus, ou de tant de carburant. Et comme les vieilles industries n’ont pas besoin d’autant d’ouvriers que par le passé, la tendance enclenchée depuis longtemps est le remplacement de salariés humains par des robots. Qui plus est, avec la crise sanitaire, les locaux d'entreprises et usines ont dû fermer, et si depuis nombre d'individus retournent y travailler, ils s’attendent à plus de mesures de protection. Avec les robots, le problème est différent, aucun robot n’ayant nécessité de mettre de masque. En outre, ils ne font pas grève, ne se plaignent pas, ne demandent pas l’égalité des salaires, la parité hommes/femmes, ne craignent pas le virus carnivore, anagramme de coronavirus. Ils n’ont pas besoin de cantine, ne veulent pas être payés plus pour les heures supplémentaires ou le travail de nuit, ne réclament pas de prime de risque, ne militent pas pour qu’on leur installe la climatisation. Ils ne font pas de pause. Ils ne votent pas. Et ils ne sont jamais insolents envers quiconque, notamment le patron. Et que font naturellement les employeurs ? Ils embauchent des cerveaux électroniques et des bras mécaniques ! C'est pourquoi la Nouvelle économie explose, notamment dans ses délirantes valorisations boursières, et que l’Ancienne économie ne parviendra pas à se remettre d'aplomb, avec toutes les conséquences en découlant, humainement comme sociétalement.

 

Le Masque, ou la mise en route scénarisée du futur totalitaire

Se doter d’une personnalité nouvelle ou superposer une identité à la sienne, cacher son visage pour une expression immobile, dissimuler la nature de ses intentions et déguiser sa propre réalité (image 1)… le masque apparait comme l’artifice naturel pour se mouvoir dans la vie entre ombre et lumière. C'est ainsi que dans le théâtre antique (image 2), l'acteur portait toujours un masque dont la bouche était un porte-voix, ce masque se nommant per sona, "pour que la voix sonne".

Le masque a ainsi donné son qualificatif à l’être humain incarné dans cette matrice terrestre de 3-D de densité, héros d’une tragédie entre monde universel divin, la conscience éclairée, et monde astral démoniaque, souterrain, l'inconscient tourmenté entre les ombres et ténèbres du monde des formes illusoires et qui l'y asservit. Au contact de ces êtres surnaturels qu'il ignore faute d'être éveillé par l'absence d'Intelligence en son état d'endormissement contre-existentiel et par sa propre paresse indigente, anesthésié qu'il est par l'absorption quotidienne de son lot de futilités et autres toxicités que lui distillent ses exploiteurs mercantiles dévoyés, les "maîtres magiciens babyloniens" que sont les "élites" institutionnelles (nombre d'entre elles), l'être humain masqué à lui-même par ses ignorances et crédulités façonne comme maçon attitré, au propre comme au figuré, le rite de l’apparence au détriment de l'être, seul(e) l'éveillé(e) car initié(e) par l'Esprit universel pouvant avec subtilité avoir accès au canal du sacré lumineux, sa supraconscience, conformément à toute tradition liturgique dans sa communication avec les autres mondes, tout en se mouvant avec dextérité tel un serpent ou Zorro le renard malin (image 3) dans le monde profane. Car il/elle sait que pour tromper le mortel ennemi, symbolisé par Darth Vader (photo 4), la personnification du Mal dans la saga cinématographique Star Wars (sur le point de mourir, il demande à Luke de lui retirer son masque afin de voir son fils de ses propres yeux, puis meurt en paix...), il convient d'en mimer les formes et apparences. La vie n'impose-t-elle pas naturellement les différents masques qui étalonnent son déroulé, du visage poupin au visage glacé et transparent de l’ultime seuil ?

Au plus haut, l’incommunicable se traduit par le masque éternel entre visible et invisible, composantes indispensables au fonctionnement de l'harmonieuse Unité, l'Encantada (l'Enchantée en occitan). C’est la raison pour laquelle les rituels humains ont de tous temps célébré le port du masque dans leurs applications festives comme secrètes, qu’elles servent le lumineux ou le ténébreux. C’est le moyen de recevoir la manifestation de l’influence subtile recherchée, à même de satisfaire le corps, le cœur et l’esprit. Mais lorsque le poison les a gangrénés, il en découle bacchanales*, saturnales, lupercales et autres carnavals démoniaques du temps de la Renaissance italienne à Venise, moyen pour l’élite de l’époque de se livrer à la débauche sans peur des représailles (image 5). Leur déclin au XVIII° siècle a conduit à leur reprise dans des cercles d'influence fermés car élitaires (images 6 et 7), tous gouvernés sous l'influence du dieu satanique Baal-Phégor, divinité mentionnée dans l'Ancien Testament comme symbole de débauche et de luxure, expliquant dans leur version extrême la pratique de nombre de sacrifices rituéliques, d'animaux comme de jeunes enfants, leur mets de choix car gage de leur survie par l'ingestion vampirique réalisée.

Nul ne sera ainsi étonné, à l'occasion de l'opportune crise sanitaire liée à l'épidémie de la maladie Covid-19, que les Autorités psychopathes imposent pour des raisons sanitaires apparemment légitimes le port du masque (image 8), appelé à se pérenniser pour en faciliter l'appropriation, tout particulièrement grâce au travail créatif de stylistes et autres créateurs du conditionnement des foules ignorantes, loi du business oblige (images 9 et 10), entre autres pour les cérémonies de mariage (photo 11). Elles n'auront manqué au passage de se gausser de leur rire sardonique de ces illusionné(e)s de l'idéal libertaire, qui hier encore dénonçaient les sinistres barbus islamiques et autres présumées fanatisées retranchées derrière leur voile (images 12 à 14), avant que d'être amenés à en épouser à leurs tour et détriment les codes d'apparence, et ce par l'usage de la technique de manipulation des foules dite de la contre-culture*². Derrière se cache une des étapes cruciales (le chemin non d'Ascension mais de crucifixion) du calendrier mortifère de la matrice prédatrice, qui voit en cette fin de cyclicité le passage de l'humain au robot biologique, le cyborg (images 15 et 16), symbole de sa dépersonnalisation définitive, l'être anonyme (image 17). Pucé comme il se doit par le vaccin RFID à venir soi-disant salutaire, il est appelé à entrer dans ce Nouvel Ordre Mondial totalitaire, le monde cyber dit transhumaniste vouant culte à l'Intelligence Artificielle, dont l'arsenal technologique de surveillance (image 18) n'a cessé de se déployer depuis la fin de la seconde guerre mondiale au XX° siècle*³. Il en assurera le plein contrôle par la toile de la traçabilité virtuelle désormais instaurée (informatique et navigation Internet sur ordinateur, tablette et téléphone, réseaux sociaux, application carte bancaire intégrée, achat en ligne, caméras de surveillance...), redoutable outil de profilage et de surveillance par les divers "trackers" usités, propre à tout monde autoritaire destructeur de conscience, seul véritable attribut de son humanité profonde.

Et comme nos prédateurs psychopathes aiment se gausser de la bêtise humaine, ils ajoutent leur brin de perversité dans les méthodes appliquées. Pendant la crise sanitaire Covid il fallait ouvrir les fenêtres toutes les heures, peu importe le coût du chauffage s'il fallait en  plein hiver aérer en restant masqué. En 2022, il faudra fermer les fenêtres et surtout ne pas les ouvrir, en revêtant le col roulé (image 19) et la doudoune et en supportant les températures tempérées à 19°. Sans oublier bien sûr le masque FFP35 pour les irréductibles soumis !

* Fêtes religieuses célébrées dans l'Antiquité, liées aux mystères dionysiaques, se tenant en l'honneur de Bacchus, dieu romain du Vin, de l'Ivresse et des Débordements, notamment sexuels. Stanley Kubrick, réalisateur et producteur états-unien (1928/1999), a mis en scène la débauche masquée de certaines "élites" dans son film Eyes Wild Shut sorti en 1999, année même de sa disparition...

Cette technique très efficace est destinée à manipuler les faiseurs d'opinion, tant sur le plan institutionnel (politiciens, artistes, experts de tous ordres à la "mode") que leurs relais anonymes suiveurs au sein de leurs cénacles respectifs. Il s'agit de cibler dans un premier temps des "méchants", en les dénonçant de façon vitupérante (hystérisation). Puis, grâce aux "marketeux" et publicitaires, d'en épouser les codes mis à la mode. Autant dire que la famille dite de gauche libertaire constitue le terrain de prédilection de ses instigateurs.

*³ L’origine est l’adoption conjointe par les États-Unis et le Royaume-Uni de l’accord secret UKUSA (fin 1940), qui a abouti à la mise en place d’un premier réseau de surveillance mondial connu sous le nom de code "Échelon" (1971). Ceci a été révélé par le lanceur d'alerte Edward Snowden, ce qui a provoqué un débat politique mondial en 2013 sur le droit à la vie privée à l’ère du numérique, débouchant sur la fameuse et très récente RGPD européenne (Règlement général sur la Protection des Données). En fait, la reconnaissance faciale n’a jamais constitué le plan d'asservissement complet, pouvant être facilement contournée. Elle est utilisée pour habituer la population au pistage et à la surveillance, la surveillance ultime étant le puçage (le masque est similaire à la lutte anti-tabac, suscitant l’obéissance et permettant d’identifier la dissidence). C'est pourquoi la fausse pandémie justifie le vaccin avec puce à venir. 

 

Le monde entropique de l'indifférence et de l'anonymat

La généralisation du port du masque pour raison sanitaire, bien que contre-productive et dangereuse pour nombre, est appelée à devenir progressivement obligatoire dans tout l'espace public et professionnel. Elle va retirer aux individus une de leurs spécificités, l'expression faciale*². La communication sera principalement verbale, perdant son indispensable pendant corporel dans l'affirmation de sa singularité biologique. Il s'agit inéluctablement d'une profonde déshumanisation, cette amputation privant l'être humain d'un des éléments clés du déchiffrage des intentions et des sentiments de l'autre découlant de l'expression de son visage et des messages muets, conscients et inconscients, qu'il adresse. Par ce simple bout de tissu apposé et qui défigure, les émotions et désirs hors sphère intime passeront par la parole, les mots, ou à défaut de leurs maîtrise et richesse, laisseront place au silence, pour ne pas dire au vide existentiel devenu barrière invisible avec l'expression du Vivant. Là où le masque facial uniformisera les spécificités anatomiques, il conduira à la hiérarchisation profondément inégalitaire qu'est l'inculture, accentuant les borborygmes qui ramènent l'homme au stade animal pour les uns, au robot biologique mécanisé pour les autres, tels qu'illustrés dans l'univers totalitaire dystopique du film The Wall ("Le Mur") du cinéaste Alan Parker (1982), où les êtres humains n'ont plus d'identité individuelle, n'existant plus que sous forme anonyme et collective, en d'autres termes sous forme porcine.

Cet éloignement du corps, tant tactile que visuel, accentué par la suspicion permanente que l'autre représente un danger et à même d'attiser les bas instincts de dénonciation et de caftage (les médecins ont par exemple été incités en France, moyennant paiement - ils recevaient 2 à 4 euros supplémentaires - à dénoncer leurs patients et leurs familles atteints du coronavirus durant le confinement, et le seront tout autant pour la pratique vaccinale appelée à se généraliser), précipite la fin de cycle de cette présente civilisation humaine, préalable à son passage en 4-D dans ce Nouvel Ordre Mondial destiné à poursuivre son œuvre destructrice de la Conscience. C'est la véritable signature du transhumanisme, ce monde de la virtualité d'un univers (au sens astral s'entend) toujours plus connecté grâce aux machines*³. Une société totalitaire, où une poignée de scientistes sans âme aux commandes gouvernera une masse d'esclaves privés de toute liberté, gigantesque enclos d'esprits abêtis destinés à nourrir le corpus prédateur régnant.

Cf. L'expérience émotionnelle.

 Cf. Conscience du XXI° siècle.

 

Du port du masque

Les gens qui portent des masques toute la journée ne font rien d’autre qu’augmenter leur charge virale, réduire leur niveau d’oxygène (déficit) parce qu’ils inspirent de nouveau le dioxyde de carbone, ce qui entraîne une saturation. Ils amplifient simplement leur propre charge microbienne, et diminuent le système immunitaire de leur corps voire réactivent des infections latentes ou discrètes. Et si le virus est déjà en train d’attaquer la capacité de transport de l’oxygène, il va juste les rendre encore plus malades. Qui plus est, outre l’état de santé général, les masques présentent l’"avantage" supplémentaire d’induire des lésions cérébrales (destruction conséquente de neurones, notamment dans l'hippocampe) de par la faible oxygénation, et de diminuer singulièrement l’intelligence (déjà très peu élevée chez nombre) de leurs porteurs inconscients, dont nombre de médecins qui en sont continuellement porteurs, ceci expliquant cela lorsque certains s'expriment de manière doctrinaire, hystérique sinon haineuse dans les tribunes médiatiques accordées, se comportant à l'instar des névrosés et autres hypocondriaques - ceux qui ont peur de tout - qui s’en donnent à cœur joie pour tyranniser leur entourage, même familial. Les symptômes d’alerte aigus sont les maux de tête, la somnolence, les vertiges, les problèmes de concentration, le ralentissement du temps de réaction, autant de réactions du système cognitif. S'ils disparaissent car l'organisme s'y habitue, le fonctionnement du cerveau demeure altéré, la sous-alimentation en oxygène du cerveau continuant de progresser, et conduisant aux inévitables maladies neurodégénératives qui mettent des années, voire des décennies, à se développer.

De son côté, la recherche américaine menée au sein des centres nationaux en charge de la santé (National Institute of Health - NIH) révèle que l’utilisation prolongée de masques Covid, qu'ils soient faits maison ou en norme N95, peut provoquer une perte d’oxygène allant de 5% à 20%, celle-ci conduisant à divers symptômes : une hypercapnie (un excès de dioxyde de carbone dans la circulation sanguine généralement causé par une respiration inadéquate), une crise de panique, des vertiges, une vision double, des acouphènes, des problèmes de concentration, des maux de tête, des réactions ralenties, des convulsions, des altérations de la chimie du sang débouchant sur de la suffocation due au déplacement d’air .

Quant à la neurologue allemande le Dr Margarite Griesz-Brisson, diplômée en pharmacologie et spécialisée en neurotoxicologie et médecine environnementale, elle a prévenu que la privation d’oxygène due au port prolongé d’un masque Covid pouvait provoquer des dommages neurologiques permanents. Les symptômes d'avertissement aigu sont des maux de tête, de la somnolence, un ralentissement du temps de réaction du système cognitif. 

Aux Etats-Unis encore, le Dr Simone Gold, fondatrice de l’association américaine Frontline Doctors, a révélé en 2022 que les masques faciaux ont contribué au taux élevé de mortalité lié au coronavirus de Wuhan (COVID-19) en citant le rapport intitulé The Foegen Effect : A Mechanism by Which Facemasks Contribute to the COVID-19 Case Fatality Rate* ("L'effet Foegen : un mécanisme par lequel les masques faciaux contribuent au taux de mortalité des cas COVID-19") rédigé par le médecin allemand Zacharias Fögen et publié en février 2022 dans la revue internationale de référence dans le domaine de la recherche biologique, médicale et en santé. Les résultats suggèrent en effet fortement que les masques obligatoires ont causé environ environ 1,5 fois le nombre de décès, ou environ 50 % de décès supplémentaires par rapport à l’absence de masque obligatoire ! 

En Europe, un article intitulé Correlation Between Mask Compliance and COVID-19 Outcomes in Europe ("Corrélation entre le respect du masque et les résultats de l'étude COVID-19 en Europe") rédigé par le professeur associé à l’Université de Sao Paulo Beny Spira, dont les recherches portent sur la génétique moléculaire des micro-organismes, et publié dans le Cureus Journal of Medical Science en avril 2022, montre que les données de 35 pays européens sur la morbidité, la mortalité et l’utilisation de masques pendant une période de six mois, portant sur un total de 602 millions de personnes suggèrent que les pays ayant des niveaux élevés de respect du masque n’ont pas obtenu de meilleurs résultats que ceux ayant une faible utilisation du masque au cours de la période de six mois qui englobe la deuxième vague européenne de COVID-19. Il montre également l’absence de corrélations négatives entre l’utilisation des masques et les cas et les décès liés au COVID-19, l’utilisation généralisée des masques comme pendant le fort pic automne-hiver 2020-2021 n’a pas réduit la transmission du virus COVID-19.

Si tant de porteurs de masques n’ont aucune idée de la venue de ces dommages chroniques, c’est parce qu’une fois qu’une personne souffre d’une privation chronique d’oxygène, tous ces symptômes disparaissent, la personne s’habituant à l’état de privation. Son efficacité est altérée, et le manque d’apport d’oxygène approprié au cerveau continue de progresser dangereusement.

Il est à savoir que les maladies neurodégénératives mettent des années à se développer, ayant pour conséquence que les cellules nerveuses du cerveau sont incapables de se diviser normalement. Or, plus le cerveau est métaboliquement actif, plus il a besoin d’oxygène. Et c’est pourquoi il est absolument ridicule que des enfants portent des masques toute la journée, leur système immunitaire étant adaptatif de par l'interaction constante avec le microbiome de la Terre. Cette  privation constante d’oxygène est comme une torture lente, non seulement dangereuse pour la santé des enfants et des adolescents, mais pour ses conséquences d'inhibition du développement du cerveau qui crée des dommages irréversibles.

C'est au final tout ce qu'une recherche complète parue début 2023*², évaluée par des pairs et portant sur plus de 75 études sur les masques dans le cadre d’une méta-analyse, avec des essais contrôlés randomisés, prouve : les masques ont toujours été pratiquement inutiles !

* Le rapport est issu d'une étude qui a examiné "si le port obligatoire du masque a influencé le taux de mortalité des cas au Kansas" du 1er août au 15 octobre 2020. Le Kansas a été utilisé pour la comparaison, l’État ayant permis à chacun de ses 105 comtés de décider de mettre en œuvre ou non le port obligatoire du masque. Quatre-vingt-un comtés ont décidé de ne pas appliquer cette mesure.

Cf. Travaux de Margarita Griesz-Brisson, docteur en médecine, neurologue consultante et neurophysiologiste.

https://www.health.news/2023-02-17-doctors-nurses-admitting-covid-masks-dont-work.html

 

En résumé, le sale secret est le suivant : les masques ne fonctionnent pas en contrôlant le virus, les masques fonctionnent en contrôlant les personnes. S’il s’agit d’arrêter la propagation du virus, les masques ne fonctionnent tout simplement pas. Mais s’il s’agit d’attiser la peur, d’instiller une obéissance aveugle aux autorités de l’État, de semer la discorde entre les citoyens et de "dénoncer" publiquement les sceptiques et les dissidents – en d’autres termes, de créer un système de santé publique autoritaire, voire totalitaire -, alors les masques fonctionnent vraiment très bien.

 

De l'origine manichéenne du voile

Corinthiens 11:10 : "C’est pourquoi la femme, à cause des anges, doit avoir sur la tête une marque de l’autorité dont elle dépend". Pour les rédacteurs faussaires de la Bible hébraïque, les femmes auraient fait chuter, du temps d'Enoch, les anges, qui en se mêlant à elles, leur ont donné des hommes hybrides, les fameux géants de l'antiquité... S'il en résulte que le péché originel est constitué de chair, il est le fait des "Anges", non celui des hommes ! Ce n'est pas l'homme qui a été éjecté du "paradis", ce sont les anges déchus, les "Egrégores". Le symbole Ève et ses descendantes furent séduites tant par l'apparence androgyne des Anges des Forces involutives que par leur savoir, étant attirées sexuellement par eux.*

* Cf. Le Judaïsme décodé & Conscience et dépassement de la Matrice sexuelle.

 

"La destruction du visage signe la désertion de l'individu, atteint au cœur de son identité et de sa relation aux autres"

Julie Mazaleigue-Labaste, docteur en philosophie, "La fabrique du visage"

 

V pour Vendetta (V for Vendetta), avant-goût de demain

Film américano-germano-britannique, réalisé par James McTeigue, sorti en 2006. Vers 2038, après une guerre à peine évoquée et un mystérieux virus utilisé lors d’un terrible attentat biologique visant trois sites importants par leur symbolique ou leur nombre de victimes (l’école primaire Sainte-Mary, la station de métro Victoria et une usine de traitement des eaux), l’Angleterre est dirigée par un parti fasciste. Ce dernier, ayant profité du climat de peur affectant la population, a facilement institué un régime dictatorial à la tête duquel il s’est autoproclamé "Haut Chancelier". Un couvre-feu, dont le respect est contrôlé par sa milice, "Le Doigt", a été instauré sur tout le territoire. En parallèle, les migrants, les "païens", les musulmans, les malades physiques ou mentaux et tous ceux dont les idées pouvaient s’en approcher ont été bannis, et les opposants au régime ou minorités, tels les homosexuels, pourchassés lors de "l'assainissement". Les plus élémentaires libertés fondamentales (la liberté d'expression en particulier) ont été abandonnées au nom de la sécurité nationale et de la guerre contre le terrorisme. Les médias sont muselés et la BTN, unique chaîne de télévision, est le principal instrument de propagande du parti.

 

Du feu "purificateur" aryen, virus mortel de la conscience

Après la Grippe espagnole qui ravagea l’Europe en 1918-1919, l’Allemagne fut touchée par une pandémie de choléra (1923), tandis que la tuberculose et la polio continuaient à se répandre. Cette situation morbide inspira le grand romancier allemand Thomas Mann, qui publia en 1924 Der Zauberberg ("La Montagne magique"), roman considéré comme l’une des œuvres les plus influentes de la littérature allemande au XXe siècle.  Cette histoire qui traumatisa les Allemands explique qu’une des premières mesures prises par le chancelier Hitler après son arrivée au pouvoir en 1933 consista en un grand programme de lutte contre la tuberculose. Il mobilisa une flotte de camions équipés d’appareils aux rayons X pour dépister la maladie par radiographie des poumons et isoler les malades. Nul n’avait le choix de se faire dépister, conformément à la devise nazie Gemeinnutz vor Eigennutz, "l’intérêt commun devant l’intérêt individuel", qui fut gravée sur les pièces de monnaie de 1 Mark à partir de 1933. Après la tuberculose, Hitler lança un grand programme pour désinfecter les usines et éliminer les poux et les rongeurs, vecteurs d’épidémies. Le tristement célèbre gaz Zyklon B, utilisé plus tard dans les chambres à gaz, fut utilisé à cet effet. Il lança en parallèle un grand plan pour les espaces verts autour des usines pour créer un environnement plus sain. Quant à la jeunesse, elle était embrigadée dans des colonies appelées "Jeunesses Hitlériennes" pour des activités en pleine nature, destinées à "fortifier la race" et contribuer à faire "reverdir" l’Allemagne. La lutte contre les infections fut étendue aux hôpitaux psychiatriques, les handicapés mentaux étant considérés comme des faibles et des indésirables, consommant des ressources nécessaires aux "travailleurs allemands". Ce fut ensuite le tour des Tziganes, des Juifs, des Slaves, et autres groupes sociaux désignés comme inutiles ou nuisibles, considérés comme inférieurs et porteurs de maladies, .

Ce dégoût et cette peur des infections expliquent pourquoi Hitler adorait le feu, l’élément purificateur par excellence, les Nazis l'utilisant comme symbole de leur mouvement. Il permettait de détruire toute vie, et de ce fait toute maladie. C'est pourquoi les Nazis organisaient des marches au flambeau nocturnes dans les rues de Berlin, ainsi que d’immenses cérémonies la nuit où des milliers d'hommes étaient alignés en carré parfait ou en croix gammée, tandis que d’immenses torches illuminaient la scène et de puissants projecteurs balayaient le ciel. Son usage fut prolongé dans les fours crématoires, destinés à faire disparaître toute trace de personnes humaines et donc tout microbe.

Il existe ainsi un lien étroit entre régimes autoritaires et présence de maladies infectieuses, une grande étude publiée en 2013 dans la mégarevue scientifique en ligne Plos One (éditée quotidiennement par la Public Library of Science) démontrant ce lien très étroit entre la prévalence des maladies infectieuses dans une population et la sympathie de celle-ci pour les régimes autoritaires. Autrement dit, plus le risque, réel ou imaginaire, d’infection est élevé, plus la population approuve, voire demande, des mesures autoritaires, restreignant ses libertés. Plus il y a de risque de maladies infectieuses, et plus une société devient même sexiste, xénophobe, ethnocentriste, ont aussi expliqué trois scientifiques américains, l'entomologiste et biologiste Randy Thornhill, la psychologue Corey L. Fincher et le biologiste Devaraj Aran en 2009 dans leur célèbre article intitulé "Parasites, démocratisation et libéralisation des valeurs parmi les pays contemporains"*. Ils avaient identifié un système d'adaptation de l’homo sapiens pour gérer le problème des maladies infectieuses. Ceci entend que dès que nous sentons augmenter le risque d’infection, nous acceptons et demandons aux Autorités de restreindre nos libertés pour nous protéger. L’être humain étant le principal vecteur des maladies infectieuses, la meilleure façon de le protéger est alors d’interdire à d'autres êtres humains d'approcher, en fermant les lieux publics, en interdisant les rassemblements, les fêtes, en fermant les frontières, ou limitant les déplacements sur le territoire, voire en imposant des mesures de distanciation sociale permanentes. La liberté et la promiscuité sexuelles, en particulier, sont ardemment combattues.

Comment s'étonner alors de la montée en puissance d'emprisonnements, de violences et de déportations en cas d’épidémie, tels que pratiqués sous diverses formes dans nombre de pays (Koweit, Qatar, Chine, Afrique du Sud...). Quant à la France, la Police a pu déployer pour la première fois des drones pour surveiller les habitants, la Justice ayant rejeté les recours des associations de défense des libertés qui dénonçaient cette pratique, tandis que plus d’un million de citoyens ont reçu des contraventions pour avoir manqué aux règles du confinement. L'autre, les autres, étrangers ou non, sont ainsi toujours considérés comme plus ou moins menaçants, car potentiellement porteurs de germes dangereux, y compris sur le plan psychique par rapport aux croyances entretenues par chacun. C'est un réflexe archaïque de protection contre les épidémies qui fait que, dans un monde totalement intriqué, l'être humain peut se servir inconsciemment de son odorat pour être attiré, ou repoussé, par des personnes selon leur flore bactérienne, de ce fait de leur système immunitaire. C'est tout le paradoxe de notre humanité, qui en notre qualité de créature sociale, a besoin en parallèle d’échanges d'information, de coopération, de réconfort et de contacts pour se sentir bien*², tout comme d'exogamie afin de diversifier le pool génétique et éviter les problèmes de consanguinité.

La présence du coronavirus déstabilisant brutalement nos repères, nous poussant à la méfiance, au repli, et à l'isolement, marque bel et bien la croisée des chemins en cette fin de cyclicité civilisationnelle. En cédant à la peur propagée par les Autorités psychopathes qui nous gouvernent, nous signons la poursuite du pacte infernal nous entraînant dans le gouffre de la conscience. En nous en détachant, nous favorisons notre sortie en cours de la matrice des morts-vivants pour, enfin, évoluer vers le retour à l'Unité libératrice !

* Cf. "Parasites, democratization, and the liberalization of values across contemporary countries", Biological Reviews (Cambridge Philosophical Society).

Cf. Le lien, expression de la conscience collective.

 

Alors que l'impression monétaire* se poursuit à grande échelle pour tenter de colmater la calamité économique qui empire un peu partout dans le monde, et qui va se traduire par d'innombrables faillites et destructions d'emplois, nul n'a besoin d'être grand devin pour comprendre le temps des dissensions, tensions et insurrections à venir... voyant le centre s'amollir plus encore tandis qu'on se radicalise à la marge. Les émeutes sont inévitables, cela faisant partie du processus. Elles donnent ainsi aux autorités une autre "guerre" à mener, une autre raison d'affirmer leur domination... Interviendront alors la "Garde nationale" et autres forces armées, et seront annoncés l'"état d'urgence", le couvre-feu et la loi martiale, avant que de décréter les organisations "terroristes" et l'arrêt de leurs meneurs pour être jetés sous les barreaux. Les pays seront mis en résidence, les restrictions actuelles n'ayant été qu'une répétition générale.

Bienvenue dans le Nouveau Monde, totalitaire il va sans dire, pour la célébration frénétique du chaos, le culte de Dionysos*², à l'instar des précédents points culminants dans le cycle dionysien que furent la Révolution française, la Révolution bolchevique, les nazis, la Révolution chinoise, les Khmers rouges... C'est toujours le même modèle, qui voit une bande d’individus pathologiques répandre une idéologie simpliste qui aboutit à la destruction de tous ceux qui se sont opposés. En fin de compte, cela signifie la destruction des hommes et des femmes de conscience, le but ultime des mouvements révolutionnaires étant la destruction, la moisson des âmes !

* L'autre réalité est que les banques centrales (Federal Reserve américaine, Banque centrale européenne) soutiennent les marchés financiers afin de soutenir la fortune des "ploutocrates", en leur faisant un cadeau supplémentaire de plusieurs centaines de milliards pour ces détenteurs de portefeuilles boursiers conséquents. Ce faisant, elles contribuent à faire baisser les taux d'intérêt, volant de cette manière les retraités et les épargnants.

Ce culte n'est pas synonyme de fêtes, d'orgies et de plaisir, mais de mort, de destruction et même de cannibalisme. Lorsque ses pratiquants dans la Rome antique - les Ménades (en grec ancien "délirer, être furieux") ou Bacchantes chez les Romains - trouvaient une victime, ils la coupaient en morceaux et la mangeaient !

 

Prison Break, ou La Grande Évasion

Prison Break est un feuilleton télévisé américain en 90 épisodes de 43 minutes à l'origine*, diffusé à partir de 2005 sur le réseau de la chaîne Fox. Il a été créé par Paul Scheuring. Il met en scène suite à une sombre machination (la dénaturation de l'être humain par les entités entropiques de la 4ème dimension de réalité) un individu accusé à tort d'avoir tué le frère de la vice-présidente des États-Unis. Condamné à mort, il est incarcéré dans le pénitencier d'État de Fox River (l'ancienne prison de Joliet dans l'Illinois près de Chicago en réalité - photo 1), dans l'attente de son exécution. Son frère Michael (tel l'Archange, la supraconscience bienveillante), un ingénieur surdoué, est convaincu de son innocence, et va l'aider à s'évader avant la date fatidique en concevant un plan ingénieux, profitant d’être l'auteur des plans initiaux du pénitencier pour sortir de prison. Il se fait tatouer les plans de celle-ci sur le torse, le dos et les bras, ainsi que diverses informations utiles à l'évasion et à la cavale, puis commet un braquage afin d'y être incarcéré à son tour. Une fois emprisonné à Fox River, il met en marche son plan afin de rendre la liberté à son frère. Des événements imprévus viendront entraver le plan d'évasion minutieusement élaboré, les deux frères devant notamment faire face aux agissements du Cartel, une organisation secrète qui s'avère être à l'origine de la conspiration. De plus, ils devront faire équipe avec des détenus non prévus dans le plan initial.

* La série est revenue pour une cinquième saison sous la forme d'une minisérie de neuf épisodes, intitulée "Prison Break : Resurrection" et diffusée en 2017 aux États-Unis.

Le scénario livre quelques clés d'importance à l'être humain pour s'extraire de sa prison, la matrice terrestre viciée. Il doit d'abord chercher la Connaissance dissimulée en lui (éveil au Soi supérieur, la supraconscience) et la graver en lui par le changement de conscience opéré et la modification épigénétique de l'ADN qui s'en suit (symbolique du tatouage). Rien n'est pourtant acquis, les gardiens de la Matrice (le Cartel et des coéquipiers indésirables) faisant tout pour en empêcher le succès de réalisation.

Tel un "autiste", branché dans le silence de son univers intérieur allant à l'encontre de toute logique humaine apparemment "normale", il peut envisager par ses facultés cognitives développées la sortie du cube mortifère pour rejoindre une nouvelle dimension de conscience, cette fois-ci évolutive, tel le survivant du film éponyme réalisé par Vincenzo Natali sorti en 1997...

Cf. explication de la réalisation physique de l'extraction dans Symbolisme mathématique.

 


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La leçon du joueur de flûte de Hamelin

"Le Joueur de flûte de Hamelin" est une légende allemande, transcrite notamment par les frères Grimm, et parvenue à notre époque sous le titre original Der Rattenfänger von Hameln ("L'Attrapeur de rats de Hamelin")*. Elle évoque un désastre censé être survenu le 26 juin 1284 dans la ville de Hamelin (Hameln) en Allemagne. Ses origines sont incertaines, ayant prêté à nombre d'explications comme une tradition de danse superstitieuse (type "danse de Saint-Guy") pour conjurer les ravages en Europe de la Grande peste au XIV° siècle, ou l’émigration d'enfants de Hamelin au XIII° siècle aux confins orientaux de l’Empire germanique.

Son sens profond caché aux savants profanes est tout autre. Il concerne le téléchargement psychique ou le fait d’être possédé par quelque chose, en l'occurrence les idéologies terrestres mortifères initiées par les forces entropiques de la 4ème dimension de densité astrale, empêchant les êtres humains inconscients de leurs influences d'avoir une identité fixe, sur le plan sexuel comme culturel*². Ils sont comme des rats, sous la baguette hypnotique de leurs joueurs de flûte pour ne pas dire de pipeau. Le joueur de flûte est dans son pendant évolutif l'Esprit, la supraconscience, qui si les êtres humains concluent avec Lui une entente par leur alignement fréquentiel (la juste vibration à Sa fréquence de résonance), les débarrassera des rats et autres parasites (l'entente est symbolisée dans la légende par le versement d’argent). Mais comme après que le joueur de flûte les ait débarrassés des rats ils ne l’ont pas payé (la prise de conscience de leur enfer prison n'a rien changé à leur mode de fonctionnement inconséquent), il a utilisé sa flûte pour éloigner tous les enfants (leurs descendants). La montagne s’est alors ouverte, et il a emmené les enfants dans la montagne d'où ils ne sont plus jamais sortis (recyclage cosmique). Et c'est cette chute de la conscience dans le trou noir cosmique qui se joue actuellement en cette fin de cyclicité !

* Les premières mentions de cette histoire semblent remonter à un vitrail placé dans l’église de Hamelin (Allemagne) aux environs de 1300 et décrit dans différents documents entre les XIVe et XVIIe siècles. Inspirée des descriptions de l’époque, une version moderne de ce vitrail a été créée par le cryptologue allemand Hans Dobbertin, qui inclut représentation colorée du personnage du joueur de flûte et différents enfants habillés de blanc (Cf. l'image ci-dessus est celle d'un vitrail de l'église de la ville de Goslar en Basse-Saxe). Si ce vitrail est généralement considéré comme ayant été créé en mémoire d'un tragique événement survenu dans la ville, les nombreuses recherches menées n'ont pu l'attester. 

Cf. Conscience et dépassement de la Matrice sexuelle.

 

Déprogrammer des décennies sinon des siècles de citoyens ayant subi un lavage de cerveau est une tâche ardue, au même titre que les convaincre que tout ce qu’on leur a dit est un pur mensonge. C’est en fait pratiquement impossible, beaucoup de personnes n'étant pas éveillées ou dans l'incapacité psychique d'y parvenir.

La plupart des individus se croient trop intelligents pour être contrôlés par l’esprit, pensant qu’ils ont une connaissance approfondie parce que le système scolaire gouvernemental leur a dit qu’ils étaient intelligents dans la mesure où ils répétaient ce qu’on leur disait.

Qu’il s’agisse de boire de l’alcool, de fumer des cigarettes, de s’injecter du poison vaccinal sur l’avis de menteurs ou de circoncire un nouveau-né mâle, rien de ce qui est mentionné dans cette phrase n’a de sens rationnel ou logique. Pourtant ces principes, comportements et croyances anti-vie ont été imprégnés dans le public en utilisant les mêmes tactiques de contrôle de l’esprit que celles véhiculées à la télévision et dans les vidéos de jeux vidéo. Ils ne se rendent tout simplement pas compte qu’ils ont été soumis à des systèmes de conditionnement mental* tout au long de leur vie, par le biais des systèmes scolaires publics, ce qui fait d’eux les humains les plus facilement contrôlés par l’esprit dans l’histoire.

* Cf. Contrôle mental.

 

Alors, quelle échappatoire à cette prison des formes pour la conscience chloroformée ? Nous n'avons pas d'autre choix que de fabriquer notre propre antidote psychique à ce virus mortel inoculé par les gardes-chiourmes de La Matrice dévoyée. Cela fait appel à la créativité, à la loi scientifique qui la caractérise dans le fonctionnement du corps biologique*. Elle énonce que tout ce qui appartient au domaine du vivant est mobile, changeant, capable de trouver de quoi se remplacer. Elle se nomme la vicariance.

Aussi cette quête du véritable ailleurs, le retour chez soi, à sa véritable demeure, oblige à une rencontre radicale, celle de s’éprouver étranger pour les autres et, par là même, étranger à soi-même. Dans son sens étymologique, l’ailleurs rejoint "l’alien", celui que l’on se sent devenir lorsque l’on plonge dans une langue, une culture, des habitudes totalement éloignées des siennes, et qui favorise la remontée d’impressions diffuses, de sentiments nouveaux… En ce sens, l’adepte de l’ailleurs, lorsqu’il se déplace géographiquement, s’explore lui-même. Par cette tension entre altruisme et recherche de soi, en découle la fécondité créative, les carnets de voyage étant pleins de ces nouvelles contrées, invisibles et intérieures, que l’on découvre en cheminant. C'est cela la vérité du voyage, géographique comme interdimensionnel.

Il s'agit bel et bien de s'aliéner, verbe à prendre non pas dans son sens courant de "perdre sa liberté", mais tout au contraire dans celui de la retrouver en se faisant ALIEN, du latin alienare, se "rendre autre", se "rendre étranger", en ayant sur toute chose le regard toujours neuf de celui-la.

Et cet Ailleurs aux significations multiples - l'Ailleurs transcendantal, l'Ailleurs imaginaire, l'Ailleurs en tant que réalité culturelle, géographique, historique d'un peuple -, nous conduira alors à apprécier son contraire, L’ICI et MAINTENANT, marque de notre liberté souveraine existentielle retrouvée !

* Cf. Fonctionnement du corps biologique.

 

La Conscience, clé d'affranchissement du système matriciel de 3-D

Notre principal problème en tant qu’Être humain limité est que nous avons oublié qui Nous Sommes vraiment, notre conscience ayant été divisée de notre multidimensionnalité en tant que partie d’une seule fractale géante de l’Univers. Autrement dit, l'humanité est l'embryon de l’Esprit universel qui s’est divisé en milliards de cellules. Aussi, dans chaque vie passée dans cette dimension de réalité qu'est la 3-D, nous construisons par notre expérience et nos aspirations, un nouveau fragment de ce dessin géométrique complexe.

Cette énergie investie à chaque incarnation se répercute sur le plan subtil par les rayons invisibles qui partent du centre de notre noyau, et qui s’y alignent comme un pochoir en formant des points nodaux qui sont ensuite intégrés dans le champ général de la planète. Chaque point nodal, autrement dit de lumière, représente une nouvelle compétence, un nouveau savoir, une nouvelle capacité, un nouveau talent, une nouvelle langue.

Chaque point ayant ses propres qualités et caractéristiques, il fonctionne comme un portail vers d’autres dimensions de la pensée, élargit notre conscience, donne accès à l’information, et constitue une balise par laquelle nous signalons à l’univers notre désir de recevoir certaines informations, d’élargir l’horizon existant. C'est pourquoi plus les points sont activés et contrôlés, plus nous pouvons atteindre un "public" polyvalent sur le plan physique et subtil en attirant les énergies, les connaissances, les capacités, les événements et les personnes nécessaires.

Par exemple, nous pouvons activer la capacité "animation" ou "sculpture" grâce au point maîtrisé "dessin". Par analogie, si nous connaissons le français ou le portugais, il est beaucoup plus facile d’apprendre l’italien ou l’espagnol. Si nous pratiquons le yoga, il est plus facile de comprendre les principes de la méditation et de l’hypnose. Si nous comprenons les principes de la géométrie sacrée, il est plus facile d’activer nos structures cristallines de manière autonome. Il en découle que presque toutes les connaissances ou compétences peuvent être obtenues de cette manière, voyant l'information s’infiltrer par les portails des points nodaux, les cellules de notre conscience, pour permettre à notre couverture de la réalité de s’élargir et d'influencer le champ d’information à une plus grande échelle pour contribuer à notre succès et à notre réalisation personnelle.

En conséquence, c'est par la pratique que nous acquérons de plus en plus le pouvoir de la conscience et que nous devenons un "métaprogrammeur", autrement dit un créateur de nous-même, de notre vie personnelle, de l’espace qui nous entoure et de notre ligne temporelle. L’essentiel est que les points nodaux soient activés de manière égale et équilibrée, la partie spirituelle et matérielle, les aspects supérieurs et inférieurs, les compétences pratiques et théoriques, la logique et la pensée imaginative, etc.

Bien évidemment, plus nos horizons sont étroits, moins nous influençons le champ général et plus nous le laissons nous influencer. C'est pourquoi si nous devons être un spécialiste dans notre domaine, il vaut mieux ne pas se fixer uniquement sur celui-ci, mais avoir en plus un hobby ou quelque chose qui va au-delà de notre spécialité. Cela permet d’avoir une vue d’ensemble et de la compléter par nos propres développements. Les spécialistes étroits sont certes bons dans leur domaine, mais ils sont souvent aveugles, sourds et totalement insensibles aux domaines voisins. C'est la compréhension de la situation dans son ensemble qui constitue un avantage considérable, et ce pour ne pas subir les influences néfastes de l’État, du gouvernement, du système financier, des relations interpersonnelles, des égrégores religieux, politiques, professionnels, relationnels et familiaux constitutifs des structures de la Matrice et destinés à égarer ou disperser notre faisceau d’attention. Elles ne sont en fait que des leçons d’intention et de concentration, que nous avons décidé de traverser, données en fonction de notre niveau d’énergie à même de pouvoir réellement être surmontées. Ceci en tend que plus nous avons de compétences et de points nodaux actifs dans notre âme*, moins le système a d’influence sur nous, l'impulsion de notre libre arbitre étant la clé d’activation.

En résumé, deux clés indispensables sont à activer.

La première, qui constitue le signe le plus évident de l’intelligence, est la capacité d’entretenir deux idées contradictoires simultanément. En d’autres termes, l’une des véritables marques de l’intelligence est de pouvoir considérer des idées opposées sans accepter ou rejeter immédiatement l’une d’entre elle.

La seconde clé est le pouvoir de l’intention, de la conscience, le niveau supérieur pouvant ajuster les niveaux inférieurs si nécessaire en complétant les connexions et en activant les points là où c’est nécessaire, et même en les projetant des centaines de vies à l’avance pour chaque aspect individuel ou en masse.

Et comme les énergies quantiques qui arrivent désormais sur Terre renforcent chacun de nos états, il est à comprendre que plutôt que l’apathie, la colère, la révolte, nous avons nécessité d'actionner la Joie, la Paix, l'Harmonie et l’Amour pour notre développement, et qui sait notre extraction de la matrice terrestre.

* Chaque âme n’est qu’une partie d’une autre structure d’ordre, le Soi supérieur, la Monade, la Source, qui ont également leurs fractales et sont intégrés dans un dessein suprême. Chacune apporte des ajustements à la fractale globale de l’univers, car tout est interconnecté et tout affecte tout.

 

De la vicariance

Le mot vicariance a une étymologie latine, de vicis, le changement. Le terme vicariant s'emploie pour désigner un organe ou une fonction qui joue le rôle d'un autre organe ou d'une autre fonction déficients. En linguistique française, vicariant est le verbe employé en reprise d'un groupe verbal dont il synthétise le sens, comme "Je devais sauter cette barrière, et je l'ai fait".

La première définition de vicariant dans le dictionnaire est l'hôte occasionnel d'un parasite. Une autre définition est "espèce animale ou végétale qui correspond écologiquement à une autre d'une autre contrée", soit une espèce qui, dans une région donnée, en remplace une autre en occupant la même place biologique et en se trouvant dans les mêmes groupements végétaux. Vicariant est aussi qui supplée à l'insuffisance fonctionnelle d'un organe. C'est ainsi que la notion de vicariance s'applique à toute chose, tout objet, tout organe, organisme, individu, corps social, etc. qui se substitue à un autre en prétendant assumer les mêmes fonctions, comme le vicaire qui remplace le curé ou l'évêque, le virus qui assume les fonctions de la cellule infectée, l'organe sain qui se substitue à l'organe déficient...

La vicariance est le constat d’une loi scientifique : tout ce qui appartient au domaine du vivant est mobile, changeant, capable de trouver de quoi se remplacer, en un mot : créatif. Nous avons deux mains : si l’une d’entre elles ne peut plus fonctionner suite à un AVC par exemple, l’autre main pourra venir progressivement la remplacer. De même, on peut vivre avec un seul rein. Ceci entend que tout notre corps est symétrique, indiquant que la vicariance est inscrite dans nos gènes parce que c’est d’abord une question de survie.

Là où le concept de vicariance commence à devenir vraiment intéressant, c’est lorsqu’on prend conscience de la capacité de la vie à s’exprimer à travers la diversité. La vie n’existe qu’au pluriel : ce que l’on peut voir, ce sont des milliards d’existences, toutes différentes les unes des autres ! Par exemple en biologie, le nombre incroyable d’espèces végétales et animales, mais plus encore la diversité présente au sein d’une même espèce (il existe environ 120 000 à 150 000 espèces de papillons dans le monde !) est l’expression biologique de la vicariance. Là encore, la diversité des espèces animales leur donne davantage de chances de survivre et de se reproduire. Tout acte créatif implique un changement de point de vue offrant une perspective nouvelle sur les choses, un décentrement que seule la vicariance est à même de provoquer. Mieux comprendre la vicariance, c’est remettre l’homme au centre de la scène, dans toute sa diversité, et lui restituer sa capacité d’inventer des solutions nouvelles.

 

La leçon de David contre Goliath

Le combat de David contre Goliath est un épisode de la Bible (Samuel 17, 1-58)*, également cité dans le Coran (Sourate 2, verset 251). Il oppose David, fils du berger Isaï, le plus petit de ses 7 frères et encore adolescent, et le héros des Philistins en guerre contre Israël, le géant et courageux Goliath. David gagne le combat non par la force mais par la ruse, d’un caillou lancé avec une fronde qui vient abattre le colosse en se plantant sur le bas du front, entre les deux yeux, avant de l'achever en lui coupant la tête par sa propre épée.

Le message est clair : il est inutile d'affronter par la force le monstre, la Matrice, de face à face, en espérant la vaincre et transformer. Seule la ruse, le déploiement de sa force intérieure par l'accès au 3ème Œil, sa supraconscience, est à même de permettre de remporter le combat, celui de sa véritable liberté par un changement hyper-dimensionnel de conscience...

* Il n'existe en fait aucune référence extra-biblique ou archéologique mentionnant Goliath, dont la description s'apparente plus à un hoplite grec de l'âge de fer.

 

Fonctionnement de la visualisation créatrice en mode involutif "Service de Soi"

La physique quantique démontre que la conscience de l'observateur est créatrice de ce qu'elle observe. Le problème est que la plupart du temps, cette création entretient le théâtre des illusions, celui de la comédie programmée interprétée, l'observateur-acteur humain inconscient et aveuglé par son prétendu libre arbitre étant trompé par les fantasmes lancés à grande échelle par le corpus prédateur de 4ème dimension de densité, destinés à  être prodigués à sa psyché grâce à de puissantes technologies d'hypnose issues d'images simulées et factices. Ces fantasmes reposent sur du mensonge, de l'irréel, destinés à soulever en lui des vagues émotionnelles constitutives du "loosh", la nourriture des prédateurs cosmiques de l'Astral, car source d'exacerbations, de tensions et de divisions. Ces procédés sont désormais dirigés par l'Intelligence Artificielle déclinés en une multiplicité de supports et de gadgets, et qui n'ont de cesse de l'enfermer dans un monde virtuel, déconnecté du Réel.

Il en découle que l'être humain contemporain est judicieusement programmé à rechercher invariablement une explication tout comme un responsable extérieur à son infortune quelle qu'en soit la nature (sentimentale, professionnelle, santé...). Il est ainsi conditionné à rendre "autrui" coupable comme bourreau de ses difficultés et, con-vaincu de bonne foi, persiste comme victime à le rester. Ignorant du mécanisme mortifère, il néglige la manière de reconnaître la "réalité de son monde" à l'extérieur de cet environnement artificiel, ce qui le conduit à son inéluctable autodestruction.

C'est pourquoi tous les experts dans leur domaine de compétences respectif, souvent qualifiés de bienfaiteurs sinon sauveurs de l'humanité, recherchent systématiquement dans ce "monde extérieur" des remèdes et solutions aux difficultés des sociétés, leurs lois, technologies et divers apports des sciences matérielles cartésiennes, se révélant pourtant incapables de les guérir de leur chaos entropique.

 

Fonctionnement de la visualisation créatrice en mode évolutif "Service d'Autrui"

Le secret caché à l'être humain ordinaire, profane, dormeur de ce bas-monde, est que l'art de la création de sa souveraineté existentielle dans une nouvelle dimension de densité cette fois-ci évolutive, réside à l'intérieur de son "êtreté", en l'occurrence dans sa constitution biologique et organique (les cellules de sa génétique) et dans les mémoires enfouies dans sa psyché (l'âme) nourries de son karma humain (les voyages trans-dimensionnels de l'âme). Par la connaissance du véritable mécanisme physique permettant à la conscience, la gravité, d'orienter par sa concentration soutenue le flux de la lumière, l'énergie créatrice de nature électromagnétique, l'être humain peut se doter de la visualisation active, imaginative et créative lui permettant ce changement de réalité. Il a compris que son cerveau n'est qu'un extraordinaire et fabuleux organe transmetteur de fréquences d'information/lumière en mouvement sous forme de photons, celles-ci étant converties en formes-pensées, et constitutifs du spectre électromagnétique visible lui permettant d'être éclairé à bon escient.

Ce sont bel et bien les ondes de gravité qui génèrent des plis dans le tissu matriciel de la 3-D d'appartenance, tant pour ouvrir la voie vers une compréhension et une conscience supérieure que permettre à l'être humain, le moment venu, sa transition de l'ancien monde au nouveau*...

* Cf. Le chemin de l'Ascension & Processus de transformation de conscience.

 

L'enseignement de Matrix

"Rien dans ce monde n’est comme vous le pensez… rien !". Cette idée constitue la trame de la fiction-réalité de l’œuvre cinématographique Matrix, permettant à la conscience humaine en cette fin de cyclicité civilisationnelle de remettre en question la surface de la réalité et les machinations qui s’inscrivent dans son cadre.

Elle part du principe que notre réalité et tout ce qui la sous-tend sont intelligemment conçus par ce que beaucoup appellent Dieu, l’Univers ou la Source, quel que soit le niveau de conscience omnipotent. Il en découle la question du sens, du but, de l'intention de ce qui est nommé la Création, plus exactement Ce Qui Est. Sa constitution repose sur les polarités antagoniques, nécessaires à son équilibre, et leur éventail de  caractéristiques, qu'expose brillamment la démarche alchimique, forme de distillation de la réalité qui comprend le pouvoir inhérent à l’unification des opposés. Son but est le mélange des deux parties opposées de cette réalité, afin de créer une troisième réalité composée des deux tout en maintenant les éléments distincts.

Actuellement, le côté de cette réalité qui apparaît comme mauvais, diabolique, négatif, etc. semble faire de son mieux pour coopter et détourner son ennemi, le côté du bien. Sa compréhension découle de l'incessante activité de la malveillance sur cette planète depuis des millénaires, sous l'influence assimilée par les observateurs aguerris à des entités ou êtres démoniaques résidant dans une autre dimension de conscience, nommés dans les textes sacrés d'archontes. Ils en exercent le contrôle par des règles, des règlements et des programmes de manipulation, estimant que la planète leur appartient dans toutes ses composantes. Leur programme diabolique établi prévoit l’anéantissement d’une grande partie de l’espèce humaine et l’assujettissement du reste à leurs propres fins égoïstes.

Même si cette l'idée d’un tel plan semble absurde pour beaucoup d’individus peu méfiants car endormis, hypnotisés, sous contrôle mental, et de ce fait inconscients de la grande quantité d’histoire documentée qui montre amplement qu’un tel programme est tout à fait réel, les autres, éveillés car conscients, sont à la recherche de la trappe échapattoire de la matrice-prison, accessible à tous ceux qui la trouvent et ont le courage de la franchir. Cette trappe n'est rien d'autre que le sanctuaire intérieur, la supra-conscience permettant la reliance à la Source, au Tout unifié, constitutive du pouvoir réveillé de sa dormance.

Il reste de ce fait à chacun d'opérer en lui cette transmutation alchimique par la compréhension progressive des trois chemins en permettant la réalisation :

. L'observation lucide de la "folie" chaque jour grandissante de la malveillance, le mal à l’état pur.

. L'observation de cette leçon bien planifiée conçue pour réveiller l’humanité face à une réalité qui ne fait qu'"apparaître" comme mauvaise, devant  être comprise comme une épreuve de vérité à l’échelle de l’espèce humaine pour son plus grand bien.

. L'observation de ses deux angles, en reconnaissant que les deux sont également vrais avant que d'en fusionner les opposés et de transformer la folie en magie, "l’Âme (qui) agit", autrement dit de créer par son libre arbitre une nouvelle réalité.

 

"Le test d’une intelligence de premier ordre est la capacité de garder à l’esprit deux idées opposées en même temps et de conserver la capacité de fonctionner."

Francis Scott Fitzgerald (1896/1940), romancier et philosophe américain, extrait de l’essai The Crack Up ("La fêlure" - 1945)

 

 

"Il m'avait fait observer avec insistance que toutes les ruines archéologiques du Mexique, et surtout les pyramides, étaient dangereuses pour l'homme moderne. Il avait dépeint les pyramides comme des expressions étrangères de pensée et d'action. Il disait que chaque élément, chaque ornement constituait un effort calculé pour noter des aspects de l'attention entièrement extérieur à nous. Pour Don Juan elles n'étaient pas seulement des ruines de cultures du passé contenant un élément nuisible : tout ce qui faisait l'objet d'un intérêt obsessionnel était dangereux en puissance."

 Citation du chaman mexicain Don Juan Matus dans "Le Don de l'Aigle" qui enseignait son auteur Carlos Castaneda

 

 

 

La vraie thérapie, c'est à tout moment, en toutes conditions, et certainement pas guidée par quelqu'un que nous payons, mais par sa propre guidance supérieure qui place les expériences dont nous avons précisément besoin sur notre chemin.

 

 

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