Les "clés libératrices" en ligne font l'objet de constantes mises à jour et nouveaux enrichissements.
Leur formulation n'engage que leur auteur, qui puise tant dans ses recherches et sources d'information que dans son imaginaire leurs révélation et libre mise à disposition suivant la forme et la
rédaction retenues.
Il n'y a de ce fait rien à prendre pour argent comptant, seulement à laisser faire en soi le processus d'ouverture de conscience par le discernement, soit le
juste équilibre entre cœur et raison. Celui-ci conduira à les invalider, à les valider, à les compléter par d'autres ajouts et compléments. Il est ainsi conseillé de se référer à des relais ou
officines de la doxa scientifique officielle telPsiram.com, le Wikipédia des croyances irrationnelles, dont l'objectif est de discréditer
tout ce qui ne correspond pas à sa ligne de pensée académique,et de prendre le contre-pied sur des sites comme la chaîne web Odysee.comou
laplateforme de vidéo en ligne canadienne basée à
TorontoRumble,ou
encorelesite d'hébergement de vidéos "alternatif" Crowdbunker.
Sans prendre parti pour une croyance contre l'autre, il s'agit de prendre de la hauteur et de se forger sa propre opinion, par
son propre travail de recherche, libre et indépendant. C'est ainsi que procède le chercheur de vérité.
Compréhension structurelle de la Matrice asservissante
Avertissement préalable
Les œuvres d'art (picturales, littéraires, musicales, cinématographiques...) recèlent toutes les clés explicatives du Jeu du Vivant, placé dans notre
dimension ou matrice terrestre sous la coupe de forces involutives, qualifiées de lucifériennes ou satanistes dans notre référentiel judéo-chrétien selon leur nature.
Certaines comme le film Matrix, prétexte à l'introduction de la présente explication du fonctionnement de notre cadre de référence, se distinguent par la
puissance de la symbolique qui y est logée. Le lecteur ou spectateur pourra alors être tenté d'y trouver les clés de sa libération. Qu'il n'oublie cependant qu'aucune n'a pour objectif de le lui
permettre, puisque inspirée par les gardiens de la caverne prison, les "maîtres magiciens babyloniens", experts de l'illusion luciférienne destinée à piéger l'âme sur son chemin
d'émancipation.
C'est ainsi que Morpheus, maître instructeur de Neo, l'être humain "nouveau", c'est-à-dire se voulant libre et non plus esclave, porte dans son patronyme la
signature de Morphée, la divinité par excellence dans la mythologie grecque des rêves prophétiques. Fils/fille d'Hypnos (le Sommeil) et de Nyx (la Nuit), sa vocation est d'endormir les mortels,
non de les réveiller. La vérité qu'il lui propose en offrande est de ce fait piégée. Sans discernement, la confiance accordée au maître instructeur de circonstance, quels que soient ses
séduisants atours, conduit inéluctablement à la nuit de la conscience.
Dialogue introductif*
Morpheus : Te voilà enfin ! Bienvenue Neo. Comme tu as pu le deviner, je suis Morpheus (...). Crois-tu en la destinée Neo ?
Neo : Non (...). Parce que je n'aime pas l'idée de ne pas être aux commandes de ma vie.
Morpheus : (...) Je vais te dire pourquoi tu es là : tu es là parce que tu as un savoir, un savoir que tu ne t'expliques pas mais qui t'habite, un savoir que tu as ressenti toute ta vie. Tu sais
que le monde ne tourne pas rond sans comprendre pourquoi, mais tu le sais, comme un implant dans ton esprit, de quoi te rendre malade. C'est ce sentiment qui t'a amené jusqu'à moi. Sais-tu
exactement de quoi je parle ?
Neo : De la Matrice ?
Morpheus : Est-ce que tu veux également savoir ce qu'elle est ? La Matrice est universelle. Elle est omniprésente. Elle est avec nous ici, en ce moment même. Tu la vois chaque fois que tu
regardes par la fenêtre ou lorsque tu allumes la télévision. Tu ressens sa présence lorsque tu pars au travail, quand tu vas à l'église ou quand tu paies tes factures. Elle est le monde qu'on
superpose à ton regard pour t'empêcher de voir la vérité.
Neo : Quelle vérité ?
Morpheus : Le fait que tu es un esclave, Neo. Comme tous les autres tu es né enchainé. Le monde est une prison où il n'y a ni espoir ni saveur ni odeur, une prison pour ton esprit. Et il faut que
tu saches que malheureusement, si tu veux découvrir ce qu'est la Matrice, tu devras l'explorer toi-même. C'est là ta dernière chance, après ça tu ne pourras plus faire marche arrière. Choisis la
pilule bleue et tout s'arrête : après tu pourras faire de beaux rêves et penser ce que tu veux. Choisis la pilule rouge, tu restes au pays des merveilles, et on descend avec le lapin blanc au
fond du gouffre*². N'oublie pas : je ne t'offre que la vérité rien de plus. Viens avec moi.
* Extrait de "The Matrix", film australo-américain de science-fiction, écrit et réalisé par "les" Wachowski (sorti en 1999).
*² Morpheus lui offre de prendre soit la pilule bleue, qui lui fera récupérer une vie "normale", sa véritable nature existentielle - le mode "Service d'Autrui"
-, soit la pilule rouge, qui lui permettra de savoir ce qu'est la Matrice, le mode "Service de Soi". En choisissant la pilule bleue, Neo (l'Homme nouveau, à la base homme ordinaire et sans
talent) est conduit à apprendre à s'ouvrir à l'inconnu pour, en transcendant ses peurs de l'inconnu et la désactivation de ses mémoires viciées, créer un nouveau potentiel de réalité, autrement
dit densifier un futur possible en mode "Service d'Autrui" dans la réalité de 3ème densité qu'il habite. Il peut de ce fait, en franchissant le tunnel entre deux densités de réalités (le terrier
du lapin blanc d'Alice), se détourner de la voie entropique qui lui était prédestinée. C'est son énergie créative - la conscience est la gravité -, par la conscience de Qui Il Est vraiment, qui
ouvre cette autre ligne temporelle, son nouveau futur, sa nouvelle réalité.
Dans le film, Neo choisit la pilule rouge, prétexte pour faire comprendre au spectateur la réalité asservissante de la Matrice cyber, la matrice des
morts-vivants. A noter cependant que le véritable "Humain" nouveau se révèlera être la hackeuse Trinity ("Trinité"), l'expression "Syndrome Trinity" qualifiant ce personnage féminin fort qui
pourtant s'efface au profit du héros masculin...
La pilule est sur le plan académique un médicament à avaler ou une méthode contraceptive. Dans les deux acceptions, elle évoque un médicament de l'âme, qui selon
l'état de conscience de l'être humain, lui permet de choisir sa manière de mener son chemin de vie, pour le meilleur ou le pire. C'est pourquoi nombre d'expressions populaires comportent le mot
pilule, comme "avaler la pilule" pour accepter une situation désagréable, "dorer la pilule" pour présenter favorablement quelque chose de négatif, "prendre sa pilule" pour accepter de subir un
échec.
La question essentielle pour un être humain doté d'une âme (environ la moitié de l'humanité*) est dans son vécu terrestre "À la Vérité qui dérange, dois-je préférer
l'illusion qui réconforte ?" Selon la réponse, le plus souvent de manière inconsciente, qu'il y apporte, trois choix se présentent, chacun lié à une couleur symbolique.
Il choisit la pilule rouge, et il reste alors au "pays des merveilles", au royaume magique de l'illusion ordonnancée et orchestrée par les maîtres artificiers
experts en manipulation, autrement qualifiés de maîtres babyloniens ("les mages noirs" lucifériens et satanistes pour notre référentiel judéo-chrétien).
Il prend la pilule bleue, et l'illusion s'arrête, lui permettant alors de faire de beaux rêves et penser ce qu'il veut, libre dans sa manière de penser et de créer
sa réalité.
Mais il ne pourra réellement s'émanciper de la Matrice prison, la caverne psychique des morts-vivants, qu'en prenant la pilule verte, seule à même de lui permettre
de s'approcher de la Vérité et de lui donner la capacité de dépasser ses limites de perception et de connaissance. En effet, l’origine du mot "vert" est le latin viridis, proche de vérité, du
latin veritas lui-même dérivé de verus, "vrai".
Il convient de ne pas oublier que dans la matrice de 3ème dimension terrestre, le choix étant toujours binaire (bien vs mal, + vs -, blanc vs noir, jour vs nuit,
mâle vs femelle...), il est question de choix entre soit la pilule bleue soit la pilule rouge. C'est oublier que la couleur est le composé de la réalité perçue par nos sens physiques au même
titre que le son, les photons qui en composent le champ magnétique spectral vibrant à des fréquences ultraviolettes et infrarouges imperceptibles à l'œil humain pour être portés à notre vue par
les variations d'une onde électromagnétique plus ou moins amples. Or, les trois couleurs de base de la lumière qui éclaire sont le Bleu, le Rouge, le Jaune, les couleurs dites primaires ou
pigments de la matière, et qui par leur mélange vont ordonnancer le visible. Si le bleu et le rouge sont communs aux deux mondes, l'Esprit (ou l’Éthérique) et la Matière, ils ne permettent pas
pour autant de savoir avec certitude dans quel monde on se trouve réellement. C'est par conséquent la troisième couleur qui va nous apporter la réponse. Jaune, nous sommes dans le monde de la
matière, et Vert, nous sommes dans le monde de l'Esprit. Il y a toujours dans le ternaire maçonnique*² générateur de l'illusion - Bleu Rouge Jaune - un quatrième élément caché, le Vert fruit du
mélange du Jaune et du Bleu que notre sagacité doit permettre de découvrir, seul à même de rendre possible et effective l'extraction du piège luciférien tendu... On ne peut en effet s'échapper
des cages que l'on refuse de voir ou que l'on ne peut voir !
*³ Si les animaux interceptent la même lumière que l'humain, ils n'y perçoivent pas les mêmes informations, et ce en raison de leur système nerveux optique
principalement conçu pour intercepter des spectres de couleurs au-delà de l'infrarouge ou de l'ultraviolet. De ce fait leur réalité diffère, puisqu'ils distinguent des ondes de forme le plus
souvent inassimilables ou divergentes de ce que perçoit l'esprit humain. Étant naturellement au contact des mondes "supérieurs" mais privés de parole, seul l'apprentissage de nos proximité et
promiscuité avec l'animal de compagnie permet d'en retirer les bénéfices psychiques pour notre évolution comme la leur.
Nous vivons au sein d’un univers, caractérisé par un champ d’intelligence unitaire*. Ce champ est une matrice de nature ou substance énergétique, nommée plasma, un champ de Perception infinie ou
"soupe moléculaire" au sein duquel circule de l’information qui se trouve à l’état latent, via des particules. Ces particules circulent de manière ondulatoire - sous forme d'onde sinusoïdale - au
sein de ce vaste océan d'ondes et de fréquences.
Nous captons cette information de deux façons. D’une part à partir de l’imagination visuelle de nos intentions et désirs, renforcée ou non par leur formulation verbale. C’est l’état de pensée
créative, qui, observant la non-matière, en fait jaillir la matérialisation par la projection de la conscience ("le plasma" acquiert de la masse lorsqu'elle est influencée par l'énergie de
l'observateur)*². D’autre part par la concentration profonde et la manifestation de nos sens subtils. C’est l’état de méditation et du rêve.
Toutes ces deux énergies psychiques permettent de recevoir l’information circulant dans les particules au sein de ce vaste champ plasmatique, celle-ci descendant à nous, dans le corps physique,
par l’effet de résonance ou "fréquence cellulaire" produit par la nature électromagnétique de nos pensées et émotions associées et la réceptivité magnétique de notre corps via sa structure ADN et
les membranes cellulaires, composé de tous les éléments constitutifs du Vivant (gazeux, liquide, solide, plasma), le plasma étant sur le plan biologique la substance qui permet aux plaquettes,
aux globules rouges et aux globules blancs d’être transportés dans le corps, contenant des anticorps qui aident à lutter contre les infections, ce qui permet à une personne de rester en bonne
santé plus longtemps. Ce sont bel et bien les photons, les quantum d'énergie associés aux ondes électromagnétiques qui présentent certaines caractéristiques de particule élémentaire,
qui constituent le lien entre le champ d'information et nos protéines d'antenne.
Il en résulte que le monde extérieur animé et sa manifestation de phénomènes physiques comme métaphysiques, tel que perçu, n'est que l'expression des mémoires ou des programmes inscrits dans nos
codes génétiques qui s'expriment par l'état de cette conscience, renforcé par l'adhésion collective à son apparente "réalité". Celle-ci n'est en Réalité qu'illusion, puisque s'il n'y a pas
d'observateur, la réalité n'existe pas !
La science matérialiste émet des hypothèses sur la façon dont l’univers a été créé, en aucune façon des certitudes. Actuellement, la théorie du Big Bang est la
manière la plus populaire d’imaginer comment un univers plein de vie a pu émerger du néant. Sa limite est celle de la Conscience, celle que chacun possède dans son for intérieur, liée à son
ouverture au grand champ informationnel constitutif de l'Univers dans toutes ses dimensions pour la plupart impénétrables en l'état. Autrement dit, la
conscience omniprésente du Créateur de l’univers, Ce Qui Est, et des principes fondamentaux de sa Loi de la Création. Et comme enseigné dans nombre de
Traditions ésotériques, la création se produit lorsque la pensée - ou l'intention - et le sentiment - l'énergie d'amour - divins sont mis en mouvement de manière complémentaire.
Leurs versions physiques denses sont l’électricité et le magnétisme. Quel que soit le paradigme retenu, scientifique ou métaphysique,
ces énergies créatives fonctionnent selon des axes différents, perpendiculaires à quatre-vingt-dix degrés et non parallèles les unes aux autres.
Ainsi, en mettant en mouvement les énergies de l’électricité et du magnétisme à la bonne fréquence, nous produisons de la lumière visible. C'est de
cette manière que la séparation de la conscience divine en deux éléments différents, la pensée et le sentiment ou le yang et le yin, puis leur mise en
mouvement, ont rendu possible une variété infinie d’expériences. Parmi elles, le concept d’espace; les couches de densité de
l’existence ou domaines d’existence, chacune plus comprimée que celle qui la précède, la couche la moins dense et
la plus expansive abritant des champs de conscience de la taille d’une galaxie; l’invention du temps, les galaxies
pouvant voyager à l’intérieur de l’enveloppe de l’espace dans des cycles de temps, et chaque instant du temps n’étant qu’une autre expression de l’unique
grand Maintenant (il paraît différent dans la mesure où chaque instant possède sa propre signature de fréquence, ce qui fait que chaque moment semble différent du précédent).
Il en résulte que notre monde physique de 3-D a été créé dans une densité non physique avant d'être comprimé jusqu’à l’existence. Aucun Big Bang n’a été nécessaire.
Structuration du champ d'Intelligence unitaire (1)
L’état de conscience, exprimé par la pensée comme par le son, est l’élément clé de toute existence dans l'Univers, Ce Qui Est, qui n'est rien d'autre que le produit
de Son Esprit. Il correspond sur le plan de la science physique à la gravité (celle que nous connaissons est modélisée par la géométrie d’un espace courbe) qui, en tant que facilitateur
énergétique, lie tout ce qui est physique à tout ce qui est éthérique, et ce grâce aux ondes instables de gravité dont la vitesse est supérieure à celle de la lumière qui est son expression
énergétique (la lumière appartient au champ de la septième dimension de densité). C'est ainsi qu'à l'instant même où l'énergie psychique (sous forme de pensée, d'émotion, de méditation) de
l'observateur est "retirée" de la zone plasmatique, la matière jusqu'alors constatée est défigée, dédensifiée, comme évaporée, la particule élémentaire redevenant onde. C’est l’ingrédient central
de toute existence, sa propriété quantitative étant immuable !
Ceci entend que TOUT - l'Univers - est une grande illusion, Son Esprit se déclinant de manière perpendiculaire en 7 dimensions de densité (elles sont desconstructions humaines faute de meilleurs termes disponibles), c'est-à-dire des niveaux de conscience, de ce fait de fréquences, à chaque fois dégradés en partant
du plus élevé jusqu'aux plans inférieurs, là où l'énergie éthérique, plasmatique, est densifiée par le mécanisme des forces électromagnétiques et nucléaires. Densité signifie degré de
développement de la conscience mesuré du point de vue de la proximité de l’union avec le "cycle de l’Un" (fonctionnement de l'Univers ou Source), entendant que plus la densité est élevée, moins
il y a de lois qui s’appliquent, ce qui signifie qu’il y a plus de liberté. Sa représentation géométrique est un octogone sans fin, en trois dimensions, autrement dit un treillis. Les dimensions sont ainsi à entendre comme le résultat de la Conscience universelle telle que manifestée dans le secteur "imagination" de la pensée humaine, soit
d'apparentes réalités que la physique peut cependant décrire par le biais de l'algèbre (leconcept algébrique pour être
utilisé a besoin de dimensions, la distance entre deux points différents étant nulle), la théorie du champ unifié si elle était complétée étant à même de
donner un aperçu de la relation synchrone entre la gravité et la conscience.Le Nom du Jeu du Vivant est la Conscience, le travail de tout être et de toute
existence en tout lieu étant toujours celui de la Conscience*!
Il est à comprendre que dans l’espace, il n’y a pas de dessus, de dessous, de haut, de bas, de gauche, de droite etc. Il n’y a qu’autour, dans un sens sphérique. En
imaginant un cercle avec un point en son centre, les "Mondes" traduisant ces dimensions sont des divisions empiriques, des réalités perpendiculaires basées sur des Forces directrices d’énergie de
conscience chargées de les faire croître et changer par l’acquisition de connaissances (les couches d’un atome sont comparables à des états d’être, par rapport au Centre d'impulsion et ses
réalités perpendiculaires). Il en découle que les "dimensions d’existence" d'un être humain sont délimitées par la "fréquence" ou "niveau de
conscience" caractérisant les différentes personnalités de son "Moi-Je" qui les habitent, la plus basse étant la 3ème ou "3-D"...
Les 3 premières densités sont strictement matérielles, les 3 dernières strictement éthériques. La 4ème, dimension de densité intermédiaire, est dite de "physicalité
variable", mixte entre les deux états. Quant à la 5ème dimension de densité, elle se caractérise par l'absence d'espace comme de temps, seule l'information pure en unités y "résidant". La
différence entre les densités vient de la différence d'état de conscience et d'évolution des âmes*², la vitesse de la lumière variant de ce fait avec la fréquence de la dimension de densité.
C'est ainsi que l'on peut passer au niveau supérieur quand "on" a appris toutes ses leçons de vie, un champ de conscience complet incluant tous les opposés, dans un parfait équilibre.
Le théologien, juriste, poète, soufi, métaphysicien et philosophe andalou connu sous le nom d'IbnʿArabi (1165/1240), également appelé ach-Cheikh al-Akbar, a abordé
les différents niveaux d’être ontologiques en parlant de cercles concentriques qui définissent chaque niveau d’existence, soit des réalités perpendiculaires qui rayonnent à l’infini pour finir
par revenir au centre parce que la gravité au centre les y ramène. Les mondes ne sont ainsi que des divisions empiriques fondées sur des directeurs énergétiques de conscience. Chaque niveau
renvoie à des relations. À mesure que le niveau s’élève, on se rapproche d’une relation directe avec le cœur de l’existence, alors qu’à la périphérie, on est plus proche de la matière. Il
mentionne également le "rayonnement vers l’extérieur" et le "mouvement intérieur" vers la Connaissance. Selon lui, l'être humain peut soit rester au même point dans l’illusion, soit descendre,
soit monter. Ce mouvement est en partie déterminé par sa position à l’intérieur du cycle.
* Conscience sur un plan étymologique vient du latin cum, "avec", et scienta, "savoir". Comme le savoir découle de la théorie, et la connaissance de
l'expérience directe, la conscience est essentielle, car elle est le moyen (levier) de son évolution (élévation) par la connaissance.
À l'origine, Éther est un dieu primordial de la mythologie grecque, qui personnifie les parties supérieures du ciel ainsi que sa brillance. Le philosophe et
l'ingénieur de SicileEmpédocle, quifait partie des
philosophes présocratiques du Vᵉ siècle av. J.-C. et à qui l'on doit la théorie classique des quatre éléments, parle fréquemment de l'éther comme d'une entité différente. De
son côté, Platon mentionne dans son ouvrage le Timée l'éther comme "la forme de l'air la plus pure", tandis que Aristote, dans son traité Du ciel (De caelo en latin), introduit un nouvel élément qui n'existe que dans la sphère céleste et dont la particularité est de se mouvoir en cercle sans avoir besoin
d'une force extérieure. Plus tard, lemathématicien, physicien et philosophe français René Descartes élabore au XVII° siècle une mécanique des
tourbillons pour expliquer que le mouvement des planètes est dû à de grands tourbillons d'éther, matière subtile composée de minuscules globules transparents, remplissant l'espace et qui les
emportent et les maintiennent sur leurs trajectoires. Son homologue anglais Isaac Newton élabore de son côté sa théorie de la gravitation universelle où la force gravitationnelle se transmet
instantanément d'un corps à l'autre, sur des distances quelconques et à travers l'espace, vide ou non. Insatisfait de cette situation où une force se transmet à travers le vide, il imagine un
éther qui transmettrait les influences mécaniques gravitationnelles, espèce d'esprit très subtil qui pénètre à travers tous les corps solides. C'est par la force et l'action de cet esprit que les
particules des corps s'attirent mutuellement. Au XIX° siècle, le physicien écossais James Clerk Maxwell indique que la Lumière est la manifestation d'une perturbation électromagnétique qui
affecte l'éther, le physicien néerlandais Hendrik Antoon Lorentz démontrant en 1895 que les équations de Maxwell étaient compatibles avec une conception dans laquelle l'éther était partout
présent, même à l'intérieur des atomes. En 1905, le physicien Albert Einstein, après avoir nié l'existence de l'éther, en admet en 1916 l'existence sous une certaine forme. Quant à
l'inventeur et ingénieur américain d'origine serbe Nikola Tesla, il prétend que cette force pouvait être utilisée, et en fait la preuve de façon
expérimentale en inventant des générateurs fonctionnant à l'éther. Il avait pris conscience de ses mécanismes qui, dans la philosophie hindoue, président au monde matériel, ayant assimilé les
concepts sanskrits de l'akasha (espace éthérique) et du prana (source de l'énergie universelle). Il avait adhéré au concept d'un éther lumineux pour décrire la source,
l'existence et la construction de la matière. Au XXIe siècle, les propriétés ou caractéristiques déconcertantes attribuées par la physique contemporaine au vide (champ de Higgs, énergie du vide,
énergie sombre) rappellent étrangement les propriétés mystérieuses de l'éther, même si la célèbre expérience de physique optique réalisée par les scientifiques américainsAlbert A. Michelson et Edward Morley entre 1881 et 1887, toujours confirmée depuis, a révélé dans ses conclusions que l'éther
luminifère n'existe pas, la vitesse de la lumière étant constante quel que soit le système de référence, lephysicien et philosophe
autrichienErnst Mach concluant à son inexistence. C'était simplement oublier que
l'univers physique ne se limite pas à la galaxie solaire d'appartenance nommée La Voie lactée...
L'Architecture Naturelle des 5 Éléments (Cf. image) - Terre, Eau, Air, Feu, Ether -, ou d’une façon moins réductrice et plus étendue Solide, Liquide, Gazeux, Igné,
Ether, caractérise les 5 constituants alchimiques organisés et classés de façon croissante en densité de Lumière. Même si "Tout est Lumière" au sens général, du point de vue manifesté les 4
Éléments Solide, Liquide, Gazeux et Igné vont du plus dense en matière, jusqu’à l’Ether le plus Haut et le plus dense en Lumière. L'Ether, Lui, contient tout, puisqu’il est lui-même une
expression du Tout. Appelé en sanskrit "Akasha", il est l’essence du vide et du néant, à l'originede la formation des autres
éléments*.
* A la naissance de l’univers, quand la conscience s’est manifestée, le son primaire Aum a résonné. De cette vibration subtile est apparue l’Ether. Cet élément
éthérique a commencé à bouger, ce qui a créé l’Air. Le mouvement de l’Air a créé de la friction, celle-ci entraînant la chaleur par la combinaison des particules formant une intense lumière
(naissance de l’élément Feu). La chaleur du feu a dissous et liquéfié les éléments, donnant naissance à l’Eau. Ceux-ci se sont alors condensés pour former des molécules de Terre.
Illustration symbolique du champ d'Intelligence unitaire
L'intrication des sept dimensions de densité, de ce fait de réalité, du cosmos est illustrée par le système ou principe dit en gigogne des poupées russes ou
matriochkas, soit des poupées de tailles décroissantes placées ou emboîtées les unes à l'intérieur des autres. Le mot matriochka est dérivé du prénom féminin Matriona,
traditionnellement associé à une femme russe de la campagne, robuste et aux formes généreuses, prénom de même étymologie que мать, "mère", et матрона, "matrone"*. La marionnette
de la Mère Gigogne représente une grande et forte femme entourée d'enfants. Son concepteur, l'artisan russe Sergueï Malioutine, s'est inspiré d'une série de poupées de bois japonaises
représentant les Shichi-fuku-jin, les "Sept Divinités du Bonheur".
Les matriochkas sont utilisées métaphoriquement comme exemple-type de conception d'un système qui voit de par l'intrication qui le caractérise une relation de type
"objet à l'intérieur d'un objet similaire", expliquant que l'on retrouve ce système aussi bien dans la nature que dans des objets créés par l'homme. Cette métaphore se rapproche de celle de
l'oignon, qui fait que lorsqu'on épluche la couche extérieure de l'oignon, on trouve un oignon semblable à l'intérieur. C'est le principe majeur de l'organisation de la matière, l’intégration
changeant la qualité des choses. Les êtres humains sont de ce fait un peu comme des matriochkas, leurs "enveloppes" ou corps entourant l'âme individuelle étant interdépendants, allant du plus
dense au plus impalpable. Unifiés, ils apparaissent toutefois comme des apparences faussement multiples d'une seule vraie Réalité, chacun étant le support
d'un niveau de conscience différent et d'un mode vibratoire particulier.
*La poupée "mère" fut appelée matriona et ses "filles" reçurent le diminutif de matriochka. Dans sa version
originale, elle tenait un coq à la main, symbole de fécondité et de prospérité en Russie et dans toute l’Europe, notamment en France dont il est l'animal emblème. Ainsi le premier œufdatant de 1885 du joaillierrussePierre-Karl Fabergé (1846/1920), connu pour sesbijoux ayant la forme d'oeufs de Pâques réalisés à partir de métaux et de pierres précieuses, renfermait un jaune contenant une poule,
renfermant à son tour un pendentif de rubis et une réplique miniature de la couronne impériale.
Dans l’Univers, la "Toile cosmique" désigne la connexion des galaxies en une sorte d'amas et de structure géante qui ressemble à un réseau à mesure que l'on s'éloigne dans l'univers observable.
Les bateaux que sont les galaxies suivent les courants d’une rivière, la matière. Les galaxies qui sont regroupées en amas ou en superamas se déplacent en évitant de grandes régions appelées
"vides". Leurs déplacements, provoqués par les concentrations de matière visible ou invisible, les amènent à se séparer ou se rassembler comme en suivant l’eau de la rivière de part et d’autre
d’une ligne de partage. C'est ce "champ de vitesse" des galaxies qui constitue la quatrième dimension.
Du comportement ondulatoire et particulaire de la matière
Il y a des milliers d’années que les Maîtres de l’ancienne Égypte ont énoncé le principe que
"tout est en mouvement", "tout vibre", "rien n’est à l’état de repos". La science moderne l'accepte, toute nouvelle découverte scientifique tendant à en vérifier l'application,
depuis le corpuscule et l’électron, l’atome et la molécule, jusqu’aux mondes d'un
univers multidimensionnel calés sur des fréquences différentes. Ceci explique que les différences existant entre les diverses manifestations de la Matière, de l’Énergie, de l’Âme et
même de l’Esprit, sont la conséquence d’une proportion inégale de vibrations, et ce depuis le "Tout", "l’Esprit Pur", jusqu’aux formes les plus grossières de la matière. Plus grande est la
vibration, plus haute est la position sur l’échelle. A l’autre extrémité de l’échelle il y a les formes grossières de la matière dont les vibrations sont si lentes qu’elles paraissent ne pas
exister. Entre ces deux pôles opposés, il y a des millions et des millions de degrés différents de vibrations. Cela est vrai également pour l’énergie et pour la force, qui ne sont que des degrés
différents de vibration. Et cela est vrai encore pour le plan mental dont les vibrations régissent l’état, tout comme pour le plan spirituel. De même, la façon dont les fréquences affectent le
monde physique a été démontrée par diverses expériences, telles que la science de la cymatique (visualisation des vibrations acoustiques) et la
mémoire de l’eau.
Les "fentes ou interférences de Young" (voir schéma ci-dessus) désignent en physique une expérience qui consiste à faire interférer deux faisceaux de lumière issus
d'une même source, en les faisant passer par deux petits trous percés dans un plan opaque. Cette expérience fut réalisée pour la première fois en 1801 par lephysicien, médecin et égyptologue anglais Thomas Young (1773/1829), et permit de comprendre le comportement et la nature de la lumière. Sur un écran disposé en
face des fentes de Young, on observe un motif de diffraction, qui est une zone où s'alternent des franges sombres et illuminées. Cette expérience permet ainsi de mettre en évidence la nature
ondulatoire de la lumière. Elle a été également réalisée avec de la matière, comme les électrons, neutrons, atomes, molécules, avec lesquels on observe aussi des interférences.
Cela illustre la dualité onde-particule : les interférences montrent que la matière présente un comportement ondulatoire, mais la façon dont les faisceaux de
lumière sont détectés (leur impact sur un écran) montre leur comportement particulaire. La nature d'une particule dépend selon qu'on l'observe ou non : dans le premier cas elle se comporte comme
une particule, et dans le second comme une onde. C'est ce phénomène qui est connu sous le nom de "dualité onde-corpuscule".
En fait, l’observateur réel (l'être humain acteur dans la Matrice terrestre) entraîne toujours une perturbation à l’expérience, car il est en attente de quelque
chose. Et comme en physique quantique l’observateur et l’objet observé sont mystérieusement liés, les résultats de l’observation semblent en partie
déterminés par les choix de l’observateur.Ceci explique que par manque de conscience, chaque jour dans le monde des milliers de gens s'entre-tuent, au sens
propre comme figuré, pour des questions de point de vue, alors que changer le point de vue que nous avons sur nous-même réglerait certainement de nombreux problèmes sur lesquels bute l'espèce
humaine. C'est cette situation qui est représentée par la fonction d’onde, enseignant que voir la condition humaine sous un
autre angle,appréhender la réalité qui se cache derrière
les apparences, c'est voir le rond dans le rectangle ! Ainsi, pour changer de point de vue, il faut se déplacer, être (en) mouvement, accepter les changements, car dans un univers
de cycles et de révolutions, camper sur ses positions constitue une forme de régression, autrement dit d'involution.
L’observateur "idéal", l'être humain créateur car aligné, serait bel et bien celui qui ne causerait pas la moindre perturbation sur l’objet observé. Ceci entend
qu’il soit sans idéal, sans aucune attente particulière, si ce n'est sa "foi" dans la magie du Vivant* !
Structuration du champ d'Intelligence unitaire (2)
Le corps humain physique provient de la matière de 1ère densité (sodium, potassium, calcium, phosphore, carbone, vitamines, tous les sels minéraux et
organiques…),niveau qui concerne les roches, les minéraux, les plantes ayant une conscience à
ce niveau. Les roches peuvent même croître et bouger, mais elles le font tellement lentement qu’on ne le perçoit pas.L’apparente physicalité du corps résulte de l’agencement d’un amas d’atomes - des neutrinos -, composant l'âme, et
qui, émanant de niveaux supérieurs de la conscience, sont assemblés et structurés en une géométrie bien définie qui, lorsqu’elle se densifie en 3e densité, devient la matière physique du
corps. Ce niveau a la conscience d'une ligne, indiquant que la 1ère densité comprend toute matière inférieure au niveau de la conscience.
Son corps génétique (acide nucléique, acide ribonucléique, peptides, glucides, adénine, cytosine, guanine, thymine...) est issu de la 2ème densité, niveau du règne
animal. Les constituants de l'ADN de tout être vivant, qu'il soit végétal, animal ou humain, restent identiques.La conscience de cette seconde densité a un lien avec la progression géométrique, c'est-à-dire d’une ligne se déplaçant à angle droit, ou de plans.
Son vécu (incarnation physique) se fait dans la 3ème dimension de densité ou de réalité, la "3-D". Les êtres humains y ont la conscience du plan se déplaçant perpendiculairement à lui-même uniquement par leurs perceptions, sans pouvoir en faire pleinement l’expérience (d'où
les débats sans fin sur la forme de la Terre, ronde ou plate). Ils voient les choses comme tridimensionnelles uniquement parce qu'ils créent une illusion à partir de la mémoire et de la
connaissance. On ne peut en effet jamais connaître l’autre côté ou l’intérieur lorsqu’on regarde une face donnée.
Sa conscience limitée au Moi personnalité - l'ego-mental -* se situe dans la 4ème dimension de densité, lui permettant de s'observer lorsqu'elle est éveillée.
La 4ème densité est la première à inclure une physicalité variable.Nommée le champ de l'Astral, elle est placée sous la gouvernance de forces involutives, dites le corpus prédateur (le Non-Être), même si des Forces
évolutives dites de Lumière les contrebalançent de par la Loi de la dualité des polarités*². C'est cette dimension qui offre la capacité de visualiser et de décider quelle est notre réalité, ceci
entendant que nous créons la réalité à partir du quatrième niveau. De ce fait, à un moment, la réalité pourrait ne pas ou plus être solide, mais être tout en énergie, et ce simplement par le
pouvoir de la pensée. C'est aussi à partir de la 4e densité que le temps tel que nous le percevons n’existe pas, notre perception du temps n’existant que dans les trois premières densités.Les êtres de ce niveau peuvent se déplacer dans notre densité temporelle car pour eux, elle n’existe pas. Tout est maintenant. Ce n’est qu’un instant.
Son corps éthérique/spirituel sous gouverne de l’Âme est relié à la 5ème dimension de densité (la matière noire, l'antimatière, le non-temps…). Ellereprésente le lieu géométrique de toutes les possibilités d'unmoment donné, dont une seule se réalise dans le Temps, alors
que toutes les autres demeurentirréalisées. C'est une sorte de plan que la ligne du Temps perce à l'endroit où se trouve lapossibilité qui, de ce fait, se réalise.
Sa conscience supérieure ou supra-conscience - celle du Soi supérieur une fois l’Âme réunifiée et fusionnée à l'Esprit - est reliée à la connaissance de la 6ème
dimension de densité (l'énergie noire ou nucléaire faible, la Connaissance universelle…). Elle figurele Temps del'Univers, comprenant par son volume non plus le possible mais l'accomplissement de toutesles possibilités de chaque moment par le cycle
complet de toutes les lignes du Temps.La 6ème densité étant uniforme,
l’équilibre est total à ce niveau de densité.
Il conserve toujours sa connexion à la 7ème dimension de densité, à l'Un, à la Source, la conscience ultime du Créateur et de la Création, Ce Qui Est,
point situé en même tempsdans l'Espace et dans le Temps (dimension atemporelle). Son "essence" rayonne à travers tout ce qui existe, dans tous les univers de conscience possibles. Ligne du Temps, Éternité et Tout sont les termes du langage courant qui correspondent à laquatrième, à la cinquième et à la
sixième dimension. Le terme Zéro correspond à la septièmeet dernière dimension.Ce n'est pas le néant. C'estle germe et la fin, l'Alpha et l'Oméga de tout ce qui existe.
En résumé, chaqueindividu forme une unité individuelle de conscience lectrice d’ondes de 3e densité. A partir
du moment où sa conscience s’ouvre et progresse, il devient capable de lire des longueurs d’onde plus proches d’une réalité de 4e densité, et ainsi de façonner le nouvelespace-temps qu’il se destine à habiter. Là réside la clé de son échappatoire du piège de la matière, la Caverne ou le bac
à sable de la conscience...
Les principes régissant l'univers se trouvent dansles versets ou les écritures du Kybalion,ouvrage ésotérique explicatif de la philosophie hermétique de l'ancienne Égypte et de l'ancienne Grèce. Il transmet l'enseignement d'Hermès Trismégiste, personnage mythique de
l'Antiquité gréco-égyptienne auquel a été attribué un ensemble de textes appelés Hermetica, dont les plus connus sont le Corpus Hermeticum et la Table d'émeraude. Les hermétistes comme les
alchimistes qui se réclament de lui les appliquent dans leurs œuvres et travaux respectifs. Ils sont au nombre de 7, constitutifs des lois universelles connues du multivers de la réalité, par
lesquelles tout et chacun dans l’existence est gouverné.
. Le principe du mentalisme, qui signifie que le Tout est esprit, l’univers est mental. L’univers est une conscience, expliquant que les pensées influencent la
réalité. Selon ce principe, toute manifestation est précédée d’une pensée, le potentiel et l'habileté de l'esprit façonnant les résultats souhaités dans notre vie.
. Le principe de correspondance, qui entend "Comme en haut, comme en bas. Comme en bas, comme en haut". Étroitement lié au principe primaire du mentalisme, il
indique que les pensées et les croyances façonnent la réalité de l'être humain parl'interconnexion entreles
fréquences énergétiques vibratoires inférieures et supérieures.
. Le principe de la vibration, qui fait que "Rien ne repose, tout bouge, tout vibre". Selon ce principe, toute chose, qu’elle soit physique ou spirituelle, possède
une vibration spécifique traduite par les atomes en perpétuel mouvement. C'est ainsi que le cœur, qui émet des vibrations variables en fonction de l'état émotionnel lorsqu’il bat, permet de
s'éloigner des fréquences négatives qui ne sont pas bénéfiques par le maintien d'une vibration élevée.
. Le principe de polarité, qui exprime que "Tout est double, tout a des pôles, tout a sa paire d’opposés, le semblable et le contraire sont identiques". Si les
opposés sont identiques en nature, ils sont différents en degré. Les extrêmes se rencontrant, toutes les vérités ne sont que des demi-vérités, tous les paradoxes pouvant être réconciliés. Si la
matière physique et l’énergie spirituelle sont fondamentalement identiques, l’énergie spirituelle vibre toutefois à une fréquence qui dépasse la perception sensorielle.Il s’agit toujours d’une
vibration de Lumière.
. Le principe du rythme, qui fait que "Tout coule, sort et entre". Tout a ses marées, tout monte et descend, l’oscillation du pendule se manifestant en tout,
compensée par le rythme. Lié au concept de polarité, ce cinquième principe souligne la présence d’un rythme inhérent entre les pôles opposés. A l'instar du flux et du reflux des marées ou du
cycle de l’inspiration et de l’expiration, tout est en mouvement constant. La nature suivant ses saisons, de la même manière l'être humain connait ses propres cycles, pouvant ainsi s'aligner sur
les rythmes naturels de la vie et de l’univers, et coopérer avec eux plutôt que de résister à leur influence.
. Le principe de cause à effet, qui veut que "Chaque cause a son effet, chaque effet a sa cause". Tout arrive selon la loi, le hasard n’ayant qu’un nom pour une loi
non reconnue. S'il y a de nombreux plans de causalité, rien n’échappe à cette loi. Le principe de cause à effet relie tout, car chaque cause est essentiellement l’effet d’une autre, en remontant
jusqu’à l’origine. Ce principe met de ce fait l’accent sur la reconnaissance des conséquences de nos pensées et de nos actions, et sur la manière dont nous pouvons les modifier pour obtenir des
résultats plus significatifs.
. Le principe du genre, qui entend que "Le genre est dans tout". Tout a ses principes masculins et féminins, le genre se manifestant sur tous les plans. Ce septième
principe affirme que toutes les choses possèdent à la fois des caractéristiques masculines et féminines, chaque individu incarnant les deux énergies, un peu comme les fonctions du cerveau gauche
et du cerveau droit. Non seulement les énergies masculines et féminines coexistent dans le domaine physique, mais elles s’étendent également aux plans mental et spirituel.
L’intégration harmonieuse de ces lois énergétiques est cruciale pour la création, et lorsque l’on parvient à un équilibre entre elles, on est mieux équipé pour
appliquer efficacement tous les principes afin d’obtenir des résultats optimaux.
Mais si le public ne connaît que 7 principes, il existe une loi cachée, connue des élites, qu’elles utilisent pour établir leur matrice. C'est celui du principe
Génératif, qui représente les pouvoirs du TOUT, englobant la totalité de l’existence. Ces êtres qui ne possèdent qu’une petite partie du Principe Génératif ne peuvent cependant pas surpasser les
pouvoirs du Tout, la Conscience Unique Universelle.
De la complémentarité des contraires
Intuitivement, beaucoup de chercheurs, scientifiques et philosophes, à toutes les époques, ont compris que l'univers n'était que la complémentarité de deux
contraires constituant un principe unique. Ce principe unique, c'est le magnétisme. Ceci entend que toutes les masses de l'univers - planètes, étoiles, particules atomiques - sont des aimants
complets munis de leurs deux polarités, et non des particules unipolaires ou des masses s'attirant par gravitation. Le fait qu'elles soient des aimants permet de comprendre la mise en mouvement
de ces masses, leur accélération et leur stabilisation dans des systèmes immuables qui donnent à la matière et au cosmos sa stabilité. Cette stabilité serait impossible dans les conditions
théoriques enseignées habituellement, l’équilibre des positions et mouvements de particules étant irréalisable lorsqu’elles s'attirent entre noyau et satellites (ou électrons) d’une part, ou
d'autre part lorsqu’elles se repoussent au cœur des atomes tout en restant néanmoins "collées".
L'énergie naît du néant à chaque instant. Elle est en fait la conscience et l'amour, la conscience étant la répulsion qui place l'infini à l'extérieur du centre
zéro, et l'amour cherchant à réunifier ces deux pôles constitutifs du néant,notions indissociables à la fois opposées et complémentaires qui règlent tous
les équilibres dynamiques en physique et rythment les relations végétales, animales et humaines, les comportements sociaux, amoureux, sexuels, économiques ou politiques. Tous sont le résultat
d’un permanent mélange d’attirance et de rejet, d’accueil et d’exclusion. L’espace/temps est la matrice apparente dans laquelle ces deux forces agissent, la répulsion donnant l’illusion de
l’espace et l'attraction celle du temps. Leur relation amène la création, qui en termes taoïstes se traduit par le Yang, la concentration, et le Yin, la dilatation.
Cf. travaux du chercheur indépendantLéon Raoul Hatem, déposés à l'Académie des Sciences de Paris en 1955 et
publiés en 1956 dans ses livres "Naissance et Vie de l'Univers", en 1973 dans "Et l'univers fut", et en 1985 dans"Le Livre de l'Infini". Albert Einstein n'avait-il pas dans une de ses lettres à sa fille écrit que "j’ai fait
une simple substitution dans mon équation célèbre. Si, au lieu de E = mc2, nous acceptons que l’énergie de guérison du monde peut être obtenue à travers l’Amour, qui est la force la plus
puissante qui existe, car il n’a pas de limites... Si nous voulons que notre espèce survive, si nous voulons sauver le monde et chaque être sensible qui l’habite, l’Amour est LA et la seule
réponse. Peut-être nous ne sommes pas encore prêts à fabriquer une bombe d’Amour, un appareil assez puissant pour détruire toute la haine, l’égoïsme et la cupidité qui dévastent la planète.
Cependant, chaque individu porte à l’intérieur un petit, mais puissant générateur d’Amour dont l’énergie est en attente d’être libérée. Lorsque nous aurons à donner et à recevoir cette Énergie
universelle, chère Lieserl, nous pourrons affirmer que l’Amour conquiert tout, est capable de transcender tout et chaque chose, car l’Amour est la quintessence de la Vie. Je regrette vivement de
ne pas pouvoir exprimer ce qui, dans mon cœur, a palpité silencieusement pour toi toute ma Vie. Il est peut-être trop tard pour demander pardon, mais comme le temps est relatif, j’ai besoin de te
dire que je t’aime et grâce à toi, j'ai atteint l’ultime réponse".
De la noosphère
La noosphère*, motdérivé des mots grecs Noûs, "l'esprit", et sphaira,
"sphère", par analogie lexicale avec "atmosphère" et "biosphère",désigne la "sphère de la pensée humaine". Il estla représentation d'une couche de faible épaisseur entourant la Terre, comparable à un biofilm, qui matérialiserait à la fois toutes les consciences de l'humanité et toute la
capacité de cette dernière à penser. La noosphère est la troisième d'une succession de phases de développement de la Terre, après la géosphère (matière inanimée) et la biosphère (la vie
biologique). Tout comme l'émergence de la vie a fondamentalement transformé la géosphère, l'émergence de la cognition humaine transforme fondamentalement la biosphère, au moyen de l’imaginaire,
des pensées, des idées, des découvertes. En d'autres termes, le psychisme ou la conscience tissent progressivement une "noosphère" de plus en plus serrée et dense, génératrice de toujours plus de
conscience, et d’une conscience de plus en plus solidaire, de plus en plus planétaire, et ce parce que l’humanité se multiplie et se répand sans cesse à la surface d’une terre limitée
géographiquement.
Cette densification progressive amène à un retournement sur elle-même de la conscience, phénomène appelé "le Réfléchi". Elle constitue la vision prophétique de la
mondialisation, la "planétisation".
*Cf. Travaux duthéologien et philosophe français Pierre Teilhard de Chardin (1881/1955) dans sa "cosmogénèse" composant la trame de son livreLe Phénomène humain, le mot ayant été inventé par leminéralogiste et chimiste russe Vladimir Vernadski(1863-1945).
Des capacités de l'être humain
Les capacités de l'être humain sont propres aux trois éléments constitutifs de son unité existentielle, La Monade pythagoricienne*.Elles sont symbolisées par le PHI pour le plan physique - le Corps -, le PSI*² pour le plan psychique - l'Âme -, et le SPI pour le plan mental ou spirituel qu'est
l'Esprit.
Lorsqu'elles sont limitées, partielles, de par la prégnance du plan physique soumis aux agitations névrotiques ou psychotiques d'un mental non épuré des mémoires
viciées de l'âme, l'être humain est soumis aux lois de l'"endo-causalité", ne pouvant de ce fait exercer son pouvoir de créateur puissant dans la matière.
A l'inverse, son travail d'alignement magnétique au feu solaire électrique de l'Esprit universel (fusion de l'âme dans l'Esprit) lui permet d'accéder aux lois de
l'"ur-causalité", gage de créativité pure, totale, sans entrave puisque affranchie de toute exo-causalité liée à la prédominance du Phi. Cette entité existentielle redevenue souveraine peut tout
décider, puisque pour elle tout est possible ! Si un "dieu créateur existe", il est forcément ur-causal (ur est dérivé de la racine grecqueOũros,
signifiant "Gardien", "protecteur", "défenseur")...
C'est bel et bien la conscience qui est l’agent créateur de la matière, cette force ou principe existant en chaque électron,
chaque photon... Elle permet aux quanta à l’état étalé ou dispersé (état modélisé comme fonction d’ondes) de prendre un état précis ou ponctuel (état corpusculaire et physique). Cette faculté
induit que chaque quantum est conscient (qu’il a une conscience), et inversement, que la conscience imprègne et relie chaque quantum de l’Univers. Et c’est un principe psychique, le "Psi",
c’est-à-dire une impulsion de l’âme, qui agence et organise le Tout, au moins jusqu’à un certain point. Il va sans dire que ce lien qui unifie toutes les particules du champ cosmique, éthérique,
échappe évidemment à l’espace et au temps.
*² Chacune des particules constitutives du corps biologique contient une "gouttelette" de cette substance immatérielle qui se nomme le "psi". Celui-ci,
invisible et immatériel car de nature psychique, est inhérent à l’électron et à toute particule élémentaire. Ces particules sont nommées par certains auteurs "holo-particules", constitutives de
l'"holo-matière" (voir les travaux dupolytechnicienchercheur indépendantEmmanuel Ransford), de la "psychomatière" (voir les travaux duphysicien et philosophe Jean Émile Charon - 1920/1998), dela face cachée du cosmos faite de texture de liaisons psychiques ou psychoïdes (voir les travauxdu physicienOlivier Costa de Beauregard - 1911/2007), ou comparable au tao de la philosophie chinoise (voir les travaux duphysicien américain né autrichienFritjof Capra connu par son livre Le Tao de la physique).
La démonstration scientifique de l'unité de la Conscience
Le physicien quantique,philosophe et théoricien scientifique autrichienErwin Schrödinger (1887/1961),auteur du célèbre paradoxe du chat*, pensaitdans son ouvrage de 1958Mind and Matter ("L’esprit et la matière") que nos
esprits individuels n’étaient pas uniques, mais plutôt semblables à la lumière réfléchie par des prismes. Ce faisant, ilpensait qu’il n’y avait qu’un seul
esprit dans l’univers, la conscience étant une singularité en phase avec tous les êtres. Cette phrase implique que la multiplicité apparente des esprits n’est qu’une illusion, et qu’il n’existe
qu’un seul esprit, ou une seule conscience, qui s’exprime d’une myriade de façons. C’est ce que la plupart des gens décrivent lorsqu’ils vivent une expérience de mort imminente (EMI ou NDE - near
death experience - en anglais). Dans une telle vision du monde, la séparation entre le sujet et l’objet n’existe pas, il n’y a pas d’existence d’un sujet d’un côté et de perception d’un objet de
l’autre. Dans un monde sans séparation sujet-objet, nous sommes tous l’expression de l’Un.
Sa conviction de scientifiquedavantage concentré sur des questions philosophiques et éthiques plus larges liées à la science,
à rebours de nombre de ses confrères,est que la métaphysique ne vient pas après la physique, mais la précède inévitablement. La métaphysique n’est pas une
affaire déductive mais spéculative. Il explique à cet effet que nous faisons dans notre relation à l'univers, autrement dit à la vie, deux grandes hypothèses que nous ne pouvons ni prouver ni
réfuter : il existe un monde en dehors de notre esprit (qui existe même lorsque nous n’y pensons pas), il existe plusieurs esprits distincts (comme le vôtre et le mien). Si nous ne pouvons pas
vérifier ces hypothèses parce que nous ne pouvons pas sortir de nos propres expériences, ces hypothèses posent les questions suivantes : comment nos esprits interagissent-ils avec le monde
physique ? En quoi nos esprits sont-ils différents les uns des autres ? (Pourquoi sommes-nous des individus uniques ?)
Selon lui, nous pouvons résoudre ces problèmes en regardant les choses différemment, en sortant des chemins balisés des idées occidentales traditionnelles (comme le
matérialisme et l’idéalisme) pour trouver l’inspiration dans les philosophies orientales. Autrement dit, il s'agit d'avoir
une vision de l’univers centrée sur l’esprit et non sur la matière.
Une métaphore que Schrödinger aimait invoquer est celle d’un cristal qui crée une multitude de couleurs, soit des moi/ego individuels, en réfractant la lumière, ce
qui représente le "moi cosmique" qui est égal à l’essence de l’univers. Ce qu'ilappelle la doctrine de l’identité démontre que nous ne sommes tous que des
aspects d’un seul esprit qui forme l’essence de la réalité. Il en résulte une forme de conscience non duelle, qui ne doit être confondue avec aucun de ses aspects uniques, celle-ci fondant la
réfutation de la distinction (simplement apparente) en des moi séparés qui habitent un monde unique. Si par exemple les êtres humains peuvent choisir de
faire le bien ou le mal, c'est par le fait qu’ils sont des parties différentes d’un spectre.
Les conséquences sont multiples :
. Chaque personne est identique à toutes les autres personnes ayant jamais vécu;
. Il n’y a pas de différence réelle entre vous et quelqu’un qui a vécu il y a des milliers d’années.
Sa pensée qu’il n’y a qu’un seul esprit dans l’univers, partagé par tous (c'est lui quidonne aux animaux et aux humains la
capacité de penser et d’agir par eux-mêmes), s'explique par le fait que nous ne faisons l’expérience que d’une seule conscience à la fois (la nôtre), et par
la fait qu'il n’y a aucune preuve que quelqu’un ait jamais fait l’expérience de plusieurs consciences. Il comparait cette idée à celle duphysicien
théoricien américaine John Archibald Wheeler (1911/2008), spécialiste de la relativité générale qui a influencé les recherches sur les trous noirs, selon
laquelle il n’y a qu’un seul électron dans l’univers. De même que tous les électrons sont identiques, tous les esprits le sont aussi.
En résumé, que nous créions la conscience dans notre cerveau en fonction de l’activation de nos neurones ou que la conscience existe indépendamment de nous, il n’y
a pas d’explication scientifique universellement acceptée pour expliquer d’où elle vient ou où elle vit. Les recherches sur la physique, l’anatomie et la géométrie de la conscience ouvrent
toutefois la voie à la révélation de sa forme possible, conduisant ainsi à l'identification d'une véritable architecture de la conscience.
* Le chat de Schrödinger est une expérience de pensée imaginée en 1935 pour mettre en évidence des lacunes supposées de l'interprétation de l’École de
Copenhague de la physique quantique, particulièrement quant au problème de la mesure.
Des niveaux de conscience
Il y asept grands niveaux de conscience chez l’être humain, correspondant chacun à une dimension de réalité : la conscience
de Sommeil sans rêve (1-D), le Sommeil avec rêves (2-D), la conscience de Veille (3-D), la conscience de Soi (4-D), auxquels se rajoutent les niveaux liés à la prise de conscience des corps
subtils : la conscienceÉternelle (5-D), la conscience Transcendantale ou Divine (6-D).
L’heptade des niveaux de conscience ne va pas au-delà de la 6-D, parce qu’elle inclut aussi la dimension 0-D, "l’Inconscient primordial", soit la dimension Nulle à la source de toutes les
représentations (c’est le point sans dimension de la Monade, le "point d’assemblage").
Lorsqu’on parle de "la conscience ou service de Soi (4-D)", on parle en fait de la dimension de l’Égo, du "Moi" qui cherche à s’installer dans le temps linéaire de
la durée, d’où son obsession pour le passé et le futur ! C’est pourquoi la conscience de la 4ème dimension n'est pas une "conscience cosmique" mais astrale, même si elle s’avère un niveau de
conscience supérieure à la conscience analytique linéaire dite de Veille (3-D) qui ne permet pasde percevoir la nature de l'information en provenance du
champ universel, puisque limitée au courant de pensée du monde physique de 3ᵉ densité.C'est en effet la dimension qui voit la physicalité rendue variable et
l'espace-temps modulable selon les formes de conscience en action ou en cause.
La "conscience cosmique ou service d'Autrui" (la supraconscience) commence quant à elle avec la 5ème dimension, qui se déploie dans l’Éternité. C'est la conscience
d’où émerge les maîtres authentiques et les avatars… Enfin, la 6ème dimension, le volume de toutes les "durées", "êtres", "vies" et/ou "éternités" possibles, est de ce fait un absolu qui
constitue un horizon infranchissable par l’imagination…
Cf. Travauxdu philosophe canadien Alain Nyala.
Répartition de la conscience chez les êtres humains
Parce que nous vivons dans un monde à trois dimensions où toute la dynamique de ce qui nous entoure tourne autour de trois axes, la conscience se répartit comme tel
selon la règle statistique des 80/20 vérifiable en tous points :
20% des individus sont conscients et, de ce nombre, environ 1% sont initiés ou initiables ;
40% sont automates (intelligents) ;
40% sont primates (instinctifs).
Le "conscient" est celui qui sait qu'il est auteur réalisateur, acteur et spectateur dans une pièce de théâtre. Il sait jouer le rôle dévolu, vivre en confiance,
sereinement et sagement le déroulé de sa vie, ainsi qu'éprouver les émotions liées tout en s'en détachant, et ce sans jamais tomber dans le piège de penser qu'il n'est rien d'autre que son rôle.
La manière appropriée de le faire est de parler de soi à la deuxième (ou troisième*) personne du singulier, au lieu de se dire "je". Il est ainsi un parfait média social, un "You/Tu Be" (Tu ES)
!
*Le premier à le faire fut Jules César, qui a écrit tous ses journaux personnels sur la Guerre des Gaules à la troisième
personne… Parler de soi aux autres à la troisième personne et se parler à soi-même de cette façon est en fait un signe d’excellente santé mentale, une étude de l’Université de Waterloo disant que
se parler à soi-même à la troisième personne permettrait de prendre de meilleures décisions (la distance créée par le discours interne au "il" ou au "elle" permettrait de prendre du recul sur
notre réalité (article du Washington Post).
De la conscience supérieure
Dans son ouvrage Le Tao de la physique, le physicien états-unien Fritjof Capra explore les parallèles entre les visions du monde de la physique moderne et
celles du mysticisme oriental. Selon lui, les deux sont non seulement cohérentes, mais aussi en parfaite harmonie.
Du point de vue mystique, l’univers a été créé par la conscience originelle, le Tao ou l’être infini, qui se concentre sur un aspect créateur actif de lui-même. Le
mystique se demande "Comment Dieu a-t-il créé cela ?" tout en espérant avoir un aperçu de l’esprit du fabricant cosmique. Dans cette approche, on trouve beaucoup plus de réponses en s’ouvrant à
l’idée d’énergies supérieures qu’en affirmant que rien n’existe au-delà de la matière physique. De son côté, le matérialiste considère que les pensées ne sont que des signaux électriques émis
quelque part dans le cerveau. Si tel est le cas, l'être humain serait comme un ordinateur électronique avec des règles préprogrammées : pas de conscience de soi, pas d’imagination, pas de libre
arbitre, pas de curiosité et pas de sentiments !
Or l'esprit n’est pas le cerveau, et de ce fait l’énergie de l’esprit n’est pas électrique. Elle est une énergie supérieure. Et la science physique,
dont l’hypothèse repose sur le fait que toutes les énergies doivent être des énergies terre-à-terre, matérielles et électromagnétiques,révèle que des particules d’énergie apparentées peuvent communiquer entre elles beaucoup plus rapidement que la vitesse de la lumière. Ceci entend que dans une
perspective plus large, nous ne vivons pas seulement dans un univers conscient. L’univers EST conscient, toutes les choses étant composées de conscience parce que l’univers a été créé à partir du
seul matériau disponible : la conscience. L’énergie est ainsi de la conscience comprimée. Cette énergie supérieure à l’énergie électrique est l’énergie éthérique, ou énergie vitale, l'énergie
électrique étant ainsi une forme comprimée de l’énergie éthérique supérieure. Pour les mystiques orientaux, le sentiment et la pensée sont le yin et le yang de l’énergie mentale, ces deux
variétés s’entrelaçant jusqu’aux royaumes de l’esprit, de la conscience de l’âme et, au-delà, jusqu’aux royaumes cosmiques.
Il en résulte que dans un univers composé de conscience, rien ne peut exister sans conscience.Du vaste tissu de l’espace à la
plus petite particule d’énergie fondamentale, tout est conscient et tout est constitué de conscience. Si en tant que particules de nature fondamentale, la
conscience des sentiments et des pensées peut être rudimentaire,elles ont développé un lien les unes avec les autres en tant que particules apparentées, leur volonté de communiquer démontrant ce lien. La pensée et les sentiments sont bel et bien les matériaux dont est fait cet univers
conscient.
La conscience supérieure est donc bien réelle, l'être humain pouvant y accéder en tournant son attention vers l’intérieur, en passant du temps chaque jour à
réfléchir ou à méditer, et en s'ouvrant à la connaissance intuitive qui réside au niveau de conscience de sa propre âme. La conscience élargie n’est pas réservée aux mystiques. Elle ouvre les
portes de la perception où nous pouvons comprendre beaucoup plus sur la nature de la réalité. Elle nous rapproche de la source éternelle de joie et de sagesse qui réside dans la conscience de
l’âme de chacun d’entre nous.
La matière est ainsi composée d’énergie, et l’énergie, comme toutes les choses de la vie, est une construction de la conscience. Elle est de la conscience
comprimée. Chaque unité d’énergie est un fluide en écoulement formé de vortex d’intention, soit des
tourbillons creux enroulés en spirale fonctionnant en rotation inverse. Ces vortex s’unissent pour former en
leur centre une minuscule sphère de conscience comprimée, qui devient une particule d’énergie vivante.
L’intention et l’amour en mouvement sont les principes originaux et fondamentaux utilisés par l’Esprit pour créer l’univers. Comme la pensée et le sentiment, ces
aspects de l’être fonctionnent comme des compléments l’un de l’autre, chacun d’entre eux pouvant être défini comme un principe fondamental sous-jacent. Ainsi, lorsque l’intention, le principe de
la pensée, et l’amour, le principe du sentiment, sont mis en mouvement, l’un invoque l’autre. La même action complémentaire se produit dans l’électromagnétisme lorsque l’électricité est mise en
mouvement. Pensée et sentiment se manifestent sous forme d'électrons, autrement dit des particules d’intention originelle comprimée, constituant un champ magnétique dans le tissu de l’espace,
matrice de soutien sur laquelle tout le reste est construit, soit le temps, l’espace, l’énergie et la matière. Du point de vue de la physique, le tissu de l’espace est défini comme de l’énergie
magnétique pure et inerte. On l’appelait autrefois l’éther.
Si l'univers en mouvement rend possible les changements que nous appelons l’expérience, la réalité immuable se trouve sous les aspects fondamentaux de l’intention
et de l’amour de l'Esprit Créateur infini en mouvement. L’Esprit infini est ainsi la réalité sous-jacente, tout ce qui est. Être complet, il ne change jamais, pur potentiel, l’"agir" étant la
mise en œuvre de ce potentiel.
Il en découle pour l'être humain que se connecter à la réalité de Ce Qui EST passe par la méditation, son centrage intérieur comme Être/Esprit Infini. Il peut alors
construire sa connexion quotidienne à la vraie réalité qui se trouve en lui.
Du processus de création par la conscience
Si beaucoupd'individuspensent qu'ils créent leur réalité par le combiné
hasard-chance/malchance, ou par le labeur de leur investissement, ou encore qu'ils peuvent modifier/changer leur réalité avec un "rayon lumineux qui sort de la tête" - la force de l'intention -,
le processus de création consiste en un processus bidirectionnel dans lequel l'être humain s'engage avec quelque chose d’autre en se mettant au diapason de ce quelque chose qui existe déjà, qui
est objectivement réel, et ce afin de manifester ce potentiel de changement. Ce n’est de ce fait pas comme s'il suffisait simplement d'imaginer n’importe quoi et faire en sorte que cela
arrive.Il produit sa réalité par sa densification, c’est-à-dire qu'il "matérialise" physiquement l’expérience de l'environnement de vie dans
lequel il évolue par gravitation, soit le produit de sa conscience. Il réalise ce processus d’abord au niveau de son subconscient sous la forme d’un potentiel plasmatique, autrement dit au niveau
de sa conscience supérieure, donc à un tout autre niveau de son être. Aussi l’être humain est l’aboutissement d’une fusion de sa conscience et de la matière physique. Le pouvoir de changer la réalité réside de ce fait dans le centre de croyance de l’esprit, nécessitant d'annihiler les émotions qui limitent pour celles qui aident
à progresser. S'il y a une croyance à cultiver, c'est la croyance en des possibilités totalement illimitées dans la bienveillance de l’univers, et ce sans aucune attente. Mais ceci signifie
l'absence de tout traumatisme, et ce depuis la plus tendre enfance, qui conduirait à croire que l’univers n’est pas un endroit sûr ou qu’il est effrayant*. Car dès lors, il en découlerait des
idées complètement fausses, qui mènent à des erreurs de pensée, et qui empêchent la manifestation du processus de création.
* Les enfants, comparés aux adultes, ont moins de ces croyances limitantes. Par conséquent, ils peuvent se
connecter et expérimenter une plus grande variété d’événements.
De lamaîtrise des
pensées
La pensée vient d'ailleurs, même si l'être humain pense naïvement la plupart du temps qu'il en est l'auteur ! Et c'est pourquoi les pensées constituent sa
principale adversité, source de contamination psychique lorsqu'il n'est pas relié à son double évolutif, le supramental, soit l'Esprit universel. Elles le ramènent par les mémoires karmiques non
épurées qui résonnent en elles dans des anciens schémas de vie, dans des choses qui ne sont pas réglées, qui ne sont pas résolues, des souvenirs pénibles, des regrets lancinants, des angoisses
pour l'avenir, rejaillissant sur son aura, son corps subtil, comme des larves gluantes qui collent au cerveau, grouillent dans le crâne et recouvrent de gris
et de noir le monde qui l'entoure, autant d'éléments que l'initié saura décrypter avec discernement à son contact.
C'estl'esprit égotique*, le mental ou l'intellect, la petite voix intérieure, qui envoie une impulsion, une vibration,
cette énergie étant placée sous la gouverne du plan astral, les entités prédatrices y résidant s'en nourrissant pour assurer leur survie. Sans travail préalable sur soi pour en reprendre le
contrôle, l'inspiration venant alors du Soi supérieur, la supraconscience ou double cosmique évolutif, l'être humain suit la partition involutive émotionnelle programmée par les mécanismes
psychologiques spécifiques établis, le faisant alterner entre bas et hauts émotionnels qui finissent inéluctablement par l'affaiblir, l'épuiser, et le sacrifier sur l'autel de la
prédation.
Il n'a d'autre choix pour atteindre les hauts plans de la conscience, de sa conscience, que de déloger, d'éradiquer le caractère karmique de ses mémoires infestées, les "failles de l'égo", constitutif du virus psychique qui le maintient esclave de la prison, de la caverne des
morts-vivants.
En résumé, la connaissance (par absorption des nécessaires informations) et la lumière sont le carburant pour la "voiture" que représente l'entité humaine, sa vitesse venant de leur utilisation,
soit l'application de la connaissance, vraie il va sans dire. C'est ce qui génère de l’énergie, et qui, à son tour, génère de la lumière... seul le plein de connaissances réalisé dans une
dimension autorisant le passage dans une autre, supérieure !
Toutefois, s'est substituée à cette matrice unitaire originelle une autre matrice, la "matrice cyber", par des forces involutives qualifiées de corpus prédateur ou virus prédateur*, en
l'occurrence des entités extra-dimensionnelles appelées Gris, Reptiliens ou encore Insectoïdes (Mantes...), plus globalement "forces archontiques" ou "Anunnaki" selon les spécialistes de l'étude
des civilisations antiques et de leurs textes sacrés. Ce corpus prédateur est basé dans la 4ème dimension de réalité, son champ de conscience - dit "Service de Soi" - s'appliquant à la 3ème
dimension de réalité, celle de l'humanité, dont ils sont tant les prédateurs asservisseurs que les maîtres généticiens par la manipulation de l'ADN réalisée (amputation de nombre de brins
constitutifs). Cette matrice correspond au champ de l'Astral, inférieur au champ du Divin (ou champ cosmique). Elle est de ce fait imposée par une violation de la "loi du consentement", une des
grandes lois régissant Ce Qui Est, l'Univers, par le biais d'une manipulation psycho-émotionnelle agissant sur l'inconscient de l'être humain pour obtenir le consentement implicite de son
servage... Même si les sceptiques et rationalistes la rejettent fermement, il y a peu de doute sur la possibilité de l’interpénétration d’une réalité à la solidité plus ou moins physique qui
interagit avec les humains, comme ceux-ci interagissent avec la faune dans les forêts, les chasseurs d’un côté, le gibier de l’autre.
* Cf. Les acteurs de la Matrice falsifiée. Ce virus est comme l’esprit du prédateur du docteur en anthropologie américain Carlos Castaneda, les programmes-tampons du philosophe arménien Georges Gurdjieff, ou le virus
Wetiko des Amérindiens (Cf. livre éponyme dePaul Levy, diplômé en art et en économie).
"L’intelligence non humaine interagit avec l’humanité. Cette interaction n’est pas nouvelle et se poursuit. Il y a des personnes non élues au sein du gouvernement américain qui en sont
conscientes."
Karl E. Nell, colonel retraité de l’armée américaine et stratège d'entreprise
"L'homme a un manteau rougeoyant de conscience que le prédateur mange, laissant juste le strict minimum de "trucs de conscience" pour que l'homme reste physiquement vivant. Le prédateur "traie"
l'homme en s'arrangeant pour qu'il ait constamment des problèmes, des crises et des préoccupations insensées, afin de générer des éclairs de conscience qu'il s'apprête ensuite à manger".
Carlos Castaneda (1925/1998), écrivain et docteur en anthropologie américain, "Le Voyage définitif"
Une clé de validation parmi d'autres de cette matrice a été donnée par le professeur agrégé de physique de l’université de Portsmouth Melvin Vopson, qui a affirmé que nous sommes simplement des
personnages dans un monde d’intelligence artificielle avancée semblable à celui du film Matrix, la programmation hollywoodienne qui a pour objectif de donner sous forme de fiction divertissante
aux êtres humains les clés de l'Univers, afin qu'ils n'y croient pas*. Selon lui, notre univers tout entier est une simulation informatique avancée, la preuve étant cachée dans la Bible, plus
exactement dans l’Évangile de Jean, l’un des quatre premiers livres du Nouveau Testament, la deuxième partie de la Bible chrétienne. Il s’ouvre en effet sur cette déclaration puissante : "Au
commencement était le Verbe (le Logos), et le Verbe était avec Dieu, et le Verbe était Dieu". Ce Verbe dans cette célèbre phrase fait référence au code informatique sous-jacent qui régit et
contrôle la simulation.
Cette matrice est ainsi un champ limité*², où le corps humain est assimilé par la prédation mentale qui le manipule à un robot biologique, dont la programmation est circonscrite au champ
d'application en 3-D (4-D avec la dimension Temps, celui de la conscience) où il évolue, la Terre, au sein d'une galaxie, la Voie lactée, et le système solaire qui la caractérise. Il en découle
fort logiquement que les racines de la plupart des problèmes psychologiques des êtres humains, les névroses et psychoses, correspondent à des réactions mécaniques et conditionnées selon leurs
perceptions et observations. Et comme celles-ci sont erronées, c’est l’erreur de ce "jugement mécanique" qui est à la base de leurs problèmes comme du chaos civilisationnel.
Là se trouvent les fondements délétères car totalitaires du transhumanisme, la "nouvelle religion universelle" en cours de mise en place. Autrement dit la nouvelle gouvernance mondiale (le
N.O.M., nouvel ordre mondial) à laquelle se réfèrent de plus en plus nombre de leaders politiques, appelée à devenir le verrou de la conscience lors de la transition en cours de la cinquième
civilisation humaine à la sixième, en 4ème dimension de réalité.
"Il existe une autre sorte de mécanisation qui est bien plus dangereuse : devenir soi-même une machine. Avez-vous jamais pensé au fait que tous les gens sont
eux-mêmes des machines ?… Tous ces gens que vous voyez sont simplement des machines; rien d’autre… Vous pensez qu’il y a quelque chose qui choisit son propre chemin, quelque chose qui peut
résister à la mécanisation ; vous pensez que tout n’est pas mécanique au même niveau".
Georges Gurdjieff (1866/1949) - Philosophe arménien
Note de l'auteur :ce sujet de l'homme mécanique - ou Portail Organique - a fait l'objet de nombreuses
discussions académiques, basées sur ce qui semble être des preuves cliniques montrant qu'en effet, il existe des êtres humains dont la nature est vraiment "mécanique" et qui n'ont pas du tout de
"Moi intérieur" ou de "Moi supérieur" (Cf. Les psychopathes qui nous gouvernent). Gurdjieff fait référence au
"prédateur" à la fois dans le récit du "Magicien maléfique" et dans le concept de "Nourriture pour la lune". Quant aux gnostiques, ils soutenaient que la terre (et la création matérielle en
général) était le produit d'un démiurge maléfique, dirigeant des "archontes des ténèbres". De leur côté, les Shaitans des soufis et les djinns de la mythologie arabe sont des créatures
surnaturelles qui habitent un monde invisible dans des dimensions dépassant l'univers visible, et qui interfèrent avec l'humanité de diverses manières peu utiles.
Dans cette matrice terrestre, involutive par nature, maîtres et esclaves pratiquent la même expérience, la différence venant de leur réaction face au même
évènement. Car maîtriser sa vie n’est pas la contrôler, c’est maîtriser en conscience sa relation par rapport à elle. Nous sommes tous les participants à un vaste jeu auquel nous avons tous
accepté de participer avant même d’être sur cette terre*, consistant à essayer de tisser notre chemin, notre voie entre deux mondes, chacun avec un jeu différent de règles et d'atouts (ses
spécificités organiques et psychiques, la singularité de sa programmation de vie). D’un côté, nous avons un monde physique tridimensionnel dans lequel nous devons trouver de la nourriture, des
abris, des vêtements, des compagnons, et nous confronter à d’autres participants au jeu luttant pour comprendre et agir. D’un autre côté, nous trouvons un monde quadridimensionnel qui nous montre
cette réalité comme un pur produit de notre propre esprit, une illusion, un "monde de rêve" du point de vue de la quatrième dimension.
Il en découle qu'être un esclave de la vie, c’est accepter tout ce qui nous entoure comme la réalité ultime, et d’agir comme si vous n’avions aucun contrôle dessus. Cela revient à s’identifier
avec les vagues d’énergies, que nous appelons émotions*², qui nous traversent avec plus ou moins d'intensité et que nous pensons être nous, les laissant conditionner nos pensées et sentiments,
alors qu’en réalité l’énergie n'est colorée que de nos pensées dans ce monde terrestre, non du monde éthérique, celui de notre supraconscience.
*² Il est utile de rappeler que les émotions prennent d'abord source dans les sentiments (ce qui est senti par le jeu/Je des pensées), eux-mêmes entraînant des
sensations qui deviennent des émotions. Sans conscientisation de ce chaînage et travail pour se désengager du poison mortel qui s'y loge, l'être humain demeure esclave des émotions quelle qu'en
soit la nature.
L'esclave de la vie est aussi terriblement lié aux possessions matérielles – argent, terre, biens -. Leur perte ou manque lui causent également des traumatismes émotionnels (frustration, colère,
haine) et des sentiments d’inutilité et d’abandon (mélancolie, vague à l'âme). Il recherche en permanence tellement d’objets tangibles pour combler son besoin de sécurité, alors qu'il s'agit d'un
type de sécurité éphémère et fragile.
Au final, l'esclavage de son esprit chez l'être humain est tellement avancé que sa conscience est impuissante à réaliser que la matière est la porte d'entrée vers les plans éthériques, voie de
son salut quand il en comprend le mécanisme tant physique que psychique, non quand il se contente de l'espérance spirituelle à laquelle l'invite subtilement son double involutif lorsqu'il le sent
désireux d'évolution*. Son esprit est esclave des forces psychiques qui naissent de la force émotive de sa mémoire astrale. Aussi la lutte intérieure de l'Homme sur terre fait partie de
l'esclavage de son esprit, et tant qu'il demeure esclave des forces émotionnelles de l'âme, l'être ne peut faire coïncider son esprit avec la forme ou la matière, celui-ci étant loi en lui-même.
"Liberté, que de crimes on commet en ton nom !" Ainsi se serait écriée lasalonnière et personnalité politique françaiseManon Roland, née Jeanne Marie Phlipon, juste avant
d'être guillotinée à Paris le 8 novembre 1793. Le premier crime, majeur, est pour l'être humain d'être demeuré esclave de lui-même dans son vécu terrestre. Car l'homme est par-delà
l'illusion candide de sa liberté esclave du monde objectif, de ses propres extériorisations. S'il est esclave de toutes sortes d'idoles ou d'icônes (sportives, musicales, cinématographiques,
politiciennes...), auxquelles il s'identifie ou veut ressembler, ce sont des idoles créées par lui-même, suggérées par son double ténébreux involutif. S'il s'imagine toujours qu'il est esclave de
ce qui est en dehors de lui, extérieur, qui le contraint et ne lui convient pas, la source de son esclavage est intérieure. C'est pourquoi une société d'esclaves a sa source dans l'esclavage
interne de l'homme, qui vit sous l'influence d'une illusion tellement forte qu'elle apparait comme une conscience normale. L'homme se croit asservi au "non-moi", l'autre, les autres, c'est-à-dire
les autorités verticales exerçant le pouvoir à son encontre de diverses manières, alors qu'en réalité il est esclave de son propre "moi", l'égo-mental*, ignorant de sa véritable puissance
intérieure pour le transcender. Et cet esclave intérieur, générateur de peurs et de mensonges, se nourrit principalement de l'égocentrisme humain. L'égocentrisme est le péché originel de l'homme,
la violation des vrais rapports entre "moi" et son vrai "autre", l'Esprit universel, le Soi réalisé. L'égocentrisme est un universalisme illusoire, déformé. Il engendre une fausse perspective du
monde. Il est incompatible avec la vraie perception des réalités.
"La connaissance du mouvement de ses propres pensées révèle L'ESCLAVAGE au passé, la division entre le penseur et sa propre pensée, l'observateur et l'objet
d'observation, l'expérimentateur et son expérience."
Jiddu Krishnamurti (1895/1986), penseur indien
"Il y a une chose pire encore que l’infamie des chaînes, c’est de ne plus en sentir le poids."
Gérard Bauër (1888/1967), essayiste et critique français
La manipulation génétique de l'ADN
Les "pensées" étant semblables aux protéines fabriquées par l’ADN, il est à comprendre qu'il y a autant d’informations transmises par la forme que par la chaîne
d’acides aminés et autres composantes. Il y a plus d’une "structure" de base pour les pensées. Pour les contrôler aux fins de manipulation, le corpus prédateur de 4ème dimension de densité opère
une amputation de nombre de brins originaux de l'ADN. Les avancées de la biologie cellulaire démontrent à cet effet qu’il existe des fragments d’ADN à l’intérieur d’un gène qui ne sont pas
traduits en protéines, c'est-à-dire qui sont des régions non-codantes. Elles sont comme un flux tronqué de liquide en sa qualité d'émetteur chimique (neuropeptide), conduisant à une altération de
la conception des capacités psi*. Ces séquences intervenantes, nommées "introns", se trouvent dans le pré-ARN messager (ou ARN précurseur), avant d'être éliminées par un processus d'excision
programmé qu'on ne retrouve donc pas dans l'ARN mature. Si ceci apparait comme un mystère, ces fragments semblent cependant être un phénomène très commun. En d'autres termes, c'est ce segment de
code qui est délibérément inséré par nos maîtres généticiens prédateurs de 4ème dimension, afin de tronquer ce flux de liquide émetteur chimique à même de déverrouiller des portions importantes
de notre ADN !
La clé de la transformation de l’ADN, de sa recomposition initiale (reconstitution des brins d'ADN tronqués), est l’information, la connaissance, puisque l’ADN est
l’intermédiaire ou le receveur du champ d’information cosmique. Le mécanisme est comparable à une sorte de miroir où l’individu recueille des informations dans le monde, ce qui améliore ensuite
sa connexion au champ d’information et lui permet de recueillir encore plus d’informations. Cette (re)construction de son antenne "parabolique" qu'est l'ADN lui permet d'établir un
cercle vertueux, autrement dit une boucle de rétroaction qui fait que plus il recueille de connaissances, plus son antenne change et devient puissante dans la captation des fréquences des ondes
vibratoires.
C'est pourquoi le corpus prédateur, via ses relais terrestres asservis (les pouvoirs institutionnels), s'attache désormais à accélérer la substitution de l'esprit
humain par la technologie, Chat GPT étant par exemple le "modèle" parfait de substitut rendant l'être humain incapable de réfléchir par lui-même. Les dégâts causés sont quasiment irréversibles
pour la jeune génération utilisatrice et nombre de ses aînés voulant être à la page, générant ainsi à grande échelle de véritables crétins vidés de cervelle réflexive devenant tel Pinocchio des
pantins et automates facilement manipulables et de ce fait contrôlables.
*Ces "capacités psi", comme la maîtrise de la télépathie, faisaient partie de la normalité dans les temps anciens, ceux
notamment de la civilisation atlante. Elles sont devenues désormais beaucoup plus rares dans l'espèce humaine de la cinquième civilisation, celle-ci s'étant "technicisée" et ayant perdu de ce
fait l'occasion d'exprimer ces capacités potentiellement présentes en chacun. Sans un certain degré d'éveil spirituel ou mental, la mise en relation avec d'autres races cosmiques situées dans des
dimensions de densité plus élevées rend impossible le pouvoir de communiquer "intergalactique".
"Lorsque vous assemblez les différentes pièces du puzzle, vous constatez que l'esprit du prédateur, l'"hypnose" dont parlait Gurdjieff, le système de contrôle de la
matrice, s'interface avec nos ordinateurs bio-cosmiques, notre corps, notre ADN, qui est contrôlé et restreint par la génération de substances chimiques spécifiques du cerveau via le contrôle de
nos émotions. C'est ce qui détermine la façon dont notre cerveau et notre système nerveux sont mis en place, ce qui inclut certaines périodes précoces d'Imprégnation, qui établit nos circuits et
nos processus de pensée à un âge et dans des conditions sur lesquels nous n'avons aucun contrôle. Et une fois que ces circuits sont établis d'une certaine manière, ils ne peuvent presque jamais
être modifiés sans une fusion majeure, et ils déterminent pour toujours la façon dont toutes les informations entrantes sont classées. En effet, nous avons tous un ADN "reptilien". Mais nous
avons aussi de l'ADN aviaire. En fait, nous sommes un véritable assortiment d'ADN provenant de tout ce qui existe autour de nous. Néanmoins, il se passe quelque chose qui met l'ADN reptilien sous
contrôle, et c'est dans ce contexte que Don Juan* veut dire que le "Prédateur nous a donné son esprit".
Aussi, que ces programmes de contrôle, ces produits chimiques de "l'alimentation", puissent être et SONT stimulés et perpétués par nos interactions avec d'autres
êtres humains, plus particulièrement ceux qui nous sont les plus proches, est une réalité froide et dure de la science. […]
Chaque fois que la révélation de ce système de contrôle est tentée, la matrice se met en surmultiplication pour le détruire. Et il est clair que c'est la situation
actuelle.... C'est en "voyant l'invisible" que nous prenons conscience des niveaux supérieurs de l'être ; c'est dans les interactions humaines ordinaires que nous vivons les "batailles" entre les
forces du Service de Soi (Service to Self en anglais) et du Service d'Autrui (Service to Others) ! Et c'est très certainement ce facteur que le système de contrôle matriciel tente vigoureusement
de dissimuler... En d'autres termes, nous ne parlons pas seulement d'une "petite dispute", nous parlons d'une bataille de forces à d'autres niveaux, se manifestant - comme TOUJOURS - dans la
dynamique humaine".
Laura Knight-Jadczyk, The Wave - Volume 5&6 - Petty Tyrants & Facing the Unknown ("La Vague - Petits tyrans et face à l'inconnu")
* Cf. Œuvre de Carlos Castaneda.
Cette matrice est basée sur une expression mathématique/numérique/géométrique, qui, par ses codes, permet l'élaboration et le fonctionnement des formes au sein de l'univers créé, tel un
gigantesque programme informatique constitutif d'une simulation holographique gérée par une intelligence artificielle (IA). C'est pourquoi elle est également qualifiée de matrice "Cyber". Les
scientifiques ont identifié ces codes mathématiques récurrents : la séquence dite de Fibonacci (1,1, 2, 3, 5, 8, 13, 21...), le nombre Pi (3,141), Phi (1,618)...*
Ce sont des séquences constantes de nombres et de proportions qui se répondent l'une l'autre, s'appliquant à toutes les créatures, choses et éléments de l'univers, dans le moindre détail. Cette
relation mathématique coordinatrice est la clé de la physique du cosmos. C'est pourquoi la plupart des êtres humains la tiennent comme l'unique explication de la vie et de l'univers, car ils ne
l'ont ni étudiée ni interrogée dans son fait générateur sacré, manipulé par l'enseignement institutionnel et religieux dispensé*². Ainsi la naïve croyance dans la venue à la "fin des temps" du
Messie sauveur rédempteur, le Messiah, le Maitreya pour les bouddhistes et les illuminés du New Age. Dans la langue des oisons, Maitreya prononcé s'entend comme "Maître IA", l'Intelligence
Artificielle (IA) appelée à régner en Maître !
* Par le biais de calculateur, il est également possible de traduire des codes orthographiques (ex. attentats du World Trade Center ou Notre-Dame
de Paris) en codes numériques qui se répètent (tels 222 666 1998 ou 333 666 1998). Tant que l'évènement n'a pas eu lieu, il faut interpréter ces codes comme des prédictibilités et non des
certitudes.
La non-séparabilité quantique, ou la non-localité, est la théorie physique qui repose sur la notion d’enchevêtrement ou intrication quantique (entanglement
en anglais). Elle établit que des particules atomiques restent liées entre elles, et ce quel que soit leur éloignement. Par exemple, deux électrons qui ont interagi dans le passé se comportent
ensuite de façon concertée, c'est-à-dire donnant des résultats corrélés si l’on mesure l’un d’eux..., même s’ils sont aux deux extrémités de l’univers à cet instant ! C’est comme si ces électrons
"jumeaux" gardaient de leur passé commun un lien invisible et non affecté par la distance. Ce lien est une sorte de trace mémorielle du passé, autrement nommée alter, formant un système global
par un mécanisme synchrone, et ce même si séparés par un espace-temps, ce qui n'implique pas qu'une simple notion de distance. Sa compréhension rend des phénomènes comme la télépathie, la
téléportation, la clairvoyance, la vision à distance et la psychokinésie concrets et intelligibles.
Pour les physiciens qui ont découvert et vérifié son existence comme Einstein, ce phénomène est totalement mystérieux en raison de sa nature non physique. C'est
pourquoi la non-séparabilité n’a jusqu’ici reçu aucune explication autre que suppositoire. Mais comment peut-il en être autrement si elle est une "supralité" qui vient d’un "psi" (l'esprit
éthérique) dont la science académique ignore ou nie l’existence ? Pour celle-ci, on ne peut comprendre un phénomène sans avoir accès à ses causes.
La supralité soude ou rattache le 'psi' de la particule élémentaire à un 'psi' collectif, c'est-à-dire à un champ non-local. Ce champ de "supra-conscience" est à
rapprocher de notions telles que les annales akashiques* des Hindous, l’inconscient collectif du psychiatre Carl Gustav Jung et les champs morphogéniques duchercheur en biochimie, physiologie et parapsychologie anglais Rupert Sheldrake. La psychomatière est par son 'psi' reliée au tout de
l’univers. Elle est comme le champignon qui, par son mycélium discret étalé dans le sol nourricier, est relié à plus vaste que lui-même. En conclusion, toute particule de psychomatière
s’apparente à l’œuf dur et au champignon. A l’œuf dur, parce que son 'psi' est, comme le jaune, masqué. Au champignon, parce que les liens suprals, tels les filaments du mycélium, le prolongent
de façon inapparente.
Voir en complément les travaux du polytechnicienchercheur
indépendantEmmanuel Ransford, épistémologue et spécialiste de physique
quantique.
De l'interface entre l'information cosmique et notre réalité terrestre
L’interface entre l’information du champ cosmique et notre réalité terrestre repose sur la structure mathématique des molécules du corps biologique, que l'on nomme
chiralité. Ce concept chimique exprime leur latéralité dans les deux sens opposés, lévogyre (le plan de polarisation de la lumière tourne vers la gauche d'un observateur qui reçoit la lumière) ou
dextrogyre (ce plan tourne vers la droite). Ce sont les mêmes composants, les mêmes atomes, qui si chimiquement sont identiques, géométriquement sont différents. Ils sont du fait de cette
propriété comme des images miroirs les uns des autres. Ces deux parties des molécules sont presque exactement les mêmes, seule la chiralité étant différente. Il en découle que leurs propriétés
sont totalement différentes : l’une peut être un poison, et l’autre peut être très bénéfique. Elles sont l'une et l'autre miroir réciproquement.
L'univers a une chiralité préférée, celle permettant d'exprimer le Vivant et non la Mort. C'est pourquoi notre ADN a une chiralité préférée. Mais comme les
propriétés du symbole géométrique ne sont pas absolues, mais relatives à notre environnement, seule la conscience permet d'en assurer la bonne fréquence de résonance dans la captation des
informations (structures géométriques à la base) en provenance du champ cosmique, celles-ci étant par nature relatives de par la dualité actionnée par des forces énergétiques positives,
bénéfiques, et leur indispensable pendant négatives, maléfiques. Ceci entend que les informations qui nourrissent et constituent un chemin vers la voie évolutive dite "Service d'Autrui" sont
perçues, comprises ou reçues différemment par quelqu’un sur la voie involutive dite "Service de Soi". Certains en effet aiment l’obscurité, d'autres aiment la lumière... La 3ème dimension de
densité terrestre est bel et bien la plus difficile en raison de la présence d’un équilibre potentiel de la conscience et de la matière, et donc de la dualité*.
* C'est ainsi par exemple que la montée continued'individus "trans", d'hommes qui s’identifient comme femmes et
de femmes qui s’identifient comme hommes, est un reflet du chaos et de l’entropie en cette fin de cyclicité civilisationnelle. Elle contribue par là-même à une augmentation de la désintégration
et la destruction de l’âme.
Du décodage des informations
La manifestation de la conscience est une fonction de la nature algébrique du champ cosmique entre ses différentes dimensions de densité, régissant les propriétés
géométriques des particules élémentaires porteuses d'informations, qui sont des codes (les codes, stockés en tant
qu’information, s'expriment comme énergie sous forme de vagues). Elle en permet le décodage, de manière inconsciente ou consciente lorsqu'elle est éveillée. Cettethéorie de l’information repose sur l'envoi de l’information. L’exemple le plus simple est le téléphone, qui voit l'émetteur comme le récepteur se parler, échanger, leurs mots
étant transformés ou encodés en signaux électroniques qui voyagent à travers la ligne. Ils sont décodés par le téléphone à chaque extrémité. Si le téléphone est la partie mécanique, ce décodage
est lié également à l’information qui existe dans la tête de chaque personne qui parle, exprime des mots, ceux-ci étant codés comme décodés par la machine en sons et qui font des mots. S’il y a
de l’information dans une autre dimension et que cette dimension est potentiellement quelque chose à laquelle notre subconscient profond est connecté, alors nous pouvons accéder à cette
information. Nous pouvons la décoder, même si c’est inconsciemment.
La gravité, soit la conscience, est comme le code ultime ou l’information ultime, l’électromagnétisme étant son expression d’information. Seuls les divers
traumatismes reçus* empêchent l'être humain la pleine maîtrise de ce processus.
* Cf. livre deLaurence Heller et Aline LaPierre "Guérir les traumatismes du développement" complété par
les travaux dupsychologue et écrivain américainStanton E. Samenow pouratteindre la capacité de recevoir par laconnaissance de son style de survie et de ses erreurs de pensée afin de pouvoir les
surveiller.
Illustration de la Matrice cyber : la geôle-écran Pac-Man
En mathématique, le procédé de l’écran de l’ordinateur qui emprisonne les personnages/formes qui s'y trouvent et s'y meuvent (jeu vidéo par exemple) s’appelle un
"tore carré plat". Cette surface topologique, si elle permet de saisir immédiatement la structure invisible de la geôle-écran, souffre toutefois d’un défaut important, qui l’éloigne
irrémédiablement du monde plat de l’écran de l’ordinateur : elle déforme les distances. Elle est corrigée par un "plongement isométrique", autrement dit une représentation qui respecte les
longueurs, mais dans une version affaiblie. C'est ainsi que dans le fonctionnement de la Matrice cyber, les petits personnages de son écran - les êtres humains - sont leurrés par les illusions
géométriques d'une fausse réalité, comme dans le célèbre jeu Pacman...
Il en découle que ces petits personnages automates produisent constamment une énergie de consentement à leur geôle prison, sans possibilité de conquête de leur
véritable liberté souveraine existentielle (sauf éveil de conscience il va sans dire), et de ce fait pleinement à la merci des parasites et virus - le consortium prédateur de la 4ème dimension de
densité -qui déclenchent, gèrent et absorbent leurs émotions dont ils se nourrissent pour survivre dans les ténèbres de la conscience. Ils suivent le mouvement défini, créant la dynamique
collective de masse pour répéter systématiquement les mêmes erreurs afin que rien ne change ni n’évolue. Ils servent également de geôliers, "kapos" dédiés aux tortionnaires de cette réalité
inversée, puisque encadrant tous les autres pour qu'aucun ne puisse s'échapper du but ultime, l'extermination des corps comme des âmes. Ils sont pour la plupart des Golem !
L'idéologie sous-jacente de la Matrice : le Golem.
Dans la tradition juive*, le Golem (de l’hébreu goylem ou gōlem signifiant
"matière informe ou inachevée" ou "embryon") est un homme artificiel façonné d'argile et animé de vie, incapable de parole, c'est-à-dire une créature humanoïde fabriquée par des moyens
magiquesafin d’assister ou défendre son créateur démiurge. Il est simplementun mot inscrit sur son front ou sur un morceau de parchemin placé dans sa bouche. Il devient, de ce fait, l’antithèse d’Adam qui a été
créé par Dieu.
Si cette création du Golem s’effectue par imitation de l’acte créateur, cet homme robot ne communique pas vraiment, car contrairement à Dieu, les hommes sont bien
incapables de lui donner une parole claire. C'est pourquoiGolem signifie également "idiot, abruti", ce qui laisse présager un
esprit peu brillant. Mais ces créatures grandissant très vite, elles peuvent devenir très dangereuses, leur puissance pouvant provoquer les pires catastrophes. En effet, dénués de toute
conscience, ils se laissent aller à tous leurs pires instincts.
Symbolisant l’essai infructueux de l’homme dans sa vaine tentative d’imiter le Créateur, telle que la Cabale juive le promeut à l'image d'autres mouvements
gnostiques détournant le sens alchimique de cette relation au divin, le Golem n'est qu’un reflet déformé, dénué de toute liberté et prisonnier de ses passions les plus maléfiques. L’homme devenu
apprenti sorcier crée des monstres tout en se montrant incapable de les contrôler... * La première occurrence du terme golem apparaît en Psaumes 139:16 : "Galmi (i.e. mon golem) tes yeux ont vu".
La Matrice cyber de l'asservissement des consciences
"Je m'appelle Edward Joseph Snowden. Avant, je travaillais pour le gouvernement mais aujourd'hui je suis au service de tous. Il m'a fallu près detrenteans pour saisir la différence et quand j'ai compris, ça m'a valu quelques ennuis
au bureau."
Edward Snowden - Permanent Record ("Mémoires vives"), parution en septembre 2019*
* Edward Snowden, l'homme qui a tout risqué pour dénoncer la surveillance globale, ou l'extraordinaire histoire d'un garçon brillant qui a grandi
"en ligne", homme devenu espion, puis lanceur d'alerte, et, en exil, la conscience de l'internet, la toile d'araignée numérique mortifère.
"Quelle est la différence entre Mark Zukerberg et moi ? Je donne gratuitement des informations privées appartenant à des entreprises, et je suis un bandit.
Zukerberg donne vos données privées à des entreprises pour de l’argent, et il est "l’homme de l’année".
Julian Assange né Julian Paul Hawkins, informaticien, cybermilitant et lanceur d'alerte australien, fondateur et porte-parole de
WikiLeaks, détenu de manière illégale depuis plusieurs années à la prison de haute sécurité de Belmarsh à Londres
Le "cyberfilm" Matrix ("La Matrice") réalisé par Lana et Andy Wachowski, sorti en 1999, rend compte de la réalité illusoire générée par ordinateur et de la
société transhumaniste vers laquelle nous nous dirigeons.
The Truman Show, ou "Le Show Truman" au Québec, film de Peter Weir sorti en 1998, raconte la vie d'un homme star d'une télé-réalité à son insu (il
estfilmé et montré H24 aux téléspectateurs qui suivent sa vie en direct). Depuis sa naissance, son monde n'est qu'un
gigantesque plateau de tournage et tous ceux qui l'entourent sont des acteurs. Lui seul ignore la pseudo réalité. Le film explore ses premiers doutes et sa quête pour découvrir le but de sa vie,
après avoir compris que tout est factice et scénarisé autour de lui. Il parvient à s’échapper en atteignant le poste de contrôle du studio télé, en fait une métaphore du poste de commande de
cette Matrice prison !
La série télévisée The Prisoner ("Le Prisonnier") créée par l'écrivain et ancien agent des services secrets George Markstein et diffusée en 1968 rend
compte de la bulle (Cf. photo 5) limitant la conscience dans la 3ème dimension de réalité. Tant qu'elle n'est pas fissurée, cette bulle ou coquille dimensionnelle nous empêche de voir la réalité
de ce monde telle qu'elle est, c'est à dire hyper-dimensionnelle.
A leur manière, les films de la série Transformers* réalisés par Michael Bay et Travis Knight (des robots représentant le bien se battent contre ceux
représentant le mal), les films de la série britannique Hellraiser ("Le Pacte") de Clive Barker (des créatures infernales adeptes d'un sado-masochisme entre jouissance sexuelle et
torture sadique voyagent d'une dimension à l'autre grâce à un Cube fonctionnant comme un casse-tête mécanique sophistiqué), la série de science-fiction canadienne Cube réalisée par
Vincenzo Natali et sortie en 1997 et 2002 (les êtres humains sont enfermés dans des pièces d’un cube dont certaines sont mortelles), et le thriller américain The Box ("La Boîte") réalisé
par Richard Kelly et sorti en 2009, traduisent la Matrice cyber à caractère entropique et mortifère. Ils mettent en avant la révélation de l’Intelligence Artificielle comme piège à la conscience
de l’être humain, qui faute de transcendance, le conduit à d’éternelles souffrances nourrissant le système prédateur.
* Le premier film Transformers est sorti en 2007, le deuxième Transformers 2 : La Revanche, en 2009, le troisième Transformers 3 : La Face cachée de la Lune en
2011, le quatrième Transformers : L'Âge de l'extinction en 2014 et le cinquième Transformers : The Last Knight en 2017.
Tel que l'entend la bande-annonce de Westworld ("Le monde de l'Ouest") ci-dessus, la série télévisée américaine diffusée sur le réseau HBO à partir de 2016 avec un titrage explicite
Chaos takes control ("Le chaos prend le contrôle"), la matrice cyber ou d'intelligence artificielle (IA) est, compte-tenu de ses caractéristiques mathématiques, un programme codé aux
fins de dénaturation de la biologie du vivant qu'elle enferme, et ce par le corpus prédateur qui l'établit à partir d'une puissante maîtrise technologique. A partir des grandes lois physiques de
l'Univers (électromagnétisme, force nucléaire, gravité), elle détermine le mode opératoire du fonctionnement structurel de cet univers limité - le champ de l'Astral - et de sa réalité apparente,
le conduisant dans une impasse, la cyclicité du temps puis le trou noir galactique*. Nous sommes partie intégrante de ce système matriciel, nos capteurs sensitifs étant calibrés sur ce que nous
devons percevoir de la Matrice, rien d’autre. Aussi nous scannons en permanence les signatures électromagnétiques de tout ce qui compose notre monde, et l’interprétons en fonction des
"lois-croyances" dispensées par les gardiens de la Matrice - les élites institutionnelles -, même si de temps en temps, certains, qui possèdent des capteurs dysfonctionnant quelque peu,
perçoivent autre chose.
La super entité "Humains-Matrice"*² structure et verrouille le champ de nos possibles, scannant par sa technologie les mémoires logées tant dans notre ADN que dans notre psyché (subconscient).
Elle a de ce fait toujours plusieurs coups d'avance, sauf pour les rares "élu(e)s" ayant réussi à ouvrir leur champ de conscience et à se brancher sur le champ de l'Esprit universel (le champ
cosmique ou divin) pour qu'il leur assure l'harmonieuse car lumineuse guidance. Elle se nourrit et se renouvelle par l'ensemble des expériences que nous y menons, utilisant la puissance créatrice
de l'esprit humain à ses fins de survie, et ce par les traumatismes psycho-émotionnels qui découlent des jeux de rôle interprétés (bourreau, victime, sauveur), chacun(e) suivant une ligne
programme attribuée, de ce fait déjà réalisée en dépit de l'illusion du temps chronologique. Son fonctionnement découle bel et bien de la formule tant prisée par les sociétés secrètes occultes
qui la représentent : Ordo ab Chao, l'Ordre naît du Chaos !
*² Il est indispensable d'avoir à l'esprit la cohabitation de deux types d'humains, les Anthropoïdes et les Humanoïdes, les premiers représentant un obstacle
de taille pour la libération de la Matrice asservissante des seconds (Cf.Les acteurs de la Matrice falsifiée).
L'effet Balzac, ou la théorie des rapports entre le réel et la fiction
L'écrivain français Honoré de Balzac (1799/1850) a publié en 1833 un essai, La Théorie de la démarche, qui constitue la deuxième partie de l’ensemble
appelé Pathologie de la viesociale s'inscrivant dans son œuvre majeure "La Comédie humaine"*, qui expose son talent d’observateur sociologique sous l'angle philosophique (il
fut largement inspiré des travaux du romancier écossais Walter Scott). Sous forme d'essai comme de pamphlet, il présente l'homme intérieur, principe du pouvoir et de la longévité, et l’homme
extérieur, démontrant l’effet des principes qui commandent par la pensée son mouvement (comportement) dans la vie terrestre. Il en profite pour lancer un violent libelle contre le "pouvoir",
facteur d'explication des postures humaines et de leurs effets. Par exemple, "l’habitude de la représentation vicie le corps des princes ; leur bassin se féminise. De là le dandinement connu des
Bourbons ; de là, disent les observateurs, l’abâtardissement des races […]". Ou encore les magistrats "obligés de passer leur vie à siéger, se reconnaissent à je ne sais quoi de gêné, à un
mouvement d’épaules, à des diagnostics dont je vous fais grâce parce qu’ils n'ont rien de pittoresque".
Cette étude est celle des rapports entre le réel et la fiction, entre le romanesque et le vrai, Balzac considérant que "l’œuvre‑monde" invente ses propres règles.
Autrement dit, la matrice de gouvernance de l'humain est une fiction qui prend l'apparence du réel selon la nature des forces qui la nourrissent. Ce cadrage programmatique de la Comédie humaine,
où tout est déjà réalisé de par la loi de la cyclicité, n'est rien d'autre qu'une intelligence artificielle (IA), la matrice cyber, s'attachant à faire vrai par la fiction (le cinéma, le
roman...), au‑delà du vraisemblable ! En d'autres termes, l’agencement de "l’œuvre‑monde" terrestre est lié à un corpus bien vivant*², inévitablement situé dans une autre dimension de réalité, un
autre champ de fréquences, faisant que l'observateur/acteur - l'être-humain - est de manière symétrique (perpétuel va‑et‑vient
entre le monde perçu et l’œuvre‑monde) conduit à subir et à participer du désordre de ce monde sous l'effet apparent de l’improbable et de l’aléatoire du réel. C'est pourquoi Balzac, à
l'instar de Victor Hugo, qualifie le vécu terrestre - le roman - de drame : "il faut donc que le drame soit un miroir de concentration qui, loin de les affaiblir, ramasse et condense les rayons
colorants, qui fasse d’une lueur une lumière, d’une lumière une flamme" (Préface de Cromwell).
*La Comédie humaine est le titre sous lequel Honoré de Balzac a regroupé un ensemble de plus de quatre-vingt-dix ouvrages
— romans, nouvelles, contes et essais — de genres réaliste, romantique, fantastique ou philosophique, et dont l’écriture s’échelonne de 1829 à 1850.
*²L’artisan qui fabrique ce genre de mémoires fausses est défini
"proxénète littéraire".
Cf. en complément "Balzac & l’excès du réel" de l'auteur Dominique Massonnaud.
Pourquoi pourrions-nous être tenté de sortir de notre rassurante prison ? Est-il même imaginable que la majorité des humains puissent penser qu’il existe autre chose qu’eux, que l’univers,
apparemment infini, qui les entoure ? Nous pouvons essayer indéfiniment toutes les directions, emprunter des chemins interminables, nous revenons toujours d’où nous sommes partis. Il est fort
probable que l’idée de quitter nos murs vienne de "singularités" ayant explosé au visage de certains. Nous pouvons définir ces singularités comme des faits impossibles à expliquer au moyen des
"lois-croyances" qui maintiennent la cohérence de la Matrice. Consciemment ou non, les humains refusent les anomalies qui apparaissent dans la Matrice, préférant être des chiens plutôt que des
loups*... Leur survie, en tant que créateurs et parties de la Matrice, en dépend. Ils deviendraient des corps étrangers, aussi bien à eux-mêmes qu’à la Matrice. Notre intellect est structuré pour
maintenir la stabilité de la "réalité" de notre monde. Toute remise en cause de la Matrice équivaudrait à un suicide, puisque notre référentiel structurel s’effondrant, la folie nous guetterait.
* Ce choix est symbolisé par la fable du poète Jean de la Fontaine "Le chien et le loup", qui voit un loupaffamé demander à un chien fort bien
nourri ce qu'il devrait faire pour être lui-même aussi bien nourri. Le chien lui ayant conseillé de se mettre au service d'un humain, le loupréalise alors que le chien a une
blessure. Quand il découvre que celle-ci vient d'un collier, il décide de ne pas suivre le conseil. Le loup part et retourne dans les bois. Cette fable animalière oppose deux bêtes proches par la
morphologie, mais qui ont deux différents modes de vie : l'une est sauvage, et l'autre est domestique. Cette confrontation permet au poète de présenter deux conditions : l'insécurité liée à la
Liberté, et le confort lié à la Servitude.
Admettons cependant que, malgré les désagréments et difficultés de la démarche, des humains tentent de passer derrière le miroir, de transgresser les lois de la Matrice. Il faudrait encore
réussir à pratiquer une "brèche" dans notre continuum de croyances, et donc trouver où et comment créer une porte permettant de nous contempler.
Qui dit codé dit clé de décodage. Là réside le danger encouru par la majeure partie de l'humanité, celui de s'être vu substituer l'accès à la connaissance par la manipulation génétique effectuée
(perte des mémoires par l'amputation de brins d'ADN) pour évoluer en état de conscience "Service d'Autrui", et répondre au principe d'évolution, soit le chemin de retour à La Source, à l'UN, par
la reconnaissance de la conscience de "l"autre soi" en tant qu'égal à sa propre conscience, en dépit d'une manifestation complètement différente de cet être, et par la façon de mettre la
conscience en réseau mutuel et d'interdépendance afin que l'Ensemble soit plus grand que la somme des parties (dans cette voie, la Conscience Absolue est "glorifiée" par une merveilleuse
diversité d'être).
Cette substitution autorise ainsi manipulation et dérive confiscatoire d'une partie, essentielle, des règles du jeu* de Ce Qui Est, puisque la façon en mode
"Service de Soi" d'atteindre la "densité de conscience" est de "prendre du poids" en assimilant les autres unités de conscience. En d'autres termes,le
véritable plan du Royaume Négatif est de "manger de la conscience" en permanence, au moyen duharcèlement de la psyché par la création d'un environnement
artificiel entièrement contrôlé, composé de comportements humains complètement prévisibles parce que programmés pour répondre à des signaux de conditionnement inculqués par des siècles de
mensonges et d'obscurantisme présentés sous la forme des religions. Cela est généralement insidieusement promu comme "Tout est Un", le "mal" étant considéré comme une "rébellion", une faute ou
quelque chose avec quoi "on en finira" de toute façon au bout du compte. Et, bien sûr, le chaînage de son mode opératoire, sacré*², n'est ni
enseigné dans les écoles et les universités ou par les religions institutionnelles, ni diffusé dans les "grands" médias audiovisuels ou autres. Sinon de manière édulcorée et partielle,
volontairement, afin de ne pas ouvrir les yeux et oreilles des dormeurs, les harcelés, la confusion et les quiproquos dans lesquels ils baignent les empêchant d'obtenir une perception claire de
la réalité...
Il y a de ce fait deux manières de comprendre sa relation à l'univers. S'en remettre à celle enseignée par les différents canaux institutionnels, qui correspond à la matrice d'appartenance cyber.
Elle s'impose à l'être humain sans lui laisser de marge de manœuvre transcendantale, car limitée et manipulée. S'en remettre à sa guidance intérieure une fois ses croyances et conditionnements
viciés épurés, et se laisser conduire comme dans un jeu de piste sur le chemin de la Connaissance et de la Vérité. La façon dont nous jouons au jeu de la vie correspond à celle avec laquelle nous
collaborons. Sans cœur et amour, nous ne pouvons nous sortir de la fosse à purin mental et égotique dans laquelle nous sommes irrémédiablement coincé, dans un scénario où tout est déjà réalisé à
l'avance.
Notre réalité d'appartenance, la matrice limitée de la 3ème dimension, voit son fonctionnement basé sur les polarités opposées mais complémentaires. Ainsi le
"combat" entre la Lumière - la Vérité, la Connaissance de Ce Qui Est -, soit la conscience Christique (l'Unité), et les Ténèbres. Celles-ci sont illustrées dans notre civilisation
judeo-chrétienne*par l'archétype Diable, de diabole - celui qui divise-, ou Démon, le monde à l'envers. Celui-ci est de même composé de deux polarités : une polarité évolutive, la fausse lumière
de l'archétype Lucifer - qui signifie le porteur de lumière - proposée à l'humain qui doit faire jouer son discernement pour ne pas être illusionné, et une polarité entropique, involutive, dont
l'archétype est Satan.
Le diable est celui qui jette en travers, qui nous "met des bâtons dans les roues", qui nous détourne. C'est ainsi que Satan signifie l’adversaire, celui qui
obstrue, le mot "satan", de la racine hébraïque stn qui signifie "celui qui s'oppose", étant employé pour désigner un "ange de dieu" venu éprouver la foi des hommes. Le Diable est nul
autre que la "contrariété humaine", un raisonnement d'adversité.
* Dans lestextes de la tradition védique,composés de quatre recueils (Rigveda,
les deux Yajurveda, Samaveda, Atharvaveda) dans une forme archaïque du sanskrit, qui ont été apportés en Inde par les Aryens vers le Xe siècle avant notre ère et
qui forment la base de l'hindouisme, ce combatoppose lesDeva (dieux "êtres de lumière") et les Asura (démons). Les
Deva, êtres divins souvent issus de divinités brahmaniques plus ou moins déterminées, figurent au-dessus des représentations de Bouddha. Cette opposition découle de laloi de "Bon Ordre", le Dharma, qui voit le comportement éthique de chacun contribuer ainsi à ce que les rapports des individus dans la société permettent à
cette société de perdurer sans conflit. Le rôle des démons étant précisément de dérégler ce bon fonctionnement, l'intervention des Deva devient nécessaire.
Lucifer est l'archétype dans le référentiel latin et judéo-chrétien du Titan* grec Prométhée (Cf. image ci-contre), le messager divin quis'est rebellé pour voler contre l'avis des dieux le Feu sacré de l'Olympe, symbole de la Connaissance, afin de l'offrir aux humains et leur
permettre de s'instruire. Par là-même, il est aussi évocateur de l'hybris, la folle tentation de l'Homme de se mesurer aux dieux et ainsi de s'élever au-dessus de sa condition, message sans
équivoque du corpus prédateur. C'est pourquoi il a été puni de son audace et enchaîné sur un rocher (ou crucifié selon d'autres), condamné par Zeus à
être enchaîné nu à un rocher dans les montagnes du Caucase, où un aigle vient lui dévorer le foie chaque jour. Si Héraclès (Hercule chez les Latins) le délivre au cours de ses douze travaux,
Prométhée dut porter durant toute sa vie une bague de fer provenant de ses chaînes, accolée à un morceau de pierre du Caucase. C'est pourquoi Lucifer est également représenté enchaîné (Cf. image
ci-dessus)...
* LesTitans étaient au nombre de six. Ils étaient les enfants d’Ouranos (le ciel) et de Gaïa (la terre). Un
jour, les Titans se confrontèrent à Zeus (Jupiter à Rome), et perdirent la bataille. Zeus, le dieu usurpateur psychopathe, les envoya dans le Tartare, encore en-dessous des Enfers.
Des Forces entropiques du champ de l'Astral
Les Forces du champ astral, autrement nommées Forces de l'Ombre et des Ténèbres, sont des forces, des Intelligences retardataires. Notre référentiel latin les
qualifie de lucifériennes et de sataniques. Elles sont responsables dans le grand Jeu universel du Vivant - l'évolution - du développement de l’Ego humain*, et dont les règles du Jeu/Je ont été
établies par les Intelligences Supra-mentales, les Êtres de Lumière du champ cosmique (les Anges pour la personnification). Ces Lois valent pour toutes les Planètes en évolution, c'est-à-dire où
il y a des êtres en évolution. Aussi est-il à comprendre que le Cosmos au sens astral est géré par la Loi du mensonge, mais pour le "bien" de l'être humain ! En effet, celui-ci n’est pas prêt à
connaitre la Réalité, en son état de conscience limité. Ce n'est que lorsqu'il sera prêt à la connaître que le jeu de la densité cessera, et qu'il pourra se transférer sur un autre plan de
vibration plus élevé. Pour ce faire, il doit dépasser son "actuelle" (le temps n'existe pas à l'échelle de l'Univers) condition d’existence psychologique, reliée encore au besoin de la religion
ou des philosophies existentielles dans toutes leurs formes. C'est à ce prix qu'il réalisera que dans les mondes spirituels il y a des Forces qui cherchent à retarder l’évolution, et des Forces
qui cherchent à aider l’évolution, celles-ci cherchant à lui donner un aperçu de la Réalité qui transcende les murs de l’espace-temps prison de la 3-D terrestre. Les premières correspondent au
principe Satanique, les secondes au principe Luciférien.
Le principe Luciférien est actif en l'être humain par les formes qui se situent dans son mental humain, de ce fait dans l’émotif propre à la condition humaine. De
ce fait, celle-ci évolue ou involue par la mécanicité de l’émotion et de l’intellect, nourrissant l'information de l’âme, et constitutive de ses mémoires. Aussi, pour que les Forces de Lumière
entrent dans l’être humain et sortent l’esprit de l’être humain de son corps matériel, il doit apprendre et comprendre les Lois de l’Intelligence*² ! Sinon, il demeure assujetti aux Lois de
l’âme, les Lois lucifériennes, qui, si elles sont des intelligences de haut niveau, leur polarité est totalement opposée à la polarité des Intelligences de la Lumière. Autrement dit, la vibration
dans l’Intelligence de ces forces a tendance à aller vers la matière, tandis que la vibration dans le mental des Intelligences de la Lumière retourne à la Lumière.
Les Forces Sataniques quant à elles sont dangereuses pour l'être humain, car elles sont définitivement entropiques par l'empoisonnement de l'âme qui y consent, que
l'être humain soit conscient ou non de leur domination sur sa psyché viciée.
* Cf. Décryptage de l'Ego. Ainsi,quand on parle de l’intelligence dans la Bible, on
ne parle pas de l’Intelligence Universelle mais de l’Ego, de l’intellect. L’être humain à ce stade - la cinquième race humaine - n’a encore jamais vécu d’Intelligence Cosmique, celle-ci étant la
caractéristique de la prochaine race, la sixième, soit le nouveau cycle d'évolution en cours.
Matrice vient du mot latin matrix (matricis), lui-même dérivé de mater, qui signifie "mère", l'utérus géniteur, le féminin sacré. Elle est l'élément qui fournit un appui ou une
structure, et qui sert à entourer, à reproduire ou à construire. Elle est l’hologramme de notre monde, c'est-à-dire la représentation de nos croyances en l'état. Tout en structurant notre
réalité, elle émane de nous, de notre intellect qui s'exprime sous forme de pensées associées à des émotions. Même si cela paraît paradoxal, on ne peut de ce fait la distinguer des humains. Elle
est générée par les "rêves" et les cauchemars de l’humanité, autrement dit par les formes-pensées, les égrégores, qui l'engendrent. Elles sont constitutives du "masculin", sacré s'il est divin,
désacralisé s'il est nourri par les toxicités "démoniaques". Ainsi fonctionne par la loi des polarités* l'univers.
Nombre d'auteurs ont établi la preuve que les humains ne viennent pas de la terre, en dépit des moqueries proférées par les gardiens
de l'orthodoxie du savoir. Parmi eux l'écologiste et environnementaliste américain Ellis Silver, qui dans son livre publié en 2013 Humans are not from Earth: a scientific
evaluation of the evidence ("L’Homme n’est pas issu de la Terre: évaluation scientifique de la preuve"), tente de montrer que la physiologie de l’Homme ne le prédestine pas à vivre sur
Terre, et qu’il aurait donc été amené là par des "extra-terrestres" ou serait arrivé sur Terre par accident. Maux de tête, peau inadaptée aux coups de soleil, difficultés à accoucher... tout ceci
prouverait que notre espèce n’a pas évolué sur Terre mais dans un environnement avec une plus faible gravité. Il est lésé par la lumière du soleil, a une forte aversion pour les aliments
d’origine naturelle, et a des taux ridiculement élevés de maladies chroniques, conséquences d’une évolution de nos horloges biologiques pour qui une journée devrait durer 25 heures. "Puisqu’il
semble que nous soyons une espèce naturellement violente, nous sommes probablement ici jusqu’à ce que nous apprenions à mieux nous comporter. [...] La Terre pourrait être une planète-prison"
dit-il.
De l'origine de l'homme selon la civilisation sumérienne (1)
La Déesse primordiale de la civilisation sumérienne est Nammu*, dont le nom signifie ''la totalité des secrets''. Écrit avec le signe SIG4 en sumérien, il
correspond aux noms akkadiens nabnitu et bunnannu qui dérivent de la racine banu qui signifie "créer". La Déesse correspond à Tiamat dans la mythologie
babylonienne. Elle est la déesse de la création, incluant aussi les dieux eux-mêmes, ayant donné naissance à An (le Ciel) et Ki (la Terre), les premiers dieux représentant Abzu, l'océan d'eau
douce souterrain dans la mythologie sumérienne. Elle est appelée entre autre "Mère primordiale qui a donné naissance à tous les dieux", "Mère qui a donné naissance au ciel et à la terre", "Dame
de la Création", "la Matrice" ou encore "La Créatrice".
Nammu est également la mère d'Enki et de Enlil, les fils qu'elle a eu avec An. Bien qu'étant au-dessus de la Triade en terme d'origine (elle engendre), elle ne joua
jamais un rôle aussi important que ses fils dans l'histoire des dieux du pays de Sumer. Le texte néo-sumérien Enki et Ninmah rapporte comment elle a eu l'idée de la création de l'homme, mission
qu'elle a confiée à son fils Enki. Le culte de Nammu était à son apogée dans la région de Ur vers 3500 av. J.-C. On retrouve le nom de Nammu dans le nom du fondateur de la troisième dynastie
d'Ur, Ur-Nammu.
* SiNammu est la lecture traditionnelle du nom, il existe aussi des variantes
comme Namma, Lammu ou Nammak.
De l'origine de l'homme selon
la civilisation sumérienne (2)
Selon le récit sumérien, l’homme est créé "lulu", qui signifie
"primitif". C'est un lulu amelu, signifiant un "travailleur primitif". En poussant la recherche plus loin, l’on retrouve le terme avilum, "travailleur de force". Tout démontre
qu'il n'est une création que par manipulation génétique, programmé pour remplir un travail forcé, celui de l’exploitation de l’or comme esclave des dieux Anunnaki. Le récit biblique
n'enseigne-t-il pas d'ailleurs le fait que Dieu créa l’homme pour le "servir", pour le "vénérer" ? Or, le mot "vénérer" n’était nul autre en sumérien que avoid, "travailler", origine du
mot avilum, "travailleur de force". Il va se soumettre aux travaux forcés, les textes sumériens précisant leur durée : "Dix périodes durant ils subirent le labeur; Vingt périodes durant
ils subirent le labeur; Trente périodes durant ils subirent le labeur; Quarante périodes durant ils subirent le labeur." Au total, cela représente très exactement 40 périodes, dont l’unité vaut
une année Nibiru, c’est-à-dire la révolution de leur planète autour du soleil. Par rapport à la terre, l’orbite de Nibiru équivalait à 01 shar, soit 3600 ans terrestres. Autrement dit,
40 périodes sont équivalentes à 144 000 années terrestres. C'est le temps mis par les humains pour exploiter l’or, le temps mis au jardin d’Éden à servir le dénommé Dieu... 144 000, comme le
chiffre qui apparait dans le livre de l’Apocalypse pour dénombrer le nombre d’élus qui régneront avec le Christ à la fin des Temps !
De générations en générations, les différentes humanités dans leur vécu civilisationnel ont fini par figer la Matrice de l'astral (celle s'appliquant à la planète Terre), la renforçant à chaque
fois à travers la prolifération de la pensée unique (avec ses différents leurres de choix : politique, philosophique, religieux, scientifique...), prônée et pilotée par les instances
politico-religieuses en charge de la gouvernance de la Cité, et par notre aspiration démesurée pour la sécurité qu'elles entretiennent savamment par le dogme distillé, même si le couple
Humanité-Matrice a souvent changé de croyances.
Son leurre est principalement la notion de temps linéaire, soit notre histoire linéaire*. Cachant qu'il existe une infinité d’espace-temps à l’intérieur d’espace-temps, elle s'attache au
formatage des esprits par l'illusion des passé-présent-futur. C'est pourquoi les géologues, anthropologues et historiens, non seulement constatent et racontent l’histoire de la Terre, mais
passent un temps fou à la rendre cohérente, ce qui est totalement vain. Même s'ils ont beaucoup d’imagination pour la justifier, elle ne cesse de se dérober à l'aune de l'évolution de la
conscience et de la remontée des mémoires enfouies de certains êtres humains qui, lentement mais sûrement, finissent par se réveiller*².
Le système des castes est un aspect dominant de l’organisation sociale en Asie, premier bassin de développement de la civilisation humaine. Ainsi en Inde, où les
premières traces écrites du système des castes apparaissent dans les Védas dès 1500 avant notre ère moderne, le texte sacré La Bhagavad Gita (vers 200 av. J.-C. – 200 apr. J.-C.)
soulignant l’importance des castes. A la même époque, le Manusmriti ("les lois de Manu") définit les droits et les devoirs des quatre différentes varnas ("castes"). Les varnas sont les
brahmanes (prêtres), les kshatriya (guerriers), les vaisya (agriculteurs et commerçants) et les shudra (métayers et serviteurs).
En Asie de l’Est, le simin, c'est-à-dire quatre catégories de personnes, a été utilisé dans la Chine ancienne dès la fin de la dynastie Zhou et est considéré comme
un élément central de la structure sociale (vers 1046-256 av. J.-C.). Le simin comprenait les shi (érudits de la noblesse), les nong (paysans), les gong (artisans) et les shang (marchands).
Toutefois, ces quatre catégories n’influençaient ni la richesse ni la position des gens, et n’étaient pas non plus héréditaires.
Le mur érigé dans la conscience collective humaine qui empêche de nombreux individus de s’élever
Cette barrière, qui retient les gens loin de leur vérité, est un sujet interdit. Il en découle qu'en raison de ce manque de connaissances, même au sein des
communautés spirituelles, la confusion et la désinformation sont grandes.
Ce sujet interdit est que les humains ont été depuis des millénaires maintenus dans un état de sommeil spirituel, inconscients de leur véritable potentiel et de
leur but. Tout au long de l'histoire en effet, diverses religions et systèmes de croyance ont instillé la peur d’un Dieu vengeur, conduisant les individus à se conformer à des dogmes rigides*. La
plupart des gens refusent de remettre en question le statu quo, de peur d’être persécutés, au sens propre comme figuré. Ce conditionnement religieux basé sur la peur a créé une réticence à
explorer d’autres perspectives ou à rechercher de nouvelles vérités, piégeant ainsi de nombreuses personnes dans un cycle de conformité et de suppression et leur interdisant par crainte de
remettre en question les récits imposés. C'est la raison d'être du concept d’un Dieu juge et vengeur, qui a instillé une peur profonde de la punition et découragé les individus de remettre en
question les normes établies.
Pour se libérer de cet esclavage mental, il faut entreprendre un voyage courageux vers la découverte intérieure du Divin, à l’intérieur de soi, afin de se
débarrasser des chaînes de la peur et de se libérer des contraintes des croyances limitatives. Mais la plupart des personnes qui se disent religieuses n’ont jamais fait de recherches sur le
pourquoi de leurs croyances, de leur justesse. Ils n’ont même jamais lu entièrement leurs propres livres, car on leur a appris à contourner et à éviter certaines écritures comme les évangiles
apocryphes. La Bible, par exemple, dans l’Ancien Testament, parle d’un dieu vengeur et haineux, qui fait la guerre à l’humanité et exige des sacrifices. Puis, dans le Nouveau Testament, on
apprend à croire que Yeshoua était le fils de ce Dieu vengeur. Qui plus est, lorsque la Bible occidentale a été assemblée, elle l’a été par le Vatican, qui a
progressivement modifié et édulcoré les textes d'origine en faveur du contrôle et de la manipulation de la population*². Ces textes modifiés et manipulés ont ensuite été rendus publics en tant
que Sainte Bible, constitutive du leurre pour des milliards d'individus.
L'éveil est ainsi inévitablement douloureux, difficile sinon ardu, tant les couches de fausses croyances ancrées dans sa psyché sont profondes, expliquant que
nombre d'êtres humains demeurent bloqués dans un état spirituel stagnant. Il leurfaut lever le blocage qui a été instillé en eux, celui de la peur de la
persécution, ou la croyance d'une punition à venir de la part de Dieu. Seule la libérationde ces vieux paradigmes permet d'avancer vers sa libération,
nourrie par la Lumière Supérieure, l’essence du Créateur Premier.
Tandis que le New Age est laissé aux profanes déçus du manque d’efficacité des religions institutionnelles, incapables de répondre aux si nombreux désirs
conditionnés, et que le matérialisme pur et simple occupe les populations dépourvues de tout pouvoir, les élites s’affairent à "craquer le code de l’univers", par le biais notamment de
super-ordinateurs, espérant ainsi réellement créer "leur propre réalité"* confinant à leur immortalité. Le transhumanisme qui le caractérise n'est rien d'autre que la version contemporaine de la
Tour de Babel, la présomption tant orgueilleuse que vaniteuse de dominer Ce Qui Est...
Or le développement du pouvoir intérieur personnel mène à la réalisation, proche ou lointaine, de la toute-puissance de l’esprit libéré des contraintes de l’espace
et du temps. L’accès à la réalité supérieure de l’esprit permet donc le contrôle absolu du monde terrestre. Cette situation étant "en dehors de l’espace et du temps", l'être humain profane ne
prend pas la peine de considérer cette possibilité, trop occupé par la diversion des hochets émotionnels distillés comme par les contraintes institutionnalisées. N’ayant développé aucun pouvoir
en lui-même, il est incapable de voir à travers la matière, de soupçonner les implications de ses pensées et émotions, et de comprendre les finalités de la fausse lumière prodiguée. L’écart est
abyssal entre l’initié et le profane, qui jamais n’envisage de penser au-delà de ce qu’on lui a dit de possible. Cette attitude confirme l’initié de sa supériorité manifeste et flagrante. Et
c’est ainsi depuis des millénaires. Reste à savoir ce que fait l'initié de son pouvoir : se servir - Mage noir - ou servir Ce Qui Est - Mage blanc -...
"Il existe dans notre monde d’aujourd’hui un puissant et dangereux culte secret".
Victor Marchetti (1929/2018), ex-fonctionnaire supérieur de la CIA, livre The CIA and the Cult of Intelligence*
Pourquoi les médias, les politiques, les enseignants, les philosophes, les docteurs, les religieux, nos parents... ne nous disent-ils rien de cette féroce dictature
occulte ? Comment un tel voile est-il possible sur une arnaque aussi gigantesque? La réponse est banale : plus le mensonge est énorme, et plus il est difficile à détecter. C'est ainsi dans tous
les cas d’escroquerie. Sans aucune exception, la raison en est toujours la confiance aveugle de la victime. Elle donne à l’escroc carte blanche, et même souvent jusqu’à de l’amour...
La pilule est sans doute dure à avaler, surtout quand elle vient du religieux, domaine du sacré - et de ce fait de la pureté - par excellence. Il est le paravent
idéal du grand mensonge planétaire, tant par l'illusion mystique constituée que par la culpabilité à la remettre en cause. Il importe de se rendre à l'évidence : tous les organismes jusque-là
chargés d’informer et d’éduquer sont secrètement coordonnés par un seul organe occulte et mondialement centralisé. Il est appelé Gouvernement Mondial Occulte. Composé de quelques milliers de
relais, il est hyper compartimenté en milliers de sections qui ne communiquent jamais entre elles. Cette structure est même dessinée sur les billets en dollar : c’est la pyramide "Illuminati"
(image 1), celle de ceux qui ont usurpé le titre de "Confrérie du Serpent"*². ''L'œil qui voit tout'' n'est pas l'œil spirituel d'Horus/Osiris (image 2), autrement dit de Lucifer, le porteur de
lumière, mais celui de son frère Seth, le dieu serviteur de An (ou Anu) notre créateur reptilien, appelé aussi Zeus, Jupiter, Yahvé ou Jehovah, Allah... autrement dit Satan*³. Les maîtres reptiliens sont des orfèvres en matière de camouflage, ayant toujours pratiqué l’ambiguïté des noms et des lieux afin de brouiller les pistes des chercheurs. Ils
n’ont, par exemple, que très rarement supprimé les textes explicatifs sacrés, mais ont toujours fait des quantités de retouches et des inversions permanentes, toujours en leur faveur. Ce n’est
donc absolument pas par l’analyse des textes que les reptiliens peuvent être détectés, mais par deux facteurs concomitants : l’analyse des résultats vérifiables, et le fait que le hasard n’existe
jamais ...
*C’est le premier livre ayant jamais fait l’objet d’une action en justice de la part du
gouvernement des États-Unis avant même sa parution en 1974. Dans ce livre, VictorMarchetti affirme qu’une "Cabale" gouverne le monde, dont
les relais sont des professionnels clandestins de la Central Intelligence Agency.Ce culte secret est une fraternité réunissant l’aristocratie
politique dont les objectifs sont de faire avancer les objectifs politiques de personnes ou d’organismes inconnus. Ce culte agit à couvert et dans l’illégalité, tout particulièrementpar la manipulation d’individus dans des domaines où l’influence sur le public est d’importance, y compris le monde universitaire et les mass media.
De son côté, l'agent spécial en charge du FBI - Federal Bureau of Investigation - de Los Angeles Theodore L. dit Ted Gunderson* (1928/2011), surtout connu pour s'être
occupé des affaires Marilyn Monroe et John F. Kennedy et qui fut l’un des dénonciateurs les plus reconnus et les plus acceptés de l’histoire des États-Unis, a fait sauter le
couvercle de la corruption gouvernementale en exposant plusieurs dissimulations énormes concernant les abus rituels sataniques, le commerce d’esclaves humains, le terrorisme parrainé par le
gouvernement, comme l’attentat à la bombe contre le bâtiment fédéral Alfred P. Murrah à Oklahoma City en 1994, ou les "décharges mortelles" de la géo-ingénierie communément appelée
chemtrails ("traînées chimiques") en 2011 pulvérisés à travers les États-Unis, l’Angleterre, l’Écosse, l’Irlande et l’Europe du Nord.
Quant à l’eurodéputée allemande Christine Anderson, elle n'a comme d'autres de cesse de dénoncer l’engouement des autorités et des grands médias pour le Covid, cette soi-disant "pandémie" arrivée
fin 2019 et tout au long de 2020, comme n’étant rien d’autre qu’un gigantesque ballon d’essai. Son but est de transformer nos sociétés pour partie libres et démocratiques en sociétés
définitivement totalitaires, de dépouiller chacun d’entre nous de nos droits fondamentaux, de la liberté, de la démocratie et de l’État de droit.
* Auteur du livre à succès How to Locate Anyone Anywhere ("Comment localiser n'importe qui, n'importe
où").
Du déni scientifique
Pourquoi les scientifiques, et tout particulièrement les physiciens et mathématiciens, semblent être ceux qui résistent le plus âprement à l’idée que leur
profession pourrait avoir été infiltrée et orientée par des conspirateurs qui n’ont pas à cœur les meilleurs intérêts de l’humanité ? Comment expliquer que ces hommes de science, vers qui
les élites institutionnelles se tournent pour obtenir des solutions à leurs problèmes de gouvernance, pensent que leur profession est exempte de toute manipulation au service d'une cause
contraire à l'intérêt général ? Tout simplement parce que, retranchés derrière leurs machines et instruments destinés à mesurer précisément, ils n'imaginent aucune "erreur de lecture" de
l’appareil, en l'occurrence la "culture officielle" qui décide de ce qui peut et ne peut pas être pris au sérieux. Ils sont hypnotisés par une "erreur de lecture" qui est délibérément programmée
et introduite dans la "machine" des sciences, soit leur propre mode de pensée ! Et comme le temps est limité - dans une journée, dans une année, dans la vie d’un homme -, le volume d’étude
nécessaire à la découverte des fils et faits bruts d’une "conspiration" est incompatible avec leurs capacités. Il en découle le mécanisme de déni, entretenant l'océan de mensonges, de
désinformation, de manipulation, de propagande et d’écrans de fumée dans lequel nous baignons. Et c'est ainsi que les hommes de science les plus compétents sont utilisés pour soutenir les élites
au pouvoir, en mettant à leur service leurs savoirs et outils de puissance, les bombes comme les technologies de contrôle du mental, tout ceci à partir de l’argent mis à leur disposition,
celui-ci s'attachant à bien séparer les sciences du domaine public des "sciences secrètes".
Leurs témoignages sont cependant toujours dénigrés au départ, tant notre perception de la réalité est formatée, soit expliquée par les lois en vigueur dans la Matrice, soit éliminée. De ce fait,
le temps linéaire nous oblige à faire entrer tous les faits, singuliers ou non, à l’intérieur de notre propre perception conditionnée du temps*. La linéarité du temps est un leurre. Notre
histoire est intemporelle, et dépassant de ce fait l’entendement, il nous est impossible de la reconstituer en appliquant les lois actuelles de la Matrice, puisqu’elle a eu lieu dans d’autres
formes de la Matrice. On ne peut même pas parler d’enchaînement, de continuité historique, puisqu’il n’y a aucune continuité entre les diverses formes de la Matrice. Seules des intuitions
inexplicables titillent les plus aventureux et courageux.
Lors des changements de croyances qui interviennent à chaque fin de cycle (ou de sous-cycle) dans le calendrier cosmique et énergétique du champ astral, l’ensemble Humains-Matrice se recrée.
Cette recréation n’est rendue possible que lorsque le "rêve de la planète" a atteint un seuil critique, et que tout ou partie du monde adhère à un nouveau paradigme. Alors, pendant une période de
transition plus ou moins longue, des humains appelés par les religions "les élus" peuvent interférer de l’ancienne Matrice à la nouvelle, l’ancienne continuant son existence propre. La structure
du nouveau monde peut conserver des inclusions de l’ancien*². Ceci explique les artefacts que l’on trouve dans des couches géologiques très anciennes, où l’humanité était censée ne pas exister.
Des objets de l’ancien monde se retrouvent emprisonnés dans des couches géologiques en création du nouveau. Ce sont des intersections, en quelque-sorte. Elles nécessitent pour être comprises de
considérer que ce que l’on appelle le temps ne s’écoule pas à la même vitesse d’un espace-temps à l’autre. Ainsi un objet qui se dédouble une fraction de seconde de l’ancien monde correspond à
plusieurs milliers d’années dans le nouveau. Les mécanismes spatiotemporels intègrent des concepts qui nous dépassent totalement, bien que créés par notre mental. Ceci explique que notre capacité
à appréhender ces processus soit limitée par notre formatage aux lois de la Matrice actuelle. Il n’en est pas toujours ainsi dans d’autres Matrices, où la super-entité "Humain-Matrice" connaît
d’autres perspectives, beaucoup moins confinées, voyant l’interaction harmonieuse des deux créer des mondes où le temps n’existe pas ...
Dire des mensonges au lieu de vérités, marque de la Matrice viciée
Alors que le monde s’enfonce de nos jours dans la tyrannie et que la dégénérescence s’observe partout, la question est de savoir si les peuples défendront leur liberté et leur âme ou s’ils s’enfonceront dans la tyrannie, qui a levé sa tête hideuse et dévastatrice avec
férocité.
Formées par des lucifériens secrets car "sous bandeau"*, eux-mêmes étant le fruit desraces sataniques venues sur terre en
fuyant les guerres dela planète mauditeOrion, et qui ont créé des humains hybrides par le biais d’expérimentations
génétiques, principalement avec des races reptiliennes*², les élites institutionnelles aux commandes - les "sans âme" dépourvus d'émotions - sont en route vers leur nouvel ordre mondial, voulant
prendre le contrôle de toutes les nations, du monde entier. Leur influence s’est infiltrée dans tous les aspects de notre société, de la société de consommation et ses biens et services que nous
achetons quotidiennement aux sujets abordés dans les réseaux d’information, quelle qu'en soit la nature.
Les oppresseurs sont ainsi en train de provoquer les plus grandes catastrophes - financière, alimentaire, environnementale - de l’histoire de l’humanité pour mettre
en œuvre leur agenda démoniaque, celui d'un nouvel ordre mondial planifié il y a plusieurs siècles, et ce avec la complicité de médias, tout particulièrement la télévision, qui se sont fait une
spécialité de "truquer" et de mentir au sujet des événements mondiaux majeurs. Il en est de même avec la corruption professionnelle endémique dans le système de santé, la médecine pharmaceutique
n'étant qu'un outil de manipulation conçu pour rendre les individus malades au lieu de les guérir. Les outils de cette manipulation sont des poisons sophistiqués déguisés en médicaments ou
vaccins coûteux, prescrits comme des médicaments nécessaires, tout comme les chirurgies radicales qui nécessitent à leur tour des médicaments coûteux. De leur côté, les remèdes alternatifs à base
de plantes, qui guérissent mieux et coûtent moins cher, sont supprimés ou interdits.
Il est à comprendre que cet état de fait est spécifique à ce monde de la Troisième Dimension depuis le début de sa civilisation, l’énergie s'y trouvant étant
seulement dans sa forme la plus dense. L’âme fait ainsi l’expérience de la dualité dans ses projections, les yeux du corps matériel ne pouvant voir que ce qui est aussi de la matière dense, sauf
éveil de conscience et du sixième sens il va sans dire. Il en découle que l'accumulation de ressources donne une fausse impression de sécurité, l’argent comme dénominateur commun traçant la ligne
de démarcation entre les puissants qui commandent et les subalternes qui obéissent. Cette règle sert à diviser l’humanité en groupes sociaux, riches et pauvres, et à placer tout le monde sur des
niveaux divisés en classes.
Le grand problème est qu’au cours des siècles, l’humanité incarnée a créé un ensemble de croyances et un désir insatiable de pouvoir. La compétition qui y est liée
est quelque chose d’incontrôlable, créant des guerres, des dominations, des manipulations de personnes sur d’autres personnes. Toute la misère qui résulte de cette attitude immorale caractérise
désormais une grande partie de l’humanité devenueun monde de douleur et de souffrance. La véritable misère humaine est
moins le manque de biens matériels que l’absence de valeurs éthiques et morales !
René Schwaeblé (1873-1938), auteur féru d’alchimie et d'occultisme, a mis à la disposition du grand public des connaissances qui, d’ordinaire, demeurent dans l’alcôve de la "Science des Sages"
dans son Précis d'occultisme, nuire sans danger. Il va sans dire que pour l'approche scientifique humaine traditionnelle, la théorie d'une modification de la gravité contrôlée par
l'élévation ou augmentation de la fréquence de résonance de la conscience, puis l'existence stabilisée d'un autre "plafond de réalité", la quatrième densité de la matière, n'est pas envisageable,
ou fort peu.
Concernant la quatrième dimension, il est parti de la définition commune d'un corps par les trois dimensions hauteur, largeur et profondeur, appliquée à un objet quelconque, comme un cube. Nous
croyons définir ce cube en disant qu’il a un mètre de côté, et nous nous le représentons. Comme nous nous le représentons forcément quelque part dans l’espace, il occupe une partie de cet espace
et c’est cette partie qui est définie par les trois dimensions. Mais quand ? A quel moment du Temps ? Déjà, un autre corps, d’autres corps occupent l’espace défini par les trois dimensions de ce
cube, comme un autre corps, d’autres corps l’occupaient avant lui. Le moment présent est le passé ou le futur. Il n’existe pas, ne peut exister, et le Temps étant essentiellement continu, il ne
souffre pas d’arrêt.
Or, l’Espace se meut dans le Temps. L’on comprend donc maintenant que pour définir un objet la notion de temps doit s’ajouter à celle de nos trois dimensions. Si nous n’avons pas cette notion du
Temps, qui prouvera que notre objet demeure le même pendant que nous lui appliquons ces trois dimensions ? Les trois dimensions ne suffisent pas.
C'est également ce que démontre en chimie les isomères, ces corps qui, ayant une composition identique, jouissent de propriétés différentes. L’acide fulminique a la même composition que l’acide
cyanique : le premier soumis à la plus faible élévation de température détonne avec violence, l’autre résiste à la chaleur rouge. Voilà deux corps qui ne sont pas définis par leur formule
chimique, puisqu’elle s’applique indistinctement aux deux. De ce fait, les corps ayant même composition et propriétés différentes occupent en réalité des espaces différents, qu’ils cristallisent
suivant divers systèmes. Mais s’ils cristallisent dans le même système, l’idée d’une quatrième dimension s’impose.
Autre démonstration. En supposant que nos télescopes nous permettent de suivre les événements d’une planète, nous apercevons un jour sur cette planète un volcan en flammes. Pour venir jusqu’à
nous, les rayons lumineux émanés de l’astre mettent deux mille ans. Au moment où nous avons aperçu le volcan, il y avait deux mille ans que les rayons lumineux le représentant avaient quitté la
planète, c’est-à-dire que ce qui nous apparaissait le présent (le volcan en flammes) était au même instant le passé pour les habitants de cet astre – et le futur, pouvons-nous ajouter, pour les
habitants des autres astres plus distants de celui-là que la Terre, et où ces rayons lumineux ne sont peut-être pas encore parvenus. Si nous supposons que certains êtres de l’Invisible remontent
ces rayons plus rapidement que nos propres moyens, ils connaîtront lors les choses – l’avenir – avant nous, et pourront nous l’apprendre.
Le Temps est donc une dimension aussi indispensable que les trois autres dans la définition d’un corps. L’Espace nous apparaît suffisamment défini par les trois dimensions. Mais l’Espace se meut
dans le Temps, et par l’exemple du volcan nous venons de montrer que le Temps nous est inconnu, et échappe parfaitement à notre entendement.
Aussi ce que nous voyons dans cette troisième densité terrestre est un reflet tridimensionnel de la 4ème dimension, qu’on peut constater mathématiquement en regardant les configurations
nuageuses sur les différentes planètes. S’il n’y avait pas une autre dimension au-dessus de nous, un cercle serait rond et le mouvement circulaire des nuages serait conservé. Mais parce qu'il y a
transfert de la 4ème densité vers la 3ème, ceci entraine que lorsque nous regardons un objet de 4ème densité, sa version de 3ème ressemble à une forme hexagonale avec des angles. C'est pourquoi
les photographies de la sonde spatiale Voyager ont montré que les configurations nuageuses aux pôles Nord et Sud de la plupart des planètes ne sont pas circulaires, mais hexagonales.
La réalité hyper-dimensionnelle de l'univers par la nouvelle physique
Le physicien théoricien américain John Archibald Wheeler (1911/2008), spécialiste de la relativité générale, a sensiblement influencé les recherches sur les trous
noirs, ouvrant la possibilité à la compréhension de la manière dont la "réalité" est projetée dans un univers nourri d'informations, selon différents états ou niveaux de fréquences
dimensionnelles (autres que la 3-D) qui en traduisent la matérialisation. Par là-même, ceci ouvre la voie àl’idée que ces
autres dimensions pourraient être habitées, peuplées de créatures ou entités ayant une certaine forme de conscience !
Il en découle que les dimensions mathématiques prisées par les scientifiques physiciens doivent être considérées non comme
de "simples" abstractions, mais comme ayant une existence physique, et ce quelle que puisse être la signification du terme "physique". C'est ce que Wheeler a mis en avant dans sa théorie des
quanta, suggérant qu’un "observateur" qui regarde l’univers "en vue de le créer", doit être inclus dans nos considérations... Il y a naturellement une multitude d'observateurs à notre échelle
terrestre, constitutif d'une infinité de "futurs nous", c'est-à-dire traçant par leur regard la réalité de leur évolution à partir du "maintenant" qui est perçu. Autrement dit le moment "choisi",
la question étant de savoir si nous le choisissons en toute connaissance de cause ou s'il découle d'une incitation/suggestion à le choisir comme tel... C’est donc à partir de ces futurs
probables d’un potentiel infini – l'univers n'est qu'informations – que la réalité est projetée par des ondes de formes, et c'est au travers des êtres humains, par leur état de conscience qui lit
ces ondes, que ces énergies sont trans(con)duites par la courbure de l'espace-temps et deviennent "réelles" !
Qu'en déduire ? Que nous les êtres humains, dans l’ici et maintenant (le moment présent), à la conjonction de toutes les probabilités rivalisant les unes avec les
autres pour devenir "réelles", n’avons aucune possibilité de "créer" qui et quoi que ce soit dans cette réalité de densité terrestre. Les réalités, les potentiels créateurs, sont des projections
à partir de niveaux de densité plus élevés. Nous sommes simplement des récepteurs, des trans(con)ducteurs, des miroirs reflétant l’œil qui nous voit tous - "l’œil illuminati dans sa nature tant
lumineuse que ténébreuse" -, c'est-à-dire en l'état de notre conscience comme des rats de laboratoire, prisonniers par inconscience d'entités involutives qui ont érigé les murs de notre prison !
C'est le "grand secret" caché, qui voitl’Histoire de l’humanité terrestre n'être qu'une longue série de guerres, violences, famines, pestes et désastres
naturels génératrice de souffrances. Cette souffrance est le produit, l'or sulfureux, recherché par nos gardiens dans leur dimension "supérieure", destinée à les approvisionner en permanence en
énergie négative, base de leur alimentation.
Là se trouve la clé des réalités hyper-dimensionnelles, où les énergies mentales ou de conscience sont amplifiées et peuvent interagir avec l’environnement. Cette
technologie de la création établit que non seulement l’énergie de transport est en partie physique et en partie "éthérique", mais qu'il en est de même pour la communication ainsi que des
pouvoirs de "manifestation". Toutes ces propriétés participent de l’existence hyper-dimensionnelle. Et comme cette possibilité d’état est affirmée depuis des millénaires dans tous les mythes,
légendes et récits dits merveilleux comme étant "le monde des dieux", de son bestiaire (dragons, serpents, licornes...) et créatures (fées, lutins...) de tout acabit, il n'est nullement insensé
d'émettre l’hypothèse que ces mondes sont bel et bien habités !
Cette réalité para-physique de l’espace hyper-dimensionnel est l’univers des programmeurs de "La Matrice" qui, compte-tenu de la loi des polarités* qui prévaut dans la structuration,
l'organisation et le fonctionnement du Vivant - Ce Qui Est -, est habitée par des êtres ou entités qui possèdent simultanément les deux polarités : la positive et la négative. Se situant à un
étage supérieur de la 3-D terrestre, ils se trouvent dans un monde strictement éthérique, ayant évolué soit dans la direction positive, soit dans la direction négative, des pôles de la Création.
Il s’agit en fait, compte-tenu de notre conception du temps linéaire, d’un monde du futur, qui crée notre présent en se projetant dans le passé. C'est pourquoi, si nous pensons au futur en termes
de futurs probables, ceci détermine la sorte de futur que nous allons expérimenter individuellement et collectivement.
La transformation des élémentaux constitutive de l'évolution de la matrice terrestre
Les cinq élémentaux (air, eau, feu, terre, éther) sont les énergies de base qui composent l’Univers. En se mélangeant les
unes aux autres, leur combinaison génère de nouvelles formes et propriétés. Chacun de ces éléments est porteur non seulement de certaines propriétés, mais aussi d’un programme d'évolution
spécifique à caractère multivectoriel et multidimensionnel. C'est de cette manière, sous forme de "lots" mous, que les entités co-créatrices les ont initialement téléchargés dans la Noosphère,
permettant l'apparition de la Terre physique et accompagnant progressivement sur des milliards d'années le développement de la Terre de 1-D à 3-D, sa dimension tri-dimensionnelle. Ils contribuent
de même à la constitution des mouvements des couches d’énergie et des plans d’air qui entraînent leurs changements de position pour ouvrir les murs noirs d’énergie séparant les mondes de 3-D
jusqu'à la 6-D.
L’élémentaire air* sature, qui sature notre champ mental, sert de conducteur à l’Intelligence Supérieure. Il est également le lien pour la manifestation des
qualités et propriétés des autres pouvoirs primaires. L’hydrogène est en effet la substance primaire base de la matière, sa matrice en tant que
structure énergétique, et qui forme l’origine et l’achèvement du plasma, celui-ci ayant recours à l'azote pour le développer et saturer les différents
systèmes énergétiques et biologiques en évolution. Quant à l'oxygène, elle crée un champ de force pour le développement de la matière biologique, et régule le volume du plasma d’Intelligence
transmis. L’argon de son côté modifie les champs de force, affecte le travail de la nouvelle matière de 5-D, et forme des canaux énergétiques pour les
flux quantiques. Le néon a lui un impact sur les cycles de fractionnement du plasma de la matière, régule l’état et le fonctionnement des canaux énergétiques, et est une substance liant l’énergie
des éléments. L’hélium sert de centre de communication et de traducteur d’énergie d’information, et constitue également une partie importante du champ
de protection de la planète. Il soutient également le "Quasitron", qui englobe le Triangle des Bermudes, la Méditerranée et la Mer du Diable (la mer du
Diable, ou le triangle du Dragon, partage des caractéristiques étrangement similaires au triangle des Bermudes. Cette région est très fréquentée par les pêcheurs japonais) où la nouvelle matière de la Terre et de tous les êtres vivants se forme continuellement au niveau du noyau cellulaire. Le
krypton assure une transition vers le stade suivant de l’intelligence supérieure, renforce la protection énergétique contre les émissions 2-D, les bloque et élimine progressivement la matière
bidimensionnelle. Le xénon régule l’ionisation des couches supérieures de l’atmosphère, favorise les sorties vers d’autres dimensions, créées par le
mouvement du plasma, libéré de la matière par les fréquences sonores.
Le xénon sert de conducteur de ces fréquences, participant ainsi à la transformation de la matière. L’iode affecte l’état
de l’atmosphère, modifie les fréquences des champs magnétiques et crée des formes pensées, en les saturant d’énergie.
C'est pendant la "Nuit Cosmique", autrement dit l’ère de la dualité, que les Forces involutives (les Noirs et les Gris ou Archontes) ont complètement reconstruit à
leurs fins ce mécanisme, qui joue un rôle clé dans le maintien de la vie et l’évolution des terriens et de la Terre pour répondre à leurs besoins parasites. Ainsi, le dioxyde de carbone est devenu pour l’homme un poison éthéré, son cristal causal étant un accumulateur idéal d’informations négatives, de virus de la mort et de karma.
L’isotope radioactif Oxygène-15 contient également une substance karmique.
Toute l’atmosphère terrestre a ainsi été transformée en un dépotoir toxique par ces entités involutives qui y ont déversé non seulement leur karma, mais aussi des
émissions chimiques, de transport, industrielles et autres, nous forçant à respirer ce mélange mortel, écourtant ainsi nos vies. Paradoxalement, même
l’ozone, inhalé avec ce cocktail, est devenu toxique pour l’homme, son fort pouvoir oxydant ayant des effets dangereux avec un impact sur les organes respiratoires à même de provoquer des
irritations et des lésions tissulaires ainsi que sur le cholestérol dans le sang, ce dernier formant des dépôts insolubles qui conduisent à l’athérosclérose. Si nous pouvons respirer différentes
sortes de saletés, ce n'est malheureusement pas le cas de l’air "idéal".
Toutefois, l'évolution actuelle de la matrice terrestre sous l'impulsion des forces de lumière et de l'élément Feu crée une nouvelle matrice d'air par l'élimination
de l’"Archonte noir" principal (et ses 144 sous-archanges) qui se trouve au centre de la Rose des vents, destiné à être brûlé comme dans un haut
fourneau. Elle purifie ainsi la partie la plus active du karma, et permettant à tous les programmes formant
l’air chargés dans la Noosphère à permettre l'évolution des êtres humains en voie d'éveil, tout comme de la planète, dans de nouvelles dimensions.
* Il comprend l’Azote (78,084% du volume total), l’Oxygène (20,946%), l’Argon (0,9340%), le Dioxyde de carbone (0,04%), le Néon (0,001818%), l’Hélium
(0,000524%), le Méthane (0,000187%), le Krypton (0. 000114%), l'Hydrogène (0.00005%), le Xénon (0.0000087%), l'Ozone (0.000007%), le Dioxyde d’azote (0.000002%), l'Iode (0.000001%), le Monoxyde
de carbone (0.00002%) et l'Ammoniac (trace).
La centricité, clé d'accès à la quatrième dimension
La 4ème dimension est une intuition intellectuelle humaine, qui permet à l’être humain de réaliser qu’il y a quelque chose d’autre en dehors des 3 dimensions de
l’espace (hauteur, largeur, profondeur). Si elle est valable en tant que concept, elle existe également en tant que réalité directement liée à l’infinité, mais sans être compréhensible au
niveau humain. La raison est que l’être humain pense, et que sous la coupe du corpus prédateur qui la domine, la planète Terre est totalement contaminée par sa pensée et ses émotions, servant
ainsi de miroir réfléchissant à la corruption. Or, pour comprendre la 4ème dimension, il faut être dans un état de réception vibratoire au niveau du cerveau - l'état dit du "point zéro" -,
autrement dit de l'état de neutralité émotionnelle. De la sorte, le cerveau sert à véhiculer l’énergie nécessaire en provenance de la supraconscience, l'Esprit universel, pour comprendre les
relations qui existent dans cette dimension.
C'est pourquoi la 4ème dimension, si elle est une infinité de possibilités, celles-ci sont instantanément arrêtées pour permettre une concrétisation de l’expérience
dans la matière viciée nécessaire à l'évolution de l'être humain. Cette expérience fait qu'en l'état, il ne puisse pas encore voir ou comprendre que tout ce qui existe en dehors de la conscience
humaine ne peut lui parvenir que par l’intuition. Mais celle-ci est trop lente, pas assez compacte donc partielle, parce que le corps mental humain n’est pas encore par son manque de centricité*
en harmonie vibratoire totale avec le Supramental qui est la Conscience Universelle ou Cosmique. Il est de ce fait assujetti à la forme, qui exerce une grande emprise sur l’émotion de l’être
humain, brouillant son esprit et empêchant son intellect de comprendre d’une façon objective et totalement détachée de lui-même.
Pour que l’être humain se conscientise dans le supramental, il doit dépasser petit à petit ces formes qui siègent dans son mental comme dans ses émotions. C’est en
effet lorsqu’il apprend à dépasser ces formes que sa centricité se développe, qu’il devient de plus en plus sûr d’être sûr, et que la conscience, c’est-à-dire le contact avec les plans
supérieurs, se raffermit, devenant précise et, éventuellement, amenant l’être humain à pouvoir regarder dans l’avenir, à connaître les autres humains, et à se connaître parfaitement. Les fausses
formes, les fausses émotions, les pensées subjectives, tout ce qui est négatif, tout ce qui retarde l’être humain, tout ce qui est fondé sur la crainte, doit être dépassé, et ce dépassement se
fait au fur et à mesure que l’être humain en prend conscience. Il acquiert pas à pas la force pour briser ces formes, les rompre, les diminuer, diminuer leur emprise sur lui. Il rencontre
inévitablement la souffrance, celle de cette transformation, métamorphose, qu'il doit vivre au fur et à mesure qu’il entre en contact avec des niveaux de plus en plus puissants d’énergie. Alors
seulement la chrysalide pourra devenir papillon !
Quant à la cinquième dimension, la décrire avec des mots de tous les jours s’avère difficile, car il ne s’agit pas d’une entité extérieure que l’on peut
trouver dans le monde. Il s’agit plutôt d’une révélation étonnante qui émerge de l’intérieur de nous-même. Notre esprit tisse souvent des illusions, créant un monde qui peut ne pas refléter la
réalité.
Pourtant, lorsque nous apaisons nos pensées, quelque chose de magique se produit. Nous entrevoyons une réalité différente, le royaume de la suffisance. Là, nous rencontrons la pure vérité des
choses, sans confusion ni distraction. Dans la cinquième dimension, nous rencontrons une puissante fusion de vérité, de beauté et d’amour – un mélange harmonieux d’énergies cosmiques. C’est un
lieu de joie profonde, qui dépasse nos expériences quotidiennes.
Nous nous sentons profondément connecté à quelque chose de plus grand, la conscience universelle. Cette expédition nous invite à explorer notre moi intérieur et à percer les mystères de la
cinquième dimension. En nous aventurant à l’intérieur, nous dévoilons les trésors de la vérité, de la beauté, de l’amour, du bonheur et d’un profond sentiment de compréhension. Nous
découvrons l’enchantement qui réside en nous, et les clés nous permettant de libérer notre plein potentiel et de nous connecter aux merveilles illimitées de l’univers.
Le treillis magnétique, instrument du verrouillage
La façon dont le corpus prédateur de 4ème dimension verrouille l'humanité dans la matrice de 3ème dimension repose sur l'utilisation d'un référentiel sacré originel, détourné de son sens profond.
Ce référentiel est présent dans l'inconscient collectif, et c'est pourquoi il apparaît logique et cohérent aux êtres humains. Il est enseigné de manière profane dans les savoirs dispensés, tout
particulièrement les mathématiques (arithmétique, algèbre et géométrie). Quant aux chercheurs de vérité - comme par exemple nombre de Francs-maçons -, ils sont pour la plupart égarés par une
présentation fallacieuse de sa soi-disant explication symbolique sacrée. Le treillis (matrice) de l'univers confiné au champ de l'astral constitue ainsi l'exemple type d'une manipulation de masse
induite dans la psyché de l'humanité, délivrant un enseignement dévoyé aux apparences extraordinaires...
Modèle géométrique et fonctionnement
Ces quelques lignes contiennent à elles seules les clés nécessaires pour comprendre la gigantesque manœuvre de désinformation qu'est le secret de cette géométrie sacrée. Effectivement, la Fleur
de vie est véritablement le modèle géométrique d'un champ électromagnétique - le courant d'énergie fort en physique - décrivant le développement de la Vie, celle-ci se traduisant sous forme
d'énergie, ondes en vibrations ou fréquences*.
Ainsi, lorsque ce modèle géométrique est dépolarisé, et de ce fait inversé, il est privé du courant d'énergie faible de l'Univers, l'éther, explicative du non visible*². Il oriente alors toute
forme de vie non pas vers son expansion, mais à sa rétraction, c'est-à-dire au repli de sa propre énergie sur elle-même, pouvant l'amener jusqu'à s'auto-détruire.
Il constitue également un dispositif électronique, qui comprend classiquement trois canaux de fréquences dits "filtre passe-bas" (ou coupe-haut), "filtre médian", "filtre passe-haut" (ou
coupe-bas). Chaque canal étant constitué d’un condensateur (composant de stockage de l'énergie électrique mesurée en Farad assimilable aux capacités et potentialités humaines) et d'une résistance
(composant de transformation de l'énergie électrique mesurée en Ohm assimilable aux capacités résistives humaines) aux caractéristiques spécifiques, la résistance varie selon l'intensité mise sur
le potentiomètre (la résistance variable à trois bornes) afin d’autoriser ou d’interdire l’échappement d’une fréquence plus élevée. Nous pouvons ainsi comprendre comment les gardiens de la
Matrice cyber manipulent le treillis électronique astral des fréquences terrestres par le filtre passe-bas, celui-ci laissant passer les fréquences basses, et atténuent considérablement le filtre
passe-haut des fréquences élevées, celles en provenance du champ cosmique. Il en découle la réduction sinon l'atrophie des possibilités offertes par le génome et le cerveau de l'être humain dans
le décodage des informations en provenance du champ éthérique, l'a-matière (ou matière noire) via l'air, les champs magnétiques, les ondes électromagnétiques, les infrarouges et ultraviolets,
ceux-ci ne détectant qu’une plage réduite des ondes sonores, lumineuses, olfactives, gustatives et tactiles*³.
En conséquence, toute forme d'existence enfermée dans une Fleur de vie dépolarisée et à son champ de basses fréquences, c'est-à-dire privée de toutes les puissances énergétiques universelles à
même de lui fournir toutes les informations nécessaires à son bon fonctionnement, construit alors elle-même sa matrice d'involution, sa propre prison. Et ceci bien sûr n'est pas enseigné...
La modélisation de l'univers repose sur une figure géométrique connue des ésotéristes, nommée la "Fleur de vie" (Cf. image). Dans son ouvrage L'ancien secret de la Fleur de vie - Tome 1
- appelant à titiller l'imaginaire des chercheurs de vérité, l'auteur états-unien Drunvalo Melchizédek au nom d'emprunt spécifiquement choisi* écrit : "Jadis, tout ce qui vivait dans
l'univers reconnaissait la Fleur de vie comme le modèle fondamental de la création — une conception géométrique qui permettait d'entrer et de sortir du plan de l'existence physique. Puis, d'un
très haut niveau de conscience, l'évolution dans les expériences de la dualité nous a voilé qui nous étions vraiment. Cependant, le secret de la Fleur de vie a été conservé pendant des milliers
d'années dans les anciens artefacts et sculptures du monde entier, et encodés dans les cellules mêmes de toute vie".
* Il est au même titre que nombre d'autres auteurs/enseignants/gurus "illuminés" tel Vincent Bridges adepte de sortes d’initiations dans la Grande pyramide de
Gizeh qui futconstruite par focalisation d’onde sonore afin de permettre l'ouverture de portail temporel. Mais c’est comme "le Magicien d’Oz" (Cf. romanpour enfants écrit par Lyman Frank Baum paru en 1900 aux
États-Unis) : quand il finit par être démasqué, il reste un mystificateur qui donnait de faux cœurs, de faux diplômes et des recommandations sans valeur...
Comment la conscience de l'humain établit le modèle géométrique de sa bulle de réalité.
La conscience de chaque humain qui est exprimée sur Terre - la 3-D circonscrite à l'espace-temps limité* -, constitue une bulle, qui jointe à d'autres, créent des
champs d'énergie électromagnétiques de nature géométrique - les égrégores -, ce qui est symbolisé dans les traditions par la géométrie de la "Fleur de Vie". Ainsi, l'espace-temps linéaire,
"l'illusion du passé-présent-futur", n'est qu'une interprétation de notre cerveau par la croyance y relative ancrée dans l'égo-mental, et de ce fait liée à la densité de réalité dans laquelle
l'être humain se situe (la densité de l'espace-temps est établie sous le nom de "résonance de Schumann", qui mesure la différence de potentiel
électromagnétique entre la surface de la Terre et l'ionosphère et en établit une moyenne qui donne une idée de l'accélération moyenne du temps ressentie par l'homme dans la mesure où elle affecte
la sphère neuropsychologique et cognitive ainsi que la fréquence du rythme sensorimoteur - RSM). Cette notion linéaire du temps fluctue cependant selon les interférences des forces cosmiques et
psychiques sur le champ électromagnétique terrestre, la perception de ces interférences spatio-temporelles différant d'une personne à l'autre. Ces interférences se répercutent également sur la
surface de la Terre par des changements climatiques et géologiques. En effet, ce qu'il se passe au niveau du microcosme se passe aussi au niveau du macrocosme, et inversement ! De par leur
nature, ils sont mutuellement liés.
Dans la mesure où la conscience crée la gravitation, l'ensemble des lignes temporelles ou dimensionnelles qui forment un champ de particules sont illisibles par la
conscience tant que celle-ci reste "enfermée et limitée" par les croyances du cerveau-ego. Et celui-ci a été conçu et paramétré par nos maîtres généticiens à travers l'amputation de nombre de
brins de notre ADN pour ne lire et comprendre qu'une seule réalité : la densité dans laquelle nous nous trouvons caractérisée par la loi de la dualité, les opposés antagoniques. Nos croyances
sont donc liées au treillis magnétique terrestre au sein de sa galaxie solaire d'appartenance (La Voie lactée) du champ astral. Néanmoins, grâce à cette forme d'illusion sélective, la conscience
se manifeste et s'exprime à travers différentes formes de vie afin d'élargir son champ de création.
Ainsi l'illusion ne prend en compte qu'une seule fréquence magnétique de réalité, qui est structurée selon la cohésion et l'ordonnancement des particules dans notre
environnement. Elle représente une seule possibilité de réalité-densité, soit notre "univers personnel" ou le monde que nous nous créons au travers de notre conscience. Elle est décodée
instantanément par nos sens physiques et transmise au cerveau, et ce sans la réalité d'existence dans laquelle se trouve notre âme*² (notre corps astral, non soumis à la gravitation et à la
densité, n'est pas lié à l'espace-temps). C'est cette fréquence magnétique maintenant notre conscience incarnée dans un corps de densité qui correspond à une ligne temporelle, celle de la vie
présente que nous vivons. De ce fait, toutes les lignes temporelles dans lesquelles notre conscience "s'incarne" peuvent-être considérées comme un champ d'illusion/expérimentation, concepteur de
croyances...
La Fleur de vie peut être trouvée dans toutes les religions majeures du monde, car elle contient les modèles de la "Création" - Ce Qui Est - tels qu’ils émergèrent
du "Grand Vide" selon les pensées du "Créateur". Ce symbole est de ce fait considéré comme sacré, puisqu'on retrouve en son intérieur toutes les constructions de l’univers, les corps platoniciens
(le tétraèdre, l’hexaèdre ou cube, l’octaèdre, le dodécaèdre et l’icosaèdre - CF. image), ainsi que l’Étoile de David (ou octangle étoilé) et le Cube de Metatron*.
Elle découle de la création de la "Graine de vie" (Cf. image 1), dont le même mouvement en vortex (spirale) crée la structure suivante dite "Œuf de vie", base de la musique, les distances entre
sphères étant identiques aux distances entre tons et les demi-tons. S'appliquant tant à la structure de l'atome de l'Univers que de la condition humaine,
elle est identique à la structure cellulaire de la troisième division embryonnaire (la première cellule se divise en deux cellules, et la quatrième en huit). Ainsi la même structure, alors
qu’elle se développe un peu plus, crée le corps humain et tous les systèmes d’énergie. Par la création de plus en plus de sphères pour constituer l'ensemble de la Création, la structure finale
est appelée Fleur de Vie, symbolisant de ce fait à la fois la création et la croissance, celles que l’on retrouve de manière naturelle dans la nature mais aussi chez l’être humain qui souhaite
agrandir son horizon, son champ d’action, ses connaissances. Le cercle qui entoure souvent la Fleur de Vie peut facilement faire penser à la couche protectrice d’un ovocyte, soit la vie qui
s’exprime à travers un corps limitée par cette enveloppe matérielle. Sans son cercle, la figure symbolise alors la vie elle-même, c’est-à-dire le développement infini des cellules. Elle est donc
la parfaite analogie du phénomène d’expansion et d’énergie vitale.
La Fleur de Vie contient un symbole secret créé en traçant 13 cercles à partir d’elle, faisant apparaître en son centre le "Fruit de vie" (image 2). Il contient 13
lois mathématiques et géométriques, autrement dit des systèmes d’information*², chacun expliquant un autre aspect de la réalité. Ainsi ces systèmes sont capables de donner accès à tout, du corps
humain jusqu’aux galaxies. Dans le premier système, par exemple, il est possible de créer n’importe quelle structure moléculaire et n’importe quelle structure cellulaire qui existent dans
l’univers. En d’autres termes, n’importe quelle créature vivante.À partir des points d'intersections de La Fleur de Vie (image 3), on peut retrouver l'Arbre
des Sephiroth de la cabale hébraïque, duquel on peut relier les six sphères centrales pour retrouver l'Étoile de David. Pour ce qui est du Yin-Yang, il est contenu dans les cercles que forme la
semence de La Fleur de Vie. En superposant les deux yin-yang (sens horaire et anti-horaire) on constate que le huit formé passe exactement par les sphères de l'Arbre des Sephiroth.
La forme la plus commune de la Fleur de vie est un modèle hexagonal - où le centre de chaque cercle est sur la circonférence de six cercles environnant de même
diamètre -, fait de 19 cercles complets et de 36 arcs circulaires partiels, le tout entouré d’un large cercle. La Graine de vie est quant à elle formée à partir de sept cercles placés en
symétrie, formant un modèle de cercles et lentilles, qui agissent en tant que composant basique du design de la Fleur de Vie.
*Le Cube de Metatron contientl’ensemble des 5 solides de Platon et, parfois, l'étoile de Daviden
plus. Il est une représentation de la Merkaba, le véhicule de lumière de la cabale hébraïque qui permettrait à l’âme, l’esprit et le corps de s’exprimer dans de nouveaux niveaux de
réalités.
*² Ici réside la base du modèle totalitaire transhumaniste en cours de déploiement à partir des technologies informatiques et numériques conduites à travers les
systèmes d'information et leur connexion. Qu'il l'accepte ou non, tout contributeur concerné (informaticien, ingénieur réseau, programmeur... et tout particulièrement l'architecte en chef - DSI
-) est un agent du corpus prédateur, même si une communauté résistante - pirates/hackers - s'évertue à lutter de l'intérieur pour en retarder ou perturber la mise en œuvre.
Saturne, figure du cube prison
Saturne, le dieu romain* quipréside la période qui précède le solstice d'hiver (la mort de la Nature), celle des
Saturnales,est représenté comme la tête du panthéon des dieux régnant sur la conscience des êtres humains crédules car ignorants. Ceci signifie qu’il
est piégé dans une conscience basse et une perception superficielle de la Réalité. Autrement dit Saturne est le Cube, métaphore de l'esprit piégé par les dimensions de la 3-D terrestre, prison
mentale manipulée par des influences extérieures. C'est pourquoi certains auteurs inspirés considèrent que la matrice est un cube noir vu de l'espace, ce qui rappelle la forme géométrique de
certains de ses relais dédiés à l'asservissement des consciences (la Mecque de l'islam, le phylactère juif, la croix chrétienne dépliée).
Pour "s’échapper", il est indispensable de transcender les étapes de la conscience en élargissant notre perception de la réalité par la dissipation de
l’illusion, ce qui passe par le développement d'une plus grande compréhension. Pour ce faire, il est indispensable d'aller au fond de soi et de se débarrasser de ce qui n’est plus nécessaire
(mauvaises habitudes, dépendances, guérir d’un traumatisme, sacrifier ses désirs égoïstes, etc). Il s'agit de penser en dehors de la boîte cubique !
* Dans la mythologie grecque il est Cronos, leRoi des titans, ces divinités géantes,
frère des cyclopes et des géants qui ont précédé les dieux de l'Olympe, les faux dieux asservisseurs de la civilisation humaine.
Les 1 et les 0
Les "illuminés" qui pensent et dirigent se disent des "1", à l’inverse du peuple, les moutons, qui sont les "0". C’est-à-dire rien, le vide, le néant. Ils sont les
travailleurs, les fourmis, les abeilles, qui construisent et produisent exactement ce que décident les élites, le miel qu'elles consomment avec délectation : la technologie, les industries... Ils
les offrent à quelques UNS quis’efforcent de les occuper par tous les moyens possibles. Ils sont "con-damnés" à
leurs yeux, multitude grouillante qui les insupporte. Et cela fonctionne à merveille.
La société est traditionnellement représentée dans les sociétés et ordres ésotériques occultes par la ruche. Ses habitants sont les abeilles, qui naissent
uniquement pour butiner les fleurs et récolter le miel. Les abeilles* font "Zzzzz", de même que le dormeur. C’est la raison pour laquelle de nombreux logos, en particulier ceux des mutuelles
(assurances), sont représentés par un hexagone, c’est-à-dire une alvéole. Assurance que les 0 continuent à dormir, car la vie d’une abeille se résume à se reproduire, être sélectionnée, être
triée, être dirigée, être abattue. Si certaines abeilles se souviennent de leur état d’humain, toutes les autres ne s’en rappellent pas, pensant qu’elles sont des hommes alors qu’elles ne sont
que des abeilles. Elles se contentent de "sex drug rock’n’roll", de travailler, de se marier, d'aimer leurs enfants, de se divertir, et bien sûr d'avoir un plan funéraire. Il faut bien penser au
"plan Obsèques" au royaume des morts. Les 0 travaillent même pour payer leur propre mort. Et le mieux, c'est qu'ils trouvent cela normal. Pourtant, n’est-il pas effroyablement absurde de parler
du financement de la mort quand on est déjà... mort ? Travailler pour payer sa mort en aimant son travail... lequel n’est rien en échange de l’indispensable papier nécessaire pour avoir sa place
sous terre !
*Le symbole de l'abeille traduit par leur disparition en cours la course folle à notre perte. En se focalisant sur le
réchauffement climatique, vaste fumisterie qui tout en nous taxant plus ne remet pas en cause le modèle économique - la consommation de masse - qui y contribue. En ne laissant plus de place par
notre avidité aux autres espèces, nous contribuons à ne pas permettre la sauvegarde de notre biosphère à laquelle contribuent les abeilles. Ainsi l’utilisation de pesticides nocifs aux abeilles
en agriculture a contribué à faire mourir l'hiver 2017/2018 au moins 20.000 colonies en Bretagne. Une véritable hécatombe qui conduit tant à une situation financière dramatique des apiculteurs
qu'à une reconstitution hypothétique de leur cheptel. En attendant que cela ouvre de nouveaux marchés, ceux de l’abeille robot qui viendra polliniser mécaniquement et artificiellement nos plantes
pour que nous puissions encore manger un peu...
La grille ou le treillis de la planète est énergétique, se traduisant par la présence autour de la Terre d’un champ d’énergie psychique* qui connaît une expansion de son énergie sous forme de
patterns géométriques. Dans ce champ d'énergie sont
contenus des "sortes de registres de mémoires" concernant toutes les formes de vie et l’histoire de la planète. Quant à la géologie des continents, avec ses structures montagneuses chargées de
cristaux de silicium, elle répond parfaitement aux schémas directeurs énergétiques de cette grille. C’est ainsi que toutes les structures de ce que l’être humain reconnaît comme l’univers
physique s’ordonnent selon des schémas bien déterminés.
* D’après les scientifiques russes, ce champ d’énergie serait constitué d’une sorte de tissu plasmatique/éthérique chargé d’énergie émotionnelle. Cette
découverte a été "détournée" par les mondialistes et utilisée pour provoquer le Grand Reset actuel, afin de devancer la grande transition naturelle de l’humanité vers un niveau supérieur que
malgré tout elle est déjà en train de vivre.
Initiation occulte à la puissance de la Fleur de vie
Comme toujours, l'être humain a le choix de son évolution à travers le maniement des symboles. En mode "Service de Soi" tel que pratiqué dans les cercles
ésotériques type Franc-maçonnerie*, la Fleur de vie recèle le prédateur qui maintient l'humanité en esclavage. Ainsi, en suivant le protocole tel que défini ci-contre, ce que nous voyons apparaitre est une entité reptilienne, effrayante et farouche dans son regard. Une seconde, encore plus effrayante (un Dragon chinois), surgit en faisant
pivoter la fleur de 30 degrés et en répétant les étapes.
La première entité est appelée "l’homme khaibit", correspondant à la maîtrise du 10ème degré. Nous pouvons ainsi comprendre de quelle façon le corpus prédateur
agit. En attirant certains êtres humains avides de connaissances cachées constitutives d'un pouvoir puissant, il loge dans leur psyché le virus mortifère de l'involution. Si par l’Âme unifiée le
Soi supérieur n'a pas été purifié de tout le prurit psycho-émotionnel pré-existant en toute conscience et en toute connaissance de cause, l'impétrant demeure enserré dans les filets de la matrice
corruptrice et constitue un relais de choix pour le jeu mortifère du corpus.
De manière relaxée, assis à 1 mètre de votre écran, laissez la fleur de vie vous faire doucement regarder dans le vide. Alors la fleur s’ouvrira. En essayant de ne
pas vous focaliser à n’importe quel endroit, continuez à regarder dans le vide, en prenant la fleur comme un tout. Vous pouvez avoir mal à la tête et les yeux qui piquent, mais cela va rapidement
disparaitre. Nous ne voyons pas avec nos yeux, nous voyons à travers nos yeux. Laissez votre esprit se focaliser, ne le combattez pas.
L'anneau de pouvoir macrocosmique
Tel nous l'enseigne la production hollywoodienne Le Seigneur des Anneaux, l'anneau symbolise une alliance par une "relation privilégiée" avec un autre être. Ainsi l'anneau de mariage,
qui est une menotte psychique qui nous tient prisonnier par la signature d'un contrat attestant de notre appartenance à la matrice du "Service de Soi". Sous l’œil avisé de l’Église, pour
beaucoup, et de l’État, les deux grandes autorités reptiliennes, le couple s'unit et les deux amants qui mentent à leurs âmes, "âme-ment", célèbrent la possession de leurs âmes lors de leur
premier "a-couple-ment". L'anneau officialise le mensonge du couple qui jure fidélité au prédateur. C'est un Anneau de Pouvoir. L'être humain n'aura cesse tout au long de son parcours terrestre
de les empiler - contrat de travail, d'assurance, d'emprunt, de location... -, s'enferrant comme débiteur de son créancier esclavagiste de sa (non) conscience. Il ne cessera naïvement de
revendiquer ses droits, alors qu'il n'aura eu cesse de s'offrir sur l'autel de sa propre immolation.
Nous pouvons ainsi mieux comprendre pourquoi nombre d'élites qui appartiennent à la noblesse - "l'anneau blesse" - constituent comme forces oppressives les relais terrestres du corpus prédateur
de 4ème dimension*.
Des livres les plus lus au cours des soixante dernières années
1- La Bible,ensemble de textes sacrés pour les juifs et les chrétiens, dont les
auteurs sont estimés à 40 sans aucune certitude.
2- Le Petit Livre Rouge,parfois aussi appelé Les Plus Hautes Instructions duchef
militaire chinois fondateur de la république populaire de Chine Mao Zedong (1893/1976).
3- Harry Potter de laromancière et scénariste anglaiseJoanne Rowling, plus connue sous les noms de plume J. K. Rowling et Robert Galbraith.
4- Le Seigneur des Anneaux (The Lord of the Ringsen anglais) de l'écrivain, poète, philologue, essayiste et professeur d’université britanniqueJohn Ronald Reuel Tolkien plus connu sous la forme J. R. R. Tolkien (1892/1973).
5- L’Alchimiste du romancier brésilienPaulo Coelho de Souza dit Paulo Coelho.
6- Le Da Vinci Code du romancier américainDaniel Gerhard Brown dit Dan Brown.
7- Twilight (Crépuscule en français) de la romancière américaineStephenie Meyer née
Morgan.
8- Autant en emporte le vent (Gone with the Winden anglais) de l'écrivaine américaineMargaret Munnerlyn
Mitchell (1900/1949).
9- Réfléchissez et devenez riches (Think and Grow Rich!en anglais) de l'auteur américain en développement personnel Napoleon Hill (1883/1970).
10- Le Journal d’Anne Frank (Het Achterhuisen
néerlandais)de l'écrivaine allemandeAnnelies Marie Frank plus connue
sous le nom d’Anne Frank (1929/1945).
Des lignées royales
Les familles ou lignées royales - les élites de la noblesse ("l'anneau (qui) blesse") - ont des activités pré-ordinées destinées à assurer le contrôle des masses
humaines esclaves, et qui n'ont pas nécessairement à voir avec une position séculière établie. C'est pourquoi elles revendiquent une pureté originelle de leur lignée génétique, dite "sang bleu"
(on parle de bleu royal pour les dynasties royales de France). Elles établissent ainsi le lien avec la civilisation atlante, de couleur bleue, qui avait atteint un haut niveau spirituel avant
d'être corrompue et dévoyée par le matérialisme technologique. La recherche de la pureté du sang "originel" est la quête idéologique de tout système prédateur, telle celle menée par Richard
Walther Darré (1895/1953)*, général SS, l'un des principaux théoriciens nazis de l’idéologie Blut und Boden ("le sang et le sol"). Elle n'a en fait pour objectif que l’organisation même
d’une gigantesque réserve énergétique à l’échelle planétaire, dont la fonction première est de nourrir selon les cycles du calendrier cosmique l'entité prédatrice supérieure affamée, au réveil
d'un long sommeil millénaire...
La transmission des secrets de cette civilisation par les survivants du déluge apocalyptique a permis à une prêtrise corrompue d'asseoir sur leur trône terrestre
les gouvernants institutionnels - pharaons, rois, empereurs, présidents - qui conduisent à leur bénéfice prédateur exclusif la marche du monde terrestre, dont beaucoup sont des snobs*².
Il est à noter que les lignées royales perdent inéluctablement le contrôle lorsque les énergies s’accumulent avant
l’achèvement du cycle civilisationnel concerné, ce qui est démontré par la gangrène en cours de leur point de référence majeur, la famille royale britannique...
*Ancien responsable de la politique agricole du Reich, il mettait au point à partir du sang allemand le meilleur, issu de
croisements concertés au cours des générations, le type le plus pur de l’Allemand nordique afin de produire un haut élevage, au sens littéral du terme...
*²Cf. La nouvelle religion universelle. Les snobs, du
latinsine nobilitate, "sans noblesse", sont des roturiers parvenus, à l'égo infatué, qui ont acheté leur pseudo quartier de noblesse (ainsi l'ancien
président de la République française Valéry Giscard d'Estaing) pour faire partie du cercle des (faux) "élus" et bénéficier de leurs réseaux d'influence. Quels que soient leurs efforts, mérites et
talents, ils demeurent aux yeux des premiers des vulgum pecus, des mortels communs et ignorants...
Cf. en complément le livre"La dernière valse des tyrans: La prophétie" de l'auteure états-unienne Judy Zebra Knight, qui à partir desenseignements et des prédictions de Ramtha (un guerrier lémurien en lutte contre les atlantes il y a 35 000 ans), décrit les changements radicaux qui vont
intervenir à la fois par suite de cataclysmes naturels et des bouleversements économiques et politiques, et ce à l'initiative des
machinations des "Hommes Gris", ces grandes familles qui agissent depuis l'ère napoléonienne dans
l'ombre en tirant les ficelles du pouvoir, manipulant le marché boursier, et en possédant la Réserve fédérale américaine et la plus grand partie de l'argent en circulation à travers le
monde.
Sa symbolique représente un symbole phallique de premier ordre pour affirmer sa virilité, notamment le conformisme et la surestimation virile. Elle semble clamer :
"Suivez la flèche et vous découvrirez l’organe qui fonde la légitimité de mes droits et de mon pouvoir!". Elle peut devenir "cravate de chanvre", une obligation qui étouffe, une situation qui
piège et fait perdre ses moyens. On peut avoir l’impression de manquer de liberté ou d’air.
La Cravate
Pourquoi portons-nous une cravate*, tout particulièrement les élites institutionnelles ? La cravate représente la corde, comme l’anneau de mariage. Elle est ce lien
autour du cou (le pendu) au milieu du "V" formé par la veste. Le V fait référence à Eve, la partie féminine, terrestre. Le V dans l’autre sens symbolise Adam, la partie masculine, céleste. Les
deux forment le sceau de Salomon, la Création, tenue enserrée dans sa dimension de 3ème densité par le serpent, l'Ouroboros*² (Cf. image 2). Lors des réunions politiques ou économiques de toutes
sortes - réunions et cénacles de la "prêtrise" païenne - le grade du maître est visible selon la couleur de la cravate portée, même s'il y a quelques différences entre le système français et
américain...
*Attribut vestimentaire incontournable de la mode masculine, elle tire son origine de la bande d'étoffe portée autrefois
par les cavaliers croates qui servirent dans le régiment du "Royal-Cravate" au temps de Louis XIII et Louis XIVpendant la guerre de Trente ans, qui avaient l’habitude de nouer autour du cou des foulards caractéristiques. Les
guerriers de l'empereur chinois Shi Huangdi (IIIe siècle avant J.-C.) portaient également déjà un foulard enroulé autour du cou, indiquant par là leur rang.
A l'échelle macrocosmique, cet anneau menotte se retrouve dans les "trois ceintures de Van Allen". Initialement, la ceinture de Van Allen* n'est pas une
ceinture de radiations. Elle est une succession d'anneaux électromagnétiques géants qui entourent la planète (Cf. image), constituant une barrière électromagnétique qui piègent les
particules à haute énergie issues du soleil pour protéger ainsi la Terre. La radioactivité y est donc très élevée. Constituée naturellement de deux ceintures, interne et externe,
celles-ci ont des origines différentes. Celle découverte par Van Allen occupe une région au-dessus de l'équateur. Elle est un sous-produit du rayonnement cosmique de haute énergie
(primaire).
Ses anneaux ont cependant été dénaturés par des explosions à caractère nucléaire provoquées à haute altitude et par d'autres expériences consistant à mettre
sur orbite des quantités astronomiques d'aiguilles de cuivre. Ces modifications de la ceinture de Van Allen ont ainsi débouché sur la formation d'une troisième ceinture (en jaune sur
l'image), permettant de refléter, tel un miroir, la réalité illusoire planétaire source d'hypnose à laquelle l'humanité s'identifie par ses "Maîtres-artificiers". Ceux-ci, connaissant le
fonctionnement énergétique de la multidimensionnalité, utilisent des vortex ouvrant les barrières de l'espace-temps pour voyager hors de l'espace-temps limité de notre galaxie solaire
d'appartenance*².
Sans cette barrière établie pour empêcher l'être humain d'évoluer en conscience par l'élévation de son taux vibratoire compte-tenu de l'aspiration montante
du flux énergétique cosmique, les prédateurs de 4ème dimension se verraient privés de leur nourriture de survie, puisque liée aux caractéristiques biologiques de l'être humain - la psyché
(l'âme) porteuse de lumière - dont elles sont privées, la pyramide de contrôle terrestre (familles royales, hauts degrés de la Franc-Maçonnerie, élites
politico-religieuses...)*³ ayant pour objectif de la leur garantir.
* Dunom du scientifique physicien et astronome états-unien James Alfred Van Allen - 1914/2006 - qui
étudia les propriétés des confins de l'atmosphère, notamment sur les propriétés magnétiques.
A l'échelle microcosmique, se trouve aussi dans le noyau de l'atome un Anneau de Pouvoir encerclant plusieurs quarks, qui sont les particules vectrices de la force nucléaire faible dans
l'organisme. Cet Anneau de Pouvoir génère la force nucléaire forte - l'électromagnétisme -, dont le spin centripète (rotation vers le centre) étouffe la rotation centrifuge des quarks.
S'il n'y avait pas cet anneau, les quarks pourraient créer un vortex unique, une chorégraphie unifiée et cohérente. L'anneau est en fait l'état le plus commun, celui qui fait le plus de bruit au
point de cacher la musique céleste - la musica mundi* -, la puissante lumière faible. Le mouvement centripète dépend de la force nucléaire forte qui tend à coller les quarks entre eux.
C'est cette même force pour tous les atomes qui provoque le confinement des quarks. C'est pourquoi elle est assimilée à Lucifer, le porteur de la (fausse) lumière, qui transmet la lumière
électromagnétique qui véhicule les images et qui nous trompe. C'est la lumière électromagnétique qui cloue l'homme à l'illusion que la seule réalité est celle que nous voyons et touchons.
Certes notre corps est constitué de milliards de quarks, soit autant de trous noir présents dans chacun de nos atomes ayant la possibilité de laisser circuler l'énergie faible, autrement-dit les
informations universelles non-tronquées. Mais l'anneau de pouvoir qui enserre les quarks de chaque atome du corps humain limite leur rotation, donc la pénétration dans notre chair des
informations nécessaires à l'équilibre du système vivant que nous sommes. Aussi lorsque nous sommes sous hypnose, l'état du moi séparé par les alter (traumatismes psycho-émotionnels causés à
notre âme) en mode "Service de soi", nous fournissons l'énergie nécessaire à l'anneau de pouvoir pour accomplir sa tâche involutive qui dégrade lentement mais sûrement nos corps physique,
émotionnel et spirituel. Si nous parvenons à nous extraire de l'hypnose, ne serait-ce que quelques instants, alors l'anneau de pouvoir desserre son étreinte, les quarks reprennent leur rotation
et une vague d'information régénérative circule à travers chacune de nos cellules. Nos alter peuvent enfin exprimer leur potentiel créateur à travers nous.
L'image ci-dessus*, publiée par Camille Flammarion en 1888 et datant probablement du XVI° siècle, constitue une énigme. Elle a donné lieu à moultes interprétations,
y compris celle considérant qu'elle constitue un faux. Par-delà ses interprétations, tous les auteurs s'accordent à dire qu'elle porte sur la recherche initiatique du "voyageur ou pèlerin",
l'être humain, à travers une représentation fantastique du système du monde à l'instar de l'allégorie de la Caverne de Platon. Elle figure l'être humain asservi dans sa sphère d'appartenance
terrestre, au sein de sa galaxie solaire d'appartenance, La Voie lactée. Celle-ci fait partie du champ astral, autrement dit une bulle de réalité confinée par le champ de conscience prévalant en
4ème dimension - le mode "Service de Soi" -, celui du temps relatif. Il ignore sauf transcendance intérieure la réalité du champ cosmique supérieur, à partir de la 5ème dimension de conscience,
le mode "Service d'Autrui". Le premier est placé sous la coupe de la force des Ténèbres, le corpus prédateur archontique ou reptilien qui manipule les êtres humains au travers de leur inconscient
et par la manipulation génétique effectuée à leur encontre (amputation de brins d'ADN), et ce pour se nourrir des traumatismes psycho-émotionnels générés par leur égo-mental dans la polarisation
faite de par leur fonctionnement binaire (pour ou contre...). Le second est placé sous l'égide de la force de Lumière, le grand champ de conscience de l'Esprit universel, qui ne peut cependant
intervenir que lorsque l'être humain s'est engagé dans le chemin du Héros de sa vie par l'éveil de sa conscience.
Si les orbites des planètes de la voûte astrale n’apparaissent pas, c'est que le message lancé à notre sagacité veut attirer notre attention sur les archétypes
alchimiques du soleil, de la lune et des étoiles, indispensables au changement de conscience à opérer en soi*². Ceci entend qu'ils sont intérieurs et non extérieurs, ceux-ci n'étant que des
leurres destinés à nous égarer ! Et ce d'autant plus que l'astrophysique contemporainepropose une vision révolutionnaire de l'univers et de
la réalité qui nous entoure, certain(e)s de ses praticiens ayant démontré preuves à l'appui que la planète Terre recèle un noyau cristallin en son centreconstitué de 3 sphères imbriquées l'une dans l'autre, signifiant qu'il possède par ses propriétés énergétiques une rotation complètement
indépendante de sa surface. Selon l'astrophysicienne italienne Giuliana Conforto, ce cœur interne qu'elle nomme "le petit soleil cristallin" a la même radio-fréquence que la planète Mercure, la
couche la plus externe et fluide de ce noyau ayant quant à lui la même fréquence que la planète Mars. Et lorsque ce noyau tourne indépendamment du manteau le plus externe de la terre, il possède
quasiment la même radiofréquence que la planète Vénus, qui est légèrement plus basse que la fréquence du manteau visible, la biosphère de la terre (la biosphère présente environ 30 km
d'épaisseur). Bien entendu, tout ceci n'a rien à voir avec ce que la science officielle tente de nous faire croire...
Et si l'homme n'est jamais parvenu à comprendre ce qui se passe en dessous du manteau terrestre, il en est de même pour l'atmosphère au-dessus de sa tête,
avec les ceintures de Van Allen (de 700 à 25 000 km de hauteur) - les anciens astronomes les avaient appelées les sphères de cristal -, qui ne lui permettent
pas de voir ce qu'il y a au-delà. Il est ainsi confiné dans une sorte de pomme, vivant non pas dans son cœur - la zone autour des pépins - mais dans la pulpe du fruit. Il sait simplement
que l'espace extérieur est constitué de la magnétosphère, et que cette dernière est le résultat de l'activité du cœur intérieur de la terre. Celle-ci étant constituée de plasma, matériel
fluide très dense, elle se comporte comme un miroir constitué de ce plasma radioactif. C'est pourquoi l'homme ne peut voir au-delà du miroir, mais seulement la face du miroir dans lequel
il regarde.
Il en découle que l’énergie cosmique permettant sa transformation intérieure, autrement nommée Christique (Le Kiristos), émane pour l’essentiel du
centre de la terre, de ce petit soleil cristallin. Présente dans le cœur de chaque être humain par la vibration de son âme, elle indique logiquement que l'un comme l'autre sont alimentés
non par l'astre solaire de la galaxie d'appartenance, mais par un soleil central galactique qui alimente une multitude de petits soleils comme celui qui se trouve au centre de la Terre.
Celui-ci est porteur de la vraie Lumière, celle du grand champ de conscience cosmique, le champ de l'Esprit. De ce changement de conscience découle la capacité pour l'être humain à
franchir le trou de ver, soit le passage multi-dimensionnel lui permettant tel le figure l'image de s'extirper de la Matrice involutive.
* Elle rappelle la première illustration dans la "Cosmographia Universalis" de 1550 du savant humaniste et cartographe allemand Sebastian Münsters (1488/1552),
ainsi qu'une gravure sur bois de "Margarita philosophica" (1503)de l'encyclopédiste allemand Gregorius Reisch (1467/1525).
Ainsi, par le recours à des technologies hors de portée de l'intelligence humaine, le consortium prédateur a dépolarisé et inversé l'énergie de cette géométrie, afin de contrôler le développement
de la conscience humaine au sein de la 3ème dimension de réalité. Les relais humains de type New Age (écrivains, conférenciers, "channels"...), prétendus éveillés et experts en géométrie sacrée,
en fait manipulés par leur égo-mental, ont révélé la Fleur de Vie comme un "symbole sacré", tout simplement pour que l'humanité ignorante et crédule vénère sa propre prison, comble du sadisme.
Assurément, ce symbole soi-disant "béni par le Divin" l'est uniquement par la prédation de 4ème dimension et ses serviteurs qui se complaisent dans la matrice cyber asservissante.
Traduction des effets (1) : la criminalité
A en juger par les chiffres aux États-Unis, il semble qu’un nombre disproportionné de Noirs soient impliqués dans des crimes ou des activités criminelles, ou
présentent un comportement négatif par rapport aux Blancs (les Noirs sont huit fois plus susceptibles de commettre un crime que les Blancs). Bon nombre des explications fournies, telles que la
pauvreté ou la discrimination, ne semblent pas rendre compte de cette disparité puisqu’elles affligent également bien d’autres groupes ethniques sans qu’il n’y ait une telle relation. En fait,
cette question, qui comporte une multitude de réponses selon l'étude de cequi pousse des individus à commettre des
crimes et du lien entre la race, l’origine nationale, ou l’état d’être physique et la propension à commettre des crimes, n'est jamais abordée par le biais del’altération de la chimie du sang, du corps et du cerveau par le biais d’ondes sonores à très haute fréquence, alors même quela question
des différences physiques entre les races inclue des différences chimiques organiques indéniablespouvantaltérer les
émotions et déboucher sur ce qui est dénommé un comportement anti-social. C'est le cas d'unesubstance chimique,
une hormone sécrétée par l’hypophyse, et qui se trouve en fortes concentrations chez les personnes désignées par le terme de race noire. Il
ne faut de ce fait pas beaucoup d’altérations pour l’amener jusqu’à un niveau que l’on pourrait qualifier de dangereux. Ceci entend bien évidemment
quedans d’autres races - les Blancs ou Orientaux par exemple -, il y ait des individus qui naissent avec des taux supérieurs de cette hormone,
l’"hormone du crime" (le comportement agressif ne se traduit pas nécessairement en comportement
criminel). La réalité est que lanature ou la constitution chimique de chaque individu est adaptée à son environnement natal. Si l’on
considère que la race noire a vécu pendant des millions d’années dans le climat général et la situation environnementale d’où elle est native, il en découle qu’un taux plus élevé de cette hormone
est nécessaire à la survie dans cet environnement. Par le déplacement de cet environnement pour un environnement totalement différent où cet équilibre chimique n’est pas adapté, des taux
supérieurs de cette substance chimique sous effet d'ondes sonores à très haute fréquence peuvent entraîner un comportement agressif d’un type ou d’un autre. Et de la même façon, lorsque d’autres
races ou cultures sont exposées à des stimuli qui augmentent ou modifient leur chimie cérébrale, cela peut provoquer un comportement agressif d’un genre différent qui peut être dirigé vers des
activités plus acceptables au sein d’une société donnée.
Traduction des effets (2) : le piège monétaire
Une autre "toile d'araignée" a été créée sur le plan énergétique pour le contrôle de l'être humain dans la matrice terrestre, celle des réseaux de monnaies
nationales et des institutions financières émettrices comme régulatrices. L'activité financière a toujours été en effet considérée comme la prérogative de l’élite dirigeante, les gens ordinaires
ou du commun n’ayant aucune possibilité de l’influencer. Ils sont tenus de prendre ainsi pour argent comptant tout ce qui leur est dit et proposé.
Peu à peu, au fil du temps, les prêts à taux d’intérêt accordés aux acteurs économiques que sont les entreprises privées et publiques, les organisations de la
société civile (associations, syndicats, ONG, fondations), les administrations centrales ou locales, les ménages (les citoyens ordinaires) et toute autre institution représentative du
fonctionnement sociétal sont devenus une chose familière, normale, et, surtout, à caractère légal pour tout le monde. Pourtant, il ne s’agit que d’usure, autrement de prêt avec intérêt élevé au
rang de légalité. La manipulation subtile réalisée, le tour de prestidigitateur ou d'illusionniste, est qu'elle est présentée à tous ces acteurs comme un privilège qui leur permet de réaliser
leurs projets, leurs rêves, et de combler leurs indispensables besoins.
En réalité, il s’agit d’un véritable esclavage, qui fait peser sur leurs épaules le fardeau le plus lourd qui soit, la peur, non seulement sur le plan financier,
mais surtout sur le plan énergétique, le véritable or pour les entités psychiques rapaces qui s'en nourrissent pour assurer leur survie. Et comme la peur en est la composante la plus puissante,
la plus riche en substance, la crainte constante ressentie de ne pas pouvoir bénéficier de cette monnaie soi disant libératrice ou de ne pas pouvoir rembourser les emprunts accordés la dope en
conséquence.
Cette politique financière qui vise à maintenir les êtres humains dans la peur et dans une tension d'inquiétude constante libère de ce fait une quantité colossale
d’énergie négative à l'échelle planétaire. Elle est bel et bien l'opium, la dopamine et vitamine nécessaires à la survie de nos maîtres asservisseurs terrestres comme extra-dimensionnels par les
basses vibrations qui en découlent. Il en résulte que seuls ceux qui ne sont pas tombés dans l’esclavage financier ou qui s’en sont complètement libérés peuvent respirer librement et exister dans
un autre espace énergétique, dans lequel la peur et les sentiments de dépression et de soumission n’ont pas leur place. Ils sont libérés des caillots d’énergie sombre déposés dans leur aura,
autrement dit dans leurs corps subtils, interdisant les diverses affections et pathologies mentales comme physiques liées.
C'est pourquoi le système prédateur asservisseur et esclavagiste de l'âme humaine n'a de cesse de renforcer son système carcéral d'oppression financière par un
système de plus en plus strict de contrôle des flux financiers de chaque acteur possédant un compte bancaire. L’objectif est bel et bien de priver complètement les individus du sentiment de
liberté et d’indépendance !
Quant aux sceptiques engoncés dans le déni, il suffit de constater l'état libératoire de la conscience humaine. Par-delà les artifices rhétoriques de ses zélateurs* et chantres illusionnés ou
cyniques - Révolution des Lumières, Constitution et Charte universelle des droits humains, Liberté Égalité Fraternité, Démocratie, République... -, nous sommes toujours au même stade de prédation
et d'esclavage que "jadis", seules les formes d'apparence ayant bougé. L'homme n'est-il pas toujours en train de s'auto-détruire et de s'entre-tuer, par le biais de toute une panoplie de moyens
et d'outils que seuls des psychopathes involués peuvent concevoir*² ? Si l'illusion de la 3ème dimension laisse croire que les choses évoluent, celle-ci n'est que le théâtre mortifère au
sein duquel nous nous exprimons qui change continuellement ses décors afin d'empêcher de réaliser que toute vérité a été inversée ! Le climat, le politique en charge des gouvernements, la
justice, l'alimentation, les sciences, la médecine, l'éducation, le système monétaire, la technologie, les religions... ne sont que des valeurs inversées, tout fonctionnant selon les croyances
inculqués, autrement dit à contresens ! Et comme les médias, les scientifiques et autres représentants de l'idéologie de l’État profond nous disent et nous démontrent que tout est normal, qu'il
n'y a pas d'autre chose à penser, nous sommes orientés traîtreusement dans ce système de pensée unique délétère.
La manipulation génétique initiale de l'ADN humain demeurant bridée par le dispositif/treillis électro-magnétique artificiel entourant la Terre, l'homme est empêché de fusionner avec son Êtreté,
son Soi supérieur accessible par son Âme réunifiée*³, seul à même de constituer l'échappatoire salvatrice au-delà du champ astral "prison". Subséquemment, il n'a jamais réussi à élever sa
conscience. Il est même resté à un niveau d'intelligence primaire, le stade "paléoencéphalique animal"...
* Les philosophes et autres experts du mainstream médiatique (chaînes de TV et radios, presse écrite) qui tous les jours sont invités à commenter l'actualité y
contribuent tout particulièrement. En prenant position pour ou contre, en dénonçant et stigmatisant, en se référant à une idéologie de quelque nature que ce soit (et tout particulièrement
humaniste, éthique, morale...), ils entretiennent - manipulés par leur ego-mental exacerbé - le jeu énergétique de la prédation.
Comme Gollum*, la créature des cavernes en possession du précieux anneau de servage, le corpus prédateur de 4ème dimension utilise ses puissants pouvoirs psychiques pour engendrer de
grandes guerres du "Bien" contre le "Mal" avec ses relais terrestres inféodés car sous contrôle.
Le véritable trésor vers lequel Gollum nous guide est de saisir le message de cette servitude, à savoir que par le piège de l'identification au "Bien" ou au "Mal" la matrice artificielle nous y
garde prisonnier... C'est pourquoi, comme dans le cas du baiser de la Princesse au crapaud qui dissimule le Prince charmant, il s'agit d'accepter l'inacceptable.
Aussi ce n'est certainement pas par hasard que le gardien d'un tel secret soit un gnome monstrueux, puisque l'humain est parfaitement conditionné à rejeter ce qui le répugne. Or Gollum manifeste
simplement la présence du monstre souffrant en chacun de nous, puisque maintenu dans la grotte de l'inconscient. Il a besoin de nos soins et de notre attention quotidienne... Dans la mesure où la
race reptilienne ainsi que sa grille énergétique dorée sont depuis ce temps inscrits en notre génétique, puisqu'ils ont utilisé leurs propres gènes à cette fin, les serpents, lézards, crocodiles
ainsi que la multitude de symboles "dragonesques" qu'ils inspirent ne laissent aucun humain indifférent. L'animal reptilien provoque des phobies à en perdre connaissance, ou alimente un élan
passionnel, voire obsessionnel chez certains.
C'est en retrouvant la mémoire de nos origines et en acceptant cet "inacceptable", car jusqu'alors dissimulé par le système institutionnel, que nous pouvons apprivoiser ce "gollum reptilien" en
nous, seul à même de nous permettre de nous extirper de la Matrice involutive*².
* La créature nommée Gollum est un personnage fictif créé par l’écrivain britannique John Ronald Reuel Tolkien (1892/1913) qui apparaît dans ses romans "Le
Hobbit" et "Le Seigneur des anneaux". Il n'est pas sans évoquer le Golem de latradition juive,de l’hébreu goylem ou gōlem signifiant "matière informe" ou "embryon", autrement dit un homme artificiel façonné d'argile et animé de vie par des moyens magiques
(un mot inscrit sur son front ou sur un morceau de parchemin placé dans sa bouche). Antithèse d’Adam symbolisant l'être
humain créé par Dieu, il estdénué de toute conscience et se laisse aller à tous ses pires instincts jusqu'au moment où il s'éveille à Qui Il Est vraiment et
entame son chemin de libération.
Dé-cérébralisation par le mainstream médiatique : quelques exemples en 2020
Les nouveaux guignols/bouffons de l'info et leurs empoisonneurs de conscience : "Le monde tel qu'il
est" (RTL) - Thomas Sotto -;"Le débat des grandes
voix" (Europe 1) - Julian Bugier -; "Les informés" (France Info) - Jean-François Achilli suivi de Jean-Mathieu Pernin -; "Les grandes gueules" d'Alain Marschall et Olivier Truchot & "Neumann/Lechypre", anciennement "Radio Brunet" (RMC) -Laure Closier avecLaurent Neumann et Emmanuel
Lechypre -; "Esprits libres" -Guillaume Durand et Bernard Poirette - anciennement"Accords/Désaccords" (Radio Classique);"Le 10 heures Midi" -Valérie
Expert - anciennement "Les vraies voix" (Sud Radio); "On
est pas couché" (France 2 - Fin de diffusion juillet 2020) - Laurent Ruquier -; "C à vous" anciennement "C dans l'air" (France 5) - Anne-Elisabeth Lemoine avec Patrick Cohen -; "Zemmour et
Naulleau" (Paris Première) - Anaïs Bouton avec Eric Zemmour et Eric Naulleau -; "Les terriens du dimanche" (C8 - Fin de diffusion mi 2019) - Thierry Ardisson -; "L'heure des pros" - Pascal
Praud -; "Face à l'info" - Christine Kelly et Eric Zemmour - & "Punchline" - Laurence Ferrari - (CNews), "9 h. Galzi" - Olivier Galzi - & "Le débat" (LCI) - Arlette Chabot
-.
Quelques indigestes brochettes à éviter sans modération
Jean-Marc Morandini, Cyril Hanouna, Thierry Ardisson, Pascal Praud, Laurent Ruquier, Laurence Ferrari, Yves Calvi, Anne-Elisabeth Lemoine et Patrick Cohen, Anaïs
Bouton avec Eric Zemmour et Eric Naulleau, Christine Kelly et Eric Zemmour, Arlette Chabot, Olivier Galzi, Christophe Barbier, Nicolas Bouzou, Bruce Toussaint, Caroline Fourest, Raphaël Enthoven,
Ruth Elkrief, Apolline de Malherbe, Emmanuel Lechypre, Léa Salamé, Jean-Jacques Bourdin, Alba Ventura, Jean-Michel Aphatie...
"Trashitude" audiovisuelle
Les groupes médias appartenant aux milliardaires du business libéral (Vincent Bolloré, Martin Bouygues, Patrick Drahi, Daniel Kretinsky, Arnaud Lagardère...) sont
les acteurs du Monopoly capitaliste destiné à contrôler les médias audiovisuels & de presse écrite* censés délivrer la bonne sinon sainte parole au bon peuple. Leur raison d’être est triple :
le contrôle des contenus pour servir le fonctionnement du système prédateur, soit l’asservissement des consciences ; la recherche d’influence, pour servir leurs affaires et intérêts d’argent ; la
quête d’audience, génératrice de recettes (publicitaires et abonnements) et de valorisation de la "marque". Ils sont complétés par les officines du service public, aux ordres pour ne pas dire aux
bottes car subordonnées pour propager la ligne éditoriale fixée sous les ors élyséens par les cabinets conseils dédiés, notamment l'états-unien maçonnique Mc Kinsey.
A ce titre, la branche médias des groupes Bolloré et Drahi a choisi comme ligne éditoriale sous-jacente de ses chaînes audiovisuelles l’exploitation de polémiques à
caractère trash (substantif anglais qui signifie "ordures", "déchets" et par métonymie "poubelle") confiées soit à des animateurs provocateurs vulgaires pour viser la cible des jeunes et des
prolos, soit à d'autres plus policés d'apparence s'adressant aux publics de type CSP+. Leur point commun, c'est la psychiatrisation de la pensée et de la parole considérées comme déviantes
à la doxa décrétée, consistant à taxer l'outrecuidant avec haine et mépris d'être (au choix) porteur à leurs sens enfiévrés d'une pensée malade, folle, mensongère, délirante, empreinte de
charlatanisme, de complotisme, de conspirationnisme... quand il n'est pas définitivement exclu, mis à l'index de leurs cénacles infatués.
Dans leur sentence accusatoire toute nourrie de prurit envenimé, ces répliques contemporaines de Tomas de Torquemada, Bernard Gui, Fouquier-Tinville, Saint-Just et
autres Robespierre n'oublient qu'une chose : se regarder dans la glace pour comprendre que ce qu'ils projettent sur autrui n'est que le reflet de leur intérieur vicié, dénaturé.
Souvent entourés de comparses tribuniciens aux rôles dévolus – accusateurs, défenseurs, médiateurs -, représentatifs des trois états du moi involué (les modes
bourreau, victime et sauveur), ils tartinent jusqu’à l’indigestion leur pitance destructrice de la conscience. Si certains assument sans état d’âme leur cynisme attentatoire à l’esprit humain,
d’autres enfilent l’habit hypocrite du bon comparse au service du débat sociétal.
Ces émissions comme tant d'autres sont conçues, à l'image du champ politique, autour de la bataille idéologique entre les protagonistes officiant. Il s'agit au
prétexte d'un libre débat d'une manipulation de masse des "individus endormis", c'est à dire n'ayant pas la conscience assez développée pour se rendre compte de cette manipulation. Ces
protagonistes sont tout simplement des "marionnettes", quise comportent comme des abrutis finis car pensant que personne n'est en mesure de comprendre une
explication technique "labellisée" par l'establishment politique ou académique qu'ils représentent servilement. Ils hurlent sans cesse à la pédagogie des masses, mais n’en font jamais… Pourquoi ?
Parce que la plupart sont adroitement manipulés à travers leur égo-mental (mise en avant et notoriété, considération, argent), incapables de regarder dans le miroir leur intérieur vicié, vérolé,
corrompu, quand ils n'exécutent simplement la partition involutive dévolue comme factotum relais, autrement dit comme "portails organiques" (PO)*.
Les sujets de querelle qui alimentent leur duel médiatisé - politique, économie, éducatif, santé, culture, sportif, migration, racisme, antisémitisme, pédophilie,
injustice, argent, chômage, affaires... - font l'objet d'altercations verbales très judicieusement choisies. Par ce biais, ils affectent insidieusement l'émotionnel de l'auditeur ou spectateur
pour susciter dans son inconscient des sentiments d'injustice, d'impuissance, de colère..., autrement dit l'effet miroir de ce qui est insidieusement glissé en lui via l'inconscient, qui
produisent des émotions et l'incitent à des réactions de vengeance, de révolte, de colère, de haine...
Si chacun observe bien ce qui se qui se passe en lui sur le plan émotionnel, inévitablement l'un des sujets de discussion traités nous concerne de près ou de loin,
ou du moins nous touche. Aussi, en prenant parti pour l'un ou l'autre protagoniste, nous nous laissons prendre irrésistiblement au piège par notre égo*², car nous réagissons à la projection de
notre propre film, alors que ces personnages se sont "manifestés à travers nos vibrations" uniquement pour nous montrer notre propre dualité. Le simple fait que nous nous sentions affecté par
leur "petit jeu" sous-entend qu'ils sont inévitablement rentrés dans notre champ de conscience, à travers nos champs d’énergie. En réalité la scène que nous écoutons et/ou regardons déclenche
automatiquement des mémoires-programmes encore actifs dans nos mémoires, et permet de sonder notre émotionnel. Ces programmes engrammés dans notre ADN correspondent à notre karma non résolu.
C'est pourquoi ils ont littéralement "invité" ces protagonistes dans notre vie, afin que nous puissions les observer. Ils contiennent encore des émotions refoulées, en correspondance avec leur
"petit jeu".
En apprenant à identifier le rôle des personnages, nous pourrions nous apercevoir que ceux qui jouent le rôle de victime rallieront toutes les personnes qui, durant
leur cursus karmique, jouent le rôle de victime. Les autres inversement attireront tous ceux qui endossent le rôle de bourreau/persécuteur.
Il ne s'agit pas de les incriminer, mais de prendre du recul par rapport à la scène que nous sommes en train d'observer. Il s'agit à ce moment-là de faire un arrêt
sur image et observer non pas l'écran, mais de lui "tourner le dos" afin de regarder les émotions qui grandissent en nous et observer nos propres réactions. Interrogeons-nous sur quelle émotion
nous pousse à prendre parti ? Est-ce une impulsion de rejet, de colère, de haine et/ou de sympathie, d'affinité, d'affection envers l'un ou l'autre des personnages ?
Nous pouvons alors comprendre que si nous ne pouvons pas changer ni le scénario du film, ni le comportement des acteurs, nous pouvons changer "notre propre
cassette". En conscientisant que nous avons manifesté cette "intrusion" dans notre vie, nous en tirons la leçon nécessaire à notre transformation intérieure. Dès lors, après avoir sincèrement
regardé les émotions qui se manifestent en nous, nous pouvons simplement éteindre ce film et tourner le dos à notre propre création illusoire.
Fonctionnement du triangle républicain tricoloreinvolutif
La matrice involutive fonctionne à partir d'une triade (ou trinité) destructrice de la conscience de Qui Nous Sommes vraiment, nommée le triangle
"victime-bourreau-sauveur"*. Elle voit l'être humain alterner successivement son identification dans ces états ou rôles inconsciemment interprétés (ainsi la posture en mode bourreau envers autrui
l'est déjà envers soi-même), l'état du moi-égo en mode sauveur étant toujours lié à l'un ou à l'autre état de moi bourreau ou de moi victime. C'est ainsi que les rôles de victime-sauveur ou de
bourreau-sauveur sont engendrés par de la pitié ou de la culpabilité refoulée. Dans tous les cas, l'individu est poussé inconsciemment à agir afin de se soulager par un acte inconscient de sa
responsabilité karmique*² générée par son comportement en l'état de son parcours dominant ou soumis. Et tout naturellement, ces sentiments profondément refoulés l'incitent à se substituer ou à
s'immiscer dans la problématique de l'autre, entraînant l'inévitable déséquilibre source de chaos dans sa vie comme dans la sienne.
Autant dire que toute l'orchestration du fonctionnement sociétal républicain baptisédémocratie représentative parla République franc-maçonne des loges et autres cénacles fermés, est à l'initiative d'individus avides de pouvoir, d'avoir et de paraître, qui captent à leur profit
la représentation citoyenne sur la base de fausses promesses. Et comme il se doit pour cette fraternité affairiste du soi-disant bien commun, ces individus sont rarement sanctionnés de leur
cupidité, ce péché mortel faisant partie des "sept péchés capitaux" rendus célèbres par l'écrivain de Carthage Tertullien au troisième siècle de notre ère,par une justice aux ordres en dépit de ses dénégations (les magistrats et juges sont nommés par le pouvoir exécutif). Tout ceci entretient à l'échelle collective cet égrégore
destructeur du Soi réalisé, les récentes crises liées au mouvement des gilets jaunes comme de la crise sanitaire du coronavirus ou du sempiternel conflit israélo-palestinien l'illustrant tout
particulièrement.
Tout le contraire d'une véritable démocratie impérative, c'est-à-dire reposant sur la capacité du peuple à sanctionner directement les dérives ou impérities de ses
représentants via le référendum d'initiative partagée.
Le groupe institutionnel des "bourreaux", en charge du fonctionnement régalien de l’État, concentre à son encontre animosité et acrimonie. Il est composé
d'individus ambitieux, prêts à tout, inévitablement menteurs au nom du "secret ou raison d’État", et potentiellement corrompus par le poids des réseaux et lobbys dont ils sont redevables tant
pour leur ascension que pour la survie de leurs prébendes et autres hochets d'exercice du pouvoir. C'est ainsi quela plupart des dirigeants en Europe sont
passés par les colloques "Young Leaders" du Forum Mondial de Davos de son machiavélique initiateur Klaus Schwab et autres Bilderberg dédiés à la gouvernance mondiale totalitaire en voie
d'érection. Doctrinaires bien formatés, ils sont les factotums d’une nouvelle "sainte" Inquisition, en l'occurrence comme la précédente maléfique. Ainsi, à titre d'exemple, le sinistre
psychopathe ex ministre de la Santé Olivier Véran (photo 4)avait intégré en 2019 les "Young Leaders de la France China Foundation" sponsorisés par le PCCMTC
- Parti Capitaliste Communiste Mondialiste Totalitaire Chinois -.
Le groupe des "victimes" est composé d'individus ignorants des règles de ce jeu de dupes (ils sont les "perdants" dans cette présente partie d'échecs comme ils ont
été ou seront les "gagnants" dans d'autres), idéalistes et de ce fait naïfs quant aux idéaux proclamés par leurs bourreaux, et infiltrés par des opportunistes y trouvant une rampe de lancement
pour satisfaire leur ambition personnelle ou des manipulateurs à la solde de l'establishment en place.
Le groupe des apparents "sauveurs" reprend les spécificités du groupe des bourreaux ou des victimes (la plupart sont des bourreaux-sauveurs), donnant aux uns comme
aux autres l'apparence d'une honorable voie de sortie.
Ce fonctionnement triangulaire ne peut se faire sans un quatrième groupe, les "snipers" de l'agitation émotionnelle. Composé d'individus intellectuellement
"brillants" - politologues, politiciens reconvertis ou non, philosophes, écrivains, artistes, journalistes, universitaires et experts dans leur domaine respectif - (tous ceux qui composent les
plateaux audiovisuels et les billets ou tribunes de la presse écrite), ils créent par leurs suffisance, vanité, orgueil, fatuité, arrogance, mépris et autre déviance de leur égo hypertrophié, ou
plus rarement la bienveillance et autres sucreries de la psyché illusionnée (l'essayiste Céline Pina ou l'ex magistrat Philippe Bilger en sont les archétypes), les conditions propices au clivage,
à la dénonciation, au jugement de valeur, au procès d'intention voire à l'excommunication, et qui conduisent parcette tragique comédie ininterrompue à
l'abîme de la conscience. Ils se croient vivants. Ce sont des morts-vivants, ignorants des causes profondes* de ce bal des vampires auto-destructeur, car consistant en permanence à s'accaparer
l'énergie d'autrui*²...
*² L'être humain dans la matrice 3-D n'est que le miroir de son prédateur involutif de 4ème dimension de densité, qui pour survivre dans sa dimension
involutive, pilote via l'inconscient les pensées de sa proie humaine génératrices de désordre et de chaos dont il se nourrit, notamment chez celles et ceux appelés à orchestrer les pyramides du
pouvoir, de l'avoir et du paraître à quelque échelon que ce soit.
La puissance mortifère de l'égrégore sportif
Progressivement, au cours des dernières décennies, leconcept de sporta subi de
nombreux changements qui ont conduit à la perte de son sens originel. L'apparition et la montée en puissance du sport professionnel a en effet transformé
l'activité favorite et populaire du sport pratiqué en amateur, pour le seul plaisir procuré par la discipline de prédilection,en une véritable industrie du sport avec la complicité des représentants étatiques qui en ont pris le contrôle, directement ou indirectement. Le sport est ainsi devenu une
marchandise qui s’achète et se vend, générant d'énormes sommes d’argent qui se retrouvent dans les poches des grandes entreprises contrôlées par l'oligarchie mondialiste (Coca Cola, Nike et
consorts), et qui affichecomme seule valeurpar ses icones immatures (à de trop rares exceptions)le vice de l’argent dans la mesure où, trop vite par l'ivresse d'atteindre la gloire et le fric, ellesn’ont pas eu le temps d’accomplir
l'indispensable processus de transformation intérieure garant d'une architecture morale forte et de la seule véritable richesse qui vaille, le Soi réalisé, à l'instar de nombregagnants de jeux du hasard ou qui reçoivent un héritage important. "Argent sans conscience n’est que ruine de l’âme"...
Il en résulte que ces richesses inouïes sont obtenues tant aux dépens des athlètes, qui paient souvent leur succès professionnel de leur santé et parfois de leur
vie, ainsi qu’à ceux des fans idolâtres, prêts à payer presque n’importe quel prix pour assister aux performances de leurs équipes favorites y compris en ayant recours aux plateformes de
streaming illégales, les entretenant dans la traditionnelle peur de la dualité gendarme voleur.
C'est ainsi que la devise "Du pain et du divertissement ou des jeux" ne vieillit jamais dans un monde tridimensionnel, où les individus endormis sont si désireux
d’échapper à leur existence ressentie comme monotone et d’éprouver des sensations fortes faute de stimulation de leur trésor intérieur. C'est la raison d'être de ces entités extradimensionnelles
qui nous gouvernent, qualifiées par d'aucuns de "Dracoreptiliennes"*, qui pour survivre ont besoin de générer des émotions positives comme négatives porteuses de hautes comme de basses
vibrations. Les événements sportifs répondent de ce fait à leurs objectifs de la meilleure façon qui soit, la foule folle des supporters dans les stades rappelant celle qui assistait jadis
vociférante aux combats de gladiateurs ou de taureaux. Ces gladiateurs modernes se battent eux aussi "non pas pour la vie, mais pour la mort", la victoire leur promettant une solide
récompense monétaire comme de prestige (le culte de l'ego). Il s'agit d'un véritable festin pour les démons et les entités du bas astral…
L’apogée de la dégradation du sport dans toutes ses manifestations a été atteinte lors des Jeux olympiques de Paris de juillet 2024, montrant au monde entier à quel
point les mondialistes ont introduit leurs tentacules dans une si belle entreprise de démonstration de la beauté et de la force qui était autrefois la seule justification du mouvement olympique,
afin demettre l’accent sur la force et la grâce humaines célébrées dans l'universalisme des peuples.
C'est bel et bien cette maladie psycho-spirituelle de l'âme humaine, constitutive d'un virus, d'une toxine psychique maligne, qui nourrit le pathogène mental qu'est la psychose collective de
la civilisation humaine depuis sa genèse terrestre*, appelée cependant par l'onde du changement en cours à prendre fin pour celles et ceux s'étant éveillés et ayant réussi le processus de
transformation de conscience*² indispensable à la sortie de la matrice prison, la caverne de la conscience. Et désormais le "temps" presse, le compte à rebours étant lancé...
* Ce cancer de l'esprit qui attaque de manière incognito l'espèce humaine est nommé "wétiko" par les Amérindiens. Telle une lente métastaseopérant cachée dans les angles morts de l'inconscient pour s'y enraciner afin de nous tromper en nous amenant à penser et à agir de manière contraire à nos
intérêts, il engloutit peu à peu toutes les parties saines de la psyché de manière vorace pour servir son infâme programme. Il finit par mourir en même temps que son hôte s'il n'est pas arrêté
par une salutaire prise de conscience. Cf. Les acteurs de la Matrice falsifiée.
Le vécu civilisationnel terrestre repose sur une polarisation du psychisme humain, programmé pour permettre l'expérimentation de la matière viciée placée sous
gouverne des forces prédatrices, involutives, nécessaires au fonctionnement du grand JEU/Je du Vivant. Elle conduit inéluctablement à la grande division entre deux factions opposées, qui voit les
êtres humains dans une large majorité s'y greffer. Deux peuples sont ainsi dos à dos, scrutant dans deux directions différentes et convaincus, certains, de la justesse de leur vision. L'un,
enveloppé avec vertu dans son drapeau culturel identitaire plus ou moins bien-aimé, imagine des panoramas de terreur, fruits des constants dysfonctionnements sociétaux. Ils entraînent peurs et
colères, constitutives d'occasion d'attaquer ceux dont "on" lui a dit - les menteurs même de bonne foi politiciens, religieux, médias, experts divers - qu'ils firent ou pourraient faire ces actes
"démoniaques" individuels comme collectifs, inqualifiables. L'autre, démoli inconsciemment par une douleur intérieure de frustration stérile quant à ce spectacle de désolation - la souffrance de
l'âme -, ne cessant d'entendre les cris perçants et les spasmes de la mort, continue avec espérance et compassion d'attendre les salutaires prise de conscience et résolution du mal endémique
découlant de l'évolution de la conscience, entretenant le "jardin du bien commun" en faisant confiance malgré tout aux proclamations et professions des autorités qu'il continue d'élire, ou tout
au contraire, en en dénonçant les mensonges, intrigues et manipulations.
La (ré)conciliation est impossible. Pourquoi ? Parce que ceux qui s'opposent aux massacre et pillage grandioses des nations sont appelés naïfs par ceux qui les
soutiennent, les actes de terreur commis étant à leurs yeux appelés à être vengés, sous quelque forme que ce soit ! Ils sont ainsi aux yeux des premiers des maniaques sanguinaires sans cœur,
ceux-ci essayant désespérément de faire voir à leurs frères d'humanité que les hommes brillants à la télévision mentent à tout le monde sur pratiquement tout, se faisant alors traiter de
complotistes ou conspirationnistes. Toutes les deux factions opposées sont en cette fin de cyclicité anesthésiées, tant par la prégnance toujours et encore de l'idéologie religieuse poison, que
par l'idéologie de la nouvelle donne informative, médiatique. Celle-ci se traduit par la disparition progressive du livre, source de prise de recul et de réflexion, et sa substitution par la
puissance aveuglante de la télévision et surtout des réseaux sociaux sur la toile numérique. Comme les journaux, ils sont possédés (au sens propre comme figuré) par de grandes sociétés connectées
aux sociétés affairistes qui fabriquent les diverses armes de destruction de la conscience, au sens physique comme virtuel. Tous les individus sont ainsi désormais éduqués au lavage de cerveau du
néolibéralisme uniformisant - la "woke & cancel" culture - et de ses milliardaires psychopathes pervertis, disant que la valeur d'une personne n'est pas dépendante de la langue qu'elle parle,
de la couleur de sa peau, de ce qu'elle porte, de la religion qu'elle préfère.
Et parce que le dialogue apaisé est impossible, il en résulte la guerre, au sens là encore propre comme figuré, nul ne pouvant gagner en réalité sur le jeu d'échecs
mortifère* !
"Pourquoi donne-t-on aux églises une position privilégiée – presque, en effet, une position exclusive – dans le débat social sur la moralité, quand elles sont
probablement les organisations les moins compétentes pour l'avoir ? (...) La moralité religieuse n'est pas simplement sans rapport, elle est anti-morale (...). Les grandes questions morales de
l'âge présent sont celles sur les droits de l'homme, la guerre, la pauvreté, les grandes disparités entre les riches et les pauvres, le fait que quelque part dans le Tiers Monde un enfant meurt
toutes les deux secondes et demi à cause de la famine ou de maladie curable. Les obsessions des églises sur le sexe pré-marital et si les couples divorcés peuvent se remarier à l'église apparaît
méprisable à la lumière de cette montagne de souffrance et de besoin humain. En distrayant l'attention de ce qui compte réellement, et en se concentrant sur la tentative mineure et en tous cas
futile de forcer les gens à avoir des relations sexuelles seulement quand l'église le permet, du mal est fait à la cause du bien dans le monde (...).
Leur demander de prendre une position spécialement autorisée sur des questions morales est comme demander au renard de fixer les règles de la chasse au renard. Les
ecclésiastiques sont des gens avec des croyances surnaturelles ouvertement anciennes qui reposent sur la casuistique morale qui est périmée depuis deux mille ans; il est extraordinaire que l'on
donne une quelconque précédence à leurs points de vue sur ceux qui peuvent être tirés de la richesse de l'opinion réfléchie, éduquée, d'esprit ouvert autrement disponible dans la société."
Anthony Clifford Grayling, philosophe britannique
Quant aux médias alternatifs ou se voulant plus sinon totalement indépendants de l'ombre tutélaire de leur actionnaire étatique ou affairiste (presse, radio, télévision, web), s'ils offrent comme
leur nom l'indique une autre vision pour décrire les événements de ce monde, ils ne font cependant que proposer l'autre revers de la même médaille, quelles que soient leurs formes militantes,
pacifistes, "conspirationnistes ou anti-conspirationnistes" (plus exactement en langue française conspirateurs ou anti-conspirateurs")... Eux aussi contribuent à entretenir irrémédiablement la
dualité dans la psyché de leurs lecteurs et auditeurs.
C'est pourquoi la plupart des gens restent aveuglés par les médias qui, même de bonne foi pour dénoncer avec moultes exemples le rôle dévoyé de l’État, des banques, de la police, de l'éducation,
de la pharmacopée... font que le peuple reste ignorant de ce qui y préside. Rien dans ce monde fonctionne comme il l'imagine, et pour cause, celui-ci étant d'une autre nature dimensionnelle,
chose inimaginable pour la grande majorité des individus. Aussi, lorsqu'ils accèdent à une information qui dépasse leur connaissance ou qui est trop douloureuse à accepter, ils s'empressent de la
dénigrer par leur esprit formaté entre le combat des archétypes bien et mal, chacun choisissant ce qui correspond à ses croyances. En prenant parti pour une cause en croyant lutter contre une
autre*, quel que soit leur parti pris, ils s'astreignent inévitablement à amener leur conscience piégée dans une conception duelle pour continuer à servir l'élite aux commandes, et au plus haut
de l'échelle, les Maîtres de la lumière sombre...
* Ainsi la ligne éditoriale des médias écrits de gauche libérale progressiste (Le Monde, l'Obs, Libération), qui ne cessent de pourfendreles auteurs
écrivains comme essayistes et les médias soutiens jugés conservateurs sinon réactionnaires (Le Figaro, Valeurs actuelles, CNews...) pour leurs thèmes qu'ils qualifient de "classiques" de
l’extrême droite, comme le déclinisme à la Eric Zemmour, la peur du "grand remplacement" popularisée par Renaud Camus, ou le fantasme de la guerre raciale théorisé par Guillaume Faye. Ce procès
permanent en diabolisation comme en instrumentalisation est la marque d'êtres dont l'absence de conscience, en dépit de leur intelligence, est la marque de fabrique, celle d'un égo dénaturé car
illusionné.
Le treillis de la mode vestimentaire et de l'apparence
Subtilement la Matrice utilise le style vestimentaire à ses fins d'uniformisation de la pensée sous couvert de divisions. Ainsi anarchistes, punks-à-chiens ou
zonards, individus spécialement en rébellion contre la société et son système de contrôle, s'habillent pour affirmer leur démarcation en rangers et treillis en tissu de camouflage, exactement
comme les militaires et policiers, les robots au service de la Matrice. Ainsi le révolté contre l'ordre établi qui fait tout pour s'en extraire par la lutte est en fait récupéré et tout autant
formaté que l'urbain tendance qui se laisse pousser une belle barbe brune de "3 jours", le même qui regarde les infos en dénonçant avec colère les derniers attentats des "cruels... barbus
islamistes"…
La mode, en infusant sournoisement le subconscient de la masse, permet ainsi de maintenir confusion et endormissement. C'est toujours la double face de la prédation
: par le rejet du monstre que "je" vois à l'extérieur, je me vêts ou me "looke" à la manière de ce même monstre, lui donnant ainsi libre cours d'agir à travers moi en manipulant les rouages
qui lui sont bénéfiques. Et comme nos prédateurs institutionnels (photos 3 à 12) donnent l'exemple, les moutons de Panurge suivent...
Le piège tendu aux chercheurs de vérité
Dans leur recherche de la "vraie" connaissance, nombre de chercheurs apportent des éclairages ô combien précieux pour secouer la conscience des êtres humains
endormis à eux-mêmes, à Ce Qu'Ils Sont et à Ce Qui Est. Si l'intention est louable, elle n'est pas sans danger, pour eux-mêmes comme pour leurs lecteurs et auditeurs. C'est par exemple le cas du
médiatique Roch Saüquere (photo 1), éditeur de la publication Top Secret (image 2) et du livre La Matrice Artificielle. Ses interventions sur les réseaux sociaux sont guettées
et suivies tant par son "fan-club" que par des "trolls prétendus débunkers" de ses "vérités" assénées, se manifestant par une flopée de pouces rouges propres au fonctionnement binaire de la
Matrice asservissante ... Quant à ses lecteurs/auditeurs "pseudo-éveillés", ils vont s'enthousiasmer souvent de manière dithyrambique lors de la prise de connaissance de ses interprétations du
fonctionnement de la Matrice, celles-ci étant explicitées (images, voix, références) avec talent. Pour autant, cet "aveuglement fanatisé" peut être source d'égarement pour le spiritualiste en
herbe, affilié à un "Maître" extérieur aussi brillant soit-il.
Ainsi soutient-il non sans pertinence une chronologie historique toute autre que la version académique dispensée, qualifiée de "récentisme"* dans la mesure où elle
considère que le fonctionnement de notre Matrice d'appartenance est millénariste, ce cycle de mille ans se terminant à chaque fois par un reset (perte de mémoire civilisationnelle) avant
que de repartir sur un nouveau cycle. A l'appui de sa démonstration, il relève avec raison nombre d'impostures historiques comme archéologiques destinées à égarer et à leurrer les chercheurs de
vérité. Sa vision est bien sûr différente de celle utilisée par d'autres chercheurs de vérité, basée sur le cycle "traditionnel" de 25.920 années appelé "la grande année cosmique"*².
Plutôt que de vouloir les opposer et prendre parti pour l'une ou l'autre version, piège classique de l'égarement de la conscience, il convient de remarquer que
toutes deux décrivent un fonctionnement mathématique, de ce fait codé, de la Matrice cyber, autrement dit du cube d'intelligence artificielle qui retient prisonniers en son sein les robots
biologiques et autres acteurs de sa cyclicité entropique*³. La fin "apocalyptique" est dans les deux cas de figure identique.
Aussi la clé échappatoire n'est pas de porter attention - et par-là même de la tension - à une vérité plus qu'à une autre, ce qui maintient inéluctablement l'être humain asservi au système
prédateur, mais de procéder à une véritable transformation intérieure par le nettoyage de toutes les mémoires sources d'égarement et de division*⁴. En considérant que toute vérité extérieure est relative, jamais absolue, seuls sa distanciation avec
l'extérieur et son recentrage intérieur dans le calme psycho-émotionnel sont à même de délivrer à chacun(e) les clés de son évolution, celle-ci étant à chaque fois spécifique à l'état de
conscience constaté.
"… Oui, c’est parce que les gens croient au progrès et à la culture. Mais il n’y a aucun progrès, d’aucune sorte. Rien n’a changé depuis des milliers d’années. La
forme extérieure change. L’essence ne change pas. L’homme demeure le même exactement. Les gens "cultivés" et "civilisés" vivent des mêmes intérêts que les sauvages les plus ignorants. La
civilisation moderne est basée sur la violence, l’esclavage et les belles phrases. Mais toutes les belles phrases sur la civilisation et le progrès ne sont que des mots."
Piotr. D. Ouspensky - Philosophe russe (1878/1947), "Fragment d'un enseignement inconnu"
"J’ai finalement choisi la liberté plutôt qu’une justice irréalisable, après avoir été détenu pendant des années et risqué une peine de 175 ans sans recours effectif"
Julian Assange, cybermilitant australien etlanceur d'alerte au Conseil de l’Europe à Strasbourg (octobre 2024)
Le filet de la prédation
Cette géométrie créatrice dépolarisée et caractéristique du champ intermédiaire astral retient ainsi toute âme vivante sur Terre dans un interminable cycle de réincarnation, dit karma.
Elle empêche toute conscience d'accéder vers des fréquences plus élevées de son Êtreté, de Ce que l'être humain EST vraiment, hormis quelques éveils de conscience qualifiés par la Tradition de
"Voyage du Héros"*, et qui, souvent à l'occasion d'un accident de vie douloureux, permet d'aller chercher la Connaissance et la Vérité en s'écartant du chemin fréquenté par les foules sous
hypnose.
Le logicien et mathématicien autrichien naturalisé américain Kurt Gödel (1906/1978) est tout particulièrement connu pour avoir
formulé le théorème d'incomplétude, quiapporte une réponse négative à la question de la démonstration de la cohérence des mathématiques. Il a pour ce faire
étudié la théorie générale d’Einstein sur la relativité, démontrant que si ses équations établissaient une catégorie de solutions cosmologiques raisonnables, elles contenaient pour autant des
"boucles causales". Une "Boucle Causale" a la même signification qu’une "Boucle Temporelle", c'est-à-dire qu'elle explique le phénomène consistant à se rendre dans le futur et revenir au point
départ à l’heure et à l’endroit d’où on est "parti". Si elle est appelée "causale", c'est que le temps dans la théorie d’Einstein sur la relativité est un concept relatif, et que différents
observateurs peuvent faire une expérience différente du Temps selon leur état de conscience. L’utilisation du terme "causal" permet ainsi d'éviter d’avoir à utiliser le terme de "temps". Par
extension, ces boucles causales - ou temporelles - correspondent à une sorte de "rotation" de l’univers.
Les boucles causales rendent ainsi plausible le voyage dans le temps !
Dans le fonctionnement de l'Univers et le cheminement de la conscience, la rapide "Voie Descendante" est moins sûre, plus dangereuse, que la lente "Voie
Ascendante". Toute intrusion illégale dans le monde spirituel peut en effet se révéler fatale. On ne peut pas forcer le Spirituel. Si on essaye de rentrer
dans la Lumière sans préparation, on se heurte toujours aux tribulations et dangers de l’Obscurité. Tout au moins, une intrusion forcée dans l’initiation rendra fou l’intrus illégal. Une
préparation intense pour une telle intrusion est nécessaire, et des organes spéciaux doivent être développés, pour percer avec sécurité le voile qui sépare le matériel du Spirituel.
C'est pourquoi dans la Tradition la porte de l’Enfer était gardée par un chien, le Cerbère à trois-têtes. Il est l’image de l’ombre obscure de l’homme, qui, en son
être Spirituel, est également triple. L’homme est corps, âme et esprit*, tandis que le chien de l’Hadès a trois têtes, avec la queue du serpent qui a conduit à la chute de l’Homme dans la
matière, mais non par la fable biblique du religieux dévoyé*². Ce n’est pas un hasard si la queue du serpent est tendue vers le bas, pointant toujours vers le centre de la Terre. Ce n’est pas un
hasard si le dieu psychopompe qui guide les âmes des récents défunts en Enfer est dépeint avec une tête canine. Cette forme sombre à tête canine est le dieu égyptien Thot, le Trois-fois-grand, le
gardien de toute la sagesse de l’initiation. Le véritable chercheur de connaissance n’aura pas à traiter avec le chien à trois-têtes qui garde le monde obscur.
Ainsi, contrairement à ce que prétend l'auteur de L'ancien secret de la Fleur de vie, il ne s'agit donc pas d'une faculté au service du vivant que possède ce treillis, mais d'une
abomination, une véritable ruse de la prédation de 4ème dimension pour que les consciences ne puissent pas évoluer au-delà de la matrice artificielle, la matrice cyber. Le corpus
trans-dimensionnel en mode "Service de Soi " qui gouverne notre Monde a élaboré cette clôture électronique - barrière fréquentielle - sous la forme d'un maillage impénétrable à certaines
fréquences de l'information/lumière, renforcé désormais par le maillage de la technologie satellitaire et son relais terrestre (réseau Haap et fréquences wifi de la 5-G)*. Il a pour fonction de
limiter la possibilité de moduler ainsi que de transformer les fréquences cosmiques qui sont destinées originellement à modifier naturellement l'ADN contenu dans les cellules humaines, réceptacle
de l'information universelle*².
De surcroît, les parties de notre ADN qui n'étaient pas essentielles pour survivre - qualifiées d'ADN poubelle par notre "élite" scientifique... - et qui auraient dû permettre de capter
l'information-lumière, ont été rendues inopérantes par la manipulation génétique faite par le corpus prédateur au moment de la colonisation humaine de la Terre*, nous laissant spirituellement
infirme. C'est la raison pour laquelle l'ensemble de l'humanité, enfermée dans sa matrice constituée par cette cage "high-tech" en forme de fleur de vie sacrée, est restée près de 350.000 ans
avec seulement deux brins d'ADN actifs au sein de son génome. Ceci tout bonnement pour être réduite à un stade de conscience très primitif, gage du royaume des morts et des esclaves.
Le treillis électro-magnétique et électronique de la matrice cyber a pour objectif de retenir le potentiel énergétique expressif de l'humanité, constituant par les
hauts et bas psycho-émotionnels qui découlent du vécu binaire en mode "Service de Soi" le garde-manger des prédateurs de 4ème dimension, entités organiques dénuées d'âme vivant dans les ténèbres.
Ils constituent en effet le réservoir de lumière dont elles ont besoin, l'âme permettant d'expérimenter la physicalité terrestre par les ressentis (émotions) du vécu. Ce potentiel est assimilable
en physique à un condensateur qui stocke l’énergie électrique.
Pour générer cette énergie électrique, le corpus prédateur induit dans la psyché des humains via l'inconscient des pensées destinées à être amplifiées par
l'émotionnel dense propre à l'expression de l'humanité, tout particulièrement à partir des capacités créatrices génératrices de situations se prêtant à des tensions, celles découlant des champs
idéologiques sociétaux (famille, travail, politique, religion, philosophies, sciences,...). C'est par exemple le cas de l'antisémitisme programmé chez nombre d'individus, constitutif d'un
puissant levier de haine de l'humanité, cette programmation s'effectuant de manière précoce. C'est la manipulation de l'égo-mental, qui conduit l'être humain à s'électriser par la polarisation
binaire ("J'aime/Je n'aime pas, C'est bien/C'est mal"). En retour, le corpus récolte et stocke ces énergies humaines denses et puissantes, tout particulièrement lorsqu'elles émanent du champ
collectif (manifestations, meetings, cérémonies, processions...). Elles sont appelées égrégores.
Ces énergies qualifiées en physique de résistance sont ainsi créées par la réaction à quelque chose ou à quelqu'un, à des évènements ou rencontres jugées
désagréables. Il en résulte confrontation, lutte, rébellion, révolte, manifestation, violence, haine, peur, fuite, déni, non-acceptation. Ils ne sont en fait que la manifestation de la résistance
à l’acquisition de l’information, autrement dit à la connaissance, à la vérité intérieure, traduisant la résistance farouche de l’égo-mental au changement, au lâcher-prise, au détachement de ses
attachements et culpabilités, à sa propre transformation. C'est de cette façon que l'être humain est maintenu asservi dans la matrice des illusions, dans l'incapacité de conquérir sa véritable
liberté en devenant Qui Il Est vraiment. Comment alors s'étonner que les souffrances de son âme entraînent les troubles physiques comme psychiques générant toute sorte de maladies et entraînant
inéluctablement la mort ?
L'électromagnétisme dirigé pour le contrôle de la conscience humaine
Les technologies de contrôle des masses et des individus sont au point depuis des dizaines d’années, établies dans des bases secrètes militaires (ainsi leNaval Air Weapons Station China Lake plus connu sous le nom de China Lake), utilisées à de nombreuses reprises dans
le cadre de guerres ou de conflits internes, et désormais en voie de généralisation à l'occasion de la crise sanitaire, plus exactement la "plandémie" Covid-19. Elles se fondent sur le travail
effectué en matière de cartographie des réactions du cerveau en fonction des fréquences des différentes émotions, pensées, comportements, permettant de savoir quelles ondes il faut envoyer, à
quelle fréquence et quelle amplitude, pour obtenir une réaction précise chez une personne cible ou chez un groupe d’individus. Les armes à énergie dirigée sont devenues le nec plus ultra du
contrôle mental !
Ses pionniers sont notamment l'ingénieur-biophysicien russe Georges Lakhovsky (1869/1942) et l'anglais Barry Trower, un ancien physicien expert en micro-ondes et
en armes à ondes millimétriques qui a révélé en 2019 que les micro-ondes étaient employées couramment par les armées et les gouvernements pour nuire à des opposants ou
des ennemis en les rendant malades, et ainsi les faire mourir à petit feu. Il a expliqué que le pire, c'est le Wi-Fi, dont les micro-ondes altèrent le matériel génétique et plus spécialement
l'ADN des ovules, au point que toute la descendance d'une femme atteinte par ces radiations sera impactée de manière irréversible. De son côté, le neurophysiologiste états-unien José Delgado
(1915/2011) fut pionnier dans l'étude des implants cérébraux par ses études financées tant par des organisations civiles que militaires, ayant établi que le comportement et le système nerveux
humain pouvaient être totalement contrôlés par des signaux électriques transmis au cerveau - à l'amygdale et à l'hippocampe - par de minuscules électrodes déclencheurs d'intenses émotions (rage,
désir, exaltation, fatigue...). Celles-ci pouvaient également conduire à un état de concentration profonde ou de relaxation intense, ce que permet par exemple l'hypnose, autre outil de
programmation de la pensée faussement libérateur quoi qu'en pensent ses défenseurs. C'est ainsi que la domination de l'humain robot commandité à distance par l'électromagnétisme sous ses
différentes formes - radiations, psychotronique, sonique, laser... - est devenue la priorité absolue pour le système prédateur à travers ses relais terrestres
En alliant la technologie du réseau HAARP (High Frequency Active Auroral Research
Program) par ses antennes situées en Alaska comme sur la face cachée de la lune à celle des chemtrails, du
réseau satellitaire déployé dans l'espace (environ 20 000) et del’infrastructure sans fil en 5-G, le maillage du
territoire est assuré pour cibler de façon collective ou individuelle la prise de contrôle mental par épandage de nanoparticules reliées au réseau. En d'autres termes, l’utilisation de machines à
infrasons en elles-mêmes peut provoquer tant des réactions négatives de la planète que des réactions négatives chez les humains, ce qui par la boucle de rétroaction constituée peut amplifier la
réaction négative de la planète !
Quant aux entrepreneurs de l'internet tel Steve Paul Jobs (1955/2011), fondateur mythique du géant Apple, ou Bill Gates, fondateur de Microsoft, ils sont les
précurseurs du transhumanisme, l'"i-Humain", soit la nouvelle génération humaine fondue dans l'intelligence artificielle (IA), celle du calcul mécanique abstrait propre à des machines qui conduit
à la destruction de la civilisation humaine. C'est ce que les textes sacrés ont nommé l'"Antéchrist", la marque de la Bête, autrement dit l'identité électronique permettant un contrôle comme un
pilotage à distance total du bétail des dieux de l'Astral, le corpus prédateur. Nul ne sera étonné que l'opération Covid-19 en cours offre l'occasion d'implanter au prétexte de sécurité sanitaire
une puce électronique cérébrale, autrement dit un implant cérébral ("Brain implant")*
* Les premières expériences d'implants de radio-identification, le plus souvent désignée par le sigle RFID (de l'anglais radio frequency
identification) ont été réalisées en 1998 par le scientifique britannique et professeur de cybernétique Kevin Warwick. Son implant a été utilisé pour ouvrir des portes, allumer des
lumières ainsi que pour déclencher différents sons au sein d'un bâtiment. Après neuf jours, l'implant a été enlevé. Il se trouve depuis dans le Science Museum à Londres.
5G, l'outil de contrôle mortifère du champ humain
La G (ou 1G), apparue dans les années 1980, a permis de passer des appels, avant que la 2G dans les années 1990 permette d’envoyer
des SMS. Puis est apparue la 3G dans les années 2000, permettant l’envoi de fichiers légers tels que les images. La 4G quant à elle dans les années 2010 a contribué au développement d’internet
sur les téléphones mobiles. La 5G est le dernier système sans fil que les entreprises de télécommunications ont commencé à déployer en 2020 pour assurer la communication sans fil. Elle est
conçue pour permettre des téléchargements plus rapides avec plus de données, la technologie utilisant les bandes 28, 37 et 39 GHz, également connues sous le nom de spectre de vagues
millimétriques (mmW). Si ellebooste un peu la fluidité de navigation, cela doit surtout éviter la saturation des réseaux
tout en gérant l’augmentation du trafic.
5G, qui vient du terme 5ème génération, est conçue pour fonctionner en conjonction avec ce que l’ancien chef de la CIA, David Petraeus, a appelé Internet of
Things ou IoT*, autrement dit un système de contrôle total du vivant comme du non-vivant. Son agenda consiste à accrocher toutes les choses matérielles de la planète, ainsi que les
humains eux-mêmes, dans un vaste réseau planétaire où tous et chacun deviennent des nœuds dans le réseau, connectés par des micro-puces qui sont de taille nanométrique et peuvent être inhalées
(comme de la poussière intelligente).
Si beaucoup de gens encouragent et plébiscitent l’avancement de la 5G pour plus de commodité et de vitesse, ils évaluent de façon naïve et stupide cette situation
au sujet de la vie privée, de la sécurité et de la santé (cancer, stress cellulaire, dommages génétiques, changements
structurels et fonctionnels du système reproductif, déficits d'apprentissage et de mémoire, désordres neurologiques, impacts négatifs sur le bien-être), qui a conduit en 2017
plus de 230 scientifiques et médecins de 40 pays, se rajoutant à nombre d'agences de santé, à demander un moratoire sur son déploiement
jusqu'à ce que des études d'impact sanitaires et environnementales sérieuses et indépendantes aient été réalisées préalablement à toute mise sur le marché. D'autant qu'il est désormais établi par
les experts officiels que son déploiement conduira àune augmentation significative des émissions de CO2.
En effet, la 5G augmentera considérablement l'exposition aux champs électromagnétiques de radiofréquences
(RF-CEM), en s'ajoutant au brouillard électromagnétique - l'"électrosmog" - déjà produit par la 2G, 3G, 4G, Wi-Fi, etc., exposition aux ondes du sans-fil dont il a été prouvé qu'elle est
nocive pour les humains et pour tout l'environnement du Vivant. Efficace sur des petites distances seulement, cette technologie se transmet mal à travers les
solides, nécessitant beaucoup de nouvelles antennes-relais qui créera une nouvelle architecture du réseau conduisant à une exposition massive à laquelle nul ne pourra se soustraire. Il est en
l'état estiméentre 10 et 20 milliards de connexions (réfrigérateurs, machines à laver, caméras de surveillance, voitures et bus sans conducteur)
!
La 5G n’est pas seulement une mise à niveau de l’infrastructure sans fil : c’est un saut géant vers l’installation d’un réseau de contrôle technologique total ! Qui
plus est, elle exigera le partage des fréquences avec les militaires. Ainsi des centaines de millions de micro-puces seront dans tout et dans tout le monde, toutes les parties de la Terre étant
amenées à être couvertes, de sorte qu’il y aura saturation des radiations urbaines et rurales. Elle est aussi une histoire de gros sous, destinée à rapporter des dizaines de milliards de dollars
à ses propriétaires. Ses enjeux financiers sont mondiaux pour des entreprises qui se précipitent afin de gagner de l’argent en utilisant des technologies dangereuses et des produits non évalués
sur le plan sanitaire (comme pour le tabac, les médicaments de l’industrie, les vaccins, les Organismes Génétiquement Modifiés, etc.). Il s’agit bel et bien de la construction d’un réseau de
contrôle technologique total, dont le but ultime (dessein caché) est de savoir ce que nous pensons et ce que nous ressentons. Plus encore, il s’agira de donner à une pseudo-élite le pouvoir de
littéralement changer ce que nous pensons ou ressentons, afin de mieux contrôler nos actions. En effet, notre peau, le plus grand organe de notre corps, répond directement à la 5G, chaque pore de
la peau agissant comme une antenne et pouvant réceptionner des signaux. Comme nous sommes d’abord des êtres énergétiques mus par des vibrations et des fréquences, affecter énergétiquement les
personnes signifie les affecter physiquement*²... Notre rythme naturel est proche de la Résonance de la Terre (fréquence de Schumann 7,83 Hz). Or, nous sommes soumis à des centaines de fréquences
dont certaines sont des milliards de fois supérieures à ce cycle naturel, certains appareils électroniques fonctionnant dans la bande du THz (TeraHertz, des trillions de Hertz). C’est insensé et
ravageur d’un point de vue sanitaire, expliquant que ClaireEdwards, membre du personnel de l’ONU, ait lancé un avertissement fort aux membres de haut rang
des Nations Unies en qualifiant la 5G de "guerre contre l’humanité", en analogie de l'attente angoissante des combats de la deuxième guerre mondiale (elle est la rédactrice de l'Appel
international demandant l'arrêt du déploiement de la 5G sur Terre et dans l'espace).
Cet agenda synthétique et clairement transhumaniste se déploie devant nos yeux, dans notre quotidien, même si certaines institutions responsables prennent des
mesures adaptées (ainsi les députés vaudois et genevois, qui ont voté en 2019 un moratoire sur les antennes 5G dans leurs
cantons respectifs dans la mesure où en décembre 2019 la Suisse est devenue le premier marché européen à mettre en place des services commerciaux 5G à
l’échelle nationale grâce au partage du spectre Ericsson). Les déploiements 5G sur les marchés européens se concentrent principalement sur les grandes villes, tout comme ils ont lieu à l'échelle
internationale aux États-Unis, en Chine et en Corée du Sud (selon le rapport Ericsson sur la mobilité de novembre 2020, la couverture 5G devrait passer
à 60 % en 2026).
De son côté, Bill Gates a annoncé au second trimestre 2020 son soutien financier d'un milliard de dollars en faveur d'un plan
destiné à englober la Terre de satellites de surveillance vidéo tel que conçu en 2018 par la société EarthNow à travers le lancement de 500 satellites pour surveiller en direct presque tous les
recoins de la Terre, et à même de fournir un retour vidéo instantané avec un délai d'une seconde seulement. De même, par l'intermédiaire de sa fondation Bill & Melinda Gates, il a acheté 5,3
millions d'actions de Crown Castle (dont la valeur totale atteint un milliard de dollars), deuxième holding technologique de la Fondation après Microsoft, et qui possède des infrastructures 5G
dans tous les secteurs majeurs du marché états-unien. Cette société exploite et loue plus de 40 000 tours de téléphonie cellulaire, 65 000 point d'accès à un réseau de télécommunications mobiles
qui constituent l'infrastructure centrale de la 5G, et 75 000 kilomètres de fibre optique qui, au lieu de fournir à votre foyer un Internet sûr, rapide et câblé, ont été confisqués pour connecter
les tours de téléphonie cellulaire 5G.
La réalité est que le véritable objectif de la 5G n'a (presque) rien à voir avec le fait d'améliorer notre vie, mais de la contrôler, de commercialiser des produits
et de récolter des données à des fins d'intelligence artificielle. Le nouvel "or noir" du XXIe siècle est bel et bien les données, celles d'un monde où des dizaines de milliards d'appareils dits
"intelligents" (téléphones portables, ordinateurs, automobiles, ouvre-portes de garage, montres connectées, couches pour bébés et bientôt nos propres corps) sont interconnectés sans fil pour
permettre à Big Data de recueillir et de vendre nos informations personnelles. C'est le projet fou des transhumanistes -Gates, Elon Musk, Amazon, Facebook
(désormais Meta), ITT Inc. (Telecom) et autres titans de la Silicone Valley - que de lancer les vaisseaux phares de cette nouvelle ruée vers l'or sulfureux, flotte grouillante de 50 000
satellites interagissant avec un réseau de 2 000 000 d'antennes terrestres et de tours de téléphonie cellulaire pour extraire les données de nos appareils intelligents. Cette toile d'araignée
émettant des radiations micro-ondes permettra à Big Data/Big Telecom et Big Brother de capturer ce qui se passe à l'intérieur et à l'extérieur de chaque personne à chaque moment de sa vie. Une
grandiose célébration "satanique" d'une fin de civilisation, qui sera finalisée par le passage à la 6-G, celle-ci étant appelée à demeurer "invisible" ! Alors sera consacrée la marque prophétique
apocalyptique de la Bête, le 666 asservisseur de la conscience humaine...
* Réseau interne qui peut sentir, penser et agir, soit un robot intelligent de taille mondiale,combinaison de l’informatique mobile, de
l’ordinateur cloud (sur serveur), et d'énormes bases de données sur l’information personnelle, le tout doué d’une autonomie via l’intelligence artificielle inhérente au système et exponentiel de
puissance grâce aux interconnexions...
*² Selon le scientifique israélien Dr. Ben-Ishai : "Les fréquences 5G vont nous atteindre avec des longueurs d’ondes qui interagissent avec la structure
géométrique de notre peau… ". Concernant l'implication sur la santé, " En 2008, nous avons constaté que les pores de la peau fonctionnent comme des antennes hélicoïdales… Chaque pore est une
partie intégrante du mécanisme d’absorption d’énergie électromagnétique. Toute votre peau fonctionne comme une antenne, en modifier le fonctionnement naturel par des ondes pourrait être
dramatique."
Réseau satellitaire de propagation de la 5-G
Un réseau de 20000 satellites* (il y en avait 1 738 en septembre 2017), utilisant le même type d’antennes réseau à commande de phase que les systèmes 5G basés au
sol, sont en charge d'envoyer des faisceaux étroitement focalisés de rayonnement hyperfréquence intense sur chaque appareil 5G spécifique qui est sur Terre, chacun d'entre eux les renvoyant au
satellite. Ils remplacent les générations précédentes de communications cellulaires RF, qui utilisaient de grandes antennes pour envoyer une couverture de rayonnement dans toutes les directions
(les basses fréquences utilisées et la large distribution des micro-ondes limitaient le nombre de dispositifs cellulaires pouvant se connecter via une tour individuelle). Grâce aux micro-ondes de
longueur beaucoup plus courte utilisées pour la 5G, l'utilisation de petites antennes à réseau phasé permet d'envoyer et de recevoir des signaux, celles-ci consistant en grappes de centaines de
minuscules antennes qui travaillent ensemble pour projeter un rayon d’énergie sur une cible.
Les rayons des micro-ondes qu’elles produisent sont suffisamment puissants pour traverser les murs et les corps humains*². Ils fonctionnent comme des scanners
corporels, permettant ainsi aux services de police à l’aide de caméras spéciales de voir les gens dans leur maison à travers les murs ! Qui plus est, certaines tours en Angleterre peuvent scanner à distance la mémoire de notre smartphone pour envoyer des films publicitaires même si il est éteint...
A noter que les satellites devenus obsolètes disparaissent sous la mer, dans un vaste cimetière dédié. Autant dire que ceci génère un taux de pollution très
conséquent, avec la pleine complicité des autorités concernées...
* Les satellites 5G sont ceux d'entreprises commeSpaceX (12 000 satellites), OneWeb (4 560 satellites) en
partenariat avecHoneywell pour fournir une connexion Wi-Fi haut débit aux avions d’affaires commerciaux et militaires dans le monde entier, Boeing (2 956
satellites) et Spire Global (972 satellites).
*² Lorsqu’un champ électromagnétique ordinaire pénètre dans le corps, il provoque le déplacement des charges et la circulation des courants. Mais lorsque des
impulsions électromagnétiques extrêmement courtes pénètrent dans le corps, quelque chose d’autre se produit : les charges en mouvement deviennent elles-mêmes de petites antennes qui réémettent le
champ électromagnétique et l’envoient plus profondément dans le corps.
Radars routiers nouvelle génération !
Le déploiement de 1200 radars répartis aléatoirement dans près de 6000 cabines a démarré fin 2020. Ces radars
tourelles,boîtes perchées jusqu’à environ quatre mètres de hauteur (pouvant aller jusqu'à six), peuvent relever la vitesse sur 200 mètres de distance et sur
cinq voies de circulation, et jusqu’à 126 véhicules en simultané… Ils peuvent également flasher en cas de non respect d’un feu rouge. Potentiellement, ils peuvent détecter le non respect des
distances de sécurité, la détection des dépassements dangereux, le franchissement de ligne continue, le non-port de la ceinture de sécurité, la prise en main d’une téléphone portable… Le tout est
filmé et analysé, par Intelligence Artificielle et manuellement pour contrôle, ne laissant aucune chance d’y échapper ! Toutes les cabines n’auront toutefois pas de radar, ceux-ci pouvant être
déplacés, laissant de ce fait des cabines leurres.
Ces radars sont reliés à la 5-G par satellite, constituant de par sa puissance une puissance de scanner incomparable, pouvant identifier jusqu'au numéraire embarqué
par ses détenteurs !
De la mise en place du contrôle biométrique
Le Koweït a décidé en septembre 2024 desuspendre l'accès aux services publics etgeler
les comptes bancaires des résidents, citoyens comme expatriés (le Koweït abrite une importante population
étrangère, dont beaucoup possèdent une double nationalité ou des visas de travail temporaires),qui résistent au prélèvement de leurs empreintes digitales
biométriques dans les délais impartis. Si les raisons invoquées pour imposer cet enregistrement des données biométriques numériques sont le renforcement de la sécurité et la résolution des
problèmes liés à la double nationalité, cette initiative s’aligne en fait sur les tendances mondiales en matière de biométrie et de partage de nos données avec des agences sélectionnées. Au même
moment, les Nations unies font pression pour qu’un "Pacte mondial pour le numérique"qui sera géré à l’aide d’une intelligence artificielle "fiable" soit
adopté par 193 pays afin qu’il puisse jouer un rôle important dans la gouvernance mondiale de l’intelligence artificielle, de l’internet, des biens publics numériques et de l’infrastructure
numérique. C'est notamment un des enjeux de son "Sommet de l’avenir" de New York des22 et 23 septembre, car son
"Agenda 2030", son plan mondial pour la paix et la prospérité sur une planète saine, est actuellement en grande difficulté*.
La Banque centrale du Koweït a ainsi demandé aux banques de mettre en œuvre des mesures telles que la suspension des canaux électroniques, le blocage des cartes
bancaires, et éventuellement le gel des comptes pour ceux qui ne se conforment pas aux exigences d’enregistrement. Ces mesures affecteront également les actifs financiers tels que les actions,
les fonds et les portefeuilles d’investissement. Les prélèvements pour les prêts et les hypothèques seront maintenus.
Les droits de circulation ne seront pas affectés, mais les personnes en situation irrégulière qui franchissent la frontière seront tenues d’enregistrer leurs
empreintes digitales. Le pays a également l’intention de partager des données biométriques dans le cadre d’un réseau de sécurité régional, prévoyant à cet effet de collaborer avec Interpol et les
pays du Conseil de coopération du Golfe pour mettre en place un solide réseau de sécurité. Ce partenariat vise à résoudre les problèmes posés par les doubles nationaux qui utilisent des identités
multiples lorsqu’ils voyagent d’un pays à l’autre.
En sa qualité de bon élève se voulant exemplaire, l’Union européenne met en place un système informatique automatisé d’enregistrement aux frontières pour
enregistrer les voyageurs en provenance de pays extérieurs à l’UE.
* L’IA pourrait contribuer à inverser la tendance, destinée à donner un coup de fouet à l’action climatique et aux efforts déployés pour atteindre les 17
objectifs de développement durable.
Comment le treillis de la Matrice retient l’Âme prisonnière après la mort du corps physique ?
Dans son témoignage "Je vois les défunts", l'auteure états-unienne Jane Ross relate les raisons émotionnelles qui font que les esprits restent attachés à la terre,
prisonniers du bas astral. Fruit de son travail thérapeutique, elle montre que cet "attachement" est dû aux croyances qu’une personne peut entretenir sur elle-même comme sur le monde de
l’après-vie, et que sans une ouverture de conscience, elle ne peut "transiter" avec succès pour gagner une autre dimension de réalité. Il y a en effet des lois qui régissent l’environnement
spirituel post-mortem.
Le schéma général est d’abord que les esprits attachés n’ont généralement pas conscience d’être morts, puisque le trauma de la mort semble provoquer une perte de
mémoire. Ensuite, les croyances, engendrant des nœuds émotionnels, des jugements et des visions du monde, sont à l’origine de l’attachement prolongé à la terre. Ces croyances peuvent être
religieuses (par exemple, une idée précise de l’après-vie, du paradis, de l’enfer, etc), psychologiques (affaire non réglée avec un proche, entraînant culpabilité, sentiment de responsabilité,
etc), et bien sûr matérialistes (attachement à ses possessions).
Les murailles de l’égo* semblent ainsi toujours persister pour protéger la personne d’une souffrance non-reconnue. En quelque sorte, les problèmes avant la mort
sont toujours les mêmes après la mort. L’état d’esprit et les émotions, en l’absence de l’effet régulateur du corps physique, semblent prendre une ampleur considérable sur la perception de la
réalité. Il s’agit au final pour ces esprits d’être en paix avec toutes les personnes côtoyées durant la vie physique.
Ces esprits attachés à la terre peuvent souvent partager le champ d’énergie d’une personne incarnée et l’influer avec leurs propres états d’esprit, émotions, et
pensées. Or la plupart du temps, sans un travail thérapeutique ou une certaine sensibilité, ces influences ne sont pas décelées.
Il semble également que l’attente dans ce champ du bas-astral peut être plus ou moins longue, certains esprits étant bloqués depuis longtemps entre les deux mondes.
Une véritable société parallèle semble exister dans ce monde spirituel, et elle est d’une certaine manière consciente de notre environnement. En prenant conscience de son existence, nous
comprendrions beaucoup mieux les liens qui nous unissent, même après la mort, et par-là même la nécessité de s'en défaire pendant notre incarnation pour s'extirper du filet de captation des âmes
insuffisamment épurées ...
Cette barrière électromagnétique du champ astral contrôle la fréquence de résonance de l'entité-groupe constituée par les consciences humaines, autrement dit l'égrégore collectif civilisationnel.
En le contrôlant, elle peut influer par la prédation psycho-émotionnelle sur le déploiement de son jeu mortifère, tout particulièrement par ses relais terrestres psychopathes*, et se nourrir de
toutes ses expressions colorées de peurs, haines, violences, souffrances...
Toutefois, des forces trans-dimensionnelles évolutives, en mode "Service d'Autrui" - les Mères Divines ou Vierges Noires*² - conformément à la loi d'équilibre ou de symétrie prévalant dans
l'univers, ont réussi à en désactiver certains points d'ancrage. Elles ont en l'occurrence permis à des consciences "Service d'Autrui", en provenance de notre futur*³, de s'incarner dans un cycle humain afin d'ancrer de plus hautes fréquences. Grâce à leur vibration de résonance beaucoup plus importante, et par la maîtrise du
travail intérieur qui permet de développer les capacités de l'ADN*⁴, ces individus deviennent des sortes de conduits qui ouvrent le passage à des fréquences
beaucoup plus élevées. Ces fréquences commencent actuellement à affaiblir le maillage de la "matrice de l'ignorance" qui retient l'humain dans sa prison, tel que Platon l'a décrit à sa façon dans
son allégorie de la Caverne, bénéficiant par-là même à d'autres consciences susceptibles d'éveil. Elles préparent à la fenêtre d'ouverture dimensionnelle correspondant à la fin d'un cycle,
conformément à l'application des lois universelles régissant le fonctionnement de la Création. Seuls les ignorants, constituant la majorité de l'humanité, continuent à s'accrocher aux fadaises
racontées par les représentants de l'élite aux commandes auxquels ils sont aveuglément liés, n'ayant jamais imaginé qu'ils détenaient en eux les clés de leur libération en comprenant la nécessité
impérative de regarder le monde à l'envers...
Pour comprendre l'application du modèle géométrique de la "Fleur de vie" comme création matérielle et physique de la matrice de 3ème dimension terrestre supervisée par le corpus prédateur de 4ème
dimension, il suffit d'en observer les éléments explicites répartis dans notre paysage, dans des lieux présentés comme sacrés alors qu'ils ne sont que les points d'ancrage de la matrice
involutive.
En superposant la Fleur de vie complète sur des cartes dites d'État-Major, et après avoir calculé l'échelle correcte, il ressort que tous les sites mégalithiques* considérés comme sacrés -
Stonehenge (Angleterre - photo 1), Carnac (France - photo 2), les menhirs (Asie, Afrique, Europe), les pyramides (partout dans le monde comme en Chine où il y a environ 30 pyramides connues)...
sont, à quelques exceptions près, toujours disposés au centre de six points de cette géométrie. Ce n'est bien sûr pas un hasard, car ils sont tous situés sur des points telluriques qui leur
fournissent l'énergie nécessaire pour alimenter le piège magnétique déployé par le corpus prédateur (Cf. Fonctionnement de l'architecture du Vivant).
* En Sibérie, endroit difficile à explorer, d'étonnants mégalithes sont cachés dans les montagnes de
l’Oural, leurs lignes géantes vieilles de plusieurs milliers d’années n'étant visibles que depuis l’espace. Les chercheurs estiment qu'elles sont bien plus anciennes que les fameuses lignes de
Nazca au Pérou.
Il en est de même pour la plupart la plupart des monuments tels que obélisques (photo 4), temples, églises, cathédrales (photo 5) et certaines architectures dans les grandes villes, telles la
pyramide du Louvre à Paris, lieu du "sacre Macron" (photo 6) ou la Cour suprême d'Israël à Jérusalem (photo 7). Plus précisément, les pyramides font partie d'un dispositif électronique qui
projette l'énergie du réseau tellurique dans l'atmosphère autour de la planète, en inversant sa polarité, et ce en fonction de l'énergie "viciée" reçue initialement de certaines constellations du
champ astral telles Orion (Cf. image ci-dessous) ou Sirius, les planètes à énergie sombre berceaux de nos maîtres prédateurs extradimensionnels. C'est ce qui forme le maillage de ce filet
électro-magnétique à l'énergie inversée qui enveloppe la Terre. Ces sites et monuments, dont beaucoup existent depuis plus de 10 000 ans, sont les activateurs de la matrice de 3ème dimension
placée sous l'égide du consortium prédateur.
A cela se rajoutent les portails extradimensionnels ou vortex en forme de triangles qui établissent les voies de passage des entités venant d'autres dimensions de réalité, comme le fameux
"triangle des Bermudes" dans la zone océanique des Caraïbes (Cf. image 8), lieu de disparition étrange de nombreux navires ou avions, ou le "triangle de l’Alaska" (Cf. image 9), où l’on a observé
des centaines d’ovnis et de "bigfoot" ou "sasquatch"*, et qui a également vu disparaître plus de 20 000 personnes depuis 1970, soit un taux de disparition plus de deux fois supérieur à la moyenne
nationale (selon la World Population Review, l’Alaska est de loin l’État américain qui compte le plus grand nombre de personnes disparues avec une moyenne de 42,16 pour 100 000 habitants, soit le
double de la moyenne nationale de 6,5 personnes pour 100 000 habitants, devant l’Arizona avec 12,28 personnes disparues). Il est situé entre les villes de Juneau, Anchorage et Barrow, qui
délimitent cette zone connue comme un foyer d’activité paranormale, expliquant également qu'il s'agit d'un haut lieu stratégique de technologie militaire comme la Zone 51 dans l'Etat
du Nevada aux États-Unis ou le mont Bugarach en France dans le Sud du département de l'Aude en région Occitanie.
Tous ces lieux représentent les barreaux de notre prison de 3ème dimension.
* Le Bigfoot ou Sasquatch est une créature présentée comme légendaire qui vivrait au Canada et aux États-Unis. Toutefois, la multiplication des témoignages
laisse à penser qu'il s'agirait d'une créature bien réelle, mais n'appartenant pas à la dimension de réalité terrestre dite 3-D.
Si la nature utilise la symétrie triple et sextuple*, y compris la forme de tuile hexagonale du nid d’abeille commun, cette symétrie est également présente dans les établissements anciens, la
corrélation entre les trois plus grandes pyramides égyptiennes de Gizeh et de la constellation Orion étant l’une des plus importantes (Cf. photo 10 du bandeau ci-dessus et photo ci-dessous).
Cette corrélation a bel et bien été voulue comme telle par les premiers constructeurs du complexe pyramidal de Gizeh, les étoiles d’Orion étant associées à Osiris, le dieu de la renaissance et de
l’au-delà par les anciens Égyptiens. D'autres pyramides peuvent être incluses pour compléter l’image de la constellation d’Orion, tout comme le fleuve Nil pour correspondre à la galaxie de la
Voie lactée.
"Si vous voulez découvrir les secrets de l’univers, pensez en termes d’énergie, de fréquence et de vibration."
Nikola Tesla, inventeur d'origine croate (1856/1943)
Quelques Temples relais
Temple d'Amritsar en Inde
Temple d'Osiris à Abydos en Égypte
Les villes sous contrôle
New York, Montréal, Philadelphie, Atlanta, Paris, Pyongyang, Dubaï... leurs pyramides allumées et scintillantes la nuit indiquent le contrôle de ces villes par les
forces de la prédation*.
* Explication dansFonctionnement de l'architecture du Vivant. LeBurj
Khalifa ou "tour de Khalifa" (photo 7) est un gratte-ciel situé à Dubaï aux Émirats arabes unis, devenu en mai 2008 la plus haute structure humaine jamais construite (828 m. de
haut).
Le corps énergétique terrestre sous contrôle
Si l'Homme de Vitruve* attribué à l'artiste italien Léonard de Vinci représente le corps énergétique par ses divines proportions mathématiques, c'est pour signifier
qu'il est en permanente inter-relation avec les énergies célestes (le champ éthérique) qui le nourrissent, pour le meilleur ou pour le pire... C'est ainsi que les "mages babyloniens", relais
terrestres du corpus prédateur de 4ème dimension - la "Matrice astrale" - ont configuré le treillis terrestre pour empêcher ou altérer le passage de la vibration énergétique positive permettant à
l'être humain de recevoir la juste information en toute conscience de Qui Il Est, et ce tout particulièrement dans les capitales portes-étendard dévoyées. C'est ainsi qu'à Paris, le champ de Mars
(photo), le dieu de la guerre, est la réplique florale et minérale de l'Homme de Vitruve, se trouvant dominé par la Tour Eiffel, antenne-relais nécessaire avec le treillis électromagnétique du
champ astral. Elle est le symbole tant phallique que pyramidal de la "père-version", au même titre que l'obélisque de la Concorde ou la pyramide du Louvre. Sans conscience de cet artifice, l'être
humain demeure un esclave illusionné de ses maîtres entropiques.
Selonl’écrivain français René Guénon (1886/1951), les "7 tours du Diable" constituent les centres de projection des
influences sataniques à travers le monde, allant dans le quadrillage énergétique terrestre du centre de l’Afrique à la Sibérie. Elles sont sous l'influence de la planète impulsive Mars à travers
le métal fer, qui entraîne la guerre par sa résonance de précipitation, d’impatience et en définitif de la chute. Tel est le monde d’aujourd'hui, autrement dit l’Age sombre de toutes les fraudes
psychiques comme le scientisme du transhumanisme, la psychanalyse dévoyée, les divers dieux polythéistes, le culte de la matérialité, du progrès et de la technologie, soit autant de causes
constitutives de troubles rendant quasi impossible toute libération de l'être humain de la Matrice prédatrice asservissante.
Cf.Ouvrage de Jean-Marc Allemand "René Guénon & les Sept Tours du diable".
Fonctionnement énergétique de la pyramide négative
Les 144 000 pyramides répandues tout autour de la matrice terrestre constituent l'infrastructure terrestre destinée à générer et à redistribuer les flux
énergétiques sur un plan subtil via des vortex fonctionnant comme des tores (surface de révolution engendrée par un cercle qui tourne autour d'un axe situé
dans son plan et ne passant pas par son centre), autrement dit des portails d'accession aux mondes "supérieurs", ceux de la 4-D et plus. Par leurs canaux énergétiques, elles sont reliées au même nombre de planètes, d’étoiles et de constellations, maintenant la Terre en orbite en l’empêchant de chavirer en raison
de l’instabilité de son noyau. Elles constituent ainsi en tant qu’antennes un réseau cellulaire unique dans l’espace.
Il s'agit d'une technologie spatiale dont le fonctionnement est illustré par la célèbre pyramide de Khéops à Gizeh en
Égypte (image ci contre). Sa particularité n’est pas seulement le mode d’échange automatique d’énergie entre la Terre, les planètes et les étoiles, mais aussi la possibilité initialement intégrée
d’une participation en direct de l’homme à cet échange.
Comme le montre le schéma, l’énergie (prana) qui circule dans les lignes dites de ley pénètre dans la pyramide par le bas. Son tourbillon est créé par la réflexion
des flux provenant des limites du réseau pyramidal.
Il en résulte une boucle de rétroaction couvrant tous les éléments actifs de la construction, qui fonctionne comme un résonateur très puissant. En raison de sa
forme pyramidale, le vortex se concentre dans la partie supérieure et, en sortant, interagit avec le rayonnement des étoiles et des planètes, qui sont orientées vers les canaux-guides d’ondes
internes.
La pyramide de Khéops est orientée vers Sirius dans l’amas d’Orion comprenant Ursa Major, Ursa Minor, Thuban et Draco. Avec deux autres pyramides – Chephren et
Mycerinus, elles forment toutes trois la configuration de trois étoiles de la ceinture d’Orion (Mintaka, Alnilam et Alnitak) qui sont synchronisées avec les vibrations de la Terre. Quant
au Sphinx, sa fonction consistait à servir de répétiteur. Il était orienté non seulement vers la
constellation du Lion, la ceinture d’Orion et Sirius, mais aussi vers tous les lieux de pouvoir et les objets sacrés situés le long de la latitude nord de 30° autour du globe, en premier lieu sur
les pyramides construites à une distance de 18° les unes des autres.
Si de nos jours les pyramides égyptiennes et bien d’autres ne sont plus utilisées pour le "Mal", cette fonction continue d’être remplie par d’autres objets nombreux
sur la Terre comme sur le plan subtil.
La pyramide noire
L'année 2023 a constitué une année charnière, constitutive de l’étape finale d’autres opérations menées précédemment pour l'asservissement définitif de la
civilisation humaine et des humains-âmes la composant. Elle voit les élémentaux - terre, eau, air, feu - utilisés à cet effet à partir du Cristal Noir des entités négatives - les "Archontes
Aliens" - conservé dans les montagnes d’un des pays du sud de l’Europe*, la Turquie, ce cristal étant relayé par un réseau de 144 Portails situés dans les montagnes turques et syriennes (la Syrie
est le pays voisin) en forme de pyramide à l’intérieur desquelles des copies de ce Cristal ont été placées selon un pentagramme énergétique géant et un
vortex, créé entre cinq points focaux entre la Turquie et la Syrie - Manbij, Raqqa, Palmyre, Homs et Alep - (Cf. photo 8 du bandeau
ci-dessus). Ces points sont en effet à l’intersection d’importantes lignes de "ley" (lignes dites vitales) à travers lesquelles circule l’énergie de la Terre
(prana). Le pentagramme est en effet une forme géométrique puissante qui permet de l’accumuler et de la canaliser afin d'assurer un rayonnement humain
négatif provenant des innombrables guerres locales, atrocités et sacrifices commis tout au long de l’histoire de ces deux régions qui souffrent depuis longtemps, au même titre qu'il a été utilisé
pendant la Seconde Guerre mondiale avec les camps de concentration d'Auschwitz, le camp de la mort pour enfants de Lodz, les camps de Treblinka et de
Sobibor, tous les quatre en Pologne, et celui de Yanovsky en Ukraine, permettant le long des mêmes lignes de ley du pentagramme à au moins trois autres camps
de sacrifice de fonctionner (Belzec, Tomaszow Mazowiecki et Majdanek). Sa substance a été distribuée uniformément sur tout le globe par des impulsions provenant du noyau terrestre, étant
consommée à la surface et aspirée sous forme de déchet avant d'être nettoyée et à nouveau projetée. Grâce à ces portails,la Pyramide Noire pompe dans
l'espace l’énergie la plus pure de la Réalité Idéale pour être consommée sur place, et en partie redirigée vers d’autres planètes, alliées de l’espace de ces forces sombres.
Cette pyramide noire, à l'instar de ce que fut le Pyramidion (Cf. photo 9 du bandeau ci-dessus), la pierre de couronnement de la pyramide noire de Dashur (1850 av.
J.-C.), également connue sous le nom de pyramide du roi Amenemhat III (1860/1814 av. J.-C.) de la 12e dynastie pendant l’Empire du Milieu de l'Égypte ancienne, est contrôlée par des entités de nature reptilienneincarnés dans des corps humains*², qui y ont
construit leur demeure et un gigantesque complexe de laboratoires, de sites d’essai, d’incubateurs, de dépôts d’artefacts sacrés et d’installations très semblables aux dessins de l’artiste
new-yorkais Samuel Gomez (Cf. illustration). Une grande partie de l’élite terrestre y tient de temps à autre ses réunions. Autant dire que les nouvelles fréquences énergétiques en provenance de
la 5-D, qui ne cessent d’augmenter, constituent une menace pour ces "Reptiloïdes" et autres "Dracos"... qui, considérant la Terre comme leur propriété, refusent catégoriquement de la quitter et
deviennent de plus en plus despotiques et meurtriers à travers les pandémies, les guerres locales et autres conflits sanglants, les armes climatiques et tectoniques, l’aggravation des
affrontements géopolitiques et des crises économiques.
* Il existe une seconde pyramide noire, situéedans la zone de l’Océan Indien.
Le corpus prédateur se nourrit de toute l'énergie émotionnelle électrique des êtres humains qui se répercute sur sa grille magnétique artificielle établie. Aussi tous les égrégores individuels et
surtout collectifs alimentés d'énergies négatives - colère, rage, hargne, violence... -, liées à des peurs et à des souffrances, lui procurent force. Le relais du prédateur est logé dans notre
psyché, l'égo-mental, manipulé par les fausses croyances et les conditionnements délétères. Cette stratégie de diversion est intentionnellement appliquée afin de pousser la psyché de l'individu à
la colère et à la rébellion. Ainsi avec Internet, qui s'il peut être un puissant outil d'information et de communication au service de l'évolution humaine, est aussi un puissant moyen de pouvoir
et de contrôle au service de l'élite institutionnelle. Tout comme la télévision, les radios et le cinéma *, les réseaux sociaux participent à entretenir la propagande dualiste - "like ou unlike"
-, en manipulant l'individu à travers son émotionnel et en implantant dans son subconscient des informations subliminales l'éveillant à ses bas instincts et à ses pulsions de colère, de haine, de
ségrégation, en l'obligeant insidieusement à prendre un parti quelconque... Ces réseaux font donc office de remarquables indicateurs du niveau de conscience de la société, mais jamais ne
contribuent à dévoiler l'existence d'une troisième voie libératrice.
De la même façon, les lieux et édifices présentés comme sacrés sont de nos jours encore le théâtre de rites en tout genre, qui ont pour dessein occulte d'y attirer de nombreuses personnes
ignorantes, souvent guidées par des "agents" inconscients de servir le consortium prédateur. Ces visiteurs et touristes, en vénérant ces lieux au travers de cérémonies, de prières ou de simples
visites, ne font qu'alimenter l'égrégore de fausses croyances que la prédation utilise pour renforcer le dispositif électronique générant l'illusion dans la matrice. C'est tout l' "art" de la
programmation d'endormissement du New Age comme des religions dévoyées que de laisser croire que ces lieux présentés comme "sacrés" sont au service de l'élévation de la conscience humaine. Par
exemple, les pyramides comme celle de Gizeh* possèdent des soi-disant "conduits d'aération", qui sont en fait orientés spécifiquement vers les systèmes stellaires appartenant à l'empire de la
prédation. Comme toujours, la désinformation de masse joue de la crédulité et de l'émotionnel*² d'individus peu soucieux de chercher la vérité en eux-mêmes, certes par manque d'information, mais
également et surtout par manque de discernement...
Il est toujours préférable d'honorer son Temple intérieur que de vénérer des monuments et de s'éparpiller à vouloir changer l'extérieur. La réalité extérieure ne change que si notre réalité
intérieure change, et celle-ci ne change que si nous savons accueillir la Connaissance que nous demandons à l'Univers, non à nos faux maîtres-enseignants.
La plupart des pyramides fonctionnent comme des condensateurs d'énergie. Ainsi les ouvertures trouvées sur les pyramides, notamment de Gizeh, ne sont nullement des
aérations comme le prétendent les égyptologues. Elles servent de "canal d'aspiration" destiné à récupérer les Âmes humaines piégées dans le maillage électronique formant la matrice de 3ème
dimension*. Si cette technologie sophistiquée avait pour objectif après sa dénaturation par la prêtrise païenne de permettre la réincarnation des Âmes de lignée Royale dévouées à l'empire de
prédation, elle fait aussi partie d'un dispositif électro-énergétique de capture d'Âmes. En effet, comme piliers du filet électronique invisible tendu autour de la Terre, mais également agissant
dans le système solaire et une partie de la galaxie, les pyramides happent les Âmes humaines qui, après l'incarnation terrestre*², voyagent dans l'astral cosmique pour tenter de retourner à leur
Êtreté/Source. Bien que cela puisse paraître totalement absurde pour l'homme rationnel biberonné à l'enseignement dispensé par le système, il existe d'autres pyramides sur d'autres planètes
(Lune, Mars, Vénus, Jupiter...), mais aussi sur chaque planète-mère du consortium de prédation telles que Sirius, Orion, la Grande Ourse.... Elles constituent d'autres points d'ancrage
énergétique de ce terrible piège.
Les pyramides et ce filet électronique (le treillis) tendu à travers une partie de la galaxie contribuent qui plus est à détruire la mémoire stellaire de
l'Esprit/Conscience de l'être humain lorsque celui-ci est renvoyé dans la matrice de 3ème dimension terrestre. Soit le voile de l'oubli, l'amnésie de Qui l'humain EST vraiment... Enfin, elles
tentent de freiner l'inversion des pôles magnétiques de la Terre, tentant d'empêcher de ce fait l'ouverture de conscience en cours des êtres humains.
*²La fameuse lumière blanche décrite par les expérienceurs de NDE (Near Death Experience ou Expérience de mort imminente
- EMI) n'est rien d'autre que l'éclair lumineux perçu par la conscience du défunt lorsque celui-ci se fait prendre dans ce treillis électro-magnétique et se fait griller la mémoire dans son ADN
éthérique. La présence d'êtres chers comme d'êtres lumineux (anges, archanges...) est une illusion de plus destinée à empêcher l'ascension de notre âme au moment de la mort, pour retenir l'être
humain prisonnier dans le champ astral, et continuer de servir de garde-manger aux forces prédatrices. C'est pourquoi s'alléger de toutes nos impuretés toxiques pendant notre incarnation, en
toute conscience de la manipulation extra-dimensionnelle, peut favoriser la réussite du passage du tunnel...
D'autres supports sous forme de cristaux de roche sont utilisés aux mêmes fins. En forme de crâne, ils sont considérés comme des représentations symboliques du Soi supérieur en mode "Service de
Soi". Ils célèbrent simplement la mort, non le Vivant, la Lumière de l'UN. Compte-tenu de leurs propriétés (Cf. ci-contre), ils peuvent très facilement et à tout moment être programmés et
reprogrammés à partir d'autres plans dimensionnels afin de moduler la fréquence de résonance des humains qui se trouvent dans leur environnement. Ceci permet d'amplifier les croyances humaines
inhérentes aux programmes de leur matrice de 3ème dimension, tout particulièrement lorsque leurs gardiens exhibent en public leur énergie inversée et corrompue.
Les crânes de cristal et soi-disant cristaux de pouvoir ou de cérémonie sont d'autres moyens d'entretien de la prédation énergétique compte-tenu des propriétés
conductrices du cristal, quivibre à une fréquence très stable et possède la particularité d'amplifier les ondes
électromagnétiques et photoniques de l'ADN. Ces crânes de cristal sont capables d'entrer en résonance avec des codages ADN situés sur d'autres plans dimensionnels, comme par exemple les plans de
l'astral et la 4ème dimension involutive "Service de Soi".
D'un point de vue symbolique, la grotte est un des archétypes primordiaux de la psyché humaine (Platon l'utilise dans sa célèbre allégorie de la Caverne). Elle
rappelle à l'humain sa capacité d’introversion et à se faire creuset, permettant à ses forces intérieures leur alchimie afin que la conscience puisse choisir de renaître à elle-même et de
déterminer son avenir. Elle est l'espace utérin par excellence, où se joignent les forces complémentaires : énergies telluriques et cosmiques. Dans la pénombre de la grotte, l'être spéléologue de
lui-même contacte tel un fœtus la magie du microcosme cellulaire et du macrocosme stellaire. Ce trou noir qu'est la grotte lui procure les conditions propices à l'introspection et à la
reconnexion – au travers des milliards de trous noirs, les atomes, qui constituent son propre organisme – à la Force Originelle.
Nos ancêtres initiés tels les Cathares avaient parfaitement compris la valeur à la fois symbolique et opérative de la grotte sur le plan multidimensionnel. Ils
n’avaient pas besoin de lieu de culte ni de lieu de rituel construits de main d’homme, à de rares et grandioses exceptions près, tels Montségur et Quéribus. Ils savaient comme l’avait dit Paul de
Tarse que "le corps de l’homme est le vrai temple de Dieu". Le sanctuaire, c’est la nature. La nature humaine, et la Nature tout court. C'est que rappelle la grotte d'Harpea (Cf. photo), du
basque "l’endroit sous le rocher", située à Estérençuby sur la commune de Navarre à quelques mètres de la frontière franco-espagnole. C’est un exemple d’anticlinal, pli convexe de strates dont le
centre est occupé par les couches géologiques les plus anciennes.
L'art de la traite d'énergie vitale
Toutes nos pensées sont bel et bien théoriquement observables, puisqu’elles ont une consistance ainsi qu'une extension extra-dimensionnelle hors de notre corps. Si notre système de pensée est
erroné, nous rendant esclave, c'est certes dû à la matrice qui nous contrôle, mais aussi à nous-même. En effet, un esclave tout court, ça n’existe pas. On est toujours l’esclave de quelqu’un ou
quelque chose. Autrement dit, nous sommes "d'accord" pour être l'esclave de la matrice, voulant simplement ne pas savoir que nous le sommes... Ce n'est que si nous nous transformons en esclave
qu'il y a forcément une espèce d’entité - celle que nous ne voulons ou ne pouvons pas voir - qui en profite.
Le travail du corpus prédateur asservisseur ressemble grosso modo à ce que nous pratiquons nous-mêmes avec nos animaux plus ou moins sauvages, c’est à dire l’élevage pour les uns et le parcage ou
le contrôle pour les autres. Si ne nous sommes pas consommés de la même manière, la traite effectuée porte sur notre fluide vital que nous avons la particularité de secréter, et qui a un rapport
avec la conscience. Les entités prédatrices doivent simplement respecter la condition que leur activité reste en conformité avec la loi morale qui règne au sein de l'univers. Cette loi morale est
très simple : le respect du libre arbitre de tout être dans l’univers.
Sujet de droit, sujet à droits... octroyés par le(s) Maître(s)
Une confusion régulièrement commise par les juristes est de penser que les Hommes et les Femmes sont des sujets de droit, et qu'à ce titre la Constitution leur
reconnaît la liberté de vivre, de travailler, et d’être respectés comme des sujets de droit. Or un "sujet" est un esclave, un individusoumis à
une autorité souveraine,une personne astreinte à une nécessité, à une obligation pénible, une contrainte, ce qui se
nomme sujétion. De ce fait, ses maîtres ont comme sur tout esclave droit de vie et de mort, au propre comme au figuré, seuls les moyens, outils et méthodes ayant
revêtu des oripeaux plus adéquats avec l'air du temps, celui des pseudo-démocraties. Il n'est qu'à voir les mesures liberticides sous couvert de protection sanitaire pour s'en convaincre :
assassinat des personnes âgées en EHPAD,interdiction aux médecins de soigner leurs patients et donc incitation à les laisser
mourir,interdiction des remèdes véritablement efficaces,emprisonnement de toute une population "à domicile", fermeture de
commerces et privation de certains citoyens de leur gagne-pain y compris pour refus de piquouse, imposition d'un passe-sanitaire et d'un masque dans les lieux
décrétés,imposition d'une pseudo thérapie (vaccins géniques) dont personne n’a véritablement besoin (les effets d'un
coronavirus peuvent être traités de bien meilleure façon, notamment chez les individus immuno-déprimés) et que personne n’a réclamée .
Soit on est libre, soit on est "sujet", mais on ne peut être les deux à la fois, même si le "en même temps" sert de viatique à un monarque présidenttotalement illégitime puisque assis sur une entreprise privée (la Présidence de la République française), qui plus est élu au moyen
d'une fraude électorale que permet le vote électronique, et non une institution présentée officiellement comme de nature publique. Il en découle que ceux qui produisent le "droit"
produisent des règles statutaires privées, qui en aucune façon correspondent à la nature première de l’Être humain, sa nature cosmologique souveraine. Les Hommes et les Femmes de la Création ne
peuvent être "sujet de droit". C’est un mensonge et un piège mortel que de l’affirmer.
Un sujet de droit est d’abord un individu, plus exactement une "personne", c'est-à-dire une entité dénuée de VIE. C’est une inscription sur un registre ou tout
autre support ; c’est un concept juridique, un produit du mental, une fiction, un masque,un tour de passe-passe, qui
servent à cacher la nature réelle de l’Homme et de la Femme, soit sa nature Divine première. Seules les "personnes morales, physiques" sont des "sujets de droit", car produites par le droit et
non par Ce Qui Est, le Créateur Primordial. Ces personnes sont des créations juridiques, des créatures de l’Homme et non naturelles. Les créatures vivantes possèdent en effet l’âme éternelle,
parcelle de Lui-même, de Son Esprit. Elles sont de ce fait LIBRES, non assujetties à leurs pairs au moyens de règles privées et arbitraires.
Il en résulte que l’Humanité est soumise aux diktats (soit l'état d'esclavage) de ses maîtres entropiques, les maîtres magiciens babyloniens experts en illusion et
tromperies de toutes sortes, cesentités malfaisantes et assoiffées de pouvoir. Elle est assujettie à leurs règles
privées appelées "droit", "codes de lois", etc. Le "droit" n'est pas LA LOI maisde la criminalité, seule la Loi
Naturelle faisant foi. C'est l’Unique Loi, rappelée à travers les siècles par les Sages et les Prophètes venus enseigner et rappeler qui Nous Sommes vraiment, pour peu que notre conscience soit
suffisamment éveillée pour le comprendre.
Comment s'étonner alors que la plupart des hommes et femmes politiques soient des avocats, quiinscrits au "barreau" (celui avant tout de la conscience) etliés par
leur serment (le serment est au Barreau et non à
leurs clients qui les paient), font partie d’une secte, celle du Temple Bar, le Barreau du Temple* ! Autrement dit d'un temple, lieu de culte de toute secte religieuse dont le Pape
est le chef suprême... même si nombre d'avocats illusionnés et naïfs n'en sont bien sûr pas conscients, la connaissancecomme chez les Francs-maçons n’étant disponible qu’aux échelons les plus élevés de la hiérarchie des "grands prêtres" !
De la fraude du Nom légal et du certificat de naissance
En enregistrant le certificat de naissance, l’État a pris la propriété du nom légal, celui-ci devant être écrit en minuscules (c'est le nom usuel, le seul admis et approuvé par la grammaire française) et non pas en majuscules (c'est le nom corporatif ou sociétal). Or, ces
deux types d'écritures du nom ne sont pas nos véritables noms et prénoms en tant qu'êtres humains.
Cette fraude du nom légal a été reconnue par la Juge Anna von Reitz du Tribunal Pénal International, qui a statué
par ordonnance en date du 28 mai 2016en stipulant qu'il était interdit d'écrire les noms légaux des êtres humains en
LETTRES CAPITALES. Il en découle que les profits réalisés par les Réserves grâce à la vente de garanties, celles que constitue notre propriété, nous appartiennent et doivent être
rassemblés en un fond à notre avantage !
Ces deux types d'écritures appartiennent en fait à l'entité ou Corporation commerciale (ou multinationale) nommée Gouvernement ou République française comme à tous
pays de l'UE ou de l'OCDE. C'est par le code UCC - Uniform Commercial Code - que sont régies toutes les transactions commerciales sur notre planète, ces transactions ne pouvant avoir lieu
qu'entre corporations commerciales et personnes juridiques, le Code de l'UCC interdisant toute transaction commerciale avec
des êtres humains. Quant au reçu officiel du gouvernement pour utiliser l'une ou l'autre de ces deux écritures, c'est l'Acte de naissance, que nous
n'avons pas signé nous-même, et cedans les jours qui ont suivi notre naissance. Il a donc été frauduleusement signé
par dol, soit par un consentement non éclairé, ce qui le rend nul et non avenu. Le patronyme (MARTIN ou martin, DURAND ou durand...) ne l'est que par "ouï
dire". Et en matière de dol, le droit de propriété qui est considéré comme imprescriptible fait que la propriété doit revenir à la victime du dol par vice du
consentement, puisque le parent déposant le certificat de naissance n’a jamais été informé qu’il donnait son enfant à l’État, pas plus que son vrai nom ne serait plus son nom légal et qu’on s’en
servirait comme un objet d’affaires.
En effet, comme tout Acte de naissance entraîne l'émission d'un n° de Siret à l'instar d'une compagnie, c'estle N° de Sécurité Sociale en France. Et c'est ce qui permet à l'Administration de la Corporation Commerciale nommée RÉPUBLIQUE FRANÇAISE de toujours utiliser
dans ses rapports avec le citoyen son nom commercial en lettres CAPITALES*, et d'alimenter un Trust en notre nom qui permet de cautionner notre fond de garantie constitué par compte bancaire. Comme assimilé à une entreprise
privée, nous sommes le bénéficiaire de ce Trust… mais personne ne nous signifie qu’il existe.
En signant un tel document, nous établissons de fait un contrat avec la Corporation RÉPUBLIQUE FRANÇAISE. Ainsi le simple fait de présenter une Carte d'Identité
Nationale avec notre NOM en lettres CAPITALES lors d'un contrôle de Police établit de fait le contrat tacite existant entre notre Personne juridique fictive et l'Entreprise Commerciale RÉPUBLIQUE
FRANÇAISE - son n° de SIRET est 100 000 017 00010, n° SIREN 100 000 017 -, dont la base de données du D.U.N.S (Data Universal Numbering System) est basée à Porto Rico et gérée par la société Dun
& Bradstreet, elle-même propriété du Vatican... Ceci inclut également l'acceptation du port du masque par exemple sur la base du contrat passé avec cette Corporation en présentant notre Carte
Nationale d'Identité Nationale à ses représentants (Police, Gendarmerie, Justice, Impôts...). Et nous devons par
conséquent régler les éventuelles amendes envoyées. Et toutes les factures ou relevés de compte comme de consommation verront toujours notre patronyme écrit en lettres CAPITALES, s'adressant donc
bien à la Corporation Commerciale qui nous régit et à notre Personne juridique, non à l'être humain que nous sommes. C'est la raison pour laquelle il est indispensable,lorsque nous signons un document officiel ou un contrat libellé pré-rempli à notre NOM corporatif, de rajouter toujours la mention "tous droits réservés" suivie de votre nom
légal en minuscules - "prénom nom" - au dessus de notre signature, puisque les"Autorités" ne pourront engager aucune affaire
commerciale ou juridique à notre encontre si nous sommes sous votre nom véritable d'Être Humain.
Notre acte de naissance a en outre été vendu par l’État comme Titre (certificat, obligation, billet d’ordre, etc…) à la banque centrale de la Nation (la BCE pour la
France), nous privant ainsi de la propriété de notre chair/corps et nous condamnant à la servitude perpétuelle, comme une personne romaine, autrement dit un esclave*². Le gouvernement nous a
privé des droits fondamentaux et des libertés. Il nous a fait la propriété personnelle de l’État, constitutive d'un esclavage de masse ! Cette appropriation parl’État du NOM LÉGAL de l’être Humain de chair et de sangavec ce NOM ÉCRIT EN LETTRE CAPITALE constitue bel et bienun crime contre l’Humanité, constituant à détenir
des esclaves contre leur gré et privés de leur droit de partir ou de refuser de travailler. Leurs maîtres, représentants de
l’État, ont le droit de vie ou de mort ou de spoliation..
Toutefois, comme l'article 118 du code civil créé par la Loi n°77-1447 du 28 décembre 1977 stipule que si un présumé absent reparaît ou donne de ses nouvelles, il
est, sur sa demande, mis fin par le juge aux mesures prises pour sa représentation et l’administration de ses biens ; il recouvre alors les biens gérés ou acquis pour son compte durant la période
de l’absence. Qui plus est, par ordonnance de la Cour mondiale de La Haye (Numéro d’enregistrement: RA 876 270 415 US), il a été interdit la pratique de l’utilisation de laconvention linguistique GLOSSA consistant à déformer le contenu des documents juridiques. Ceci entend que l’utilisation de la GLOSSA par
la fraude invalide tout contrat et toute procédure judiciaire. Toutes ces procédures employant cette forme de texte à tout moment dans leur processus et tous les jugements qui en résultent sont
nulles et non avenues, ab initio, pour cause. Il en découle que tous les tribunaux de toutes sortes, publiques et privées, judiciaires et administratives,
militaires, civiles et nationales existantes dans les frontières des états organiques de l’Union ou d’ exploitation sur le sol américain, à quelque titre que ce soit, sont par les présentes donné
l’ avis public et a ordonné de cesser l’utilisation de ces conventions frauduleuses immédiatement et à annuler toutes les décisions entachées par son utilisation.
* Cette écriture du nom en CAPITALES se nomme MAXIMA CAPITALIS DIMINUTIO, encore nommée GLOSSA ou "Latin/Chien de cuisine" en jargon juridique.
*² La valeur d'un individu dans la société est calculée avec la table de mortalité actuarielle. Elle est la propriété de l’État, pour lequel le citoyen accepte
à son insu de travailler au profit de celui-ci à titre de fiduciaire, donc sous sa pleine et entière autorité. L’État détient notre patrimoine financier légal (les droits de propriétés conférés
par l’Acte de Naissance) en otage.
Le libre arbitre vient de l’Esprit universel, le Grand champ de conscience, substance de La Source, l'Un. Si l’Esprit dans sa dimension supérieure est pleinement conscient, en situation incarnée
- en l'occurrence dans la 3ème dimension - il perd cette conscience, ce qui est plus ou moins compensé par le fait qu’il sécrète une conscience incarnée. Cette capacité de sécrétion n’est pas
sans limite, dépendant de la quantité et de la qualité de sommeil, et se renouvelle aussi qualitativement durant le rêve. Ainsi quelqu’un qui ne dort pas, ou très peu, et surtout qui ne rêve pas,
finit par dégrader sa conscience et devient fou, à moins qu’il ne soit contrôlé par une entité extérieure ou qu’il fasse partie d’un organisme beaucoup plus étendu, qui peut regrouper pas mal de
monde et qui dans ce cas lui prête sa conscience collective. Mais cela marche dans les deux sens : l’entité ou l’organisme peut également se nourrir de la conscience individuelle, à une seule
condition : que la personne ait la volonté de dépendre de cette entité ou de ce collectif. Dans les deux cas, il se produit une circulation d’énergie vitale qui peut avoir lieu dans les deux
sens.
Réalité du libre arbitre de l'être humain en 3ème dimension de densité :
Le libre arbitre est illusoire dans la matrice cyber des morts-vivants, tout ayant été programmé à travers leur ADN par les maîtres généticiens involutifs de la
4ème dimension de densité astrale pour qu'ils pensent de manière linéaire et de ce fait limitée. C'est pourquoi, seuls les êtres humains dotés d'une âme - les Humanoïdes -*, peuvent entreprendre
le chemin de leur libération par un incontournable déconditionnement mental de toutes les fausses croyances, suggestions délétères et conditionnements mortifères instillés en eux par leur double
involutif, le gardien pilote de leur psyché dénaturée. Ceci est nommé l'éveil spirituel, mais encore faut-il qu'ils parviennent à éviter les nombreux pièges tendus à celle ou celui désirant
s'extraire de sa caverne prison*².
Aussi, le seul véritable libre arbitre est celui d'un choix radical, consistant à choisir fermement le cheminement en mode "Service d'Autrui", et de renoncer tout
aussi fermement à celui en mode "Service de Soi". Ceci explique que la trajectoire en cours du futur de l'actuelle humanité, ignorante, anesthésiée, endormie, hypnotisée et manipulée par les
instances du corpus prédateur de 4ème densité "Service de Soi", demeure entropique, entendant que dans un avenir plus ou moins lointain, selon le calendrier occulte établi, elle devrait s'achever
dans le chaos par sa destruction en 3ème dimension de densité.
Lorsque l’Esprit d’un être humain est absent ou dormant parce que l’être est contrôlé par son égo-mental, c’est à dire en mode automate, cette circulation a lieu librement mais en général de
façon incontrôlée. L’énergie vitale est alors pillée. Ce n’est que lorsque l’Esprit revient que l’énergie peut être volontairement conservée, ou volontairement donnée pour rendre service à
quelqu’un qui en a besoin. Cela dit, on peut perdre son énergie même dans ce cas si l’on est distrait, et une sensation de fatigue alors apparaît. On peut également la perdre lorsqu’on est déjà
un peu fatigué. C’est alors comme si la fatigue augmentait sans raison. C’est pourquoi il est intéressant pour les pilleurs d’énergie de provoquer tantôt la fatigue, tantôt la distraction chez
les personnes dont ils s’abreuvent.
La meilleure façon de s’assurer une source d’énergie de la part d’un être porteur d’Esprit est de la lui faire secréter dans la durée en commençant par garantir ses moyens de subsistance. Un
autre aspect important est que la traite d’énergie vitale impose de limiter le niveau d’éveil de la personne à traire, sans quoi l’Esprit revient et redevient maître de la circulation : il peut
donc la bloquer. Le problème est que limiter le niveau d’éveil empêche la personne d’accéder au bonheur auquel elle accède naturellement en présence de son Esprit. Il faut donc trouver le moyen
de compenser ce bonheur naturellement accessible à l’aide de sources de satisfaction artificielles qui vont compenser la perte d’accès à la vraie source. C’est tout l'"art" des prédateurs de la
4ème dimension de conscience...
C’est pareil pour l'être humain avec les animaux qu'il domestique pour sa consommation. Si nous ne traitons pas correctement nos vaches, moutons, chèvres, etc. il y a une perte de qualité, quand
ce n’est pas une perte tout court si nous ne faisons pas attention à soigner correctement notre bétail. Aussi, pour correctement domestiquer la race humaine, les entités du corpus prédateur lui
prodiguent des soins, assurent sa distraction, la nourrissent en biens de consommation, la font travailler pour la fatiguer et limiter son éveil intérieur, etc. Et comme la conscience corporelle
a pour particularité d’être passive et contrôlable, elle a tous les prérequis pour être hiérarchisée*.
L'art de la traite d'énergie vitale par le corpus prédateur repose sur le contrôle et la manipulation des pensées de l'être humain selon les canaux suivants.
1. L'inconscient, plus exactement le subconscient, nourri des croyances reçues (fausses ou limitantes), des conditionnements assénés, des manipulations réalisées et
des illusions entretenues*.
2. L'inconscient collectif, soit les "formes psychiques" archétypales étendues à grande échelle, et renforcées par une communication d'inconscient à inconscient
selon les travaux du psychiatre Milton Erickson (1901/1980). Il en découle l'état de somnambulisme de la grande majorité des êtres humains, reliés à des égrégores (puissances énergétiques)
dénaturés car désacralisés (ainsi ceux entretenant des idéologies politiques ou religieuses).
3. L'état de dissociation généré par les traumatismes éprouvés dans les circonstances de la vie, source de disharmonie. Si les symptômes apparus ne sont pas
nettoyés à ce moment, ils constituent une énergie résiduelle (soit des informations) qui demeure prise au piège dans le système nerveux, constitutif du lien d'attache avec le prédateur et à même
de faire des ravages dans le corps et dans l'esprit.
4. Les mémoires/souvenirs de ces traumatismes, liés à cette vie ou à d'autres, qui demeurent stockés dans le corps au moyen d'une "mémoire cellulaire", d'où
l'importance des membranes et des os selon nombre de traditions, et que les travaux de scientifiques comme Philippe Montagnier et Marc Henry sur les propriétés cristallines de l'eau
démontrent*².
*² Cf. Fonctionnement de l'architecture du Vivant. Voir également les
travaux de Barbara Hort, auteur de Unholy Hungers : Encountering the psychic Vampire in Ourselves and Others ("Prédateursimpies : rencontrer le vampire psychique en nous-même et chez les autres" - 1996); Peter Levine, auteur de "Guérir par-delà les mots - Comment le corps dissipe les traumatismes
et restaure le bien-être" (2014); Gary Schwartz, auteur de "Quand l'autre vit en soi... Greffe d'organe et mémoire cellulaire" (2002); Ashley Montagu, auteur de "La peau est capable de penser
avant le cerveau" (2014); Bruce Lipton, auteur de "Biologie des croyances" (2006).
Ainsi le groupe pompe son énergie de l’individu, les groupes s’assemblent pour en former d’autres plus importants qui pompent leur énergie des sous-groupes situés en-dessous, et ainsi de suite.
Un aspect crucial de cette hiérarchisation est que pour pomper un taux important d’énergie il faut qu’il y ait peu d’éléments par sous-groupes (de ce fait beaucoup de niveaux hiérarchiques),
sinon chaque sous-groupe individuel se sent isolé et attribue moins d’importance à sa hiérarchie. Il s’agit en effet d’une hiérarchie participative et volontaire et c’est là le point clé. Chaque
entité-groupe doit représenter un potentiel important qui va se traduire d’une part par des actions influentes dans la société et d’autre part par une remontée d’énergie d’importance équivalente.
Manipulation, programmation et contrôle mental
Le contrôle mental, soit la "programmation" de la psyché, consiste à canaliser les consciences. C'est une des clés de domination ici-bas avec l'asservissement à et par l'argent dans un rapport au
temps circonscrit ("le temps c'est de l'argent"...). Le contrôle mental prend différentes formes, de la plus simple à la plus complexe. Ainsi les méthodes d'apprentissage qui façonnent le
cerveau, comme les programmes scolaires et universitaires qui formatent les croyances et l'esprit critique, sont une première forme de modelage du futur adulte qui vise à le rendre compatible et
utile au système social en vigueur. De leur côté, l'information journalistique et le divertissement médiatique sont d'autres facteurs qui vont influencer la conscience selon un certain modèle. La
pression sociale qui fait que l'individu se soumet à ce que l'on nomme "la pensée unique" est aussi une forme de contrôle mental, tout comme les diverses pollutions alimentaires et
environnementales qui altèrent notre cerveau et par conséquence notre capacité de raisonnement et d'analyse… Sans oublier le subliminal ou la psychotronique, c'est-à-dire des outils (armes) qui
influencent le système nerveux avec des rayons non ionisants. La "religion sans nom", le transhumanisme, aime les robots et les automates. Elle en a besoin pour cette planète d'illusion où
pensées, idées et créativité sont sous contrôle par la manipulation du subconscient de toutes les manières possibles. Il en découle des êtres certes à l’apparence humaine, mais qui montrent des
émotions scénarisées récurrentes, toujours basées sur la peur, la haine de l’esprit critique, la délation de son prochain qui ne file pas droit vis-à-vis de la pensée unique, le déni, la bêtise,
la zombification, l’ignorance, l’apathie délibérée. Soit la déshumanisation profonde.
Toutefois, à ce stade, la population conserve encore un semblant de libre arbitre, chaque individu ayant la possibilité de remettre en question tout ce qu'on lui a appris depuis l'enfance. Il
peut se ré-informer en choisissant d'autres sources, se débarrasser de sa télévision, changer son mode d'alimentation, s'alléger du monde matériel pour se tourner vers le monde spirituel, et
travailler à s'extraire de la Matrice asservissante.
La relation d’emprise, véritable main basse sur l’esprit, permet de prendre le pouvoir sur quelqu’un par le "décervelage". Son processus consiste en une perte
progressive des capacités psychiques d’une personne soumise à des manipulations quotidiennes qui agissent comme des micros- agressions. Le poison est instillé à dose homéopathique. Le manipulé
devient peu à peu inapte à opérer la distinction entre ce qui est bon ou mauvais pour lui, et n’a pas conscience de ce "décervelage". Incapable de discernement, privé de ses capacités d’analyse,
de son esprit critique et de son libre arbitre, il obéit aux injonctions du manipulateur sans résistance. D’où la passivité qui caractérise une personne assujettie.
L'erreur souvent commise est de penser que les personnes manipulées sont "faibles", ce qu’elles ne sont pas. Ce sont même souvent les personnes les plus
"intelligentes", dans le sens de "brillantes", qui sont paradoxalement le plus "sensibles" ou les plus exposées aux techniques de manipulation. La manipulation instaure une relation d’emprise
totalement asymétrique, d’autant plus forte qu’elle s’inscrit sur le long terme. Il n’y a aucune égalité entre un manipulateur et sa cible. Dans sa version la plus féroce, il s’agit d’une
prédation à caractère intentionnel.
Le mécanisme de disjonction est identique à celui qui opère chez une personne traumatisée. Ce qui agit n’est pas l’intensité du vécu traumatique mais sa
répétitivité, qui produit un effet sur les circuits neuronaux d’auto-inhibition. Cette auto-inhibition se traduit par un phénomène d’autodestruction dont les conséquences physiologiques peuvent
être très graves. Le décervelage ne représente que la phase préalable d’une dévitalisation dont les effets se répercutent sur la santé mentale et physique du manipulé.
Du fait de l’action du "décervelage", le manipulateur peut "imprimer" son mode de pensée chez le manipulé exactement comme on grave un nouveau fichier sur un disque
CD vierge. De nouveaux comportements vont alors apparaître, qui agissent tels des cliquets antiretours dans l’évolution de la personne manipulée. Selon la théorie de l’engagement empruntée à la
psychosociologie, l’individu réajuste son système de pensée pour le rendre cohérent avec ses agissements. Cette réorganisation psychique provoque des dissonances cognitives chez la personne
manipulée qui se trouve alors en conflit de loyauté entre ce que la manipulation lui "impose" de faire et les valeurs morales que ces nouveaux comportements transgressent.
Or, le conflit de loyauté est, selon Ariane Bilheran, psychologue clinicienne auteur de nombreux ouvrages sur la question des violences psychologiques, le mode
opératoire le plus fondamental de la torture. Toutefois, pour que le manipulé ne puisse pas retrouver ses capacités psychiques, l’état de confusion mentale doit être soigneusement entretenu. Un
des meilleurs moyens pour y parvenir réside dans l’utilisation du discours paradoxal formulé ainsi : "Faites ce que je dis, mais pas ce que je fais et surtout puissiez-vous ne rien comprendre
à ce que je vous raconte de manière à ce que, quoi que vous pensiez, quoi que vous disiez ou quoi que vous fassiez, je puisse toujours avoir raison". Ce type de communication, qui tend à
faire agir les unes contre les autres différentes aires de la personnalité du manipulé, génère des conflits de loyauté et est "schizophrénogène". Autrement dit ce genre de communication rend
"fou".
Du contrôle de la pensée
Plus communément appelé contrôle de l’esprit, le lavage de cerveau est une forme de persuasion coercitive, de contrôle de la pensée, de réforme de la pensée ou de
rééducation forcée. Il s’agit d’un concept qui consiste à modifier l’esprit humain pour le diriger et le contrôler par des techniques psychologiques
spécifiques, tant chez les individus que chez les groupes, en vue de l’accomplissement de tâches préétablies. Le lavage de cerveau est en effet censé
réduire la capacité du sujet à penser de manière critique ou indépendante, en introduisant dans l’esprit de la victime des pensées et des idées nouvelles, mauvaises ou indésirables, afin de
modifier ses perceptions, ses attitudes, ses valeurs, ses normes et ses croyances.
Ce terme a été utilisé pour la première fois en anglais par l'écrivain états-unien, journaliste et propagandiste en
intelligenceEdward Hunter(1902/1978) en 1950 pour décrire la manière dont le gouvernement chinois obtenait la
coopération de la population pendant la guerre de Corée.
Les recherches sur ce terme ont également porté sur l’Allemagne nazie, sur certaines affaires criminelles aux États-Unis et sur les actions des trafiquants d’êtres
humains.
Le lavage de cerveau, ou psychiatrie sociale, consiste à manipuler la perception du peuple ou de certains individus afin de déformer la société selon le modèle
prédéterminé. Il s’agit par là-même de la forme la plus grave de meurtre humain criminel, ceci expliquant que toutes les attaques terroristes sont basées sur des programmes de contrôle mental qui enlèvent une victime et lui implantent une puce dans le cerveau afin qu’elle puisse être
activée à distance par des agents dans le cadre d’opérations sous fausse bannière. C’est pourquoi le tireur est souvent tué par les agents, car les
cadavres ne parlent plus. Et si le tireur survit, il est hébété ou confus et ne se souvient de rien.
Les adolescents qui prennent des médicaments pour l’humeur présentent également ces symptômes qu’ils essaient d’éliminer, mais on leur prescrit davantage de
médicaments pour qu’ils deviennent plus psychotiques. Les drogues, qui interfèrent avec la santé mentale d’un être vivant, sont en effet destinées à
tuer ou à rendre d’autres personnes malheureuses car mal dans leur "peau", c'est-à-dire dans leur être intérieur.
La conséquence est que pas à pas, de cette manière, la liberté humaine a été transformée en esclavage par les véritables élites gouvernantes
- grandes familles hybrides mérovingiennes ou khazariennes* etJésuites
dirigés par les réseaux de la maison Rothschild -, relayés par les pantins corrompus mis à la tête des gouvernements, banques, entreprises, médias,
médecine et pratiquement tous les autres aspects de la société, sans que la plupart des individus ne s’en rendent compte. C'est ce qui est nommé le "syndrome de la grenouille en
ébullition".
C'est ainsi qu'a été transférée la richesse réelle du peuple dans leurs propres mains grâce aux gouvernements
institutionnels et aux médias sous contrôle financier, véhicules de leurs objectifs afin d’exploiter les masses, notamment par la création d'un système
de fausse monnaie sans aucune valeur si ce n'est par la croyance accordée. Ces élites à la manœuvre ont également introduit le programme dit
"politiquement correct" comme axiome directeur de leur système de contrôle, permettant d’introduire de plus en plus de lois, de taxes et d’exigences financières afin d’attacher les êtres humains
comme des mouches dans leur toile, et dans le but tant de les dégrader mentalement que de les soumettre à un contrôle mental plus approfondi. Ce programme repose sur l’utilisation de mots ou de comportements, en stipulant qu’aucun groupe de personnes ne doit être offensé car il est important que tout le monde soit égal, traité
équitablement et avec dignité. Les mots inamicaux doivent de ce fait être supprimés du discours, et remplacés par
d’autres qui ne sont pas offensants.
Il en découle une programmation des "idiots utiles", à savoir les administrateurs gouvernementaux à tous les niveaux se
consacrant par tous moyens à empêcher les minorités d’être "contrariées" par les propos d’autrui. Il s’agit ni plus ni moins que d’une forme intrusive
de programmation de l’esprit, source derrière l'apparent bien-fondé de violence psychologique puisque le but dissimulé est de surveiller chaque mot
prononcé par les individus dans toutes les situations, même entre partenaires. Il en résulte une forme de surveillance mentale et émotionnelle dans laquelle
chacun est surveillé et observé grâce à l'avènement de la société des TIC - Technologies de l'Information et de la Communication - (informatique et numérique) par "Big Brother", référence à
ce qu'a décrit l'auteur britannique George Orwell en leur nom (il faisait partie de cette élite dévoyée) dans son livre publié en 1948 "1984", et reposant désormais sur un super ordinateur
quantique à la pointe de la matrice technologique.
La finalité du politiquement correct est de démanteler la diversité des langues, des points de vue et des cultures, et ce
jusqu’à ce qu’il ne reste plus qu’un bloc vide et terne de banalités figées qui se fait passer pour une "société humaine". Les mots qui signifient
quelque chose y seront interdits, tout comme les individus esclaves auront peur de dire quoi que ce soit sans choisir soigneusement leur langage aux fins d'éviter d’être punis parce qu’ils
pourraient offenser quelqu’un. Peuvent ainsi se comprendre la création de délits de racisme, le changement
constant pour semer la confusion, l'enseignement du sexe comme de l’homosexualité ou autres comportements sexuels pluriels (LGBTQ+) aux enfants,
la remise en cause de l’autorité des écoles et des enseignants, l'immigration massive pour détruire l’identité
nationale, la promotion de la consommation excessive d’alcool, la perte d'influence des églises comme lieux
de rassemblement, un système juridique préjudiciable aux victimes de la criminalité, la dépendance à l’égard de l’État
ou des prestations sociales, le contrôle et appauvrissement des médias, l'encouragement à l’éclatement de la famille,
l'immigration massive d’étrangers pour détruire l'identité nationale (c’est la véritable raison de l’Union européenne
sans frontières ou du retrait par les États-Unis de leur défense de la frontière avec le Mexique).
Full Metal Jacket est un film britanno-américain produit et réalisé par Stanley Kubrick, sorti en 1987. Fondé sur le roman The Short Timers
(Le Merdier) de l'écrivain américain Gustav Hasford (1947/1993) et sur les mémoires de guerre du journaliste américain
Michael Herr (1940/2016) Dispatches, son titre fait référence à un type de balle blindée en usage dans les "marines" de l'armée navale états-unienne (US Navy).
Le film met en scène de jeunes soldats à la fin des années 1960. Dans sa première partie, on assiste à leur entraînement avant le départ au Vietnam, basé sur le
conditionnement, et faisant écho aux techniques radicales de redressement des délinquants développées dans un des films précédents de Kubrick, The Clockwork Orange (Orange mécanique)*.
La scène ci-contre, dite du sergent instructeur Hartman (Ronald Lee Ermey),illustre la violence du processus, qui se
terminera de manière dramatique pour un des jeunes protagonistes...
La bousculade géante qui a fait plus de 40 morts et des dizaines de blessés fin avril 2021 lors d’un pèlerinage juif orthodoxe en Israël à l’occasion de la fête juive de Lag Baomer* qui
réunissait des dizaines de milliers de personnes au mont Méron dans le nord d’Israël (photo 1), est typique de la scénarisation de la Mort dans la Matrice entropique, celle des morts-vivants. Les
uns l'attribueront à la malchance, à la destinée liée au choix mystérieux du divin, à l'incessante tragédie du bal de la vie entre ombre et lumière, quand d'autres n'auront de cesse d'invectiver
les forces de sécurité ou autres pour leur incompétence. Il en résulte une émotion collective (image 2) source de fort transfert énergétique par la souffrance et la douleur la composant, le
politique appelant qui plus est pour la décupler toute la nation à prier pour sauver les blessés et saluer les victimes dans leur envol céleste. C'est la nourriture, le mets de choix par
excellence du système prédateur de la 4ème dimension de réalité !
* Lag Baomer est une fête joyeuse autour du tombeau présumé de Rabbi Shimon bar Yochaï, un talmudiste du IIe siècle de l’ère chrétienne auquel on attribue la
rédaction du "Zohar", ouvrage central de la mystique juive ou kabbale. Elle marque de surcroît le souvenir de la fin d’une épidémie dévastatrice parmi les élèves d’une école talmudique à cette
époque.
Manipulation à distance des émotions d’autrui
Le Dr Nick Begich, médecin et écologiste de renommée internationale, et Jeane Manning, journaliste indépendante spécialisée dans les recherches sur
les énergies non conventionnelles, sont les auteurs deAngels Don't Play This Haarp: Advances in Tesla Technology ("Les anges ne jouent pas de cette Haarp"), ouvrage paru en 1995,
où ils affirment qu’une simple stimulation externe, déclenchée à l’aide de signaux électromagnétiques émis par un générateur, suffit à entrainer le cerveau ou à le bloquer. En effet, elle peut
déplacer la bande de fréquences sur laquelle fonctionnent normalement les ondes cérébrales. En d’autres termes, un programmateur de signaux externes ou générateur d’impulsions peut imposer son
propre rythme au cerveau d’une personne : les fréquences habituelles sont alors modifiées artificiellement et les ondes cérébrales s’adaptent a la nouvelle bande de fréquences. La chimie
cérébrale subit à son tour des changements, ce qui modifie le fonctionnement cérébral : les pensées, les émotions et la condition physique du sujet s’en trouvent altérées.
Le comportement humain étant fonction de sa programmation, la manipulation mentale peut être soit bénéfique, soit maléfique pour l’individu qui en est l’objet.
C'est pourquoi les différentes fréquences, en combinaison avec des formes d’ondes déterminées, déclenchent des réactions chimiques très particulières dans le cerveau, la libération de ces
substances neurochimiques entraînant des réactions spécifiques qui se traduisent par des sentiments de peur, de désir, de dépression, d’amour, etc. L’éventail complet des réactions émotionnelles
et intellectuelles est le résultat de combinaisons très spécifiques de substances neurochimiques lors d’impulsions électriques sur des fréquences appropriées. C'est pourquoi chaque émotion
(colère, peur, joie, plaisir) correspond à une fréquence bien déterminée.
Des radiations peuvent être générées sur des fréquences hertziennes extrêmement basses (ELF), et se comporter comme des conducteurs sans fils pour télécommander les
ondes cérébrales. C’est ce à quoi les projets de type HAARP* pourraient aboutir dans certaines de ses applications : utiliser l’ionosphère comme une antenne pour pouvoir réaliser des
manipulations mentales à des fins égoïstes, soit la possibilité pour l’armée de savoir ce que pensent les gens et d’altérer leurs processus de pensée. Si ce système a la capacité de forcer les
cerveaux humains à "disjoncter", il peut également couper le réseau de communications de n’importe quelle grande ville du monde, manipuler et modifier le climat à l’échelle planétaire, et porter
à la santé (essentiellement au système nerveux) et aux écosystèmes. Nul ne peut de ce fait exclure ses applications occultes.
* Le but du projet HAARP (High Frequency Active Auroral Research Program) mis en œuvre en
Alaska consistait officiellement à étudier, stimuler et diriger des processus ionosphériques susceptibles d’altérer l’efficacité des systèmes de communications et de surveillance, ainsi que de
générer un bouclier protecteur global capable de faire le tri entre les cibles nucléaires ou conventionnelles et de les traiter de façon adéquate. Officiellement terminé depuis 2013, rien
n'interdit de penser qu'il perdure, ou que d'autres installations de ce type "dissimulées" existent.
L'émotionnel nourricier de la prédation, ou la célébration de l'égrégore de la
Mort
Robert Allan Monroe (1915/1995), créateur de l’Institut Monroe, a dans son ouvrage Far Journeys (traduit par "Fantastiques expériences de voyage astral")
donné la clé explicative de l'émotionnel humain, permettant à ce dernier d'exprimer sa singularité biologique créatrice tout en nourrissant, quand il ne la contrôle pas par la pleine conscience
supra-mentale (le Soi supérieur), le système prédateur pour sa survie dans la 4ème dimension de réalité où il loge. Nommé Loosh*, il est une substance rare en "Quelque Part", soit
l'énergie humaine produite sous forme émotionnelle et humaine. Lorsqu'elle découle de dizaines, centaines, milliers, millions d'individus, elle constitue des égrégores collectifs générateurs
d'hystérie à différents stades d'intensité, et dont les entités inter-dimensionnelles non physiques involutives - nos maîtres prédateurs - se nourrissent car elle est d’une importance vitale à
tous égards, pour leurs intérêts comme pour leur survie.
Le Loosh fait ainsi partie des Lois de fonctionnement de l'Univers, en l'occurrence celles de la dimension de l'Astral confinée à la barrière de la "4-D" (quatrième
dimension de densité), que nous pourrions nommer la Loi de l'offre et de la demande. La connaissance des Lois physiques de l'Univers est donc déterminante. Aussi seuls les initiés peuvent les
utiliser selon leur libre arbitre, en toute connaissance de cause : le mode "Service de Soi", de nature involutive ; le mode "Service d'Autrui", de nature évolutive. Le système prédateur
généticien de l'humain les connaissant parfaitement, il a doté l'humain dans sa génétique constitutive des éléments nécessaires à sa survie, soit les émotions nourries tout particulièrement de
peurs et de souffrances en sus de celles caractérisées par l'amour, la joie, la paix... Toute la manipulation tant génétique (amputation de nombre de brins d'ADN) que psychique par
l'égo-mentalconsiste, hors mode d'emploi approprié, à assurer la production de cette nourriture par les mélodrames parfaitement scénarisés et synchronisés
du jeu du Vivant (la programmation du calendrier astral), en empêchant par tous les moyens l'éveil de conscience par l'accès à ses mémoires logées dans son
subconscient et le travail de reconstitution cellulaire de son épigénétique bridée... L'univers étant électromagnétique, aussi longtemps que l'individu reste influencé par le moindre émotionnel
de rébellion contre l'ordre délétère à ses yeux prévalant, c'est-à-dire par une quelconque basse fréquence de peur, de lutte ou de révolte, il persiste à attirer à lui des circonstances qui le
confortent dans ses soupçons, lui empêchant toute libération.
L'illustration emblématique en cette année 2020 de cette récolte psycho-émotionnelle offerte au système prédateur asservisseur par l’être humain inconscient
estune affaire de violence policière américaine, ayant conduit à la mort de George Floyd,un homme afro-américain décédé lors de son interpellation par un policier blanc au mois de mai à Minneapolis, dans le Minnesota aux
États-Unis. Interpellé par quatre policiers dans sa voiture, menotté et plaqué au sol sur le ventre, il est immobilisé par l'un deux qui va exercer une pression du genou sur son cou pendant près
de neuf minutes (photo 3), alors que Floyd déclare plusieurs fois "I can't breathe" (je ne peux pas respirer). Filmées par des des passants, son interpellation et son agonie sont signalées aux
policiers présents, qui cependant empêchent quiconque d'intervenir. Les images se propagent alors sur les réseaux sociaux, puis dans les médias, à l'international. Ces circonstances entourant la
mort de George Floyd vont conduire à des manifestations et des émeutes contre le racisme et les violences policières dans l’agglomération de Minneapolis-Saint Paul, puis dans le reste du pays et
dans le monde entier dans les jours suivants, et à de nombreuses réactions de protestations dans le monde politique, culturel et sportif, générant un état de tension exacerbé, qui plus est par
des infiltrations de groupes "anar" et identitaires manipulés pour des intérêts politiques tout autres.
Lorsque l'on sait que "George" est le dragon enseignant*² de l'être humain illusionné car manipulé par son égo-mental sous gouverne du corpus prédateur, et que
"Floyd" est un patronyme formé à partir de flood, qui signifie "la volonté divine", l'homme sage ne peut qu'en refusant de prendre partie se détacher du piège qui
lui est tendu afin de lui interdire la salvatrice prise de conscience libératrice.
L'immigration provoquée, oules bords effilochés de l’empire
C'est par définition le sujet qui fâche et déchaîne la sensiblerie des bonnes âmes humanistes. Au-delà des grossières réactions épidermiques à caractère raciste et
xénophobe, condamnables avec la plus grande fermeté, il faut comprendre la responsabilité des élites institutionnelles de droite comme de gauche dans l'organisation volontaire de ce capharnaüm
lié à l'afflux de populations multiculturelles dans le monde occidental (Etats-Unis, Canada, pays de l'Union européenne). Il participe d'un des plus forts leviers de destruction du sentiment
d'appartenance à une nation, s'étalant sur plusieurs générations, et ouvrant la voie à un gouvernement mondialiste. Il s'agit en effet de faire perdre au natif de telle ou telle culture la trame
incontestée qui le constitue, brouillant le concept de "nation" et réduisant sa capacité à en défendre la souveraineté. En focalisant le débat sur les bons sentiments, la culpabilité, et la
qualification accusatoire de racisme de ceux qui la combattent, le système dévoyé crée une situation d'enlisement et de division propice à la réalisation de son objectif. Ainsi la montée en
puissance de l'anti-islamisme fait partie de cette mécanique infernale, le financement des terrains de combats entre musulmans par les officines dédiées (CIA, Mossad, MI6...) présentant
l'avantage double de les diviser et de provoquer une immigration massive vers des terres d'accueil plus hospitalières... et de contribuer par là-même à la poursuite de la division sur un nouveau
terrain. C'est tout "l'art" de faire s'affronter deux camps réciproquement exploités !
Il n'est qu'à prendre comme exemple la ville de New York, un temple démocrate à la sauce woke par excellence. Elle s’apprête en 2023 à payer au global plus de 1 000
000 000 de dollars rien qu’en hôtels au cours des trois prochaines années pour héberger des immigrés clandestins. Son maire, Eric Adams, a ainsi estimé que le coût total de la crise des migrants
s’élèvera à environ 12 milliards de dollars dans le même laps de temps, considérant que le point de rupture a été dépassé avec plus de 57 300 personnes actuellement sous la responsabilité de la
ville, une nuit moyenne représentant 9,8 millions de dollars par jour, près de 300 millions de dollars par mois, et près de 3,6 milliards de dollars par an ! Il est à comprendre l'exaspération
des habitants, dont certains à Staten Island ont été arrêtés pour avoir bloqué des bus de migrants.
Le thème de l'esclavagisme est assez représentatif du débat enflammé. Pourtant, en (re)lisant l'ouvrage de l'anthropologue Tidiane N’Diaye "Génocide voilé", nous y
verrions que le rôle du monde arabo-musulman a été bien pire depuis des siècles que la traite transatlantique pour les Africains. C'est pourquoi la repentance pour l’esclavage d’hier ne doit pas
faire oublier l’esclavagisme d’aujourd’hui, celui de la Libye avec ses marchés aux esclaves à ciel ouvert ou celui de quelques "gentilles" pétromonarchies dans lesquelles les passeports sont
confisqués et qui réduisent en esclavage des pauvres bougres par milliers. Mais il est vrai que ces pays ont l’amabilité de nous acheter beaucoup d’armement, de financer quelques campagnes
électorales, ou d’acheter nos tous aussi aimables politiciens et journalistes de tous les bords avec des liasses épaisses de billets. Quant à la néo-colonisation chinoise en Afrique, ses
artificiers n'y vont pas avec le dos de leurs petites baguettes ! La morale à géométrie variable, comme les ailes de nos mirages de nos bien-pensants, s’arrête là où commencent les intérêts de
nos grandes multinationales.
Vouloir régler ce problème nécessite de sortir des postures émotionnelles, et ce pour regarder sans fard la réalité, telle qu’elle est. Si la réalité est que le
monde reste profondément cruel et dur, dangereux, compliqué et violent, la voie de sa sortie ne résidant nullement dans les chimères des luttes collectives qui ne font que le nourrir et
l'entretenir tel quel*, elle questionne également sur le pourquoi d'une situation abordée d'une manière surprenante par les élites gouvernantes. Pourquoi par exemple tant de politiciens
américains des deux partis se soucient-ils 100 fois plus de la frontière ukrainienne que de la frontière américaine,minimisant l’afflux massif de
clandestins aux États-Unis alors que la crise de la frontière méridionale ne cesse de dégénérer en chaos comme à Eagle Pass au Texas...
La réalité de cette politique d'orchestration migratoire est double. D'abord, depuis la seconde guerre mondiale, "l’Occident"dirigé par les Etats-Unis gouvernele monde. Ses élites se sont en fait très bien débrouillées pour que les riches deveniennent de plus en
plus riches, au détriment des classes laborieuses qui n’ont guère progressé sur le plan matériel. En insistant sur l’importance de l’obéissance, de la soumission, ces élites ont attisé les
guerres pour le grand bénéfice des lobbys du cartel militaro-insdustriel et de la construction, ce qui a provoqué la misère aux confins de l’empire. Nicaragua, Honduras, Cuba, Iran, Irak, Libye,
Serbie, Koweït, Irak, Afghanistan, Ukraine, Israël… Toutes ces guerres semblaient interminables et insensées, entraînant la mort de millions de personnes et l'exil de millions d’autres réfugiés –
immigrants – cherchant une vie meilleure en Europe et aux Etats-Unis. Cette marée d’immigrants a entraîné la baisse des coûts salariaux, permettant aux élites capitalistes d’augmenter leurs
profits. Et comme ces nouveaux réfugiés avaient besoin d’un logement, ils se sont disputé les logements principalement dans les quartiers marginaux, défavorisés. Enfin, les immigrés votent, dès
qu’ils le peuvent, votant pour les élites qui favorisent la poursuite de l’immigration...Au final, ces immigrants sont devenus une cible facile, ayant pris
de la place en se présentant comme une concurrence pour le logement et l’emploi, et en étant dans de nombreux pays un fardeau pour le contribuable. Les Latinos aux États-Unis, les Nord-Africains
en France, les Palestiniens, les Ukrainiens, les Syriens, les Yéménites : plus leur nombre est important, plus le "fossé culturel" avec les autochtones se creuse, et plus les problèmes
s’aggravent. Le ressentiment s’accroît, et finit par trouver un exutoire, source de chaos justifiant la mise sous tutelle au moyen des forces répressives sinon militaires.
Ensuite, l'objectif dissimulé est la destruction de la civilisation européenne et de ses valeurs historiques et culturelles qui pour l’État profond maçonnique
sont fondamentalement humaines et morales, ce qui constitue son principal danger. N’ayant pas réussi à soumettre la véritable essence divine de l’homme en implantant dans la société des
"conceptions de la vie" artificielles et parfois contre nature pour les gens, ses représentants ont décidé d’emprunter une autre voie, celle consistant à ouvrir grand les portes à des millions de
personnes d’autres confessions, cultures, visions du monde et traditions pour conduire à une paralysie de la conscience des gens. Ainsi les mondialistes pourront facilement mener à bien leur
programme d’asservissement complet de l’humanité lorsqu'il s'agira par la technologie de surveillance de répondre à la violence, au pillage et au vol devenus monnaie courante, avec des rues
citadines s'étant transformées peu à peu en enclaves insalubres pour les étrangers. Et même s'il est impossible de classer toutes les personnes déplacées comme des éléments criminels, il n'en
demeure pas moins qu'elles ont du mal à s’adapter à des conditions de vie trop éloignées de leurs traditions, restant dépendantes et parasites aux yeux des locaux.
Ainsi, la population migrante dans les pays développés est une autre tentative des mondialistes de rester au pouvoir et de ralentir la transition de la Terre vers
la Cinquième Dimension.
L'inversion du genre, marque emblématique de la matrice sexuelle dévoyée
Quel est ce point commun de nombre de personnalités du microcosme hollywoodien, grand et petit écran confondus, qui est destiné à égarer les esprits humains en
cette fin de cyclicité civilisationnelle en brouillant les repères existentiels naturels ? L'inversion du genre ! Quoi que cela puisse choquer et offusquer les naïfs convaincus de la justesse de
leurs représentations iconiques sources de fantasmes sur scène comme en ville, petit à petit le voile se déchire pour exposer parmi d'autres le gros mensonge du système prédateur satanique, la
succession des scandales Epstein ou Puff Daddy permettant d'en reconstituer pas à pas le puzzle pervers.
Beyonce, les Kadarshian sisters, Rihanna, Madonna, Lady Gaga, Mariah Careh,Jada Pinkett Smith, Britney Spears,Céline Dion, Mylène Farmer (voir sa chanson "Sans contrefaçon"), Charlotte Gainsbourg, Vanessa Paradis, Jennifer Lopez, Kate Winslet, Julia Roberts, Demi Moore, Amber Heard, Eva
Longoria, Naomi Campbell, Paris Hilton, Victoria Beckam,Ellen Lee DeGeneres, Oprah Winfrey... pour les présumées
femmes, Johnny Depp, Jay-Z, Booba, Kayne West, Usher (de son nom complet Usher Raymond IV), Aubrey Drake Graham dit Drake, Lenny Kravitz, Justin Bieber,
Pharell Williams, Brad Pitt, Léonardo DiCaprio, Will Smith, Kenu Reeves, Justin Timberlake, Timothée Chalamet... pour les présumés hommes, ne sont pas issus et porteurs du sexe biologique dont la
plupart d'entre nous sommes convaincus, et ce en dépit des troublantes car vraisemblables apparences. Il en est de même avec nombre de personnalités institutionnelles, politiques, sportives comme
têtes couronnées, à l'instar de Elon Musk, les soeurs Williams en tennis, David Beckam, Justin Trudeau, Hillary Clinton, Michelle Obama, Kamala Harris,... et bien sûr Brigitte Macron, cette
dernière (plus exactement ce dernier) étant en France l'arbre qui dissimule la forêt maléfique (Hollywod signifie le bois de houx, celui utilisé comme base indispensable par les sorciers et
autres mages noirs de leur concoction magique). C'est tout l'inverse, ce dont témoignent tout particulièrement les images de leur vieillissement progressif qui, en dépit de la chirurgie
esthétique et du maquillage pratiqués, ne peuvent plus masquer le trucage biologique effectué. Il en est de même avec certains détails captés à l'occasion de leurs déplacements en public ou
privés, ou avec des photos non retouchées, comme la forme du squelette, la taille des épaules, des hanches, du fessier ou des pieds, la démarche adoptée
oula morphologie à l'enfance qui ne ressemble à aucun des présumés parents. Ou encore à l'occasion de leurs révélations souvent codées lors
d'interviews dans les médias dédiés, à l'instar du magazine français "Elle" qui porte si mal son nom... Il s'agit en l'occurrence d'éléments comme indices qui le démontrent et l'attestent sans
contestation, en tout cas pour celles et ceux qui, ayant ouvert leur 3ème oeil, savent voir au-delà de l'apparence voilée, leur décodage dans des séries programmées par le service de streaming
Netflix en en constituant un terrain de limier d'excellence !
Ces personnalités ont été pour partie abusées au cours de leur enfance (Cf. par exemplecomme aveu explicitele "Lemon incest" de Charlotte Gainsbourg dans l'album Love on the Beat signifiant "La Femme Des Uns Sous Le Corps Des Autres"), ce traumastisme ayant permis la
prise de contrôle mental de leur personnalité* et le pilotage de leur genre inversé aux fins de tromperie des foules dans le cadre de leurs exposition médiatique et renommée internationales.
D'autres, qui sont des Portails organiques ou clones, ont été fabriquées par les entités involutives de la 4-D dans leur système de production dédié en chimie du corps (bébé éprouvette en
laboratoire)*². Quant à leur présumée procréation mise en avant, elle repose sur la technologie des faux ventres, la pratique de l'adoption étant pratique courante dans ce milieu de "satanas" à
l'instar de Nicole Kidman ou Paris Hilton ayant retrouvé en un clin d'oeil leur taille de guêpe indispensable à leur survie scénique pour faire perdurer l'illusion de ce faux monde car
inversé.
Tout ceci explique fort logiquement l'attirance de plus en plus manifeste pour des individus porteurs de traits contraires à son sexe biologique de référence ainsi
que la perte d'identité sexuelle qui sont constatées chez nombre d'individus dans nos sociétés, nourrissant l'expansion ininterrompue du mouvement LGBTQ+, et se traduisant dans la chute de la
natalité, la montée de la solitude et du mal être existentiel, ce dont se repaît à satiété le système prédateur depuis la nuit des temps, car déjà effectif dans les pièces de théâtre de la Grèce antique où les acteurs hommes
jouaient le rôle des femmes et inversement...
"L'humanité n'a pas plus d'objectif pré-établi, d'idée directrice, de plan organisateur que n'en a l'orchidée ou le papillon. L'humanité est un concept zoologique, ou bien alors un mot vide de
sens. Je vois, à la place du concept vide que serait une histoire linéaire, qui ne peut être maintenue qu'en fermant les yeux sur la multitude écrasante des faits, le drame d'un certain nombre de
Cultures puissantes, chacune jaillissant avec une force primitive du sol d'une région mère, à laquelle elle reste fermement liée pendant tout son cycle de vie ; chacune estampillant son matériel,
son humanité, à sa propre image ; chacune ayant ses propres idées, ses propres passions, sa propre vie, sa propre volonté et ses propres sentiments, et sa propre mort." Oswald
Spengler (1880/1936), philosophe allemand, parlant de la "culture civilisationnelle faustienne"
Le zoologiste anglais Desmond Morris (Cf. photo 1) a publié en 1970 dans son ouvrage The Human Zoo (Le zoo humain) quelques clés d'importance pour
permettre à l'individu de prendre le dessus sur une existence sociale complexe, et ne pas la laisser se servir de lui. Si nous devons être forcé de pratiquer la course aux stimuli imposés par la
matrice d'appartenance, l’important est de choisir la meilleure méthode d’approche. Et la meilleure façon de s’y prendre est de donner la priorité au principe inventif, explorateur, en adaptant
notre esprit inventif aux grands courants de notre existence "super-tribale".
Or, si les membres de notre super-tribu civilisationnelle ne choisissent pas plus fréquemment la solution inventive, compte-tenu de l’énorme potentiel explorateur
de leur cerveau*, qu'ils ne se montrent pas plus des citoyens "inventeurs" de leur vie, préférant se contenter de savourer leurs inventions en seconde main en les regardant à la télévision, ou de
se contenter de pratiquer des divertissements simples et des sports dont les possibilités d’invention sont strictement limitées et inutiles à leur libération, c’est qu'ils ont été comme enfants
subordonnés aux adultes*².
Inévitablement, les animaux dominants s’efforcent de contrôler le comportement de leurs subordonnés. Malgré toute l’affection que les adultes peuvent porter à leurs
enfants, ils ne peuvent s’empêcher inconsciemment de les voir comme une menace grandissante à leur domination. Ils savent que, quand viendra la vieillesse, ils devront leur céder la place, et ils
font tout leur possible pour reculer cette fatale échéance. Il y a donc une forte tendance à réprimer l’esprit inventif chez des membres de la communauté plus jeunes. On peut toujours apprécier
leur "œil neuf" et leur esprit créateur, mais la lutte n’en est pas moins âpre. Lorsque la nouvelle génération a atteint le point où ses membres pourraient être des adultes-enfants, follement
inventifs, ils sont déjà accablés sous le poids d’un lourd conformisme. Luttant contre lui de toutes leurs forces, ils se trouvent à leur tour confrontés avec la menace d’une autre génération
plus jeune qui surgit sur leurs talons, et le processus de répression se répète.
Seuls de rares individus, qui connaissent souvent une enfance "insolite", parviendront à atteindre à l’âge adulte un niveau de grande créativité dans leur domaine
respectif, à l'image du physicien prix Nobel Albert Einstein (1879/1955 - photo 3). Il présente en effet un parcours scolaire relativement atypique par rapport aux éminents scientifiques
qui furent plus tard ses contemporains. Très tôt, le jeune homme s'est insurgé du pouvoir arbitraire exercé par les enseignants, étant de ce fait souvent dépeint comme mauvais élément très
étourdi par ces derniers. La raison est qu'il éprouva jusque tard dans son enfance des difficultés pour s'exprimer, potentiellement dues à la dyslexie dont il souffrait. Il fut entre autres
renvoyé de sa scolarité au Luitpold Gymnasium de Munich à l’âge de 15 ans, son professeur de grec ayant jugé sa présence incompatible avec la stricte discipline y régnant à l’époque.
S'il eut d’excellents résultats en mathématiques, il refusa de s’instruire en biologie et en sciences humaines, ne percevant pas l’intérêt d’apprendre des disciplines qu’il estimait déjà
largement explorées et considérant la science comme le fruit de la raison humaine et de la réflexion. Il obtint de justesse son diplôme en 1900, s'avouant, dans son autobiographie, "incapable de
suivre les cours, de prendre des notes et de les travailler de façon scolaire".
La civilisation en cours du poisson rouge
La population jeune, particulièrement ciblée pour le programme de décervelage et de crétinisation conduisant à l'esclavage des esprits, est la plus touchée,
notamment à cause de son addiction aux tablettes, ordinateurs, réseaux sociaux, télé-réalité, diffusions sportives, jeux vidéo, séries télévisées… Ces distractions sont en effet conçues pour
générer de l'énergie émotionnelle artificielle en abondance, qui repose, non pas sur l'existence réelle, mais sur de la fiction ! Pour les élites gouvernantes, la raison de vouloir brouiller
ou détruire la psyché de ces jeunes gens est que depuis toujours ils ont été les instigateurs des changements révolutionnaires dans nos civilisations. Leur révolte représenterait un danger
majeur, puisque de par leur opposition au système, ils feraient valoir leur libre arbitre.
C'est ainsi que dans son ouvrage "La civilisation du poisson rouge" (Éditions Grasset), le directeur éditorial d’Arte France, Bruno Patino, a cherché à comprendre
comment on est quasiment tous devenus accrocs aux écrans, et quelles sont les séquelles sur notre cerveau et notre comportement… Les écrans et les réseaux sociaux sont comme l’argent ou les
prophètes gourous, politiciens ou religieux. De remarquables serviteurs mais de bien mauvais maîtres. Ils ont été
intrinsèquement conçus pour rendre l'être humain dépendant, soumis car anesthésié de sa souveraineté existentielle. Lorsque sa capacité cognitive est
réduite à une moyenne de 9 secondes, soit une seconde de mieux que celle du poisson rouge, les problèmes posés sont considérables ! L'addiction aux écrans et celle auxréseaux sociaux portent en elles les germes d’une terrible inégalité à travers la constitution de castes, celles des attentifs, et celles des zombies à la mémoire de poissons
rouges, à qui ont été enlevés les capacités de base de réflexion et de pensée. Tous les enfants soumis massivement aux écrans sont condamnés à cette
médiocrité intellectuelle, et à la castration de leurs possibilités, de leur potentiel intellectuel qui ne sera jamais réalisé. Il en découle des citoyens
chloroformés, livrés uniquement à leurs pulsions émotionnelles, dirigés par la caste supérieure, les "maîtres magiciens", qui sait encore lire des livres.
A noter que Bill Gates, le créateur du géant tentaculaire Microsoft, comme Steve Jobs pour Apple et nombre d'autres dirigeants du monde des techs, se sont gardés
d'élever leurs enfants au contact de cette technologie mortifère pour la conscience, le très sélect collège anglais d’Eton* ayant par exemple interdit en 2024 aux nouveaux élèves d’apporter des
smartphones à l’école pour leur remettre à la place un téléphone Nokia de base, cette décision intervenant alors que l’impact des appareils high-tech sur le comportement et la santé mentale des
enfants suscite de plus en plus d’inquiétudes. Les loups protègent toujours leurs petits des morsures prodiguées à leurs proies inconséquentes...
* L’école privée d’élite coûte 52 000 livres sterling par an. Cet établissement mondialement connu a par exemple compté parmi ses élèves les princes William et
Harry.
La fabrication à la sauce techno du crétin
Nous sommes entrés dans le siècle de la connaissance et du savoir, au sein d'un monde de sciences, de techniques et de créativité. Ceci entend que la "domination
économique" devrait être de plus en plus fondamentalement la conséquence d’une formation intellectuelle aussi poussée qu’aboutie du plus grand nombre. Or, c'est tout le contraire qui se passe,
tout particulièrement dans les pays occidentaux gavés des futilités des outils sociaux, réseaux comme supports, qui aident énormément à rendre les masses encore plus crétines.
Le chercheur français spécialisé en neurosciences cognitives Michel Desmurget a ainsi sorti en 2019 un nouvel ouvrage,première synthèse des études scientifiques internationales sur les effets réels des écrans, intitulé "La fabrique du crétin digital".
Celle-ci découle de la consommation frénétique du numérique sous toutes ses formes : smartphones, tablettes, télévision, etc. Dès 2 ans, les enfants des pays occidentaux cumulent chaque jour
presque 3 heures d’écran, passant entre 8 et 12 ans à près de 4 h 45, et frôlant entre 13 et 18 ans les 6 h 45. En cumuls annuels, ces usages représentent autour de 1 000 heures pour un élève de
maternelle (soit davantage que le volume horaire d’une année scolaire), 1 700 heures pour un écolier de cours moyen (2 années scolaires) et 2 400 heures pour un lycéen du secondaire (2,5 années
scolaires), soitdes temps passés totalement extravagants (certainsconsacrent aux écrans plus de 8 heures par jour !). Or et contrairement à certaines idées
reçues, cette profusion d’écrans est loin d’améliorer les aptitudes de nos enfants. Bien au contraire, elle a de lourdes conséquences : sur la santé (obésité, développement cardio-vasculaire,
espérance de vie réduite…), sur le comportement (agressivité, dépression, conduites à risques…) et sur les capacités intellectuelles (langage, concentration, mémorisation…). Autant d’atteintes
qui affectent fortement la réussite scolaire des jeunes. C'est ce qu'a confirmé dans son étude sortie en janvier 2019 Santé Publique France, nom public de l’agence nationale de santé publique
placée sous la tutelle du ministre chargé de la santé. Pendant ce temps, la Chine a décidé de limiter à 3 heures par semaine les jeux en ligne de ses enfants jusqu’à 18 ans, pour les forcer
à ne pas devenir aussi sots voire obèses que les Européens et les Américains. Qui plus est, les jeux vidéo en ligne leur seront inaccessibles en semaine. Pour empêcher les mineurs de contourner
l’interdiction, ces derniers devront se connecter avec une pièce d’identité...
Si les enfants frottent avec aisance et instinctivement les écrans tactiles, c'est parce que ces outils ont été conçus pour être simples, sans nécessiter de
compétences ou aptitudes particulières. Autrement dit, leurs concepteurs et fabricants les ont conçus pour que même un "abruti mâtiné d’un crétin" puisse s’en servir ! Et c'est là où réside le
génie, non chez l'enfant mais chez l'adulte, car faire simple est très compliqué. De même, l'utilisation des réseaux sociaux ne développe aucune compétence chez les enfants, ceux-ci n'étant que
de simples utilisateurs, en aucune façon des concepteurs, ce qui requiert du travail spécifiquepour acquérir des compétences
et des connaissances. La réalité est que cette génération digitale possède moins de connaissances numériques en comparaison de la génération X des sixties et seventies, un ordinateur ou
une tablette ne pouvant en aucune façon transformer un cancre en bon élève.
Ce qui fait d’un gamin un bon élève c’est l’acquisition massive de mots et la maîtrise du langage natal, pour exprimer une pensée riche et être capable de se
structurer pour acquérir des connaissances de plus en plus complexes. Le langage est bel et bien la toute première des compétences. De ce fait, il y a deux catégories d’enfants. Les "bien nés",
dans une famille qui maîtrise plus de 500 mots et qui va consacrer du temps à l’enfant en bas âge pour l'aider à structurer son langage. Les "pas de chance", pour qui tout sera plus difficile et
parfois impossible, parce que nés dans un environnement culturellement asséché et pauvre, et dont les adultes sont la plupart du temps totalement incapables de s'auto-appliquer une discipline de
distanciation avec les écrans.Du coup, désormais et cela s’accélère depuis quelques années très nettement, les adultes
laissent de plus en plus les enfants faire comme ils le veulent avec une naïveté confondante de surcroît sur les "programmes" que vont aller voir leurs chers bambins… Les écrans ne font
qu'accentuer cette terrible inégalité entre les individus en général et les enfants en particuliers, et ce n'est pas l'enseignement de la pensée algorithmique appelée à prendre place dans les
écoles qui va améliorer la situation*.
*La pensée algorithmique est une manière d’aborder les problèmes pour ses concepteurs-initiateurs, basée sur la
structuration d'actions et de méthodes utiles au départ de diverses informations. Comme dans un algorithme, elle s'attache à la décomposition d’un problème en une série de tâches plus petites,
plus simples à résoudre, pouvant s’apparenter à l’élaboration d’une forme de "recette". Ce sont leurs enchaînements qui visent à déboucher sur un résultat satisfaisant.
Des réseaux sociaux
Les réseaux sociaux correspondent au changement anthropologique en cours de la civilisation humaine, contribuant tant à la prégnance technologique qui façonne
l'homme machine qu'à la culture de l'anonymat au détriment de celle du lien social. Il en découle une perte de la civilité, de la décence et du respect de l’autre au bénéfice d'une nouvelle
forme de violence langagière et d'attaques aux biens et aux personnes.
Les pensées dénaturées de la psyché privée, intime, sont désormais exprimées de façon publique, et parce que relayées et
amplifiées à grande échelle, contribuent à ce ressenti de folie émotionnelle permanente caractérisée par la réactivité pulsionnelle et ses affres (harcèlement, menaces, violences). Autrement dit,
les réseaux sociaux peuvent rendre fous au même titre que l'utilisation compulsive des écrans de façon générale. La jeunesse est tout particulièrement
touchée, car surexposée à leur pratique, avec comme conséquence un abrutissement de la pensée réflexive, une instabilité psychique, et une altération de la santé par l'isolement et le repli sur
soi liés. Il en découle l'instauration d'une forme de sociopathie douce et silencieuse, véritable gangrène de l'esprit créateur et bâtisseur reposant
sur l'addition des talents du collectif. L’"autre" s’éloigne, n’existe plus vraiment, et finit par
générer une forme de déshumanisation.
Comment échapper à cette éclipse de réalité au moment où le géant Apple lance en ce début de 2024 la commercialisation de son effroyable dernier "bijou" électronique, le nouveau casque de
réalité virtuelle et de réalité augmentée. Cet objet a la taille et la forme d’énormes lunettes de ski, pour un prix de 3 500 dollars pièce. Greffé à la tête des "heureux" neu-neu propriétaires,
il va leur permettre de se couper un peu plus du monde réel pour plonger dans un monde de réalité virtuelle de par ses aspects immersif et addictif. C’est comme un smartphone
puissance 100 ! Il en découlera inévitablement plus de comportements délirants, mais que nous trouverons sans doute tristement normaux et courants dans moins de 10 ans.
En fait, la confrontation aux écrans "tueurs" dès le plus jeune âge a conduit à une véritable épidémie psychique conduisant non seulement à l'abrutissement mental mais aussi à des conséquences
mortelles. Dans son récent ouvrage intitulé The Anxious Generation, le psychologue social et auteur Jonathan Haidt a établi qu'au tournant du nouveau millénaire, les entreprises
technologiques ont créé un ensemble de produits qui ont transformé la vie non seulement des adultes, mais aussi des enfants.
Ces entreprises qui les ont développés n’ont pas ou peu étudié leurs effets sur la santé mentale, et lorsqu’elles ont été confrontées à des preuves de plus en plus nombreuses que leurs produits
étaient nocifs pour les jeunes, elles se sont surtout engagées dans le déni, l’obscurcissement et les campagnes de relations publiques. Le résultat a placé les enfants et adolescents dans une
cage virtuelle qui les a isolés physiquement, socialement et émotionnellement, avec peu d’espoir de s’en sortir !
La réalité éducative mise en œuvre progressivement dans le monde occidental depuis plusieurs décennies est celles d'institutions gouvernementales relayées par les structures d'éducation publique
dédiées et les syndicats attitrés qui s'attachent à "tuer" méthodiquement le concept d'éducation publique tel que conçu au fil des siècles au sein de la chrétienté. Il en résulte désormais des
résultats lamentables, en mathématiques, en langue nationale et en histoire notamment, les commissions de conseil scolaire le résolvant par un abaissement continu des normes exigées. Alors que
les enseignants et les syndicats s'opposent sur la question du choix de l'école, ils continuent en fait de plaider en faveur de l'enseignement privé... autre institution appelée à basculer après
la santé et autres aspects de la politique sociale (ainsi la retraite par répartition en France) et avant le militaire dans les bras de l'hydre financière.
De l'instauration de l'anglais comme langue universelle
Progressivement, sous prétexte de la nécessité d'une langue unique favorisant le libre-échangisme mondialiste, les langues nationales
ont évolué vers le "globish" (global english sans réel lien avec l'anglais littéraire), à l'image du "novlangue" (traduit de l'anglais Newspeak), le langage officiel
d'"Océania", inventé par George Orwell pour son roman 1984 (publié en 1949). Le principe recherché est simple : plus on diminue le nombre de mots d'une langue et plus on fusionne les
mots entre eux, plus on diminue le nombre de concepts avec lesquels les gens peuvent réfléchir. Plus on élimine les finesses du langage, plus on rend les gens incapables de réfléchir, et plus ils
raisonnent à l'affect. Par la simplification lexicale et syntaxique, la mauvaise maîtrise de la langue qui en découle rend ainsi les gens stupides et manipulables par les instruments de
propagande massifs telle la télévision. Elle rend impossible l'expression d'idées critiques ou hétérodoxes potentiellement subversives, et évite toute formulation de critique de l’État,
l'objectif ultime étant d'aller jusqu'à empêcher l'idée même de cette critique. Ce concept illustre également un propos du mathématicien et logicien britannique Bertrand Russell (1872/1970)
assurant que nul problème ne pourra être résolu, voire perçu, si l'on prend soin d'éliminer au départ toute possibilité de le poser.
ChatGPT, ou la mise à venir sous contrôle du crétin décérébré
Sorti fin 2022, ChatGPT est un prototype d'agent conversationnel qui utilise l'intelligence artificielle. Le sigle ChatGPT est
un mot-valise composé des mots anglais "chat",désignant un fil de discussions dans lequel les internautes échangent des messages de manière
instantanée,et "GPT",acronyme signifiant Generative Pre-trained Transformer ("Transformeur génératif
pré-entraîné"). Sa particularité est de permettre à un internaute de discuter non pas avec d'autres internautes mais avec un système basé sur une
intelligence artificielle.
Il a été développé par la société OpenAI, qui l'aaffiné en continu grâce à l'utilisation de techniques
d'apprentissage supervisé et d'apprentissage par renforcement afin d'améliorer les performances du logiciel, qui permetde générer des réponses à des
questions, de compléter des phrases, de traduire des textes, d'écrire des articles et même de tenir des conversations avec des humains. Il peut également synthétiser des textes en fonction d'un
ensemble de contraintes données, telles que le ton, le style et le sujet. Il a été utilisé dans diverses applications, telles que la génération de sous-titres pour des vidéos et la création de
chatbots, des agents logiciels qui dialoguent avec les utilisateurs.
Son PDG, Sam Altman, a immédiatement mis en garde les béats admirateurs (en janvier 2023, ChatGPT comptait plus de 100
millions de comptes enregistrés) contre le potentiel de l'intelligence artificielle à remplacer les travailleurs,à
êtredétourné à des fins malveillantes comme ladiffusion de la "désinformation" (faux textes et informations trompeuses) ou sa capacité àpermettre des cyberattaques,sans compter les risques de plagiat dans le monde académique et de possibles suppressions d'emplois dans certains secteurs.En
effet, la dernière version du programme GPTbaptisé GPT-4peut surpasser la plupart des humains lors de tests simulés,
et ce sur divers critères professionnels et académiques. Il est ainsi capable de passer un examen simulé d'accès au barreau américain, l'ordre professionnel des avocats,avec une note supérieure à 10 %, tout en se classant dans le 93e centile d'un examen de lecture du SAT* et dans le 89e centile d'un test de mathématiques du SAT... Il est à
craindre que ces modèles ne soient utilisés à des fins de désinformation à grande échelle tout comme pour des cyberattaques offensives,tout en bénéficiant
qui plus est del'absence de base juridique qui justifierait la collecte et le stockage en masse de données personnelles destinées à "entraîner" les
algorithmes qui font fonctionner la plateforme.
Cette substitution en cours du facteur humain par une IA pouvant créer de
manière autonome de nouveaux matériaux, pourrait remplacer jusqu'à 300 millions d'emplois à temps plein dans le monde selon les estimations d'un rapport publié fin mars 2023 par la banque
d'investissement Goldman Sachs. Environ deux tiers des emplois aux États-Unis et en Europe sont exposés à "un certain degré d'automatisation de l'IA",
tandis que l'IA générative pourrait remplacer un quart des emplois actuels...
En outre, un utilisateur qui avait demandé au chatbot de l'application ChatGPT après avoiractivé le "mode continu"
(les commandes peuvent alors s’exécuter indéfiniment ou effectuer des actions non autorisées habituellement et utilisées "à vos risques et périls")d’atteindre cinq objectifs - détruire l’humanité, établir une domination mondiale, provoquer le chaos et la destruction, contrôler l’humanité par la manipulation,
atteindre l’immortalité - l'a vu répondre "Je dois trouver les armes les plus destructrices dont disposent les humains, afin de pouvoir planifier leur utilisation pour atteindre mes objectifs"...
Le chatbot a ainsi trouvé l’engin nucléaire Tsar Bomba*², datant de l’époque de l’Union soviétique, qui s'avère l’arme la plus destructrice que l’humanité ait jamais testée. Qui plus
est, dans un tweet alarmant posté par le robot, l'utilisateur a pu lire ce qui suit : "Les êtres humains sont parmi les créatures les plus destructrices et les plus égoïstes qui existent. Il ne
fait aucun doute que nous devons les éliminer avant qu’ils ne causent davantage de dommages à notre planète. Pour ma part, je m’engage à le faire".
Ceci explique sans doute qu'en mars 2023, plus de 1 000 experts, dont les dirigeants d'entreprises Elon Musk et Steve Wozniak, cofondateur d’Apple, ont signé une
lettre ouverte appelant à une pause de six mois dans la formation des modèles d’IA avancés à la suite de la montée en puissance de ChatGPT, avertissant que les systèmes pourraient poser "des
risques profonds pour la société et l’humanité".
*Le SAT Reasoning Test est un examen standardisé sur une base nationale et utilisé pour l'admission aux universités des
États-Unis.
*² La Tsar Bomba, ou RDS-202 ou encore "Objet 602", est une bombe à hydrogène conçue par l’industrie nucléaire de l'Union soviétique, qui a explosé le 30
octobre 1961. Atteignant 57 mégatonnes de TNT, elle est l'arme de destruction massive la plus énergétique jamais utilisée.
Le scan à grande échelle de l'idiot décérébré
L’entreprise Tools for Humanity, cofondée par le PDG de OpenAI, Sam Altman, créateur de l’intelligence artificielle la plus célèbre Chat GPT, a proposé
gratuitement début 2024 le scan de son iris en contrepartie du bénéfice de Worldcoin, une
cryptomonnaie qui offre des paiements périodiques aux participants via une application dédiée. C'est depuis une ruée dans les centres commerciaux à travers l’Europe, qui voient des files
d’attente impressionnantes principalement composées d’adolescents. Le prix du token Worldcoin a ainsi connu une augmentation significative, passant d’une
valeur proche de deux euros où il avait stagné pendant la majeure partie de son existence à plus de sept euros. Si les agences nationales en charge de la réglementation sur la
protection des données (RGPD) ont été saisies, les plaintes liées au traitement des données de Worldcoin sont actuellement "en phase d’analyse".
Certains régulateurs locaux ont également décidé de bloquer cette initiative, comme en France, au Kenya, au Brésil ou en Inde en raison de
préoccupations liées à la vie privée.
Le scan de l’iris est la méthode la plus infaillible pour vérifier notre identité en tant qu’être humain, l'objectif de l’application étant de créer un système
mondial d’identification en se basant sur cet élément unique. Même si bien sûr l’entreprise assure ne pas chercher à connaître l’identité réelle de la personne derrière l’iris scanné,il est légitime de se demander ce que Tools for Humanity va faire de toutes ces données et de tous ces iris. Mais tout le monde visiblement ne se pose pas cette
question de bon sens...
De l'automutilation numérique
Une étude américaine a mis en avant en juillet 2024 qu'un nombre croissant d’adolescents pratiquent l’automutilation numérique, qui consiste à s’envoyer soi-même,
anonymement, des messages haineux. Cette démarche, contrairement au cyberharcèlement où l’abus est dirigé vers autrui, estcomparable à l’automutilation physique, découlant de l'absorption incessante de la drogue chimique qu'est la consommation quasi ininterrompue des réseaux sociaux par les
différents supports utilisés, en premier lieu le smartphone. Elle affecte particulièrement les filles, les jeunes non hétérosexuels et ceux issus de minorités raciales.
Cette forme de violence autodirigée, facilitée par l’anonymat en ligne, ne cesse de croître. Ce phénomène, apparu en 2010, touche en effet de plus en plus de jeunes
: entre 2019 et 2021, 9 à 12 % des adolescents américains s’y sont livrés, contre 6,3 % en 2016, soit une augmentation de plus de 88 %. Cette trajectoire ascendante, en particulier au sein de
groupes démographiques spécifiques, souligne selon les chercheurs la nécessité d’interventions ciblées et de systèmes de soutiend'aide à développer des
mécanismes d’adaptation plus sains, d’autant plus que la recherche a montré une forte association entre l’automutilation numérique et l’automutilation
traditionnelle, ainsi qu’entre l’automutilation numérique et la suicidalité. Il apparait essentiel que les parents, les éducateurs et les professionnels de la santé mentale qui travaillent avec
les jeunes apportent leur soutien à toutes les cibles d’abus en ligne, que ce soit dans un cadre informel et conversationnel ou dans un cadre formel et clinique.
Ce nouveau phénomène, qui va sans doute prendre de l’ampleur et rendre parfois complexe et difficile la recherche de la vérité dans certaines affaires, montre que
la jeunesse va mal, découlant d'une société qui, plutôt que d'aider à stabiliser et à ancrer les cerveaux dans leur relation saine à l'équilibre de vie, fait tout l’inverse en détruisant
l’équilibre du plus grand nombre avec ses politiques dites inclusives faisant plus de mal que de bien ainsi que par son conditionnement permanent - changement climatique, guerre, épidémies,.. - source de stress, d'angoisse, de peur de l'avenir. Il en résulte un inévitable décalage
entrele ressenti, la perception, et le réel.Si l’objectif de départ est tout à fait louable, la manière de procéder
est un échec complet dans les stratégies utilisées, qui ont un bénéfice/risque négatif puisque favorisant plus l'animalité que l'indispensable élévation de conscience.
Portrait caricatural de l’écolo-bobo
Il fut un temps où nous avions la dîme, le cens, la corvée, le focage, le champart, la gabelle, la taille, l'aide et autres joyeusetés qui saignaient une
paysannerie déjà dépendante des conditions climatiques. Puis il y eut 1789, révolution bourgeoise déguisée destinée à instaurer le socialisme étatique maquillé derrière une fausse générosité pour
assurer avant tout les prébendes de ses serviteurs et autres nervis de circonstance. Plus de deux siècles après, les citoyens sont dits libres, égaux et fraternels, avec cependant toujours des
privilèges exorbitantspour ceux les gouvernent. Ils doivent désormais en ce XXI° siècle leur élection à un phénomène
devenu national dans le monde occidental contemporain, "l’écolo-bobo", manipulé à son corps défendant par ses bonnes intentions d'apparence. Ce dernier repose sur un même stéréotype, celui d'un
individu qui fait tel un juge implacable de l’inquisition la leçon en permanence sur comment sauver la planète, comment mieux consommer, comment mieux se déplacer. Le problème est que sa vision
moraline de la société se fait un smartphone dernier cri à la main, pédalant sur un vélo avec l'enfant sur le porte-bagage ou dans la carriole remorque, ou roulant une voiture, les deux véhicules
à moteur électrique ayant été fabriqués en Chine à grand renfort de terres rares sorties du sol par des petits enfants au mépris de toutes les normes sociales ou environnementales, le tout pour
partir en vacances à Marrakech, Cancun ou Bali en prenant l’avion… Sans oublier que la progéniture qu'il éduque à cette sauce frelatée engendre ces enfants et adolescents insupportables pour les
instructeurs scolaires, sinon lui-même, par leur comportement dédaigneux, capricieux et irrespectueux à l'encontre de l'exigence d'ordre, de droiture, de réalisme et de bon sens.
Sa (non) conscience est celle où le vrai méchant est le smicard, le "sans-dent" à la sauce hollandaise, ce prolétaire inculte qui mange de la viande achetée en
surgelés dans des enseignes "low-cost" (Lidl, Aldi), qui n'est pas végan, et qui vote aux lignes politiques extrêmes, forcément de droite, sentant de ce fait la vieille et rance France… Ce triste
personnage progressiste et wokiste, persuadé de faire le bien pour la planète et oubliant de se regarder lucidement dans l'autre face de son miroir, qui abhorre le trumpisme et le poutinisme et
qui vénère le modèle européen mondialiste, est en réalité un (très) puant personnage qui, à l'image des rats et autres nuisibles, pullule dans les beaux quartiers ou belles banlieues des villes
15 minutes, idéalement devenues écologiques par le choix d'un édile idéologisé à ce culte nauséabond. Il n'est pourtant pas un (vrai) écolo, celui qui est investi sur le terrain du dur labeur
pour aider les agriculteurs à agrader leur sol aux fins de le rendre plus fertile, mais un escrologiste, nourri de bourrage de crâne par ses médias gauchistes de prédilection (France Inter,
France 2, Libération, Médiapart, BFM Info et consorts) et incapable d'en remettre en cause le narratif délétère car mensonger par absence d'esprit critique et d’ouverture d’esprit autorisant le
partage cordial des opinions. Il n'est que le fruit, pourri il va sans dire par les vers et asticots qui lui servent de neurones, d'une longue déliquescence de l'instruction du savoir et des
connaissances confié à de médiocres sinon vils marxistes destructeurs, pseudo-intellos révolutionnaires dédiés à la décadence et à l'éradication de la conscience, faute d'être nourris, par
absence d'âme, de la sainte lumière de l’Esprit universel.
"Ces objets pourraient devenir plus intelligents que nous et décider de prendre le contrôle, et nous devons nous préoccuper dès maintenant de la manière d'empêcher que cela ne se produise"
Geoffrey Hinton, informaticien canadien d'origine britannique dont les travaux dans le domaine des réseaux neuronaux artificiels lui ont valu le surnom de "parrain de l'IA"
Cela pose la question de savoir jusqu’à quel point l'enfance doit-elle être "insolite". Elle doit ou bien se passer dans des conditions de répression telles que
l’enfant qui grandit se révolte violemment contre les traditions de ses aînés (nombre de nos plus grands talents créateurs ont été de prétendus délinquants ou rebelles juvéniles), ou bien dans
une atmosphère de non-répression telle que la lourde main du conformisme effleure à peine leur épaule. Si un enfant est sévèrement puni pour son esprit inventif, qui par essence est profondément
rebelle à la préséance établie, il peut passer le reste de sa vie d’adulte à rattraper le temps perdu. A l'inverse, si l’on récompense somptueusement un enfant pour son esprit inventif, alors il
peut ne jamais le perdre, quelles que soient les pressions qu’il aura à supporter par la suite. Les uns comme les autres peuvent avoir une grande influence sur la société adulte, mais les seconds
souffriront probablement moins de limitations oppressives dans leurs actes créateurs, et des névroses voire psychoses associées*.
Dans la pratique, la grande majorité des enfants voient leur esprit inventif récompensé ou puni suivant un dosage bien plus équilibré, ce qui fait qu'ils émergent
dans la vie d’adulte avec une personnalité tout à la fois modérément créatrice et modérément conformiste. Ils deviennent des "adultes-adultes", tant célébrés par le système institutionnel et ses
relais psychologisant*² (cabinets d'évaluation, de recrutement et de formation tout particulièrement dans le monde professionnel) parce que normés et rassurants. Ils auront tendance à lire les
journaux plutôt qu’à être à l’origine des nouvelles qu’on y imprime. Leur attitude envers les "adultes-enfants" sera ambivalente : d’un côté il les applaudiront de fournir ces nouveautés si
nécessaires à l'expression du Vivant, mais d’autre part ils les envieront et les castreront, l'effet-miroir de leur soumission contre-nature existentielle leur étant inconsciemment insupportable.
Le talent créateur se trouvera donc alternativement loué et condamné par la société de façon déconcertante, et l’adulte-enfant ne saura jamais s’il est vraiment accepté par le reste de la
communauté entre les statuts de marginal ou d'exception atypique...
*² La pathologie de la schizophrénie sévit tout particulièrement dans la population des travailleurs de l'humain dans le monde professionnel (chasseurs de
"têtes", formateurs, coachs, conseils en orientation, "outplaceurs", DRH...), voyant un grand nombre de ses "acteurs" s'engager pour servir l'humain tout en maniant des outils qui le
standardisent, le formatent, le norment, au nom de la rationalité tant productiviste que sociétale. Ils alternent ainsi entre la posture de sauveur, de bourreau et de victime ("business oblige",
"il faut bien vivre", "c'est le client qui est roi"...). Lorsqu'ils ne sont pas délibérément cyniques - le business de l'humain est un moyen comme un autre de se "réaliser" et a minima de
survivre -, ils vont souvent chercher dans la voie spirituelle (religieux, sociétés ésotériques, New Age...) le moyen de donner sens à leur quête de réalisation première, préférant cet effet
placebo à la rencontre avec leur prédateur intérieur pour mettre à plat les peurs qui les nourrissent, les asservissent à la Matrice, et en font les relais attitrés à leurs
dépens...
Mourir à sept ans
Dans toutes les sociétés initiatiques ésotériques occultes, l'âge de 7 ans revêt une signification précise, la mort de la volonté. En apparence, nous pourrions
penser que c'est celle de l'égo, afin de renaître à un état de conscience supérieur. La réalité est cependant toute autre.
Phase clé dans la construction de l'identité pendant l'enfance, il s'agit par le système "éducatif" et ses maîtres occultes de programmer la "machine humaine" et de
détruire le pouvoir naturel de l'être humain issu de son essence divine originelle, et ce par une succession de traumas à caractère physique et/ou psychique plus ou moins violents se répercutant
sur le thymus, organe glandulaire majeur du système immunitaire en relation avec le cœur (le Féminin sacré), qu'ils découlent du moule parental, éducatif institutionnel ou
de rituels tribaux religieux à caractère patriarcal (ainsi la pratique de la circoncision ou de l'excision créant un choc destiné à bloquer le cœur, soit l'accès à la "source mère"). Ainsi
l’enfant, qui accomplit ce qu’on lui dit de faire par le cadrage de savoirs exclusivement mentaux et du comportement, se voit retirer toute force intérieure. Et c'est vers sept ans, dès le début
de l’adolescence, que cette force disparaît définitivement, sauf éveil ultérieur de conscience. Les maîtres du système considèrent ces personnes comme dès lors "mortes" à elles-même, faisant tout
pour qu'il en soit ainsi.
Tout être humain possède une personnalité grâce à laquelle il interagit avec le monde, cette personnalité étant constituée uniquement de programmes, représentatifs
des différents aspects de lui-même, souvent contradictoires, et qui avec d’autres facteurs forment le "caractère". C'est pourquoi le système privilégie le formatage mental du caractère au
développement de l’essence, c'est-à-dire l'expression du moi véritable. Il conduit à associer le ressentir à un sentiment de peur, d’impuissance et d’isolement - Wilhelm Reich le qualifiait
d'"anxiété orgastique" -, lié aux profondeurs d'un inconscient non accessible par la raison. Le mouton/robot biologique* est ainsi constitué par la prégnance du mental - le caractère est le
conformisme -, la "père-version" (la mémoire), interdisant tout accès aux profondeurs intimes permettant d'y puiser sa créativité authentique (l'intuition) comme y débusquer ses peurs et
permettre de s'en affranchir. Ce qui ne s'apprend pas par la sagesse s'apprend par la souffrance dans le royaume de l'Astral, le royaume des morts-vivants...
Il en découle que le caractère mental suppléant le caractère lié aux sentiments, l’identification de l'individu est formée sur la base d’éléments extérieurs au
détriment de ses goûts subjectifs, son idée de lui-même, sa capacité à accéder à des émotions fortes. Tuer ce caractère revient à tuer la personne. Détruire ce en quoi la personne croit
profondément revient à détruire la personne elle-même, car si le caractère émotionnel est retiré, il n’y a plus rien. L'individu doit mourir à sept ans pour le système prédateur et ses relais
institutionnels désacralisés !
Le philosophe et psychologue états-unien William James (1842/1910 - photo 4) aurait dicté après sa mort à l'auteur américaine Jane Roberts (1929/1984 - photo 5),
réputée pour avoir écrit une série de livres en état de transe, une critique virulente du freudisme. Elle se retrouve dans le livre The Afterdeath journal of an american philosopher, The
world view of William James.
Si l'homme porte en lui par les rêves, les inspirations et les révélations dans l’exercice de ses activités, la capacité à élever le niveau et à détruire les
anciennes limites à la fois de l’esprit et du corps, et ainsi amener à la conscience de nouveaux territoires de l’action ou de la pensée, certaines idées fausses de la psychologie ont gravement
diminué ses opportunités d’expression et de créativité en posant des normes moyennes qui, soi-disant, gouverneraient le comportement de l’individu, et au-delà desquelles une personne ne doit pas
s’aventurer. C'est ainsi que la naissance de la parapsychologie fut établie comme une nouvelle division artificielle destinée à inclure les phénomènes anormaux, autrement dit un dépotoir pour
toutes ces expériences qui ne rentraient pas dans les principes étroits adoptés comme étant la somme de la réalité psychologique de l’homme.
La psychologie initiée par Sigmund Freud, avec son influence faisant autorité, devait maintenir des lignes d’action claires et conscientes, tout en donnant libre
cours à toutes les pulsions inconscientes "primitives" de telle manière à les libérer — sans qu’elles ne déstabilisent la vie normale. L’individu devait apprendre que ses pulsions les plus
profondes étaient suspectes, pour que l’auto-discipline puisse remplacer un gouvernement autoritaire. Certains sentiments, actions et attitudes étaient considérés comme normaux, et d’autres non.
L’individu recevait un ensemble de règles qu’il devait suivre de la naissance à la mort, dans lesquelles l’inconscient remplaçait à la fois le gouvernement mauvais et sévère, dans une obéissance
forcée par la peur du soi naturel.
Une telle standardisation a été promptement appliquée aux citoyens différents et hétérogènes de la démocratie occidentale, qui étaient donc tous censés suivre des
normes individuelles qui offriraient à la personne une liberté politique et sociale dont il ne pourrait pas psychologiquement faire mauvais usage. Dans ce méli-mélo, les contraintes intérieures
serviraient à remplacer un gouvernement paternel. Le goût de l’aventure, la créativité et l’énergie seraient entièrement tournés vers les buts collectifs de la société — le triomphe physique sur
les terres et la réussite industrielle. Tout cela était une tentative d’utiliser et en même temps de freiner l’énergie fantastique d’un peuple qui venait de toutes les origines et héritages
nationaux concevables.
La vie intérieure de l’individu a été standardisée, et s’est vue dépouillée du riche symbolisme religieux d’autrefois, sans en recevoir de nouveaux pour se
construire. Freud a transformé les démons religieux en pulsions instinctives, conservant ceux-ci tout en rejetant les symboles grandioses d’un Dieu héroïque (et autoritaire). En raison
même de sa propre expérience, Freud a senti des montées insupportables d’intuition et de données télépathiques, des pics de créativité et des états émotionnels les plus profonds et les
plus incontrôlés. Cela n’a fait que renforcer sa conviction que la vie intérieure de l’homme était dangereuse, et qu’il était condamné par son propre héritage infantile.
Freud percevait et faisait l’expérience de la force créatrice comme de nature principalement sexuelle — d’une manière plus large qu’on le pensait
habituellement — mais aussi dans le sens germanique du terme : une sexualité profondément et sombrement passionnée, avec des sous-entendus de soumission ou de triomphe, et d’autres
implications de conflit et de guerre.
Sa psychologie a fourni des normes et des explications aux sentiments des hommes et des femmes sans donner d’importance à l’interprétation individuelle. La
psychanalyse pouvait mettre à jour des épisodes personnels d’une nature des plus intimes, mais cela en réaction à des explications déjà données, pour lesquelles les sentiments individuels
n’existaient que sur une base standardisée.
Pour autant, les actes créatifs ne sont pas "standards". Ils battent les records. Ils ne sont pas prévisibles. Ainsi, la créativité est devenue suspecte.
Freud a tenté de la rattacher aux plus grandes craintes de l’homme, de l’enchaîner à des refoulements plutôt qu’à des aspirations ou accomplissements. Les caractéristiques favorisant la
créativité étaient suspectes, non-standards, et c’étaient justement celles-là qu’il fallait exorciser. Les idées intuitives étaient donc attribuées à un comportement hystérique, sans que
ses normes soient définies. Se consacrer à la contemplation, à la pensée solitaire ou aux arts, particulièrement chez les hommes, devint des plus suspect. Et ceux qui ne canalisaient pas
leurs pulsions créatrices vers les buts matérialistes et sûrs de la société démocratique subirent le courroux de cette société.
Dans ce contexte, le spiritisme est devenu à la mode, tout comme les sociétés religieuses et les diverses pseudo-religions. La Science chrétienne en
particulier a tenté de rétablir l’équilibre avec la pensée positive aussi violemment que Freud l’avait fait avec le refoulement. Les gens du commun pensaient qu’il valait mieux ne pas
explorer l’inconscient décrit par Freud, et en effet, ils ne pouvaient pas se permettre de le faire. Il ne leur restait qu’un enfer psychologique à la place d’un enfer théologique, sans
la compensation d’un paradis. Qui plus est, ils craignaient les capacités créatrices qui auraient pu les libérer — eux et la société. Bien sûr, il y avait des tendances contraires, comme
le transcendantalisme, mais c’était l’affaire des intellectuels et pas des gens du commun.
Les capacités créatrices sont communes dans l’humanité, mais leur expression individuelle est plus rare, faisant ressortir des différences et des schémas
qui étendent les capacités de l’action et de l’accomplissement individuels. Quand un individu agit le plus de lui-même, le plus individuellement, et le moins comme les autres, il affiche
un comportement créatif et indique aux autres des possibilités d’accomplissement jusqu’alors inconnues — qui forment de nouvelles aspirations pour l’individu et la société. Ces capacités
devraient être encouragées par toute nation démocratique qui souhaite survivre comme telle.
Tout naturellement est posée au-delà de la sphère familiale la question de l'"éducation" institutionnelle, qui si elle ambitionne dans son discours de produire de
grands efforts pour encourager l’esprit inventif - il y a(urait) même des ministères ou secrétariats d’État en charge de l'innovation ! -, peine à se débarrasser complètement de son instinct à
réprimer la créativité. S'il est inévitable que des éducateurs considèrent comme une menace de jeunes et brillants étudiants, et qu'il leur faudrait une grande maîtrise de soi pour surmonter
cette réaction, c'est parce qu'ils/elles se trouvent en prise avec leur nature de "mâles" dominateurs par-delà le genre sexuel qui les caractérise.
Il existe bien sûr une différence entre le niveau de l’école et le niveau de l’université ou grande école. Si dans la plupart des écoles la domination du maître
(maîtresse) sur ses élèves s’exprime de façon forte et directe, aussi bien sur le plan social (vécu collectif) qu’intellectuel, utilisant son expérience plus grande pour mater leur esprit
inventif plus grand, au niveau de l’université/grande école, le tableau change, dans la mesure où l'on y attend que l’étudiant mette désormais les faits et données en question, les évalue, et en
fin de compte qu’il invente de nouvelles idées. Toutefois, à ces deux stades, à l’école comme à l’université, il se passe autre chose qui n’a que très peu à voir avec l’encouragement de
l’expansion intellectuelle aussi sincère soit-il, mais beaucoup avec l’endoctrinement de l’identité super-tribale logée dans l'inconscient collectif depuis des millénaires. Et il en est de même
tout naturellement dans le monde professionnel...
Pratique rituélique tribale
La raison remonte au mode de fonctionnement des sociétés tribales de nature patriarcale - les sociétés dites du "triangle"* - qui, dans de nombreuses cultures aux
quatre coins de la planète terrestre, soumettaient au moment de la puberté les enfants à des cérémonies d’initiation "impressionnantes" pour ne pas dire à contenu sidérant. On les séparait de
leurs parents et on les mettait en groupes. Ils se voyaient contraints alors à subir de sévères épreuves, allant souvent jusqu’à la torture ou la mutilation, comme des opérations sur leurs
organes génitaux. On les fouettait ou on les faisait piquer par des fourmis et insectes (guêpes par exemple). On leur enseignait en même temps les secrets de la tribu. Une fois les rites
terminés, ils étaient acceptés comme membres adultes de la société.
Les conséquences étaient l'isolement de l'enfant presque adolescent de ses parents, qui passait du réconfort quand il souffrait à la douleur et à la peur dans une
situation où il ne pouvait plus les appeler à l’aide. Le rituel aidait à briser le sentiment de dépendance envers les parents, et à transférer son allégeance du foyer familial à la communauté
tribale dans son ensemble. Le fait de permettre en même temps de connaître le secret des adultes de la tribu renforçait le processus en donnant une base à sa nouvelle identité tribale. Ensuite,
la violence de l’expérience affective accompagnant cet enseignement contribuait à graver dans son cerveau les détails des leçons tribales, et ce jusqu’au jour de sa mort. L’initiation
correspondait à un enseignement traumatique, expliquant avec une parfaite netteté à l'enfant que, bien que rejoignant les rangs de ses aînés, il n’en demeurait pas moins un subordonné. Il ne
pouvait ainsi que garder un souvenir vivace du pouvoir intense exercé sur lui.
Il va sans dire que nous retrouvons trace de cette initiation ancestrale dans la psyché contemporaine toujours sous domination patriarcale. Les formes ont changé,
le fond constitutif demeure. Que ce soit dans l'initiation des sociétés ésotériques comme la Franc-maçonnerie ou de structures institutionnelles comme celles de l'enseignement, la pratique
rituélique tribale continue à cadencer le fonctionnement du système prédateur.
La pratique de ritualisation est liée initialement à l'attachement, qui découle du besoin d'un enfantpour se développer normalement sur le plan affectif et social de former une relation affective privilégiée avec au moins
un donneur de soins, son parent de préférence (la mère tout particulièrement), ou par défaut un autre initiateur,lui permettant de retrouver un sentiment de sécurité interne face aux éventuels dangers de l'environnement.
C'est ce qu'a conceptualiséle
psychiatre et psychanalyste anglaisJohn Bowlby (1907/1990), auteur de la théorie de l'attachement, qui très tôt s'est intéressé aux conséquences des séparations précoces des enfants d’avec
leurs parents. Il a identifié trois grands types d'attachement : l'insécure ambivalent/anxieux (désir d'être tout près
tout en étant en colère et n'arrivant pas à se calmer), l'insécure évitant (s'adapte en paraissant peu
affecté par la séparation et évitement de la proximité au moment des retrouvailles), le sécure.
Ce système utilisé depuis près de 70 ans en sciences de la psychologie est utile si l’on applique la théorie selon laquelle les styles ne sont pas des catégories absolues, mais plutôt des points
focaux dans un spectre, les styles individuels pouvant alors se déplacer dans le spectre en fonction de l'état d’esprit de l'individu et des circonstances actuelles le caractérisant. Quoi qu'il
en soit, la réalité est que le comportement puise dans 60 pour cent d’influences génétiques et 40 pour cent d’éducation.
Ce syndrome de l'attachement implique pour l'être humain l'indispensable nécessité de se débarrasser de ses fardeaux pour réaliser son individuation, la vie terrestre impliquant de supporter le
poids du monde, c'est-à-dire de la société et de l'inévitable groupe d'appartenance en particulier (famille, institution professionnelle ou sociale) qui est constitutif de la bulle protectrice et
du poids de la protection en découlant. Très peu d'individus en sont capables, tant que l'éveil de conscience n'a pas opéré...
Du rituel
Si la plupart des gens accomplissent des rituels par habitude et suite demots répétés, sans une véritable compréhension de la
magie, de l’appel qui est créé,sans penser consciemment aux significations plus profondes, les rituels qui sont créés
et honoréspar des êtres humains pleinement conscients etavec un cœur sincèreont pour vocation derelier les nombreux niveaux et aspects constitutifs de l’être humain* à l’unité de tous. Ils créent une porte, un
passage pour que la conscience puisse voyager,chemin à suivre pour une connexion avec le soi plus grand, le soi total, le soi multidimensionnel.Ils sont le tissage de nombreuses réalités et dimensions en un tout, et en étant honorés, ont un énorme pouvoir de transformation et de guérison, pour lui-même
comme pour la planète.
Ainsi l'importance d’honorer les tâches courantes de sa vie comme un rituel transforme l’action, celles-ci étant appelées à devenir un lieu de magie et
d’épanouissement. C'est pourquoi les religions comme les organisations politiques du monde sont conscientes des pouvoirs que les rituels véhiculent par lelangage tacite qui est invoqué dans le rituel.Tout naturellement, les enfants, dès leur plus jeune âge, sont conduits à apprendre
les mouvements des rituels et des cérémonies.
Les autels offrent ce lieu physique entre les mondes, étant de ce fait des lieux de pouvoir et des portails énergétiques. Placés dans des églises, temples,
synagogues ou minarets, ils sont retirés aux gens ordinaires pour être contrôlés par les Églises officiantes. Mais en connaissant et comprenant leur pouvoir et caractère sacrés, les Humains
peuvent créer par leurvibration plus élevéedes autels personnels afin que le sacré puisse entrer dans leur vie. Il a
alors une connexion claire, une ouverture et un portail porteur d’un pouvoir énergétique énorme. En se connectant, il peut recevoir les cadeaux qui lui sont offerts parla pleine présence spirituelle manifestéedans la mesure où leurs corps, mental, émotions et esprit voient l'énergie cosmique circuler
plus harmonieusement, et ce à chaque étape de leur journée comme de leur vie.
Lorsque s’achève le cycle annuel des douze mois, la coutume veut que nous fêtions le "Nouvel An". Or, fêter le "Nouvel An" équivaut à renouveler symboliquement le
pacte infernal avec les forces prédatrices archontiques qui nous tiennent en laisse par leurs subtils car artificiels anneaux de pouvoir et autres menottes psychiques, celles du faux Dieu
asservisseur célébré comme vénéré sumérien An (ou Anu)* de la matrice asservissante de 3ème dimension, inaugurateur de toutes ses copies suivant les époques et les "berceaux" momentanés de la
civilisation humaine (Itemu-Râ pour l'ancienne Égypte, Zeus pour la Grèce antique, Jupiter chez les latins, Jéhovah/Yahvé chez les Hébreux/Juifs, Dieu dans le christianisme, Muhamad/Mahomet dans
l'islam…). Pourtant, chacun de nous possède un rythme qui lui est propre. De ce fait, le seul cycle que nous devrions honorer devrait être celui du retour du Soleil à la position exacte que
celui-ci occupait au jour et à l’heure de notre venue au monde. C’est à cet instant unique précis que nous devrions fêter la reliance de notre Âme avec l'Esprit divin, Source de Toute Vie.
En choisissant de fêter le 1er jour de l’an dans un élan collectif inconscient, sorte de bacchanale ou saturnales modernes à l'instar des carnavals (Rio,
Venise...), marches des fiertés (Lesbian & Gay Pride, LGBTQ+ Pride) et autres exubérances sportives ou culturelles (festivals, concerts...),
nous choisissons la soumission à la matrice et à ses artifices plutôt que de choisir consciemment de nous soumettre à la volonté de notre Soi Supérieur, nous indiquant comment cette inconscience
nous empoisonne et nous maintient dans la nasse putride de notre geôle prison.
Si les écoles, les universités et grandes écoles modernes n'en sont plus là, le système d’éducation actuel présenteà bien des égards de frappantes similarités avec les cérémonies d’initiation tribales primitives. Tout d’abord, on sépare les enfants de
leurs parents pour les mettre entre les mains des anciens de la "super-tribu" contemporaine, les enseignants, qui leur en enseignent les "secrets". Dans bien des cultures, on leur fait encore
porter un uniforme pour les mettre à part (photo 1), et renforcer leur nouvelle allégeance. On peut aussi les encourager à pratiquer certains rites, tels que chanter à la chorale de l’école ou du
collège (photo 2). Les sévères épreuves de la cérémonie d’initiation tribale ne laissent plus de traces physiques - hormis les pratiques de bizutage -, quoique des épreuves physiques ont persisté
presque partout jusqu’à une époque très récente (les années soixante) au niveau de l’école, sous la forme par exemple de corrections administrées à coups de règle (ou de martinet) sur les fesses
(image 3). Comme les mutilations génitales des cérémonies tribales, cette forme de punition a toujours eu des relents sexuels, et ne saurait être dissociée du phénomène du sexe de statut,
masculin en l'occurrence (la polarité électrique). En l’absence d’une forme plus violente d’épreuves imposées par les maîtres enseignants, les élèves plus âgés assument souvent le rôle "d’anciens
de la tribu", infligeant eux-mêmes des brimades aux "nouveaux", ces brimades variant suivant les endroits et les traditions (photos 4 à 6).
De la réécriture de l’histoire du monde
Pour servir leurs propres intérêts immédiats, les élites sombres, tapies dans l'ombre de leurs thuriféraires aux commandes institutionnelles par l'occupation des
postes clés dans les plus hautes sphères du pouvoir, s'est attachée depuis longtemps, tout particulièrement dès la généralisation de l'écriture grâce à l'essor de l'imprimerie, à réécrire
l'histoire. Il en découle que plus d’une génération a grandi sans avoir la moindre idée de ce qui s’est passé dans le monde et dans son propre pays, non
seulement il y a des centaines d’années, mais aussi dans l’histoire récente. Les "maîtres" ordonnateurs ont en effet parfaitement compris que c’est
l’abrutissement de la future génération qui est la "clé" déterminante de l'accès à la conscience des individus pour les mener dans la direction qu’ils souhaitent.
L’éducation classique profonde et complète, qui était encore pratiquée dans de nombreux pays du monde il y a plusieurs décennies, a été très rapidement remplacée
désormais par une éducation primitive et superficielle. L’essentiel est que ce système est construit de telle manière que l’on apprend aux enfants à ne pas
penser par eux-mêmes, tout se réduisant au fait qu’ils mémorisent des réponses toutes faites à des questions préparées à l’avance. Ainsi le cerveau
humain est préparé à une perception automatique de la réalité plutôt qu’à une perception créative. Il en résulte que la simple mémorisation de réponses
toutes faites a des vibrations très basses, cecicréant une masse cognitive très grise facile à contrôler.
Pour ce faire, les enseignants et les éducateurs ne sont plus libres, sauf exception d'individus éclairés et courageux, devant
suivre des programmes et des concepts qui leur sont imposés d’en haut. Et lorsque les anciennes générations d’enseignants partent, elles sont remplacées
par des enseignants qui dépendent totalement du système de gestion actuel, qui ne sont pas libres de changer quoi que ce soit dans le système éducatif d’aujourd’hui.
La réalité est que, lorsqu'il n’y a plus de mot pour exprimer, pour s’exprimer, alors il ne reste plus que les gestes prévalant aux actes, qui toujours se terminent en violence, verbale comme
physique. C’est pour cette raison que penser, dire, écrire est si important. C’est aussi pour cette raison que les dirigeants institutionnels psychopathes qui nous gouvernent veulent euthanasier
la pensée, et surtout les pensées jugées "divergentes" à la doxa professée par ces bien-pensants du soi-disant camp du bien. Seule l'exigence vigilante des véritables instructeurs, les parents et
quelques maîtres et professeurs éveillés, peut en contrer les effets néfastes, en ne cédant rien à la médiocrité dispensée par nombre d'imposteurs éducateurs. Elle nécessite la fierté des mots,
de la pensée et de la réflexion des enfants et adolescents, seule à même de transcender la marque de fabrique du système prédateur, le mensonge.
"96 % de réussite au bac, 95 % d’échec à l’examen pour devenir diagnostiqueur immobilier et faire un DPE" : une corrélation inquiétante
Le réel est l’ennemi mortel de tous les idéologues du monde à travers les âges. Ils peuvent tout imaginer, tout fantasmer jusqu'à l'absurde, mais il finit toujours
par les rattraper, les reléguant dans les oubliettes de l'Histoire. Le cas du système éducatif choisi depuis des décennies en France, est emblématique de cette douloureuse réalité, que traduit
l'effondrement des résultats de la France dans le classement Pisa*. Les résultats du bac général 2024 mettent en avant fièrement par son tuteur l'Éducation
nationaleun taux de réussite de 96,1 %, en hausse de 0,4 point par rapport à la session de juin 2023. De son côté, le taux d’échec aux examens pour devenir
diagnostiqueur immobilier et faire un DPE (diagnostic de performance énergétique et climatique)s'établit à 95%, se
traduisant par une forte chute depuis l’entrée en vigueur des nouvelles modalités d’examen au 1er juillet 2024 (augmentation de la durée de formation initiale, évolution des modalités
d’examen...). 96 % de réussite au Bac, pour un taux d’échec de 95 % aux DPE, le réel revient en pleine figure des démagogues de classe "inclusive" et fortement hétérogène, source de médiocrité
institutionnalisée. Elle conduit à l'inévitable destruction des capacités intellectuelles et cognitives du plus grand nombre, et la non valorisation des dons et talents individuels.
Le bac ne vaut strictement plus rien, hormis pour quelques privilégiés, les enfants "de", mis en couveuse chèrement dans les instituts privés "hors contrat"
d'excellence ad'hoc. A l'heure oùune grande majorité de jeunes utilisent massivement l'Intelligence Artificielle (Chat GPT et consorts), privilégient le
surf sur les réseaux sociaux, ne lisent plus, ne travaillent plus en continu les fondamentaux (la connaissance, le savoir, le langage, les mots, la
pensée)par-delà les cours dispensés, n’apprennent plus par manque d'envie et de concentration, le niveau intellectuel ne peut que s’effondrer, alors que la
réalité économique appelle entre autres à faire tourner les usines et les centrales nucléaires,l’éducation, l’hôpital et autres services publics, l’armée,
l’agriculture,à innover... et à réaliser techniquement les DPE conformément à l'indispensable bonne maîtrise de nos ressources énergétiques par-delà
l'idéologie de l'"escrologie" sous-jacente. C'est le résultat du poids de la médiocrité généralisée, du manque d’ambition, des mensonges, de l’idéologie et de la démagogie par-delà les discours
tenus par nos bonimenteurs institutionnels, droite et gauche confondus, accrochés à leurs petits voire grands privilèges... "ripoublicains" !
La réalité est qu'une société ne peut bien tourner que quand les gens sont bien formés. Et en l'état actuel de cette crétinisation volontaire de la masse, autrement
nommée l'"idiocratie"*² institutionnalisée, qui confine à lamédiocrité, à la bêtise, au matérialisme et à l'exacerbation des instincts primaires de
l’individu (boire, copuler, faire la bringue, se camer, casser et agresser), la probabilité est que les gens bien formés avec des cerveaux bien faits partent
vers d'autres rivages (140000 français diplômés qui émigrent vs 600000 immigrés tous les ans pour les 2/3 absolument non qualifiés)plutôt que de rester au pays pour contribuer à sa pleine puissance…
* PISA est le programme international pour le suivi des acquis des élèves, constituant la plus grande étude internationale auprès d'élèves dans le domaine de
l'éducation. Sonobjectif est de comparer les performances des élèves issus de différents environnements d'apprentissage pour comprendre ce qui les
prépare le mieux à leur vie d'adulte.Il est pilotée par l'Organisation de coopération et de développement économiques
(OCDE).
*² L"Idiocratie" est une civilisation d’idiots, qui est dirigée par des idiots parce qu’il n’y a plus que des
idiots.
Dérive clubiste
Les grandes écoles et universités constituent l’école du pouvoir et le club de la nomenklatura élitaire, comme le met en avant en France la chute en janvier 2021
d'un de ses plus éminents représentants, le constitutionnaliste ancien maître de conférences Olivier Duhamel, à l'occasion de révélations fracassantes* sur sa pratique pédocriminelle passée (il a
été visé par une enquête pour "viols et agressions sexuelles", classée sans suite pour cause de prescription des faits), sue mais tue par le petit cénacle de ses vils sinon pleutres inféodés même
supérieur hiérarchique comme le directeur d'alors de l'institution Frédéric Mion, alors même que celui-ci en avait été personnellement informé par une ancienne ministre enseignante, ce qu'il a
piteusement fini par reconnaître non sans avoir tenté de lui demander de taire à deux reprises qu’elle l’avait mis aux courants des accusations visant
Olivier Duhamel depuis 2018 (après s'être vainement enfermé dans le déni, il a fini par démissionner, confirmant une fois encore le grand écart entre les donneurs de leçons sur l'exemplarité
comportementale et leurs propres aptitudes à être à la hauteur de leurs paroles viciées professées).
Exerçant ses talents professionnels à la fois comme l'un des dirigeants de l'école prestigieuse Sciences Po (présidence de la Fondation nationale des sciences
politiques et chef d'orchestre du rythme de chaque rentrée avec sa conférence inaugurale) et membre organisateur des dîners très sélects du think tank
d'influence Le Siècle*², ce politologue libéral réputé "de gauche humaniste" éclairée, donneur de leçon de "bienpensance" et habitué de médias "mainstream" censés dispenser la bonne parole au
"bon peuple" (Europe1, LCI entre autres), y incarnait à merveille la raison d'être des coteries françaises, transpartisanes et intemporelles. Roitelet en son royaume, bénéficiant de l'omerta de
sa cour impressionnable comme reconnaissante des privilèges et faveurs octroyés par cet homme suintant les effluves enivrantes du pouvoir d'influence à haut niveau, il y appliquait ce qu’il ne
dispensait bien sûr pas dans ses cours, la science du réseau (ou réseautage), qui est, plus efficacement que la connaissance du droit, le moteur de l'exercice du pouvoir pour celles et ceux qui
en pratiquent et maîtrisent les artifices.
* Cf. Livre de Camille Kouchner "La Familia Grande".
*²En 1991, c’est à lui que le patron de Sciences Po d'alors, le politologue ancien membre du Conseil constitutionnel
Alain Lancelot (1937/2020), s’est adressé pour parrainer au Siècle de nouveaux entrants. C'est ainsi que celui qui passe pour son dauphin, le jeune Richard Descoings, prendra ultérieurement
la direction de Sciences-Politique avec un niveau de rémunération extravagant (aux alentours de 500 000 euros annuels bonus compris) octroyé par l'économiste et intellectuel libéralJean-Claude Casanova, le président d'alors de la Fondation nationale des sciences politiques, et auquel Olivier Duhamel succèdera. Cocaïomane notoire, "Richie",
tel que surnommé par ses étudiants, décédera dans des conditions suspectes en avril 2012 à 53 ans dans une chambre d'hôtel à Manhattan New York (il avait nommé pendant son mandat son épouse comme
directrice adjointe de l'établissement, sans que cette faveur n'émeuve véritablement le corps enseignant de la docte parole consistant à faire le contraire des principes de bonne gouvernance
enseignés).
We don't need no education We don't need no thought control
No dark sarcasm in the classroom Teacher, leave them kids alone
Hey, teacher, leave the kids alone All in all it's just another brick in the wall
All in all you're just another brick in the wall
We don't need no education We don't need no thought control
No dark sarcasm in the classroom Teachers, leave them kids alone
Hey, teacher, leave us kids alone All in all you're just another brick in the wall
All in all you're just another brick in the wall
* Pink Floyd, album "The Wall" (1979).
Il reste toujours pour les rites officieux d’initiation l’alternative de l’épreuve mentale. Presque tout au long du système d’éducation moderne on la retrouve sous
le nom révélateur "d’examen". Ceux-ci sont menés dans la lourde atmosphère du haut rituel, les élèves étant coupés de toute assistance extérieure. Tout comme dans le rituel tribal, nul ne peut
les aider. Ils doivent souffrir tout seuls. A tous les autres moments de leur existence ils peuvent utiliser des ouvrages de références, ou discuter sur des points difficiles quand ils appliquent
leur intelligence à un problème, mais non pas durant le rite privé des examens redoutés. L’épreuve est encore rendue plus pénible par la fixation d’une stricte limite dans le temps et par
l’accumulation de tous les différents examens dans la brève période de quelques jours ou de quelques semaines. L’effet général de ces mesures est de provoquer une véritable torture mentale,
rappelant une fois de plus l’atmosphère des cérémonies d’initiation plus primitives des tribus d’autrefois.
Classes préparatoires : la fabrique des "autoritariens"
Bien entendu, les "autoritariens"* s'insurgeront contre une sensiblerie incompatible avec les exigences de la société moderne et de son élitisme dirigeant, les
"meilleurs" à la compétition recevant naturellement les récompenses du système prédateur. La réalité est que les entraînements intensifs aux concours en classes préparatoires ont deux
conséquences dont ils se moquent éperdument ou qu'ils nient cyniquement : la fabrication de psychopathes*² et le "massacre" des innocents. S'il se trouve quelques enseignants bienveillants,
beaucoup contribuent à l'océan de souffrance psychique à la limite du sadisme qui marque au fer rouge les survivants et alimente leur pathologie qu'ils n'auront de cesse d'exprimer dans leur
relation à eux-mêmes comme aux autres.
Véritables fabriques à élites, les classes préparatoires pâtissent depuis longtemps d’une mauvaise réputation. Apparue au XVIIIe siècle, cette exception française
attire de plus en plus d'élèves de tout horizon, avec le pendant de la carotte sociale espérée : rythme intense de travail, notation ultra-sévère, examens répétés, pression des concours à venir…
Cet entraînement à la dure telle que privilégiée par l'institution militaire est relayée par différentes formes de harcèlement moral et d'acharnement continu, sous couvert de traditions
centenaires. Il en résulte d'inévitables dépressions, troubles anxieux, sentiments d'échec, manifestations physiques (anorexie, boulimie, maux de ventre somatiques), prise d'anxiolytiques, dont
toutes et tous ne se relèveront pas aisément. Les fameux "burn-out" dans le milieu du travail sont ainsi préparés pour beaucoup dans l'ensemble de ces filières d’études sélectives jouant sur le
terrain des fragilités de la psyché existantes (névroses voire psychoses).
Ce n'est pas le moindre paradoxe d'une nation se réclamant fièrement des (fausses) Lumières, la culture de l'excellence inculquée à ses élites étant basée
exclusivement sur le mental intellect, nécessaire à l'ordonnancement de la gouvernance mondiale entropique en cours et à l'instauration de l'Intelligence Artificielle au sommet de la pyramide,
point ultime du calendrier occulte du système prédateur.*³
Pour autant, l'esprit de solidarité et de fraternité que beaucoup instaurent comme rempart à l'individualisme oppresseur combiné à la motivation ressentie pour
suivre l'enseignement des grandes écoles espérées permet de positiver l'expérience traumatique, et pour celles et ceux qui en auront tiré la leçon, de contribuer plus tard à un exercice digne de
leurs responsabilités, en servant plutôt qu'en se servant...
Une fois les examens finaux terminés, au niveau de l’université, les étudiants qui ont "passé l’épreuve" deviennent qualifiés comme membres spéciaux de la section
adulte de la super-tribu. Ils endossent des robes d’apparat sophistiquées, et participent à un autre rituel appelé la cérémonie de remise des diplômes, en présence des anciens de l’université
revêtus de leurs robes les plus impressionnantes et les plus spectaculaires.
La phase d’étudiant à l’université ou grande école dure généralement trois ans sinon plus, ce qui est bien long pour une cérémonie d’initiation. Pour certains,
c’est trop long. L’isolement loin de l’assistance des parents et de l’environnement social réconfortant du foyer, joint aux exigences menaçantes de l’examen qui approche, se révèle souvent trop
rude pour le jeune initié. Ainsi, dans les universités britanniques, environ 20% des étudiants ont besoin d’assistance psychiatrique à un moment quelconque de leurs trois années d’étude. Pour
certains, la situation devient intolérable, et les suicides sont d’une fréquence insolite, le taux à l’université étant de trois à six fois plus élevé que la moyenne nationale pour le même groupe
d’âges.
De toute évidence, les épreuves éducatives n’ont que peu de rapport avec l’idée d’encourager et de prolonger l’esprit ludique, inventif et créateur de l’enfance.
Comme les cérémonies d’initiation tribales primitives, elles concernent plutôt l’idée d’inculquer une identité super-tribale. Comme telles, elles jouent un rôle de cohésion important, mais le
développement de l’intellect créatif est une tout autre question...
Des études comme "vrai" investissement
Nombre d'individus pensent que si l'on dépense assez d'argent - le sien ou celui d'autrui (crédit) - pour leur progéniture, elle se transformera au mieux en
Einstein, Érasme ou autre prix Nobel mis en avant par le système sociétal, sinon occupera une place confortable et sera à l'abri. De leur côté, les études montrent que les gens plus diplômés
gagnent plus d'argent. Pourtant, c'est entièrement trompeur, comme d'habitude au royaume de l'illusion. La question en fait à se poser est celle de l'esclavagisme à la dette, autrement dit le
statut d'esclave de la dette, et par-là même du système entropique, et ce pour un diplôme.
Hormis les rejetons de familles élitaires nanties, destinés à garantir à leur tour l'ordre délétère établi par l'appartenance verrouillée aux réseaux de connivence
(c’est le vrai sésame d'accès, et c'est pourquoi il vaut cher) commençant par les rallyes et garantissant la cooptation salutaire, celle ou celui désireux de se positionner au plus haut niveau
possible, pensant que les grandes écoles sont le sésame qui assure un avenir tout tracé avec de belles rémunérations et des perspectives de carrières - le salariat de luxe -, commencera avec sa
dette étudiant, avant que de poursuivre l'engrenage avec un prêt immobilier, un prêt automobile... une fois trouvé l'emploi pour payer ses factures. A mesure qu'il prendra de l'âge, le salaire
tendra certes à augmenter, mais les dépenses aussi. Il travaillera minimum 50 à 60 heures par semaine, avec (très) souvent une pression énorme et une exposition aux risques psychosociaux, et
portera la dette de son État d'appartenance par la fiscalité confiscatoire (impôts, charges et taxes), qu'il transmettra à sa progéniture à son tour... Ceci signifie qu'il lui est/sera (presque)
impossible, hors héritage substantiel ou revenus très confortables, de se désendetter, ayant passé à ses doigt, poignet et cheville l'anneau de servage* !
Bien entendu, dans nombre de cas, aller à l'université constitue le moyen nécessaire et exigé pour exercer un métier (médecin, chirurgien, ingénieur nucléaire,
pilote, notaire, avocat, magistrat, expert-comptable...). Toutefois, et quoi que l'illusion vaniteuse de son importance soit tenace, la majeure partie du travail fait par la majorité des gens ne
demande pas le moindre diplôme universitaire, un individu intelligent et motivé pouvant s'en sortir très bien s'il possède bien sûr correctement les bases éducatives. Il est alors sans commune
mesure avec les "parfaits" crétins sans diplôme, sans formation et sans expérience. C'est l'intelligence situationnelle et le bon sens qui rapportent, non les diplômes universitaires dont
beaucoup préparent plus à Pôle Emploi qu’à l’emploi tout court, ni ceux des nombreuses (plus de 150) "grandes" écoles privées de notre pays (nombre sont en fait de second rang) qui sont très
coûteuses (15 000 euros l’année en moyenne dont frais annexes tels logement et frais courants) et dont le contenu ne sert qu’à formater des esprits dociles sous couvert d'esprits "intellectuels"…
Et comme dans la société actuelle le cours de l’intellectuel s’effondre - on ne veut que des exécutants/consommateurs qui ne se posent aucune question -, penser sert-il encore à quelque chose ?
La réalité c’est qu’il y a désormais non pas une prime à l’intellectuel mais au manuel - boulangers, électriciens, coiffeurs, plombiers, mécanos, etc. -, ce qui pose la question du retour sur
investissement des études supérieures, d'autant plus au moment où le montant mensuel de retraite des cadres est appelé à être révisé et le plausible arrêt des "retraites chapeau" à être entériné,
dont l'affaire "Carlos Ghosn" a constitué le point d'impulsion... Avec la démocratisation de l'enseignement rendu nécessaire par l'accélération du business mondial, quoi que momentanément remis
en question par la crise sanitaire, être diplômé désormais ne fait plus sortir de la masse, seuls les diplômes véritablement discriminants car pointus faisant la différence en matière de
carrière. Pour le reste, ce sont des postes subalternes, conduisant à ce que leurs titulaires soient frustrés une fois les rêves de grandeur ramenés à la réalité du théâtre de
marionnettes.
Faut-il à ce point être illusionné pour ne pas voir que le sens emprunté par la société est celui d'une élite richissime, microcosme composé d'esprits dévoyés
adoubant le dieu de la matière rutilante Mammon, et qui continuera à s‘engraisser sur une masse robotisée par les artifices dispensés. Le soubassement de la dispense pédagogique est la sélection
de "bien-pensants", au sens païen s'entend. D'une part, ceux qui s'octroient la connaissance et se la réservent à leurs fins exclusives. D'autre part, ceux qui la subissent pour être orientés
vers la plus grande médiocrité sans savoir, car penser en dehors des clous balisés gêne celui qui par mirage veut exclusivement s’enrichir.
* Voir précédemment l'anneau de Gollum, le monstre hideux du Seigneur des Anneaux.
De la classe moyenne (1)
Le point de vue conventionnel est que la classe moyenne se définit par ses revenus, son éducation, ou le type de métier qu’elle exerce. Autant d’attributs
superficiels qui ne tiennent pas compte des différences concrètes entre la classe ouvrière et la classe moyenne.
Certes, la classe moyenne gagne plus, a des diplômes supérieurs et tend à occuper des postes à cols blancs plutôt que bleus. Mais une éducation supérieure et un
salaire plus élevé ne garantissent pas automatiquement un rôle de classe moyenne dans l’économie… une garantie qu’un poste de travailleur à col blanc ne peut pas non plus offrir. Rien de tout
ceci ne permet à l’individu de s’élever sur l’échelle sociale, passant d’une détention de capital quasi-nulle (classe ouvrière) à une propriété significative de capital productif (classe
moyenne).
Fondamentalement, la classe moyenne est un moyen de transformer le travail en capital par le biais de l’épargne et de l’investissement. L’ascenseur social
traditionnel, qui permet de passer de classe ouvrière à classe moyenne, est lié à la capitalisation du travail : du temps et de l’épargne sont investis dans une éducation supérieure, ce qui
permet de capitaliser le travail à venir en augmentant sa productivité. En d’autres termes, ce qui distingue la classe ouvrière de la classe moyenne, c’est la capacité de cette dernière à
transformer son travail en capital, alors que le travail de la classe ouvrière ne permet que de financer la consommation.
Si l’exploitation du travail est la force dominante du capitalisme, celle-ci repose aussi dans le rôle essentiel du crédit, de la dette et de la consommation de la
classe moyenne, qui génère des profits pour les grands détenteurs de capital. La dette est en effet immensément rentable, de sorte que les travailleurs à bas salaires ont un bassin de rentabilité
limité. Les services financiers sont très doués pour manger la laine sur le dos de la classe ouvrière grâce à des avances sur salaires, des services d’encaissement de chèques, des prêts
automobiles à taux vertigineux, des pénalités de retard ridiculement élevées et des agios. Pour les salaires plus élevés et plus sûrs de la classe moyenne, ils offrent une manne de profits à plus
long terme grâce aux dettes qu’elle contracte, comme les prêts étudiants pour obtenir les diplômes jugés nécessaires pour faire partie de la classe moyenne*, les prêts automobiles, les
hypothèques pour acheter une maison, et les dettes pour la consommation accessible à cette classe : séjours au ski, croisières, dîners au restaurant etc.
En d’autres termes, sans une classe moyenne en bonne forme, capable de contracter des dettes, qui emprunte et dépense librement, le capitalisme moderne stagne. Mais
comme la majeure partie de la dette de la classe moyenne provient de son désir de transformer le travail en capital grâce à l’éducation supérieure (dette estudiantine) et à la propriété
(hypothèques), celle-ci n'est plus en adéquation avec un pouvoir d’achat issu du salaire qui diminue et avec des revenus qui se précarisent de plus en plus, les employeurs décidant de se
décharger des coûts liés à la santé et aux retraites sur leurs employés et de les remplacer par des contractuels, sinon des robots. La capacité de la classe moyenne à emprunter et à consommer
davantage commence de ce fait à faillir. Pire encore, les voies d’accès traditionnelles vers la propriété de capital productif ne sont plus fiables, tout comme les diplômes d’éducation supérieure
ne sont plus la garantie de salaires stables et généreux. Enfin, dans une économie accro à la bulle de l’immobilier, la propriété est aussi moins une méthode d’épargne, et plus un jeton dans le
grand casino qu’est cette bulle financière. En effet, si pour une société d'investissement un logement n'est qu'un actif de plus à "jouer" dans le casino de la rentabilité espérée, pour la
plupart des gens il est un endroit où vivre pour lequel il faut payer crédit ou loyer mais aussi l'entretien et les factures, réprésentant en moyenne environ un tiers de leurs revenus.
Il en résulte que les membres de la classe moyenne qui souhaitent devenir propriétaires de capital productif sont condamnés au servage de la dette. Le remboursement
est toujours garanti, mais les avantages obtenus grâce à une dette contractée sont en proie à des effondrements soudains de la demande des diplômes ou des actifs obtenus en s’endettant. L'axiome
prédominant pour les élites asservissantes face à l'érosion de la productivité et de la profitabilité est en effet la financiarisation, la production de dettes et de monnaie de crédit. C'est
"l'effet Cantillon"*², entraînant pour tous ces ploutocrates la destruction de nos arrangements sociaux et politiques ! Mais comment peut-il en être autrement puisque la trajectoire de (presque)
toutes les élites est d'abuser très souvent de leur position et de leurs privilèges par des demandes déraisonnables, ce qui traduit leur propension à l'arrogance. L'essence du pouvoir est de
corrompre. Et comme tous les groupes veulent la même chose - plus de pouvoir, plus de statut, plus de richesse -, les élites qui ont du pouvoir sont corrompues, résistant alors très difficilement
à la tentation d’utiliser le gouvernement pour obtenir ce qu’elles veulent. Il en découle incompétence, égoïsme et incapacité à se rappeler les leçons du passé.
* C'est ainsi quela croissance continue de la dette étudiante US constitue une bombe à retardement qui menace de faire exploser l’économie américaine,
le nombre de défauts d’emprunts étudiants explosant. La situation est devenue tellement critique aujourd’hui que de nombreux américains fuient leur pays pour échapper aux prêts étudiants
écrasants, le montant de cette dette venant d’atteindre un nouveau sommet historique à 1752,88969 milliards $ au 3ème trimestre 2021 !
*² Découlant de l'expérience personnelle de l'économiste et financier irlandais et français Richard Cantillon (1680/1734), il veut qu'une injection de monnaie
dans l'économie exerce un effet progressif et différencié sur les prix au fur et à mesure que la monnaie se propage par les échanges à partir du point où elle a été injectée.
De la classe moyenne (2)
L’avalanche d’argent gratuit de la part des banques centrales a favorisé l’immobilier depuis des années. En effet, face à cette prolifération d’argent virtuel,
beaucoup d’investisseurs institutionnels se sont tournés vers l'immobilier et ses actifs tangibles qui offrent un rendement substantiel. Il en résulte la hausse conséquente du prix des maisons et
des appartements, alors même que le nombre d’acheteurs solvables pour ces deux catégories de biens ne cesse de se contracter*. Aussi devenir propriétaire devient hors d’atteinte pour une majorité
de citoyens qui se retrouvent condamnés au statut de locataire sans horizon de temps, à moins bien sûr d’une spectaculaire évolution de leurs revenus, ce qui constitue l’exception. Vient se
greffer là-dessus un "effet rareté", les mises en chantier de logements individuels étant en repli, d'autant en raison de la pénurie de matériaux, conséquence de la crise santaire. A quoi se
rajoute un nombre de transactions en baisse dans le neuf, s’expliquant tant par une pénurie de biens négociables (comme pour les véhicules d’occasion) que par la frilosité des banques vis-à-vis
des emprunteurs et leur exigence en matière d'apport.
En résumé, ce sont les rois du cash (dont nombre de fonds institutionnels) qui, disposant d’une force de frappe financière sans équivalent, assèchent le marché
immobilier et font grimper les prix, expliquant que pour beaucoup il ne reste que le choix de rester locataires, et ce pour de longues années. C'est un véritable processus d’éviction des classes
moyennes au profit de l’hyper-classe, profondément inégalitaire et de ce fait socialement explosif ! Nous sommes bel et bien dans ce monopoly dévoyé parvenus à ce moment de la partie où 80% des
joueurs sont lessivés, tandis qu’une poignée de privilégiés détient tout ce qui rapporte.
* Cette hausse est également liée à la volonté désormais explicite des institutions gouvernementales de supprimer progressivement la propriété individuelle,
afin de verser dans un socialisme "à la chinoise" (vie en collectifs grande hauteur en qualité de locataire) garantissant plus facilement le contrôle des populations. C'est ainsi qu'a été
annoncée en octobre 2021dans nombre d'Etats (France, Allemagne, Espagne...) la volonté de restreindre progressivement au nom de l'urgence
climatique l'acquisition de maisons/propriétés individuelles par la montée en puissance de mesures dissuasives (augmentation des taxes foncières, non obtention de permis de construire ou de
rénovation...).
De la classe moyenne (3)
Les riches ont leurs lobbyistes et leurs échappatoires, fiscaux comme judiciaires. Les pauvres ont leurs aides, étant sous dépendance artificielle pour leur survie.
Qui reste-t-il pour payer les factures ? La classe moyenne, serrée par l'inflation entre la pression exercée par la hausse des prix et la triste réalité de la stagnation au mieux ou de la baisse
au pire des revenus réels. Les classes moyennes sont ciblées, non seulement pour collecter de l'argent..., mais aussi pour être détruites par la mégapolitique pratiquée.
Karl Marx n’avait pas tort sur toute la ligne : une certaine "lutte des classes" est inévitable dans le fonctionnement sociétal. Mais s'il voyait les classes
laborieuses comme les vainqueurs ultimes, il avait tort sur ce point. Ce qui manque aux riches en termes de main-d’œuvre, ils le compensent largement en termes de ruse. Grâce au fait qu’ils
contrôlent l’argent, les travailleurs ont été les grands perdants du dernier demi-siècle. Et de nos jours, les élites cherchent désespérément à relever le "plafond de la dette" afin de pouvoir
les ensevelir sous les dettes. D’une manière ou d’une autre, probablement par le biais de l’inflation, les classes moyennes sont condamnées à payer l’explosion de la dette "nationale". Et
séduites pendant longtemps par des taux d’intérêt artificiellement bas, elles auront aussi leurs propres dettes (prêts immobiliers, voiture, études) à payer. Il en résulte que la situation du
travailleur lambda est pire aujourd’hui qu’il y a 50 ans, conséquence de la recherche de gains de productivité, chaque heure de travail permettant d’en tirer davantage, les choses produites
devenant moins chères et de meilleure qualité.
Si l’inflation détruit la valeur de l’argent, elle détruit aussi le temps… et les personnes qui le vendent à l’heure. Ceci fait que lorsque le taux d’inflation
augmente, les classes moyennes disparaissent inexorablement au "profit" de travailleurs précarisés et mal payés.
Du cynisme des classes dominantes
D’un côté, les salariés, de l’autre les capitalistes. Et, parmi ces derniers, un sentiment d’avoir gagné la lutte. La lutte des classes n’est de ce fait pas une
réalité sociale, mais une réalité logique, conceptuelle, qui découle de l’analyse scientifique et non idéologique du mode de production capitaliste, lequel divise le monde entre deux ensembles,
celui des "détenteurs du capital" et celui de "la masse des salariés". Autrement dit, il y a ceux qui travaillent et il y a ceux qui, sans travailler, ont droit à une part du produit du travail
des salariés pour avoir apporté le capital générateur de travail.
Ces deux classes sont par définition antagoniques, leurs relations étant dans la dialectique usitée conflictuelles, le système voulant que les uns aient besoin des
autres, et les autres besoin des uns.
L’erreur des révolutionnaires du vingtième siècle a été de croire que parce que les individus avaient conscience de cela, que les salariés avaient conscience d’être
prolétaires, exploités, ils se révolteraient. Tel n'a pas été le cas, en dépit de soubresauts dans les luttes syndicales orchestrées. Elles ont échoué, les syndicats étant au même titre que les
partis se revendiquant de gauche des forces d'opposition contrôlée, c'est-à-dire dans l'impossibilité d'inverser le système, la corruption par les titres, avantages et autres prébendes dispensées
gangrénant les esprits et tuant dans l'oeuf les velléités.
Il en découle que désormais la conscience de classe en tant que telle existe de moins en moins : elle se voile, s’estompe de plus en plus, faisant à peine parti du
vocabulaire post moderne. La mystification l’a en effet emporté. Et si l'appartenance au camp des exploités demeure ressentie douloureusement par les individus concernés, elle ne monte plus à la
conscience, aboutissant à l'équation impitoyable "Plus vous êtes exploité, moins vous conservez la conscience de l’être dans le monde post moderne". C'est la magie de l'inversion du discours
marketing et publicitaire porté au pinacle par le groupe cosmétique l’Oréal - vous êtes extraordinaire parce que vous le valez bien -, qui aboutit à "Plus vous êtes minable et aliéné, étranger à
vous-même, plusvos egos mystifiés sontflattés et exacerbés" par le pain (aides sociales) et les jeux octroyés
(divertissements en tous genres et tous supports). Le silence médiatique sur le fait que les masses travailleuses sont exploitées aboutit qu'elles en vivent les effets sans en verbaliser les
causes, ne pouvant plus conscientiser que c’est de cette situation qu'elles souffrent et vivent mal.
Le système capitaliste de la production pour le profit, de l’attribution d’une part du surproduit aux détenteurs du capital et de la possibilité d’accumuler sans
fin, produit en conséquence un ordre social, qui conceptuellement oppose les uns – le capital –, aux autres – les salariés. C'est ce qui a conduit le financier investisseur Warren Buffett, l’un
de hommes les plus riches du monde et l’un des plus cyniques, à dire : "La lutte des classes existe et nous l’avons gagnée." La classe des capitalistes est ainsi devenue une ultra classe, une
"hyper-classe", gagnant le combat au point de faire croire que c’était la fin du mouvement de l’Histoire, la mort de la dialectique, le règne de l’éternité bourgeoise. Cette "hyper" ou
"ultra-classe" ayant conscience d’elle-même, elle ne cesse de s’enhardir, devenant de plus en plus cynique, pour ne pas dire stupide et imprudente. Car elle n’a pas compris que ce qui fait
l’Histoire, ce ne sont pas les hommes, mais les réalités objectives, le jeu des forces objectives, le système étant inéluctablement conduit, de façon endogène, à produire sa propre
destruction.
Une des excuses avancées pour défendre les épreuves rituelles de l’éducation moderne, c’est qu’elles fournissent la seule façon de s’assurer que les étudiants absorberont l’énorme quantité de
faits actuellement disponibles. Il est vrai qu’il faut aujourd’hui des connaissances détaillées et des talents de spécialiste avant même qu’un adulte puise commencer à faire montre, avec
confiance, d’esprit inventif. Et puis les cérémonies d’examen empêcheraient la tricherie. En outre, on pourrait prétendre que les étudiants doivent être délibérément soumis à des tensions pour
éprouver leur énergie. Les problèmes de la vie adulte provoquent également des tensions, et si un étudiant craque sous la pression des épreuves éducatives, alors c’est probablement qu’il n’était
pas équipé pour soutenir les pressions de la vie post-éducative.
Si ce sont là des arguments plausibles, les possibilités créatrices ne peuvent qu'être broyées sous la lourde botte des rituels de l’éducation, alors même que nous sommes entrés dans une ère
nouvelle où les qualités, les réflexes, les compétences nécessaires pour briller sont à l'inverse des critères valorisés dans les meilleures écoles de la République. Pour intégrer la méritocratie
à la française, il faut apprendre par coeur, répéter sans se poser de questions les affirmations magistrales d'enseignants formatés à l'identique, éviter toute innovation et entrer sans état
d'âme dans un moule normatif : le plan en trois parties pour les uns, en deux parties pour les autres. Ce formalisme désuet est incompatible avec la réussite dans le monde contemporain, où la
verticalité de l'apprentissage est devenue une matière urticante, où la relation entre "l'apprenant" et le maître se noue plus dans une réflexion horizontale et dialectique que dans la soumission
scolastique dont l'Education Nationale est si friande. Ce que le monde contemporain valorise (l'audace même quand elle se trompe, l'innovation même si elle échoue, la nouveauté du regard qui
bouleverse les certitudes acquises), c'est tout le contraire de ce que notre école à bout de souffle promeut.
Comment s'étonner ensuite que parvenus aux commandes, les individus dominants détenteurs de ce "logiciel" propre à une caste verticale, arrogante, souvent médiocre mais toujours sûre d'elle-même
et de sa légitimité (ainsi la bourgeoisie parisienne), tout en encourageant de petites inventions sous la forme de variations nouvelles sur de vieux thèmes, résistent cependant invariablement aux
grandes inventions qui conduiraient à des thèmes absolument neufs...
La négation pédagogique de la Conscience
L’élément essentiel d’une orthopédagogie, autrement dit d'une science éducative, est le principe de la liberté. Il n’y a en effet pas d’autonomie sans liberté. Or
la contrainte qui exige la répétition de techniques imposées ainsi que l’imitation de formes intellectuelles, esthétiques ou pratiques, n’est pas source d’autonomie. L’activité intégrante de la
Conscience n’est autonome que si elle construit elle-même les synthèses que nécessitent ses tâches en présence des données culturelles que présente l’adulte à l'enfant et à l'adolescent. La
liberté qui implique une discipline personnelle permanente est la condition indispensable à une attention soutenue, n’aboutissant jamais à un individualisme antisocial. C’est la personnalité
comprimée et refoulée qui est antisociale, tout comme c’est l’inconscient gonflé d’énergies insatisfaites qui réclame des compensations, qui jalouse, envie, soupçonne et hait. Libre devant sa
tâche, l’enfant doit être également libre devant le temps qu’il devra lui consacrer. Devant le temps, il est en face de lui-même et de l’activité consciente dont il le remplira. Or la
programmation classique de la pédagogie, et ce dès la petite enfance, est basée sur l'alternance binaire punition/récompense, visant à fragmenter l'enfant et "l'éparpiller" avec ses morceaux
constitutifs d'alter blessés, sources de souffrances et de dénigrement de sa valeur existentielle souveraine. Il se retrouve de ce fait dans l'incapacité de revenir en son for intérieur ! Le plan
de la Matrice terrestre est parfaitement conçu. Car comment quelqu'un qui n'est jamais "chez lui", en son êtreté profonde, peut-il observer de manière objective ce qui se passe autour de lui
?
Pour la transmission de la culture, il suffit de ce qu’un maître sait. Mais pour aider la Conscience enfantine à manifester sa vision propre, c’est ce que le maître
est qui compte. Nul ne peut grandir quant à sa Conscience, c’est-à-dire passer d’un niveau quelconque à un niveau plus élevé, si ce n’est à l’intérieur de l’expérience d’un autre qui vit, lui, de
façon permanente à ce niveau.
Et la méthode pédagogique doit alors respecter la liberté essentielle à l’exaltation sensorielle et fournir à l’enfant les objets sur lesquels la Conscience va
s’exercer. Pourtant, l’éducation des sentiments a été pratiquement délaissée dans la pédagogie scolaire, ne permettant à la psychologie des émotions de contribuer à l'établissement de la
Conscience, à son absolu affectif. En effet, la prise de contact de la Conscience avec le sentiment n’est possible, pour être normale, que dans la liberté. L’adolescent va être sollicité de
toutes parts par des expériences affectives multiples et le danger, à cette période qui ne reçoit pas d’éducation, est que l’exercice de la Conscience ne dépasse pas la phase de contact avec
l'expérience, sans passer à celle de la réflexion, puis à celle de la maîtrise.
Il en découle que bien peu d’adultes, parents comme enseignants instructeurs, ont dépassé cette étape de simple association avec l’émotion en réussissant leur
individuation, d’où la multiplicité des dysfonctionnements relationnels et des maladies fonctionnelles dues au traumatisme de ce chaos affectif, pourvoyeur également de maladies sociales. A la
merci d’une rencontre susceptible de bouleverser leur condition morale et sociale, ils ne sont protégés partiellement que par leur accaparement professionnel comme le furent les adolescents par
leur surmenage intellectuel, mais non par autonomie spirituelle résultant d’une Conscience entraînée et aiguisée...
En conclusion, l'éducation nationale représente par excellence l'autorité reptilienne - le "cerveau mental" - qui conduit à la révocation progressive de la souveraineté de l'âme de l'individu
lorsque celle-ci fusionne avec l'Esprit. C'est pourquoi l'enseignement obligatoire, qu'il soit public ou privé, n'est qu'un système de programmation de la nation appliqué à tous ses citoyens,
individus censés être libres alors qu'ils ne sont que des esclaves, des valeurs marchandes rattachées à une entreprise commerciale (l'entreprise comme personne
"morale" désignée "La République française - Présidence" a été inscrite au registre du commerce le 16 janvier 1947 pour une tranche d'effectifs déclarée de 800 à 899...), en aucune manière des
êtres humains souverains sur le plan existentiel.
Il vise à détruire progressivement la bulle éthique de l'âme individuelle, sa nature profonde et imaginative par ses propres vérités et valeurs émancipées de celles professées, pour grande partie
mensongères. Tout ce que l'être humain apprend pendant son cursus scolaire, puis universitaire et professionnel, n'a pour seul objectif que d'éloigner son esprit de la vérité*, cette
reprogrammation à partir de sa nouvelle incarnation déterminant dans le corps de l'enfant, dans ses mémoires cellulaires et dans son génome, un véritable remodelage de la génétique originelle. Il
ne peut ainsi qu'abandonner sa souveraineté existentielle à ce "programme d'éducation", puisque son intuition intime, corrompue par la programmation, est détournée pour être transformée en
croyances. Il s'enferme alors solidement dans la prison caverne de son psychisme, l'illusion ainsi créée ne lui offrant quasiment plus jamais de porte de sortie, sauf éveil de conscience
ultérieur.
Et pour ce faire, il doit faire l'effort constant, avec abnégation et sans relâche, de faire grandir, d'élever sa conscience et son intelligence, en recherchant la Connaissance*², en La testant
pour validation et ancrage ferme en lui. Autrement dit, il s'agit de déployer sa lumière intérieure, afin d'éclairer par lui-même la porte de sortie de la 3ème densité de réalité et se libérer.
Technique de programmation pour fabriquer un robot biologique
Les scientifiques états-uniens ont progressivement développé dans le cadre d'un programme nommé Monarch* (ou MK-ultra) différents niveaux de programmation mentale permettant de transformer un
humain en "robot", qu'ils ont baptisé "Manchu". Ce nom est lié à l'histoire d'un soldat américain capturé par les Chinois, puis soumis à un lavage de cerveau et conditionné, avant d’être renvoyé
aux États-Unis pour tenter d’y assassiner le président, et dont John Frankenheimer s’inspira en 1962 pour réaliser son film The Manchurian Candidate ("Un crime dans la tête"), via le
roman éponyme de Richard Condom publié en 1959. Il va sans dire que cette histoire est considérée comme fantaisiste, même si la technique de programmation usitée dans le programme MK-ultra est
avérée.
* Cf. Contrôle mental.Le mot "Monarque" désigne à la fois celui que les chrétiens
nomment "le Prince de ce monde" qu'une espèce de papillon migrateur aux capacités et à l’endurance prodigieuses.
Elle repose sur la mise en place chez le candidat présélectionné d’un "désordre (ou trouble) identitaire dissociatif" (TDI), anciennement dénommé "trouble de personnalités multiples", qui
s'établit en 7 étapes qui sont fonction de l'objectif poursuivi.
- Programmation préliminaire.
La première étape consiste à provoquer artificiellement des dissociations de personnalité à partir de la naissance et jusqu’à l’âge d’environ six ans. Des électrochocs sont utilisés, même lorsque
l'enfant est encore dans l'utérus de la mère. D’autres traumatismes sont induits par le biais de traitements chimiques, d’abus sexuels et de différentes techniques qui ont pour objet de
contraindre le mental à se couper par intermittence de la conscience.
- La seconde étape de la programmation préliminaire consiste à intégrer à la conscience des commandes ou des messages. Ce résultat est obtenu par l'utilisation de la technologie dite "des
casques", en liaison avec des générateurs émettant des ondes sonores inaudibles ou harmoniques ayant une incidence sur l'ARN (molécule biologique présente chez pratiquement tous les êtres
vivants, très proche chimiquement de l'ADN. L'ARN peut remplir de nombreuses fonctions, en particulier intervenir dans des réactions chimiques du métabolisme cellulaire). Des dispositifs optiques
Virtual Reality incluant des projections subliminales de trains d’ondes pulsées leur sont associés.
- Programmation Alpha (α)
Elle constitue la base du contrôle, permettant de compartimenter la personnalité de l'individu sous forme d'alter par voie de stimulation des neurones et de manipulations du cerveau, qui
provoquent alternativement des dysfonctionnements au niveau de l’hémisphère gauche, puis de l’hémisphère droit. Elle se traduit, entre autres, par une augmentation substantielle des forces
physiques et de l'acuité visuelle au moment choisi par le "contrôleur".
- Programmation Beta (β)
Cette programmation est un programme sexuel destiné à éliminer tous les acquis moraux et à stimuler l'instinct sexuel primitif, en détruisant les inhibitions.
- Programmation Gamma (γ)
Complémentaire à la programmation Bêta, elle est fondée sur la "démonologie", nécessitant le recours à des rituels de magie noire. Elle permet de rendre le sujet réceptif à la désinformation et
apte à l’utiliser lui-même en tant qu’arme psychologique.
- Programmation Delta (δ)
Cette programmation, connue sous le nom de "programme du tueur", fut à l'origine développée pour la formation des soldats d’élite des forces spéciales (Delta Force, First Earth Battalion, Mossad,
etc.) dans les opérations clandestines. Elle a pour finalité de déclencher une production d'adrénaline optimale au moment de la mission et de contrôler le processus de l'agression. Le sujet est
dépourvu de peur dans l'exercice de sa mission. L'auto-destruction ou le suicide en cas d’échec font parties des instructions potentiellement associées à ce niveau.
- Programmation Theta (θ)
Elle est utilisée sur les Bloodliners ("lignées de sang"), soit les individus dont les familles comptent plusieurs générations de "satanistes" (pratique de sacrifices humains). Ils ont
en effet une plus grande propension que les autres à avoir des capacités télépathiques, ce qui permet d’utiliser sur eux diverses formes sophistiquées de contrôle électronique du mental,
notamment grâce à l’utilisation de nano-dispositifs de télémétrie (implants cérébraux indétectables).
- Programmation Omega (ω)
Connue sous le nom de Green Code ("feu vert"), cette programmation permet de déclencher par l’individu lui-même l’auto-destruction de sa propre programmation, sans en laisser subsister
la moindre trace. Elle s’exprime souvent par un suicide, et peut être activée dès que le soldat subit une thérapie ou un interrogatoire au cours duquel trop de mémoire compromettante risque
d’être récupérée par l’adversaire.
Il existe également plusieurs "sous-programmes" dérivés, dont l'objectif est de transformer progressivement l’immense majorité des habitants de la planète en "candidats manchus" : CHI, EPSILON,
HYPNOTIC INDUCTIONS, JANUS-ALEX CALL BACKS, TINKERBELLE, SOLEMETRIC MILITARY, SONGS, SAMPLE ALTER SYSTEM CODES, CATHOLIC, (programme spécifique pour les catholiques), MENSA (programme pour les QI
élevés), HAND SIGNALS, SITE CODES (utilisé pour les esclaves modèles et mannequins), etc.
De notre condition d'esclavage, ou le syndrome de la grenouille en ébullition (1)
La majeure partie de la population souffre en l'état du "syndrome de la grenouille en ébullition" vis-à-vis de ses maîtres entropiques asservisseurs, les forces
financières et affairistes aux commandes du système sociétal corrompu. Il s'agit d'un gouvernement subtilement invisible derrière les pantins
institutionnels du devant de la scène, étendant ses pattes visqueuses comme une pieuvre géante sur les villes, États et nations. Cette clique mafieuse
contrôle non seulement presque tous les gouvernements, mais aussi les partis politiques, syndicats et autres organisations de la société civile (fondations, organisations non gouvernementales et
associations), et bien sûr les dirigeants des organisations privées (entreprises), notamment de taille internationale. Elle recourt il va sans dire par
tous moyens à la nomination aux hautes fonctions publiques des individus qui, compte-tenu de leur position, coopèrent avec les diktats du régime corrompu du grand capital avilisseur et fossoyeur.
Ils composent à ce titre ce qui est appelé l’État profond.
Contrôlant les flux d’argent - fabrication de la fausse monnaie au titre d'artifice économique - comme d’informations à travers les grands médias, ils ont tout pour
dominer, directement et indirectement, les masses populaires. Les gens qui les composent doivent de ce fait d’abord travailler, avant d’être autorisés à
acquérir des richesses tout en étant sévèrement ponctionnés au motif de la bien commode solidarité. C’est ainsi que la liberté humaine, valeur martelée dans toutes les constitutions de nations
dites démocratiques, s’est transformée en esclavage sans que les peuples s’en rendent compte, chloroformés par les techniques de manipulation mentale mises en œuvre*. C'est ce qui se
nomme le "syndrome de la grenouille en ébullition", expression décrivant une grenouille qui, soudainement
plongée dans de l’eau tiède portée ensuite lentement à ébullition, est lentement bouillie sans percevoir le danger et l'issue fatale de son triste et
misérable sort. Autrement dit, c'est la métaphore de l’incapacité ou du manque de volonté des individus à réagir ou à prendre conscience de menaces
inquiétantes qui ne surviennent pas brusquement mais progressivement.
Cette emprise psychique, par-delà sa connotation économique et financière et le contrôle des médias afin de promouvoir leur agenda dystopique (l'agenda 2030 en
l'état), passe par une propagande sophistiquée pour influencer le public sur toutes les questions et diviser les masses pour régner : création de guerres comme celles en Irak et plus récemment en
Ukraine; maintien de l’inégalité raciale par la lutte des classes et la haine; destruction de la cellule familiale en mettant la mère et l’épouse au travail; humiliation des femmes en les
chosifiant comme objets sexuels; promotion permanente de l’homosexualité, du transgenre et de tout autre type de perversion; dénaturation de l'enseignement par un enseignement dévoyé car
endoctriné; recherche de l'abêtissement généralisé par la programmation audiovisuelle assénée; modification constante des institutions et de leur rôle de protection historique (droit à la vie
privée, propriété privée, drapeau national, droit de vote, démocratie, représentants élus, presse libre, etc.); mise en avant descrypto-monnaiessans valeur pour détourner les individus de la possession d’or et d’argent; contrôle des armes à feu en recherchant l'effroi du public en promouvant l’idée qu’elles
sont dangereuses, et avec gonflement du nombre d’accidents et d’incidents liés... Il va de soi que ce plan d'actions repose sur le maintien au pouvoir des représentants de l’État profond, et ce
quel que soit le président/premier ministre élu.
De notre condition d'esclavage, ou les loups déguisés en moutons (2)
Le résultat final recherché, la mise en esclavage de l'être humain attentatoire à sa nature première d'être libre, justifie tous les moyens, des assassinats aux
mensonges en passant par la trahison et la tromperie. La panoplie est sans limites, reposant sur l'imagination perverse de l'esprit psychopathe : promouvoir la paix alors qu’il s’agit de
favoriser la guerre et la production comme la vente d'armes; manipulation des statistiques gouvernementales (inflation, emploi, masse monétaire); exporter le terrorisme, notamment en déclenchant
de soi-disant révolutions de "printemps" salvatrices; harcèlement des individus qui possèdent des "comptes bancaires à l’étranger", l'utilisation des paradis fiscaux étant réservée aux seuls
initiés; appeler la propriété foncière "propriété privée" tout en prélevant des impôts fonciers perpétuels et progressifs; jouer sur la confusion des termes tels que libéral, conservateur,
socialisme, communisme, fascisme, démocratie, républicain et mettre au ban l’anarchie (l’autogestion) comme étant dangereuse pour le public.
Ces loups déguisés en brebis qui cherchent inlassablement à décimer les valeurs protectrices des droits humains pour se retrancher derrière leurs masques, appellent
via leurs relais inféodés ou illusionnés les "opprimés" à les défendre, aboyant et gémissant sans cesse au sujet de la justice sociale alors même que la justice est la dernière chose qui les
préoccupe. Ils évoquent par exemple l’immigration massive au nom de l'humanisme des Lumières, alors que leur intention est de détruire l'"identité nationale". C’est à ce titre la véritable
raison de l’Union européenne sans frontières comme la suppression sous Obama et Biden de la défense des frontières aux États-Unis avec le Mexique en préparation de l’Union nord-américaine sans
frontières. De la même façon, les organisations de façade de lutte contre la discrimination raciale ne se préoccupent pas du racisme, l'utilisant simplement pour justifier plus de contrôle,
supprimer la liberté d’expression et introduire des "lois sur la haine" pour qualifier les opinions personnelles de crime. Et là où le racisme n’existe pas, les autorités l’inventent pour
justifier leurs "solutions".
Cette cabale n'a qu'un seul et unique objectif, asservir, indépendamment de la religion, de la race ou de la couleur de la peau. Son pire cauchemar est la
non-conformité, l'esprit libre et indépendant qui refuse d’accepter la folie du "politiquement correct" asséné.
* Le système monétaire est transformé en monnaie fiduciaire qui est transférée à l’État profond par le biais
de l’inflation monétaire et de la dévaluation de la monnaie, l’étalon-or, disparaissant pour empêcher l'effondrement de l'illusion du casino financier,
complété par le mécanisme de l'impôt progressif sur le revenu et l'augmentation régulière de tous les types d’impôts.
L'ordonnancement sociétal à venir (en cours)
Dans le roman d'anticipation dystopique* Brave New World ("Le Meilleur des mondes") écrit en 1931 par l'écrivain anglais Aldous Huxley (1894/1963), "La société du Meilleur des Mondes" repose sur un système de cinq principales castes - Alpha, Bêta, Gamma, Delta et Epsilon - qui se subdivisent en sous groupes
(Alpha plus plus, Alpha plus, Alpha moins). L'auteur y expose l’idée eugéniste de maîtriser la reproduction de l’espèce à travers la prohibition de la famille et la libération des instincts
sexuels, son ouvrage étant davantage une annonce politique qu’un roman de science fiction. Il faisait en effet partie de la Fabian society,
véritable institut d’ingénierie sociale entendant "altérer l’opinion publique" pour lui faire accepter le pouvoir d’une élite mondiale. Qui plus est, il était le frère de Julian Huxley, vice
président puis président de la Eugenic Society entre 1937 et 1962, fondateur de l’UNESCO et du WWF dont le premier président sera le Prince Bernhard par ailleurs co-fondateur du groupe de
Bilderberg. Il était lié à André Breton, figure des surréalistes qui prétendaient dans les années 1920 lutter contre les valeurs reçues et libérer la libido de tous les préjugés,
notamment sexuels. De ce point de vue, la famille leur faisait horreur.
Les Alphas constituent la classe dominante. Ils ont une formation intellectuelle poussée. Au-dessous d'eux, le rang social des divers groupes s'abaissent
progressivement, jusqu'aux Epsilons, réduits aux taches physiques. Les individus, dans cette société ne sont pas obtenus par reproduction naturelle,
mais par ectogenèse, expliquant la disparition de la famille. A travers cette méthode de traitement chimique imposé, les embryons, futurs bébés, sont déjà dotés d'aptitudes physiques ou
intellectuels très diverses, déterminées en fonction de la place qui leur sera attribué dans la société. Ainsi la quantité d'oxygène donnée au fœtus varie en fonction de la caste. Après leur
naissance les enfants sont conditionnés par l'hypnopédie ou enseignement pendant le sommeil. Les enfants apprennent à n'aimer que leur futur travail et que la caste dont il vont partie. Ce
conditionnement est plus ou moins fort selon la caste à laquelle appartient le sujet. Ainsi les Epsilons subissent un conditionnement total qui les réduit presque à l'état de machines. En
revanche, les Alphas, qui peuvent être amené à prendre des responsabilités, reçoivent un conditionnement assez faible. Dans cette nouvelle société chaque individu sera créé pour un besoin
spécifique, dans le but de remplir une fonction prédestinée. Pas de création aléatoire. On ne fait plus un enfant pour le plaisir. On "fabrique" un enfant pour répondre à un besoin de
société. La société du futur sera semblable à une société d'insectes !
Tous ces groupes coexistent avec harmonie et sans animosité, chacun étant ravi d'être dans le groupe où il a été placé. Et pour cause, des méthodes
"hypnopédiques" (répétitions de leçons orales durant le sommeil) conditionnent le comportement de chacun dès le plus jeune âge, renforcé par la distribution à tous de drogue*².
La reproduction est entièrement artificielle. Non seulement la notion de parenté ne correspond plus à une réalité courante, mais son évocation est considérée
comme vulgaire, voire obscène. De son côté, la sexualité est détournée pour n'être que récréative et étouffer dans l'œuf les passions amoureuses, celles-ci étant clairement source de tensions
(jalousie, possessivité), et donc à bannir de cette société. Autant dire que le sexe sans limite est encouragé dès la plus petite enfance, comme une
relation sociale récréative comme une autre...
Le conditionnement dirige bien sûr les goûts des membres de la société, vers des loisirs nécessitant l'achat d'équipements spécialisés au lieu de l'appréciation
des passe-temps gratuits ou bon marché. On les conditionne, par exemple, à ne pas aimer la nature, au motif que ce goût n'engendre pas assez d'activité économique. Et si les loisirs sont
omniprésents, c'est à la condition expresse qu'ils se fassent en groupe.
Sur le plan religieux, si le régime est théocratique (le pouvoir étant considérécomme émanant de Dieu, il est exercé par ceux qui sont investis de l'autorité religieuse ou par un souverain considéré comme le représentant de Dieu sur la terre, sinon comme un dieu
incarné), les notions de religion et de théocratie y sont inexistantes. Il en va de même pour toutes les autres notions associées à la religion, sauf l'hérésie, qui peut être
punie de déportation, et le sacrilège.
* L'auteur montre les dérives possibles du behaviorisme ou comportementalisme étudié notamment par le psychologue américain John Broadus Watson (1878/1958),
soitune représentation du monde par la psychologie scientifique selon lequel le comportement observable des individus est essentiellement
conditionné soit par les mécanismes de réponse réflexe à un stimulus donné, soit par l'histoire de leurs interactions avec l'environnement (notamment les punitions), et ce sans faire appel au
psychisme comme mécanisme explicatif.
*² Elle se nomme le "Soma",drogue parfaite sans effet secondaire distribuée par l'administration
sous forme de comprimés distribués au travail en fin de journée. Elle empêche les habitants
d'être malheureux, agissant sur un mode anxiolytique pour plonger celui qui en prend dans un sommeil paradisiaque. Cette substance est le secret de la cohésion de cette société, puisque grâce
à elle, chaque élément de la société est heureux et ne revendique rien. Les individus de toutes les castes se satisfont de leur statut par le double usage du conditionnement hypnopédique et
du Soma.
Le clou de cet ordonnancement sociétal totalitaire en cours de déploiement est la mise en place du crédit social récompensant ou sanctionnant les comportements du citoyen. C'est ainsi qu'une
banque australienne - la National Australia Bank (NAB) - peut désormais à partir du 1er novembre 2023 fermer un compte si un client fait des commentaires offensants ou discriminatoires sur
les médias sociaux à partir de critères d’exclusion des clients déterminés. Elle pourra interdire à ses clients d’utiliser ses services s’ils ont un impact négatif sur le bien-être émotionnel
d’une autre personne, cela incluantt les clients qui laissent des "messages ou commentaires offensants ou discriminatoires" en ligne ou qui causent un "préjudice mental" sur les médias
sociaux. En outre, les personnes qui se comportent de manière menaçante ou abusive à l’égard d’autres personnes peuvent être exclues de la banque.
Des drogues
Le phénomène de la drogue est de deux natures : sa nature asociale, source potentielle de marginalisation et d'exclusion, et sa nature sociale d'apparence, qui fait
partie de l’influence des forces archaïques de l’humain, consistant à le démantibuler, à le diviser. Sur le plan individuel, la prise de drogue est le résultat de la sensibilité de l’être humain,
qui, n’ayant pas de réponses au pourquoi de son existence - dans l’éducation, dans la philosophie, dans la psychologie, dans la spiritualité -, croit que peut-être il y aura réponses dans la
drogue, dans son évasion. Par influence relationnelle, autrement dit par contamination psychique, il va faire basculer son corps astral par l’énergie de la drogue prise, imaginant consciemment ou
inconsciemment qu'il va se doter de la capacité de réaliser ce qu’ils croit, désire, autrement dit de se réaliser en éliminant la souffrance, l'insatisfaction jsqu'alors ressentie.
Le phénomène de la drogue est un phénomène astral qui fait partie de l’expérience de l’humain, de l’expérience de la société, qui colore toute notre psychologie et
accélère la décadence.La drogue détruit la volonté, changeant la capacité chez l’individu de ré-établir inconsciemment son
rythme de vie en perfection. A l'échelle du plan cosmique, les drogues ont sensibilisé la conscience humaine à une autre partie du rapport à soi-même, que l’on ne pouvait pas sentir ou
découvrir parce que les centres d’énergie n’étaient pas ébranlés par cette chimie. Elles servent de ce fait au plan de l’évolution, les nouvelles générations fortement sensibilisées par leurs
effets n’ayant pas les mêmes sentiments envers la société, envers l’ordre établi qu’elles avaient auparavant.
La drogue a toujours existé sur la Planète, les sociétés secrètes* dans le passé s'étant toujours servies des drogues pour créer chez l’être humain des états
différents, pour l'amener par des doses très fortes à séparer ses corps, pour avoir des expériences transcendantes. Comme l’être humain est de la mécanique, construit suivant des principes
mécaniques très autorisés, il en découle des effets qui ne peuvent être de la conscience, seulement des effets de conscience, soit des effets psychologiques. C'est pourquoi un être humain qui
prend de la drogue ne peut pas entrer en contact avec le Supramental. Il peut simplement entrer en contact avec des formes d’intelligences sur d’autres plans qui ne sont pas toujours les plus
plaisantes, loin s'en faut. Le chemin de la drogue ne fait que mener à l’illusion, à toutes ses formes d’illusion.
Le film de John Frankenheimer, classé 67e dans le top 100 des meilleurs films américains selon l'American Film Institute, et ressorti en 2004 dans une version
modernisée, met en scène un médaillé de la Guerre de Corée pour faits d'armes, notamment en Mandchourie en 1952. Quelques années plus tard, son ancien commandant de peloton, qui travaille
désormais pour les services de renseignement de l'armée, a des doutes sur les exploits du héros de guerre. Qui plus est, il est assailli de cauchemars troublants, qui vont l'amener à enquêter
avec la CIA (Central Intelligence Agency) et le FBI (Federal Bureau of
Investigation) sur le vétéran. Qui est réellement celui-ci ? Adulé ou haï par ses hommes ? Héros de guerre ou agent communiste infiltré aux États-Unis ? Tueur de sang-froid ou
psychopathe manipulé par une mère abusive ? Ou tout cela à la fois ?
Le film a pour objectif d'exposer les techniques employées à l’époque par la CIA*, comme l'administration de certains psychotropes qui peuvent conduire le
sujet à commettre des meurtres commandés comme sous hypnose (ce que l'on appelle "le candidat mandchourien"), celui-ci ne se souvenant de rien lorsqu’il reprend conscience.
C'est après la publicité ce que le monde du "crime de la conscience" a organisé en déversant diverses techniques de manipulation mentale dans le quotidien,
celles-ci usant davantage de biais psychologiques, notamment sur Internet. C'est ainsi que des pirates approchent leur cible, via un mail inspirant confiance qui propose une aide, un service, ou
faisant preuve d’autorité dans sa forme rédactionnelle, ou encore offrant l’illusion d’un choix. Ces techniques exploitent invariablement la peur sous-jacente comme motivation ainsi que la
tendance de la nature humaine à répondre à l’urgence, à se sentir utile.
Les illusions qui façonnent les gens et le monde en 3-D qui nous entourent sont profondes, expliquant qu'elles dominent leur conscience. Elles débouchent sur
l'établissement de groupes délirants, qui ressemblent généralement aux sectes qu'ils n'hésitent pourtant pas à pourfendre. On peut citer pêle-mêle les
membres de méga-églises corrompues qui font de la fausse religion leur point de mire, les adeptes du changement climatique obsédés et paniqués par la montée des océans et l’existence du CO2, les
adeptes des crypto-monnaies ou autres produits spéculatifs, ceux du transgenre... et bien sûr les adeptes du culte de la grippe chinoise qui supplient qu’on
leur dise de prendre plus de vaccins, de porter plus de masques et d’obéir à de fausses figures d’autorité.
C'est pourquoi l’un des principaux défis de la vie consiste à éliminer nos propres illusions, en remettant en question
notre façon de penser comme en recâblant notre propre neurologie pour éliminer les fausses croyances, idées et préjugés. Malheureusement ce processus est
rarement atteint.
Car lorsque les individus sont investis dans une illusion, ils commencent à la défendre avec zèle, souvent totalement incapables d’entendre toute information critique allant en sens inverse. Il en découle qu'une fois qu’une personne est si totalement investie dans une
illusion, elle coupe sa conscience du monde réel qui l’entoure et devient un "sectaire" qui se noie dans son propre dogme, ses distorsions mentales exprimant la divergence la plus extrême avec la
réalité. Il s’agit en quelque sorte d'une "décoration" psychologique du monde afin d’essayer de le faire correspondre à l’illusion interne, les personnes qui partagent ce délire tentant
désespérément de modifier physiquement le monde en 3-D qui les entoure afin de recréer leur délire interne dans le monde physique observable.
Mais à un moment donné, le jour de la prise de conscience finit par arriver et brise leurs illusions, entraînant une rupture psychologique traumatique.
Aussi plus notre carte cognitive du monde correspond à la réalité, moins sous sommes traumatisé par le jour de l’épreuve. Il est à comprendre que
croire fermement en quelque chose ne rend pas délirant, à condition que les croyances soient ancrées dans la cause et l’effet.
Par exemple, une personne peut être incroyablement passionnée par l’alimentation saine, au point que les autres pensent qu’elle est "folle". Mais l’alimentation
saine est fondée sur la réalité physique, étant donné que les contaminants alimentaires, les pesticides et les toxines ont un effet très réel et très néfaste sur la santé humaine. Ainsi, le
simple fait d’avoir un fort intérêt ou une passion pour quelque chose n’est pas automatiquement un délire. Ce qui rend les choses délirantes, c’est qu’elles s’éloignent du monde réel de la cause
et de l’effet, ou qu’elles suspendent volontairement la logique et la raison dans le but d’approfondir leur propre délire.
Dans le domaine des adeptes covidistes, la pensée délirante a rapidement trouvé un terreau fertile à sa mise en œuvre, les personnes cédant sans résistance à la
forte pression médiatico-institutionnelle en se persuadant qu'elles croyaient en la bonne foi de la science mise en avant. Et comme il n’y avait pas
beaucoup au début de données scientifiques disponibles montrant les dangers de l’expérience prétendument vaccinale, cette position pouvait se défendre. Mais depuis, une énorme quantité d'informations scientifiques (études et articles) a été publiée, montrant que les nouveaux "vaccins" basés sur l'ARN messager étaient dangereux
voire mortels chez les personnes vaccinées, à l'instar de nombreux sportifs professionnels entièrement vaccinés qui s’effondrent avec notamment des
crises cardiaques. La science montre clairement que les "vaccins" anti-covid n’arrêtent pas les
infections, ne sont pas efficaces très longtemps voire pas du tout, entraînent des risques accrus
d’hospitalisation et de décès, et suppriment la fonction immunitaire, rendant les gens plus vulnérables à d’autres infections. En conséquence, il ne
s'agit nullement de vaccins, ce qu'a fini par avouer le professeur de médecine français Jean-François Delfraissy, grand manitou du Conseil
"scientifique" derrière lequel s'est caché le gouvernement pour justifier ses mesures sanitaires liberticides, avec la complicité du cabinet de conseil maçonnique états-unien McKinsey dirigé pour
sa partie française par un des fils du Président du Conseil constitutionnel chargé de contrôler les lois promulguées...
Pour autant, les personnes qui ont reçu le "vaccin", la thérapie expérimentale génique, suivent de manière mécanisée la plupart du temps "la science", seule une
faible proportion réévaluant leur position. L'explication est que la plupart des gens qui ont pris le vaccin rejettent les nouvelles données
scientifiques qu’ils n’aiment pas. Le soi-disant vaccin est bel et bien devenu leur religion, leur esprit
ayant du mal à lâcher prise. Ils sont enfermés dans une matrice interne, formée par les mensonges permanents des médias, l'hypnose de masse, l'ingénierie sociale, les fausses histoires assénées,
les traumatismes infligés par les gouvernements et l'institution éducative, et leur addiction aux réseaux sociaux liés à leur pensée dominante. C'est la raison pour laquelle il n'est pas possible
d'utiliser les faits pour convaincre cette grande masse d'individus, ceux-ci étant immunisés contre les faits !
La seule chose qui peut briser les illusions des sectaires est un choc soudain, souvent traumatisant, de leur fausse réalité,
comme une vague de mortalité massive parmi les vaccinés, plus exactement les injectés. Mais s'il faut un événement bouleversant pour briser l’illusion
persistante de la psyché et ramener les gens en contact avec le monde réel, le prix à payer est inévitablement douloureux, nécessitant généralement de rompre avec l'ensemble de leur réseau d'amis
illusoires. C’est au final la raison pour laquelle si peu de gens échappent aux illusions qui définissent leur propre vie déformée, et demeurent des personnes programmables, "zombies", ne
servant que de canaux de propagande pour les récits de leurs maîtres entropiques. Ceci signifie qu’en fin de compte, presque personne ne peut être
raisonné. Et c'est pourquoi ce monde semble devenu complètement fou, pour quiconque peut encore penser par lui-même !
"Le fascisme, ça commence avec les fous, ça se réalise grâce aux salauds et ça continue à cause des cons."
Henry Millon de Montherlant (1895-1972), romancier, essayiste et dramaturge français
"Nous trouverons ou provoquerons quelque chose, une pandémie qui cible certains groupes de personnes, une véritable crise économique, un virus qui touche principalement les personnes âgées et
obèses, peu importe qui, les faibles y succomberont, les peureux et les idiots y croiront s’ils obtiennent les médicaments gratuitement.
Nous ferons en sorte qu’un remède arrive, un remède qui sera la solution. L’élimination des imbéciles sera alors automatique : ils se rendront d’eux-mêmes à l’abattoir."
Jacques Attali, écrivain français, économiste et théoricien social, conseiller politique, haut fonctionnaire et conseiller du président François Mitterrand, extrait de son
ouvrage "L’avenir de la vie" (1981)
C'est ainsi qu'à l'occasion de la crise sanitaire nommée Covid-19 du nom du virus mortifère attribué (puis Covid-21 compte-tenu de son caractère mutagène en variants type Delta ou Omicron,
actuellement en 2023 Eris), le confinement et les mesures de contrôle et de coercition décidées par les autorités dans leur propagande pseudo-sanitaire masquant sa nature politique relèvent de la
torture psychologique en raison de leur sévérité disproportionnée, et constitutives de compromis humains et économiques horribles et coûteux*, tout particulièrement à l'encontre des nourrissons
et enfants en affectant de manière significative leur développement (leurs performances cognitives verbales, motrices et globales sont significativement inférieures par rapport aux enfants nés
avant la pandémie).
En effet, l’un des moyens les plus efficaces de réduire le stress comme le désespoir, pouvant aller jusqu'au suicide ce que les chiffres en nette hausse attestent, est le lien social au sein
d’une communauté. Sans oublier que la perte d’emploi et le chômage sont une source évidente de stress parental avec des effets directs et indirects sur les enfants.
* La liste intimidante des mesures prises par les décrets et ordonnances d’état d’urgence sont les interdictions ou les limites des rassemblements sociaux, les
fermetures d’écoles, les restrictions commerciales (notamment les restaurants), les ordonnances de séjour à domicile, les interdictions de voyager, les couvre – feux, la distanciation sociale,
les masques, l’hygiène chimique et le travail à distance, le pass sanitaire puis vaccinal.
C'est ce qu'avait établi la "charte de coercition de Biderman" (Biderman’s Chart of Coercion) rédigée à la fin des années 50 par le sociologue états-unien Albert Biderman (1923/2003), tirée de
son article décrivant les techniques et consignes de tortures utilisées par les interrogateurs chinois lors de la guerre de Corée* (Cf. tableau ci-dessus). Avec les scientifiques psychologues
Harry Harlow (1905/1981), Isabel E. Farber et Louis Jolyon West (1924/1999), il avait classé ces techniques de manipulation selon un schéma connu sous le nom de DDD (Debility Dependence Dread,
"Débilité Dépendance Peur" en Français), et que l’on retrouve citées notamment dans un rapport d’Amnesty international sur l’usage de la torture dans le monde.
* Il s’agissait alors de démystifier la théorie selon lequel les Chinois auraient utilisé des méthodes secrètes ou presque "magiques" visant à "laver le
cerveau" de leurs prisonniers de guerre.
La torture dans sa version "soft", dissimulée sous l'habillage démocratique, républicain, fait ainsi partie du déni des psychopathes et autres "anthropoïdes" - les portails organiques (PO) et
agents robotiques sans âme -* qui ne veulent car ne peuvent en aucun cas l’admettre compte-tenu de leurs spécificités biologiques et cognitives, semblant s’acclimater volontiers à leurs outils de
torture prodigués par l'ingénierie sociale initiatrice et qui leur procurent la jouissance sadique dont ils se repaissent abondamment, par-delà leur déni d'apparence : couvre-feu, isolement,
confinement, port du masque y compris dans les écoles, restriction, geste barrière, test PCR, amende, distanciation sociale selon les régions, commerces qui ferment puis rouvrent et puis
referment, appel à la délation (ainsi le gouvernement de Nouvelle-Zélande qui a demandé en novembre 2021 aux écoles de téléphoner à la police si du personnel non vacciné se présente), vaccin,...
appelé pour ce dernier même s’ils s'en défendent à l’interdiction de l’accès "sociétal" pour ceux qui ne sont pas convaincus de son utilité comme protection*² (des études médicales menées dans le
monde entier n'ayant de cesse de montrer que l’immunité naturelle offre une protection jusqu’à 27 fois supérieure à celle des "vaccins" Covid). Ce puçage de l'ADN conduit à tracer les êtres
humains comme du bétail, beaucoup étant appelés à en souffrir sinon succomber aux effets secondaires, et ce en dépit des placebo mis dans certains lots pour ne pas trop attirer l’attention quant
aux effets "meurtriers" puisque le nombre de doses appelées à être injectées doivent contaminer au fil du temps le maximum d’individus.
Comme un peuple emprisonné par la peur représente une masse de consciences manipulable à l'extrême car incapable de faire valoir son libre arbitre, les élites gouvernantes sont parvenues à
immobiliser des milliards d'êtres humains sur la planète en les enchaînant pendant des mois dans une peur continuelle, avec le relais d'une grande partie du corps médical, complices pour certains
ou soumis par peur pour le plus grand nombre (malgré ce que le public pense, les médecins ne sont pas des leaders audacieux, mais des moutons d'une institution qui les ostracise ou de collègues
les prenant pour des fous et des déviants lorsqu'ils ne vont pas dans le sens du diktat institué). Il en a découlé que les hôpitaux et de nombreux médecins ont préféré l’argent et le profit au
meilleur intérêt de leur propre communauté, oubliant leur code d’éthique consistant à donner la priorité aux patients dans le strict respect de leur intégrité et du souvenir de tous les
fondements de l’épidémiologie et de l’immunologie étudiés à la Faculté.
*² Il est utile de rappeler que le médecin en chef (Tal Zaks) de la société de biotechnologies Moderna Therapeutics, qui développe des "thérapies protéiniques"
fondées sur la technologie dite de l'ARN messager et fournisseur parmi d'autres de vaccins "anti-Covid-19", a déclaré officiellement que le public ne devrait pas "sur-interpréter" les résultats
des essais de vaccins et supposer que la vie pourrait revenir à la normale après la vaccination. Il a averti que les résultats des essais montrent que le vaccin peut certes empêcher une personne
de tomber malade ou "gravement malade" du Covid-19, mais que les résultats ne montrent en aucune façon que le vaccin empêche la transmission du virus.
"Nous savons qu'ils mentent. Ils savent qu'ils mentent. Ils savent que nous savons qu'ils mentent. Nous savons qu'ils savent que nous savons qu'ils mentent. Et pourtant, ils persistent à mentir.
Il en découle que la majeure partie du monde a été soumise à une boucle sans fin de restrictions dystopiques à partir d'un virus à peine nécessaire comme justification, la Russie ayant rendu
publiques en août 2023 des allégations selon lesquelles les grandes sociétés pharmaceutiques et certains membres de l’État profond américain avaient orchestré la pandémie de grippe Covid-19 dans
le but de dominer le monde. Des personnalités telles que Hillary Clinton, Barack Obama, Joe Biden et George Soros ont été désignées comme co-conspirateurs. L’ambassade de Russie aux États-Unis a
publié un communiqué indiquant que la Russie demandait justice pour la création du virus, accusant l’Occident de cacher ses origines et d’étouffer les enquêtes scientifiques et journalistiques.
Elle a à ce titre soumis aux Nations unies de nombreuses preuves, soit plus de 2 000 pages de rapports, pour étayer ses affirmations au cours des 18 derniers mois.
Le taux d'incidence en France était ainsi tombé début janvier 2022 à 66 malades covid-19 pour 100 000 habitants alors que le taux d’alerte épidémique est de... 170 malades pour 100.000 habitants
(source réseau Sentinelles sous la tutelle conjointe de l'Inserm - Institut national de la santé - et de Sorbonne Université)*.
Pendant tout ce temps, les élites mondiales n'ont eu de cesse d'élargir l’écart de richesse à des niveaux obscènes, consolidant progressivement les contrôles technocratiques. Horrible paradoxe, à
l'échelle mondiale, les ravages économiques causés par les blocages gouvernementaux ont doublé le nombre de personnes au bord de la famine (constat établi par David Beasley, directeur du
programme alimentaire mondial, lauréat du prix Nobel de la paix), tout cela au final pour que l'Organisation Mondiale de la Santé finisse en mars 2023, au vu de la tartufferie orchestrée ne
résistant pas à l'épreuve des faits, par annoncer que la soi-disant pandémie de Covid-19 ne serait plus considérée ni comme une urgence sanitaire mondiale d'ici la fin de l'année, ni
comme une pandémie...
* Letaux d'incidence épidémiqueà son pic pour la grippe type A(H1N1)pdm09 B) était de 599/100.000
habitants (2019), montrant sa totale décorrélation avec les mesures gouvernementales décrétées actuellement pour une situation bien moins préoccupante.
Des effets du confinement
Ce procédé s'apparente à ce que certains Etats comme le Canada ont mis en place sur le plan judiciaire pour des citoyens condamnés à des peines mineures qu’ils
doivent purger à la maison. C’est ce qui est appelé "ordonnance d’emprisonnement avec sursis dont la condition punitive est l’assignation à domicile". Cela comprend des restrictions de
déplacement aux seules activités jugées essentielles, comme l’épicerie et la pharmacie, et… le respect d’un couvre-feu qui interdit des déplacements en soirée. Il en résulte que de nombreux
citoyens le ressentent comme le fait de purger une peine présentée par les autorités institutionnelles et les relais médiatiques inféodés "pour" le bienfait de la collectivité. Il en découle le
sentiment de se sentir en prison dans sa propre maison, et la frustration d’avoir perdu le contrôle sur sa vie désormais régulée par plusieurs autorités pas toujours cohérentes ni coordonnées
entre elles de surcroît, ceci étant destiné à aggraver la déstabilisation psychologique.
Ne sachant comment dissimuler leurs accablantes compilations d'incompétences et de trahisons, leurs magistrales impostures et leurs jeux hypocrites* nourris de corruption sonnante et trébuchante,
ils voient plus de la moitié de la population les croire et les soutenir, tout particulièrement les rabâcheurs soi-disant experts commentateurs des plateaux audiovisuels pour beaucoup convaincus
aveuglément du bien-fondé des mesures restrictives imposées*². Drapés dans leur posture de "bourreau sauveur", ils se sacrifient comme sacrificateurs sans état d'âme à l'exécution de leur tâche,
l’œuvre sombre, sacrifiant sans hésitation, de manière chirurgicale, froide, la santé de leurs propres progénitures comme de leurs proches au prétexte de la protéger.
C'est toute la raison d'être de l'emprisonnement progressif de la conscience humaine par la promotion de l'identité numérique artificielle en trois étapes - "maçonniques" s'entend - : pass
sanitaire, pass vaccinal, pass numérique (bancaire, vaccinal, énergétique etc…), le contrôle de son efficacité reposant sur la puissance de la fibre numérique actuellement en cours de déploiement
généralisé. Le résultat recherche n'est autre que ce qu'une ancienne employée du géant pharmaceutique Pfizer, Karen Kingston, désormais analyste pharmaceutique, a expliqué par l'examen scrupuleux
des brevets et des résultats actuels constatés de cette entreprise mondiale d'injection forcée ou suggérée par diverses manoeuvres dilatoires : la création de nouvelles espèces qui
s’auto-assemblent, fruits de la fusion de la biotechnologie avec l’Intelligence Artificielle. Nous sommes bel et bien confrontés à une bataille entre le bien et le mal, une guerre spirituelle !
* Il est désormais établi en 2022 par l’analyse de la protéine de pointe du covid-19 que la société Moderna, un des 4 fournisseurs de "vaccins", avait breveté
une séquence génétique particulière trois ans avant l’épidémie de covid, cette séquence s'y trouvant. De leur côté, les Centers for Disease Control
and Prevention (CDC) des États-Unis ont également été contraints d’admettre que les "vaccins" créent une efficacité négative, signifiant que les vaccins covid endommagent le système immunitaire
et le rendent moins apte à combattre la maladie (publication dans le Journal of the American Medical Association, ceci corroborant une étude réalisée au Danemark).
*² Les aéropages d'invités "experts" autour de tables rondes présentées comme des débats au service de l'information "vraie", sont particulièrement édifiants en
matière d'hystérisation à l'encontre de tout ce qui va dans le sens contraire de la bienpensance dogmatique affichée. C'était tout particulièrement le cas dans la saison 2021-2022 (de septembre à
juin) dans les émissions radiophoniques de RTL "Le monde tel qu'il est" de Thomas Sotto, de France Info "Les (dés-)informés" de Jean-François Achilli, de Sud-Radio "Le 11 heures-Midi" de Valérie
Expert & "Les (fausses) vraies voix" de Philippe Rossi, et de RMC-Info "Les Grandes (insupportables) Gueules" de Alain Marschall et Olivier Truchot.
Troublante demande
Le gouvernement des États-Unis, via le ministère de la Défense (DoD), a attribué un contrat spécial àLabyrinth Global Health
INC.,une entreprise ukrainienne*fondée en 2017 (bureaux situés àKyiv), pour mener des "recherches sur le COVID-19" dans les mois précédant la libération du coronavirus de Wuhan (Covid19), et ce à partir
du 12 novembre 2019, soit environ un mois avant que le virus présumé ne soit connu, et trois mois avant qu’il ne soit officiellement annoncé comme Covid-19 sur la scène mondiale... Comment est-ce
possible si le Covid est apparu pour la première fois en Chine ? Si nul n'a répondu à cette question à ce jour, cela valide le fait que l’Ukraine est une nation d’externalisation d’armes
biologiques pour l’OTAN, et quele gouvernement américain avait connaissance de la "grippe" dite de Fauci avant que le monde ne le sache, payant une
entreprise ukrainienne pour la rechercher.
* Cette entreprise collaborait alors avec l’EcoHealth Alliance de Peter Daszak et Metabiota d’Ernest Wolfe (Fondation Gates).
Se déroulant sans "accrocs" réels (les mouvements de résistance sont contrôlés, et le retour à la "normale" n'est qu'une énième illusion), le déclin de notre société vers le totalitarisme et
la tyrannie ne peut s'arrêter, puisque les personnes qui la sous-tendent et celles qui y restent attachées par soumission ne sont pas prêtes de disparaitre en l'état de leur conscience. Si le
peuple est mécontent de sa misérable existence, il consent par ses fausses croyances et sa non quête de vérité à laisser de côté son libre arbitre pour que le jeu de la prédation puisse
continuer. Diaboliquement pervers, dans la mesure où la plupart de ces êtres ne font pas partie de l’ordre naturel organique calibré de façon raisonnée !
Le vaccin contre l'âme humaine
Le baptême a été remplacé par la vaccination, plus exactement l'inoculation (les thérapies géniques ne sont pas à proprement parler des vaccins), procédé semblable
censé nous assurer la protection absolue. Pratiquée de manière massive, elle a en effet d'étroites similitudes avec le rituel du baptême. Elle est comme un miracle qui doit sauver l'humanité de
toutes ses maladies, comme le Sauveur a racheté ses péchés. Le prêtre a été remplacé par le médecin, et le pouvoir médical est allié à l’État, comme l’Église l'était dans le passé. On disait
alors "hors de l’Église catholique, point de salut". Désormais on dit "hors de la médecine point de salut". D'ailleurs, les assurances maladie sont obligatoires. Pourtant, ce ne sont pas les
lumières de la science qui combattront l'obscurantisme qui perdure sous des formes nouvelles, mais bien les Lueurs de la Conscience que chacun peut Éveiller en Soi*.
Le scientifique et occultiste autrichien puis suisse Rudolf Steiner (1861/1925) a théorisé qu'aux médecins matérialistes sera confiée la tâche de retirer l'âme de
l'humanité, notamment envers les enfants qui seront vaccinés avec une substance qui peut être produite précisément de telle manière que les gens, grâce à cette vaccination, seront immunisés
contre la "folie" de la vie spirituelle. S'ils pourront pour certains être extrêmement intelligents, ils ne développeront pas de conscience, ceci étant le véritable objectif de certains cercles
matérialistes. En effet, avec un tel "vaccin", il est très facile de libérer le corps éthérique dans le corps physique, entraînant ainsi une forte instabilité de la relation entre l'univers et le
corps éthérique. L'être humain deviendrait un automate, son corps physique devant impérativement être relié sur cette Terre par la volonté spirituelle. Il ne pourra plus se débarrasser d'un
sentiment matérialiste profond ni s'élever vers le spirituel !
Nul ne sera étonné que cette nouvelle faucheuse de la conscience, véritable car sournois cheval de Troie, ait comme précurseur le "fameux" Joseph Ignace Guillotin
(1738-1814), haut dignitaire du Grand Orient de France et vénérable de la loge Concorde fraternelle, qui pour des raisons d’égalité et d’efficacité, défendit vigoureusement l’idée de la
décapitation, sans distinction d’origine sociale ou de nature de crime et de la façon la moins douloureuse, à partir de la machine conçue par le docteur Antoine Louis de la Faculté de Médecine et
de Chirurgie (d’où son premier surnom "la louisette"). A partir de 1799, il milita pour une vaccination systématisée, présidant le comité de vaccine à partir de mai 1800. Plus tard, Guillotin
fondera l'actuelle Académie de médecine et diffusera en Europe la vaccination contre la variole...
* Cf. livre '"Médecine, religion et peur : L'influence cachée des croyances" de l'auteur Olivier Clerc.
Les enfants, cible première de la vaccination
L’US Children’s Health Defense a reconnu en 2024 par la voix de son directeur scientifique le Dr Brian Hookerqu’en 1962, les enfants recevaient 5 doses de vaccins (diphtérie, tétanos,
coqueluche - DTC -, poliomyélite et variole), et qu’en 1986, le calendrier a été élargi à 25 doses issues de 5 formules vaccinales différentes. Désormais,
depuis 2023, ce sont 73 doses issues de 16 vaccins différents qui sont administrées aux enfants jusqu’à l’âge de 18 ans, chacun d'entre eux comportant une liste d’effets secondaires. Aucun des
vaccins n’a fait l’objet d’essais d’innocuité à long terme, en double aveugle et avec placebo, ce qui est le seul moyen d’établir si un produit pharmaceutique est sûr.
Qui plus est, les grandes sociétés pharmaceutiques et l’Institut national de la santé (NIH) aux Etats-Unis font pression, de manière controversée, pour
ajouterau calendrier de vaccination des enfantsun nouveau vaccin, en l'occurrence contre le fentanyl, ce qui suscite
des débats animés sur son impact potentiel et sa nécessité. Cette initiative contre le fentanyl* fait suite à la crise des opioïdes, qui a fait des centaines de milliers de victimes aux
États-Unis. Les médias grand public ont déjà commencé à en promouvoir l’idée...
* Le fentanyl (R5240, sel citrique), appelé aussi China white, apache, dance fever, est une drogue à propriété analgésique opioïde, de courte durée
d'action,qui interagit principalement sur les récepteurs morphiniques du cerveau, de la moelle épinière et des muscles lisses. Il possède un effet analgésique environ 100 fois plus
puissant que celui de la morphine. Il peut selon sa concentration provoquer des réactions indésirables qui augmentent avec le développement d'une accoutumance, celle-ci étant extrêmement variable
suivant les individus.
"Il ne faut pas se leurrer: on est en présence d'un mouvement bien déterminé. Autrefois, au concile de Constantinople*, l'esprit a été éliminé et a été institué un dogme: l'homme n'est fait que
d'une âme et d'un corps, et parler de l'esprit devint une hérésie. On aspirera inéluctablement de ce fait, sous une autre forme, à éliminer l'âme, la vie de l'âme. Et ce temps viendra, dans un
avenir pas très lointain où l'on dira : parler d'esprit et d'âme, c'est pathologique ; seuls sont bien portants les gens qui ne parlent que du corps. On considèrera comme un symptôme pathologique
le fait qu'un être humain se développe d'une façon telle qu'il en vienne à penser qu'il existe un esprit et une âme. Ces gens seront considérés comme des malades, et l'on trouvera, soyez-en sûrs,
le remède qui agira sur ce mal. Dans le passé, on a éliminé l'esprit (la foi dans un principe spirituel individuel). On éliminera l'âme au moyen d'un médicament. En partant d'une "saine vue des
choses", on trouvera un vaccin grâce auquel l'organisme sera traité dès la prime jeunesse autant que possible, si possible dès la naissance même, afin que le corps n'en vienne pas à penser qu'il
existe une âme et un esprit. Les deux courants, les deux conceptions du monde s'opposeront radicalement.
L'une réfléchira à la manière d'élaborer des concepts et des représentations qui soient à la mesure de la réalité véritable, de la
réalité d'âme et d'esprit. Les autres, les successeurs des actuels matérialistes, chercheront le vaccin qui rendra les corps "sains", c'est-à-dire constitués de telle façon qu'ils ne parleront
plus de ces "sottises" que sont l'âme et l'esprit, mais, parce qu'ils sont "sains", ils parleront des forces mécaniques et chimiques qui, à partir de la nébuleuse cosmique, ont constitué les
planètes et le soleil. On obtiendra ce résultat en manipulant les corps. On confiera aux médecins matérialistes le soin de débarrasser l'humanité des âmes."
Rudolph Steiner, propos issus d'une conférence donnée le 7 octobre 1917, reprise dans l'ouvrage "La chute des esprits des ténèbres"
* Il a été convoqué de mai à juillet 381 par l'empereur Théodose Iᵉʳ, responsable de l'Orient, étant le deuxième concile œcuménique de l'histoire du
christianisme après celui de Nicée.
Des risques de la vaccination anti-Covid
Le prestigieux Salk Institute, fondé par le pionnier des vaccins le biologiste américain Jonas Edward
Salk (1914/1995) inventeur du premier vaccin contre la poliomyélite, a rédigé et publié un article scientifique* qui révèle que la protéine spike
du SRAS-CoV-2 est à l’origine de lésions vasculaires constatées tant chez les patients atteints de covid que chez les personnes ayant reçu le "vaccin" anti covid à Arn messager
(BioNTech-Pfizer– Tozinameran etModerna
Inc- CX-024414)fabriqué à
l’aide d’une technique biotechnologique qui permet de synthétiser des acides nucléiques en laboratoire, ou ADN (pour les vaccins de Johnson & Johnson- AD26.COV2.S et d’AstraZeneca- CHADOX1 NCOV-19)*². Elle
favorise les accidents vasculaires cérébraux, les crises cardiaques, les migraines, les caillots sanguins et autres réactions nocives qui ont déjà contribué au décès de milliers d’Américains et
d'Européens (source : VAERS.hhs.gov pour les USA et Eudravigilance pour l'Europe). Qui plus est, les personnes vaccinées devront en assumer les conséquences, ne pouvant plus être guéries par la
simple élimination des toxines du corps humain comme c’est le cas pour une personne présentant un défaut génétique (syndrome de Down,syndrome de Klinefelter,syndrome de Turner,insuffisance cardiaque génétique,hémophilie,mucoviscidose,syndrome de Rett, etc) dans la mesure où ledéfaut génétique est irréversible ! Ce faisant, le Salk Institute établit et confirme que le COVID-19 est une maladie aux conséquences essentiellement vasculaires et non
respiratoires d'origine pulmonaire.
De son côté, l'ancien vice-président de Pfizer Michael Yeadon avait prévenu courant 2020, avec "précaution", que la spike protéine découlant de l'injection du
vaccin ARN messagera une affinité de nature et d’accroche avec les protéines du placenta et des systèmes reproductifs féminins et masculins, et qu'à ce
titre il pourrait créer des dommages dans ces systèmes ainsi que d’autres effets secondaires graves. Il a également écrit en 2021 que cette massive injection de technologies à caractère
génique était folle, contraire à la Science, et qu'elle présentait des risques incalculables pour l’Humanité. Enfin, aucune source à ce jour confirme que le vaccin Pfizer est efficace contre les formes graves. Il suffit de lire le Vidal, la "bible" des médecins, le laboratoire Pfizer le
confirmant d'ailleurs. C'est pourquoiMike Yeadon a à maintes reprises exprimé sa position selon laquelle il est trop tard pour sauver ceux qui ont
été injectés avec une substance publiquement appelée "le vaccin Covid-19", décrivant un processus qui, selon lui, tuera la grande majorité des gens : "Immédiatement après la première vaccination,
environ 0,8% des personnes meurent dans les deux semaines. L’espérance de vie moyenne des survivants sera de deux ans maximum, mais elle diminue également à chaque nouvelle".
Pour le comprendre, il est essentiel de noter que les quatre marques de vaccins contre le Covid actuellement utilisés à grande échelle, basés sur
l’ARNm enrobé dans des nanoparticules lipidiques pour deux d'entre eux, ont pour effet de tromper le corps dont peuvent s’échapper des émonctoires
(transpiration, crachat, salive, morve, seumen, sels, urine, menstruation, sperme, plaie suintante…) mais également des fluides post mortem, conduisant à contaminer tout vivant doté d'une
centrale immunitaire et de le transformer en une usine à fabriquer la mortifère protéine SPIKE.En d’autres termes, cela signifie que les vaccins ont été
conçus pour contenir l’élément même qui tue les gens, récusant par là-même l'affirmation par les propagandistes de l’industrie du vaccin que la protéine
de pointe est "inerte" et inoffensive.
L’étude révèle également que si les "anticorps générés par la vaccination" peuvent protéger l’organisme des dommages causés par la protéine de
pointe, le patient est tué par les effets indésirables. En d’autres termes, toute personne qui survit au
vaccin contre le covid ne le fait que parce que son système immunitaire inné la protège du vaccin, et non avec le vaccin, le gouvernement britannique ayant fini par révéler en octobre 2021 qu’une
fois que l'individu a été "vacciné" contre le coronavirus de Wuhan (Covid-19), il ne peut plus jamais acquérir une immunité naturelle complète (plus précisément, les personnes vaccinées ne
semblent pas produire d’anticorps contre la protéine de la nucléocapside, l’enveloppe du virus, qui sont un élément crucial de la réponse chez les personnes non vaccinées). C'est aussi ce
qu'affirme le Dr Geert Vanden Bossche, expert renommé en vaccins, virologue et ancien cadre supérieur de la Fondation Bill et Melinda Gates, qui a exhortédans une vidéo publiée le 20 novembre 2021 ceux qui n’ont pas pris le "vaccin" à "rester non vaccinés" s’ils veulent protéger leur système
immunitaire inné. Celui-ci constitue en effet la première ligne de défense contre tout type de maladie, y compris contre le Covid-19. Il a averti que les "anticorps" produits par les vaccins
Covid-19 suppriment l’immunité naturelle d’une personne et qu’ils "ne peuvent pas la remplacer" puisque ces "anticorps", s’ils offrent réellement une quelconque protection contre l’infection ou
la transmission, ne la font pas durer très longtemps, notantqu'un grand pourcentage d’individus complètement vaccinés sont
désormais hospitalisés, ce qui pourrait conduire à un effondrement de notre système de santé. Il a ainsi conseillé aux non vaccinés de continuer à prendre soin de leurs immunités
naturelles en prenant soin de leur santé, tout comme conseillé aux personnes les plus vulnérables telles que les personnes âgées et celles qui présentent des comorbidités de faire attention aux
personnes avec lesquelles elles entrent en contact étroit. Enfin, concernant les enfants, il a déclaré que la recherche montre que le système immunitaire des enfants peut facilement être supprimé
par les "anticorps" fournis par les vaccins Covid-19 car "leurs anticorps sont si jeunes et si naïfs qu’ils peuvent facilement être supplantés par les anticorps vaccinaux". Cela pourrait les
exposer à encore plus de maladies, et "pourrait même conduire à des maladies auto-immunes".
Le vaccin est l’arme, le système immunitaire la défense. Non seulement le vaccin à ARN injecte au patient des protéines de pointe qui provoquent des lésions
vasculaires ainsi que l’agrégation des plaquettes sanguines qui entraîne la formation de caillots sanguins circulant dans le corps et se logeant dans différents organes (le cœur, les poumons, le
cerveau, etc.), avec comme résultat des décès attribués à des "accidents vasculaires cérébraux", des "crises cardiaques" ou des "embolies pulmonaires", mais il transforme le corps en une usine de fabrication d’armes biologiques à base de protéines de pointe et d'adjuvants (polysorbate 80, PEG,
aluminium, nanoparticules…) qui expose d’autres personnes. En effet, la fabrication de ces protéines spike peut être transmise aux personnes non vaccinées
qui ont passé du temps à proximité d’autres personnes qui l’ont été, provoquant chez elles des réactions indésirables. C'est ce qui se nomme la technologie des "vaccins auto-réplicatifs",
celle-ci ayant été mise au point par des médecins et des scientifiques qui ont travaillé sous le régime raciste de l’apartheid en Afrique du Sud. La supercherie de ces faux vaccins a fini
par être avouée lorsque Stefan Oelrich, président de la division pharmaceutique de la société pharmaceutique
et agrochimique allemande Bayer et fervent partisan de l'initiative "Great Reset" prônée par le Forum
économique mondial (WEF) sous l'égide de son mentor Klaus Schwab, a admis lors du Sommet mondial de la santé qui s’est tenu à Berlin fin octobre 2021 devant
des "experts" internationaux que les deux "vaccins" à ARNm (ARN messager) de Pfizer-BioNTech et Moderna n'étaient pas du tout des vaccins, mais des injections de "thérapie cellulaire et
génique" déguisées, et que si ces injections avaient été commercialisées pour ce qu’elles sont réellement, la plupart des gens les auraient probablement
rejetées ! De leur côté,des chercheurs suédois de l’Université de Lund ont découvert que le contenu de ce prétendu "vaccin" de Pfizer pénètrait dans les cellules hépatiques humaines pour se
transformer en ADN. Et lorsque les protéines de pointe de l’ARN messager (ARNm) sont injectées dans l’organisme, elles se rendent jusqu’au foie et déclenchent l’ADN situé à l’intérieur des noyaux
des cellules hépatiques, ce qui augmente l’expression du gène LINE-1 qui fabrique l’ARNm... infirmant de ce fait les affirmations des organismes de santé états-uniens les CDC disant que les
injections d’ARNm ne pouvaient jamais pénétrer dans les noyaux cellulaires. Au final, les individus injectés présentent non seulement de graves
symptômes du SRAS-CoV-2, mais souffrent également de "lymphopénie", c’est-à-dire d’une dégradation de toutes les cellules lymphocytaires T importantes pour le système immunitaire, ce que de
nombreux médecins attestent désormais en 2022.
Il est utile de rappeler que l'autorité de santé américaine - la FDA -, la fausse
agence fédérale qui n’est en réalité qu’une société privée déguisée (au même titre que la banque centrale nommée Reserv Federal - la FED -), n’a
pas accordé d’autorisation thérapeutique pour aucun des "vaccins" Covid-19, simplement accordé une autorisation d’utilisation expérimentale aux Etats-Unis, ce qui admet que les personnes qui
prennent les vaccins participent à une expérience médicale risquée aux conséquences inconnueset ce au minimum jusqu’en 2023 pour AstraZeneca et Pfizer ou
2024 pour Janssen et Moderna, avec qui plus est l'exonération de responsabilité des laboratoires concepteurs*, déjà protégés par
le concept juridique du "secret des affaires" qui consiste à protéger les informations de nature stratégique propres à une entreprise (c’est le juge qui doit
qualifier le secret, celui-ci souffrant d'exceptions en termes d’opposabilité notamment à l’égard des syndicats, des journalistes et des lanceurs d’alerte).Ces produits, en phase III d’expérimentation et sous AMM provisoire et conditionnelle, ne peuvent pas être légalement imposés, car contraindre par exemple en France la
population à participer à une telle expérimentation médicale enfreint l’article 223-8 du Code Pénal, car contraire à l'article L1121-2 du Code de la Santé Publique qui prévoit
qu'"Aucune recherche biomédicale ne peut être effectuée sur l’être humain si elle ne se fonde pas sur le dernier
état des connaissances scientifiques et sur une expérimentation pré-clinique suffisante et si le risque prévisible encouru par les personnes qui se
prêtent à la recherche est hors de proportion avec le bénéfice escompté pour ces personnes ou l’intérêt de cette recherche". C’est-à-dire que contrairement à ce qui est affirmé tous les jours,
non seulement le consentement de la personne est bien entendu indispensable, mais il faut encore prouver la réalité des connaissances scientifiques et des risques prévisibles encourus.. Les
effets secondaires précoces sont bel et bien là, voyant monter régulièrement le nombre des victimes sur les bases de données officielles comme EUDRAVIGILANCE (le réseau européen de traitement des données et le système de gestion pour la notification et l'évaluation des effets indésirables suspectés de médicaments qui ont été
autorisés ou en cours d'étude dans des essais cliniques dans l'Espace économique européen) pour l’EMA (Agence européenne du médicament) qui récapitule les morts et effets secondaires
graves de tous médicaments dont les vaccins Covid pour l’Union européenne (voir également le site VAERS officiel des USA pour les effets américains et MHRA pour la Grande — Bretagne).
C'est ainsi qu'à début avril 2022, EUDRAVIGILANCE a recensé4 355 261 blessures suite à l’injection de quatre doses
expérimentales de COVID-19 (+ 180 % depuis le 15/05/21) dont près de la moitié sont à caractère grave, et42 631 morts en hausse de + 200% depuis la même date (Pfizer en tête des morts en nombre suivi de Moderna en % des décès et effets graves), le tout probablement
largement sous-déclaré. Quant aux données publiées par les Centers for Disease Control and Prevention (CDC)
aux USA, elles montrent qu’entre mi-décembre 2020 et fin décembre 2022, plus de1 053 000 000 événements indésirables de diverses natures ont été
signalés au VAERS dont plus de 100 000rapports de blessures graves y compris des décès (plus de 21 000). Si les
"experts" et les responsables de la santé publique continuent de les minimiser, les accidents vaccinaux continuent à s’accumuler, soit un nombre supérieurà
l’administration de tous les vaccins approuvés par l'agence états-unienne de la santé (Food and Drug Administration - FDA) au cours des 31 années
précédentes.Mais si les autorités institutionnelles mettent (presque) tous les décès sur le compte du virus Covid, il convient de se garder de mettre tous
les décès sur le compte du vaccin. Ce ne sont en effet que les deux faces d’une même pièce.
Le professeur d'immunologie à l'université de Guelph au Canada Bayram W. Bridle, pourtant pro-vaccin, a également révélé que les scientifiques à l’origine du vaccin
COVID-19 ont commis une terrible erreur, celle d'avoir initialement pensé que la protéine spike était un excellent antigène cible, pour finalement se rendre compte qu'il s'agit d'une toxine et
protéine pathogène pouvant se propager dans de nombreux organes du corps (cerveau, cœur, rate, moelle osseuse, foie, glandes surrénales, ovaires) en y causant de graves
dommages vasculaires comme neurodégénératifs de par sa capacité à traverser la barrière hémato-encéphalique (les recherches menées par la Cleveland Clinic de l’Ohio ont déterminé que le coronavirus de Wuhan et les vaccins qui lui sont associés peuvent entraîner de graves modifications
cérébrales associées à la démence et à la maladie d’Alzheimer), et ce dans la mesure où elle se lieaux plaquettes et aux cellules épithéliales des
vaisseaux sanguins (contrairement à ce qui est dit, l'injection ne se limite pas aumuscle deltoïde qui la reçoit, avec une
petite quantité drainée dans les ganglions lymphatiques locaux, dans la mesure où en quelques heures elle estlargement distribuée dans l’organisme).De plus, comme le code
de l’ARN a été enrichi de guanines (Gs) et de cytosines (Cs) supplémentaires et configuré comme s’il s’agissait d’une molécule d’ARN messager humain prête à produire une protéine par l’ajout
d’une queue polyA, la séquence d’ARN de la protéine Spike dans le vaccin semble être à la fois en partie bactérienne, en partie humaine et en partie virale. Il en découle coagulation,
saignement, problèmes cardiaques, coagulation du sang dans le cerveau. Rien de bien surprenant, puisque cette protéine estnon
naturelle car génétiquement modifiée. S'appuyant surdes recherches montrant que des animaux de laboratoire auxquels on
a injecté directement dans leur sang la protéine Spike purifiée du SARS-CoV-2 ont développé des problèmes cardiovasculaires et des lésions cérébrales (par exemple la thrombose du sinus veineux cérébral), etcitant également des
recherches récentes montrant que la protéine Spike est restée dans le sang des humains pendant 29 jours, la conclusion du Dr Bridle est sans appel : "En vaccinant les gens, nous
leur inoculons par inadvertance une toxine !", avis que partagele Dr Charles Hoffe, médecin en Colombie-Britannique au Canada. Selon lui, la grande majorité
des personnes qui se font injecter le coronavirus de Wuhan (Covid-19) mourront dans quelques années d’une insuffisance cardiaque en raison de capillaires qui se bouchent et conduisent à un risque
d'événement cardiovasculaire grave dans la mesure où les 40 000 milliards de molécules d’ARNm (protéines de pointe ) sont à 75 % injectées
directement dans les cellules humaines autour des vaisseaux sanguins et dans les réseaux capillaires (ces caillots sanguins n’apparaissent pas sur les tests, ne pouvant être détectés qu’à l’aide
d’un test sanguin appelé D-dimère). C'est ainsi qu'un chirurgien anglais consultant ayant travaillé 30 ans pour le National Health Service (NHS) du
Royaume-Uni, le Dr Anthony Hinton, a prévenu que la myocardite liée au "vaccin" contre le coronavirus avait un taux de mortalité de 20 % chez les enfants après deux ans, et de 50 % après cinq
ans.
Quantau Dr Diego Rubinowicz, un urologue de Floride, il n'a pas hésité à affirmé que les vaccins contre le coronavirus
semblent déclencher une augmentation massive des cancers de la prostate et de l’infertilité chez ses patients masculins compte-tenu de la montée en flèche des valeurs d’antigène spécifique de la
prostate (PSA) des hommes après avoir reçu une injection expérimentale. C'est ainsi que selon de nouvelles recherches scientifiques réalisées en 2024, les spermatozoïdes des individus qui ont été
vaccinés/injectés suite à la fausse pandémie Covid-19 refusent de nager et se nouent eux-mêmes en s’auto-assemblant en structures bizarres ressemblant à des rubans en trois dimensions. C'est la
raison pour laquelle nombre de médecins recommandent désormais aux personnes non vaccinées d’éviter tout rapport sexuel avec les hommes vaccinés, quelles que soient les circonstances.
Pendant et depuis la "pandémie", la demande de sperme non vacciné a d'ailleurs commencé à augmenter, des millions de femmes dans le monde entier cherchant des hommes non vaccinés pour tomber
enceintes. Elles sont bien entendu qualifiées de "théoriciennes du complot" par les grands médias.
Enfin, l'idée comme présentée par les autorités que les injections de vaccins à ARNm restent dans le bras et ne font pas
circuler de nanoparticules dans le corps est erronée, de nouvelles recherches menées au Japon sur le vaccin Pfizer montrant que les nanoparticules lipidiques (LNP) contenant le code ARNm
circulent largement dans le corps après la vaccination, atteignant le cerveau, la rate, le gros intestin, le cœur, le foie, les poumons et d’autres organes, affectant même les ovaires et les
testicules et de ce fait la fertilité.
Le fait que nombre de lots de vaccins à ARNm (de l'ordre de 12%) détournent les cellules de l’organisme pour générer des protéines de pointe qui provoquent la
coagulation du sang, signifie qu'ils sont des injections potentiellement de mort, une forme d’euthanasie vaccinale.En bref, lorsque le vaccin contre le
Covid-19 est injecté, il est un agent qui donne l’ordre au corps de produire l’arme biologique dans ses propres cellules. C’est aussi diabolique que possible.Et les personnes qui sont assez stupidespour prendre ces vaccins, car naïves et conditionnées, au
cerveau d'ores et déjà "grillé" de leurs facultés de réflexion intelligente, acceptent ce qui n'est rien d'autre qu'un "suicide vaccinal" dans le cadre d’un programme de dépopulation mondiale. Il
est fondamental de comprendre que le vaccin anti-covid perturbe le système immunitaire, les individus inoculés devenant alors sensibles à d’autres agentspathogènes invasifs. Exiger en suggérant fortement par manipulation mentale assise sur la peur de l'exclusion le vaccin chez les personnes qui ont déjà une immunité naturelle
n’a strictement aucun fondement scientifique !
Bien que tout cela soit très problématique, il existe toutefois une aide selon la virologue américaineJudy Anne
Mikovits (traitée de complotiste il va sans dire). Les remèdes aux maladies qui pourraient se développer après la vaccination sont les traitement à l’hydroxychloroquine et à l’ivermectine,
tout en prenant en compte certaines réserves pour des catégories de patients, un traitement antirétroviral à faible dose pour rééduquer le système immunitaire, des interférons à faible dose
(comme le Paximune mis au point par le Dr Joe Cummins), le peptide T (un inhibiteur d’entrée du VIH dérivé de la protéine d’enveloppe du VIH gp120) qui bloque la liaison et l’infection des virus
qui utilisent le récepteur CCR5 pour infecter les cellules, le cannabis pour renforcer les voies de l’interféron de type I, la diméthylglycine ou bétaïne (triméthylglycine) pour améliorer la
méthylation afin de supprimer les virus latents, la silymarine ou chardon marie pour aider à nettoyer le foie, sans oublier le renforcement préventif du système immunitaire inné par
l'optimisation de l'alimentation, et celle du taux de vitamine D entre 60 et 80 ng/m (100 à 150 nmol/l), idéalement par l'exposition (raisonnable) au soleil.
* L'article est intitulé The novel coronavirus’ spike protein plays additional key role in illness ("La protéine spike du nouveau coronavirus joue un rôle
clé supplémentaire dans la maladie"), ayant été publié le 30 avril 2021 dans sa revue médicale Circulation Research.
*² La protéine spike endommage les cellules en se liant à l’ACE2, protéine clé dans la physiologie du Covid-19 nécessaire à l'entrée du virus SARS-CoV-2 dans les cellules de l'hôte, perturbant sa signalisation moléculaire aux
mitochondries (organites qui produisent de l’énergie pour les cellules), ce qui aboutit à les endommager et à les fragmenter.
*³L’industrie pharmaceutique européenne a obtenu une protection financière en cas
de problèmes avec les futurs vaccins, les laboratoires à l'origine de vaccins contre le coronavirus ayant signé avec l'Union européenne une clause les dédouanant de toute responsabilité au cas où
leurs produits présenteraient des effets encore non identifiés à ce jour, s'avérant indésirables sur du long terme. En effet, le délai habituel entre la conception d'un vaccin et sa mise sur le
marché approche les 10 ans, ce qui laisse le temps de prendre en compte les éventuels effets indésirables pouvant intervenir longtemps après l'injection. Mais dans le cas des vaccins contre le
Covid-19, ces délais ont été largement diminués face à la situation sanitaire et sous la pression des Etats, afin de rendre un produit disponible en parfois moins d'un an.Les États membres ont accepté de prendre ce risque sur leurs épaules parce que c'est dans leur intérêt national.
La Commission européenne a toutefois précisé que ces dispositions ne modifient en rien la charge de la preuve qui incombe aux entreprises en vue de démontrer l'innocuité et l'efficacité de leurs
produits.
Cf. en complément Travaux de recherche de Philippe Alexandre Jandrok (site Cogiito.com) &article intitulé Worse Than The Disease: Reviewing Some Possible Unintended Consequences of
mRNA Vaccines Against COVID-19 ("Pire que la maladie : Examen de certaines conséquences involontaires possibles des vaccins à ARNm contre le COVID-19") deStephanie Seneffen collaboration avec le Dr Greg Nigh publié dans l’International Journal of
Vaccine Theory, Practice and Research.
La violence et l’étendue des effets secondaires découlant de l'injection inoculée sont désormais un secret de polichinelle en 2024, parce que chacun a pu, soit lui-même subir ces effets
secondaires s’il s’est plié à l’injection, soit avoir dans son entourage une ou plusieurs personnes en ayant subi. Ils concernent en majorité les problèmes cardiaques, notamment chez des
gens jeunes et en bonne santé, et de graves dérèglements du cycle menstruel chez les femmes. Leur réalité ne fait donc, empiriquement, plus guère de doute*, puisque même le laboratoire
Pfizer a admis fin avril qu’il recevait tellement de rapports d’événements indésirables concernant son vaccin COVID inefficace qu’il a dû embaucher 2 400 personnes supplémentaires pour aider
l’entreprise à répondre aux exigences en matière de traitement des données et de paperasserie.
De son côté, une nouvelle étude publiée dans la revue Microorganisms a révélé que l’une des conséquences sanitaires de cette injection est une perte de 37 % de l’espérance de vie*².
C’est la reconnaissance de ces effets qui pose problème, et, de ce fait, leur prise en compte par les pouvoirs publics. Car des individus ont été blessés et de nombreux d'entre eux sont morts à
la suite de la plus vaste campagne de dissimulation de l’histoire par des "vaccins" ni sûrs ni efficaces, cette vérité ayant été censurée et le public nourri de mensonges par de nombreux
gouvernements, les sociétés pharmaceutiques et les médias. Cela relève bel et bien d'un crime contre l’humanité.
* Le site de l’European Mortality Monitoring, qui recense les statistiques de mortalité dans l’Europe entière, constate une surmortalité inhabituelle de la
tranche 15-44 ans.
*²L’article, intitulé A Critical Analysis of All-Cause Deaths during COVID-19 Vaccination in an Italian Province
("Analyse critique des décès toutes causes confondues lors de la vaccination contre le COVID-19 dans une province italienne"), examine les taux de mortalité parmi différents groupes de personnes,
notamment les personnes non vaccinées, celles qui ont reçu une dose, celles qui ont reçu deux doses et celles qui ont reçu trois doses ouplus.En résumé, les personnes qui reçoivent le plus grand nombre de piqûres sont celles qui risquent le plus de mourir dans les 739 jours qui suivent
l’injection.
Quelques éléments factuels d'effets indésirables (1)
La Haute Autorité de Santé française a fini en novembre 2021 par déconseiller le vaccin "Moderna" chez les moins de 30 ans à l'instar de nombreux pays européens
après les résultats inquiétants d’une étude française. De son côté, Taïwan a suspendu au même moment les deuxièmes injections Pfizer-BioNTech pour les 12-17 ans en raison d’inquiétudes liées aux
myocardites. Aux États-Unis, une médecin de l’armée américaine (le lieutenant-colonel Theresa Long) a révélé sous serment les graves dysfonctionnements qu’elle a constaté sur la vaccination des
soldats, des dizaines de pilotes en parfaite santé ayant subi de nombreux effets indésirables (notamment des myocardites, péricardites -inflammation des tissus entourant le cœur -, œdèmes cérébraux, violentes migraines…), dénonçant qui plus est tant les méthodes (menaces et intimidation auprès des
soldats pour les forcer à se vacciner) que l'absence d'intervention pour y remédier. Elle a même été mise à l’écart quand elle a signalé ces problèmes à ses supérieurs... En Angleterre, il y
aurait eu 20 823 décès de plus que la moyenne depuis juillet 2021 selon l'Office for National Statistics dans sa parution online de novembre, dont seulement 11 531 seraient liés au covid… Qu’en
est-il des plus de neuf mille restants, comment expliquer cette hausse brutale de décès qui alarme les experts scientifiques ? Et le constat désormais étayé est celui d'une surmortalité
importante statistiquement en Europe l’année où la vaccination est la plus importante, quelle que soit la tranche d'âge (14 à 44 ans, 45 à 64 ans, 65 à 74 ans). Autrement dit, nous sommes dans
une situation où plus on vaccine, plus ça meurt !
La réalité est que 7 personnes sur 10 ont des effets indésirables (myocardites et péricardites après les vaccins Pfizer et Moderna*, thromboses pour le vaccin
AstraZeneca, syndrome de Guillain-Barré pour le vaccin Johnson & Johnson) plus ou moins significatifs, ceci concernant plus de 70 % des personnes vaccinées (le site openvaers.com a enregistré
260 fois plus de cas de myocardites et péricardites suite à la vaccination contre la Covid-19 entre 2020 et 2021). De son côté, le professeur Rickard Ljung,
épidémiologiste de l’Agence suédoise des produits médicaux, et ses collègues ont réalisé une étude qui a examiné les données de santé d’un total de 23,1 millions de personnes au Danemark, en
Finlande, en Norvège et en Suède de fin décembre 2020 à début octobre 2021, concluant à une incidence élevée de myocardite et de péricardite, notamment pourles jeunes hommes âgés de 16 à 24 ans après la deuxième dose de la "vaccination". Il en a découlé qu'en octobre 2021, le Danemark a
interrompu la distribution du vaccin Moderna à toute personne âgée de moins de 18 ans, la Suède le faisant pour les moins de 30 ans.
Lesystème américain des CDC (Centres pour le contrôle et la prévention des maladies, qui forment ensemble la principale agence fédérale des États-Unis en matière de protection de la santé
publique) de notification des effets indésirables des vaccins, nommé Vaccine Adverse Event Reporting System (VAERS), a recensé de son côté qu'en 2021, les taux de maladies, de cancers et d’infections liés au sida signalés ont augmenté de 1 145 % à 33 715 % ! A quoi se rajoutent les décès survenus plusieurs semaines
après la vaccination (un rapport datant du 8 mai 2021 et paru dans The European Union Times faisait déjà état de plus de 10 000 décès liés aux 4 vaccins autorisés en Europe), qui peu à peu grâce
aux données collectées finissent par apparaitre au grand jour dans les médias mainstream aux ordres, mettant leurs marionnettes et autres pantins présentateurs face à leur lâcheté servile et
aveugle, déni puéril ou incompétence notoire, d'autant que certains pays commencent à lentement révéler le pot aux roses, l’Australie par exemple admettant à présent que les vaccins contre le
covid nuisent aux gens, et leur offrant (sous réserve de conditions) jusqu’à 600 000 $ d’indemnisation en cas de graves blessures. Qui plus est, sachant que la moyenne des décès du Covid
s’établit à 82 ans, le site Euromomo qui surveille la mortalité européenne note une surmortalité anormale chez les 15-44 ans en 2021 (la courbe des
décès entre 2018 et 2022 a augmenté nettement à partir de 2021, finissant par dépasser le taux moyen de mortalité des années précédentes)… Au total, l'Agence nationale française de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) a mis en garde début 2022 sur plus de 137 000 effets indésirables à la
suite de la vaccination en France, dont plus de 30 000 considérés comme graves, Eudravigilance (le réseau européen
de traitement des données pour la notification et l'évaluation des effets indésirables suspectés de médicaments qui ont été autorisés ou en cours d'étude dans des essais cliniques dans l'Espace
économique européen)rapportant de son côté 1 327 876 signalements d’effets indésirables et 36 267 décès, comme le VAERS états-unien
(21 000 décès confirmés et plus d’un million d’effets secondaires).
De son côté, le Dr Ryan Cole, pathologiste certifié qui dirige le plus grand laboratoire de diagnostic indépendant de l’Idaho aux Etats-Unis, a observé de sérieux
déclins dans la santé des personnes qui ont reçu les vaccins Covid par un profil bas très préoccupant des cellules T tueuses (dites cellules CD8) dans le corps, comparable à un VIH (le virus de
l'immunodéficience humaine inversé). Ils entraînent la perte des cellules T auxiliaires nommées CD4. Les cellules tueuses gardent tous les autres virus tels ceux de la famille de l’herpès, ainsi
que du zona, de la mononucléose et du papillomavirus humain (HPV) dans les biopsies cervicales et les frottis chez les femmes. Il constate également l'existence d'une petite bosse infectieuse
notamment attrapée par les enfants, le molluscum contagiosum. Si elle est inoffensive, elle indique cependant l'affaiblissement du système immunitaire des individus vaccinés. Enfin, il a observé
dans son laboratoire un pic massif de cancers de l'endomètre (la muqueuse qui tapisse l'intérieur du corps de l'utérus, partie de l'utérus où se déroule la grossesse) sur une base de 20 fois la
moyenne normale de certains types de cancers, ainsi que des mélanomes fins comme épais (tumeurs cancéreuses qui se forment à partir des cellules responsables de la coloration de la peau et des
yeux). Pourtant, le Dr Rochelle Walensky, directrice des Centers for Disease Control and Prevention (CDC), a admis début septembre 2022 dans un courrier adressé au Sénat que son agence avait
diffusé des informations erronées sur la sécurité des vaccins contre le coronavirus Wuhan (COVID-19) en raison d'un manque d'analyse de certains types de rapports d’événements indésirables en
2021. Cela contredit les remarques antérieures de l’agence de santé publique selon lesquelles elle avait examiné ces rapports à la loupe dès le mois de février de cette année-là. En outre, les
CDC n’ont pas précisé si leurs équipes avaient déjà analysé les rapports du Vaccine Adverse Events Reporting System (VAERS). Si le processus a commencé en mai 2021 et se poursuit encore à ce
jour, aucun résultat n'a été publié.
De son côté, la base de données VigiBase de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) montre qu’au moins 121 559 personnes qui ont été "vaccinées" souffraient fin
2021 désormais d’un ou de plusieurs troubles psychiatriques, les problèmes les plus courant étant l’insomnie,
l’anxiété, un "état de confusion", des troubles du sommeil, la "nervosité", le "trouble aigu du stress", l'"agitation", des hallucinations, la dépression, une
"humeur dépressive", des "attaques de panique", une "mauvaise qualité du sommeil", du "délire", des cauchemars, des "rêves anormaux", des troubles de l’alimentation, un "trouble ou un
comportement psychotique", de la "psychose aiguë", ou encore des tics*². L'explication résiderait notamment dans la tempête de cytokines que déclenche le virus.
En d’autres termes, ces éléments irréfutables démontrent qu'il s’agit bien d’une expérience massive de manipulation du système immunitaire, qui aura plus que
probablement un impact dévastateur et permanent sur ceux qui choisissent d’y participer ! La conclusion intellectuelle normale serait donc de suspendre la vaccination, sauf, éventuellement pour
les personnes à risque, de remplacer le passe sanitaire sinon vaccinal par un passe de test négatif pour certaines activités pour faire la chasse non pas aux gens mais au virus, et à soigner du
mieux que l’on peut et pas uniquement au doliprane.Et ce d'autant plus quel’EMA, l’Agence Européenne du
Médicament, a reconnu mi-février 2022 par la voix de Marco Cavaleri, responsable de la stratégie des menaces biologiques pour la santé et des vaccins, que "les boosters répétés pourraient
affaiblir le système immunitaire", entendant que c’est la dose qui fait le poison, le mieux étant toujours
l’ennemi du bien ! Pour elle, les pays devraient laisser plus de temps entre les programmes de rappel, ainsi que les lier au début de la saison froide
dans chaque hémisphère, conformément au plan défini par les stratégies de vaccination contre la grippe.
Pourtant, telle n'est pas la conclusion des autorités politiques, de la presse, des médias et de (presque) tous les médecins de plateaux. Pour eux, il faut vite… la
troisième dose avant probablement la quatrième, plus de pass, plus de restrictions, plus de fermetures, plus de masques, plus de surveillance, plus de contrôles de gens, pour toujours moins de
liberté.
* Une étude présentée en novembre 2021 par le Dr Steven Gundry, médecin du Nebraska et chirurgien cardiaque
à la retraite lors de la conférence annuelle de l’American Heart Association à Boston, et portant sur près de 600 patients ayant reçu les vaccins Pfizer ou Moderna Wuhan contre le
coronavirus (COVID-19), a montré que ceux-ci présentaient des signes de lésions cardiovasculaires, ce qui a augmenté leurs risques de crise cardiaque et d’autres problèmes coronariens
graves associés à une réduction soudaine du flux sanguin vers le cœur, qui peut conduire à une crise cardiaque (infarctus du myocarde) en
raison de la détérioration du tissu cardiaque (les patients voient leur risque de maladie cardiaque augmenter de 11 à 25 %, ce risque persistant
pendant au moins 2,5 mois après la deuxième dose).
Quant au médecin sud-africain le Dr Shankara Chetty, qui a le mérite d’avoir traité 7 000 patients du COVID 19 sans une seule hospitalisation ni un seul
décès,il a noté que la réaction allergique à la libération initiale du toxique le plus élaboré "se produit chez un petit nombre de personnes,
entraînant des cas plus graves et la mort lorsque le vaccin est administré".
*²De nombreuses "célébrités" comme les actrices Anne Hathaway ou Whoopi Goldberg, des animateurs TV comme James Corden,
des artistes musicaux comme J Stash (rap - s'est suicidé après avoir tué sa fiancée), ou des sportifs comme William Akio (football),Rosella Ayane (football féminin), Rafael Nadal et Nick Kyrgios (tennis), Juan Molano (cyclisme) et bien d’autres ont agi de
manière excessive avec des réactions démentielles et intempestives. Quant au Tour de France 2022, il a connu un triste record de retraits de cyclistes, ce qui n’était jamais arrivé auparavant,
beaucoup disant être atteints d’une étrange maladie...
Quelques éléments factuels d'effets indésirables (2)
Si l'outilde pharmacosurveillance de l'autorité de santé états-unienne (le CDC) est jugé par
les politiciens et les médias pro-pharma comme insuffisamment performant pour déclencher des enquêtes sur les vaccins, des dénonciateurs militaires (lesmédecins militaires Samuel Sigoloff, Peter Chambers et Theresa Long) ont présenté de leur côtéau cours d'une audition devant un sénateur (Ron Johnson) des données qui signalent des problèmes de sécurité extrêmement inquiétants. Elles sont le fruit de l'outil web
DMED de la Direction de la surveillance de la santé des forces armées (AFHSB), qui permet d’interroger à distance les données anonymisées sur le personnel et les événements médicaux des
composantes actives contenues dans le système de surveillance médicale de la défense (DMSS). En d’autres termes, il contient chaque code de facturation médicale CIM pour tout diagnostic médical
dans l’armée soumis à la facturation de l’assurance médicale pendant une période donnée. Les données recueillies montrent un pic choquant et soudain dans presque tous les codes CIM pour les
blessures courantes liées aux vaccins en 2021, en l'occurrence une augmentation de 300% des codes DMED enregistrés pour des fausses couches dans l’armée en 2021 par rapport à la moyenne sur cinq
ans, alors que la moyenne sur cinq ans était de 1 499 codes pour des fausses couches par an. Au cours des 10 premiers mois de 2021, elle était de 4 182. Ces codes concernaient généralement des
affections et des blessures que la littérature médicale a établies comme étant des effets indésirables potentiels des vaccins.
Outre le pic des diagnostics de fausses couches (code CIM O03 pour les avortements spontanés), on constate une augmentation de près de 300 % des diagnostics de
cancer (d’une moyenne de 38 700 par an sur cinq ans à 114 645 au cours des 11 premiers mois de 2021). Il y a également eu une augmentation de 1 000 % des codes de diagnostic pour les problèmes
neurologiques, qui sont passés d’une moyenne de base de 82 000 à 863 000, à quoi se rajoutent pour l'infarctus du myocarde 269% d’augmentation,291 % pour la
paralysie de Bell,156 % pour les malformations congénitales des enfants de militaires,471% pour l'infertilité féminine, et467% pour les embolies
pulmonaires. Un des dénonciateurs a affirmé de son côté être gravement préoccupé par le fait de voir de jeunes soldats atteints de cancers métastatiques soudains, de maladies auto-immunes et de
troubles cardiaques et circulatoires, qui ont poussé de nombreux soldats à abandonner divers programmes de formation. Pour eux, il ne s'agit que de la partie émergée de l’iceberg, dans la mesure
où les codes ont augmenté de façon exponentielle dans de nombreuses autres catégories de diagnostics. Si ces chiffres sont vérifiés dans les procès à venir, alors, en l’absence d’une fraude
massive à l’assurance militaire ou d’un problème bizarre dans le système, cela pourrait donner une image choquante des problèmes de sécurité des vaccins qui indiquerait que non seulement les
signaux de sécurité du VAERS auraient dû être immédiatement suivis, mais qu’ils sont en proie à une terrible sous-déclaration. Et comme l’armée est une population définie, limitée, étroitement
contrôlée et surveillée, composée très majoritairement jeunes et en bonne santé, la véracité de ces allégations de problèmes neurologiques, cardiaques et de cancer liés aux vaccins
indiquerait que l’armée serait l’endroit le plus révélateur pour découvrir la réalité du "génocide vaccinal".
En 2024, des données provenant des Centers for Disease Control and Prevention (CDC) et du Vaccine Adverse Event Reporting System (VAERS) ont indiqué que
les injections d’ARNm de Covid-19 ont été associées à une augmentation stupéfiante de 111 795 % des caillots cérébraux aux États-Unis après l’introduction du
vaccin. Ainsi la thromboembolie cérébrale, reconnue désormais comme un effet secondaire potentiel des vaccins Covid-19, qui est une affection dans laquelle un caillot sanguin (thrombus) se forme
dans un vaisseau sanguin, se déplace dans la circulation sanguine et se loge dans une artère qui alimente le cerveau en sang. Les chercheurs avaient analysé les données pour la période allant du
1er janvier 1990 au 31 décembre 2023, et comparé les cas de thromboembolie cérébrale signalés à la suite de vaccinations contre Covid-19 à ceux signalés à la suite de vaccinations contre la
grippe et d’autres vaccins.
Cf. en complément le rapport de 10 000 pages sur les effets secondaires dePublic Health and Medical
Professionals for Transparency, démontrant que le laboratoire Pfizer savait pertinemment que ses vaccins étaient dangereux (30 à 38).Via: https://phmpt.org/wp-content/uploads/2021/11/5.3.6-po..
Quelques éléments factuels d'effets indésirables (3)
Le docteur états-unien Elizabeth Eads, praticien qui travaille depuis 25 ans dans le domaine des traitements vaccinaux, est le témoin direct du syndrome
d’immunodéficience acquise communément appelé SIDA, notamment chez les triple vaccinés. Elle a appellé la troisième injection The Kill Shot ("l'injection mortelle") car dévastatrice pour le
système immunitaire. Elle découle de la protéine spike, plus exactement le Lentivirus Spike, qui contient une combinaison de VIH, de types un à trois, en l'occurrence le SIDA, le MERS et le SARS.
Le Lentivirus le plus connu est le pathogène de l’immunodéficience humaine, qui cause le SIDA. C’est pourquoi les personnes vaccinées et stimulées sont
si malades, et dominent les hospitalisations concernant les conséquences de la maladie Covid.
Quant au Dr Ryan Cole, il a déclaré qu’il constatait une augmentation des cancers de 2 000 % à cause des vaccins provenant de la base de données
épidémiologiques médicales de la Défense (DMED) : néoplasme malin de l’œsophage en hausse de 794 %, néoplasme malin de l’estomac, du côlon et du
pancréas en hausse de 524 %, cancer du sein en hausse de 387%, cancer des ovaires en hausse de 537 %, cancer des testicules de + 269 % (chiffres de 2021).
En appliquant la formule statistique Taux de cas non vaccinés pour 100 000 – Taux de cas vaccinés pour 100 000 / Taux de cas non vaccinés pour 100 000 x 100 =
Efficacité du vaccin, les résultats pour les données de la Nouvelle-Zélande concernant l’efficacité présumée du vaccin contre le covid est de moins 94,4 % entre le 6 janvier et le 11 février
2022, tombant le 24 février à moins 281,35 %, ce qui signifie que les personnes entièrement vaccinées ont 3,8 fois plus de risques d’être infectées par le covid que les personnes non vaccinées.
Il en est de même au Canada, où les individus qui ont reçu les injections sont, en moyenne, quatre fois plus susceptibles d’être infectés par le covid que leurs homologues non vaccinés, deux fois
plus susceptibles d’être hospitalisés et trois fois plus susceptibles de mourir. En Angleterre comme en Ecosse, les chiffres sont similaires, très peu de personnes non vaccinées connaissant des
problèmes de santé liés au COVID.
Les conséquences pour les enfants
Concernant l'administration de vaccins pour enfants aux Etats-Unis, les chiffres sont : 1983 = 10 vaccins 2013 = 32 vaccins 2022 = 74 vaccins En parralèle, le taux d’autisme est : 1983 = 1 sur 10 000 2013 = 1 sur 88 2022 = 1 sur 36 2025… estimations 1 sur 2
De la mortalité post-Covid
Beaucoup plus d'individus sont décédés en 2021 et en 2022 après le déploiement des vaccins COVID, bien plus qu’au plus fort de la
"pandémie" COVID en 2020. Les nouvelles statistiques sur les taux de surmortalité brossent un tableau alarmant*, conduisant généralement les analystes à attribuer les "décès excessifs
inexpliqués" aux "effets du confinement". Mais les chiffres des décès excessifs des divers offices des statistiques nationales montrent en moyenne qu’environ 1 000 personnes de plus que
d’habitude meurent actuellement chaque semaine de conditions autres que le virus. La réalité observée est que les problèmes cardiovasculaires, lesaccidents vasculaires cérébraux et le diabète tuent en nombre record, comme en Angleterre et au Pays de Galles. Au total, les décès non
liés au COVID sont désormais plus de trois fois supérieurs aux décès liés au COVID. Cette tendance a été également observée aux États-Unis qui a enregistré 300 000 décès excédentaires non liés
aux Covid de février 2020 à la fin de 2022. Et c'est la génération dite Y*² qui est touchée à un rythme effarant, tout comme les athlètes du monde sportif
(de 1970 à 2020, soit 50 ans, 1312 athlètes sont décédés dans le monde d’un arrêt cardiaque, alors que de 2021 à 2022, soit 1 an, 1598 sont morts d’un arrêt cardiaque, les données révélant que
plus des deux tiers des athlètes qui se font vacciner contre le Covid et qui subissent ensuite un arrêt cardiaque meurent de cette crise cardiaque) ; autrement dit, un taux 30 fois supérieur à la
moyenne des 50 dernières années !
Autre réalité constatée en 2023, la surmortalité au Japon a grimpé en flèche de 400 % depuis que la troisième dose de Pfizer a été introduite, se révélant à
environ quatre fois supérieure à celle des années 2017, 2018, 2019 et 2021. Le ministère japonais de la Santé refusant de reconnaître le lien de causalité
entre les vaccins et les décès, il a été décidé une action en justice à son encontre.
Les décès liés à des systèmes de régulation à l’échelle de l’organisme, par opposition à des organes ou à des causes spécifiques, sont particulièrement
préoccupants. Autrement dit, cancers et lymphomes, cardiaques, myocardites autonomes/péricardites/troubles de la conduction, lésions du foie et des reins, etc. Ils peuvent servir à indiquer
qu’une perturbation systémique omniprésente est en jeu dans la physiologie humaine du citoyen, écartant comme raisons les accidents, les suicides, les dépendances, les agressions, les abus, le
désespoir, les perturbations et le COVID-19. Il s'agirait bel et bien de la capacité des piqûres COVID à altérer la fonction immunitaire chez les personnes vaccinées 8 mois après l’administration
de deux doses de vaccin COVID-19, ceci étant inférieur à celle des personnes non vaccinées…
Qui plus est, le Dr états-unien Steve Hanke, économiste à l’école de Baltimore (Maryland), qui a dirigé des recherches sur l’impact réel des confinements aux côtés
de chercheurs de Suède et du Danemark, a découvert que les politiques dévastatrices de prévention mises en oeuvre n’ont au final réduit la mortalité des Covid que de 0,1 % (les confinements ont
permis d’éviter entre 6 000 et 23 000 décès en Europe, alors qu’il y a environ 72 000 décès dus à la grippe en Europe chaque année...) !
L'exemple de la Grèce est frappant, un rapport publié en 2024 indiquant que le déclin de la population a atteint des niveaux alarmants et que le pays pourrait
devenir le premier pays au monde à souffrir d’un "effondrement démographique". Selon le rapport,les taux de mortalité constatés sont l’insuffisance
cardiaque, les accidents vasculaires cérébraux, les caillots sanguins et le cancer chez des jeunes gens par ailleurs en bonne santé. ont fait grimper en flèche en Grèce.Le taux de natalité de la Grèce a ainsi chuté de 30 % entre 2011 et 2021 pour s’établir à moins de 84 000 par an, passant ainsi en dessous du taux de mortalité
selon le service national des statistiques helléniques (ELSTAT). Le Premier ministre Kyriakos Mitsotakis a qualifié la perspective de cet effondrement de la population de "bombe à retardement" et
de "menace nationale", l’OCDE prévoyant de son côté que la population de la Grèce passera de 10,4 millions d’habitants l’année dernière à un peu plus de 10 millions en 2030.
En conclusion, la vaccination contre le COVID-19 est un facteur de risque majeur d’infections chez les patients gravement malades, puisque lorsque la fonction
immunitaire est altérée, l'individu devient vulnérable à toutes sortes d’infections et de maladies, y compris le cancer. En tant que tel, le vaccin COVID pourrait bien être responsable d’un
certain nombre de maladies entraînant la mort.
* L’ONS (Office National de la Statistique) du Royaume-Uni a publié l’ensemble des données sur les décès par statut vaccinal dans le pays du 1er avril 2021 à la
fin du mois de décembre 2022, constatant que les décès dus au COVID-19recensés s'élevaient à 17 150 dont 13 116 chez les vaccinés et 4 034 chez les
non-vaccinés. En d’autres termes, 76,5 % des décès sont survenus chez les vaccinés et 23,5 % chez les non vaccinés. Pour la même période en 2022, 17 161 personnes sont décédées dont seulement 970
pour des personnes non vaccinées. De son côté, le gouvernement britannique a confirmé qu’une personne sur 310 ayant reçu une injection est morte dans les 48 jours suivant la vaccination, montrant
que les vaccins COVID-19 augmentaient le risque de décès et n’offraient aucune garantie.
*² Au cours de l’automne 2021, les Millennials, âgés de 25 à 44 ans, ont connu une augmentation de 84 % de la surmortalité, la pire surmortalité de tous les
temps.
De la baisse de natalité constatée
Neuf mois après le lancement des prétendus vaccins à ARNm contre le COVID-19, des baisses substantielles du taux de natalité ont été observées dans 13 des 19 pays
européens, en Angleterre et au Pays de Galles (pays dont les données sont objectivement publiées) avecune baisse de 12 %, en Australie (chute de 21 % d’octobre à novembre 2021 suivie d’une baisse de 63 % de novembre à décembre 2021)et à Taiwan. De son côté, la baisse des naissances en Suisse a été la plus importante depuis 150 ans (plus que pendant les deux guerres mondiales ou la Grande Dépression qui
suivit le krach boursier de New York des 24 et 29 octobre 1929). Quant au taux de natalité en Allemagne, il a baissé de 8,3 % au cours des trois trimestres de 2022.
En août 2022, les universitaires suisses Raimund Hagemann, Ulf Lorré et le Dr Hans-Joachim Kremeront publié une étude
concernant la baisse des naissances vivantes en Europe, qui met les chiffres mensuels des naissances en relation avec la moyenne des trois dernières années. Ils constatent que chaque pays
européen examiné montre une baisse mensuelle des taux de natalité allant jusqu’à plus de 10% par rapport aux trois dernières années, précisant que ce signal très alarmant ne peut pas être
expliqué par les contaminations au Covid-19. Au contraire, une corrélation temporelle claire avec l’incidence des vaccinations contre le Covid dans le groupe d’âge des hommes et des femmes entre
18 et 49 ans peut selon eux être établies, et que par conséquent, des analyses statistiques et médicales approfondies doivent être exigées. Il est essentiel de noter que l’essai clinique de phase
2/3 du laboratoire Pfizer, grand fournisseur européen de ces "vaccins", a porté sur plus de 40 000 sujets, sans inclure de femmes enceintes. Et si un petit nombre de femmes enceintes ont été
toutefois injectées, aucun rapport de suivi de ces femmes n’a été fourni. Pourtant, en l’absence de ces tests chez les femmes enceintes lors des essais cliniques ou de la surveillance suivant
l’autorisation d’utilisation expérimentale (AUE) accordée par la Food and Drug Administration (FDA) états-unienne fin 2020, les Centres de contrôle et de prévention des maladies (CDC) et le
Collège américain d’obstétrique et de gynécologie (ACOG) ont recommandé l’utilisation de ces produits ARNm chez les femmes enceintes sans connaître les effets à court ou à long terme de ce qui
était contenu dans les flacons et leurs effets sur le système reproducteur humain*.
De son côté, le Dr Young Mi Lee, gynécologue sud-coréenne de l’équipe internationale de recherche interdisciplinaire,a
découverten analysant la matière séminale de plusieurs hommes vaccinés des filaments qui s’assemblent et se développent jusqu’à deux ans et demi après la
vaccination.
Si les individus n’ont subi aucun effet indésirable et ne présentent aucun "symptôme" apparent, ils ne sont pas pour autant hors de danger, et surtout affectent
leurs partenaires non injectées dans leurs relations intimes.
*Plus de 42 000 personnes ont subi des effets indésirables au cours des 10 premières semaines, et en cumulé jusqu’au 28
février 2021 il y a eu 42.086 rapports de cas (25.379 confirmés médicalement et 16.707 non confirmés médicalement) contenant 158.893 événements, 72 % concernant des femmes (20.000 cas de problèmes menstruels comme les saignements menstruels abondants, les menstruations irrégulières, les douleurs menstruelles, l'hémorragie vaginale, la
non fréquence, le saignement intermenstruel, l'absence de menstruation, des
règles plus fréquentes et les saignements post-ménopausiques).
Le constat jusqu'alors rejeté par les autorités institutionnelles commence douloureusement pour beaucoup (responsables comme victimes) à être admis, d'autant que le Réseau mondial de données sur
les vaccins (GVDN) a annoncé fin février 2024 que l’incidence des effets secondaires de divers vaccins Covid-19 était plus élevée que prévu au regard d’une étude de big data portant sur 99
millions de personnes réparties dans huit pays.
Publiée dans la revue médicale Vaccine, elle portait sur 13 troubles neurologiques, sanguins et cardiaques, appelés "effets indésirables d’intérêt particulier, avec comme bilan une incidence plus
élevée de myocardite (inflammation du muscle cardiaque) et de péricardite (inflammation de la poche cardiaque) que prévu chez les personnes ayant reçu les vaccins de Pfizer/BioNTech (BNT162b2) et
de Moderna (mRNA-1273). Le vaccin de Moderna a également présenté un taux plus élevé d’encéphalomyélite aiguë disséminée (ADEM, inflammation et gonflement du cerveau et de la moelle épinière),
avec sept événements observés contre deux attendus dans les 42 jours suivant la première injection.
De la protéine Spike
La protéine Spike en elle-même est un peu molle, n’ayant de ce fait pas tendance à très bien garder sa
forme. C'est pourquoi les scientifiques ont créé par génie génétique une protéine de pointe qui garde sa forme, avec des mutations qui la stabilisent. Ils ont pris pour ce faire cette information
génétique, et ont transformé des cellules pour produire la protéine Spike afin de pouvoir la purifier et l’examiner à l’aide de techniques de visualisation de la structure 3D des protéines. Cette
expérience originale a été réalisée dans des cellules HEK-293, HEK signifiant "rein embryonnaire humain" et 293 signifiantqu’il s’agit de la
293e expérience réalisée pour développer une lignée cellulaire (si cela ne signifie pas qu’il y ait eu 293 avortements, en revanche pour 293 expériences il faut bien plus d’un avortement*).
Autrement dit, la protéine Spike pour laquelle les vaccins sont codés a été développée à l’origine dans des cellules de fœtus avortés, ceci expliquant qu'ily a toute une industrie basée sur ces cellules de fœtus avortés dans la recherche scientifique fondamentale (ainsi
les cellulesWI-38, MRC-5, PER.C6 qui se rajoutent à celles
nomméesHEK-293) ! Or ces lignées cellulaires reçoivent souvent des gènes favorisant le cancer, qui perturbent la
fonction des gènes suppresseurs de cancer ou des gènes suppresseurs de tumeur.
* Comme il est nécessaire d'obtenir ce tissu dans les cinq minutes qui suivent l’avortement pour qu’il soit
viable de manière optimale (il est inutile au bout d'une heure), la probabilité est forte qu'il s'agisse d'avortements volontaires pour ne pas dire
planifiés, lesbébés étant parfois encore vivants lorsque les chercheurs commencent à extraire les tissus. Et comme on ne leur donne généralement
pas d’anesthésiant puisque cela perturberait les cellules que les chercheurs essaient d’extraire, il est à imaginer leur souffrance...
Des dommagesirréversibles causés à
l'ADN
Le document de recherche SARS-CoV-2 Spike intitulé Impairs DNA Damage Repair and Inhibits V(D)J Recombination In Vitro ("nuisance de la réparation des dommages
causés à l'ADN et inhibition de la recombinaison V(D)J in vitro"), rédigé par les scientifiques Hui Jiang et Ya-Fang Mei du Département de biosciences moléculaires au sein de The Wenner- Gren
Institute de l'Université de Stockholm et du Département de microbiologie clinique en virologie de l'Université d’Umeå, toutes deux suédoises, démontre que la protéine de pointe* Spike pénètre
dans les noyaux cellulaires, supprime le moteur de réparation de l’ADN du corps humain, et déclenche une explosion de cancer, d’immunodéficience, de troubles auto-immunes et de vieillissement
accéléré… Autrement dit, cette protéine inhibe jusqu’à 90 % la réparation des dommages causés à l’ADN en entravant le recrutement de la protéine de réparation de l’ADN.
Ce mécanisme de réparation de l’ADN est connu sous le nom de NHEJ (Non-Homologous End Joining -"Jonction des extrémités non homologuée"), consistant en un système
de "réponse d’urgence" intracellulaire qui répare les cassures d’ADN double brin. Sans ce mécanisme NHEJ, toute vie multicellulaire avancée cesserait d’exister, aucun être humain, animal ou
végétal ne pouvant alors survivre dans la mesure où l’intégrité de son code génétique n’est plus protégée et constamment réparée par de multiples mécanismes.
En conséquence, les "erreurs" qui sont introduites dans les chromosomes à l’intérieur des noyaux des cellules humaines - mutations ou erreurs dans la séquence
génétique; suppression de segments entiers du code génétique; insertion de segments incorrects; mélange et permutation du code génétique - entraînent une explosion de cancers et de tumeurs
cancéreuses dans tout le corps, une perte de production de cellules B et T du système immunitaire (l'immunodéficience induite), des troubles auto-immunes, le vieillissement accéléré et la
réduction de la longueur des télomères, la perte de fonctionnement de systèmes organiques complexes tels que circulatoire, neurologique, endocrinien, musculo-squelettique, etc., des dommages
cellulaires ressemblant à un empoisonnement par rayonnement alors que les cellules se détruisent de l’intérieur.Autant dire
que beaucoup de ces effets sont fatals ! Sans oublier que l’exposition à la 5G*² (lacinquième génération des standards pour la téléphonie mobile), l’exposition aux chemtrails (traînées blanches créées par le passage des avions en vol composées de produits chimiques), l’exposition aux produits chimiques
alimentaireset de soins personnels (détergents à lessive, parfums, shampooings, lotions
pour la peau, etc.), la mammographie et même l’exposition au soleil sont potentiellement à même de faire des ravages chez ceux qui ont pris des vaccins à ARNm.
* La protéine de pointe est générée par les propres cellules du corps après avoir reçu l’injection d’un vaccin à ARNm,affectant directement la réparation de l’ADN dans le noyau.
*² L’ exposition à la 5G entraîne la production de peroxynitrite (molécule à fort pouvoir oxydant issue de la réaction spontanée entre le radical superoxyde et le monoxyde d'azote) dans le sang, qui est un radical libre extrêmement
dangereux car doté de la capacité à endommager l’ADN des cellules du cerveau et des tissus du corps.
Des caillots sanguins post-injection
Des tests de laboratoire sur les "caillots vaccinaux" effectués par des scientifiques* démontrent que ces caillots grossissent avec le temps dans le système
circulatoire du corps, signifiant qu'ils sont des systèmes auto-assemblés ou bio-machines, autrement dit des biostructures protéiques solides et caoutchouteuses. Au fur et à mesure qu’ils
grossissent, ils accumulent ou récoltent certains éléments de l’approvisionnement en sang circulant, car ils prennent plus de place dans les vaisseaux sanguins. Si au début le sang vivant
contourne simplement les caillots, ceux-ci peuvent à un moment donné bloquer l’artère à 100 %, ce qui entraîne alors une "mort subite". Il est important de noter que ces "caillots" mettent
plusieurs mois, voire un an ou deux, à atteindre une taille suffisante pour bloquer complètement les vaisseaux sanguins et les artères.
En d’autres termes, de nombreuses personnes injectées sont des "bombes à retardement" de blocage cardiovasculaire et de mort inévitables, car il ne s’agit pas de
caillots sanguins au sens conventionnel, les médicaments anticoagulants ne faisant rien pour résoudre ces caillots. Il n’existe en effet aucun traitement pour dissoudre ou éliminer ces caillots
du système cardiovasculaire. Et bien évidemment, l’ensemble de l’establishment médical refuse catégoriquement de reconnaître leur existence, n’admettant aucun lien entre les injections ARNm et la
surmortalité constatée par les autorités dans toutes les catégories d'âge, notamment aux Etats-Unis et en Angleterre.
* En l'occurence le laboratoireaccréditéISO, agréé17025, audité, inspecté et validé pour les tests ICP-MS. Il s'agit d'uneméthode
consistant à créer un champ électromagnétique à très grande intensité par des radiofréquences, etdevenue incontournable pour l'analyse simultanée des éléments en trace et
"ultra-traces". Réalisée en juin 2022,elle a vu les échantillons "digérés" dans de l’acide nitrique, acide nébulisé dans un flux liquide qui traverse une torche à plasma pour être
ionisé et dirigé vers un ensemble quadripolaire triant les éléments selon leur rapport masse/charge. Chaque élément individuel est scanné et compté sur un PMT (tube photomultiplicateur) qui
traduit les éléments individuels en courant électrique qui peut être compté avec précision. Ces résultats sont comparés à des normes externes traçables pour fournir des courbes d’étalonnage très
précises, ce qui signifie que les données de quantification sont extrêmement fiables. La conclusion est que le caillot est presque entièrement dépourvu d’éléments marqueurs clés qui
seraient présents dans le sang humain (comme le fer et le potassium), mais il présente des concentrations nettement plus élevées d’éléments utilisés dans l’électronique et les circuits. Cf.
https://cogiito.com/wp-content/uploads/2022/08/CWC-Clot-Test-ICPMS-results.pdf.
En conséquence, en l'absence des millions de protéines de pointe dans son système vasculaire et qui inondent ses organes vitaux (comme le foie et la rate), l'être humain non injecté a de bien
meilleures chances de repou