Les "clés libératrices" en ligne font l'objet de constantes mises à jour et nouveaux enrichissements.
Leur formulation n'engage que leur auteur, qui puise tant dans ses recherches et sources d'information que dans son imaginaire leurs révélation et libre mise à disposition suivant la forme et la
rédaction retenues.
Il n'y a de ce fait rien à prendre pour argent comptant, seulement à laisser faire en soi le processus d'ouverture de conscience par le discernement, soit le
juste équilibre entre cœur et raison. Celui-ci conduira à les invalider, à les valider, à les compléter par d'autres ajouts et compléments. Il est ainsi conseillé de se référer à des relais ou
officines de la doxa scientifique officielle telPsiram.com, le Wikipédia des croyances irrationnelles, dont l'objectif est de discréditer
tout ce qui ne correspond pas à sa ligne de pensée académique,et de prendre le contre-pied sur des sites comme la chaîne web Odysee.com. Sans prendre parti pour une
croyance contre l'autre, il s'agit de prendre de la hauteur et de se forger sa propre opinion, par son propre travail de recherche, libre et indépendant.
C'est ainsi que procède le chercheur de vérité.
Compréhension structurelle de la Matrice asservissante
Dialogue introductif *
Morpheus : Te voilà enfin ! Bienvenue Neo. Comme tu as pu le deviner, je suis Morpheus (...). Crois-tu en la destinée Neo ?
Neo : Non (...). Parce que je n'aime pas l'idée de ne pas être aux commandes de ma vie.
Morpheus : (...) Je vais te dire pourquoi tu es là : tu es là parce que tu as un savoir, un savoir que tu ne t'expliques pas mais qui t'habite, un savoir que tu as ressenti toute ta vie. Tu sais
que le monde ne tourne pas rond sans comprendre pourquoi, mais tu le sais, comme un implant dans ton esprit, de quoi te rendre malade. C'est ce sentiment qui t'a amené jusqu'à moi. Sais-tu
exactement de quoi je parle ?
Neo : De la Matrice ?
Morpheus : Est-ce que tu veux également savoir ce qu'elle est ? La Matrice est universelle. Elle est omniprésente. Elle est avec nous ici, en ce moment même. Tu la vois chaque fois que tu
regardes par la fenêtre ou lorsque tu allumes la télévision. Tu ressens sa présence lorsque tu pars au travail, quand tu vas à l'église ou quand tu paies tes factures. Elle est le monde qu'on
superpose à ton regard pour t'empêcher de voir la vérité.
Neo : Quelle vérité ?
Morpheus : Le fait que tu es un esclave, Neo. Comme tous les autres tu es né enchainé. Le monde est une prison où il n'y a ni espoir ni saveur ni odeur, une prison pour ton esprit. Et il faut que
tu saches que malheureusement, si tu veux découvrir ce qu'est la Matrice, tu devras l'explorer toi-même. C'est là ta dernière chance, après ça tu ne pourras plus faire marche arrière. Choisis la
pilule bleue et tout s'arrête : après tu pourras faire de beaux rêves et penser ce que tu veux. Choisis la pilule rouge, tu restes au pays des merveilles, et on descend avec le lapin blanc au
fond du gouffre *². N'oublie pas : je ne t'offre que la vérité rien de plus. Viens avec moi.
* Extrait de "The Matrix",film australo-américain de science-fiction, écrit et réalisé par "les" Wachowski
(sorti en 1999).
*²Morpheus lui offre de prendre soit la pilule bleue, qui lui fera récupérer une vie "normale", sa véritable nature
existentielle - le mode "Service d'Autrui" -, soit la pilule rouge, qui lui permettra de savoir ce qu'est la Matrice, le mode "Service de Soi". En choisissant la pilule bleue, Neo (l'Homme
nouveau) est conduit àapprendre à s'ouvrir à l'inconnu pour, en transcendant ses peurs de l'inconnu et la désactivation de ses mémoires
viciées, créer un nouveau potentiel de réalité, autrement dit densifier un futur possible en mode "Service d'Autrui" dans la réalité de 3ème densité qu'il habite. Il peut de ce fait, en
franchissantle tunnel entre deux densités de
réalités (le terrier du lapin blanc d'Alice), se détourner de la voie entropique qui lui était prédestinée. C'est son énergie créative - la conscience est la gravité -, par la
conscience de Qui Il Est vraiment, qui ouvre cette autre ligne temporelle, son nouveau futur, sa nouvelle réalité.
Dans le film, Neo choisit la pilule rouge, prétexte pour faire comprendre au spectateur la réalité asservissante de la Matrice cyber, la matrice
des morts-vivants.
Nous vivons au sein d’un univers, caractérisé par un champ d’intelligence unitaire *. Ce champ est une matrice de nature ou substance énergétique, nommée plasma, un champ de Perception infinie ou
"soupe moléculaire" au sein duquel circule de l’information qui se trouve à l’état latent, via des particules. Celles-ci circulent de manière ondulatoire - sous forme d'onde sinusoïdale - au sein
de ce vaste océan d'ondes et de fréquences. Nous captons cette information de deux façons. D’une part à partir de l’imagination visuelle de nos intentions et désirs, renforcée ou non par leur
formulation verbale. C’est l’état de pensée créative, qui, observant la non-matière, en fait jaillir la matérialisation par la projection de la conscience ("le plasma" acquiert de la masse
lorsqu'elle est influencée par l'énergie de l'observateur) *². D’autre part par la concentration profonde et la manifestation de nos sens subtils. C’est l’état de méditation et du rêve.
Toutes ces deux énergies psychiques permettent de recevoir l’information circulant dans les particules au sein de ce vaste champ plasmatique, celle-ci descendant à nous, dans le corps physique,
par l’effet de résonance ou "fréquence cellulaire" produit par la nature électromagnétique de nos pensées et émotions associées et la réceptivité magnétique de notre corps via sa structure ADN et
les membranes cellulaires, composé de tous les éléments constitutifs du Vivant (gazeux, liquide, solide, plasma).
Il en résulte que le monde extérieur animé et sa manifestation de phénomènes physiques comme métaphysiques, tel que perçu, n'est que l'expression des mémoires ou des programmes inscrits dans nos
codes génétiques qui s'expriment par l'état de cette conscience, renforcé par l'adhésion collective à son apparente "réalité". Celle-ci n'est en Réalité qu'illusion, puisque s'il n'y a pas
d'observateur, la réalité n'existe pas !
Structuration du champ d'Intelligence unitaire (1)
L’état de conscience, exprimé par la pensée comme par le son, est l’élément clé de toute existence dans l'Univers, Ce Qui Est, qui n'est rien d'autre que le produit de Son
Esprit. Il correspond sur le plan de la science physique à la gravité, quilie tout ce qui est physique à tout ce qui est éthérique et ce grâce aux ondes
instables de gravitédont la vitesse est supérieure à celle de la lumièrequi est son expression
énergétique. C'est ainsi qu'à l'instant même oùl'énergie
psychique (sous forme de pensée, d'émotion, de méditation) de l'observateur est "retirée" de la zone plasmatique, la matière jusqu'alors constatée est défigée, dédensifiée, comme évaporée,
la particule élémentaireredevenant onde. C’est l’ingrédient central de toute existence,sa propriété quantitative étant immuable ! Ceci entend que TOUT - l'Univers - est une grande illusion, Son Esprit se déclinant en 7 dimensions de densité, c'est-à-dire des
niveaux de conscience à chaque fois dégradés en partant du plus élevé jusqu'aux plans inférieurs, là où l'énergie éthérique, plasmatique, est densifiée par le mécanisme des forces
électromagnétiques et nucléaires.Densité signifie degré de développement mesuré du point de vue de la proximité de l’union
avec le cycle de l’Un (fonctionnement de l'Univers ou Source). Les dimensions sont ainsi à entendre comme le résultat de la Conscience universelle telle que manifestée dans le secteur
"imagination" de la pensée humaine.Le Nom du Jeu du Vivant est la Conscience,le travail de tout être et de toute
existence en tout lieu étant toujours celui de la Conscience...
En imaginant un cercle avec un point en son centre, les "Mondes" traduisant ces dimensions sont des divisions empiriques, des
réalités perpendiculaires basées sur des Forces directrices d’énergie de consciencechargées de les faire croîtreet changer par l’acquisition de connaissances. Les 3 premières densités sont strictement
matérielles, les 3 dernières strictement éthériques. La 4ème, dimension intermédiaire, est dite de "physicalité variable", mixte entre les deux états. La différence entre les densités vient de la
différence d'état de conscience et d'évolution des âmes *. C'est ainsi que l'on peut passer au niveau supérieur quand "on" a appris toutes ses leçons de vie,un champ de conscience complet incluant tous les opposés, dans un parfait équilibre.
Lethéologien, juriste, poète, soufi, métaphysicien et philosophe andalou connu sous le
nom d'Ibn ʿArabi (1165/1240), également appelé ach-Cheikh al-Akbar, aabordé les différents niveaux d’être ontologiques en parlant de cercles concentriques,
qui définissent chaque niveau d’existence. Chaque niveau renvoie à des relations. À mesure que le niveau s’élève, on se rapproche d’une relation directe avec le cœur de l’existence, alors qu’à la
périphérie, on est plus proche de la matière. Il mentionne également le "rayonnement vers l’extérieur" et le "mouvement intérieur" vers la Connaissance.Selon lui, l'être humain peut soit rester au même point dans l’illusion, soit descendre, soit monter. Ce mouvement est en partie déterminé par sa
position à l’intérieur du cycle.
Structuration du champ d'Intelligence unitaire (2)
Le corps humain physique provient de la matière de 1ère densité (sodium, potassium, calcium, phosphore, carbone, vitamines, tous les sels minéraux et
organiques…),niveau qui concerne les roches, les minéraux, les plantes ayant une conscience à
ce niveau. Les roches peuvent même croître et bouger, mais elles le font tellement lentement qu’on ne le perçoit pas. Ce niveau a la conscience d'une ligne, indiquant que
la 1ère densité
comprend toute matière inférieure au niveau de la conscience.
Son corps génétique (acide nucléique, acide ribonucléique, peptides, glucides, adénine, cytosine, guanine, thymine...) est issu de la 2ème densité, niveau du règne
animal. Les constituants de l'ADN de tout être vivant, qu'il soit végétal, animal ou humain, restent identiques.La conscience de cette seconde densité a un lien avec la progression géométrique, c'est-à-dire d’une ligne se déplaçant à angle droit, ou de plans.
Son vécu (incarnation physique) se fait dans la 3ème dimension de densité ou de réalité, la "3-D". Les êtres humains y ont la conscience du plan se déplaçant perpendiculairement à lui-même uniquement par leurs perceptions, sans pouvoir en faire pleinement l’expérience (d'où
les débats sans fin sur la forme de la Terre). Ils voient les choses comme tridimensionnelles uniquement parce qu'ils créent une illusion à partir de la mémoire et de la connaissance. On ne peut
en effet jamais connaître l’autre côté ou l’intérieur lorsqu’on regarde une face donnée.
Sa conscience limitée au Moi personnalité - l'ego-mental - * se situe dans la 4ème dimension de densité, lui permettant de s'observer lorsqu'elle est éveillée.
La 4ème densité est la première à inclure une physicalité variable.Nommée le champ de l'Astral, elle est placée sous la gouvernance de forces involutives, dites le corpus prédateur (le Non-Être), même si des Forces
évolutives dites de Lumière les contrebalançent de par la Loi de la dualité des polarités *². C'est cette dimension qui offre la capacité de visualiser et de décider quelle est notre réalité,
ceci entendant que nous créons la réalité à partir du quatrième niveau. De ce fait, à un moment, la réalité pourrait ne pas ou plus être solide, mais être tout en énergie, et ce simplement par le
pouvoir de la pensée. C'est aussi à partir de la 4e densité que le temps tel que nous le percevons n’existe pas, notre perception du temps n’existant que dans les trois premières densités.Les êtres de ce niveau peuvent se déplacer dans notre densité temporelle car pour eux, elle n’existe pas. Tout est maintenant. Ce n’est qu’un instant.
Son corps éthérique/spirituel sous gouverne de l’Âme est relié à la 5ème dimension de densité (la matière noire, l'antimatière, le non-temps…). Ellereprésente le lieu géométrique de toutes les possibilités d'unmoment donné, dont une seule se réalise dans le Temps, alors
que toutes les autres demeurentirréalisées. C'est une sorte de plan que la ligne du Temps perce à l'endroit où se trouve lapossibilité qui, de ce fait, se réalise.
Sa conscience supérieure ou supra-conscience - celle du Soi supérieur une fois l’Âme réunifiée et fusionnée à l'Esprit - est reliée à la connaissance de la 6ème
dimension de densité (l'énergie noire ou nucléaire faible, la Connaissance universelle…). Elle figurele Temps del'Univers, comprenant par son volume non plus le possible mais l'accomplissement de toutesles possibilités de chaque moment par le cycle
complet de toutes les lignes du Temps.La 6ème densité étant uniforme,
l’équilibre est total à ce niveau de densité.
Il conserve toujours sa connexion à la 7ème dimension de densité, à l'Un, à la Source, la conscience ultime du Créateur et de la Création, Ce Qui Est,
point situé en même tempsdans l'Espace et dans le Temps (dimension atemporelle). Son "essence" rayonne à travers tout ce qui existe, dans tous les univers de conscience possibles. Ligne du Temps, Éternité et Tout sont les termes du langage courant qui correspondent à laquatrième, à la cinquième et à la
sixième dimension. Le terme Zéro correspond à la septièmeet dernière dimension.Ce n'est pas le néant. C'estle germe et la fin, l'Alpha et l'Oméga de tout ce qui existe.
Si beaucoupd'individuspensent qu'ils créent leur réalité par le combiné
hasard-chance/malchance, ou par le labeur de leur investissement, ou encore qu'ils peuvent modifier/changer leur réalité avec un "rayon lumineux qui sort de la tête" - la force de l'intention -,
le processus de création consiste en un processus bidirectionnel dans lequel l'être humain s'engage avec quelque chose d’autre en se mettant au diapason de ce quelque chose qui existe déjà, qui
est objectivement réel, et ce afin de manifester ce potentiel de changement. Ce n’est de ce fait pas comme s'il suffisait simplement d'imaginer n’importe quoi et faire en sorte que cela
arrive. Le pouvoir de changer la réalité réside dans le centre de croyance de l’esprit, nécessitant d'annihiler les émotions qui limitent pour celles qui aident à
progresser. S'il y a une croyance à cultiver, c'est la croyance en des possibilités totalement illimitées dans la bienveillance de l’univers, et ce sans aucune attente. Mais ceci signifie
l'absence de tout traumatisme, et ce depuis la plus tendre enfance, qui conduirait à croire que l’univers n’est pas un endroit sûr ou qu’il est effrayant *. Car dès lors, il en découlerait des
idées complètement fausses, qui mènent à des erreurs de pensée, et qui empêchent la manifestation du processus de création.
* Les enfants, comparés aux adultes, ont moins de ces croyances limitantes. Par conséquent, ils peuvent se
connecter et expérimenter une plus grande variété d’événements.
L'humanité est sous l'emprise millénaire des reptiles - Codex mexicain Laud, planche 34.
Toutefois, s'est substituée à cette matrice unitaire originelle une autre matrice, la "matrice cyber", par des forces involutives qualifiées de corpus prédateur ou virus prédateur *, en
l'occurrence des entités extra-dimensionnelles appelées Gris, Reptiliens ou encore Insectoïdes (Mantes...), plus globalement "forces archontiques" ou "Anunnaki" selon les spécialistes de l'étude
des civilisations antiques et de leurs textes sacrés. Ce corpus prédateur est basé dans la 4ème dimension de réalité, son champ de conscience - dit "Service de Soi" - s'appliquant à la 3ème
dimension de réalité, celle de l'humanité, dont ils sont tant les prédateurs asservisseurs que les maîtres généticiens par la manipulation de l'ADN réalisée (amputation de nombre de brins
constitutifs). Cette matrice correspond au champ de l'Astral, inférieur au champ du Divin (ou champ cosmique). Elle est de ce fait imposée par une violation de la "loi du consentement", une des
grandes lois régissant Ce Qui Est, l'Univers, par le biais d'une manipulation psycho-émotionnelle agissant sur l'inconscient de l'être humain pour obtenir le consentement implicite de son
servage... Même si les sceptiques et rationalistes la rejettent fermement, il y a peu de doute sur la possibilité de l’interpénétration d’une réalité à la solidité plus ou moins physique qui
interagit avec les humains, comme ceux-ci interagissent avec la faune dans les forêts, les chasseurs d’un côté, le gibier de l’autre.
* Cf. Les acteurs de la Matrice falsifiée. Ce virus est comme l’esprit du prédateur du docteur en anthropologie américain Carlos Castaneda, les programmes-tampons du philosophe arménien Georges Gurdjieff, ou le virus
Wetiko des Amérindiens (Cf. livre éponyme dePaul Levy, diplômé en art et en économie).
"L'homme a un manteau rougeoyant de conscience que le prédateur mange, laissant juste le strict minimum de "trucs de conscience" pour que l'homme reste
physiquement vivant. Le prédateur "traie" l'homme en s'arrangeant pour qu'il ait constamment des problèmes, des crises et des préoccupations insensées, afin de générer des éclairs de conscience
qu'il s'apprête ensuite à manger".
Carlos Castaneda (1925/1998), écrivain et docteur en anthropologie américain, "Le Voyage définitif"
Cette matrice est un champ limité *, où le corps humain est assimilé par la prédation mentale qui le manipule à un robot biologique, dont la programmation est circonscrite au champ d'application
en 3-D (4-D avec la dimension Temps, celui de la conscience) où il évolue, la Terre, au sein d'une galaxie, la Voie lactée, et le système solaire qui la caractérise. Il en découle fort
logiquement que les racines de la plupart des problèmes psychologiques des êtres humains, les névroses et psychoses, correspondent à des réactions mécaniques et conditionnées selon leurs
perceptions et observations. Et comme celles-ci sont erronées, c’est l’erreur de ce "jugement mécanique" qui est à la base de leurs problèmes comme du chaos civilisationnel.
Là se trouvent les fondements délétères car totalitaires du transhumanisme, la "nouvelle religion universelle" en cours de mise en place. Autrement dit la nouvelle gouvernance mondiale (le
N.O.M., nouvel ordre mondial) à laquelle se réfèrent de plus en plus nombre de leaders politiques, appelée à devenir le verrou de la conscience lors de la transition en cours de la cinquième
civilisation humaine à la sixième, en 4ème dimension de réalité.
"Il existe une autre sorte de mécanisation qui est bien plus dangereuse : devenir soi-même une machine. Avez-vous jamais pensé au fait que tous les gens sont
eux-mêmes des machines ?… Tous ces gens que vous voyez sont simplement des machines ; rien d’autre… Vous pensez qu’il y a quelque chose qui choisit son propre chemin, quelque chose qui peut
résister à la mécanisation ; vous pensez que tout n’est pas mécanique au même niveau".
Georges Gurdjieff (1866/1949) - Philosophe arménien
Note de l'auteur :ce sujet de l'homme mécanique - ou Portail Organique - a fait l'objet de nombreuses
discussions académiques, basées sur ce qui semble être des preuves cliniques montrant qu'en effet, il existe des êtres humains dont la nature est vraiment "mécanique" et qui n'ont pas du tout de
"Moi intérieur" ou de "Moi supérieur" (Cf. Les psychopathes qui nous gouvernent). Gurdjieff fait référence au
"prédateur" à la fois dans le récit du "Magicien maléfique" et dans le concept de "Nourriture pour la lune". Quant aux gnostiques, ils soutenaient que la terre (et la création matérielle en
général) était le produit d'un démiurge maléfique, dirigeant des "archontes des ténèbres". De leur côté, les Shaitans des soufis et les djinns de la mythologie arabe sont des créatures
surnaturelles qui habitent un monde invisible dans des dimensions dépassant l'univers visible, et qui interfèrent avec l'humanité de diverses manières peu utiles.
La manipulation génétique de l'ADN
Les "pensées" étant semblables aux protéines fabriquées par l’ADN, il est à comprendre qu'il y a autant d’informations transmises par la forme que par la chaîne
d’acides aminés et autres composantes. Il y a plus d’une "structure" de base pour les pensées. Pour les contrôler aux fins de manipulation, le corpus prédateur de 4ème dimension de densité opère
une amputation de nombre de brins originaux de l'ADN. Les avancées de la biologie cellulaire démontrent à cet effet qu’il existe des fragments d’ADN à l’intérieur d’un gène qui ne sont pas
traduits en protéines, c'est-à-dire qui sont des régions non-codantes. Elles sont comme un flux tronqué de liquide en sa qualité d'émetteur chimique (neuropeptide), conduisant à une altération de
la conception. Ces séquences intervenantes, nommées "introns", se trouvent dans le pré-ARN messager (ou ARN précurseur), avant d'être éliminées par un processus d'excision programmé qu'on ne
retrouve donc pas dans l'ARN mature. Si ceci apparait comme un mystère, ces fragments semblent cependant être un phénomène très commun. En d'autres termes, c'est ce segment de code qui est
délibérément inséré par nos maîtres généticiens prédateurs de 4ème dimension, afin de tronquer ce flux de liquide émetteur chimique à même de déverrouiller des portions importantes de notre ADN
!
La clé de la transformation de l’ADN, de sa recomposition initiale (reconstitution des brins d'ADN tronqués), est l’information, la connaissance, puisque l’ADN est
l’intermédiaire ou le receveur du champ d’information cosmique. Le mécanisme est comparable à une sorte de miroir où l’individu recueille des informations dans le monde, ce qui améliore ensuite
sa connexion au champ d’information et lui permet de recueillir encore plus d’informations. Cette (re)construction de son antenne "parabolique" qu'est l'ADN lui permet d'établir un
cercle vertueux, autrement dit une boucle de rétroaction qui fait que plus il recueille de connaissances, plus son antenne change et devient puissante dans la captation des fréquences des ondes
vibratoires.
"Lorsque vous assemblez les différentes pièces du puzzle, vous constatez que l'esprit du prédateur, l'"hypnose" dont parlait Gurdjieff, le système de contrôle
de la matrice, s'interface avec nos ordinateurs bio-cosmiques, notre corps, notre ADN, qui est contrôlé et restreint par la génération de substances chimiques spécifiques du cerveau via le
contrôle de nos émotions. C'est ce qui détermine la façon dont notre cerveau et notre système nerveux sont mis en place, ce qui inclut certaines périodes précoces d'Imprégnation, qui établit nos
circuits et nos processus de pensée à un âge et dans des conditions sur lesquels nous n'avons aucun contrôle. Et une fois que ces circuits sont établis d'une certaine manière, ils ne peuvent
presque jamais être modifiés sans une fusion majeure, et ils déterminent pour toujours la façon dont toutes les informations entrantes sont classées. En effet, nous avons tous un ADN "reptilien".
Mais nous avons aussi de l'ADN aviaire. En fait, nous sommes un véritable assortiment d'ADN provenant de tout ce qui existe autour de nous. Néanmoins, il se passe quelque chose qui met l'ADN
reptilien sous contrôle, et c'est dans ce contexte que Don Juan * veut dire que le "Prédateur nous a donné son esprit".
Aussi, que ces programmes de contrôle, ces produits chimiques de "l'alimentation", puissent être et SONT stimulés et perpétués par nos interactions avec
d'autres êtres humains, plus particulièrement ceux qui nous sont les plus proches, est une réalité froide et dure de la science. […]
Chaque fois que la révélation de ce système de contrôle est tentée, la matrice se met en surmultiplication pour le détruire. Et il est clair que c'est la
situation actuelle.... C'est en "voyant l'invisible" que nous prenons conscience des niveaux supérieurs de l'être ; c'est dans les interactions humaines ordinaires que nous vivons les "batailles"
entre les forces du Service de Soi (Service to Self en anglais) et du Service d'Autrui (Service to Others) ! Et c'est très certainement ce facteur que le système de contrôle matriciel tente
vigoureusement de dissimuler... En d'autres termes, nous ne parlons pas seulement d'une "petite dispute", nous parlons d'une bataille de forces à d'autres niveaux, se manifestant - comme TOUJOURS
- dans la dynamique humaine".
Laura Knight-Jadczyk, The Wave - Volume 5&6 - Petty Tyrants & Facing the Unknown ("La Vague - Petits tyrans et face à l'inconnu")
* Cf. Œuvre de Carlos Castaneda.
Cette matrice est basée sur une expression mathématique/numérique/géométrique, qui, par ses codes, permet l'élaboration et le fonctionnement des formes au sein de l'univers créé, tel un
gigantesque programme informatique constitutif d'une simulation holographique gérée par une intelligence artificielle (IA). C'est pourquoi elle est également qualifiée de matrice "Cyber". Les
scientifiques ont identifié ces codes mathématiques récurrents : la séquence dite de Fibonacci (1,1, 2, 3, 5, 8, 13, 21...), le nombre Pi (3,141), Phi (1,618)...* Ce sont des séquences constantes
de nombres et de proportions qui se répondent l'une l'autre, s'appliquant à toutes les créatures, choses et éléments de l'univers, dans le moindre détail. Cette relation mathématique
coordinatrice est la clé de la physique du cosmos. C'est pourquoi la plupart des êtres humains la tiennent comme l'unique explication de la vie et de l'univers, car ils ne l'ont ni étudiée ni
interrogée dans son fait générateur sacré, manipulé par l'enseignement institutionnel et religieux dispensé *².
* Par le biais de calculateur, il est également possible de traduire des codes orthographiques (ex. attentats du World Trade Center ou Notre-Dame
de Paris) en codes numériques qui se répètent (tels 222 666 1998 ou 333 666 1998). Tant que l'évènement n'a pas eu lieu, il faut interpréter ces codes comme des prédictibilités et non des
certitudes.
De l'interface entre l'information cosmique et notre réalité terrestre
L’interface entre l’information du champ cosmique et notre réalité terrestre repose sur la structure mathématique des molécules du corps biologique, que l'on nomme
chiralité. Ce concept chimique exprime leur latéralité dans les deux sens opposés, lévogyre (le plan de polarisation de la lumière tourne vers la gauche d'un observateur qui reçoit la lumière) ou
dextrogyre (ce plan tourne vers la droite). Ce sont les mêmes composants, les mêmes atomes, qui si chimiquement sont identiques, géométriquement sont différents. Ils sont du fait de cette
propriété comme des images miroirs les uns des autres. Ces deux parties des molécules sont presque exactement les mêmes, seule la chiralité étant différente. Il en découle que leurs propriétés
sont totalement différentes : l’une peut être un poison, et l’autre peut être très bénéfique. Elles sont l'une et l'autre miroir réciproquement.
L'univers a une chiralité préférée, celle permettant d'exprimer le Vivant et non la Mort. C'est pourquoi notre ADN a une chiralité préférée. Mais comme les
propriétés du symbole géométrique ne sont pas absolues, mais relatives à notre environnement, seule la conscience permet d'en assurer la bonne fréquence de résonance dans la captation des
informations (structures géométriques à la base) en provenance du champ cosmique, celles-ci étant par nature relatives de par la dualité actionnée par des forces énergétiques positives,
bénéfiques, et leur indispensable pendant négatives, maléfiques. Ceci entend que les informations qui nourrissent et constituent un chemin vers la voie évolutive dite "Service d'Autrui" sont
perçues, comprises ou reçues différemment par quelqu’un sur la voie involutive dite "Service de Soi". Certains en effet aiment l’obscurité, d'autres aiment la lumière... La 3ème dimension de
densité terrestre est bel et bien la plus difficile en raison de la présence d’un équilibre potentiel de la conscience et de la matière, et donc de la dualité *.
* C'est ainsi par exemple que la montée continued'individus "trans", d'hommes qui s’identifient comme femmes et
de femmes qui s’identifient comme hommes, est un reflet du chaos et de l’entropie en cette fin de cyclicité civilisationnelle. Elle contribue par là-même à une augmentation de la désintégration
et la destruction de l’âme.
Du décodage des informations
La manifestation de la conscience est une fonction de la nature algébrique du champ cosmique entre ses différentes dimensions de densité, régissant les propriétés
géométriques des particules élémentaires porteuses d'informations, qui sont des codes (les codes, stockés en tant
qu’information, s'expriment comme énergie sous forme de vagues). Elle en permet le décodage, de manière inconsciente ou consciente lorsqu'elle est éveillée. Cettethéorie de l’information repose sur l'envoi de l’information. L’exemple le plus simple est le téléphone, qui voit l'émetteur comme le récepteur se parler, échanger, leurs mots
étant transformés ou encodés en signaux électroniques qui voyagent à travers la ligne. Ils sont décodés par le téléphone à chaque extrémité. Si le téléphone est la partie mécanique, ce décodage
est lié également à l’information qui existe dans la tête de chaque personne qui parle, exprime des mots, ceux-ci étant codés comme décodés par la machine en sons et qui font des mots. S’il y a
de l’information dans une autre dimension et que cette dimension est potentiellement quelque chose à laquelle notre subconscient profond est connecté, alors nous pouvons accéder à cette
information. Nous pouvons la décoder, même si c’est inconsciemment.
La gravité, soit la conscience, est comme le code ultime ou l’information ultime, l’électromagnétisme étant son expression d’information. Seuls les divers
traumatismes reçus * empêchent l'être humain la pleine maîtrise de ce processus.
* Cf. livre deLaurence Heller et Aline LaPierre "Guérir les traumatismes du développement" complété par
les travaux dupsychologue et écrivain américainStanton E. Samenow pouratteindre la capacité de recevoir par laconnaissance de son style de survie et de ses erreurs de pensée afin de pouvoir les
surveiller.
Illustration de la Matrice cyber : la geôle-écran Pac-Man
En mathématique, le procédé de l’écran de l’ordinateur qui emprisonne les personnages/formes qui s'y trouvent et s'y meuvent (jeu vidéo par exemple) s’appelle un
"tore carré plat". Cette surface topologique, si elle permet de saisir immédiatement la structure invisible de la geôle-écran, souffre toutefois d’un défaut important, qui l’éloigne
irrémédiablement du monde plat de l’écran de l’ordinateur : elle déforme les distances. Elle est corrigée par un "plongement isométrique", autrement dit une représentation qui respecte les
longueurs, mais dans une version affaiblie. C'est ainsi que dans le fonctionnement de la Matrice cyber, les petits personnages de son écran - les êtres humains - sont leurrés par les illusions
géométriques d'une fausse réalité, comme dans le célèbre jeu Pacman...
Il en découle que ces petits personnages automates produisent constamment une énergie de consentement à leur geôle prison, sans possibilité de conquête de leur
véritable liberté souveraine existentielle (sauf éveil de conscience il va sans dire), et de ce fait pleinement à la merci des parasites et virus - le consortium prédateur de la 4ème dimension de
densité -qui déclenchent, gèrent et absorbent leurs émotions dont ils se nourrissent pour survivre dans les ténèbres de la conscience. Ils suivent le mouvement défini, créant la dynamique
collective de masse pour répéter systématiquement les mêmes erreurs afin que rien ne change ni n’évolue. Ils servent également de geôliers, "kapos" dédiés aux tortionnaires de cette réalité
inversée, puisqu'encadrant tous les autres pour qu'aucun ne puisse s'échapper du but ultime, l'extermination des corps comme des âmes. Ils sont pour la plupart des Golem !
L'idéologie sous-jacente de la Matrice : le Golem.
Dans la tradition juive *, le Golem (de l’hébreu goylem ou gōlem signifiant
"matière informe ou inachevée" ou "embryon") est un homme artificiel façonné d'argile et animé de vie, incapable de parole, c'est-à-dire une créature humanoïde fabriquée par des moyens
magiquesafin d’assister ou défendre son créateur démiurge. Il est simplementun mot inscrit sur son front ou sur un morceau de parchemin placé dans sa bouche. Il devient, de ce fait, l’antithèse d’Adam qui a été
créé par Dieu.
Si cette création du Golem s’effectue par imitation de l’acte créateur, cet homme robot ne communique pas vraiment, car contrairement à Dieu, les hommes sont bien
incapables de lui donner une parole claire. C'est pourquoiGolem signifie également "idiot, abruti", ce qui laisse présager un
esprit peu brillant. Mais ces créatures grandissant très vite, elles peuvent devenir très dangereuses, leur puissance pouvant provoquer les pires catastrophes. En effet, dénués de toute
conscience, ils se laissent aller à tous leurs pires instincts.
Symbolisant l’essai infructueux de l’homme dans sa vaine tentative d’imiter le Créateur, telle que la Cabale juive le promeut à l'image d'autres mouvements
gnostiques détournant le sens alchimique de cette relation au divin, le Golem n'est qu’un reflet déformé, dénué de toute liberté et prisonnier de ses passions les plus maléfiques. L’homme devenu
apprenti sorcier crée des monstres tout en se montrant incapable de les contrôler... * La première occurrence du terme golem apparaît en Psaumes 139:16 : "Galmi (i.e. mon golem) tes yeux ont vu".
La Matrice cyber de l'asservissement des consciences
"Je m'appelle Edward Joseph Snowden. Avant, je travaillais pour le gouvernement mais aujourd'hui je suis au service de tous. Il m'a fallu près de trente ans
pour saisir la différence et quand j'ai compris, ça m'a valu quelques ennuis au bureau."
Edward Snowden - Permanent Record ("Mémoires vives"), parution en septembre 2019 *
* Edward Snowden, l'homme qui a tout risqué pour dénoncer la surveillance globale, ou l'extraordinaire histoire d'un garçon brillant qui a grandi
"en ligne", homme devenu espion, puis lanceur d'alerte, et, en exil, la conscience de l'internet, la toile d'araignée numérique mortifère.
Le "cyberfilm" Matrix ("La Matrice") réalisé par Lana et Andy Wachowski, sorti en 1999, rend compte de la réalité illusoire générée par ordinateur et de la
société transhumaniste vers laquelle nous nous dirigeons.
The Truman Show, ou "Le Show Truman" au Québec, film de Peter Weir sorti en 1998, raconte la vie d'un homme star d'une télé-réalité à son insu (il
estfilmé et montré H24 aux téléspectateurs qui suivent sa vie en direct). Depuis sa naissance, son monde n'est qu'un
gigantesque plateau de tournage et tous ceux qui l'entourent sont des acteurs. Lui seul ignore la pseudo réalité. Le film explore ses premiers doutes et sa quête pour découvrir le but de sa vie,
après avoir compris que tout est factice et scénarisé autour de lui. Il parvient à s’échapper en atteignant le poste de contrôle du studio télé, en fait une métaphore du poste de commande de
cette Matrice prison !
La série télévisée The Prisoner ("Le Prisonnier") créée par l'écrivain et ancien agent des services secrets George Markstein et diffusée en 1968 rend
compte de la bulle (Cf. photo 5) limitant la conscience dans la 3ème dimension de réalité. Tant qu'elle n'est pas fissurée, cette bulle ou coquille dimensionnelle nous empêche de voir la réalité
de ce monde telle qu'elle est, c'est à dire hyper-dimensionnelle.
A leur manière, les films de la série Transformers réalisés par Michael Bay et Travis Knight (des robots représentant le bien se battent contre ceux
représentant le mal), les films de la série britannique Hellraiser ("Le Pacte") de Clive Barker (des créatures infernales adeptes d'un sado-masochisme entre jouissance sexuelle et
torture sadique voyagent d'une dimension à l'autre grâce à un Cube fonctionnant comme un casse-tête mécanique sophistiqué), la série de science-fiction canadienne Cube réalisée par
Vincenzo Natali et sortie en 1997 et 2002 (les êtres humains sont enfermés dans des pièces d’un cube dont certaines sont mortelles), et le thriller américain The Box ("La Boîte") réalisé
par Richard Kelly et sorti en 2009, traduisent la Matrice cyber à caractère entropique et mortifère. Ils mettent en avant la révélation de l’Intelligence Artificielle comme piège à la conscience
de l’être humain, qui faute de transcendance, le conduit à d’éternelles souffrances nourrissant le système prédateur.
* Le premier film Transformers est sorti en 2007, le deuxième Transformers 2 : La Revanche, en 2009, le troisième Transformers 3 : La Face cachée de la Lune en
2011, le quatrième Transformers : L'Âge de l'extinction en 2014 et le cinquième Transformers : The Last Knight en 2017.
La perversité du corpus prédateur est de toujours donner à ses esclaves illusionnés les clés de compréhension de leur jeu involutif, tout particulièrement au moyen
du symbolisme logé dans l'inconscient *. Même s'ils n'y croient pas, abêtis par l'ignorance et la course aux hochets émotionnels *² (course au pouvoir et à l'argent, toxicités diverses, sexualité
exacerbée, hédonisme lascif, exaltation sportive et musicale, religiosité et sociétés secrètes, évasion spirituelle "amour et lumière"...), ils se voient ancrer dans leur psyché le déroulé du
plan mortifère les conduisant dans les limbes du temps. Ils se croient vivants. Ce sont des morts-vivants...
Notre réalité dépend de ce que nous croyons vrai. Ce que nous croyons dépend de notre perception. Notre perception dépend de ce que nous cherchons. Ce que nous
cherchons dépend de nos pensées. Ce que nous pensons dépend de notre sagesse. Notre sagesse dépend de notre état de conscience. Notre conscience dépend de notre intuition. Notre intuition dépend
de la maturité de l’âme. La maturité de l’âme dépend de l’image que nous offrons de l’Esprit infini. Toutes les images sont des hologrammes de cet Esprit. Nous sommes des copies de
l’original.
Réalité et illusion
Nous regardons ailleurs. Nous pourrions, comme l’aigle, fixer le soleil, mais nous choisissons l’obscurité. Nous regardons comme hypnotisé la baguette de ses
maîtres, leur flûte enchantée, qui nous fait danser et danser jusqu’à l’épuisement, comme la cigale de la fable. Nous ne reconnaissons pas la réalité, car nous en sommes coupé. Nous ne voyons pas
qu’un écran est un mélange de pixels formés par trois couleurs. Nous ne voyons pas qu’un billet de banque est simplement du... papier. Nous travaillons, nous nous battons, nous nous entredévorons
et tuons pour du... papier ! Nous voyons l’illusoire à la place du réel. Nous oublions que les fruits ne viennent pas de l’achalandeur mais des arbres, que le lait ne vient pas de l’hyper
distributeur mais des vaches. Le système est une illusion complète.
Ainsi notre perception de la "beauté", proprement subjective. Picasso, certains diront que c’est "beau", d’autres s’y opposeront. Est-ce réellement "beau" ou est-ce
"croire" que c’est "beau" ? Est-ce "beau" parce que quelqu’un nous a dit que c’est "beau" ? Parce que cela vaut des millions, et que beaucoup disent "j’aime". Or si tout ceci n’était uniquement
que pour "occuper les singes" ?...
"Les raffinés, les riches, les oisifs, cherchent le nouveau, l'étrange, l'extravagant, le scandaleux. Et moi-même, depuis le cubisme et au-delà, j'ai contenté
ces maîtres et ces critiques avec toutes les bizarreries changeantes qui me sont passées par la tête, et moins ils me comprenaient, et plus ils m'admiraient. A force de m'amuser à tous ces jeux,
à toutes ces fariboles, à tous ces casse-tête, rébus et arabesques, je suis devenu célèbre, et très rapidement. Et la célébrité pour un peintre signifie ventes, gains, fortune, richesse. Mais
quand je suis seul à seul avec moi-même, je n'ai pas le courage de me considérer comme un artiste dans le sens grand et antique du mot. Ce furent de grands peintres que Giotto, Le Titien,
Rembrandt et Goya : je suis seulement un amuseur public qui a compris son temps et a épuisé le mieux qu'il a pu l'imbécillité, la vanité, la cupidité de ses contemporains. C'est une amère
confession que la mienne. Mais elle a le mérite d'être sincère."
Pablo Picasso (1881/1993) - Lettre à Giovanni Papini
Tel que l'entend ci-dessus la bande-annonce de Westworld ("Le monde de l'Ouest"), la série télévisée américaine diffusée sur le réseau HBO à partir de 2016 avec un titrage explicite
Chaos takes control ("Le chaos prend le contrôle"), la matrice cyber ou d'intelligence artificielle (IA) est, compte-tenu de ses caractéristiques mathématiques, un programme codé aux
fins de dénaturation de la biologie du vivant qu'elle enferme, et ce par le corpus prédateur qui l'établit à partir d'une puissante maîtrise technologique. A partir des grandes lois physiques de
l'Univers (électromagnétisme, force nucléaire, gravité), elle détermine le mode opératoire du fonctionnement structurel de cet univers limité - le champ de l'Astral - et de sa réalité apparente,
le conduisant dans une impasse, la cyclicité du temps puis le trou noir galactique *. Nous sommes partie intégrante de ce système matriciel, nos capteurs sensitifs étant calibrés sur ce que nous
devons percevoir de la Matrice, rien d’autre. Aussi nous scannons en permanence les signatures électromagnétiques de tout ce qui compose notre monde, et l’interprétons en fonction des
"lois-croyances" dispensées par les gardiens de la Matrice - les élites institutionnelles -, même si de temps en temps, certains, qui possèdent des capteurs dysfonctionnant quelque peu,
perçoivent autre chose.
La super entité "Humains-Matrice" * ² structure et verrouille le champ de nos possibles, scannant par sa technologie les mémoires logées tant dans notre ADN que dans notre psyché (subconscient).
Elle a de ce fait toujours plusieurs coups d'avance, sauf pour les rares "élu(e)s" ayant réussi à ouvrir leur champ de conscience et à se brancher sur le champ de l'Esprit universel (le champ
cosmique ou divin) pour qu'il leur assure l'harmonieuse car lumineuse guidance. Elle se nourrit et se renouvelle par l'ensemble des expériences que nous y menons, utilisant la puissance créatrice
de l'esprit humain à ses fins de survie, et ce par les traumatismes psycho-émotionnels qui découlent des jeux de rôle interprétés (bourreau, victime, sauveur), chacun(e) suivant une ligne
programme attribuée, de ce fait déjà réalisée en dépit de l'illusion du temps chronologique. Son fonctionnement découle bel et bien de la formule tant prisée par les sociétés secrètes occultes
qui la représentent : Ordo ab Chao, l'Ordre naît du Chaos !
*² Il est indispensable d'avoir à l'esprit la cohabitation de deux types d'humains, les Anthropoïdes et les Humanoïdes, les premiers représentant un obstacle
de taille pour la libération de la Matrice asservissante des seconds (Cf.Les acteurs de la Matrice falsifiée).
L'effet Balzac, ou la théorie des rapports entre le réel et la fiction
L'écrivain français Honoré de Balzac (1799/1850) a publié en 1833 un essai, La Théorie de la démarche, qui constitue la deuxième partie de l’ensemble
appelé Pathologie de la viesociale s'inscrivant dans son œuvre majeure "La Comédie humaine" *, qui expose son talent d’observateur sociologique sous l'angle philosophique (il
fut largement inspiré des travaux du romancier écossais Walter Scott). Sous forme d'essai comme de pamphlet, il présente l'homme intérieur, principe du pouvoir et de la longévité, et l’homme
extérieur, démontrant l’effet des principes qui commandent par la pensée son mouvement (comportement) dans la vie terrestre. Il en profite pour lancer un violent libelle contre le "pouvoir",
facteur d'explication des postures humaines et de leurs effets. Par exemple, "l’habitude de la représentation vicie le corps des princes ; leur bassin se féminise. De là le dandinement connu des
Bourbons ; de là, disent les observateurs, l’abâtardissement des races […]5,6". Ou encore les magistrats "obligés de passer leur vie à siéger, se reconnaissent à je ne sais quoi de gêné, à un
mouvement d’épaules, à des diagnostics dont je vous fais grâce parce qu’ils n'ont rien de pittoresque".
Cette étude est celle des rapports entre le réel et la fiction, entre le romanesque et le vrai, Balzac considérant que "l’œuvre‑monde" invente ses propres règles.
Autrement dit, la matrice de gouvernance de l'humain est une fiction qui prend l'apparence du réel selon la nature des forces qui la nourrissent. Ce cadrage programmatique de la Comédie humaine,
où tout est déjà réalisé de par la loi de la cyclicité, n'est rien d'autre qu'une intelligence artificielle (IA), la matrice cyber, s'attachant à faire vrai par la fiction (le cinéma, le
roman...), au‑delà du vraisemblable ! En d'autres termes, l’agencement de "l’œuvre‑monde" terrestre est lié à un corpus bien vivant *², inévitablement situé dans une autre dimension de réalité,
un autre champ de fréquences, faisant que l'observateur/acteur - l'être-humain - est de manière symétrique (perpétuel
va‑et‑vient entre le monde perçu et l’œuvre‑monde) conduit à subir et à participer du désordre de ce monde sous l'effet apparent de l’improbable et de l’aléatoire du réel. C'est pourquoi
Balzac, à l'instar de Victor Hugo, qualifie le vécu terrestre - le roman - de drame : "il faut donc que le drame soit un miroir de concentration qui, loin de les affaiblir, ramasse et condense
les rayons colorants, qui fasse d’une lueur une lumière, d’une lumière une flamme" (Préface de Cromwell).
*La Comédie humaine est le titre sous lequel Honoré de Balzac a regroupé un ensemble de plus de quatre-vingt-dix ouvrages
— romans, nouvelles, contes et essais — de genres réaliste, romantique, fantastique ou philosophique, et dont l’écriture s’échelonne de 1829 à 1850.
*²L’artisan qui fabrique ce genre de mémoires fausses est défini
"proxénète littéraire".
Cf. en complément "Balzac & l’excès du réel" de l'auteur Dominique Massonnaud.
Pourquoi pourrions-nous être tenté de sortir de notre rassurante prison ? Est-il même imaginable que la majorité des humains puissent penser qu’il existe autre chose qu’eux, que l’univers,
apparemment infini, qui les entoure ? Nous pouvons essayer indéfiniment toutes les directions, emprunter des chemins interminables, nous revenons toujours d’où nous sommes partis. Il est fort
probable que l’idée de quitter nos murs vienne de "singularités" ayant explosé au visage de certains. Nous pouvons définir ces singularités comme des faits impossibles à expliquer au moyen des
"lois-croyances" qui maintiennent la cohérence de la Matrice. Consciemment ou non, les humains refusent les anomalies qui apparaissent dans la Matrice, préférant être des chiens plutôt que des
loups *... Leur survie, en tant que créateurs et parties de la Matrice, en dépend. Ils deviendraient des corps étrangers, aussi bien à eux-mêmes qu’à la Matrice. Notre intellect est structuré
pour maintenir la stabilité de la "réalité" de notre monde. Toute remise en cause de la Matrice équivaudrait à un suicide, puisque notre référentiel structurel s’effondrant, la folie nous
guetterait.
* Ce choix est symbolisé par la fable du poète Jean de la Fontaine "Le chien et le loup", qui voit un loupaffamé demander à un chien fort bien
nourri ce qu'il devrait faire pour être lui-même aussi bien nourri. Le chien lui ayant conseillé de se mettre au service d'un humain, le loupréalise alors que le chien a une
blessure. Quand il découvre que celle-ci vient d'un collier, il décide de ne pas suivre le conseil. Le loup part et retourne dans les bois. Cette fable animalière oppose deux bêtes proches par la
morphologie, mais qui ont deux différents modes de vie : l'une est sauvage, et l'autre est domestique. Cette confrontation permet au poète de présenter deux conditions : l'insécurité liée à la
Liberté, et le confort lié à la Servitude.
Admettons cependant que, malgré les désagréments et difficultés de la démarche, des humains tentent de passer derrière le miroir, de transgresser les lois de la Matrice. Il faudrait encore
réussir à pratiquer une "brèche" dans notre continuum de croyances, et donc trouver où et comment créer une porte permettant de nous contempler.
Qui dit codé dit clé de décodage. Là réside le danger encouru par la majeure partie de l'humanité, celui de s'être vu substituer l'accès à la connaissance par la manipulation génétique effectuée
(perte des mémoires par l'amputation de brins d'ADN) pour évoluer en état de conscience "Service d'Autrui", et répondre au principe d'évolution, soit le chemin de retour à La Source, à l'UN, par
la reconnaissance de la conscience de "l"autre soi" en tant qu'égal à sa propre conscience, en dépit d'une manifestation complètement différente de cet être, et par la façon de mettre la
conscience en réseau mutuel et d'interdépendance afin que l'Ensemble soit plus grand que la somme des parties (dans cette voie, la Conscience Absolue est "glorifiée" par une merveilleuse
diversité d'être).
Cette substitution autorise ainsi manipulation et dérive confiscatoire d'une partie, essentielle, des règles du jeu * de Ce Qui Est, puisque la façon en mode
"Service de Soi" d'atteindre la "densité de conscience" est de "prendre du poids" en assimilant les autres unités de conscience. En d'autres termes,le
véritable plan du Royaume Négatif est de "manger de la conscience" en permanence, au moyen duharcèlement de la psyché par la création d'un environnement
artificiel entièrement contrôlé, composé de comportements humains complètement prévisibles parce que programmés pour répondre à des signaux de conditionnement inculqués par des siècles de
mensonges et d'obscurantisme présentés sous la forme des religions. Cela est généralement insidieusement promu comme "Tout est Un", le "mal" étant considéré comme une "rébellion", une faute ou
quelque chose avec quoi "on en finira" de toute façon au bout du compte. Et, bien sûr, le chaînage de son mode opératoire, sacré *², n'est ni
enseigné dans les écoles et les universités ou par les religions institutionnelles, ni diffusé dans les "grands" médias audiovisuels ou autres. Sinon de manière édulcorée et partielle,
volontairement, afin de ne pas ouvrir les yeux et oreilles des dormeurs, les harcelés, la confusion et les quiproquos dans lesquels ils baignent les empêchant d'obtenir une perception claire de
la réalité...
Il y a de ce fait deux manières de comprendre sa relation à l'univers. S'en remettre à celle enseignée par les différents canaux institutionnels, qui correspond à la matrice d'appartenance cyber.
Elle s'impose à l'être humain sans lui laisser de marge de manœuvre transcendantale, car limitée et manipulée. S'en remettre à sa guidance intérieure une fois ses croyances et conditionnements
viciés épurés, et se laisser conduire comme dans un jeu de piste sur le chemin de la Connaissance et de la Vérité. La façon dont nous jouons au jeu de la vie correspond à celle avec laquelle nous
collaborons. Sans cœur et amour, nous ne pouvons nous sortir de la fosse à purin mental et égotique dans laquelle nous sommes irrémédiablement coincé, dans un scénario où tout est déjà réalisé à
l'avance.
Notre réalité d'appartenance, la matrice limitée de la 3ème dimension, voit son fonctionnement basé sur les polarités opposées mais complémentaires. Ainsi le
"combat" entre la Lumière - la Vérité, la Connaissance de Ce Qui Est -, soit la conscience Christique (l'Unité), et les Ténèbres. Celles-ci sont illustrées par l'archétype Diable, de diabole -
celui qui divise-, ou Démon, le monde à l'envers. Celui-ci est de même composé de deux polarités : une polarité évolutive, la fausse lumière de l'archétype Lucifer - qui signifie le porteur de
lumière - proposée à l'humain qui doit faire jouer son discernement pour ne pas être illusionné, et une polarité entropique, involutive, dont l'archétype est Satan.
Lucifer est l'archétype dans le référentiel latin et judéo-chrétien du Titan * grec Prométhée (Cf. image ci-contre), le messager divin quis'est rebellé pour voler contre l'avis des dieux le Feu sacré de l'Olympe, symbole de la Connaissance, afin de l'offrir aux humains et leur
permettre de s'instruire. Par là-même, il est aussi évocateur de l'hybris, la folle tentation de l'Homme de se mesurer aux dieux et ainsi de s'élever au-dessus de sa condition, message sans
équivoque du corpus prédateur. C'est pourquoi il a été puni de son audace et enchaîné sur un rocher (ou crucifié selon d'autres), condamné par Zeus à
être enchaîné nu à un rocher dans les montagnes du Caucase, où un aigle vient lui dévorer le foie chaque jour. Si Héraclès (Hercule chez les Latins) le délivre au cours de ses douze travaux,
Prométhée dut porter durant toute sa vie une bague de fer provenant de ses chaînes, accolée à un morceau de pierre du Caucase. C'est pourquoi Lucifer est également représenté enchaîné (Cf. image
ci-dessus)...
* LesTitans étaient au nombre de six. Ils étaient les enfants d’Ouranos (le ciel) et de Gaïa (la terre). Un
jour, les Titans se confrontèrent à Zeus (Jupiter à Rome), et perdirent la bataille. Zeus, le dieu usurpateur psychopathe, les envoya dans le Tartare, encore en-dessous des Enfers.
Des Forces entropiques du champ de l'Astral
Les Forces du champ astral, autrement nommées Forces de l'Ombre et des Ténèbres, sont des forces, des Intelligences retardataires. Notre référentiel latin les
qualifie de lucifériennes et de sataniques. Elles sont responsables dans le grand Jeu universel du Vivant - l'évolution - du développement de l’Ego humain *, et dont les règles du Jeu/Je ont été
établies par les Intelligences Supra-mentales, les Êtres de Lumière du champ cosmique (les Anges pour la personnification). Ces Lois valent pour toutes les Planètes en évolution, c'est-à-dire où
il y a des êtres en évolution. Aussi est-il à comprendre que le Cosmos au sens astral est géré par la Loi du mensonge, mais pour le "bien" de l'être humain ! En effet, celui-ci n’est pas prêt à
connaitre la Réalité, en son état de conscience limité. Ce n'est que lorsqu'il sera prêt à la connaître que le jeu de la densité cessera, et qu'il pourra se transférer sur un autre plan de
vibration plus élevé. Pour ce faire, il doit dépasser son "actuelle" (le temps n'existe pas à l'échelle de l'Univers) condition d’existence psychologique, reliée encore au besoin de la religion
ou des philosophies existentielles dans toutes leurs formes. C'est à ce prix qu'il réalisera que dans les mondes spirituels il y a des Forces qui cherchent à retarder l’évolution, et des Forces
qui cherchent à aider l’évolution, celles-ci cherchant à lui donner un aperçu de la Réalité qui transcende les murs de l’espace-temps prison de la 3-D terrestre. Les premières correspondent au
principe Satanique, les secondes au principe Luciférien.
Le principe Luciférien est actif en l'être humain par les formes qui se situent dans son mental humain, de ce fait dans l’émotif propre à la condition humaine. De
ce fait, celle-ci évolue ou involue par la mécanicité de l’émotion et de l’intellect, nourrissant l'information de l’âme, et constitutive de ses mémoires. Aussi, pour que les Forces de Lumière
entrent dans l’être humain et sortent l’esprit de l’être humain de son corps matériel, il doit apprendre et comprendre les Lois de l’Intelligence *² ! Sinon, il demeure assujetti aux Lois de
l’âme, les Lois lucifériennes, qui, si elles sont des intelligences de haut niveau, leur polarité est totalement opposée à la polarité des Intelligences de la Lumière. Autrement dit, la vibration
dans l’Intelligence de ces forces a tendance à aller vers la matière, tandis que la vibration dans le mental des Intelligences de la Lumière retourne à la Lumière.
Les Forces Sataniques quant à elles sont dangereuses pour l'être humain, car elles sont définitivement entropiques par l'empoisonnement de l'âme qui y consent, que
l'être humain soit conscient ou non de leur domination sur sa psyché viciée.
* Cf. Décryptage de l'Ego. Ainsi,quand on parle de l’intelligence dans la Bible, on
ne parle pas de l’Intelligence Universelle mais de l’Ego, de l’intellect. L’être humain à ce stade - la cinquième race humaine - n’a encore jamais vécu d’Intelligence Cosmique, celle-ci étant la
caractéristique de la prochaine race, la sixième, soit le nouveau cycle d'évolution en cours.
Matrice vient du mot latin matrix (matricis), lui-même dérivé de mater, qui signifie "mère", l'utérus géniteur, le féminin sacré. Elle est l'élément qui fournit un appui ou une
structure, et qui sert à entourer, à reproduire ou à construire. Elle est l’hologramme de notre monde, c'est-à-dire la représentation de nos croyances en l'état. Tout en structurant notre
réalité, elle émane de nous, de notre intellect qui s'exprime sous forme de pensées associées à des émotions. Même si cela paraît paradoxal, on ne peut de ce fait la distinguer des humains. Elle
est générée par les "rêves" et les cauchemars de l’humanité, autrement dit par les formes-pensées, les égrégores, qui l'engendrent. Elles sont constitutives du "masculin", sacré s'il est divin,
désacralisé s'il est nourri par les toxicités "démoniaques". Ainsi fonctionne par la loi des polarités * l'univers.
De générations en générations, les différentes humanités dans leur vécu civilisationnel ont fini par figer la Matrice de l'astral (celle s'appliquant à la planète Terre), la renforçant à chaque
fois à travers la prolifération de la pensée unique (avec ses différents leurres de choix : politique, philosophique, religieux, scientifique ...), prônée et pilotée par les instances
politico-religieuses en charge de la gouvernance de la Cité, et par notre aspiration démesurée pour la sécurité qu'elles entretiennent savamment par le dogme distillé, même si le couple
Humanité-Matrice a souvent changé de croyances.
Son leurre est principalement la notion de temps linéaire, soit notre histoire linéaire *. Cachant qu'il existe une infinité d’espace-temps à l’intérieur d’espace-temps, elle s'attache au
formatage des esprits par l'illusion des passé-présent-futur. C'est pourquoi les géologues, anthropologues et historiens, non seulement constatent et racontent l’histoire de la Terre, mais
passent un temps fou à la rendre cohérente, ce qui est totalement vain. Même s'ils ont beaucoup d’imagination pour la justifier, elle ne cesse de se dérober à l'aune de l'évolution de la
conscience et de la remontée des mémoires enfouies de certains êtres humains qui, lentement mais sûrement, finissent par se réveiller *².
Tandis que le New Age est laissé aux profanes déçus du manque d’efficacité des religions institutionnelles, incapables de répondre aux si nombreux désirs
conditionnés, et que le matérialisme pur et simple occupe les populations dépourvues de tout pouvoir, les élites s’affairent à "craquer le code de l’univers", par le biais notamment de
super-ordinateurs, espérant ainsi réellement créer "leur propre réalité" * confinant à leur immortalité. Le transhumanisme qui le caractérise n'est rien d'autre que la version contemporaine de la
Tour de Babel, la présomption tant orgueilleuse que vaniteuse de dominer Ce Qui Est...
Or le développement du pouvoir intérieur personnel mène à la réalisation, proche ou lointaine, de la toute-puissance de l’esprit libéré des contraintes de l’espace
et du temps. L’accès à la réalité supérieure de l’esprit permet donc le contrôle absolu du monde terrestre. Cette situation étant "en dehors de l’espace et du temps", l'être humain profane ne
prend pas la peine de considérer cette possibilité, trop occupé par la diversion des hochets émotionnels distillés comme par les contraintes institutionnalisées. N’ayant développé aucun pouvoir
en lui-même, il est incapable de voir à travers la matière, de soupçonner les implications de ses pensées et émotions, et de comprendre les finalités de la fausse lumière prodiguée. L’écart est
abyssal entre l’initié et le profane, qui jamais n’envisage de penser au-delà de ce qu’on lui a dit de possible. Cette attitude confirme l’initié de sa supériorité manifeste et flagrante. Et
c’est ainsi depuis des millénaires. Reste à savoir ce que fait l'initié de son pouvoir : se servir - Mage noir - ou servir Ce Qui Est - Mage blanc -...
"Il existe dans notre monde d’aujourd’hui un puissant et dangereux culte secret".
Victor Marchetti (1929/2018), ex-fonctionnaire supérieur de la CIA, livre The CIA and the Cult of Intelligence *
Pourquoi les médias, les politiques, les enseignants, les philosophes, les docteurs, les religieux, nos parents... ne nous disent-ils rien de cette féroce dictature
occulte ? Comment un tel voile est-il possible sur une arnaque aussi gigantesque ? La réponse est banale : plus le mensonge est énorme, et plus il est difficile à détecter. C'est ainsi dans tous
les cas d’escroquerie. Sans aucune exception, la raison en est toujours la confiance aveugle de la victime. Elle donne à l’escroc carte blanche, et même souvent jusqu’à de l’amour...
La pilule est sans doute dure à avaler, surtout quand elle vient du religieux, domaine du sacré - et de ce fait de la pureté - par excellence. Il est le paravent
idéal du grand mensonge planétaire, tant par l'illusion mystique constituée que par la culpabilité à la remettre en cause. Il importe de se rendre à l'évidence : tous les organismes jusque-là
chargés d’informer et d’éduquer sont secrètement coordonnés par un seul organe occulte et mondialement centralisé. Il est appelé Gouvernement Mondial Occulte. Composé de quelques milliers de
relais, il est hyper compartimenté en milliers de sections qui ne communiquent jamais entre elles. Cette structure est même dessinée sur les billets en dollar : c’est la pyramide "Illuminati"
(image 1), celle de ceux qui ont usurpé le titre de "Confrérie du Serpent" *². ''L'œil qui voit tout'' n'est pas l'œil spirituel d'Horus/Osiris (image 2), autrement dit de Lucifer, le porteur de
lumière, mais celui de son frère Seth, le dieu serviteur de An (ou Anu) notre créateur reptilien, appelé aussi Zeus, Jupiter, Yahvé ou Jehovah, Allah... autrement dit Satan *³. Les maîtres reptiliens sont des orfèvres en matière de camouflage, ayant toujours pratiqué l’ambiguïté des noms et des lieux afin de brouiller les pistes des chercheurs. Ils
n’ont, par exemple, que très rarement supprimé les textes explicatifs sacrés, mais ont toujours fait des quantités de retouches et des inversions permanentes, toujours en leur faveur. Ce n’est
donc absolument pas par l’analyse des textes que les reptiliens peuvent être détectés, mais par deux facteurs concomitants : l’analyse des résultats vérifiables, et le fait que le hasard n’existe
jamais ...
*C’est le premier livre ayant jamais fait l’objet d’une action en justice de la part du
gouvernement des États-Unis avant même sa parution en 1974. Dans ce livre, VictorMarchetti affirme qu’une "Cabale" gouverne le monde, dont
les relais sont des professionnels clandestins de la Central Intelligence Agency.Ce culte secret est une fraternité réunissant l’aristocratie
politique dont les objectifs sont de faire avancer les objectifs politiques de personnes ou d’organismes inconnus. Ce culte agit à couvert et dans l’illégalité, tout particulièrementpar la manipulation d’individus dans des domaines où l’influence sur le public est d’importance, y compris le monde universitaire et les mass media.
Pourquoi les scientifiques, et tout particulièrement les physiciens et mathématiciens, semblent être ceux qui résistent le plus âprement à l’idée que leur
profession pourrait avoir été infiltrée et orientée par des conspirateurs qui n’ont pas à cœur les meilleurs intérêts de l’humanité ? Comment expliquer que ces hommes de science, vers qui
les élites institutionnelles se tournent pour obtenir des solutions à leurs problèmes de gouvernance, pensent que leur profession est exempte de toute manipulation au service d'une cause
contraire à l'intérêt général ? Tout simplement parce que, retranchés derrière leurs machines et instruments destinés à mesurer précisément, ils n'imaginent aucune "erreur de lecture" de
l’appareil, en l'occurrence la "culture officielle" qui décide de ce qui peut et ne peut pas être pris au sérieux. Ils sont hypnotisés par une "erreur de lecture" qui est délibérément programmée
et introduite dans la "machine" des sciences, soit leur propre mode de pensée ! Et comme le temps est limité - dans une journée, dans une année, dans la vie d’un homme -, le volume d’étude
nécessaire à la découverte des fils et faits bruts d’une "conspiration" est incompatible avec leurs capacités. Il en découle le mécanisme de déni, entretenant l'océan de mensonges, de
désinformation, de manipulation, de propagande et d’écrans de fumée dans lequel nous baignons. Et c'est ainsi que les hommes de science les plus compétents sont utilisés pour soutenir les élites
au pouvoir, en mettant à leur service leurs savoirs et outils de puissance, les bombes comme les technologies de contrôle du mental, tout ceci à partir de l’argent mis à leur disposition,
celui-ci s'attachant à bien séparer les sciences du domaine public des "sciences secrètes".
Leurs témoignages sont cependant toujours dénigrés au départ, tant notre perception de la réalité est formatée, soit expliquée par les lois en vigueur dans la Matrice, soit éliminée. De ce fait,
le temps linéaire nous oblige à faire entrer tous les faits, singuliers ou non, à l’intérieur de notre propre perception conditionnée du temps *. La linéarité du temps est un leurre. Notre
histoire est intemporelle, et dépassant de ce fait l’entendement, il nous est impossible de la reconstituer en appliquant les lois actuelles de la Matrice, puisqu’elle a eu lieu dans d’autres
formes de la Matrice. On ne peut même pas parler d’enchaînement, de continuité historique, puisqu’il n’y a aucune continuité entre les diverses formes de la Matrice. Seules des intuitions
inexplicables titillent les plus aventureux et courageux.
Lors des changements de croyances qui interviennent à chaque fin de cycle (ou de sous-cycle) dans le calendrier cosmique et énergétique du champ astral, l’ensemble Humains-Matrice se recrée.
Cette recréation n’est rendue possible que lorsque le "rêve de la planète" a atteint un seuil critique, et que tout ou partie du monde adhère à un nouveau paradigme. Alors, pendant une période de
transition plus ou moins longue, des humains appelés par les religions "les élus" peuvent interférer de l’ancienne Matrice à la nouvelle, l’ancienne continuant son existence propre. La structure
du nouveau monde peut conserver des inclusions de l’ancien *². Ceci explique les artefacts que l’on trouve dans des couches géologiques très anciennes, où l’humanité était censée ne pas exister.
Des objets de l’ancien monde se retrouvent emprisonnés dans des couches géologiques en création du nouveau. Ce sont des intersections, en quelque-sorte. Elles nécessitent pour être comprises de
considérer que ce que l’on appelle le temps ne s’écoule pas à la même vitesse d’un espace-temps à l’autre. Ainsi un objet qui se dédouble une fraction de seconde de l’ancien monde correspond à
plusieurs milliers d’années dans le nouveau. Les mécanismes spatiotemporels intègrent des concepts qui nous dépassent totalement, bien que créés par notre mental. Ceci explique que notre capacité
à appréhender ces processus soit limitée par notre formatage aux lois de la Matrice actuelle. Il n’en est pas toujours ainsi dans d’autres Matrices, où la super-entité "Humain-Matrice" connaît
d’autres perspectives, beaucoup moins confinées, voyant l’interaction harmonieuse des deux créer des mondes où le temps n’existe pas ...
René Schwaeblé (1873-1938), auteur féru d’alchimie et d'occultisme, a mis à la disposition du grand public des connaissances qui, d’ordinaire, demeurent dans l’alcôve de la "Science des Sages"
dans son Précis d'occultisme, nuire sans danger. Il va sans dire que pour l'approche scientifique humaine traditionnelle, la théorie d'une modification de la gravité contrôlée par
l'élévation ou augmentation de la fréquence de résonance de la conscience, puis l'existence stabilisée d'un autre "plafond de réalité", la quatrième densité de la matière, n'est pas envisageable,
ou fort peu.
Concernant la quatrième dimension, il est parti de la définition commune d'un corps par les trois dimensions hauteur, largeur et profondeur, appliquée à un objet quelconque, comme un cube. Nous
croyons définir ce cube en disant qu’il a un mètre de côté, et nous nous le représentons. Comme nous nous le représentons forcément quelque part dans l’espace, il occupe une partie de cet espace
et c’est cette partie qui est définie par les trois dimensions. Mais quand ? A quel moment du Temps ? Déjà, un autre corps, d’autres corps occupent l’espace défini par les trois dimensions de ce
cube, comme un autre corps, d’autres corps l’occupaient avant lui. Le moment présent est le passé ou le futur. Il n’existe pas, ne peut exister, et le Temps étant essentiellement continu, il ne
souffre pas d’arrêt.
Or, l’Espace se meut dans le Temps. L’on comprend donc maintenant que pour définir un objet la notion de temps doit s’ajouter à celle de nos trois dimensions. Si nous n’avons pas cette notion du
Temps, qui prouvera que notre objet demeure le même pendant que nous lui appliquons ces trois dimensions ? Les trois dimensions ne suffisent pas.
C'est également ce que démontre en chimie les isomères, ces corps qui, ayant une composition identique, jouissent de propriétés différentes. L’acide fulminique a la même composition que l’acide
cyanique : le premier soumis à la plus faible élévation de température détonne avec violence, l’autre résiste à la chaleur rouge. Voilà deux corps qui ne sont pas définis par leur formule
chimique, puisqu’elle s’applique indistinctement aux deux. De ce fait, les corps ayant même composition et propriétés différentes occupent en réalité des espaces différents, qu’ils cristallisent
suivant divers systèmes. Mais s’ils cristallisent dans le même système, l’idée d’une quatrième dimension s’impose.
Autre démonstration. En supposant que nos télescopes nous permettent de suivre les événements d’une planète, nous apercevons un jour sur cette planète un volcan en flammes. Pour venir jusqu’à
nous, les rayons lumineux émanés de l’astre mettent deux mille ans. Au moment où nous avons aperçu le volcan, il y avait deux mille ans que les rayons lumineux le représentant avaient quitté la
planète, c’est-à-dire que ce qui nous apparaissait le présent (le volcan en flammes) était au même instant le passé pour les habitants de cet astre – et le futur, pouvons-nous ajouter, pour les
habitants des autres astres plus distants de celui-là que la Terre, et où ces rayons lumineux ne sont peut-être pas encore parvenus. Si nous supposons que certains êtres de l’Invisible remontent
ces rayons plus rapidement que nos propres moyens, ils connaîtront lors les choses – l’avenir – avant nous, et pourront nous l’apprendre.
Le Temps est donc une dimension aussi indispensable que les trois autres dans la définition d’un corps. L’Espace nous apparaît suffisamment défini par les trois dimensions. Mais l’Espace se meut
dans le Temps, et par l’exemple du volcan nous venons de montrer que le Temps nous est inconnu, et échappe parfaitement à notre entendement.
Aussi ce que nous voyons dans cette troisième densité terrestre est un reflet tridimensionnel de la 4ème dimension, qu’on peut constater mathématiquement en regardant les configurations
nuageuses sur les différentes planètes. S’il n’y avait pas une autre dimension au-dessus de nous, un cercle serait rond et le mouvement circulaire des nuages serait conservé. Mais parce qu'il y a
transfert de la 4ème densité vers la 3ème, ceci entraine que lorsque nous regardons un objet de 4ème densité, sa version de 3ème ressemble à une forme hexagonale avec des angles. C'est pourquoi
les photographies de la sonde spatiale Voyager ont montré que les configurations nuageuses aux pôles Nord et Sud de la plupart des planètes ne sont pas circulaires, mais hexagonales.
La réalité hyper-dimensionnelle de l'univers par la nouvelle physique
Le physicien théoricien américain John Archibald Wheeler (1911/2008), spécialiste de la relativité générale, a sensiblement influencé les recherches sur les trous
noirs, ouvrant la possibilité à la compréhension de la manière dont la "réalité" est projetée dans un univers nourri d'informations, selon différents états ou niveaux de fréquences
dimensionnelles (autres que la 3-D) qui en traduisent la matérialisation. Par là-même, ceci ouvre la voie àl’idée que ces
autres dimensions pourraient être habitées, peuplées de créatures ou entités ayant une certaine forme de conscience !
Il en découle que les dimensions mathématiques prisées par les scientifiques physiciens doivent être considérées non comme
de "simples" abstractions, mais comme ayant une existence physique, et ce quelle que puisse être la signification du terme "physique". C'est ce que Wheeler a mis en avant dans sa théorie des
quanta, suggérant qu’un "observateur" qui regarde l’univers "en vue de le créer", doit être inclus dans nos considérations... Il y a naturellement une multitude d'observateurs à notre échelle
terrestre, constitutif d'une infinité de "futurs nous", c'est-à-dire traçant par leur regard la réalité de leur évolution à partir du "maintenant" qui est perçu. Autrement dit le moment "choisi",
la question étant de savoir si nous le choisissons en toute connaissance de cause ou s'il découle d'une incitation/suggestion à le choisir comme tel... C’est donc à partir de ces futurs
probables d’un potentiel infini – l'univers n'est qu'informations – que la réalité est projetée par des ondes de formes, et c'est au travers des êtres humains, par leur état de conscience qui lit
ces ondes, que ces énergies sont trans(con)duites par la courbure de l'espace-temps et deviennent "réelles" !
Qu'en déduire ? Que nous les êtres humains, dans l’ici et maintenant (le moment présent), à la conjonction de toutes les probabilités rivalisant les unes avec les
autres pour devenir "réelles", n’avons aucune possibilité de "créer" qui et quoi que ce soit dans cette réalité de densité terrestre. Les réalités, les potentiels créateurs, sont des projections
à partir de niveaux de densité plus élevés. Nous sommes simplement des récepteurs, des trans(con)ducteurs, des miroirs reflétant l’œil qui nous voit tous - "l’œil illuminati dans sa nature tant
lumineuse que ténébreuse" -, c'est-à-dire en l'état de notre conscience comme des rats de laboratoire, prisonniers par inconscience d'entités involutives qui ont érigé les murs de notre prison !
C'est le "grand secret" caché, qui voitl’Histoire de l’humanité terrestre n'être qu'une longue série de guerres, violences, famines, pestes et désastres
naturels génératrice de souffrances. Cette souffrance est le produit, l'or sulfureux, recherché par nos gardiens dans leur dimension "supérieure", destinée à les approvisionner en permanence en
énergie négative, base de leur alimentation.
Là se trouve la clé des réalités hyper-dimensionnelles, où les énergies mentales ou de conscience sont amplifiées et peuvent interagir avec l’environnement. Cette
technologie de la création établit que non seulement l’énergie de transport est en partie physique et en partie "éthérique", mais qu'il en est de même pour la communication ainsi que des
pouvoirs de "manifestation". Toutes ces propriétés participent de l’existence hyper-dimensionnelle. Et comme cette possibilité d’état est affirmée depuis des millénaires dans tous les mythes,
légendes et récits dits merveilleux comme étant "le monde des dieux", de son bestiaire (dragons, serpents, licornes...) et créatures (fées, lutins...) de tout acabit, il n'est nullement insensé
d'émettre l’hypothèse que ces mondes sont bel et bien habités !
Cette réalité para-physique de l’espace hyper-dimensionnel est l’univers des programmeurs de "La Matrice" qui, compte-tenu de la loi des polarités * qui prévaut dans la structuration,
l'organisation et le fonctionnement du Vivant - Ce Qui Est -, est habitée par des êtres ou entités qui possèdent simultanément les deux polarités : la positive et la négative. Se situant à un
étage supérieur de la 3-D terrestre, ils se trouvent dans un monde strictement éthérique, ayant évolué soit dans la direction positive, soit dans la direction négative, des pôles de la Création.
Il s’agit en fait, compte-tenu de notre conception du temps linéaire, d’un monde du futur, qui crée notre présent en se projetant dans le passé. C'est pourquoi, si nous pensons au futur en termes
de futurs probables, ceci détermine la sorte de futur que nous allons expérimenter individuellement et collectivement.
La centricité, clé d'accès à la quatrième dimension
La 4ème dimension est une intuition intellectuelle humaine, qui permet à l’être humain de réaliser qu’il y a quelque chose d’autre en dehors des 3 dimensions de
l’espace (hauteur, largeur, profondeur). Si elle est valable en tant que concept, elle existe également en tant que réalité directement liée à l’infinité, mais sans être compréhensible au
niveau humain. La raison est que l’être humain pense, et que sous la coupe du corpus prédateur qui la domine, la planète Terre est totalement contaminée par sa pensée et ses émotions, servant
ainsi de miroir réfléchissant à la corruption. Or, pour comprendre la 4ème dimension, il faut être dans un état de réception vibratoire au niveau du cerveau - l'état dit du "point zéro" -,
autrement dit de l'état de neutralité émotionnelle. De la sorte, le cerveau sert à véhiculer l’énergie nécessaire en provenance de la supraconscience, l'Esprit universel, pour comprendre les
relations qui existent dans cette dimension.
C'est pourquoi la 4ème dimension, si elle est une infinité de possibilités, celles-ci sont instantanément arrêtées pour permettre une concrétisation de l’expérience
dans la matière viciée nécessaire à l'évolution de l'être humain. Cette expérience fait qu'en l'état, il ne puisse pas encore voir ou comprendre que tout ce qui existe en dehors de la conscience
humaine ne peut lui parvenir que par l’intuition. Mais celle-ci est trop lente, pas assez compacte donc partielle, parce que le corps mental humain n’est pas encore par son manque de centricité *
en harmonie vibratoire totale avec le Supramental qui est la Conscience Universelle ou Cosmique. Il est de ce fait assujetti à la forme, qui exerce une grande emprise sur l’émotion de l’être
humain, brouillant son esprit et empêchant son intellect de comprendre d’une façon objective et totalement détachée de lui-même.
Pour que l’être humain se conscientise dans le supramental, il doit dépasser petit à petit ces formes qui siègent dans son mental comme dans ses émotions. C’est en
effet lorsqu’il apprend à dépasser ces formes que sa centricité se développe, qu’il devient de plus en plus sûr d’être sûr, et que la conscience, c’est-à-dire le contact avec les plans
supérieurs, se raffermit, devenant précise et, éventuellement, amenant l’être humain à pouvoir regarder dans l’avenir, à connaître les autres humains, et à se connaître parfaitement. Les fausses
formes, les fausses émotions, les pensées subjectives, tout ce qui est négatif, tout ce qui retarde l’être humain, tout ce qui est fondé sur la crainte, doit être dépassé, et ce dépassement se
fait au fur et à mesure que l’être humain en prend conscience. Il acquiert pas à pas la force pour briser ces formes, les rompre, les diminuer, diminuer leur emprise sur lui. Il rencontre
inévitablement la souffrance, celle de cette transformation, métamorphose, qu'il doit vivre au fur et à mesure qu’il entre en contact avec des niveaux de plus en plus puissants d’énergie. Alors
seulement la chrysalide pourra devenir papillon !
Le treillis magnétique, instrument du verrouillage
La façon dont le corpus prédateur de 4ème dimension verrouille l'humanité dans la matrice de 3ème dimension repose sur l'utilisation d'un référentiel sacré originel, détourné de son sens profond.
Ce référentiel est présent dans l'inconscient collectif, et c'est pourquoi il apparaît logique et cohérent aux êtres humains. Il est enseigné de manière profane dans les savoirs dispensés, tout
particulièrement les mathématiques (arithmétique, algèbre et géométrie). Quant aux chercheurs de vérité - comme par exemple nombre de Francs-maçons -, ils sont pour la plupart égarés par une
présentation fallacieuse de sa soi-disant explication symbolique sacrée. Le treillis (matrice) de l'univers confiné au champ de l'astral constitue ainsi l'exemple type d'une manipulation de masse
induite dans la psyché de l'humanité, délivrant un enseignement dévoyé aux apparences extraordinaires ...
Modèle géométrique et fonctionnement
Ces quelques lignes contiennent à elles seules les clés nécessaires pour comprendre la gigantesque manœuvre de désinformation qu'est le secret de cette géométrie sacrée. Effectivement, la Fleur
de vie est véritablement le modèle géométrique d'un champ électromagnétique - le courant d'énergie fort en physique - décrivant le développement de la Vie, celle-ci se traduisant sous forme
d'énergie, ondes en vibrations ou fréquences *.
Ainsi, lorsque ce modèle géométrique est dépolarisé, et de ce fait inversé, il est privé du courant d'énergie faible de l'Univers, l'éther, explicative du non visible *². Il oriente alors toute
forme de vie non pas vers son expansion, mais à sa rétraction, c'est-à-dire au repli de sa propre énergie sur elle-même, pouvant l'amener jusqu'à s'auto-détruire.
Il constitue également un dispositif électronique, qui comprend classiquement trois canaux de fréquences dits "filtre passe-bas" (ou coupe-haut), "filtre médian", "filtre passe-haut" (ou
coupe-bas). Chaque canal étant constitué d’un condensateur (composant de stockage de l'énergie électrique mesurée en Farad assimilable aux capacités et potentialités humaines) et d'une résistance
(composant de transformation de l'énergie électrique mesurée en Ohm assimilable aux capacités résistives humaines) aux caractéristiques spécifiques, la résistance varie selon l'intensité mise sur
le potentiomètre (la résistance variable à trois bornes) afin d’autoriser ou d’interdire l’échappement d’une fréquence plus élevée. Nous pouvons ainsi comprendre comment les gardiens de la
Matrice cyber manipulent le treillis électronique astral des fréquences terrestres par le filtre passe-bas, celui-ci laissant passer les fréquences basses, et atténuent considérablement le filtre
passe-haut des fréquences élevées, celles en provenance du champ cosmique. Il en découle la réduction sinon l'atrophie des possibilités offertes par le génome et le cerveau de l'être humain dans
le décodage des informations en provenance du champ éthérique, l'a-matière (ou matière noire) via l'air, les champs magnétiques, les ondes électromagnétiques, les infrarouges et ultraviolets,
ceux-ci ne détectant qu’une plage réduite des ondes sonores, lumineuses, olfactives, gustatives et tactiles *³.
En conséquence, toute forme d'existence enfermée dans une Fleur de vie dépolarisée et à son champ de basses fréquences, c'est-à-dire privée de toutes les puissances énergétiques universelles à
même de lui fournir toutes les informations nécessaires à son bon fonctionnement, construit alors elle-même sa matrice d'involution, sa propre prison. Et ceci bien sûr n'est pas enseigné ...
La modélisation de l'univers repose sur une figure géométrique connue des ésotéristes, nommée la "Fleur de vie" (Cf. image). Dans son ouvrage L'ancien secret de la Fleur de vie - Tome 1
- appelant à titiller l'imaginaire des chercheurs de vérité, l'auteur états-unien Drunvalo Melchizédek au nom d'emprunt spécifiquement choisi * écrit : "Jadis, tout ce qui vivait dans
l'univers reconnaissait la Fleur de vie comme le modèle fondamental de la création — une conception géométrique qui permettait d'entrer et de sortir du plan de l'existence physique. Puis, d'un
très haut niveau de conscience, l'évolution dans les expériences de la dualité nous a voilé qui nous étions vraiment. Cependant, le secret de la Fleur de vie a été conservé pendant des milliers
d'années dans les anciens artefacts et sculptures du monde entier, et encodés dans les cellules mêmes de toute vie".
* Il est au même titre que nombre d'autres auteurs/enseignants/gurus "illuminés" tel Vincent Bridges adepte de sortes d’initiations dans la Grande pyramide de
Gizeh qui futconstruite par focalisation d’onde sonore afin de permettre l'ouverture de portail temporel. Mais c’est comme "le Magicien d’Oz" (Cf. romanpour enfants écrit par Lyman Frank Baum paru en 1900 aux États-Unis) : quand il
finit par être démasqué, il reste un mystificateur qui donnait de faux cœurs, de faux diplômes et des recommandations sans valeur...
Comment la conscience de l'humain établit le modèle géométrique de sa bulle de réalité.
La conscience de chaque humain qui est exprimée sur Terre - la 3-D circonscrite à l'espace-temps limité * -, constitue une bulle, qui jointe à d'autres, créent des
champs d'énergie électromagnétiques de nature géométrique - les égrégores -, ce qui est symbolisé dans les traditions par la géométrie de la "Fleur de Vie". Ainsi, l'espace-temps linéaire,
"l'illusion du passé-présent-futur", n'est qu'une interprétation de notre cerveau par la croyance y relative ancrée dans l'égo-mental, et de ce fait liée à la densité de réalité dans laquelle
l'être humain se situe (la densité de l'espace-temps est établie sous le nom de "résonance de Schumann", qui mesure la différence de potentiel
électromagnétique entre la surface de la Terre et l'ionosphère et en établit une moyenne qui donne une idée de l'accélération moyenne du temps ressentie par l'homme dans la mesure où elle affecte
la sphère neuropsychologique et cognitive ainsi que la fréquence du rythme sensorimoteur - RSM). Cette notion linéaire du temps fluctue cependant selon les interférences des forces cosmiques et
psychiques sur le champ électromagnétique terrestre, la perception de ces interférences spatio-temporelles différant d'une personne à l'autre. Ces interférences se répercutent également sur la
surface de la Terre par des changements climatiques et géologiques. En effet, ce qu'il se passe au niveau du microcosme se passe aussi au niveau du macrocosme, et inversement ! De par leur
nature, ils sont mutuellement liés.
Dans la mesure où la conscience crée la gravitation, l'ensemble des lignes temporelles ou dimensionnelles qui forment un champ de particules sont illisibles par la
conscience tant que celle-ci reste "enfermée et limitée" par les croyances du cerveau-ego. Et celui-ci a été conçu et paramétré par nos maîtres généticiens à travers l'amputation de nombre de
brins de notre ADN pour ne lire et comprendre qu'une seule réalité : la densité dans laquelle nous nous trouvons caractérisée par la loi de la dualité, les opposés antagoniques. Nos croyances
sont donc liées au treillis magnétique terrestre au sein de sa galaxie solaire d'appartenance (La Voie lactée) du champ astral. Néanmoins, grâce à cette forme d'illusion sélective, la conscience
se manifeste et s'exprime à travers différentes formes de vie afin d'élargir son champ de création.
Ainsi l'illusion ne prend en compte qu'une seule fréquence magnétique de réalité, qui est structurée selon la cohésion et l'ordonnancement des particules dans notre
environnement. Elle représente une seule possibilité de réalité-densité, soit notre "univers personnel" ou le monde que nous nous créons au travers de notre conscience. Elle est décodée
instantanément par nos sens physiques et transmise au cerveau, et ce sans la réalité d'existence dans laquelle se trouve notre âme *² (notre corps astral, non soumis à la gravitation et à la
densité, n'est pas lié à l'espace-temps). C'est cette fréquence magnétique maintenant notre conscience incarnée dans un corps de densité qui correspond à une ligne temporelle, celle de la vie
présente que nous vivons. De ce fait, toutes les lignes temporelles dans lesquelles notre conscience "s'incarne" peuvent-être considérées comme un champ d'illusion/expérimentation, concepteur de
croyances...
La Fleur de vie peut être trouvée dans toutes les religions majeures du monde, car elle contient les modèles de la " Création " - Ce Qui Est - tels qu’ils
émergèrent du " Grand Vide " selon les pensées du " Créateur ". Elle découle de la création de la " Graine de vie " (Cf. image 1), dont le même mouvement en vortex (spirale) crée la structure
suivante dite " Œuf de vie ", base de la musique, les distances entre sphères étant identiques aux distances entre tons et les demi-tons. Elle est aussi identique à la structure cellulaire de la
troisième division embryonnaire (la première cellule se divise en deux cellules, et la quatrième en huit). Ainsi la même structure, alors qu’elle se développe un peu plus, crée le corps humain et
tous les systèmes d’énergie. Par la création de plus en plus de sphères pour constituer l'ensemble de la Création, la structure finale est appelée Fleur de Vie.
La Fleur de Vie contient un symbole secret créé en traçant 13 cercles à partir d’elle, faisant apparaître en son centre le " Fruit de vie " (image 2). Il contient
13 lois mathématiques et géométriques, autrement dit des systèmes d’information *, chacun expliquant un autre aspect de la réalité. Ainsi ces systèmes sont capables de donner accès à tout, du
corps humain jusqu’aux galaxies. Dans le premier système, par exemple, il est possible de créer n’importe quelle structure moléculaire et n’importe quelle structure cellulaire qui existent dans
l’univers. En d’autres termes, n’importe quelle créature vivante.
La forme la plus commune de la Fleur de vie est un modèle hexagonal - où le centre de chaque cercle est sur la circonférence de six cercles environnant de même
diamètre -, fait de 19 cercles complets et de 36 arcs circulaires partiels, le tout entouré d’un large cercle. La Graine de vie est quant à elle formée à partir de sept cercles placés en
symétrie, formant un modèle de cercles et lentilles, qui agissent en tant que composant basique du design de la Fleur de Vie.
* Ici réside la base du modèle totalitaire transhumaniste en cours de déploiement à partir des technologies informatiques et numériques conduites à travers les
systèmes d'information et leur connexion. Qu'il l'accepte ou non, tout contributeur concerné (informaticien, ingénieur réseau, programmeur... et tout particulièrement l'architecte en chef - DSI
-) est un agent du corpus prédateur, même si une communauté résistante - pirates/hackers - s'évertue à lutter de l'intérieur pour en retarder ou perturber la mise en œuvre.
Logos avec hexagone - Cliquer pour agrandir
Publicité MAAF - Cliquer pour agrandir
Les 1 et les 0
Les "illuminés" qui pensent et dirigent se disent des "1", à l’inverse du peuple, les moutons, qui sont les "0". C’est-à-dire rien, le vide, le néant. Ils sont les
travailleurs, les fourmis, les abeilles, qui construisent et produisent exactement ce que décident les élites, le miel qu'elles consomment avec délectation : la technologie, les industries... Ils
les offrent à quelques UNS quis’efforcent de les occuper par tous les moyens possibles. Ils sont con-damnés à leurs
yeux, multitude grouillante qui les insupporte. Et cela fonctionne à merveille.
La société est traditionnellement représentée dans les sociétés et ordres ésotériques occultes par la ruche. Ses habitants sont les abeilles, qui naissent
uniquement pour butiner les fleurs et récolter le miel. Les abeilles * font "Zzzzz", de même que le dormeur. C’est la raison pour laquelle de nombreux logos, en particulier ceux des mutuelles
(assurances), sont représentés par un hexagone, c’est-à-dire une alvéole. Assurance que les 0 continuent à dormir, car la vie d’une abeille se résume à se reproduire, être sélectionnée, être
triée, être dirigée, être abattue. Si certaines abeilles se souviennent de leur état d’humain, toutes les autres ne s’en rappellent pas, pensant qu’elles sont des hommes alors qu’elles ne sont
que des abeilles. Elles se contentent de "sex drug rock’n’roll", de travailler, de se marier, d'aimer leurs enfants, de se divertir, et bien sûr d'avoir un plan funéraire. Il faut bien penser au
"plan Obsèques" au royaume des morts. Les 0 travaillent même pour payer leur propre mort. Et le mieux, c'est qu'ils trouvent cela normal. Pourtant, n’est-il pas effroyablement absurde de parler
du financement de la mort quand on est déjà... mort ? Travailler pour payer sa mort en aimant son travail... lequel n’est rien en échange de l’indispensable papier nécessaire pour avoir sa place
sous terre !
*Le symbole de l'abeille traduit par leur disparition en cours la course folle à notre perte. En se focalisant sur le
réchauffement climatique, vaste fumisterie qui tout en nous taxant plus ne remet pas en cause le modèle économique - la consommation de masse - qui y contribue. En ne laissant plus de place par
notre avidité aux autres espèces, nous contribuons à ne pas permettre la sauvegarde de notre biosphère à laquelle contribuent les abeilles. Ainsi l’utilisation de pesticides nocifs aux abeilles
en agriculture a contribué à faire mourir l'hiver 2017/2018 au moins 20.000 colonies en Bretagne. Une véritable hécatombe qui conduit tant à une situation financière dramatique des apiculteurs
qu'à une reconstitution hypothétique de leur cheptel. En attendant que cela ouvre de nouveaux marchés, ceux de l’abeille robot qui viendra polliniser mécaniquement et artificiellement nos plantes
pour que nous puissions encore manger un peu...
Initiation occulte à la puissance de la Fleur de vie
Comme toujours, l'être humain a le choix de son évolution à travers le maniement des symboles. En mode " Service de Soi " tel que pratiqué dans les cercles
ésotériques type Franc-maçonnerie *, la Fleur de vie recèle le prédateur qui maintient l'humanité en esclavage. Ainsi, en suivant le protocole tel que défini ci-contre, ce que nous voyons apparaitre est une entité reptilienne, effrayante et farouche dans son regard. Une seconde, encore plus effrayante (un Dragon chinois), surgit en faisant
pivoter la fleur de 30 degrés et en répétant les étapes.
La première entité est appelée " l’homme khaibit ", correspondant à la maîtrise du 10ème degré. Nous pouvons ainsi comprendre de quelle façon le corpus prédateur
agit. En attirant certains êtres humains avides de connaissances cachées constitutives d'un pouvoir puissant, il loge dans leur psyché le virus mortifère de l'involution. Si par l’Âme unifiée le
Soi supérieur n'a pas été purifié de tout le prurit psycho-émotionnel pré-existant en toute conscience et en toute connaissance de cause, l'impétrant demeure enserré dans les filets de la matrice
corruptrice et constitue un relais de choix pour le jeu mortifère du corpus.
De manière relaxée, assis à 1 mètre de votre écran, laissez la fleur de vie vous faire doucement regarder dans le vide. Alors la fleur s’ouvrira. En essayant de ne
pas vous focaliser à n’importe quel endroit, continuez à regarder dans le vide, en prenant la fleur comme un tout. Vous pouvez avoir mal à la tête et les yeux qui piquent, mais cela va rapidement
disparaitre. Nous ne voyons pas avec nos yeux, nous voyons à travers nos yeux. Laissez votre esprit se focaliser, ne le combattez pas.
L'anneau de pouvoir macrocosmique
Tel nous l'enseigne la production hollywoodienne Le Seigneur des Anneaux, l'anneau symbolise une alliance par une "relation privilégiée" avec un autre être. Ainsi l'anneau de mariage,
qui est une menotte psychique qui nous tient prisonnier par la signature d'un contrat attestant de notre appartenance à la matrice du "Service de Soi". Sous l’œil avisé de l’Église, pour
beaucoup, et de l’État, les deux grandes autorités reptiliennes, le couple s'unit et les deux amants qui mentent à leurs âmes, "âme-ment", célèbrent la possession de leurs âmes lors de leur
premier "a-couple-ment". L'anneau officialise le mensonge du couple qui jure fidélité au prédateur. C'est un Anneau de Pouvoir. L'être humain n'aura cesse tout au long de son parcours terrestre
de les empiler - contrat de travail, d'assurance, d'emprunt, de location... -, s'enferrant comme débiteur de son créancier esclavagiste de sa (non) conscience. Il ne cessera naïvement de
revendiquer ses droits, alors qu'il n'aura eu cesse de s'offrir sur l'autel de sa propre immolation.
Nous pouvons ainsi mieux comprendre pourquoi nombre d'élites qui appartiennent à la noblesse - "l'anneau blesse" - constituent comme forces oppressives les relais terrestres du corpus prédateur
de 4ème dimension *.
Du code vestimentaire des élites dirigeantes - Cliquer pour agrandir
Des lignées royales
Les familles ou lignées royales - les élites de la noblesse ("l'anneau (qui) blesse") - ont des activités pré-ordinées destinées à assurer le contrôle des masses
humaines esclaves, et qui n'ont pas nécessairement à voir avec une position séculière établie. C'est pourquoi elles revendiquent une pureté originelle de leur lignée génétique, dite "sang bleu"
(on parle de bleu royal pour les dynasties royales de France). Elles établissent ainsi le lien avec la civilisation atlante, de couleur bleue, qui avait atteint un haut niveau spirituel avant
d'être corrompue et dévoyée par le matérialisme technologique. La recherche de la pureté du sang "originel" est la quête idéologique de tout système prédateur, telle celle menée par Richard
Walther Darré (1895/1953) *, général SS, l'un des principaux théoriciens nazis de l’idéologie Blut und Boden ("le sang et le sol"). Elle n'a en fait pour objectif que l’organisation même
d’une gigantesque réserve énergétique à l’échelle planétaire, dont la fonction première est de nourrir selon les cycles du calendrier cosmique l'entité prédatrice supérieure affamée, au réveil
d'un long sommeil millénaire...
La transmission des secrets de cette civilisation par les survivants du déluge apocalyptique a permis à une prêtrise corrompue d'asseoir sur leur trône terrestre
les gouvernants institutionnels - pharaons, rois, empereurs, présidents - qui conduisent à leur bénéfice prédateur exclusif la marche du monde terrestre *².
Il est à noter que les lignées royales perdent inéluctablement le contrôle lorsque les énergies s’accumulent avant
l’achèvement du cycle civilisationnel concerné.
*Ancien responsable de la politique agricole du Reich, il mettait au point à partir du sang allemand le meilleur, issu de
croisements concertés au cours des générations, le type le plus pur de l’Allemand nordique afin de produire un haut élevage, au sens littéral du terme...
Cf. en complément le livre"La dernière valse des tyrans: La prophétie" de l'auteure états-unienne Judy Zebra Knight, qui à partir desenseignements et des prédictions de Ramtha (un guerrier lémurien en lutte contre les atlantes il y a 35 000 ans), décrit les changements radicaux qui vont
intervenir à la fois par suite de cataclysmes naturels et des bouleversements économiques et politiques, et ce à l'initiative des
machinations des "Hommes Gris", ces grandes familles qui agissent depuis l'ère napoléonienne dans
l'ombre en tirant les ficelles du pouvoir, manipulant le marché boursier, et en possédant la Réserve fédérale américaine et la plus grand partie de l'argent en circulation à travers le
monde.
Sa symbolique représente un symbole phallique de premier ordre pour affirmer sa virilité, notamment le conformisme et la surestimation virile. Elle semble clamer :
"Suivez la flèche et vous découvrirez l’organe qui fonde la légitimité de mes droits et de mon pouvoir!". Elle peut devenir "cravate de chanvre", une obligation qui étouffe, une situation qui
piège et fait perdre ses moyens. On peut avoir l’impression de manquer de liberté ou d’air.
La Cravate
Pourquoi portons-nous une cravate*, tout particulièrement les élites institutionnelles ? La cravate représente la corde, comme l’anneau de mariage. Elle est ce lien
autour du cou (le pendu) au milieu du "V" formé par la veste. Le V fait référence à Eve, la partie féminine, terrestre. Le V dans l’autre sens symbolise Adam, la partie masculine, céleste. Les
deux forment le sceau de Salomon, la Création, tenue enserrée dans sa dimension de 3ème densité par le serpent, l'Ouroboros*² (Cf. image 2). Lors des réunions politiques ou économiques de toutes
sortes - réunions et cénacles de la "prêtrise" païenne - le grade du maître est visible selon la couleur de la cravate portée, même s'il y a quelques différences entre le système français et
américain...
*Attribut vestimentaire incontournable de la mode masculine, elle tire son origine de la bande d'étoffe portée autrefois
par les cavaliers croates qui servirent dans le régiment du "Royal-Cravate" au temps de Louis XIII et Louis XIVpendant la guerre de Trente ans, qui avaient l’habitude de nouer autour du cou des foulards caractéristiques. Les
guerriers de l'empereur chinois Shi Huangdi (IIIe siècle avant J.-C.) portaient également déjà un foulard enroulé autour du cou, indiquant par là leur rang.
A l'échelle macrocosmique, cet anneau menotte se retrouve dans les "trois ceintures de Van Allen". Initialement, la ceinture de Van Allen * n'est pas une
ceinture de radiations. Elle est une succession d'anneaux électromagnétiques géants qui entourent la planète (Cf. image), constituant une barrière électromagnétique qui piègent les
particules à haute énergie issues du soleil pour protéger ainsi la Terre. La radioactivité y est donc très élevée. Constituée naturellement de deux ceintures, interne et externe,
celles-ci ont des origines différentes. Celle découverte par Van Allen occupe une région au-dessus de l'équateur. Elle est un sous-produit du rayonnement cosmique de haute énergie
(primaire).
Ses anneaux ont cependant été dénaturés par des explosions à caractère nucléaire provoquées à haute altitude et par d'autres expériences consistant à mettre
sur orbite des quantités astronomiques d'aiguilles de cuivre. Ces modifications de la ceinture de Van Allen ont ainsi débouché sur la formation d'une troisième ceinture (en jaune sur
l'image), permettant de refléter, tel un miroir, la réalité illusoire planétaire source d'hypnose à laquelle l'humanité s'identifie par ses "Maîtres-artificiers". Ceux-ci, connaissant le
fonctionnement énergétique de la multidimensionnalité, utilisent des vortex ouvrant les barrières de l'espace-temps pour voyager hors de l'espace-temps limité de notre galaxie solaire
d'appartenance *².
Sans cette barrière établie pour empêcher l'être humain d'évoluer en conscience par l'élévation de son taux vibratoire compte-tenu de l'aspiration montante
du flux énergétique cosmique, les prédateurs de 4ème dimension se verraient privés de leur nourriture de survie, puisque liée aux caractéristiques biologiques de l'être humain - la psyché
(l'âme) porteuse de lumière - dont elles sont privées, la pyramide de contrôle terrestre (familles royales, hauts degrés de la Franc-Maçonnerie, élites politico-religieuses...)
*³ ayant pour objectif de la leur garantir.
* Dunom du scientifique physicien et astronome états-unien James Alfred Van Allen - 1914/2006 - qui
étudia les propriétés des confins de l'atmosphère, notamment sur les propriétés magnétiques.
A l'échelle microcosmique, se trouve aussi dans le noyau de l'atome un Anneau de Pouvoir encerclant plusieurs quarks, qui sont les particules vectrices de la force nucléaire faible dans
l'organisme. Cet Anneau de Pouvoir génère la force nucléaire forte - l'électromagnétisme -, dont le spin centripète (rotation vers le centre) étouffe la rotation centrifuge des quarks.
S'il n'y avait pas cet anneau, les quarks pourraient créer un vortex unique, une chorégraphie unifiée et cohérente. L'anneau est en fait l'état le plus commun, celui qui fait le plus de bruit au
point de cacher la musique céleste - la musica mundi * -, la puissante lumière faible. Le mouvement centripète dépend de la force nucléaire forte qui tend à coller les quarks entre eux.
C'est cette même force pour tous les atomes qui provoque le confinement des quarks. C'est pourquoi elle est assimilée à Lucifer, le porteur de la (fausse) lumière, qui transmet la lumière
électromagnétique qui véhicule les images et qui nous trompe. C'est la lumière électromagnétique qui cloue l'homme à l'illusion que la seule réalité est celle que nous voyons et touchons.
Certes notre corps est constitué de milliards de quarks, soit autant de trous noir présents dans chacun de nos atomes ayant la possibilité de laisser circuler l'énergie faible, autrement-dit les
informations universelles non-tronquées. Mais l'anneau de pouvoir qui enserre les quarks de chaque atome du corps humain limite leur rotation, donc la pénétration dans notre chair des
informations nécessaires à l'équilibre du système vivant que nous sommes. Aussi lorsque nous sommes sous hypnose, l'état du moi séparé par les alter (traumatismes psycho-émotionnels causés à
notre âme) en mode "Service de soi", nous fournissons l'énergie nécessaire à l'anneau de pouvoir pour accomplir sa tâche involutive qui dégrade lentement mais sûrement nos corps physique,
émotionnel et spirituel. Si nous parvenons à nous extraire de l'hypnose, ne serait-ce que quelques instants, alors l'anneau de pouvoir desserre son étreinte, les quarks reprennent leur rotation
et une vague d'information régénérative circule à travers chacune de nos cellules. Nos alter peuvent enfin exprimer leur potentiel créateur à travers nous.
L'image ci-dessus *, publiée par Camille Flammarion en 1888 et datant probablement du XVI° siècle, constitue une énigme. Elle a donné lieu à moultes
interprétations, y compris celle considérant qu'elle constitue un faux. Par-delà ses interprétations, tous les auteurs s'accordent à dire qu'elle porte sur la recherche initiatique du "voyageur
ou pèlerin", l'être humain, à travers une représentation fantastique du système du monde à l'instar de l'allégorie de la Caverne de Platon. Elle figure l'être humain asservi dans sa sphère
d'appartenance terrestre, au sein de sa galaxie solaire d'appartenance, La Voie lactée. Celle-ci fait partie du champ astral, autrement dit une bulle de réalité confinée par le champ de
conscience prévalant en 4ème dimension - le mode "Service de Soi" -, celui du temps relatif. Il ignore sauf transcendance intérieure la réalité du champ cosmique supérieur, à partir de la 5ème
dimension de conscience, le mode "Service d'Autrui". Le premier est placé sous la coupe de la force des Ténèbres, le corpus prédateur archontique ou reptilien qui manipule les êtres humains au
travers de leur inconscient et par la manipulation génétique effectuée à leur encontre (amputation de brins d'ADN), et ce pour se nourrir des traumatismes psycho-émotionnels générés par leur
égo-mental dans la polarisation faite de par leur fonctionnement binaire (pour ou contre...). Le second est placé sous l'égide de la force de Lumière, le grand champ de conscience de l'Esprit
universel, qui ne peut cependant intervenir que lorsque l'être humain s'est engagé dans le chemin du Héros de sa vie par l'éveil de sa conscience.
Si les orbites des planètes de la voûte astrale n’apparaissent pas, c'est que le message lancé à notre sagacité veut attirer notre attention sur les archétypes
alchimiques du soleil, de la lune et des étoiles, indispensables au changement de conscience à opérer en soi *². Ceci entend qu'ils sont intérieurs et non extérieurs, ceux-ci n'étant que des
leurres destinés à nous égarer ! Et ce d'autant plus que l'astrophysique contemporainepropose une vision révolutionnaire de l'univers et de
la réalité qui nous entoure, certain(e)s de ses praticiens ayant démontré preuves à l'appui que la planète Terre recèle un noyau cristallin en son centreconstitué de 3 sphères imbriquées l'une dans l'autre, signifiant qu'il possède par ses propriétés énergétiques une rotation complètement
indépendante de sa surface. Selon l'astrophysicienne italienne Giuliana Conforto, ce cœur interne qu'elle nomme "le petit soleil cristallin" a la même radio-fréquence que la planète Mercure, la
couche la plus externe et fluide de ce noyau ayant quant à lui la même fréquence que la planète Mars. Et lorsque ce noyau tourne indépendamment du manteau le plus externe de la terre, il possède
quasiment la même radiofréquence que la planète Vénus, qui est légèrement plus basse que la fréquence du manteau visible, la biosphère de la terre (la biosphère présente environ 30 km
d'épaisseur). Bien entendu, tout ceci n'a rien à voir avec ce que la science officielle tente de nous faire croire...
Et si l'homme n'est jamais parvenu à comprendre ce qui se passe en dessous du manteau terrestre, il en est de même pour l'atmosphère au-dessus de sa tête,
avec les ceintures de Van Allen (de 700 à 25 000 km de hauteur) - les anciens astronomes les avaient appelées les sphères de cristal -, qui ne lui permettent
pas de voir ce qu'il y a au-delà. Il est ainsi confiné dans une sorte de pomme, vivant non pas dans son cœur - la zone autour des pépins - mais dans la pulpe du fruit. Il sait simplement
que l'espace extérieur est constitué de la magnétosphère, et que cette dernière est le résultat de l'activité du cœur intérieur de la terre. Celle-ci étant constituée de plasma, matériel
fluide très dense, elle se comporte comme un miroir constitué de ce plasma radioactif. C'est pourquoi l'homme ne peut voir au-delà du miroir, mais seulement la face du miroir dans lequel
il regarde.
Il en découle que l’énergie cosmique permettant sa transformation intérieure, autrement nommée Christique (Le Kiristos), émane pour l’essentiel du
centre de la terre, de ce petit soleil cristallin. Présente dans le cœur de chaque être humain par la vibration de son âme, elle indique logiquement que l'un comme l'autre sont alimentés
non par l'astre solaire de la galaxie d'appartenance, mais par un soleil central galactique qui alimente une multitude de petits soleils comme celui qui se trouve au centre de la Terre.
Celui-ci est porteur de la vraie Lumière, celle du grand champ de conscience cosmique, le champ de l'Esprit. De ce changement de conscience découle la capacité pour l'être humain à
franchir le trou de ver, soit le passage multi-dimensionnel lui permettant tel le figure l'image de s'extirper de la Matrice involutive.
* Elle rappelle la première illustration dans la "Cosmographia Universalis" de 1550 du savant humaniste et cartographe allemand Sebastian Münsters (1488/1552),
ainsi qu'une gravure sur bois de "Margarita philosophica" (1503)de l'encyclopédiste allemand Gregorius Reisch (1467/1525).
Ainsi, par le recours à des technologies hors de portée de l'intelligence humaine, le consortium prédateur a dépolarisé et inversé l'énergie de cette géométrie, afin de contrôler le développement
de la conscience humaine au sein de la 3ème dimension de réalité. Les relais humains de type New Age (écrivains, conférenciers, "channels"...), prétendus éveillés et experts en géométrie sacrée,
en fait manipulés par leur égo-mental, ont révélé la Fleur de Vie comme un "symbole sacré", tout simplement pour que l'humanité ignorante et crédule vénère sa propre prison, comble du sadisme.
Assurément, ce symbole soi-disant "béni par le Divin" l'est uniquement par la prédation de 4ème dimension et ses serviteurs qui se complaisent dans la matrice cyber asservissante.
Traduction des effets : l'exemple de la criminalité
A en juger par les chiffres aux États-Unis, il semble qu’un nombre disproportionné de Noirs soient impliqués dans des crimes ou des activités criminelles, ou
présentent un comportement négatif par rapport aux Blancs (les Noirs sont huit fois plus susceptibles de commettre un crime que les Blancs). Bon nombre des explications fournies, telles que la
pauvreté ou la discrimination, ne semblent pas rendre compte de cette disparité puisqu’elles affligent également bien d’autres groupes ethniques sans qu’il n’y ait une telle relation. En fait,
cette question, qui comporte une multitude de réponses selon l'étude de cequi pousse des individus à commettre des
crimes et du lien entre la race, l’origine nationale, ou l’état d’être physique et la propension à commettre des crimes, n'est jamais abordée par le biais del’altération de la chimie du sang, du corps et du cerveau par le biais d’ondes sonores à très haute fréquence, alors même quela question
des différences physiques entre les races inclue des différences chimiques organiques indéniablespouvantaltérer les
émotions et déboucher sur ce qui est dénommé un comportement anti-social. C'est le cas d'unesubstance chimique,
une hormone sécrétée par l’hypophyse, et qui se trouve en fortes concentrations chez les personnes désignées par le terme de race noire. Il
ne faut de ce fait pas beaucoup d’altérations pour l’amener jusqu’à un niveau que l’on pourrait qualifier de dangereux. Ceci entend bien évidemment
quedans d’autres races - les Blancs ou Orientaux par exemple -, il y ait des individus qui naissent avec des taux supérieurs de cette hormone,
l’"hormone du crime" (le comportement agressif ne se traduit pas nécessairement en comportement
criminel). La réalité est que lanature ou la constitution chimique de chaque individu est adaptée à son environnement natal. Si l’on
considère que la race noire a vécu pendant des millions d’années dans le climat général et la situation environnementale d’où elle est native, il en découle qu’un taux plus élevé de cette hormone
est nécessaire à la survie dans cet environnement. Par le déplacement de cet environnement pour un environnement totalement différent où cet équilibre chimique n’est pas adapté, des taux
supérieurs de cette substance chimique sous effet d'ondes sonores à très haute fréquence peuvent entraîner un comportement agressif d’un type ou d’un autre. Et de la même façon, lorsque d’autres
races ou cultures sont exposées à des stimuli qui augmentent ou modifient leur chimie cérébrale, cela peut provoquer un comportement agressif d’un genre différent qui peut être dirigé vers des
activités plus acceptables au sein d’une société donnée.
Quant aux sceptiques engoncés dans le déni, il suffit de constater l'état libératoire de la conscience humaine. Par-delà les artifices rhétoriques de ses zélateurs * et chantres illusionnés ou
cyniques - Révolution des Lumières, Constitution et Charte universelle des droits humains, Liberté Égalité Fraternité, Démocratie, République... -, nous sommes toujours au même stade de prédation
et d'esclavage que "jadis", seules les formes d'apparence ayant bougé. L'homme n'est-il pas toujours en train de s'auto-détruire et de s'entre-tuer, par le biais de toute une panoplie de moyens
et d'outils que seuls des psychopathes involués peuvent concevoir *³ ? Si l'illusion de la 3ème dimension laisse croire que les choses évoluent, celle-ci
n'est que le théâtre mortifère au sein duquel nous nous exprimons qui change continuellement ses décors afin d'empêcher de réaliser que toute vérité a été inversée ! Le climat, le politique en
charge des gouvernements, la justice, l'alimentation, les sciences, la médecine, l'éducation, le système monétaire, la technologie, les religions... ne sont que des valeurs inversées, tout
fonctionnant selon les croyances inculqués, autrement dit à contresens ! Et comme les médias, les scientifiques et autres représentants de l'idéologie de l’État profond nous disent et nous
démontrent que tout est normal, qu'il n'y a pas d'autre chose à penser, nous sommes orientés traîtreusement dans ce système de pensée unique délétère.
La manipulation génétique initiale de l'ADN humain demeurant bridée par le dispositif/treillis électro-magnétique artificiel entourant la Terre, l'homme est empêché de fusionner avec son Êtreté,
son Soi supérieur accessible par son Âme réunifiée *², seul à même de constituer l'échappatoire salvatrice au-delà du champ astral "prison". Subséquemment, il n'a jamais réussi à élever sa
conscience. Il est même resté à un niveau d'intelligence primaire, le stade "paléoencéphalique animal"...
* Les philosophes et autres experts du mainstream médiatique (chaînes de TV et radios, presse écrite) qui tous les jours sont invités à commenter l'actualité y
contribuent tout particulièrement. En prenant position pour ou contre, en dénonçant et stigmatisant, en se référant à une idéologie de quelque nature que ce soit (et tout particulièrement
humaniste, éthique, morale...), ils entretiennent - manipulés par leur ego-mental exacerbé - le jeu énergétique de la prédation.
Comme Gollum *, la créature des cavernes en possession du précieux anneau de servage, le corpus prédateur de 4ème dimension utilise ses puissants pouvoirs psychiques pour engendrer de
grandes guerres du "Bien" contre le "Mal" avec ses relais terrestres inféodés car sous contrôle.
Le véritable trésor vers lequel Gollum nous guide est de saisir le message de cette servitude, à savoir que par le piège de l'identification au "Bien" ou au "Mal" la matrice artificielle nous y
garde prisonnier... C'est pourquoi, comme dans le cas du baiser de la Princesse au crapaud qui dissimule le Prince charmant, il s'agit d'accepter l'inacceptable.
Aussi ce n'est certainement pas par hasard que le gardien d'un tel secret soit un gnome monstrueux, puisque l'humain est parfaitement conditionné à rejeter ce qui le répugne. Or Gollum manifeste
simplement la présence du monstre souffrant en chacun de nous, puisque maintenu dans la grotte de l'inconscient. Il a besoin de nos soins et de notre attention quotidienne... Dans la mesure où la
race reptilienne ainsi que sa grille énergétique dorée sont depuis ce temps inscrits en notre génétique, puisqu'ils ont utilisé leurs propres gènes à cette fin, les serpents, lézards, crocodiles
ainsi que la multitude de symboles "dragonesques" qu'ils inspirent ne laissent aucun humain indifférent. L'animal reptilien provoque des phobies à en perdre connaissance, ou alimente un élan
passionnel, voire obsessionnel chez certains. C'est en retrouvant la mémoire de nos origines et en acceptant cet "inacceptable", car jusqu'alors dissimulé par le système institutionnel, que nous
pouvons apprivoiser ce "gollum reptilien" en nous, seul à même de nous permettre de nous extirper de la Matrice involutive *².
* La créature nommée Gollum est un personnage fictif créé par l’écrivain britannique John Ronald Reuel Tolkien (1892/1913) qui apparaît dans ses romans "Le
Hobbit" et "Le Seigneur des anneaux". Il n'est pas sans évoquer le Golem de latradition juive,de l’hébreu goylem ou gōlem signifiant "matière informe" ou "embryon", autrement dit un homme artificiel façonné d'argile et animé de vie par des moyens magiques
(un mot inscrit sur son front ou sur un morceau de parchemin placé dans sa bouche). Antithèse d’Adam symbolisant l'être
humain créé par Dieu, il estdénué de toute conscience et se laisse aller à tous ses pires instincts jusqu'au moment où il s'éveille à Qui Il Est vraiment et
entame son chemin de libération.
Dé-cérébralisation par le mainstream médiatique : quelques exemples en 2020
Les nouveaux guignols/bouffons de l'info et leurs empoisonneurs de conscience : "Le monde tel qu'il
est" (RTL) - Thomas Sotto -;"Le débat des grandes
voix" (Europe 1) - Julian Bugier -; "Les informés" (France Info) - Jean-François Achilli suivi de Jean-Mathieu Pernin -; "Les grandes gueules" d'Alain Marschall et Olivier Truchot & "Neumann/Lechypre", anciennement "Radio Brunet" (RMC) -Laure Closier avecLaurent Neumann et Emmanuel
Lechypre -; "Esprits libres" -Guillaume Durand et Bernard Poirette - anciennement"Accords/Désaccords" (Radio Classique);"Le 10 heures Midi" -Valérie
Expert - anciennement "Les vraies voix" (Sud Radio); "On
est pas couché" (France 2 - Fin de diffusion juillet 2020) - Laurent Ruquier -; "C à vous" anciennement "C dans l'air" (France 5) - Anne-Elisabeth Lemoine avec Patrick Cohen -; "Zemmour et
Naulleau" (Paris Première) - Anaïs Bouton avec Eric Zemmour et Eric Naulleau -; "Les terriens du dimanche" (C8 - Fin de diffusion mi 2019) - Thierry Ardisson -; "L'heure des pros" - Pascal
Praud -; "Face à l'info" - Christine Kelly et Eric Zemmour - & "Punchline" - Laurence Ferrari - (CNews), "9 h. Galzi" - Olivier Galzi - & "Le débat" (LCI) - Arlette Chabot
-.
La "trashitude" télévisuelle en 2019-2020
Le groupe Bolloré fait partie des acteurs du Monopoly capitaliste contrôlant les médias audiovisuels & de presse écrite *. Leur raison d’être est triple : le
contrôle des contenus pour servir le fonctionnement du système prédateur, soit l’asservissement des consciences ; la recherche d’influence, pour servir leurs affaires et intérêts d’argent ; la
quête d’audience, génératrice de recettes (publicitaires et abonnements) et de valorisation de la "marque".
A ce titre, la branche médias du groupe Bolloré a choisi comme ligne éditoriale sous-jacente de ses chaînes audiovisuelles l’exploitation de polémiques à caractère
trash (substantif anglais qui signifie "ordures", "déchets" et par métonymie "poubelle") confiées à des animateurs provocateurs vulgaires, quand d'autres plus policés se retrouvent sur des
chaines plus consensuelles, dont celles dites de "service public" (Cf. Jean-Marc Morandini, Cyril Hanouna, Thierry Ardisson, Pascal Praud, Laurent Ruquier, Laurence Ferrari, Yves Calvi,
Anne-Elisabeth Lemoine et Patrick Cohen, Anaïs Bouton avec Eric Zemmour et Eric Naulleau, Christine Kelly et Eric Zemmour, Arlette Chabot, Olivier Galzi en photos), qui se donnent la main pour
les exploiter en faisant le "buzz". Entourés de comparses aux rôles dévolus – accusateurs, défenseurs, médiateurs -, représentatifs des trois états du moi involué (les modes bourreau, victime et
sauveur), ils tartinent jusqu’à l’indigestion leur pitance destructrice de la conscience. Si certains assument sans état d’âme leur cynisme attentatoire à l’esprit humain, d’autres enfilent
l’habit hypocrite du bon comparse au service du débat sociétal.
Ces émissions comme tant d'autres sont conçues, à l'image du champ politique, autour de la bataille idéologique entre les protagonistes officiant. Il s'agit au
prétexte d'un libre débat d'une manipulation de masse des "individus endormis", c'est à dire n'ayant pas la conscience assez développée pour se rendre compte de cette manipulation. Ces
protagonistes sont tout simplement des "marionnettes" adroitement manipulées à travers leur égo-mental (mise en avant et notoriété, considération, argent).
Les sujets de querelle qui alimentent leur duel médiatisé - politique, économie, éducatif, santé, culture, sportif, migration, racisme, antisémitisme, pédophilie,
injustice, argent, chômage, affaires... - font l'objet d'altercations verbales très judicieusement choisies. Par ce biais, ils affectent insidieusement l'émotionnel de l'auditeur ou spectateur
pour susciter dans son inconscient des sentiments d'injustice, d'impuissance, de colère..., autrement dit l'effet miroir de ce qui est insidieusement glissé en lui via l'inconscient, qui
produisent des émotions et l'incitent à des réactions de vengeance, de révolte, de colère, de haine...
Si chacun observe bien ce qui se qui se passe en lui sur le plan émotionnel, inévitablement l'un des sujets de discussion traités nous concerne de près ou de loin,
ou du moins nous touche. Aussi, en prenant parti pour l'un ou l'autre protagoniste, nous nous laissons prendre irrésistiblement au piège par notre égo *, car nous réagissons à la projection de
notre propre film, alors que ces personnages se sont "manifestés à travers nos vibrations" uniquement pour nous montrer notre propre dualité. Le simple fait que nous nous sentions affecté par
leur "petit jeu" sous-entend qu'ils sont inévitablement rentrés dans notre champ de conscience, à travers nos champs d’énergie. En réalité la scène que nous écoutons et/ou regardons déclenche
automatiquement des mémoires-programmes encore actifs dans nos mémoires, et permet de sonder notre émotionnel. Ces programmes engrammés dans notre ADN correspondent à notre karma non résolu.
C'est pourquoi ils ont littéralement "invité" ces protagonistes dans notre vie, afin que nous puissions les observer. Ils contiennent encore des émotions refoulées, en correspondance avec leur
"petit jeu".
En apprenant à identifier le rôle des personnages, nous pourrions nous apercevoir que ceux qui jouent le rôle de victime rallieront toutes les personnes qui, durant
leur cursus karmique, jouent le rôle de victime. Les autres inversement attireront tous ceux qui endossent le rôle de bourreau/persécuteur.
Il ne s'agit pas de les incriminer, mais de prendre du recul par rapport à la scène que nous sommes en train d'observer. Il s'agit à ce moment-là de faire un arrêt
sur image et observer non pas l'écran, mais de lui "tourner le dos" afin de regarder les émotions qui grandissent en nous et observer nos propres réactions. Interrogeons-nous sur quelle émotion
nous pousse à prendre parti ? Est-ce une impulsion de rejet, de colère, de haine et/ou de sympathie, d'affinité, d'affection envers l'un ou l'autre des personnages ?
Nous pouvons alors comprendre que si nous ne pouvons pas changer ni le scénario du film, ni le comportement des acteurs, nous pouvons changer "notre propre
cassette". En conscientisant que nous avons manifesté cette "intrusion" dans notre vie, nous en tirons la leçon nécessaire à notre transformation intérieure. Dès lors, après avoir sincèrement
regardé les émotions qui se manifestent en nous, nous pouvons simplement éteindre ce film et tourner le dos à notre propre création illusoire.
La matrice involutive fonctionne à partir d'une triade destructrice de la conscience de Qui Nous Sommes vraiment, nommée le triangle "victime-bourreau-sauveur" *.
Elle voit l'être humain alterner successivement son identification dans ces états ou rôles inconsciemment interprétés (ainsi la posture en mode bourreau envers autrui l'est déjà envers soi-même),
l'état du moi-égo en mode sauveur étant toujours lié à l'un ou à l'autre état de moi bourreau ou de moi victime. C'est ainsi que les rôles de victime-sauveur ou de bourreau-sauveur sont engendrés
par de la pitié ou de la culpabilité refoulée. Dans tous les cas, l'individu est poussé inconsciemment à agir afin de se soulager par un acte inconscient de sa responsabilité karmique *² générée
par son comportement en l'état de son parcours dominant ou soumis. Et tout naturellement, ces sentiments profondément refoulés l'incitent à se substituer ou à s'immiscer dans la problématique de
l'autre, entraînant l'inévitable déséquilibre source de chaos dans sa vie comme dans la sienne. Autant dire que toute l'orchestration du fonctionnement sociétal entretient à l'échelle collective
cet égrégore destructeur du Soi réalisé, les récentes crises liées au mouvement des gilets jaunes comme de la crise sanitaire du coronavirus l'illustrant tout particulièrement.
Le groupe institutionnel des "bourreaux", en charge du fonctionnement régalien de l’État, concentre à son encontre animosité et acrimonie. Il est composé
d'individus ambitieux, prêts à tout, inévitablement menteurs au nom du "secret ou raison d’État", et potentiellement corrompus par le poids des réseaux et lobbys dont ils sont redevables tant
pour leur ascension que pour la survie de leurs prébendes et autres hochets d'exercice du pouvoir (ainsi, à titre d'exemple, l'actuel ministre de la Santé Olivier Vérana intégré en 2019 les "Young Leaders de la France China Foundation" sponsorisés par le PCCMTC - Parti Capitaliste Communiste Mondialiste Totalitaire Chinois -).
Le groupe des "victimes" est composé d'individus ignorants des règles de ce jeu de dupes (ils sont les "perdants" dans cette présente partie d'échecs comme ils ont
été ou seront les "gagnants" dans d'autres), idéalistes et de ce fait naïfs quant aux idéaux proclamés par leurs bourreaux, et infiltrés par des opportunistes y trouvant une rampe de lancement
pour satisfaire leur ambition personnelle ou des manipulateurs à la solde de l'establishment en place.
Le groupe des apparents "sauveurs" reprend les spécificités du groupe des bourreaux ou des victimes (la plupart sont des bourreaux-sauveurs), donnant aux uns comme
aux autres l'apparence d'une honorable voie de sortie.
Ce fonctionnement triangulaire ne peut se faire sans un quatrième groupe, les "snipers" de l'agitation émotionnelle. Composé d'individus intellectuellement
"brillants" - politologues, politiciens reconvertis ou non, philosophes, écrivains, artistes, journalistes, universitaires et experts dans leur domaine respectif - (tous ceux qui composent les
plateaux audiovisuels et les billets ou tribunes de la presse écrite), ils créent par leurs suffisance, vanité, orgueil, fatuité, arrogance, mépris et autre déviance de leur égo hypertrophié, les
conditions propices au clivage, à la dénonciation, au jugement de valeur, au procès d'intention voire à l'excommunication, et qui conduisent parcette
tragique comédie ininterrompue à l'abîme de la conscience. Ils se croient vivants. Ce sont des morts-vivants, ignorants des causes profondes * de ce bal des vampires auto-destructeur, car
consistant en permanence à s'accaparer l'énergie d'autrui *²...
*² L'être humain dans la matrice 3-D n'est que le miroir de son prédateur involutif de 4ème dimension de densité, qui pour survivre dans sa dimension
involutive, pilote via l'inconscient les pensées de sa proie humaine génératrices de désordre et de chaos dont il se nourrit, notamment chez celles et ceux appelés à orchestrer les pyramides du
pouvoir, de l'avoir et du paraître à quelque échelon que ce soit.
C'est bel et bien cette maladie psycho-spirituelle de l'âme humaine, constitutive d'un virus, d'une toxine psychique maligne, qui nourrit le pathogène mental qu'est la psychose collective de
la civilisation humaine depuis sa genèse terrestre *, appelée cependant par l'onde du changement en cours à prendre fin pour celles et ceux s'étant éveillés et ayant réussi le processus de
transformation de conscience *² indispensable à la sortie de la matrice prison, la caverne de la conscience. Et désormais le "temps" presse, le compte à rebours étant lancé...
* Ce cancer de l'esprit qui attaque de manière incognito l'espèce humaine est nommé "wétiko" par les Amérindiens. Telle une lente métastaseopérant cachée dans les angles morts de l'inconscient pour s'y enraciner afin de nous tromper en nous amenant à penser et à agir de manière contraire à nos
intérêts, il engloutit peu à peu toutes les parties saines de la psyché de manière vorace pour servir son infâme programme. Il finit par mourir en même temps que son hôte s'il n'est pas arrêté
par une salutaire prise de conscience. Cf. Les acteurs de la Matrice falsifiée.
Le vécu civilisationnel terrestre repose sur une polarisation du psychisme humain, programmé pour permettre l'expérimentation de la matière viciée placée sous
gouverne des forces prédatrices, involutives, nécessaires au fonctionnement du grand JEU/Je du Vivant. Elle conduit inéluctablement à la grande division entre deux factions opposées, qui voit les
êtres humains dans une large majorité s'y greffer. Deux peuples sont ainsi dos à dos, scrutant dans deux directions différentes et convaincus, certains, de la justesse de leur vision. L'un,
enveloppé avec vertu dans son drapeau culturel identitaire plus ou moins bien-aimé, imagine des panoramas de terreur, fruits des constants dysfonctionnements sociétaux. Ils entraînent peurs et
colères, constitutives d'occasion d'attaquer ceux dont "on" lui a dit - les menteurs même de bonne foi politiciens, religieux, médias, experts divers - qu'ils firent ou pourraient faire ces actes
"démoniaques" individuels comme collectifs, inqualifiables. L'autre, démoli inconsciemment par une douleur intérieure de frustration stérile quant à ce spectacle de désolation - la souffrance de
l'âme -, ne cessant d'entendre les cris perçants et les spasmes de la mort, continue avec espérance et compassion d'attendre les salutaires prise de conscience et résolution du mal endémique
découlant de l'évolution de la conscience, entretenant le "jardin du bien commun" en faisant confiance malgré tout aux proclamations et professions des autorités qu'il continue d'élire, ou tout
au contraire, en en dénonçant les mensonges, intrigues et manipulations.
La (ré)conciliation est impossible. Pourquoi ? Parce que ceux qui s'opposent aux massacre et pillage grandioses des nations sont appelés naïfs par ceux qui les
soutiennent, les actes de terreur commis étant à leurs yeux appelés à être vengés, sous quelque forme que ce soit ! Ils sont ainsi aux yeux des premiers des maniaques sanguinaires sans cœur,
ceux-ci essayant désespérément de faire voir à leurs frères d'humanité que les hommes brillants à la télévision mentent à tout le monde sur pratiquement tout, se faisant alors traiter de
complotistes ou conspirationnistes. Toutes les deux factions opposées sont en cette fin de cyclicité anesthésiées, tant par la prégnance toujours et encore de l'idéologie religieuse poison, que
par l'idéologie de la nouvelle donne informative, médiatique. Celle-ci se traduit par la disparition progressive du livre, source de prise de recul et de réflexion, et sa substitution par la
puissance aveuglante de la télévision et surtout des réseaux sociaux. Comme les journaux, ils sont possédés (au sens propre comme figuré) par de grandes sociétés connectées aux sociétés
affairistes qui fabriquent les diverses armes de destruction de la conscience, au sens physique comme virtuel. Tous les individus sont ainsi désormais éduqués au lavage de cerveau du
néolibéralisme uniformisant et de ses milliardaires psychopathes pervertis, disant que la valeur d'une personne n'est pas dépendante de la langue qu'elle parle, de la couleur de sa peau, de ce
qu'elle porte, de la religion qu'elle préfère.
Et parce que le dialogue apaisé est impossible, il en résulte la guerre, au sens là encore propre comme figuré, nul ne pouvant gagner en réalité sur le jeu d'échecs
mortifère * !
"Pourquoi donne-t-on aux églises une position privilégiée – presque, en effet, une position exclusive – dans le débat social sur la moralité, quand elles sont
probablement les organisations les moins compétentes pour l'avoir ? (...) La moralité religieuse n'est pas simplement sans rapport, elle est anti-morale (...). Les grandes questions morales de
l'âge présent sont celles sur les droits de l'homme, la guerre, la pauvreté, les grandes disparités entre les riches et les pauvres, le fait que quelque part dans le Tiers Monde un enfant meurt
toutes les deux secondes et demi à cause de la famine ou de maladie curable. Les obsessions des églises sur le sexe pré-marital et si les couples divorcés peuvent se remarier à l'église apparaît
méprisable à la lumière de cette montagne de souffrance et de besoin humain. En distrayant l'attention de ce qui compte réellement, et en se concentrant sur la tentative mineure et en tous cas
futile de forcer les gens à avoir des relations sexuelles seulement quand l'église le permet, du mal est fait à la cause du bien dans le monde (...).
Leur demander de prendre une position spécialement autorisée sur des questions morales est comme demander au renard de fixer les règles de la chasse au renard.
Les ecclésiastiques sont des gens avec des croyances surnaturelles ouvertement anciennes qui reposent sur la casuistique morale qui est périmée depuis deux mille ans; il est extraordinaire que
l'on donne une quelconque précédence à leurs points de vue sur ceux qui peuvent être tirés de la richesse de l'opinion réfléchie, éduquée, d'esprit ouvert autrement disponible dans la
société."
Anthony Clifford Grayling, philosophe britannique
Quant aux médias alternatifs (presse, radio, télévision, web), s'ils offrent comme leur nom l'indique une autre vision pour décrire les événements de ce monde, ils ne font cependant que proposer
l'autre revers de la même médaille, quelles que soient leurs formes militantes, pacifistes, "conspirationnistes ou anti-conspirationnistes" (plus exactement en langue française conspirateurs ou
anti-conspirateurs")... Eux aussi contribuent à entretenir irrémédiablement la dualité dans la psyché de leurs lecteurs et auditeurs.
C'est pourquoi la plupart des gens restent aveuglés par les médias qui, même de bonne foi pour dénoncer avec moultes exemples le rôle dévoyé de l’État, des banques, de la police, de l'éducation,
de la pharmacopée... font que le peuple reste ignorant de ce qui y préside. Rien dans ce monde fonctionne comme il l'imagine, et pour cause, celui-ci étant d'une autre nature dimensionnelle,
chose inimaginable pour la grande majorité des individus. Aussi, lorsqu'ils accèdent à une information qui dépasse leur connaissance ou qui est trop douloureuse à accepter, ils s'empressent de la
dénigrer par leur esprit formaté entre le combat des archétypes bien et mal, chacun choisissant ce qui correspond à ses croyances. En prenant parti pour une cause en croyant lutter contre une
autre, quel que soit leur parti pris, ils s'astreignent inévitablement à amener leur conscience piégée dans une conception duelle pour continuer à servir l'élite aux commandes, et au plus haut de
l'échelle, les Maîtres de la lumière sombre...
Le treillis de la mode vestimentaire et de l'apparence
Subtilement la Matrice utilise le style vestimentaire à ses fins d'uniformisation de la pensée sous couvert de divisions. Ainsi anarchistes, punks-à-chiens ou
zonards, individus spécialement en rébellion contre la société et son système de contrôle, s'habillent pour affirmer leur démarcation en rangers et treillis en tissu de camouflage, exactement
comme les militaires et policiers, les robots au service de la Matrice. Ainsi le révolté contre l'ordre établi qui fait tout pour s'en extraire par la lutte est en fait récupéré et tout autant
formaté que l'urbain tendance qui se laisse pousser une belle barbe brune de "3 jours", le même qui regarde les infos en dénonçant avec colère les derniers attentats des "cruels... barbus
islamistes"…
La mode, en infusant sournoisement le subconscient de la masse, permet ainsi de maintenir confusion et endormissement. C'est toujours la double face de la prédation
: par le rejet du monstre que "je" vois à l'extérieur, je me vêts ou me "looke" à la manière de ce même monstre, lui donnant ainsi libre cours d'agir à travers moi en manipulant les rouages
qui lui sont bénéfiques. Et comme nos prédateurs institutionnels (photos 3 à 12) donnent l'exemple, les moutons de Panurge suivent...
Le piège tendu aux chercheurs de vérité
Dans leur recherche de la "vraie" connaissance, nombre de chercheurs apportent des éclairages ô combien précieux pour secouer la conscience des êtres humains
endormis à eux-mêmes, à Ce Qu'Ils Sont et à Ce Qui Est. Si l'intention est louable, elle n'est pas sans danger, pour eux-mêmes comme pour leurs lecteurs et auditeurs. C'est par exemple le cas du
médiatique Roch Saüquere (photo 1), éditeur de la publication Top Secret (image 2) et du livre La Matrice Artificielle. Ses interventions sur les réseaux sociaux sont guettées
et suivies tant par son "fan-club" que par des "trolls prétendus débunkers" de ses "vérités" assénées, se manifestant par une flopée de pouces rouges propres au fonctionnement binaire de la
Matrice asservissante ... Quant à ses lecteurs/auditeurs "pseudo-éveillés", ils vont s'enthousiasmer souvent de manière dithyrambique lors de la prise de connaissance de ses interprétations du
fonctionnement de la Matrice, celles-ci étant explicitées (images, voix, références) avec talent. Pour autant, cet "aveuglement fanatisé" peut être source d'égarement pour le spiritualiste en
herbe, affilié à un "Maître" extérieur aussi brillant soit-il.
Ainsi soutient-il non sans pertinence une chronologie historique toute autre que la version académique dispensée, qualifiée de "récentisme" * dans la mesure où elle
considère que le fonctionnement de notre Matrice d'appartenance est millénariste, ce cycle de mille ans se terminant à chaque fois par un reset (perte de mémoire civilisationnelle) avant
que de repartir sur un nouveau cycle. A l'appui de sa démonstration, il relève avec raison nombre d'impostures historiques comme archéologiques destinées à égarer et à leurrer les chercheurs de
vérité. Sa vision est bien sûr différente de celle utilisée par d'autres chercheurs de vérité, basée sur le cycle "traditionnel" de 25.920 années appelé "la grande année cosmique" *².
Plutôt que de vouloir les opposer et prendre parti pour l'une ou l'autre version, piège classique de l'égarement de la conscience, il convient de remarquer que
toutes deux décrivent un fonctionnement mathématique, de ce fait codé, de la Matrice cyber, autrement dit du cube d'intelligence artificielle qui retient prisonniers en son sein les robots
biologiques et autres acteurs de sa cyclicité entropique *³. La fin "apocalyptique" est dans les deux cas de figure identique.
Aussi la clé échappatoire n'est pas de porter attention - et par-là même de la tension - à une vérité plus qu'à une autre, ce qui maintient inéluctablement l'être humain asservi au système
prédateur, mais de procéder à une véritable transformation intérieure par le nettoyage de toutes les mémoires sources d'égarement et de division *⁴. En considérant que toute vérité extérieure est relative, jamais absolue, seuls sa distanciation avec
l'extérieur et son recentrage intérieur dans le calme psycho-émotionnel sont à même de délivrer à chacun(e) les clés de son évolution, celle-ci étant à chaque fois spécifique à l'état de
conscience constaté.
"… Oui, c’est parce que les gens croient au progrès et à la culture. Mais il n’y a aucun progrès, d’aucune sorte. Rien n’a changé depuis des milliers d’années.
La forme extérieure change. L’essence ne change pas. L’homme demeure le même exactement. Les gens " cultivés " et " civilisés " vivent des mêmes intérêts que les sauvages les plus ignorants. La
civilisation moderne est basée sur la violence, l’esclavage et les belles phrases. Mais toutes les belles phrases sur la civilisation et le progrès ne sont que des mots."
Piotr. D. Ouspensky - Philosophe russe (1878/1947), "Fragment d'un enseignement inconnu"
Le filet de la prédation
Cette géométrie créatrice dépolarisée et caractéristique du champ intermédiaire astral retient ainsi toute âme vivante sur Terre dans un interminable cycle de réincarnation, dit karma.
Elle empêche toute conscience d'accéder vers des fréquences plus élevées de son Êtreté, de Ce que l'être humain EST vraiment, hormis quelques éveils de conscience qualifiés par la Tradition de
"Voyage du Héros" *, et qui, souvent à l'occasion d'un accident de vie douloureux, permet d'aller chercher la Connaissance et la Vérité en s'écartant du chemin fréquenté par les foules sous
hypnose.
Le logicien et mathématicien autrichien naturalisé américain Kurt Gödel (1906/1978) est tout particulièrement connu pour avoir
formulé le théorème d'incomplétude, quiapporte une réponse négative à la question de la démonstration de la cohérence des mathématiques. Il a pour ce faire
étudié la théorie générale d’Einstein sur la relativité, démontrant que si ses équations établissaient une catégorie de solutions cosmologiques raisonnables, elles contenaient pour autant des
"boucles causales". Une "Boucle Causale" a la même signification qu’une "Boucle Temporelle", c'est-à-dire qu'elle explique le phénomène consistant à se rendre dans le futur et revenir au point
départ à l’heure et à l’endroit d’où on est "parti". Si elle est appelée "causale", c'est que le temps dans la théorie d’Einstein sur la relativité est un concept relatif, et que différents
observateurs peuvent faire une expérience différente du Temps selon leur état de conscience. L’utilisation du terme "causal" permet ainsi d'éviter d’avoir à utiliser le terme de "temps". Par
extension, ces boucles causales - ou temporelles - correspondent à une sorte de "rotation" de l’univers.
Les boucles causales rendent ainsi plausible le voyage dans le temps !
Hercule maîtrisant le chien à trois têtes qui garde la porte de l’Hadès.
La Matrice, porte de l'Enfer
Dans le fonctionnement de l'Univers et le cheminement de la conscience, la rapide "Voie Descendante" est moins sûre, plus dangereuse, que la lente "Voie
Ascendante". Toute intrusion illégale dans le monde spirituel peut en effet se révéler fatale. On ne peut pas forcer le Spirituel. Si on essaye de rentrer
dans la Lumière sans préparation, on se heurte toujours aux tribulations et dangers de l’Obscurité. Tout au moins, une intrusion forcée dans l’initiation rendra fou l’intrus illégal. Une
préparation intense pour une telle intrusion est nécessaire, et des organes spéciaux doivent être développés, pour percer avec sécurité le voile qui sépare le matériel du Spirituel.
C'est pourquoi dans la Tradition la porte de l’Enfer était gardée par un chien, le Cerbère à trois-têtes. Il est l’image de l’ombre obscure de l’homme, qui, en son
être Spirituel, est également triple. L’homme est corps, âme et esprit *, tandis que le chien de l’Hadès a trois têtes, avec la queue du serpent qui a conduit à la chute de l’Homme dans la
matière, mais non par la fable biblique du religieux dévoyé *². Ce n’est pas un hasard si la queue du serpent est tendue vers le bas, pointant toujours vers le centre de la Terre. Ce n’est pas un
hasard si le dieu psychopompe qui guide les âmes des récents défunts en Enfer est dépeint avec une tête canine. Cette forme sombre à tête canine est le dieu égyptien Thot, le Trois-fois-grand, le
gardien de toute la sagesse de l’initiation. Le véritable chercheur de connaissance n’aura pas à traiter avec le chien à trois-têtes qui garde le monde obscur.
Ainsi, contrairement à ce que prétend l'auteur de L'ancien secret de la Fleur de vie, il ne s'agit donc pas d'une faculté au service du vivant que possède ce treillis, mais d'une
abomination, une véritable ruse de la prédation de 4ème dimension pour que les consciences ne puissent pas évoluer au-delà de la matrice artificielle, la matrice cyber. Le corpus
trans-dimensionnel en mode "Service de Soi " qui gouverne notre Monde a élaboré cette clôture électronique - barrière fréquentielle - sous la forme d'un maillage impénétrable à certaines
fréquences de l'information/lumière. Il a pour fonction de limiter la possibilité de moduler ainsi que de transformer les fréquences cosmiques qui sont destinées originellement à modifier
naturellement l'ADN contenu dans les cellules humaines, réceptacle de l'information universelle *.
De surcroît, les parties de notre ADN qui n'étaient pas essentielles pour survivre - qualifiées d'ADN poubelle par notre "élite" scientifique ... - et qui auraient dû permettre de capter
l'information-lumière, ont été rendues inopérantes par la manipulation génétique faite par le corpus prédateur au moment de la colonisation humaine de la Terre *², nous laissant spirituellement
infirme. C'est la raison pour laquelle l'ensemble de l'humanité, enfermée dans sa matrice constituée par cette cage "high-tech" en forme de fleur de vie sacrée, est restée près de 350.000 ans
avec seulement deux brins d'ADN actifs au sein de son génome. Ceci tout bonnement pour être réduite à un stade de conscience très primitif, gage du royaume des morts et des esclaves.
Le treillis électro-magnétique et électronique de la matrice cyber a pour objectif de retenir le potentiel énergétique expressif de l'humanité, constituant par les
hauts et bas psycho-émotionnels qui découlent du vécu binaire en mode "Service de Soi" le garde-manger des prédateurs de 4ème dimension, entités organiques dénuées d'âme vivant dans les ténèbres.
Ils constituent en effet le réservoir de lumière dont elles ont besoin, l'âme permettant d'expérimenter la physicalité terrestre par les ressentis (émotions) du vécu. Ce potentiel est assimilable
en physique à un condensateur qui stocke l’énergie électrique.
Pour générer cette énergie électrique, le corpus prédateur induit dans la psyché des humains via l'inconscient des pensées destinées à être amplifiées par
l'émotionnel dense propre à l'expression de l'humanité, tout particulièrement à partir des capacités créatrices génératrices de situations se prêtant à des tensions, celles découlant des champs
idéologiques sociétaux (famille, travail, politique, religion, philosophies, sciences,...). C'est la manipulation de l'égo-mental, qui conduit l'être humain à s'électriser par la polarisation
binaire ("J'aime/Je n'aime pas, C'est bien/C'est mal"). En retour, le corpus récolte et stocke ces énergies humaines denses et puissantes, tout particulièrement lorsqu'elles émanent du champ
collectif (manifestations, meetings, cérémonies, processions...). Elles sont appelées égrégores.
Ces énergies qualifiées en physique de résistance sont ainsi créées par la réaction à quelque chose ou à quelqu'un, à des évènements ou rencontres jugées
désagréables. Il en résulte confrontation, lutte, rébellion, révolte, manifestation, violence, haine, peur, fuite, déni, non-acceptation. Ils ne sont en fait que la manifestation de la résistance
à l’acquisition de l’information, autrement dit à la connaissance, à la vérité intérieure, traduisant la résistance farouche de l’égo-mental au changement, au lâcher-prise, au détachement de ses
attachements et culpabilités, à sa propre transformation. C'est de cette façon que l'être humain est maintenu asservi dans la matrice des illusions, dans l'incapacité de conquérir sa véritable
liberté en devenant Qui Il Est vraiment. Comment alors s'étonner que les souffrances de son âme entraînent les troubles physiques comme psychiques générant toute sorte de maladies et entraînant
inéluctablement la mort ?
Comment le treillis de la Matrice retient l’Âme prisonnière après la mort du corps physique ?
Dans son témoignage "Je vois les défunts", l'auteure états-unienne Jane Ross relate les raisons émotionnelles qui font que les esprits restent attachés à la terre,
prisonniers du bas astral. Fruit de son travail thérapeutique, elle montre que cet "attachement" est dû aux croyances qu’une personne peut entretenir sur elle-même comme sur le monde de
l’après-vie, et que sans une ouverture de conscience, elle ne peut "transiter" avec succès pour gagner une autre dimension de réalité. Il y a en effet des lois qui régissent l’environnement
spirituel post-mortem.
Le schéma général est d’abord que les esprits attachés n’ont généralement pas conscience d’être morts, puisque le trauma de la mort semble provoquer une perte de
mémoire. Ensuite, les croyances, engendrant des nœuds émotionnels, des jugements et des visions du monde, sont à l’origine de l’attachement prolongé à la terre. Ces croyances peuvent être
religieuses (par exemple, une idée précise de l’après-vie, du paradis, de l’enfer, etc), psychologiques (affaire non réglée avec un proche, entraînant culpabilité, sentiment de responsabilité,
etc), et bien sûr matérialistes (attachement à ses possessions).
Les murailles de l’égo * semblent ainsi toujours persister pour protéger la personne d’une souffrance non-reconnue. En quelque sorte, les problèmes avant la mort
sont toujours les mêmes après la mort. L’état d’esprit et les émotions, en l’absence de l’effet régulateur du corps physique, semblent prendre une ampleur considérable sur la perception de la
réalité. Il s’agit au final pour ces esprits d’être en paix avec toutes les personnes côtoyées durant la vie physique.
Ces esprits attachés à la terre peuvent souvent partager le champ d’énergie d’une personne incarnée et l’influer avec leurs propres états d’esprit, émotions, et
pensées. Or la plupart du temps, sans un travail thérapeutique ou une certaine sensibilité, ces influences ne sont pas décelées.
Il semble également que l’attente dans ce champ du bas-astral peut être plus ou moins longue, certains esprits étant bloqués depuis longtemps entre les deux mondes.
Une véritable société parallèle semble exister dans ce monde spirituel, et elle est d’une certaine manière consciente de notre environnement. En prenant conscience de son existence, nous
comprendrions beaucoup mieux les liens qui nous unissent, même après la mort, et par-là même la nécessité de s'en défaire pendant notre incarnation pour s'extirper du filet de captation des âmes
insuffisamment épurées ...
Cette barrière électromagnétique du champ astral contrôle la fréquence de résonance de l'entité-groupe constituée par les consciences humaines, autrement dit l'égrégore collectif civilisationnel.
En le contrôlant, elle peut influer par la prédation psycho-émotionnelle sur le déploiement de son jeu mortifère, tout particulièrement par ses relais terrestres psychopathes *, et se nourrir de
toutes ses expressions colorées de peurs, haines, violences, souffrances...
Toutefois, des forces trans-dimensionnelles évolutives, en mode "Service d'Autrui" - les Mères Divines ou Vierges Noires *² - conformément à la loi d'équilibre ou de symétrie prévalant dans
l'univers, ont réussi à en désactiver certains points d'ancrage. Elles ont en l'occurrence permis à des consciences "Service d'Autrui", en provenance de notre futur *³, de s'incarner dans un cycle humain afin d'ancrer de plus hautes fréquences. Grâce à leur vibration de résonance beaucoup plus importante, et par la maîtrise du
travail intérieur qui permet de développer les capacités de l'ADN *⁴, ces individus deviennent des sortes de conduits qui ouvrent le passage à des fréquences
beaucoup plus élevées. Ces fréquences commencent actuellement à affaiblir le maillage de la "matrice de l'ignorance" qui retient l'humain dans sa prison, tel que Platon l'a décrit à sa façon dans
son allégorie de la Caverne, bénéficiant par-là même à d'autres consciences susceptibles d'éveil. Elles préparent à la fenêtre d'ouverture dimensionnelle correspondant à la fin d'un cycle,
conformément à l'application des lois universelles régissant le fonctionnement de la Création. Seuls les ignorants, constituant la majorité de l'humanité, continuent à s'accrocher aux fadaises
racontées par les représentants de l'élite aux commandes auxquels ils sont aveuglément liés, n'ayant jamais imaginé qu'ils détenaient en eux les clés de leur libération en comprenant la nécessité
impérative de regarder le monde à l'envers ...
Pour comprendre l'application du modèle géométrique de la "Fleur de vie" comme création matérielle et physique de la matrice de 3ème dimension terrestre supervisée par le corpus prédateur de 4ème
dimension, il suffit d'en observer les éléments explicites répartis dans notre paysage, dans des lieux présentés comme sacrés alors qu'ils ne sont que les points d'ancrage de la matrice
involutive.
En superposant la Fleur de vie complète sur des cartes dites d'État-Major, et après avoir calculé l'échelle correcte, il ressort que tous les sites mégalithiques considérés comme sacrés -
Stonehenge (Angleterre - photo 1), Carnac (France - photo 2), les menhirs (Asie, Afrique, Europe), les pyramides (partout dans le monde)... sont, à quelques exceptions près, toujours disposés au
centre de six points de cette géométrie. Ce n'est bien sûr pas un hasard, car ils sont tous situés sur des points telluriques qui leur fournissent l'énergie nécessaire pour alimenter le piège
magnétique déployé par le corpus prédateur. Il en est de même pour la plupart la plupart des monuments tels que obélisques (photo 4), temples, églises, cathédrales (photo 5) et certaines
architectures dans les grandes villes, telles la pyramide du Louvre à Paris, lieu du "sacre Macron" (photo 6) ou la Cour suprême d'Israël à Jérusalem (photo 7). Plus précisément, les pyramides
font partie d'un dispositif électronique qui projette l'énergie du réseau tellurique dans l'atmosphère autour de la planète, en inversant sa polarité, et ce en fonction de l'énergie "viciée"
reçue initialement de certaines constellations du champ astral telle Orion (Cf. image ci-dessous) ou Sirius. C'est ce qui forme le maillage de ce filet électro-magnétique à l'énergie inversée,
qui enveloppe la Terre.
Ces sites et monuments, dont beaucoup existent depuis plus de 10.000 ans, sont les activateurs de la matrice de 3ème dimension placée sous l'égide du consortium prédateur. Ils représentent les
barreaux de notre prison de 3ème dimension.
Le lien entre Orion et les pyramides - Source : "Les enfants de la Matrice" de David Icke - Cliquer pour agrandir
Quelques Temples relais
Temple d'Amritsar en Inde
Temple d'Osiris à Abydos en Égypte
Les villes sous contrôle
New York, Montréal, Philadelphie, Atlanta, Paris, Pyongyang, Dubaï... leurs pyramides allumées et scintillantes la nuit indiquent le contrôle de ces villes par les
forces de la prédation *.
* Explication dansFonctionnement de l'architecture du Vivant. LeBurj
Khalifa ou "tour de Khalifa" (photo 7) est un gratte-ciel situé à Dubaï aux Émirats arabes unis, devenu en mai 2008 la plus haute structure humaine jamais construite (828 m. de
haut).
Le corps énergétique terrestre sous contrôle
Si l'Homme de Vitruve * attribué à l'artiste italien Léonard de Vinci représente le corps énergétique par ses divines proportions mathématiques, c'est pour
signifier qu'il est en permanente inter-relation avec les énergies célestes (le champ éthérique) qui le nourrissent, pour le meilleur ou pour le pire... C'est ainsi que les "mages babyloniens",
relais terrestres du corpus prédateur de 4ème dimension - la "Matrice astrale" - ont configuré le treillis terrestre pour empêcher ou altérer le passage de la vibration énergétique positive
permettant à l'être humain de recevoir la juste information en toute conscience de Qui Il Est, et ce tout particulièrement dans les capitales portes-étendard dévoyées. C'est ainsi qu'à Paris, le
champ de Mars (photo), le dieu de la guerre, est la réplique florale et minérale de l'Homme de Vitruve, se trouvant dominé par la Tour Eiffel, antenne-relais nécessaire avec le treillis
électromagnétique du champ astral. Elle est le symbole tant phallique que pyramidal de la "père-version", au même titre que l'obélisque de la Concorde ou la pyramide du Louvre. Sans conscience de
cet artifice, l'être humain demeure un esclave illusionné de ses maîtres entropiques.
Selonl’écrivain français René Guénon (1886/1951), les "7 tours du Diable" constituent les centres de projection des
influences sataniques à travers le monde, allant dans le quadrillage énergétique terrestre du centre de l’Afrique à la Sibérie. Elles sont sous l'influence de la planète impulsive Mars à travers
le métal fer, qui entraîne la guerre par sa résonance de précipitation, d’impatience et en définitif de la chute. Tel est le monde d’aujourd'hui, autrement dit l’Age sombre de toutes les fraudes
psychiques comme le scientisme du transhumanisme, la psychanalyse dévoyée, les divers dieux polythéistes, le culte de la matérialité, du progrès et de la technologie, soit autant de causes
constitutives de troubles rendant quasi impossible toute libération de l'être humain de la Matrice prédatrice asservissante.
Cf.Ouvrage de Jean-Marc Allemand "René Guénon & les Sept Tours du diable".
Prédation énergétique
Le corpus prédateur se nourrit de toute l'énergie émotionnelle électrique des êtres humains qui se répercute sur sa grille magnétique artificielle établie. Aussi tous les égrégores individuels et
surtout collectifs alimentés d'énergies négatives - colère, rage, hargne, violence... -, liées à des peurs et à des souffrances, lui procurent force. Le relais du prédateur est logé dans notre
psyché, l'égo-mental, manipulé par les fausses croyances et les conditionnements délétères. Cette stratégie de diversion est intentionnellement appliquée afin de pousser la psyché de l'individu à
la colère et à la rébellion. Ainsi avec Internet, qui s'il peut être un puissant outil d'information et de communication au service de l'évolution humaine, est aussi un puissant moyen de pouvoir
et de contrôle au service de l'élite institutionnelle. Tout comme la télévision, les radios et le cinéma *, les réseaux sociaux participent à entretenir la propagande dualiste - "like ou unlike"
-, en manipulant l'individu à travers son émotionnel et en implantant dans son subconscient des informations subliminales l'éveillant à ses bas instincts et à ses pulsions de colère, de haine, de
ségrégation, en l'obligeant insidieusement à prendre un parti quelconque... Ces réseaux font donc office de remarquables indicateurs du niveau de conscience de la société, mais jamais ne
contribuent à dévoiler l'existence d'une troisième voie libératrice.
De la même façon, les lieux et édifices présentés comme sacrés sont de nos jours encore le théâtre de rites en tout genre, qui ont pour dessein occulte d'y attirer de nombreuses personnes
ignorantes, souvent guidées par des "agents" inconscients de servir le consortium prédateur. Ces visiteurs et touristes, en vénérant ces lieux au travers de cérémonies, de prières ou de simples
visites, ne font qu'alimenter l'égrégore de fausses croyances que la prédation utilise pour renforcer le dispositif électronique générant l'illusion dans la matrice. C'est tout l' "art" de la
programmation d'endormissement du New Age comme des religions dévoyées que de laisser croire que ces lieux présentés comme "sacrés" sont au service de l'élévation de la conscience humaine. Par
exemple, les pyramides comme celle de Gizeh * possèdent des soi-disant "conduits d'aération", qui sont en fait orientés spécifiquement vers les systèmes stellaires appartenant à l'empire de la
prédation. Comme toujours, la désinformation de masse joue de la crédulité et de l'émotionnel *² d'individus peu soucieux de chercher la vérité en eux-mêmes, certes par manque d'information, mais
également et surtout par manque de discernement...
Il est toujours préférable d'honorer son Temple intérieur que de vénérer des monuments et de s'éparpiller à vouloir changer l'extérieur. La réalité extérieure ne change que si notre réalité
intérieure change, et celle-ci ne change que si nous savons accueillir la Connaissance que nous demandons à l'Univers, non à nos faux maîtres-enseignants.
La plupart des pyramides fonctionnent comme des condensateurs d'énergie. Ainsi les ouvertures trouvées sur les pyramides, notamment de Gizeh, ne sont nullement des
aérations comme le prétendent les égyptologues. Elles servent de "canal d'aspiration" destiné à récupérer les Âmes humaines piégées dans le maillage électronique formant la matrice de 3ème
dimension *. Si cette technologie sophistiquée avait pour objectif après sa dénaturation par la prêtrise païenne de permettre la réincarnation des Âmes de lignée Royale dévouées à l'empire de
prédation, elle fait aussi partie d'un dispositif électro-énergétique de capture d'Âmes. En effet, comme piliers du filet électronique invisible tendu autour de la Terre, mais également agissant
dans le système solaire et une partie de la galaxie, les pyramides happent les Âmes humaines qui, après l'incarnation terrestre *², voyagent dans l'astral cosmique pour tenter de retourner à leur
Êtreté/Source. Bien que cela puisse paraître totalement absurde pour l'homme rationnel biberonné à l'enseignement dispensé par le système, il existe d'autres pyramides sur d'autres planètes
(Lune, Mars, Vénus, Jupiter...), mais aussi sur chaque planète-mère du consortium de prédation telles que Sirius, Orion, la Grande Ourse.... Elles constituent d'autres points d'ancrage
énergétique de ce terrible piège.
Les pyramides et ce filet électronique (le treillis) tendu à travers une partie de la galaxie contribuent qui plus est à détruire la mémoire stellaire de
l'Esprit/Conscience de l'être humain lorsque celui-ci est renvoyé dans la matrice de 3ème dimension terrestre. Soit le voile de l'oubli, l'amnésie de Qui l'humain EST vraiment... Enfin, elles
tentent de freiner l'inversion des pôles magnétiques de la Terre, tentant d'empêcher de ce fait l'ouverture de conscience en cours des êtres humains.
*²La fameuse lumière blanche décrite par les expérienceurs de NDE (Near Death Experience ou Expérience de mort imminente
- EMI) n'est rien d'autre que l'éclair lumineux perçu par la conscience du défunt lorsque celui-ci se fait prendre dans ce treillis électro-magnétique et se fait griller la mémoire dans son ADN
éthérique. La présence d'êtres chers comme d'êtres lumineux (anges, archanges...) est une illusion de plus destinée à empêcher l'ascension de notre âme au moment de la mort, pour retenir l'être
humain prisonnier dans le champ astral, et continuer de servir de garde-manger aux forces prédatrices. C'est pourquoi s'alléger de toutes nos impuretés toxiques pendant notre incarnation, en
toute conscience de la manipulation extra-dimensionnelle, peut favoriser la réussite du passage du tunnel...
D'autres supports sous forme de cristaux de roche sont utilisés aux mêmes fins. En forme de crâne, ils sont considérés comme des représentations symboliques du Soi supérieur en mode "Service de
Soi". Ils célèbrent simplement la mort, non le Vivant, la Lumière de l'UN. Compte-tenu de leurs propriétés (Cf. ci-contre), ils peuvent très facilement et à tout moment être programmés et
reprogrammés à partir d'autres plans dimensionnels afin de moduler la fréquence de résonance des humains qui se trouvent dans leur environnement. Ceci permet d'amplifier les croyances humaines
inhérentes aux programmes de leur matrice de 3ème dimension, tout particulièrement lorsque leurs gardiens exhibent en public leur énergie inversée et corrompue.
Les crânes de cristal et soi-disant cristaux de pouvoir ou de cérémonie sont d'autres moyens d'entretien de la prédation énergétique compte-tenu des propriétés
conductrices du cristal, quivibre à une fréquence très stable et possède la particularité d'amplifier les ondes
électromagnétiques et photoniques de l'ADN. Ces crânes de cristal sont capables d'entrer en résonance avec des codages ADN situés sur d'autres plans dimensionnels, comme par exemple les plans de
l'astral et la 4ème dimension involutive "Service de Soi".
D'un point de vue symbolique la grotte est un des archétypes primordiaux de la psyché humaine (Platon l'utilise dans sa célèbre allégorie de la Caverne). Elle
rappelle à l'humain sa capacité d’introversion et à se faire creuset, permettant à ses forces intérieures leur alchimie afin que la conscience puisse choisir de renaître à elle-même et de
déterminer son avenir. Elle est l'espace utérin par excellence, où se joignent les forces complémentaires : énergies telluriques et cosmiques. Dans la pénombre de la grotte, l'être spéléologue de
lui-même contacte tel un fœtus la magie du microcosme cellulaire et du macrocosme stellaire. Ce trou noir qu'est la grotte lui procure les conditions propices à l'introspection et à la
reconnexion – au travers des milliards de trous noirs, les atomes, qui constituent son propre organisme – à la Force Originelle.
Nos ancêtres initiés tels les Cathares avaient parfaitement compris la valeur à la fois symbolique et opérative de la grotte sur le plan multidimensionnel. Ils
n’avaient pas besoin de lieu de culte ni de lieu de rituel construits de main d’homme, à de rares et grandioses exceptions près, tels Montségur et Quéribus. Ils savaient comme l’avait dit Paul de
Tarse que "le corps de l’homme est le vrai temple de Dieu". Le sanctuaire, c’est la nature. La nature humaine, et la Nature tout court.
L'art de la traite d'énergie vitale
Toutes nos pensées sont bel et bien théoriquement observables, puisqu’elles ont une consistance ainsi qu'une extension extra-dimensionnelle hors de notre corps. Si notre système de pensée est
erroné, nous rendant esclave, c'est certes dû à la matrice qui nous contrôle, mais aussi à nous-même. En effet, un esclave tout court, ça n’existe pas. On est toujours l’esclave de quelqu’un ou
quelque chose. Autrement dit, nous sommes "d'accord" pour être l'esclave de la matrice, voulant simplement ne pas savoir que nous le sommes... Ce n'est que si nous nous transformons en esclave
qu'il y a forcément une espèce d’entité - celle que nous ne voulons ou ne pouvons pas voir - qui en profite.
Le travail du corpus prédateur asservisseur ressemble grosso modo à ce que nous pratiquons nous-mêmes avec nos animaux plus ou moins sauvages, c’est à dire l’élevage pour les uns et le parcage ou
le contrôle pour les autres. Si ne nous sommes pas consommés de la même manière, la traite effectuée porte sur notre fluide vital que nous avons la particularité de secréter, et qui a un rapport
avec la conscience. Les entités prédatrices doivent simplement respecter la condition que leur activité reste en conformité avec la loi morale qui règne au sein de l'univers. Cette loi morale est
très simple : le respect du libre arbitre de tout être dans l’univers.
Le libre arbitre vient de l’Esprit universel, le Grand champ de conscience, substance de La Source, l'Un. Si l’Esprit dans sa dimension supérieure est pleinement conscient, en situation incarnée
- en l'occurrence dans la 3ème dimension - il perd cette conscience, ce qui est plus ou moins compensé par le fait qu’il sécrète une conscience incarnée. Cette capacité de sécrétion n’est pas
sans limite, dépendant de la quantité et de la qualité de sommeil, et se renouvelle aussi qualitativement durant le rêve. Ainsi quelqu’un qui ne dort pas, ou très peu, et surtout qui ne rêve pas,
finit par dégrader sa conscience et devient fou, à moins qu’il ne soit contrôlé par une entité extérieure ou qu’il fasse partie d’un organisme beaucoup plus étendu, qui peut regrouper pas mal de
monde et qui dans ce cas lui prête sa conscience collective. Mais cela marche dans les deux sens : l’entité ou l’organisme peut également se nourrir de la conscience individuelle, à une seule
condition : que la personne ait la volonté de dépendre de cette entité ou de ce collectif. Dans les deux cas, il se produit une circulation d’énergie vitale qui peut avoir lieu dans les deux
sens.
Réalité du libre arbitre de l'être humain en 3ème dimension de densité :
Le libre arbitre est illusoire dans la matrice cyber des morts-vivants, tout ayant été programmé à travers leur ADN par les maîtres généticiens involutifs de la
4ème dimension de densité astrale pour qu'ils pensent de manière linéaire et de ce fait limitée. C'est pourquoi, seuls les êtres humains dotés d'une âme - les Humanoïdes -*, peuvent entreprendre
le chemin de leur libération par un incontournable déconditionnement mental de toutes les fausses croyances, suggestions délétères et conditionnements mortifères instillés en eux par leur double
involutif, le gardien pilote de leur psyché dénaturée. Ceci est nommé l'éveil spirituel, encore faut-il qu'ils parviennent à éviter les nombreux pièges tendus à celle ou celui désirant s'extraire
de sa caverne prison *². Aussi le seul véritable libre arbitre est celui d'un choix radical, consistant à choisir fermement le cheminement en mode "Service d'Autrui" et de renoncer tout aussi
fermement à celui en mode "Service de Soi". Ceci explique que la trajectoire en cours du futur de l'actuelle humanité, ignorante, anesthésiée, endormie, hypnotisée et manipulée par les instances
du corpus prédateur de 4ème densité "Service de Soi" demeure entropique, entendant que dans un avenir plus ou moins lointain, selon le calendrier occulte établi, elle devrait s'achever dans le
chaos par sa destruction en 3ème densité.
Lorsque l’Esprit d’un être humain est absent ou dormant parce que l’être est contrôlé par son égo-mental, c’est à dire en mode automate, cette circulation a lieu librement mais en général de
façon incontrôlée. L’énergie vitale est alors pillée. Ce n’est que lorsque l’Esprit revient que l’énergie peut être volontairement conservée, ou volontairement donnée pour rendre service à
quelqu’un qui en a besoin. Cela dit, on peut perdre son énergie même dans ce cas si l’on est distrait et une sensation de fatigue apparaît. On peut également la perdre lorsqu’on est déjà un peu
fatigué. C’est alors comme si la fatigue augmentait sans raison. C’est d’ailleurs pourquoi il est intéressant pour les pilleurs d’énergie de provoquer tantôt la fatigue, tantôt la distraction
chez les personnes dont ils s’abreuvent.
La meilleure façon de s’assurer une source d’énergie de la part d’un être porteur d’Esprit est de la lui faire secréter dans la durée en commençant par garantir ses moyens de subsistance. Un
autre aspect important est que la traite d’énergie vitale impose de limiter le niveau d’éveil de la personne à traire, sans quoi l’Esprit revient et redevient maître de la circulation : il peut
donc la bloquer. Le problème est que limiter le niveau d’éveil empêche la personne d’accéder au bonheur auquel elle accède naturellement en présence de son Esprit. Il faut donc trouver le moyen
de compenser ce bonheur naturellement accessible à l’aide de sources de satisfaction artificielles qui vont compenser la perte d’accès à la vraie source. C’est tout un art.
C’est pareil pour l'être humain avec les animaux qu'il domestique pour sa consommation. Si nous ne traitons pas correctement nos vaches, moutons, chèvres, etc. il y a une perte de qualité, quand
ce n’est pas une perte tout court si nous ne faisons pas attention à soigner correctement notre bétail. Aussi, pour correctement domestiquer la race humaine, les entités du corpus prédateur lui
prodiguent des soins, assurent sa distraction, la nourrissent en biens de consommation, la font travailler pour la fatiguer et limiter son éveil intérieur, etc. Et comme la conscience corporelle
a pour particularité d’être passive et contrôlable, elle a tous les prérequis pour être hiérarchisée *.
L'art de la traite d'énergie vitale par le corpus prédateur repose sur le contrôle et la manipulation des pensées de l'être humain selon les canaux suivants.
1. L'inconscient, plus exactement le subconscient, nourri des croyances reçues (fausses ou limitantes), des conditionnements assénés, des manipulations réalisées et
des illusions entretenues *.
2. L'inconscient collectif, soit les "formes psychiques" archétypales étendues à grande échelle, et renforcées par une communication d'inconscient à inconscient
selon les travaux du psychiatre Milton Erickson (1901/1980). Il en découle l'état de somnambulisme de la grande majorité des êtres humains, reliés à des égrégores (puissances énergétiques)
dénaturés car désacralisés (ainsi ceux entretenant des idéologies politiques ou religieuses).
3. L'état de dissociation généré par les traumatismes éprouvés dans les circonstances de la vie, source de disharmonie. Si les symptômes apparus ne sont pas
nettoyés à ce moment, ils constituent une énergie résiduelle (soit des informations) qui demeure prise au piège dans le système nerveux, constitutif du lien d'attache avec le prédateur et à même
de faire des ravages dans le corps et dans l'esprit.
4. Les mémoires/souvenirs de ces traumatismes, liés à cette vie ou à d'autres, qui demeurent stockés dans le corps au moyen d'une "mémoire cellulaire", d'où
l'importance des membranes et des os selon nombre de traditions, et que les travaux de scientifiques comme Philippe Montagnier et Marc Henry sur les propriétés cristallines de l'eau démontrent
*².
*² Cf. Fonctionnement de l'architecture du Vivant. Voir également les
travaux de Barbara Hort, auteur de Unholy Hungers : Encountering the psychic Vampire in Ourselves and Others ("Prédateursimpies : rencontrer le vampire psychique en nous-même et chez les autres" - 1996) ; Peter Levine, auteur de "Guérir par-delà les mots - Comment le corps dissipe les
traumatismes et restaure le bien-être" (2014) ; Gary Schwartz, auteur de "Quand l'autre vit en soi ... Greffe d'organe et mémoire cellulaire" (2002) ; Ashley Montagu, auteur de "La peau est
capable de penser avant le cerveau" (2014) ; Bruce Lipton, auteur de "Biologie des croyances" (2006).
Ainsi le groupe pompe son énergie de l’individu, les groupes s’assemblent pour en former d’autres plus importants qui pompent leur énergie des sous-groupes situés en-dessous, et ainsi de suite.
Un aspect crucial de cette hiérarchisation est que pour pomper un taux important d’énergie il faut qu’il y ait peu d’éléments par sous-groupes (de ce fait beaucoup de niveaux hiérarchiques),
sinon chaque sous-groupe individuel se sent isolé et attribue moins d’importance à sa hiérarchie. Il s’agit en effet d’une hiérarchie participative et volontaire et c’est là le point clé. Chaque
entité-groupe doit représenter un potentiel important qui va se traduire d’une part par des actions influentes dans la société et d’autre part par une remontée d’énergie d’importance équivalente.
Manipulation, programmation et contrôle mental
Le contrôle mental, soit la "programmation" de la psyché, consiste à canaliser les consciences. C'est une des clés de domination ici-bas avec l'asservissement à et par l'argent dans un rapport au
temps circonscrit ("le temps c'est de l'argent"...). Le contrôle mental prend différentes formes, de la plus simple à la plus complexe. Ainsi les méthodes d'apprentissage qui façonnent le
cerveau, comme les programmes scolaires et universitaires qui formatent les croyances et l'esprit critique, sont une première forme de modelage du futur adulte qui vise à le rendre compatible et
utile au système social en vigueur. De leur côté, l'information journalistique et le divertissement médiatique sont d'autres facteurs qui vont influencer la conscience selon un certain modèle. La
pression sociale qui fait que l'individu se soumet à ce que l'on nomme "la pensée unique" est aussi une forme de contrôle mental, tout comme les diverses pollutions alimentaires et
environnementales qui altèrent notre cerveau et par conséquence notre capacité de raisonnement et d'analyse… Sans oublier le subliminal ou la psychotronique, c'est-à-dire des outils (armes) qui
influencent le système nerveux avec des rayons non ionisants. La "religion sans nom", le transhumanisme, aime les robots et les automates. Elle en a besoin pour cette planète d'illusion où
pensées, idées et créativité sont sous contrôle par la manipulation du subconscient de toutes les manières possibles. Il en découle des êtres certes à l’apparence humaine, mais qui montrent des
émotions scénarisées récurrentes, toujours basées sur la peur, la haine de l’esprit critique, la délation de son prochain qui ne file pas droit vis-à-vis de la pensée unique, le déni, la bêtise,
la zombification, l’ignorance, l’apathie délibérée. Soit la déshumanisation profonde.
Toutefois, à ce stade, la population conserve encore un semblant de libre arbitre, chaque individu ayant la possibilité de remettre en question tout ce qu'on lui a appris depuis l'enfance. Il
peut se ré-informer en choisissant d'autres sources, se débarrasser de sa télévision, changer son mode d'alimentation, s'alléger du monde matériel pour se tourner vers le monde spirituel, et
travailler à s'extraire de la Matrice asservissante.
La relation d’emprise, véritable main basse sur l’esprit, permet de prendre le pouvoir sur quelqu’un par le "décervelage". Son processus consiste en une perte
progressive des capacités psychiques d’une personne soumise à des manipulations quotidiennes qui agissent comme des micros- agressions. Le poison est instillé à dose homéopathique. Le manipulé
devient peu à peu inapte à opérer la distinction entre ce qui est bon ou mauvais pour lui, et n’a pas conscience de ce "décervelage". Incapable de discernement, privé de ses capacités d’analyse,
de son esprit critique et de son libre arbitre, il obéit aux injonctions du manipulateur sans résistance. D’où la passivité qui caractérise une personne assujettie.
L'erreur souvent commise est de penser que les personnes manipulées sont "faibles", ce qu’elles ne sont pas. Ce sont même souvent les personnes les plus
"intelligentes", dans le sens de "brillantes", qui sont paradoxalement le plus "sensibles" ou les plus exposées aux techniques de manipulation. La manipulation instaure une relation d’emprise
totalement asymétrique, d’autant plus forte qu’elle s’inscrit sur le long terme. Il n’y a aucune égalité entre un manipulateur et sa cible. Dans sa version la plus féroce, il s’agit d’une
prédation à caractère intentionnel.
Le mécanisme de disjonction est identique à celui qui opère chez une personne traumatisée. Ce qui agit n’est pas l’intensité du vécu traumatique mais sa
répétitivité, qui produit un effet sur les circuits neuronaux d’auto-inhibition. Cette auto-inhibition se traduit par un phénomène d’autodestruction dont les conséquences physiologiques peuvent
être très graves. Le décervelage ne représente que la phase préalable d’une dévitalisation dont les effets se répercutent sur la santé mentale et physique du manipulé.
Du fait de l’action du "décervelage", le manipulateur peut "imprimer" son mode de pensée chez le manipulé exactement comme on grave un nouveau fichier sur un disque
CD vierge. De nouveaux comportements vont alors apparaître, qui agissent tels des cliquets antiretours dans l’évolution de la personne manipulée. Selon la théorie de l’engagement empruntée à la
psychosociologie, l’individu réajuste son système de pensée pour le rendre cohérent avec ses agissements. Cette réorganisation psychique provoque des dissonances cognitives chez la personne
manipulée qui se trouve alors en conflit de loyauté entre ce que la manipulation lui "impose" de faire et les valeurs morales que ces nouveaux comportements transgressent.
Or, le conflit de loyauté est, selon Ariane Bilheran, psychologue clinicienne auteur de nombreux ouvrages sur la question des violences psychologiques, le mode
opératoire le plus fondamental de la torture. Toutefois, pour que le manipulé ne puisse pas retrouver ses capacités psychiques, l’état de confusion mentale doit être soigneusement entretenu. Un
des meilleurs moyens pour y parvenir réside dans l’utilisation du discours paradoxal formulé ainsi : "Faites ce que je dis, mais pas ce que je fais et surtout puissiez-vous ne rien comprendre
à ce que je vous raconte de manière à ce que, quoi que vous pensiez, quoi que vous disiez ou quoi que vous fassiez, je puisse toujours avoir raison". Ce type de communication, qui tend à
faire agir les unes contre les autres différentes aires de la personnalité du manipulé, génère des conflits de loyauté et est "schizophrénogène". Autrement dit ce genre de communication rend
"fou".
Conditionnement culturel
Conditionnement mental
Full Metal Jacket est un film britanno-américain produit et réalisé par Stanley Kubrick, sorti en 1987. Fondé sur le roman The Short Timers
(Le Merdier) de l'écrivain américain Gustav Hasford (1947/1993) et sur les mémoires de guerre du journaliste américain
Michael Herr (1940/2016) Dispatches, son titre fait référence à un type de balle blindée en usage dans les "marines" de l'armée navale états-unienne (US Navy).
Le film met en scène de jeunes soldats à la fin des années 1960. Dans sa première partie, on assiste à leur entraînement avant le départ au Vietnam, basé sur le
conditionnement, et faisant écho aux techniques radicales de redressement des délinquants développées dans un des films précédents de Kubrick, The Clockwork Orange (Orange mécanique) *.
La scène ci-contre, dite du sergent instructeur Hartman (Ronald Lee Ermey),illustre la violence du processus, qui se
terminera de manière dramatique pour un des jeunes protagonistes ...
Le Dr Nick Begich, médecin et écologiste de renommée internationale, et Jeane Manning, journaliste indépendante spécialisée dans les recherches sur
les énergies non conventionnelles, sont les auteurs deAngels Don't Play This Haarp: Advances in Tesla Technology ("Les anges ne jouent pas de cette Haarp"), ouvrage paru en 1995,
où ils affirment qu’une simple stimulation externe, déclenchée à l’aide de signaux électromagnétiques émis par un générateur, suffit à entrainer le cerveau ou à le bloquer. En effet, elle peut
déplacer la bande de fréquences sur laquelle fonctionnent normalement les ondes cérébrales. En d’autres termes, un programmateur de signaux externes ou générateur d’impulsions peut imposer son
propre rythme au cerveau d’une personne : les fréquences habituelles sont alors modifiées artificiellement et les ondes cérébrales s’adaptent a la nouvelle bande de fréquences. La chimie
cérébrale subit à son tour des changements, ce qui modifie le fonctionnement cérébral : les pensées, les émotions et la condition physique du sujet s’en trouvent altérées.
Le comportement humain étant fonction de sa programmation, la manipulation mentale peut être soit bénéfique, soit maléfique pour l’individu qui en est l’objet.
C'est pourquoi les différentes fréquences, en combinaison avec des formes d’ondes déterminées, déclenchent des réactions chimiques très particulières dans le cerveau, la libération de ces
substances neurochimiques entraînant des réactions spécifiques qui se traduisent par des sentiments de peur, de désir, de dépression, d’amour, etc. L’éventail complet des réactions émotionnelles
et intellectuelles est le résultat de combinaisons très spécifiques de substances neurochimiques lors d’impulsions électriques sur des fréquences appropriées. C'est pourquoi chaque émotion
(colère, peur, joie, plaisir) correspond à une fréquence bien déterminée.
Des radiations peuvent être générées sur des fréquences hertziennes extrêmement basses (ELF), et se comporter comme des conducteurs sans fils pour télécommander les
ondes cérébrales. C’est ce à quoi les projets de type HAARP * pourraient aboutir dans certaines de ses applications : utiliser l’ionosphère comme une antenne pour pouvoir réaliser des
manipulations mentales à des fins égoïstes, soit la possibilité pour l’armée de savoir ce que pensent les gens et d’altérer leurs processus de pensée. Si ce système a la capacité de forcer les
cerveaux humains à "disjoncter", il peut également couper le réseau de communications de n’importe quelle grande ville du monde, manipuler et modifier le climat à l’échelle planétaire, et porter
à la santé (essentiellement au système nerveux) et aux écosystèmes. Nul ne peut de ce fait exclure ses applications occultes.
* Le but du projet HAARP (High Frequency Active Auroral Research Program) mis en œuvre en
Alaska consistait officiellement à étudier, stimuler et diriger des processus ionosphériques susceptibles d’altérer l’efficacité des systèmes de communications et de surveillance, ainsi que de
générer un bouclier protecteur global capable de faire le tri entre les cibles nucléaires ou conventionnelles et de les traiter de façon adéquate. Officiellement terminé depuis 2013, rien
n'interdit de penser qu'il perdure, ou que d'autres installations de ce type "dissimulées" existent.
L'émotionnel nourricier de la prédation, ou la célébration de l'égrégore de la
Mort
Robert Allan Monroe (1915/1995), créateur de l’Institut Monroe, a dans son ouvrage Far Journeys (traduit par "Fantastiques expériences de voyage astral")
donné la clé explicative de l'émotionnel humain, permettant à ce dernier d'exprimer sa singularité biologique créatrice tout en nourrissant, quand il ne la contrôle pas par la pleine conscience
supra-mentale (le Soi supérieur), le système prédateur pour sa survie dans la 4ème dimension de réalité où il loge. Nommé Loosh *, il est une substance rare en "Quelque Part", soit
l'énergie humaine produite sous forme émotionnelle et humaine. Lorsqu'elle découle de dizaines, centaines, milliers, millions d'individus, elle constitue des égrégores collectifs générateurs
d'hystérie à différents stades d'intensité, et dont les entités inter-dimensionnelles non physiques involutives - nos maîtres prédateurs - se nourrissent car elle est d’une importance vitale à
tous égards, pour leurs intérêts comme pour leur survie.
Le Loosh fait ainsi partie des Lois de fonctionnement de l'Univers, en l'occurrence celles de la dimension de l'Astral confinée à la barrière de la "4-D" (quatrième
dimension de densité), que nous pourrions nommer la Loi de l'offre et de la demande. La connaissance des Lois physiques de l'Univers est donc déterminante. Aussi seuls les initiés peuvent les
utiliser selon leur libre arbitre, en toute connaissance de cause : le mode "Service de Soi", de nature involutive ; le mode "Service d'Autrui", de nature évolutive. Le système prédateur
généticien de l'humain les connaissant parfaitement, il a doté l'humain dans sa génétique constitutive des éléments nécessaires à sa survie, soit les émotions nourries tout particulièrement de
peurs et de souffrances en sus de celles caractérisées par l'amour, la joie, la paix... Toute la manipulation tant génétique (amputation de nombre de brins d'ADN) que psychique par
l'égo-mentalconsiste, hors mode d'emploi approprié, à assurer la production de cette nourriture par les mélodrames parfaitement scénarisés et synchronisés
du jeu du Vivant (la programmation du calendrier astral), en empêchant par tous les moyens l'éveil de conscience par l'accès à ses mémoires logées dans son
subconscient et le travail de reconstitution cellulaire de son épigénétique bridée... L'univers étant électromagnétique, aussi longtemps que l'individu reste influencé par le moindre émotionnel
de rébellion contre l'ordre délétère à ses yeux prévalant, c'est-à-dire par une quelconque basse fréquence de peur, de lutte ou de révolte, il persiste à attirer à lui des circonstances qui le
confortent dans ses soupçons, lui empêchant toute libération.
L'illustration emblématique en cette année 2020 de cette récolte psycho-émotionnelle offerte au système prédateur asservisseur par l’être humain inconscient
estune affaire de violence policière américaine, ayant conduit à la mort de George Floyd,un homme afro-américain décédé lors de son interpellation par un policier blanc au mois de mai à Minneapolis, dans le Minnesota aux
États-Unis. Interpellé par quatre policiers dans sa voiture, menotté et plaqué au sol sur le ventre, il est immobilisé par l'un deux qui va exercer une pression du genou sur son cou pendant près
de neuf minutes (photo 3), alors que Floyd déclare plusieurs fois "I can't breathe" (je ne peux pas respirer). Filmées par des des passants, son interpellation et son agonie sont signalées aux
policiers présents, qui cependant empêchent quiconque d'intervenir. Les images se propagent alors sur les réseaux sociaux, puis dans les médias, à l'international. Ces circonstances entourant la
mort de George Floyd vont conduire à des manifestations et des émeutes contre le racisme et les violences policières dans l’agglomération de Minneapolis-Saint Paul, puis dans le reste du pays et
dans le monde entier dans les jours suivants, et à de nombreuses réactions de protestations dans le monde politique, culturel et sportif, générant un état de tension exacerbé, qui plus est par
des infiltrations de groupes "anar" et identitaires manipulés pour des intérêts politiques tout autres.
Lorsque l'on sait que "George" est le dragon enseignant *² de l'être humain illusionné car manipulé par son égo-mental sous gouverne du corpus prédateur, et que
"Floyd" est un patronyme formé à partir de flood, qui signifie "la volonté divine", l'homme sage ne peut qu'en refusant de prendre partie se détacher du piège qui
lui est tendu afin de lui interdire la salvatrice prise de conscience libératrice.
Le zoologiste anglais Desmond Morris (Cf. photo 1) a publié en 1970 dans son ouvrage The Human Zoo (Le zoo humain) quelques clés d'importance pour
permettre à l'individu de prendre le dessus sur une existence sociale complexe, et ne pas la laisser se servir de lui. Si nous devons être forcé de pratiquer la course aux stimuli imposés par la
matrice d'appartenance, l’important est de choisir la meilleure méthode d’approche. Et la meilleure façon de s’y prendre est de donner la priorité au principe inventif, explorateur, en adaptant
notre esprit inventif aux grands courants de notre existence "super-tribale".
Or, si les membres de notre super-tribu civilisationnelle ne choisissent pas plus fréquemment la solution inventive, compte-tenu de l’énorme potentiel explorateur
de leur cerveau *, qu'ils ne se montrent pas plus des citoyens "inventeurs" de leur vie, préférant se contenter de savourer leurs inventions en seconde main en les regardant à la télévision, ou
de se contenter de pratiquer des divertissements simples et des sports dont les possibilités d’invention sont strictement limitées et inutiles à leur libération, c’est qu'ils ont été comme
enfants subordonnés aux adultes *².
Inévitablement, les animaux dominants s’efforcent de contrôler le comportement de leurs subordonnés. Malgré toute l’affection que les adultes peuvent porter à leurs
enfants, ils ne peuvent s’empêcher inconsciemment de les voir comme une menace grandissante à leur domination. Ils savent que, quand viendra la vieillesse, ils devront leur céder la place, et ils
font tout leur possible pour reculer cette fatale échéance. Il y a donc une forte tendance à réprimer l’esprit inventif chez des membres de la communauté plus jeunes. On peut toujours apprécier
leur "œil neuf" et leur esprit créateur, mais la lutte n’en est pas moins âpre. Lorsque la nouvelle génération a atteint le point où ses membres pourraient être des adultes-enfants, follement
inventifs, ils sont déjà accablés sous le poids d’un lourd conformisme. Luttant contre lui de toutes leurs forces, ils se trouvent à leur tour confrontés avec la menace d’une autre génération
plus jeune qui surgit sur leurs talons, et le processus de répression se répète.
Seuls de rares individus, qui connaissent souvent une enfance "insolite", parviendront à atteindre à l’âge adulte un niveau de grande créativité dans leur domaine
respectif, à l'image du physicien prix Nobel Albert Einstein (1879/1955 - photo 3). Il présente en effet un parcours scolaire relativement atypique par rapport aux éminents scientifiques
qui furent plus tard ses contemporains. Très tôt, le jeune homme s'est insurgé du pouvoir arbitraire exercé par les enseignants, étant de ce fait souvent dépeint comme mauvais élément très
étourdi par ces derniers. La raison est qu'il éprouva jusque tard dans son enfance des difficultés pour s'exprimer, potentiellement dues à la dyslexie dont il souffrait. Il fut entre autres
renvoyé de sa scolarité au Luitpold Gymnasium de Munich à l’âge de 15 ans, son professeur de grec ayant jugé sa présence incompatible avec la stricte discipline y régnant à l’époque.
S'il eut d’excellents résultats en mathématiques, il refusa de s’instruire en biologie et en sciences humaines, ne percevant pas l’intérêt d’apprendre des disciplines qu’il estimait déjà
largement explorées et considérant la science comme le fruit de la raison humaine et de la réflexion. Il obtint de justesse son diplôme en 1900, s'avouant, dans son autobiographie, "incapable de
suivre les cours, de prendre des notes et de les travailler de façon scolaire".
La civilisation en cours du poisson rouge
Dans son dernier ouvrage "La civilisation du poisson rouge" (Éditions Grasset), le directeur éditorial d’Arte France, Bruno Patino, cherche à comprendre comment on
est quasiment tous devenus accrocs aux écrans, et quelles sont les séquelles sur notre cerveau et notre comportement… Les écrans et les réseaux sociaux sont comme l’argent ou les prophètes
gourous, politiciens ou religieux. De remarquables serviteurs mais de bien mauvais maîtres. Ils ont été
intrinsèquement conçus pour rendre l'être humain dépendant, soumis car anesthésié de sa souveraineté existentielle. Lorsque sa capacité cognitive est
réduite à une moyenne de 9 secondes, soit une seconde de mieux que celle du poisson rouge, les problèmes posés sont considérables ! L'addiction aux écrans et celle auxréseaux sociaux portent en elles les germes d’une terrible inégalité à travers la constitution de castes, celles des attentifs, et celles des zombies à la mémoire de poissons
rouges, à qui ont été enlevés les capacités de base de réflexion et de pensée. Tous les enfants soumis massivement aux écrans sont condamnés à cette
médiocrité intellectuelle, et à la castration de leurs possibilités, de leur potentiel intellectuel qui ne sera jamais réalisé. Il en découle des citoyens
chloroformés, livrés uniquement à leurs pulsions émotionnelles, dirigés par la caste supérieure, les "maîtres magiciens", qui sait encore lire des livres.
La fabrication à la sauce techno du crétin
Le chercheur français spécialisé en neurosciences cognitives Michel Desmurget a sorti en 2019 un nouvel ouvrage,première synthèse des études scientifiques internationales sur les effets réels des écrans, intitulé "La fabrique du crétin digital".
Celle-ci découle de la consommation frénétique du numérique sous toutes ses formes : smartphones, tablettes, télévision, etc. Dès 2 ans, les enfants des pays occidentaux cumulent chaque jour
presque 3 heures d’écran, passant entre 8 et 12 ans à près de 4 h 45, et frôlant entre 13 et 18 ans les 6 h 45. En cumuls annuels, ces usages représentent autour de 1 000 heures pour un élève de
maternelle (soit davantage que le volume horaire d’une année scolaire), 1 700 heures pour un écolier de cours moyen (2 années scolaires) et 2 400 heures pour un lycéen du secondaire (2,5 années
scolaires), soitdes temps passés totalement extravagants (certainsconsacrent aux écrans plus de 8 heures par jour !). Or et contrairement à certaines idées
reçues, cette profusion d’écrans est loin d’améliorer les aptitudes de nos enfants. Bien au contraire, elle a de lourdes conséquences : sur la santé (obésité, développement cardio-vasculaire,
espérance de vie réduite…), sur le comportement (agressivité, dépression, conduites à risques…) et sur les capacités intellectuelles (langage, concentration, mémorisation…). Autant d’atteintes
qui affectent fortement la réussite scolaire des jeunes. C'est ce qu'a confirmé dans son étude sortie en janvier 2019 Santé Publique France, nom public de l’agence nationale de santé publique
placée sous la tutelle du ministre chargé de la santé.
Si les enfants frottent avec aisance et instinctivement les écrans tactiles, c'est parce que ces outils ont été conçus pour être simples, sans nécessiter de
compétences ou aptitudes particulières. Autrement dit, leurs concepteurs et fabricants les ont conçus pour que même un "abruti mâtiné d’un crétin" puisse s’en servir ! Et c'est la où réside le
génie, non chez l'enfant mais chez l'adulte, car faire simple est très compliqué. De même, l'utilisation des réseaux sociaux ne développe aucune compétence chez les enfants, ceux-ci n'étant que
de simples utilisateurs, en aucune façon des concepteurs, ce qui requiert du travail spécifiquepour acquérir des compétences
et des connaissances. La réalité est que cette génération digitale possède moins de connaissances numériques en comparaison de la génération X des sixties et seventies, un ordinateur ou
une tablette ne pouvant en aucune façon transformer un cancre en bon élève.
Ce qui fait d’un gamin un bon élève c’est l’acquisition massive de mots et la maîtrise du langage natal, pour exprimer une pensée riche et être capable de se
structurer pour acquérir des connaissances de plus en plus complexes. Le langage est bel et bien la toute première des compétences. De ce fait, il y a deux catégories d’enfants. Les "bien nés",
dans une famille qui maîtrise plus de 500 mots et qui va consacrer du temps à l’enfant en bas âge pour l'aider à structurer son langage. Les "pas de chance", pour qui tout sera plus difficile et
parfois impossible, parce que nés dans un environnement culturellement asséché et pauvre, et dont les adultes sont la plupart du temps totalement incapables de s'auto-appliquer une discipline de
distanciation avec les écrans.Du coup, désormais et cela s’accélère depuis quelques années très nettement, les adultes
laissent de plus en plus les enfants faire comme ils le veulent avec une naïveté confondante de surcroît sur les "programmes" que vont aller voir leurs chers bambins…. Les écrans ne font
qu'accentuer cette terrible inégalité entre les individus en général et les enfants en particuliers.
De l'instauration de l'anglais comme langue universelle
Progressivement, sous prétexte de la nécessité d'une langue unique favorisant le libre-échangisme mondialiste, les langues nationales
ont évolué vers le "globish" (global english sans réel lien avec l'anglais littéraire), à l'image du "novlangue" (traduit de l'anglais Newspeak), le langage officiel
"d’Océania", inventé par George Orwell pour son roman 1984 (publié en 1949). Le principe recherché est simple : plus on diminue le nombre de mots d'une langue et plus on fusionne les
mots entre eux, plus on diminue le nombre de concepts avec lesquels les gens peuvent réfléchir. Plus on élimine les finesses du langage, plus on rend les gens incapables de réfléchir, et plus ils
raisonnent à l'affect. Par la simplification lexicale et syntaxique, la mauvaise maîtrise de la langue qui en découle rend ainsi les gens stupides et manipulables par les instruments de
propagande massifs telle la télévision. Elle rend impossible l'expression d'idées critiques ou hétérodoxes potentiellement subversives, et évite toute formulation de critique de l’État,
l'objectif ultime étant d'aller jusqu'à empêcher l'idée même de cette critique. Ce concept illustre également un propos du mathématicien et logicien britannique Bertrand Russell (1872/1970)
assurant que nul problème ne pourra être résolu, voire perçu, si l'on prend soin d'éliminer au départ toute possibilité de le poser.
Cela pose la question de savoir jusqu’à quel point l'enfance doit-elle être "insolite". Elle doit ou bien se passer dans des conditions de répression telles que
l’enfant qui grandit se révolte violemment contre les traditions de ses aînés (nombre de nos plus grands talents créateurs ont été de prétendus délinquants ou rebelles juvéniles), ou bien dans
une atmosphère de non-répression telle que la lourde main du conformisme effleure à peine leur épaule. Si un enfant est sévèrement puni pour son esprit inventif, qui par essence est profondément
rebelle à la préséance établie, il peut passer le reste de sa vie d’adulte à rattraper le temps perdu. A l'inverse, si l’on récompense somptueusement un enfant pour son esprit inventif, alors il
peut ne jamais le perdre, quelles que soient les pressions qu’il aura à supporter par la suite. Les uns comme les autres peuvent avoir une grande influence sur la société adulte, mais les seconds
souffriront probablement moins de limitations oppressives dans leurs actes créateurs, et des névroses voire psychoses associées *.
Dans la pratique, la grande majorité des enfants voient leur esprit inventif récompensé ou puni suivant un dosage bien plus équilibré, ce qui fait qu'ils émergent
dans la vie d’adulte avec une personnalité tout à la fois modérément créatrice et modérément conformiste. Ils deviennent des "adultes-adultes", tant célébrés par le système institutionnel et ses
relais psychologisant *² (cabinets d'évaluation, de recrutement et de formation tout particulièrement dans le monde professionnel) parce que normés et rassurants. Ils auront tendance à lire les
journaux plutôt qu’à être à l’origine des nouvelles qu’on y imprime. Leur attitude envers les "adultes-enfants" sera ambivalente : d’un côté il les applaudiront de fournir ces nouveautés si
nécessaires à l'expression du Vivant, mais d’autre part ils les envieront et les castreront, l'effet-miroir de leur soumission contre-nature existentielle leur étant inconsciemment insupportable.
Le talent créateur se trouvera donc alternativement loué et condamné par la société de façon déconcertante, et l’adulte-enfant ne saura jamais s’il est vraiment accepté par le reste de la
communauté entre les statuts de marginal ou d'exception atypique...
*² La pathologie de la schizophrénie sévit tout particulièrement dans la population des travailleurs de l'humain dans le monde professionnel (chasseurs de
"têtes", formateurs, coachs, conseils en orientation, "outplaceurs", DRH...), voyant un grand nombre de ses "acteurs" s'engager pour servir l'humain tout en maniant des outils qui le
standardisent, le formatent, le norment, au nom de la rationalité tant productiviste que sociétale. Ils alternent ainsi entre la posture de sauveur, de bourreau et de victime ("business oblige",
"il faut bien vivre", "c'est le client qui est roi"...). Lorsqu'ils ne sont pas délibérément cyniques - le business de l'humain est un moyen comme un autre de se "réaliser" et a minima de
survivre -, ils vont souvent chercher dans la voie spirituelle (religieux, sociétés ésotériques, New Age...) le moyen de donner sens à leur quête de réalisation première, préférant cet effet
placebo à la rencontre avec leur prédateur intérieur pour mettre à plat les peurs qui les nourrissent, les asservissent à la Matrice, et en font les relais attitrés à leurs
dépens...
Mourir à sept ans
Dans toutes les sociétés initiatiques ésotériques occultes, l'âge de 7 ans revêt une signification précise, la mort de la volonté. En apparence, nous pourrions
penser que c'est celle de l'égo, afin de renaître à un état de conscience supérieur. La réalité est cependant toute autre.
Phase clé dans la construction de l'identité pendant l'enfance, il s'agit par le système "éducatif" et ses maîtres occultes de programmer la "machine humaine" et de
détruire le pouvoir naturel de l'être humain issu de son essence divine originelle, et ce par une succession de traumas à caractère physique et/ou psychique plus ou moins violents se répercutant
sur le thymus, organe glandulaire majeur du système immunitaire en relation avec le cœur (le Féminin sacré), qu'ils découlent du moule parental, éducatif institutionnel ou
de rituels tribaux religieux à caractère patriarcal (ainsi la pratique de la circoncision ou de l'excision créant un choc destiné à bloquer le cœur, soit l'accès à la "source mère"). Ainsi
l’enfant, qui accomplit ce qu’on lui dit de faire par le cadrage de savoirs exclusivement mentaux et du comportement, se voit retiré toute force intérieure. Et c'est vers sept ans, dès le début
de l’adolescence, que cette force disparaît définitivement, sauf éveil ultérieur de conscience. Les maîtres du système considèrent ces personnes comme dès lors "mortes" à elles-même, faisant tout
pour qu'il en soit ainsi.
Tout être humain possède une personnalité grâce à laquelle il interagit avec le monde, cette personnalité étant constituée uniquement de programmes, représentatifs
des différents aspects de lui-même, souvent contradictoires, et qui avec d’autres facteurs forment le "caractère". C'est pourquoi le système privilégie le formatage mental du caractère au
développement de l’essence, c'est-à-dire l'expression du moi véritable. Il conduit à associer le ressentir à un sentiment de peur, d’impuissance et d’isolement - Wilhelm Reich le qualifiait
d'"anxiété orgastique" -, lié aux profondeurs d'un inconscient non accessible par la raison. Le mouton/robot biologique * est ainsi constitué par la prégnance du mental - le caractère est le
conformisme -, la "père-version" (la mémoire), interdisant tout accès aux profondeurs intimes permettant d'y puiser sa créativité authentique (l'intuition) comme y débusquer ses peurs et
permettre de s'en affranchir. Ce qui ne s'apprend pas par la sagesse s'apprend par la souffrance dans le royaume de l'Astral, le royaume des morts-vivants...
Il en découle que le caractère mental suppléant le caractère lié aux sentiments, l’identification de l'individu est formée sur la base d’éléments extérieurs au
détriment de ses goûts subjectifs, son idée de lui-même, sa capacité à accéder à des émotions fortes. Tuer ce caractère revient à tuer la personne. Détruire ce en quoi la personne croit
profondément revient à détruire la personne elle-même, car si le caractère émotionnel est retiré, il n’y a plus rien. L'individu doit mourir à sept ans pour le système prédateur et ses relais
institutionnels désacralisés !
Le philosophe et psychologue états-unien William James (1842/1910 - photo 4) aurait dicté après sa mort à l'auteur américaine Jane Roberts (1929/1984 - photo 5),
réputée pour avoir écrit une série de livres en état de transe, une critique virulente du freudisme. Elle se retrouve dans le livre The Afterdeath journal of an american philosopher, The
world view of William James.
Si l'homme porte en lui par les rêves, les inspirations et les révélations dans l’exercice de ses activités, la capacité à élever le niveau et à détruire les
anciennes limites à la fois de l’esprit et du corps, et ainsi amener à la conscience de nouveaux territoires de l’action ou de la pensée, certaines idées fausses de la psychologie ont gravement
diminué ses opportunités d’expression et de créativité en posant des normes moyennes qui, soi-disant, gouverneraient le comportement de l’individu, et au-delà desquelles une personne ne doit pas
s’aventurer. C'est ainsi que la naissance de la parapsychologie fut établie comme une nouvelle division artificielle destinée à inclure les phénomènes anormaux, autrement dit un dépotoir pour
toutes ces expériences qui ne rentraient pas dans les principes étroits adoptés comme étant la somme de la réalité psychologique de l’homme.
La psychologie initiée par Sigmund Freud, avec son influence faisant autorité, devait maintenir des lignes d’action claires et conscientes, tout en donnant libre
cours à toutes les pulsions inconscientes "primitives" de telle manière à les libérer — sans qu’elles ne déstabilisent la vie normale. L’individu devait apprendre que ses pulsions les plus
profondes étaient suspectes, pour que l’auto-discipline puisse remplacer un gouvernement autoritaire. Certains sentiments, actions et attitudes étaient considérés comme normaux, et d’autres non.
L’individu recevait un ensemble de règles qu’il devait suivre de la naissance à la mort, dans lesquelles l’inconscient remplaçait à la fois le gouvernement mauvais et sévère, dans une obéissance
forcée par la peur du soi naturel.
Une telle standardisation a été promptement appliquée aux citoyens différents et hétérogènes de la démocratie occidentale, qui étaient donc tous censés suivre des
normes individuelles qui offriraient à la personne une liberté politique et sociale dont il ne pourrait pas psychologiquement faire mauvais usage. Dans ce méli-mélo, les contraintes intérieures
serviraient à remplacer un gouvernement paternel. Le goût de l’aventure, la créativité et l’énergie seraient entièrement tournés vers les buts collectifs de la société — le triomphe physique sur
les terres et la réussite industrielle. Tout cela était une tentative d’utiliser et en même temps de freiner l’énergie fantastique d’un peuple qui venait de toutes les origines et héritages
nationaux concevables.
La vie intérieure de l’individu a été standardisée, et s’est vue dépouillée du riche symbolisme religieux d’autrefois, sans en recevoir de nouveaux pour se
construire. Freud a transformé les démons religieux en pulsions instinctives, conservant ceux-ci tout en rejetant les symboles grandioses d’un Dieu héroïque (et autoritaire). En raison
même de sa propre expérience, Freud a senti des montées insupportables d’intuition et de données télépathiques, des pics de créativité et des états émotionnels les plus profonds et les
plus incontrôlés. Cela n’a fait que renforcer sa conviction que la vie intérieure de l’homme était dangereuse, et qu’il était condamné par son propre héritage infantile.
Freud percevait et faisait l’expérience de la force créatrice comme de nature principalement sexuelle — d’une manière plus large qu’on le pensait
habituellement — mais aussi dans le sens germanique du terme : une sexualité profondément et sombrement passionnée, avec des sous-entendus de soumission ou de triomphe, et d’autres
implications de conflit et de guerre.
Sa psychologie a fourni des normes et des explications aux sentiments des hommes et des femmes sans donner d’importance à l’interprétation individuelle. La
psychanalyse pouvait mettre à jour des épisodes personnels d’une nature des plus intimes, mais cela en réaction à des explications déjà données, pour lesquelles les sentiments individuels
n’existaient que sur une base standardisée.
Pour autant, les actes créatifs ne sont pas "standards". Ils battent les records. Ils ne sont pas prévisibles. Ainsi, la créativité est devenue suspecte.
Freud a tenté de la rattacher aux plus grandes craintes de l’homme, de l’enchaîner à des refoulements plutôt qu’à des aspirations ou accomplissements. Les caractéristiques favorisant la
créativité étaient suspectes, non-standards, et c’étaient justement celles-là qu’il fallait exorciser. Les idées intuitives étaient donc attribuées à un comportement hystérique, sans que
ses normes soient définies. Se consacrer à la contemplation, à la pensée solitaire ou aux arts, particulièrement chez les hommes, devint des plus suspect. Et ceux qui ne canalisaient pas
leurs pulsions créatrices vers les buts matérialistes et sûrs de la société démocratique subirent le courroux de cette société.
Dans ce contexte, le spiritisme est devenu à la mode, tout comme les sociétés religieuses et les diverses pseudo-religions. La Science chrétienne en
particulier a tenté de rétablir l’équilibre avec la pensée positive aussi violemment que Freud l’avait fait avec le refoulement. Les gens du commun pensaient qu’il valait mieux ne pas
explorer l’inconscient décrit par Freud, et en effet, ils ne pouvaient pas se permettre de le faire. Il ne leur restait qu’un enfer psychologique à la place d’un enfer théologique, sans
la compensation d’un paradis. Qui plus est, ils craignaient les capacités créatrices qui auraient pu les libérer — eux et la société. Bien sûr, il y avait des tendances contraires, comme
le transcendantalisme, mais c’était l’affaire des intellectuels et pas des gens du commun.
Les capacités créatrices sont communes dans l’humanité, mais leur expression individuelle est plus rare, faisant ressortir des différences et des schémas
qui étendent les capacités de l’action et de l’accomplissement individuels. Quand un individu agit le plus de lui-même, le plus individuellement, et le moins comme les autres, il affiche
un comportement créatif et indique aux autres des possibilités d’accomplissement jusqu’alors inconnues — qui forment de nouvelles aspirations pour l’individu et la société. Ces capacités
devraient être encouragées par toute nation démocratique qui souhaite survivre comme telle.
Tout naturellement est posée au-delà de la sphère familiale la question de l'"éducation" institutionnelle, qui si elle ambitionne dans son discours de produire de
grands efforts pour encourager l’esprit inventif - il y a(urait) même des ministères ou secrétariats d’État en charge de l'innovation ! -, peine à se débarrasser complètement de son instinct à
réprimer la créativité. S'il est inévitable que des éducateurs considèrent comme une menace de jeunes et brillants étudiants, et qu'il leur faudrait une grande maîtrise de soi pour surmonter
cette réaction, c'est parce qu'ils/elles se trouvent en prise avec leur nature de "mâles" dominateurs par-delà le genre sexuel qui les caractérise.
Il existe bien sûr une différence entre le niveau de l’école et le niveau de l’université ou grande école. Si dans la plupart des écoles la domination du maître
(maîtresse) sur ses élèves s’exprime de façon forte et directe, aussi bien sur le plan social (vécu collectif) qu’intellectuel, utilisant son expérience plus grande pour mater leur esprit
inventif plus grand, au niveau de l’université/grande école, le tableau change, dans la mesure où l'on y attend que l’étudiant mette désormais les faits et données en question, les évalue, et en
fin de compte qu’il invente de nouvelles idées. Toutefois, à ces deux stades, à l’école comme à l’université, il se passe autre chose qui n’a que très peu à voir avec l’encouragement de
l’expansion intellectuelle aussi sincère soit-il, mais beaucoup avec l’endoctrinement de l’identité super-tribale logée dans l'inconscient collectif depuis des millénaires. Et il en est de même
tout naturellement dans le monde professionnel...
Pratique rituélique tribale
La raison remonte au mode de fonctionnement des sociétés tribales de nature patriarcale - les sociétés dites du "triangle" * - qui, dans de nombreuses cultures aux
quatre coins de la planète terrestre, soumettaient au moment de la puberté les enfants à des cérémonies d’initiation "impressionnantes" pour ne pas dire à contenu sidérant. On les séparait de
leurs parents et on les mettait en groupes. Ils se voyaient contraints alors à subir de sévères épreuves, allant souvent jusqu’à la torture ou la mutilation, comme des opérations sur leurs
organes génitaux. On les fouettait ou on les faisait piquer par des fourmis et insectes (guêpes par exemple). On leur enseignait en même temps les secrets de la tribu. Une fois les rites
terminés, ils étaient acceptés comme membres adultes de la société.
Les conséquences étaient l'isolement de l'enfant presque adolescent de ses parents, qui passait du réconfort quand il souffrait à la douleur et à la peur dans une
situation où il ne pouvait plus les appeler à l’aide. Le rituel aidait à briser le sentiment de dépendance envers les parents, et à transférer son allégeance du foyer familial à la communauté
tribale dans son ensemble. Le fait de permettre en même temps de connaître le secret des adultes de la tribu renforçait le processus en donnant une base à sa nouvelle identité tribale. Ensuite,
la violence de l’expérience affective accompagnant cet enseignement contribuait à graver dans son cerveau les détails des leçons tribales, et ce jusqu’au jour de sa mort. L’initiation
correspondait à un enseignement traumatique, expliquant avec une parfaite netteté à l'enfant que, bien que rejoignant les rangs de ses aînés, il n’en demeurait pas moins un subordonné. Il ne
pouvait ainsi que garder un souvenir vivace du pouvoir intense exercé sur lui.
Il va sans dire que nous retrouvons trace de cette initiation ancestrale dans la psyché contemporaine toujours sous domination patriarcale. Les formes ont changé,
le fond constitutif demeure. Que ce soit dans l'initiation des sociétés ésotériques comme la Franc-maçonnerie ou de structures institutionnelles comme celles de l'enseignement, la pratique
rituélique tribale continue à cadencer le fonctionnement du système prédateur.
Lorsque s’achève le cycle annuel des douze mois, la coutume veut que nous fêtions le "Nouvel An". Or, fêter le "Nouvel An" équivaut à renouveler symboliquement le
pacte infernal avec les forces prédatrices archontiques qui nous tiennent en laisse par leurs subtils car artificiels anneaux de pouvoir et autres menottes psychiques, celles du faux Dieu
asservisseur célébré comme vénéré sumérien An (ou Anu) * de la matrice asservissante de 3ème dimension, inaugurateur de toutes ses copies suivant les époques et les "berceaux" momentanés de la
civilisation humaine (Itemu-Râ pour l'ancienne Égypte, Zeus pour la Grèce antique, Jupiter chez les latins, Jéhovah/Yahvé chez les Hébreux/Juifs, Dieu dans le christianisme, Muhamad/Mahomet dans
l'islam…). Pourtant, chacun de nous possède un rythme qui lui est propre. De ce fait, le seul cycle que nous devrions honorer devrait être celui du retour du Soleil à la position exacte que
celui-ci occupait au jour et à l’heure de notre venue au monde. C’est à cet instant unique précis que nous devrions fêter la reliance de notre Âme avec l'Esprit divin, Source de Toute Vie.
En choisissant de fêter le 1er jour de l’an dans un élan collectif inconscient, sorte de bacchanale moderne, nous choisissons la soumission à la matrice et à ses
artifices plutôt que de choisir consciemment de nous soumettre à la volonté de notre Soi Supérieur, nous indiquant comment cette inconscience nous empoisonne et nous maintient dans la nasse
putride de notre geôle prison.
Si les écoles, les universités et grandes écoles modernes n'en sont plus là, le système d’éducation actuel présenteà bien des égards de frappantes similarités avec les cérémonies d’initiation tribales primitives. Tout d’abord, on sépare les enfants de
leurs parents pour les mettre entre les mains des anciens de la "super-tribu" contemporaine, les enseignants, qui leur en enseignent les "secrets". Dans bien des cultures, on leur fait encore
porter un uniforme pour les mettre à part (photo 1), et renforcer leur nouvelle allégeance. On peut aussi les encourager à pratiquer certains rites, tels que chanter à la chorale de l’école ou du
collège (photo 2). Les sévères épreuves de la cérémonie d’initiation tribale ne laissent plus de traces physiques - hormis les pratiques de bizutage -, quoique des épreuves physiques ont persisté
presque partout jusqu’à une époque très récente (les années soixante) au niveau de l’école, sous la forme par exemple de corrections administrées à coups de règle (ou de martinet) sur les fesses
(image 3). Comme les mutilations génitales des cérémonies tribales, cette forme de punition a toujours eu des relents sexuels, et ne saurait être dissociée du phénomène du sexe de statut,
masculin en l'occurrence (la polarité électrique). En l’absence d’une forme plus violente d’épreuves imposées par les maîtres enseignants, les élèves plus âgés assument souvent le rôle "d’anciens
de la tribu", infligeant eux-mêmes des brimades aux "nouveaux", ces brimades variant suivant les endroits et les traditions (photos 4 à 6).
Dérive clubiste
Les grandes écoles et universités constituent l’école du pouvoir et le club de la nomenklatura élitaire, comme le met en avant en France la chute en janvier 2021
d'un de ses plus éminents représentants, le constitutionnaliste ancien maître de conférences Olivier Duhamel, à l'occasion de révélations fracassantes sur sa pratique pédocriminelle passée (il
est désormais visé par une enquête pour "viols et agressions sexuelles"), sue mais tue par le petit cénacle de ses vils sinon pleutres inféodés même supérieur hiérarchique comme le directeur de
l'institution Frédéric Mion, alors même que celui-ci en avait été personnellement informé par une ancienne ministre enseignante, ce qu'il a piteusement fini par reconnaître non sans avoir
tenté de lui demander de taire à deux reprises qu’elle l’avait mis aux courants des accusations visant Olivier Duhamel depuis 2018 (après s'être
vainement enfermé dans le déni, il a fini par démissionner, confirmant une fois encore le grand écart entre les donneurs de leçons sur l'exemplarité comportementale et leurs propres aptitudes à
être à la hauteur de leurs paroles viciées professées).
Exerçant ses talents professionnels à la fois comme l'un des dirigeants de l'école prestigieuse Sciences Po (présidence de la Fondation nationale des sciences
politiques et chef d'orchestre du rythme de chaque rentrée avec sa conférence inaugurale) et membre organisateur des dîners très sélects du think tank
d'influence Le Siècle *², ce politologue libéral réputé "de gauche humaniste" éclairée, donneur de leçon de "bienpensance" et habitué de médias "mainstream" censés dispenser la bonne parole au
"bon peuple", y incarnait à merveille la raison d'être des coteries françaises, transpartisanes et intemporelles. Roitelet en son royaume, bénéficiant de l'omerta de sa cour impressionnable comme
reconnaissante des privilèges et faveurs octroyés par cet homme suintant les effluves enivrantes du pouvoir d'influence à haut niveau, il y appliquait ce qu’il ne dispensait bien sûr pas dans ses
cours, la science du réseau (ou réseautage), qui est, plus efficacement que la connaissance du droit, le moteur de l'exercice du pouvoir pour celles et ceux qui en pratiquent et maîtrisent les
artifices.
* Cf. Livre de Camille Kouchner "La Familia Grande".
*²En 1991, c’est à lui que le patron de Sciences Po d'alors, le politologue ancien membre du Conseil constitutionnel
Alain Lancelot (1937/2020), s’est adressé pour parrainer au Siècle de nouveaux entrants. C'est ainsi que celui qui passe pour son dauphin, le jeune Richard Descoings, prendra ultérieurement
la direction de Sciences-Politique avec un niveau de rémunération extravagant (aux alentours de 500 000 euros annuels bonus compris) octroyé par l'économiste et intellectuel libéralJean-Claude Casanova, le président d'alors de la Fondation nationale des sciences politiques, et auquel Olivier Duhamel succèdera. Cocaïomane notoire, "Richie",
tel que surnommé par ses étudiants, décédera dans des conditions suspectes en avril 2012 à 53 ans dans une chambre d'hôtel à Manhattan New York (il avait nommé pendant son mandat son épouse comme
directrice adjointe de l'établissement, sans que cette faveur n'émeuve véritablement le corps enseignant de la docte parole consistant à faire le contraire des principes de bonne gouvernance
enseignés).
♪ Another Brick In The Wall ♪*
We don't need no education We don't need no thought control
No dark sarcasm in the classroom Teacher, leave them kids alone
Hey, teacher, leave the kids alone All in all it's just another brick in the wall
All in all you're just another brick in the wall
We don't need no education We don't need no thought control
No dark sarcasm in the classroom Teachers, leave them kids alone
Hey, teacher, leave us kids alone All in all you're just another brick in the wall
All in all you're just another brick in the wall
* Pink Floyd, album "The Wall" (1979).
Il reste toujours pour les rites officieux d’initiation l’alternative de l’épreuve mentale. Presque tout au long du système d’éducation moderne on la retrouve sous
le nom révélateur "d’examen". Ceux-ci sont menés dans la lourde atmosphère du haut rituel, les élèves étant coupés de toute assistance extérieure. Tout comme dans le rituel tribal, nul ne peut
les aider. Ils doivent souffrir tout seuls. A tous les autres moments de leur existence ils peuvent utiliser des ouvrages de références, ou discuter sur des points difficiles quand ils appliquent
leur intelligence à un problème, mais non pas durant le rite privé des examens redoutés. L’épreuve est encore rendue plus pénible par la fixation d’une stricte limite dans le temps et par
l’accumulation de tous les différents examens dans la brève période de quelques jours ou de quelques semaines. L’effet général de ces mesures est de provoquer une véritable torture mentale,
rappelant une fois de plus l’atmosphère des cérémonies d’initiation plus primitives des tribus d’autrefois.
Classes préparatoires : la fabrique des "autoritariens"
Bien entendu, les "autoritariens" * s'insurgeront contre une sensiblerie incompatible avec les exigences de la société moderne et de son élitisme dirigeant, les
"meilleurs" à la compétition recevant naturellement les récompenses du système prédateur. La réalité est que les entraînements intensifs aux concours en classes préparatoires ont deux
conséquences dont ils se moquent éperdument ou qu'ils nient cyniquement : la fabrication de psychopathes *² et le "massacre" des innocents. S'il se trouve quelques enseignants bienveillants,
beaucoup contribuent à l'océan de souffrance psychique à la limite du sadisme qui marque au fer rouge les survivants et alimente leur pathologie qu'ils n'auront de cesse d'exprimer dans leur
relation à eux-mêmes comme aux autres.
Véritables fabriques à élites, les classes préparatoires pâtissent depuis longtemps d’une mauvaise réputation. Apparue au XVIIIe siècle, cette exception française
attire de plus en plus d'élèves de tout horizon, avec le pendant de la carotte sociale espérée : rythme intense de travail, notation ultra-sévère, examens répétés, pression des concours à venir…
Cet entraînement à la dure telle que privilégiée par l'institution militaire est relayée par différentes formes de harcèlement moral et d'acharnement continu, sous couvert de traditions
centenaires. Il en résulte d'inévitables dépressions, troubles anxieux, sentiments d'échec, manifestations physiques (anorexie, boulimie, maux de ventre somatiques), prise d'anxiolytiques, dont
toutes et tous ne se relèveront pas aisément. Les fameux "burn-out" dans le milieu du travail sont ainsi préparés pour beaucoup dans l'ensemble de ces filières d’études sélectives jouant sur le
terrain des fragilités de la psyché existantes (névroses voire psychoses).
Ce n'est pas le moindre paradoxe d'une nation se réclamant fièrement des (fausses) Lumières, la culture de l'excellence inculquée à ses élites étant basée
exclusivement sur le mental intellect, nécessaire à l'ordonnancement de la gouvernance mondiale entropique en cours et à l'instauration de l'Intelligence Artificielle au sommet de la pyramide,
point ultime du calendrier occulte du système prédateur. *³
Pour autant, l'esprit de solidarité et de fraternité que beaucoup instaurent comme rempart à l'individualisme oppresseur combiné à la motivation ressentie pour
suivre l'enseignement des grandes écoles espérées permet de positiver l'expérience traumatique, et pour celles et ceux qui en auront tiré la leçon, de contribuer plus tard à un exercice digne de
leurs responsabilités, en servant plutôt qu'en se servant...
Une fois les examens finaux terminés, au niveau de l’université, les étudiants qui ont "passé l’épreuve" deviennent qualifiés comme membres spéciaux de la section
adulte de la super-tribu. Ils endossent des robes d’apparat sophistiquées, et participent à un autre rituel appelé la cérémonie de remise des diplômes, en présence des anciens de l’université
revêtus de leurs robes les plus impressionnantes et les plus spectaculaires.
La phase d’étudiant à l’université ou grande école dure généralement trois ans sinon plus, ce qui est bien long pour une cérémonie d’initiation. Pour certains,
c’est trop long. L’isolement loin de l’assistance des parents et de l’environnement social réconfortant du foyer, joint aux exigences menaçantes de l’examen qui approche, se révèle souvent trop
rude pour le jeune initié. Ainsi, dans les universités britanniques, environ 20% des étudiants ont besoin d’assistance psychiatrique à un moment quelconque de leurs trois années d’étude. Pour
certains, la situation devient intolérable, et les suicides sont d’une fréquence insolite, le taux à l’université étant de trois à six fois plus élevé que la moyenne nationale pour le même groupe
d’âges.
De toute évidence, les épreuves éducatives n’ont que peu de rapport avec l’idée d’encourager et de prolonger l’esprit ludique, inventif et créateur de l’enfance.
Comme les cérémonies d’initiation tribales primitives, elles concernent plutôt l’idée d’inculquer une identité super-tribale. Comme telles, elles jouent un rôle de cohésion important, mais le
développement de l’intellect créatif est une tout autre question...
Des études comme "vrai" investissement
Nombre d'individus pensent que si l'on dépense assez d'argent - le sien ou celui d'autrui (crédit) - pour leur progéniture, elle se transformera au mieux en
Einstein, Érasme ou autre prix Nobel mis en avant par le système sociétal, sinon occupera une place confortable et sera à l'abri. De leur côté, les études montrent que les gens plus diplômés
gagnent plus d'argent. Pourtant, c'est entièrement trompeur, comme d'habitude au royaume de l'illusion. La question en fait à se poser est celle de l'esclavagisme à la dette, autrement dit le
statut d'esclave de la dette, et par-là même du système entropique, et ce pour un diplôme.
Hormis les rejetons de familles élitaires nanties, destinés à garantir à leur tour l'ordre délétère établi par l'appartenance verrouillée aux réseaux de connivence
(c’est le vrai sésame d'accès, et c'est pourquoi il vaut cher) commençant par les rallyes et garantissant la cooptation salutaire, celle ou celui désireux de se positionner au plus haut niveau
possible, pensant que les grandes écoles sont le sésame qui assure un avenir tout tracé avec de belles rémunérations et des perspectives de carrières - le salariat de luxe -, commencera avec sa
dette étudiant, avant que de poursuivre l'engrenage avec un prêt immobilier, un prêt automobile... une fois trouvé l'emploi pour payer ses factures. A mesure qu'il prendra de l'âge, le salaire
tendra certes à augmenter, mais les dépenses aussi. Il travaillera minimum 50 à 60 heures par semaine, avec (très) souvent une pression énorme et une exposition aux risques psychosociaux, et
portera la dette de son État d'appartenance par la fiscalité confiscatoire (impôts, charges et taxes), qu'il transmettra à sa progéniture à son tour... Ceci signifie qu'il lui est/sera (presque)
impossible, hors héritage substantiel ou revenus très confortables, de se désendetter, ayant passé à ses doigt, poignet et cheville l'anneau de servage * !
Bien entendu, dans nombre de cas, aller à l'université constitue le moyen nécessaire et exigé pour exercer un métier (médecin, chirurgien, ingénieur nucléaire,
pilote, notaire, avocat, magistrat, expert-comptable...). Toutefois, et quoi que l'illusion vaniteuse de son importance soit tenace, la majeure partie du travail fait par la majorité des gens ne
demande pas le moindre diplôme universitaire, un individu intelligent et motivé pouvant s'en sortir très bien s'il possède bien sûr correctement les bases éducatives. Il est alors sans commune
mesure avec les "parfaits" crétins sans diplôme, sans formation et sans expérience. C'est l'intelligence situationnelle et le bon sens qui rapportent, non les diplômes universitaires dont
beaucoup préparent plus à Pôle Emploi qu’à l’emploi tout court, ni ceux des nombreuses (plus de 150) "grandes" écoles privées de notre pays (nombre sont en fait de second rang) qui sont très
coûteuses (12 000 euros l’année en moyenne dont frais annexes tels logement et frais courants) et dont le contenu ne sert qu’à formater des esprits dociles sous couvert d'esprits "intellectuels"…
Et comme dans la société actuelle le cours de l’intellectuel s’effondre - on ne veut que des exécutants/consommateurs qui ne se posent aucune question -, penser sert-il encore à quelque chose ?
La réalité c’est qu’il y a désormais non pas une prime à l’intellectuel mais au manuel - boulangers, électriciens, coiffeurs, plombiers, mécanos, etc. -, ce qui pose la question du retour sur
investissement des études supérieures, d'autant plus au moment où le montant mensuel de retraite des cadres est appelé à être révisé et le plausible arrêt des "retraites chapeau" à être entériné,
dont l'affaire "Carlos Ghosn" a constitué le point d'impulsion... Avec la démocratisation de l'enseignement rendu nécessaire par l'accélération du business mondial, quoi que momentanément remis
en question par la crise sanitaire, être diplômé désormais ne fait plus sortir de la masse, seuls les diplômes véritablement discriminants car pointus faisant la différence en matière de
carrière. Pour le reste, ce sont des postes subalternes, conduisant à ce que leurs titulaires soient frustrés une fois les rêves de grandeur ramenés à la réalité du théâtre de
marionnettes.
Faut-il à ce point être illusionné pour ne pas voir que le sens emprunté par la société est celui d'une élite richissime, microcosme composé d'esprits dévoyés
adoubant le dieu de la matière rutilante Mammon, et qui continuera à s‘engraisser sur une masse robotisée par les artifices dispensés. Le soubassement de la dispense pédagogique est la sélection
de "bien-pensants", au sens païen s'entend. D'une part, ceux qui s'octroient la connaissance et se la réservent à leurs fins exclusives. D'autre part, ceux qui la subissent pour être orientés
vers la plus grande médiocrité sans savoir, car penser en dehors des clous balisés gêne celui qui par mirage veut exclusivement s’enrichir.
* Voir précédemment l'anneau de Gollum, le monstre hideux du Seigneur des Anneaux.
Une des excuses avancées pour défendre les épreuves rituelles de l’éducation moderne, c’est qu’elles fournissent la seule façon de s’assurer que les étudiants
absorberont l’énorme quantité de faits actuellement disponibles. Il est vrai qu’il faut aujourd’hui des connaissances détaillées et des talents de spécialiste avant même qu’un adulte puise
commencer à faire montre, avec confiance, d’esprit inventif. Et puis les cérémonies d’examen empêcheraient la tricherie. En outre, on pourrait prétendre que les étudiants doivent être
délibérément soumis à des tensions pour éprouver leur énergie. Les problèmes de la vie adulte provoquent également des tensions, et si un étudiant craque sous la pression des épreuves éducatives,
alors c’est probablement qu’il n’était pas équipé pour soutenir les pressions de la vie post-éducative. Si ce sont là des arguments plausibles, les possibilités créatrices ne peuvent qu'être
broyées sous la lourde botte des rituels de l’éducation. Comment s'étonner ensuite que parvenus aux commandes, les individus dominants, tout en encourageant de petites inventions sous la forme de
variations nouvelles sur de vieux thèmes, résistent cependant invariablement aux grandes inventions qui conduiraient à des thèmes absolument neufs ...
La négation pédagogique de la Conscience
L’élément essentiel d’une orthopédagogie, autrement dit d'une science éducative, est le principe de la liberté. Il n’y a en effet pas d’autonomie sans
liberté. Or la contrainte qui exige la répétition de techniques imposées ainsi que l’imitation de formes intellectuelles, esthétiques ou pratiques, n’est pas source d’autonomie. L’activité
intégrante de la Conscience n’est autonome que si elle construit elle-même les synthèses que nécessitent ses tâches en présence des données culturelles que présente l’adulte à l'enfant et à
l'adolescent. La liberté qui implique une discipline personnelle permanente est la condition indispensable à une attention soutenue, n’aboutissant jamais à un individualisme antisocial. C’est la
personnalité comprimée et refoulée qui est antisociale, tout comme c’est l’inconscient gonflé d’énergies insatisfaites qui réclame des compensations, qui jalouse, envie, soupçonne et hait.Libre devant sa tâche, l’enfant doit être également libre devant le temps qu’il devra lui consacrer. Devant le temps, il est en face de lui-même et de
l’activité consciente dont il le remplira. Or laprogrammation classique de la pédagogie, et ce dès la petite enfance, est basée sur l'alternance binaire
punition/récompense, visant à fragmenter l'enfant et "l'éparpiller" avec ses morceaux constitutifs d'alter blessés, sources de souffrances et de dénigrement de sa valeur existentielle souveraine.
Il se retrouve de ce fait dans l'incapacité de revenir en son for intérieur ! Le plan de la Matrice terrestre est parfaitement conçu. Car comment quelqu'un qui n'est jamais "chez lui", en son
êtreté profonde, peut-il observer de manière objective ce qui se passe autour de lui ?
Pour la transmission de la culture, il suffit de ce qu’un maître sait. Mais pour aider la Conscience enfantine à manifester sa vision propre, c’est ce que le maître
est qui compte. Nul ne peut grandir quant à sa Conscience, c’est-à-dire passer d’un niveau quelconque à un niveau plus élevé, si ce n’est à l’intérieur de l’expérience d’un autre qui
vit, lui, de façon permanente à ce niveau. Et la méthode pédagogique doit alors respecter la liberté essentielle à l’exaltation sensorielle et fournir à l’enfant les objets sur lesquels la Conscience va
s’exercer. Pourtant, l’éducation des sentiments a été pratiquement délaissée dans la pédagogie scolaire, ne permettant à la psychologie des émotions de
contribuer à l'établissement de la Conscience, à son absolu affectif. En effet, la prise de contact de la Conscience avec le sentiment n’est possible, pour
être normale, que dans la liberté. L’adolescent va être sollicité de toutes parts par des expériences affectives multiples et le danger, à cette période qui ne reçoit pas d’éducation, est que
l’exercice de la Conscience ne dépasse pas la phase de contact avec l'expérience, sans passer à celle de la réflexion, puis à celle de la maîtrise. Il en découle que bien peu d’adultes, parents comme enseignants instructeurs, ont dépassé cette étape de simple association avec l’émotion en réussissant leur
individuation, d’où la multiplicité des dysfonctionnements relationnels et des maladies fonctionnelles dues au traumatisme de ce chaos affectif, pourvoyeur également de maladies sociales. A la
merci d’une rencontre susceptible de bouleverser leur condition morale et sociale, ils ne sont protégés partiellement que par leur accaparement professionnel comme le furent les adolescents par
leur surmenage intellectuel, mais non par autonomie spirituelle résultant d’une Conscience entraînée et aiguisée...
L'école reprend le 31 août. La résistance est futile, vous serez éduqué.
En conclusion, l'éducation nationale représente par excellence l'autorité reptilienne - le "cerveau mental" - qui conduit à la révocation progressive de la souveraineté de l'âme de l'individu
lorsque celle-ci fusionne avec l'Esprit. C'est pourquoi l'enseignement obligatoire, qu'il soit public ou privé, n'est qu'un système de programmation de la nation appliqué à tous ses citoyens. Il
vise à détruire progressivement la bulle éthique de l'âme individuelle, sa nature profonde et imaginative par ses propres vérités et valeurs émancipées de celles professées, pour grande partie
mensongères. Tout ce que l'être humain apprend pendant son cursus scolaire, puis universitaire et professionnel, n'a pour seul objectif que d'éloigner son esprit de la vérité *, cette
reprogrammation à partir de sa nouvelle incarnation déterminant dans le corps de l'enfant, dans ses mémoires cellulaires et dans son génome, un véritable remodelage de la génétique originelle. Il
ne peut ainsi qu'abandonner sa souveraineté existentielle à ce "programme d'éducation", puisque son intuition intime, corrompue par la programmation, est détournée pour être transformée en
croyances. Il s'enferme alors solidement dans la prison caverne de son psychisme, l'illusion ainsi créée ne lui offrant quasiment plus jamais de porte de sortie, sauf éveil de conscience
ultérieur.
Et pour ce faire, il doit faire l'effort constant, avec abnégation et sans relâche, de faire grandir, d'élever sa conscience et son intelligence, en recherchant la Connaissance *², en La testant
pour validation et ancrage ferme en lui. Autrement dit, il s'agit de déployer sa lumière intérieure, afin d'éclairer par lui-même la porte de sortie de la 3ème densité de réalité et se libérer.
Technique de programmation pour fabriquer un robot biologique
Les scientifiques états-uniens ont progressivement développé dans le cadre d'un programme nommé Monarch * (ou MK-ultra) différents niveaux de programmation mentale permettant de transformer un
humain en "robot", qu'ils ont baptisé "Manchu". Ce nom est lié à l'histoire d'un soldat américain capturé par les Chinois, puis soumis à un lavage de cerveau et conditionné, avant d’être renvoyé
aux États-Unis pour tenter d’y assassiner le président, et dont John Frankenheimer s’inspira en 1962 pour réaliser son film The Manchurian Candidate ("Un crime dans la tête"), via le
roman éponyme de Richard Condom publié en 1959. Il va sans dire que cette histoire est considérée comme fantaisiste, même si la technique de programmation usitée dans le programme MK-ultra est
avérée.
Elle repose sur la mise en place chez le candidat présélectionné d’un "désordre (ou trouble) identitaire dissociatif" (TDI), anciennement dénommé "trouble de personnalités multiples", qui
s'établit en 7 étapes qui sont fonction de l'objectif poursuivi.
- Programmation préliminaire.
La première étape consiste à provoquer artificiellement des dissociations de personnalité à partir de la naissance et jusqu’à l’âge d’environ six ans. Des électrochocs sont utilisés, même lorsque
l'enfant est encore dans l'utérus de la mère. D’autres traumatismes sont induits par le biais de traitements chimiques, d’abus sexuels et de différentes techniques qui ont pour objet de
contraindre le mental à se couper par intermittence de la conscience.
- La seconde étape de la programmation préliminaire consiste à intégrer à la conscience des commandes ou des messages. Ce résultat est obtenu par l'utilisation de la technologie dite "des
casques", en liaison avec des générateurs émettant des ondes sonores inaudibles ou harmoniques ayant une incidence sur l'ARN (molécule biologique présente chez pratiquement tous les êtres
vivants, très proche chimiquement de l'ADN. L'ARN peut remplir de nombreuses fonctions, en particulier intervenir dans des réactions chimiques du métabolisme cellulaire). Des dispositifs optiques
Virtual Reality incluant des projections subliminales de trains d’ondes pulsées leur sont associés.
- Programmation Alpha (α)
Elle constitue la base du contrôle, permettant de compartimenter la personnalité de l'individu sous forme d'alter par voie de stimulation des neurones et de manipulations du cerveau, qui
provoquent alternativement des dysfonctionnements au niveau de l’hémisphère gauche, puis de l’hémisphère droit. Elle se traduit, entre autres, par une augmentation substantielle des forces
physiques et de l'acuité visuelle au moment choisi par le "contrôleur".
- Programmation Beta (β)
Cette programmation est un programme sexuel destiné à éliminer tous les acquis moraux et à stimuler l'instinct sexuel primitif, en détruisant les inhibitions.
- Programmation Gamma (γ)
Complémentaire à la programmation Bêta, elle est fondée sur la "démonologie", nécessitant le recours à des rituels de magie noire. Elle permet de rendre le sujet réceptif à la désinformation et
apte à l’utiliser lui-même en tant qu’arme psychologique.
- Programmation Delta (δ)
Cette programmation, connue sous le nom de "programme du tueur", fut à l'origine développée pour la formation des soldats d’élite des forces spéciales (Delta Force, First Earth Battalion, Mossad,
etc.) dans les opérations clandestines. Elle a pour finalité de déclencher une production d'adrénaline optimale au moment de la mission et de contrôler le processus de l'agression. Le sujet est
dépourvu de peur dans l'exercice de sa mission. L'auto-destruction ou le suicide en cas d’échec font parties des instructions potentiellement associées à ce niveau.
- Programmation Theta (θ)
Elle est utilisée sur les Bloodliners ("lignées de sang"), soit les individus dont les familles comptent plusieurs générations de "satanistes" (pratique de sacrifices humains). Ils ont
en effet une plus grande propension que les autres à avoir des capacités télépathiques, ce qui permet d’utiliser sur eux diverses formes sophistiquées de contrôle électronique du mental,
notamment grâce à l’utilisation de nano-dispositifs de télémétrie (implants cérébraux indétectables).
- Programmation Omega (ω)
Connue sous le nom de Green Code ("feu vert"), cette programmation permet de déclencher par l’individu lui-même l’auto-destruction de sa propre programmation, sans en laisser subsister
la moindre trace. Elle s’exprime souvent par un suicide, et peut être activée dès que le soldat subit une thérapie ou un interrogatoire au cours duquel trop de mémoire compromettante risque
d’être récupérée par l’adversaire.
Il existe également plusieurs "sous-programmes" dérivés, dont l'objectif est de transformer progressivement l’immense majorité des habitants de la planète en "candidats manchus" : CHI, EPSILON,
HYPNOTIC INDUCTIONS, JANUS-ALEX CALL BACKS, TINKERBELLE, SOLEMETRIC MILITARY, SONGS, SAMPLE ALTER SYSTEM CODES, CATHOLIC, (programme spécifique pour les catholiques), MENSA (programme pour les QI
élevés), HAND SIGNALS, SITE CODES (utilisé pour les esclaves modèles et mannequins), etc.
*² Le mot "Monarque" désigne à la fois celui que les chrétiens nomment "le Prince de ce monde" qu'une espèce de papillon migrateur aux capacités et à
l’endurance prodigieuses.
Un crime dans la tête (The Manchurian Candidate)
Le film de John Frankenheimer, classé 67e dans le top 100 des meilleurs films américains selon l'American Film Institute, et ressorti en 2004 dans une version
modernisée, met en scène un médaillé de la Guerre de Corée pour faits d'armes, notamment en Mandchourie en 1952. Quelques années plus tard, son ancien commandant de peloton, qui travaille
désormais pour les services de renseignement de l'armée, a des doutes sur les exploits du héros de guerre. Qui plus est, il est assailli de cauchemars troublants, qui vont l'amener à enquêter
avec la CIA (Central Intelligence Agency) et le FBI (Federal Bureau of
Investigation) sur le vétéran. Qui est réellement celui-ci ? Adulé ou haï par ses hommes ? Héros de guerre ou agent communiste infiltré aux États-Unis ? Tueur de sang-froid ou
psychopathe manipulé par une mère abusive ? Ou tout cela à la fois ?
Le film a pour objectif d'exposer les techniques employées à l’époque par la CIA *, comme l'administration de certains psychotropes qui peuvent conduire le
sujet à commettre des meurtres commandés comme sous hypnose (ce que l'on appelle "le candidat mandchourien"), celui-ci ne se souvenant de rien lorsqu’il reprend conscience.
C'est après la publicité ce que le monde du "crime de la conscience" a organisé en déversant diverses techniques de manipulation mentale dans le quotidien,
celles-ci usant davantage de biais psychologiques, notamment sur Internet. C'est ainsi que des pirates approchent leur cible, via un mail inspirant confiance qui propose une aide, un service, ou
faisant preuve d’autorité dans sa forme rédactionnelle, ou encore offrant l’illusion d’un choix. Ces techniques exploitent invariablement la peur sous-jacente comme motivation ainsi que la
tendance de la nature humaine à répondre à l’urgence, à se sentir utile.
C'est ainsi qu'à l'occasion de la crise sanitaire nommée Covid-19 du nom du virus mortifère attribué (et désormais Covid-21 compte-tenu de son caractère mutagène), le confinement et les mesures
de contrôle et de coercition décidées par les autorités dans leur propagande pseudo-sanitaire relèvent de la torture psychologique. C'est ce qu'avait établi la "charte de coercition de Biderman"
(Biderman’s Chart of Coercion) rédigée à la fin des années 50 par le sociologue états-unien Albert Biderman (1923/2003), tirée de son article décrivant les techniques et consignes de
tortures utilisées par les interrogateurs chinois lors de la guerre de Corée * (Cf. tableau ci-contre). Avec les scientifiques psychologues Harry Harlow
(1905/1981), Isabel E. Farber et Louis Jolyon West (1924/1999), il avait classé ces techniques de manipulation selon un schéma connu sous le nom de DDD (Debility Dependence Dread,
"Débilité Dépendance Peur" en Français), et que l’on retrouve citées notamment dans un rapport d’Amnesty international sur l’usage de la torture dans le monde.
* Il s’agissait alors de démystifier la théorie selon lequel les Chinois auraient utilisé des méthodes secrètes ou presque "magiques" visant à "laver le
cerveau" de leurs prisonniers de guerre.
La torture dans sa version "soft", dissimulée sous l'habillage démocratique, républicain, fait ainsi partie du déni des psychopathes et autres "anthropoïdes" - les portails organiques (PO) et
agents robotiques sans âme - * qui ne veulent car ne peuvent en aucun cas l’admettre compte-tenu de leurs spécificités biologiques et cognitives, semblant s’acclimater volontiers à leurs outils
de torture prodigués qui leur procurent la jouissance sadique dont ils se repaissent abondamment, par-delà leur déni d'apparence : isolement, confinement, masque, restriction, geste barrière,
test PCR, amende, vaccin... appelé pour ce dernier même s’ils s'en défendent à l’interdiction de l’accès "sociétal" pour ceux qui ne sont pas convaincus de son utilité comme protection *², ce
puçage de l'ADN conduisant à tracer les êtres humains comme du bétail, beaucoup étant appelés à en souffrir sinon succomber aux effets secondaires.
Ne sachant comment dissimuler leurs accablantes compilations d'incompétences et de trahisons, leurs magistrales impostures et leurs jeux hypocrites, ils voient près de la moitié de la population
les croire et les soutenir, tout particulièrement les rabâcheurs soi-disant experts commentateurs des plateaux audiovisuels pour beaucoup convaincus aveuglément du bien-fondé des mesures
restrictives imposées. Drapés dans leur posture de "bourreau sauveur", ils se sacrifient comme sacrificateurs sans état d'âme à l'exécution de leur tâche, l’œuvre sombre, sacrifiant sans
hésitation, de manière chirurgicale, froide, la santé de leurs propres progénitures comme de leurs proches au prétexte de la protéger. C'est pourquoi le déclin de notre société vers le
totalitarisme et la tyrannie ne peut s'arrêter, puisque les personnes qui la sous-tendent et celles qui y restent attachées par soumission ne sont pas prêtes de disparaitre en l'état de leur
conscience. Si le peuple est mécontent de sa misérable existence, il consent par ses fausses croyances et sa non quête de vérité à laisser de côté son libre arbitre pour que le jeu de la
prédation puisse continuer. Diaboliquement pervers, dans la mesure où la plupart de ces êtres ne font pas partie de l’ordre naturel organique calibré de façon raisonnée !
*² Il est utile de rappeler que le médecin en chef (Tal Zaks) de la sociétéde biotechnologiesModerna Therapeutics, qui développe des "thérapies protéiniques" fondées sur la technologie dite de l'ARN messager et fournisseur parmi d'autres de vaccins
"anti-Covid-19", a déclaré officiellement que le public ne devrait pas "sur-interpréter" les résultats des essais de vaccins et supposer que la vie pourrait revenir à la normale après la
vaccination. Il a averti que les résultats des essais montrent que le vaccin peut certes empêcher une personne de tomber malade ou "gravement malade" du Covid-19, mais que les résultats ne
montrent en aucune façon que le vaccin empêche la transmission du virus.
Le vaccin contre l'âme humaine
Le baptême a été remplacé par la vaccination, procédé semblable censé nous assurer la protection absolue. Pratiquée de manière massive, elle a en effet d'étroites
similitudes avec le rituel du baptême. Elle est comme un miracle qui doit sauver l'humanité de toutes ses maladies, comme le Sauveur a racheté ses péchés. Le prêtre a été remplacé par le médecin,
et le pouvoir médical est allié à l’État, comme l’Église l'était dans le passé. On disait alors "hors de l’Église catholique, point de salut". Désormais on dit "hors de la médecine point de
salut". D'ailleurs, les assurances maladie sont obligatoires. Pourtant, ce ne sont pas les lumières de la science qui combattront l'obscurantisme qui perdure sous des formes nouvelles, mais bien
les Lueurs de la Conscience que chacun peut Éveiller en Soi *.
Le scientifiqueet occultiste autrichien puis suisse Rudolf Steiner (1861/1925) a
théorisé qu'aux médecins matérialistes sera confiée la tâche de retirer l'âme de l'humanité, notamment envers les enfants qui seront vaccinés avec une substance qui peut être produite précisément
de telle manière que les gens, grâce à cette vaccination, seront immunisés contre la "folie" de la vie spirituelle. S'ils pourront pour certains être extrêmement intelligents, ils ne
développeront pas de conscience, ceci étant le véritable objectif de certains cercles matérialistes. En effet, avec un tel vaccin, il est très facile de
libérer le corps éthérique dans le corps physique, entraînant ainsi une forte instabilité de la relation entre l'univers et le corps éthérique. L'être humain deviendrait un automate, son corps
physique devant impérativement être relié sur cette Terre par la volonté spirituelle. Il ne pourra plus se débarrasser d'un sentiment matérialiste profond ni s'élever vers le spirituel !
"Il ne faut pas se leurrer: on est en présence d'un mouvement bien déterminé. Autrefois, au concile de Constantinople, l'esprit a été éliminé, on a institué un
dogme: l'homme n'est fait que d'une âme et d'un corps, et parler de l'esprit devint une hérésie. On aspirera sous une autre forme à éliminer l'âme, la vie de l'âme. Et ce temps viendra, dans un
avenir pas très lointain où l'on dira : parler d'esprit et d'âme, c'est pathologique ; seuls sont bien portants les gens qui ne parlent que du corps. On considèrera comme un symptôme pathologique
le fait qu'un être humain se développe d'une façon telle qu'il en vienne à penser qu'il existe un esprit et une âme. Ces gens seront considérés comme des malades, et l'on trouvera, soyez-en sûrs,
le remède qui agira sur ce mal. Dans le passé, on a éliminé l'esprit (la foi dans un principe spirituel individuel). On éliminera l'âme au
moyen d'un médicament. En partant d'une "saine vue des choses", on trouvera un vaccin grâce auquel l'organisme sera traité dès la prime jeunesse autant que possible, si possible dès la
naissance même, afin que le corps n'en vienne pas à penser qu'il existe une âme et un esprit. Les deux courants, les deux conceptions du monde s'opposeront radicalement.
"L'une réfléchira à la manière d'élaborer des concepts et des représentations qui soient à la mesure de la réalité véritable, de la
réalité d'âme et d'esprit. Les autres, les successeurs des actuels matérialistes, chercheront le vaccin qui rendra les corps "sains", c'est-à-dire
constitués de telle façon qu'ils ne parleront plus de ces "sottises" que sont l'âme et l'esprit, mais, parce qu'ils sont "sains", ils parleront des forces mécaniques et chimiques qui, à
partir de la nébuleuse cosmique, ont constitué les planètes et le soleil. On obtiendra ce résultat en manipulant les corps. On confiera aux médecins matérialistes le soin
de débarrasser l'humanité des âmes."
RudolphSteiner,propos issus d'une conférence
donnée le 7 octobre 1917, reprise dans l'ouvrage "La chute des esprits des ténèbres"
* Cf. livre'"Médecine, religion et peur : L'influence cachée des croyances" de
l'auteur Olivier Clerc.
Il est cependant à comprendre que puisqu'ils sont tenus de respecter la juridiction pénale internationale de Nuremberg * telle qu'érigée au sortir de la seconde guerre mondiale, aucun
gouvernement n'a jamais imposé de loi pour contenir la propagation de la Covid, se contentant de publier des recommandations, des amendements, des arrêtés et des règlements sanitaires, d'autant
que cette épidémie qualifiée faussement de pandémie finira par être reconnue comme attaque ou attentat délibéré contre l'humanité. Cette juridiction pénale stipule dans ses dispositions que selon
le principe de précaution médicale, le principe, par défaut, de la vaccination doit relever de recommandations et non d'obligations, et que c'est le rôle du parlement que de protéger les droits
des citoyens en dehors de toute querelle médicale et en l'absence de péril, celui-ci devant être dûment démontré *². Il en résulte que le consentement volontaire du sujet humain est absolument
essentiel, et ce sans intervention de quelque élément de force, de fraude, de contrainte, de supercherie, de duperie ou d'autres formes sournoises de contrainte ou de coercition, l'individu
devant avoir une connaissance et une compréhension suffisantes de ce que cela implique afin de prendre une décision éclairée.
Ce faisant, ces gouvernements menteurs auront laissé le choix tel Lucifer à chaque individu de faire usage de son libre arbitre par son discernement éclairé, ou non...
* La juridiction du Tribunal militaire international qui a siégé à Nuremberg (alors en zone d'occupation américaine)afin de juger les crimes commis par les dirigeants du Troisième Reich nazi se basait sur l'accord de Londres signé le 8 août
1945 par les gouvernements des États-Unis d'Amérique, du Royaume-Uni de Grande-Bretagne et d'Irlande du Nord, de l'Union des républiques socialistes soviétiques et par le gouvernement provisoire
de la République française.L'héritage de Nuremberg se perpétue aujourd'hui au sein de la Cour pénale internationale, la CPI, basée à La Haye aux
Pays-Bas.
*² Lacampagne vaccinale mise en œuvre par les autorités
institutionnelles est constitutive de façon irréfragable d'une expérimentation médicale, dans la mesure où son caractère novateur conduit à ce que strictement personne ne puisse en connaître les
conséquences pour les populations qui seraient sujets de cette expérimentation. Qui plus est, il est largement documenté scientifiquement que nombre de vaccins produisent de multiples effets
secondaires et des accidents vaccinaux handicapants ou mortels.
Psychopathie élitaire
Si en règle générale les historiens comprennent mal les événements, c'est parce qu'ils n’incluent pas l’environnement et la psychopathologie. Ils ne prennent en compte que leurs propres
illusions, celles d'une vision linéaire et technique de l'histoire. Les groupes, sociétés et nations ne sont pas perçus comme des "systèmes vivants", qui naissent, vivent, tombent malade et
meurent. Ils placent trop d’importance sur des individus au détriment du contexte, individus dont les démocraties comme les systèmes totalitaires se servent pour maintenir leur pouvoir.
Or les humains ne naissent pas égaux à cause des recombinaisons de l’ADN. Des parents ayant tous deux une conscience développée peuvent donner naissance à un individu sans conscience, à cause des
recombinaisons possibles. Aussi il n’y a pas de gène de la psychopathie, qui est plutôt le résultat de recombinaisons.
Certains cherchent leur propre survie au dépend de celle des autres, ou ont besoin de la souffrance d’autres pour leur satisfaction personnelle. Cette absence de conscience est expliquée par la
psychopathie. De tels individus grimpent les échelons du pouvoir. Derrière les apparences de façade, ils sont dominés par leurs impulsions animales et n’ont que les émotions les plus primitives,
ce qui fait que l'on ne peut pas diagnostiquer la psychopathie sur la base du comportement visible.
Le modèle pyramidal patriarcal, modèle du psychopathe élitaire
Contrairement aux idées reçues, les psychopathes grandissent souvent dans des milieux stables et aisés. Leur comportement destructeur n’est jamais visible publiquement. Ils ne vont jamais contre
la loi, mais détruisent les personnes de leur entourage, émotionnellement et psychologiquement. Le psychopathe le plus dangereux est éduqué, riche et doué en société.
Il y a toujours deux écoles, celle qui dit que l’environnement influe sur la psychologie, l’autre qui dit que de nombreuses dispositions sont héritées. Cependant, bien des preuves montrent que
les psychopathes ne grandissent pas dans des milieux destructeurs. C’est donc leur nature qui est différente, cette différence étant le facteur majoritaire qui prime sur l’influence de
l’environnement.
La psychopathie découle de l’absence d’activation du cortex préfrontal par un trouble (trauma ou facteur génétique) pouvant empêcher le bon développement de ce substrat instinctif humain et en
réduire sa plasticité. Le résultat en est un humain identique à un animal sur le plan neuro-anatomique. Il faut alors s’imaginer la nature émotionnelle d’un crocodile dans un être humain….
L’expression "cerveau reptilien" prend ici tout son sens.
Si le substrat instinctif est endommagé, il est fort possible que cela produise des troubles incurables, un comportement antisocial, violent, ou criminel. Un substrat instinctif d’un animal n’est
pas normal chez un être humain. Le comportement des psychopathes a une dynamique similaire à celui de certains animaux dans certains états, guidés uniquement par l’instinct.
Les psychopathes adultes ont développé des circuits neurologiques complexes pour satisfaire leurs besoins. Ils peuvent avoir une intelligence brillante, mais elle est au service de la domination.
C’est comme si le centre de leur être était une bouche béante entourée de réseaux neurologiques. Ainsi, sous la pression constante de sa "faim", un psychopathe est incapable d’évaluer les besoins
d’autrui, ou de comprendre les subtilités et ambiguïtés des situations. Il conforme la réalité extérieure à sa structure intérieure rigide et primitive.
Lorsqu’un psychopathe est insatisfait, il perçoit le monde extérieur comme étant contre lui, donc entièrement mauvais. S’il est confronté à un problème qu’il a causé, il ne peut pas le supporter
ni le comprendre et son cerveau le nie et le projette. Un psychopathe ne peut pas admettre d’être dans l’erreur, il est donc toujours dans la projection, d’où cet impératif de besoin de grandeur
et de perfection éternelle. Ce n’est pas un choix mais une obligation.
Ainsi un cerveau complexe, associé à une faim insatiable, fait un psychopathe. Ce sont les maîtres de l’identification projective. Tout ce qui ne correspond pas à leurs désirs est "mauvais" et
projeté sur autrui. Ils doivent préserver à tout prix ce sentiment de contrôle.
Pour comprendre la psychopathie, il faut comprendre que depuis des temps immémoriaux les psychopathes ont investi le sommet de la société. On leur doit les structures sociales et les systèmes de
croyance. On peut parler d’identification projective à l’échelle sociale.
La connaissance de la psychopathie est ce qui ouvre la porte de la cage où nous sommes emprisonnés. Mais la plupart des psychologues et psychiatres ont trop peur d’en venir jusque-là. Ils tentent
sans arrêt de faire rentrer la psychopathie dans le dogme humaniste qui insiste sur la nature uniforme du soi profond de tout être humain. C’est un vœu pieu, lié à une vision morale, religieuse
ou philosophique (humaniste) de la réalité.
Comme nous sommes confrontés à un prédateur intra-espèce qui nous ressemble, un psychopathe semble posséder tous les traits que désirent les personnes normales (confiance en soi, etc). Seuls les
psychopathes criminels sont des psychopathes qui ont échoué. Les psychopathes en général sont des machines très efficaces, qui atteignent des positions élevées, mais en bafouant les droits
des autres. Dans ces conditions, de nombreuses personnes "normales" qui subissent leur influence s’adaptent en éteignant leur conscience pour survivre.
C'est pourquoi les sociétés sont corrompues par le fait qu’elles contiennent un certain pourcentage d’individus extrêmement déviants, ce petit groupe très actif influençant parfois des millions
d’êtres humains. Tout comme le font des pathogènes dans notre corps. Les personnalités déviantes, sachant qu’elles sont anormales, vont vouloir contrôler leur environnement pour réduire leur
stress. Ces pathogènes dans le corps social veulent juste survivre et se propager, sans tenir compte des dégâts qu’ils causent – comme des virus. Cela est d'autant plus possible quand les
sociétés sont affaiblies.
Nous devrions voir la société comme un corps nécessitant une bonne hygiène pour rester en bonne santé. Contrairement aux psychopathes qui n’ont pas le choix de se comporter différemment, nous
avons le choix de ne pas accepter leur domination. De cela dépend notre futur. Nous sommes les seuls à pouvoir nous sauver, ce ne sera pas une aide extérieure qui le fera.
Dans son ouvrage "W ou le souvenir d’enfance" paru, l'écrivain Georges Pérec (1936/1982) décrit dans le dernier chapitre, le chapitre 36 (chiffre qui représente "le diable ou Satan", ainsi que le
mal qu’il personnifie) *, le monde sombre et froid de W, et rappelle cruellement la citation de Raymond Queneau qui introduit l’ouvrage : "Cette brume insensée où s’agitent des ombres,
comment pourrais-je l’éclaircir?" Il nous rappelle ainsi ce que nous sommes, notre condition d’esclave dont nous n'avons pas même conscience.
"L’Athlète n’a guère de pouvoirs sur sa vie. Il n’a rien à attendre du temps qui passe. Ni l’alternance des jours et des nuits ni le rythme des saisons ne lui
seront d’aucun secours. Il subira avec une égale rigueur le brouillard de la nuit d’hiver, les pluies glaciales du printemps, la chaleur torride des après-midis d’été. Sans doute peut-il attendre
de la Victoire qu’elle améliore son sort : mais la Victoire est si rare, et si souvent dérisoire ! La vie de l’Athlète W n’est qu’un effort acharné, incessant, la poursuite exténuante et vaine de
cet instant illusoire où le triomphe pourra apporter le repos. Combien de centaines, combien de milliers d’heures écrasantes pour une seconde de sérénité, une seconde de calme ? Combien de
semaines, combien de mois d’épuisement pour une heure de détente ? Courir. Courir sur les cendrées, courir dans les marais, courir dans la boue. Courir, sauter, lancer les poids. Ramper.
S’accroupir, se relever. Se relever, s’accroupir. Très vite, de plus en plus vite. Courir en rond, se jeter à terre, ramper, se relever, courir. Rester debout, au garde-à-vous, des heures, des
jours, des jours et des nuits. A plat ventre ! Debout ! Habillez-vous ! Déshabillez-vous ! Habillez-vous ! Déshabillez-vous ! Courez ! Sautez ! Rampez ! A genoux !
Immergé dans un monde sans frein, ignorant des Lois qui l’écrasent, tortionnaire ou victime de ses compagnons sous le regard ironique et méprisant de ses Juges,
l’Athlète W ne sait pas où sont ses véritables ennemis, ne sait pas qu’il pourrait les vaincre et que cette Victoire serait la seule vraie qu’il pourrait remporter, la seule qui le délivrerait.
Mais sa vie et sa mort lui semblent inéluctables, inscrites une fois pour toutes dans un destin innommable.
Il y a deux mondes, celui des Maîtres et celui des esclaves. Les Maîtres sont inaccessibles et les esclaves s’entre-déchirent. Mais même cela, l’Athlète W ne le
sait pas. Il préfère croire à son Étoile. Il attend que la chance lui sourit. Un jour, les Dieux seront avec lui, il sortira le bon numéro, il sera celui que le hasard élira pour amener jusqu’au
brûloir central la Flamme olympique, ce qui, lui donnant le grade de Photophore officiel, le dispensera à jamais de toute corvée, lui assurera, en principe, une protection permanente. Et il
semble bien que toute son énergie soit consacrée à cette seule attente, à ce seul espoir d’un miracle misérable qui lui permettra d’échapper aux coups, au fouet, à l’humiliation, à la peur. L’un
des traits ultimes de la société W est que l’on y interroge sans cesse le destin : avec de la mie de pain longtemps pétrie, les Sportifs se fabriquent des osselets, des petits dés. Ils
interprètent le passage des oiseaux, la forme des nuages, des flaques, la chute des feuilles. Ils collectionnent des talismans : une pointe de la chaussure d’un Champion olympique, un ongle de
pendu. Des jeux de cartes ou de tarots circulent dans les chambrées : la chance décide du partage des paillasses, des rations et des corvées. Tout un système de paris clandestins, que
l’Administration contrôle en sous-main par l’intermédiaire de ses petits officiels, accompagne les Compétitions. Celui qui donne dans l’ordre, les numéros matricules des trois premiers d’une
Épreuve olympique a droit à tous leurs privilèges ; celui qui donne dans le désordre est invité à partager leur repas de triomphe.
Les orphéons aux uniformes chamarrés jouent L’hymne à la joie. Des milliers de colombes et de ballons multicolores sont lâchés dans le ciel. Précédés d’immenses
étendards aux anneaux entrelacés que le vent fait claquer, les Dieux du Stade pénètrent sur les pistes, en rangs impeccables, bras tendus vers les tribunes officielles où les grands Dignitaires W
les saluent.
Il faut les voir, ces Athlètes qui, avec leurs tenues rayées, ressemblent à des caricatures de sportifs 1900, s’élancer coudes au corps, pour un sprint
grotesque. Il faut voir ces lanceurs dont les poids sont des boulets, ces sauteurs aux chevilles entravées, ces sauteurs en longueur qui retombent lourdement dans une fosse emplie de purin. Il
faut voir ces lutteurs enduits de goudron et de plume, il faut voir ces coureurs de fond sautillant à cloche-pied ou à quatre pattes, il faut voir ces rescapés du marathon éclopés, transis,
trottinant entre deux haies serrées de Juges de touche armés de verges et de gourdins, il faut les voir, ces Athlètes squelettiques, au visage terreux, à l’échine toujours courbée, ces crânes
chauves et luisants, ces yeux pleins de panique, ces plaies purulentes, toutes ces marques indélébiles d’une humiliation sans fin, d’une terreur sans fond, toutes ces preuves administrées chaque
heure, chaque jour, chaque seconde, d’un écrasent conscient, organisé, hiérarchisé, il faut voir fonctionner ces machine énorme dont chaque rouage participe, avec une efficacité implacable, à
l’anéantissement systématique des hommes, pour ne plus trouver surprenante la médiocrité des performances enregistrées : le 100 mètres se court en 23″4, le 200 mètres en 51″ ; le meilleur sauteur
n’a jamais dépassé 1,30m."
"Celui qui pénétrera un jour dans la Forteresse n’y trouvera d’abord qu’une succession de pièces vides, longues et grises. Le bruit de ses pas résonnant sous
les hautes voûtes bétonnées lui fera peur, mais il faudra qu’il poursuive longtemps son chemin avant de découvrir, enfouis dans les profondeurs du sol, les vestiges souterrains d’un monde qu’il
croira avoir oublié (…)"
Georges Pérec
Clé symbolique d'extraction
Théâtre-musée Dali à Figuéras - Catalogne
Ce théâtre-musée Dali créé en 1974 est riche en symboles. Sur une paroi de couleur "rouge matrice" (Led rouge), dont les fenêtres sont grillagées comme une prison, sont disposés de manière
identique et rectiligne des objets bizarres. Ils ont l'apparence de poulets. Or la mort du coq est considérée comme une aide à notre Âme, telle une prise d'escalade (d'Ascension) à gravir le mur
de la matrice artificielle. D'ailleurs, les cyprès que l'on trouve souvent dans les cimetières et qui bordent cette paroi sont symboles de l'élévation de l’Âme, du passage d'une densité à une
autre. C'est l'enseignement de Jeshua dans les jardins de Jérusalem avant son arrestation, son disciple Pierre n'en ayant pas compris le sens.
Parvenu en haut, l'individu va maturer dans un énorme œuf en équilibre sur cette frontière trans-dimensionnelle entre le champ astral et le champ cosmique, afin d'assurer la crucifixion de
l'égo-mental manipulé jusqu'alors par le prédateur de 4ème dimension, pour avoir la possibilité d'élever le Nouvel Humain qu'il est devenu vers une autre densité, la "5-D", ou bien retomber en
3-D et finir en omelette pour recommencer à prendre des cours d'escalade...
Toutefois, les poulets sont en fait des pains. Le message est que l'Ascension de conscience nécessite une transition alimentaire. D'une nourriture basée sur les céréales - symbolisée par le pain
-, nous pouvons, par une période d'incubation cétogène * (que l’œuf riche en protéines, graisses et plein d'éléments nutritifs illustre), voir au-delà de la muraille de nos croyances perverties
et ouvrir les bras à une autre réalité, gage de notre libération de la matrice falsifiée et de notre état d'esclave...
Cela renvoie au mensonge, parmi d'autres *², des Églises quant au message de Jésus. "Ceci est mon corps " disait-il en distribuant des pains, azymes (sans levain) il va sans dire. Il est
étrange pour un être ayant accédé à la Connaissance, et venant la divulguer afin d'offrir à ceux qui sont prêts les clés vers un cheminement de libération, de placer comme sacré le pain, les
céréales, et de ce fait les glucides ayant pour effet l'intoxication du corps, l'atrophie du cerveau, et des brouillages importants de la supra-conscience. Un bel encrassage à tous les niveaux...
*Diète riche en lipides et pauvre en glucides. Cf. Conscience nutritionnelle. Il est à noter que les blés anciens de Mésopotamie n’avaient que 14 chromosomes (contre 46 pour
les blés hybrides modernes). Ils poussaient sur des sols pauvres, rocailleux, sans glyphosate ni pesticides, et ne supportaient pas les engrais. Le blé
était moissonné à la serpe, puis battu avec des fléaux en bois, enfin vanné à la main pour séparer le grain de la bâle, c’est-à-dire l’enveloppe, avant d'être moulu délicatement sur de grandes
meules de silex qui tournaient très lentement. Cela évitait d’échauffer le grain et produisait une farine grasse, pleine de nutriments, alors qu'aujourd’hui les moulins séparent les farines et
suppriment le germe et le son. Quant àla farine fraîche, elle était mélangée à une eau de source pure, sans chlore.
Par définition, les Autorités institutionnelles exerçant les pouvoirs de la Cité dans leurs spécificités respectives s'érigent en protecteurs de leurs ouailles
appelées citoyens. Elles édictent à leur attention des lois censées les protéger, arment les forces de police pour les protéger du danger qui viendrait de l'intérieur, et une armée pour les
protéger du danger extérieur. L’État dit providence subvient aux besoins des plus faibles et fragiles. A sa tête, le chef suprême, figure généralement masculine, est le "petit" Père de la Nation,
protégeant ses citoyens comme un père ses enfants. L’État, au centre de l'échiquier, veille à tout, organisant et régulant l'économie pour garantir un travail et un revenu à tous, garantissant
l'instruction, plus exactement l'éducation des plus jeunes afin de les préparer à devenir des citoyens "armés" intellectuellement pour affronter la vie, champ de bataille à l'issue incertaine
oblige. Il protège qui plus est la santé de tous, par la construction d'infrastructures dédiées et par la formation des combattants de la vie à tout prix. C'est le mythe vendu par ses
communicants zélés, à celles et ceux vivement priés d'y croire sous peine d'être considérés comme moutons noirs (inversion subtile de la couleur) et traités comme parias et autres noms pestiférés
comme complotistes ou conspirationnistes.
Il en découle que le citoyen est censé évoluer dans un monde sans danger, les dangers se présentant étant entièrement pris en charge par son protecteur suzerain. Il
perd ainsi toute conscience des responsabilités qui lui incombent vis-à-vis de sa propre personne, mais aussi à l'égard des autres. Il se retrouve dans l'incapacité de gouverner sa vie, sinon en
apparence dans l'illusion de son libre arbitre, se contentant de se soumettre et de respecter le corpus de règles érigé. Libéré de toutes ces contraintes et soulagé de tous ces risques, il est
appelé à jouir au mieux d'une vie confortable, au pire à bénéficier de diverses aides destinées à atténuer ses souffrances de ne pas être du bon côté de la barrière sociale.
Pour que ce miroir aux alouettes fonctionne, un système ingénieux et sophistiqué est établi. Il consiste à ce que le Pouvoir fasse sentir en permanence que cette
vie "merveilleuse" - l'Ile aux plaisirs - peut s'écrouler à tout moment. Et ce pour de multiples raisons, qui mises en avant, permettent d'opérer le vorace prélèvement fiscal et la taxe
confiscatoire. La maîtrise de ce système permet ainsi à un petit groupe de prédateurs dominants de régnersans réelle
difficulté sur la masse des dominés, allouant de temps à autre comme bons seigneurs quelques avantages ici, quelques privilèges là, et ce de manière inégalitaire parmi les dominés pour pouvoir
menacer de les leur reprendre (la division du corps social), afin de diminuer les revendications et récriminations d'êtres toujours insatisfaits. C'est bel et bien la peur qui est au centre de ce
jeu pervers, manichéen et destructeur de la conscience, tant individuelle que collective. En d'autres termes, un jeu diabolique !
Pour les rebelles, les "gilets jaunes", ceux qui n'ont pratiquement rien, la menace de privation pour obtenir le consentement n'ayant que peu de prise, les
Autorités usent de l'arme qu'elles sont les seules à détenir, la violence dite légitime ! Elles peuvent en user comme en abuser, en commettant exactions comme à l’extrême des assassinats,
qualifiés de bavures quand ils sont trop voyants dans leur manigance. La toile d'araignée de la matrice des morts-vivants est ainsi tissée.
Les technologies évoluant, l'appareil sécuritaire de surveillance comme de répression s'est considérablement sophistiqué par les technologies numériques. La vidéo
par exemple, associée à des algorithmes de reconnaissance faciale, permet désormais d'exercer une surveillance globale de la population, et ce sans aucun contrôle judiciaire, un comble au royaume
des démocraties reines ! Quoi de plus opportun alors qu'une menace sanitaire à échelle mondiale pour en imposer la légitimité, puisqu'elle est dédiée à la protection de citoyens crédules et
soumis, dans l'incapacité de comprendre les règles de fonctionnement du Vivant à même de créer leur système de protection immunitaire. Pour y parvenir, rien de mieux que de constituer une
situation hystérisée, faîte d'amplifications quotidiennes,24 heures sur 24 et 7 jours sur 7, par des médias avides de
leurs audiences monétisées et de confinement imposé (distanciation et atomisation sociales)comme si le risque était une
extinction de notre espèce, avant que de créer l'opportune protection contre la menace virale par un traçage numérique à but préventif et ce pour faire passer tout ce qui n’aurait pas pu être accepté en temps normal. Enjouant sur les peurs, sur le fait que nos sociétés n’acceptent plus le risque, comment ne pas obtenir le consentement du plus grand nombre, la masse du troupeau bêlant à
l'unisson de leur peur du méchant loup. La maladie Covid 19, objectivement virus peu mortel même si très contagieux comme
l’humanité en a connu des milliers depuis des millénaires, constitue la clé d'entrée d'une société placée sous surveillance numérique généralisée, le Nouvel Ordre Mondial et son univers
dystopique, continuité accélérée du monde d'avant. Traçage, incitation pécuniaire à la délation, accès à des données confidentielles, droit de propriété, libre circulation, mise en résidence
surveillée, la sphère privée n’existe plus...Nous sommes aujourd'hui bel et bien manipulés quotidiennement pour nous faire
accepter l'inacceptable, cette manipulation étant toute simple : nous montrer des images chocs, des comportements aberrants, et nous faire entendre des histoires absurdes.
Cf. George Orwell, nom de plume d'Eric Arthur Blair (1903/1950), auteur britannique de "1984" (1949), et Alain
Damasio, auteur français de science-fiction (en fait science réalité) et son ouvrage "La Zone du Dehors".
"A force de tout voir on finit par tout supporter... A force de tout supporter on finit par tout tolérer... A force de tout tolérer on finit par tout
accepter... A force de tout accepter on finit par tout approuver !"
Augustin d'Hipponeou Saint Augustin, philosophe et théologien chrétien romain
(354/430)
Retour brutal à la sombre réalité de la Matrice
Pour nombre d'êtres humains jusqu'alors illusionnés par leur moi égocentré exacerbé par les artifices dispensés, la "belle" vie est terminée par la sévère épidémie
liée au ravageur virus nommé Covid-19. Depuis de nombreux siècles tout à la gloire du progrès, en l'occurrence des transports, amorcé par les navigateurs explorateurs ibériques au Moyen-âge -
Christophe Colomb, Vasco de Gama, Fernand de Magellan... -, les Européens et autres occidentaux de peau blanche se sont cru autorisés à se promener librement dans le monde entier. Le business
désacralisé ayant fini par prendre le pas sur l'authentique désir de découvrir les horizons lointains sans les contaminer par les miasmes consuméristes, les hordes sauvages aux apparences
civilisées ont défilé chez les prétendus sauvages natifs de ces contrées exotiques. Elles partaient à l'aventure aux quatre coins du monde, souvent pour s'entasser dans des clubs à gogos dits
"all inclusive" pour principalement s'avachir sur leur transat en se faisant rôtir et darder par les rayons destructeurs de leur épiderme inconsciemment offert, puis barboter dans l'eau chlorée
en sirotant le cocktail au glucose surdosé.
La plupart de ces virus parasitaires d'une conscience en berne ne se posaient nullement la question de savoir s'ils étaient attendus, sinon pour leurs dollars et
euros corrupteurs, en tout cas désirés. C’était pour eux une sorte de "droit divin", octroyé jadis par les arquebuses, mousquets et hallebardes, aujourd'hui par les passeports et cartes de
crédit, que de transformer le monde en un grand terrain de jeu à leur disposition pour se distraire, consommer, exploiter et autres artifices mortifères de l'esprit soumis aux forces obscures
trans-dimensionnelles qui gouvernent les humains, encore pour la plupart au stade paléolithique de la conscience. Si pour 90 % de l’humanité cette possibilité de voyager n’existait pas, que dire
des 10%, les nantis et prétendus civilisés en haut de la pyramide monétaire, tout à la célébration enivrée de leur apparente liberté de gloutonner et satisfaire leur pseudo grandeur pourtant
décadente car profondément viciée.
Le monde entier était devenu "notre village", tel que déclamé par les experts sociologues et autres communicants enflammés par leur verve toxique de cette illusion
mondialiste libertaire. Tout à l'élan de leur pensée manipulée, ils faisaient fi des virus passés comme la variole et la grippe infusés aux Amériques dans leur conquête prédatrice, qui avaient
tué aux alentours de cent millions d’Indiens au 16e siècle. Ce n’était "pas de notre faute" bien sûr, mais d'ancêtres ignorants, qui plus est parce que nous avons depuis conçu vaccins,
antibiotiques et, comble de la modernité, le rapatriement sanitaire en avion médicalisé en cas d’urgence. Et si nous pouvons déplorer rajoutent-ils impunément les excès de cette industrie
touristique gigantesque, pour ne pas dire monstrueuse, s’étant développée dans le monde entier à chaque instant du calendrier diabolique institué (Toussaint, Noël, Pâques, les vacances scolaires
d'été, un simple week-end de préférence lors d'un pont), ces millions d’occidentaux contribuent quoi qu'on en dise à faire tourner l'incontournable économie, épicentre de ce modèle dit
civilisationnel mis en œuvre, ô subtile linguistique, lors de la révolution des... Lumières ! Et comme mantra pour excuser cette dérive, le sot cynique et infatué brandit l'adage couillon car
puéril qu'est "On ne fait pas d'omelette sans casser des œufs", détournant sa tête engourdie par l'abîme existentiel s'y trouvant pour ne pas s'attarder sur la toxicité diffusée dans l'atmosphère
par l'intense trafic aérien résultant de ce culte païen du progrès, de la soi-disant modernité. Il en fait de même quant à la réalité vécue de millions d’individus habitant à proximité de ces
gigantesques aéroports sources de nuisances sonores et d'air vicié par les vapeurs de kérosène brûlé sortant des réacteurs. Quant aux pittoresques Venise, Florence, Djerba, Sharm-El-Sheikh, Bali
et consorts devenues des enfers pour leurs habitants non reconvertis dans le tourisme mercantile, c'est peut-être regrettable, mais il faut là encore savoir si l'on veut préserver l'emploi et les
moyens de subsistance à des économies déjà très endettées faute de disposer des ressources naturelles qui rapportent gros...
Ce qui était jusqu'alors perçu comme normal, comme un droit quasi naturel, comme un droit de naissance octroyé par la grâce de la vie - celle d'être né du bon côté
de la barrière -, et que les autres forcément envieux ou jaloux n’avaient qu’à faire avec en se taisant, vient de voler en éclat, ce que peu de cerveaux engourdis par l'anesthésie de leur moi-égo
ratiociné ont percuté et intégré. Le réveil n'en sera que plus douloureux, lorsque va venir la prise de conscience que de chasseur à chassé, les autres peuples vont désormais considérer notre
venue non plus comme un apparent privilège, sinon une bénédiction, mais comme une menace, ce qu'elle n'a jamais cessé d'être. Alors reviendrons-nous après l'ivresse de notre liberté externe
illusoire à notre geôle-prison de naguère, le vivre local, comme au Moyen-Age d'où tout est parti *, lorsque nos ancêtres vivaient étroitement "confinés" dans des villages, retranchés
derrière des remparts, avec des hautes portes fortifiées que l'on refermait chaque soir à la tombée de la nuit. On ne sortait de la ville que prudemment, la journée, pour cultiver les champs, et
partir en voyage ne serait-ce qu'à travers la forêt voisine comportait déjà le risque d'être trucidé par des bandits ou gueux affamés.
Les élites gouvernantes au sein de cette matrice astrale semblent tout compte fait mieux s'accommoder d'êtres humains vivant de cette façon. Elles ont "simplement"
rajouté, comble du sadisme, le goût de cette "liberté" désormais perdue pour aviver les regrets, et constater avec délectation perverse que nous ne sommes toujours et encore qu'esclaves, ne
comprenant toujours pas comment trouver le chemin de notre libération.
* Le dernier grand tournant de l'histoire de la civilisation chrétienneest le passage du Moyen Age aux Tempsditsmodernes. Ce
passage, qui se fit du XIVe au XVIIe siècle, ouvrit avec le XVIIIe siècle la pagede l'histoire contemporaine, en voie de finition, avant que d'ouvrir celle du transhumanisme pour les
uns, la majorité, ou d'une nouvelle Terre pour les autres, les "élu(e)s".
Du Moyen-Age à l'ère moderne, avons-nous vraiment changé ?
Nous regardons la plupart du temps avec effroi sinon horreur les sombres pratiques du Moyen-Age d'avant la Renaissance : sorcières et hérétiques brûlés sur le
bûcher, lynchage par des foules hystérisées, flagellation, roue, écartèlement, pendaison, décapitation et autres cruels supplices en place de Grève...
Nous nous demandons comment les gens, notamment religieux, pouvaient faire de telles choses *, et nous nous réjouissons
d'être passés à autre chose grâce aux Lumières. Pourtant, en prenantun tant soit peu de recul et en faisant preuve de sagacité, nous pouvons constater que
nombre de ces pratiques sont encore florissantes aujourd'hui, même si elles portent des noms différents. Seules leurs formes ont changé. Ainsi l'excommunication, le bannissement spirituel sociétal que seule une lourde pénitence, souvent une contrition publique
longue et humiliante, pouvait racheter. Elleest devenue une arme politique puissante pour nos inquisiteurs culturels modernes - journalistes,
militantsde la justice sociale dans ses différentes déclinaisons, militants verts du changement climatique, organisations
subversives comme Antifa, militantes féministes enfiévrées... -, distribuée aux ennemis de leur foi aveugle afin de détruire la légitimité de leur libre pensée.Nous sommes sur le territoire du livre brûlé, l'autodafé, celui de la mauvaise opinion proférée et jugée erronée, en matière d'écologie,
dechangement climatique, d'éducation, de santé, de droits des minorités (homosexuels, transgenres...), de mondialisme libre échangiste (Union européenne,
multiculturalisme)...Articuler n'importe quel type de pensée erronée conduit au lynchage par la foule des trolls déchaînés présents sur les médias sociaux
et ailleurs. Carrière et réputation sont brûlées sur le bûcher des fous de ce Dieu moderne toujours et encore vengeur - le Moloch-Baal prédateur -, peu important sil'étiquette collée est totalement injuste. Car l'innocence n'est pas une défense, loin s'en faut, tout comme elle ne l'était pas dans les procès de sorcières de l'époque
médiévale. Et comme toute personne qui défend la sorcière est supposée être une autre sorcière, la plupart se taisent, par lâcheté, veulerie, couardise. Et comble de la lobotomie des consciences,
lanouvelle pratique en vogue consiste à s'agenouiller en pliant le genou, outil de soumission utilisé au prétexte de
lutter contre le racisme, tout comme celui consistant à détruire desstatues. Elle montre ni plus ni moins que l'iconoclasme - la croyance selon laquelle les
icônes, les images et les monuments doivent être détruits pour des raisons religieuses ou politiques - est toujours bien vivant, comme au Moyen Âge qui voyait les textes juifs particulièrement
visés par les iconoclastes, ces extrémistes fondamentalistes asservisseurs.
Le servage de son côté n'a pas non plus disparu. Si le serf médiéval devait passer la moitié de sa semaine de travail à labourer la terre de son seigneur en échange
de sa protection et du droit de travailler sa propre terre, le serf contemporain au XXIe siècle abandonne à son seigneur l’État plus de la moitié de ce qu'il gagne en impôts et taxes en échange
de sa protection et du droit octroyé de garder le reste.Quant àl'autoflagellation pour rédemption de ses vices et
tentations, consistant à s'infliger par la douleur pour chasser le mal, elle voit aujourd'hui érigée la culture du dégoût de soi et des excuses proférées pour son privilège d'être blanc et de
porter les péchés de ses ancêtres. Enfin demeure toujours et encore la répartition inégale des richesses, qui voit comme jadis un faible pourcentage de nantis dominants détenir l'essentiel du
patrimoine corporel comme incorporel, et certains concourir au piédestal d'homme le plus riche de l'histoire *². Comment s'étonner alors que l'obscurantisme demeure la pratique des élites institutionnelles aux commandes consistant à
présenter des informations de manière délibérément imprécise et abscons, afin d'empêcher toute enquête ou compréhension ultérieure, le langage techno des experts d'aujourd'hui ayant remplacé
le latin d'antan réservé à quelques érudits triés sur le volet, qui interprétaient le texte comme la parole sacrée d'une manière qui correspondait à leurs
propres intérêts ou aux intérêts de l'institution pour laquelle ils travaillaient. Ainsi les soi-disantsacrilèges et autres blasphèmes continuent à justifier les discours de haine de tous ces contempteurs
défroqués, distribuant sanctions et censures à la pelle. Si d'aucuns imaginent une nouvelle révolte des paysans et autres gueux, ils s'illusionnent. Dans
tous les cas, les paysans et miséreux ont perdu la guerre de la culture. Extérieurement s'entend. Car face à la torture infligée aux concitoyens par les élites psychopathes aux commandes, nombre
se laissent "massacrer" devant leurs yeux, se comportant en témoins observateurs, voire complices à part entière sinon par leur lâcheté mais par leur propension à la dénonciation ! C'est la même
histoire qui ne fait que se répéter, celle de la collaboration avec les dictatures pendant les guerres, nourrie de fatalité, d'apathie, de mauvaise foi et de déni quant à l'approbation implicite
des génocides commis. Dès que le vent tourne, les mêmes suivront sa nouvelle direction, allant dans son sens comme des girouettes de l’égrégore collectif et de sa dynamique imprimée sur les
masses serviles. Peut ainsi se comprendre la falsification et les mensonges officiels ! Pour preuve, il suffit de les observer aujourd’hui tous masqués, aller dans le sens de la diversion
orchestrée par les médias et autres institutions, sans s’émouvoir que l’on massacre des commerces et les vies de millions de gens et de familles, qu’on achève les aînés dans les Ehpads et autres
mouroirs dédiés, qu’on étouffe les enfants dans les écoles, qu’on bafoue les libertés individuelles, et que l'on se précipite sur le vaccin libérateur comme des abeilles vers la ruche censée les
sauver d’une épidémie spécifiquement dédiée à la grande mystification - le "Grand Reset" -, annoncé dans leurs discours et écrits par ses ordonnateurs non masqués, tels l'économiste allemandKlaus Schwabe,
fondateur en 1971 duForum économique mondial (en
anglais World Economic Forum), ou dès 2014 par l'actuellePrésidente de la Banque centrale européenneChristine Lagarde, alors patronne du Fonds Monétaire International (FMI) !
*L'Inquisition a débuté au XIIe siècle en France pour combattre l'hérésie et la
dissidence. Les juges étaient les prêtres. L'Inquisition a d'abord visé les Cathares et les Vaudois. Le mouvement s'est répandu. En Espagne, les juifs et les musulmans ont été montrés du doigt,
car ses dirigeants cherchaient à imposer la doctrine catholique.
*²Jacob Fugger dit le Riche (1459/1525), est un célèbre banquier
allemand, considéré comme l'un des hommes les plus riches de l'histoire. À sa mort, sa fortune s'élevait à deux pour cent du PIB
européen - une proportion bien plus élevée que celle de Bill Gates, de Warren Buffet, Jeff Bezos ou Bernard Arnault. Il s'était enrichi par la vente des indulgences, qui ne sont que les
partenariats public-privé de nos temps modernes (télécoms, pharmacopée... et autres fonds caritatifs dontmoins de 50 % des dons finissent par aller aux causes défendues).
Coronavirus, amorce de l'ère triomphante des robots
Ce qui caractérise la Nouvelle économie de l'Ancienne, c'est qu'elle n’a pas besoin entre autres d’autant de bureaux, les gens travaillant plus aisément de chez
eux. Elle n’a pas non plus besoin d’autant de places de parking, de tables de restaurants, de sièges dans les avions, de logements dans les grandes villes, de navires de croisière, de théâtres
comme de cinémas... Et si les gens ne se rendent plus au travail tous les matins, ils n’ont plus besoin d’autant de voitures non plus, ou de tant de carburant. Et comme les vieilles industries
n’ont pas besoin d’autant d’ouvriers que par le passé, la tendance enclenchée depuis longtemps est le remplacement de salariés humains par des robots. Qui plus est, avec la crise sanitaire, les
locaux d'entreprises et usines ont dû fermer, et si depuis nombre d'individus retournent y travailler, ils s’attendent à plus de mesures de protection. Avec les robots, le problème est différent,
aucun robot n’ayant nécessité de mettre de masque. En outre, ils ne font pas grève, ne se plaignent pas, ne demandent pas l’égalité des salaires, la parité hommes/femmes, ne craignent pas le
virus. Ils n’ont pas besoin de cantine, ne veulent pas être payés plus pour les heures supplémentaires ou le travail de nuit, ne réclament pas de prime de risque, ne militent pas pour qu’on leur
installe la climatisation. Ils ne font pas de pause. Ils ne votent pas. Et ils ne sont jamais insolents envers quiconque, notamment le patron. Et que font naturellement les employeurs ? Ils
embauchent des cerveaux électroniques et des bras mécaniques ! C'est pourquoi la Nouvelle économie explose, notamment dans ses délirantes valorisations boursières, et que l’Ancienne économie ne
parviendra pas à se remettre d'aplomb, avec toutes les conséquences en découlant, humainement comme sociétalement.
Le Masque, ou la mise en route scénarisée du futur totalitaire
Se doter d’une personnalité nouvelle ou superposer une identité à la sienne, cacher son visage pour une expression immobile, dissimuler la nature de ses intentions
et déguiser sa propre réalité (image 1)… le masque apparait comme l’artifice naturel pour se mouvoir dans la vie entre ombre et lumière. C'est ainsi que dans le théâtre antique (image 2),
l'acteur portait toujours un masque dont la bouche était un porte-voix, ce masque se nommant per sona, "pour que la voix sonne".
Le masque a ainsi donné son qualificatif à l’être humain incarné dans cette matrice terrestre de 3-D de densité, héros d’une tragédie entre monde universel divin,
la conscience éclairée, et monde astral démoniaque, souterrain, l'inconscient tourmenté entre les ombres et ténèbres du monde des formes illusoires et qui l'y asservit. Au contact de ces êtres
surnaturels qu'il ignore faute d'être éveillé par l'absence d'Intelligence en son état d'endormissement contre-existentiel et par sa propre paresse indigente, anesthésié qu'il est par
l'absorption quotidienne de son lot de futilités et autres toxicités que lui distillent ses exploiteurs mercantiles dévoyés, les "maîtres magiciens babyloniens" que sont les "élites"
institutionnelles (nombre d'entre elles), l'être humain masqué à lui-même par ses ignorances et crédulités façonne comme maçon attitré, au propre comme au figuré, le rite de l’apparence au
détriment de l'être, seul(e) l'éveillé(e) car initié(e) par l'Esprit universel pouvant avec subtilité avoir accès au canal du sacré lumineux, sa supraconscience, conformément à toute tradition
liturgique dans sa communication avec les autres mondes, tout en se mouvant avec dextérité tel un serpent ou Zorro le renard malin (image 3) dans le monde profane. Car il/elle sait que pour
tromper le mortel ennemi, symbolisé par Darth Vader (photo 4), la personnification du Mal dans la saga cinématographique Star Wars (sur lepoint de
mourir, il demande à Luke de lui retirer son masque afin de voir son fils de ses propres yeux, puis meurt en paix...), il convient d'en mimer les formes et apparences. La vie n'impose-t-elle pas
naturellement les différents masques qui étalonnent son déroulé, du visage poupin au visage glacé et transparent de l’ultime seuil ?
Au plus haut, l’incommunicable se traduit par le masque éternel entre visible et invisible, composantes indispensables au fonctionnement de l'harmonieuse Unité,
l'Encantada (l'Enchantée en occitan). C’est la raison pour laquelle les rituels humains ont de tous temps célébré le port du masque dans leurs applications festives comme secrètes, qu’elles
servent le lumineux ou le ténébreux. C’est le moyen de recevoir la manifestation de l’influence subtile recherchée, à même de satisfaire le corps, le cœur et l’esprit. Mais lorsque le poison les
a gangrénés, il en découle bacchanales *, saturnales, lupercales et autres carnavals démoniaques du temps de la Renaissance italienne à Venise, moyen pour l’élite de l’époque de se livrer à la
débauche sans peur des représailles (image 5). Leur déclin au XVIII° siècle a conduit à leur reprise dans des cercles d'influence fermés car élitaires (images 6 et 7), tous gouvernés sous
l'influence du dieu satanique Baal-Phégor, divinité mentionnée dans l'Ancien Testament comme symbole de débauche et de luxure, expliquant dans leur version extrême la pratique de nombre de
sacrifices rituéliques, d'animaux comme de jeunes enfants, leur mets de choix car gage de leur survie par l'ingestion vampirique réalisée.
Nul ne sera ainsi étonné, à l'occasion de l'opportune crise sanitaire liée à l'épidémie de la maladie Covid-19, que les Autorités psychopathes imposent pour des
raisons sanitaires apparemment légitimes le port du masque (image 8), appelé à se pérenniser pour en faciliter l'appropriation, tout particulièrement grâce au travail créatif de stylistes et
autres créateurs du conditionnement des foules ignorantes, loi du business oblige (images 9 et 10), entre autres pour les cérémonies de mariage (photo 11). Elles n'auront manqué au passage de se
gausser de leur rire sardonique de ces illusionné(e)s de l'idéal libertaire, qui hier encore dénonçaient les sinistres barbus islamiques et autres présumées fanatisées retranchées derrière leur
voile (images 12 à 14), avant que d'être amenés à en épouser à leurs tour et détriment les codes d'apparence, et ce par l'usage de la technique de manipulation des foules dite de la
contre-culture *². Derrière se cache une des étapes cruciales (le chemin non d'Ascension mais de crucifixion) du calendrier mortifère de la matrice prédatrice, qui voit en cette fin de cyclicité
le passage de l'humain au robot biologique, le cyborg (images 15 et 16), symbole de sa dépersonnalisation définitive, l'être anonyme (image 17). Pucé comme il se doit par le vaccin RFID à venir
soi-disant salutaire, il est appelé à entrer dans ce Nouvel Ordre Mondial totalitaire, le monde cyber dit transhumaniste vouant culte à l'Intelligence Artificielle, dont l'arsenal technologique
de surveillance (image 18) n'a cessé de se déployer depuis la fin de la seconde guerre mondiale au XX° siècle *³. Il en
assurera le plein contrôle par la toile de la traçabilité virtuelle désormais instaurée (informatique et navigation Internet sur ordinateur, tablette et téléphone, réseaux sociaux, application
carte bancaire intégrée,achat en ligne, caméras de surveillance...), redoutable outil deprofilage et de surveillance
par les divers "trackers" usités, propre à tout monde autoritaire destructeur de conscience, seul véritable attribut de son humanité profonde.
* Fêtes religieuses célébrées dans l'Antiquité, liées aux mystères dionysiaques, se tenant en l'honneur de Bacchus, dieu romain
du Vin, de l'Ivresse et des Débordements, notamment sexuels. Stanley Kubrick, réalisateur et producteur états-unien (1928/1999), a mis en scène la débauche masquée de certaines "élites" dans son
film Eyes Wild Shut sorti en 1999, année même de sa disparition...
*² Cette technique très efficace est destinée à manipuler les faiseurs d'opinion, tant sur le plan institutionnel (politiciens,
artistes, experts de tous ordres à la "mode") que leurs relais anonymes suiveurs au sein de leurs cénacles respectifs. Il s'agit de cibler dans un premier temps des "méchants", en les dénonçant
de façon vitupérante (hystérisation). Puis, grâce aux "marketeux" et publicitaires, d'en épouser les codes mis à la mode. Autant dire que la famille dite de gauche libertaire constitue le terrain
de prédilection de ses instigateurs.
*³L’origine est
l’adoption conjointe par les États-Unis et le Royaume-Uni de l’accord secret UKUSA (fin 1940), qui a abouti à la mise en place d’un premier réseau de surveillance mondial connu sous le
nom de code "Échelon" (1971). Ceci a été révélé par le lanceur d'alerte Edward Snowden, ce qui a provoqué un débat politique mondial en 2013 sur le droit à la vie privée à l’ère du numérique,
débouchant sur la fameuse et très récente RGPD européenne (Règlement général sur la Protection des Données).En fait, lareconnaissance faciale n’a jamais constitué le plan d'asservissement complet, pouvant être facilement contournée. Elle est utilisée pour habituer la population
au pistage et à la surveillance, la surveillance ultime étant le puçage (le masque est similaire à la lutte
anti-tabac, suscitant l’obéissance et permettant d’identifier la dissidence). C'est pourquoi la fausse pandémie justifie le vaccin avec puce à venir.
Le monde entropique de l'indifférence et de l'anonymat
La généralisation du port du masque pour raison sanitaire, bien que contre-productive et dangereuse pour nombre *, est appelée à devenir progressivement obligatoire
dans tout l'espace public et professionnel. Elle va retirer aux individus une de leurs spécificités, l'expression faciale *². La communication sera principalement verbale, perdant son
indispensable pendant corporel dans l'affirmation de sa singularité biologique. Il s'agit inéluctablement d'une profonde déshumanisation, cette amputation privant l'être humain d'un des éléments
clés du déchiffrage des intentions et des sentiments de l'autre découlant de l'expression de son visage et des messages muets, conscients et inconscients, qu'il adresse. Par ce simple bout de
tissu apposé et qui défigure, les émotions et désirs hors sphère intime passeront par la parole, les mots, ou à défaut de leurs maîtrise et richesse, laisseront place au silence, pour ne pas dire
au vide existentiel devenu barrière invisible avec l'expression du Vivant. Là où le masque facial uniformisera les spécificités anatomiques, il conduira à la hiérarchisation profondément
inégalitaire qu'est l'inculture, accentuant les borborygmes qui ramènent l'homme au stade animal pour les uns, au robot biologique mécanisé pour les autres, tels qu'illustrés dans l'univers
totalitaire dystopique du film The Wall ("Le Mur") du cinéaste Alan Parker (1982), où les êtres humains n'ont plus d'identité individuelle, n'existant plus que sous forme anonyme et
collective, en d'autres termes sous forme porcine.
Cet éloignement du corps, tant tactile que visuel, accentué par la suspicion permanente que l'autre représente un danger et à même d'attiser les bas instincts de
dénonciation et de caftage (les médecins ont par exemple été incités en France, moyennant paiement - ilsrecevaient 2 à 4
euros supplémentaires - à dénoncer leurs patients et leurs familles atteints du coronavirus durant le confinement, et le seront tout autant pour la pratique vaccinale appelée à se
généraliser), précipite la fin de cycle de cette présente civilisation humaine, préalable à son passage en 4-D dans ce Nouvel Ordre Mondial destiné à poursuivre son œuvre destructrice de la
Conscience. C'est la véritable signature du transhumanisme, ce monde de la virtualité d'un univers (au sens astral s'entend) toujours plus connecté grâce aux machines *³. Une société totalitaire, où une poignée de scientistes sans âme aux commandes gouvernera une masse d'esclaves privés de toute liberté,
gigantesque enclos d'esprits abêtis destinés à nourrir le corpus prédateur régnant.
*Les gens qui portent des masques toute la journée ne font rien d’autre qu’augmenter leur charge virale, réduire leur
niveau d’oxygène (déficit) parce qu’ils inspirent de nouveau le dioxyde de carbone, ce qui entraîne une saturation. Ils amplifient simplement leur propre charge microbienne, et diminuent le
système immunitaire de leur corps voireréactivent des infections latentes ou discrètes. Et si le virus est déjà en train d’attaquer la capacité de
transport de l’oxygène, il va juste les rendre encore plus malades. Qui plus est, outrel’état de santé général, les masques présentent l’"avantage"
supplémentaire d’induire des lésions cérébrales (destruction conséquente de neurones, notamment dans l'hippocampe) de par la faible oxygénation, et de diminuer singulièrement l’intelligence (déjà
très peu élevée chez nombre) de leurs porteurs inconscients, dont nombre de médecins qui en sont continuellement porteurs, ceci expliquant cela lorsque certains s'expriment de manière
doctrinaire, hystérique sinon haineuse dans les tribunes médiatiques accordées,se comportant à l'instar des névrosés et autres hypocondriaques - ceux qui ont peur de tout - qui
s’en donnent à cœur joie pour tyranniser leur entourage, même familial.Les symptômes d’alerte aigus sont les maux de tête, la somnolence, les vertiges, les problèmes de concentration, le ralentissement du temps de réaction, autant de réactions
du système cognitif. S'ilsdisparaissent car l'organisme s'y habitue, le fonctionnement du cerveau demeure altéré, la
sous-alimentation en oxygène de votre cerveau continuant de progresser, et conduisant aux inévitables maladies neurodégénératives qui mettent des années, voire des décennies, à se
développer.
Cf. Travaux deMargarita Griesz-Brisson, docteur en médecine, neurologue consultante et neurophysiologiste.
"La destruction du visage signe la désertion de l'individu, atteint au cœur de son identité et de sa relation aux autres"
Julie Mazaleigue-Labaste, docteur en philosophie, "La fabrique du visage"
V pour Vendetta (V for Vendetta), avant-goût de demain
Film américano-germano-britannique, réalisé par James McTeigue, sorti en 2006.Vers 2038, après une guerre à peine évoquée et
un mystérieux virus utilisé lors d’un terrible attentat biologique visant trois sites importants par leur symbolique ou leur nombre de victimes (l’école primaire Sainte-Mary, la station de métro
Victoria et une usine de traitement des eaux), l’Angleterre est dirigée par un parti fasciste. Ce dernier, ayant profité du climat de peur affectant la population, a facilement institué un régime
dictatorial à la tête duquel il s’est autoproclamé "Haut Chancelier". Un couvre-feu, dont le respect est contrôlé par sa milice, "Le Doigt", a été instauré sur tout le territoire. En parallèle,
les migrants, les "païens", les musulmans, les malades physiques ou mentaux et tous ceux dont les idées pouvaient s’en approcher ont été bannis, et les opposants au régime ou minorités, tels les
homosexuels, pourchassés lors de "l'assainissement". Les plus élémentaires libertés fondamentales (la liberté d'expression en particulier) ont été abandonnées au nom de la sécurité nationale et
de la guerre contre le terrorisme. Les médias sont muselés et la BTN, unique chaîne de télévision, est le principal instrument de propagande du parti.
Du feu "purificateur" aryen, virus mortel de la conscience
Après la Grippe espagnole qui ravagea l’Europe en 1918-1919, l’Allemagne fut touchée par une pandémie de choléra (1923), tandis que la tuberculose et la polio
continuaient à se répandre. Cette situation morbide inspira le grand romancier allemand Thomas Mann, qui publia en 1924 Der Zauberberg ("La Montagne magique"), roman considéré comme
l’une des œuvres les plus influentes de la littérature allemande au XXe siècle. Cette histoire qui traumatisa les Allemands explique qu’une des premières mesures prises par le chancelier
Hitler après son arrivée au pouvoir en 1933 consista en un grand programme de lutte contre la tuberculose. Il mobilisa une flotte de camions équipés d’appareils aux rayons X pour dépister la
maladie par radiographie des poumons et isoler les malades. Nul n’avait le choix de se faire dépister, conformément à la devise nazieGemeinnutz vor Eigennutz, "l’intérêt commun devant l’intérêt individuel", qui fut gravée sur les pièces de monnaie de 1 Mark à
partir de 1933. Après la tuberculose, Hitler lança un grand programme pour désinfecter les usines et éliminer les poux et les rongeurs, vecteurs d’épidémies. Le tristement célèbre gaz Zyklon B,
utilisé plus tard dans les chambres à gaz, fut utilisé à cet effet. Il lança en parallèle un grand plan pour les espaces verts autour des usines pour créer un environnement plus sain. Quant à la
jeunesse, elle était embrigadée dans des colonies appelées "Jeunesses Hitlériennes" pour des activités en pleine nature, destinées à "fortifier la race" et contribuer à faire "reverdir"
l’Allemagne. La lutte contre les infections fut étendue aux hôpitaux psychiatriques, les handicapés mentaux étant considérés comme des faibles et des indésirables, consommant des ressources
nécessaires aux "travailleurs allemands". Ce fut ensuite le tour des Tziganes, des Juifs, des Slaves,et autres groupes
sociaux désignés comme inutiles ou nuisibles, considérés comme inférieurs et porteurs de maladies, .
Ce dégoût et cette peur des infections expliquent pourquoi Hitler adorait le feu,l’élément
purificateur par excellence, les Nazis l'utilisant comme symbole de leur mouvement. Il permettait de détruire toute vie, et de ce fait toute maladie. C'est pourquoi les Nazis organisaient
des marches au flambeau nocturnes dans les rues de Berlin, ainsi que d’immenses cérémonies la nuit où des milliers d'hommes étaient alignés en carré parfait ou en croix gammée, tandis que
d’immenses torches illuminaient la scène et de puissants projecteurs balayaient le ciel. Son usage fut prolongé dans les fours crématoires, destinés à faire disparaître toute trace de personnes
humaines et donc tout microbe.
Il existe ainsi un lien étroit entre régimes autoritaires et présence de maladies infectieuses, une grande étude publiée en 2013 dans lamégarevue scientifique en lignePlos One (éditée quotidiennement par la Public Library of Science) démontrant ce lien très étroit entre la prévalence des maladies infectieuses dans une population
et la sympathie de celle-ci pour les régimes autoritaires. Autrement dit, plus le risque, réel ou imaginaire, d’infection est élevé, plus la population approuve, voire demande, des mesures
autoritaires, restreignant ses libertés. Plus il y a de risque de maladies infectieuses, et plus une société devient même sexiste, xénophobe, ethnocentriste, ont aussi expliqué trois
scientifiques américains, l'entomologiste et biologiste Randy Thornhill, la psychologue Corey L. Fincher et le biologiste Devaraj Aran en 2009 dans leur célèbre article intitulé "Parasites,
démocratisation et libéralisation des valeurs parmi les pays contemporains" *. Ils avaient identifié un système d'adaptation de l’homo sapiens pour gérer le problème des maladies infectieuses.
Ceci entend que dès que nous sentons augmenter le risque d’infection, nous acceptons et demandons aux Autorités de restreindre nos libertés pour nous protéger. L’être humain étant le principal
vecteur des maladies infectieuses, la meilleure façon de le protéger est alors d’interdire à d'autres êtres humains d'approcher, en fermant les lieux publics, en interdisant les rassemblements,
les fêtes, en fermant les frontières, ou limitant les déplacements sur le territoire, voire en imposant des mesures de distanciation sociale permanentes. La liberté et la promiscuité sexuelles,
en particulier, sont ardemment combattues.
Comment s'étonner alors de la montée en puissance d'emprisonnements, de violences et de déportations en cas d’épidémie, tels que pratiqués sous diverses formes dans
nombre de pays (Koweit, Qatar, Chine, Afrique du Sud...). Quant à la France, la Police a pu déployer pour la première fois des drones pour surveiller les habitants, la Justice ayant rejeté les
recours des associations de défense des libertés qui dénonçaient cette pratique, tandis que plus d’un million de citoyens ont reçu des contraventions pour avoir manqué aux règles du confinement.
L'autre, les autres, étrangers ou non, sont ainsi toujours considérés comme plus ou moins menaçants, car potentiellement porteurs de germes dangereux, y compris sur le plan psychique par rapport
aux croyances entretenues par chacun. C'est un réflexe archaïque de protection contre les épidémies qui fait que, dans un monde totalement intriqué, l'être humain peut se servir inconsciemment de
son odorat pour être attiré, ou repoussé, par des personnes selon leur flore bactérienne, de ce fait de leur système immunitaire. C'est tout le paradoxe de notre humanité, qui en notre qualité de
créature sociale, a besoin en parallèle d’échanges d'information, de coopération, de réconfort et de contacts pour se sentir bien *², tout comme d'exogamie afin de diversifier le pool génétique
et éviter les problèmes de consanguinité.
La présence du coronavirus déstabilisant brutalement nos repères, nous poussant à la méfiance, au repli, et à l'isolement, marque bel et bien la croisée des chemins
en cette fin de cyclicité civilisationnelle. En cédant à la peur propagée par les Autorités psychopathes qui nous gouvernent, nous signons la poursuite du pacte infernal nous entraînant dans le
gouffre de la conscience. En nous en détachant, nous favorisons notre sortie en cours de la matrice des morts-vivants pour, enfin, évoluer vers le retour à l'Unité libératrice !
* Cf. "Parasites, democratization, and the liberalization of values across contemporary countries",Biological Reviews
(Cambridge Philosophical Society).
Alors que l'impression monétaire * se poursuit à grande échelle pour tenter de colmater la calamité économique qui empire un peu partout dans le monde, et qui va se traduire par d'innombrables
faillites et destructions d'emplois, nul n'a besoin d'être grand devin pour comprendre le temps des dissensions, tensions et insurrections à venir... voyant le centre s'amollir plus encore tandis
qu'on se radicalise à la marge. Les émeutes sont inévitables, cela faisant partie du processus. Elles donnent ainsi aux autorités une autre "guerre" à mener, une autre raison d'affirmer leur
domination... Interviendront alors la "Garde nationale" et autres forces armées, et seront annoncés l'"état d'urgence", le couvre-feu et la loi martiale, avant que de décréter les organisations
"terroristes" et l'arrêt de leurs meneurs pour être jetés sous les barreaux. Les pays seront mis en résidence, les restrictions actuelles n'ayant été qu'une répétition générale.
Bienvenue dans le Nouveau Monde, totalitaire il va sans dire, pour la célébration frénétique du chaos, le culte de Dionysos *², à l'instar des précédents points culminants dans le cycle dionysien
que furent la Révolution française, la Révolution bolchevique, les nazis, la Révolution chinoise, les Khmers rouges... C'est toujours le même modèle, qui voit une bande d’individus pathologiques
répandre une idéologie simpliste qui aboutit à la destruction de tous ceux qui se sont opposés. En fin de compte, cela signifie la destruction des hommes et des femmes de conscience, le but
ultime des mouvements révolutionnaires étant la destruction, la moisson des âmes !
* L'autre réalité est que les banques centrales (Federal Reserve américaine, Banque centrale européenne) soutiennentles marchés financiers afin de soutenir la fortune des "ploutocrates", en leur faisantun
cadeau supplémentaire de plusieurs centaines de milliards pour ces détenteurs de portefeuilles boursiers conséquents. Ce faisant, elles contribuent à faire baisser les taux d'intérêt,
volant de cette manière les retraités et les épargnants.
*² Ce culte n'est pas synonyme de fêtes, d'orgies et de plaisir, mais demort, de destruction et même de
cannibalisme. Lorsque ses pratiquants dans la Rome antique -les Ménades (en grec ancien "délirer, être
furieux") ou Bacchantes chez les Romains - trouvaient une victime, ils la coupaient en morceaux et la mangeaient !
Prison Break, ou La Grande Évasion
Prison Break est un feuilleton télévisé américain en 90 épisodes de 43 minutes à l'origine *, diffusé à partir de 2005 sur le réseau de la chaîne Fox. Il a
été créé par Paul Scheuring. Il met en scène suite à une sombre machination (la dénaturation de l'être humain par les entités entropiques de la 4ème dimension de réalité) un individu accusé à
tort d'avoir tué le frère de la vice-présidente des États-Unis. Condamné à mort, il est incarcéré dans le pénitencier d'État de Fox River (l'ancienne prison de Joliet dans l'Illinois près de
Chicago en réalité - photo 1), dans l'attente de son exécution. Son frère Michael (tel l'Archange, la supraconscience bienveillante), un ingénieur surdoué, est convaincu de son innocence, et va
l'aider à s'évader avant la date fatidique en concevant un plan ingénieux, profitant d’être l'auteur des plans initiaux du pénitencier pour sortir de prison. Il se fait tatouer les plans de
celle-ci sur le torse, le dos et les bras, ainsi que diverses informations utiles à l'évasion et à la cavale, puis commet un braquage afin d'y être incarcéré à son tour. Une fois emprisonné à Fox
River, il met en marche son plan afin de rendre la liberté à son frère. Des événements imprévus viendront entraver le plan d'évasion minutieusement élaboré, les deux frères devant notamment faire
face aux agissements du Cartel, une organisation secrète qui s'avère être à l'origine de la conspiration. De plus, ils devront faire équipe avec des détenus non prévus dans le plan
initial.
* La série est revenue pour une cinquième saison sous la forme d'une minisérie de neuf épisodes, intitulée "Prison Break : Resurrection" et diffusée en 2017 aux
États-Unis.
Le scénario livre quelques clés d'importance à l'être humain pour s'extraire de sa prison, la matrice terrestre viciée. Il doit d'abord chercher la Connaissance
dissimulée en lui (éveil au Soi supérieur, la supraconscience) et la graver en lui par le changement de conscience opéré et la modification épigénétique de l'ADN qui s'en suit (symbolique du
tatouage). Rien n'est pourtant acquis, les gardiens de la Matrice (le Cartel et des coéquipiers indésirables) faisant tout pour en empêcher le succès de réalisation.
Tel un "autiste", branché dans le silence de son univers intérieur allant à l'encontre de toute logique humaine apparemment "normale", il peut envisager par ses
facultés cognitives développées la sortie du cube mortifère pour rejoindre une nouvelle dimension de conscience, cette fois-ci évolutive, tel le survivant du film éponyme réalisé par Vincenzo Natali sorti en 1997...
"Le Joueur de flûte de Hamelin" est une légende allemande, transcrite notamment par les frères Grimm, et parvenue à notre époque sous le titre original Der
Rattenfänger von Hameln ("L'Attrapeur de rats de Hamelin")*. Elle évoque un désastre censé être survenu le 26 juin 1284 dans la ville de Hamelin (Hameln) en Allemagne. Ses origines sont
incertaines, ayant prêté à nombre d'explications comme une tradition de danse superstitieuse (type "danse de Saint-Guy") pour conjurer les ravages en Europe de la Grande peste au XIV° siècle, ou
l’émigration d'enfants de Hamelin au XIII° siècle aux confins orientaux de l’Empire germanique.
Son sens profond caché aux savants profanes est tout autre. Il concerne le téléchargement psychique ou le fait d’être possédé par quelque chose, en l'occurrence les
idéologies terrestres mortifères initiées par les forces entropiques de la 4ème dimension de densité astrale, empêchant les êtres humains inconscients de leurs influences d'avoir une identité
fixe, sur le plan sexuel comme culturel *². Ils sont comme des rats, sous la baguette hypnotique de leurs joueurs de flûte pour ne pas dire de pipeau. Le joueur de flûte est dans son pendant
évolutif l'Esprit, la supraconscience, qui si les êtres humains concluent avec Lui une entente par leur alignement fréquentiel (la juste vibration à Sa fréquence de résonance), les débarrassera
des rats et autres parasites (l'entente est symbolisée dans la légende par le versement d’argent). Mais comme après que le joueur de flûte les ait débarrassés des rats ils ne l’ont pas payé (la
prise de conscience de leur enfer prison n'a rien changé à leur mode de fonctionnement inconséquent), il a utilisé sa flûte pour éloigner tous les enfants (leurs descendants). La montagne s’est
alors ouverte, et il a emmené les enfants dans la montagne d'où ils ne sont plus jamais sortis (recyclage cosmique). Et c'est cette chute de la conscience dans le trou noir cosmique qui se joue
actuellement en cette fin de cyclicité !
* Les premières mentions de cette histoire semblent remonter à un vitrail placé dans l’église de Hamelin (Allemagne) aux environs de 1300 et décrit dans
différents documents entre les XIVe et XVIIe siècles. Inspirée des descriptions de l’époque, une version moderne de ce vitrail a été créée par le cryptologue allemand Hans Dobbertin, qui inclut
représentation colorée du personnage du joueur de flûte et différents enfants habillés de blanc (Cf. l'image ci-dessus est celle d'un vitrail de l'église de la ville de Goslar en Basse-Saxe).
Sice vitrail est généralement considéré comme ayant été créé en mémoire d'un tragique événement survenu dans la ville, les nombreuses recherches
menées n'ont pu l'attester.
Le combat de David contre Goliath est un épisode de la Bible (Samuel 17, 1-58) *, également cité dans le Coran (Sourate 2, verset 251). Il oppose David, fils du
berger Isaï, le plus petit de ses 7 frères et encore adolescent, et le héros des Philistins en guerre contre Israël, le géant et courageux Goliath. David gagne le combat non par la force mais par
la ruse, d’un caillou lancé avec une fronde qui vient abattre le colosse en se plantant sur le bas du front, entre les deux yeux, avant de l'achever en lui coupant la tête par sa propre
épée.
Le message est clair : il est inutile d'affronter par la force le monstre, la Matrice, de face à face, en espérant la vaincre et transformer. Seule la ruse, le
déploiement de sa force intérieure par l'accès au 3ème Œil, sa supraconscience, est à même de permettre de remporter le combat, celui de sa véritable liberté par un changement hyper-dimensionnel
de conscience...
* Iln'existe en fait aucune référence extra-biblique ou archéologique mentionnant Goliath, dont la description
s'apparente plus à un hoplite grec de l'âge de fer.
"Il m'avait fait observer avec insistance que toutes les ruines archéologiques du Mexique, et surtout les pyramides, étaient dangereuses pour l'homme moderne.
Il avait dépeint les pyramides comme des expressions étrangères de pensée et d'action. Il disait que chaque élément, chaque ornement constituait un effort calculé pour noter des aspects de
l'attention entièrement extérieur à nous. Pour Don Juan elles n'étaient pas seulement des ruines de cultures du passé contenant un élément nuisible : tout ce qui faisait l'objet d'un intérêt
obsessionnel était dangereux en puissance."
Citation du chaman mexicain Don Juan Matus dans "Le Don de l'Aigle" qui enseignait Carlos Castaneda
La vraie thérapie, c'est à tout moment, en toutes conditions, et certainement pas guidée par quelqu'un que nous payons, mais par sa propre guidance
supérieure qui place les expériences dont nous avons précisément besoin sur notre chemin.
Vous avez aimé cet article ?Alors partagez-le avec vos connaissances.