La civilisation est arrivée au seuil du crime total. Certes, il y a toujours eu des guerres, des massacres, des empires et des mensonges. Mais ce qui se passe aujourd’hui n’est plus de l’ordre du politique, ni même de l’historique. C’est prophétique. Quelque chose a basculé, s’est levé sur le monde comme une ombre sans retour.
Depuis 2017, date de l’accession au pouvoir d’Emmanuel Macron, la Terre a vu se déployer un enchaînement d’événements que même les plus sceptiques n’osent plus qualifier de "hasards". Ce n’est pas une suite de crises, mais un travail de dissolution, piloté avec la froideur d’un chirurgien et l’arrogance d’un dieu factice. Incendie de Notre Dame de Paris, contrôle numérique, peur sanitaire, emprise des réseaux liés à la drogue, incivilités, débordements de casseurs et voyous, lois d’exception, IVG entré dans la constitution, disparition des oppositions politiques et médiatiques si ce n'est pour le théâtre et la diversion, JO utilisés pour blasphémer, euthanasie à la carte, identités fracturées, Russie entraînée dans une guerre meurtrière, Syrie oubliée, Iran encerclé et bombardé, Gaza livrée au massacre...
A chaque séquence, dans chaque scène, toujours une constante revient : le silence complice du Président, ou sa parole inversée.
Il parle de paix, quand il arme les bourreaux. Il parle de dignité, quand il livre ses opposants à la justice de cour. Il parle d’humanité, quand il offre l’absolution aux assassins. C'est l’architecture du Mal, la manière dont les crimes deviennent des lois,
les mensonges deviennent des slogans, la mort devient un rituel.
La lame qui s'abat est large : Cisjordanie coupée en morceaux, Liban étranglé lentement, Syrie découpée et paralysée, Irak éventré, Libye détruite, Iran affaibli de l’intérieur et trahi de l’extérieur, Russie sous sanctions... C'est un plan, d’assèchement, de soumission, et d’effacement. Pas seulement des pays. Mais des civilisations. De leurs symboles, de leurs langues, de leurs foyers, de leur droit à exister. C’est une faim de guerre, qui voit les vampires goûter au sang et en redemander. Car le sang appelle le sang. Ils ont réussi à inverser le réel : ceux qui résistent sont les criminels, et ceux qui bombardent sont les victimes. C'est le principe de leur victoire. Ne pas seulement vaincre, mais jouir de la victoire et prendre goût à l’humiliation, à l’anéantissement, à la chasse à l’homme devenue spectacle. Et comme toutes les drogues, celle-ci ne connaît pas de limite.
L'infiltration n'est pas seulement militaire. Elle est aussi spirituelle. Et ce par un virus plus subtil que la bombe, le virus du capitalisme déréglé, du désir démultiplié, de la perversion normalisée, et du progrès comme dogme absolu. Il s'appuie sur les écrans qui colonisent les imaginaires, l'injection dès l'école du poison de la confusion identitaire, de la mode sans racines, de la musique sans sens, des séries sans limite, d'influenceurs sans décence. A travers cela, la chute de la natalité, la perte de la foi, la haine de soi, et l’écrasement de l’héritage. Outre la jeunesse ciblée, les élites rêvent en anglais, spéculent en dollars ou euros, et méprisent leurs propres peuples. C'est le piège : être bombardé de l’extérieur et contaminé de l’intérieur. Car l’empire du Mal n’impose pas que des bases militaires. Il impose des rêves, des modes de vie, des fantasmes, des monnaies. Ce sont ses armes, des mécanismes de prédation et des contrats d’allégeance sans aucune base morale, aucune vérité, aucune équité, qui ne reposent sur rien, sinon sur la capacité à ruiner les autres. Ils permettent aux élites orchestatrices de vivre dans l’abondance, en exportant le chaos, la dette, la dépendance. Chaque billet imprimé est un acte de domination, chaque transaction internationale en dollar est un aveu de soumission, chaque euro imposé aux peuples, contre leur volonté, est une brique de plus dans la tour de Babel de l’inversion. Et c’est cela qu’on appelle le progrès. Un progrès qui détruit les racines, qui rend stériles les civilisations fécondes, qui détruit les campagnes, qui éteint les langues, et qui célèbre la confusion comme horizon. Un progrès colonial. Un progrès capitaliste. Un progrès esclavagiste.
Ceux qui persistent à croire que tout cela est un concours de circonstances ne comprennent pas. Ou ils ne veulent pas comprendre, ou ils ont vendu leur esprit pour quelques miettes d’audience, quelques subventions, quelques postes, quelques illusions. Mais les Justes, eux, voient. Ils comprennent que le monde est entré dans sa dernière épreuve, et que cette épreuve commence quand l’humanité accepte l’inacceptable. Tant que la parole existe, tant que le cœur bat, tant qu’il reste une main pour écrire, le silence de la résignation n’a pas encore gagné.
Le futur qui est devant nous est de ce fait celui d'un choix, celui d'une conscience collective plus forte que la conscience individuelle autocentrée, ou celui de l'enfoncement dans le système perverti actuel jusqu'à son effondrement. Le premier passe par le retour des énergies féminines, pour rééquilibrer l’actuelle prédominance hégémonique des énergies masculines, se traduisant par des cerveaux encore majoritairement irresponsables dans leur compréhension du sens du vivant, dotés d'un réseau neuronal de type "paléoencéphalique animal", et ayant conduit à l'édification toute puissante du pouvoir technologique, du pouvoir économique, et de l'information manipulée.
Pour être comprise à sa juste valeur et surmontée, car rien ne sera plus comme avant, cette mutation nécessite une profonde transformation des croyances et des conditionnements injectés, sources de peurs, d'image de soi déficiente et de frustrations pour les personnes tant dans la relation à elles-mêmes qu’à leur environnement et plus globalement à leur vie, personnelle comme professionnelle.
AIDER AU CHANGEMENT
"En ces temps d'imposture universelle, dire la Vérité est un acte révolutionnaire.
Le chemin du bon sens, celui de la Réalité, passe par le suivi de sentiers différents de la voie balisée sur laquelle s'engouffrent les foules aveugles.
Il nécessite de prendre le temps de soulever le voile de brume et de découvrir le fil doré qui relie les savoirs enseignés dans leur discipline respective.
Alors la subtile alchimie opère pour révéler la clé jusqu'alors cachée."