Les publications en ligne font l'objet de constantes mises à jour et nouveaux enrichissements. Il va de soi qu'elles n'engagent que leur auteur dans le choix des sources et le fruit de ses imagination et réflexion.

 

 

Vérité civilisationnelle

La duperie, marque du monde de l'illusion
La duperie, marque du monde de l'illusion

En préliminaire, il est à comprendre que le phénomène extraterrestre est certes un phénomène mondial, mais qui n’a pas encore atteint la conscience mondiale. Il est connu par des individus en général, et ces individus qui ont eu l’expérience du phénomène sont sujets à l’"abrutissement" psychologique. Pourquoi ? Parce que tout phénomène avec les mondes parallèles induit l’être humain dans une vibration dont il ne connaît pas la nature de l’intelligence. Et cette vibration, cette énergie du phénomène aliénigène, permet à l’être humain soit d'en connaître un aspect précis, soit un aspect aveuglant, sans pouvoir lui-même, sur sa propre autorité de conscience, échanger avec l’intelligence en manifestation d’une façon égalitaire. Et si l’être humain ne peut pas échanger avec le phénomène extraterrestre, c'est qu’il n’est pas dépouillé de ses émotions*, celles-ci troublant et altérant son discernement. Tant qu'il n'a pas accès à un niveau d’Intelligence Supérieure à sa propre psychologie humaine, le Supramental ou Supraconscience, il ne peut comprendre avec aise, sans ambiguïté, les correspondances vibratoires, psychiques, de son expérience.

* Cf. L'expérience émotionnelle & Fonctionnement du corps biologique.

 

De la phénoménologie

La phénoménologie*, du grec phainómenon, "ce qui apparaît", et lógos, "étude", est l'étude de phénomènes dont la structure se fonde sur l’analyse directe de l’expérience vécue par un sujet. On cherche le sens de l’expérience à travers ses yeux, celui-ci rendant compte de cette expérience dans un entretien ou dans un rapport écrit.

Son fondateur est le philosophe et logicien mathématicien, autrichien de naissance puis prussien, Edmund Husserl (1859/1938). Cette discipline se classe dans le paradigme philosophique constructiviste, qui suggère une vision du monde où la réalité est multiple, la méthode employée faisant partie de l’approche qualitative (par opposition à l'approche quantitative). Le chercheur phénoménologique reconnaît dans sa poursuite d'une vérité vérifiable, concept pilier de la science, qu’il n’y a pas qu’une vérité. Il doit rendre compte de la réalité du sujet sans chercher à interpréter. C’est une approche qui se veut la plus itérative possible bien que, dans sa réitération, le chercheur fasse inévitablement preuve d’une certaine interprétation.

Avec la phénoménologie, nous ne parlons plus de faits objectifs séparés de la conscience, chers à l’idéologie matérialiste et du positivisme scientifique, mais d’expériences vécues pour la conscience dans une liaison du sujet et de l’objet. Autrement dit, un phénomène étant perçu par une conscience, il n’est plus séparé d’elle. Ce sont des "vécus de conscience", comme peuvent l’être, par exemple, des expériences purement spirituelles. De cette façon, nous ne pouvons pas dire qu’il y a une opposition entre science et philosophie phénoménologique, mais plutôt un état d’esprit semblable dans la rigueur descriptive, et les analyses et synthèses qui en découlent ensuite.

C'est ainsi que l'expérienceur d'un phénomène extraterrestre type "UFO" (ovni en français), sachant ce qu’il a vécu et étant convaincu de son expérience, n’est pas comme celui qui reste dans l’ignorance, la croyance ou le doute. Comme le disait Husserl, il est fondamental de vivre par soi- même une expérience qui sera ensuite analysée selon plusieurs perspectives. Aussi n'est-il pas surprenant que même la théologie évoque la possibilité d'une vie extraterrestre, le terme exo-théologie ayant été créé dans les années 1960 ou au début des années 1970 pour désigner les réflexions théologiques de cette possibilité *².

* Ce terme est attribué à Jean-Henri Lambert (1728-1777). Il a inspiré de nombreux travaux hors de son champ philosophique propre, telles que la philosophie des sciences, la psychiatrie, l'esthétique, la morale, la théorie de l'histoire, l'anthropologie existentiale (théorie des modes d'exister focalisée sur la "minimalité" des comportements humains en collectivité).

*² Clive Staples Lewis (1898–1963), qui fut l'ami intime de JRR Tolkien, l'auteur bien connu du "Hobbit" et du "Seigneur des Anneaux", est l'un des premiers auteurs chrétiens, dans un article de 1950 dans le Christian Herald, à imaginer la possibilité que le Christ se soit incarné dans d'autres mondes, ou que Dieu ait prévu d'autres plans de salut pour les autres intelligences de l'univers.

 

De la vérité historique

L'Histoire ne correspond pas toujours à l'idée que nous en avons, à la chronologie des faits enseignés qui fait logique à notre raison. Tout récit historique court en effet le risque d'être idéologiquement marqué par la prégnance culturelle inconsciente de son auteur, aussi épris de vérité objective soit-il. Aussi la question se pose de savoir s'il peut exister une vérité historique moralement neutre et "scientifique". La vaste histoire de l’Histoire, de ses berceaux égyptiens et mésopotamiens attestés à nos jours en tout cas pour notre monde occidental, repose sur des mythologies nationales qui pèsent lourdement sur la mémoire collective. Quel serait notre regard sur l’histoire par un autre prisme que le nôtre, selon le point de vue russe, chinois ou musulman par exemple ? Aussi, pour se libérer du risque d’un passé fabriqué, falsifié et réducteur, il est nécessaire de se tourner résolument vers l’avenir par sa conscience éclairée du moment présent, désintoxiquée des affres des conditionnements imposés ou suggérés. C'est pourquoi une attitude ouverte aux voix multiples venant retranscrire le passé permet d'agréger en soi l'incontournable puzzle nécessaire à la compréhension la plus ouverte qui soit, avant que la raison du cœur - son ressenti profond - plus que de l'esprit n'en valide la pertinence.

Tout au long des siècles, dans toutes les civilisations, l’Histoire a eu pour tâche de fournir des modèles explicatifs pour les élites politiques, à savoir des légendes littéraires toujours écrites du côté de la force régnante, et non destinés à l'ouverture de la conscience des masses non instruites. Avec la Révolution des (soi-disant) Lumières puis la naissance des États-nations au XIX° siècle, la pédagogie éducative dans les écoles et universités a pris le relai, parallèle nécessaire à l'enseignement scientifique constitutif du formatage cervical nécessaire à l'émergence d'une société dédiée au dieu progrès, nécessaire levier économique du mondialisme néo-libéral, tout particulièrement technologique dans ses manifestations numériques. L’histoire nationale est ainsi nécessaire à ce moment-là au "bon esprit" de la nation incarnée par des citoyens réunis et soudés autour d'une langue commune, d'un ennemi commun et d'une mémoire collective. L’Histoire est de ce fait mise à contribution dans la coloration et la texture de l'identité collective recherchée.

C'est pourquoi de nos jours, dans un monde où l'information circule (encore) plus librement, où les États-nations sont progressivement détricotés au profit de superstructures transversales, se pose la question de sa nature. Doit-on enseigner plutôt l’histoire civilisationnelle culturelle que politique ? Le désamour constaté par les plus jeunes pour cette matière tient certes pour partie à des supports technologiques les incitant plus au zapping émotionnel et au divertissement qu'à une approche fastidieuse d'un lointain passé jugé archaïque. Mais il est aussi lié au fait que l'histoire enseignée ne correspond plus au nouvel ADN d'une conscience humaine s'étant considérablement ouverte et, pour partie, émancipée de la chape de plomb nourrie de mensonges décidée par des élites guère enclines à la remise en cause de leurs privilèges découlant de l'exercice du pouvoir à leur seul profit, quoi qu'elles en disent dans leurs proclamations humanistes qui ne leurrent que celles et ceux qui ont la bêtise chevillée à l'esprit endormi d'y croire. Si l'histoire était constitutive d'un métier majeur indispensable à la création des nations, ce n’est plus le cas à l'heure du rejet profond et viscéral par de plus en plus de monde de toutes les idéologies politico-religieuses impérialistes : communisme, socialisme, capitalisme, libéralisme, consumérisme, nationalisme, sionisme, islamisme, mondialisme, transhumanisme ... C'est pourquoi seul un enseignement critique et transparent sur ses limites peut redonner à cette discipline le souffle qu'elle ne cesse de perdre.

Cf. Sébastien Denis, "Les artefacts impossibles de l'Histoire" ; Nas Boutammina, "La falsification de l’histoire des sciences" ; le Récentisme de Fomenko, des matriciens, ou encore selon Pierre Dortiguier.

 

Des mythes unificateurs dénaturés : la résistance

Les nations, les clubs, les tribus, les entreprises, les familles... presque toutes les formes d’associations humaines ont besoin de mythes unificateurs. Toutefois, aucun n’est absolument vrai, certains étant même plus faux que d’autres. Il convient de ne pas oublier que ce sont les vainqueurs qui écrivent l’Histoire, et qu'ils se donnent des rôles de premier plan avantageux.

Le cas de la seconde guerre mondiale est à cet effet explicite.

Immédiatement après son achèvement, des officiers américains ont interrogé des soldats allemands capturés ainsi que des membres de la population civile. Ils ont été stupéfaits de constater que presqu’aucun allemand ne se proclamait nazi. Quelques semaines après leur capitulation, les nazis avaient disparu de l’histoire de l’Allemagne. La plupart des gens ont déclaré qu’ils avaient toujours été contre eux… et qu’ils n’avaient revêtu l’uniforme, ou soutenu l’effort de guerre, que parce qu’ils y avaient été obligés.

De même, en France, après une courte période de règlements de comptes et de honte pour les collaborateurs avec l'envahisseur germain, les visiteurs du pays libéré ont découvert que presque tout le monde avait été membre de la résistance française. Apparemment, toute la population avait courageusement combattu les usurpateurs allemands.

Et depuis, au jour de la fête nationale française, les drapeaux sont déployés et les "anciens combattants" rassemblés dans les villes et villages pour honorer par les édiles (maires, préfets, gendarmes) et notables locaux les héros locaux de la résistance entre 1940 et 1945, tout comme les vétérans des autres guerres patriotiques qui suivirent : Indochine (au cours desquelles les Français se sont battus pour éviter l’indépendance du Viêt Nam) et Algérie (au cours de laquelle la France a tenté de tenir les Algériens en pays colonisé). Tous ont le même message : sans le courage et la détermination des "maquisards", les résistants dont le quartier général était caché dans les bois et que les Allemands considéraient comme des "terroristes", la France ne serait pas le pays libre qu’elle est aujourd’hui…

C'est oublier que la Seconde Guerre mondiale, comme la Première, a été gagnée grâce à la puissance humaine et à la puissance de feu. Les résistants n’avaient ni l’un ni l’autre. Sur un même plan, les enquêtes montrent que les Américains et les Britanniques croient, à une large majorité, que ce sont leurs propres soldats qui ont vaincu le führer Hitler. Mais ce n’est pas le cas. C'est l’Union soviétique qui a réussi un remarquable "double enveloppement" à Stalingrad et a anéanti 800 000 soldats allemands, italiens, hongrois et roumains, conduisant par la suite les forces allemandes à mener une bataille perdue d’avance…

La réalité est qu'en France, la majorité de la population soutenait le gouvernement de Vichy et son arrangement pacifique avec les Allemands, beaucoup espérant que les Allemands gagneraient la guerre contre les Soviétiques qu’ils considéraient comme une menace ô combien plus grave. Dans les maquis, la confusion, la violence et la langue de bois régnaient en maître, les  groupes de résistance les mieux organisés étant les communistes. Ils ne recevaient pas leurs ordres de de Gaulle à Londres, mais de Staline à Moscou. Et ils détestaient tous ceux qu’ils considéraient comme des bourgeois. Il y avait aussi des groupes de voleurs… et des milices d’extrême droite avec des hommes armés qui pouvaient surgir à tout moment chez le quidam pour diverses exactions plus ou moins sordides.

 

Cointelpro et la désinformation religieuse

Tout comme la manipulation de la sexualité, le Counter Intelligence Program (Cointelpro), programme de contrôle mental initié par le FBI et la CIA*, agit de multiples façons concernant la question religieuse, celle portant sur la nature du Dieu tout puissant Créateur de l'univers. Il en résulte une véritable frénésie de publication de livres et essais supposés révéler "les plus grands secrets" de tous les temps. Ils ont tous quasiment le même fond de sauce, qui combine les mystères présentés par les secrets d’Égypte, les technologies et les religions, ayant pour but par la manipulation des croyances de former les idées de l’humanité quant à ses origines par l’intermédiaire de livres, de films, et autres moyens culturels (ateliers, conférences, symposia)*². Ce n'est bien sûr pas nouveau, les élites gouvernantes ayant toujours imposé leur vision de l'histoire, ceci ayant été déjà théorisé dans le passé par l'homme politique romain Publius Cornelius Tacitus - Tacite (56/120). Le mouvement du New Age est bien entendu au cœur de ce ravivement du religieux avec son cortège de courants, auteurs et gourous spécialisés en OVNIs et extraterrestres. Ils s'appuient sur toutes les découvertes issues des différents domaines d’études scientifiques, allant à l'encontre des croyances établies jusqu'alors à propos du monde, de son Histoire, des religions, des origines. C'est de cette manière que la Gouvernance secrète établit astucieusement son système de contrôle du monde, l'éparpillement mélangeant mensonges et vérités empêchant l’émergence de la vérité dans la conscience de l'être humain, celui-ci étant berné par la flagrance de vérités révélées dissimulant le mensonge comme poison mortel.

* Cf. Contrôle mental.

Cf. Lynn Picknett et Clive Prince, The Stargate Conspiracy : Revealing the truth behind extraterrestrial contact, military intelligence and the mysteries of ancient Egypt ("La conspiration de la Porte des Étoiles : révéler la vérité sur les contacts extraterrestres, les renseignements militaires et les mystères de l'Égypte ancienne").

 

"Une population qui a vécu dans l’avilissement et la servitude ne peut créer une influence. En voici la raison : avilissement et servitude détruisent l’énergie d’une population et son instinct de groupe. Cet état d’abaissement est le signe que même chez elle cet instinct n’existe plus. Ne pouvant émerger de cet état de dégradation, elle n’a plus le courage de se défendre ; à plus forte raison elle est incapable de résister à ses adversaires ou d’élever contre eux des revendications".

A.R. Ibn-Khaldun, de son nom complet Abû Zeid Ab dur-Rahman bin Muhammad bin Khaldoun al-Hadrami (1332/1406) - Les Prolégomènes

 

Le débat est vif entre les défenseurs de l'histoire officielle, retranchés derrière leurs ors et palmes académiques octroyées par le système institutionnel érigé, et les agitateurs alternatifs qui tancent l'imposture et l'omerta empêchant la réécriture de l'histoire racontée. Les uns se retranchent derrière leur légitimité d'experts agréés, quand les autres mettent en avant leur liberté de recherche et de penser comme justification de l'intérêt de leurs travaux. C'est par exemple le cas de l'existence jadis d'une "race de géants".

 

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Selon les théories Anunnaki*, terme qui désigne dans la mythologie mésopotamienne un groupe de dieux, il y avait des géants sur la terre en ces temps-là, et aussi après cela, quand les fils de Dieu vinrent vers les filles des hommes et qu’elles leur donnèrent des enfants. Ils devinrent des hommes puissants qui étaient des Titans, divinités dans la mythologie grecque ayant précédé les dieux de l'Olympe...

* Cf. Le Judaïsme décodé.

 

De la race des géants dans l'histoire

Dans le numéro du 23 août 1896, le New York Journal publiait un article détaillant l’existence de géants antiques, indiquant qu'en 1868 des fouilles avaient permis de découvrir des empreintes d’oiseaux des marais, puis des ossements de mastodontes à une profondeur de 5 mètres, ainsi que plusieurs centaines d’empreintes de pas humains faites dans l’argile molle il y a plusieurs milliers d’années et préservées grâce à la roche métamorphique qui les recouvrait. Les empreintes mesuraient 53 cm de long, et jusqu'à 73 cm de long !

Grands par la taille mais aussi sans doute par l'esprit, leur science immense et leurs pouvoirs étendus les ont établis comme géants. Il y a à travers la planète terre tant de preuves de technologies supérieures, l'évolution de la taille étant inversement proportionnelle à celle de la civilisation. Ceci entend que chaque civilisation précédente avait une taille moyenne plus grande que les civilisations qui la suivaient, et chaque civilisation suivante avait une taille moyenne plus courte que les civilisations qui la précédaient, les tailles diminuant après chaque déluge et à chaque nouvelle ère astrologique dans laquelle l'humanité entre.

C'est d'abord Hérodote, le grand historien grec, qui rapporte que l'un des premiers roi d'Egypte, nommé Hercule, aurait été un géant. D'ailleurs, des textes égyptiens confirment qu'il existait effectivement des géants dans les temps anciens, et que les hommes avaient été en guerre avec certains d'entre eux. De son côté, Maximin le Thrace (presqu'île de la mer Egée), empereur romain qui régna de 235 à 238 après J.C., avait une stature hors du commun, sa taille devant être au moins de 2,60 m, vu que son squelette faisait déjà 2,59 m..., ce qui pour l'époque, où la taille moyenne des hommes s'établissait plutôt autour de 1,60 m, correspondait pratiquement à un géant ! Le géant Goliath de la ville de Gath que vainquit le futur roi David, avait une taille de six coudées et un empan, soit environ 2,80 m (La Bible, Livre de Samuel 17-4). D'autres références aux géants se trouvent dans le Livre des Nombres (Chapitre 13), ou dans le livre de Baruch (chapitre III,26-28). Quant au roi Og de la cité de Basan, du peuple des Réphaïms (Palestine) qui était le dernier fils des géants, il disposait d'un lit de neuf coudées de long (soit près de 4,30 m). A la condition que les écrits du Deutéronome III (de 3 à 11) soient exacts, le roi devait donc mesurer environ 3,80 m...

En 1456, un squelette de 7 m environ... aurait été découvert au bord du Rhône, vers Valence (France). En 1519, Hernan Cortès, le fieffé conquistador, débarque au Mexique. Les Indiens le prennent pour un demi-dieu, et lui montrent un fémur humain géant. Il l'envoie comme curiosité à son roi Charles Quint, avec tous les biens et l'or qu'il a pu récolter. Vers 1550, l'historien des Conquistadors d'Amérique du Sud (notamment du Pérou) Pedro Cieza de Leon rapporte que les indigènes du Sud de la Colombie (actuelle) à Santa Elena racontaient que, dans le passé, une horde de géants était venue de la mer sur des radeaux et avait envahi leur territoire. En 1577, un squelette humain de 5,90 m environ aurait été découvert sous un chêne dans le canton de Luzerne (Suisse). En 1579, l'aumonier Fletcher de Sir Francis Drake, au cours du voyage du Monde, rapporta avoir rencontré en Patagonie de très grands hommes. En 1590, Anthony Knivet, qui voyageait avec Sir Thomas Cavendish autour du Monde, affirma avoir vu en Patagonie des cadavres humains mesurant un peu plus de 12 pieds (soit 3,70 m). En 1599, le livre de bord de William Adams mentionne qu'il a rencontré en Patagonie des hommes mesurant de 10 à 12 pieds (ce qui correspond à environ 3,30 m). Il eut d'ailleurs des affrontements avec ces géants. Vers 1562, et selon le manuscrit mexicain de Pedro de los Rios (l’Évangile entre le Prédicateur et le Néophyte) il est écrit : "Avant le déluge que l'on estime à 4008 ans après la création du monde, la terra d'Anahuanac était habitée par des êtres gigantesques, les Tzocuillixeo". En 1613, un squelette de 7,90 m environ... presque complet, aurait été découvert près du château de Chaumont (France). En 1879, un squelette humain de 2,60 m environ a été découvert sous un tumulus à Brewersville en Indiana (USA). En 1883, un squelette humain de 3,60 m environ a été découvert sur les terres du ranch de Lompoc, Californie (USA). En 1931, le 19 juin, deux squelettes humains de 3, 50 m ont été découverts dans le lac asséché Humboldt, situé près de la ville de Lovelock (Nevada). En 1936, sur les bords du lac Elyasi (Afrique du Sud), furent découverts par l'anthropologiste d'origine allemande Larson Kohl des ossements humains géants. En 1937, le paléontologiste allemand Gustave Königswald vit dans une pharmacie de Hong Kong des ossements d'une taille tout à fait inhabituelle. En 1950, le Dr Louis Burkhalter avait mentionné dans la Revue du musée de Beyrouth l'existence d'une race de géants vivant dans la période Acheuléenne. Selon lui, trois découvertes assez récentes à l'époque, justifiaient cette assertion : la découverte du géant de la Chine du Sud, la découverte du géant de Java, la découverte du géant du Transvaal (Afrique du Sud). En 1964, dans le Caucase, lors de fouilles dans une grotte de la région d'Alguetca, des squelettes d'hommes mesurant entre 2,80 et 3 m furent mis à jour. En 1974, un physicien américain de Los Angeles, Bruce Russel, découvrit dans une caverne de la Vallée de la mort, des ossements humains d'hommes de 2,70 m. En 1996, le 3 janvier, le chef de la sécurité de la ville de Yatzitz en Israël, Herzl Constantini, découvrit dans son jardin les empreintes d'un géant estimé à 3,30 m. En 2002, des empreintes de pieds humains géants ont été découvertes dans une montagne faisant partie de la Forêt Nationale de Cleveland (USA). En 2010, des archéologues ont découvert dans une grotte près de Lovelock dans le Nevada les restes momifiés de deux géants aux cheveux roux. Il s'agit d'une femme de 2,30 m et d'un homme de 2,80 m.

Cette découverte confirme les légendes des Indiens Paiutes de la région qui affirmaient qu'il existaient dans les temps anciens, des géants qui s'en prenaient régulièrement à leurs ancêtres et les mangeaient. Ils les avaient combattu et finalement exterminés.

Dernière trace, dans les montagnes du nord du Laos dans la province de Xieng Khouang, principalement sur un plateau autour de la ville de Phonsavan, sont éparpillées des milliers de jarres géantes, en pierre, pesant chacune plusieurs tonnes (jusqu’à 7 tonnes). Les jarres sont disposées en général en groupes qui peuvent comporter jusqu’à plusieurs centaines de jarres, au nombre total d'environ 3000 pots disséminés sur 90 sites et s’étendant sur près de 1000 km². Chaque jarre peut mesurer jusqu’à 3 mètres de hauteur, toutes étant taillées dans des blocs de roche, souvent en calcaire de grès, et parfois en granit. Certaines jarres sont ornées de bas-relief sur l’extérieur. La "Plaine des Jarres" est considérée comme vieille de 2000 ans, étant l’un des sites archéologiques les plus importants d’Asie du Sud-Est.

Les conditions sur la planète terre ayant changé de manière significative au moment de la destruction de l’Empire romain*, les Géants de cette époque ont dû faire face à des conditions de plus en plus difficiles, leur survie devenant progressivement intenable (leur santé a décliné à cause des changements environnementaux contaminant leur ADN, celui-ci se comportant comme une antenne fractale dans un champ électro-magnétique). Ce sont leurs traces qui ont été découvertes par les explorateurs après "l’Âge sombre", établissant même la spécificité de leur langage similaire au Basque, tout comme celui des Atlantes...

* Tous les phénomènes électriques vraiment particuliers d'alors ont été enregistrés dans les archives de l’Antiquité gréco-romaine. Ils ont semblé s’arrêter lorsque les archives ont repris après la destruction du monde antique.

Cf. en complément recherches de "La Smithsonian Institution", institution de recherche scientifique créée sous l'égide de l'administration américaine en 1846 et associée à un vaste complexe de dix-neuf musées et neuf centres de recherche, principalement situés à Washington D.C., ainsi que de l'auteur chercheur écossais controversé Graham Hancock à partir de l'observation des monuments mégalithiques et de l'étude des connaissances astronomiques et calendaires de peuples disparus (voir notamment ses livres "L'Empreinte des dieux" et "Civilisations englouties").

 

Aux origines des Géants

Selon la Tradition immémoriale, à l'époque de la Terre de Mû, la 3ème civilisation race racine humaine, une colonie extraterrestre aurait tenté le clonage d'êtres humains, leur intention étant de produire une espèce humaine parfaitement à leur goût, physique, psychologique et spirituel. Visage rond, souriant, imberbe, pas trop grand, de couleur pâle et surtout, docile... ces extraterrestres avaient sélectionné soigneusement des spécimens à reproduire correspondant à ces critères de perfection. Ce fût alors la création de la race Asiatique, d'une haute qualité génétique, et ce en laboratoire bio-génique semblable au "paradis terrestre". Malgré plusieurs croisements, cette race existe toujours sur Terre : ce sont les Chinois, les Japonais...

A une époque plus proche de la nôtre, en Atlantide (la 4ème civilisation race racine humaine), d'autres êtres extraterrestres tentèrent à nouveau l'expérience du clonage humain. Cette fois, pour des raisons de survie, ils essayèrent d'améliorer leur propre espèce qui venait d'un monde très différent de celui la Terre. Ils décidèrent de modifier leur génétique pour fabriquer des êtres mieux adaptés. Ils auraient ainsi créé une race supérieure à la leur. Ce fût cette création que l'on appelle  la race des Géants. Ces "fils" décidèrent alors d'éliminer leur "géniteurs" qu'ils considéraient comme trop "primitifs". Ceci engendra fatalement une guerre, qui causa finalement la destruction de l'Atlantide. Les premiers Pharaons d'Égypte seraient-ils des descendants de cette race perdue et disparue ?

Cette histoire pose la question des tentatives de clonage d'aujourd'hui. Chercherions-nous à notre tour le prototype d'humain idéal, tuant du même coup toute notre diversité. La manipulation génétique semble nous conduire à créer une nouvelle race, une race de mutants, que les interventions extraterrestres des dernières années semblent guider, inspirer nos hommes de sciences dans cette direction...

 

Des civilisations antiques très avancées

Les archives historiques contiennent de nombreuses réponses aux questions fréquemment posées sur "qui nous sommes", "d’où nous venons" et "comment nous avons évolué" pour devenir les êtres contemporains que nous sommes. C'est ainsi qu'existait sur le continent de Mu/Lemuria une civilisation très avancée, bien plus avancée qu'aujourd’hui, et ce sur une vaste masse continentale aujourd’hui engloutie par l’Océan Pacifique.

Mu s’étendait aussi loin à l’est que les Amériques et presque aussi loin à l’ouest que l’Asie de l’Est. Lorsqu’elle a été détruite par un cataclysme probablement vers 11 500 avant J.-C. (la destruction avait commencé par des éruptions volcaniques, des tremblements de terre et l’effondrement de ceintures de gaz souterraines), elle a été engloutie par l’océan et a sombré. L’eau était montée à un tel niveau qu’elle a englouti la terre presque jusqu’aux Andes à l’est. Il ne resta que quelques îles ici et là, qui sont toujours là aujourd’hui, remplies de statues, de statuettes, de repères, témoins d’une époque oubliée depuis longtemps.

Cette civilisation, volontairement ignorée dans notre monde occidental attaché à faire table rase de nos racines, occupe pourtant une place importante dans la mythologie des Aborigènes d’Australie, des Polynésiens et des Amérindiens. L’Atlantide et Mu ont également joué un rôle important dans la tradition occulte, le mystique/occultiste autrichien Rudolf Steiner (1861/1925) ayant parlé de colonies de la "troisième race" qui se sont installées jusqu’aux îles de Pâques. De nombreuses découvertes n'ont cessé d'être faites tout au long des siècles pour en démontrer l'existence, l'auteur britannique James Churchward (1851/1936) ayant de son vivant écrit de nombreux livres et donné de nombreuses conférences sur le sujet (voir notamment "The Lost Continent of Mu" paru en 1931). Il considérait le site de Nan Modal, sur l’île Pohnpei autrefois Ponape située dans les îles Carolines en Océanie, comme l’une des sept cités sacrées de Mu*. La plupart des sources affirment que les Lémuriens ressemblaient beaucoup plus aux humains modernes, vivant dans un paradis idyllique, essentiellement agraire, avec des forêts luxuriantes et une abondance de fleurs et d’arbres fruitiers, avec des principes féminins de partage, de coopération et de créativité qui ont donné naissance à une société pratiquement exempte de crimes, de conflits et de guerres. Les Lémuriens étaient végétariens et vivaient en harmonie avec la nature et les autres créatures. Ils avaient des sens psychiques et télépathiques très développés, qu’ils utilisaient dans des activités pratiques telles que l’horticulture.

Ils croyaient en la "primauté de l’esprit sur la matière" et étaient adeptes de la manifestation et d’autres techniques de "création de la réalité". Cette tradition survit d'ailleurs dans le concept polynésien de mana et dans diverses cérémonies de marche sur le feu dans toute la région.

Il est intéressant de noter que les plus anciens artefacts humains des Amériques ont été découverts sur l’île de Santa Rosa, au large de Santa Barbara, et datés d’environ 25 000 ans avant J.-C., ce qui correspond à peu près à l’époque où le continent de Mu a été créé. Mu, comme l’Atlantide, a fini par sombrer dans l’océan lors du déluge.

De son côté, l'auteur canadien franc-maçon d’honneur du 33e degré Manly Palmer Hall (1901/1990) dont l'œuvre la plus connue est The Secret Teachings of All Ages: An Encyclopedic Outline of Masonic, Hermetic, Qabbalistic and Rosicrucian Symbolical Philosophyc, grand amateur de Mu et de l’Atlantide, a beaucoup écrit sur le sujet, s’inspirant également du rosicrucien Sir Francis Bacon, qui voulait faire de l’Amérique la "Nouvelle Atlantide". Il a écrit que les rituels les plus secrets de l’initiation ancienne se déroulaient sous terre, dans des grottes profondes, dans des cryptes souterraines, loin des distractions de la surface. On les appelait les "grottes des mystères".

Ses ruines reposent de nos jours sur un lagon marécageux rempli de palétuviers, s'élevant à une dizaine de mètres de hauteur, ses tonnes de roches volcaniques noires étant empilées en forme de croix.

 

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L’homme de Marree… ou le géant de Stuart

Ce géoglyphe tel que nommé a été découvert en 1998. Il semble représenter un indigène australien chassant à l’aide d’un boomerang ou d’un bâton. Il se trouve sur un plateau à Finnis Springs, à 60 km à l’ouest de la commune de Marree, dans le centre de l’Australie-Méridionale, juste à l’extérieur de la zone interdite* de Woomera (son nom provient d'un mot aborigène "Eora" qui désigne une arme de chasse) qui s’étend sur 127 000 kilomètres carrés. La figure mesure 2,7 km de haut, avec un périmètre de 28 km, et s’étend sur une superficie d’environ 2,5 km2 (620 acres).

Bien qu’il s’agisse de l’un des plus grands géoglyphes du monde (après les lignes de Sajama), son origine reste un mystère. Il a été découvert fortuitement par un pilote de charter lors d’un survol le 26 juin 1998.

* Base de recherche australienne sur les fusées et les technologies spatiale et de l'aviation.

 

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S'il est un fait acquis, c'est que les traces écrites concernant les grands érudits du passé de notre "modèle" occidental - Platon, Socrate, Aristote, Ptolémée et autres penseurs, philosophes et astronomes de l’Antiquité - émergent presque toutes avec Johannes Gensfleisch zur Laden zum Gutenberg, dit Gutenberg (vers 1400/1468 - image 1), imprimeur allemand dont l'invention des caractères métalliques mobiles en Europe a été déterminante dans la diffusion des textes et du savoir jusque-là réservée à une petite coterie d'érudits, tout particulièrement religieux, liés au système érigé.

L'histoire du livre, et plus généralement de l'imprimerie, est une construction "récente" à l'aune de l'histoire des civilisations, datant de cette époque dite et proclamée de la "Renaissance et des Lumières", comme si jusqu'alors l'histoire de l'humanité avait fini par mourir de ses ténèbres. Comme si, tandis qu'on découvre sans cesse l'existence, reculée dans la nuit des temps, de sciences et d'arts importants, on refuse à quelques-unes des nations les plus anciennes la simple connaissance de l'écriture, en traitant leur culture de barbarie. Comment pourrait-il exister une civilisation sans une forme quelconque de littérature, sans annales ou chroniques ?

Or l’écriture la plus ancienne dont nous ayons connaissance remonte à environ 3000 ans avant J.-C., ayant probablement été inventée par les Sumériens qui vivaient dans de grandes villes à l’économie centralisée dans ce qui est aujourd’hui le sud de l’Irak. Les responsables des temples devaient en effet tenir un registre des céréales, des moutons et du bétail qui entraient ou sortaient de leurs magasins et de leurs fermes, et il était devenu impossible de se fier à la mémoire. Il avait de ce fait fallu  trouver une autre méthode, et les tout premiers textes furent des images des objets que les scribes devaient enregistrer sous forme de pictogrammes (Cf. image ci-dessus). Au cours de ses 3 000 ans d’histoire, le cunéiforme a été utilisé pour écrire une quinzaine de langues différentes, dont le sumérien, l’akkadien, le babylonien, l’assyrien, l’élamite, le hittite, l’ourartien et le vieux-persan.

 

Il se pourrait donc bien que cette période célébrée avec tant de foi et d'ardeur par ses chantres, au lieu d'éclairer avec objectivité sur l'Histoire, ait été réécrite à des fins proprement idéologiques libérales et marchandes*... Avant elle, les Croisades, les autres conquêtes et la mise en place d’ambassadeurs entre Royaumes et Nations avaient tout autant permis le foisonnement intellectuel, culturel, militaire et scientifique des diverses civilisations au cours des siècles, en témoigne l'épopée du marchand vénitien Marco Polo (1254/1324 - image 2), l’un des premiers grands navigateurs connus, sauf à ce que son histoire ait été également brodée. Les civilisations n'ont jamais été cloisonnées, s’imprégnant plus ou moins les unes des autres. Cela s’est fait notamment bien sûr via l’échange marchand, le vol et le pillage, le rançonnage de prisonniers et d'esclaves, mais aussi par la traduction de "livres" (tablettes, parchemins...) contenant le savoir comme l'initiation dans les Écoles dédiées à cet effet à l'enseignement sacré. Est-il utile de rappeler enfin l'opportune destruction de la bibliothèque d'Alexandrie (créée en l’an 283 avant Jésus Christ par Ptolémée Soter II, successeur d'Alexandre le Grand) qui, après de nombreux incendies et restrictions budgétaires l'ayant déjà considérablement vidée de sa substance, eut lieu en 639 quand les troupes arabes du calife Omar ont assiégé Alexandrie. La somme totale des œuvres sacrées et philosophiques, manuscrites ou imprimées, en quelque langue ou caractère que ce soit, depuis les hiéroglyphes idéographiques jusqu'à l'alphabet de Cadmus (phénicien) et au Dévanâgari (écriture alphasyllabaire utilisée pour le sanskrit, le prâkrit, le hindi, le népalais, le marathi et plusieurs autres langues indiennes), ne peuvent ainsi plus livrer leurs secrets, sauf à leurs gardiens possesseurs qui, précautionneux, les avaient mises à l'abri, à quelques endroits dans le monde...

* Cf. Le modèle européen décodé (2) L'idéologie mondialiste.

 

De la découverte de l'Amérique

Des fossiles d’empreintes humaines découverts en 2023 dans le parc national de White Sands au Nouveau-Mexique (États-Unis) ont été datés de 21 000 à 23 000 ans, ce qui renforce la théorie selon laquelle l’homme est arrivé sur le continent américain bien avant ce que l’on pensait.

Ces résultats estimés à l’aide de méthodes de datation au radiocarbone et publiés dans la revue Science confirment les conclusions d’une étude précédente qui avait été mise en doute par certains chercheurs gardiens de l'orthodoxie, basée sur des graines de plantes aquatiques. La nouvelle étude a utilisé d’anciens pollens de conifères provenant de la même couche sédimentaire que celle où les empreintes ont été trouvées, et a examiné des grains de quartz à l’aide d’une méthode qui révèle la date de leur dernière exposition à la lumière.

Les deux méthodes ont confirmé l’étude initiale, le pollen datant de 21 000 à 23 000 ans et le quartz ayant été enfoui entre 21 400 et 18 000 ans. Ces dates suggèrent de ce fait que l’homme a vécu en Amérique au cours de la dernière période glaciaire, et non qu'il était arrivé en Amérique il y a environ 16 000 ans au plus tôt, après la période glaciaire, et juste avant que le pont terrestre de Béring, qui reliait la Russie et l’Alaska, ne soit recouvert par l’élévation du niveau de la mer.

 

Dans ce monde de l'illusion qu'est la réalité terrestre ordonnancée par les maîtres-artificiers officiants - les "magiciens babyloniens" -, beaucoup n’ont pas hésité en Occident à s’approprier et reprendre pour leur propre compte ces œuvres venant d’Asie ou d’Orient, en les détournant de leur sens premier, contribuant à l'établissement des diverses fraudes en littérature, en art ou en histoire, qui n'ont eu de cesse de dénaturer le savoir en accroissant leurs comptes en banque. De même, comment donner blanc-seing à la probité scrupuleuse des Ordres de moines copistes détenant le savoir global de leur époque, sous la férule doctrinaire de la toute puissante Église romaine ? Comment écarter tout risque de perversion, de dénaturation ou d’effacement ? Sans oublier l'éternelle question de la traduction et de l’interprétation, tout particulièrement pour les différents textes religieux ? En témoigne la création de l’alphabet Cyrillique vers le IX° siècle par Cyrille ou Constantin le Philosophe et son frère évêque Méthode, "les Apôtres des Slaves", aux fins d'évangélisation. Le premier ouvrage publié par Gutenberg n'a-t-il pas été la Bible, dont l'aspect romancé et bricolé ne fait plus de doute*. Les imprimeurs, en majorité politiquement et religieusement orientés, tout comme de nos jours les éditeurs, se sont chargés de ce travail de formatage à plus grande échelle par la suite, qui ne peut aucunement prétendre au label de Connaissance avérée.

* Cf. Mythe, dogme & autres mystifications religieuses, Le Judaïsme décodé & L’Église romaine décodée.

 

Du fanatisme théologique et autre "reset" temporel

Les efforts surhumains des premiers Pères de l’Église pour effacer les traces de la mémoire civilisationnelle des temps dits antiques, préhistoriques, de l'homme ont tous échoué. La Vérité ne peut être tuée. C'est pour cette raison que n'ont pu être balayés entièrement de la surface de la terre les vestiges de l'antique Sagesse, ni à garrotter, bâillonner ou trucider tous ceux qui lui portaient témoignage. Avec cet an Un de la soi-disant Nativité qui a séparé les périodes pré-chrétienne et post-chrétienne, a été donné le signal pour l'érection de remparts multiples, destinés à prévenir tout retour possible, et même tout coup d’œil en arrière vers les religions du "passé", haïes et craintes parce que jetant une lumière trop vive sur l'interprétation nouvelle et voilée à dessein du nouveau dogme*. Des milliers de manuscrits ont ainsi été brûlés, des monuments réduits en poussière parce qu'ils portaient des inscriptions trop indiscrètes ou des peintures d'un symbolisme trop instructif aux hordes fanatiques qui ont erré parmi les cités ruinées de la haute et basse Égypte, dans les déserts et les montagnes, dans les vallées et les hautes terres, cherchant fébrilement pour les détruire tout obélisque ou pilier, tout rouleau ou parchemin, portant le symbole du Tau, ou tout autre signe que la foi nouvelle avait emprunté et s'était approprié. C'est pourquoi il est resté si peu des archives du passé, l'esprit de fanatisme des premiers siècles et du moyen âge chrétiens comme islamiques s'étant complu à se confiner, dès le début, dans l'obscurité et l'ignorance. Ces deux religions ont acquis leur prosélytisme à la pointe de l'épée, toutes deux ayant bâti leurs églises et minarets sur des hécatombes de victimes humaines entassées jusqu'au ciel. Et ceci se perpétue toujours de nos jours...

* Cf. L’Église romaine décodée.

 

C'est pourquoi toutes les découvertes, qu'elles soient de nature philosophique, scientifique ou métaphysique, ne peuvent être considérées que comme un stade, une étape dans l'histoire de l'humanité, et non comme une découverte estampillée de la vérité. Elles peuvent certes être ponctuellement justes, servant d'étalons pour attirer l'attention sur de nouveaux concepts. Cependant, parce qu'elles sont influencées et porteuses des caractéristiques culturelles de la société dont elles sont le produit tout en les façonnant, ainsi que sous la coupe des artifices des Maîtres de la Matrice cyber*, elles ne peuvent se substituer aux symboles de la nature et de l'univers, qui, logés dans les grands mythes civilisationnels, forment une chaîne ininterrompue jusqu'aux Temps dits anciens.

L'Occident n'a pas fait l'histoire du monde ni de l'Homme, pas plus l'Orient. Une grande religion n'établit jamais ses fondements sur du sable, mais résulte d'une autre plus ancienne ou même de plusieurs autres, qui elles-mêmes sont l'expression de pratiques rituéliques incluant purification et prières, et pourtant qualifiées de "païennes". L'approche scientifique empirique se concentre sur l'exploration des aspects quantitativement mesurables de l'environnement physique en ignorant les enjeux de l'esprit et de l'âme, soit le libre arbitre de l'être humain dans ses choix et la mise en œuvre d'engagements issus de valeurs qu'il considère comme fondamentales. De ce fait, tout système de connaissances, et à ce titre l'Histoire, quels que soient la société et les "grands hommes" qui l'ont engendré, est par nature limité. La vérité comporte toujours deux pôles, deux aspects complètement opposés qui existent dans le même espace. C'est pourquoi il convient de ne pas partir du principe que ce qui nous oppose n'est pas bon pour nous. C'est peut-être juste l'inverse. Plutôt que d'opposer ces aspects antagoniques, il serait judicieux de les considérer comme complémentaires.

* Cf. Le jeu de (fausses) pistes de la Matrice asservissante.

 

L'origine des civilisations expliquée par l'Histoire

L'origine de l'Univers et par là-même de l'Humain constitue une énigme, un mystère. Ainsi la Grande pyramide de Gizeh et les pierres massives des pyramides de l’Égypte ancienne (Cf. photos 1 et 2 du bandeau ci-dessus) qui ne cessent d'intriguer les gens depuis des siècles. Comment les hommes de l’époque ont-ils pu soulever des pierres aussi énormes sans les grues modernes ? Si cela semble être un exploit impossible, ils devaient posséder une technique ou des connaissances qui ont été perdues au fil du temps... Il en est de même pour le site de Baalbek (photo 3), également connu sous le nom d’Héliopolis à l’époque romaine, qui est situé dans la vallée de la Beqaa, au Liban, et dont certains chercheurs suggèrent que ses racines remontent à 12 000 ans. Connu pour ses fondations mégalithiques monumentales, en particulier celles du temple de Jupiter, elles comptent parmi les plus grands blocs de construction jamais vus dans le monde, trois blocs de calcaire connus sous le nom de "Trilithon" pesant environ 1 000 tonnes chacun. La façon dont ces pierres ont été taillées si finement et mises en place défie toute explication, de nombreuses spéculations faisant référence à l’existence d’une activité extraterrestre à Baalbek et même sur le fait que le site était une ancienne piste d’atterrissage pour des vaisseaux spatiaux. C'est aussi le cas au cœur de la nature sauvage du Montana où se trouve le Sage Wall, une étonnante structure mégalithique composée de blocs de granit massifs empilés de manière complexe en ligne droite sur une longueur de 84 mètres (photo 4). Elle atteint jusqu’à 8 mètres de haut, avec certains blocs pesant 91 tonnes, le mur continuant à environ 15 pieds (4,57 mètres) sous terre. De son côté, la Porte du Lion de Mycènes en Grèce (photo 5) occupe une place unique dans l’histoire en tant que seule œuvre monumentale de sculpture mycénienne qui subsiste, ayant la particularité d’être la plus grande sculpture de l’ère préhistorique conservée dans la mer Égée.

Il en est de même avec la colonne métallique connue dans le monde entier sous le nom de Pilier d’Indra, le roi des dieux et Seigneur du Ciel dans la mythologie védique de l'Inde ancienne, qui se trouve dans la cour de la mosquée Qutb Minar à Delhi en Inde (photo 6). Depuis plusieurs millénaires, elle résiste aux intempéries sans la moindre trace de rouille. La colonne est en effet composée de fer atomique sans impuretés de carbone et de soufre au niveau moléculaire. Or de nos jours, il est possible d’obtenir ce fer parfaitement pur par pulvérisation cathodique uniquement sous vide et en petites quantités. La hauteur du "pilier d’Indra" correspond à une maison de trois étages. De plus, le pilier s’enfonce dans la terre sur plusieurs dizaines de mètres. On ne sait pas comment, à l’aide de quels mécanismes, ce miracle a été réalisé et installé.

Quant au temple de Jagannath dans la ville de Puri en Inde qui surplombe deux pyramides à ses côtés, son toit monolithique suscite de nombreuses questions, son poids étant estimé à 20 000 tonnes (photos 7 & 8). Comment a-t-il été soulevé il y a des milliers d’années sur des dizaines de mètres pour l’installer au-dessus du temple ? L’histoire officielle de ce temple est d'ailleurs une sorte de "légende", nul n'en connaissant l'âge.

De leur côté, les glyphes de Shatial situés à Shatial, une station de transit d’importance archéologique sur la route du Karakoram dans le Gilgit-Baltistan au Pakistan (photo 9), couvrent des rochers et des blocs rocheux qui s’étendent sur plus de 100 km, interrogeant sur leur mode de réalisation. Et que dire de l’une des statues Moai de l’île de Pâques, partiellement sculptée mais jamais érigée (photo 10) ? Une telle statue aurait fait 21 mètres de haut et aurait pesé plus que deux Boeing 737 réunis... Les archéologues ayant d'ailleurs longtemps soupçonné que certaines "têtes" de l’île de Pâques avaient un corps enterré, des fouilles récentes ont montré que les "têtes géantes" de l’île de Pâques sont en fait des "géants de pierre" enterrés dont les têtes ont émergé de la terre (photo 11). Comment des statues de plusieurs tonnes ont-elles pu se retrouver à près de 20 mètres de profondeur, sur une petite île au milieu de l’océan ? Question sans réponse.

Et de même, que penser de l'immense mur mégalithique de l’île d’Arwad (photo 12), également nommé mur Jazirat (qui signifie "île"), qui se trouve sur la côte est de la Méditerranée en territoire syrien ? Il a été construit il y a des milliers d’années avec des pierres pesant des tonnes et mesurant jusqu’à 6 m de long et 2 m de haut, couvrant toute l’île en s’étendant sur plusieurs kilomètres, ou encore des énormes statues de la Porta de Nergal de l’ancienne ville de Ninive, aujourd’hui en Irak,

dont l'une était l’un des deux taureaux ailés également connus sous le nom de Lamassu qui gardaient l’une des différentes entrées de Ninive, datant de l’époque du roi Senaquerib (740-681 av. J.-C.), et qui malheureusement a été détruite (photo 13). Quant à la grande et mystérieuse structure en pierre appelée Masuda Iwafune ou Masuda Rock Ship (photo 14) située à Asuka, au Japon, elle est taillée dans un seul morceau de granit et se distingue par sa forme inhabituelle (la pierre mesure environ 11 mètres de long, 8 mètres de large et 4,7 mètres de haut, pour un poids estimé à 800 tonnes), qui ressemble à un bateau ou à une embarcation. Malgré des études approfondies, la date exacte de sa construction, sa fonction et les méthodes utilisées pour la sculpter sont encore inconnues.

Sans oublier la Cité inca du Choquequirao (photo 15) située au sud du Pérou et perchée au-dessus du canyon de l’Apurimac à 3050 m d’altitude présente des similitudes frappantes tant dans son organisation structurelle que dans son architecture avec celle du célèbre sommet Machu Picchu, ce qui lui vaut d'être connue comme sa "sœur jumelle". Ses ruines ne sont plus accessibles qu’en marchant 4 jours pour atteindre le sommet de la montagne, étant estimées à environ trois fois la taille du Machu Picchu... Et que dire du mystérieux site turc de Göbekli Tepe dans la chaîne montagneuse du Germuş en Anatolie du sud (photo 16), dont les archéologues ne savent toujours pas résoudre l’énigme. Il précède de plusieurs milliers d’années les grandes civilisations de la Terre et tout y est mystérieux, des techniques utilisées pour ériger les monolithes au fait qu’aucun établissement humain n’a été découvert à proximité de ce temple. Il en est de même pour l'avenue mégalithique de Hartashen, cachée dans les profondeurs du terrain accidenté de l’Arménie, l’une des merveilles antiques oubliées du monde (photo 17). Vieux de 6 000 à 8 000 ans, ce site mystérieux est constitué d’imposants monolithes de pierre méticuleusement alignés dans le paysage, dont la véritable raison (chemin cérémoniel ? ancien observatoire ?) reste un mystère.

 

Compte-tenu de la quasi absence d'élément de preuve irréfutable, l'histoire du monde varie inévitablement en fonction de l'œil qui la regarde. Ainsi chacun, historien, scientifique, philosophe, religieux... a une vision différente du monde sur laquelle il spécule, qui se partage sur le plan philosophique entre deux grands courants : l'idéalisme et le matérialisme. En réalité, chacune des visions est exacte, car définie par rapport à l'état du moment de leurs connaissances et expériences, le débat portant alors sur la fiabilité des instruments et outils d'observation et de mesure.

 

Nous ne pouvons de ce fait exclure que l'évolution ait résulté d'une intention comme nous ne pouvons exclure le contraire. Avoir la foi, c’est croire, sans douter, même si cette foi est souvent bâtie sur de fausses vérités, des illusions, des mensonges, la science n'y échappant pas plus que la religion ou les philosophies existentielles. Prendre parti, c'est rester enfermé dans le labyrinthe des contradictions qui nous étreignent, découlant des croyances et conditionnements instillés comme des illusions*. Cependant, si ces croyances abusent nos égos, elles n’abusent jamais nos âmes, qui ne cessent de nous interpeller à nous dégager des perspectives erronées qui nous dupent, notre monde fini n'étant que l'ombre éphémère du grandiose infini. Un œil averti par le discernement - le juste équilibre entre la raison du mental et l'intuition du cœur - a ainsi toujours la possibilité de remonter "le temps"*², pour rencontrer les hommes des temps anciens et apprendre de leur témoignage, pour pousser la porte des Écoles du Mystère de la Vie et y découvrir les lois universelles immuables qui ont toujours continué à se transmettre oralement. Par cette autre vision de l'homme, de la vie, de l'univers et de ses lois, toutes les traditions humaines s'éclairent les unes les autres, redonnant à chacun sa juste place : le Scientifique explique l'univers physique, le Religieux explique l'univers à travers le dessein d'un Être suprême tel que défini par son dogme, le Sage explique l'univers par la conscience humaine.

* Cf. Fabrication de l'illusion et voie de sortie.

Cf. Fin de cycle (1) Fin du temps ou fin des temps ?

 

L'histoire académique enseignée depuis la Révolution des "Lumières" est basée sur la raison, se voulant factuelle, objective, la partie spéculative étant affaire de sensibilité d'interprétation suivant le prisme politico-philosophico-culturel emprunté. Comme toute autre approche qualifiée d'alternative est immédiatement déconsidérée sinon dédaigneusement écartée car jugée au mieux de farfelue au pire de sectaire, de conspirationniste et de complotiste, elle mérite de ce fait attention. Reste bien entendu à faire le tri entre le bon grain et l'ivraie, les pièges tendus par les cerveaux pathogènes des artisans concepteurs du système dévoyé* étant nombreux...

* Cf. Les acteurs de la Matrice falsifiée.

 

Les disciplines contributives à la reconstitution de l'Histoire

Les différentes disciplines participant par leur utilité à l'établissement de l'histoire forment le concept de science auxiliaire, évoqué à partir du XVIII° siècle en Allemagne sous l’impulsion de "l’école de Göttingen"*, accompagnant l’essor de l’histoire et son établissement comme science autonome. En France, au XIX° siècle, un cloisonnement profond sépare l'histoire enseignée et la recherche historique. Elle sera remise en cause au cours du XX° siècle, voyant l'élargissement de la discipline historique par l’apparition de l’histoire sociologique et de l’histoire économique. C'est après la Seconde Guerre Mondiale qu'apparait le concept d’histoire pluridisciplinaire au sein de ce que l'on appelle aujourd'hui les sciences humaines. Les "sciences auxiliaires de l'histoire" sont nombreuses :

- L’archéologie, étude des vestiges du passé ;

- La chronologie, étude des dates et des événements historiques ;

- La diplomatique, étude de la structure des documents officiels ;

- L'épigraphie, étude des inscriptions réalisées sur des matières non putrescibles telles que la pierre, l’argile ou le métal ;

- La géographie, étude des phénomènes physiques, biologiques et humains qui se produisent sur le globe terrestre ;

- La géologie, étude de la Terre ;

- La généalogie, étude des liens de parenté ;

- L'héraldique, étude des blasons et armoiries ;

- La numismatique, étude des monnaies ;

- La vexillologie, étude des drapeaux ;

- La paléographie, étude des écritures manuscrites anciennes ;

- La codicologie, étude des manuscrits reliés en codex ;

- La papyrologie, étude des documents provenant de divers sites de l'Égypte.

Chacune de ces sciences possèdent leurs méthodes et outils spécifiques. Ainsi les méthodes de datation employées en archéologie, notamment la méthode carbo-nucléaire et la dendrochronologie (datations de pièces de bois à l'année près en comptant et en analysant la morphologie des anneaux de croissance ou cernes).

* C'est l'historien allemand Johann Christoph de Gatterer (1727/1799) qui, en 1761 dans "Handbuch Der Universalgeschichte" (Manuel d'Histoire universelle), établit les sciences auxiliaires en incluant la chronologie, la diplomatique, la généalogie, la géographie, l'héraldique et la numismatique.

 

Le matériau chronologique

 

Il est difficile d'échapper à la chronologie - soit le temps linéaire - relatant l’histoire des civilisations. Son horizontalité, pour instructive soit-elle, ne représente en fait que le "poids" relatif d’une civilisation par rapport aux autres à une époque donnée.

Celui-ci a été établi John B. Sparks * entre les deux guerres mondiales, un historien américain du XIX° siècle, pour la période s'étalant de -2.000 à 1.800 ap. J.-C. Il met en perspective quelques éléments intéressants :

– La fin de Mycènes, cité antique préhellénique, qui laisse sa place à la civilisation grecque ;

– La puissance devenue relative de l’empire égyptien vers 1.300 avant Jésus-Christ, dépassé par la civilisation du bassin mésopotamien ;

– L’hégémonie de la civilisation romaine, qui apparait comme la civilisation la plus influente sur le reste du monde, toute époque confondue, avant que de faire place à l’Empire byzantin ;

– Le déclin rapide de l’Empire perse au profit des Grecs, dû aux conquêtes d’Alexandre le Grand le Macédonien ;

– L’Empire chinois qui, sans dominer par rapport au reste du Monde, est demeuré stable durant plus de 4.000 ans, au même titre que les Hindous, dans une échelle moindre ;

– Les deux pics de l’Empire mongol (vers 450 et 1.300), correspondant aux règnes d’Attila et de Gengis Khan ;

– La civilisation arabe qui naît au VIe siècle mais dont la suprématie n’est, au final, pas si longue que ça.

* Sparks a poursuivi son œuvre en publiant au moins deux autres Histocartes : l'Histocarte de la religion et l'Histocarte de l'évolution.

 

L'"Histocarte"

Imprimée pour la première fois par l'éditeur Rand McNally en 1931, cette infographie géante et ambitieuse établit le "portrait général" d'immenses sujets : l'histoire du monde, toutes les écoles de la philosophie, toute la physique moderne, dont les grandes lignes étaient distillées de façon à ce que même la personne la plus ignorante puisse les comprendre.

Longue de 1,58 mètre, vendue pour un dollar, pliée dans un paquet vert sur lequel étaient inscrits les avis des historiens et des critiques, elle était présentée comme "claire, vive et ne rentrant pas dans tous les détails", tout en étant capable de "vous fasciner" en présentant "le vrai portrait de la marche à la civilisation, des antiques cabanes boueuses au panorama de la vie aux États-Unis de nos jours, en passant par le glamour monarchique du Moyen-Age."

L'infographie met en avant la domination des différents peuples, en utilisant une couleur pour montrer comment leur pouvoir a évolué au fil de l'histoire. On ne sait pas vraiment ce que la largeur des traits colorés est censée indiquer. Il est possible que Sparks voyait l'histoire comme un jeu à somme nulle, où les peuples et les nations luttent et s'entretuent pour des parts de ressources limitées. Le grand festin de la prédation de notre 3ème dimension d'appartenance*...

* Cf. Compréhension structurelle de la Matrice asservissante.

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Cette période "classique" semble en l'état de la recherche scientifique la plus "sûre" quant à sa véracité, même si nous ne pouvons éviter quelques manipulations dénoncées par des théories comme le "récentisme". La période antérieure est plus délicate, l'évolution des techniques pouvant éclairer sa compréhension même si là encore la prudence s'impose.

 

De la nouvelle chronologie : le "récentisme".

Cette théorie a été initiée par l'académicien russe Anatoli Fomenko* (photo 1) pour débusquer les manipulations de l’Histoire, comme par exemple distinguer le plagiat de l’original des doublons historiques. Elle est tout naturellement considérée par le monde académique universitaire, soit la communauté " orthodoxe " des historiens, mathématiciens et astronomes, comme relevant de la pseudo-histoire, du négationnisme voire de l’imposture.

Elle affirme que la chronologie universellement admise des faits historiques — initiée par le philologue (étude d'un langage à partir de documents écrits), chronologiste et historien français Joseph Juste Scaliger (1540/1609 - image 2) et le savant jésuite Denis Petau dit Petavius (1585/1652) - serait incorrecte. Elle se fonde pour cela sur les mathématiques par le calcul de la répartition quantitative dans le temps des citations de faits historiques dans les sources écrites de différentes époques (ainsi le "principe de la corrélation des maximums", comparant le nombre de pages consacrées à telle ou telle année dans une série de chroniques historiques). Une autre partie de l'analyse repose sur l'étude des ressemblances entre les toponymes de différentes langues, ainsi que sur le style rédactionnel des auteurs. Cette théorie se fonde sur les idées du scientifique russe (chimiste et astronome) Nikolai Alexandrovich Morozov (1854/1946 - photo 3), prolongeant les critiques de l'approche historique traditionnelle du physicien philosophe Isaac Newton (1643/1727) et de l'historien allemand Theodor Mommsen (1817/1903 - photo 4).

Selon Anatoli Fomenko, l'histoire antique ne serait qu'une vaste invention des érudits Jésuites occidentaux, au service des intérêts de l’Église romaine et des pouvoirs institutionnels confrontés à l'évolution de la conscience humaine aux XVIIe et XVIIIe siècle, et qui a débouché sur la chronologie occidentale fixée en 1582 par le pape Grégoire XIII. Le point de départ de cette théorie voyant l'histoire démarrer en "l'an Mil" de notre ère est l'idée que des textes auraient été mal interprétés par les historiens : certains textes (exemple : les croisades et la guerre de Troie) sont considérés comme se rapportant à des périodes différentes, alors qu'ils parleraient du même sujet, mais rédigés par des auteurs différents et dans des langues différentes, avec toutes les modifications que cela entraîne (comme le nom des villes). C'est ce qui aurait contribué à étendre l'histoire, beaucoup plus resserrée en fait. De ce fait, les histoires prétendument anciennes de Grèce, Rome, Égypte, Chine ne seraient que des réécritures tardives, effectuées à la Renaissance à partir du récit d’événements survenus en réalité au Moyen Âge. Pour le démontrer, il établit des lignes chronologiques parallèles, comme les dates des règnes de princes Wisigoths, d’Empereurs byzantins et de pontifes romains, sur lesquelles il applique ses méthodes statistiques, c’est-à-dire le compte des noms et des événements décrits et son expression dans des graphiques. Les résultats sont censés coïncider avec ceux des calculs astronomiques.

Si ces travaux scientifiques apparaissent sous bien d'aspects pertinents, relayés en France par quelques auteurs et mouvements*², certaines interprétations semblent d'une part approximatives (le nombre d’année rajoutées par l’Église pouvant aller de 300 à 800), d'autre part nourries d'un indéniable parti-pris culturel qui en relativise la légitimité : existence d’un ancien empire moscovite mondial à l’origine de toutes les civilisations ; existence d’un christianisme primordial orthodoxe russo-byzantin à l’origine de toutes les religions ; fiction de l'antiquité ; le patriarcat orthodoxe est le modèle de société à l’origine de toutes les religions et civilisations, et non le matriarcat.

* Académicien russe de l'Académie des sciences de Russie, docteur ès sciences, professeur, chef de la chaire de géométrie différentielle et des applications de la faculté mécanico-mathématique de l'université de Moscou. Il a reçu en 1996 le prix d'État de la Fédération de Russie (mathématiques).

Les trois relais majeurs sont l’Historien récentiste François de Sarre, le Mouvement Matricien (qui y trouve une justification du matriarcat spolié par le patriarcat qui a écrit sa propre version histoire pour justifier sa domination), et le professeur de philosophie et écrivain Pierre Dortiguier.

 

Le matériau de la cyclicité

 

Si dans la dimension de réalité qui caractérise le fonctionnement terrestre, la 3ème dimension, le temps est relatif, et de ce fait tronqué, il en est tout autrement à l'échelle cosmique, le temps y étant absolu (notion de temps fractal)*. Il en découle que notre approche de l’histoire de l’humanité est singulièrement biaisée, sa linéarité d'apparence - passé présent futur - empêchant une lecture et par-là même une compréhension plus subtile. Ce leurre cache le fait qu'il existe une infinité d’espace-temps à l’intérieur d’espace-temps, contribuant de ce fait au formatage des esprits par l'illusion des passé-présent-futur. C'est pourquoi les géologues, anthropologues et historiens, non seulement constatent et racontent l’histoire de la Terre, mais passent un temps fou à vouloir la rendre cohérente, ce qui est totalement vain. Même s'ils ont beaucoup d’imagination pour la justifier, elle ne cesse de se dérober à l'aune de l'évolution de la conscience et de la remontée des mémoires enfouies de certains êtres humains qui, lentement mais sûrement, finissent par se réveiller. Aussi les "experts" ont beau découper l'histoire en dates, en tranches, en faits et lieux précis dans une approche linéaire du continuum espace-temps, l'histoire de la Création, Ce Qui Est, est racontée à travers des cycles, autrement dit des "frises chronologiques", qui correspondent à l'évolution par paliers de la conscience humaine. Elle se traduit par des créations découlant de nos pensées et actes, ceux-ci se traduisant dans les faits constatés.

Ces cycles correspondant à l’évolution de la conscience humaine, leur représentation illustre sa lente mais irréversible mutation, toujours plus élevée, en dépit des fracas et chaos constatés liés à la manipulation par les acteurs politico-religieux de la matrice falsifiée*². Cette représentation, ou traduction, indique le sens de la vie, c'est-à-dire l'intention - bonne ou mauvaise - qui se cache derrière. C'est pourquoi il y a une répétition, une similarité entre les frises, bien que traduite dans un contexte différent.

* Cf. La falsification de la réalité en 3-D & Fin de cycle (1) Fin du temps ou fin des temps ?

Cf. Les acteurs de la Matrice falsifiée.

 

De ce fait le temps sacré de l'univers et le temps profane de la réalité terrestre, regardés sous l'angle historique ou scientifique, ont leurs réalités propres, qu’il est absurde d’opposer. Nous savons bien d'instinct que si nos corps et notre mental égotique sont soumis au temps profane, nos cœurs, expression de l'âme, participent au temps sacré. Qui plus est, ce que nous percevons comme l'histoire est modifiable par ceux qui l'enseignent ou, plus exactement, par ceux qui décident de ce et comment il convient d'enseigner. L'histoire racontée est constitutive de nos illusions, et comme rien n'est "réel"*, tout est dans la perception de notre vécu. Ainsi, si nous sommes convaincu que les "princes" qui nous gouvernent sont apparus de façon aléatoire et qu'ils ont conquis ce pouvoir par la seule vertu de leurs capacités, talents, mérites et efforts, nous voyons le monde et la direction que nous devons prendre sous un certain angle. Si, en recherchant d'autres sources nous découvrons que la réalité est toute autre, notre vision change du tout au tout...

En résumé, bien que les manuels d’histoire présentent souvent les informations comme si elles étaient gravées dans le marbre et fermement établies, les recherches récentes sur les civilisations anciennes révèlent un fait embarrassant qui semble toujours échapper à l’analyse des experts, celui qu'aucune culture n'a prétendu être la première. Les civilisations qui se sont formées et, dans certains cas, ont disparu, semblent presque toujours avoir une histoire. Dans pratiquement tous les exemples historiques, quelqu’un est venu avant. Aussi loin que l’on remonte dans le temps, les légendes et les mythologies de fondateurs mystérieusement arrivés d’ailleurs ne cessent, invariablement, de remonter à la surface.

* Cf. Fabrication de l'illusion et voie de sortie.

 

Le matériau des mythes

 

L'explication des cycles d'évolution de la conscience humaine se trouve dans les grands mythes qui traversent les civilisations humaines, celles-ci reposant tant sur un ordre effectif, l’ordre socio-politique - l'ordre du corps social -, que sur un ordre de croyances organisé en "mythologie", l’ordre symbolique. Là résident les clés explicatives de la structuration et du fonctionnement de l'univers, Ce Qui Est*. Ces mythes, présentés généralement aux êtres humains sous forme d'histoires extraordinaires, sont à l'image des grandes productions hollywoodiennes : ils livrent tout le savoir - les règles du Jeu de la Vie -, mais de manière codée, de telle façon que l'être humain ébloui par l'illusion psycho-émotionnelle créée ne perçoive pas plus loin que le bout de "son nez". En effet, leurs concepteurs - la prêtrise érudite au service des familles royales régnantes - servent le système asservissant qui contrôle l'humanité depuis une autre dimension de réalité*². Connaissant parfaitement les règles de fonctionnement nécessaires à l'équilibre de l'Univers, soit les forces (polarités) de l'électromagnétisme, du nucléaire et de la gravité, ils donnent tout l'explicatif tout en le dissimulant. Sans mode d'emploi de décryptage, sans discernement et sous anesthésie de l'opération de manipulation et de contrôle mental des forces asservissantes, l'être humain demeure dans sa condition d'esclave des prédateurs terrestres comme trans-dimensionnels qui l'asservissent*³.

* Cf. Évolution de civilisation (1) Le mécanisme de l'Univers ; Évolution de civilisation (2) Les synchronicités de l'Histoire ; Évolution de civilisation (3) Mythe de la modernité, risques et lois d'évolution universelle.

Cf. Compréhension structurelle de la Matrice asservissante.

Cf. Contrôle mental & Le modèle pyramidal décodé.

 

Quelques grands mythes civilisationnels du monde occidental

L’ordre symbolique de la civilisation occidentale a évolué au cours du temps, sans qu’aucune strate ancienne ne disparaisse totalement. Il s'est nourri tout particulièrement des mythes des grandes civilisations antiques - Égypte, Sumer, Assyrie, Babylone, Perse -, qui ont pour point commun, à l'exception de la Chine, de l'Inde et des civilisations précolombiennes (Maya, Inca, Aztèque) localisées dans une autre partie du monde, leur proximité géographique dans le bassin dit du Proche et du Moyen Orient*, immense carrefour qui possède des frontières maritimes et terrestres avec l'Europe, l'Afrique et l'Asie. Épicentre entre Orient et Occident, cet espace de transit contrôle de grands itinéraires commerciaux, maritimes et terrestres, et de ce fait est un point crucial de diffusion de mèmes*² politico-religieux. Ces axes d'échanges constituant des enjeux majeurs pour la circulation des marchandises entre l'Europe et les Indes puis l'Europe et l'Extrême-Orient, leur contrôle était incontournable pour les familles puissantes au pouvoir. Il est le berceau civilisationnel du monde occidental impulsé par la Grèce puis Rome, qui va le nourrir de ses référentiels tant sacrés que païens, sous l'influence incontournable du "calendrier cosmique", la compréhension du mécanisme de fonctionnement de l'univers se révélant incontournable de l'explicatif historique.

* Proche-Orient et Moyen-Orient ne constituent pas des espaces géographiques clairement distincts : on considère généralement que le terme "Proche-Orient" désigne les régions de l'Est méditerranéen qui va de l'Égypte à la Turquie et que le Moyen-Orient englobe une entité géographique beaucoup plus vaste qui recouvre l'ensemble des pays de l'Asie de l'Ouest et du Sud-Ouest, de la Turquie à la frontière entre l'Iran et le Pakistan, et qui comprend la Turquie, l'Iran, l'Irak, la Syrie, le Liban, la Jordanie, la Péninsule arabique (avec l'Arabie saoudite, les Émirats arabes Unis, Oman, le Yémen, le Qatar, Bahreïn et le Koweït), l'Égypte, l'État d'Israël ainsi que les Territoires palestiniens.

L’Oxford English Dictionary définit le mème comme "un élément d'une culture (prise ici au sens de civilisation) pouvant être considéré comme transmis par des moyens non génétiques, en particulier par l'imitation".

Civilisation égyptienne

 

Osiris, Isis et Horus

Civilisation mésopotamienne

Enki et Enlil

(Épopée de Gilgamesh,
Genèse d'Eridu, Atrahasis)

Civilisation grecque

 

Théogonie d'Hésiode et les épopées d'Homère (L'Iliade et l'Odyssée)

Civilisation romaine

 

Adaptation des mythes grecs et égyptiens

Civilisation judéo-chrétienne

La Bible (Ancien Testament)

La légende de Jésus-Christ

 


Quand on sait que tous ces textes anciens présentés comme mythes nous sont parvenus sur une période de plusieurs millénaires, on ne peut qu’admirer les auteurs anciens qui ont consigné, copié et traduit les premiers textes, sans doute souvent sans savoir ce que certains termes et expressions signifiaient à l’origine, mais en s’en tenant toujours obstinément aux traditions pertinentes pour garantir l’exactitude du compte rendu.

D’ores et déjà, les avancées en astronomie, anthropologie, archéologie et égyptologie tendent à conforter nombre de chercheurs sur l’origine et de la création de l’homme, basées notamment sur des traductions d’écrits sumériens. La connaissance de l’existence du Dieu unique qui a dû créer les créateurs baptisés "Anunnaki",  ainsi que la prise de conscience que la vie englobe plus qu’un simple plan d’existence matériel dans lequel nous nous trouvons actuellement, est protégé secrètement par les sociétés secrètes. Cette explication sumérienne est extrêmement fascinante, et quelle que soit la façon dont on la considère, elle est beaucoup plus rationnelle et appropriée que beaucoup de théories scientifiques connues aujourd’hui et dans le passé.

Elle voit les premiers établissements sur Terre fondés par des astronautes venus d’une autre planète, de nombreux textes faisant constamment référence au point de départ qui est toujours le suivant : il y a 432 000 ans, avant le déluge, c’est-à-dire le grand déluge, "les Respectés" sont venus sur Terre "de leur propre planète" avec des fusées.

 

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De l'explication du système solaire selon la civilisation sumérienne

Au début était Apsou (le soleil), Moummou (Mercure) et Tiamat (planète inconnue de nos astronomes). De l’union du soleil et de la planète Tiamat naquirent Lahmou (Mars) et Lahamou (Vénus). Ensuite naquirent Anshar (Saturne) et Kishar (Jupiter). De Saturne et Jupiter naquit Anou (Uranus), qui engendra à son tour Noudimmoud/Ea (Neptune). Gaga (Pluton) quant à lui naquit de Saturne. Dans la profondeur du ciel, Mardouk naquit et fut attirée dans le système solaire par Neptune. Elle pénétra notre système solaire dans le sens inverse du système orbital. Sous l’effet gravitationnel de Saturne et Jupiter, sa trajectoire s’incurva vers Tiamat. En passant à sa proximité, un des quatre satellites de Mardouk brisa Tiamat. Sous le choc, dix de ses satellites furent détruits également. Ce violent événement cosmique créa la ceinture des astéroïdes entre Mars et Jupiter, donnant naissance également aux comètes de notre système solaire. Après la collision, ce qui restait de la planète Tiamat ainsi que Kingou, seul satellite à ne pas avoir été pulvérisé, furent projetés sur une nouvelle orbite plus proche du soleil, donnant ainsi naissance à la Terre et à la lune. Quant à Pluton, qui jusqu’alors était un satellite de Saturne, elle projetée hors de son champ gravitationnel pour occuper la place que nous lui connaissons.

Cette genèse expose clairement comment furent créées la ceinture d’astéroïdes, les comètes et la mise sur orbite des planètes de notre système solaire tel que nous le connaissons. Les cartes du ciel sumériennes respectent la taille, l’ordre et la position respective des planètes. Voilà donc résolue l’énigme des deux planètes inconnues : Tiamat, qui donna la Terre et la Lune, et Mardouk. Ce qui semblait être une mythologie dans les panthéons grec, romain, babylonien, égyptien, védique, cananéen, hittite, houritte, akkadien, assyrien et même chinois, est issu originellement d’une authentique chronique astronomique de notre système solaire.

Comment de telles connaissances pouvaient-elles exister il y a 6000 ans ? D’autre part, au vu des sciences astronomiques et mathématiques de Sumer, il ne semble pas que la planète Mardouk soit un mythe ou un simple symbole. Même si chaque objet céleste est présenté comme une divinité, il correspond toujours à une réalité astronomique précise.

 

De l'origine de l'homme selon la civilisation sumérienne

La Déesse primordiale de la civilisation sumérienne est Nammu*, dont le nom signifie ''la totalité des secrets''. Ecrit avec le signe SIG4 en sumérien, il correspond aux noms akkadiens nabnitu et bunnannu qui dérivent de la racine banu qui signifie "créer". La Déesse correspond à Tiamat dans la mythologie babylonienne. Elle est la déesse de la création, incluant aussi les dieux eux-mêmes, ayant donné naissance à An (le Ciel) et Ki (la Terre), les premiers dieux représentant Abzu, l'océan d'eau douce souterrain dans la mythologie sumérienne. Elle est appelée entre autre "Mère primordiale qui a donné naissance à tous les dieux", "Mère qui a donné naissance au ciel et à la terre", "Dame de la Création", "la Matrice" ou encore "La Créatrice".

Nammu est également la mère d'Enki et de Enlil, les fils qu'elle a eu avec An. Bien qu'étant au-dessus de la Triade en terme d'origine (elle engendre), elle ne joua jamais un rôle aussi important que ses fils dans l'histoire des dieux du pays de Sumer. Le texte néo-sumérien Enki et Ninmah rapporte comment elle a eu l'idée de la création de l'homme, mission qu'elle a confiée à son fils Enki. Le culte de Nammu était à son apogée dans la région de Ur vers 3500 av. J.-C. On retrouve le nom de Nammu dans le nom du fondateur de la troisième dynastie d'Ur, Ur-Nammu.

* Si Nammu est la lecture traditionnelle du nom, il existe aussi des variantes comme Namma, Lammu ou Nammak.

 

L’histoire de la civilisation occidentale dans son armature symbolique se compose de trois grandes strates superposées :

1. Les paganismes anciens répandus en Europe, liés entre eux par une affinité qui a permis de les classer, à partir des langues et des mythes, dans un ensemble hypothétique dit "indo-européen". Ces paganismes sont caractérisés par un culte de la déesse-mère originelle ( ou Gaïa, la Terre divinisée des Grecs, la ville des Romains...) et par la tripartition (division de la société en trois classes : oratores, bellatores, laboratores, soit clergé, noblesse militaire, travailleurs du tiers-état) qui se répercute dans les croyances sous forme d’agencements trinitaires.

Ces germes idéologiques et mythiques sont toujours vivants, servant dans la définition de principes psychologiques (les "complexes", dont celui d’Œdipe), vivant dans les naturalismes comme les matérialismes modernes, et s’insinuant dans les croyances, sous forme d’entités féminines (ainsi la Sophia des orthodoxes, la Vierge Marie des catholiques, et les allégories de la morale laïque : la Liberté, la raison, la France, la République, etc...). La division tripartite patriarcale (et maçonnique) quant à elle se retrouve partout, de la Trinité chrétienne aux traditionnelles trois parties de la dissertation scolaire et universitaire.

2- Le christianisme, religion de synthèse, qui a balayé les paganismes en s’élevant au sommet du pouvoir comme religion d’État, unique et obligatoire, avec le décret pris par Théodose en 380*. Le christianisme est une religion venue d’Orient, issue du judaïsme, mais qui s’est répandue à partir de là, d’Est en Ouest, dans l’empire romain, en investissant les territoires païens et en intégrant partiellement leur culture.

Si le judaïsme nourricier est essentiellement une religion fondée sur l’archétype du Maître, du Guide et du Meneur, c’est-à-dire l’archétype du Père et son attribut fondamental, la Loi, la Règle, l’Ordonnance par injonction divine*², le christianisme de son côté en a infléchi les traits , son histoire se caractérisant alors par des oscillations entre ses deux origines : renaissance carolingienne, renaissance romane tardive, grande Renaissance européenne du XIII° au XIV° siècle, siècle des Lumières, qui manifestent toutes la résurgence d’une forme ou d’une autre de l’Antiquité préchrétienne ; et en sens inverse, des Réformes (exemple réforme cistercienne) qui manifestent un retour aux sources, prenant parfois l’aspect de sécessions comme chez les Cathares, les Vaudois ou les adeptes du Libre-esprit, avant les grandes Réformes des Réformateurs du XVI° siècle, donnant naissance aux églises Réformées.

3- La "Modernité", qui résulte de la transformation du savoir technologique et du principe d’échanges, porteur de profit, qui prendra le nom de capitalisme. Si la Modernité met en avant le principe d’Humanité, son idéal proclamé étant une culture humaniste plaçant l’Homme au sommet de ses préoccupations, ce choix anthropologique reste un idéal pour ne pas dire un artifice illusoire, compte-tenu des nombreuses déviations constatées : culte de l’argent, culte du pouvoir, excitations consuméristes ou hédonistes. L’idéal de Liberté est bel et bien manipulé en liberté des loups dans la bergerie, et l’ultralibéralisme parachève l'imposture en faisant perdre leurs repères aux plus faibles pour le plus grand bénéfice de ceux qui ne les ont pas perdus*³.

* Cf. L’Église romaine décodée.

Cf. Le Judaïsme décodé.

Cf. Le modèle européen décodé (2) L'idéologie mondialiste & Évolution de civilisation (3) Mythe de la modernité, risques et lois d'évolution universelle.

 

La théorie de l'évolution

 

L'approche conventionnelle de l'origine des civilisations va puiser dans ces trois matériaux pour livrer l'explicatif de l'évolution de l'humanité à travers les millénaires. Au-delà d'un parti-pris idéologique, la trame explicative demeure liée à une lecture horizontale circonscrite aux limites de l'espace-temps de la dimension de réalité terrestre, la 3ème dimension. Aussi riche soit-elle dans la narration comme la démonstration, elle circonscrit le contenu des mythes à des allégories fantaisistes, ne leur accordant aucun crédit scientifique si ce n'est de traduire le besoin naturel mystique de l'être humain. Pourtant y sont logées des clés explicatives fondamentales, sauf à prêter à leurs auteurs une inspiration stupéfiante dans leur délire créatif... C'est pourquoi ouvrir l'Histoire à une autre lecture, qui plus est à l'aune des nouveaux apports des sciences auxiliaires, permet de sortir de l'ornière, même si elle défie la raison telle que formatée par le système prédateur.

 

La théorie officielle

La théorie officielle est construite autour de deux axiomes.

D'abord celui de la Bipédie Initiale, qui dit que l'Homme, comme tous les vertébrés, proviendrait d'un ancêtre commun bipède, lui-même issu d'un Homoncule marin archépagoge. Pour ce faire, elle s'appuie sur la paléontologie, l'embryologie, l'anatomie comparée et la phylogénie. Après l'apparition de la vie sur Terre et la naissance des premières amibes, certains vers marins se seraient transformés en vertébrés, voyant la tige dorsale de ce ver marin acéphale se transformer en colonne vertébrale il y a environ 400 millions d'années. Puis, cet ancêtre de tous les vertébrés aurait évolué "à la manière d'une méduse" en créant au départ une poche ectodermale remplie de gaz. Cette poche sphérique, en se développant comme une bulle au bout de la colonne vertébrale, va contenir le cerveau et contraindre l'Homoncule marin puis terrestre à conserver la stature verticale qui le mènera à la bipédie. Les vertébrés bipèdes non-humains, ainsi que les quadrupèdes, seraient donc issus de l'archétype bipède par une série de transformations évolutives. Si les cétacés sont restés et se sont développés dans l'océan, les mammifères quadrupèdes sur terre ont divergé, tout comme les reptiles, les amphibiens, les poissons retournés à la vie aquatique, les oiseaux et les dinosaures disparus.

L'Homme serait ainsi issu d'une lignée très ancienne, celle d'hominidés qui ont divergé par "déshominisation". A partir d'une lignée de bipèdes à tête ronde, qui seraient nos ancêtres directs, se sont développés de nombreux rameaux collatéraux. Beaucoup de ces primates n'ont eu qu'une existence très éphémère et disparurent sans laisser de traces. D'autres formes, comme les divers australopithèques et pithécanthropes connus se maintinrent longtemps et évoluèrent, en se déshominisant toujours davantage. Les grands singes africains auraient divergé de l'Homme voici près de 5 millions d'années et après un stade hyperanthropoïde, puis australopithécoïde, ont gagné la forêt et se sont spécialisés dans la pratique de l'arboricolisme. L'Homme serait un "singe" qui se serait redressé afin de mieux voir au-dessus des herbes tout au plus il y a 6 millions d'années. Plusieurs éléments concordent pour situer son origine unique en Afrique : c'est dans la vallée du rift* que l'on a retrouvé le plus grand nombre et les plus anciens fossiles d'hominidés. La conclusion est que tous les langages du monde dérivent d'un seul et même langage, les recherches génétiques réalisées sur 3.000 individus représentant 60 populations amenant à une origine commune, en Afrique du Sud. Le changement climatique ayant transformé la forêt en savane, il obligea de ce fait les premiers primates à se redresser, la bipédie marquant les débuts de l'hominisation. Ensuite, l'homme s'est répandu à travers le globe, à raison de 50 kilomètres par génération, poussé par l'accroissement de la population.

Le deuxième axiome concerne les mutations génétiques*², entièrement dues au hasard, survenant n'importe où à l'intérieur du génome, censées apporter un changement plus ou moins important dans l'animal ou le végétal. Ce changement rendrait l'organisme plus ou moins bien adapté à l'environnement. Si la mutation a été avantageuse, c'est-à-dire amenant l'être vivant à être mieux apte à survivre dans son environnement, l'être survit et transmet cette mutation à ses descendants. Les autres êtres vivants, moins bien adaptés en comparaison, se reproduisent moins ou disparaissent plus vite. C'est la théorie de la sélection naturelle, le deuxième agent supposé de l'évolution, sorte de pression qui s'exercerait sur les êtres pour ne garder que les plus forts, les plus beaux (principe de la sélection sexuelle), les plus aptes. Petit à petit, la lignée des plus adaptés est sensée supplanter les autres lignées. D'une mutation à une autre, on en arrive à une transformation progressive et lente (sur des milliers d'années) d'une espèce en une autre. C'est ainsi qu'a été postulé que les premiers êtres vivants monocellulaires ont engendré les pluricellulaires, puis les organismes primitifs, puis les poissons et les reptiles. Enfin, certains reptiles auraient donné les oiseaux, d'autres les mammifères, dont l'homme, issu des transformations d'un ancêtre commun avec les grands singes.

* La "vallée du grand rift" est un ensemble géologique s'étirant sur environ 6 000 kilomètres de longueur du nord au sud et 40 à 60 km de largeur depuis le Levant jusqu'à l'Afrique australe en passant par la mer Rouge et les grands lacs africains. En Afrique continentale, il est appelé plus spécifiquement vallée du rift africain ou grand rift est-africain. La vallée du rift africain coupe en deux la corne de l'Afrique : la plaque africaine, à l'ouest, s'éloigne de la plaque somalienne, à l'est, avant de se diviser, au sud, de part et d'autre de l'Ouganda. Le rift occidental englobe notamment plusieurs des grands lacs africains, là où l'eau a rempli la faille profonde.

Cf. Charles Darwin (1809-1882).

 

De l'analyse de l'ADN mitochondrial du chimpanzé

En 1981, une équipe de généticiens américains dirigée par le Professeur de biochimie à l'Université de Californie Allan Charles Wilson (1934/1991) a démontré, en hybridant l’ADN mitochondrial du chimpanzé avec son homologue humain, que l'homme et le chimpanzé avaient un ancêtre commun qui marchait debout. L'expérience démontrait que l'acquisition la plus récente de l'évolution était la quadrupedie du chimpanzé, la bipédie humaine étant plus ancienne ! Autrement dit, les chimpanzés sont devenus quadrupèdes (animaux) après avoir été bipèdes (humains).

En 1983, une seconde équipe dirigée par le généticien américain Alan R. Templeton entreprit de vérifier les expériences de la première, tant de pareils résultats semblaient extraordinaires. L'équipe confirma les résultats de la première ! Les généticiens proposèrent alors cette généalogie aux paléontologues qui... la refusèrent, car elle était trop dérangeante pour les théories en vigueur. Et c'est ainsi que les expériences de Wilson vérifiées par Templeton furent exclues de l'"égrégore néodarwinien", et par conséquent dénigrées pour des raisons émotionnelles et politiques, en tout cas pas scientifiques.

 

Yves Coppens, le paléoanthropologue académique de référence

Considéré comme l’un des plus grands spécialistes français de l’évolution humaine, et distingué comme il se doit de multiples façons pour ses contributions d'éminent préhistorien, Yves Coppens (1934/2022) avait entrepris de nombreux chantiers de fouilles souvent fructueuses comme, par exemple, la découverte de la célèbre Lucy… Il avait développé plusieurs théories sur les hominidés (primates simiiformes) et les panidae (chimpanzés), participant de la Théorie de l'évolution considérée officiellement comme explicative de la civilisation humaine. Ainsi, de bipède végétarien doté d'un petit cerveau, l'homme selon ses recherches serait devenu un être intelligent et omnivore, ayant réalisé en se redressant il y a 5 à 6 millions d'années la scission avec une partie de ses ancêtres demeurés "accrochés aux arbres". Une de ses découvertes majeures réalisée dans les années 1970 a établi la relation entre l'évolution de l'homme et l'évolution du climat. Il y a trois millions d'années, en Afrique tropicale, un sévère rafraîchissement ayant asséché la savane, les premiers humains ont dû s'adapter ou disparaître. Il y a dix millénaires, un autre important changement climatique eut lieu : la dernière glaciation s'acheva et les températures se firent plus clémentes. L'homme mit alors fin à sa vie de nomade et se fit agriculteur, puis éleveur. Il en découle que les sept milliards que nous sommes aujourd'hui appartiendraient tous à ce genre humain qui a su s'adapter pour survivre.

 

Cette théorie, autrement appelée l'East Side Story ("théorie de la savane") ou ROOA (Recent Out Of Africa - "origine africaine de l’homme moderne"), contribue à faire croire à l'humanité que des squelettes de singe que l'on a retrouvé sur le continent africain sont des humains, sans autre alternative explicative il se doit, puisque le "mainstream" institutionnel scientifique, médiatique et pédagogique l'a établie comme telle ! Elle a également contribué à nourrir l'idéologie de nombre de penseurs européens du dix-neuvième siècle, qui considéraient que certaines races humaines étaient plus évoluées que d'autres. Ainsi le naturaliste anglais Charles Darwin (1808/1882), un des fondateurs de la théorie de l'évolution, écrivait en 1871 : "Chez les peuples civilisés, la réduction des mâchoires à cause de leur moindre usage, le jeu habituel des différents muscles servant à exprimer des émotions diverses, et la taille accrue du cerveau résultant d'une plus grande activité intellectuelle, ont produit un effet considérable sur leur apparence générale en comparaison avec celle des sauvages"... Nous pourrions alors d'autant mieux comprendre les vagues migratoires qui ne cessent de déferler sur le continent européen depuis quelques décennies, masquant une opération génétique d'envergure destinée pour leurs instigateurs psychopathes à l'instauration d'un nouvel ordre mondial !

 

Ce que laisse entrevoir l'ADN

L'évolution de la recherche scientifique en biologie ne cesse de démontrer l'intrication de tous les éléments vivants qui constituent la biosphère. L'ADN, code génétique unique pour l'ensemble des êtres vivants constitué de 64 mots, dont plusieurs servent de ponctuation, en serait l'élément constitutif, même si cela va à l'encontre de la doxa occidentale. Ce phénomène échappe au regard rationnel, en l'occurrence celui de la tradition matérialiste établie par les naturalistes des dix-huitième et dix-neuvième siècles.

L'ADN décrit par les scientifiques correspond aux essences animées communes à toutes les formes de vie. Sa machinerie cellulaire constitue une technologie hyper-sophistiquée qui démontre que la vie ne se limite pas à "un phénomène physico-chimique normal". En effet, la longueur de l'ADN contenu dans un corps humain est astronomique, en l'occurrence deux cents milliards de kilomètres. Ses longues chaînes d'acides aminés accomplissent quasiment toutes les fonctions essentielles des cellules : elles attrapent des molécules pour les assembler en structures cellulaires, les démontent pour en extraire leur énergie, transportent l'oxygène et d'autres éléments nutritifs entre les cellules, et forment des récepteurs capables de capter des molécules ultra-spécifiques. L'ADN est aussi un texte contenant de l'information, lu et transcrit en ARN-messagers alimentant les ribosomes, ces véritables ordinateurs moléculaires qui traduisent les instructions grâce au code génétique et construisent le reste de la machinerie cellulaire. Quant aux chromosomes qui se dupliquent et s'assemblent par paires, les deux ensembles de chromosomes s'alignent le long du plan central de la cellule, et migrent vers leur pôle respectif, chaque membre de chaque paire se dirigeant toujours dans le sens contraire de son compagnon.

Comment ceci peut-il se dérouler sans qu'il n'y ait une part d'intention, de ce fait de conscience ? Notre propre conscience étant le fruit de la nature, cette dernière peut-elle ne pas être consciente ? C'est bel et bien le "postulat de l'objectivité" qui empêche ses praticiens de voir quelque intention que ce soit dans la nature, l'affirmation par la biologie moléculaire que 97% de l'ADN dans notre corps est de la "camelote" (en anglais junk DNA) attestant son degré d'ignorance. Le principe vital étant animé, ceci entend que la nature dans son ensemble est capable de communication*. Or tout ceci va à l'encontre de la théorie de l'évolution par la sélection des espèces mise au point par le naturaliste, géographe, explorateur, anthropologue et biologiste britannique Alfred Russel Wallace (1823/1913) simultanément à Charles Darwin, à savoir un mécanisme purement matériel. En effet, selon leur théorie, les organismes présentent de légères variations d'une génération à une autre, retenues ou éliminées dans la compétition pour la survie. Cette théorie célèbre l'étonnante perfection du monde naturel, puisqu'à chaque génération, seules les améliorations sont retenues.

Si pendant près de cent ans elle fut contestée - ainsi par les vitalistes comme le philosophe français Henri Bergson (1859/1941) -, elle fut définitivement acceptée vers le milieu du vingtième siècle avec la découverte du rôle et de la structure de l'ADN, la molécule d'ADN "démontrant" la matérialité de l'hérédité et fournissant le mécanisme manquant. Puisque l'ADN se dupliquait lui-même et transmettait son information aux protéines, les biologistes conclurent que l'information allait toujours dans ce sens et que le changement génétique provenait exclusivement d'erreurs dans le processus de duplication. Cette idée, baptisée le "dogme central" de la discipline naissante appelée biologie moléculaire, impliquait que seul le hasard était la seule source de véritable innovation. La vie ne pouvait qu’être était un phénomène purement matériel, même si ce présupposé était indémontrable. Et c’est ce postulat d'objectivité consubstantiel à la science qui n’a eu de cesse de guider son prodigieux développement depuis trois siècles, dont il est impossible de se défaire.

Mais certains chercheurs ne se sont satisfaits de l'explication habituelle, car au-delà de la sélection naturelle, aucune théorie simple n'est à même de faire face à l'énorme complexité révélée par la génétique moderne. C’est pourquoi certains ont commencé à relever l'improbabilité du mécanisme proposé, comme la possibilité qu’un tel processus anarchique puisse atteindre des résultats aussi prodigieux que ceux manifestés par la vie que nous voyons et dont nous faisons partie. Un autre problème fondamental contredit la théorie de la sélection naturelle mue par le hasard, les espèces semblant apparaître subitement, pleinement formées et munies de toutes sortes d'organes spécialisés avant que de rester stables durant des millions d'années. Ainsi par exemple, il n 'existe aucune forme intermédiaire entre l'ancêtre terrestre de la baleine et les premiers fossiles de ces mammifères marins. Toutefois, les critiques de la sélection naturelle n'ont pas encore réussi à proposer des axiomes susceptibles de remplacer ceux de la vieille théorie. Si le nouveau paradigme biologique est encore loin, il est indéniable que celui en vigueur paraît de moins en moins crédible.

* Cf. Fonctionnement de l'architecture du Vivant.

C’est ce qu’exprima notamment le biologiste français Jacques Monod (1910/1976), prix Nobel, dans son célèbre essai " Le hasard et la nécessité ".

Cf. en complément Évolution de civilisation (1) Le mécanisme de l'Univers & Décryptage de l'Ego.

 

Le néo-évhémérisme, ou la théorie des anciens astronautes

 

A rebours de l'explicatif officiel, le "néo-évhémérisme"* propose l'hypothèse selon laquelle les civilisations antiques ont été en contact avec des "visiteurs" de nature extra ou supraterrestre, soit trans-dimensionnels. Pour les uns, ils seraient venus apporter sur la Terre le savoir dans les domaines de l'écriture, de l'architecture, de l'agriculture, des mathématiques, de l'astronomie et de la médecine. Pour les autres, ils seraient les concepteurs généticiens de l'humain, se répartissant entre des planificateurs (+) et des prédateurs (-) conformément à la loi universelle des polarités caractérisant le fonctionnement du Vivant. L'humain de ce fait serait en sorte hybride, porteur de cette biotechnologie dans sa spécificité biologique. Il serait un OGM, un organisme génétiquement modifié.

Ces êtres/entités, technologiquement plus avancés que l'Homme, seraient également devenus, au fil des siècles, les "dieux", êtres supranaturels dont parlent entre autres les anciennes mythologies*² et dont l'archéologie met les cultes en évidence. Les entités prédatrices, involutives, s'étant imposées dans la 4ème dimension de réalité*³, elles contrôlent depuis à des fins asservissantes l'humain par leurs relais terrestres inféodés, se nourrissant de son énergie cosmique ("l'étincelle divine") par prédation psycho-émotionnelle, et ce tout au long du cheminement de l’Âme humaine dans la densité terrestre. Elles ont pour ce faire manipulé sa constitution biologique, pour en limiter singulièrement tout le potentiel créateur (capacités cognitives et spirituelles) et par là-même de libération de leur emprise. C'est ainsi que l'espèce humaine est la seule connue dans l'univers à devoir payer pour vivre, qu'elle a besoin d'outils pour survivre, à l'exception de 1 %, les relais élitaires inféodés au corpus prédateur extra-dimensionnel...

* Cette appellation a été conçue par le sociologue Jean-Bruno Renard, découlant du philosophe grec Évhémère (IIIe siècle av. J.-C.) qui expliquait la croyance populaire dans les dieux par l'existence de personnages illustres qui auraient, par la suite, été divinisés. Le néo-évhémérisme suit le même principe : les peuplades primitives, face à une technologie supérieure, auraient divinisé ces visiteurs en provenance de l'espace.

*² Nombre de mythes traduisent également les phénomènes cométaires - la bataille des cieux/dieux - inexplicables dans les temps antiques pour la plupart des êtres humains.

*³ Cf. Compréhension structurelle de la Matrice asservissanteLes acteurs de la Matrice falsifiée & Compréhension de la conspiration prédatrice.

 

Il va sans dire que le "mainstream" institutionnel, tout particulièrement scientifique, considère cette approche comme une spéculation pseudo-scientifique et ufologique, en en rejetant viscéralement tout crédit. Pourtant, la planète Terre n'est-elle pas à l'image d'un vaisseau spatial !?

 

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Le vaisseau spatial Terre

L’idée selon laquelle que la Terre est un vaisseau spatial est apparue dans les années 60, défendue par l'architecte, designer, inventeur, écrivain et futurologue américain Richard Buckminster Fuller (1895/1983). C'est à la fois une réalité et une métaphore, qui changea les perspectives de l’humanité en engendrant le mouvement "pour sauver la planète". Avant-gardiste derrière le dôme de la Biosphère, Fuller était en effet préoccupé par la survie ainsi que la viabilité de l'espèce humaine dans le cadre du système socio-économique existant, tout en restant optimiste sur l'avenir. Pour lui, sur la planète Terre comme à bord d’un vaisseau spatial, il faut conserver et respecter les ressources limitées. Et comme nous sommes tous membres de l’équipage du Vaisseau spatial Terre, nous avons le pouvoir de faire une différence.

Paru pour la première fois en 1969 sous le titre Operating Manual for Spaceship Earth, le Manuel d'instruction pour le vaisseau spatial "Terre" (Cf. photo ci-dessus), l'auteur présente une synthèse brillante de sa vision du monde, analysant les grands défis auxquels l'humanité est confrontée et présentant les principes à suivre pour faire les "bons choix" et éviter l'extinction de l'espèce humaine. Il pose donc quelques questions essentielles : Comment l'humanité peut-elle survivre ? Est-ce que l'automatisation influe sur l'individualisation ? Comment utiliser nos ressources plus efficacement pour réaliser pleinement notre potentiel et mettre fin à la misère en moins d'une génération ? Remettant en question le concept de spécialisation, il prône une révolution du design dans l'innovation et donne des conseils pour diriger le vaisseau spatial "Terre" vers un avenir viable à long terme.

 

Ses penseurs

Le néo-évhémérisme est souvent attribué à l'auteur suisse Erich von Däniken (photo 1) qui l'a popularisé à travers différents ouvrages au fort relent de New Age*. Il doit beaucoup à l'écrivain français Robert Charroux, de son vrai nom Robert Grugeau (1909/1978 - photo 2), pourfendeur de l'archéologie pré-historique*², qui avait fait paraître en 1963 son Histoire inconnue des hommes depuis cent mille ans et en 1965 Le Livre des secrets trahis.  De même Paul Thomas, pseudo du compositeur Paul Misraki (1908/1998 - photo 3), l'a nourri avec son livre paru en 1962 Les Extraterrestres. Ou encore l’œuvre de l'écrivain et traducteur français Jean Sendy (1910/1978 - photo 4), qui à partir des années 1960 fait paraitre divers écrits dont la plupart dans les collections L'Aventure mystérieuse (J'ai lu) et Les Énigmes de l'Univers (Robert Laffont). Avec Les Cahiers de cours de Moïse (Julliard, 1963), il amorce ses hypothèses en menant une enquête sur l'influence astrologique du zodiaque, la prophétie de saint Malachie ou le miracle de Fatima. Dans La Lune, clé de la Bible (1968), il prend ses distances avec les traductions usuelles de la Bible qui, par exemple, restituent "Élohim" par Dieu, alors qu'il s'agirait d'un pluriel dont la signification serait mieux rendue par "les Anges" ou "les fils des dieux". Relisant le texte biblique dans sa version hébraïque d'origine, Sendy soutient qu'il ne s'agit pas d'un récit légendaire, mais d'un texte historique racontant la colonisation de la Terre, à l'époque adamique, par des "Anges" venus du ciel, hypothèse qui s'inscrit dans la perspective de la théorie des anciens astronautes et de l'astro-archéologie (ces visiteurs auraient quitté la Terre après le Déluge). Sendy croit que la clé de la Bible pourrait se trouver sur la Lune où, depuis les années 1960, il est désormais possible de trouver la trace de ces cosmonautes*³. Quant à son ouvrage intitulé Les Temps Messianiques, il s'inspire de Paul de Tarse qui reliait le cosmos, l'homme et les évangiles. Ce livre porte également sur l'eschatologie et l'étude des nombres dans la Bible et dans la Kabbale.

De même, Jacques Bergier (1912/1978 - photo 5), ingénieur chimiste, espion, journaliste et écrivain, de nationalité française et polonaise, a largement contribué à la promotion, en France, du paranormal et de théories pseudo-scientifiques (mélange entre des éléments réellement scientifiques, des éléments qui relèvent plutôt de la science-fiction, et d'autres de l'occultisme) touchant aux anciennes civilisations, notamment par le biais de son livre Le Matin des magiciens écrit en collaboration avec le journaliste et écrivain Louis Pauwels (1920/1997 - photo 6), puis à travers le mouvement du réalisme fantastique relayé par la revue Planète.

Cette théorie a également bénéficié de l'apport des récits fictionnels de l'écrivain de science-fiction américain Howard Phillips Lovecraft (1890/1937 - photo 7) dans la culture populaire tout au long du XX° siècle, qui dépeignent des entités extraterrestres — assimilées parfois à des anciens dieux ou démons — descendues sur Terre en des temps infiniment lointains (L'Appel de Cthulhu, Les Montagnes hallucinées…).

* Cf. La référence comme ouvrage fondateur de la théorie des anciens astronautes et de l'astro-archéologie est "Présence des extra-terrestres" Éditions Robert Laffont, 1969 (titre original Erinnerungen an die Zukunft, 1968 ; titre anglais Chariots of the Gods. Unsolved Mysteries of the Past).

Par l'étude de documents antérieurs à La Bible tels le Livre d'Enoch, il propose de nouvelles explications de notre Histoire comme la venue d'hommes extraterrestres qui marquèrent de leur empreinte les civilisations de la Terre. Ces "Maîtres du Monde" furent d'abord les Hyperboréens, et leurs descendants les Atlantes, qui devinrent des dieux ou des démons après leur disparition.

Certains de ses ouvrages dont La Lune, clé de la Bible (1968) et Ces dieux qui firent le ciel et la terre, le roman de la Bible (1968) - de même que certains titres de Robert Charroux, Erich Von Däniken ou Jacques Bergier - auraient inspiré selon certains les thèses du gourou Claude Vorilhon dit Raël et de sa secte, le mouvement raëlien.

 

Le style "Charroux"*

Ce chercheur inlassable de vérité, pourfendeur de la doxa établie, a laissé derrière son œuvre*² quelques recettes de toute première importance :

-  La "Primhistoire", période de la vie de l'humanité antérieure à la protohistoire et parallèle à la préhistoire, différente dans le sens qu'elle suppose l'existence de civilisations avancées, ce qui n'a jamais été prouvé.

- Le "Mystérieux Inconnu", phénomène ou fait insolite contre lequel butte le raisonnement. Les principaux "mystères" sont ceux de l'Univers, de l'eau, des fantômes…

- L'Initiation, action de celui qui, par ses recherches et son travail, commence à connaître la vérité.

- L'Apocalypse, soit les découvertes des savants apportant à l'humanité des contreparties non désirées, se traduisant en une situation de troubles sociaux et psychiques en raison du déséquilibre avec la Nature. Notons qu'en 1965, Robert Charroux évoqua la possibilité "qu'un jour de ce siècle, avec ou sans l'accord de leur gouvernement, dix, cent ou cinq cents pilotes-suicide (les kamikazes) s'envolent vers New York et une autre ville des U.S.A., sur des avions bourrés de TNT (...). La fin du monde pour les Occidentaux pourrait bien commencer par l'apocalypse sur les buildings écrasés de Manhattan et de Brooklyn !".

Cette nomenclature de l'insolite terrestre est constituée par la découverte personnelle, non en citant des confrères ou par compilation de leurs travaux, mais en se rendant lui-même à travers le monde enquêter. Cette méthode d'explication de phénomènes à travers l'approche protochronique ou anachronique interprète traces, témoignages et artefacts du passé comme des preuves de techniques avancées, à l'image des vingt-quatre paratonnerres installés sur le Temple de Salomon ou de la carte maritime de Piri Reis, présentée comme une compilation de chartes grecques vieilles de treize siècles sur laquelle sont figurés les contours des côtes d'Amérique.

* Des clubs Robert Charroux ont été fondés en France et à l'étranger, basés sur des sujets à étudier, à contester, à penser.

Cf. "Histoire inconnue des hommes depuis cent mille ans" (1963); "Le Livre des secrets trahis" (1966); "Le Livre des maîtres du monde" (1967); "Le Livre du mystérieux inconnu" (1969); "Le Livre des mondes oubliés" (1971); "Trésors du monde enterrés, emmurés, engloutis" (1972); "Le Livre du passé mystérieux" (1973); "L'Énigme des Andes" (1974); "Archives des autres mondes" (1977).

 

Cette théorie avait été mise en avant également dans les années 1870-1880 par Héléna Blavatsky (1831/1891 – photo 1) et son mouvement sulfureux nommé le théosophisme qui allait lancer au XX° siècle le courant du New Age*. Ceci explique en partie les réticences de la communauté scientifique, privilégiant l'explication rationnelle exposée par les archéologues. Ainsi l'architecte et archéologue Jean-Pierre Adam (photo 2), dans L'archéologie devant l'imposture, qui explique que la construction de la grande pyramide repose non pas sur un savoir étranger à l'espèce humaine mais bien sur les techniques de l'époque.

Il est ainsi difficile à ce stade de séparer le bon grain de l'ivraie. Comme d'habitude, le "système" crée une farouche opposition entre deux groupes, qui n'auront de cesse de se déchirer. De même, il va lancer de fausses pistes pour égarer les chercheurs de vérité et les empêcher de regarder au bon endroit, nombre de ces derniers étant également illusionnés par le prédateur manipulant leur égo-mental, expliquant qu'il y a beaucoup de jalousie dans le "milieu ufologique", ceci se manifestant par des médisances, des injures et autres formes de combines douteuses. Reste que le "système" donne toujours les clés de la Vérité...

* Cf. Contrôle mental & Prophétie du changement. Son enseignement délivré (voir l'édition définitive de "The Secret Doctrine" écrit en 1888, publiée en 1938 par Theosophical Publishing House Adyar, Madras en Inde), se voulant une synthèse de la Religion, de la Philosophie, de la Psychologie et de la Science, a été comme souvent détourné à des fins autres que celles prévalant à l'intention d'origine. Ainsi sur l'emploi de la notion de "Race Aryenne", qui dans le contexte sulfureux du XX° siècle, consacrera le clivage mortifère plutôt que la libération de la conscience...

 

Tintin et les extraterrestres

Vol 714 pour Sydney est le 22e album de bande dessinée de la série Les Aventures de Tintin, paru en 1968. Dans cet incroyable album du dessinateur Hergé est abordé le thème du phénomène ovni-extraterrestre-abduction avec des références à la théorie des anciens astronautes. C'est ainsi que Tintin et ses compagnons rencontrent dans la grotte d'un temple souterrain dans laquelle ils se réfugient un "initié" qui, pratiquant la télépathie, sert d’agent de liaison entre la Terre et une autre planète. Le dessin à l'entrée représente "des dieux venus du ciel avec leur char de feu" (Cf. image ci-contre), qui fréquentent le lieu depuis des millénaires. Ils sont ensuite emmenés à bord d’une soucoupe volante où ils subissent une séance d’hypnose qui effacera tout souvenir de leur contact… Milou le chien du reporter est le seul personnage à avoir conservé tous ses souvenirs. Fataliste, il se dit : "Ah ! si je pouvais raconter tout ce que j'ai vu… Mais on ne me croirait pas." !

 

Ses pièces

 

Nonobstant le développement au XX° siècle de l'ufologie*, discipline d'observation de phénomènes aérospatiaux menée soit par des organismes officiels soit par des acteurs individuels ou collectifs non affiliés aux institutions étatiques, les chercheurs alternatifs, dont beaucoup d'archéologues baptisés de "spécialistes de l'archéologie interdite", de paléontologues (chercheurs qui regardent vers le passé pour retracer l'évolution biologique de l'humanité), de bio-généticiens et d'astronomes - certains conjuguant plusieurs de ces disciplines -, apportent moultes pièces à leur argumentaire d'une origine humaine différente de la version enseignée, avec ou non la contre-argumentation des scientifiques "académiques" appropriée.

Une d'entre elles concerne notamment l'intersection entre les croyances religieuses et la vie extraterrestre, qui intrigue depuis longtemps les théologiens et les passionnés de l’inexplicable. Cette curiosité conduit souvent à la question suivante : la Bible pourrait-elle contenir des références à ce que nous qualifions aujourd’hui d’OVNI ou d’êtres extraterrestres ? Plusieurs passages de la Bible décrivent en effet des événements qui, pour un lecteur moderne, peuvent faire penser à des observations d’OVNI. Par exemple, le livre d’Ezéchiel relate une vision dans laquelle le prophète voit un "tourbillon venant du nord, une grande nuée avec un feu furieux qui l’engloutit" (Ezéchiel 1:4). Dans ce nuage se trouvaient des créatures à l’apparence extraordinaire, ce qui a conduit certains à se demander s’il ne s’agissait pas d’une description ancienne d’une rencontre avec un OVNI.

* UFO en anglais signifie unidentified flying object (objet volant non identifié). Si depuis 1947 les objets sont traditionnellement caractéristiques de soucoupes volantes, les témoignages rapportés depuis des millénaires portent principalement sur des boules lumineuses, vaisseaux ou navires volants, comme des armées et des batailles célestes "fantômes", ainsi que des matériaux et animaux tombant du ciel.

Cf. Jean Sider "Les armées fantômes - En annexe 150 cas d'observations d'Ovnis faites par des astronomes" (2006).

 

 

La question de fond ne porte pas sur la réalité du phénomène extraterrestre, de moins en moins contestée, mais sur son étroite corrélation avec l'émergence et le développement de la civilisation humaine, et de ce fait constituant une voie alternative à l'explication de la Création - Ce Qui Est - par la science ou le religieux. Cette présence extraterrestre est constatée à travers diverses pièces laissées par l'homme depuis les temps antiques. En voici quelques-unes, loin de constituer l'intégralité des pièces versées au dossier, les manifestations de nos compagnons animaux au contact d'entités invisibles à nos sens pouvant les compléter pour qui sait les décrypter*.

* Cf. Livre du parapsychologue italien Ernest Bozzano (1862 /1943) "Les phénomènes métapsychiques chez les animaux".

 

De l'ufologie

Dans sa définition volontairement restreinte par l'académisme scientifique prévalant, cette discipline est liée à l'étude des phénomènes aériens ou sous-marins observés mais non expliqués, pouvant être liés à une présence extra-dimensionnelle qui chercherait à établir le contact avec la civilisation humaine. Elle est néanmoins étirée par nombre de ses praticiens à l'étude des capacités extra-sensorielles (médiumnité, voyance, précognition, télépathie, télékinésie, magnétisme...), des EMI (expériences de mort imminente), à l'archéologie non officielle (dite interdite), à l'ésotérisme et au symbolisme, aux sciences et thérapies alternatives, à l'économie, à la géopolitique, à la théologie et aux pratiques spirituelles diverses, et à la prédation énergétique de l'humanité d'origine terrestre comme extraterrestre.

Ceci explique tant le discrédit qui lui est porté que les tentatives et opérations de contrôle/encadrement la concernant *, compte-tenu des sujets à caractère sensible qu'elle aborde pour les autorités gouvernantes : manipulations et endormissement des masses, fabrication des mémoires sociales, transhumanisme et intelligence artificielle, eugénisme et hybridation, énergies libres... Elle se révèle bel et bien par ses multiples courants bigarrés comme la clé de voûte du "secret planétaire" !

* Désinformateurs, débunkers, trolls gouvernementaux, ufologues sous contrôle infiltrés...

 

De la sémantique ufologique

Les "Objets volants non identifiés" - Ovnis - sont également désignés sous d’autres termes, tels que MOC - "Mystérieux Objets Célestes" -. Lorsqu'ils ne sont pas célestes, le terme OSNI "Objet Sous-marin Non-Identifié" et OANI - "Objet Aquatique Non-Identifié" est usité en raison de la présence attestée à plusieurs reprises de phénomènes inconnus dans les différentes mers du globe ou à la surface de ces dernières, dans des lacs, sur des étangs, etc. En France, le GEIPAN * parle plutôt de Phénomène aérospatial non identifié - PAN -, le terme de "phénomène" étant dans la majorité des cas plus approprié que celui d'"objet". Par extension, le terme ovni sert de nos jours à désigner de manière humoristique un personnage ou un objet qui semble surgir de nulle part (exemple : "un ovni dans le paysage politique").

* Créé en 1977, le Groupe d'études et d'information sur les phénomènes aérospatiaux non identifiés est un service du Centre national d'études spatiales français.

 

Des connexions extraterrestres de l’Inde ancienne 

Les anciens textes indiens, qui remontent à des milliers d’années et sont connus sous le nom de Vedas, contiennent un grand nombre d’histoires et de messages qui relient le peuple indien à des êtres extraterrestres venus de l’espace. Ils regorgent en effet de récits intrigants sur des machines volantes, des technologies avancées et des rencontres avec des créatures extraterrestres venues d’autres planètes.

En dépit de leur caractère apparemment fantastique pour l'homme contemporain cartésien, ils laissent à penser que les ancêtres de l’Inde entretenaient des relations particulières avec des visiteurs et des mentors d’un autre monde. Les traces se retrouvent dans de nombreux hymnes et passages védiques qui contiennent des messages codés et des preuves de l’implication extraterrestre de l’Inde à des époques lointaines, leur chronologie l'attestant.

15 000 avant J.-C. – D’anciennes peintures rupestres en Inde représentent des êtres étranges à bord de fusées et de vaisseaux spatiaux. Elles représentent les contacts des anciens Indiens avec des visiteurs extraterrestres.

5000 av. J.-C. – Les Vedas contiennent des descriptions d’engins volants appelés Vimanas, dont les détails techniques suggèrent que ces textes ont été influencés par les connaissances de mentors extraterrestres.

3000 avant J.-C. – Des sites anciens comme Mehrgarh présentent des technologies et une architecture avancées pour l’époque. Certains archéologues pensent que cela pourrait indiquer une aide de la part de visiteurs extraterrestres.

1000 avant J.-C. – De nombreuses épopées et légendes indiennes racontent que des dieux voyagent depuis le ciel à bord de véhicules volants perfectionnés et se livrent à des guerres à l’aide d’armes puissantes.

500 av. J.-C. – Les théoriciens de l’astronautique antique pensent que les connaissances mathématiques et astronomiques avancées des savants indiens pourraient provenir de visiteurs extraterrestres doués.

200 av. J.-C. – D’anciennes gravures rupestres représentant des figures ressemblant à des extraterrestres et à des OVNI sont découvertes à Charama, en Inde. Les légendes locales disent qu’elles ont été faites pour commémorer l’atterrissage d’un vaisseau spatial.

100 après J.-C. – De nombreux documents indiens anciens font référence aux Vimanas, en français "char des dieux" ou "char céleste", et décrivent notamment les moteurs à mercure qui propulsent les aéronefs et permettent de parcourir de grandes distances*. Cette technologie de propulsion avancée aurait été offerte par des extraterrestres.

400 – L’affirmation des anciens astronautes établit un lien entre la construction de temples, de villes et de monuments avancés dans l’Inde ancienne et les conseils de visiteurs extraterrestres qui ont apporté leur expertise en matière d’architecture.

600 – Des textes sanskrits décrivent des Vimanas qui se livrent à des combats aériens et se retirent dans des bases souterraines, ce qui laisse supposer que les anciens extraterrestres partageaient la technologie de la guerre.

Toutes ces preuves, indéniables comme incontestables, incitent à reconsidérer nos perceptions.

* Les capacités des Vimanas semblaient dépasser de loin la technologie de l’époque. Ils étaient contrôlés par des pilotes, mais disposaient également d’une fonction de pilotage automatique. Ils pouvaient apparemment tirer des armes. Les Vimanas pouvaient apparemment manœuvrer en douceur, y compris décoller à la verticale.

 

Le temple d'Horus

Situé à Edfou sur la rive gauche du Nil entre Assouan et Louxor, construit entre -237 et -57, il était dédié au culte d'Horus, divinité cosmique représentée avec une tête de faucon dont les deux yeux sont le soleil et la lune.  Il est le plus grand temple de la dynastie des Ptolémée, et le deuxième sanctuaire le plus important d'Égypte après Karnak. Sa structure correspond aux composantes d'une unité centrale de traitement ou micro-processeur ainsi qu'aux pièces que l'on retrouve dans les ordinateurs de nos temps modernes*.

* Cf. Évolution de civilisation (3) Mythe de la modernité, risques et lois d'évolution naturelle.

 


Les hiéroglyphes d'Abydos

Concernant les hiéroglyphes du temple de Séthi Ier à Abydos (Égypte), certains voient des aéronefs et autres véhicules modernes (hélicoptère, sous-marin, vaisseau spatial, planeur).
L’explication officielle communément admise est qu'il s'agit d'une érosion de la surface de la pierre associée à des retouches de hiéroglyphes par un roi (Ramsès II par exemple) pour se ré-approprier le travail d’un autre. Des morceaux des anciens et des nouveaux hiéroglyphes se chevauchent et peuvent alors former d’étranges signes. Cette retouche est appelée "palimpseste".

 


 

Les peintures préhistoriques du Sud de la France et d'ailleurs

Il y a plus de 15.000 ans avant J.-C., dans les grottes de Cougnac en Ariège (images 1 et 2), d'Altamira en Espagne (image 3) ou de Kimberley en Australie (images 4 et 5), des hommes préhistoriques ont dessiné une multitude d’objets et de formes curieux au milieu des représentations animales et humaines ornant ces grottes.

 

 

 

La roue préhistorique ?

La roue a été inventée dans le monde sumérien vers 3.500 avant notre ère. Alors pourquoi en retrouve-t-on sur ces gravures préhistoriques, bien antérieures, et partout dans le monde ? D’où est venue cette inspiration ?

 

 


Machines volantes, dieux ailés et cosmonautes

Les peintures du Val Camonica, Italie, datant du X° millénaire av. J.-C. (images 2 et 3), sont censées représenter des visiteurs extraterrestres pour les partisans de la théorie des anciens astronautes.

Il en est de même avec les environ 15 000 peintures, fresques et gravures rupestres du Tassili n'Ajjer en Algérie (20 % d’entre elles seraient encore présentes, l’érosion ayant détruit le reste), un ensemble de roches rouges et noires situé au milieu du désert aride du Sahara dans le sud-est de l’Algérie d'âge néolithique datant d'environ 7 à 10 000 ans (images 4 à 9), les archéologues ou l’explorateur français Henry Lhote découvreur en 1956 considérant là encore qu'elles dépeignent des dieux ou des figures mythologiques humanoïdes, laissant à penser que les anciens humains pouvaient être en contact avec des extraterrestres ou une civilisation humaine avancée, leurs portraits dans certaines peintures les voyant porter d’étranges combinaisons et d'étranges casques sur la tête à l'instar des astronautes des temps modernes. Les habitants du Tassili vénéraient d'ailleurs "Jabbaren", le Grand Dieu Martien, qui signifie géants... Comment donc les anciennes civilisations de la Terre ont-elles pu dessiner des choses qu’elles ne connaissaient pas ? Il apparaît ainsi de plus en plus probable que des extraterrestres aient visité la Terre dans les temps anciens.

Cf. livre intitulé Les dieux du Tassili : Astronauts in the Stone Age ("Les dieux du Tassili : les astronautes à l’âge de pierre") .

 


Les dogū japonais

Les Dogū, signifiant "idole d'argile", sont des figurines de terre cuite, représentant pour les uns des humanoïdes ou des animaux - chevaux, chiens... -, pour les autres des êtres extraterrestres (dont certains à figure reptilienne) ayant visité la Terre durant le néolithique. Elles ont essentiellement été retrouvées dans les régions du Nord et de l'Est du Japon, faites entre -10.000 et -300 av. J.-C. (durée qui correspond approximativement au néolithique et à l'âge du Bronze, ce que les Japonais appellent la période Jōmon).

La fonction qu'elles remplissaient n'est pas encore clairement établie à ce jour, les archéologues pensant par leurs formes féminines qu'elles pouvaient être associées à un culte de la fertilité, ou représenter des déesses mères que vénéraient les hommes de l'époque.

 

 


La chambre funéraire du roi Pacal à Palenque

A Palenque, cité maya de l’État de Chiapas au Yucatan (Mexique), se trouvent les vestiges d’une civilisation qui atteignit son épanouissement entre 600 et 980 après Jésus-Christ. Lors d’une campagne de fouilles entre 1949 et 1952, un archéologue  découvrit sur la plate-forme du temple principal un puits lui permettant d’accéder par un escalier au cœur de la pyramide. Là, il se trouva en présence d’un extraordinaire ensemble de bas-reliefs sculptés, ornant un énorme et magnifique sarcophage qui abritait la dépouille d’un grand dignitaire maya, entouré de riches bijoux et de nombreuses offrandes.

La dalle sculptée placée sur le tombeau, lourde de plusieurs tonnes mesure environ 3,80 m sur 2,20. À première vue, elle offre à la curiosité du visiteur la représentation saisissante d’un cosmonaute aux commandes d’un vaisseau cosmique.

 

Le cosmonaute de Salamanque

Sur un montant de la porte de Ramos à la nouvelle cathédrale de Salamanque en Espagne (la construction de la cathédrale a été lancée en 1513 et achevée en 1733), on reconnaît un astronaute en apesanteur, œuvre du tailleur de pierre Miguel Romero lors de la restauration de 1992. L'explication officielle est que Salamanque est le foyer de deux cathédrales, la "vieille cathédrale", connue sous le nom Catedral Vieja, ayant été construite vers le milieu du XII° siècle. Comme c’est sur l’entrée de la nouvelle cathédrale qu’apparaît l’astronaute, la sculpture aurait été rajoutée lors de sa restauration, conformément à la tradition de restauration des cathédrales qui comprend souvent quelque chose de l’époque moderne. Et, en l'occurrence, les restaurateurs auraient choisi la figure d’un astronaute...

 

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L'étrange miracle des flocons de neige en forme de soucoupes

La peinture de Tommaso di Cristoforo Fini dit Masolino da Panicale (1383/1447) baptisée Trittico Madonna della Neve ("Triptyque de la Vierge des neiges" - photo ci-contre) est sans équivoque. Elle relate ce qu'il s’est passé d’étrange à Rome un jour du début du mois d’août du IVe siècle après J.-C.

Ceux qui étaient dehors, bravant la chaleur, se promenant sur la colline de l’Esquilin, auraient jeté un coup d’œil au ciel pour remarquer une curieuse formation nuageuse – certainement très différente de la couverture nuageuse compacte typique des chutes de neige – et auraient été étonnés de voir des flocons de neige dériver jusqu’à la terre – en pleine chaleur estivale ! Certains se sont peut-être enfuis pour échapper à cette manifestation de la colère divine, tandis que d’autres ont peut-être timidement tendu la main pour les attraper et les voir s’évaporer comme de vrais flocons de neige. Quelqu’un a noté et enregistré l’événement.

C'est ce miracle de la neige qu'a peint Masolino da Panicale, mettant en scène le Christ et la Vierge Marie qui observent le pape Libérius marquant dans la légendaire chute de neige le contour de la basilique.

 

Le cosmonaute serbe

Les cosmonautes de la fresque du monastère orthodoxe serbe de Visoki Dečani au Kosovo (1350), dont la cathédrale est la plus grande église médiévale des Balkans, interpellent. L'explication officielle des historiens de l'art est qu'ils sont des représentations symboliques du Soleil et de la Lune comme on en trouve dans l'art byzantin religieux de cette époque.

 

L'ovni de la Madonne

Dans le tableau Madonna col Bambino e San Giovannimo de Sebastiano Mainardi (1460-1513) un OVNI semble traverser les cieux en pleine nativité. Pour les historiens de l'art, il est en réalité la représentation symbolique de l'archange Gabriel, qu'un promeneur regarde la main sur le front comme pour se protéger du soleil.

 

La soucoupe volante du cardinal

L'objet peut au premier regard être en forme de soucoupe volante (image 2) sur le tableau de Paolo Uccello (1397-1475), La Thébaïde, peint entre 1460-1465. Sur une reproduction plus nette à la Galleria dell' Accademia de Florence (image 3), il ressemble à un chapeau rouge avec des cordons de cardinal devant lequel est agenouillé est Saint-Jérôme, lequel est devenu ermite après avoir renoncé à la charge ecclésiastique.

 


La pièce mystère

Sur un jeton français frappé en 1680 apparait dans le ciel comme un OVNI. Ce jeton est similaire à des pièces d'enseignement, soit utilisé pour aider à compter l'argent de personnes, soit utilisé comme un substitut de l'argent pour jouer à des jeux. Il pourrait à ce titre symboliser la "Roue de la Fortune".  Il est semblable à des milliers de jetons d'autres avec différentes conceptions religieuses et éducatives produites et utilisées en Europe au cours des XVI° et XVII° siècles. Certains chercheurs estiment ainsi qu'il représente la roue du Ezéchiel Biblical. Son inscription latine Opportunus Adest ("C'est ici, à un moment opportun") évoque une scène mythologique et allégorique, qui pourrait représenter "Ancil", le bouclier sacré envoyé par Jupiter pour le roi de Rome, Numa Pompilius.

 

Les spectacles célestes du Moyen-Age et de la Renaissance

Si à ces époques les phénomènes célestes observés sont qualifiés d'occultes (avertissements divins ou des expressions maléfiques imputables aux sorciers et sorcières) chez des théoriciens comme Agrippa de Netessheim ou Paracelse compte-tenu de l'influence de la religion, ils interpellent à l'aune de nos connaissances actuelles. Ainsi le Spectacle céleste de Bâle en 1566, feuillet imprimé par Samuel Apiarius et Samuel Coccius (image 1). Au Japon, dans la nuit du 24 septembre 1235, le général Yoritsume et son armée observent près de Kyoto des sphères de lumière non identifiées, aux mouvements erratiques. Quant au Phénomène céleste de Nuremberg en 1561, feuillet imprimé et gravure sur bois par Hans Glaser (image 2), il rapporte que le 14 avril 1561, le ciel de la ville de Nuremberg est parcouru par une multitude d'objets décrits comme étant engagés dans une bataille. On y mentionne que de petits globes et disques sortaient de grands cylindres. Ces observations sont alors interprétées comme des prodiges surnaturels, des anges et autres présages religieux.

 


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L'"anomalie de la mer Baltique"

L’anomalie en question est celle d’un petit conteneur de voyage encapsulé qui transporte des caméras et de l’équipement de visualisation pour scanner des parties de la planète dans des zones spécifiques. Selon les scientifiques qui l'ont étudiée, il s’agit d’une technologie extraterrestre provenant d'une planète extérieure à notre galaxie solaire (La Voie lactée) appelée AZEE. Ses habitants sont les ORITITES, êtres mesurant d'après les calculs de ce conteneur 9 pieds de haut,  leur corps étant d’une teinte jaune. Ils se tiennent droits comme des humains, et respirent sur les côtés de la tête. Ils auraient continuellement écrasé une grande partie de leur équipement sur de multiples planètes.

 

 

 

L'inexplicable scientifique

Les paléontologues en ignorent l'explication, mais ils ont quand même dressé un catalogue des représentations au moment de leur découverte tellement elles étaient nombreuses et inexpliquées.

 

 

 

Les éléments troublants sont nombreux. Certains sont incontestablement fantaisistes, d'autres ne peuvent s'expliquer en l'état de la connaissance académique, ne pouvant être écartés d'un simple revers de manche au prétexte de délires et d'affabulations des rétro-ufologues. Il existe des informations valides, mais aussi de la désinformation. Vérité et mensonges sont entrelacés, en particulier lorsqu’il s’agit d’un sujet "en marge" de la "culture officielle". Si la caractéristique de toutes les religions, mythologies et cosmogonies est de mettre en scène des visiteurs mystérieux venus du ciel, souvent à bord d’engins, et qu'il est permis de s’interroger sur cette permanence, il ne s’agit pas pour autant d’une preuve en soit. On navigue en eaux troubles, mais le chercheur sincère, qui aborde le sujet avec un esprit critique mais ouvert, et s’efforce de creuser en profondeur, finit par voir qu’effectivement, l’existence d’un phénomène "venu d’ailleurs" ne fait aucun doute… et que cette situation perdure depuis un certain temps déjà.

Quoi qu'il en soit, le résultat attendu par le système pervers est au rendez-vous, entre les avis d'historiens de l'art, d'archéologues et de numismates dûment reconnus pour leur expertise récusant la théorie des astronautes des "ahuris qui voient des Ovnis partout", et inversement. Les sites de démonstration des arguments de chaque partie pullulent sur internet, n'hésitant pas à s'invectiver de façon peu amène. Pour quel résultat, si ce n'est l'égarement de la conscience, la vérité se dérobant continuellement aux uns comme aux autres...

 

A ces pièces contestées se rajoute l'apport des Codex* qui, à l'origine en tant qu'assemblage de tablettes de bois destinées à l'écriture, sont devenus au cours du II° siècle av. J.-C. chez les Romains des feuilles de papyrus ou de parchemin, matériau plus mince et plus souple qui se prêtait au pliage. L'utilisation de codex a été attestée en tant que document officiel. En Occident, c'est dans l'œuvre de Martial que l'on trouve trace pour la première fois de la publication d’œuvres littéraires (Homère, Virgile, Tite-Live, Ovide) sous cette forme. Par la suite, le codex sera adopté par les premiers chrétiens pour faire circuler leurs textes sacrés. Ce format — alors inhabituel pour des livres — permettait en effet de différencier le texte des Évangiles des rouleaux sur lesquels les juifs écrivaient la Torah (Sefer Torah). Les civilisations mésoaméricaines (Olmèques, Zapotèques, Mayas, Toltèques, Aztèques, etc.) ont de leur côté inventé écriture et papier indépendamment de l'Eurasie. On parle aussi de codex pour désigner leurs ouvrages contenant dessins et légendes.

Enfin, comment ne pas être interpellé par la présence extraterrestre*² dans les cultures des peuples premiers - amérindiens (Mayas, Incas, Hopis), africains (Dogons), aborigènes... -, si ce n'est la réduire aux effets des volutes herbeuses de leurs chamanes...

* Au fil des siècles, le codex — qu'on désigne le plus souvent comme un manuscrit — va évoluer et se donner peu à peu les attributs du livre moderne : séparation entre les mots (VIIe siècle), début de ponctuation (VIIIe siècle), table des matières, titre courant, marque de paragraphe (XIe siècle), pagination, index (XIIIe siècle), etc.13 Lorsque l'on passe de l'ère du manuscrit à celle du livre imprimé, la page de titre fait finalement son apparition, vers 1475-148014. Le livre moderne a alors atteint sa forme familière.

Elles parlent toutes de création exogène de l'humanité.

Le Codex Nag Hammadi

A Nag Hammadi, à 400 km au sud du Caire et au nord-ouest de Luxor en Égypte, furent trouvés en décembre 1945 treize codex dans une jarre scellée sous forme de rouleaux en papyrus, dans un état certes dégradé mais permettant en grande partie leur retranscription. Authentifiés comme véridiques même si d'aucuns les considèrent comme une falsification archéologique, ils sont des copies dictées en langue copte au IV° siècle de textes plus anciens, au moment où le dogme établi par la jeune Église romaine qui vient de s'institutionnaliser a fait le tri entre les écrits sacrés acceptables et ceux non révélés, autrement dits apocryphes. Parmi ces 13 codex se trouvent principalement les évangiles de Philippe (127 logions) et de Thomas (114 paroles) ainsi que l'Hypostase des Archontes, soit l'explication de la chute des Anges (l'humain) déchus*. Tous reposent sur un secret laissé à la sagacité de ceux et celles à qui ils s'adressent, caché derrière les mots employés. Ce secret est celui de l'immortalité, de l'"éther-nité", permettant de régner sur le Tout : l'univers matériel, le monde des âmes (l'au-delà), et le Royaume divin. C'est pourquoi il ne peut être révélé par les élites en charge de l'enseignement académique, celles-ci ayant fait le choix de la corruption de leurs âmes pour asseoir leur domination terrestre.

Aussi, pour découvrir ce secret, l'être humain n'a pas d'autre choix que de se faire herméneute pour en découvrir le sens caché... Il ne doit cesser de chercher jusqu'à ce qu'il trouve, sinon il demeure prisonnier de la cyclicité des temps dans la 3ème dimension d'appartenance, avec à chaque réincarnation une leçon plus difficile à vivre jusqu'à ce qu'il se décide de mettre fin à ses souffrances : "Heureux qui a connu l’Épreuve, il est entré dans la vie" (c'est le baptême du Feu, soit le passage au creuset des alchimistes*²). Tant qu'il ne réunit pas ses deux natures en une (le masculin et le féminin, le corps et l'esprit), il reste prisonnier de son égo-mental qui l'illusionne. C'est le message délivré par Philippe : "Si deux font la paix entre eux dans une même maison, si vous faîtes le deux UN, vous serez fils de l'Homme (le Christ)". Alors, par cette transformation, cette auto-engendration, les portes de l'espace-temps pourront s'ouvrir : "Soyez passant" (symbolique de Pâques et de Pessah). "Le vivant issu du vivant", autrement dit l'être immuable a pu renaître du vivant intérieur, soit la conscience Christique.

Thomas rajoute aux apports de Philippe trois clés de Jésus enseigneur : "Il faut ressusciter dès cette vie", "Celui qui n'est pas ressuscité avant de mourir ne connaît rien. Il mourra", "Il est nécessaire que nous revêtions l'homme vivant". Comprendra celui/celle qui entend l'appel de son âme...

* Cf. La nouvelle religion universelle.

Cf. Le chemin alchimique.

 

Les Codex méso-américains

Les peuples de Méso-amérique utilisaient différents systèmes d'écriture et une forme originale de manuscrit qui était appelée codex ou parfois "livre peint". On les distingue en fonction de leur provenance : les codex aztèques de la vallée de Mexico, les codex mixtèques de la Mixteca, les codex du groupe Borgia de la région de Puebla-Tlaxcala et les codex mayas de la zone maya. La plupart d'entre eux proviennent du Mexique central, dans la zone linguistique dite nahua. Il y a également des codex préhispaniques, rédigés avant la conquête espagnole et des codex dits coloniaux car comportant des éléments européens, la plupart réalisés avant la fin du XVIe siècle.

Au Mexique central, les codex étaient réalisés par des scribes-peintres qui recevaient une formation religieuse très poussée. Ils représentent des objets et des personnages, des formes selon des conventions très précises, de façon à reconnaître sans équivoque des souverains aussi bien que des concepts. Le système de numération, les noms des jours, les représentations des dieux étaient communes à de nombreux peuples mésoaméricains - Mixtèques, Zapotèques, Tlapanèques... -, ce langage universel étant déchiffrable dans toutes les langues. Beaucoup de ces ouvrages ont été détruits au début de la colonisation par les Espagnols qui ne voulaient prendre aucun risque que ces croyances puissent empêcher la diffusion du catholicisme et préserver l'unité culturelle des indigènes. De même, d'autres ouvrages avaient déjà été détruits en grand nombre par certains dirigeants aztèques, comme l'empereur Itzcoatl, pour réécrire une histoire idéologiquement orientée, leur permettant notamment de légitimer le pouvoir des Aztèques sur les peuples qu'ils avaient soumis. Aussi il ne subsiste que quelques codex reconnus comme purement préhispaniques, tous réalisés dans la partie centrale du Mexique, notamment Les annales, appelées "xiuhamatl", le livre des années. Son déroulement correspond aux 52 années du cycle rituel mésoaméricain, traitant de l'influence du calendrier sur la vie humaine.

 

Mayas et contact extraterrestre

Le Gouvernement Mexicain a révélé en 2014 des documents Mayas établissant le contact extraterrestre. Ils ont été avec des objets trouvés sur le site de Calakmul, nom moderne de l'une des plus anciennes et des plus puissantes cités mayas située dans l’État mexicain de Campeche, au fond d'une jungle au centre de la péninsule du Yucatán, à 35 km au nord de la frontière du Guatemala. Ils sont restés secrets pendant plus de 80 ans.

Sur le disque retrouvé (photo de gauche), différentes zones sont numérotées (photo de droite).

1) est supposé représenter la Terre et son atmosphère. Cela est symbolisé par deux anneaux.

2/3) est supposé être une comète ou un astéroïde qui se dirige vers la Terre.

4) est supposé représenter un vaisseau spatial qui frappe ou dévie la comète.

5) est supposé être un astronaute qui contrôle le vaisseau.

6) est supposé être un vaisseau contrôlé par une forme de vie intelligente.

 


Les ancêtres étoilés des Amérindiens

Les Amérindiens - Indiens d'Amérique ou Américains natifs comme revendiqué par certaines peuplades sont les premiers et seuls habitants de l'Amérique avant la colonisation européenne - parlent quasiment tous de leurs ancêtres venus des étoiles, et des visites qu’ils continuent à nous faire depuis des milliers d’années. Leurs propos considérés généralement pleins de sagesse expriment de tous temps des réalités actuelles avec clarté et profondeur. Pourquoi ne serait-ce pas le cas avec cette connaissance dont pourtant l'homme occidental est tenu complètement dans l’ignorance. Dans l'ouvrage intitulé Black Elk, les voies sacrées d’un Sioux Lakota* (W. Black Elk et William S. Lyon, Le Mail, 1995), celui-ci relate une étrange rencontre avec des êtres d’ailleurs (p. 139), disant que les scientifiques ont perdu le contact avec la sagesse, la connaissance, le pouvoir et la générosité. Leurs intentions étant mauvaises par le doute et le scepticisme qui les caractérisent, ils sont induits en erreur par un esprit étranger en eux, les ayant amenés à perdre le contact avec le peuple "de la nation étoile". Payés pour cacher la vérité, ils élaborent des fausses explications, affirmant par exemple que dans tel cas (apparition d'ovni) il s’agirait de l’évaporation d’un gaz sur le lac. En revanche, si un scientifique dit la vérité, il est mis à la porte.

Les échanges entre Amérindiens et civilisations galactiques existent depuis la nuit des temps, les contacts se renforçant à l’approche du changement terrestre. Ces Êtres des étoiles sont ainsi depuis des temps immémoriaux invoqués lors de certains rituels sacrés, ces lieux émettant vers le ciel une sorte de rayon laser bleu que les Nations des étoiles peuvent apercevoir comme des phares. Selon différentes traditions sioux, hopis, yaquis, oglaglas, iroquois ou cherokees, mais aussi aztèques, toltèques, olmèques, mayas et laponnes, le langage de la plupart des peuples amérindiens avait au départ été conçu pour faciliter et stimuler la communication télépathique avec les extraterrestres, êtres des étoiles régulièrement envoyés sur la Terre pour enseigner, stimuler la croissance spirituelle et préparer les êtres humains aux changements terrestres qui arrivent *². Ceux-ci auraient le même ADN que certains peuples d’outre-espace, les lois de l'univers étant encodées dans ses spirales. C'est pourquoi nous sommes responsables de la vibration selon laquelle nous vivons, la figure du Serpent à sonnettes (Quetzalcoatl/Kulkulkan) nous demandant de l’inviter en nous pour transmuter le "faux ADN" afin d'être en équilibre avec les êtres élémentaux de la terre, de l’air, de l’eau, du feu, de l’éther.

S'il existe parmi ces Êtres des "renégats" qui ont accepté de collaborer avec "les forces de l’Ombre" conformément aux lois des polarités qui régissent le fonctionnement du Vivant, les Êtres des étoiles lumineux sont amenés à revenir aux temps des changements terrestres, dont les premiers signes sont des inondations, des incendies et des tremblements de terre gigantesques, correspondant au nettoyage du karma. Aussi il nous est demandé d'élever notre vibration pour ne pas être pris dans cette vague d’énergie de transformation planétaire, et d'apprendre les techniques de survie dans la nature. Qui plus est, notre civilisation étant malade, il est temps que les femmes (le féminin sacré) se réunissent pour se guérir entre elles, afin ensuite qu'elles puissent aller guérir les hommes (le masculin sacré). Selon les messages reçus, ceux qui ne seront pas capables de faire la transition dans le "Cinquième Monde" se réincarneront ailleurs, sur une planète moins évoluée que la Terre, pendant que d'autres se réincarneront ici pour nettoyer les débris et aider à la transition vers une société mondiale de plus haute conscience. Enfin, certains seront pris par les Nations des étoiles pour vivre volontairement avec eux.

Il est dit que chacun de nous peut attirer les Êtres des étoiles, mais uniquement avec pureté de cœur et d’intention...

* Le chef sioux Standing Elk fait partie de ces êtres étranges, à la fois guides spirituels, guérisseurs, visionnaires et prophètes, que les Amérindiens appellent les "hommes-médecine" (chamans). À la suite d’un rituel initiatique, son peuple lui a conféré la fonction et le titre de "gardien des Lakotas de l’autel sacré de l’étoile à six branches".

* ² À chaque tribu indienne correspond une race extraterrestre qui est pour elle une sorte d’ "alter-égo", de double cosmique. Selon Steve Red Buffalo (Lakota), "Les Sioux viennent des 7 étoiles des Pléiades, qui sont connectées avec la "chanupa", la pipe sacrée" (Cf. Symbolisme des neufs premiers nombres).

 

L’ascendance extraterrestre des Dogons

Les Dogons est la dénomination d'un peuple vivant sur un plateau desséché au Mali. Ils font état dans leur tradition d'une cosmogonie qui affirme qu’ils descendent des habitants d'une planète orbitant autour de l’étoile Sirius*, qui chez les Égyptiens représente Neith-Isis, autrement dit le Féminin sacré. Cette connaissance astronomique avait été importée des étoiles proches de SIRIUS A par un être qui allait devenir leur maître qu'ils nommèrent "Nommo".

Bien avant que les scientifiques ne le reconnaissent (c’est en 1862 que l'astronome américain Alvan Clarke (1804/1887) découvrit grâce à un télescope puissant la deuxième étoile qui fut nommée Sirius B), ils prétendaient connaître deux étoiles compagnes de Sirius, l'étoile la plus brillante du ciel, Sirius "C" (non encore prouvée scientifiquement) étant celle d’où leurs ancêtres seraient venus à bord d’un vaisseau inter-stellaire dont la forme et le comportement ressemble beaucoup à ceux de la fusée lunaire Apollo. C’est pourquoi, en sachant que Sirius B boucle son orbite elliptique très excentrique car perpendiculaire autour de Sirius A en 50 ans*², ils célèbrent tous les cinquante ans la "fête de Sigui" qui vise à régénérer le Monde.

Cette connaissance des compagnons stellaires de SIRIUS indique de manière évidente que les Dogons n'ont pu par eux-mêmes acquérir ces connaissances, la révélation découlant d’"initiateurs cosmiques". Pour eux, l'Univers est infini mais cependant mesurable, ce qui rejoint les théories d'Einstein. Ils croient que les mondes infinis s'éloignent de nous à des vitesses très grandes dans un mouvement spiralé, soit par une combinaison de translations et de rotations, combinaison qui se retrouve aussi bien disent-ils dans les structures élémentaires infiniment petites que dans celles infiniment grandes. Ils ne font ainsi qu’anticiper sur les conclusions les plus modernes concernant l'expansion et la structure de notre Univers.

Leur tradition, qui est injectée de certaines connaissances de la mythologie des Égyptiens que l'on retrouve dans toute l'Europe, en Orient et en Asie, dit aussi que leurs ancêtres étaient des amphibiens, raison pour laquelle ils célèbrent l'anniversaire de leur arrivée sur Terre sous le nom de "jour du Poisson". Cela fait penser à la tradition Sumérienne qui parle d'Oannes, l'homme poisson qui apparut à plusieurs reprises sur les plages du Golfe Persique pour civiliser et éduquer les hommes*³. L’eau joue un grand rôle chez les Dogons, qui considèrent que l'eau douce est de nature masculine et l'eau de mer de nature féminine, et que cette eau est la force vitale de la terre, se trouvant même à l'intérieur de la pierre car l'humidité est partout. Or ce n’est que très récemment que la science actuelle a découvert la possibilité d'obtenir de l'eau à partir de la roche du sol …

La carte des étoiles dessinée par les Dogons montre la Croix du Nord comme l'étoile polaire (l'étoile polaire est dans la constellation dite le Dragon, qui est au centre du Zodiaque) traversant le plan galactique de la Voie Lactée en se connectant avec la Croix du Sud (Crux).

Comme ce sont les constellations de l'Egypte que l'on retrouve sur le Zodiaque de Denderah, les Poissons des Dogons dont le nom est proche du Dieu poissons babylonien DAGON sont certainement la constellation des POISSONS ou un autre POISSON du ciel (Poisson austral, Baleine, Dauphin, etc..) de l'époque, Sirius indiquant le soleil levant de l'EST.

* Cf. Travaux des ethnologues français Marcel Griaule et Germaine Dieterlen parus en 1951 dans le journal de la "Société des Africanistes" sous le titre "Un système soudanais de Sirius", suivi d'un ouvrage intitulé "Le renard pâle" sous-titré "Le mythe cosmologique, travaux et mémoire de l'Institut d'Ethnologie à Paris".

L'orbite théorique de Sirius B, invisible à l'œil nu, fut calculé par l’astronome américain Christian Heinrich Peters (1813/1890) en 1851 et sa période de révolution de 50090 ans fut précisée en 1960.

*³ Cf. L'Eglise romaine décodée.

 

Prophétie amérindienne

Dans la Tradition amérindienne il est raconté que la Nation Lakota-Dakota-Nakota (Sioux) reçut il y a plusieurs siècles la visite physique d’un être d’aspect féminin, dont la pureté du visage n’était pas sans évoquer la figure de Marie, celle que l’ésotérisme christique blanc considère comme la Vierge Cosmique. Cette femme irradiante de Lumière était habillée à la mode indienne d’une robe de daim blanc, et fut appelée White Buffalo Calf Woman, c’est-à-dire "la Femme Bison Blanc". Elle apporta aux Indiens Lakotas de très hauts enseignements spirituels, leur transmettant un rituel de paix symbolisé par la fameuse Chenupa (le Calumet de la Paix), et destiné à être partagé avec toutes les autres tribus de Turtle Island comme les Indiens appellent l’Amérique du Nord, sans distinctions de races ni de territoires.


Après le passage de Buffalo Calf Woman, des prophéties furent révélées à diverses tribus amérindiennes. Elles annonçaient que l’homme blanc viendrait bientôt, qu’il détruirait non seulement leur civilisation, mais peut-être aussi la planète toute entière. Puis viendrait ensuite le temps de la "Nation du Bison", fusion dans l’unité et l’harmonie de la race rouge avec une partie des races blanche, noire et jaune. La "Nation du Bison" serait le ferment d’une nouvelle société de paix, de justice et de fraternité. Les prophéties annonçaient que la création de la "Nation du Bison" coïnciderait également avec le retour sur la Terre des "Nations des Étoiles", civilisations des autres systèmes stellaires. Elles révélaient enfin que le commencement de cette Nouvelle Époque serait annoncé par la naissance d’un bébé bison blanc femelle, dont la robe changerait de couleur, pour devenir jaune, rouge et noire. Or, en 1995, naquit dans le Wisconsin un bison blanc femelle nommé "Miracle". Ce bébé bison était la première femelle au poil entièrement blanc à naître depuis des générations. C’est Floyd Hand, un "homme-médecine" Lakota qui révéla cette naissance à la presse américaine, ajoutant : "Pour nous les Indiens, c’est comme le Retour du Christ pour les Blancs".

Comme pour confirmer l’imminence de la réalisation des prophéties, d’autres bisons blancs femelles naquirent après "Miracle" (photo 1), dont l’une dans une réserve indienne du Dakota. Devant ces signes patents, Arvol Looking Horse, le "Gardien de la dix-neuvième génération du Calumet Sacré de la Femme Bison Blanc pour la nation Lakota-Dakota-Nakota", décida de réunir différents chefs religieux, notables et dignitaires amérindiens, mais également des Occidentaux. Cette réunion se tint le 21 juin 1996 dans le Wyoming à Grey Horn Butte au pied de l’endroit nommé Devil’s Tower (photo 2), qui est la montagne sacrée des Cherokees rendue célèbre par Steven Spielberg dans son film Rencontres du 3ème type.

Des chamanes d’autres peuples indigènes - Chefs Maoris, Sammi chez les Lapons... -, ayant vu des signes d’anciennes prophéties se réalisant maintenant, disent que le temps est venu de révéler leurs origines des étoiles, l’influence des visiteurs de l’espace sur leurs cultures, croyances spirituelles et cérémonies, ainsi que l’annonce du retour imminent des Nations des Étoiles.

Cf. en complément travaux de Ardy Sixkiller Clarke (photo 3), professeur émérite de l'université de l'état du Montana et ancienne directrice du centre pour l'éducation bilingue et multiculturel. Elle est l'auteur d'un livre sur les OVNI "Encounters With Star People: Untold Stories of American Indians", pour lequel elle a recueilli des témoignages directs de contacts avec des extraterrestres par des amérindiens résidant sur les réserves américaines. Les récits choisis sont tirés de plus de vingt années d’enquêtes de terrain et de déplacements de l’auteur sur les territoires des réserves, aux quatre coins des Etats-Unis et du Canada.

 

Le très étrange Necronomicon

Etymologiquement "Le livre des noms morts", supposé avoir été écrit en 730 AC à Damas et présenté comme "le livre de l’Arabe dément Abdul Al-Hazred" (il était initié aux Mystères des religions chaldéenne et égyptienne), le Necronomicon (1978) traduit par Colin Wilson et Robert Turner* évoque le commerce des humains avec "ceux qui peuplent les gouffres insondables qui séparent les univers".

Quels que soient la race et le climat, on retrouve dans les différents mythes l’empreinte de ces extra-terrestres qui peuplent les pages du Necronomicon. Ainsi dans l’ancien traité hindou connu sous le nom de Rigveda sont évoqués Dasyu et Dasa, ennemis surhumains de l’humanité et vivant sous terre, et d'étranges résidus de la préhistoire, géants "grands comme des montagnes" et démons "comme des arbres en marche", comme Rakshasas à la tête de tigre et l’horrible Vaitikas qui n’a qu’un œil et qu’une aile. Les mythes péruviens parlent quant à eux des Guachines (les "Obscurs"), habitants de la terre primitive. La légende des Indiens d’Amérique consacre Camazotz — dieu des Chauves-souris — horrible créature hybride aux ailes comme du cuir sur la figure de qui poussent des serpents. Que veut dire tout cela ? L’humanité est-elle devenue tout à coup victime d’une illusion, d’une hystérie, est-elle déçue d’elle-même, ou assistons-nous au retour progressif des forces qui ont poussé un Arabe dément à chanter sous une lune gibbeuse un couplet étrange et rare ?

Ce grimoire ou livre de sorts à usage nécromancien, comportant sept volumes pour plus de 900 pages dans l'édition latine, a été concu comme l'histoire de créatures qui ont vécu sur la Terre alors que l'homme n'était encore qu'une lointaine probabilité génétique. Tout comme Nostradamus qui utilisait des rituels magiques pour explorer le futur, Alhazred utilisait un encens (composé d'olibanum, storax, dictamnus, opium et hashish) pour clarifier le passé (c'est cela, combiné à un manque de références, qui fit que le Necronomicon fut largement discrédité par les historiens). Il était persuadé que de nombreuses espèces avait précédé l'Homme sur la Terre avant que de se trouver sur d'autres plans. Cette conviction était appuyée par la croyance métaphysique d'une hiérarchie dans l'évolution spirituelle dont toutes les espèces, y compris l'homme, répondaient.

* Il ne semble exister aucun manuscrit en arabe. Une transcription en latin a été faite en 1487 par un prêtre dominicain allemand, Olaus Wormius, qui fut secrétaire du premier Grand Inquisiteur d'Espagne, Tomas de Torquamada. Il fut finalement convaincu d'hérésie et brûlé, non sans avoir pu transmettre une copie du manuscrit à Johann Tritheim, abbé de Spanheim (ou Trithémius). La lettre qui l'accompagnait contenait une interprétation blasphématoire de passages de la Génèse. La quasi totalité des livres issus de la transcription de Wormius furent saisis et brûlés, à l'exception peut-être d'un exemplaire qui aurait trouvé la direction de la Bibliothèque du Vatican. Presque cent ans plus tard, en 1856, une copie du manuscrit de Wormius refit surface à Prague, et achetée par le Dr. John Dee, le célèbre magicien anglais, qui était à la cour de l'empereur Rudolph II pour discuter de la possibilité de fabriquer de l'or alchimique. Il acheta la copie au cabbaliste Jacob Eliezer, surnommé "le Rabin Noir" et qui avait fui l'Italie après avoir été accusé de nécromancie. Il semble probable que l'écrivain occultiste Edward Alexander Crowley (1875/1947),  également connu comme Maître Therion, Frater Perdurabo, The Great Beast 666 ou "L’homme le plus malsain du monde", en ait eu un exemplaire.

Progressivement la traduction de Dee disparut, tout comme l'édition de Wormius. De nos jours, on ne trouve le Nécronomicon sur aucun catalogue, hormis des extraits portant principalement sur les rituels magiques (ils sont publiés en France sous le nom de Nécronomicon).

 

Ses arguments

A partir des pièces, la théorie des anciens astronautes repose sur deux grandes hypothèses.

La première est que les civilisations antiques (égyptienne, amérindienne, mésopotamienne ...), voire les civilisations englouties non validées par la science, n'ont pu posséder les connaissances technologiques nécessaires pour réaliser certaines de leurs constructions colossales, comme la grande pyramide de Gizeh en Égypte, la ville de Baalbek (Héliopolis) au Liban, les statues de l’île chilienne de Pâques dans le sud-est de l'océan Pacifique, les géoglyphes du désert de Nazca au Pérou... ou complexes (machine grecque d'Anticythère*…), et dont la technologie scientifique actuelle n'est pas en capacité de reproduire.

La seconde est que des êtres de nature extraterrestre auraient influencé le développement des civilisations sur Terre, soit en enseignant aux hommes l'agriculture, l'écriture, les mathématiques, soit en altérant l'ADN humain pour favoriser l'évolution vers une espèce plus intelligente. Cette hypothèse est nommée "la théorie du dessein intelligent extraterrestre", que l'on retrouve par exemple dans les passages de la Bible concernant les Élohim.

Toutes peuvent être bien entendu récusées, selon un argumentaire approprié. C'est le jeu de la Matrice, le binaire qui divise, oppose et fracture. Aussi le chercheur de vérité n'a pas d'autre choix que de mener ses propres investigations. S'il est relié à sa supraconscience, il obtient les indices sinon les réponses à sa compréhension de Ce Qui Est.

* Retrouvé en 1900 au large de l'île grecque d'Anticythère, il est le premier calculateur analogique antique permettant de calculer des positions astronomiques, décrivant les mouvements solaire, lunaire et des planètes visibles à l’œil nu et servant également à prévoir les éclipses. Le mécanisme était actionné par une manivelle. Il est estimé entre la fin du III° et la moitié du II° siècle av. J.-C.

 

Mystérieux géoglyphes

Les "Lignes Nazca" sont une série de géoglyphes* situés dans le Désert Nazca, un plateau élevé et aride entre les villes de Nazca et Palpa dans les Pampas de Jumana au Pérou. Elles furent créées par la culture Nazca entre 200 av. J.-C. et 700 ap. J.-C. Les lignes Nazca ne peuvent pas être reconnues en tant que figures cohérentes sauf du ciel. Puisque l’on présume que les hommes Nazca n’auraient jamais pu voir leur travail depuis ce point de vue avantageux, il y eut beaucoup d’hypothèses sur les capacités des constructeurs et leurs motivations.

* Un géoglyphe est un grand dessin, un grand motif à même le sol. Les géoglyphes peuvent être réalisés en positif par entassement de pierres, de gravier ou de terre ; ils peuvent être réalisés en négatif par enlèvement des pierres, de la végétation ou de la terre.

 

Le schéma des 3 tunnels - Cliquer pour agrandir
Le schéma des 3 tunnels - Cliquer pour agrandir

La montagne des Géants

Les monts Bucegi * forment un massif montagneux situé dans les Carpates méridionales, au nord-ouest de Bucarest en Roumanie (près de la frontière de la terre célèbre connu sous le nom Transylvanie). En 2002, des chercheurs ont découvert dans cette région le lieu où vivaient "les Géants", des êtres qui visiblement maîtrisaient des technologies supérieures à la nôtre. C'est ainsi que dans l’intérieur de la montagne, sans aucune sortie visible à la surface, il existe un tunnel bizarre, qui commence par une pente extérieure avant de virer brusquement en ongle de 26° vers l’intérieur de la montagne.
Les entrées dans le tunnel ainsi que la galerie centrale à l’intérieur de la montagne sont protégées par un bouclier énergétique. Cette galerie (chambre) a une hauteur de 30m et une longueur de 100m. Ici, sur toute la longueur du mur de droite, il existe des tables géantes. Pareil, pour le mur de gauche. Aucune de ces tables n’a une hauteur plus petite de 2m. Sur les tables sont gravées toutes sortes d’inscriptions cunéiformes, ainsi que des symboles généraux comme le triangle et le cercle. Certaines de ces tables paraissent être des consoles d’où sortent plein de câbles. Ces consoles peuvent projeter des hologrammes avec des informations scientifiques.

Cette découverte archéologique révèle également la présence d'une sphinx ancienne située dans les monts Bucegi de la Roumanie, grâce à la technologie state-of-the-art satellite

* Dans l'ancienne langue roumaine un bucegi signifie "à choisir". Autrement dit, les monts sont "les élus" montagnes.

Cf. en complément livre "Transylvanian Sunrise" de l'auteur Radu Cinamar.

 

Des tunnels

L’erdstall* est un type de tunnel que l’on trouve un peu partout en Europe, principalement en Bavière, dans le sud-est de l’Allemagne et en Autriche. Si l'on pense généralement qu’ils ont été construits pendant la période médiévale, certains théoriciens affirment que ces anciennes structures souterraines remontent à l’âge de pierre, leur raison d’être restant une énigme séduisante. Les partisans de la théorie de l’âge de pierre avancent en effet que ces tunnels formaient un vaste réseau souterrain s’étendant de l’Écosse à la Turquie.

S’il existe plusieurs types de tunnels souterrains dans le monde, les erdstalls présentent des caractéristiques uniques qui les distinguent des autres. En règle générale, un réseau d’erdstalls comprend des tunnels étroits et bas, souvent de forme ovale et s’étendant verticalement ou horizontalement.

Ces tunnels intrigants ont généralement une longueur comprise entre 20 et 50 mètres. Le "schlupf" ou "slip out" est une caractéristique particulière : il s’agit de trous incroyablement étroits (environ 40 cm de diamètre) qui relient des tunnels situés à des niveaux différents.

* Le terme "erdstall" vient de l’allemand, signifiant "étable de terre" ou "tunnel minier".

 

Des Élohim, ou la présence exo-terrestre avérée dans la Bible

Les travaux de Mauro Biglino (photo 1), philologue spécialiste italien de la traduction des textes en vieil hébreu constitutifs de l'Ancien Testament (et ancien traducteur du Vatican), démontrent que la Bible est un "livre" - en fait une compilation de textes - qui raconte l'arrivée sur notre planète d'une race extra-terrestre prédatrice, les véritables créateurs de l'espèce humaine. Il va sans dire que ses propos se heurtent aux soutiens sans faille de la version classique *... La Genèse évoque déjà dans son chapitre 6 que les Élohim, les "fils des dieux", soit des extraterrestres, trouvaient les filles des hommes belles et qu'ils les épousèrent, ce croisement engendrant des héros célèbres comme des monstres. La majeure partie de l’Ancien Testament est quant à elle consacrée à la description des origines et de la jeunesse du peuple hébreu qui vivait dans la cité sumérienne d’Ur vers 2.000 à 1.500 av. J.-C., aidé et gouverné par Jéhovah présenté comme Dieu, soit un être purement spirituel, véritable Être Suprême. Ses descriptions dans l’Ancien Testament indiquent qu’il voyageait dans le ciel dans ce qui paraît avoir été un vaisseau bruyant et produisant de la fumée (Cf. La Genèse 19 :16-19, 20 :18 ; L’Exode 13 :21-22, 14 :24, 40 :34-38, et Les Nombres 19 :1-23). Les témoins, des anciens Hébreux responsables de ces descriptions, n’ont pas pu voir Jéhovah de plus près. La Bible souligne en effet que personne n’était autorisé à approcher les sites où il se présentait au sommet de la montagne, sauf Moïse et quelques autres chefs sélectionnés, Jéhovah ayant menacé de mort toute autre personne qui voudrait essayer. Nous sommes fort éloigné du "Père" Être Suprême aimant tous ses enfants… Ce n’est que bien plus tard qu’un des prophètes les plus célèbres de la Bible, Ézéchiel, a eu la possibilité de voir de plus près et de décrire Jéhovah avec plus de détails. Sa description (Cf. Ézéchiel 1:1-25) ressemble aux descriptions bibliques précédentes de Jéhovah, soit un objet ardent en mouvement dans le ciel et émettant de la fumée. Alors que l’objet s’approchait, Ézéchiel put observer que la chose était faite de métal. De cet objet métallique émergèrent plusieurs créatures humanoïdes, portant apparemment des bottes en métal et des casques décorés. Leurs "ailes" semblaient être des moteurs rétractables qui émettaient un vrombissement et aidaient les créatures à voler. Leurs têtes étaient couvertes de verre ou quelque chose de transparent qui réfléchissait le ciel au-dessus d’eux. Ils semblaient être dans une sorte de véhicule circulaire ou de véhicule avec des roues. Nous pouvons sans nous tromper conclure du passage d’Ézéchiel que Jéhovah n’était pas un Être Suprême, mais une succession d’équipes exo-terrestres opérant pendant une période de plusieurs générations, utilisant un vaisseau volant pour perpétrer auprès des humains le mensonge qu’ils étaient "Dieu".

* Cf. Le Judaïsme décodé.

 

Tablette sumérienne
Tablette sumérienne

Les tablettes sumériennes : l'origine de l'humain selon l'histoire non enseignée

Anton Parks (photo 2), spécialiste franco-allemand de l'étude des tablettes d'argile mésopotamiennes, établit quant à lui de leur décryptage l'histoire de la civilisation humaine entre des races planificatrices bienveillantes et des races agressives, qui voit plusieurs versions de l'humain comme il existe plusieurs versions du singe… Le tout premier est le Namlú'u (Nammu) créé par les planificateurs Kadištu, autrement dit les Élohim de la Bible qui ont ensemencé la Terre avant son invasion par les Anunna, race reptilienne involutive et agressive. Ils étaient des êtres qui englobaient des capacités hors du commun. Ce spécimen est nommé, par exemple, dans le manuscrit gnostique de Nag-Hammadi ("Livre Secret de Jean ", Codex NH2 - 1, 28) où il apparaît sous la forme de " l'Homme primordial parfait " créé par les différents créateurs selon leurs différentes puissances et qualités. Comme l'expriment plusieurs textes gnostiques, les Élohim étaient les gardiens de la Terre avant l'arrivée des mauvais dieux, les Anunna. Ils ont disparu de notre dimension terrestre lors de l'avènement de ces derniers. Le mot Namlú'u est un terme générique utilisé pour nommer en Mésopotamie l'humanité primordiale, et employé plus tard pour désigner les Sumériens qui étaient considérés au Proche-Orient ancien comme la première humanité qui fut mise au service des "dieux". Ils se répartissaient à l'époque sumérienne entre les deux frères Enki et Enlil*, dits fils de Nammu et de Ninmah. C'est ainsi que les Nungal d'Enki sont présentés dans les tablettes sumériennes comme des Bené-Elohim ("les fils des Élohim"), autrement dit les anges veilleurs et déchus de la Bible, qui sont des planificateurs du vivant et par-là même de l'humanité sur terre. Par leur polarité féminine, ils sont en discorde profonde avec les Anunna d'Enlil, entités reptiliennes de polarité masculine, agressives et asservissantes de l'humanité*². Une grande majorité des légendes de la Terre témoignant de la présence de divinités à polarité féminine, l'existence sur Terre de ces divinités au féminin est antérieure à la présence du dieu mâle - Yahvé/Jéhovah - telle que nous le rapporte la religion judéo-chrétienne, et qui n'apparaît qu'en Genèse 2.7, c'est-à-dire lors de la seconde création répertoriée dans la Bible. La Genèse le laisse d'ailleurs entendre quand elle indique (Genèse 1.26) que les Élohim ("les divinités"), terme pluriel féminin, créent l'Homme "à leur image"… Alors que ce terme, pourtant féminin pluriel, est traduit le plus souvent en "Dieu", il se décompose en suméro-akkadien en EL-Ú-HI-IM, soit "les puissants élevés qui ont mélangé l'argile (ou l’argileux : l’Homme)". Ces Élohim forment une association multiethnique et culturelle planificatrice qui travaille pour la Source de toute chose, Ce Qui Est, figurant plutôt une énergie féminine, celle de la Déesse-Mère*³.

Il y aurait eu bel et bien un mélange entre le Namlú'u primordial et les différents types d'ouvriers façonnés (manipulés génétiquement) pour l'intérêt des races reptiliennes agressives Kingu composées notamment des Gina'abul et de leurs guerriers Anunna. Ils sont l'Homo Erectus puis l'Homo Neanderthalensis, qui lui-même donna l'homme moderne, d'abord l'Homo Sapiens puis l'Homo Sapiens Sapiens. Cette branche Homo est la famille "animale", utilisée par la famille reptilienne involutive qui s'est imposée pour contrôler et dominer sur la Terre. Autrement dit, il s'agit du Caïn biblique, génétiquement coupé du divin, dont seuls 3 à 5% de l’ADN moderne s’exprimeraient en protéines et seraient utiles, le reste étant le Junk DNA, l'ADN poubelle...

* Nous retrouvons les figures d'Enki et Enlil dans la Bible sous celles de Abel et Caïn, comme plus tard dans la mythologie romaine sous celles de Romulus et Remus.

Cf. Les acteurs de la Matrice falsifiée.

*³ Cf. Le féminin séquestré.

 

Cette présence extraterrestre est également démontrée par d'autres auteurs, comme le suisse Erich Von Däniken, l'américain d'origine soviétique Zecharia Sitchin (1920/2010) et l'américain William Bramley dans la publication de leurs travaux respectifs, qui font état de récits anciens portant sur la perception d'êtres distincts des humains ordinaires appelés "dieux", d'une relation entre les observations d’OVNIs et l’apparition soudaine de maladies mortelles ou de fléaux, ainsi que de témoignages archéologiques qui démontrent la présence réelle, physique, d’une race d’extraterrestres venus jadis sur Terre pour mettre l’humanité sous contrôle, et ayant peut-être bien des plans pour revenir "récolter les fruits de leurs efforts" par leur pouvoir de créer et maintenir la réalité d’illusion et de restriction dans laquelle nous sommes confinés...

 

Cf.  en complément travaux de Stéfania Tosi (photo 3), spécialiste italienne des anciennes écritures hébraïques, sumériennes et égyptiennes, auteur de "Yahweh - Dio della Guerra" (Yahwé, Dieu de la Guerre) et "Il falso Dio. Da Osiride a Gesù, l'anima pagana del culto cristiano" (Le faux Dieu, d'Osiris à Jésus, l'âme païenne du culte chrétien) ; Laura Fezia (photo 4), chercheuse italienne spécialiste du Vatican et de ses mensonges, auteur entre autres de "Apparizioni mariane: il grande imbroglio. Indagine laica sui criteri con cui la Chiesa approva una presunta manifestazione celeste" (Apparitions mariales : le grand imbroglio. Une enquête laïque sur les critères par lesquels l'Église approuve une manifestation céleste présumée) ; Pietro Buffa (photo 5), biologiste italien moléculaire spécialisé en bio-informatique, auteur en 2015 de "I geni manipolati di Adamo. Le origini umane attraverso l'ipotesi dell'intervento biogenetico" (Les gènes manipulés d'Adam. Les origines humaines à travers l'hypothèse de l'intervention biogénétique).

 

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Des apparitions mariales

Le géobiologiste français Philippe Palem, agrobiologiste de formation, a mené une enquête poussée sur le phénomène des apparitions dites mariales (apparition de la Vierge) tout au long des siècles écoulés pour en comprendre la teneur (plus de 21.000 ont été clairement recensées depuis l'An Mil, l’Église catholique n'en reconnaissant que 12). Dans son ouvrage paru en 2016 "Voyage dans les mondes obscurs - les dieux ont faim", il remet en question la croyance sous influence religieuse de la réalité de sa teneur miraculeuse, établissant le subterfuge spirituel* réalisé par des entités extra-dimensionnelles prédatrices, qui vise à constituer "l'égrégore prière" aux fins de les nourrir compte-tenu de la puissance psychique produite. Nous en retrouvons la contrepartie dans la peur ressentie par un grand nombre d'êtres humains à l'encontre des "petits gris", telle qu'entretenue par les œuvres littéraires ou cinématographiques de science-fiction, si ce n'est les animaux fantastiques tels la Bête du Gévaudan, le monstre du Loch Ness ou encore celles du ranch de l'Utah (chemin du "skinwalker") qui ont engendré terreur et ferveur de prières rédemptrices... Nous pouvons par exemple en imaginer l'ampleur avec les différentes apparitions de la Vierge à Fatima au Portugal en 1917, la sixième le 17 octobre ayant vu entre 50.000 et 70.000 personnes prier avec ferveur le rosaire ; avec celle apparue à Zeitoun, banlieue du Caire, de 1968 à 1971 sous une forme lumineuse devant des dizaines de milliers de personnes, chrétiens comme musulmans ; ou encore celle de Međugorje ou Medjugorje en Bosnie-Herzégovine, qui voit Marie de Nazareth apparaître à six Croates d'Herzégovine depuis le 24 juin 1981 quotidiennement, et qui de ce fait est un des lieux les plus visités au monde.

La technologie de manipulation utilisée est celle d'une puissante hypnose réalisée à partir de l'inconscient humain - le corps éthérique -, à même par les peurs et les archétypes (Jésus par exemple) qu'y s'y trouvent de créer le besoin de sauveurs extérieurs, entre autres la Vierge, symbole du féminin sacré protecteur... Bien évidemment, les religions en constituent les relais attitrés, l'être humain ayant le besoin de croire à l'extérieur tant qu'il n'a pas retrouvé la mémoire de Qui Il Est vraiment. Il y sera d'autant plus incité par l'exemple de mystiques religieux ayant, par leur inflammation psychique, réussi à créer des états de conscience modifiés qui ont conduit à l'acquisition de pouvoirs "merveilleux" (ainsi la stigmatisation ou la bilocation, qu'a illustré le Padre Pio*²). La manipulation a toujours besoin de s'appuyer sur des médiums relais, des artefacts comme le suaire ou linceul de Turin, et des fidèles miraculeusement guéris qui entretiendront le mythe nourricier de nos maîtres asservisseurs.

* Cf. Prédation spirituelle et voie de sortie.

Cf. L’Église romaine décodée.

 

Le mystérieux Ranch de l'Utah

La partie du nord-est de l'Utah a été dans les années 50, 60, 70, 80 et 90 le site d'une activité paranormale incroyable, telle que rapportée par d'éminents observateurs scientifiques : Ovnis, véhicules en forme de cigare, boules de lumière zigzaguant, mutilations de bétail, manifestations psychiques, créatures qui ne sont trouvées ni dans les zoos ni dans les manuels, ou encore événements de poltergeist. Environ 400 incidents ont été recensés, mais il est vraisemblable qu'il s'est produit des milliers d'autres cas. La tribu des indiens Ute installée sur ce bassin fait référence à des êtres appelés des "Skinwalkers", que d'autres cultures appellent shape-shifters, loups-garous ou encore Bigfoot, soit des esprits puissants.

Le centre de cette activité est un ranch d'une étendue de 480 acres (photo 1), les Utes le nommant "le chemin du Skinwalker". Son nouveau propriétaire en 1994, Tom Gorman (pseudonyme), aperçut peu après avec sa famille un loup qui, s'avançant vers le corral, saisit un veau par le museau, essayant de le tirer à travers les barrières. Gorman saisit rapidement un 357 Magnum puis un fusil de chasse de son fourgon et tira à plusieurs reprises sur le loup à bout portant. Mais les tirs n'eurent aucun effet sur l'animal dont aucune trace de sang n'apparut. Quelques semaines plus tard, son épouse en voiture rencontra un loup si grand que son dos atteignait le haut de la vitre de sa voiture, qui était accompagné d'un animal ressemblant à un chien. Durant les deux années qui suivirent, les membres de la famille et les voisins racontèrent avoir vu une grande quantité d'animaux étranges, dont des oiseaux exotiques et multicolores qui n'étaient certainement pas originaires de la région et qui n'ont pas pu être identifiés.

Quant aux OVNI et autres curiosités aériennes, la famille Gorman aperçut à nombre de reprises des objets volants non identifiés, des sombreros volants, des traits de lumière similaires à des bulbes de lumière fluorescente, et un véhicule en forme de cigare d'une longueur équivalente à plusieurs terrains de football. D'une manière générale, les objets les plus communs qu'ils avaient eu la possibilité d'observer étaient des sphères volantes de tailles et couleurs différentes, les sphères bleues semblant générer divers effets psychologiques sur la famille. A chaque fois que les sphères bleues apparaissaient, les membres de la famille sentaient des ondes de peur tout autour d'eux, beaucoup plus qu'en temps normal.

Repris par une équipe scientifique, le ranch fit alors l'objet d'études approfondies sur les activités paranormales à partir d'équipements de surveillance de haute technologie. Les témoins, y compris des scientifiques de haut niveau ainsi que des représentants de la loi, ont documenté une série d'activités inhabituelles, à en confondre l'imagination. Mais il y a eu un blackout quasi total concernant les informations disponibles sur le site.

 

Réalité extra-terrestre dissimulée

 

"Je pense que beaucoup des machines que nous voyons viennent de l'espace, mais qu'un grand nombre sont des machines fabriquées sur terre. Les secrets de l'antigravité et de la production d'énergie libre sont connus dans les cercles scientifiques supérieurs et tout est fait pour que nous n'en soyons pas informés ... Tous les jours quelque part dans le monde, se produisent des apparitions vérifiées d'OVNIs. Tandis que les sceptiques continuent d'affirmer que ce ne sont que des émanations de marécages, des liquides flottants dans les yeux, le lever ou le coucher de Vénus, et des flashs de phares de voitures projetés sur des nuages, ils ne peuvent rien dire concernant le nombre croissant de rapports d'objets physiques apparaissant sur les radars."

Déclaration du pilote d'avion néozélandais Bruce Cathie dans son livre Harmonic 695

 

Le phénomène extra-terrestre est un sujet très nébuleux. Malgré des preuves de "rencontres/contact" documentées depuis des années, il n’existe toujours aucune confirmation de la part des autorités officielles, qu’il s’agisse des médias officiels ou du gouvernement – de l’existence d’un phénomène "venu d’ailleurs". Tout au contraire, lorsqu’il est abordé, le sujet est souvent tourné en ridicule ou ignoré*. Pourtant, si une bonne partie des gens croient en son existence et pensent que le gouvernement leur dissimule des informations, la plupart n’y accordent pas beaucoup d’attention ou n’y réfléchissent pas outre mesure, croyant que cela ne nous affecte pas vraiment, de toute façon, et que nous nous occuperons de la question lorsqu’un "contact" aura été officiellement établi.

Or il ne faut pas considérer l'OVNI ou l'extraterrestre en tant que pièce unique dans l'échiquier, cette approche étant en effet simpliste. Il faut au contraire considérer le couple observateur et OVNI/extraterrestre dans son ensemble. D'abord parce que sans observateur, il n'y a pas d'OVNI. Ensuite, parce qu'en observation scientifique dans ces conditions, nous ne pouvons pas séparer l'observateur de l'objet observé : c'est un tout.

Il va sans dire que l'étude de la réalité extra-terrestre ne peut être résumée en un court chapitre, tant les éléments caractérisant la discipline dite ufologie abondent, et ce dans divers domaines comme par exemple les enlèvements*² et les expérimentations sur des êtres humains - appelés "abductions" -, les mutilations animales inexpliquées un peu partout sur la terre, ou les guérisons suite à leur intervention*³. De manière pragmatique la question des ovnis est un problème réel, impliquant du personnel militaire et scientifique tout autour du monde depuis plus de 50 ans. Couverte de secret, elle ne peut être évacuée comme secondaire, les milliards de dollars investis apparaissant alors totalement irresponsables de la part d'institutions dédiées à l'intérêt commun, et qui auraient pu de ce fait faire d'autres choix d'investissement…

* Le président de la Commission européenne Jean-Claude Juncker a livré en ce sens un discours très étonnant au Parlement européen le mardi 28 juin 2016, parlant "des gens qui nous observent de loin" (on pourrait comprendre les pays hors de l’Union européenne), et qu'il a "vu et entendu des dirigeants d’autres planètes" qui semblent très inquiets quant à l’avenir de l’Europe, laissant transparaître les relations entretenues entre les gouvernements et les aliens... Autant dire que ce discours a entraîné incompréhension et surtout moqueries de tous les rationalistes persuadés qu'il s'agissait d'un lapsus (mauvaise maîtrise de la langue française), et d'être seuls au sein de l'univers. Ils démontrent par là-même leur ignorance du sujet, faute de l'avoir étudié hors tous préjugés en toute objectivité.

Cf. témoignage troublant parmi d'autres de Jean Miguères (1940/1992), auteur de "Cobaye des extraterrestres" - site officiel : http://www.jean-migueres.com/ & travaux et publications diverses du scientifique astrophysicien français spécialiste en mécanique des fluides, physique des plasmas, magnétohydrodynamique et en physique théorique Jean-Pierre Petit.

*³ Cf. Livre "Guérisons extraterrestres" (UFO Healings) de l'ufologue Preston Dennett.

 

Quelle validité de la preuve extra-terrestre par hypnose ?

La pratique de l'hypnose, notamment régressive, est à la mode. Il n'est qu'à voir l'abondance de publications à son sujet et de professionnels (médiums, thérapeutes) se lançant sur ce lucratif marché (la séance coûte plusieurs centaines d'euros selon la notoriété du "professionnel"). Tout naturellement, elle est mise à "profit" en matière d'abduction extra-terrestre, certain(e)s de ses praticiens n'hésitant pas à les publier dans les réseaux sociaux. Pour autant, son caractère scientifique est sujet à caution, tant par le transfert des croyances et conditionnements propres au praticien qui peuvent significativement polluer le témoignage du sujet mis sous hypnose dans les suggestions émises, que par la plasticité de l'esprit se prêtant à cette manipulation, d'autant plus avec implantation de faux souvenirs. De la même manière, qui peut garantir que le praticien n'est pas lui-même un contacté ou un abducté, à son insu il va sans dire... Aussi convient-il de rester prudent et sceptique, et mener par soi-même sa propre enquête.

Cf. Travaux du docteur chimiste italien Corrado Malanga spécialiste en abductions dans son livre "Gli UFO nella mente" (Les OVNIS de l'esprit) ; livre du docteur Edith Fioré "Encounters - A psychologist reveals case studies of abductions by extraterrials" (Rencontres : Une psychologue dévoile des cas d’abductions par les extraterrestres) ; travaux de la psychologue cognitiviste américaine Elizabeth Loftus sur les illusions de la mémoire et l'implantation de faux souvenirs (plusieurs ouvrages).

 

Toutefois, la chape de plomb jusqu'alors posée sur cette question se fissure de plus en plus, nombre de représentants institutionnels libérant la "parole". C'est entre autres le cas du général Haim Eshed, responsable du programme de sécurité spatiale de l'Etat hébreu de 1981 à 2010 et trois fois Prix israélien de la sécurité, qui dans un entretien au journal Yediot Aharonot, a affirmé en décembre 2020 qu'une "fédération galactique" aurait conclu un accord avec Israël et les Etats-Unis, cette coopération se traduisant par l’existence d’une base secrète sur Mars où des Américains et des représentants extraterrestres travailleraient de concert. Il développe ses thèses dans un livre "The Universe Beyond the Horizon – conversations with Professor Haim Eshed", rejoignant à sa manière les constats scientifiques désormais établis, comme par une équipe australienne et américaine qui a publié ses travaux en octobre 2020.

Elle y affirme au moyen de la mécanique quantique* que des mondes parallèles interagissent bel et bien, ne se contentant pas d'exister indépendamment les uns des autres. Les scientifiques assurent que ces autres mondes exercent une force sur notre propre univers, qui provoquerait des phénomènes a priori inexplicables, comme certains mouvements de particules au niveau microscopique. Selon cette théorie, notre univers ne serait donc qu'une gigantesque série de mondes, certains semblables au nôtre, d'autres très différents. Tous ces mondes existeraient simultanément et s'influenceraient les uns les autres par une force de répulsion. Ils ne font que redire ce que le physicien et mathématicien américain Hugh Everett (1930/1982), rendu célèbre par son hypothèse des mondes multiples en physique, expliquait dès 1957, à savoir que l'univers comporte tous les états définis par la mécanique quantique, l'observateur n'en percevant qu'une possibilité (le fait d'interagir avec la réalité lui fait "choisir" une voie, sans que les autres ne cessent d'exister simultanément). Notre univers n'est qu'une infime possibilité parmi d'autres, infinies.

La mécanique quantique est une branche de la physique qui tente d'expliquer et de décrire les phénomènes fondamentaux comme le mouvement des particules par exemple. Elle a entre autres permis d'expliquer la structure de l'atome et forme le socle de la physique moderne. Elle est particulièrement difficile à comprendre et peu instinctive, car elle défie les lois physiques que l'on connaît depuis Newton (de cause à effet).

 

Pourquoi le phénomène OVNI n'est-il pas perceptible au regard de l'être humain non éveillé ?

L'explication du pourquoi de l'observation des ovnis en vol stationnaire de la vie terrsetre sans que nous nous en rendions compte a été donnée par les scientifiques indiens. À Pune, en Inde, les ingénieurs de l’Organisation indienne de recherche et de développement pour la défense expérimentent un dispositif qui leur permet de voir les effets secrets d’un flux électromagnétique intense. Et selon ces scientfiques, les effets ultimes de l’occultation sont obtenus en créant un flux électromagnétique intense autour de n’importe quel objet. Les Russes ont également expérimenté des mécanismes d’occultation similaires.

Le flux électromagnétique peut ainsi être créé par des applications très avancées des supraconducteurs, débouchant sur des moyens paranormaux de créer le flux qui rend tout vraiment invisible. Le flux électromagnétique peut être créé par toute personne par le biais de la méditation. Lorsque cela se produit, des phénomènes étranges apparaissent, que la plupart des gens appellent miracles, événements divins, etc. Il en découle que le flux électromagnétique est utilisé pour rendre les OVNIs invisibles à l’œil humain, alors que certains animaux comme les chiens et les chats possèdent des capteurs qui leur permettent de percevoir l’énergie au-delà du flux électromagnétique. De ce fait, selon ces scientifiques, une machine qui voit à travers le flux électromagnétique pourrait voir les OVNIs à tout moment.

Quant à la raison pour laquelle les OVNIs sont parfois visibles pendant de courtes périodes, c'est que lorsqu’un OVNI entre dans l’atmosphère terrestre et s’approche d’un objet ou d’une destination sur Terre, l’OVNI doit modifier sa vitesse ultrasonique ou ses techniques de manœuvre pour se rapprocher de la vitesse du son et s’adapter à l’électromagnétisme et à la gravité de la Terre. À ce moment-là, pour éviter les interférences électromagnétiques, le flux artificiel est interrompu pendant de courtes périodes. Lorsque l’OVNI atteint sa vitesse typique, qu’il peut également utiliser sur terre, le flux électromagnétique est réactivé. Cela explique pourquoi de nombreux pilotes voient des OVNI et les poursuivent sans succès parce qu’ils disparaissent soudainement.

Sur la base de cette découverte, nous constatons qu’il peut y avoir des myriades d’OVNIs autour de nous. Il semblerait également que la téléportation dépende de ce flux électromagnétique. Cette nouvelle a été divulguée par le périodique en ligne Indiadaily.com.

 

La réalité est que les observations d’OVNIs se multiplient dans le monde, conduisant à ce que notre vision du cosmos explose. Tandis que l’on découvre constamment des exoplanètes, la National Aeronautics and Space Administration, plus connue sous son acronyme NASA, qui est l'agence fédérale responsable de la majeure partie du programme spatial civil des États-Unis, a publié une étude constatant qu'il y a au moins 60 milliards de planètes pouvant abriter la vie dans notre seule galaxie solaire, la Voie lactée ! Quant au nombre total de galaxies, il est estimé à plus de 2 000 milliards ! Non seulement nous ne sommes pas seuls dans l’univers, mais la vie intelligente foisonne sur des milliards d’autres planètes.

Le résultat de plus de quarante ans de recherches publié dans des revues scientifiques de haut niveau à comité de lecture établit que le voyage d’une étoile à l’autre est possible… en prenant des raccourcis de l’espace-temps. Ainsi, des civilisations extraterrestres utiliseraient les lois physiques d’un autre univers pour rejoindre le nôtre, et nous observer depuis des millénaires...

 

Mystérieux vaisseau au Japon

En 1803, un événement s’est produit au large des côtes japonaises, qui a intrigué les spécialistes et les amateurs d’OVNI. Un étrange vaisseau, décrit comme ne ressemblant à rien de ce qui avait été vu auparavant, a été découvert par des pêcheurs locaux au large de la province de Hitachi, l’actuelle préfecture d’Ibaraki située au centre de l'île de Honshū. Cet objet mystérieux, souvent appelé Utsuro-bune ("bateau creux"), contenait une femme étrangère dont les origines, la langue et l’apparence ont suscité la confusion et l’intrigue.

À l’époque, le Japon était une nation isolée, qui suivait la politique du sakoku, en vigueur depuis le début des années 1600, consistant à fermer ses frontières à la quasi-totalité des influences, des échanges et des voyages étrangers. Les étrangers étaient rarement autorisés à entrer dans le pays, et les citoyens japonais qui le quittaient étaient souvent interdits de retour, sous peine de mort. Cette position isolationniste faisait de l’arrivée d’un navire étrange et de son occupant étranger un événement extraordinaire. Si cette histoire de l’Utsuro-bune est particulièrement fascinante, c'est parce qu’elle s’est déroulée des décennies avant la réouverture des frontières du Japon au monde dans les années 1850.

 

Henri Bordeleau était le pionnier de l'ufologie au Canada, plus précisément au Québec*. Il fut l'auteur des livres intitulés "J'ai chassé les pilotes de soucoupes volantes" et  "J'ai percé le mystère des soucoupes volantes" (éditions NEFER en 1970). Il a élaboré une théorie selon laquelle les manifestations d'OVNIs seraient toujours observées à proximité de gisements ou de dépôts de sel, qui seraient leur carburant terrestre, ayant noté la présence récurrente d'OVNIs sur ou sous l'eau. A noter, parmi de nombreux auteurs, le livre "Le procès des soucoupes volantes" de l'auteur Claude McDuff, ouvrage percutant par sa forme et par la prise de position de l'auteur. Se présentant donc sous la forme d'un "Procès", celui-ci parvient à démontrer irréfutablement l'existence des O.V.N.I. à partir de pièces à conviction et de témoignages éloquents. De nombreux dessins, photos et diagrammes s'ajoutent au vivant plaidoyer de l'auteur, un "ufologiste" actif et opiniâtre. Sans oublier Jean Ferguson et son livre "Tout sur les soucoupes volantes" (Éditions Leméac), s'attachant avec vigilance et souvent à contrecœur à éliminer ce qui lui semblait douteux et flou.

* Une longue enquête d'un organisme ufologique sérieux, UFO-Québec, menée dans les années 70 du XX° siècle par le docteur en psychologie Jean Vézina, a révélé, grâce au calcul orthoténique en trois dimensions de lignes de croisé lors d'événements ufologiques (cette théorie d'alignement répondant à une logique de triangulation des quasi-atterrissages d'OVNIs a été développée par Aimé Michel), que le mont St-Hilaire est le point focal des multiples observations de passages d'OVNIs au dessus du Québec.

 

En France, l'écrivain de science-fiction, essayiste ufologue et homme de radio français Henri-René dit Jimmy Guieu (1926/2000 - photo 1)*, est l'un des pionniers de l'ufologie française avec l'écrivain Aimé Michel (1919/1992 - photo 2). Il affirme, entre autres révélations inquiétantes, notamment dans ses ouvrages documentaires et livres déguisés en romans "Les soucoupes volantes viennent d'un autre monde" (1954), "Black-out sur les soucoupes volantes" (1956), Extraterrestrial Biological Entity ("E.B.E.") en 2 tomes et "Nos maîtres les Extraterrestres" (1992), qu'"ils" sont là, parmi nous, tapis dans leurs tanières, de gigantesques bases souterraines, dissimulées à plus de mille mètres de profondeur. Ils nous guettent, nous agressent, enlèvent parfois certains des nôtres : ils sont les maîtres de l'univers ! "Ils", ce sont ces petits êtres venus de mondes lointains, ces "Gris" qui, grâce à la complicité des grands de ce monde, menacent de coloniser, d'asservir, voir d'éliminer l'espèce humaine. Et si ce spécialiste des OVNI, plus généralement des manifestations extraterrestres, et ce depuis près d'un demi-siècle, a tiré la sonnette d'alarme dans son ouvrage "Le monde étrange des contactés : Les E.T. sont parmi nous" (1986), il apparaît que la menace depuis n'a fait que se préciser, bien des faits nouveau  et révélateurs pour qui a pris conscience du péril étant intervenus, qui viennent étayer sa thèse. Selon lui, la conspiration du silence doit être brisée, et la résistance contre les "Gris" s'organiser. Dès aujourd'hui. Il y va tout simplement de la survie de l'humanité.

Il en est de même pour l'ufologue Bernard Bidault (1936/2006 - photo 3), qui affirme dans ses livres "Ovnis - Attention danger!" et "Contact paranormal extraterrestre", panoramas de cinquante années de recherches, d'analyses et d'hypothèses sur le phénomène le plus mystérieux des temps modernes, que les ovnis représentent bel et bien un danger pour l'humanité à travers ses révélations d'enlèvements d'êtres humains, de mutilations de bétail, de manipulations mentales, d'expériences à caractère médical traumatisantes effectuées sur des adultes et même des enfants, et de disparitions définitives de voitures, d'avions, de bateaux...

Quant à l'informaticien, astrophysicien, ufologue et écrivain français de science-fiction Jacques Fabrice Vallée (photo 4), il entrevoit dans le phénomène ufologique un système de "contrôle" évolutionniste terrestre opérant sur l'inconscient collectif de notre espèce, d'où une vision holistique au travers d'exemples de phénomènes folkloriques ou contemporains sortant de l'ordinaire humain. Cette perception de l'auteur s'affirme notamment à la lecture de sa trilogie "Autres dimensions : chroniques des contacts avec un autre monde", Confrontations : A Scientist's Search for Alien Contact ("Confrontations : La recherche d'un contact étranger par un scientifique") et Revelations : Alien Contact and Human Deception ("Révélations : Contact avec les étrangers et tromperie humaine") à l'orée des années 1990.

* Si l'essentiel des sujets qu'il a abordés concernent les extra-terrestres, certains thèmes mystérieux comme Rennes-le-Château ou les vortex ont aussi été abordés avec l'appui de proches comme le romancier et ufologue Guy TaradeUn roman inédit "Chasse à l'antigravitation" a également été édité dans la collection "Rivière Blanche" en 2008.

 

De son côté, l'ancien professeur de psychologie à l'Université McGill de Montréal Don Crosbie Donderi (photo 5) est convaincu "au-delà de tout doute raisonnable" que les extraterrestres existent. Il en relate les éléments dans son ouvrage "Ovnis, extraterrestres, et Alien Abductions" paru en 2013. Il en est de même avec le journaliste britannique indépendant, commentateur des médias et ancien fonctionnaire Nick Pope (photo 6), spécialiste des questions relevant de la Défense nationale et de la sécurité nationale comme aérienne entre 1991 et 1994, et intéressé par les témoignages de pilotes et les enregistrements de radars Ovnis. Il est l'auteur de plusieurs ouvrages de référence, comme Open Skies Closed Minds ("Un ciel ouvert, des esprits fermés" - 1996) et The Uninvited ("Les Indésirables" - 1997).

Quant à l'économiste de formation Ludovic Chapier (photo 7), il s’est spécialisé dans la question des enlèvements tout en étant relativement sceptique au départ sur la réalité objective de ces phénomènes qui constituent un défi à la science. Son livre "Enlèvements extraterrestres et Rencontres rapprochées" présente des cas réels et récents (années 2010 et 2011) de rencontres rapprochées aux États-Unis et de nombreux éléments relatifs à la réalité du phénomène, constituant un ouvrage de synthèse de référence qui donne une vue d’ensemble du phénomène des enlèvements tout en s’appuyant sur des faits. Sa démarche se voulant rationnelle et objective, les faits contenus dans ce livre sont tous vérifiables. Le phénomène des enlèvements est donc une énigme qu’il convient de prendre très au sérieux.

 

Parmi moultes autres témoignages, retenons également celui du médecin, psychiatre et psychanalyste austro-hongrois Wilhelm Reich (1897/1957- photo 8), qui a observé parmi plusieurs un  phénomène OVNI le 28 Janvier 1954 avec dix autres témoins à Rangeley dans l'Etat du Maine aux USA. Il détestait les E.T., qu'il appelait "Energies Alpha" (EA), et qu'il dénonçait comme des "voleurs" de l'énergie vitale des humains qu'il nommait l'orgone. D'après lui, les "EA" sont propulsés par des moteurs à orgone, dégageant de grandes quantités de radiations mortelles... Sans oublier le travail du journaliste et animateur de télévision communautaire québecois François C. Bourbeau (photo 9) qui, depuis quasiment 50 ans, fait des enquêtes ufologiques sur le terrain. Créateur de la Centrale de Compilation ufologique du Québec (C.C.U.Q. inc.), il est l’auteur de plusieurs ouvrages, dont "Contact 158" (1984) et "Les médias cachent la vérité OVNI au public" (1996). 

 

Les Aliens, une menace ?

L'historien états-unien David Jacobs* (photo 10) n'est pas un hurluberlu. Professeur notamment à Temple University (Philadelphie), impliqué dans la recherche ufologique depuis plus de trente ans et possédant en ce domaine un doctorat, il est l'auteur scrupuleux de livres hautement respectés (même si controversés) comme The UFO Controversy In America (1975) et Secret Life (1992)*², ayant passé plus de 30 ans à étudier les OVNIs et les abductions. Son troisième livre, The Threat : What The Aliens Really Want And How They Plan To Get It ("La Menace : Ce que les aliens veulent vraiment et leur plan pour l’obtenir") paru en 1998, donne quelques éléments de compréhension de la réalité Alien à partir des données accumulées au cours de onze années de recherche intensive sur les abductions, et dont les éléments ont commencé à devenir probants au début des années soixante. Il a trouvé un programme tout autre que le simple examen ou la pratique d'expériences sur des individus. Pour lui, ce programme a un début, un milieu et une fin, pensant que nous sommes désormais entrés dans sa phase finale.

Il a établi que ce programme comprend trois étapes : un programme d’abductions, un programme de procréation responsable de l’activité reproductrice, et un programme d’hybridation entre les êtres humains de 3° densité terrestre et des entités de 4ème densité, portant aussi bien sur des bébés, adolescents et adultes.

Sa conclusion définitive est que tout ça mène vers un programme d’intégration dans lequel ces hybrides qui ont l’air très humains seront intégrés à notre société, pour en prendre le contrôle grâce à une technologie supérieure et des capacités physiologiques supérieures. Les êtres humains seraient des citoyens de deuxième classe... Cette conclusion se base sur le fait que les deux phénomènes, ovnis et abductions, sont très étendus, les populations ayant vu des dizaines de milliers, des centaines de milliers et peut-être des millions d’ovnis de par le monde depuis longtemps maintenant, tout du moins au XX° siècle. Ça veut dire que la quantité de temps et d’énergie au service de ce programme est faramineuse, démontrant son importance majeure pour ces êtres.

L'autre aspect est que c’est un phénomène secret, préparé consciemment et avec succès pour nous empêcher de savoir. En temps utile, il sera présenté par les élites relais aux commandes terrestres comme positif et favorable aux êtres humains, alors même qu'il en découlera une société restreinte et contrôlée de par leur technologie supérieure et leurs capacités physiologiques. Il fait partie du transhumanisme, cette société scientiste présentée comme merveilleuse pour le futur de l'homme alors qu'elle n'est que la pierre angulaire du Nouvel Ordre Mondial en cours d'instauration. Il en découlera que la liberté individuelle et celle de penser ne seront pas les mêmes dans le futur. Ces êtres étant télépathes, ils se branchent sur nos pensées...

* Il est considéré comme "le spécialiste" de l’ufologie stricte, après les décès des "incontournables", les états-uniens Elliott Budd Hopkins (1931/2011 - photo 12) et le psychiatre américain Prix Pulitzer John Mack (1929/2004 - photo 13), qui tout comme le psychologue américain Ronald Leo Sprinkle (photo 14) dans son livre Soul samples ("Echantillons d'âme"), a osé aborder les cas d'enlèvements d'humains par des extraterrestres dont les motifs sont au-delà de nos valeurs culturelles, psychologiques
et même scientifiques.

Traduit en "Les kidnappeurs d’un autre monde" dans son édition française par Jimmy Guieu.

 

Du mécanisme des abductions jusqu'à l'hybridation

L'étude approfondie menée depuis plusieurs décennies par les scientifiques spécialistes des réalités extradimensionnelles* débouche sur le constat suivant. Après avoir été emmené à bord du vaisseau ou dans les bases souterraines terrestres, les entités "extra ou intraterrestres" communiquent avec l’enlevé, avant que deprocéder à une série de tests :

- prélèvement de peau, de moelle épinière, de sang...;

- prélèvement de sperme pour l'homme et d'ovules pour la femme;

- autres tests gynécologiques;

- pose d'implant (nez, pied, mains, oreilles...).

Parfois la victime femme est fécondée par rapport sexuel ou par insémination artificielle dans un "incubatorium", pièce pleine de réservoirs contenant un liquide dans lesquels des fœtus sont suspendus. Quant à l'homme, il doit s'accoupler avec une belle femme ou alors avec une machine qui provoque l'orgasme. Le prélèvement de sperme peut être fait avec une sonde, ce qui s'avère douloureux. Si la femme fécondée se retrouve enceinte, au bout du 3ème/4ème mois sa grossesse disparaît, ceci entendant ni avortement ni fausse couche. Elle a été réenlevée, son fœtus ayant de ce fait été prélevé. Quelque temps plus tard, "on" l'enlève encore une fois pour lui montrer l'enfant hybride. Celui-ci ressemble à un mélange d’homme et d’extraterrestre. Si certains ont l’air plus "extraterrestre" et d’autres plus humains, la plupart sont un mélange équilibré : de "parfaits" hybrides (l'historien David Jacobs les nommait "hubrides") !Il va sans dire que c’est souvent une expérience très traumatisante pour les femmes qui subissent ces exactions...

* A noter que pendant plus de 20 ans, l'émission de radio MAN ALIVE ("Homme vivant") du cinéaste David Cherniack sur CBC Radio Canada a osé aborder le phénomène extraterrestre à travers les nombreux cas de femmes abductées, puis mises enceintes artificiellement par des extraterrestres. Elles ont pu après retrouver leur enfant qui a grandi ailleurs dans l'univers.

 

Implant extraterrestre
Implant extraterrestre

Des abductions à l'hybridation... généralisée

L'abduction d'un être humain par une entité extra-dimensionnelle généralement appelée "Gris" (les humains du futur*) répond à deux finalités. La première est que ces entités involutives, sans conscience du monde divin et de ce fait privées de lumière, ont un besoin vital de la sustenter chez les humains dotés des pouvoirs et spécificités de l'âme*². La seconde est liée à l'expérimentation génétique de l'être humain menée par les scientifiques de ces entités alien, après enlèvement/rapt (la plupart du temps éthérique et non physique) selon 6 niveaux de fréquences de conscience altérée (séparation ou dissociation de conscience suite à l'intrusion réalisée conduisant à détourner les processus mentaux habituels et à figer momentanément l'existence), afin de percer le secret de l'âme dont elles sont dépourvues. Pour ce faire, grâce à leurs technologies/méthodologies d’observation à distance, ils observent à travers des fenêtres dimensionnelles la "signature" atomique de la structure cellulaire de l’individu. Pour la lecture du corps éthérique (l'examen des connaissances), ils implantent une sorte de cristal sur le nerf optique des humains, celui-ci étant ajusté sur la fréquence des individus, afin d'observer la vibration de résonance de la fréquence. Le tout est bien évidemment interconnecté. Dans les deux cas, il s'agit de l'immersion d'un individu (l'humain abducté) dans les champs électromagnétiques se situant à l'interface de deux dimensions de densité différentes, la 3ème et la 4ème, et constitutifs d'une porte d'entrée à la possession de son esprit par la force du lien psychique établi, en quelque sorte l'effet "Stockholm" (le syndrome dit de Stockholm explique le lien affectif qui se met en place entre un ravisseur et sa victime) ! Dans ce laps de temps qu'est l'enlèvement, le sujet cobaye devient temporairement de 4ème densité. Au final, leurs observations et interventions couvrent 3 domaines : la simple localisation, l'altération de la conscience, l'altération du mental ou de fonctions motrices (comme activer un réflexe de contrôle comportemental, générer et altérer une certaine façon de penser...). Il est à noter que la grande majorité des individus abductés répondent à une vibration de type "Service de Soi", et non "Service d'Autrui".

Le premier cas d’abduction qui a été popularisé dans le monde a été le cas d’Antonio Villas Boas au Brésil en 1957, qui a décrit une relation sexuelle avec ce qu’on sait maintenant être une hybride, ressemblant à la fois à une créature humaine et à une "extraterrestre". Autres cas célèbres, ceux de Barney et Betty Hill en 1961 aux États-Unis comportant également un aspect lié à la reproduction par une procédure d’extraction d’ovules.C'est en 1972, grâce aux travaux de Marjorie Fish, chercheuse en ufologie, que la reproduction apparaît comme la raison d'être du programme Alien.

Le phénomène des abductions existerait probablement depuis la fin du XIX° siècle, ceci découlant de son caractère intergénérationnel. En effet, si une personne est un abducté, la mère ou le père, tous deux seront des abductés, et de ce fait les enfants. Compte-tenu de l’augmentation de la population, il en résulte un effet en "cône", qui s’étend dans la société, se répandant au sein des générations et passant d’une génération à une autre. La question est de savoir alors combien de temps faudra-t-il pour que tout le monde soit un abducté ? Selon les mathématiciens interrogés, l'hypothèse est qu'il faut environ 7 générations pour que tout le monde soit un abducté*³.

Le phénomène d’abduction est mené en secret. C’est la clé, car sans ce secret il n’y aurait pas de programme d’abduction (c'est pourquoi sa prise de conscience permet sinon d’arrêter le processus du rapt, mais d'en limiter singulièrement les dégâts, la connaissance ayant pour fonction de protéger). La technologie utilisée semble correspondre à une "biotechnologie" permettant de contrôler les abductés à distance neurologiquement. Cela signifie qu’une personne qui va être abductée est déjà sous contrôle avant le début de l’abduction. Le secret et le contrôle vont ainsi main dans la main. Il ne semble pas y avoir de lien entre le programme d’hybridation et le clonage, aucune preuve ne s'étant manifestée.

Si pour la majorité des êtres humains la question de l'abduction relève de la science-fiction et du délire ufologique, elle est dûment étudiée et attestée par des équipes scientifiques dédiées (ainsi les laboratoires de York et de Stanford aux États-Unis), d'éminents spécialistes démontrant la présence dans les membres inférieurs d'implants - ce sont des moniteurs permettant une activité de surveillance à distance - par analyse isotopique (Cf. image), que l'on retrouve aussi dans les yeux ou le crâne, ces implants ayant des propriétés chimiques presque identiques aux autres corps constitutifs de l'anatomie humaine, mais avec une masse atomique différente. Chose intéressante, de nombreux implants aux diverses propriétés identifiés dans la boîte crânienne ont la forme de lettres hébraïques... Le silence des médias officiels sur cette question ne peut que questionner l'esprit ouvert, démontrée pourtant par nombre de tests médicaux (comme les IRM) ainsi que par la résurgence de souvenirs suite à des séances d'hypnose régressive, et que l'on ne peut évacuer sommairement au prétexte de délires pathologiques (hallucinations psychotiques voire schizophrènes) ! Nul ne s'étonnera que le concept d’une "race supérieure" de nature aryenne mis en avant par les Nazis était un acte préparatoire du corpus prédateur de la 4e densité de réalité, visant à créer un véhicule physique avec une vibration correcte de résonance de fréquence pour que des entités de 4e densité puissent occuper la 3e densité. C’était un "coup d’essai", pour des événements planifiés dans ce que naïvement nous percevons comme notre avenir...

* Cf. Les acteurs de la Matrice falsifiée.

Cf. Le cheminement de l’Âme.

L'estimation est qu'actuellement les abductés formeraient deux à cinq/six pour cent de la population américaine.

 

Cf. en complément le cas Frederick Valentich, affaire de disparition d'un pilote australien liée au phénomène ovni qui se déroula le 21 octobre 1978, le long des côtes australiennes; livres de Elliott Budd Hopkins (1931/2011), notamment concernant l'enlèvement de l'américaine Linda Cortile en novembre 1989 sous les yeux de l'homme d’État péruvien Javier Pérez de Cuéllar; livre paru en 1979 "The Andreasson Affair"  écrit par Raymond Eveleth Fowler qui rapporte le témoignage de Betty Andreasson; livre "Communion" paru en 1987 de Louis Whitley Strieber; livres de Karla Turner (1947/1996), notamment Into the Fringe : a true Story ("A la marge : une histoire vraie" - 1992); livre de John E. Mack "Dossier extraterrestres : l'affaire des enlèvements" (1995); livre de Anna Hayes The sleeping Abductees ("Les abductés pendant leur sommeil" - 1999); livre de l'astrophysicien américain Peter A. Sturrock "La science face à l'énigme des ovnis" (2002); livre du Dr en mathématiques et sciences physiques américain Jeffrey Bennett Beyond Ufos - The search for extraterrestrial life and its astonishing implications for our future ("Au-delà des ovnis - La recherche d'une vie extraterrestre et ses étonnantes implications pour notre avenir"- 2008); travaux de l'auteur Peter Knight "Le Secret des Envahisseurs" (2012); livre de l'auteure états-unienne Eve Frances Lorgen Love Bite : Alien Interference in Human Love ("Morsure d'amour : L'interférence extraterrestre dans l'amour humain" -2012); livre de l'auteur Ludovic Chapier "Enlèvements Extraterrestres et Rencontres rapprochées" (2012); livre "L'Humanité revisitée : Des origines à demain" de Marc Gakyar (2014); travaux du chercheur italien Corrado Malonga "Les OVNIs de l'esprit" (2017); livres de l'auteur Denis Roger Denocla; livre de Joanne Summerscales An unimaginable Story of Alien Contact and Beyond ("Une histoire inimaginable de contact avec les extraterrestres et au-delà" - 2017); livre "Les enfants de Sylvie P. : Récit authentique d'un cas d'enlèvement" de Marc St Germain et Pierre Caron (2017); livre "Les gardiens ; comprendre la presence des extraterrestres au-delà des abductions" de l'auteure hypnothérapeute américaine Dolorès Cannon (2018); livre de Miguel Mendonça et Barbara Lamb "Rencontrer les Hybrides - La vie et la mission d'ambassadeurs E.T. sur Terre" (2020); livres de l'auteur Christel Seval; les enquêtes ufologiques de Gérard Deforge ; livre de Jorge Sánchez Lamadrid Contacto entre dos mundos : las extraordinarias experiencias ovni de Próspera Muñoz ("Contact entre deux mondes : les expériences extraordinaires d'OVNI de Próspera Muñoz"); travaux du physicien nucléaire Robert W.Koontz en matière d'analyse de ratios isotopiques non terrestres signalés; travaux du chirurgien américain Roger K. Leir (1934/2014), spécialiste en podiatrie (l'équivalent en France d'un médecin spécialisé en podologie);

 

Bien que les histoires d’objets étranges dans le ciel remontent à loin dans le temps, le problème a reçu peu d’attention jusqu’à la Seconde Guerre Mondiale, comme en témoigne l'étrange apparition de la soi-disant Vierge devant des dizaines de milliers de personnes à Fatima au Portugal le 13 octobre 1917, considérée comme un miracle religieux, alors qu'elle présente nombre d'éléments comparables à ceux constatés lors de manifestations d'OVNIs*...

A l’époque du conflit, le personnel militaire des pays alliés et de l’Axe a rapporté des objets non conventionnels dans le ciel, généralement connus sous le nom de foo fighters (Chasseurs de fantômes). Rétrospectivement, ceci n’est pas surprenant, compte-tenu de l'essor de l’aviation humaine comme de l’invention du radar, qui a étendu la portée de la vision humaine par des moyens électroniques. Après la fin de la guerre en 1945, les observations se sont accrues en Europe comme en Amérique, nombre de gens rapportant des visions et objets qui ne pouvaient pas être expliqués par une quelconque raison conventionnelle. Partout et logiquement où les observations se produisaient, les autorités militaires dominaient les investigations qui touchaient à la sécurité extérieure, tout particulièrement celle des installations militaires sensibles.

* Cf. Etude de Fatima par Jacques Vallée dans "Autres dimensions : chroniques des contacts avec un autre monde" (1989).

 

L'impasse scientifique

La "Communauté scientifique" officielle ou l'establishment agréé ne peut garantir en l'état à la civilisation humaine un apport objectif. La raison est d'abord financière, compte-tenu du montant disproportionné de fonds qu'elle reçoit de la part de Fondations non imposables, de Multinationales, du Département de l’Énergie et du Pentagone (aux USA), pour n’en nommer que quelques-uns. Fournir de tels financements et ensuite encourager une réelle étude scientifique de la réalité extra-terrestre mettrait à mal l’objectif de la campagne de "debunking"* et de désinformation, depuis longtemps attestée car bien documentée, concernant cette "réalité" présentée comme fantaisiste car remettant en question l'explication officielle du "vivant" et de son ordonnancement terrestre.

D'autre part, puisque les scientifiques par la typologie du moule éducatif*² prévalant sont conditionnés et formés à rejeter la réalité extraterrestre, à savoir une "technologie" qui transcende le temps, l'espace et la gravité, tant pendant qu'après leurs études, il est relativement aisé de convaincre certains d’entre eux de contribuer à la nier, tout particulièrement en polluant le travail de recherche indépendant, et notamment s’ils sont payés en ce sens. On ne peut pas de ce fait attendre des scientifiques qu’ils pensent ou agissent différemment. Ils ont été "endoctrinés" et ont besoin de fonds, seuls quelques courageux ou n'ayant plus rien à attendre des prébendes nationales pouvant lâcher leur part de vérité.

Quand les sceptiques rationalistes et proclamés "debunkers" demandent la preuve scientifique des observations d’OVNIs et des enlèvements aliens (abductions), nous sommes confronté à l'absurde, puisque la "science", contrôlée comme elle l’est, est dans l'incapacité d'expliquer les types de phénomènes décrits par les témoins, ceci se trouvant hors de son champ de conscience. Le serpent qui se mord la queue...

* Recherche et démontage de la "propagande" d'idées considérées comme subversives dans les médias et particulièrement sur l'internet, qu'elles soient idéologiques ou contraires à l'intérêt du "système" oligarchique institué.

Cf. Compréhension structurelle de la Matrice asservissante.

 

Dans un contexte marqué par les tensions de la guerre froide entre les deux blocs de l'Ouest et de l'Est, et compte-tenu de la prédominance militaire états-unienne, une chape de plomb a été progressivement jetée, tout particulièrement lorsque l'agence de renseignement CIA (Central Intelligence Agency, fondée en 1947 par le National Security Act) s'est emparée du sujet, en liaison avec l'ATIC (Air Technical Intelligence Center), le principal centre de l’Air Force états-unienne pour évaluer les nouvelles technologies. Cette dernière a alors fait clairement savoir qu'elle n’accepterait pas de spéculation sur les extraterrestres comme solution aux ovnis. Rideau ! Qui plus est, avec l’aide de la Commission Robertson* de janvier 1953, sponsorisée secrètement par la CIA, l’Air Force a grandement amélioré la censure sur le problème. Toutefois la spéculation n’a jamais cessé. Des organisations civiles ont émergé pour recueillir et analyser les rapports d’ovnis intéressants. Pour compliquer l’affaire, l’Air Force s’est mise elle-même dos au mur. Malgré son mépris public pour les ovnis, elle s’est engagée elle-même à les contrôler en tant que menace possible à la sécurité nationale. Ceux qui critiquaient les déclarations de l’Air Force sur les ovnis – et il y avait de nombreuses personnes – demandaient fréquemment : si les soucoupes ne présentent aucune menace pour la sécurité nationale et existent seulement dans l’imagination, pourquoi l’Air Force a-t-elle créé le projet Blue Book*² ("Livre bleu") pour étudier les rapports ?

* Créé en 1953 par "L'Office of Scientific" Intelligence (bureau du renseignement scientifique), "l'Intelligence Advisory Committee", comité consultatif du renseignement, a rendu dans le rapport de la "Commission Robertson" (réunions secrètes) la conclusion que le phénomène Ovni ne représente aucun danger militaire ou scientifique. Il a rajouté que "le fait que l'on insiste continuellement sur ces phénomènes constitue une menace pour l'ordre public", et que les groupes/organisations à caractère civil doivent être surveillés en raison de leur grande influence sur l'opinion publique si des observations se produisaient à grande échelle... Constituée de membres liés à l'Armée, il va sans dire que la Commission Robertson n'offrait aucune garantie de totale partialité sur le sujet Ovni. D'ailleurs, les conclusions du panel auraient été préparées avant même que les scientifiques ne se rencontrent pour étudier le sujet...

Blue Book n’a en fait jamais été le principal organisme enquêtant sur les ovnis. Après 1952, son existence était purement un effort de relations publiques. Les investigations sur les ovnis ont continué par le biais d'établissements militaires traitant des informations super sensibles (comme la légendaire Zone 51 à Groom Dry Lake, Nevada).

 

Du secret de Roswell

L'affaire dite de Roswell concerne l'écrasement au sol le 4 juillet 1947 (cette date a été choisie comme étant la date officielle de la journée mondiale des Ovnis) d'un soi-disant vaisseau extraterrestre, près de la petite ville de Roswell au Nouveau- Mexique, Etat des États-Unis, et nom d'une base militaire proche. Nul rapport en fait avec le crash d'un vaisseau extraterrestre, puisqu'il s'agissait de la venue d'extranéens, des voyageurs issus du néant, plus exactement du non-temps. Ils étaient venus par changement de ligne temporelle à la rencontre des autorités institutionnelles pour "monnayer" un échange entre la maîtrise de leur technologie de projection de mémoires-écrans dans la psyché humaine sous forme de rayonnement d'ondes dessinant des "apparences holographiques" dans le champ de contrôle électromagnétique d'un rêve, destinée à assurer la programmation de l'esprit de masse des individus*, et ce en échange de pouvoir "rester" dans le monde terrestre compte-tenu de leur évolution entropique dans ce futur en mode "Service de Soi". Ces voyageurs du temps extranéens sont en effet "nous- mêmes", autrement dit issus soit de notre passé, soit de notre futur ! Et en l'occurrence, ceux de Roswell étaient des humains du futur, figurants humanoïdes de notre humanité dans le futur en 4ème dimension de densité. C'est bel et bien ce "deal" que les militaires états-uniens cupides de l'époque ont désespérément tenté de cacher, en faisant passer la vidéo de l'autopsie de l'être de Roswell pour fausse, puis en dissimulant leur nature "extraterrestre" sous le sceau du secret d'État !

Il est à noter qu'un mémorandum confidentiel daté du 2 décembre 1952 rédigé par un assistant directeur de la recherche scientifique de la CIA à son directeur expliquait que "les observations d’engins non-identifiés volant à haute altitude et se déplaçant à grande vitesse dans le voisinage des principales installations de défense américaines ne sont ni attribuables à des phénomènes naturels ni à des engins connus". Comme le fameux incident du “crash de Roswell” s'est déroulé à proximité du "Roswell Army Air Field" qui abritait à l'époque la seule et unique escadrille de bombardiers atomiques au monde, la 509th Bomb Group, un lien de corrélation est établi entre la présence d’installations nucléaires et la fréquence d’observations d’ovnis ou les rencontres rapprochées avec des extraterrestres. C'est ainsi qu'entre 1947 et 1952, 37 observations d’ovnis ont été dénombrées au-dessus des périmètres du complexe de Oak Ridge (le laboratoire national ORNL pour Oak Ridge National Laboratory)  dans le Tennessee et de la base militaire connue sous le nom de Fort Campbell de Clarksville là encore dans le Tennessee, qui étaient des hauts lieux de la recherche nucléaire*². Notamment, avant le crash de Roswell, un événement s’était déroulé en 1945 près de San Antonio, au Nouveau-Mexique, dans les vastes étendues du désert. Il s’agissait du crash là encore d’un mystérieux ovni en forme d’avocat, un incident qui a intrigué les chercheurs d’ovnis pendant des décennies. Il sera d'ailleurs surnommé plus tard le "Roswell avant Roswell". Un projet de loi sur les dépenses militaires a remis cet énigmatique crash d’OVNI de 1945 sous les feux de la rampe, en demandant au Bureau de résolution des anomalies du Pentagone (All-domain Anomaly Resolution Office – AARO) d’enquêter à nouveau sur l’événement.

* Il s'agissait en l'occurrence d'habituer l'humain à certaines conditions, circonstances ou interactions avec des êtres/entités qui en définitive, ne leur apparaissent que sous la forme de mémoires-écrans sous forme d'aliens et autres figures attachées, et ce pour leur laisser croire qu'au final, aucun mal ne leur sera fait en cas de vrai enlèvement (abduction) !

D'autres observations ont été faites sur des sites nucléaires hors États-Unis, comme en décembre 1980 à Bentwaters Parks, une ancienne base aérienne de l'United States Air Force en Angleterre située 50 Km de Londres (le rapport officiel établi par le lieutenant-colonel Charles Halt décrit des objets qui tiraient des rayons en direction du sol vers les entrepôts d’armes nucléaires de Woodbridge). De même, un ovni fut identifié au dessus de la centrale nucléaire de Tchernobyl le jour de l'incident d'avril 1986, tout comme de nombreux ovnis lors de la catastrophe de la centrale nucléaire de Fukushima au Japon qui fût ravagée par un tsunami le 11 mars 2011. Sont-ils intervenus pour éviter à chaque fois une explosion nucléaire qui aurait dévasté tout le continent concerné ?

Cf. livre "Au lendemain de Roswell: Contact extraterrestre" du colonel  Philip J. Corso (2017), ancien officier du Pentagone (il fut membre du Conseil de sécurité nationale du président Eisenhower ainsi que du Bureau de la technologie étrangère de la division Recherche et développement de l'armée des États-Unis), qui en s'appuyant sur des documents récemment déclassifiés grâce au Freedom of Information Act (Loi sur la liberté d'information), constitue une somme de révélations solidement ancrées dans les faits, avec les lieux nommés, des dates précisées et des noms de militaires et de représentants du gouvernement impliqués. Ce livre met fin à des décennies de controverses au sujet de ce mystérieux crash d'un aéronef non identifié à Roswell, racontant le projet de rétro-ingénierie qui a conduit aux découvertes modernes des puces électroniques (circuits intégrés), des fibres optiques et des lasers, et comment ont été secrètement transmis la technologie extraterrestre à des géants industriels américains.

 

De la réalité extraterrestre souterraine

Dans son livre "Earth : An Alien Enterprise", l'auteur britannique Timothy Good* consacre un chapitre à l'affaire italienne Amicizia ("Amitié"), une série présumée de contacts avec des êtres d'apparence humaine qui se sont produits entre 1956 et 1990. Ils ont impliqué plusieurs dizaines de témoins, dont certains étaient des personnalités de la communauté (médecins, universitaires, ingénieurs, etc.), dont Good est convaincu de la sincérité lorsqu'il les a enquêtés. Ces êtres prétendaient vivre dans des bases souterraines, et auraient même emmené certains témoins dans celles-ci . Ils avaient une apparence humaine, souvent nordique, sauf que certains étaient nains, d'autres géants, mais bien proportionnés. Selon Good, l'un des témoins, Bruno Sammaciccia, érudit catholique et psychiatre, a photographié l'un de ces géants, "M. Kenio". Good inclut cette photographie dans son livre. Elle représente un homme d'apparence plutôt normale. Il n'y a rien d'évident sur la photo qui permette de juger de la taille de l'homme, mais une analyse amateur basée sur la taille des aiguilles de pin et la perspective suggère qu'il pourrait mesurer jusqu'à 3 mètres de haut. 

Ces témoignages sont à rapprocher des "Enfants verts de Woolpit", deux enfants d'une couleur de peau inhabituelle qui seraient apparus dans le village de Woolpit dans le Suffolk en Angleterre au XIIe siècle. Ces enfants se sont révélés être un frère et une sœur, d'apparence généralement normale, à l'exception de la couleur verte de leur peau. Ils parlaient une langue inconnue et ne mangeaient que des fèves crues. Ils ont fini par apprendre à manger d'autres aliments, etc. et ont perdu leur couleur verte. Les enfants avaient dit qu'ils venaient d'un autre pays où le soleil ne brillait jamais, où la lumière était comme un crépuscule. Autrement dit, ils venaient de sous terre. L'explication est celle d'une interaction accidentelle entre les dimensions.

* Ses livres incluent Above Top Secret: The Worldwide U.F.O. Cover-up, Alien Liaison et Beyond Top Secret.

 

Compte-tenu de la grande vague d’ovnis survenue en 1965 et 1966, l’Air Force n'a pu se cacher plus longtemps derrière des ballons météo, des gaz des marais ou de la foudre en boule. Aussi a-t-elle financé une étude scientifique des ovnis par l’Université du Colorado dite Comité Condon afin de "régler" l’affaire une bonne fois pour toute. Comme attendu, ce comité a conclu que les ovnis n’étaient pas dignes d’étude scientifique, car étant essentiellement du non-sens. Aussi l’Air Force a pu justifier la fermeture du projet Blue Book, annonçant en décembre 1969 qu'elle n’enquêterait plus sur les ovnis. Les principales organisations d’investigation civiles ont alors décliné rapidement, et les gens qui voyaient des ovnis n’avaient presque nulle part vers où se tourner*. Qui plus est, la loi du 16 juillet 1969, votée au Congrès des États-Unis et toujours active à ce jour, énonce que "Quiconque ayant des contacts avec des extra-terrestres ou leur véhicule est passible d’un an d’emprisonnement ou de 5 000 dollars d’amende", ou même des deux. Mais alors pourquoi punir ce qui n'existe pas ?

C'est ainsi que s'est élaborée la "théorie de la conspiration", subtil paradoxe. En effet, toutes les grandes institutions - corporations, bureaucraties, groupes d’intérêts (lobbies)... – sont conspiratrices de nature. En effet, de nature hiérarchique, leurs décisions importantes sont prises en secret par quelques preneurs de décision clés, et il leur arrive de mentir sur leurs activités. Telle est la nature du comportement structurel et organisationnel. La "conspiration", dans son sens premier, est une manière de vivre partout autour du globe, poussée à l'extrême il va sans dire au sein des services de renseignements et militaires du monde. A partir du moment où l'armée dont le secret est la règle *² traite la question des ovnis, le black-out imposé revient à retourner la notion de conspiration vers ceux qui ne le respectent pas.

* Ainsi le cas parmi beaucoup d'autres de la ville de Stephenville au Texas, où le 8 janvier 2008 une centaine de personnes dignes de foi  (y compris des policiers) disent avoir vu des objets volants non identifiés dans le ciel. Si les inévitables sceptiques disent qu'ils ont vu des F-16 Falcon, et en dépit d'un grand intérêt médiatique, l'affaire reste inexpliquée, l'Air Force s'étant une fois de plus "emmêlé les pinceaux" dans son traitement.

Ses personnels sont tenus par le "Serment sur le dévoilement involontaire d’information ou de données de sécurité classifiées", qui engage pour la vie sous toutes circonstances ...

Cf. livre du docteur Michael Salla, spécialiste reconnu en politique internationale, en résolution de conflits et en politique étrangère américaine "Programmes spatiaux secrets et alliances extraterrestres - Tome 1, Révélations d'initiés sur les activités de nos gouvernements" (2015).

 

Qui plus est, le Pentagone a depuis reconnu l'existence d'un mystérieux programme chargé d'enquêter sur les observations d'objets volants non identifié*. C'est en effet entre 2007 et 2012 que ce programme baptisé Advanced Aerospace Threat Identification Program ("Programme d'identification des menaces aérospatiales avancées") a documenté d'étranges objets volants, évoluant à grande vitesse sans propulsion visible ou en position stationnaire sans moyen apparent de portance. L'une des vidéos obtenues par le journal New York Times a montré deux avions de chasse américains qui poursuivent un objet ovale ressemblant à un "Tic Tac" mais de la taille d'un avion de ligne, au large des côtes de San Diego (côte californienne) en novembre 2004, au cours d’exercices de routine menés par un groupe de navires de guerre américains.

L’événement a commencé lorsque les navires de guerre, dont l’USS Princeton, ont détecté plusieurs objets non identifiés sur leurs systèmes radar près de l’île de Catalina, à environ 160 km de la côte de San Diego. Dans un premier temps, ces contacts radar ont été considérés comme des défaillances du système radar nouvellement mis en place. Cependant, après avoir redémarré le système, les objets sont réapparus, ce qui a conduit la marine à déployer des avions de chasse F-18 pour approfondir l’enquête.

Si le ministère de la Défense américain assure que le programme s'est arrêté en 2012, le journal affirme que les enquêtes sur les incidents impliquant des ovnis, rapportés par les militaires, ont continué.

* Ce programme, doté d'un budget de 22 millions de dollars, et seulement connu d'un petit nombre de responsables, a été initié par l'ancien sénateur démocrate du Nevada, alors chef de file de la majorité au Sénat, Harry Reid, qui portait un intérêt particulier aux phénomènes inexpliqués. La majeure partie de l'argent du programme est allée à une société de recherche aérospatiale dirigée par Robert Bigelow, un entrepreneur milliardaire et un ami de longue date de d'Harry Reid, selon le New York Times.

 

En France, la responsabilité de ce suivi gouvernemental est assurée la COMETA (COMité d'ÉTudes Approfondies), une association composée de spécialistes des sciences physiques, des sciences de la vie, des sciences humaines, ainsi que d'officiers supérieurs de l'armée et d'ingénieurs. Elle a entre autres publié en juillet 1999 un rapport très complet* sur le phénomène OVNI qui fut transmis au président de la République et au premier ministre d'alors (Jacques Chirac et Lionel Jospin). Il indiquait très sérieusement que l'hypothèse d'une origine extraterrestre ne pouvait plus être écartée.

* Le texte destiné aux médias ne constituait qu'une partie d'un rapport plus étayé.

 

La preuve de cette manipulation étatique est l'existence du programme S.E.T.I., contraction de Search for Extra-Terrestrial Intelligence (Recherche d'une intelligence extraterrestre), consistant en facial à étudier la source énergétique du cosmos. Ses applications sont aussi associées aux installations militaires secrètes, appelées "guerre des étoiles" ou SDI (Strategic Defense Initiative), l’un n'allant pas sans l’autre diront les stratèges. Ainsi les grandes nations de notre planète investissent des sommes gigantesques* dans un programme international de relation et de défense face à des intelligences spatiales qui officiellement n’existent pas. Au cours d'une émission de télévision diffusée sur ARTE France en novembre 2009, le directeur de la base des télescopes géants de KECK à Hawaï (USA) dit ceci : "Il existe une centaine de bases de ce type reliées entre elles autour de la Terre sur tous les continents. Leur travail est l’observation d’une grande quantité d’exoplanètes, de la taille de la Terre et gravitant en orbite autour de la Voie Lactée, telles Sirius ou Vega situées à des dizaines, voire des centaines d’années-lumière de notre Terre. Ces planètes ont le même type d’atmosphère que la nôtre. Nos astronomes disent aujourd’hui être tout prêts à capter les présences énergétiques des habitants, qu’ils soient végétaux, animaux, humanoïdes ou autres. Cette recherche concerne uniquement dans un premier temps, les planètes qui vibrent en dimensions 3D ou 4D, comme la Terre qui passe aujourd’hui de la troisième vers la quatrième dimension. Nos astronomes ont découvert qu’en plus de la matière visible à l’œil nu dans leurs anciens télescopes, soit 5% de l’espace global, leurs nouveaux télescopes électroniques captent maintenant la matière noire ou antimatière qui constitue les trous noirs, soit 95% de l’espace global."

Quel scoop de savoir que nous ne voyons avec nos prismes que 5% de la réalité du cosmos. Or chaque galaxie possèderait ainsi plusieurs trous noirs ou portes dimensionnelles qui ne sont aucune en dimension 3, 4 mais en dimension 4 et au-delà. Ce n’est donc plus le domaine de la simple physique en 3D, mais d’un nouveau champ, celui de la très discrète physique quantique. Ses composants infiniment petit ne sont pas visibles à l’œil nu, n'étant que le début d’une expérimentation qui s'avérera majeure au XXI° siècle. C'est la science des mondes parallèles, enfin reconnus, par l’élite scientifique tout du moins. Cette recherche astronomique constitue le très discret programme international S.E.T.I. qui cherche à établir des communications avec les civilisations voisines. Et tous les pays de notre Terre y adhèrent discrètement. Ce qui est attrayant pour les astronomes, c’est qu’il semblerait en plus que toutes les galaxies observées aient un centre commun qui serait lui aussi un gigantesque trou noir d’où sortirait un flux énorme et permanent d’émissions d’ondes ayant un très large spectre. Les astronomes supposent que ce foyer central serait comme la source énergétique qui contribuerait à rendre solidaire tout le cosmos dans sa multi-dimensionnalité. Cette énergie cosmique, encore très mal connue, semblerait en tout point identique à la force électromagnétique qui relie au sein du microcosme planétaire toutes les particules vivantes composant la matière terrestre. Tout est donc relié au tout, nous-mêmes compris.

* La discrétion des autorités est que ce programme engouffre chaque année, tel un autre trou noir, des centaines de milliards de dollars d’investissement dont l’origine est inconnue, dont une bonne partie arrose le programme militaire appelé " Guerre des étoiles ". Et ce sont les bénéfices du blanchiment du narcotrafic international qui permettent sans problème de disposer de telles sommes. C'est pourquoi la culture du pavot n’est pas prête de s’arrêter tout de suite, les seuls réseaux qui sont pris étant ceux qui ne payent pas leur dû au système maffieux établi ...

 

Des MILABS

Tant le contrôle mental que l'enlèvement ou abduction par des extraterrestres sont des pratiques avérées des agences militaires militaires secrètes, en particulier en Amérique du Nord*, ce qui est nommé Military Mind Control & Alien Abduction. Les MILABS (military laboratories) sont ainsi des collaborateurs comme des outils de certaines agences militaires américaines qui s'intéressent depuis les années 1960 aux études secrètes portant sur les implants, les photos et transcriptions en hypnose d'interrogatoires militaires avec des abductés extraterrestres présumés, des déclarations médicales, etc. Tout ceci a été confirmé par de nombreuses personnes victimes d'enlèvements extraterrestres, qui ont affirmé avoir été droguées, avoir eu les yeux bandés, et avoir été conduites dans des bâtiments abandonnés ou dans d'autres lieux souterrains où elles ont été harcelées par des représentants de ces agences militaires secrètes.

Certaines de ces victimes, comme K. Wilson, Leah Haley, Melinda Leslie et Karla Turner par exemple, ont subi des flashbacks traumatiques et ont pu se rappeler avoir vu leurs ravisseurs humains comme des militaires inconnus ou des personnes portant des masques extraterrestres pour un déguisement factice. C'est pourquoi un nombre croissant d'auteurs et de chercheurs américains - comme Helmut Lammer, Karla Turner ou Walter Bowart - ont dressé des parallélismes entre les victimes de trois phénomènes apparemment distincts : les victimes d'abus rituels, celles qui rapportent avoir été enlevées par des entités extraterrestres, et les cobayes d'expériences de contrôle du comportement perpétrés par des psychiatres dans un contexte militarisé. Certaines victimes appartiennent même aux trois catégories.

Dans les trois cas, (abus rituel, abduction et Mind-Control), il est à comprendre que la conscience, la mémoire et de ce fait la perception du monde sont profondément affectées par la violence de l'expérience et son étrangeté. Ces thèses ne remettent nullement en cause l'existence du phénomène extraterrestre ni même le fait que des extraterrestres puissent avoir enlevé des êtres humains. La question qui en découle est "En quoi consiste ce programme humain qui semble impliquer le phénomène des enlèvements extraterrestres, et quel est le but poursuivi par le Milabs ?" La réponse est qu'il y a un intérêt militaire certain dans le développement des implants, de projections d'images holographiques, d'implants de réalité virtuelle, des armes altérant la conscience et de la manipulation génétique !* Ainsi la base d'Albuquerque, dont le nom vient de la langue indienne navajo, qui est la plus grande ville du Nouveau-Mexique, aux États-Unis.

Cf. livres de Gloria Hawker Morning Glory - Diary of an Alien Abductee ("Gloire du matin - Journal d'un enlèvement par des extraterrestres") publié en 2001 et Morning Glory Even After - The Story continues ("Gloire du matin même après - L'histoire continue") publié en 2015.

 

De l'OVNI de Calvine

Les exécutants des entités "Service de Soi" de la 4ème dimension de densité sont des psychopathes et d'autres individus pathologiques*. Certains viennent sur Terre dans les bases secrètes militaires spécifiquement dédiées (Aéroport de Denver ou Zone 54 aux USA, mont Bugarach dans les Pyrénées françaises...), et ce au moyen de vaisseaux remplis de Nephilim, ces géants psychopathes autrement dit nazis.

C'est ainsi qu'au début du mois d'août 2022, une photographie d'un OVNI que le ministère de la défense britannique a gardé secrète pendant 32 ans a été publiée, qualifiée par beaucoup comme étant "la meilleure image au monde". L'OVNI de Calvine, survenu en Ecosse en août 1990, a fait en effet sensation sur les réseaux sociaux lorsqu'il a été traité numériquement, ses caractéristiques étant très différentes de ce qui est observé habituellement : pas de lumière vive, apparence organique-rocheuse, allure de vieux bateau rouillé avec des algues et de la merde qui poussent sur le fuselage... C'est un  objet anguleux, en forme de diamant, estimé à environ 30 mètres de long, volant à une courte distance de ce qui semble être un jet Harrier*².
Il s'agit en fait d'une photo fabriquée pour soutenir le programme du Pentagone en matière d'ovnis.
* Cf. Compréhension de la conspiration prédatrice & Les acteurs de la Matrice falsifiée.

Le Harrier, officieusement appelé Harrier Jump Jet, est une famille d'avions d'attaque à réaction capables d'effectuer des opérations de décollage et d'atterrissage verticaux/courts. Nommé d'après un oiseau de proie, il a été développé à l'origine par le fabricant britannique Hawker Siddeley dans les années 1960.

 

Réalité OVNI ?

Canular, illusion, phénomène naturel inexpliqué ou expliqué tel que par la "théorie du stress tectonique"* du chercheur états-unien en neuro-sciences cognitives Michael Persinger, ou réalité extraterrestre ? Le mystère OVNI ne cesse d'alimenter les fantasmes comme la quête de connaissance des êtres humains. Si le "modèle standard" de l’hypothèse ET voit des aliens volant sur des engins spatiaux en "tôles et boulons" défendu farouchement par celles et ceux qui sont persuadés de toute bonne foi de l'avoir vécu, les artefacts – physiques ou biologiques – qui pourraient être d’origine extraterrestre ne peuvent pour autant être prouvés. De ce fait l’hypothèse des "anciens astronautes" n’est soutenue par aucune donnée physique certaine.

Reste la vaste quantité d’informations accumulées depuis soixante-dix ans sur les ovnis, sur la base desquelles a été construit un dossier fort et convaincant sur la présence de, non pas une, mais probablement plusieurs civilisations extraterrestres, certaines présentes, plausiblement, depuis longtemps sur notre planète, qui donnent de nombreuses indications sur la réalité d’engins physiques d’origine alien, fabriqués par des civilisations non-humaines avancées. Qu’ils proviennent d’une planète située dans ce monde ou dans un monde "parallèle" ne change pas leur nature d’aliens réels, physiques, qui sont venus sur Terre, pour quelque raison. Il est difficile de balayer d'un revers de manche tous ces témoignages constants aux quatre coins de la planète, considérés comme crédibles par d'éminents experts scientifiques après examen attentif et scrupuleux, sur des enlèvements par des êtres non humains incluant notamment la pose d’implants, tout comme les nombreux cas de mutilations de bétail liés à des observations d’ovnis à proximité. Qui aurait pu faire cela à si grande échelle ? Des psychopathes dégénérés ? Des fantômes ? Des démons ? Ou des entités surnaturelles ?

La réalité est que les deux phénomènes - OVNIs et phénomènes paranormaux ou surnaturels (ainsi par exemple les apparitions mariales à Lourdes, Fatima et ailleurs) - semblent être liés. La possibilité la plus crédible en l'état de nos savoirs est que les OVNIs soient des formes d’énergie plutôt que des objets mécaniques, entraînant brûlures comme blessures pour les témoins compte-tenu de leur niveau de radiation. Ces masses d’énergie possèdent une intelligence propre *², incontestablement liée à l’espèce humaine et par-là même à la conscience, car de manière logique si l’espèce humaine n’existait pas, comment les OVNIs existeraient ? Aussi l'hypothèse que ces énergies de nature extraterrestre se manifestent en relation aux événements qui touchent les humains est plausible, les individus voyant ce qui, en fait, est implanté dans leur esprit par la prédation psychique qui nous domine par son système de contrôle technologiquement avancé. L'apparente physicalité du phénomène ne serait qu'une illusion suffisamment réaliste pour apparaitre crédible, mais sans endurance dans le temps, ne pouvant "vibrer" dans notre 3ème dimension de réalité. Elle ne peut qu'aller et venir, mais sans rester, se manifestant à des endroits précis de la planète, propices aux énergies sombres (c'est ainsi que la perception des Ovnis se fait toujours dans des couloirs spécifiques, comme entre l'Arctique et l’Antarctique) ... Reste à connaître la réalité de "l'agenda" qui se cache derrière, indéchiffrable en l'état de notre conscience...

* La théorie de la tension tectonique (Tectonic Strain Theory TST) établie en 1975 est basée sur la façon dont les variables géophysiques peuvent être corrélées avec les observations des objets volants non identifiés (OVNI). Les tensions à l’intérieur de la croûte terrestre près des failles sismiques produiraient des champs électromagnétiques intenses, créant ainsi des corps de lumière que certains interprètent comme étant des OVNI brillants. En effet, ces champs électromagnétiques pourraient également générer des hallucinations dans le lobe temporal, basées sur des images générées par la culture populaire, comme des engins extra-terrestres, des êtres, des créatures ou des communications avec elles.

Une autre variante est la théorie des lumières terrestres (Earthlights Theory), qui restreint les effets d’un tel phénomène à l’environnement immédiat des failles sismiques, et qui considère la tribuloluminescence (propriété des corps qui deviennent lumineux par frottement ou à la suite d'un choc) comme étant une explication plus probable que la piézoélectricité pour expliquer l’apparition d’OVNI.

Une intelligence sensitive, précognitive et non-humaine.

Cf. en complément les travaux du physicien américain James Edward McDonald (1920/1971), connu pour ses recherches sur les ovnis. McDonald était physicien principal à l'Institut de physique de l'atmosphère et professeur au département de météorologie de l'Université de l'Arizona, à Tucson. Empêcheur de tourner en rond, il est mort dans des circonstances bien étranges...

 

Dans le domaine des observations d’OVNI, l’un des incidents les plus intrigants et les mieux documentés est celui des "Lumières de Phoenix" qui s’est produit le 13 mars 1997 aux Etats-Unis, constituant l’une des plus importantes observations réalisées aux États-Unis. Parmi les nombreux témoins de ce phénomène mystérieux, en l'occurrence des milliers de personnes, l’acteur hollywoodien Kurt Russell, qui se rendait en avion privé à l’aéroport Sky Harbor de Phoenix avec son fils, a révélé plus tard qu’il était le pilote qui avait signalé en premier les lumières inhabituelles dans le ciel de l’Arizona, à savoir six lumières brillantes alignées, planant dans le ciel en forme de V dans une formation qui défie toute explication conventionnelle.

Le phénomène a été visible pendant des heures et a été observé par des personnes de différents endroits, notamment Phoenix, Tucson et le désert de Sonoran. Malgré les nombreux témoignages, l’origine des lumières reste un mystère.

 

Du rapport gouvernemental états-unien de 2022

Le nombre d’incidents liés aux ovnis a fortement augmenté, plus de 360 incidents ayant été signalés ou découverts au cours des deux dernières années 2021 et 2022 selon un nouveau rapport des services de renseignement national (ODNI) sur les phénomènes aériens non identifiés (UAP), comme l’exige la loi sur l’autorisation de la défense nationale. Le constat est que plus de la moitié d’entre eux présentaient des "caractéristiques non remarquables". Le bureau a caractérisé 163 rapports comme étant des ballons ou des entités ressemblant à des ballons, 26 rapports comme étant des systèmes d’aéronefs sans pilote ou des entités similaires, et six comme étant attribués à un fouillis.

La plupart des nouveaux rapports proviennent d’aviateurs et d’opérateurs de la Navy et de l’Air Force qui ont observé ces phénomènes dans l’exercice de leurs fonctions, les ayant signalés par les voies officielles. De nombreux rapports ne comportent pas de données suffisamment détaillées pour expliquer ce qu’ils étaient.

 

De la position des gouvernements

Le problème avec l’être humain n’est pas tant qu’il essaie de cacher la vérité, c’est qu’il n’est pas capable de la sortir… S'il est indéniable que tout  gouvernement cache des choses sur le plan de l’expérience humaine, il n’y a personne d’assez puissant dans le gouvernement qui puisse à lui seul ordonner que se fasse le jour sur ces choses, dans la mesure où il perdrait immédiatement sa crédibilité auprès des foules. Ceci entend que les êtres humains sont responsables ipso facto de cette complicité du silence vis-à-vis des OVNIS. Ce n'est que lorsque les masses seront instruites que les gouvernements suivront ! Ce sera alors une explosion totale dans le monde.

Une nation, c’est comme un être humain. Elle a une personnalité, qui soit peut conduire à certaines découvertes qui révèlent certaines vérités, soit demeure fermée, bouchée. Aussi le processus de révélation de la réalité extraterrestre sera très lent, la responsabilité reposant sur les gouvernements et les organisations scientifiques comme non scientifiques qui, en l'état, ne sont pas prêts, préférant dénigrer le phénomène. Et même si le temps est venu, il y aura toujours des gens qui se refuseront à croire !

Cf. en complément livre Managing Magic - The Government's UFO Discoslure Plan ("Le plan gouvernemental de dissimulation des OVNI") du chercheur canadien Grant Cameron spécialisé dans les connections éventuelles des présidents américains avec l’ufologie. Il est un habitué des archives nationales, des archives et bibliothèques présidentielles et des requêtes FOIA (Freedom of Information Act : "Loi sur la Liberté de l’Information") dont il possède plus de 2000 pages à consulter sur son site qui est une véritable base de références pour de nombreux chercheurs.

 

Les obstacles mis en avant à la divulgation

La complexité du sujet OVNI participe indéniablement du pourquoi de sa (non) communication aux êtres humains, la question de la sécurité nationale figurant bien évidemment en tête de liste. En voici quelques raisons avancées par les experts du sujet :

. Les maîtres du jeu sont les Aliens (supposition de l'existence de différentes races), qui détiennent les clés du "jeu", qu'ils soient hostiles, bienveillants ou simplement observateurs indifférents !

. L'énergie antigravitationnelle (non expliquée en l'état de la science) serait un obstacle de taille aux intérêts économiques et financiers des grandes multinationales exploitant les ressources terrestres (ainsi le pétrole).

. Habitudes mentales tant du grand public que des experts académiques (ainsi les historiens) et des citoyens " conservateurs/traditionalistes ", ne voulant pas remettre en question leurs habitudes et certitudes sources de sécurité psychologique (la conscience mondiale est trop portée sur les préoccupations du quotidien, avec une trop faible connaissance de l'univers).

. Risque de panique populaire, de décrédibilisation gouvernementale pour mensonge perpétué depuis des décennies et de non-maîtrise des débordements de foule (ainsi le droit constitutionnel de porter des armes aux USA) compte-tenu de l'effondrement des croyances notamment religieuses ("défense du fonds de commerce" par les fondamentalistes/radicaux).

. Question de la responsabilité gouvernementale de protection des personnes non assurée dans le cadre des abductions à caractère négatif ayant touché des millions de personnes.

. Accords internationaux passés pour le maintien du secret-défense en dehors des organismes institutionnels, privant le politique d'expression et par-là même les militaires et services secrets (applicable par exemple aux pilotes d'avion survolant un territoire et interdits de révéler quoi que ce soit).

. Le mimétisme OVNI (dirigeables, V40, triangles noirs ...) de la technologie humaine pour habituer progressivement le grand public à la révélation finale demande du temps.

. Reconnaissance difficile des limites de la technologie humaine pour les représentants politiques et militaires.

Cf. Les 65 raisons de non-divulgation de la réalité OVNI établies par le chercheur canadien ufologue Grant Cameron.

 

Complicité gouvernementale ?

Une frange de la communauté ufologique met en avant l'existence d'une collaboration entre le monde supraterrestre et des agences secrètes gouvernementales. Elle se traduirait par l'existence de bases secrètes souterraines (environ 130) permettant à ces entités de mener des expérimentations à partir de leur technologie, telles la fameuse "zone 51"* et la "base de Dulce" supposée être dans l'Etat du Nouveau-Mexique, dissimulée dans une réserve des indiens Apaches. D'autres bases souterraines existeraient, telle la grotte de Sarawak découverte par des chercheurs anglais en 1981 dans la jungle de l'île de Bornéo, ou encore dans la Cordillère des Andes, au Nouveau-Mexique (grotte de Carlsbad), dans la jungle amazonienne, en Californie (Mont Shasta), en France (Pic de Bugarach), dans l'Himalaya (Mont Kailash)... En outre existeraient des bases sous-marines sous les glaces d'Arctique et d'Antarctique, mais aussi le long des côtes d'Amérique du Sud tout comme près des rives de la Méditerranée*².

Selon certaines sources, un pacte secret aurait été scellé en 1947 puis en 1954 par le Président Eisenhower et d'autres dirigeants du monde et ces entités, portant sur l'étude de la planète et de son éco-système, voire pour certains sur des enlèvements humains et des expériences d'hybridation génétique qui permettraient de "relancer" leur race, et ce en contrepartie du transfert d'une partie de leur savoir technologique. Le coût global est estimé à plusieurs centaines de milliards de dollars...

Dans son livre  "Le Gouvernement secret" (The Secret Government: The Origin, Identity, and Purpose of MJ-12) paru en 1999 chez Louise Courteau, éditrice, l'ancien officier de l’armée de l’air et de la marine US Milton William Cooper (1943/2001), ayant eu accès à des documents classés "Secret défense", écrit que "Tout au long de l’histoire des aliénigènes (les extraterrestres) n’ont cessé de manipuler et régenter l’humanité par le biais de diverses sociétés secrètes, de l’occultisme, de la magie, de la sorcellerie et de la religion… les gouvernements officiels se sont fait entièrement berner par les forces extranéennes, qui, quant à elles, n’ont d’autres intérêts que de nous réduire tous en esclavage quitte à anéantir la totalité de l’espèce humaine…". Qualifié d'individu conspirationniste, son décès pour traumatisme balistique après deux tentatives d’assassinat par des espions de la CIA en 1979 est le fait des adjoints du shérif du comté d'Eagar en Arizona, sous prétexte d’un refus d’obtempérer à un ordre de perquisition dont la raison est qu'il ne payait plus ses impôts depuis 1992, représentant de ce fait une menace pour l’ordre social. La vie n'est-elle pas belle dans la plus grande démocratie proclamée de la planète ?

* Située dans le désert du Nevada et reconnue par le gouvernement américain, aussi appelée Dreamland, Watertown, The Ranch, Paradise Ranch, The Farm, The Box, Groom Lake, Zone 51 A, Neverland ou encore The Directorate for Development Plans Area, cette base secrète a été mentionnée pour la première fois sur des documents officiels américains déclassifiés en août 2013 décrivant les essais secrets de l'avion Lockheed U-21. Elle est le lieu mythique des passionnés d'ufologie concernant les expérimentations menées avec la collaboration de l'armée US, supposée notamment avoir recueilli la soucoupe volante endommagée lors du crash de Roswell. De nombreux témoignages crédibles même si inévitablement contestés l'attestent, tel celui de l'ingénieur et scientifique Robert Scott Lazar ou Bob Lazar, qui affirme y avoir travaillé entre 1988 et 1989 en tant que physicien au Secteur 4 près de la Zone 51, créé pour l'étude sur la rétro-ingénierie d'engins extraterrestres récupérés par l’armée américaine après la Seconde Guerre mondiale et la propulsion d'un nouveau genre d'appareils militaires ressemblant aux soucoupes volantes par l'élément atomique 115 (l'ununpentium), qui est une source d'énergie permettant l'antigravité lorsqu'il est bombardé de protons et produisant de l'énergie par antimatière.

Cf. Travaux de Ivan T. Sanderson, naturaliste américain pionnier de la cryptozoologie, discipline s'intéressant à l'étude des espèces supposées disparues ou supposées éteintes.

Cf. en complément le livre de l'auteur américain Mc Tonnies "Les cryptoterrestres" (2010).

 

Plateau d'Albion, la "zone 51" française ?

Le plateau d'Albion en France est situé à cheval sur les trois départements du Vaucluse, de la Drôme et des Alpes-de-Haute-Provence, se subdivisant administrativement en sept communes réparties sur ces départements. Il a bénéficié d'une renommée internationale en accueillant, de 1971 à 1996, le site de lancement des missiles nucléaires sol-sol balistiques de la force de dissuasion nucléaire française, dont les installations militaires s'étendaient au-delà du plateau. En effet, le général Charles DeGaulle voulant une défense nucléaire avec des avions, des sous-marins et des missiles sol-air, ce site stratégique s'est imposé de par sa nature à faible densité humaine et sa capacité à permettre un bon ancrage des silos renfermant les missiles à même d'amortir l'onde de choc en cas d'agression nucléaire. En septembre 1996, le président Jacques Chirac a annoncé la fermeture des sites de lancement terrestres de missiles nucléaires.

Un certain nombre de témoignages à propos d'Albion relatent sans cesse depuis des observations d'extraterrestres et autres hommes en noir, en passant par des mutilations de bétail, qui auraient eu lieu entre la fin des années 1970 et le début des années 1990. De nombreuses personnes font aussi état de bruits souterrains rauques comme de raclements comparables à de très lourdes portes en mouvement à proximité de la base et semble-t-il sur une grande partie du plateau. Après chaque ouverture réelle d'un silo, un ovni le survolait dans les 48 heures, immense vaisseau porteur plafonnant à une altitude de quelques milliers de mètre et qui larguait des sphèroïdes d'observation rapprochée. Un projet avait même vu le jour pour tenter d'observer ce phénomène, baptisé l'opération "RAPA NUI".

 

Ils n'étaient pas seuls sur la lune !

Le livre Somebody else is on the Moon ("Ils n'étaient pas seuls sur la lune") publié en 1977 par George Leonard (1923/2010), un des employés de la NASA qui étaient chargés d'analyser les photos prises par les sondes lunaires américaines, a été dans leurs versions américaine comme française très vite retirée du marché et interdite à la vente ! C'est pourquoi son existence n'est quasiment pas connue. Si depuis 2016 le livre est de nouveau disponible aussi aux États-Unis, ses révélations sont toujours d'actualité et toujours aussi "explosives". George Leonard y affirme et démontre, preuves à l'appui à partir de photographies officielles de la NASA, l'incroyable réalité : la Lune est habitée. Les astronautes de la NASA l'ont constaté de leurs propres yeux, mais ils respectent strictement la consigne de silence.

Bien entendu, les détracteurs "bienpensants" considèrent qu'il s'agit d'un écrit se prêtant aux thèses conspirationnistes, les photos utilisées reposant sur des images qui ne sont pas transparentes, de ce fait incontestables dans la construction de la preuve. Autrement dit, ils considèrent que l'auteur n'a pas fait l'effort d'avoir raison en accumulant sur des années d'analyse des images en les recoupant avec d'autres types d'informations pour constituer ainsi un ensemble cohérent. Le débat reste ainsi ouvert entre les croyants et les sceptiques !

 

Toutefois, en cette fin de cyclicité civilisationnelle, les choses bougent, le système étant obligé une parade à la révolte en cours des peuples. C'est ainsi que derrière les portes closes, la commission de contrôle de la Chambre des représentants des États-Unis se prépare courant 2024 à une réunion d’information qui promet de lever le voile sur les mystères qui entourent les prétendus programmes de récupération de crashs d’OVNI et de rétro-ingénierie. Au centre de cette intrigue se trouve Thomas Monheim, l’inspecteur général de la communauté du renseignement américain, chargé de la lourde responsabilité de faire la lumière sur des allégations si explosives qu’elles ressemblent à l’intrigue d’un roman de science-fiction. Pourtant, pour les membres de la commission, il ne s’agit pas d’une fiction. Il s’agit d’une quête de vérité dans une saga qui s’étend sur plusieurs décennies. Il est relayé par l’avocat Daniel Sheehan qui dévoile de manière crédible des informations cruciales sur les programmes clandestins du gouvernement américain concernant les ovnis. Cet avocat est connu pour sa carrière juridique remarquable dans des affaires très médiatisées telles que les Pentagon Papers et l’affaire Iran-Contra.

Quant au colonel David Grusch, ancien haut responsable des services de renseignement américains du National Reconnaissance Office et du Global Intelligence Center, il a lancé des accusations devant la commission de surveillance de la Chambre des représentants appuyées sur son accès à des données satellitaires top secrètes et sa participation au groupe de travail spécial du Pentagone sur les OVNI : des ovnis écrasés, des êtres non humains retrouvés et un gouvernement apparemment plus intéressé par le secret que par la découverte !

Toutes ces allégations ont fini par ouvrir la voie à une confrontation entre le désir de transparence et le monde impénétrable des renseignements classifiés.

 

De nombreux auteurs ont entrepris des recherches quant aux véritables raisons étatiques sur le "mystère alien". C'est le cas de l'auteur anglais Nicholas Redfern (photo 1 ci-dessus), journaliste, cryptozoologue et ufologue, spécialiste des mystères non résolus et défenseur actif de la divulgation officielle par le gouvernement d'informations sur les OVNIs. Il a travaillé à la découverte de milliers de pages de dossiers précédemment classifiés de la Royal Air Force, du ministère de l'Air et du ministère de la Défense sur ces objets volants non identifiés datant de la Seconde Guerre mondiale et provenant du Public Record Office. Il raconte notamment ses découvertes dans son livre de 2005 Body Snatchers in the Desert : The Horrible Truth at the Heart of the Roswell Story ("Les voleurs de corps dans le désert : L'horrible vérité au cœur de l'histoire de Roswell"), prétendant démontrer que le crash de Roswell pourrait avoir été des essais d'avions militaires utilisant des prisonniers de guerre japonais, souffrant de la progerie ou des effets des radiations (voir également son livre de 2009 Contactees: A History of Alien-Human Interaction - "Contactés : Une histoire de l'interaction entre les extraterrestres et les humains").

Il poursuit ainsi la voie ouverte par l'auteur américain Jim Keith (1949/1999 - photo 2)*, connu notamment pour ses nombreux livres inévitablement controversés Mind Control/World Control, Black Helicopters I et II, OK Bomb, Saucers of the Illuminati, Casebook on Alternative, Casebook on the Men In Black ou encore The Octopus, car détaillant des théories qualifiées de conspiration. L'un des thèmes sous-jacents de ses œuvres est que le phénomène OVNI est d'origine entièrement terrestre, prenant ses racines dans un programme parallèle de développement technologique.
* Lorsqu'en septembre 1999 il est tombé d'une scène et s'est cassé le genou lors d'un festival artistique dans le désert de Black Rock au Nevada, et qu'il est entré à l'hôpital médical, il a déclaré juste avant d'être mis sous anesthésie "J'ai le sentiment que s'ils me mettent sous anesthésie, je ne reviendrai pas". Il est effectivement décédé dans l'unité de soins intensifs peu après la fin de l'opération lorsqu'un caillot de sang s'est libéré et a pénétré dans son poumon, le rapport du coroner indiquant que la cause du décès était un "traumatisme dû à un objet contondant"...

 

Le troublant leg de Phil Schneider (1)

Phil Schneider (photo 3), ancien ingénieur géologue et expert en explosifs, est décédé en janvier 1996 dans des conditions troubles, apparemment étranglé avec une corde à piano enroulée à trois reprises autour de son cou, et ce suite à ses révélations faites en 1995, entre autres sur les "Black Helicopters". Cette mort étrange a été officiellement considérée comme un suicide. Si les circonstances de son décès paraissent prêter fortement à controverse, elles sont en adéquation avec celle causée par ses déclarations publiques peu de temps auparavant, dans lesquelles il affirmait que sur les 129 voire 133 installations souterraines situées très en profondeur construites secrètement par le gouvernement des États-Unis depuis la Deuxième Guerre mondiale*, deux de ces bases dans lesquelles il avait travaillé étaient d'importance majeure, dont l'installation de bioingénierie de Dulce, au Nouveau Mexique, où des extraterrestres humanoïdes "gris" travaillaient aux côtés de techniciens américains. Suite à un malentendu entre eux en 1979, une tuerie s'ensuivit dans laquelle 66 membres des Services Secrets, du FBI et des Bérets Noirs furent tués, ainsi qu'un nombre non précisé de "gris". C'est au cours de cet incident que Phil Schneider aurait reçu une décharge d'arme à rayon dans la poitrine, qui fut à l'origine de son cancer ultérieur (beaucoup de témoins ont confirmé qu'il portait bien une grande cicatrice).

Parmi ses déclarations dérangeantes, se distinguent :

1) Le gouvernement américain a conclu un traité avec les aliens "gris" en 1954, ce pacte de coopération réciproque s'appellant le "Traité de la Grenade" (The Grenada Treaty).
2) La navette spatiale en orbite est le lieu de production d'alliages spéciaux, le vide nécessaire à la création de ces métaux particuliers justifiant l'obligation d'avoir une grande station spatiale habitée en permanence.
3) Une grande partie de la technologie états-unienne des avions furtifs a été développée par rétro-conception des vaisseaux aliens qui se sont écrasés.
4) Le SIDA était un virus destiné à réguler la population, inventé par le National Ordinance Laboratory de Chicago dans l'Illinois.
5) À l'insu de pratiquement tout le monde, le gouvernement des États-Unis possède un dispositif permettant de créer des tremblements de terre. C'est ainsi que ni le tremblement de terre de Kobe au Japon en 1995, ni celui de San Francisco en 1989, ne comportaient d'onde de compression pourtant présente lors d'un tremblement de terre naturel.
6) L'explosion à la bombe du World Trade Center et celle d'Oklahoma City sont le résultat de petites charges nucléaires, la fusion et le piquetage du béton de même que l'extrusion des fers de renfort le démontrant. 

Quoi qu'on puisse penser des affirmations de Phil Schneider, il est clair que le FBI et la CIA s'intéressaient particulièrement à lui. Sa veuve a d'ailleurs déclaré que des agents des services secrets ont fouillé les lieux peu de temps après son décès, et sont repartis avec au moins un tiers des photos de famille. Il pensait en outre qu'on avait assassiné 11 de ses amis au cours des 22 dernières années, huit de ces morts ayant été officiellement considérées comme des suicides. Il fut visiblement le neuvième...

* Ces bases nommées en anglais DUMB (Deep Underground Military Bases) sont reliées par des trains à lévitation qui traversent des systèmes de tunnels souterrains couvrant l’ensemble des États-Unis, se déplaçant à des vitesses allant jusqu’à Mach 2.

Cf. Phil Schneider, DVD Deep Underground Military Base ("Base militaire souterraine profonde").

 

Le troublant leg de Phil Schneider (2)

Phil Schneider a également parlé ouvertement de 11 espèces extraterrestres, qui interagiraient régulièrement avec les gouvernements du monde, parmi lesquelles neuf sont des ennemis de l’humanité. Bon nombre des technologies que les humains ont soi-disant "développées" au fil des ans seraient en fait des transferts de technologie de ces civilisations extraterrestres, comme le transistor qui a donné naissance à tout le domaine de l’électronique et de la surveillance Internet, soudainement apparu de nulle part à la fin des années 1940 (Bell Labs) et n’ayant jusqu'alors aucune lignée de développement traçable.

Il peut être établi un lien entre l’agenda extraterrestre et le Nouvel Ordre Mondial en cours depuis 2020, dont l'objectif consiste à démanteler des pays à l'occasion de la crise sanitaire dite Covid-19… Il ne s'agit que d'un  sinitre complot, destiné à produire des armes biologiques à base de nanoparticules toxiques pour réduire ou éclaircir la population mondiale de la planète de 5/6ème - autrement dit un nettoyage ethnique - (les soi-disant vaccins contribuent à l'augmentation des cancers, des décès vasculaires, des décès neurologiques, des décès auto-immuns, etc.), à transformer l'atmosphère pour obscurcir le soleil et arrêter la photosynthèse (avec comme conséquence de par le dioxyde de carbone à grande échelle la privation de l’écosystème végétal de la Terre du nutriment essentiel à sa survie) dans l’atmosphère (séquestration du carbone), qui privera l’écosystème végétal de la Terre du nutriment essentiel à sa survie (CO2), et asservir de manière autoritaire (notamment par le traçage et la surveillance électroniques généralisés de la population sous prétexte de "passeports vaccinaux" ou "initiatives de santé publique") le reste des individus pour travailler bon gré mal gré avec les despotes de ce Nouvel Ordre Mondial*.

Cet "avenir post-humain" est préparé par les entités non terrestres qui contrôlent et pilotent les relais terrestres institutionnels à la tête des pyramides de gouvernance. Il s'agit bel et bien d'une prise de contrôle totale de tous les gouvernements, institutions, établissements "scientifiques", médias, géants de la technologie, etc., afin d’asservir l’ensemble de la race humaine. Les entités non terrestres ont en fait décidé que l’humanité était trop stupide et imprudente pour exister, car engagée dans une destruction écologique généralisée, la pollution des océans par les microplastiques, la pollution galopante des sols et des voies navigables et la poursuite des essais d’armes nucléaires qui libèrent des radio-isotopes à travers la planète.

En d’autres termes, l’espèce humaine n’étant pas encore assez mature pour démontrer sa propre durabilité ou sagesse, la décision a été prise d'en "débrancher" la civilisation par un système avancé d’Intelligence Artificielle extraterrestre, et de "redémarrer" la planète pour une ère post-humaine. C'est un pacte de suicide tordu et démoniaque, une "cyberguerre cosmique" ! Et comme 99% de la race humaine n’a aucune idée qu’elle est attaquée de par le lavage de cerveau, la censure et l’endoctrinement des médias effectués, autant dire que l'espoir d'un potentiel de survie cosmique est faible.

* Cf. La nouvelle religion universelle & Compréhension de la conspiration prédatrice.

 

Le troublant leg de Phil Schneider (3)

Pour amener la planète Terre à une fréquence de résonance plus élevée afin qu'elle devienne plus paisible, et pour encourager les gens à aller de l’avant, Phil Schneider a évoqué le changement fondamental dans le domaine de l’énergie grâce à une technologie tenue secrète par les autorités gouvernementales. Celle-ci est sur le point d'être révélée, des scientifiques chinois ayant détecté en 2024* grâce au radar le plus puissant du monde, le radar ionosphérique à longue portée et à basse latitude (LARID), des bulles de plasma qui apparaissent presque simultanément au-dessus des pyramides égyptiennes et des îles Midway. Ces bulles de plasma, provoquées par une tempête solaire, sont apparues clairement sur les écrans radar en Chine entre le 4 et le 6 novembre de l’année 2023, les échos radar les plus lointains détectés provenant d’Afrique du Nord et du Pacifique central.

Ces bulles de plasma équatoriales qui peuvent atteindre des centaines de kilomètres de diamètre sont des phénomènes météorologiques anormaux dans les régions de basse latitude, causés par la disparition soudaine d’un grand nombre de particules chargées dans l’ionosphère, une partie de la haute atmosphère terrestre. Elles peuvent dans ces régions qui ressemblent à une bulle déficiente en électrons perturber les appareils de positionnement GPS et les communications par satellite.

* Cf. publication le 27 août dernier par l’Institut de géologie et de géophysique, une branche de l’Académie chinoise des sciences à Pékin, sur son site web des résultats du plus grand test de détection de bulles de plasma par radar à ce jour.

 

Artefacts et reliques révélateurs

L’auteur, cinéaste et animateur de radio états-unien Steve Quayle pense qu’il y a des personnes qui se chargent de cacher la vérité sur les anciens extraterrestres et leur lien avec l’humanité. Il a ainsi déclaré en juin 2022 : "L’essentiel est qu’ils discréditeront la vérité. Ils discréditeront les diseurs de vérité. Ils feront tout leur possible pour voler le récit. Toute la présentation des UAP (phénomènes aériens non identifiés) devant le Congrès n’était rien d’autre qu’un tas de fumier de taons. Et le fait est qu’il y a plus de deux millions de fichiers, me disent des initiés, qui existent sur l’ensemble du phénomène OVNI (objet volant non identifié) extraterrestre. Deux millions, pas 1 500 pages".

Quayle et son équipe ont découvert à l’aide d’un radar pénétrant dans le sol des artefacts au Mexique et des reliques - ainsi des pyramides et des bâtons de serpent avec de l’ADN humain dessus -, montrés dans un documentaire intitulé "La connexion égyptienne et extraterrestre dans les Amériques". Ces artefacts ont des milliers d’années (estimées à 6 000). Leurs expéditions ont révélé 38 espèces différentes d’extraterrestres, dont certaines ressemblent absolument à celles du film "Alien" du cinéaste Ridley Scott (1979).

Ceci entend que certaines informations sur les extraterrestres ont été autorisées à s’infiltrer dans la conscience publique par les mondialistes dans le but d’essayer d’asservir l’humanité en affirmant que les gens doivent s’unir pour résister à une éventuelle prise de contrôle par des extraterrestres. En d'autres termes, les mondialistes veulent jouer la carte du sauveur extraterrestre... Et le Smithsonian Museum* est de son côté  le gardien qui modifie la connaissance de l’histoire réelle de l’humanité et son véritable contact avec les anciens extraterrestres, dissimulant par exemple les origines des pyramides de Gizeh et du Sphinx.

* Basée à Washington, la Smithsonian Institution est le plus grand complexe de musées, d'éducation et de recherche du monde.

 

Comme nombre de pseudo-démocraties qui se gargarisent de cet attribut de façade, la France tout particulièrement, et les États-Unis constituent un pays avec une mauvaise conscience, nominalement une République et une société libre, mais en réalité un empire et une oligarchie vaguement conscient de sa propre oppression, à l’intérieur comme à l’extérieur de ses frontières. Ses structures de pouvoir sont construites autour de l’État de sécurité nationale, moyen pratique de rendre compte des communautés de renseignements et militaires ainsi que des mondes qui s’en nourrissent tels que les entrepreneurs de la défense et autres entités souterraines nébuleuses. Ses traits fondamentaux sont le secret, la richesse, l’indépendance, le pouvoir et la duplicité.

C'est ainsi que la dissimulation des Ovnis comme d'une intelligence alien supérieure qui nous domine est un secret parmi de nombreux autres au sein de l’État de sécurité nationale américain, tout comme dans de nombreux autres pays. Comme d’autres domaines dans son champ, le problème Ovni a été traité secrètement, avec grande supercherie et des ressources importantes, même si des enquêtes officielles sont menées. C'est par exemple le cas du programme Advanced Aerospace Threat Identification Program ("Programme d'identification des menaces aérospatiales avancées"), un programme du ministère de la Défense qui a commencé en 2007 pour enquêter sur des phénomènes non identifiés, et qui a officiellement pris fin en 2012*. Grâce à un projet de loi de crédits de 2,3 milliards de dollars promulgué en décembre 2020, connu sous le nom de Consolidated Appropriations Act, il a été suivi en 2021 par un rapport du directeur du renseignement national détaillant ce que le gouvernement sait des phénomènes aériens non identifiés (PAN), communément appelés OVNI. Mais bien que tenu d'être public, le rapport contient une annexe classifiée, ce qui a été publié en juin 2021 se contentant de relater en neuf pages 144 observations de "phénomènes aériens non identifiés" par les forces armées américaines (principalement du personnel de la marine américaine) de 2004 à 2021, sans aucun détail ni analyse approfondie permettant de déterminer si ces observations proviennent d'une "technologie révolutionnaire"*². Le rapport n'a pas établi de lien entre les observations et la vie extraterrestre. Autrement dit, circulez car il n'y a rien à voir...

* En août 2020, un successeur de ce programme, the Unidentified Aerial Phenomena Task Force ("Groupe de travail sur les phénomènes aériens non identifiés"), a été créé au sein de l'Office of Naval Intelligence, qui verra être difusées trois vidéos enregistrées par des pilotes de la marine américaine, connues sous le nom de vidéos d'OVNI du Pentagone.

Le rapport a établi cinq catégories explicatives potentielles : encombrement aérien, les phénomènes atmosphériques naturels, les programmes de développement du gouvernement américain ou de l'industrie américaine, les systèmes adverses étrangers et une catégorie fourre-tout "autre".

 

La mort mystérieuse de Morris K. Jessup

En 1955, l’un des livres les plus controversés parmi les nombreux et divers ouvrages sur les OVNIs publiés dans les années 50 est sorti aux Etats-Unis. Il s’appelait The case for the UFO ("L’affaire de l’OVNI"), écrit par le photographe, vendeur d'automobiles et écrivain américain diplômé en astronomie Morris Ketchum Jessup (1900/1959). Son livre explorait une question spécifique : comment les ovnis volent-ils, quelle est leur source d’énergie, grâce à laquelle ils peuvent se déplacer si rapidement et effectuer des acrobaties aériennes incroyablement complexes, par exemple, s’arrêter brusquement, effectuer des virages en ligne droite à grande vitesse, etc. Jessup pensait que des réponses vitales se trouvaient dans le domaine de la gravité. Plus précisément dans l’antigravité.

Peu de temps après la sortie du livre, Jessup, selon ses propres termes, a senti l’attention de "tout le monde des responsables militaires", y compris de hauts responsables de l’US Navy, pensant être suivi par des personnes d’un bureau spécial de la marine américaine (le département des "armes spéciales"). Il supposait que c’était parce qu’il avait révélé une technologie que les militaires étudiaient déjà dans le plus grand secret, et qu’ils utilisaient pour faire voler leurs propres avions top secrets notamment dans le célèbre projet avec le navire Eldridge (expérience dite de Philadelphie en 1943)*, programme top secret conçu pour utiliser des champs électromagnétiques afin de rendre les navires de guerre visuellement invisibles à l’ennemi

Jessup était alors dans un état de peur profonde et de paranoïa. Il a alors commencé à remarquer des personnes en costume noir (les fameux Men in Black*²) qui se cachaient dans l’ombre des maisons voisines, et les lettres et objets qu’il trouvait dans sa boîte aux lettres portaient des signes évidents d’ouverture et de re fermeture. Le soir du 20 avril 1959, son corps sans vie fut retrouvé dans sa propre voiture garée dans le Matheson Hammock Park à Miami en Floride. Le moteur de la voiture était toujours en marche et un tuyau fixé au tuyau d’échappement était enfoncé dans la fenêtre du côté conducteur (il est mort d’une exposition au monoxyde de carbone). Alors qu’il semblait bien que Jessup s’était suicidé, la première preuve suspecte consista deux serviettes, qui fermaient hermétiquement l’interstice de la fenêtre par lequel le tuyau était introduit à l’intérieur (sa femme déclara que c’était la première fois qu’elle voyait ces serviettes et qu’elles n’avaient pas été prises à leur domicile). De même, le reçu des serviettes achetées n’a été retrouvé nulle part, ni dans la voiture ni dans les poches des vêtements, alors que Jessup était si paranoïaque qu’il emportait toujours avec lui les reçus des magasins. Il n’est pas moins suspect que la nuit précédant le "suicide", Jessup se soit montré étonnamment joyeux et de bonne humeur, passant plus d’une heure à discuter au téléphone avec son vieil ami Manson Valentine, exprimant son enthousiasme pour ses derniers travaux et ses projets de recherche. Jessup l'avait même invité à déjeuner ensemble le lendemain, ayant quelque chose d’incroyable à lui montrer. Valentine n’a jamais su ce que Jessup avait trouvé exactement, car Jessup ne l’a jamais appelé et n’est jamais revenu dîner avec lui...

* L’expérience de Philadelphie ou l’expérience d’Eldridge n’est pas reconnue comme un fait avéré, mais est considérée comme un simple conte. Cependant, dans les sources sur les OVNIs, elle est qualifiée de tout à fait réelle et en fournit de nombreuses preuves indirectes. L’USS Eldridge avait été choisi comme objet de l’expérience, mais lors du test en 1943, quelque chose a mal tourné et le navire a physiquement disparu. Lorsqu’il réapparut, certains membres de son équipage étaient morts, d’autres blessés, d’autres encore devenus fous. On raconta également que certains membres de l’équipage avaient tout simplement disparu du vaisseau et jamais revus.

Cf. Les acteurs de la Matrice falsifiée.

 

De l'Opération Majorité

Milton William "Bill" Cooper (1943/2001) était un ancien membre de l’équipe de briefing des services de renseignement de la marine américaine, devenu par la suite auteur et animateur de radio, et qualifié de conspirationniste comme il se doit pour ses idées hors système. Il est surtout connu pour son livre Behold a Pale Horse ("Un cheval pâle") publié en 1991.

Ce livre présente en effet un large éventail de ses théories concernant les sociétés secrètes, le gouvernement américain et la vie extraterrestre. Elles ont gagné en popularité et son émission de radio, The Hour of the Time ("L’heure du temps"), a bénéficié d’un public fidèle.

Ses affirmations étaient tout à fait extraordinaires et portaient sur des sujets aussi variés que le SIDA, qui était un programme de contrôle de la population, ou l’assassinat de John F. Kennedy, qui avait été orchestré par une société secrète. Cependant, l’une de ses théories les plus originales tourne autour du concept d’une invasion extraterrestre mise en scène liée à la création d’un nouvel ordre mondial. Selon Cooper, le gouvernement américain planifie depuis 1917 la fabrication d’une menace extraterrestre afin d’unir toutes les nations sous une même bannière. L’objectif est d'établir un gouvernement socialiste totalitaire mondial, un Nouvel Ordre Mondial. Cette idée a été mise en évidence dans un document qu’il a prétendu avoir trouvé en 1972 et qui s’intitule Operation Majority. Il y postule que cette conspiration était en cours depuis longtemps, et que divers éléments tels que la pollution de l’environnement et le désarmement faisaient partie intégrante du grand plan. Selon lui, ces conditions ont été intentionnellement orchestrées pour unifier le monde contre un ennemi commun inventé de toutes pièces. Cet ennemi, comme il l’a souligné, serait une race extraterrestre technologiquement supérieure.

Le rôle de la culture populaire et des médias, selon Cooper, a été crucial pour faire de cette conspiration mondiale une réalité. Il a déclaré que le flux constant de films et de contenus médiatiques sur les soucoupes volantes et les invasions extraterrestres depuis les années 1950 faisait partie d’un plan visant à convaincre la population mondiale de l’imminence d’une menace extraterrestre.

Les autorités ont tué William Cooper dans une rafale de coups de feu à l’extérieur de sa maison située au sommet d’une colline dans l’est de l’Arizona.

 

Selon les preuves compilées par l'auteur, historien et éditeur américain Richard Dolan, spécialisé dans l'histoire du phénomène OVNI – qui incluent des documents du gouvernement -*, ce serait un groupe de spécialistes travaillant dans l’ombre qui aurait mis au point et exécuté la dissimulation la plus énorme de l’histoire du gouvernement, avec la complicité du mouvement du Potentiel Humain*² et des mouvements hétéroclites New Age, tout comme l'intervention du FBI et son programme secret nommé COINTELPRO (Counter Intelligence Program) pour la mise au point de la désinformation. Il s'est bel et bien agi d’une opération psychologique de grande envergure, spécifiquement mise sur pied pour véhiculer des tendances idéologiques, autrement dit des croyances !

L'Etat américain a également initié le Majestic 12 (contraction de Majic Eyes Only signifiant Top Secret), aussi connu sous les noms de Majestic Trust, M12, MJ 12, MAJI ou MJ XII, soit un groupe secret formé de scientifiques, chefs militaires et dirigeants d'États, fondé en 1947 selon le souhait du président des États-Unis Harry S. Truman (1884/1972). Son objectif était l'étude des indices d'activité extraterrestre et l'éventuelle présence d'OVNIs au sein de notre monde, notamment après l'affaire de Roswell au Nouveau-Mexique. L'existence même de ce groupe est bien sûr controversée et sujette à caution entre les partisans d'une vérité autre que l'officielle, et les sceptiques les traitant de complotistes.

Le secret étant issu d’un élément de la vie de notre monde fondamental, à caractère envahissant tel un virus pathogène, ceux qui sont au sommet de l’échelle prendront toujours toutes les mesures nécessaires pour maintenir le statu quo... Ceci fait que certains pensent que les OVNIs sont issus du développement d’une technologie nazie et qu’ils n’ont rien d’"extraterrestre"*³, quand d’autres, utilisant la psychologie jungienne, décrivent les OVNIs comme une projection de notre inconscient collectif. Il en ressort que le gouvernement et l’armée sont non seulement parfaitement au fait du problème OVNI, mais également qu’ils ne le maîtrisent pas. Et pour cause, ils sont impuissants face à l'intelligence technologique bien supérieure qui les domine et les asservit de l'astral...

* Cf. Richard Dolan, UFOs and the National Security State – The Chronology of a Cover-up ("Les OVNIs et l’État de sécurité nationale – chronique d’un secret-défense protégé").

Le mouvement du potentiel humain (Human Potential Movement), né au sein des années libertaires (dites de contreculture) des années 1960 aux États-Unis, est fondé sur l'idée que des ressources psychologiques et spirituelles, des états supérieurs de conscience ou des expériences transcendantes, transpersonnelles, ne sont pas exploitées en l'être humain. Leur développement pour des changements individuels comme sociaux positifs est mis en oeuvre par l'Institut Esalen, créé en 1962 et basé en Californie. Se voulant le berceau de la psychologie humaniste, il a mis au point diverses méthodes de psychothérapies à partir d'un spiritualisme confus issu du mouvement New Age. Mélangeant vérités et mensonges, il est un élément très important du dispositif de contrôle mental de l'être humain.

*³ L'industrie humaine a probablement acquis la capacité de fabriquer des navettes et vaisseaux volants à de très grandes vitesses dépassant celle de la lumière, et surtout de sortir de notre espace-temps. De ce fait, les OVNIS qui sont régulièrement observés ne sont pas tous extra-terrestres. C'est ce qui est démontré dans le livre du scientifique Nick Cook The hunt for zero point ("l’anti-gravité"), tout comme par le Dr Eugène Podklednov, transfuge russe et chercheur des plus éminents dont le travail est apprécié par la NASA, Boeing et British Aerospace, qui désigne les applications sur l’anti-gravité comme l’une des plus importantes recherches scientifiques du siècle. Il évoque un effort international actuel comparable à celui dont bénéficia le programme du projet Manhattan de développement de la bombe A en 1945. Si le potentiel de ces recherches est énorme, il est aussi effrayant et très dangereux, les secrets de l’anti-gravité reléguant les armes thermonucléaires au rang de pétards. Si la responsabilité de telles applications est laissée au libre arbitre d’une minorité dirigeante secrète et en plus non élue, nous allons tout droit vers des accidents irréparables, de telles catastrophes s'étant déjà produites à des époques oubliées...

 

Aussi, malgré les incontestables documents montrant comment les organes du Renseignement aux États-Unis – et très probablement ceux d’autres pays qui travaillent de concert avec eux, bien qu’en public ils puissent prétendre être leurs opposants – ont mené des expériences extrêmes sur le contrôle du mental, la vaporisation de produits biologiques sur des villes américaines, les injections de plutonium et de syphilis chez des humains, l’interception illégale de communications, la surveillance domestique à l’échelle nationale de citoyens privés, les assassinats et coups politiques, la manipulation des médias, et le mensonge permanent au public*, particulièrement en ce qui concerne les OVNIs, les organismes officiels de l'establishment se sont assurés, par tous les moyens disponibles, que pour le public au sens large, les OVNIs et les extraterrestres restent une voie sans issue, le subtil jeu de duperie englobant même les échelons inférieurs des renseignements nationaux et de l’armée ! Le secret est gardé, non pas pour protéger le public, mais pour protéger ceux qui gardent ces choses secrètes. Qui ? Le groupe qui est au-dessus du Top Secret, du black-out, la "Fraternité du Serpent", relais du corpus prédateur extradimensionnel asservisseur*²... Car lorsque nous examinons le modus operandi des cercles du renseignement, nous constatons qu’à chaque niveau, du plus bas au plus haut, il y a contrôle et manipulation.

* Cf. Contrôle mental.

Cf. La nouvelle religion universelle.

 

Le quinté antidémocratique

1. Le Secret.

Presque toute chose d’importance entreprise par l’armée américaine et les services de renseignement ces 70 dernières années se sont produits en secret. L’entreprise de construire une arme atomique, plus connue sous le nom de Projet Manhattan, reste le grand modèle de toutes les activités subséquentes. Pendant 4 ans, pas un seul membre du Congrès n’en a eu même connaissance, et ce alors que son coût final ait excédé le total incroyable de 2 milliards de dollars. Pendant et après la seconde guerre mondiale, d’autres projets importants tels que le développement d’armes biologiques, l’importation de scientifiques nazis (projet Paperclip), les expériences de contrôle de l’esprit mortelles (MK-Ultra) *, l’interception au niveau national du courrier et des transmissions téléphoniques du peuple involontaire, l’infiltration des médias et des universités, les coups secrets, les guerres secrètes et les assassinats, ont tous eu lieu non seulement à l’écart du public américain mais aussi de la plupart des membres du Congrès et de quelques Présidents. En fait, plusieurs des agences de renseignement les plus puissantes ont elles-mêmes été établies en secret, à l’insu du public et du Congrès.

2- La Richesse.

Depuis les années 1940, les institutions du renseignement et de la défense US ont eu plus d’argent à leur disposition que la plupart des pays. En plus des dollars officiels, beaucoup de l’argent est sans documentation. Depuis ses débuts, la CIA s’est engagée dans une variété d’" affaires " officieuses qui ont généré de grosses sommes d’argent. Les connexions de la CIA avec le crime organisé global (et donc de facto avec le trafic de drogue international) a été bien établi et documenté pour de nombreuses années. De plus, la CIA a entretenu sa propre flotte aérienne privée ce qui a généré une coquette somme de fonds non comptabilisés principalement hors d’Asie. Pour finir, beaucoup de l’argent original pour diriger les services de renseignement américain provenait de très riches familles américaines bien en vue, qui ont longtemps maintenu un intérêt pour le financement d’opérations de sécurité nationale importantes pour leurs intérêts privés.

3- L'Indépendance (hors contrôle).

En théorie, une surveillance civile des institutions de sécurité nationale américaines existe. Le Président est le Commandant en Chef de l’armée. Le Congrès a le contrôle officiel de la CIA. Le FBI doit répondre au département de la Justice. En pratique, peu de cette théorie a été appliquée, sinon perdure de nos jours. Une raison a à voir avec le secret : la compartimentation de l’information au sein des cercles de renseignement et militaires. L’autorisation Top Secret n’autorise pas quelqu’un à accéder à toutes les informations top secret. L’information sensible est disponible sur la base du besoin de savoir. Il en découle que des agents de la CIA dans des pièces contiguës de leur quartier général Langley Headquarters peuvent être impliqués dans des activités top secret totalement différentes, chacun ignorant complètement ce que fait l’autre. Une telle compartimentation n’accroît pas seulement le secret, mais aussi la dépendance vis-à-vis d’un mauvais type (par ex officiel) de surveillance.

Une grande latitude d’activité n’est pas seulement la prérogative de la CIA. Durant les années 1950, le Président et général à 5 étoiles Dwight Eisenhower a effectivement perdu le contrôle de l’arsenal nucléaire des États-Unis. La situation s’est tellement détériorée que lors de ces 2 dernières années en fonction, Eisenhower a demandé à maintes reprises à avoir une audience avec le chef du Strategic Air Command pour apprendre quel était le plan de riposte nucléaire de l’Amérique. Ce qu’il a finalement appris en 1960, sa dernière année de fonction, l’a horrifié. Si un héros militaire respecté tel qu’Eisenhower ne pouvait pas contrôler l’arsenal nucléaire américain ni obtenir une réponse directe du Pentagone, comment diable le pouvaient les présidents suivants - Truman, Kennedy, Johnson, Nixon ... - pour des affaires comparables ?

4- Le Pouvoir.

Le secret, la richesse et l’indépendance s’ajoutent au pouvoir. Au cours des ans, l’état de sécurité national a obtenu l’accès à la technologie la plus sophistiquée du monde, a isolé des millions d’hectares du pays de l’accès ou de l’examen public, a acquis des capacités d’espionnage illimitées à l’intérieur des frontières US et au-delà, a conduit des actions ouvertes ou clandestines contres d’autres pays et poursuivi des guerres sans examen attentif des médias. A l’intérieur du pays, il maintient son influence sur des officiels et des communautés élus dans l’espoir de quelques-uns des milliards de dollars de la défense.

5- La Duplicité.

La tromperie est un élément clé de la guerre et quand gagner est tout ce qui importe, la moralité conventionnelle des gens ordinaires devient un obstacle.

 

Tout ceci découle de cette fiction à laquelle la majorité des individus, américains comme occidentaux, sont amenés à croire, celle d’un gouvernement représentatif, autrement dit une démocratie. Nous n’élisons pas réellement nos représentants, mais nous préférons continuer à le penser, la fiction répandue par les médias servant à voiler le regard comme la conscience. Il s'agit non d'une démocratie mais d'une oligarchie, fondamentalement intéressée à protéger ses propres intérêts à l’exclusion de toute autre considération. Lorsque nous regardons en face l’évidence, nous voyons que les groupes en question n’ont jamais agi dans l’intérêt public. Ceci symbolise la marque de fonctionnement d'une planète terrestre gouvernée par des prédateurs extradimensionnels, à qui nous avons donné par manipulation notre consentement d'esclavage. Aussi est-il logique de penser qu’il n’y a aucune raison pour que le secret entourant la "réalité extraterrestre" soit autrement !

 

"Rencontres Rapprochées du Type Fatal"

L'auteur britannique Nick Redfern a établi dans son ouvrage Close Encounters of the fatal Kind (Cf. titre) paru en 2014 une somme de morts suspectes, meurtres mystérieux, et disparitions bizarres dans l’histoire des OVNIs. Il en est ainsi des morts suspectes en relation au crash d’OVNI à Roswell en juillet 1947, sous forme de suicides et des morts prématurées de nombreuses personnes impliquées, comme par exemple le fils du propriétaire de ranch qui a découvert les débris étranges dans le comté de Lincoln, au Nouveau Mexique.

Deux enquêteurs militaires impliqués dans la récupération des débris de l’OVNI présumés à l’île de Maury, dans l’État de Washington en juin 1947, ont été quant à eux tués quand leur avion rapportant les débris pour analyse s’est écrasé, de même que deux hommes des médias locaux dans le sillage de l’affaire.

Une interrogation demeure quant à la mort du capitaine de la garde nationale, qui en 1948 pourchassait un OVNI à haute altitude dans le ciel du Kentucky. C'est aussi le cas concernant le suicide déclaré du secrétaire à la Défense, James Forrestal, en mai 1949, qui s'apprêtait à révéler au monde la vérité sur les OVNIs.  

D'autres morts mystérieuses de personnes impliquées avec des OVNIs en 1953, dont des pilotes, sont mises en avant, en Californie comme dans le Wisconsin.

En 1959, l’un des décès les plus controversés lié aux OVNIs est celui d’un auteur et enquêteur sur les soucoupes volantes, Morris K. Jessup, retrouvé mort dans sa voiture dans un parc en Floride. A-t-il été "éloigné" de certains secrets sur les OVNIs que des acteurs puissants voulaient tenir sous le boisseau ?

L’histoire la plus sensationnelle du livre est celle du président John F. Kennedy, assassiné le 22 novembre 1963 à Dallas, au Texas. Aussi incroyable que cela puisse paraître, il y a autour de l’assassinat de JFK un tas d’espions, d’agents secrets, qui étaient profondément impliqués dans le phénomène OVNI. Le président a-t-il été tué pour l’empêcher de révéler publiquement ce qu’il savait des visites extraterrestres ?

Un des récits les plus cauchemardesques tombant dans la catégorie des mutilations humaines provient de feu Leonard Stringfield, un haut gradé qui a décrit un incident choquant qui se serait produit au Cambodge durant la Guerre du Vietnam en avril 1972, soit une confrontation violente et macabre avec un groupe d’extraterrestres qui pourraient être qualifiés plus exactement de " bouchers cosmiques ". La confrontation s’est produite alors qu’ils transportaient des parties de corps humains dans de grands bacs. Il y a de nombreux autres rapports similaires dans le même genre.

Enfin un jeune pilote australien nommé Frederick Valentich a disparu en octobre 1978 au-dessus du Détroit de Bass en Australie peu de temps après avoir vu un OVNI de très près, ce qui a donné lieu à la théorie d’un enlèvement cosmique.

 

En 2010, un programme secret de défense gouvernementale états-unienne de 22 millions de dollars portant sur la surveillance des ovnis a chargé un professeur à la Wayne State School of Medecine de Détroit, Christopher Green, de rédiger un rapport sur les blessures subies lors de rencontres rapprochées, initiative appelée Advanced Aerospace Weapon System Applications Program ("Applications des systèmes d'armes aérospatiaux avancés") supervisée entre 2007 et 2012 par une des agences du renseignement des États-Unis, la Defense Intelligence Agency (DIA, "Agence du renseignement de la défense"). Dans une déclaration à la version US du journal britannique Daily Mail, ce professeur expert en neuro-imagerie médico-légale a indiqué qu'il travaillait pour la CIA depuis les années 1960, et qu'il avait traité des centaines de patients ayant été en contact avec des phénomènes aériens non identifiés.

 

Atrocités d'OVNIs

Le livre sorti en 1996 du journaliste américain Robert Vance Pratt UFO Danger Zone : Terror and Death in Brazil - where Next ?  ("Zone de danger OVNI : Terreur et mort au Brésil - Où est la prochaine ?"), spécialiste des cas observés au Brésil et dans les zones hispaniques, portugaises (Philippines et Espagne compris), indique un lien entre la continuation des recherches des nazis et les technologies occultes et/ou interdimensionnelles, les incidents rapportés pouvant être dus à une ingénierie privée d’aéronautique expérimentale. Depuis les années 1970 et probablement bien avant, des choses terribles ont été faites aux gens au Brésil, peut-être plus que dans tous les autres pays réunis, ces  agressions cosmiques se produisant toujours. La raison est que de nombreux Brésiliens sont impliqués dans des pratiques douteuses qui attirent et autorisent de telles violations dans des zones spécifiques comme la magie noire, le vaudou, le culte des esprits ou l'appel aux esprits, et bien sûr la consommation de drogues comme l'ayahuasca.
Si les attaques interdimensionnelles ne sont pas toujours spectaculaires, elles peuvent être dramatiques lorsqu’elles ciblent des individus comme des chercheurs ufologues, dont un nombre impressionnant sont morts dans des conditions étranges (cancers, tuberculose, dysfonctions du système d’équilibre de l’énergie du corps). Ainsi la mort bizarre de l’ufologue Jerold Ron Johnson, alors qu’il assistait à une conférence de la Society For Scientific Exploration le 9 juin 1994 à Austin, au Texas, pourrait être liée à des activités clandestines par des praticiens occultes négatifs ayant un intérêt dans les activités des "think tank". Il en est de même avec la mort mystérieuse du contacté Brian Lynch en 1985 d'une prétendue overdose de drogue, en lien à des activités clandestines à Long Island, qui pourrait aussi être liée à des expériences secrètes avec des techniques de sorcellerie par des individus faisant partie ou employés du "gouvernement secret" (un an avant sa mort dans un entrepôt, il a été approché par des individus paramilitaires présentés à sa famille comme faisant partie d’un "think tank" au Texas spécialisé dans l’utilisation de l’ESP et des techniques de mind control pour la guerre et l’espionnage). Une autre mort suspecte est celle d’Ivan Sanderson, auteur d'Invisible Residents et qui a fait de nombreuses recherches sur les OVNIs. Il est mort d’un cancer du cerveau. Il y a également Karla Turner, morte d’un cancer foudroyant en 1996, qui était en lutte contre des entités qui avaient un comportement "vampirique" (il existe une photo d’elle qui montre trois points en forme triangulaire sur sa gorge).

Il semble que l’incidence élevée de maladies graves parmi les chercheurs sur les ovnis soit due à l’absence de précautions adéquates lorsqu’ils abordent le sujet de la "grande étrangeté", ces entités et/ou agences de renseignement pratiquant la télépathie négative, l’envoûtement et/ou la radionique destructive pour bloquer la connaissance publique de certains aspects controversés de la Science Avancée. Or, ces activités mentales abominables peuvent être bloquées avec succès par une hygiène mentale positive qui prend en compte tous les niveaux possibles d’agression intelligente, y compris la télépathie et la sorcellerie destructrice, l’adoption d’un régime cétogène étant également un très bon moyen de résister à toute attaque virale ou cancérigène. Souvent, la compréhension du surnaturel est obstrué simplement parce que l’esprit "éduqué" et entraîné à chercher un processus de type séquentiel qui résulte du fait qu’il lit et écrit dans un langage séquentiel, ne comprend pas l’altération de la " forme" d’un évènement qui peut être accompli par la sorcellerie. De même, l’esprit "éduqué" et entraîné à comprendre les processus intérieurs de pensée en retraçant le développement de la conscience individuelle sur une vie, peut ne pas comprendre l’influence télépathique d’une Intelligence interdimensionnelle sur l’individu humain, soit l'accès à plus d’un seul système de mémoire, de personnalité, ou de volonté d’actions.

Il est possible qu’il puisse y avoir un lien symbiotique entre micro-organismes comme les bactéries ou virus et l’énergie subtile négative de "l’esprit vampire", celui-ci affaiblissant le système immunitaire et préparant l’hôte pour la micro-invasion.

Enfin, ces intelligences empêchent très souvent toute divulgation d’information. C’est le cas lorsque ces intelligences s’en prennent directement à une personne (provoquant une vive douleur lorsqu’elle parle d’un sujet), ou affectent le matériel électronique (coupure de téléphone, perturbation des moyens de communication…).

 

Le thème d’une hostilité ouverte ou latente de la part des OVNIs a toujours fait l’objet d’une grande attention de la part des chercheurs sérieux. S'il y a hostilité, plusieurs questions se posent, comme le rôle des pouvoirs publics à l'égard de l'information due aux populations, leurs capacités à faire face à une menace de ce type, et le comportement de la population. De même, en dehors des incidents ayant impliqué l’armée, des civils ont-ils été blessés ou tués lors de rencontres avec des OVNIs ? Et les OVNIs et leurs occupants procèdent-ils à des rapts d’humains dans le but de se livrer sur ceux-ci à des expériences de type médical ou génétique* ? John Alva Keel (1930/2009), bien que ses recherches sur les OVNIs soient controversées, est regardé en général comme un très grand ufologue. Selon lui, "ce phénomène a toujours fait montre d’une hostilité inexpliquée envers les humains", étant à l’origine de nombreux décès inexpliqués. Dans son livre paru en 2002 The Mothman Prophecies ("La Prophétie des Ombres"), il a donné rapport sur rapport de mutilations sur du bétail, des chiens, des chevaux et des moutons, et a aussi relaté ce qui a été appelé les "meurtres vampiriques" de quatre personnes en Yougoslavie, les victimes ayant été mutilées et vidées de leur sang. C'était également la position de John Ford, le président du Long Island UFO Network (LIUFON), une association sans buts lucratifs fondée en 1984, qui a parlé d’un nombre incroyable de mutilations animales, de disparitions de personnes, de rapts d’humains, d’une implication secrète au niveau Fédéral dans des régions où ont eu lieu de nombreuses mutilations d’animaux et où des hélicoptères de l’armée auraient donné la chasse à des OVNIs au-dessus de communautés civiles. Il était arrivé à la conclusion que les faits ont été étouffés, afin de cacher que la Terre était "possédée" par certains êtres que nous ne pouvions ni voir ni appréhender. S'en suivra une longue descente aux enfers (internement psychiatrique et condamnation à de la prison)...

* Cf. livre "Night Siege : The Hudson Valley UFO Sightings" par le Dr. J. Allen Hynek, Philip Imbrogno et Bob Pratt (1998).

 

Cf. en complément l'hypothèse extra-terrestre dans La nouvelle religion universelle, et les livres de Thibaut Canuti, historien de formation, auteur par sa collecte et son analyse de matériel testimonial de nombreux articles sur le phénomène ovni et l'ufologie et des livres "Histoire originale et phénoménologique du fait OVNI" aux Éditions JMG " "Histoire de l'Ufologie française" aux Editions du Temps Présent.

 

Ses relais culturels

 

Rien dans l'univers n'est le fruit du hasard. Il en est ainsi naturellement dans la Matrice de 3ème dimension qui régit l'humanité. Ce que nous appelons imaginaire, fiction, création artistique, invention ... puise toujours son contenu dans le grand champ d'information universel - Ce Qui Est -, celui de tous les possibles déjà réalisés. Seul l'état de conscience différencie l'état des croyances de chacun dans son rapport à la réalité. 

Le "Jeu" de la Matrice involutive est de dissimuler aux êtres humains la Connaissance*, celle qui leur permettrait de s'en extirper pour évoluer dans une dimension de réalité supérieure. Pour autant, même dissimulées, les clés de Ce Qui Est leur sont toujours données. C'est pourquoi les supports de la "culture" sont privilégiés, parce que justement ils relèvent d'un art par définition subjectif, laissé à la libre interprétation de chacun...

* Cf. Le jeu de (fausses) pistes de la Matrice & Prédation manipulatoire.

 

La littérature est le premier moyen d'expression de l'imaginaire, plus exactement de l'imaginal*, qui, s'il n'est pas le fruit d'un délire psychotique, permet à l'auteur inspiré de recevoir des informations différentes de celles et ceux se contentant des savoirs appris et inculqués comme jauge de la vérité. Souvent, leurs inspirations jugées sur le moment fantaisistes se révéleront avec le recul justes, devenues tout simplement plus assimilables à la conscience du plus grand nombre qui aura fini par l'intégrer. Il y aura bien sûr toujours d'irréductibles sceptiques, le système s'évertuant à entretenir le doute et à mobiliser ses " trolls et débunkers " fantassins pour déconsidérer le travail de remise en cause de l'histoire racontée.

Parmi les nombreuses productions se détachent deux œuvres de l'écrivain américain Howard Phillips Lovecraft (1890/1937). L'Appel de Cthulhu (The Call of Cthulhu), nouvelle fantastique publiée en février 1928 dans le magazine Weird Tales, voit de par le monde une secte vénérer les Grands Anciens, "dieux" venus des étoiles il y a des millions d'années et aujourd'hui endormis au cœur de la terre ou sous les eaux. Les Montagnes hallucinées (At the Mountains of Madness), court roman de science-fiction publié en 1936 dans le magazine Astounding Stories, narre une expédition scientifique en Antarctique qui découvre une espèce organique très ancienne susceptible d'avoir créé la vie sur Terre "par jeu ou par erreur". L’œuvre a été parodiée en 1940 par l'écrivain britannique Arthur C. Clarke (1917/2008 - photo) dans Les Montagnes hallucinogènes, la Clé d'Argent (At the Mountains of Murkiness, 1940), auteur de 2001 : l'Odyssée de l'espace (A Space Odyssey, 1968) - qu'il portera à l'écran avec Stanley Kubrick - et ses suites 2010, 2061 et 3001.

A retenir également Le Testament de la Vierge (2009), roman de l'auteur Anton Parks.

* Cf. Comment changer son regard ?

 

La bande dessinée se prête parfaitement bien au genre de la "science-fiction", permettant à nombre d'auteurs initiés par de longues recherches de faire passer les messages et clés sous couvert du divertissement débridé. Si beaucoup y voient un genre pour adolescents attardés, d'autres savent y rechercher inlassablement la résonance de réveil de leurs mémoires enfouies.

 

Les Éternels (The Eternals) sont des personnages de comic-book créés par Jack Kirby né Jacob Kurtzberg (1917/1994), un des artistes les plus influents, célèbres et prolifiques de la bande dessinée américaine. Il fut surnommé The King of Comics ("le Roi de la bande dessinée "). C'est son dernier chef d’œuvre. A noter que Les Éternels ont été censurés lors de leur première parution dans la revue Strange, magazine de référence de la BD en France de 1970 à 1998...

Le début nous plonge dans la recherche d'une civilisation disparue, avant de découvrir les Éternels et leurs ennemis les Déviants. Les Éternels sont une des ramifications de la race humaine, avec des pouvoirs étendus jusqu'à en faire des divinités mineures et leur longévité est plus grande. Certains comme les humains vivent sur la Terre, d'autres sur Titan, l'une des Lunes de Saturne. Leur origine remonte à près d'un million d'années quand des dieux cosmiques du nom de Célestes vinrent faire des expériences sur l'espèce humaine naissante. Afin de tester la faculté d'adaptation des chromosomes humains, ils avaient accéléré l'évolution d'une poignée de sujets et stimulé leurs capacités innées de manipuler mentalement des quantités limitées d'énergie cosmique. Les Célestes firent aussi d'autres expériences qui aboutirent à la création des Déviants.

Les Éternels exercent un puissant contrôle mental sur leur corps *, étant pratiquement invulnérables au temps et à la mort grâce à l'énergie cosmique contenue dans leurs cellules qui renforce leur métabolisme. Ils peuvent toutefois mourir dans deux cas précis : si une blessure disperse une partie importante de leurs molécules ou si l’on brise leur contrôle psychique. 

* Chaque Éternel choisit consciemment ou inconsciemment de développer des talents particuliers en suivant un entraînement strict et intensif d'une voie précise parmi l'une des trois disciplines suivantes : la Maîtrise des Gravitons (supervitesse, super-Force, télékinésie, lévitation, champ de force majeur, gigantisme), la Maîtrise de l'énergie Psionique (télépathie, télékinésie, empathie, téléportation, lévitation, résistance et projection télépathique, métamorphisme, illusions télépathiques, syntonisation moléculaire, rafale optique), la Maîtrise de l'énergie Cosmique (tous les talents).

 

Vol 714 pour Sydney paru en 1968 est le 21ème album des Aventures de Tintin du scénariste et dessinateur belge Georges Remi alias Hergé (1907/1983). Il raconte le voyage interrompu, le détournement qui bouleverse tout, l'incursion de Tintin et de ses compagnons dans l'inconnu, dans un monde irréel animé par des phénomènes télépathiques, le contact avec des extra-terrestres et la sortie d'un rêve... Mais en est-ce bien un ? La présence d'un temple extraterrestre sur l'île où Tintin est prisonnier peut faire penser à la théorie des anciens astronautes, Hergé s'étant inspiré d'une photo d'une tête colossale olmèque (image 3) - qui se trouve en couverture d'un ouvrage de Robert Charroux - pour figurer sa tête de cosmonaute dans le temple souterrain (image 2). On y trouve également un personnage représentant Jacques Bergier (cf. précédemment - image 4).

 

 

 


La série Thorgal a été créée en 1977 par Jean Van Hamme, romancier et scénariste belge de bande dessinée (la série est scénarisée par Yves Sente depuis 2007) au scénario et Grzegorz Rosinski au dessin. Seul rescapé d'un vaisseau spatial échoué sur Terre et recueilli par des Vikings, un enfant est baptisé du nom de Thorgal. Prodige du tir à l'arc, épris de liberté et de justice, il n'aura de cesse de défendre les siens et d'aspirer à une vie paisible à l'écart de la cruauté des hommes avec sa compagne Aaricia. Son histoire est celle d'un homme que les dieux ont décidé de mettre à l'épreuve et qui percera, au fil de ses aventures, le mystère de ses origines. Thorgal apprendra ainsi qu'il est le dernier descendant du "peuple des étoiles", une civilisation évoluée - les Atlantes - qui peuplait la Terre des siècles auparavant et dont une partie de cette civilisation avait choisi de quitter la Terre. Ayant épuisé les ressources de sa planète d'accueil, une expédition fut envoyée sur la Terre afin de la reconquérir... Au fil de leurs aventures et de leurs voyages, Thorgal et Aaricia donnent naissance à deux enfants, Jolan et Louve. Jolan développe rapidement des pouvoirs de modification de la matière, hérités du peuple des étoiles. Louve, quant à elle, possède le don de communiquer avec les animaux.

 

Aquablue est une série de bande dessinée de science-fiction française créée par le scénariste Thierry Cailleteau et le dessinateur Olivier Vatine, prépubliée en 1988 dans L'Argonaute, magazine de vulgarisation scientifique français destiné à la jeunesse. Elle est le récit de la résistance d'un peuple paisible vivant en parfaite symbiose avec la nature qui l'entoure face à un envahisseur venu exploiter les ressources de son territoire, soit un consortium terrestre en quête perpétuelle de source d'énergie dont le seul mot d'ordre est l'exploitation, le profit, au moyen de la force. Esclavagisme appuyé par des mercenaires, exploitation à outrance... peu à peu les habitants d'Aquablue doivent se rendre à l'évidence : soit ils défendent leur terre et leur patrimoine, soit ils périssent sous le joug des envahisseurs. Ils sont aidés par Nao, rescapé du naufrage d'un vaisseau spatial terrien survenu alors qu'il était enfant, qui sent que c'est bien l'eau d'Aquablue qui coule dans ses veines. L'enfant terrien décide de partir sur la planète qui l'a vu naître. Alors que tout semble perdu pour la planète Aquablue, qui aligne des lances et des couteaux contre des lasers et des vaisseaux spatiaux, de nouveaux paramètres viennent changer la donne. D'abord, l'organisation d'une résistance active et armée des autochtones, aidés par quelques humains qui apportent avec eux technologie et savoir-faire. Nao et ses nouveaux alliés commencent ainsi à donner du fil à retordre aux envahisseurs. Ensuite, une aide providentielle venue des fonds océaniques de la planète. Une Atlantide créée par d'anciens extra-terrestres va resurgir des eaux et inverser sérieusement la balance.

Cette série prend une tournure inédite dans le domaine de la bande dessinée, des thèmes nouveaux voyant le jour principalement déclinés autour d'idées écologistes, humanistes et anticolonialistes.

 

La série française de science-fiction Les Mondes d'Aldébaran est réalisée par l'auteur brésilien Luiz Eduardo de Oliveira, dit Leo. Cette collection comprend quatre cycles - Aldébaran, Bételgeuse, Antarès et Survivants -, qui se découpent dans une longueur moyenne de cinq albums, chacun correspondant à une planète différente. Bien qu’il soit possible de lire les cycles séparément, les trois premiers se suivent chronologiquement et forment un tout cohérent. À chaque cycle et chaque planète, les personnages secondaires changent, mais les quelques héros de l’histoire sont présents tout au long de la saga.

Pour les colons terriens qui occupent la planète Aldébaran, tout semble planifié. Mais peu à peu des événements insolites se produisent. Sans nouvelles de la Terre, Aldébaran est isolée. Coupés de tout contact, les habitants d'Aldébaran doivent faire face à plusieurs bouleversements aux conséquences inquiétantes. Le danger principal semble venir de l'océan d'où surgissent des créatures monstrueuses et hostiles. Marc et Kim, deux adolescents qui ont survécu à l'anéantissement de leur village, rejoignent la capitale, Anatolie, afin de trouver une réponse.

 

Comme d'habitude, le 7ème art utilise la puissance hypnotique de l'image - magie - pour parler à l'inconscient et lui délivrer ses messages par la mise en scène de la réalité de la Matrice cyber entre ombres et lumière *. Ainsi ce que l'être humain perçoit souvent comme de la fiction est réel, et inversement. Seule l'accès à sa supraconscience lui permettra de discerner avec justesse.

* Cf. Symbolisme et artifices de la Matrice & Le cinéma de la Matrice (2) La science réalité.

 

1989 : Un Dieu rebelle, réalisé par Peter Fleischmann, est adapté du roman de science-fiction "Il est difficile d'être un dieu". Dans un futur où les Terriens ont enfin réussi à dompter leurs émotions, une équipe de chercheurs est envoyée en observation d'une civilisation humaine découverte sur une autre planète, dont les mœurs et la technologie sont restées aux stades les plus barbares. L'un des observateurs finira par prendre parti contre la règle la plus élémentaire, celle de non-ingérence, pour lutter contre le régime de terreur des obscurantistes.

1994 : Stargate, la porte des étoiles, est réalisé par Roland Emmerich. Un jeune égyptologue de génie résout enfin l'énigme du gigantesque anneau de pierre et d'acier découvert en 1928 sur le site de la grande pyramide de Gizeh. Un passage vers un nouveau monde s'ouvre alors, une planète désertique dont les habitants sont sous la coupe d'un tyran extraterrestre, Râ, qui se fait passer pour Dieu de l'Ancienne Égypte.

1997 : Le Cinquième Élément est réalisé par Luc Besson. En 1914, un groupe d'extraterrestres débarque sur Terre dans un temple égyptien afin de récupérer quatre pierres représentant les quatre éléments de la vie, et de les soustraire à l'arrivée imminente de la Première Guerre mondiale. Ils promettent de les rapporter lorsque le Mal reviendra, dans 300 ans, sachant que l'horreur revient tous les 5.000 ans. En 2.263, une énorme planète noire fait son apparition non loin du système solaire, et engloutit un vaisseau spatial de guerre terrien. Les extraterrestres reviennent comme promis, mais leur vaisseau est détruit dans une embuscade et les pierres disparaissent mystérieusement. Sur le site du crash, les équipes de secours retrouvent une main, à partir de laquelle les scientifiques parviennent à reconstituer une jeune femme dotée de facultés physiques et mentales supérieures à celles des humains. Elle n'est autre que le " Cinquième Élément ".

2004 : Alien vs. Predator est réalisé par Paul W. S. Anderson. Les Prédators auraient appris aux humains à bâtir des temples et des pyramides. Une équipe scientifique part étudier une pyramide recouverte par la banquise à partir d'un tunnel ouvert par le rayon tiré d'un vaisseau spatial Predator qui a atteint l'orbite terrestre. En pénétrant dans la pyramide, ils activent un mécanisme qui extrait de son sous-sol une Reine Alien enchaînée qui se réveille de sa stase cryogénique.

2007 et 2009 : Transformers et Transformers 2 sont réalisés par Michael Bay. De mystérieux robots d'origine extra-terrestre, capables de se transformer en véhicules et objets de manufacture humaine, attaquent les systèmes de défense de l'armée américaine. Il est question de pyramides d'origine extraterrestre.

2008 : Indiana Jones et le Royaume du crâne de cristal est réalisé par Steven Spielberg. Le célèbre archéologue Indiana Jones est à la recherche des mythiques crânes de cristal façonnés par une civilisation extraterrestre.

2012 : Prometheus est réalisé par Ridley Scott. Dans un futur lointain, des scientifiques traversent l'Univers pour trouver les origines de l'humanité qui se trouveraient sur une autre planète. Y découvrant la technologie des " Ingénieurs " désireux d'accéder à l'immortalité, ils leur demandent pourquoi ils souhaitent détruire l'humanité alors qu'ils l'ont eux-mêmes créée...

2014 : Les Gardiens de la Galaxie est réalisé par James Gunn. Un aventurier est traqué pour avoir volé un mystérieux globe convoité par le puissant Ronan, dont les agissements menacent l’univers tout entier. Lorsqu’il découvre le véritable pouvoir de ce globe et la menace qui pèse sur la galaxie, il conclut une alliance fragile avec quatre aliens disparates. En les ralliant à sa cause, il les convainc de livrer un ultime combat aussi désespéré soit-il pour sauver ce qui peut encore l’être …

2015 : Jupiter : Le Destin de l'univers (Jupiter Ascending) est réalisé par Les frères Wachowski. Née sous un ciel étoilé, Jupiter Jones est promise à un destin hors du commun. Devenue adulte, elle a la tête dans les étoiles, mais enchaîne les coups durs et n'a d'autre perspective que de gagner sa vie en nettoyant des toilettes. Ce n'est que lorsque Caine, ancien chasseur militaire génétiquement modifié, débarque sur Terre pour retrouver sa trace, que Jupiter commence à entrevoir le destin qui l'attend depuis toujours : grâce à son empreinte génétique, elle doit bénéficier d'un héritage extraordinaire qui pourrait bien bouleverser l'équilibre du cosmos…

2017 : The Recall est réalisé par Mauro Borrelli. Dans ce film, l'ancien soldat, interprété par Wesley Snipes, fait allusion implicitement à la théorie des anciens astronautes.

 

Relais inséparable du cinéma, la télévision, support audiovisuel omniprésent dans le vécu quotidien, se charge de distiller l'information. Mais entre le vrai et le faux, "Ils entendent mais ils n'écoutent pas, Ils regardent mais ils ne voient pas, Ils savent, mais ils ne comprennent pas"...

 

L'univers Stargate : Stargate SG-1 (en France) ou La Porte des étoiles (au Québec) est une série télévisée américano-canadienne de science-fiction composée de 10 saisons, soit 214 épisodes de 42 minutes, d'après le film Stargate, la porte des étoiles. La série est suivie de deux téléfilms : Stargate : L'Arche de vérité (2008) et Stargate : Continuum (2008). La série a quatre séries dérivées : la série animée Stargate Infinity (2002), Stargate Atlantis (2004), Stargate Universe (2009) et Stargate Origins (2017).

Il était une fois... l'Espace (1982, Procidis) est une série télévisée d'animation française destinée aux enfants. L'histoire raconte l'affrontement de plusieurs grandes puissances galactiques (la Confédération d'Oméga, dont la Terre est membre ; la république militaire de Cassiopée ; le Grand Ordinateur, sorte d'ordinateur super-puissant, à la tête d'une armée de robots) avec, en toile de fond, la rencontre d'une civilisation d'êtres super-puissants, les humanoïdes.

Battlestar Galactica est une série télévisée anglo-canado-américaine de science-fiction en 73 épisodes. Elle voit les Cylons, robots humanoïdes créés par les humains et dont ils sont devenus les ennemis jurés, réapparaître, dotés de nouvelles technologies qui leur permettent de ravager à nouveau les douze colonies humaines établies au moyen d'un holocauste nucléaire généralisé sur les douze planètes. Protégé des virus informatiques ennemis par son obsolescence, seul l'antique Galactica parvient à résister à l'attaque et devient ainsi l'unique escorte militaire d'une flotte spatiale hétéroclite regroupant les derniers survivants de l'humanité. Afin de se donner un nouvel espoir, la flotte de réfugiés part alors en quête d'une mythique treizième colonie qui porterait le nom de "Terre" tandis que les cylons se lancent à leur poursuite, déterminés à les exterminer.

Métal Hurlant Chronicles est une série télévisée franco-belge en douze épisodes de 26 minutes, adaptation des histoires parues dans le magazine français de bande dessinée de science-fiction Métal hurlant. Les différents épisodes sont indépendants et n'ont en commun que le Loc-Nar (le "Métal Hurlant"), météorite traversant l'espace et le temps pour y changer la vie des protagonistes. 

Alien Theory (Ancient Aliens) est une série documentaire télévisée américaine diffusée entre 2010 et 2014, appelée "Nos ancêtres les extraterrestres" au Québec. Elle est centrée sur la théorie des anciens astronautes, en examinant des textes vieux de plusieurs siècles, des hiéroglyphes, des ruines et des légendes qui sont présentés comme étant la preuve d'un contact entre l'être humain et des êtres venus d'autres planètes dans le passé. La série expose comment ce supposé contact aurait pu avoir joué un rôle dans la culture humaine et son développement.

Ulysse 31 est une série télévisée d'animation franco-japonaise en 26 épisodes de 26 minutes, qui transpose au XXXI° siècle (d'où le 31 présent dans le titre) l'histoire de l’Odyssée ainsi que d'autres épisodes de la mythologie grecque. Dans l’Odysseus, Ulysse entend la voix de Zeus (la Matrice) retentir et lui dire (à nous) : "Quiconque ose défier la puissance de Zeus doit être puni. Tu erreras désormais dans un monde inconnu. Jusqu'au royaume d'Hadès vos corps resteront inertes." Ulysse et ses compagnons se voient ainsi condamnés à errer à travers l’Olympe, à la recherche d'un moyen de sauver leurs amis, avant de trouver comment rejoindre la Terre. Dans l'épisode 15, "La Deuxième Arche", il est fait référence aux lignes de Nazca et, implicitement, à la théorie des anciens astronautes.

 

Car il n'est rien de caché qui ne doive être découvert...

 

"Car il n'est rien de caché qui ne doive être découvert, rien de secret qui ne doive être mis au jour. Si quelqu'un a des oreilles pour entendre, qu'il entende..."

Évangile selon Marc (4:21)

 

Le dossier étant constitué, la véracité d'une origine de l'espèce humaine différente de la version académique racontée ébranle de plus en plus la chape de plomb jusqu'alors établie.

Repères chronologiques

Ces repères n'ont aucune fiabilité scientifique dûment attestée. Ils permettent simplement d'étalonner l'évolution, plus exactement la métamorphose de la race (au sens cosmique) humaine compte-tenu des manipulations génétiques efectuées par ses maîtres généticiens extraterrestres, bien différents du supposé Créateur universel... C'est ainsi que l’apparition de l'homme de Néandertal pourrait être beaucoup plus ancienne, il y aurait 5,3 millions d’années, et que l'homme "moderne", le Sapiens sapiens, remonterait à 35/40.000 ans...

Datation estimée

   70 à 65 mA *

  6 à 5 mA

  3 mA

  2,5 à 2 mA

  1,5 mA

400 à 300.000 ans

 200 à 180.000 ans

 160 à 150.000 ans

  40 à 30.000 ans

  14 à 10.000 ans

 

   3.000 ans

Évolution "classique" de l'espèce humaine

Archontes (petits primates)

séparation d'avec les grands singes

apparition de l'Hominidé ("cousine Lucy")

genre Homo

Homo erectus (ère quaternaire)

Erectus (paléolithique - le feu)

Neandertal et Sapiens primitif

Homo sapiens (Cro-magnon)

Sapiens sapiens (Art et langage) ou sapiens fossilis

Néolithique (sédentarisation et agriculture) ou sapiens recens

Métallurgie et écriture

Potentielle intervention génétique extérieure

 

premiers spécimen hybrides

 

le Namlú'u sumérien ?

les Néphilim bibliques ?

 

l'"Abel" biblique

le "Caïn" biblique

 

 

 


* Les dinosaures avaient régné jusqu'alors sur la terre pendant 150 millions d'années (estimation), ayant totalement disparu en moins d'un million d'années (théorie) après la collision d'une météorite d'une dizaine de kilomètres de diamètre qui a laissé sa cicatrice au Mexique.

 

La lente reconstruction de l'arbre généalogique humain

La revue scientifique Nature a publié début 2020 une nouvelle contribution à la compréhension de la lignée humaine. Grâce à l'ADN de quatre enfants africains enterrés il y a 8 000 et 3 000 ans (période dite du passage de l'âge de la pierre au métal) dans une grotte faisant fonction de sépulture située à Shum Laka au Cameroun, une équipe de chercheurs belges et camerounais a pu retracer une partie de l'arbre généalogique humain. En éclairant l'humanité sur son passé, cette découverte met également en lumière les cases vides. Une lignée entière d'ancêtres d'Homo sapiens sapiens serait encore inconnue.

D'après leur matériel génétique, les quatre enfants étaient proches des chasseurs-cueilleurs d'Afrique centrale, résultat inattendu. En effet, un tiers des Africains est lié par les langues bantoues (environ 400) réparties dans une vingtaine de pays, que le consensus scientifique s'attache à considérer comme originaires d'Afrique du centre-ouest (avant que de se propager dans la moitié sud du continent après environ 4.000 ans). Or, les quatre enfants étudiés révèlent une ascendance très différente de la plupart des locuteurs bantous contemporains, ce qui suggère une ascendance bien différente. En combinant les données recueillies à l'ADN d'anciens chasseurs-cueilleurs d'Afrique orientale et australe, ainsi qu'à l'ADN de nombreux groupes africains d'aujourd'hui, les chercheurs ont construit un modèle des lignées divergentes au sein du passé humain, qui  montre l'existence d'au moins quatre lignées humaines majeures ayant profondément contribué à la génétique des humains actuels. Elles auraient divergé les unes des autres il y a 250 000 à 200 000 ans, avant que quatre autres divergent à leur tour vers 80 000-60 000 ans. C'est cette seconde période de divergence qui aurait conduit aux humains non-africains.

 

L'étude des textes sacrés indique que nous sommes dans la cinquième grande civilisation humaine. Ainsi les traditions des peuples Aztèques et Amérindiens évoquent la légende des cinq Soleils*, ce mythe cosmogonique mésoaméricain étant fondé sur la création puis la destruction de plusieurs mondes (ou soleils) successifs.

Les "fils" du premier soleil étaient les humains de la race polaire, autrement dit les extranéens Nordiques (ou humanoïdes Namlù'u) à "l'origine de la colonisation de la Terre", des êtres protoplasmiques (mi-densifiés, mi-éthériques), de nature androgyne, établis à partir du génome originel et primitif, et qui allaient se développer selon le mécanisme de l'évolution planétaire*², jusqu'à l'arrivée du prédateur archontique. Beaucoup ont alors changé de dimension de réalité, soit une autre planète à laquelle la prédation n'avait pas accès compte-tenu de son niveau de conscience limitée.

Les fils du second Soleil étaient les Hyperboréens, pour certains continuité des précédents qui avaient été piégés dans la densité physique par la force archontique/reptilienne colonisatrice à son tour de la planète Terre. Ils inaugurent l'hybridation avec différentes génétiques, prédatrices comme évolutives. Ils ont péri par d'extraordinaires tempêtes, ouragans et cyclones. 

Les fils du troisième Soleil étaient les Lémuriens, plus exactement les entités reptiliennes (Annunaki) qui vivaient à l'ère proto-sumérienne. Ils ont péri par de gigantesques tempêtes magnétiques solaires, des pluies de feu et d'immenses tremblements de terre. 

Les fils du quatrième Soleil sont ceux qui formaient la civilisation Atlante. Leurs facultés, celles de l'humain contemporain, ont fini par dégénérer, leur sens (surtout la vue) ne parvenant plus à percevoir les fréquences élémentaires que percevaient leurs ancêtres. Ils ont été avalés par les eaux (le déluge biblique). Ceci explique l'incapacité de l'humain moderne (le Sapiens Sapiens) à percevoir les causes des phénomènes naturels qui se passent autour de lui.

L'humanité actuelle serait composée par les fils du cinquième Soleil, dont la fin de civilisation comme l'initiation de la suivante correspond à la fameuse année 2012, fin de la datation du calendrier des Mayas. Il est écrit, compte-tenu de son état de dégénération, qu'elle périra à son tour par le feu (nucléaire) et les tremblements de terre*³, dans la mesure où il n'y a plus aucune possibilité d'évolution constructive au sein de la race humaine, hormis pour celles et ceux qui ont pris vraiment conscience de la réalité.

Par cette purge génétique, ces "élus" vont connaître un bond gigantesque dans leur processus évolutif, participant à l'émergence d'une nouvelle race humaine qui représentera la sixième race, dotée d'une conscience infiniment plus élevée !

De nouveau apparaîtront de grandes civilisations éveillées aux lois de l'univers, avant que de clore le processus évolutif par une septième grande race, la dernière car éternelle et non soumise à l'illusion du temps. C'est ainsi, pour toute planète de 3 et 4ème densités existant dans le cosmos, que fonctionne le "Grand Plan", répondant par ce mécanisme à la loi du karma ou de rétro-causalité...

* Cf. Ce sont Ocelotonatiuh (Soleil Jaguar) ou Yoaltonatiuh (Soleil de nuit) ou encore Tlaltonatiuh (Soleil de terre) selon les versions ; Ehecatonatiuh (Soleil de Vent) ; Quiauhtonatiuh (Soleil de Pluie) ; Atonatiuh (Soleil d'Eau) ; Ollintonatiuh (Soleil de mouvement).

Cf. Évolution de civilisation (1) Le mécanisme de l'Univers.

*³ Cf. Prophétie du changement.

 

Des trouvailles inexpliquées

 

Nombre de découvertes de fossiles et d'empreintes ont été considérées comme "impossibles", car n'entrant pas dans la version académique racontée.

C'est par exemple le cas du "crâne de Mahanoy" ressemblant étrangement au crâne d'un grand anthropoïde avec les mêmes protubérances qu'un crâne d'hominidé, découvert dans la région de Mahanoy en Pennsylvanie aux USA. D'autres fossiles pétrifiés d'os de fémur et de tibia furent également mis à jour, estimés à 280 millions d'années. Si le Smithsonian Institute contacté refusa de faire une étude poussée, celle-ci menée grâce à des fonds privés (analyse au microscope électronique, aux rayons X, infra-rouge, etc.) montra que le crâne a un palais et une prémolaire à double racine ressemblant à un crâne d'hominidé. Cela peut-il être un hasard de la nature ?

De même fut dégagé en 1866 sous une couche de basalte un crâne humain d'un type moderne complet qui fut étudié au Collège de Harvard, daté de 12 millions d'années. Il est d'un type moderne, son authenticité ne faisant aucun doute à cause de l'imbrication naturelle des gravats.

Des os humains et pointes de flèches ont été retrouvés au Colorado dans une veine minière à quatre cents mètres sous terre âgée de 135 millions d'années.

En Italie, dans les années 1870, dans une mine de charbon, fut retrouvé le fossile d'un hominidé âgé de 12 millions d'années, baptisé Oreopithécus. D'autres Oreopithécus fossiles ont été depuis mis à jour en Europe, en Afrique occidentale, en Chine et en Inde.

En juillet 1877, à Spring Valley au Nevada, quatre prospecteurs trouvèrent ce qui ressemblait à un os humain carbonisé pris dans une roche de quartzite brune. La roche où ces restes étaient enserrés est estimée à 185 millions d'années.

En novembre 1926, dans un puits d'une mine de charbon au Montana, une dent humaine dont l'émail s'était transformé en carbone et les racines en fer fut trouvée dans une couche datant de 30 millions d'années, ne suscitant l'intérêt d'aucun autre spécialiste et, comme les autres, tomba dans l'oubli.

En 1973 furent trouvés aux alentours d'une mine de cuivre dans l'Utah des morceaux d'os et des dents, puis les moitiés inférieures de deux squelettes humains d'apparence moderne, disposés naturellement dans une couche âgée de plus de 100 millions d'années. Les fossiles furent ramenés à l'université pour une datation, non révélée jusqu'à présent...

 

Les figurines d'Acambaro

En 1923 furent découverts au Mexique sur le site archéologique de Chupicuaro datant de l'époque pré-classique (datée jusqu'à 1.000 ans avant J.-C.) des vases, des bols et des figurines de la plus ancienne culture indienne connue. Quelques-unes de ces figurines sont visibles dans le musée d'Acambaro, une municipalité du sud de l'État de Guanajuato. En 1972, les datations par thermoluminescence constatées par l'Université de Pennsylvanie sur deux figurines furent de 2.500 ans av. J.C., bien antérieure à l'existence de la première culture connue !

Quelques années plus tard, en juillet 1944, d'autres figurines en terre cuite d'un style jusqu'alors inconnu furent découvertes par groupes de 20 à 40 à l'intérieur de puits à une profondeur allant d'environ 1m 20 à 1m 80. Tous ces objets sont uniques, aucun n'étant dupliqué. De taille variable, de quelques centimètres à moins d'un mètre, ils ont été fabriqués par la méthode du "feu ouvert". Pourtant les scientifiques n'ont pas été intéressés à leur étude, l'une des principales raisons du rejet de cette découverte tenant aux représentations de ces figurines : dinosaures, animaux inconnus, reptiles ... certaines montrant clairement des actes zoophiles avec des reptiles (Cf. images).

Depuis les méthodes de mesure au carbone 14 réalisées échelonnent leur datation de 1 110 av. J.-C. à - 4 530 années av. J.C. !

 

Les pierres d'Ica

Dans le musée des pierres gravées d'Ica, une petite ville péruvienne située dans le désert de Nazca, le long de l'océan Pacifique et jusqu'aux contreforts des Andes, un monde nouveau émerge… Il découle de plus de 15.000 pierres de différentes tailles qui le remplissent. Elles ont toutes une surface lisse et noire sur laquelle des images sont gravées, et sont plus lourdes que des pierres communes, de taille similaire. Elles font partie d’un type de roche appelée "andésite", une roche volcanique du Mésozoïque vieille de 230 à 60 millions d’années avant J-C., extrêmement dure et oxydée sur sa couche extérieure, ce qui rend néanmoins la gravure possible. Or, les incisions qui font la gravure sont elles aussi oxydées, et ont été expertisées par un laboratoire péruvien, puis allemand de l’université de Bonn.

Les gravures représentent des personnages humains, des plantes, des animaux et des symboles abstraits. Les humains portent des chapeaux, des vêtements et des chaussures. Certaines pierres représentent des scènes semblables à des transfusions de sang, des transplantations d’organes et des naissances par césarienne. Plusieurs pierres montrent des gens qui regardent avec un télescope des étoiles, des planètes et des comètes. Les animaux quant à eux ressemblent, entre autres, à des vaches, des cerfs, des girafes. Certains représentent également des trilobites, soit des arthropodes marins ayant vécu il y plus de 500 millions d’années, des poissons disparus et d’autres animaux avec lesquels nous ne sommes pas familiers. Le plus étonnant, c’est que plusieurs pierres représentent des êtres humains tentant de tuer ou en train d’être mangés par des dinosaures… Ces pierres datent de l’époque précolombienne (datation de 65 millions d’années), et auraient été façonnées avant que les dinosaures ne s’éteignent… Or, selon nos livres d’histoire, il ne pouvait y avoir des gens pour le faire !

Il semble que les gens qui ont gravé les pierres d’Ica n’ont pas simplement transmis de simples dessins représentant certains moments de leur vie. Ils transmettaient un type de langage basé sur les dessins. Il en ressort qu’une "autre humanité" nous aurait précédé, qui se serait vue anéantir par une catastrophe, les rescapés ayant dû repartir à zéro. Ils auraient alors gravé ces dizaines de milliers de pierres comme témoignage de leurs connaissances pour les civilisations futures…

 

Le mystère de Glozel

Dans ce hameau situé au sud de Vichy furent découverts dans les années 1930 plus de 3 000 objets datant de plus de 17 000, 5 000, 2 500 ans et même du Moyen-Age. L'affaire déchira (et continue de déchirer) le monde scientifique, et tout particulièrement tous les "pontes" de la préhistoire qui décidèrent de prendre position contre Glozel, dénonçant une contrefaçon. En 1972, un ingénieur au commissariat de l'énergie atomique fit des prélèvements qui, après envoi pour analyse à trois laboratoires étrangers et pour faire leur datation, confirmèrent l'ancienneté du site, la datation des ossements donnant entre 15 000 et 17 000 ans, les céramiques environ 5 000 ans et les tablettes gravées environ 2 500 ans. La preuve indiscutable était bel et bien là, prouvant la mauvaise foi de certains plaisantins de la préhistoire qui se prétendaient savants. Reconnu par l’État, cela n'a pas empêché les scientifiques de continuer à faire part de leurs doutes, relayés comme il se doit par certains médias tel Le Monde. A partir de 1990 de nouvelles fouilles furent entreprises dans les alentours, mais aucun résultat ne fut publié...

 

Une intervention extérieure biologiquement plausible

Os sphénoïde
Os sphénoïde

 

Pour arriver au stade de constitution actuelle de l'humain, plusieurs étapes ont été nécessaires, la toute première il y a environ six à cinq millions d'années lorsque l'hominidé en devenir (primate) s'est redressé. Pour l'expliquer, une seule théorie de l'évolution de l'Homo s'était véritablement imposée depuis les années 1980 à l'initiative d'Yves Coppens (Cf. précédemment), appelée "l'East Side Story" ou "théorie de la savane". En ligne avec l'explication darwinienne, elle établit que le moteur de l'évolution est une adaptation de l'espèce à son milieu au moyen de la sélection des mutations les plus intéressantes pour elle*. C'est de cette manière que le redressement du corps et la bipédie se seraient produits chez les hominidés eux-même issus d'un "Homoncule marin archépagoge", leur apportant un avantage stratégique par la faculté de voir au-dessus des longues herbes de la savane.

Or, depuis les découvertes en 2001 et en 2002 au Tchad dans le désert du Djourab de Toumaï et d'Abel, surnoms de crânes fossiles de primate daté d'environ 7 millions d'années, suivies d'autres, certains paléoanthropologues les ont considérés comme l'une des premières espèces de la lignée humaine, remettant en question la théorie de l'East Side Story, amenant d'ailleurs Yves Coppens à s'interroger quant à sa validité en 2003 dans la revue "La Recherche". Une nouvelle étape dans l'évolution de l'homme se dessine, qui nous rapproche de l'ancêtre commun des humains et des singes.

En attendant, nul ne sait toujours pourquoi l'homme s'est redressé et a adopté la bipédie comme moyen principal de locomotion il y a environ 200 000 ans après un demi-million d'années d'évolutions minimes, la transformation de l'Erectus se caractérisant par une augmentation de 50 % de la capacité de la boîte crânienne, et cela sans explications sur la rapidité de la transformation. Les anthropologues n'arrivent ainsi toujours pas à faire le lien entre notre espèce et ses plus proches parents, les simiens (concept du chaînon manquant).

La réponse pourrait se trouver dans l'os sphénoïde (Cf. image), os situé au centre du crâne à la hauteur des yeux, qui jouerait un rôle clef dans l'évolution de notre espèce, le premier à s'être développé. Sa particularité est qu'il est très légèrement replié sur lui-même, ce qui est unique par rapport aux autres espèces où l'os est plat. Il en découle qu'il ne peut s'agir d'un accident du processus de mutation génétique, d'autant plus qu'il s'est replié à plusieurs reprises (cinq fois), avec à chaque fois comme résultat une espèce un peu plus redressée, comme si elle correspondait à une nouvelle nécessité découlant d'une volonté délibérée. Ce processus, allant à l'encontre de la théorie de l'East Side Story, est un processus d'évolution interne à notre génome, appelé "l'Inside story". Il a été établi par deux chercheuse au CNRS - Anne Dambricourt Malassé et Marie-Joseph Deshayes -, établissant un pont sans la valider pour autant avec les recherches d'Anton Parks et consorts quant à l'intervention généticienne extérieure, en tout cas une implantation génétique spécifique.

* De nombreuses critiques sur cette théorie officielle ont cependant été émises par des scientifiques, comme le biologiste Jean Chaline indiquant que si il y a bien une sélection naturelle du milieu, elle est secondaire, intervenant sur les mutations internes. Ou encore par le paléontologue Philipp Tobias, indiquant que "nos ancêtres étaient déjà redressés alors qu'ils vivaient dans les arbres", et pour qui "la théorie de la savane est à jeter"...

Cf. Thèse de 1987 publiée à l’Académie des sciences en 1988 puis dans la revue de l’Académie des sciences Paléovol (2006) après publication dans des revues spécialisées.

 

Pourquoi l'humain ne peut pas descendre d'un primate arboricole 

Si l’humain se découvre presque complètement animal par sa biologie, proche par sa physiologie, il en est spécifiquement différent par son patrimoine génétique. Il est tout autre que l’animal non seulement par son intelligence, mais par sa capacité de réflexion sur lui-même. De son côté, Yvette Deloison, chercheur au CNRS spécialisée dans l'analyse de la mécanique des membres inférieurs des hominidés, considère par les études de l'anatomie de nos ancêtres comme des grands singes que la main humaine n'a jamais pu être une patte, beaucoup plus primitive que celle des grands singes, alors que le pied humain est lui, au contraire, très spécialisé pour une marche bipède. Si la main avait été utilisée par les ancêtres de l'homme pour une fonction particulière comme l'appui ou la suspension, elle en aurait forcément gardé la trace dans ses proportions ou la forme de ses os. Or ce n'est pas le cas. La bipédie n'est pas un trait commun à tous les hominidés. Ainsi, le premier bipède connu est un... reptile, "L'Eudibamus Cursoris", vieux de 290 millions d'années, qui avait cinq doigts à chacun de ses membres. Découvert en 1993 à Gotha en Allemagne, cet herbivore de la fin du permien devait mesurer 26.1 cm et pouvait atteindre une vitesse de 24 km/heure. On suppose qu'il utilisait cette faculté pour échapper à ses prédateurs. Cela prouve que la bipédie est apparue au moins plusieurs fois au cours de l'évolution dans des classes différentes...

* Cf. revue "Biométrie Humaine et Anthropologie" (1999) & "Préhistoire du piéton - essai sur les nouvelles origines de l'homme".

 

Dans cette théorie, les mutations sont "engrammées" ou intégrées à l'organisme, ne découlant pas d'une adaptation naturelle à l'environnement ni d'organismes changeant de génération en génération pour aboutir à de nouvelles espèces. Même si le milieu est important, il ne pourrait être à l’origine de la complexité croissante du système nerveux central, ni de nos capacités de réflexion consciente. Encore moins à l’origine de la réitération d’un mécanisme embryonnaire qui intègre les effets passés. Les mutations ne pouvant expliquer la nature, les mutations génétiques sont en réalité rares, tout étant fait dans les organismes pour assurer une transmission complète et intacte du génome. Et celles qui offrent un réel avantage adaptatif sont encore plus rares, la plupart d'entre elles étant létales (conduisant à la mort) ou apportant des tares. C'est pourquoi la recherche de lois (de l'évolution) s'est avérée assez vaine, les rares tentatives récentes dans ce sens paraissant tout aussi vouées à l'échec.

Aussi l’origine du déclenchement de cette évolution interne reposerait sur le principe de la thermodynamique, soit le désordre spontané (appelé hasard) qui menace tout état d’équilibre. Face à l’entropie, les systèmes ont des mécanismes de réparation, acquis par " apprentissage " (autopoïèse). Il en découle que ceux qui ont cette mémoire évoluent et se reproduisent, et que les autres disparaissent. Or la mémorisation et l’origine de l’information sont encore inconnues pour les scientifiques du mainstream, hormis les branches les plus avancées qui comme en chimie ont intégré la mécanique quantique, permettant la prise en considération des potentialités d’informations non actualisées (dites "virtuelles"), et canalisant les potentialités futures à chaque actualisation. Ce n'est pas encore la norme en paléontologie, loin s'en faut.

 

L'histoire du sphénoïde - Anne Dambricourt Malassé
L'histoire du sphénoïde - Anne Dambricourt Malassé

Datation supposée de l'évolution de l'os sphénoïde

- 60 Ma : les prosimiens, le sphénoïde n'est pas encore fléchi, il est plat.

- 40 Ma : les simiens, le sphénoïde se plie, la base du crâne est légèrement fléchie, les yeux se sont déplacés des côtés du visage vers la face.

- 20 Ma : les premiers grands singes et un sphénoïde qui fléchit

-  6 Ma : les australopithèques et pour la 3ème fois le sphénoïde fléchit toujours dans le même sens

-  2 Ma : le genre Homo (ainsi l'Erectus), le corps se redresse encore, et notre petit os du crâne se fléchit encore.

- 150 000 à - 160 000 ans : apparition de l'Homo Sapiens (possédant 4 % des gènes du Neandertal), 5ème fléchissement, le cerveau se complexifie, avec une conscience du "futur", absente des autres espèces...

 

Le regard hors de l'ornière de biologistes

Le scientifique italien spécialiste en biologie moléculaire Pietro Buffa (primé par l'institut international Marie Curie) a pris position sur la très controversée théorie des anciens astronautes. Selon lui, compte-tenu de son origine hybride, l'humain est la seule espèce sur terre qui n'est pas capable de s'adapter à son environnement. Pour pouvoir s'adapter, il va devoir "arranger" son environnement, et non l'utiliser en l'état comme les autres espèces. Quant au célèbre biologiste et écrivain Jean Rostand (1894/1977), il disait déjà : "Les explications classiques de la genèse des espèces sont loin de contenter tous les esprits. Pour ma part, je les tiens toutes pour des contes de fées à l'usage des adultes. Il faut avoir le courage de reconnaître que nous ignorons tout de ce mécanisme", et encore "Quand l'opinion de quelques-uns est devenue celle de tout le monde, doit-on penser qu'ils avaient vu juste avant les autres, ou qu'ils ont réussi à propager l'erreur ? " puis "Nous doutons que la sélection naturelle ait pu, même avec les immenses durées dont disposa l'évolution, créer des organes aussi complexes que le cerveau, l'oeil, l'oreille de Vertébrés supérieurs."

Cf. Livre de Pietro Buffa I Geni manipulato di Adamo ("Les gènes manipulés d'Adam").

 

Les réactions critiques de la communauté scientifique

Vouloir faire de cet os la pièce centrale de toute l'anatomie humaine est absurde, l'homme ne pouvant être défini à partir d'un seul caractère. Qui plus est, les contraintes "architecturales" de l'évolution seraient intégrées dans le darwinisme, cette approche relevant de la théologie déguisée en science sinon de la falsification mystique pour tromper le public et faire plaisir aux intégristes. Il ne fait décidément pas bon de sortir des sentiers battus...

 

De l'Intelligent Design

Et si Darwin s'était trompé ? Michael J. Behe (photo 1), professeur de biochimie et membre du Discovery Institute (think tank de la droite fondamentaliste chrétienne aux États-Unis), est le père de l'" Intelligent Design ", qui par les découvertes les plus récentes dans le domaine de la biochimie est une théorie qui démontre que les mécanismes de base de la vie sont le résultat d'une conception intelligente et non d'une lente évolution empirique cellulaire, fruit de forces naturelles comme le hasard (mutation aléatoire) et la sélection naturelle. Il est l'auteur de deux ouvrages à succès, Darwin’s Black Box (1996) et ensuite The Edge of Evolution (2007), qui établissent les limites du darwinisme. Darwin et ses successeurs ignoraient tout du contenu de la cellule, qui était pour eux une " boîte noire " (Black Box) dont le contenu leur semblait très simple. Maintenant que les mécanismes de bases de la vie sont de mieux en mieux connus, il apparait que les processus aveugles et non programmés ne peuvent rendre compte de l'apparition et du développement d'un grand nombre de mécanismes de base de la biochimie grâce auxquels la vie existe. Aussi la vie, comme toute technologie, serait le résultat d'une conception intelligente à partir d'un ancêtre commun à tous les êtres vivants. Cette conclusion est basée sur les résultats les plus récents des sciences de la vie, et non pas sur leur négation comme c'est le cas chez les créationnistes. Reste à savoir qui est le designer...

 

Un pavé dans la mare crédible ?

Le Dr Hans-Joachim Zillmer (photo 4), entrepreneur allemand, est depuis 1998 l’auteur de livres controversés. Il y examine les théories actuelles, en particulier dans les domaines de la géologie, de la géophysique, de la paléontologie et de l’ évolution, les remettant en question, ainsi que leurs principes sous-jacents : uniformitarisme, échelle des temps géologiques. En particulier, il rejette la macroévolution et les méthodes de datation. Il démontre que le monde académique, piégé par les dernières découvertes scientifiques, veut maintenir à tout prix la théorie de l'évolution, car autrement tous les manuels scolaires seraient non seulement à réécrire, mais les forceraient aussi à reconnaître que d'autres civilisations ont vécu avant nous, et qu'elles ont toutes été décimées par des catastrophes régulières. C'est pourquoi il est traité avec condescendance de partisan du catastrophisme, ne bénéficiant d'aucun crédit dans les milieux académiques.

Dans ses livres Darwins Irrtum ("L'erreur de Darwin") et Irrtümer der Erdgeschichte ("Darwin, Le mensonge de l'évolution"), il montre que les scientifiques ont non seulement ouvertement triché au cours de ces 50 dernières années pour maintenir le public dans l'ignorance des nouvelles découvertes archéologiques allant contre la thèse de l'évolution, mais qu'ils n'ont pas hésité en outre à fabriquer des fausses preuves darwiniennes (au point que certains ont même été traduits en justice comme faussaires), se servant de procédés bien peu scientifiques dès qu'il s'agit de garantir, par tous les moyens, la véracité de la thèse darwinienne qui s'étiole pourtant chaque jour.

Aussi chacun est appelé par sa propre investigation libre et sans parti-pris à faire preuve de discernement.

 

Cette nouvelle approche scientifique est dans la continuité de ce qu'émettait en 1973 le Prix Nobel 1962 britannique Francis Crick (1916/2004), qui avait co-découvert la structure de l'ADN, à savoir l'hypothèse que "la vie sur la terre émanait peut-être d'organismes venant d'une planète lointaine"*. Début 2001, deux laboratoires américains spécialisés en génétique avaient de leur côté annoncé avoir décodé le génome de l'homme. Ce génome possède 223 gènes "étrangers" parmi plus de 30.000, et n'ont aucun prédécesseur évolutionnaire*². Les scientifiques ont désigné ces gènes sous le terme "Alien genes"...

Même farouchement contestée, cette approche scientifique converge avec les éléments qui découlent de nombres de textes sacrés explicatifs de l'univers et de l'origine de l'humain décryptés depuis la seconde moitié du XX° siècle. Certes ils n'ont pas de caution scientifique selon les critères arrêtés par la civilisation des "lumières". Cependant, sauf à considérer qu'ils sont tous le fruit de dérangements mystiques carabinés, ils mettent en avant à des époques différentes, dans des contrées différentes et des cultures différentes, une explication d'intervention d'ordre extraterrestre : Bible, Védas, "Bible" des Mayas (Popol Vuh), Dogons, aborigènes, Amérindiens... La convergence est suffisamment significative pour ne pas être balayée d'un revers de manche au prétexte d'une même fumisterie sectaire.

* Théorie dite de la "panspermie dirigée", mélangeant panspermie (des microbes auraient été éjectés de l'atmosphère d'une planète abritant la vie) et une " intervention extraterrestre ".

Publication dans les revues scientifiques sérieuses comme Nature N° 409 Février 2001 & Sciences N° 291 2001.

 

Une génétique non-évolutionniste

Les 223 " gènes Alien " peuvent-ils venir de la Terre ? Pour ce faire, il faudrait une insertion bactérienne infectieuse. Or si l'équipe scientifique a découvert que 113 gènes sur 223 sont très répandus parmi les bactéries, elles sont pour autant absentes du monde invertébré. Quant à l'analyse des protéines, l'étude a montré que sur 35 protéines identifiées seulement 10 ont des contreparties dans le règne des invertébrés, les autres (25) étant spécifiques aux êtres humains. Il est donc impossible de prouver si le transfert s’est effectué de la bactérie à l’être humain ou de l’être humain à la bactérie.

Qui plus est, en 2002, d'autres généticiens auraient identifié le gène humain du langage. Appelé FOXP2, il n’aurait été ajouté que relativement récemment à l'être humain. Ce gène serait ainsi plus récent (50.000 ans) que la morphologie moderne (150.000 à 200.000 ans), et correspondrait au début des activités humaines élaborées (arts, échanges commerciaux). Le chimpanzé, le gorille, le macaque rhésus et l'orang-outan ne sont pas dotés de parties clés de ce gène FOXP2, identifié et lié au langage humain. Avec la version humaine de FOX P2, on parle. Sans elle, on reste muet, c'est aussi simple que cela.

C'est pourquoi la théorie de l'évolution qui postule que les êtres vivants se seraient complexifiés par mutations successives entièrement dues au hasard est tout simplement impossible. Pour qu'il y ait création de nouvelles espèces à partir des mutations, il faudrait un tel concours de circonstances et contrevenir aux lois naturelles de telle façon qu'on tomberait dans le domaine du miracle. Il n'y a d'ailleurs aucune base scientifique pour réclamer que tous les gènes de l'homme et du singe soient à 98 % semblables seulement en raison de la similitude dans 40 sur 100,000 protéines. Cette théorie qui suppose par exemple que les membres des animaux se sont transformés petits à petit à partir d'une structure commune pour former là une aile d'oiseau, ici une patte de mammifère, ailleurs une nageoire de dauphin, ne tient pas compte de la réalité des faits, qui voit les structures qu'on trouve homologues déterminées par des systèmes génétiques non homologues. On ne peut pas, en ce qui les concerne, parler de parenté ou de descendance d’un ancêtre commun.

* Cette découverte prouvant que le langage a une base génétique avait été avancée par le linguiste américain Noam Chomsky. Une des raisons qui font penser que FOX P2 est bien un gène essentiel au langage normal est que la protéine qu'il commande s'exprime très tôt dans le développement, dans l'embryon et dans le fœtus.

 

Une technique d'hybridation plausible

 

Se pose ainsi la question légitime de savoir comment une espèce extraterrestre aurait pu agir sur le génome humain. Aucune certitude ne pouvant prévaloir en la matière, la multiplication des témoignages d'abductions, par-delà le scepticisme les concernant, indique que cette pratique est significativement répandue, de plus en plus de recherches menées par des scientifiques l'attestant. S'étendant sur des centaines de générations, elle aurait permis l'amélioration constante de l'espèce, entre autres par injection d'hormones appropriées dans ses "gènes architectes", sans pour autant lui restituer l'intégralité de ses brins d'ADN afin de la maintenir sous "servage". Les premiers spécimen hybrides il y a six à sept millions d'années ont ainsi servi de propulseurs, compte-tenu de la reproduction à grande échelle de l'espèce.

Quant à l'homme moderne - le Sapiens-Sapiens -, les caractéristiques maximales de son encéphalisation sont estimées à environ dix à douze mille ans (début du néolithique, le "big-bang" du cerveau), soit un volume de boîte crânienne d'environ 1700 c³, déjà en retrait de ses prédécesseurs Homo-Erectus, Néandertalien et premiers Homo-Sapiens, et qui va diminuer ensuite avec la sédentarisation pour se situer à 1350/1450 c³, sans que cette diminution de la taille crânienne soit scientifiquement explicable*. Ce dont nous sommes certains, c'est que les neurotransmetteurs se sont rapprochés de par cette surface restreinte, contribuant par cette densité à la transmission plus rapide de l'information et à un surcroît d'intelligence (accès à la dimension symbolique et au langage). Toute cette évolution par des sauts qualitatifs sans précédents semble attester d'une intervention extérieure plutôt que l'action de la nature comme agent.

* Entre -30.000 ans et -12.000 ans, l'être humain a perdu environ 30 % de volume de sa boîte crânienne.

 

Comparaison crâne normal - crâne allongé
Comparaison crâne normal - crâne allongé

Le mystère des crânes allongés Paracas

L'archéologue péruvien Julio Tello a découvert en 1928 un cimetière contenant des tombes remplies avec les restes d'individus ayant les plus grands crânes allongés connus dans le monde dans la péninsule Paracas qui se situe près de Pisco, non loin du site de Nazca célèbre pour ses nombreux tracés visibles depuis le ciel. Certains remontent à environ 2.000 ans. En 2014, un généticien ayant effectué des tests ADN préliminaires a indiqué que ces crânes possèdent un ADN mitochondrial "avec des mutations inconnues chez aucun être humain, primate ou animal connu à ce jour". Ils ne seraient donc pas le résultat d'une déformation crânienne intentionnelle par application d'une force sur une longue période compte-tenu de la position du trou occipital qui serait alors de retour vers l'arrière du crâne, ce qui n'est pas le cas, celui-ci étant proche de la ligne de la mâchoire. Les résultats des tests ADN cadrent parfaitement avec l'hypothèse que le peuple Paracas pourrait être la continuité des "Nephilim" (géants) des anciens textes bibliques, autrement dit les descendants des anges déchus (les Élohim) et des femmes de la terre qui ont entraîné une nouvelle entité hybride nécessaire à l'évolution de l'humanité dans la 3ème dimension terrestre, baptisée d'Homo-erectus puis de Néandertalien et d'Homo-Sapiens dans ses améliorations génétiques ultérieures. De toute évidence, les crânes Paracas n'ont rien à voir avec les crânes humains, semblant bel et bien issu d'une hybridation entre des entités d'origine extraterrestre et des humains, le Namlú'u évoqué par les tablettes sumériennes.

 

Un bug biologique dans la théorie de l'évolution

En 2006, des études sur le séquençage de l’ADN de l’homme de Neandertal, menée par le biologiste suédois Svante Pääbo et son équipe de l'Institut Max Planck, ont démontré que l’homme de Neandertal possédait des chromosomes Y (mâles) très différents de l’homme appelé moderne (Homo Sapiens) et également du chimpanzé. Le volume cérébral de l’Homo Neanderthalensis oscillait entre 1 200 et 1 750 cm3. Comme l’évolution de Darwin ne peut expliquer un tel écart, la science moderne pense que les boîtes crâniennes volumineuses de l’Homo Neanderthalensis étaient celles des hommes et les plus petites, celle des femmes (sic). Toutefois, la taille moyenne du Neandertal oscillant entre 1,55 m et 1,65 m, nous ne pouvons expliquer ses différents volumes crâniens par rapport à sa masse corporelle. La partie postérieure (occipitale) du crâne du Neandertal est légèrement allongée.

Pour Svante Pääbo, la thèse d’un cerveau en cours de grossissement est un mythe : sa taille est stable depuis l’apparition de l’homme " moderne ". Les scientifiques expliquent ce fait qui contredit Darwin en s’accordant à dire que "l’évolution biologique de l’homme n’est tout simplement plus à l’œuvre, l’homme s’étant soustrait par ses techniques et ses cultures à la sélection naturelle et à son corollaire, la pression environnementale" (sic). C'est le magazine Science et Vie de décembre 2005 qui l'annonce...

En fait, l'hominidé connu sous le nom d'Homo Sapiens apparut soudainement entre 200.000 et 300.000 ans avant J.-C. par ses maîtres généticiens concepteurs, suite à l'échec du Neandertalien, que l'on retrouve comme l'"Abel" biblique. La capacité de la boite crânienne de l'Homo Sapiens, le "Caïn" biblique, est pratiquement 50% plus élevée que celle de son prédécesseur l'Homo Erectus, "le singe" évolué qu'on ne cesse de déterrer régulièrement et que la science officielle assimile aux ancêtres de l'Homme. Depuis cette époque, le cerveau humain n'a pas bougé d'un iota. Personne n'explique cette différence morphologique, encore moins les darwiniens, car de toute évidence l'apparition de cet être doué de raison se fît brusquement. Il faut aussi préciser que c'est un cas totalement unique dans toute l'histoire de l'évolution des espèces de notre planète. Pourquoi l'ancêtre de l'Homme développa-t-il aussi rapidement l'intelligence alors que le singe s'avère avoir passé près de six millions d'années dans une inertie évolutive la plus totale ? Tout ceci est une véritable farce. L’être humain ne descend tout simplement pas du singe de façon naturelle, les différentes traditions et certains passages des tablettes ainsi que les insuffisances archéologiques en témoignant de manière explicite.

 

L'origine de l'humain selon l'histoire secrète (1)

Par ses travaux et découvertes, le spécialiste franco-allemand de la civilisation mésopotamienne Anton Parks a établi une histoire de la civilisation humaine bien différente de celle qui nous est racontée*. Il y a eu plusieurs versions de l'humain, comme il existe plusieurs versions du singe… Le tout premier est le Namlú'u, créé par les planificateurs du Vivant nommés Kadištu (ou les Élohim ou Anges) qui ont ensemencé la Terre avant l'invasion des Anunna, race reptilienne involutive et agressive faisant partie des Forces de l'Ombre et des Ténèbres nécessaires au fonctionnement du Vivant. Ils étaient des êtres de Lumière qui englobaient des capacités hors du commun, car situés dans une dimension de densité élevée (la sixième dans l'étagement des dimensions de conscience). Ce spécimen Namlú'u est nommé, par exemple, dans le manuscrit gnostique de Nag-Hammadi ("Livre Secret de Jean", Codex NH2 - 1, 28) où il apparaît sous la forme de "l'Homme primordial parfait" créé par les différents créateurs selon leurs différentes puissances et qualités spécifiques. Comme l'expriment plusieurs textes gnostiques, ils étaient les gardiens de la planète Terre avant l'arrivée des mauvais dieux, les Anunna. Ils ont disparu de notre dimension terrestre lors de l'avènement de ces derniers. Le mot Namlú'u est un terme générique utilisé pour nommer en Mésopotamie l'humanité primordiale pré-adamique (l'Homo Erectus), et employé plus tard pour désigner les Sumériens qui étaient considérés au Proche-Orient ancien comme la première humanité qui fut mise au service des "dieux" positifs.

Il y a eu bel et bien un mélange génétique entre le Namlú'u et les différents types d'ouvriers façonnés pour l'intérêt du dieu asservissant Yahvé, dérivé archétypal des races reptiliennes agressives Kingu (les Gina'abul et leurs guerriers Anunna). Ils sont l'Homo Neanderthalensis, qui par son amélioration génétique donnera l'homme moderne, c'est-à-dire l'Homo Sapiens puis l'Homo Sapiens-Sapiens. Cette branche Homo est la famille "animale", utilisée par la famille reptilienne involutive qui s'est imposée pour contrôler et dominer sur la Terre. Autrement dit, il s'agit du Caïn biblique, génétiquement coupé du divin, dont seuls 3 à 5% de l’ADN moderne s’exprimeraient en protéines et seraient utiles, le reste étant le Junk DNA, l'ADN poubelle... Cette amputation des brins d'ADN originels a été faîte au moyen d'ondes lumineuses, qui ont altéré comme supprimé nombre de facteurs de transcription eucaryotes de l’ADN en les brûlant, et entraîné des changements physiques*².

* Cf. Le Judaïsme décodé.

C'est le cas par exemple de la vertèbre "atlas", première en partant du haut de notre squelette, avec la bosse que forme un bout d’os, le "tuberculum anterius atlantis". Sa position est source de nombreux désagréments, physiques comme psychiques, altérant la bonne liaison psychique avec le cerveau...

 

L'origine de l’être humain (2)

Compte-tenu des croyances sous l'effet des conditionnements distillés, d'aucuns pensent que l’être humain vient du singe compte-tenu de sa forme simienne. Or l’être humain n’a jamais été animal ! A ses origines cosmiques, l’être humain était dans un état de condensation extrêmement légère comparé avec celui constaté aujourd’hui. Il possédait un corps éthérique extrêmement instable, le corps astral n’ayant pas encore été développé, le corps mental encore moins. C'est ainsi que les premières manifestations de l’être humain sur la Terre l’ont été sur le Plan éthérique, les manifestations ultérieures l’ayant été sur le Plan astral. La forme humaine s'est ainsi peu à peu densifiée, devenant matérielle durant la période lémurienne, la troisième race humaine.

Ces formes humaines qui se retrouvent à l'instar de l’anthropologie classique suivaient leur propre évolution. Avec le temps, le corps éthérique de l’être humain s’est densifié, avant que de développer le corps astral puis le corps mental inférieur. Devenant plus grande avec le temps, elle est entrée dans une de ces enveloppes matérielles que l’on appelait l’homme primitif - à l'image du yéti, l’homme des neiges -, et qui, sous l'effet de changements vibratoires dans le corps physique, a donné naissance à un être de base qui a évolué jusqu’au stade du Neandertal (introduction de l'âme par les entités involutives), puis du Cro-Magnon. Ses maîtres généticiens extra-dimensionnels lui ont infusé dans le Mental une vibration qui a permis le développement de l’intellect. Quant à ses couleurs de peau - noire, blanche, jaune, rouge -, elles sont venues de différentes Planètes.

Cette évolution, impulsée par les lignées planificatrices de l'Univers, nommées Forces de Lumière, est graduée. Elle a commencé avec les organismes les plus basiques. Les prédateurs généticiens ont "joué" avec ceux-ci, puis ils ont construit à partir de cela, essayant de faire ceci, puis ajoutant cela, utilisant une partie de ceci et une partie de cela. Ils ont ainsi fabriqué une nouvelle partie ou deux, et ainsi de suite. Chaque espèce possède un certain nombre de gènes ou de parties de gènes qu’aucune autre espèce ne possède, tout en en partageant nombre (les instructions d’ADN doivent être les mêmes parce que c’est un code informationnel). L'objectif final, quelles que soient les manipulations génétiques opérées, est de lui permettre de devenir conscient de lui-même, et ce grâce à l'"or" universel qui réside dans son âme. Mais tant qu'il n'a pas conscience de lui-même, il n’est pas humain, incapable de se servir lui-même de la matière par la maîtrise de la science atomique. C'est pourquoi le processus de son évolution est gradué. Pour être capable de se servir lui-même de la matière, il commence par développer son intelligence. A ce moment-là, il lui est permis de renforcer les liens de sa genèse avec d’autres prototypes génétiques en provenance de la Galaxie solaire. Il y a de ce fait une rencontre, une transmutation, qui, par ce phénomène de ramification, produit des races plus évoluées que les prototypes humains initiaux, comme les australopithèques africains. Et ce sont ces liens se développant entre un type humanoïde et d’autres types nourriciers issus de civilisations supérieures qui expliquent qu'à un certain point, il n’y a plus de connexion… C'est ce que l’on appelle un missing link, le chaînon manquant ! La transmutation énergétique* est en effet tellement puissante que les liens génétiques sont brisés (ceci expliquant dans l’histoire de la planète les cycles périodiques d’extinctions massives et d’émergences de vie), permettant la mise en œuvre d'une nouvelle organisation génétique. L’être racial qui vient après dévie légèrement de celui qui venait avant, mais suffisamment pour qu’il n’y ait plus de rappel historique. Ceci explique pourquoi les scientifiques - les scientistes en fait - n’ont jamais pu découvrir le chaînon manquant, dans la mesure où ils ne comprennent pas sur un plan occulte les Lois de l’évolution humaine telles que perçues par l’être humain en contact avec l'Esprit universel par sa supra-conscience.

* Il s'agit en fait d'ingénierie via l’ADN, autrement dit de transfert de pensées de la 4ème dimension de densité (ou conscience) en 3-D. Une fois  l’ADN irriguée par photosynthèse, la reproduction sexuée entre en jeu pour ensemencer d’autres choses.

 

De la technologie de manipulation génétique

La perspective cosmologique que permet le concept physique d'un univers multi-dimensionnel avec des dimensions de densités liés à des états de conscience spécifiques (polarités "Service de Soi" et "Service d'Autrui") expliquerait, sans bien sûr de validation scientifique académique, que le "designer" de la race humaine se situe en 4ème dimension, en l'occurrence ce que les travaux d'Anton Parks démontrent quant à l'existence d'un corpus prédateur (entités involutives). Sa technologie très élaborée, qui s'appuie sur sa capacité à voyager dans le temps, en arrière comme en avant, a ainsi permis dans ses "laboratoires " les manipulations génétiques de l'être humain nécessaires à sa survie dans les "Ténèbres", et ce à partir des  enlèvements constatés associés aux enlèvements extraterrestres (Cf. précédemment). Il s'agit en fait d'extraction d’âme, celle-ci recelant par la conscience qui s'y trouve le secret recherché par ces entités, le canal de lumière (l'"Or" cosmique, clé du Vivant). L'âme est ainsi emmenée en 4ème densité par la création d'une bulle temporelle (le temps de 3-D terrestre est figé), où un corps de matière 4-D est molécularisé. Le travail se fait sur le corps réassemblé avant qu'il ne soit désassemblé, l’âme (et la conscience associée) étant renvoyée dans le monde terrestre, derrière le rideau (le voile de l'oubli)...
Il est indispensable pour comprendre ce mécanisme de considérer que la 4-D est une dimension où la pensée a le pouvoir de créer une structure (idée-forme) *. C'est ainsi qu'un esprit par les fréquences émises qui pense à une structure nécessitant d’être réalisé la voit s’assembler elle-même, plus ou moins. Lorsque la structure est renvoyée par-delà le voile, le schéma directeur attracteur (gravité énergétique) attire à lui les éléments correspondants de la réalité 3-D, se poursuivant par le processus d’assemblage organique (même la matière inanimée possède un niveau minimal de conscience correspondante). Autrement dit, les maîtres-généticiens de 4-D utilisent le pouvoir de pensée et d'intention pour faire quelque chose conforme à leurs pensées entropiques (domination, asservissement), modifiant à cet effet l’ADN de leur proie humaine avant que de procéder à un désassemblage moléculaire des molécules 4-D, différentes de celles de 3-D (monde semi-matériel), et de renvoyer l’âme dans le corps physique 3-D resté sur place, figé. Comme il y a une certaine quantité de conscience dans la matière inanimée, en l'occurrence dans les produits chimiques de toute sorte présents dans les molécules, la résonance de ces produits chimiques par leur fréquence correspond aux structures de l’idée-forme émise. C'est leur fusion
par la simple activation de lois physico-chimiques qui en permet la matérialisation, un peu à l'image des expériences avec l’eau qui modifie sa structure lorsqu’on se concentre sur elle*².

Si ce travail est fait en 4-D, c'est parce qu'un corps de 4-D fabriqué à partir de matière 4-D est beaucoup plus malléable (dimension mi physique mi éthérique). Les changements effectués sont gravés dans la conscience, avant dissolution du corps physique 4-D et renvoi de la conscience modifiée dans son corps 3-D...

Il s'agit bel et bien d’une intelligence "diabolique", effrayante ! La bonne nouvelle est qu'il n’est pas nécessaire d’avoir de mauvaises intentions pour créer quelque chose comme ça...
* Cf. La pensée création.

Cf. Fonctionnement de l'architecture du Vivant.

 

Cette intervention sur le génome humain a été accompagnée sur le plan nutritionnel par un enrichissement approprié de son alimentation (blé, riz, maïs, patate douce), afin de lui fournir les éléments énergétiques appropriés. C'est ainsi que les techniques céréalières enrichies de sucres ont émergé, les sucres lents étant nécessaires à la nouvelle performance cervicale attendue. Apparait l'amidonnier, sous-espèce de céréale à forme herbacée qui, avec l'engrain, est la plus ancienne céréale domestiquée par l'homme, vers -7.500, au Proche-Orient, plus exactement en Anatolie *. Cette plante particulière ayant une capacité de démultiplication unique au monde, elle a pu répondre à l'essor de l'humanité, étant à l'origine du blé dur que l'homme obtiendra par sélection comme de nombreuses autres céréales*². Soit nous y voyons la simple patte du hasard, soit celle de maîtres généticiens concepteurs ayant et pour cause toujours "un coup" d'avance technologique sur le fruit de leur création ...

* Le blé apparait sur les pentes de la montagne sacrée vénérée alors par les Sumériens, Karacadağ, près de Göbekli Tepe, un site situé au sud-est de l’Anatolie, région de l’actuelle Turquie située près de la frontière avec la Syrie. Simple coïncidence ?

* Se pose de même la question de la mutation génétique d'espèces animales comme la vache, dérivée soi-disant de l'aurochs, aucune explication scientifique n'apportant en l'état de la théorie de l'évolution une réponse probante. Il n'est qu'à comprendre ce qu'est ce super taureau pour s'interroger sur la crédibilité de sa lente transformation en douce vache fermière, et sur celle de nos lointains ancêtres du néolithique d'avoir réussi ce tour de force...

 

Les mutants se répartissent en deux groupes : ceux qui croient à l'avantage de la différence et aux bénéfices du métissage des capacités ; ceux qui se considèrent comme le stade évolué de l'homme, et à ce titre considèrent que ce dernier est condamné à disparaître car il ralentit l'émergence d'une nouvelle humanité...

Clin d’œil hollywoodien

Les X-Men sont un groupe de super-héros créé par le scénariste Stan Lee et le dessinateur Jack Kirby *. Ils sont depuis 2000 les héros de la série de films éponyme, laquelle est une franchise cinématographique.

Dans l'univers des X-Men, les mutations génétiques octroient des super-pouvoirs à une part croissante de la population. Ces qualités surhumaines se dévoilent en général à l’adolescence, moment critique pendant lequel un mutant peut sombrer dans le doute et l’égarement ou au contraire peut arriver à maîtriser ses dons et devenir un individu épanoui. Leurs affrontements sans cesse renouvelés ont assuré le succès de la série depuis une quarantaine d’années.

* Ils semblent fortement inspirés du chef-d'œuvre d'e l'écrivain canadien de science-fiction Alfred Elton Van Vogt (1912/2000) " À la poursuite des Slans", publié en 1940.

 


Un calendrier cosmique précis

 

La terre tout comme le soleil possèdent et subissent des cycles qui leur sont propres*. Si ces cycles sont peu de chose à l’échelle humaine, ils ont une incontestable influence sur notre qualité de vie. Un de ces cycles possède une fréquence de 396 ans. Et, tous les 13 cycles de 396 ans, soit 5.148 ans, la terre entre dans un cycle plus sévère de conséquences. La quasi-totalité des grandes périodes de la terre et des sociétés de l’homme s’harmonisent avec ce cycle de 396 ans.

* Cf. Fin de cycle (1) Fin du temps ou fin des temps ? & Vérité climatique.

 

Les grandes périodes civilisationnelles

La période glacière, appelée le Pléistocène, est marquée par des pôles de glace beaucoup plus importants qu’ils ne le sont aujourd’hui. La glace recouvrait la quasi-totalité de l’hémisphère nord et de l’hémisphère sud, ne laissant que l’équateur et quelques autres endroits épars. La dernière période glaciaire s’est étalée de 110.000 av. J.C. à 13.000 av. J.C.

La période qui suivit est appelée Terra Incognita, caractérisée à cause de son impact très important sur le développement des générations mégalithiques et modernes jusqu’à nos jours. Cette période débuta en 13.426 avant J.-C. pour se terminer en 8.280. C'est durant cette période que des civilisations et des continents auraient disparus : Atlantide, Mû, Malaysia, etc.

La période mégalithique qui suit est celle des dolmens et des pyramides. Elle se termine en -3.134 av. J.-C.

La période dite moderne débute alors et s'est terminée en 2012. Depuis, nous sommes entrés dans une nouvelle période, pas encore nommée par les scientifiques ...

 

Il y a eu plusieurs extinctions massives des espèces au cours de l'évolution, situées il y a 440/400 millions d'années, 250/200 millions d'années, et enfin 65/70 millions d'années avec l'extinction des dinosaures, ce qui interpelle quant au bienfondé de la théorie de l'évolution.

Ces catastrophes au niveau planétaire semblent bel et bien cycliques, selon une périodicité variant entre 26 et 32 millions d'années. C'est ce qu'a montré l'ingénieur astronome, géophysicien et climatologue serbe Milutin Milanković (1879/1958) avec l'orientation de l'axe de la terre qui, pouvant changer avec le temps, affecte le climat. Selon son cycle établi, la forme de l'orbite terrestre passe graduellement d'un cercle à une ellipse sur une période d'environ 100.000 ans. L'angle d'inclinaison de la Terre varie entre 22.5° et 24.5° avec une périodicité de 41.000 ans. A l'heure actuelle, cet angle est de 23.5°. L'axe de la Terre précessionne sur une période d'environ 26.000 ans, la précession influant sur la durée des saisons.

 

La précession des équinoxes, base du calendrier cosmique

L’Égypte ancienne comme d'autres cultures bien plus anciennes ont établi le calendrier cosmique sur ce phénomène de la précession des équinoxes. Tous les 2 160 ans environ (caractérisant une ère zodiacale), au matin de l'équinoxe du printemps, le lever du Soleil se produit sous différents signes du Zodiaque, qu'il soit astronomique ou religieux. Cela est dû au lent mouvement angulaire que la terre maintient lors de la rotation sur son axe. On le qualifie de "précession", car les constellations vont dans le sens inverse au lieu de réaliser un cycle annuel normal. Le temps nécessaire pour parcourir les douze signes est de 25 920 années environ. On l'appelle aussi la "Grande Année"*.

En extrapolant, à partir des calculs de Milankovitch, la valeur de l'insolation sur les 250 000 dernières années, les scientifiques ont réussi à corréler les variations de température à la surface de la Terre avec les cycles décrits, et de ce fait à déterminer les causes des changements climatiques passés tout comme à venir*². Les cycles de Milankovitch existent probablement sur d’autres planètes que la Terre, comme cela a été prouvé pour Mars.

* Les anciennes civilisations attribuaient à chaque période de 2 160 ans une époque. Ainsi de 4.300 ans à l'an 2.150 avant J.-C. se trouvait l'âge du Taureau. De l'an - 2.150 à l'an 1 de notre ère, c'est l'âge du Bélier, sous le signe du Bélier. Puis de l'an 1 à l'an 2.150 c'est l'âge du Poisson, époque dans laquelle nous sommes de nos jours. Aux alentours de 2 150 nous entrerons dans une nouvelle ère, l'âge du Verseau. Cependant, la durée d'un cycle n'est pas uniforme, ce qui amène d'aucuns à considérer que nous sommes depuis 2012 entré dans l'âge du Verseau.

La Terre a subi plus de vingt périodes de glaciations alternées avec des périodes de réchauffements. Durant ces longues périodes glaciaires, on sait que l'Europe du Nord et l'Amérique du Nord étaient recouverts de couches de glace pouvant atteindre parfois plus de 3 000 mètres d'épaisseur.

 

Aussi, loin d'être nouvelles, les causes de ces cycles de destruction étaient parfaitement connues depuis la Grèce antique. Elles furent décrites très précisément par Platon et enseignées dans plusieurs écoles de l'époque. À une époque de notre ancienne histoire, tous les habitants de la planète connaissaient l'importance de ces cycles et beaucoup en connaissaient le fonctionnement. Si ce savoir permettait aux agriculteurs de prévoir les périodes de pluies et de sécheresses, et au peuple en entier de déterminer à l'avance la venue des grandes crises géoclimatiques qui bouleversaient tant les sociétés, il pouvait aussi

devenir une arme de guerre et de contrôle de la population. C'est ce que l'oligarchie de l'époque comprit rapidement, l'interdisant au prétexte de pratiques païennes contraires à la doctrine officielle. La pratique populaire en fut ainsi totalement interdite sous peine de mort, et le savoir finit par disparaitre, sauf pour les élites gouvernantes continuant à se le transmettre aux fins de l'assujettir à leur impérialisme. Loin de toute réaction émotive, inconnue par le système prédateur, la planification des activités guerrières est de ce fait clairement dessinée et coordonnée en fonction de l'atteinte d'un objectif très précis, la domination du monde...

C'est pourquoi une fois encore le retour du déluge destructeur est annoncé, quelle que soit son appellation*. C'est ce qu'avait déjà en son temps affirmé le vieux prêtre de Saïs à l'homme d’État grec Solon (638/558 av. J.-C.).

* Marduk, Typhon, Némésis, Shiva, La grande Noire, Le Dragon Rouge, Le grand Phœnix, Yahweh, Quetzalcoatl, Lucifer, Étoile Bleue, Étoile Rouge, Fier Messager, Grande Étoile, Grande Comète, La Comète du Jugement Dernier, The Day of the Lord, Le Jugement Dernier, Le Perturbateur, l’Intrus, Christos, l’Invité Céleste, Nibiru...

 

Existe-t-il une loi de la récurrence ?

Certaines recherches sur la cyclicité du temps évoquent une loi physique universelle nommée Loi de la récurrence, et qui pourrait éclairer le travail des chercheurs sur les abductions comme David Jacobs ou Budd Hopkins (Cf. chapitre Réalité extraterrestre dissimulée), tendant à valider l'hypothèse d’une "nouvelle race" qui serait en cours d'implantation. Cette loi éclairerait ainsi l’histoire de la Terre et de ses Races, autrement dit la grande ligne spiroïdale de la Vie.

La première sous-race de notre actuelle Race Aryenne s’est développée sur le plateau central de l’Asie, caractérisée par des fondements ésotériques puissants destinés à transmettre les clés de la Connaissance aux humains. La deuxième fleurit dans le sud de l’Asie, à l’époque prévédique, marquée notamment par la sagesse des Rishis de l’Inde et les splendeurs de l’ancien empire chinois. La troisième se développa en Égypte, en Perse, en Chaldée, etc. La quatrième sous-race resplendit avec la civilisation de la Grèce et de Rome. La cinquième fut parfaitement manifestée en Allemagne, en Angleterre, et autres pays. La sixième résulta du mélange des Espagnols avec les races autochtones d’Amérique. La septième est parfaitement manifestée comme le résultat de tous les divers mélanges de races, comme nous pouvons le mettre en évidence sur le territoire des Etats-Unis.

Chacune des grandes Races qui ont existé dans le monde se sont terminées par un cataclysme, préalable à la mise en route d'un nouveau cycle. Nous serions dans le dernier cycle qui, après la grande catastrophe qui s’approcherait, verra la terre à nouveau habitée par des gens choisis, en l'occurrence ceux créés par ceux qui sont nommés les "extraterrestres" à partir de la semence sélectionnée des humanoïdes croisée avec des entités d’autres mondes. Comme d'habitude, les avis divergent sur l'intention, certains la considérant comme bienveillante quand d'autres alertent sur sa dangerosité.

Quoi qu'il en soit, l'observation sur la cyclicité est qu'elle est de qualité dégressive, correspondant à une lente corruption du corps sociétal, et tout particulièrement à partir de la cinquième "sous-race", les civilisations des Anglais, des Allemands, etc, la dernière se caractérisant par son haut niveau de technicité, soit le matérialisme correspondant à l'Age noir du Kali-Yuga*.

* Cf. Fin de cycle (1) Fin du temps ou fin des temps ?

 

Le jeu de pistes

 

L'être humain apparaît issu d'une lignée très ancienne, beaucoup plus ancienne que l'histoire racontée. Comme les paléontologues ont mis à jour les hominidés qui ont divergé par "déshominisation", cela expliquerait pourquoi nous retrouvons des dessins d'hommes avec des dinosaures et des objets datant de... 300 millions d'années !

La théorie de l'évolution est de plus en plus remise en question. Les mutations en sont un exemple d'incohérence, mais les autres mécanismes supposés sont eux aussi critiqués. C'est une profonde remise en question de nos connaissances, et par-là même de nos croyances. Le hasard ne pouvant expliquer Ce Qui Est, la plausibilité d'une colonisation terrestre de l'humain issu d'autres dimensions ne peut être rejetée, au prétexte de délires fantaisistes ou mystiques, que l'homme dit de raison adore fustiger. Si tel est le cas, l'origine de l'homme est "extra-terrestre". C'est à ce jeu de pistes que nous appelle le Vivant, en faisant jouer le discernement - notre éclairage intérieur - quant aux fausses pistes de la Matrice cyber* - les artifices extérieurs ...

* Cf. Le Jeu de la Vie & Le jeu de (fausses) pistes de la Matrice.

 

En fait, le phénomène OVNI, comme toute autre "anomalies transdimensionnelle"* (comme par exemple les disparitions d'avions ou de bateaux dans le Triangle des Bermudes), nécessite pour le comprendre de sortir de la conscience analytique linéaire inhérente à la 3ème dimension de densité (la 3-D terrestre) et des schémas très profonds de dualité ou de séparation inhérents. Autrement dit, il requiert une âme conscience de 4ème dimension de densité, soit une conscience panoramique permettant la connaissance de la physique de l'énergie comme de la matière, et de toutes les branches de la science psychique (maîtrise de l'étude de l'esprit humain), biologique ou génétique. En somme, la connaissance de toutes les "ramifications" de la connaissance spirituelle, ce que l'hyperspécialisation dans des sciences académiques ne permet pas... Alors seulement l'être humain éveillé à sa véritable nature multidimensionnelle est à même de décoder les informations transportées par son âme, elle-même formée de protons (de la lumière-information) et de neutrinos (de la lumière-vibration) puisque baignant dans le champ morphogénétique...

* Il s'agit de phénomènes de modification gravitationnelle transdensitaire, provoqués par certaines formes de conscience beaucoup plus avancées que celles de l'humain (soit de nature +, soit de nature -), à même par les extensions créatives projetées de se densifier dans les fréquences des mondes inférieurs.

 

L'indispensable plongée dans nos mémoires enfouies

 

Si en effet nous restons dans les limites spatio-temporelles étroites de la 3ème dimension*, qui plus est manipulée par les instances institutionnelles pour circonscrire toute transcendance intérieure, nous sommes réduit au choix binaire : croire ou ne pas croire, pour ou contre telle ou telle théorie, d'accord ou pas d'accord avec telle version. Pour dépasser cette limite, nous n'avons pas d'autre choix que de demander à notre supraconscience, une fois débarrassé des filtres de l'égo-mental, les indices sous forme de synchronicités à même de nous fournir les réponses adéquates.

Le premier constat que nous pouvons établir est que l'évolution de conscience de l'être humain est une constante dans le mouvement général de la vie lié à la cyclicité du temps. Les forces involutives le sachant parfaitement, elles déploient moultes façons de la retarder, utilisant pour ce faire deux grands moyens :

- Le battage éducatif et médiatique de leurs relais inféodés, récusant farouchement tout ce qui va à l'encontre de l'histoire racontée et s'attachant à discréditer tout ce qui va à l'encontre de la doxa professée ;

- Le devancement des révélations (ainsi le phénomène ovni), tout en entretenant le doute sur leur véracité par le mélange de vrai et de faux. Ainsi nombre de falsifications et de faux grossiers viennent se greffer aux découvertes, afin d'en délégitimer la pertinence.

Qui plus est s'est mise en place depuis quelques décennies une "décérébralisation" de l'être humain par son équipement en des supports technologiques (PC, tablettes, smartphones...), gadgets comme nécessaires à sa vie sociale et professionnelle, privilégiant l'immédiateté et la réactivité au détriment du long travail de recherche, d'analyse et d'instrospection. Il n'est qu'à voir la baisse d'attention et de concentration constatée chez une large majorité d'individus, conjuguée à une baisse continue des fondamentaux culturels (langage, écriture, vocabulaire...)*².

* Cf. La falsification de la réalité en 3-D.

La traduction de cette baisse de concentration, et par là-même d'intelligence, est le réflexe quasi-pavlovien de nombres d'érudits - êtres humains dits instruits - à "liker" (j'aime/j'aime pas) ou à commenter à chaud l'actualité sur les forums des lecteurs, tout particulièrement de sites d'information dits sérieux (Le Monde, Le Figaro ...), au-delà de leur éventuelle pathologie rédactionnelle sur les réseaux type Twitter. Réagissant de manière émotionnelle au commentaire de l'actualité dispensé par un illustre inconnu ou un "expert" patenté, comme au commentaire apporté de tel ou tel lecteur, il en découle l'indigence du vide, calée sur la conviction pulsionnelle des savoirs et connaissances détenus et ce qui en découle, la confrontation. Piégés par leur égo-mental enflammé et dans l'incapacité de s'interroger en profondeur quant à la pertinence de "leur" vérité, ils participent tout en croyant la dénoncer au maintien de la crétinisation de l'être humain, soit son asservissement au système prédateur qui le domine et l'égare.

 

En outre, l'évolution génétique de l'être humain par le réveil de ses mémoires logées dans son subconscient - de ce fait portées à son conscient - est démontré par l'épigénétique*. C'est la raison pour laquelle le système prédateur multiplie les actions nocives telles que vaccins (présence notamment d'aluminides et de mercure), ogm, éthidium 13 (produit toxique et mutagène utilisé comme médicament et marqueur moléculaire) et autres empoisonnements (fluor par exemple) destinés à en bloquer la réalisation. Pour nous en désentraver, nous n'avons pas d'autre possibilité que de réaliser le processus de transformation de conscience*².

* Depuis une centaine d'années, des scientifiques de plusieurs pays tels Gurwitsch, Kaznacheev, Gariaev, Inaba, Popp, et d'autres ont montré que les organismes vivants émettent de la lumière (biophotons) à très faible intensité. Tel un laser, l'ADN est à la fois la source et le lieu de stockage de ces photons. L'ensemble des biophotons de l'organisme constitue un champ cohérent porteur d'information, sous forme d'hologrammes, qui dirige les processus vitaux de l'organisme et maintient comme renforce son intégrité. Grâce à ces rayonnements, les cellules communiquent entre elles et envoient des informations sur leur état énergétique et sanitaire. D'autres informations constituent un code génétique électromagnétique holographique qui assure et coordonne le développement de l'organisme. Cela explique des phénomènes inexplicables par la génétique moléculaire comme la différentiation des cellules. Des applications pratiques de ce phénomène ont été conçues pour évaluer la qualité des aliments et améliorer l'état de santé des êtres vivants par des techniques non destructrices.

Cf. Processus de transformation de conscience (1).

 

Aller au-delà de l'imaginable

 

Si la première étape d'une pensée différente de celle dispensée par l'establishment est d'appréhender une réalité extra-terrestre comme venant d'une ou de planètes lointaines, la seconde consiste, comme nombre de chercheurs et d'auteurs, de considérer ce phénomène comme quelque chose qui est peut-être là depuis bien plus longtemps qu’on ne l’imagine. Et ce qui nous permet d'en considérer la plausibilité, c'est que ce phénomène semble avoir été interprété et décrit dans la "vision du monde" des anciennes cultures, des fées aux démons en passant par les vampires, les serpents, les dragons et autres figures mythologiques. Aussi nous aurions affaire bel et bien à un phénomène paraphysique multidimensionnel, largement indigène à la planète Terre, dont les manifestations de type OVNIs et abductions (enlèvements et manipulations) seraient de simples variations mineures du phénomène démonologique ancestral.

 

En effet, le phénomène des OVNI est lié à ce domaine métaphysique d'une manière rarement reconnue par de nombreux chercheurs contemporains sur les OVNI, qui déploient une approche très "mécanique" de l'idée des OVNI et des extraterrestres.

C'est la raison pour laquelle ces phénomènes, considérés comme impossibles par la sacro-sainte science/physique moderne de nature linéaire ou duelle, se manifestent dans notre réalité, et que les scientifiques qui s'obstinent à rechercher des preuves et n'arrivent pas à les expliquer ou les élucider continuent à les dissimuler pour ne pas avoir à justifier de leur incompétence !

La science moderne rejette donc toujours aujourd’hui l'incroyable défi pour la raison humaine que représentent les observations objectives des trop nombreux phénomènes inexpliqués, tels des symptômes physiques ou psychologiques, des disparitions d'objets ou d'êtres vivants, des bizarreries météorologiques, des phénomènes de manque de temps, les apparitions d'OVNIs, ou toutes sortes d'étrangetés qui peuvent se présenter dans votre réalité quotidienne.

Les caractéristiques paranormales qui accompagnent les observations d'OVNI, les enlèvements d'extraterrestres et d'autres phénomènes de "grande étrangeté" devraient bien au contraire nous encourager à envisager ce phénomène d'une manière différente, au lieu de se rabattre sur l'hypothèse populaire selon laquelle les OVNI sont des vaisseaux spatiaux extraterrestres physiques qui arrivent d'autres planètes. Les tentatives de révéler l'aspect hyperdimensionnel de notre réalité sont souvent ignorées, attaquées, ou ridiculisées par les gardiens de l'information socioculturelle... dans une mesure qui va bien au-delà de la diffamation qui est dirigée contre les recherches sur les OVNI "les écrous et les boulons".

 

"Si nous regardons le monde d'un point de vue informationnel, et si nous considérons les nombreuses façons complexes dont le temps et l'espace sont structurés, la vieille idée de voyage spatial et de vaisseau interplanétaire à laquelle la plupart des technologues s'accrochent encore semble non seulement obsolète, mais aussi ridicule. En effet, la physique moderne l'a déjà contournée, offrant une interprétation très différente de ce à quoi pourrait ressembler un système "extraterrestre". Je crois qu'il y a un système autour de nous qui transcende le temps comme il transcende l'espace. Ce système peut très bien être capable de se localiser dans l'espace, mais ses manifestations ne sont pas des engins spatiaux au sens ordinaire du terme. Les OVNI sont des manifestations physiques qui ne peuvent pas être comprises en dehors de leur réalité psychique et symbolique. Ce que nous voyons en fait ici, c'est un système de contrôle qui agit sur les humains et utilise les humains".

Dr. Jacques Fabrice Vallee, informaticien, astronome, ufologue et écrivain français de science-fiction.

 

"L'ampleur, la fréquence et la distribution des observations rendent l'hypothèse populaire d'un phénomène extraterrestre (interplanétaire) totalement intenable... De nombreuses soucoupes volantes semblent n'être rien d'autre qu'un déguisement pour un phénomène caché. Elles sont comme des chevaux de Troie qui descendent dans nos forêts et nos champs, nous promettant le salut et nous offrant la splendeur d'une grande super-civilisation dans le ciel. Les ultraterrestres se soucient-ils vraiment de nous ? Il existe de nombreuses preuves troublantes qu'ils ne le font pas. Ils ne s'en soucient que dans la mesure où nous pouvons remplir notre énigmatique fonction à leur égard.

La véritable histoire des OVNI doit englober toutes les nombreuses manifestations observées. C'est une histoire de fantômes et d'aberrations mentales étranges ; d'un monde invisible qui nous entoure et nous engloutit parfois ; de prophètes et de prophéties, de dieux et de démons. C'est un monde d'illusion et d'hallucination où l'irréel semble très réel, et où la réalité elle-même est déformée par des forces étranges qui peuvent apparemment manipuler l'espace, le temps et la matière physique - des forces qui sont presque entièrement au-delà de nos capacités de compréhension.

Nos cieux ont été remplis de "chevaux de Troie" tout au long de l'histoire, et comme le cheval de Troie original, ils semblent dissimuler des intentions hostiles. ... Cette théorie de l'hostilité est encore renforcée par le fait que les objets choisissent, le plus souvent, d'apparaître sous des formes que nous pouvons facilement accepter et expliquer à notre propre satisfaction - des dirigeables aux météores en passant par les avions d'apparence conventionnelle. ... En d'autres termes, les soucoupes volantes ne sont pas du tout ce que nous espérions qu'elles soient. Elles font partie de quelque chose d'autre. C'est ce que j'appelle l'opération Cheval de Troie. La vraie vérité est que les adeptes des OVNI ont été pris pour des pigeons pendant des années, non pas par le gouvernement, mais par le phénomène".

 John Alva Keel (1930/2009), écrivain ufologue indépendant et journaliste américain, "Opération Cheval de Troie"

 

L'enseignement ancestral

Des indices dans l’histoire et les écritures anciennes parlant d’un éventuel système de contrôle hyper-dimensionnel, soit un phénomène paraphysique indigène à la planète Terre, existent, certaines sources présentant d’intéressantes similitudes. Pourquoi seraient-ils écartés et balayés au prétexte de délires païens d'un autre âge, alors que d'autres enseignements du "même antique âge" sont célébrés comme les fondamentaux de l'intelligence humaine (comme ceux des philosophes grecs). Y a-t-il deux Platon, l'un loué par le système pour son enseignement en phase, et l'autre relégué à l'imaginaire poétique quand il évoque la civilisation atlante ?

C'est ainsi que les gnostiques* nous ont donné quelques aperçus de l’idée des réalités hyper-dimensionnelles et des Êtres qui les habitent, comme les Archontes, espèce d’Êtres inorganiques qui émergea au sein du système solaire avant la formation de la Terre*². Dans la psychologie gnostique, la science noétique des Écoles des Mystères, les Archontes sont une force étrangère qui s’immisce de façon subliminale dans l’esprit humain - par télépathie et suggestion - pour détourner notre intelligence de ses applications saines et appropriées. Leur technique la plus efficace est d’utiliser l’idéologie religieuse pour introduire leur mode de pensée et, en effet, substituer leur mentalité à la nôtre. Ainsi le concept du salut judéo-chrétien est leur principal stratagème, autrement dit un implant alien. Il en découle qu'ils sont des forces étrangères (aliens) qui agissent par le biais de systèmes autoritaires (sous-entendu avec la complicité humaine), y compris les systèmes de croyance, de sorte à pousser les êtres humains à se retourner contre leur potentiel inné et à violer la symbiose de la Nature.

Leur histoire est similaire à l'enseignement transmis par le personnage de Don Juan dans le dernier livre de l'anthropologue américain Carlos Castaneda (1925/1998), Le Voyage Définitif, qui découle de ses rencontres avec des peuples aborigènes détenteurs de la Connaissance éternelle, car non corrompue par le matérialisme civilisationnel.

* Il en est de même avec les Soufis tout particulièrement dans l’œuvre d'Ibn Arabi (1165/1240), théologien, juriste, poète, métaphysicien, auteur de 846 ouvrages présumés. Son œuvre domine la spiritualité islamique depuis le XIIIe siècle. Selon certains auteurs, Dante, dans la Divine Comédie, aurait été influencé par son œuvre.

Cf. La nouvelle religion universelle.

 

Il en découle que nous avons à explorer d'une manière autre que celle à laquelle nous sommes habitué la réalité du mystère du Vivant. Partant du principe bien rationnel car académique que nous sommes lié à 95 % par notre inconscient*, nous ne pouvons alors faire l'économie de ce qui s'y trouve, sauf à nous enferrer dans les limites extrêmement étroites du conscient, reposant sur des savoirs, autrement dit des croyances, dont nous ne pouvons nullement garantir qu'elles soient exemptes de tout conditionnement, de toute manipulation, ce qui nous amène au conte oriental du Mauvais Magicien racontée par le philosophe arménien Georges Gurdjieff (1866/1949), telle que rapportée par son disciple le philosophe russe Piotr Ouspensky (1878/1949) dans Fragments d’un enseignement inconnu :

Un très riche magicien qui avait de nombreux troupeaux de moutons. Ce magicien était très avare. Il ne voulait pas prendre de bergers, et il ne voulait pas non plus mettre de clôture autour des prés où paissaient ses moutons. Les moutons s’égaraient dans la forêt, tombaient dans des ravins, se perdaient, et surtout s’enfuyaient à l’approche du magicien, parce qu’ils savaient que celui-ci en voulait à leur chair et à leurs peaux. Et les moutons n’aimaient pas cela.

A la fin, le magicien trouva le remède. Il hypnotisa ses moutons et leur suggéra tout d’abord qu’ils étaient immortels et que d’être écorchés ne pouvait leur faire aucun mal, que ce traitement était au contraire excellent pour eux et même agréable ; ensuite le magicien leur suggéra qu’il était un bon pasteur qui aimait beaucoup son troupeau, qu’il était prêt à tous les sacrifices pour lui ; enfin il leur suggéra que si la moindre chose devait leur arriver, cela ne pouvait en aucun cas leur arriver dès maintenant, dès aujourd’hui, et que par conséquent ils n’avaient pas à se tracasser. Après quoi le magicien mit dans la tête de ses moutons qu’ils n’étaient pas du tout des moutons ; à quelques-uns d’entre eux, il suggéra qu’ils étaient des lions, à d’autres des aigles, à d’autres encore qu’ils étaient des hommes ou qu’ils étaient des magiciens.

Cela fait, ses moutons ne lui causèrent plus ni ennuis, ni tracas. Ils ne s’enfuyaient plus jamais, attendant au contraire avec sérénité l’instant où le magicien les tondrait ou les égorgerait.

Il va sans dire que ce conte illustre parfaitement la situation de l’homme.

* Cf. Esprit global & Comment changer son regard ?

 

Le principal obstacle sur le chemin de la vérité n'est qu'en nous-même, lié à notre "physicalité" limitante. Il en découle de ce prisme déformant des perceptions imparfaites, des idées connotées et des raisonnements conditionnés, conduisant à ne voir le monde qu'à travers le prisme de l'individualité égotique, soit l'établissement d'un voile qui empêche l'être humain de voir la réalité telle qu'elle est.

 

Des éléments de compréhension à revisiter

Le journaliste progressiste états-unien David Talbott (image) a présenté en 2013 lors de la rencontre annuelle de Natural Philosophy Alliance* à l’Université de Maryland, puis lors de la conférence de Thunderbolts Project à Albuquerque, au Nouveau Mexique, les différents "mythes" constitutifs du paradigme scientifique prévalant dans notre civilisation. Ils ont pour point d'assemblage le fait que la gravité seule gouverne le cosmos, son comportement devant être interprété au travers de la lentille de la relativité générale*².

De ce fondement dépendent de nombreuses autres théories de la "science établie" :

L’hypothèse du Big Bang,

L’univers en expansion,

L’énergie sombre,

La formation des galaxies,

La matière noire,

Les trous noirs,

L’hypothèse de la nébuleuse,

Les étoiles à neutron,

La théorie des supernovae,

Le disque protoplanétaire,

Le soleil thermonucléaire,

L’héliosphère isolée,

La formation des planètes,

L’uniformitarisme,

La stabilité des planètes,

Les comètes "boules de neige sale",

Les astéroïdes,

Les origines de l’humanité ...

* Cette organisation a été fondée en 1994 pour permettre et encourager l'idée de critiquer la théorie de la relativité restreinte d'Einstein, considérée comme un paradigme limitant de l'expérience humaine au sein de l'univers.

Cf. Univers en partage.

 

La difficile car inconcevable voie de la Vérité

 

L'être humain doté d'une âme* est par sa nature de penseur un être spirituel. Aussi est-il manipulable sur cette voie par définition extra-rationnelle. Après avoir expérimenté les religions - exotériques ou ésotériques - et les philosophies dites existentielles et constaté, en tout cas pour certains, leur impasse quant au fonctionnement de la civilisation vers l'harmonie, individuelle comme collective, il s'est laissé tenter par l'émergence d'une nouvelle pensée religieuse*², la religion du consentement et de la passivité, celle découlant du mouvement Amour et Lumière dit New Age : "faire confiance au processus ; quoi qu’il arrive, c’est que c’était nécessaire ; chacun est là où il doit être ; si les extraterrestres sont là, c’est parce qu’ils sont censés être là ; ne résiste pas, acquiesce ; résister, c’est être négatif, craintif, inconscient..."

Autrement dit, une formidable recette pour convaincre les autochtones humains de céder les clés de leur royaume, une très bonne forme de manipulation, très intelligente, et dont quelque part l'enseignement de la trilogie Conversation avec Dieu par son gourou Neale Donald Walsh est emblématique, tout comme les recettes du Secret de Rondha Byrne, ou encore les enseignements des divers "maîtres spirituels" invités chez Oprah Winfrey et sur les grandes chaînes TV. Elle n'est qu'une autre forme d'évitement de la vérité concernant lesdits mondes supérieurs, soit un programme de désinformation qui, tout en livrant d'incontestables vérités, cache quelque chose.

* Cf. Qu'est-ce que l'Homme ?

Cf. La nouvelle religion universelle & Prédation spirituelle et voie de sortie.

 

L'être humain, microcosme au sein du macrocosme, détient en lui toutes les réponses. Il lui suffit de retrouver ses mémoires, non en attendant l'aide de sauveurs bénéfiques extérieurs, y compris de nature extra-terrestre, mais en comprenant que l'Amour que lui porte l'Univers - Ce Qui Est - est le respect de son libre arbitre, de son intelligence. C'est en se dégageant par lui-même de la peur, la peur de l'inconnu, qu'il peut s'extraire des forces asservissantes qui l'étreignent et l'empêchent de retrouver Qui Il Est*. La clé est donc le cœur, l'amour de Ce Qui Est, tant de lui-même que de l'oppresseur. Celui-ci, son "bourreau " terrestre comme extra-terrestre, est son enseignant, et par-là même son libérateur*². En comprenant la force du Tout, de l'Unité, et en se dégageant des peurs et souffrances en les accueillant plutôt qu'en les fuyant, il peut reprendre son plein pouvoir. Aussi seul le choix de sa version la plus élevée, celle du Soi supérieur, débarrassé du jugement, des accusations et des condamnations qui le maintiennent dans la dualité, est à faire.

Lorsque nous demandons l'aide des forces bienveillantes elles surgissent, non pour faire le travail à notre place, mais pour nous nourrir de l'énergie nécessaire à son accomplissement. Nous n'avons alors pas d'autre choix que de nous mettre en recherche de la Connaissance libératrice, soit l'abandon de nos préjugés et certitudes, et de procéder au travail de transformation alchimique intérieure. Alors, en nous concentrant sur l'amour, nous pouvons séparer la vérité des mensonges, la réalité de l’illusion, et apprendre les leçons connexes, au-dedans comme au-dehors. 

* Cf. Renaître à soi par la peur.

Cf. Comprendre et apprivoiser la prédation.

 

"La vérité est toujours plus surprenante que la fiction, parce que la fiction doit coller à ce qui est possible, alors que la vérité, elle, n’y est pas obligée."

Mark Twain

 

 "On n’atteint pas l’état de grâce en imaginant des êtres de lumière, mais en amenant à la lumière les zones d’ombre."

Carl Gustav Jung

 

Une chose est sûre, le phénomène OVNI/Alien est "réel". Des entités intelligentes non-humaines visitent, ont visité la Terre, et interagissent avec l’humanité depuis des milliers d’années. A la question pourquoi sont-ils là, nous ne pouvons faire l'économie de l'axiome que "Tout ce qui est en haut est comme ce qui est en bas", sans lequel il ne peut y avoir de réalité de l'Univers, ses formes se fondant de manière intriquée en permanence dans son Tout. 

De ce fait, en observant la réalité du "bas" -  l’environnement, la guerre, le climat, le terrorisme, le 11 septembre, la politique, l’économie, l’argent, le système bancaire, etc… -, il semble en même temps y avoir quelque chose d’autre que nous ignorons totalement, nions, voire ridiculisons ou essayons de balayer à coups de théories explicatives spirituelles, philosophiques ou psychologiques livrées par nos grands sachants dans leurs canaux d'expression attitrés.

C'est pourquoi la grande étrangeté des OVNIs, des Aliens, des enlèvements et des réalités hyper-dimensionnelles contient des indices cruciaux sur ce qui se produit, s’est produit comme se produira sur notre planète d’un point de vue "historique" - la montée et la chute des nations, les religions, l’évolution, la culture, les guerres, les conspirations, le comportement humain, la psychologie -, soit en essence l’existence de l’humanité dans son ensemble… Il en découle l'hypothèse tout à fait réaliste que nos "élites", qui de nos jours semblent contrôler le monde via le gouvernement, l’armée et les multinationales, ne sont que les marionnettes de leurs maîtres hyper-dimensionnels, qui manipulent le genre humain*.

* Cf. Compréhension de la Matrice asservissante.

 

Du secret de Roswell

L'affaire dite de Roswell concerne l'écrasement au sol, près de la petite ville de Roswell au Nouveau- Mexique (États-Unis) et nom d'une base militaire proche, le 4 juillet 1947, d'un soi-disant vaisseau extraterrestre. Nul rapport en fait avec le crash d'un vaisseau extraterrestre, mais avec la venue d'extranéens, des voyageurs issus du néant, plus exactement du non-temps, venus à la rencontre des autorités institutionnelles pour "monnayer" un échange entre la maîtrise de leur technologie de projection de mémoires-écrans dans la psyché humaine sous forme de rayonnement d'ondes dessinant des "apparences holographiques" dans le champ de contrôle électromagnétique d'un rêve, destinée à assurer la programmation de l'esprit de masse des individus*, et ce en échange de pouvoir "rester" dans le monde terrestre compte-tenu de leur évolution entropique dans ce futur en mode "Service de Soi". Ces voyageurs du temps extranéens sont en effet "nous- mêmes", autrement dit issus soit de notre passé, soit de notre futur ! Et en l'occurrence, ceux de Roswell étaient des humains du futur, figurants humanoïdes de notre humanité dans le futur en 4ème dimension de densité. C'est bel et bien ce "deal" que les militaires états-uniens cupides de l'époque ont désespérément tenté de cacher, en faisant passer la vidéo de l'autopsie de l'être de Roswell pour fausse, puis en dissimulant leur nature "extraterrestre" sous le sceau du secret d'État !

* Cf. Contrôle mental. Il s'agissait en l'occurrence d'habituer l'humain à certaines conditions, circonstances ou interactions avec des êtres/entités qui en définitive, ne leur apparaissent que sous la forme de mémoires-écrans sous forme d'aliens et autres figures attachées, et ce pour leur laisser croire qu'au final, aucun mal ne leur sera fait en cas de vrai enlèvement (abduction) !

 

Des races extraterrestres

La liste ci-dessous est la première publication d’informations du contacté ufologue Alex Collier, qui décrit une liste des races d’extraterrestres, de leurs types de corps et des systèmes solaires qu'ils habitent.

 

Races
d’extraterrestres
Types de corps
d’êtres vivants
Systèmes stellaires habités
Alderbaran Humain / Reptilien Petit groupe de systèmes solaires qui orbitent autour de l’étoile Alderbaran.
Andromède Humain De nombreux systèmes stellaires qui gravitent autour des soleils centraux d’Almach et de Mirach.
Antarians Humain Les systèmes solaires se trouvent dans un système d’étoiles binaires qui tourne autour de l’étoile.
Arcturiens Humain / Reptilien Des systèmes stellaires plus petits autour de Bootes.
Canes Venatici Reptilien (bienveillant) Système Triple Sun ; pas de nom.
Capelliens Reptilien (Neutre maintenant) Des systèmes solaires à trois étoiles retenus par la gravité de l’étoile centrale Capella.
Cassiopéens Insecte / Aquatique Caph, Ruchbah, étoiles plus petites ; 19 systèmes solaires.
Ciakar Reptilien Alpha Draconis petite étoile système solaire Thuban-(Anwar) Giansar, Grumium, Eltanin.
Cygnus Alpha Humain / Aquatique / Oiseau Systèmes solaires à petites étoiles qui orbitent autour des soleils centraux : Deneb, Sadr, Gienah, Albireo.
Hyades Humain Système solaire à étoiles binaires près d’Alderbaran.
Mintakains Humain / Aquatique Orion – petites étoiles autour du Soleil central.
Mizarians Humain Grands systèmes solaires stellaires situés entre Alcor et Mizor.
Nibiruan (Annunaki) Humain / Reptilien Bootes (Tarshem).
Orion Humain / Reptilien Petits systèmes d’étoiles qui orbitent autour d’Alnilam ; étoiles nommées : Syclopesus, Rigel, Betelgeuse.
Pictorians Animal / Humain / Yéti (Sasquatch) Système d’étoiles doubles près de l’étoile de Kapteyn.
Pléadiens Humain Systèmes solaires à petites étoiles qui orbitent autour de Taygeta, Maia, Merope, Pleione, Alcyone.
Procyons Humain Systèmes solaires à étoile unique et binaire – riches en dépôts de minéraux.
Réticulans (Zeta) Reptilien / Plante Des systèmes solaires de petites étoiles qui orbitent entre les étoiles Achernar et Canopus.
Sagittaria Humain / Félin De très grands systèmes stellaires entre Nunki, Ascella, Media et Kaus Australis.
Siriens Humain / Reptilien / Aquatique Muliphen, Murzim (petite étoile sœur) se situe entre Wezen et Aludra.
Tau Cetians Humain Système solaire stellaire qui orbite entre Menkar et Mira.
Vega / Lyrans Humain Petits systèmes stellaires qui orbitent autour de Sulafat, Albireo.

 

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Qui se trouve dans les OVNI ?

De nombreux extraterrestres ont visité la Terre tout au long de l’histoire, leurs vaisseaux ayant été vus ou récupérés lors d’accidents par des humains. Tout est cependant différent aujourd’hui en raison du changement imminent qu'est le basculement de la race humaine dans une nouvelle dimension d'appartenance, la cinquième dimension ou 5-D (phénomène dit de l'ascension, autrement décrit par l’enlèvement biblique).

Toutes les observations légitimes de vaisseaux inconnus, de flottes d’orbes, de vaisseaux-mères, de crop circles, de phénomènes lumineux étranges dans nos cieux sont destinés à nous permettre de nous réveiller par nous-mêmes.

Les races primaires extraterrestres, les "Elohim", vont dans un ordre le plus élevé au plus bas, où ils s’incarnent en tant qu’humains. Ce sont les Pléiadiens, les Arcturiens, les Siriens, les Andromèdes et autres.

Lorsque le basculement se produira, tous les vaisseaux s’ouvriront et d’autres arriveront par les portails.

 

Aussi dire que parce que "Nous sommes tous Un" tout va bien, constitue une erreur fondamentale dans l'ordonnancement hyper-dimensionnel de l'univers, étagé d'une manière bien plus subtile que la division terrestre/céleste simpliste. Partant de notre observation réaliste de ce que nous connaissons ici-bas, nous ne pouvons écarter la possibilité qu'à l'étage supérieur, dans une autre dimension de densité basée sur une fréquence non perceptible par nos sens physiques, des entités aliens manipulent depuis "le début des temps" l’humanité par le biais des systèmes de croyances, tout particulièrement spirituelles (religions, sociétés secrètes, New Age), et de la génétique, tout en se nourrissant d’elle énergétiquement, émotionnellement ainsi que physiquement. C'est en tout cas le témoignage des récits anciens, qui font allusion à la réalité du contrôle hyperdimensionnel et des formes de vie aliens, comme celui des peintures rupestres, des écritures saintes, des écrits des gnostiques et des soufis, des Indiens d’Amérique, etc… Ils établissent bel et bien qu'une intelligence supérieure à caractère entropique, dotée d’une technologie qui dépasse notre compréhension actuelle, lui permet de manière efficace et subtile une prise de pouvoir dont l'objectif est la conscience, pour s'en nourrir. Elle amène l'être humain, illusionné de son propre libre arbitre en se croyant "libre", à s'offrir à elle.

Comme nous sommes désormais entrés dans un nouveau cycle de transformation de la conscience humaine*, le système ne peut que renforcer par la tromperie la vérité à l'être humain de Qui Il Est. C'est toute la raison d'être du transhumanisme que d'accélérer son conditionnement par des modèles de comportement fortement influencés et sa robotisation par sa dépendance au fonctionnement technologique - informatique, numérique - et à ses gadgets électroniques. Cependant, à mesure que la fréquence sur la planète augmente, une nouvelle réalité émerge, qui peut ainsi conduire les êtres humains éveillés à sortir de leur hypnose profonde, celle de penser qu'ils sont au sommet de la Création et de la chaîne alimentaire, et à s'extirper du système artificiel de la Matrice involutive pour prendre le chemin de leur ascension vers une nouvelle réalité d'appartenance*².

* Cf. Fin de cycle (1) Fin du temps ou fin des temps ?

Cf. Fin de cycle (2) La guidance éclairée de sa vie.

 

Que veut dire pour l'être humain la conscience de la réalité extraterrestre ?

Le phénomène extraterrestre est un phénomène mondial, mais qui n’a pas encore atteint en l'état la conscience mondiale pour être accepté et assimilé. Le phénomène est connu par des individus, et qui, parce qu'ils ont eu l’expérience du phénomène, sont sujets à l’ "abrutissement" psychologique créé par le phénomène. C'est un abrutissement psychologique, parce que tout phénomène avec les mondes parallèles induit l’être humain dans une vibration dont il ne connaît pas l’intelligence, et cette vibration, autrement dit cette énergie phénoménalisée sur un autre niveau de fréquence, permet à l’être humain de connaître un aspect, soit précis, soit simplement aveuglant du phénomène extraterrestre, sans pouvoir lui-même, sur sa propre autorité de conscience, échanger avec l’intelligence en manifestation d’une façon égalitaire. L’être humain en l'état de son évolution ne peut pas échanger avec le phénomène extraterrestre, seulement le subir, tout simplement parce qu’il n’est pas dépouillé de ses émotions qui le conduisent soit à la fascination, soit à la peur.

C'est pourquoi, lorsque nous recevons ou croyons recevoir un message venu des "étoiles", il convient d'être prudent. Car comment comprendre une langue inconnue sans traducteur et sans l'équivalent de la pierre de Rosette qui a permis à Champollion de déchiffrer les hiéroglyphes égyptiens ? Certes nous pouvons utiliser le langage que toute créature peut comprendre, celui de la nature, comme l'organisation des atomes ou de l'ADN, ou encore les mathématiques qui servent à exprimer les grandes lois de l'univers. Il constitue une sorte de "grammaire universelle", dont l'origine est forcément biologique, et qui sert de "colonne vertébrale" à toutes les langues par la capacité du cerveau à distinguer mots, groupes de mots et phrases. Ainsi la plus grande difficulté pour communiquer avec l'intelligence extra-terrestre ne serait pas due à sa grammaire, mais à la compréhension de son système d'externalisation. C'est cette structure de pensée qui sous-tend sa langue qui serait accessible à notre compréhension. Mais la "grammaire universelle" ne repose-t-elle pas sur le langage, invention humaine pour résoudre un problème humain, inventé par les humains, pour les humains ?

En fait, le risque majeur pour la civilisation humaine est que, pour obtenir de nouvelles technologies de nos "correspondants", nous leur offrions comme monnaie d'échange l'accès à l'ADN, notre spécificité biologique. Et cela ne serait pas sans poser des problèmes éthiques, il va sans dire...

 

Des contactés

Les extraterrestres sont des entités extra-dimensionnelles placées sous la vibration de la Planète Pluton, dont la résonance leur permet de pénétrer notre système solaire faisant partie du champ de l'Astral, placé sous la gouvernance des Forces involutives nécessaires à la structuration et au fonctionnement du Vivant. Lorsque l’être humain entre en contact avec ces entités, où qu'il se trouve, il est de ce fait au contact de la " Loi du mensonge cosmique ", faisant partie des Lois Cosmiques qui sous-tendent son expérience matérielle. Si l'être humain ne comprend pas les caractéristiques et spécificités du phénomène qu'il nomme OVNI, alors il est magnétisé, hypnotisé*, et automatiquement programmé, voire parfois automatiquement enlevé. Même s'ils se trouvent des entités positives à son égard, nombre n’agissent pas bien. C'est pourquoi il ne doit jamais croire un extraterrestre. C’est le plus grand danger de l'être humain !

Pour l'éviter, il doit avoir la capacité, en réorganisant son mental et en étant dégagé de ses émotions (état de neutralité), d’être en relation harmonieuse avec son propre esprit interne, sa propre Intelligence supra-mentale, et ce où qu'il se trouve, avec qui il se trouve. Ainsi évitera-t-il par cette autonomie souveraine d'être soumis aux différents modes d’opération qui permettent à ces entités d’entrer en contact à volonté avec l’Humanité, de transformer par leur influence certains individus en leur enlevant leur individualité comme leur capacité à penser, et de créer des chocs vibratoires suffisamment puissants pour créer à grande échelle des égrégores émotionnels sources d'illusions, telles les (fausses) religions… Il ne sera plus forcé de vivre sous le joug de leur esprit et de leurs suggestions délétères par projection astrale, le conduisant à devenir automatiquement un adepte des forces noires, ce qui est le cas des contactés qui reçoivent de l’information d’eux et qui la diffusent… Parce que leur esprit est le tremplin, il est l’écran sujet aux lois mécaniques de la pensée et de l’émotion mécaniques sur lequel s’imprime cette information avant que de la transmettre, sans avoir conscience qu'il est sujet à des erreurs psychologiques de par l'opacité de son ego-mental non épuré. Il en découle tout naturellement que le danger concernant les OVNIS et les informations dictées par les OVNIS aux humains est immense ! La Vérité ne peut venir que de lui-même, l’être humain relié à sa Supra-conscience ayant en lui la puissance, le pouvoir.

* Ceci explique que l’hypnose est très dangereuse, l'individu ne sachant pas si le thérapeute hypnotiseur ne constitue pas un canal relais d'entités extraterrestres. C'est pourquoi il y a danger à soumettre son esprit à l’esprit d’un autre !

 

Si faute de preuves déterminantes, irréfutables, il convient de se garder de conclure quoi que ce soit, la seule certitude que nous ayons est que l’essentiel de la geste ovnienne est déjà présent des siècles avant l’ère Roswell. Comme ce sujet vient heurter profondément les paradigmes scientifiques dominants tout comme une certaine théologie d’une science finie ou assise sur des bases immuables, nous restons avec nos interrogations. Mais parce que le phénomène reste pour le moment rétif à toute explication globalisante, il est la preuve que les réponses à ce mystère sont multiples, et c’est aussi ce qui rend ce sujet si intéressant en cette période positiviste et matérialiste.

Aussi la seule question qui vaille au final est de répondre à la question : à quel point aimons-nous la vérité ? Si nous l'aimons car elle porte en elle les germes de notre liberté, il nous appartient alors de reconstruire notre compréhension du Vivant, de Ce Qui Est, par une nouvelle connaissance, une nouvelle lumière, et de nous conformer à une réalité qui ne correspond pas à nos croyances actuelles, même si la chercher et la découvrir fait inévitablement mal, révélant des aspects de nous-même, de la société humaine ou de l’univers qui sont choquants, complexes et dérangeants. Nous devons perdre notre habitude d’idéaliser selon nos propres désirs, en l'occurrence de nier complètement la réalité extra-terrestre par incrédulité conditionnée, ou de céder à la peur. Cela signifie qu’il nous faut grandir et mûrir spirituellement*, devenir capable de regarder le monde tel qu’il EST, l’obscurité comme la lumière, sans préférence, et comprendre ce que l’obscurité et la lumière signifient vraiment. Il nous faut passer de la subjectivité à l’objectivité, ré-examiner nos croyances et les connaissances "spirituelles" que nous avons acquises au fil des ans et que, parfois, nous répétons sans nous poser de question. La bonne nouvelle, c'est que la souris peut choisir d’être plus consciente de son prédateur, le chat ou l'aigle, et, ce faisant, elle peut s’en protéger. De cette manière, la souris apprend et évolue en conséquence. Et lorsque l’élève est prêt, le vrai maître apparaît, et le faux disparaît. 

* Cf. Prédation spirituelle et voie de sortie.

 

En conséquence du phénomène de l’Onde du changement en cours depuis des décennies sur notre planète et de son impact sur la conscience, ceux parmi les humains qui se sont assidûment préparés seront bientôt capables de commencer à explorer les mondes au-delà de la mort et au-delà de l’astral, la barrière avec les mondes éthériques de lumière supérieurs. Ils sont de ce fait pourvus d’un nouveau vaisseau corporel comme non corporel, autrement dit d’un nouveau corps, qui faute de connaissances était nommé jusqu'alors "OVNI" !

C'est avec ce corps ou ce vaisseau intergalactique moins matériel et moins dense que les objets propres à la troisième densité (la 3-D), sorte de double atomique du corps mais plus éthéré, modelé par des neutrinos de l’âme-Esprit et pourvu d’une conscience supérieure - la "conscience christique évolutive" - que les humains pourront s'accomplir en tant qu’individus de la sixième race humaine civilisationnelle. L’"Homme nouveau" pourra ainsi choisir d’explorer les mondes de façon consciente, non seulement avec un corps semi-physique, mais avec son nouveau vaisseau de plasma semi-matériel créé directement par l’Esprit, adapté à explorer les civilisations, les planètes ou les nouveaux univers dans d’autres espaces-temps. Et pour cause, car ils seront débarrassés de la reprogrammation génétique matricielle terrienne durant le processus de réincarnation qui voyait "l’humain d’avant" avoir toutes ses mémoires effacées au moment de son arrivée terrestre, son corps lui servant de simple réservoir génétique sans réelle conscience supérieure.

 

L'origine non révélée de l’être humain

Compte-tenu des croyances sous l'effet des conditionnements distillés, d'aucuns pensent que l’être humain vient du singe compte-tenu de sa forme simienne. Or l’être humain n’a jamais été animal ! A ses origines cosmiques, l’être humain était dans un état de condensation extrêmement légère comparé avec celui constaté aujourd’hui. Il possédait un corps éthérique extrêmement instable, le corps astral n’ayant pas encore été développé, le corps mental encore moins. C'est ainsi que les premières manifestations de l’être humain sur la Terre l’ont été sur le Plan éthérique, les manifestations ultérieures l’ayant été sur le Plan astral. La forme humaine s'est ainsi peu à peu densifiée, devenant matérielle durant la période lémurienne, la troisième race humaine.

Ces formes humaines qui se retrouvent à l'instar de l’anthropologie classique suivaient leur propre évolution. Avec le temps, le corps éthérique de l’être humain s’est densifié, avant que de développer le corps astral puis le corps mental inférieur. Devenant plus grande avec le temps, elle est entrée dans une de ces enveloppes matérielles que l’on appelait l’homme primitif - à l'image du yéti, l’homme des neiges -, et qui, sous l'effet de changements vibratoires dans le corps physique, a donné naissance à un être de base qui a évolué jusqu’au stade du Neandertal, puis du Cro-Magnon. Ses maîtres généticiens extra-dimensionnels* lui ont infusé dans le Mental une vibration qui a permis le développement de l’intellect. Quant à ses couleurs de peau - noire, blanche, jaune, rouge -, elles sont venues de différentes Planètes.

Cette évolution, impulsée par les lignées planificatrices de l'Univers, nommées Forces de Lumière, a pour objectif final de lui permettre de devenir conscient de lui-même. Mais tant qu'il n'a pas conscience de lui-même, il n’est pas humain, incapable de se servir lui-même de la matière. C'est pourquoi le processus de son évolution est gradué. Pour être capable de se servir lui-même de la matière, il commence par développer son intelligence. A ce moment-là, il lui est permis de renforcer les liens de sa genèse avec d’autres prototypes génétiques en provenance de la Galaxie solaire. Il y a de ce fait une rencontre, une transmutation, qui, par ce phénomène de ramification, produit des races plus évoluées que les prototypes humains initiaux, comme les australopithèques africains. Et ce sont ces liens se développant entre un type humanoïde et d’autres types nourriciers issus de civilisations supérieures qui expliquent qu'à un certain point, il n’y a plus de connexion… C'est ce que l’on appelle un missing link, le chaînon manquant ! La transmutation énergétique est en effet tellement puissante que les liens génétiques sont brisés, permettant la mise en oeuvre d'une nouvelle organisation génétique. L’être racial qui vient après dévie légèrement de celui qui venait avant, mais suffisamment pour qu’il n’y ait plus de rappel historique. Ceci explique pourquoi les scientifiques - les scientistes en fait - n’ont jamais pu découvrir le chaînon manquant, dans la mesure où ils ne comprennent pas sur un plan occulte les Lois de l’évolution humaine telles que perçues par l’être humain en contact avec l'Esprit universel par sa supra-conscience.

Cf. Le Judaïsme décodé.

 

Cette nouvelle faculté de voyager dans le temps qui sera possible pour les êtres humains ayant réussi leur transmutation découle de leur capacité à s'affranchir des fréquences de la peur et de l’illusion du temps induites chez l’Homme par son cerveau reptilien*, les libérant de l'influence des fréquences astralisées. Grâce au développement de son intelligence par la Connaissance et par là-même de sa conscience supérieure, l’Homme de la sixième race sera en mesure de se reconnecter peu à peu à l’Esprit créateur, rehaussant de ce fait les fréquences des mondes astralisés. Il sera alors amené à dépasser l’attachement, la culpabilité, la peur de la mort voire la mort elle-même, qui ne sont que des programmes matriciels provenant des mondes astralisés. Il ne sera plus obligé de subir le processus de réincarnation, redevenant cet être immortel en mesure de voyager entre les différentes dimensions de réalité qui constituent notamment les mondes densifiés de 3e densité. C'est de cette manière que les survivants de l’Atlantide étaient parvenus à changer de dimension puis de densité terrestre, pour parvenir à un nouveau lieu de vécu calé sur une bande de fréquence plus "neutre" à même d'engendrer un futur plus propice à leur évolution.

* Décryptage de l'Ego.

 

Nous assistons bel et bien à la fin d'un cycle civisationnel de l’humain terrestre. Contrairement aux croyances qui lui ont été inculquées par les élites institutionnelles gouvernantes, manipulatrices et menteuses, l’Homme n’aura jamais à affronter une extraordinaire quelconque civilisation extraterrestre. Il ne sera confronté qu’à lui-même et à ses alter du passé ou du futur ! Cette vérité qui a toujours été cachée par l’État profond derrière la pseudo-divulgation OVNI vise simplement à préserver les intérêts de son complexe militaro-industriel pour assurer depuis des millénaires sa domination sur les ressources énergétiques de la planète et de son garde-manger privilégié, la conscience humaine !

 

 

"Si vous demeurez dans ma parole, vous êtes vraiment mes disciples, vous connaîtrez la vérité, et la vérité vous rendra libres."

Jean 8.31-36

 

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