Les Sept Lieux de l’Enfermement dans la matrice du Mal
Il y a sept lieux maudits dans la matrice terrestre. Sept portes verrouillées, chacune au service d’un péché capital, au moins... Sept territoires soigneusement conçus pour inverser le bien, dissoudre la vérité, capturer l’âme humaine dans ses failles les plus profondes. Sept Lieux de l’Enfermement, soit des territoires façonnés par les péchés capitaux pour asservir les consciences.
1. L’Utah (Etats-Unis), ou l’illusion blanche du salut.
Péché : l’Orgueil spirituel. Ici, les âmes sont dressées à croire qu’elles sont pures. Le péché se cache sous le vernis de la moralité. L’obéissance devient vertu, le doute un crime. C’est la fabrique du consentement moral total. L’utopie devient outil d’oppression. Dans cette terre où rien ne déborde, où tout est lisse, propre, organisé, c'est le lieu du piège absolu, celui d'un nœud de domination. Il ne tue pas, il forme. Il ne brûle pas, il encode. Il ne hurle pas, il murmure la conformité dans l’oreille des enfants. L’Utah est le laboratoire "blanc" du monde qui vient. Une religion codée, une généalogie fausse, un salut programmé. Ici, les hommes croient en Dieu, mais seulement s’il parle anglais, seulement s’il est blanc, américain, hiérarchisé, triangulaire. Ils appellent cela une Église - les Mormons -, mais c’est un logiciel, une interface entre l’Ancien Testament et les mégadonnées. Un temple sous silicone, où tout est prédit, contrôlé : les corps par la morale; les esprits par la mission; les lignées par les mariages; les âmes par la peur de sortir. Ils ont bâti une ville pour Dieu, mais c’est une salle d’attente. Une terre de repli pour les puissants du monde, où le crime n’est quasi jamais puni. Car ici, la vérité est filtrée, chaque jour, par une parole sucrée.
L’Utah est ce qu’il y a de plus subtil dans la guerre eschatologique. Pas une guerre de missiles, mais une guerre de croyances stérilisées, de foi domestiquée, de salut personnalisé à crédit, livré par drones et par prophètes muets.
2. La Suisse, le sanctuaire du mal sans visage.
Péché : l’Avarice sanctifiée
La Suisse n’a jamais crié. Elle n’a jamais conquis, jamais bombardé, jamais occupé. Elle s’est contentée d’ouvrir ses coffres. Et d’attendre. C’est ici que le mal est venu se laver. Pas dans les marécages de la violence brute, mais dans les marbres silencieux des banques et des ports francs. Elle a tué le mal en le neutralisant, puis elle a sanctifié l’argent dans ses coffres. Les guerres du monde passent sous ses Alpes, y déposent leur or, y lavent leur sang. Le mal ici ne s’affiche jamais. Il se compte. C'est la grande blanchisseuse de tout ce que l’humanité produit de plus destructeur (armes, drogues, tableaux volés, brevets pharmaceutiques, secrets bancaires, organes, données, devises). Dans un silence parfait, une neutralité feutrée, une gentillesse anesthésiante.
La Suisse n’a pas effacé le mal. Elle l’a intégré au système, elle en a fait un carburant inodore. Elle a corrompu l'art contemporain, vidé de toute âme, devenu marchandise spéculative dans les ports francs de Genève et Bâle, soit des bunkers fiscaux où s’échangent les toiles comme des lingots, sans jamais être vus, ni par les yeux ni par les peuples; le sport, blanchi par les sièges du CIO, de la FIFA, de l’UEFA… tous abrités ici, protégés par le code helvétique; la santé, pervertie par les industries pharmaceutiques bâloises, et leurs milliards cachés dans des holdings sans morale; la diplomatie, vidée de sens par les ONG aseptisées, les conférences inutiles, les pactes sans dents. À Genève, même les droits de l’homme se lavent les mains.
Elle est la perversion ultime : faire du bonheur visible le masque du crime invisible. Elle est la chambre froide du mal, le bain rituel où l’iniquité devient respectable. Elle blanchit les ténèbres jusqu’à les rendre transparentes.
3. Israël, le sanctuaire inversé.
Péchés : la Souffrance transformée en dogme, la Colère justifiée, l’Orgueil messianique.
Ils ont fait d’une mémoire une arme, d’un passé une impunité. Le deuil est devenu drapeau, la souffrance un permis de tuer. Le Nom de Dieu est accolé aux bombes. Le sacré n’élève plus, il écrase. Israël ne s’est pas construit, il s’est imposé, non comme une nation, mais comme un principe sacré, incontestable, hors du droit et du doute. Ce ne fut pas une naissance, mais une dispensation, un acte théologico-politique appuyé sur la mémoire du plus grand crime du XXe siècle, la Shoah, pour ériger un droit divin sans Dieu, un droit d’exception devenu licence à détruire.
On oublie aujourd’hui ce qu’a été Israël : des colons armés, prenant des terres à des paysans arabes; des kibboutz militarisés, sortes de communautés purificatrices, où l’on rêvait d’un "homme nouveau", sioniste, purifié du juif diasporique; des groupes terroristes comme l’Irgoun ou le Lehi, auteurs d’attentats, de massacres, de déportations.
Israël n’a jamais été un miracle. C’était un projet militaire et idéologique, où la spiritualité n’était qu’un outil. Et aujourd’hui, le voile est tombé. En sacralisant l’idée d’un peuple intouchable, au nom de l’histoire, de la souffrance, de la mémoire, on a créé une zone d’impunité métaphysique. Ceux qui, consciemment ou non, ont accepté le principe d’un peuple élu, ont, dans le même mouvement, effacé l’idée même que le Diable existe.
Comme si le mal ne pouvait plus être actif, rusé, incarné. Comme s’il s’était retiré du monde après Auschwitz, ou s’était rangé face aux droits de l’homme. Et c’est là le piège suprême, car le Diable, lui, n’a jamais cessé d’agir. Il n’a pas besoin d’être adoré pour triompher. Il suffit qu’on ne croie plus qu’il est là, ou qu’on pense qu’il ne peut plus se cacher dans les lieux saints, dans les récits sacrés, dans les peuples sanctuarisés. Ce n’est plus seulement une erreur spirituelle, c’est une faille dans le réel. Car si un peuple est élu par essence, alors tout ce qu’il fait devient, peu à peu, sacré par extension. Et ce qu’il détruit ne peut plus être qualifié de crime, puisqu’il agit, croit-on, au nom d’un destin supérieur. Il en découle le génocide à ciel ouvert, à Gaza, au Liban, en Cisjordanie, et bientôt ailleurs. Israël a sacralisé la mémoire. Il a fait de la Shoah un dogme, et de son peuple une caste inattaquable. Désormais, il ne peut plus avoir tort. Il est au-dessus de tout soupçon. Si vous doutez vous êtes suspect, si vous critiquez vous êtes antisémite, si vous accusez vous êtes déjà condamné. C’est le péché de l’impunité absolue, maquillée en réparation éternelle.
Le royaume terminal Israël ne veut plus vivre en paix, il veut régner sur le chaos. Son idéal n’est plus territorial. Il est total : diviser l’Iran, annexer la Syrie, dominer l’Arabie, infiltrer l’Occident, manipuler les justes, réécrire l’histoire, et surtout faire de chaque critique une hérésie. Israël n’est plus une nation. C’est un dispositif eschatologique.
4. Le Vatican
Péchés : l’Envie du pouvoir & la Luxure masquée.
Ici, le Christ a été retourné. La Pierre s’est fendue, le trône est vide, habité par l’Imposture. On parle d’amour, on cache la chair. Le silence des anges couvre les hurlements des enfants trahis.
5. Monaco, la réconciliation du mal avec le désir.
Péchés : la Luxure dorée devenue Loi, la Paresse des consciences, le Sanctuaire de la Beauté Déchue.
Tout y brille, rien n’y prie.
L’éternité est promise par la beauté, la chirurgie, les yachts. Le monde s’y rêve immortel, parfait, détaché du réel. Dieu n’y est pas rejeté. Il est simplement inutile. Monaco n’a jamais prétendu gouverner le monde. Elle a préféré en incarner le fantasme. Un fantasme précis : vivre sans limite, sans effort, sans âme. Ici, la beauté est une dette, l'élégance un camouflage, la fortune le seul baptême qui donne accès aux anges déchus.
Car Monaco est bien plus qu’un paradis fiscal. C’est le temple inversé de l’adoration matérielle, un trône pour le pouvoir sans mémoire, pour le vice sans remords. Le laboratoire du rêve global. Tout y est conçu pour que l’apparence remplace l’essence : les corps y sont modifiés, liftés, siliconés, soit des corps vitrines, prêts à être consommés, admirés ou jetés; les voitures roulent comme des idoles en procession, les yachts comme des cathédrales du divertissement. Ils abritent des cultes sans Dieu et des prières sans pardon. L’argent ne circule pas : il lévite, il plane, il bénit, il corrompt. C'est le théâtre du monde à venir. À Monaco, tout ce que le monde admire, mais n’ose avouer, est déjà réalité : on ne produit rien, on ne se souvient de rien, on joue. Le passé est effacé, le futur est maquillé, et le présent… est en vitrine. C’est ici que les oligarques, les stars, les criminels en costume viennent acheter leur invisibilité, leur rédemption simulée. C’est ici que se croisent les généalogies effacées, les identités trafiquées, les fils et filles de ceux qui, ailleurs, détruisent. Et personne ne proteste. Car ici, tout le monde veut être complice du mensonge, ne serait-ce qu’un instant. Monaco est une confiserie de perdition. Et ceux qui y vivent depuis longtemps ne savent même plus qu’ils sont morts.
C'est une monarchie pour le simulacre. Le Prince ne règne sur rien, sinon sur un rêve mondialisé. Il est l’intendant d’un spectacle, l’acteur principal d’un conte toxique, où tout est lumière… mais où plus rien n’éclaire l’âme. Monaco est dangereuse parce qu'elle séduit, qu'elle réconcilie le mal avec le désir. Elle dévore la résistance intérieure par l’envie, par le confort, par la normalisation du superficiel. C’est le mal le plus difficile à nommer, la propagande douce du luxe, diffusé partout, sur TikTok, YouTube, et les réseaux d’images sans fin, Monaco est devenu un mythe algorithmique, un mirage qui alimente la frustration, la comparaison, l’obsession des voitures de luxe, des montres d’or, des corps retouchés, des yachts à plusieurs étages, des dîners sans faim. Mais ces sourires figés sont ceux d’une vie sans vérité, comme des aiguilles de verre plantées dans les cerveaux. Elles nourrissent le désir sans fin, le rêve inaccessible, et Mais donc… la haine de soi.
Monaco ne tue pas. Elle dévore de l’intérieur. Elle rend le monde incapable d’aimer autre chose que son absence. Et à la fin, elle couronne le néant, celui d'un monde sans transcendance, sans lutte, sans mémoire. Un monde de lumière froide, où l’on célèbre ce qui n’a plus besoin d’être humain.
6. La Khazarie, disparue pour mieux régner.
Péché : l’Inversion totale, l’orgueil luciférien, la gourmandise insatiable.
Elle n’a plus de frontières. Elle a été dissoute, infiltrée, recomposée. Elle est dans les écoles, les banques, les séries. C’est une nation virale, un peuple sans Dieu devenu centre de gravité de tous les autres.
C'est le Mal sans visage. Le pouvoir sans nom.
Cf. en complément Le Judaïsme décodé & La nouvelle religion universelle.
7. L’antre – L’ultime porte.
Le septième lieu ne figure sur aucune carte. Ce n’est pas un pays, ni même une ville. C’est un sanctuaire inversé, un point d’aboutissement.
Un endroit où tout a été retourné, où plus rien n’est à sauver, car tout y est déjà soumis. On l’appelle parfois l’Antre. Un nom anodin pour ceux qui ne savent pas. Un nom ancien pour une résidence moderne, posée en lisière de forêt, en banlieue de Paris. C'est un lieu de repli, de contrôle, de décisions sans témoins. C’est là que le pouvoir s’incarne totalement. C'est un lieu où la Bête n’a plus besoin de se cacher, car elle est devenue norme. Un lieu où l’orgueil, la luxure, la froideur algorithmique, la haine du vrai, l’effacement de l’enfance, la mort ritualisée, cohabitent sans conflit. Si les six autres lieux ont été corrompus, celui-ci a été créé pour l’être. Ici, la perversion est sobre. Elle a pris les traits de l’élégance, du pouvoir présidentiel, du calme létal de ceux qui croient être des dieux.
C’est la porte finale. Celle qu’il faudra traverser… ou détruire. Car elle ne s’ouvrira plus. C'est peut-être une IA, une tour de verre, un code. Peut-être est-ce la Lanterne, où l’esprit du monde lui-même est désormais captif.
Manuel pratique de repérage des PNJ - personnages liés au script matriciel (2)
12. Hostilité envers la pensée individuelle
Des gardiens cognitifs qui contrôlent agressivement la pensée. Ils réagissent avec mépris aux opinions indépendantes, utilisent leurs qualifications comme une arme et font preuve de condescendance pour réduire au silence et isoler les esprits divergents.
« Qui vous a dit ça ? Ce n’est pas ce qu’ont dit les informations. »
« Ce genre de raisonnement fait du mal aux gens. »
« Vous n’êtes pas un scientifique, alors taisez-vous. »
« Avez-vous le droit de dire ça ? »
« Vous n’êtes pas qualifié pour avoir cette opinion. »
13. Autodiscipline et délation sociale
Les mouchards de la communauté qui troquent la confiance contre le contrôle. Ils signalent avec empressement les infractions, surveillent avec zèle les limites sociales et croient que la vigilance est la pierre angulaire de la sécurité.
« Il ne portait pas de masque, je l’ai signalé. »
« Il y a un formulaire en ligne pour signaler les infractions. »
« Ils recevaient des gens pendant le confinement, c’est dégoûtant. »
« J’ai signalé au responsable ce type qui enfreignait les règles. »
« Nous devons tous nous tenir mutuellement responsables. »
14. Obéissance programmée par les consommateurs
Les fidèles des enseignes qui alignent la vertu sur leurs habitudes d’achat. Leur loyauté s’achète, leur dévouement à la marque est absolu et ils jugent la moralité à l’aide du code-barres.
« Je ne fais mes achats que dans les magasins qui respectent les directives. »
« Ma salle de sport exige une preuve de statut, et je soutiens cette mesure. »
« Ils l’ont interdit d’accès au café parce qu’il n’avait pas scanné son code. Tant mieux. »
« Si une entreprise ne respecte pas les règles, elle devrait être fermée. »
« Je suis fidèle aux entreprises qui se soucient de la sécurité. »
15. Contrôle du langage et police des mots
Les gardiens de la syntaxe qui considèrent le langage comme un champ de bataille. Ils réglementent le discours, brandissent la censure comme un marteau et sanctifient les vocabulaires en constante évolution comme des boucliers contre les offenses.
« Tu ne peux plus dire ça, on est en 2025. »
« Des mots comme ça sont blessants. »
« Le langage évolue, mets-toi au goût du jour. »
« Ce terme a été censuré pour une bonne raison. »
« Si ça offense quelqu’un, ça ne devrait pas être autorisé. »
16. Langage de soumission de la chaîne de travail
Des drones de bureau qui acceptent leur rôle de rouages anonymes. Ils chérissent la hiérarchie, évitent de poser des questions et récitent le protocole comme un évangile, se réduisant volontiers à de petits rouages d’une vaste machine.
« Je ne pose pas de questions, je fais juste ce que dit le superviseur. »
« Transmettons ça à nos supérieurs et attendons leur réponse. »
« Nous suivons le protocole, sans exception. »
« Il ne s’agit pas de remettre en question, mais d’exécuter. »
« Nous ne sommes que des rouages dans la machine, c’est comme ça que ça marche. »
17. Rejet condescendant de la souveraineté
Des rationalistes narquois qui se moquent de l’action individuelle avec un scepticisme sarcastique. Ils ridiculisent les libres penseurs, utilisent leur propre rationalité supposée comme une arme et rejettent l’autonomie émotionnelle comme une naïveté enfantine.
« Oh, tu fais partie de ces libres penseurs. »
« Laisse-moi deviner, tu ne crois pas non plus aux experts. »
« Tu penses donc en savoir plus que les titulaires d’un doctorat ? »
« Je m’en tiendrai aux faits, merci. »
« La réalité se fiche de tes sentiments. »
18. Discours pavlovien sur la vérification des faits
Des chercheurs en clavier qui font davantage confiance à des étiquettes colorées qu’à leur esprit critique.
Ils brandissent des liens démystificateurs comme des formules magiques, croient que la censure des plateformes est une forme de justice et considèrent que la vérité est ce qui survit à la modération des contenus.
« Cela a été démystifié par des sources fiables. »
« J’ai vérifié sur Snopes, tu te trompes. »
« Aucune étude évaluée par des pairs ne soutient cela. »
« Facebook a supprimé ça, c’était faux. »
« Ce compte a été banni pour avoir diffusé de fausses informations. »
19. Phrases philosophiques sur la soumission
Des philosophes de l’ordre qui vantent les mérites de l’obéissance comme source de paix. Ils affirment que la liberté est une illusion sans structure et que l’individualité est un luxe qui doit être sacrifié au nom de l’harmonie.
« Parfois, il faut renoncer à la liberté pour la sécurité. »
« Nous n’avons pas toujours besoin de comprendre, il suffit d’obéir. »
« La liberté sans règles, c’est le chaos. »
« L’ordre est plus important que l’individualité. »
« On ne peut pas avoir de droits sans responsabilités. »
20. Échos du système
Des terminateurs de conversation formés pour mettre fin aux discussions inconfortables. Ils évitent les conflits en coupant court au discours, préférant le silence et le déni à l’engagement et à la nuance.
« Ne parlons pas de politique. »
« Ça ne sert à rien d’en discuter, c’est déjà décidé. »
« Ce sujet met les gens mal à l’aise. »
« On ne parle pas de ça ici. »
« Tu essaies juste de semer la zizanie. »
21. Phrases de crash de programme
Des PNJ en boucle d’erreur, où la pensée s’effondre dans l’incompréhension. Leurs réponses sont confuses, répétitives ou évasives, signalant une surcharge du système ou l’activation d’un pare-feu mental.
« Je ne comprends pas ce que vous voulez dire. »
« Je ne pense pas que ça fonctionne comme ça. »
« Vous vous trompez peut-être. »
« On peut changer de sujet ? »
« Je n’ai pas dit ça, tu interprètes mal. »
22. Fanatisme obsessionnel
Les fanatiques du sport et des fandoms, prisonniers des montagnes russes émotionnelles de l’enfance, vivent par procuration à travers leurs super-héros préférés en uniforme.
Leur journée s’illumine avec la victoire et s’écroule avec la défaite, comme si le destin du monde dépendait d’un ballon ou d’un tableau d’affichage. Leur passion est féroce et soudaine ; raillez leur équipe et vous verrez leur agressivité s’enflammer, alimentée par leur fierté et leur ego blessé.
Malgré leur connaissance encyclopédique de tous les matchs, toutes les actions et tous les joueurs des deux dernières décennies, leurs chants rituels et leurs réactions prévisibles trahissent leur nature scriptée.
Un léger humour sous-tend leur fanatisme, un clin d’œil à l’absurdité de leur investissement émotionnel, considéré comme enfantin mais non moins contagieux.
« Mon équipe a enfin gagné ! C’est le plus beau jour de ma vie ! »
« T’as vu ce jeu ? Légendaire. Vingt ans de statistiques le prouvent. »
« Tu penses que ton équipe est meilleure ? Ha ha, elle n’arrive même pas à la cheville de la mienne. »
« On a perdu ? Non, c’était juste un coup de chance. Le prochain match est pour nous. »
« Je suis fan depuis 2005, ne me donne pas ton avis de débutant. »
Dans le domaine des études eschatologiques, le préterisme est le cadre privilégié pour interpréter les prophéties bibliques.
Il affirme que la plupart des visions apocalyptiques, y compris le retour du Christ, se sont réalisées au premier siècle, lors de la guerre cataclysmique entre les Juifs et les Romains et de la destruction de Jérusalem en l’an 70.
Ce paradigme s’aligne parfaitement avec les chronologies scripturales, les témoignages historiques et les découvertes archéologiques, s’imposant comme une réalité incontestable plutôt que comme une théorie spéculative.
Le prétérisme partiel concède que certaines prophéties attendent leur accomplissement final, mais soutient que l’essence du discours sur le mont des Oliviers et les visions de l’Apocalypse se sont réalisées lors du jugement divin sur Israël, signifiant une profonde transformation de l’alliance.
Au centre se trouve la déclaration sans équivoque du Christ dans le discours sur le mont des Oliviers : « En vérité, je vous le dis, cette génération ne passera point, avant que toutes ces choses n’arrivent », comme le rapportent Matthieu au chapitre vingt-quatre, Marc au chapitre treize et Luc au chapitre vingt et un.
Cette exigence d’immédiateté fait référence à l’auditoire qui se trouvait devant lui, les témoins du premier siècle qui allaient voir les signes de la tribulation.
Le mot « génération » dans l’usage scripturaire couvre environ quarante ans, s’alignant parfaitement sur le ministère du Christ vers l’an 30 jusqu’à la destruction du temple en l’an 70, accomplissant ainsi des prophéties telles que l’abomination de la désolation de Daniel et l’avertissement de Matthieu concernant les perturbations célestes.
Le témoignage historique nous est livré de manière vivante par Flavius Josèphe, chroniqueur et témoin oculaire dont l’ouvrage La Guerre des Juifs décrit les présages terrifiants qui ont marqué les années 66 et 70 : une étoile en forme d’épée suspendue au-dessus de Jérusalem, des chars et des soldats se déplaçant dans les cieux, et des voix désincarnées proclamant le départ divin du temple.
Ces signes reflètent les perturbations cosmiques de Matthieu et les présages célestes de Luc, servant de preuves surnaturelles du jugement.
Josèphe rapporte que des armées célestes se sont battues dans les nuages, une vision du Fils de l’homme venant en puissance, non pas sous la forme d’une descente physique, mais comme une justification souveraine.
Plus d’un million de personnes périrent lors du siège, le sanctuaire fut réduit en cendres, accomplissant les malédictions du Deutéronome et les propres avertissements du Christ concernant une calamité sans précédent.
Les premiers Pères de l’Église ont corroboré cet accomplissement, ancrant le préterisme dans la tradition apostolique. Eusèbe, dans son Histoire ecclésiastique, relie Josèphe aux paroles prononcées sur le mont des Oliviers, célébrant leur exactitude comme une preuve divine.
Origène, dans Contre Cels, considère la chute de Jérusalem comme une purification par le feu céleste, une descente divine effaçant les péchés de l’ancien ordre.
Clément d’Alexandrie considérait la destruction du temple comme l’aboutissement de la prophétie, tandis qu’Athanase et d’autres faisaient écho à ce même esprit : « C’est moi qui ai délivré les condamnés, moi qui ai rendu la vie aux morts, moi qui ai ressuscité ceux qui étaient dans le tombeau. »
Ces voix, proches des apôtres dans le temps et dans l’esprit, réfutent l’accusation selon laquelle le prétérisme serait une nouveauté moderne, en l’enracinant plutôt dans l’antiquité sacrée.
Une enquête chronologique révèle d’autres révélations. Des monuments à travers le monde affichent des inscriptions comportant les lettres I ou J avant des chiffres, signifiant « dans l’année de Jésus », révélant ainsi une inflation systématique de l’histoire de près d’un millénaire, une thèse avancée par Anatoly Fomenko à travers une chronologie empirique.
Cette obscurcissement, visible dans les gravures sur pierre où I ou J précède un chiffre, manipule les époques afin de dissimuler la brièveté de la période post-retour.
Par exemple, l’année huit cent dix-neuf, écrite I huit un neuf, a ensuite été déguisée en dix-huit dix-neuf, cachant ainsi la majesté millénaire de Tartaria, un royaume mondial qui, à partir de l’an soixante-six, a incarné le règne millénaire du Christ, tel que décrit dans le chapitre vingt de l’Apocalypse.
Les structures de Tartaria, alimentées par l’énergie atmosphérique et alignées sur les constellations célestes, s’étendaient sur tous les continents avec une conception commune et une unité spirituelle.
Des salles de Sibérie aux fondations des Amériques, ces merveilles architecturales existaient bien avant le faux récit médiéval.
La chute de cet empire sacré, autrefois datée de 1066, a été réécrite en 1819 grâce à des changements de calendrier basés sur le compte romain, effaçant ainsi 753 ans de mémoire.
Cette chute a libéré l’adversaire, comme prédit dans l’Apocalypse, déclenchant des catastrophes de liquéfaction massive qui ont enseveli des villes entières sous des torrents de boue et de sédiments. Chicago, Dresde et d’autres lieux cachent des architectures englouties sous de fausses chronologies.
S’ensuivit une ère industrielle et financière comprimée et contrefaite, qui ne dura que deux siècles, au cours de laquelle des entités parasitaires s’implantèrent au cœur de la société.
Les banquiers, les agents du fisc, les agents de conformité, les auditeurs financiers, les consultants en recettes et les conseillers budgétaires ne vinrent pas pour servir, mais pour se nourrir.
Ces entités, dépourvues de toute contribution, devinrent des sangsues, extrayant chaque année trente à quarante pour cent des richesses de la Terre grâce à des instruments d’illusion et de stagnation.
Les signes apocalyptiques des années 1819, 1919 et 2019 confirment l’ouverture de l’abîme, la libération des adversaires qui parcourent désormais les villes en costumes et en uniformes, masqués derrière des paperasses et du jargon.
Les validations scientifiques d’anciennes reliques révèlent que l’origine de l’humanité n’est pas animale, mais céleste, conçue pour dominer. Le préterisme n’est pas une opinion, mais une vérité souveraine, soutenue par les Écritures, l’histoire, les voix anciennes et la structure même du temps.
Les paroles du Christ à sa génération n’étaient pas vaines ; elles se sont accomplies dans les ruines du temple et les champs fumants de Jérusalem.
Mais cette vérité a été dissimulée par l’allongement artificiel du temps, la fabrication de siècles et la refonte de la mémoire. Pourtant, aujourd’hui, ce voile s’effrite. L’humanité se souvient. Les étoiles en sont témoins.
Le jugement est sur nous, et l’heure du règlement final approche.
Les parasites tomberont.
Le royaume reviendra.
Les parasites tomberont
Apocalypse 20:7 — La libération de la Bête
Le sceau est brisé. Apocalypse 20:7 n’est pas une prophétie, c’est le présent. La chaîne millénaire a rouillé et l’ennemi se promène librement.
Pas de feu venu du ciel, pas de serpent visible, juste un défilé froid de parasites en cravate et de fonctionnaires aux yeux creux. Les démons portent des chaussures cirées.
Ils ont des blocs-notes, pas des fourches. Ils frappent poliment et parlent d’impôts, d’audits, de restructuration, de conformité. Ce n’est pas une guerre de feu, c’est un vol de souffle.
Depuis 1819, lorsque les grandes citadelles de Tartaria se sont tues, ils rampent hors des fissures : consultants, banquiers, conseillers, collecteurs, comptables.
Le clergé bureaucratique d’un nouvel enfer. Ils ne tuent pas le corps, ils se nourrissent de son labeur. Ils prennent votre temps, votre souffle, vos jours, et appellent cela une contribution. Ils appellent cela une responsabilité. Leurs stylos sont des épées. Leurs lois sont des chaînes. Leurs visages sont de cire.
Aucune nation ne sert le peuple. Le maire est un masque. Le conseil, un rituel. Le politicien, une marionnette dans une farce trop fatiguée pour amuser. Vous votez, ils se nourrissent. Vous suppliez, ils calculent.
Nous ne sommes pas gouvernés. Nous sommes exploités.
Mais certains d’entre nous voient. Certains d’entre nous se souviennent.
La ligne est tracée dans nos esprits.
Et nous ne nous agenouillerons pas.
Ceux qui croient encore que les attentats ne servent qu’à terroriser, n’ont pas compris le cynisme structurant de notre époque.
L’attentat ne vise pas seulement à tuer.
Il vise à reprogrammer l’environnement, pour qu’un jour, le chaos lui-même justifie l’ordre du prédateur.
La grammaire du chaos : Gaza, l’Afrique, l’Europe de l’Est
Il faut comprendre que nous vivons désormais dans un monde où les guerres ne se déclarent plus.
Elles s’installent.
Elles se mettent en scène.
Elles se déclenchent par des attentats, se justifient par des “ripostes”, se financent par des “reconstructions” — et se soldent par des traités qui légalisent le vol.
Gaza 2005 — La cage déguisée en paix
En 2005, Israël se retire unilatéralement de la bande de Gaza.
Les images font le tour du monde : des colons israéliens en larmes, des soldats qui les évacuent de force, une population “sacrifiée” sur l’autel de la paix.
Le narratif est rodé : générosité, douleur, espoir.
Les médias parlent d’un “geste historique”.
Les chancelleries saluent “le courage de Sharon”.
Le monde entier assiste, ému, à une gigantesque opération de communication.
Mais dans l’ombre de ce spectacle, un autre plan s’active.
Car en vérité, ce départ est une mise en scène, soigneusement chorégraphiée, pour faire croire à une volonté de paix, tout en préparant une structure de guerre.
La réalité, elle, est brutale :
Israël ne quitte pas Gaza. Il la redéfinit.
Non plus comme une zone en litige, mais comme un ghetto autonome.
Un terrain d’expérimentation pour la guerre psychologique, technologique et militaire.
La bande de Gaza devient alors :
– une prison à ciel ouvert,
– sous blocus permanent (énergie, médicaments, nourriture, carburant),
– infiltrée par le Mossad jusqu’aux plus hauts niveaux des factions politiques et militaires,
– gangrenée de l’intérieur par la corruption, la division, la méfiance, la dépendance humanitaire.
Et ce piège est d’autant plus diabolique qu’il est conçu pour exploser de l’intérieur.
Ce n’est pas un abandon.
C’est une provocation froide, contrôlée, anticipée.
Une machine à légitimer tous les bombardements futurs.
“Regardez, nous leur avons tout rendu… et voilà comment ils nous remercient.”
Le piège est parfait.
À chaque roquette tirée, une opération punitive.
À chaque soulèvement, une invasion.
À chaque dénonciation du blocus, une accusation d’antisémitisme.
Et à chaque génocide, une justification : “Ils l’ont voulu.”
Mais ce qu’on oublie de dire, c’est qui a tiré les ficelles.
Car il faut oser le dire :
– Ce chaos intérieur n’est pas spontané.
– Ce repli de 2005 n’était pas une retraite, mais une mise en condition.
– Ce mur n’est pas une protection, mais un laboratoire de punition.
Et depuis, Gaza est non seulement détruite à intervalles réguliers, mais surtout montrée comme la preuve vivante que la paix est impossible.
On lui a refusé le droit de vivre pour justifier le droit de frapper.
Et le monde regarde. Avec une étrange naïveté.
Comme si tout cela n’était pas voulu. Comme si tout cela n’était pas prévisible. Comme si tout cela n’était pas construit.
Mais alors…
Comment justifier la souffrance des Palestiniens ?
Par quel raisonnement faut-il passer pour expliquer qu’une population entière, 2,5 millions d’âmes, soit privée d’eau, d’espoir, de mouvement, et que cela ne déclenche aucune insurrection morale dans les capitales occidentales ?
Quel type d’être humain faut-il être devenu pour trouver cela “complexe” ?
Non. Gaza n’est pas complexe. Gaza est la cible.
Non seulement la cible des bombes, mais la cible de la logique même de l’inversion morale.
On a transformé une population occupée en population menaçante.
On a transformé des enfants affamés en “menace démographique”.
On a transformé des hôpitaux détruits en “boucliers humains”.
Et on a transformé le mensonge en devoir moral.
Alors il faut le dire, une fois pour toutes :
Le départ de 2005 n’était pas un échec. C’était une ruse.
Et ceux qui pleuraient à l’écran n’étaient pas en deuil, ils étaient en train de fermer la porte du piège.
Et chaque vague de destruction renforce la fiction suivante :
“Nous avons tout fait pour la paix. Ce sont eux les barbares.”
C’est une inversion absolue.
La cible ?
– Gaza physiquement.
– Mais surtout : la mémoire mondiale.
– Et plus profondément encore : l’âme du juste.
Car à force de voir mourir les enfants sans rien dire, on devient complice.
La stratégie est rodée.
Elle s’applique partout :
– au Moyen-Orient, pour voler la terre.
– En Afrique, pour voler le sous-sol.
– En Europe de l’Est, pour voler les structures.
– En Asie, demain, pour neutraliser les souverainetés.
Mais c’est toujours la même logique :
Créer, contaminer, revenir, récolter.
Et ceux qui refusent encore de voir la main derrière les attentats, les fausses paix, les fausses révolutions… devront bientôt expliquer à leurs enfants comment ils ont laissé le monde être vendu morceau par morceau, en applaudissant ceux qui le détruisaient.
Les “petits” attentats oubliés… et les faux événements trop vite effacés
Chaque année, des attaques mineures, mal expliquées, passent sous silence.
– Un imam abattu dans une rue de banlieue, sans mobile ni revendication.
– Un scientifique iranien liquidé à Paris dans l’indifférence diplomatique.
– Une attaque de train prétendument évitée grâce à un “héros français”… dont le récit ne tient pas.
– Une explosion dans un entrepôt classé, sans aucun suivi judiciaire.
– Une altercation qui finit en meurtre, mais dont l’origine remonte à un service étranger.
Ces événements ne sont pas conçus pour émouvoir l’opinion.
Ils fonctionnent comme des messages. Des signaux. Des codes pour initiés.
Envoyés non au public, mais aux cercles du pouvoir, aux diplomates, aux journalistes gênants, aux intellectuels trop libres.
“Nous savons où tu vis.” “Nous pouvons frapper n’importe quand.” “Ne va pas plus loin.”
C’est une mafia. Avec des rites. Des effacements.
Et des avertissements. Et puis il y a les faux attentats.
Ceux qui explosent médiatiquement en quelques minutes, avec un narratif clé en main.
Des slogans. Des bougies. Des hashtags.
Et puis… plus rien.
Silence. Pas de procès. Pas d’image. Pas de vérité.
Combien d’affaires dites “antisémites” — avec tag nazi, étoile de David, cimetière vandalisé — se sont révélées être des mises en scène par les prétendues victimes elles-mêmes ?
Par stratégie. Par chantage émotionnel. Par besoin de martyrs.
Et pourtant, les médias ne rectifient jamais. Aucun mea culpa. Aucune leçon.
L’information mensongère est virale.
La vérité, elle, n’est jamais reprogrammée.
Un jour, on annonce une tentative d’attentat dans une école juive, on découvre ensuite un délire psychotique d’un adolescent isolé.
Mais le buzz est passé.
Le message est ancré : “La haine est partout.”
Et surtout : “Israël est toujours la cible.”
Même quand il n’est ni visé, ni présent.
Et que dire des meurtres politiques ? Des assassinats ciblés ?
Ou des événements trop étranges pour n’être que des faits divers ?
Prenons le double meurtre à Washington, au printemps 2025.
Un couple. Jeunes. Beaux. Pro-Trump. Employés d’Israël, comme personnel consulaire
Froids exécutés. Aucun enregistrement. Aucun corps montré.
Aucune image, dans la ville la plus surveillée du monde. Sauf un « free Palestine » de l’assassin présumé, qui semble sortir d’une séance d’hypnose !
Un silence glacial. Plus personne n’ose parler de GAZA, car cela tue des innocents …
Et tout d’un coup : la vague médiatique bascule.
La parole sioniste reprend la main. Le récit de Gaza est enfoui. Les voix critiques se taisent. Les plateformes suspendent les comptes trop lucides.
Alors il faut poser la question :
Était-ce un crime de passion ? Ou un crime rituel ?
Un message ? Un sacrifice ? Un avertissement ?
Dans tous les cas, la mécanique est toujours la même :
1. Créer un événement marquant (réel ou fabriqué)
2. Le saturer d’émotion médiatique
3. L’utiliser comme levier politique immédiat
4. Le faire disparaître avant qu’il ne commence à trop poser de questions.
C’est ainsi que fonctionne la religion moderne du choc.
Les attentats ne sont plus là pour nous réveiller.
Ils sont là pour nous orienter.
Et chaque silence qui suit est une complicité.
Une approbation tacite.
Un doigt sur les lèvres de la vérité.
Non pas un stratège de l’ombre, mais un visage «lumineux & photogénique», un corps lisse (parfois très musclé), un langage maîtrisé (dont même les lapsus mentent pour dire vrai), une voix fluide qui endort les foules et derrière, le gouffre, les caresses.
Car toute stratégie du mensonge a besoin d’un Messie inversé. Un porteur de masque. Un élu du simulacre. Un roi sans royaume, mais avec tous les sceptres. Mais le mensonges avec lui est une vérité … invraisemblable, ainsi le pacte est parfait.
Ce saigneur, ce n’est pas seulement un homme. C’est un canal. Une matrice incarnée. Un point de jonction entre les haines anciennes, les pactes nouveaux, et la promesse d’un avenir mutilé.
Il ne vient pas de Bagdad, ni de Jérusalem. Il ne vient même pas de France, au sens noble. Il vient d’un autre lieu, celui où les noms sont choisis pour inverser les signes, où les parcours sont tracés comme des pièces de théâtre, où le pouvoir ne se conquiert pas, mais se reçoit… par délégation ténébreuse.
Son ascension ne fut pas fulgurante, elle fut préparée. Programmée. Inoculée dans les esprits.
Par l’école, par les écrans, par les réseaux.
Il ne commande pas par la force, mais par la fatigue.
Il n’impose pas par la peur, mais par la séduction fatale.
Il ne menace pas, il suggère, implique, désarme par avance.
Et pourtant, derrière lui : la guerre, les lois inhumaines, la dissidence piégée, la langue renversée, les enfants offerts aux chimères, les anciens étouffés dans l’éthique de confort.
Ce n’est pas Netanyahu, ni Biden, ni Schwab. Pas même Attali.
C’est Emmanuel Macron.
Non pas l’homme. Mais ce qu’il incarne, en binôme.
Le point d’orgue d’un projet dont Bagdad n’était qu’un début (ça c’est largement passé sous Mitterand ?!!!!). Le miroir final dans lequel le monde entier se regarde sans plus rien voir.
Celui qui parle de paix, et signe des décrets de mort.
Celui qui embrasse des vieillards, et pousse leurs enfants vers l’euthanasie.
Celui qui jure protéger la liberté, et livre les clefs de nos âmes à l’intelligence artificielle et aux censeurs.
Le vrai Saigneur ne prend pas le pouvoir.
Il le reçoit de ceux qui se sont agenouillés sans s’en rendre compte. Et il règne aujourd’hui.
Non par décret, mais par consentement. Non par foi, mais par abandon. Non par force, mais par fatigue collective.
Et voilà pourquoi le silence n’est plus une option.
Car nommer le mal, c’est déjà le blesser. Et dévoiler le Saigneur, c’est préparer la fin de son règne.
Alors que Bagdad saigne encore, que Gaza suffoque, que Damas chancelle, que Paris se travestit, et que Rome trahit,
il est temps de dire : nous avons vu. Et si nous avons vu, alors nous devons dire.
Et si nous disons, alors l’espérance peut renaître, et l’histoire peut s’écrire autrement.
Je ne peux pas tenir sans vous. Mais je continue, parce que je sais que beaucoup lisent, comprennent, et respectent ce travail.
Merci à vous.
(J’espère sincèrement que si vous êtes là, vous déciderez d’avancer pour lire ce texte)
Bertrand@55BELLECHASSE.com
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Derrière le voile : ce que Bagdad révèle vraiment
& Une nouvelle enquête exclusive du lieutenant Colombo, au cœur des sables et des silences. LE CORRIDOR DE DAVID …
Ce n’est pas qu’une histoire irakienne, iranienne ou syrienne, ni même palestinienne ou israélienne. C’est un puzzle mondial, où Tel Aviv, Paris et Londres tirent les fils… en utilisant Washington … !
et où chaque ruine murmure le nom de ceux qui l’ont voulue. Une région crucifiée. Des alliances secrètes. Des profits honteux. Et un plan plus vaste qu’une guerre.
Respectez les droit d’auteur - ne pas partager le texte - en revanche n’hésitez à inciter vos proches à s’abonner. J’en ai plus besoin que de notoriété !
Bagdad, la ville aux mille blessures
Bagdad n’est pas une ville comme les autres.
Elle est un rêve. Une mémoire. Une blessure.
Fondée en 762 par le calife Al-Mansur comme cité ronde, centre du califat abbasside, Bagdad fut pendant cinq siècles le cœur battant de la civilisation islamique. Son nom rayonnait de l’Espagne à la Chine. On y lisait Aristote, on y traduisait Platon, on y inventait les chiffres, on y pratiquait la médecine, la philosophie, la poésie et la prière.
La Maison de la Sagesse (Bayt al-Hikma) fut ce que Harvard ou Cambridge ne seront jamais : un pont entre les mondes, entre le visible et l’invisible, entre l’héritage grec et la lumière coranique.
Et puis vinrent les cavaliers mongols, en 1258.
Et puis vinrent les Britanniques, en 1917.
Et puis vinrent les Américains, en 2003.
À chaque fois, la barbarie moderne déguisée en libération.
L’âge des cavernes : projet déclaré
En 1991, le général américain Colin Powell déclara que l’Irak devait « être renvoyé à l’âge de pierre ».
Il ne parlait pas seulement de cibles militaires.
Il parlait d’un programme :
– détruire les infrastructures (eau, électricité, hôpitaux),
– anéantir le savoir (universités, bibliothèques, scientifiques),
– atomiser la société (sunnites contre chiites, Arabes contre Kurdes, tribus contre tribus),
– effacer la souveraineté, pour que plus jamais une capitale arabe ne puisse défier l’ordre sioniste.
Ils ont tenu parole.
Iran et Irak : deux peuples frères, condamnés à la méfiance
L’Iran et l’Irak sont jumeaux. Par le sang, par l’histoire, par la religion.
Ali, le gendre du Prophète, est enterré à Najaf.
Hussein, son fils, à Karbala.
Et la Perse ne serait pas ce qu’elle est sans les martyrs d’Irak.
Et l’Irak ne serait pas ce qu’il fut sans la sagesse iranienne.
Mais les puissances ne veulent pas de cette unité.
Washington, Tel-Aviv et Londres ont semé la haine :
– guerre Irak–Iran (1980–1988),
– occupation de Bagdad,
– élimination ciblée des chefs patriotes,
– infiltration des mollahs,
– manipulation des alliances.
L’Irak n’est plus libre. L’Iran est infiltré.
Et Israël assassine des deux côtés, en toute impunité.
Le terrorisme comme paratonnerre
Et pour dissimuler tout cela, on a fabriqué des monstres.
Des golems. Des paratonnerres.
– Al-Qaïda hier,
– Daech aujourd’hui,
– d’autres demain.
Des créatures nées de l’ombre, mais utiles à la lumière officielle.
Chaque échec de l’occupation est attribué à “l’islamisme”.
Chaque assassinat est justifié par “la lutte contre le terrorisme”.
Et les pires crimes deviennent invisibles, car enveloppés dans les habits du Bien.
L’Occident, royaume du diable
Le diable ne porte plus de cornes.
Il porte des uniformes OTAN, des insignes Mossad, des logos BlackRock.
Il règne à Washington, Londres, Tel-Aviv, Bruxelles.
Il ment, il tue, il divise Et il efface les civilisations les plus anciennes pour imposer une mémoire numérique, une morale liquide, un monde sans racines ni repères.
Et Bagdad est la preuve.
La preuve qu’une ville peut avoir touché le ciel… et être ramenée dans la boue.
Mais tout n’est pas fini
Tant qu’un seul homme à Najaf se lève et dit “Non”, tant qu’un seul verset est récité à Karbala sous les drones, tant qu’un seul enfant de Bagdad rêve encore en arabe, le diable n’a pas gagné.
Mais il faut ouvrir les yeux. Et cesser de croire que l’Occident libère.
Il ne libère rien. Il prend, il souille, il détruit. Le reste n’est que vitrine.
Et Bagdad, la grande Bagdad, est aujourd’hui la vitrine de l’enfer qu’ils veulent pour tous.
Coup d'état sanitaire (3)
Car elles ont compris que le vrai danger pour leur petit théâtre, ce n’est pas la concurrence d’un autre influenceur de salon, ni le buzz d’un plateau adjacent.
avec pour chacune un portrait structuré selon les critères suivants :
– leur positionnement apparent,
– leur fonction réelle dans le système de confusion,
– leur citation ou absurdité caractéristique,
– une phrase synthèse dénonçant leur rôle,
– et enfin leur mode d’accès à la notoriété : par une niche sectaire ou une vague émotionnelle instrumentalisée.
1. André Bercoff — Le vieux renard sous contrat
Voix grave, posture frondeuse, verbe policé. Tout semble sincère. Et pourtant… vétéran du journalisme “libre” à Sud Radio.
Fonction réelle : faire croire à une résistance gaulliste alors qu’il répète tous les mots du lobby sioniste.
Citation type :
« On est ici pour poser les vraies questions. » « On a le droit de défendre Israël, non ? » (dit avec le sourire complice du vieux filou qui sait pour qui il travaille.)
Sa faute :
Faire mine d’ouvrir le débat, tout en verrouillant les angles morts essentiels. Une émission calibrée pour l’illusion de pluralité.
Donner des tribunes aux pires traîtres, ne jamais poser les questions qui fâchent, surtout quand le Mossad rôde autour.
Son péché capital :
La connivence feutrée. La trahison consciente. Il sait. Il sait tout. Et il protège. Bercoff protège les intouchables du système tout en feignant la rébellion.
Origine de la notoriété :
Sud Radio. Bercoff devient l’alibi parfait de ceux qui veulent “entendre autre chose” — mais pas trop. Émotion vague de “journalisme libre” à l’ancienne — pour capter les boomers patriotes et les rassurer dans l’erreur.
Phrase finale :
Il est le concierge éclairé de la prison mentale. L’étoile noire des collabos 3.0.
Un « … » fantastique.
Le sorcier des âmes qui se fait passer pour un sourcier de la résistance … Sous ses airs de vieux libertaire (à ne pas confondre avec libertin ?) bourru, il déroule l’agenda.
Avec un flair quasi satanique pour attirer les vrais résistants dans son filet… Puis les retourner. Puis les salir. Puis les nier. Il ne défend pas la parole — il la contamine.
Et il sait parfaitement ce qu’il fait.
2. Idriss Aberkane — Le gourou des diplômes en plastique
Trois thèses ? Faux. Trois rôles ? Aussi. Coach, illusionniste, et filou déguisé en penseur.
Penseur multi-casquette, docteur en tout, expert de rien.
Fonction réelle : épater les naïfs et désinformer en toute confiance sur les sujets cruciaux.
Citation type :
« Le savoir est une arme… » « Je vous explique la géopolitique comme un cerveau qui rêve. » Ou mieux : « Je suis pour la paix en Russie et en Ukraine. » bref … il a rien compris !
Sa faute :
Avoir surfé sur la crédulité post-Covid pour se construire une autorité de pacotille. Tordre les faits au service de sa notoriété. Délirer avec aplomb. Taire les vrais enjeux et TRAIRE le reste.
Son péché capital :
La mystification continue. L’usurpation permanente.
Il brouille les pistes, enjolive son CV, cite mal, et donne aux foules ce qu’elles veulent entendre. Un saboteur du savoir pour mieux briller.
Origine de la notoriété :
Vidéos virales, TEDx et stratégie de visibilité algorithmique ciblée. Secte transhumaniste recyclée en réseau “dissident chic”. Il a surfé sur les vagues post-Covid.
Phrase finale : Le colporteur d’ego
Le “génie” des diplômes douteux, des connexions floues, et des sermons creux. Tantôt philosophe, tantôt expert en biomimétisme… parfois prophète.
Il ne creuse rien, il survole tout, en multipliant les illusions de profondeur. Et il joue au dissident comme on joue au DJ : il met l’ambiance… puis disparaît avant les questions.
Un illusionniste qui vend l’éveil, mais endort.
3. Michel Onfray — Le philosophe domestiqué qui rate toujours l’essentiel
Il aurait pu devenir une boussole. Il est devenu une girouette.
Position : penseur critique.
Fonction réelle : rater toutes les guerres spirituelles.
Citation type :
« Il faut revenir à Camus… » « Dieu ? Une fiction utile. » Et hop, tout est dit.
Sa faute :
Multiplier les contorsions pour rester dans le système sans s’y soumettre… du moins en apparence.
Toujours à côté. Toujours trop tard. Et jamais assez profond.
Son péché capital :
La tiédeur spectaculaire. Le nihilisme camouflé. Un bulldozer de l’âme déguisé en intellectuel. Onfray critique tout… mais ne renverse rien.
Origine de la notoriété :
Philosophe médiatique, omniprésent depuis les années 2000.
Phrase finale :
Un penseur qui a eu toutes les cartes, mais a choisi la chronique molle du déclin.
L’opium des classes cultivées désabusées. Réaction anti-gauche, post-Charlie. Il rassure les déçus de Zemmour.
4. Éric Morillot — Le petit prêtre du faux pluralisme, l’aubergiste du faux débat
Bistrot Libertés ? Une liturgie. Et Morillot en est le diacre complaisant.
Position : aumônier de Bistro Libertés.
Fonction réelle : gérer les oppositions comme on gère un PMU : avec absolution, bière, punchlines, et QI mou.
Citation type :
« On est entre amis ici, on peut tout se dire. » « Moi je laisse parler tout le monde, hein. » Et surtout les désinformateurs en boucle.
Sa faute :
Laisser s’épanouir les slogans sans jamais interroger le fond. Offrir une tribune permanente aux pires, et faire croire que c’est du pluralisme.
Fabriquer du spectacle en recyclant les mêmes imposteurs.
Son péché capital :
La logorrhée de l’imposture. Tout est faux, mais tout est bien habillé. L’abdication totale. L’escroquerie intellectuelle, en pyramide de Ponzi des arguments frelatés. Il ne filtre rien. Il ne comprend rien. Il légitime tout.
Origine de la notoriété :
TV Libertés, mise en scène de pseudo-débats.
Phrase finale :
Un prêtre, bientôt chauve, de la fausse messe dissidente.
Morillot : micro ouvert, neurones fermés.
Une niche molle post-CNews. Le fond de cuve du débat “libre” sponsorisé. Mais il orchestre, filtre, oriente — et ne laisse parler que ceux qui servent le simulacre.
Toujours aimable. Toujours complice.
5. Clémence Houldiakova — La grande prêtresse des vérités domestiquées et des débats à double standards
Elle offre des vérités calibrées. Elle encense la dissidence, mais l’étouffe quand elle devient réelle.
Position : animatrice de débats équilibrés sur “les sujets qui dérangent”.
Fonction réelle : neutraliser les voix fortes et injecter du poison bien-pensant.
Citation type :
« Je donne la parole à tout le monde, sans tabou. » Mais toujours moins de temps aux justes. « À chacun de se faire son opinion. »
Sa faute :
Donner la parole… mais uniquement à ceux qui ne remettent rien en cause d’essentiel. Faire croire à une neutralité pendant qu’elle orchestre la défaite du vrai.
Son péché capital :
L’habillage neutre du conditionnement.
Sous couvert de pluralisme, elle valide les récits les plus fourbes. C’est de l’illusionnisme toxique.
Le mensonge y prospère, la vérité y meurt, essentiellement sur la question de l’islam n mais pas que !
Origine de la notoriété :
Lancement YouTube boosté par des algorithmes qui flattent ceux qui surfent sur une vague émotionnelle d’espoir médiatique alternatif… dévoyée très vite, pour servir ceux qu’ils promettaient combattre.
Phrase finale :
Elle est la grande prêtresse des vérités domestiquées… et des mensonges magnifiés. Sans oublier une trame sans pitié pour l’islam qui est le cœur assumé du fond de commerce, parfaitement orchestrée.
6. Stanislas Berton — Le catholique qui voit Q partout où plutôt Le scout mystique de QAnon
Il s’est mis à croire que Dieu communiquait en Morse dans les messages de QAnon.
Position : penseur catholique, chercheur de sens.
Fonction réelle : injecter des leurres ésotériques dans le bon combat. Ami de Bercoff
Citation type :
« Le Christ revient, et il n’est pas content. » « Il faut se préparer au retour du Christ-roi en lisant Q. » Non. Juste… non.
Sa faute :
Confondre foi et fantasme, analyse et apocalypse préprogrammée.
Son péché capital :
La théologie algorithmique. Ramener tous les chemins à la prophétie de Trump.
Berton lit le monde comme un complot divin… sans contradiction possible des que le Q en est. L’aveuglement zélé. Il désoriente les cœurs sincères avec de fausses cartes.
Origine de la notoriété :
Essais en auto-édition, relais sur Telegram et réseaux Q. Une niche catho égarée, fascinée par QAnon et les combats de titans.
Phrase finale :
Une conscience sincère… mais capturée. Berton, c’est QAnon en latin d’église. Il parle parfois juste — mais il croit souvent faux.
Et son besoin de croire que Trump est un saint … devient un danger collectif, pour ceux qui l’écoutent encore
7. Pierre Jovanovic — L’âme perdue & l’ivresse du succès
Il fut une voix. Il est devenu une chute. Il a tout été. Mais il n’a jamais été.
Position : lanceur d’alerte catho-complotiste.
Fonction réelle : souiller toutes les bonnes causes par son comportement et ses associations.
Journaliste, éditeur, prophète de l’effondrement, chasseur d’anges, dénonciateur des banquiers… Et pourtant, au fond, Pierre Jovanovic n’est pas un être, mais un produit. Un produit bien vendu. Une vitrine animée pour supermarché apocalyptique. Il ne pense pas : il transforme. Il ne prie pas : il convertit. Il ne cherche pas : il exploite.
Citation type :
« L’or ! L’or ! Achetez de l’or ! » « J’ai les documents secrets du Vatican, regardez ! »
(Souvent entre deux verres.)
Sa ligne de conduite :
Suivre la peur. Investir l’étrange. Vendre du mystique. Encaisser. Disparaître. Revenir.
Ce qu’il vendait :
Des anges déchus. Des prédictions bibliques. Des secrets de la finance vaticane. Des révélations apocalyptiques.
Et surtout : des livres. Des tonnes de livres.
Car il a compris bien avant les autres que le chaos est un excellent marché. Il prétend dénoncer Mammon. Mais c’est Mammon qui le guide.
Sa seule boussole :
La taille du marché. Le potentiel de conversion. La peur des gens. La facilité avec laquelle elle peut être monnayée. Un coffre-fort bien garni, pour masquer le vide intérieur.
Ses fans ?
Des lecteurs sincères, devenus des diablotins dociles. Il les avait séduits avec des anges,
il les a transformés en groupe d’achat pour ses propres intérêts. Ils pensent suivre un éclaireur. Ils suivent un récupérateur.
Il n’est pas un chercheur de vérité : il est un transformateur de souffrance en profit.
Sa faute :
Tromper, manipuler, vampiriser. Se servir des drames pour briller.
Avoir instrumentalisé des affaires graves, des morts, des accusations, pour se rendre central.
Pour se replacer au cœur d’un récit dont il ne connaît ni le début ni la fin.
Il prétend tout savoir, tout prévoir — mais il ne se corrige jamais.
Quand il ment ou se trompe, il hausse la voix, ou lève son verre. Et tout devient flou… mais rentable.
Son péché capital :
La corruption intime et dégradante des âmes. Car il ne vend pas juste des mots : il vend un trouble, une atmosphère, une dérive. Et il en tire orgueil, argent, pouvoir.
Trop porté sur l’alcool, les combines et les manipulations basses pour être défendable.
Son poison quotidien ?
La démesure, la rhétorique baroque. On dirait un oracle. Mais c’est un comédien. Un homme siphonné par l’image qu’il veut donner. Et rongé par le vide qu’il cache.
Origine de la notoriété :
Une vague post-1990 et les petits cercles cathos en détresse. Un blog, des livres à succès, des vidéos bien montées.
Et une montée en puissance dans une dissidence en quête de figures rentables. Aujourd’hui, il a perdu son âme, mais il vend encore son nom.
Phrase finale :
Pierre Jovanovic n’est plus un homme. C’est un studio de cinéma artificiellement modeste et vide, tapissé d’images pieuses, où l’on dépose ses illusions.
Il vend la peur, détruit l’esprit, et se nourrit du chaos. Il aurait pu être utile — il est devenu indéfendable.
Une caricature ambulante de la dissidence qui a tout renié, y compris son propre passé.
À fuir. Définitivement.
8. Éric Verhaeghe — Le misanthrope de salon
Il prétend parler vrai. Il aime les chiffres, les schémas, les lois, les courbes. Mais derrière le technicien, c’est un moraliste colérique, un misanthrope alcoolisé de la vérité — qui ne supporte pas d’avoir tort.
Position : analyste économique précis.
Fonction réelle : faire croire qu’on peut comprendre sans jamais remonter à la source du mal.
Citation type :
« L’économie vous explique tout — sauf ce que vous n’avez pas le niveau pour comprendre. » « C’est un problème de dette publique mal gérée. »
Toujours « in vino Veritas »
Sa faute :
Avoir fait croire qu’il était un héros de la raison, alors qu’il est souvent le geôlier d’un savoir devenu méprisant.
Ignorer l’inversion spirituelle. Ne rien comprendre à la guerre eschatologique.
Ses péchés capitaux :
• L’arrogance sociale.
Verhaeghe ne dialogue pas : il toise, il exclut, il décime. Il parle aux manants comme un énarque reconverti en Robin des bois inversé : il prend aux simples pour conforter les puissants déguisés et devenir un notable … (sic)
• L’agressivité latente.
Dès qu’on conteste ses affirmations, il devient menaçant, violent, autoritaire. Avec quelques verres, il cumule les défauts : vanité, mépris, dureté — et même duplicité.
L’aveuglement structurel. Trop brillant pour être bête, mais trop cartésien pour être clairvoyant. Juste bouffi … de rien ou plus grand chose.
Origine de la notoriété :
Son statut d’expert de l’intérieur, ex-énarque qui se veut critique du système, lui a offert un masque idéal de “dissident sérieux”.
Vague d’analystes économiques Youtube. Le cerveau sans cœur.
Phrase finale :
Éric Verhaeghe n’est ni un sage, ni un guide. C’est un acteur de lucidité froide, dont les colères sont plus spectaculaires que profondes,
et dont la posture dissimule une incapacité à embrasser les véritables racines du chaos.
9.Alexis Cossette — Le voyant sans lumière ni purification
Il parle comme un prédicateur exalté, accumule les connexions et les révélations, voit partout le signe d’une guerre invisible, qui se joue en 5D … mais il n’a pas de boussole. Juste une transe.
Position : prophète québécois du complot.
Fonction réelle : voir juste parfois, mais toujours sans discernement spirituel.
Citation type :
« Le plan de Dieu est en marche, c’est écrit dans Q. » « Le diable est dans les réseaux de la franc-maçonnerie ET du Vatican ET de l’Ukraine ET… »
Trop, c’est trop. D’autant que le diable est un peu partout, surtout où Cossette je regarde pas
Sa faute :
Avoir confondu la vérité avec une lecture ésotérique non purifiée, et avoir entraîné des milliers d’âmes dans un mirage messianique algorithmique.
Ses péchés capitaux :
• L’enfermement sectaire.
Son audience est devenue une sous-église fermée, violente, agressive, inquisiteuriale, où contester le gourou revient à blasphémer.
• La confusion mystique.
Il parle d’amour, mais avec les codes du sado-masochisme mental : plus on souffre, plus c’est vrai ; plus on obéit, plus on est libre.
Dire le vrai sans la juste vibration. Tout mélanger.
Origine de la notoriété :
Explosion pendant Vague post-Covid. QAnon-friendly, sur fond d’apocalypses marketées et de slogans “courageux” contre le système.
Phrase finale :
Cossette n’est pas un dissident.
C’est un voyant sans lumière, un homme sincère, peut-être, mais habité par une ivresse confuse. Il désigne le mal sans l’avoir exorcisé en lui-même.
L’absence de boussole.
Il désigne le mal, mais ne conduit pas au bien.
10. Caroline Galactéros — L’illusionniste du sérieux, la géopolitique à « œillères Chanel ou Cardin »
Elle parle lentement, doctement, avec l’autorité d’une “ex des services” et le ton d’une directrice de thèse. Mais c’est une illusion d’intelligence critique — un recyclage cosmétique de ce que les gens veulent entendre.
Position : analyste stratégique, souvent invitée sur les plateaux pour donner de la hauteur au débat.
Fonction réelle : dire quelques vérités pour mieux masquer les mensonges fondamentaux.
Citation type :
« La France doit redevenir une puissance d’équilibre. » « Il faut cesser de diaboliser Israël, tout en appelant à la paix. »
(dit sur un ton docte, comme si la neutralité était encore une vertu en 2025.)
Sa faute :
Adopter tous les codes de la dissidence… sans jamais franchir la ligne.
Dissimuler l’alignement sous une esthétique du recul. Refuser de nommer les crimes quand ils sont trop proches des intérêts qu’elle préserve. Lisse. Opportune.
Elle donne l’illusion du courage intellectuel, mais elle n’avance jamais jusqu’au seuil de vérité radicale.
Ses péchés capitaux :
• La stratégie de confort.
Elle recycle des évidences, reprend ce que l’opinion “critique” est déjà prête à avaler — mais n’ouvre jamais de brèche réelle.
• L’effacement métaphysique.
Chez elle, l’eschatologie n’existe pas.
La guerre est une question de “rapports de force” — pas d’âme. Bref, La prudence molle. Elle joue la sagesse, mais sert la confusion. Sa lucidité s’arrête là où commence le sacré.
Origine de la notoriété :
Instituts d’analyse géopolitique, conférences prudentes, réseaux cultivés dépolitisés.
Phrase finale :
Elle incarne la haute couture du néant dissident.
Un somnifère de salon pour stratèges à pipe en mousse, où tout est dit… pour que rien ne soit remis en cause. Elle rassure ceux qui ont renoncé à comprendre.
Vague d’invitations pour “voix dissidente féminine” dans un paysage saturé — mais formatée pour ne pas déranger les maîtres du jeu.
Le véritable danger vient toujours de l’extérieur : des bannis, des invisibilisés, des non-alignés, ceux qui n’ont ni carte, ni clan, ni filet.
Ceux-là, les ostracisés, ne respectent pas les codes.
Ils n’attendent pas l’invitation. Et ils parlent juste, tôt, fort, sans permission.
Alors les caméléons, entre eux, font ce que font les mafias modernes :
Ils ne s’embrassent pas. Mais ils ferment les portes au même moment.
Et ils gardent la vitrine propre.
Les zones érogènes sont bien plus nombreuses et variées que ce que l'on croit. Si les organes génitaux restent les plus stimulants, de nombreuses parties du corps, souvent négligées, peuvent aussi éveiller le désir.
Quand il s’agit de plaisir, notre corps est un terrain de jeu bien plus vaste que ce que la culture populaire laisse entendre. Au-delà des zones génitales, la science confirme l’existence d’un large éventail de zones érogènes, communes aux hommes et aux femmes, mais pas toujours égales en intensité. Alors, quelles sont les zones les plus sensibles ? Les femmes sont-elles vraiment plus réactives que les hommes ? Et pourquoi les pieds divisent-ils autant ? Tour d’horizon des réponses qu’apportent les études scientifiques et les experts de la sensualité.
Quelles sont les zones les plus érogènes selon les études scientifiques ?
Une grande étude publiée dans la revue Cortex en 2013 a permis de dresser une cartographie précise des zones les plus érogènes du corps humain. Dirigée par le Pr Oliver Turnbull, neuropsychologue à l’université de Bangor, cette recherche s’appuie sur les réponses de 800 personnes (53 % d’Afrique sub-saharienne, 33 % des îles britanniques), à qui l’on a demandé de noter 41 zones du corps selon l’intensité de l’excitation sexuelle ressentie. Résultat : chez les femmes, six zones ressortent nettement avec une note supérieure à 7 sur 10 — le clitoris (9,1), le vagin (8,4), la bouche et les lèvres (7,9), la nuque (7,5), les seins (7,3) et les mamelons (7,3). Du côté masculin, seules deux zones atteignent ce niveau d’intensité : le pénis (9,0) et la bouche/lèvres (7,0). En dehors de ces différences anatomiques évidentes, le classement reste étonnamment similaire entre les sexes. Ce qui varie, c’est l’intensité de la réponse érotique, en moyenne plus élevée chez les femmes. Autre observation : le périnée est l’unique zone jugée plus excitante chez les hommes (4,8) que chez les femmes (3,0). À l’inverse, les femmes montrent une plus grande sensibilité sur une dizaine d’autres régions : le dos, la nuque, les hanches, l’intérieur des cuisses, les épaules, le ventre, les poignets… autant de territoires souvent négligés dans les interactions sexuelles classiques.
Quelles sont les zones souvent oubliées mais très sensibles ?
De nombreuses autres parties du corps, parfois inattendues, peuvent devenir des sources puissantes de plaisir. L’objectif ? Explorer au-delà de l’évidence pour enrichir les moments de complicité. Parmi les zones souvent négligées mais très érogènes, on retrouve :
Les lèvres, point de départ classique mais trop souvent expédié : un baiser lent, des mouvements de langue maîtrisés ou même un léger mordillement peuvent intensifier l’excitation.
Le cou et la nuque, riches en terminaisons nerveuses : alterner baisers et petites morsures douces crée un contraste excitant.
Les oreilles, et notamment les lobes, sont particulièrement sensibles chez certaines personnes, surtout lorsqu'on y glisse un souffle chaud ou des mots doux.
Le cuir chevelu, souvent oublié, est une mine de sensations. Un massage bien exécuté, avec ongles ou pulpe des doigts, peut éveiller une tension érotique subtile.
Pourquoi les femmes semblent-elles avoir plus de zones érogènes que les hommes ?
L’étude du Pr Turnbull révèle que les femmes attribuent des notes d’excitation plus élevées à un plus grand nombre de zones. Mais cela ne signifie pas que leur anatomie est intrinsèquement différente. Ce sont surtout les seuils de sensibilité et les réponses sensorielles qui varient. Selon les chercheurs, cette perception d’une plus grande sensibilité féminine pourrait venir de plusieurs facteurs : une plus grande attention portée à l’exploration du corps féminin, une construction sociale valorisant le plaisir féminin dans certaines zones précises, ou encore une plus grande capacité des femmes à identifier et exprimer ce qui leur procure du plaisir. Les hommes, de leur côté, sous-estiment souvent la richesse sensorielle de leur propre corps, cantonnant leur plaisir aux zones génitales. Pourtant, des zones comme les tétons, la nuque ou l’intérieur des cuisses figurent aussi dans leur top 10 d’érogénéité.
Y a-t-il une explication scientifique derrière ces zones érogènes ?
Une zone érogène est une partie du corps dont la stimulation provoque une excitation sexuelle. Elle peut être classée en deux catégories :
Les zones primaires : elles regroupent les organes génitaux et les seins. Leur stimulation est directement liée à l’excitation sexuelle et peut mener à l’orgasme.
Les zones secondaires : nuque, oreilles, poignets, bas du dos, etc. Ces régions ne sont pas liées à la reproduction, mais peuvent intensifier le désir.
La sensibilité de ces zones est due à la densité de terminaisons nerveuses. Plus une zone en contient, plus elle est susceptible d’envoyer des signaux puissants au cerveau. Cette carte corporelle varie aussi selon les expériences personnelles, la culture, ou encore les habitudes sexuelles. Par exemple, la même stimulation peut être ressentie comme neutre ou excitante selon le contexte. Enfin, des recherches suggèrent que certaines zones peuvent être socialement “apprises” comme érogènes : on les associe au plaisir parce qu’on nous a appris à les voir comme telles ou parce qu’on a eu des expériences positives en les stimulant.
Le pouvoir des formules
Il fut un temps où les mots servaient à désigner.
Un arbre était un arbre. Une injustice, une injustice. Un père, un père. Le langage naissait dans le besoin d’éclairer le réel. Il liait les hommes entre eux, il ouvrait les chemins de la vérité.
Chaque mot portait en lui la promesse d’un monde plus compréhensible, plus partageable, plus juste.
Mais ce temps-là est mort. Aujourd’hui, les mots sont des armes. Des pièges. Des encensoirs vénéneux.
Les mots ne désignent plus : ils couvrent. Ils ne dévoilent plus : ils voilent. Ils ne permettent plus d’agir : ils empêchent de penser.
Depuis plus d’un demi-siècle, les meilleurs cerveaux du monde — linguistes, publicitaires, stratèges politiques, scénaristes, spin doctors, spécialistes du nudging et de la manipulation comportementale — sont mobilisés non pour dire le vrai, mais pour verrouiller l’esprit.
À chaque critique prévisible, une formule prête. À chaque fait dérangeant, une expression-pansement. À chaque injustice évidente, un slogan qui neutralise. Le monde moderne ne vous affronte pas frontalement. Il vous chloroforme. Avec des mots. Des mots qui se glissent dans les journaux, les allocutions présidentielles, les classes d’école, les tweets d’ambassade, les débats télévisés, les recommandations sanitaires.
Des mots qui ne veulent rien dire, ou plutôt… Des mots qui disent autre chose que ce qu’ils prétendent, mais qu’on ne peut plus contester sans être immédiatement accusé de haine, de bêtise, de radicalité ou de folie.
Ce Dictionnaire des Formules-Pièges est un antidote.
Il est né d’un constat brutal : la corruption passe par les mots. Pas seulement par l’argent, les lois, les institutions, les algorithmes.
Par les formules. Courtes. Mémorisables. Fermées.
Des formules collées comme des jokers sur toute discussion, au moment précis où celle-ci pourrait devenir féconde.
Des formules introduites comme conditions préalables au dialogue, comme si leur simple énoncé suffisait à juger, à classer, à fermer les dossiers.
Note à mes lecteurs :
Comme cela arrive parfois, la lettre que vous recevez ici est partielle : la version Substack ne contient que 17 fiches, afin de respecter les contraintes de taille. Mais la version complète, avec les 20 fiches, un liminaire plus détaillé et plusieurs illustrations inédites est accessible : – sur le site, – sur l’application, – ou simplement sur demande directe.
Il vous suffit de m’écrire à Bertrand@55Bellechasse.com pour recevoir la version intégrale.
Fiche #01 – « Le vaccin protège des formes graves »
Effet recherché :
Neutraliser toute critique sur l’efficacité réelle du vaccin. Désamorcer les chiffres sur les contaminations post-vaccinales. Transformer les échecs visibles… en preuves supposées du succès.
Analyse logique :
La phrase fonctionne comme un paradoxe circulaire :
• Si le vaccin empêche la maladie → il marche.
• Si la maladie survient malgré tout → c’est grâce au vaccin qu’on ne meurt pas.
Autrement dit : quoi qu’il arrive, c’est le vaccin qui gagne. Il devient donc infaillible, car non réfutable, ce qui est, en logique, un critère typique de croyance et non de science.
Problème scientifique :
• Aucune étude sérieuse ne peut prouver l’efficacité d’un traitement préventif sur des formes non survenues. • Le concept de forme grave évitée repose sur des modèles statistiques très fragiles. • Les critères de “gravité” ont été déplacés au fil des vagues (hospitalisation ? oxygène ? durée ? décès ?).
Conséquence sur le réel :
• Cette formule a permis de justifier des injections répétées, même après les vagues d’échec. • Elle a déresponsabilisé les laboratoires de toute obligation de résultat. • Elle a renversé la charge de la preuve : c’est au sceptique de prouver que le vaccin n’a pas marché, ce qui est presque impossible. • Elle a préparé les esprits à d’autres formes de médecine coercitive ou prédictive.
Stratégie de contre-attaque :
1. Refuser la logique circulaire : “S’il protège, pourquoi faut-il en reprendre tous les 3 mois ?” “S’il protège des formes graves, pourquoi autant d’AVC et de myocardites ?”
2. Revenir aux faits observables : – Hausse des décès post-vaccinaux ? – Taux d’effets secondaires jamais vus à cette échelle ? – Abandon discret des promesses initiales ?
3. Poser la vraie question : “À quoi sert un vaccin qui ne protège ni de l’infection, ni de la transmission, ni de l’évolution du virus ?”
Fiche #02 – « Poutine est un dictateur »
Effet recherché :
Réduire toute critique de l’Occident ou du bloc OTAN à une “propagande pro-russe”. Désactiver toute nuance historique, géopolitique ou culturelle concernant la Russie. Disqualifier d’office toute parole divergente : si tu défends Poutine, tu es avec lui.
Analyse logique :
Cette formule essentialise un homme pour évacuer la complexité d’un pays.
Elle fonctionne comme un écran moral : • Pas besoin d’analyser les raisons de la guerre, • Ni les intérêts de l’OTAN, • Ni les élargissements continus vers l’Est.
Il suffit de dire :
“C’est un dictateur. Point.” Et tout débat devient inutile.
Mécanisme rhétorique :
• Elle crée un ennemi archétypal : “le méchant oriental”, anti-démocratique, violent, rustre. • Elle projette sur la Russie des peurs qui viennent en réalité de l’Occident lui-même (surveillance, censure, répression). • Elle réactive l’imaginaire de la Guerre froide, sans en assumer les causes ni les responsabilités historiques.
Conséquence sur le réel : • Justifie la guerre économique contre la Russie. • Prépare les populations à une guerre chaude, voire nucléaire. • Efface toute critique légitime de l’Occident, des États-Unis, de l’Ukraine, de l’OTAN. • Écrase la mémoire des peuples russes, de leur culture, de leur histoire.
Et surtout : Elle fabrique un faux choix : “Soit tu es avec nous, soit tu es avec le tyran.”
Stratégie de contre-attaque :
1. Replacer les faits dans l’histoire : “Qui a envahi la Serbie, la Libye, l’Irak, la Syrie ?” “Qui a brisé les accords de Minsk ? Qui a élargi l’OTAN aux frontières russes ?”
2. Distinguer l’homme et le pays : – “On peut critiquer Poutine, sans avaliser l’OTAN.” – “On peut refuser une guerre mondiale sans être pro-Kremlin.”
3. Déjouer l’amalgame émotionnel : “Le mot dictateur ne résout rien. Il évite seulement de poser les vraies questions.”
Fiche #03 – « Israël a le droit d’exister »
Effet recherché :
Transformer un projet politique et militaire (le sionisme) en principe moral incontestable. Rendre sacrée une revendication géopolitique. Disqualifier toute critique comme étant de la haine.
Analyse logique :
Cette formule inverse la légitimité : • Elle part d’un État (créé en 1948 dans la guerre) • Pour en faire une entité intouchable, • Au nom d’un droit absolu à l’existence.
Mais… Aucun autre État au monde ne réclame un “droit d’exister”. Pourquoi ? Parce que les États n’ont pas d’âme. Les peuples, oui.
Un individu a un droit à la vie. Un peuple a un droit à la mémoire.
Mais un État-nation récent, né d’une colonisation, d’un nettoyage ethnique et d’un plan mondialiste, n’a pas droit d’être sacralisé par principe.
Fonction symbolique :
• Elle efface le droit au retour des Palestiniens. • Elle impose un silence sur la Nakba (1948). • Elle interdit d’examiner les lois raciales de l’État juif. • Elle renverse le sens du mot “antisémitisme” : ce ne sont plus les actes qui comptent, mais les idées.
Et si tu demandes : “Dans quelles conditions Israël a été créé ?” “Pourquoi Jérusalem est-elle déclarée capitale exclusive ?”
alors tu es automatiquement désigné comme ennemi.
Conséquences sur le réel :
• La formule a neutralisé le droit international. • Elle a légitimé un régime d’apartheid reconnu par de nombreuses ONG (dont Amnesty et HRW). • Elle protège une expansion coloniale continue, sous couvert de légitimité existentielle.
Et surtout :
Elle empêche toute solution juste, car celui qui veut la justice devient un “ennemi de l’existence”.
Stratégie de contre-attaque :
1. Réaffirmer le bon niveau de droit : “Ce sont les peuples qui ont un droit à exister. Pas les projets militaro-religieux imposés par l’histoire.”
2. Distinguer peuple et État : – “Le judaïsme n’est pas le sionisme.” – “Israël n’est pas le peuple juif.” – “Critiquer Israël, ce n’est pas vouloir sa disparition, c’est refuser sa domination armée et exclusive.”
3. Retourner la question : “Et les Palestiniens ? Ont-ils, eux, le droit d’exister ? D’exister librement, sur leurs terres ?”
Fiche #04 – « Nous sommes une civilisation judéo-chrétienne »
Effet recherché :
• Créer une illusion de continuité entre deux traditions profondément distinctes. • Fabriquer une identité morale de substitution à l’Europe post-chrétienne. • Empêcher toute critique du judaïsme ou du sionisme, en la plaçant au cœur même de l’Occident.
Analyse logique :
Cette formule repose sur une superposition trompeuse :
• Le christianisme est issu du judaïsme historiquement, mais il le dépasse théologiquement. • Il ne s’y rattache pas, il le contredit : • Le judaïsme nie l’incarnation, la croix, la résurrection. • Le christianisme affirme que l’ancienne loi est accomplie (cf. Matthieu 5:17).
La formule est donc un contresens théologique et une manipulation historique.
Fonction symbolique :
• Elle efface la spécificité du Christ, diluée dans une tradition vague, “abrahamique”. • Elle justifie l’alliance politique avec Israël, au nom de “racines communes”. • Elle empêche toute réflexion sur la rupture spirituelle opérée par le Christ. • Elle remplace la foi chrétienne par une sorte de morale républicaine judéo-compatible.
C’est un cheval de Troie linguistique. Une étiquette qui permet d’effacer la Croix, le Salut, l’Église, le Pardon.
Conséquences sur le réel :
• Le christianisme devient une culture, pas une foi. • L’Europe devient un projet communautaire hybride, sans transcendance. • Les lois, la politique, la mémoire sont réécrites sous influence. • L’inversion morale devient possible : on peut tuer, mentir, trahir au nom de valeurs judéo-chrétiennes.
Et surtout :
Cette formule permet à l’Occident de servir des intérêts étrangers, tout en croyant défendre ses “racines”.
Stratégie de contre-attaque :
1. Nommer la rupture : “Le Christ ne fonde pas une alliance avec le judaïsme, il annonce son accomplissement.”
2. Rétablir la vérité historique : – “La formule ‘judéo-chrétien’ n’a été utilisée positivement qu’après 1945.” – “Avant, elle servait à nommer une tension, une opposition, une fracture.”
3. Dévoiler la manipulation : “Ce slogan n’est pas là pour unir. Il est là pour interdire de penser ce qui s’oppose, ce qui sépare, ce qui résiste.”
Fiche #05 – « L’extrême droite menace la République »
Effet recherché :
• Éviter toute remise en cause de l’ordre établi. • Réduire toute critique du système à un fantasme fasciste. • Garder le pouvoir au centre (macronien, technocratique, atlantiste), tout en prétendant lutter contre le danger.
Analyse logique :
Cette phrase repose sur trois manipulations majeures :
1. Elle désigne un ennemi pratique : flou, constant, jamais au pouvoir, toujours menaçant.
2. Elle place la République au-dessus du peuple : on ne défend plus la liberté ou la justice, mais une abstraction administrative.
3. Elle retarde toute vraie bascule politique : “Votez pour nous, sinon c’est la fin.”
C’est une formule de chantage démocratique : “On est mauvais, mais eux sont pires.”
Fonction symbolique :
• Elle évite de parler du fond (guerre, inflation, corruption, censure). • Elle permet de criminaliser l’opposition, surtout quand elle vient du peuple. • Elle relie le passé nazi au présent critique, même sans lien réel. • Elle empêche de dire des vérités simples : sur l’immigration, l’identité, l’insécurité, la souveraineté.
Et surtout : Elle permet au système d’être autoritaire… tout en prétendant combattre l’autoritarisme.
Conséquences sur le réel :
• On légitime la censure, la surveillance, l’arbitraire, au nom de l’antifascisme. • On interdit de débattre des sujets essentiels : frontières, langue, natalité, culture. • On décrédibilise les voix populaires, même non-violentes. • On laisse croître un vrai ressentiment, jusqu’à l’explosion — qui, ironie, pourra servir ensuite à dire : “On vous l’avait bien dit !”
Stratégie de contre-attaque :
1. Demander des preuves concrètes : “Quel pouvoir a eu l’extrême droite depuis 40 ans ?” “Qui ferme les médias ? Qui surveille les réseaux ? Qui interdit la rue ?”
2. Retourner la question : “Si la République est si forte… pourquoi a-t-elle peur d’un tweet ?” “Si l’extrême droite est un danger… pourquoi lui donner autant d’antenne ?”
3. Réclamer des débats de fond : “Parlons de souveraineté, pas de nostalgie nazie.” “Parlons de liberté, pas de peur recyclée.”
Fiche #06 – « Il ne faut pas faire d’amalgame »
Effet recherché :
• Fermer toute réflexion générale à partir d’un cas particulier. • Paralyser l’analyse, même quand elle est logique, documentée ou légitime. • Créer une zone émotionnelle sensible dans laquelle la pensée devient suspecte.
Analyse logique :
Cette formule repose sur un raisonnement truqué mais séduisant :
• Partir d’un cas isolé pour refuser la généralisation, même quand les faits sont massifs. • Présenter toute mise en lien comme une injustice morale, même si elle est statistiquement fondée.
Elle ne nie pas les faits. Elle nie le droit d’en parler ensemble.
Fonction symbolique :
• Elle sanctuarise certains sujets (religion, immigration, genre, Israël). • Elle criminalise les liens entre éléments du réel. • Elle empêche de voir les structures derrière les faits.
Et surtout : Elle inverse la charge de (la preuve…)
Ce n’est plus le crime qui choque, c’est celui qui ose le nommer.
Conséquences sur le réel :
• Empêche de tirer des enseignements d’événements répétés. • Déconnecte les faits de leur contexte. • Rend toute pensée atomisée, individualisée, sans perspective. • Et donc, inoffensive.
Exemples typiques :
• Une agression par un maghrébin → “Pas d’amalgame avec l’immigration.”
• Une dérive bancaire ou une escroquerie (brouteurs) avec un banquier binational, réfugié depuis en Israël → “Pas d’amalgame avec les Juifs.”
• Un scandale sanitaire avec corruption de politique par big pharma → “Pas d’amalgame avec les institutions.”
• Un attentat avec « free Palestine » → “Pas d’amalgame avec l’islam.” (Mais chaudement recommandé discrètement …)
Résultat :
On n’amalgame plus. On oublie.
Stratégie de contre-attaque :
1. Reformuler calmement : “Ce n’est pas un amalgame. C’est une mise en relation logique entre des faits récurrents.”
2. Reprendre le vocabulaire adverse : “Si un homme bat une femme, on dit ‘les violences faites aux femmes’. Est-ce un amalgame ?”
3. Inverser le piège moral : “C’est justement en refusant de faire des liens qu’on protège les criminels et qu’on condamne les innocents à revivre ça.”
Fiche #07 – « La science dit que… »
Effet recherché :
• Clore toute discussion sans avoir à l’argumenter. • Remplacer la pensée critique par une soumission à l’autorité technique. • Présenter des modèles, hypothèses ou consensus provisoires comme des vérités absolues.
Analyse logique :
“La science dit que…” n’a aucun sens, en soi.
Pourquoi ?
Parce que la science : • ne parle pas, • ne pense pas, • ne tranche pas sans débat.
Elle est méthode, expérimentation, réfutation.
Dire “la science dit” revient à invoquer un oracle, alors qu’il s’agit toujours : – d’un scientifique, – d’une étude, – d’une modélisation (souvent financée, souvent biaisée).
Fonction symbolique :
• Remplacer Dieu par le laboratoire. • Substituer l’autorité du vrai par l’autorité de ceux qui en vivent. • Empêcher le citoyen d’interroger les conséquences, les intérêts, les financements.
Elle permet aussi de dire : “Tu n’es pas qualifié pour discuter.”
Même quand il s’agit de ton propre corps, de tes enfants, de ta liberté.
Conséquences sur le réel :
• Justifie des lois liberticides au nom du “progrès”. • Légitime des traitements imposés, même expérimentaux. • Protège les intérêts des multinationales pharmaceutiques. • Censure les chercheurs indépendants. • Discrédite toute parole issue de l’expérience concrète : malade, parent, professeur, lanceur d’alerte.
Et surtout : Elle crée une nouvelle caste d’intouchables : les “experts”. Même quand ils se trompent.
Stratégie de contre-attaque :
1. Rappeler l’histoire des erreurs scientifiques : “L’amiante, le Distilbène, le sang contaminé, c’était aussi “la science” qui parlait…”
2. Exiger des noms, pas des slogans : “La science dit ? Quelle étude ? Quel auteur ? Quel lien d’intérêt ?”
3. Redonner sa place à la science véritable : “La science, c’est la remise en question permanente. Si elle devient dogme, ce n’est plus la science — c’est une religion sans transcendance.”
Fiche #08 – « La Russie veut envahir l’Europe »
Effet recherché :
• Créer une peur géopolitique massive pour justifier : – l’OTAN, – la militarisation, – la censure, – les sanctions. • Effacer l’histoire récente, notamment les agressions commises par l’Occident. • Rendre toute voix favorable à la paix suspecte ou traîtresse.
Analyse logique :
Cette formule repose sur un récit hystérique mais efficace : “Si la Russie a attaqué l’Ukraine, elle attaquera la Pologne, puis l’Allemagne, puis Paris.”
Or :
• La Russie n’a jamais attaqué un pays de l’OTAN. • Elle a demandé en 2021 des garanties de non-extension à l’est. • Elle réagit à des décennies de provocations et d’encerclement stratégique.
L’inversion est totale : la défense devient agression, l’agresseur devient protecteur.
Fonction symbolique : • Elle réactive la peur de l’Empire du mal, comme à l’époque soviétique. • Elle permet de souder l’Europe derrière les États-Unis, contre son propre intérêt. • Elle transforme les peuples pacifiques en otages émotionnels.
Et surtout :
Elle permet à ceux qui détruisent la paix… de se présenter comme garants de la paix.
Conséquences sur le réel :
• Justification d’un soutien illimité à l’Ukraine, même au prix de la ruine des Européens. • Entraînement de l’opinion à accepter la guerre totale, voire nucléaire. • Destruction des ponts diplomatiques avec la Russie. • Multiplication des lois contre les opinions “pro-russes”. • Transformation des journalistes, artistes, chercheurs russes en suspects permanents.
Et dans l’ombre, toujours :
Des marchés d’armement florissants, des industries du chaos qui prospèrent.
Stratégie de contre-attaque :
1. Rétablir les faits historiques : “Qui a bombardé Belgrade ? Qui a envahi l’Irak ? Qui a brisé les accords de Minsk ?”
2. Poser la bonne question : “Pourquoi la Russie n’a-t-elle jamais attaqué un pays de l’OTAN, malgré 30 ans d’humiliation stratégique ?”
3. Montrer les gagnants réels : “Qui profite de cette peur ? Les peuples d’Europe… ou les industries américaines et les politiciens de l’OTAN ?”
Fiche #09 – « L’Ukraine défend nos valeurs »
Effet recherché :
• Transformer une guerre géopolitique en combat moral. • Présenter l’Ukraine comme un rempart de l’Occident civilisé contre la “barbarie russe”. • Justifier un soutien illimité, aveugle, et coûteux, sans jamais expliquer pourquoi.
Analyse logique :
La formule repose sur une illusion de valeurs communes, sans jamais les nommer.
Quelles valeurs exactement ?
• Les droits de l’homme ? • La démocratie ? • La liberté de la presse ? • La non-corruption ?
Or, l’Ukraine :
– a interdit les partis d’opposition, – a fermé des médias, – a nationalisé les chaînes d’info, – est classée parmi les pays les plus corrompus d’Europe, – utilise des milices néonazies intégrées à l’armée (ex : Azov), – interdit l’usage public de la langue russe, – et emprisonne ses opposants et ses prêtres orthodoxes.
Donc de quelles valeurs parle-t-on ? Celles des citoyens européens… ou celles de leurs dirigeants ?
Fonction symbolique :
• Cette phrase émotionnalise un conflit d’intérêts géostratégiques. • Elle déshumanise la Russie, réduite à l’anti-valeur par excellence. • Elle empêche toute critique du camp ukrainien, même documentée.
C’est un chèque en blanc idéologique.
Conséquences sur le réel :
• Des dizaines de milliards d’euros sont envoyés à Kiev sans débat démocratique. • L’Europe entre dans une logique de guerre prolongée, contre son intérêt vital. • Les peuples européens paient l’inflation, l’énergie chère, et les coupures budgétaires. • Les Ukrainiens eux-mêmes sont sacrifiés dans une guerre interminable, au nom de valeurs… qu’ils n’ont même plus le droit de définir.
Et surtout :
Les vrais enjeux (territoriaux, stratégiques, historiques) sont cachés sous un vernis moral.
Stratégie de contre-attaque :
1. Demander des précisions : “Quelles valeurs exactement ? Qui les incarne ? Qui les a décidées ?”
2. Montrer les contradictions : “Vous parlez de démocratie, mais vous soutenez un régime qui interdit l’opposition.” “Vous parlez de liberté, mais vous menacez ceux qui doutent.”
3. Recentrer le débat sur la paix : “Peut-on défendre des valeurs… en alimentant une guerre mondiale ?”
Fiche #10 – « Le Hamas utilise les civils comme boucliers »
Effet recherché :
• Justifier les bombardements massifs sur des zones civiles. • Déshumaniser les Palestiniens, en les présentant comme responsables de leur propre mort. • Blanchir l’armée israélienne, en renversant la charge du crime.
Analyse logique :
Cette phrase fonctionne comme une permutation stratégique : • Ce n’est pas l’agresseur qui est coupable, • c’est la victime, pour ne pas être assez loin de l’agresseur.
Mais à Gaza, l’espace est ultra-dense, bloqué, fermé, sous blocus depuis 17 ans. Il n’y a nulle part où fuir. Et les infrastructures (hôpitaux, écoles, immeubles) sont ciblées délibérément, sous prétexte qu’un combattant y serait passé.
Donc la logique est absurde : “Si un civil meurt, c’est qu’il n’était pas assez loin du Hamas. Donc c’est sa faute.”
Fonction symbolique :
• Elle efface la distinction entre civil et combattant, côté palestinien. • Elle transforme toute Gaza en zone légitime à raser. • Elle immunise Israël contre le droit international, en invoquant le prétexte moral ultime : “On voulait frapper un terroriste.”
Et surtout : Elle criminalise les morts, en exonérant les tueurs.
Conséquences sur le réel :
• Des milliers d’enfants tués deviennent invisibles dans les bilans officiels. • L’armée israélienne parle de “dommages collatéraux” en bombardant des écoles, des hôpitaux, des lieux religieux. • Le récit dominant inverse la perception :
Ce n’est plus Israël qui commet des crimes, c’est Gaza qui les provoque en osant exister. Cette phrase est une arme rhétorique de guerre.
Elle tue avant, pendant, et après les frappes.
Stratégie de contre-attaque :
1. Rappeler les données physiques : “Gaza est l’un des territoires les plus densément peuplés du monde. Où fuir ? Sous quelle tente ? Sous quelle pluie de drones ?”
2. Montrer la réalité de l’asymétrie : “Une armée de haute technologie, face à une population enfermée, affamée, interdite de sortie.”
3. Retourner la formule : “Si un enfant dans une école est une cible parce qu’un homme armé est passé par là… alors toute la population devient une cible. Ce n’est plus une guerre. C’est une extermination lente et justifiée.”
Fiche #11 – « Le complotisme tue »
Effet recherché :
• Criminaliser toute pensée critique en dehors du narratif dominant. • Faire du doute une pathologie sociale. • Assimiler les chercheurs de vérité aux extrémistes, voire aux meurtriers.
Analyse logique :
La formule est parfaitement piégée, car elle fonctionne en enchaînement émotionnel :
1. Quelqu’un doute d’un discours officiel. 2. Un autre, influencé, refuse d’obéir. 3. Un événement dramatique se produit (maladie, attaque, fake news). 4. Donc : le doute a tué.
Mais on inverse la causalité :
Ce n’est pas la manipulation qui tue, c’est celui qui la dénonce.
Fonction symbolique :
• Elle protège les mensonges d’État, les corruptions, les collusions, les erreurs. • Elle discrédite tous les lanceurs d’alerte, sans jamais traiter leurs arguments. • Elle fait peur à ceux qui écoutent encore : “Si tu lis ça, tu deviendras dangereux.”
Et surtout :
Elle remplace le débat rationnel par la terreur morale : “Penser comme eux, c’est tuer.”
Conséquences sur le réel :
• Des médias entiers sont censurés, supprimés, interdits. • Des citoyens sont exclus, licenciés, isolés. • Des scientifiques, historiens, journalistes sont calomniés, poursuivis, effacés. • Toute objection devient une faille psychologique suspecte.
Le complotisme devient un mot-fourre-tout pour désigner : – les curieux, – les indépendants, – les courageux.
Et l’ennemi, ce n’est plus le mensonge. C’est celui qui ne s’y soumet pas.
Stratégie de contre-attaque :
1. Redéfinir les mots : “Penser que des puissants se coordonnent pour défendre leurs intérêts n’est pas un délire — c’est l’histoire humaine.”
2. Retourner l’accusation : “Ce ne sont pas les complotistes qui ont imposé les passes, les couvre-feux, les bombardements ou les mensonges médicaux.”
3. Demander des faits : “Qui a tué ? Quelle pensée critique ? Quelle vidéo ? Montrez les preuves. Ou cessez de tuer la pensée avec des slogans.”
Les lanceurs d’alerte ne sont jamais décorés.
Ils sont suspendus, bannis, ruinés, emprisonnés, ou “retrouvés morts”.
« ils ont pris ce qui était un cri de justice, et l’ont rebaptisé harcèlement. Ils ont transformé l’alerte en attaque, la question en crime, et la vigilance en persécution. Mais Jésus disait : “Si eux se taisent, les pierres crieront.” Alors qu’ils posent toutes les lois qu’ils veulent, ce n’est pas le harcèlement qui les menace, c’est la vérité qui s’approche. »
Cagnotte B. SCHOLLER / BRIGITTE
Fiche #12 – « On ne peut pas comparer »
Effet recherché :
• Interdire toute mise en parallèle entre des événements passés et présents. • Empêcher de voir les récurrences, les analogies, les dynamiques identiques. • Rendre chaque scandale hors de toute histoire, donc sans leçon ni alarme possible.
Analyse logique :
Comparer n’est pas assimiler, ni égaliser.
Comparer, c’est : – repérer des structures, – anticiper des dérives, – nourrir la conscience collective.
Mais cette phrase veut faire croire que toute comparaison est une injure.
Exemple typique :
“Comparer le pass sanitaire au régime de Vichy, c’est indécent !” “Comparer Gaza au nazisme, c’est honteux !”
Le réel n’est plus structuré : il est morcelé à volonté, en fragments émotionnels incomparables.
Fonction symbolique :
• Elle coupe la mémoire : plus rien ne peut éclairer le présent. • Elle immunise les puissants contre les alertes historiques. • Elle relègue les témoins lucides au rang d’insensibles ou de fanatiques.
Et surtout : Elle fait du passé un musée, pas un miroir.
Conséquences sur le réel :
• Le totalitarisme peut revenir sans être nommé, puisqu’on ne peut pas le comparer. • Le fascisme peut changer de forme, et ne jamais être reconnu. • Les peuples oublient les signes avant-coureurs, les mécanismes d’engrenage.
Les camps ne sont plus comparables. Les lois d’exception ne sont plus comparables. Les pogroms, les purges, les silences…ne peuvent plus servir d’alerte.
Donc : ils recommencent.
Stratégie de contre-attaque :
1. Rappeler la fonction des comparaisons : “On compare pour éviter. Pas pour banaliser.”
2. Poser une vraie question : “Pourquoi une comparaison vous dérange-t-elle tant ? Parce qu’elle est fausse… ou parce qu’elle vous force à penser ?”
3. Redonner leur poids aux mots : “Si Gaza n’est pas un ghetto, si le passe sanitaire n’est pas un contrôle social, si l’exclusion numérique n’est pas une discrimination… alors que reste-t-il ? Une langue morte. Et un peuple sans mémoire.”
Fiche #13 – « Il faut fact-checker »
Effet recherché :
• S’approprier le monopole de la vérité sous couvert de rigueur. • Filtrer l’information en temps réel sans passer par la justice, ni le débat. • Déléguer à des acteurs privés le pouvoir de décider ce qui est vrai.
Analyse logique :
Le “fact-checking” part d’un bon principe : Vérifier les faits. Croiser les sources. Rechercher la vérité.
Mais en réalité, la majorité des plateformes de fact-checking : – sont financées par des États, des GAFAM ou des fondations liées à des lobbys, – ne vérifient pas objectivement, – mais délégitiment tout contenu qui dérange.
Ce n’est pas une enquête. C’est un tampon idéologique.
Fonction symbolique :
• Elle donne une apparence neutre et scientifique à des pratiques de censure ciblée. • Elle transforme l’argument politique ou philosophique en “infox”. • Elle permet aux plateformes d’invisibiliser sans dire qu’elles censurent.
Et surtout : Elle retire aux citoyens leur droit à l’interprétation du réel.
Conséquences sur le réel :
• Le doute devient suspect. • La nuance disparaît. • Les lanceurs d’alerte sont automatiquement “débunkés”. • Les phrases piégées (comme celles de ce dictionnaire) sont protégées par le “fact-checking”. • L’histoire elle-même peut être réécrite en temps réel, puisque les versions antérieures sont effacées des résultats de recherche.
C’est une arme douce, mais d’une puissance redoutable.
Stratégie de contre-attaque :
1. Exiger transparence et neutralité : “Qui finance votre vérification ? Quelles sont vos sources ? Pourquoi ne pas vérifier aussi les officiels ?”
2. Dévoiler la sélection des cibles : “Pourquoi seuls les discours dissidents sont-ils systématiquement contrôlés ?”
3. Dénoncer l’illusion : “Le fact-checking ne cherche pas la vérité. Il cherche à imposer celle des dominants.”
Fiche #14 – « Il n’y a pas de preuve que… »
Effet recherché :
• Geler tout débat dès qu’il commence. • Inverser la charge de la preuve, en exigeant des certitudes immédiates là où l’on veut justement enquêter. • Rendre toute vérité émergente invisible, risible ou diffamatoire.
Analyse logique :
Dire « il n’y a pas de preuve que… » ne signifie ni que c’est faux, ni que personne n’a cherché, ni que les faits n’existent pas.
Cela signifie souvent :
– que personne ne veut voir, – que les données sont bloquées, – ou que les preuves ont été détruites ou disqualifiées.
En justice, on dit que l’absence de preuve n’est pas preuve de l’absence.
Mais dans les médias, c’est devenu : “Pas de preuve = fin de la discussion.”
Fonction symbolique :
• Elle transforme la recherche de vérité en délire paranoïaque. • Elle évite toute poursuite judiciaire sérieuse. • Elle disqualifie les faits dérangeants (violences policières, effets secondaires, conflits d’intérêts, fraudes électorales).
Et surtout :
Elle protège les puissants derrière le silence.
Conséquences sur le réel : • Ceux qui dénoncent des abus sont traités de “sans preuve”, même s’ils sont plusieurs, cohérents, crédibles. • Les preuves deviennent suspectes par leur origine : s’il ne s’agit pas d’une source institutionnelle, elles ne comptent pas. • Le mensonge n’est plus un danger, car le soupçon devient interdit.
Et à terme :
Seul ce qui est validé par le pouvoir devient prouvable.
Stratégie de contre-attaque :
1. Retourner la formule : “Il n’y a pas de preuve ? Parce que personne n’en cherche. Parce que ceux qui cherchent sont censurés.”
2. Exiger la liberté de recherche : “Si vous ne laissez pas enquêter, comment les preuves peuvent-elles exister ?”
3. Citer l’histoire récente : “Il n’y avait pas de preuve des camps chinois… jusqu’à ce qu’ils soient filmés.” “Il n’y avait pas de preuve des effets secondaires… jusqu’à ce que des milliers de morts soient recensés.”
Fiche #15 – «Il faut savoir raison garder»
Effet recherché :
• Étouffer toute réaction vive, urgente ou dérangeante. • Présenter la colère, la lucidité ou la vérité crue comme excessive. • Renverser la responsabilité : ce n’est plus le crime qui choque, c’est celui qui le dénonce.
Analyse logique :
Cette phrase ne dit rien de faux en soi. Mais elle est utilisée au mauvais moment, contre les mauvaises personnes.
Elle devient une arme de refroidissement moral :
• Quand une injustice éclate, • Quand un fait est insoutenable, • Quand un scandale doit sortir, … on ne s’indigne pas :
« Gardons raison. Restons mesurés. Ne nous emportons pas. »
Mais qui garde raison face à un crime ? Qui reste calme devant le sang ? Qui mesure un mensonge quand il tue ?
Fonction symbolique :
• C’est un manteau de politesse sur une agonie. • Elle valorise la passivité comme preuve d’intelligence. • Elle médicalise l’élan vital : penser avec le cœur devient “déraisonnable”.
Et surtout :
Elle permet à ceux qui ne veulent rien faire de se croire plus sages que ceux qui agissent.
Conséquences sur le réel :
• Les crimes se répètent sans résistance, • La souffrance devient un objet d’étude, pas un appel à la justice, • Les Justes sont perçus comme “exaltés”, • Les puissants gagnent du temps — et donc du pouvoir.
Cette phrase est la cape grise du renoncement.
Stratégie de contre-attaque :
1. Nommer l’inversion : “Ce n’est pas moi qui perds la raison. C’est ce monde qui l’a vendue.”
2. Citer l’histoire : “Les Justes n’ont pas ‘gardé raison’ face à la Shoah. Luther King n’a pas gardé raison face à la ségrégation. Les résistants n’ont pas gardé raison face à Vichy.”
3. Poser la vraie question : “La raison de quoi ? Pour garder quoi ? Pour que rien ne change ?”
Fiche #16 – « Il ne faut pas essentialiser »
Effet recherché :
• Interdire de nommer les constantes structurelles (comportements, cultures, croyances, idéologies). • Présenter toute observation répétée comme un préjugé ou un racisme latent. • Interdire toute généralisation sauf quand elle arrange le pouvoir.
Analyse logique :
Cette formule repose sur une confusion volontaire : Observer un comportement récurrent, ce n’est pas figer l’essence d’un peuple ou d’un individu. Mais cette phrase transforme toute analyse collective ou culturelle en accusation morale.
Et surtout :
Elle s’applique toujours dans un sens unique :
– On ne doit pas essentialiser certaines communautés, – mais on peut essentialiser l’homme blanc, le chrétien, le Russe, le patriarche, le rural.
Fonction symbolique :
• Elle remplace la connaissance par la honte. • Elle empêche de voir les logiques profondes (tribales, religieuses, historiques, géographiques). • Elle permet de nier les racines des conflits : “ce ne sont que des individus.”
Et surtout :
Elle exonère les systèmes destructeurs, au nom du refus de la “stigmatisation”.
Conséquences sur le réel :
• Impossible de parler de certains groupes sans être taxé de haine. • Impossible de penser des stratégies collectives, car tout serait “réductionniste”. • L’éducation, la sécurité, la justice deviennent aveugles aux dynamiques de groupe. • Les élites idéologiques, elles, essentialisent à volonté… mais pour accuser.
Stratégie de contre-attaque :
1. Reprendre le mot avec rigueur : “Nommer une dynamique historique ou culturelle, ce n’est pas figer une essence. C’est refuser l’amnésie.”
2. Pointer l’usage à sens unique : “On peut essentialiser l’homme blanc, le chrétien, le conservateur — mais pas un extrémiste religieux ? Pourquoi ?”
3. Redonner au réel son poids : “Si on ne peut plus rien nommer, on ne peut plus rien éviter. Et le mal se répète — sans nom, sans visage, sans mémoire.”
Fiche #17 – « Ce sont des valeurs universelles »
Effet recherché :
• Déguiser des valeurs occidentales, libérales ou individualistes en normes absolues. • Légitimer l’ingérence politique, militaire, culturelle au nom du “bien commun”. • Réduire tout refus à une “barbarie”, une “arriération”, une “menace pour l’humanité”.
Analyse logique :
Cette formule repose sur une usurpation de légitimité :
Ce qui a été pensé, voté ou promu en Europe ou aux États-Unis devient la mesure de l’humanité.
Mais ces “valeurs” :
– sont historiquement récentes, – politiquement situées, – et largement contestées dans d’autres civilisations.
L’universel n’est pas ce qui est exporté. C’est ce qui est reconnu librement, au-delà des frontières.
Fonction symbolique :
• Elle immunise les institutions dominantes (ONU, UE, OTAN, FMI, GAFAM). • Elle criminalise toute résistance culturelle, religieuse, traditionnelle. • Elle camoufle des intérêts de domination sous un vernis moral.
Et surtout : Elle rend la critique impossible sans passer pour un “ennemi de l’humanité”.
Conséquences sur le réel :
• La souveraineté devient une hérésie. • Les peuples enracinés deviennent des archaïsmes. • Les résistants deviennent des fascistes. • Le modèle occidental, en crise, continue d’être exporté de force… au nom de l’universel.
Stratégie de contre-attaque :
1. Demander la liste précise des valeurs : “Quelles sont ces valeurs universelles ? L’avortement ? L’open-bar migratoire ? La surveillance numérique ? L’individualisme ?”
2. Rappeler le pluralisme historique réel : “L’Inde, la Russie, la Chine, l’Iran, l’Afrique, le monde musulman… doivent-ils tous se dissoudre pour entrer dans votre vision de l’universel ?”
3. Redonner son vrai nom à l’uniformisation : “Ce ne sont pas des valeurs universelles. C’est un logiciel impérial qui exige soumission.”
A suivre (dans la version actualisée de cette lettre)
Fiche #18 – « Il faut protéger la démocratie »
Fiche #19 – « Tout le monde peut se tromper »
Fiche #20 – « On ne pourra jamais savoir »
De la justice des élites prédatrices françaises (1)
Dans nombre de pays en Occident, c'est l'agenda transhumaniste qui sert de boussole pour des nations obsédées par une vision mondialiste de nature technocratique et déshumanisée du progrès. Elles ne regardent avec sympathie et mansuétude que les individus considérés comme compatibles avec cette perspective inhumaine, laissant les autres – citoyens, victimes, ou résistants – face à une justice qui plie sous le poids des puissants. Quelques exemples pour l'illustrer.
. Dans l’affaire de la Chlordécone, un produit chimique dangereux utilisé comme pesticide dans les plantations de bananes en Martinique et en Guadeloupe jusque dans les années 1990, et ce même après qu’on a su qu’il était toxique, qui a pollué l’eau, la terre, et rendu des gens malades, notamment avec des cancers, la justice en 2023 a décidé d’un non-lieu suite à la plainte déposée par des habitants contre l’État, qui disaient que les autorités avaient laissé faire trop longtemps. Résultat, pas de procès, pas de responsables désignés.
. Les Mutuelles de Bretagne concernent Richard Ferrand, un ancien socialiste ayant fait le choix opportun de jouer la carte Macron. Dans les années 2010, alors qu’il dirigeait cette mutuelle – une sorte d’assurance santé privée –, il aurait arrangé un deal immobilier pour que la mutuelle loue un bâtiment appartenant à sa compagne. Ça lui a rapporté de l’argent indirectement, ce qui est douteux quand on gère des fonds collectifs. En 2017, quand Macron est devenu président, Ferrand a été ministre, puis président de l’Assemblée nationale, avant que d'être nommé au Conseil constitutionnel en 2025. Une enquête avait été ouverte, mais en 2019, elle s’est terminée par un non-lieu.
A noter qu'après avoir quitté son poste de président de l’Assemblée nationale en 2022, il a gagné 380 000 euros en un an pour des "consultances" – des conseils payés – venant de l’étranger. C’est une somme énorme, et on ne sait pas vraiment qui l’a payé ni pourquoi. La justice n’a pas cherché à en savoir plus.
. Gérald Darmanin, ex sarkozyste rallié, devenu ministre de l’Intérieur macroniste en 2020. Il avait vu en 2017 une femme raconter qu’en 2009, en sa qualité de maire d’une ville du nord, Tourcoing, il lui aurait proposé de l’aider dans un problème judiciaire en échange de faveurs sexuelles. Si Darmanin a bien admis une relation avec elle, il a nié avoir promis quoi que ce soit. Une enquête a été ouverte, mais elle a été "classée sans suite", ce qui veut dire que la justice a décidé de ne pas aller plus loin. Il n’a même pas été mis en examen.
. En 2017, la macroniste Muriel Pénicaud dirigeait l'agence publique d'aide aux entreprises françaises à l’étranger Business France. Elle avait organisé à ce titre en 2016, quand Emmanuel Macron était ministre de l’Économie, un grand événement à Las Vegas pour lui, avec des stars et des chefs d’entreprise. Problème : le contrat, qui coûtait des centaines de milliers d’euros, avait été donné à une agence sans concours, ce qui est normalement interdit pour l’argent public. Ça sentait le favoritisme. Une enquête a été lancée, mais en 2019, elle s’est arrêtée sans rien donner. Pénicaud, devenue ministre du Travail entre-temps, n’a pas été inquiétée.
. Alexandre Benalla était un garde du corps d’Emmanuel Macron pendant la campagne de 2017. En 2018, une vidéo l’a montré en train de frapper des manifestants lors d’une manifestation, alors qu’il n’était pas policier. Ça a fait un scandale énorme, et il fut condamné plus tard. Mais une autre affaire est étrange : pendant l’enquête, un coffre-fort qu’il possédait a disparu, et personne ne sait ce qu’il contenait. Plus tard, on l’a vu vivre dans des hôtels de luxe. L’enquête sur ce coffre a été classée sans suite.
. Les Gilets jaunes, des Français ordinaires qui ont manifesté en 2018-2019 contre la hausse des prix et les inégalités, ont été durement touchés par la justice. Des milliers ont été poursuivis, parfois pour des choses simples comme avoir bloqué une route. Mais les ordres de répression donnés par Édouard Philippe (Premier ministre de 2017 à 2020), Christophe Castaner (ministre de l’Intérieur à l’époque) ou Didier Lallement (chef de la police de Paris) n’ont jamais été examinés. Ces ordres ont conduit à des violences : des manifestants ont perdu des yeux ou des mains à cause de grenades ou de tirs de LBD, des armes de police. Pourtant, aucun responsable institutionnel n’a été jugé.
. Agnès Buzyn était ministre de la Santé macroniste de 2017 à février 2020, juste avant que la pandémie de COVID-19 n’arrive en France. Quand le
virus a frappé, certains ont considéré qu’elle n’avait pas fait assez pour préparer le pays (par exemple son impréparation des stocks de masques), aboutissant à des plaintes de citoyens et
d'associations pour mise en danger de vies. En septembre 2021, la Cour de cassation – la plus haute autorité judiciaire en France, qui vérifie si les lois sont bien appliquées – a permis qu’elle
soit "mise en examen", une étape où on dit officiellement à quelqu’un qu’il est suspect. C’était exceptionnel pour une ancienne ministre. Pour autant, cette décision fut annulée de façon
surprenante, et l’affaire s’est arrêtée là.
De même, toujours à propos du COVID-19, plusieurs plaintes ont été déposées contre le gouvernement, les citoyens souhaitant savoir si des erreurs – comme le manque de masques, de tests ou de lits d’hôpitaux – avaient causé des morts évitables. Une enquête a été ouverte, mais elle s’est terminée par un "non-lieu". En langage simple, un non-lieu, c’est quand la justice dit : "On arrête là, il n’y a pas assez de preuves pour accuser quelqu’un."
. Le ministre de la Justice macroniste en 2020 Éric Dupond-Moretti, dans le passé un avocat très connu surnommé "Acquittator" parce qu’il gagnait souvent ses procès, a été accusé une fois ministre par des juges d’avoir profité de son nouveau pouvoir pour se venger de magistrats avec qui il s’était jadis disputé, n'hésitant pas par exemple à lancer des enquêtes pour leur nuire. Comme en France les ministres ne sont pas jugés par des tribunaux normaux, mais par une cour spéciale - la Cour de justice de la République (CJR) - cette cour en novembre 2023 l’a déclaré non coupable, malgré des règles claires, appelées "jurisprudence", qui auraient dû mener à une sanction.
. Le Fonds Marianne est né de l'attentat horrible en 2021 à l'encontre du professeur Samuel Paty. Dans la foulée, le gouvernement avait créé ce fonds pour financer des projets contre l’extrémisme. Mais en 2023, on a découvert que des millions d’euros avaient été donnés à des associations douteuses, parfois sans résultats clairs. Une enquête a été ouverte, mais elle a été vite mise de côté, sans explications convaincantes.
. Les UberFiles viennent d’une grande enquête mondiale en 2022. Des journalistes ont révélé qu’Uber, une entreprise de taxis privés, avait eu des accords secrets avec des politiques français, dont Emmanuel Macron quand il était ministre en 2014-2016. Il aurait aidé Uber à s’installer en France, parfois en contournant les règles. Ça ressemblait à du favoritisme, mais aucune enquête judiciaire sérieuse n’a suivi.
. Laurent Bigorgne, un intellectuel influent proche du pouvoir macroniste, a été pris dans une affaire en 2022. Lors d’une soirée, il aurait mis de la drogue dans le verre de sa belle-sœur, qui a ensuite été malade. Normalement, ça peut valoir une grosse peine. Mais il s’en est sorti avec une simple amende, une sanction légère.
. En coulisses, des groupes Telegram (des applications) où des membres de cabinets ministériels – des gens qui travaillent pour les ministres – auraient envoyé des messages à des juges pour leur dire quoi faire. Certains juges auraient obéi, acceptant de fermer les yeux sur des affaires en échange de promotions rapides dans leur carrière. Ces scandales ont été étouffés discrètement, pendant que d’autres, moins puissants, étaient poursuivis sans pitié.
Le constat est que cette justice semble s’être trop souvent pliée à ce qu’on lui demandait d’en haut, oubliant qu’elle doit être indépendante.
. L’ancien président de la République Nicolas Sarkozy, figure majeure
de la politique française, est au cœur de plusieurs affaires judiciaires, dont la plus explosive concerne le financement présumé de sa campagne présidentielle de 2007 par la Libye de Mouammar
Kadhafi. Depuis janvier 2025, il est jugé à Paris pour "corruption passive", "financement illégal de campagne", "recel de détournement de fonds publics libyens" et "association de malfaiteurs".
Les enquêteurs soupçonnent qu’il ait reçu des millions d’euros illégaux du régime libyen, via des intermédiaires comme Ziad Takieddine, qui a affirmé avoir livré des valises de cash. Sarkozy a
tout nié en bloc, dénonçant un "complot" et l’absence de preuves concrètes. Par ailleurs, dans l’affaire des "écoutes", en 2014, on avait découvert qu’il utilisait un téléphone secret sous un
faux nom pour parler à son avocat, tentant d’obtenir des informations confidentielles d’un magistrat en échange d’un poste à Monaco. Une accusation lourde : corruption et trafic d’influence. En
mars 2021, le tribunal correctionnel de Paris l’a condamné à trois ans de prison, dont un an ferme – une première pour un ex-président. Mais il n’a jamais été incarcéré : la peine a été aménagée
avec un bracelet électronique, qu’il porte depuis fin 2024 après l’échec de ses appels. Et le Président a refusé que lui soit retirée la légion d'honneur tel que le prévoit son règlement en cas
de condamnation.
De la justice des élites prédatrices françaises (2)
. Jeffrey Epstein, un milliardaire américain mort en 2019, était au cœur d’un scandale mondial de trafic sexuel impliquant des puissants. En France, un de ses proches, Jean-Luc Brunel, agent de mannequins, a été accusé de viols et de complicité dans ce réseau. Arrêté en 2020, il était en prison en attendant son procès. Mais en février 2022, il a été retrouvé mort dans sa cellule, officiellement un suicide. L’enquête sur ses liens avec des élites françaises – politiques, hommes d’affaires – s’est arrêtée net. Pourtant, des victimes avaient témoigné, et des documents montraient des connexions troublantes. Pourquoi ce silence ? Beaucoup pensent que la justice a préféré protéger des noms importants plutôt que de creuser.
. L'affaire des Panama Papers a secoué le monde. En 2016, une fuite de millions de documents a révélé comment des riches et des puissants – y
compris en France – utilisaient des sociétés offshore pour cacher leur argent et éviter les impôts. Des noms comme ceux de proches de politiciens ou de grandes entreprises françaises sont sortis.
La justice a ouvert des enquêtes, et quelques petits fraudeurs ont été condamnés. Mais les gros poissons – ceux avec des avocats coûteux et des relations – ont souvent échappé aux poursuites. Les
investigations ont traîné, puis beaucoup ont été classées sans suite.
. Les Jeux olympiques de 2024 ont coûté des milliards d’euros, notamment pour nettoyer la Seine, un projet phare vendu comme une vitrine écologique. L’objectif : rendre l’eau propre pour des épreuves et des baignades publiques. Mais malgré des centaines de millions dépensés, la qualité est restée douteuse, et les résultats furent loin des promesses. Les comptes sont opaques : on ne sait pas vraiment où est passé l’argent, et les contrôles semblent avoir été inexistants. Une enquête a été évoquée, mais rien de sérieux n’a suivi. Qui peut engloutir de telles sommes sans rendre de comptes ? Ça rappelle d’autres grands projets où l’argent public s’évapore sans que personne ne soit tenu responsable.
. L’affaire François Fillon est un scandale qui a bouleversé l’élection présidentielle de 2017. Ancien Premier ministre de Nicolas Sarkozy de 2007 à 2012, Fillon était le grand favori après avoir remporté haut la main la primaire de la droite et du centre en novembre 2016. Son programme libéral et conservateur semblait taillé pour séduire une large partie des Français, et les sondages le donnaient gagnant face à Marine Le Pen ou Emmanuel Macron. Mais tout a basculé fin janvier 2017, quand Le Canard enchaîné a révélé que sa femme, Penelope, avait été rémunérée environ 831 000 euros sur quinze ans comme assistante parlementaire, sans preuves tangibles de travail réel. L’affaire, surnommée "Penelopegate", s’est aggravée avec des accusations similaires concernant deux de ses enfants, payés 84 000 euros pour des missions floues alors qu’ils étaient encore étudiants en droit. À cela s’ajoutent des costumes de luxe offerts par un ami fortuné, Robert Bourgi, d’une valeur de 13 000 euros, qui ont renforcé l’image d’un homme profitant de privilèges. Une enquête judiciaire a été ouverte à une vitesse fulgurante par le Parquet national financier, et Fillon a été mis en examen en mars 2017 pour détournement de fonds publics. Malgré ses dénégations et ses cris de "complot politique", le mal était fait : son image d’homme intègre s’est effondrée, et sa campagne a sombré. Éliminé au premier tour avec 20 % des voix, il a laissé la voie libre à Emmanuel Macron, qui a surfé sur ce chaos pour s’imposer. En 2022, la cour d’appel de Paris l’a condamné à quatre ans de prison, dont un an ferme, 375 000 euros d’amende et dix ans d’inéligibilité. La Cour de cassation a confirmé cette culpabilité en avril 2024, et un nouveau procès pour réévaluer la peine a confirmé la condamnation initiale, cette fois-ci sans prison ferme... A l'instar d'autres affaires (quasi) similaires qui sont traitées avec plus ou moins de zèle, est démontré que ce sont souvent des pièges pour compromettre et éliminer ceux qui gênent.
. Dans la mesure où presque tous les politiques traînent des casseroles, notamment financières et sexuelles, il arrive parfois que les pièges tendus à certains se retournent contre leurs propres instigateurs. C'est le cas de Dominique Strauss-Kahn. Favori pour la présidentielle de 2012 et patron du FMI, il semblait promis à l’Élysée. Mais en 2011, une accusation de viol à New York a tout bouleversé : arrestation spectaculaire, humiliation publique, et fin de sa candidature. Pourtant, faute de preuves suffisantes, les charges furent abandonnées.
Mais en coulisses, une autre affaire l’attendait : l’affaire du Carlton. Ses adversaires l’avaient soigneusement programmée pour exploser après la primaire socialiste, afin de lui barrer la route une fois désigné candidat. Un scénario taillé sur mesure pour ouvrir un boulevard au candidat Sarkozy. Sauf que l’accusation de New York a précipité sa chute bien plus tôt que prévu, bouleversant les plans. Résultat ? François Hollande, qui n’était pas censé être là, s'est retrouvé élu, presque par accident.
Et c’est là que l’effet boomerang s'est produit : Hollande, qui proclamait que son "ennemi, c’est la finance", a finalement ouvert la voie à un ancien associé-gérant de Rothschild… Emmanuel Macron. Ironie du sort, ce jeu d’influences destiné à éliminer DSK a non seulement privé la droite de son adversaire idéal, mais il a aussi façonné un paysage politique qui a échappé à ses propres architectes.
De la mafia des marchands du temple numérique
Cette mafia, plus exactement système mafieux, des marchands du temple des temps modernes, ceux de la toile numérique, a pour caractéristique d'agir en bande organisée, voyant ses membres se valoriser et se soutenir les uns les autres pour maintenir l'emprise sur leurs clients. Ce n'est certes pas une organisation criminelle caractérisée par une direction collégiale occulte, mais comme toute mafia, elle repose sur une structure spécifique, avec des parrains, des porte-flingues et des commerces illicites.
Les "parrains" sont ceux qui tirent les ficelles en haut de la hiérarchie. Ce sont les influenceurs, des figures à fort potentiel médiatique qui ont bâti leur pouvoir sur des récits déformés, des demi-vérités, au pire sur des promesses creuses. Ils dictent les règles du jeu, décident quelle version des faits doit dominer, et s’enrichissent par le continuum likes, followers, abonnements, argent et prestige en vendant leur marchandise frelatée, celle de la pseudo-vérité.
Les "porte-flingues" sont leurs lieutenants zélés, constitués de comptes anonymes venimeux appelés trolls comme de soutiens fanatiques. Ils intimident, harcèlent ou discréditent quiconque oserait contester le récit officiel des parrains.
Quant aux "commerces illicites" par-delà leur apparence de bon aloi, ils consistent à monnayer des clics, des likes et des abonnements en échange d'un contenu manipulé, souvent au mépris de toute morale. En dépit des dires de leurs promoteurs, ils ne cherchent pas à édifier une communauté pour éclairer les esprits de ses membres, mais à briller au détriment de la justice et de l’authenticité.
Leur arme principale repose sur la peur. Ils propagent des mensonges, manipulent les récits et, surtout, cherchent à effrayer ceux qui oseraient les démasquer. Ce faisant, ils parasitent l’expression libre. Sur les plateformes où chacun selon le principe de liberté peut s’exprimer, leur présence impose un climat de censure implicite. Certaines personnes sont interdites de parole – bannies, invisibilisées ("shadowbanquées") -, ou simplement noyées sous leurs attaques constantes, les vérités qui pourraient déranger, remettre en cause leur pouvoir ou leurs profits, étant étouffées avant même d’émerger. Cet espace autrefois loué par ses initiateurs pour sa liberté est ainsi devenu une sombre caverne, où règnent la loi du plus fort et la tyrannie du faux. En empêchant la vérité de circuler et en muselant les voix dissidentes, cette mafia bloque l’accès à la rencontre sincère avec ce qui est juste.
Son vrai métier consiste en fait à vendre des produits financiers, des promesses d’enrichissement rapide, des illusions bien emballées. Sa stratégie est simple, diaboliquement efficace : elle attire l'appât convoité avec de l’information bien emballée, des conseils, une fausse générosité. Une fois le lien et la confiance créés par l'outil de séduction, il s'agit de vider au maximum le quidam de son argent, en jouant sur ses espoirs qui reposent sur ses fragilités bien sûr non conscientisées. C'est le rôle de ces influenceurs qui vantent des formations à prix d’or et de ces "experts" qui promettent des lendemains enchanteurs avec des placements miracles. Tous ces bonimenteurs paradent avec leurs sourires éclatants, masquant leurs comptes en banque bien garnis leur permettant si nécessaire d’intimider, de poursuivre, de réduire au silence ceux qui pourraient révéler leurs basses œuvres.
Et comme toute mafia, ils opèrent en bandes organisées, leur solidarité de façade cachant pour autant des haines intestines. Ils savent que si l’un d’eux chute,
leur empire vacille. Aussi c’est toute la meute qui intervient lorsqu'un d'entre eux est pointé du doigt. Jamais par amitié, toujours par calcul. Certains de ces marchands ne se donnent même plus
la peine de faire preuve de rigueur intellectuelle, puisqu'ils savent que leurs abonnés, galvanisés, les ont érigés en idoles, en héros, en sauveurs. Ils les tiennent comme une drogue, une
addiction qui aveugle. Ils débitent des âneries, des raccourcis, des mensonges éhontés, et le public applaudit. C’est si facile, car ayant un troupeau docile, ils se posent en bergers qui
protègent leurs moutons des loups. Mais ils sont les loups, qui déguisés en bergers, ne sont là que pour rendre le troupeau plus malléable.
Dans cette caverne de voleurs, l’ego et le profit règnent en tyrans. Ce sont des despotes, qui ont détourné un espace public censé appartenir à tous pour en faire leur terrain de chasse.
La fin de la crypto-mania
Le "crypto" est un système privé, qui a une offre limitée jusqu’à ce qu’il soit épuisé. Il n'est pas adossé à des actifs. Sa raison d'être est d'absorber l’excès de monnaie imprimée…
Les cryptomonnaies comme le bitcoin sont une création technologique. Ceci entend que dès qu’une autre monnaie viendra remplacer le bitcoin grâce à une avancée technologique qui fera mieux le travail, il y aura une migration massive vers cette monnaie supérieure. Et comme l’innovation est constante, il est naïf de penser qu’il n’y aura jamais quelque chose de mieux. Ainsi, l’affirmation actuelle selon laquelle la valeur du bitcoin est due à son offre limitée est factuellement relative et essentiellement fausse. Car il existe aujourd’hui plus de 150 crypto-monnaies différentes sur le marché, et personne ne peut dire avec certitude laquelle s’avérera la plus talentueuse dans le monde des crypto-monnaies.
Si les crypto-monnaies ne peuvent pas être considérées comme de véritables devises, n’ayant pas d’utilité généralement acceptée, elles auront pour autant certainement leur place à l’avenir, à mesure que différents spécimens se lèveront ou tomberont à l’occasion. L’or, avec ses 5 000 ans d’histoire de fiabilité, est sans aucun doute un meilleur pari. Aussi peut-être qu’un jour nous verrons une crypto-monnaie adossée à l’or.
L’argent doit être une marchandise
Lorsque l’argent se dégrade, tout se dégrade. La banque centrale Rothschild a lancé le dollar américain et les devises papier associées sur la voie de la dépréciation en 1971.
C’est à ce moment-là qu’ils ont retiré le dollar de ses menottes dorées. Permettant au dollar de piller les poches de tout le monde, avec la contrainte supplémentaire de sanctions cruelles contre tout pays que l’État profond n’aimait pas.
Par rapport au dollar d’avant 1971, il a perdu 98 % de sa valeur.
La Fed a inondé les maisons de courtage de Wall Street, les principaux courtiers, de milliers de milliards de dollars de prêts à court terme.
Cet argent est destiné à résoudre une crise de liquidité à Wall Street qui n’a pas encore été expliquée de manière crédible au public, mais jusqu’à présent, le New York Times ne semble pas avoir affecté de journaliste d’investigation pour découvrir ce qui se passe réellement.
Seulement 17 ans après que ces mêmes maisons de courtage se soient fait exploser en 2008 lors du plus grand krach financier depuis la Grande Dépression, entraînant dans leur chute l’économie américaine et mondiale.
Prenons l’exemple des cryptomonnaies. Au début, elles étaient considérées comme un pari sur un nouveau système monétaire dans lequel les cryptomonnaies, qui n’ont pas d’existence physique mais sont limitées par la magie des mathématiques, s’avéreraient supérieures à l’or.
Cela pourrait encore s’avérer faux, et l’évolution des prix des cryptomonnaies n’est qu’une autre des nombreuses astuces manipulatrices sorties de la boîte des contrôleurs des banques centrales.
Par conséquent, si le système monétaire des banques centrales s’effondre, toutes les cryptomonnaies pourraient suivre le mouvement.
Comme les cryptomonnaies ne sont pas adossées à de l’or ou à tout autre actif de valeur, elles dépendent de l’existence continue d’un Internet électronique mondial et ne pourront jamais atteindre la valeur monétaire stable nécessaire pour remplacer les devises.
En cas de guerre, Internet sera instantanément perturbé et chaque détenteur de crypto-monnaie perdra le contrôle de son utilisation immédiate. Comme les crypto-monnaies sont cotées toutes les heures, leur prix ne souffre pas des attaques manipulatrices constantes dont sont victimes l’or et l’argent.
Cela donne l’impression que les crypto-monnaies sont acceptées par la cabale de l’État profond.
Car s’ils acceptent l’existence des crypto-monnaies, cela signifie qu’elles ne constituent pas une menace pour le système monétaire fiduciaire dont le monde dépend aujourd’hui.
De plus, ils sont utilisés pour camoufler l’impression massive de monnaie qui fait monter les prix à Wall Street, dans l’immobilier et dans les cryptos.
Et c’est là que commence la disparition des cryptos ;
« Roskomnadzor, l’organisme russe de surveillance des communications, a bloqué l’accès à la plus grande plateforme d’agrégation de cryptos du pays ».
La valeur des pièces de monnaie
Chaque pièce n’a pas d’existence indépendante comme la monnaie fiduciaire.
Si vous avez de l’argent sur un compte bancaire, vous savez que vous avez une certaine quantité de monnaie fiduciaire sur ce compte, que vous pouvez retirer plus ou moins librement, selon la nature du contrat avec votre banque.
La valeur du compte dépend de la valeur de la monnaie fiduciaire qu’il représente.
Les bitcoins et toutes les autres cryptomonnaies n’ont pas de valeur fixe. Vous ne connaîtrez la valeur totale de vos pièces que lorsque vous les aurez toutes échangées contre une somme d’argent fiduciaire.
À l’heure actuelle, le propriétaire de 1 000 bitcoins pense qu’il possède plus de 4 millions de dollars. Mais il se trompe ; il n’aura plus que 4 millions de dollars lorsqu’il les aura tous vendus pour 4 millions de dollars.
Les bitcoins ne peuvent pas être utilisés pour acheter quoi que ce soit directement à qui que ce soit ; pour acheter quoi que ce soit avec des bitcoins, vous devez trouver quelqu’un qui est prêt à les accepter comme paiement pour ce que vous voulez acheter, et pour lequel cette personne est prête à accepter des bitcoins en échange.
Dans une telle opération théorique, la personne qui offre des bitcoins lors d’un achat et celle qui les accepte lors d’une vente calculent leur échange en termes de monnaie fiduciaire, et non de bitcoins.
Ainsi, les crypto-monnaies n’ont pas d’existence indépendante comme la monnaie fiduciaire. La valeur de ces monnaies dépend de l’existence de la monnaie fiduciaire dans laquelle elles peuvent être échangées.
Par exemple, tant qu’il y aura plus d’acheteurs de bitcoins que de vendeurs, la valeur des bitcoins continuera d’augmenter, ce qui attirera davantage d’acheteurs, et leur valeur pourra monter en flèche.
Mais lorsque le moment viendra – et il viendra forcément – où il y aura plus de vendeurs que d’acheteurs, la valeur du bitcoin chutera.
Lorsque les détenteurs de ces pièces commenceront à voir une tendance à la baisse de leur valeur, il n’y aura rien ni personne pour arrêter cette tendance : les détenteurs de pièces paniqueront et se précipiteront pour vendre leurs avoirs – à d’autres détenteurs de pièces – avant que la valeur ne baisse davantage.
Alors que de plus en plus de détenteurs essaieront de vendre, il n’y aura bientôt plus d’acheteurs : personne ne voudra attraper le couteau qui tombe ! La valeur de la pièce tombera à presque rien. Comme lors de la célèbre tulipomanie des années 1600, les perdants auront au moins leurs tulipes à regarder.
L’augmentation de la « valeur » des crypto-monnaies qui a duré des mois, voire des années, prendra fin en quelques heures. Toutes ces monnaies deviendront un phénomène dans l’histoire de la spéculation de masse, connu sous le nom de mortalité de masse ultime.
Continuez à suivre cette actualité et n’hésitez pas à partager ces informations avec toutes vos connaissances : le monde change de manière inimaginable !
Que se passe-t-il si l’âme rejette complètement et veut effacer toute l’expérience acquise au cours des incarnations et, dans cet état, s’efforce de retourner à la Source ?
D’une part, il s’agit d’un processus naturel et constant de retour à l’origine. D’autre part, ce n’est pas toujours possible, et il arrive même que l’étincelle se désintègre et disparaisse. C’est toujours une grande tragédie et une perte pour tout le monde.
L’univers ne sera plus jamais le même qu’il était avec la participation de cet être. Le monde s’appauvrit. C’est comme si on enlevait une espèce de papillon de sa vie et que tout l’écosystème commençait à s’effondrer.
Étincelle
C’est pourquoi, un grand nombre d’Etoiles, fatiguées de leur unicité, font une pause pour prendre une décision finale : veulent-elles retourner à la Source ou continuer leur évolution ? C’est un dilemme très courant lorsque les âmes s’incarnent sur Terre. Déterminer sa propre position.
Confirmer ou infirmer le choix. Être ou ne pas être. Se créer une individualité dans cet univers ou s’en aller. Dans l’oubli, cela ne fait pas très mal, même si c’est terne et pas très lumineux. Je me demande si je suis une créature tremblante ou si j’ai le droit de le faire.
Combien d’âmes de ce type y a-t-il sur Terre aujourd’hui ? En moyenne, 10 % et environ 20 % de plus sont des sceptiques. Beaucoup ne sont pas intéressés par la création joyeuse et fière d’eux-mêmes à chaque action, mais s’efforcent de se dissoudre dans l’enseignement ou le mouvement d’un gourou.
Ils répètent constamment que l’incarnation actuelle est la dernière et qu’ils ne vont plus la faire. Rejetant et ne reconnaissant pas leur propre expérience, elles ne peuvent pas se voir vraiment et ont souvent des problèmes de vue.
En même temps, une personne peut être clairvoyante et guérisseuse. Mais son âme est déjà devenue désespérément lourde et pousse l’étincelle avec une force croissante vers la décomposition et la désintégration. A quelle vitesse cela se produit-il ?
Selon la force et la fréquence de l’abnégation, les perturbations peuvent durer une ou plusieurs dizaines de vies. En même temps, l’âme ne peut pas sortir du cercle des incarnations sur Terre, car elle a perdu le désir et la capacité d’évoluer, sur la base de tous les choix et décisions antérieurs.
Par exemple, comment pouvons-nous continuer à être nous-mêmes et être fiers de notre Étincelle éternelle si nous avons constamment trahi et menti, haï et renié notre moi ?
Si nous répétons stupidement et maniaquement : « je ne veux pas me souvenir », « rien d’intéressant », « il vaudrait mieux que ceci ou cela n’arrive pas » ?
Renoncement à soi
Il existe plusieurs moyens de sortir d’une telle situation. Le passage du point de non-retour, la désintégration d’une personne et la destruction de l’étincelle. Le dur labeur de la réingénierie et de la reconstruction de soi.
L’assemblage minutieux de ses propres aspects, l’élaboration de toutes les situations traumatisantes et la réévaluation de l’ensemble de sa (ses) vie(s) personnelle(s) font partie de ce processus.
Il s’agit d’éliminer tous les fragments lourds de l’expérience et de les intégrer en tant que valeur individuelle dans un modèle unique.
Tout sentiment de victimisation, du genre « je me suis retrouvé sur Terre sans le vouloir et je n’ai pas du tout voulu cela », « j’ai été attiré et forcé à m’incarner ici », bloque la possibilité d’un tel travail. Voir la préciosité de chaque incarnation est la clé universelle ici.
Purifier et recréer l’Etincelle semble être la solution parfaite à première vue. Mais cela dépend de beaucoup de nuances. Si une âme est heureuse de créer son unicité, et veut l’être, le retour à l’Un est comme un bain dans une flamme liquide qui nettoie et renouvelle.
Si l’Etincelle le désire, elle se dissoudra simplement dans la Source. Si l’âme est submergée par la lourdeur et ne peut pas ou ne veut pas essayer d’intégrer sa propre expérience, elle peut commencer à suivre la direction opposée, vers son Origine.
Et là, toutes les parties de l’Etincelle qu’elle ne veut plus être brûleront et disparaîtront. Il ne restera que ce qui ne brûle pas.
Brûlera et disparaîtra
Il faut souligner une fois de plus qu’absolument toutes les parties qui contiennent l’impulsion, le désir de disparaître et de cesser d’être, seront enlevées. S’agira-t-il de 100 %, de 90 % ou de 40 % de l’étincelle ? Personne ne le sait à l’avance.
On ne le découvrira que dans les faits. C’est pourquoi nous pouvons facilement nous retrouver dans un schéma d’intérêts, de significations et d’objectifs complètement différent de celui d’avant. Les changements peuvent être des plus radicaux.
Notre étincelle peut s’éteindre complètement et pour toujours.
Avant l’incarnation, nous savions que l’environnement terrestre était hostile, mais le souvenir de cela s’estompe progressivement lorsque nous nous immergeons dans la gravité mentale de la Terre (ou de l’Univers tout entier, si nous venons de l’extérieur).
Au niveau de l’Esprit, nous étions également sûrs que tout irait bien et que nous nous en sortirions certainement. Mais après l’incarnation, notre ego et notre âme sont souvent confrontés au véritable enfer.
Nous ne sommes pas toujours conscients de toutes les difficultés et de tous les pièges qui existent sur cette planète, qui sont invisibles d’en haut à cause du voile, ou dont le pouvoir est sous-estimé.
Il est difficile d’apprécier quelque chose que l’on n’a jamais rencontré ou que l’on ne peut pas comprendre pleinement sans un contact direct ou une immersion.
Pour cette raison, de nombreuses civilisations restent bloquées ici dans leurs incarnations, considérant le monde local comme une pépinière ordinaire qui n’est pas différente des autres en termes de complexité. Quoi qu’il en soit, lorsque nous venons ici, nous pouvons choisir notre rôle.
Il ne dépend que de nous de rester des créateurs (au mieux de nos capacités) ou de devenir des victimes des circonstances. C’est le but ultime de l’apprentissage. Chacun est maître de sa propre réalité.
Comme une crèche ordinaire
En entrant dans l’incarnation avec un fardeau d’expériences non intégrées, l’âme fait évoluer les situations en cours de route. Elle décide de rejeter l’une ou l’autre expérience comme étant sans valeur, inutile et dépourvue de sens.
Chacune de ces décisions est une question, adressée à l’Etincelle. A-t-elle bien décidé de refuser cette partie d’elle-même ? Ne connaît-elle pas la valeur de cette expérience ? Confirmera-t-elle le rejet à ce stade ?
Plus notre déception est grande, plus les événements et les circonstances seront importants et significatifs pour permettre de prendre une décision différente.
Nous devons trouver un moyen de sortir de cette situation afin de pouvoir briller davantage, devenir plus léger et créer triomphalement un nouveau moi.
Si nous persistons à nous rejeter nous-mêmes, à repousser les autres et à les trahir, les situations répétitives sur le même sujet deviennent de plus en plus difficiles. Lorsque nous franchissons le point de non-retour, le déni de soi se matérialise.
La désintégration de la personnalité se produit d’abord en tant qu’entité cosmique, puis en tant qu’entité terrestre. La dissolution progressive et la mort de l’Étincelle commencent, ce qui n’a rien à voir avec le retour à la Source. Il n’y a plus rien pour cela. Il s’agit plutôt d’un lent pourrissement de l’intérieur.
Lorsque le point de non-retour est dépassé, les anciennes Etincelles passent sous le contrôle du personnel du Service de l’Equilibre. Ils sont nombreux sur Terre aujourd’hui. Ils assistent au libre choix de l’âme de se désintégrer et font des copies de toutes les expériences qu’elle a vécues.
Plus l’arrière-plan est dur, plus il a de valeur. Les lots sont envoyés aux bases de données publiques de l’Univers. Si l’Étincelle est ancienne et a parcouru un long chemin dans l’évolution, elle possède un grand nombre de compétences et de connaissances uniques.
Chaque expérience est précieuse dans le Grand Cosmos, même les plus négatives. Elles ne brillent pas dans les bases de données, mais peuvent être trouvées par un moteur de recherche pour être utilisées ultérieurement.
Certaines étincelles le font et s’engagent même dans un divertissement spécifique (ou un travail, comme ils préfèrent).
Dans les bases de données, ils rassemblent une collection d’expériences lumineuses (c’est-à-dire intégrées avec succès) et en partie non lumineuses, et plongent avec elles dans l’incarnation pour « briller à travers » l’arrière-plan le plus sombre par leur propre vie et leur propre lumière.
C’est ainsi, par exemple, qu’une personne handicapée atteint les plus hauts accomplissements spirituels qui stupéfient le monde entier.
En retournant à la lumière, les aspects des clochards, des toxicomanes, des tueurs à gages, des meurtriers de masse, des malades du cancer, etc., démontrent des solutions de réingénierie géniales et sont des sujets d’admiration pour de nombreuses étincelles dans l’univers.
De plus, la guérison de sa propre tumeur ouvre la voie à tous ceux qui vivent des expériences similaires. Pour ceux qui suivent, c’est déjà plusieurs ordres de grandeur plus facile.
Parfois, pour obtenir de super capacités, il faut devenir infirme, naître aveugle ou perdre la vue, être paralysé, infecté par le sida, etc. Rey Charles, Stevie Wonder, Andrea Bocelli, Freddie Mercury, Nick Vujicic, Baba Vanga, Stephen Hawking et bien d’autres sont des exemples de ces âmes.
Beaucoup d’expériences ont déjà été accumulées, mais chacune ne brille pas et ne retourne pas à la lumière.
Baba Vanga
Toutes les épreuves et les tragédies nous apprennent à aimer absolument tous nos antécédents. Les questions suivantes peuvent nous aider : Comment cette expérience m’a-t-elle changé ? Qu’est-ce qu’elle m’a apporté personnellement ? Quelles sont les opportunités qu’elle m’a ouvertes ?
Quelle est sa valeur ? Qu’est-ce que cette expérience m’a fait perdre ? Comment intégrer cette expérience dans ma vie ? Où puis-je l’investir ?
Les réponses honnêtes nous aident à changer. L’expérience elle-même n’est rien. Elle n’acquiert un sens que si nous améliorons notre moi et notre destin en fonction d’elle.
À titre de comparaison, les briques éparpillées dans la rue et la maison construite avec les mêmes briques représentent une énorme différence. Si nous ne savons pas où appliquer et utiliser nos compétences et nos connaissances, alors pourquoi en avons-nous besoin ? Qu’allons-nous en faire ?
Ces questions sont fondamentales. Se contenter de dire « j’accepte cette expérience, je la traite de manière positive » ne sert à rien. La bonne réponse est : comment puis-je utiliser les opportunités que cette expérience m’a données ?
Pour cela, il serait bon de savoir ce que nous voulons devenir. Dans quelle direction devons-nous continuer à évoluer ? Avec une richesse d’expérience et une variété de chances constamment émergentes, les possibilités sont infinies.
Nombreux sont ceux qui ne sont pas d’accord avec cette idée. Ils pensent qu’il est possible de sauver les étincelles en perte de vitesse et de leur donner une autre alternative de développement en leur apportant l’aide nécessaire. Elles se désintègrent en raison de leur incapacité à se réaliser.
Les âmes ont parcouru un long chemin et acquis de l’expérience dans le cadre des missions de leurs civilisations qui les ont envoyées ici.
Mais pendant qu’elles accomplissaient une tâche, les mondes d’origine et leurs races ont quitté l’arène et ont sombré dans l’oubli, ou bien, pour une raison quelconque, l’Étincelle a rompu le contact avec la Source.
ujourd’hui, nous aimerions vous parler de l’importance des animaux dans la vie et l’expérience humaines.
Nous allons d’abord nous concentrer sur ces nobles êtres que beaucoup d’entre vous appellent des animaux de compagnie, des compagnons. Ils sont essentiellement ici en tant qu’enseignants, de la même manière que les humains s’enseignent les uns les autres à travers une variété d’expériences et de leçons.
Il en va de même pour les animaux et le rôle important qu’ils jouent dans nos vies, même s’il passe parfois inaperçu.
Les animaux jouent de nombreux rôles spirituels
Ceux qui viennent sous forme d’animaux et d’animaux de compagnie ont souvent vécu des expériences dans différentes civilisations en tant qu’êtres différents, parfois même en tant qu’humains.
Souvent, ces animaux, ces âmes bien-aimées, qui viennent à nous à des phases et à des étapes très spécifiques de notre vie, viennent avec des leçons… mais ils viennent pour jouer un rôle.
Souvent, c’est le rôle d’enseignant. Parfois, ces animaux sont là pour nous renvoyer le reflet de ce que nous sommes venus apprendre. Parfois, ils nous renvoient notre stress ou même notre amour.
Si vous apprenez à observer attentivement le comportement de votre animal, vous constaterez qu’il y a souvent un parallèle avec votre propre comportement ou avec la dynamique et les échanges énergétiques entre vous et les autres membres de votre famille.
Les animaux sont souvent là pour refléter et amplifier ce qui ne sert pas notre bien le plus élevé et le plus grand, ou parfois ils nous renvoient le miroir de ce qui est réellement nécessaire et important dans nos vies.
Nous avons vu et été témoins de nombreux liens entre des individus et des humains, dans lesquels c’est parfois à l’humain de prendre soin de l’animal et de le nourrir, et cette interaction même sert à aider les humains à apprendre l’amour inconditionnel et la compassion.
Cependant, les rôles sont souvent inversés et c’est l’animal de compagnie ou l’animal bien-aimé qui sert à nous guérir, que ce soit par l’amour inconditionnel ou par la camaraderie et l’empathie.
Souvent, un animal de compagnie vient à nous lorsque nous sommes malades ou que nous vivons un changement dans notre vie.
Comment les animaux nous reconnectent à l’amour inconditionnel
En présence de leur animal bien-aimé, de nombreuses personnes ressentent une réduction du stress et la possibilité de se reconnecter à l’amour inconditionnel grâce à l’amour et à l’interaction avec leur animal de compagnie.
Une fois que l’on a appris à se reconnecter à l’amour inconditionnel avec un autre, cela ouvre une fenêtre pour apprendre à s’aimer soi-même de manière inconditionnelle.
Comme nous l’avons souvent partagé avec vous, vous devez parfois faire l’expérience de l’amour inconditionnel pour vous-même afin de grandir, de vous développer, de guérir et même de terminer certaines de vos leçons d’âme primaires.
Les animaux sont, à bien des égards, des enseignants et des guides qui nous aident sur le chemin de notre âme.
Les leçons des collectifs d’animaux
Souvent, nous avons vu que les animaux ne sont pas seulement des guérisseurs ou des enseignants, mais qu’ils sont parfois là pour nous enseigner ce dont Gaia, le monde et le collectif tout entier ont besoin.
Ces âmes très courageuses qui se réincarnent en animaux, peut-être des animaux qui font partie d’une espèce en voie de disparition, se réincarnent parfois en tant que groupe d’enseignants de l’âme ici pour faire écho à l’humanité de ce que l’humanité doit corriger sur notre chemin, comment nous devons être conscients de nos choix, et des impacts et des conséquences de ces choix.
Nous dirons également que de nombreux animaux ont été ici comme des porteurs d’espoir et de messages de l’au-delà.
Souvent, lorsqu’une personne est en deuil, les animaux sont utilisés comme un vaisseau transitoire par lequel l’âme et l’essence d’un être cher peuvent temporairement passer pour guider l’animal et apporter des messages d’espoir, voire de réconfort, à ceux qui ont perdu un être cher dans ce monde.
Certains animaux peuvent choisir des vies plus courtes, mais ce sont des vies significatives et importantes dans lesquelles ils sont en fait ici en tant que protecteurs, gardiens, et ici pour sauver la vie d’un ami humain.
Nous avons entendu de nombreuses histoires dans lesquelles un animal a protégé son compagnon humain du danger ou l’a averti d’un danger imminent, voire l’a protégé contre certaines de ses propres maladies ou affections. C’est souvent le cas des chiens d’accompagnement ou des chiens-guides.
Mais il existe de très nombreux animaux qui jouent ce rôle, peut-être de manière moins formelle, selon des modalités et dans des rôles qui sont moins reconnus par l’humanité.
Si vous passez en revue vos expériences humaines, vous trouverez probablement un moment où un animal vous a aidé, réconforté et enseigné quelque chose de très important.
En plus de la protection, des messages, des enseignements, de l’assistance et de la tutelle que les animaux fournissent, ils apportent souvent une guérison directe, car de nombreux animaux sont là pour aider à la transmutation des énergies humaines.
Souvent, cela se fait d’une manière qui est reconnue par l’individu.
Comment les animaux nous soignent
Mais souvent, cela se fait d’une manière inconnue. Parfois, il suffit de toucher un animal de compagnie pour que votre énergie lui soit transférée et qu’elle soit transmutée à partir de lui. N’oubliez pas que ces animaux absorbent notre énergie.
Il est donc important de faire très attention à la façon dont vous vous connectez et à l’énergie que vous apportez, car de nombreux animaux sont profondément empathiques et sont là pour vous guider et vous aider.
Il est important de reconnaître la sagesse de leur âme.
En effet, bien que la plupart d’entre vous ne puissent pas communiquer facilement avec les animaux, ils sont en fait des communicateurs très habiles, que ce soit par télépathie, par empathie, par le langage corporel et par la transmission de messages et de leçons par le biais de différentes interactions, émotions et comportements.
Prêtez attention à ce que font vos animaux de compagnie, car leurs comportements ont bien plus de sens et de raison d’être que ce que nous reconnaissons et admettons d’emblée.
Rappelez-vous que les animaux sont aussi là pour recevoir et donner de l’amour, et qu’ils nous enseignent souvent l’importance d’être dans le moment présent, car ils ne s’inquiètent pas du passé, ni de l’avenir.
Nos chers amis, ces animaux sont là pour vous enseigner, pour vous guider. Ils sont là pour vous aimer et pour être aimés. Honorez-les. Reconnaissez la noblesse de leur âme.
Parfois, ils représentent les âmes d’êtres chers avec lesquels vous avez été en contact au cours de cette incarnation, voire d’incarnations antérieures. Ne sous-estimez pas l’ampleur de leur impact dans votre vie. Quelle que soit leur durée, ils sont avec vous. Ils ont tous servi un but et ils jouent un rôle.
Du bien-être sexuel
Dans notre société contemporaine, la plupart des individus ont tendance à rester inconscients à la réalité de ce que signifie une sexualité saine et désinhibée au regard des contraintes et tabous distillés. Le bien-être sexuel ne se limite pas en effet au plaisir physique, englobant un large éventail de facteurs qui contribuent à notre satisfaction et à notre bonheur en général. Tout comme l’exercice physique et une alimentation saine sont bénéfiques pour notre bien-être physique, le fait de prendre soin de notre bien-être sexuel a un impact positif sur notre santé mentale et émotionnelle, pouvant renforcer la confiance en soi, réduire le stress et améliorer le bonheur en général.
Le bien-être sexuel va de pair avec des relations saines, entendant qu'une communication ouverte et honnête sur les désirs, les limites et le consentement favorise la confiance, la connexion et l’intimité. En adoptant le bien-être sexuel, nous nous donnons les moyens, à nous et à nos partenaires, de donner la priorité au plaisir, à l’intimité et à l’épanouissement dans nos relations.
Il passe par la compréhension de cette énergie chez l'homme et chez la femme. Bien que masculin et féminin, il existe une polarité chez l’homme et la femme. Les femmes ont une tendance plus "yin", plus douce, tout en possédant une force yang. Ceci entend que les femmes sont le berceau d’où émane l’énergie pure, alors que les hommes sont les créateurs de la transformation par laquelle l’énergie prendra forme.
Sur le plan psychologique, certains hommes ou femmes ont tendance à se situer davantage dans l’hémisphère droit du cerveau, plus émotionnel et abstrait, ou dans l’hémisphère gauche, plus analytique. Sur le plan hormonal, nous sommes également très différents, ce qui nous affecte physiquement et émotionnellement. Or, compte-tenu des modèles tordus imposés depuis le passé par la société, tels que le machisme et la soumission, nous sommes allés de part et d'autre à l’extrême, de nombreuses femmes étant devenues extrêmement masculines, contrôlantes et avilissantes, et de nombreux hommes extrêmement féminins, manquant d’orientation pour leur force innée.
Il en découle qu'il convient désormais de travailler l’ÉQUILIBRE. Les femmes peuvent ainsi apprendre à être indépendantes et puissantes en s’appuyant sur leur féminité et non en imitant les hommes. Elles peuvent passer plus de temps à guérir les blessures du passé afin de vivre avec plus de confiance dans la vie et dans les hommes, en faisant confiance à l’amour et en vivant avec un cœur ouvert, sans avoir peur de montrer leurs vulnérabilités ni de cacher leur force.
Vivre avec une sexualité tantrique consciente et spirituelle aide dans ce processus.
LA FAÇON DONT ON NOUS A ENSEIGNÉ LA SEXUALITÉ EST ASSEZ NULLE. En tant que tantrique, lorsque je regarde autour de moi, je constate que nos sociétés ne nous ont pas appris grand-chose sur la sexualité.
Aujourd’hui, la seule chose qu’on nous enseigne, c’est comment mettre un préservatif ou ne pas tomber enceinte, des choses hygiéniques ou sociales. Mais rien sur l’amour ou le plaisir, où apprend-on à faire l’amour ? Nulle part.
Ils nous enseignent mille choses, mais ils ne nous enseignent pas la chose la plus importante, ce qui compte le plus pour nous, c’est-à-dire comment aimer vraiment nos partenaires, comment avoir de bonnes relations authentiques – pas de masques ou de soi-disant rôles de bonnes épouses ou de bons maris, mais des personnes qui s’unissent à partir du cœur de leur chakra du cœur – avec amour, avec liberté, avec plaisir et avec respect pour nous-mêmes – nous devons apprendre la différence entre laisser quelqu’un entrer dans le cœur psychologique de notre sanctuaire intérieur et seulement lorsque le rapport s’est développé et qu’une connexion authentique a été ressentie, nous pouvons nous ouvrir ; si nous le souhaitons, notre sanctuaire physique.
Faire l’amour est facile ; c’est une action que l’animal en nous sait très bien faire ; il n’est pas nécessaire d’avoir un doctorat pour cela.
Cela dit, ne m’entendez pas dire que les rapports sexuels sont mauvais ou qu’ils doivent être limités, pas du tout – j’affirme simplement qu’il est facile d’avoir des rapports sexuels basiques ou médiocres.
Faire l’amour n’est vraiment pas facile ; cela exige des compétences qui vont au-delà du simple aspect physique. Pour envisager de commencer à développer ces compétences, il faut être très ouvert à une nouvelle façon d’envisager la sexualité et les relations.
Vous devez être prêt à vous confronter à vous-même, à atteindre votre amant(e) sans même le/la toucher d’abord – c’est une compétence. Je ne parle pas d’obsession ou de désir vide ; je parle de la capacité à voir le cœur et les « secrets » contenus dans l’esprit de l’autre, sans jugement et sans même dire un seul mot sur le sujet – c’est l’attirance connectée, qui est très différente de l’attirance vide ou de l’obsession.
L’attraction connectée peut se produire rapidement si vous avez évolué pour savoir comment aimer vraiment, et vous voir tel que vous êtes – la lumière et l’obscurité.
En vous confrontant à vous-même tel que vous êtes – comme le diraient la psychologie jungienne, l’ésotérisme ou le tantra – vous êtes doué de la capacité de voir les autres et ces autres peuvent le sentir – c’est ce qui vous rend inoubliable et où commence le début de l’amour – ce n’est pas encore un acte physiologique, mais une belle danse d’esprits et d’âmes (pas des jeux de tête immatures).
Une danse d’empathie sincère pour les blessures de l’autre. Une danse de rêves, de désirs et d’amour mutuels… une connexion ! – Mais pour cela, vous devez vous ouvrir à vos propres blessures et à votre obscurité.
Ensuite, votre lumière viendra, en ouvrant votre cœur aux autres de manière authentique – peut-être de manière non conventionnelle pour certains, mais authentique. Il y a un grand vide lorsque personne ne nous enseigne rien de ce que je viens de mentionner.
Si nous ajoutons à cela le conditionnement du passé que nous avons normalement comme les peurs apprises de nos parents, l’influence des religions avec des messages répressifs sur la sexualité, les abus sexuels, et nos blessures avec les relations amoureuses du passé, tout cela crée un sac à dos qui ne nous permet pas d’être heureux et de profiter de nos vies sexuelles sans inhibitions tout en honorant le cœur de notre moi….c’est la passion tantrique poétique….c’est le commencement de la sexualité tantrique….
Rappelez-vous que l’énergie sexuelle n’est ni bonne ni mauvaise, comme toute énergie, elle est neutre.
Si vous utilisez votre énergie sexuelle sans conscience, vous vous faites du mal à vous-même et aux autres ; si vous l’utilisez consciemment, vous pouvez guérir votre vie et celle de votre ou vos partenaires.
En fin de compte, c’est toujours une question de conscience ou de ce que nous appelons MOTIVATION dans le Tantra.
Si votre motivation est de donner et de recevoir de l’amour, cela devrait être votre boussole.
De l"atterrissage en douceur" de l'inflation
Si les interventions qualifiées de restrictives des banques centrales en matière de lutte contre l’inflation, la réalité est qu'elles ne font qu’ajouter au problème, les taux d’intérêt plus élevés n’entraînant pas nécessairement une récession. La véritable nature de l’inflation est en effet d'abord une augmentation de la masse monétaire plutôt qu'une augmentation des prix, et ce faisant il apparaît que la seule chose à faire pour la contrer est de mettre fin à tous les mécanismes qui permettent de créer de la monnaie ex nihilo, autrement dit de la monnaie factice qui elle entraîne un affaiblissement du processus de création de richesse.
A l’origine, le papier-monnaie n’était pas considéré en soi comme de la monnaie, mais plutôt comme un certificat représentant une certaine quantité d’or stocké auprès des banques, et que les détenteurs pouvaient convertir en or à tout moment s’ils le jugeaient nécessaire. Mais étant donné que les gens ont trouvé plus pratique d’utiliser ces certificats papier pour échanger des biens et des services, ceux-ci ont commencé à être considérés en eux-mêmes comme de la monnaie. A l’inverse, les certificats monétaires non adossés à de l’or et utilisés pour réaliser des transactions impliquent l’échange d’un papier sans valeur contre des biens de valeur. Il en résulte que, sans rien avoir produit en échange, la masse monétaire créée ex nihilo entraine la consommation sans production préalable de biens. C'est la caractéristique de notre économie moderne, expliquant que la création monétaire ex nihilo crée un environnement favorable au développement d’activités non productives et à la consommation en l’absence de production préalable de quoi que ce soit de valeur. En outre, l’épargne nécessaire pour financer le développement de la production des biens demandés étant de ce fait canalisée vers les secteurs qui produisent les biens en question, si la demande pour ces biens ralentit voire disparaît en raison d’un repli de la masse monétaire, leur production suit la même trajectoire, débouchant sur la récession. Les cycles économiques d’expansion-récession sont donc liés aux fluctuations du taux de croissance de la masse monétaire créée ex nihilo.
Dans un marché libre, les fluctuations des taux d’intérêt reflètent les changements dans les préférences des consommateurs entre consommation immédiate et consommation future. Si les consommateurs préfèrent réduire leur consommation actuelle afin d’accroître leur capacité de consommation future, cela se traduit par une augmentation de l’épargne et donc baisse des taux d’intérêt sur le marché. A l’inverse, si les consommateurs décident de consommer davantage, cela se traduit par une augmentation des taux d’intérêt sur le marché.
[…]
Chaque fois que la banque centrale intervient sur les marchés financiers et manipule les taux d’intérêt sur le marché, cela a pour effet de fausser les signaux envoyés par les consommateurs aux entreprises. En conséquence, les entreprises prennent des décisions d’investissement qui ne correspondent pas réellement aux souhaits des consommateurs. Du fait de cette mauvaise allocation des ressources, une spirale d’appauvrissement et d’affaiblissement du système économique s’enclenche.
L’autre problème que pose une politique de taux d’intérêt plus stricte est qu’elle a pour effet de restreindre non seulement les activités non productives, mais aussi les activités créatrices de richesse, prolongeant ainsi les phases de récession en ralentissant l’accumulation du stock de richesses. Ainsi, il n’est pas possible de concevoir une politique monétaire qui restreindrait les activités non productives sans infliger des dommages à l’ensemble de l’économie.
L’expression « atterrissage en douceur » est issue de l’idée selon laquelle l’économie est comme un vaisseau spatial qui se serait écarté de sa trajectoire de croissance économique stable et de stabilité des prix. Selon l’idéologie dominante, c’est le rôle de la banque centrale de s’assurer que l’économie reste sur la voie d’une croissance économique stable et de la stabilité des prix.
Selon ce point de vue, il suffit pour atteindre cet objectif que la banque centrale donne l’impulsion appropriée à l’économie, tel un vaisseau spatial, afin de la ramener sur la bonne voie. Cette impulsion est donnée par le biais de la politique monétaire. Cependant, l’économie est le résultat d’une multitude d’activités menées par les individus. Toute tentative d’altérer les comportements des individus ne fait que générer de davantage de distorsions. Par conséquent, il est absurde de croire que les banquiers centraux peuvent piloter l’économie sans entraîner diverses conséquences indésirables pour les individus.
Cependant, ce n’est pas le point de vue des commentateurs économiques tels que Paul Krugman. Dans un article publié dans le New York Times et intitulé « Doit-on accepter de souffrir pour faire baisser l’inflation ? » (23 août 2022), Krugman suggère que par le biais de mesures de contrôle étatiques adaptées, il serait possible de piloter un atterrissage en douceur de l’économie.
Nous suggérons au contraire qu’il est impossible de piloter un tel « atterrissage en douceur ». Une fois qu’un boom économique a été impulsé par le biais de politiques monétaires accommodantes de la part de la banque centrale, un resserrement de la politique monétaire ne peut qu’aboutir à une crise économique.
Les difficultés économiques peuvent être atténuées en mettant fin rapidement à toutes les sources de création monétaire ex nihilo. Une telle politique permettrait de favoriser l’accroissement du stock de capital. Et avec cette augmentation du stock de capital, il deviendra beaucoup plus aisé d’absorber les pertes issues de la mauvaise allocation des capitaux dans divers secteurs d’activité.
Les écouvillons nasaux des tests PCR sont en fait des armes qui contiennent de l’hydrogel DARPA, un composé notamment d’oxyde d’éthylène développé par l’Intelligence militaire. Car ces cotons qui viennent de Chine ne sont pas véritablement en coton, composés de fibres de nylon et d’oxyde d’éthylène qui est un poison pour le corps humain. Lorsque le "coton" du PCR pénètre la muqueuse à 30°, il se passe une réaction chimique car l’oxyde d’éthylène bout à 10,4°. Ceci explique pourquoi c’est si douloureux, l’oxyde d’éthylène qui fond littéralement dans les muqueuses créant des ulcères au fond de la barrière rhino-pharyngée. Il en découle de nombreux dégâts.
Qui plus est, ces hydrogels sont des nanomachines souples et flexibles qui sont injectées sous la peau pour effectuer une surveillance. En effet, l'hydrogel comprend une molécule spécialement conçue qui envoie un signal fluorescent à l’extérieur du corps lorsqu’il commence à combattre l’infection. Ce signal peut ensuite être détecté par un capteur fixé à la peau qui peut ensuite être envoyé à une application ou même au site web d’un médecin.
De la perception de la conscience atomique
La force énergétique vibratoire de l'Esprit universel se traduit par des ondes, particules énergétiques à même de relier l'être humain lorsque le triptyque corps-âme-esprit (l'Ego) est aligné/centré à l'Esprit, la supra-conscience. Il perçoit par cette fusion le son universel, qui se traduit par un scintillement cristallin porté à ses oreilles, et dont l'intensité varie selon l'état de ses nouvelles facultés psychiques *. Ces vibrations atomiques sont de nature solaire, soit l'élément Feu. Les sons sont entendus à l'oreille droite via l'hémisphère droit du cerveau lorsque la fréquence vibratoire établie traduit la reliance de l'Âme à l'Esprit. Lorsqu'ils sont entendus à gauche via l'hémisphère gauche du cerveau, le contact établi est celui entre l'Esprit et l'Ego-mental en cours de fusion. Certaines personnes ont un contact préférentiel à droite et régulier Âme/Esprit, au lieu d'un contact à gauche Ego/Esprit. C'est un mécanisme de défense permettant aux énergies de l’Esprit de se diffuser dans l’Âme au lieu de l’Ego pour le protéger car il n'est pas toujours apte, au moins début, à supporter cette puissante énergie universelle. Le sifflement de l'oreille gauche est le celui qui différencie ce qui est "écouté" de ce qui est "entendu", il est le témoin d'une compréhension "consciente". Certains perçoivent les sons en alternance gauche/droite mais en son temps, variable pour chacun, le sifflement devient bilatéral, souvent plus fort à droite lors du contact avec l'âme. Les sons se modulent en fonction des pensées, décisions, actes, événements.... Ils augmentent en intensité et en fréquences quand on est centré sur soi-même ou dans certaines situations, ils peuvent aussi disparaître ou s'atténuer quand on est en dehors ou éloigné de notre axe. Les sons se modifient également en fonction d’influences liées au soleil et/ou au cosmos qui ne dépendent pas des activités humaines. Il est bon d’être attentifs quand les sons se modulent, s’amplifient et/ou augmentent de fréquences. À ces instants ils traduisent un passage en synchronicité d’afflux énergétique qu’il convient de respecter et d’écouter dans une totale observation. L'Arrêt des sons entraîne un silence qui n'est pas le vide. Cela passe par une augmentation et une amplification qui signe le centrage avant le déversement en soi de l’énergie de la conscience universelle. Au niveau des perceptions il s’agit d'un son particulier entendu dans l’oreille gauche (Ego/Esprit) et/ou a droite (Âme/Esprit).
* Cette perception auditive n'est pas constitutive d'une gêne ou d'une douleur, à la différence des acouphènes relevant d'une pathologie médicale aux origines et causes pas toujours précisément identifiées...
Consultant, ou la partition du Moi non involué
Le management des organisations professionnelles fourmille d'experts, internes comme externes, désignés dans le jargon comme consultants, c'est-à-dire des individus
à qui les soi-disant décideurs font appel pour connaître leur avis de professionnel supposé aiguisé, à forte valeur-ajoutée. Ils se composent de deux types de profils. Celles et ceux qui ont
décidé dès leur entrée dans la vie active d'en faire leur profession, soucieux d'indépendance (relative quand ils œuvrent en cabinets), et ceux qui y viennent, soit pour vivre de l'autre côté de
la barrière l'exercice de leur spécialité, soit par nécessité, pour "rebondir" après une séparation professionnelle car confrontés à la difficulté de la réinsertion (âge, absence de réseau), ou
encore pour profiter plus agréablement d'une fin de vie professionnelle, sans enjeu carriériste.
A l'instar des médecins d'antan, premiers porteurs de cet attribut, puis des avocats conseils pour les cas délicats, ils vont consulter ou l'être (issu du latin consultare) en prodiguant leur science du management suivant la nature de l'expérience acquise et leurs capacité et habileté à en mûrement débattre et discuter avec les décideurs plus ou moins suprêmes, comme s'attacher à leur faire prendre une décision (au sens latin de consulere) d'après les circonstances examinées (au sens du mot latin latin crisis et du grec krisis). De ce qui en découlera les élèvera ou non au rang de "consul", issu du latin consulo, qui vient des deux mots latins cum et salio, signifiant "palpiter avec", en l'occurrence le fruit de la délibération.
Pourtant, que ne réfléchissent-ils à la clé de sagesse livrée par le dramaturge et poète français du XVIIème siècle François Corneille dans sa pièce de théâtre Le
Cid par la voix de Chimène, son épouse : "Je ne consulte point pour suivre mon devoir Je cours sans balancer où mon honneur m'oblige." Consulter signifiant ici "Je ne délibère point où mon
honneur m'oblige de courir", ils comprendraient s'ils étaient dotés d'une véritable conscience humaine supérieure que la Vie leur demande de courir à toutes jambes non vers les artifices de leur
égo-mental illusionné (l'argent, la réputation, la fidélisation du client, les félicitations...), mais vers la sortie de cette involution existentielle, à l'instar de leurs mandants il va sans
dire. En y réfléchissant un tant soit peu profondément, comme bon consultant d'eux-mêmes, ils et elles comprendraient la partition mortifère jouée jusqu'alors à travers un outil qu'ils sont
censés maîtriser sur le bout des doigts, le triangle de Karpman, autrement dit les trois états du Moi immature : le bourreau, la victime, le sauveur. Bourreau par exemple, lorsqu'un de leur
conseil va contribuer à mettre en route la machine à exclure d'une partie du troupeau jugé comme désormais trop peu contributif à la performance; victime, lorsqu'à l'occasion d'un changement de
direction, ils seront remerciés pour faire place à une relation privilégiée du nouveau décideur; sauveur, en s'imaginant dispenser la bonne parole à même de doper le business et l'efficacité
structurelle/organisationnelle/fonctionnelle.
Donc, nous avons abordé un autre domaine d'étude : Cleckley. Et en effet, il parle bien de psychopathes qui n'ont jamais « dépassé les bornes » d'un point de vue social. Ils ont réussi et sont docteurs, avocats, voire même psychiatres...
Ce que nous suspectons maintenant, c'est qu'il existe un aspect encore plus caché concernant ce sujet : le Portail Organique efficace et performant. Le masque de bonne santé mentale PARFAIT. Mais plus encore : le masque de conscience parfait.
Si nous acceptons, comme le décrit Mouravieff, que le Portail Organique a la possibilité de progresser dans sa propre évolution au cours du cycle prochain, évoluant de pré-adamique à adamique, et si nous admettons aussi que le cycle courant arrive bientôt à son terme, on a alors la possibilité suivante : nous vivons durant la période où un certain nombre de PO ont réussi à imiter l'être doté d'une âme de manière si réaliste et si développée, qu'ils ne peuvent revenir qu'en tant qu'êtres adamiques. Ils ne peuvent évoluer davantage à l'intérieur de leurs corps actuels.
Cela oblige le Chercheur à développer sa capacité à discerner, à l'affiner continuellement afin de « voir » des degrés de manipulation de plus en plus subtils se produisant autour de nous et envers nous. Cela chauffera le creuset à des températures de plus en plus hautes, créant en retour les conditions de la libération.
En résumé
Rassemblons les différentes pièces du puzzle pour voir le tableau d'ensemble qui illustre notre situation actuelle.
En « recherchant l'or », c'est à dire en désirant faire l'expérience de la sensation physique, notre unité de conscience chuta de son état de « grâce », c'est à dire d'une existence de 3e densité SDA se trouvant « à demi / en quelque sorte » dans un état de 4e densité aligné sur la 4e densité SDA, pour tomber dans un monde SDS de 3e densité déjà peuplé par une race anthropoïde qui servait de portails organiques, de pont reliant la 2e densité à la 3e densité. Ayant chuté, et perdant ainsi la conscience de sa connexion avec les centres supérieurs, la race des êtres dotés d'une âme était, vue de l'extérieur, en tout point identique à la race anthropoïde. Ils différaient seulement par leur potentiel à se reconnecter aux centres supérieurs en développant le centre magnétique. L'ADN qui a pour fonction d'ancrer ces centres supérieurs a été brûlé – déconnecté et dispersé dans la structure cellulaire. Cependant, la capacité de le recouvrer demeure.
Ce monde de 3e densité SDA dans lequel l'homme adamique s'est « réveillé » n'était pas son habitat naturel. C'est le monde des anthropoïdes, des marionnettes de chair, des morts qui se croient vivants, le monde du portail organique, un monde de matière et d'explications matérielles au sujet de l'existence. C'est une ferme dirigée et contrôlée par les SDS de 4e densité pour leur fournir leur nourriture. C'est le monde des trois centres inférieurs et d'un centre sexuel confiné au rôle de procréation à travers l'amour charnel. C'est un monde organisé sur la base de la faim, du sexe et de la peur.
La race des êtres dotés d'âmes est venue dans ce monde et s'est intégrée en se reproduisant avec la race autochtone jusqu'à ce que le patrimoine génétique devienne complètement mélangé. Maintenant, les deux races sont tellement mélangées que l'on peut trouver les deux au sein d'une même famille.
En outre, les modèles que l'on nous enseigne et que nous sommes forcés d'internaliser sont basés sur l'habitant « naturel » de ce domaine, le portail organique. Ainsi, les explications matérielles constituent la norme. La vie intérieure du portail organique, coupée des centres supérieurs, est la « norme ». Devrions-nous alors être surpris de vivre dans un monde de plus en plus « mécanique », qui traite les individus en tant qu'« unités », où la « créativité » consiste à reproduire des idées existantes comme dans une chaîne de production, où les notions de « franchise » et de « marque » sont si importantes dans le monde économique, où la démocratie est un test à choix multiples effectué à quelques années d'intervalle plutôt que l'apport créatif d'individus dans l'organisation de leurs vies, où les gens qui « voient » d'autres êtres, d'autres mondes, sont expédiés dans des camps de prisonniers pour personnes « perturbées mentalement », où la culture consiste en des copies sans fin du même produit avec de légères modifications pour faire croire au consommateur qu'il s'agit de quelque chose de « nouveau » et de « révolutionnaire ». Et la liste continue.
Et tout est organisé pour VOUS empêcher d'avancer, pour VOUS distraire, pour que VOUS restiez préoccupés par votre mari, femme, mère, père, fille, ou fils que vous n'avez pas les moyens de « sauver » parce qu'ils ne peuvent pas être « sauvés » - ils sont fondamentalement différents de vous, ils ne possèdent pas l'ADN qui autoriserait une âme à « s'ancrer » afin de leur permettre de comprendre la possibilité d'une vie supérieure. Pire, ils vous vident de votre énergie vitale et vous privent ainsi de toute possibilité de développer votre centre magnétique, cette énergie ayant pour destination finale la 4e densité SDS. Cela nourrit et maintient la Matrice. Dans ces interactions, vous n'êtes rien d'autre qu'une batterie et les portails organiques dans votre vie en sont les « tubes d'alimentation ».
Vous avez besoin de cette énergie pour avancer. C'est la vôtre et c'est votre droit de la réclamer et de la conserver. Mais pour ce faire, vous devez arrêter cette « danse de la mort » avec les portails organiques dans votre vie.
Laura a souligné l'importance de cette idée dans un message aux membres de la Quantum Future School:
Q: Donc, basé sur ce que vous avez dit, je suis en train de me dire que chercher une « différence catégorique » entre les PO et les individus dotés d'une âme pourrait être accompli en pratique plus facilement en apprenant à « voir » les individus dotés d'une âme, comme vous le dites. Bien sûr, cela est rendu plus compliqué par le fait qu'il existe AUSSI des candidats pour la 4e densité SDS dotés d'une âme et que les actions SDS des candidats SDA viennent également embrouiller la situation.
L: Oui. Et nous pourrions peut-être penser que les individus dotés d'une âme sont ceux qui « souffrent » d'une façon ou d'une autre. Et certains de ceux qui souffrent le plus seraient susceptibles de « s'extérioriser » et d'être considérés comme « fous » ou autres parce qu'ils ne peuvent simplement pas s'adapter à la vacuité de la vie SDS de 3e densité.
Mais bien évidemment, parce qu'ils ont aussi une forte impulsion à créer/se développer-survivre, ils apprendront peut-être à rentrer dans le moule, à « jouer le jeu », à « faire ce qu'il faut ». Dans ce cas, ils vivront leur désespoir en silence.
Et ils peuvent être programmés tellement tôt que la force de leur âme est alors canalisée dans des « systèmes de croyance », afin que, comme cela a été indiqué, l'énergie de leur âme puisse alimenter et soutenir la Matrice. En fait, je pense que c'est ce qui se passe d'habitude et que c'est même le but de toute l'opération.
Q: Humm... Pourquoi avons-nous spécialement besoin d'identifier les PO ?
L: Parce qu'au final, « danser avec eux » - ou être intimement liés à eux – ou ne pas avoir conscience de la nature véritable de nos interactions avec eux – est ce qui nous maintient vidés de notre énergie et nous rend incapables d'atteindre une fréquence de passage suffisante. SI – et c'est un un grand « si » - nous pouvons réellement et véritablement interagir avec eux sans qu'ils drainent notre énergie alors tout est très bien.
Mais en toute probabilité, on ne peut le faire qu'à partir du moment où l'on peut vraiment VOIR – et nous ne pouvons VOIR qu'à partir du moment où nous avons suffisamment d'énergie pour le faire... Et nous ne pouvons avoir l'énergie pour le faire tant que nous « dansons » avec les PO dans nos vies. Le serpent se mord la queue.
Vous ne pouvez les voir tant que vous continuez à interagir avec eux. Et vous ne pouvez pas arrêter d'interagir avec eux tant que vous ne pouvez pas les voir.
Donc, vous devez découvrir les indices qui révèlent le programme – « expérimenter » et surveiller les « réactions » de la Matrice – et faire des choix basés sur des données des plus ambiguës.
Si votre décision est correcte, cela se traduira par une économie d'énergie suffisante vous permettant de voir que votre décision était la bonne !
Q: Peut-être que pour nos fins, il vaut mieux dès maintenant se concentrer sur les influences « A » et les influences « B ».
L: A vrai dire, la détermination de la nature de nos relations EST le processus même de discernement des influences « A » et des influences « B ». C'est le travail le plus important que nous puissions faire. Nous ne pouvons rien accomplir d'AUTRE tant que nous n'avons pas fait ce travail en premier. Il faut que les efforts aillent dans le même sens. Vous ne pouvez pas servir deux maîtres à la fois.
Q: Au lieu de chercher à classer définitivement les cas les plus subtils de PO, peut-être vaut-il mieux se focaliser sur l'évaluation en nous de la quantité d'énergie qui est drainée au cours de chaque interaction. Je pense que c'est faisable. Et à mon avis, c'est la distinction cruciale qu'il convient de faire. Je pense que pour l'essentiel, c'est ce que nous faisons déjà...
L: En effet. Et quand nous discernons que notre énergie est en train d'être drainée au cours d'une interaction... Nous sommes alors face à une situation très difficile, surtout si le PO dans nos vies est du genre à ne pas être ouvertement « défectueux », si l'on peut dire. Il peut être du genre « toutou », très agréable à vivre la plupart du temps, bien qu'étant exigeant et fatiguant.
Par exemple : si nous sommes dans une relation où nous sentons que nous « avons besoin de partir de temps en temps pour nous recharger » ou quelque chose de ce genre, mais que pour le reste, nos rapports sont satisfaisants, nous avons peut-être à faire à un PO qui est très subtil et très bon pour ce qui est de drainer notre énergie.
Cela peut prendre des années avant de réaliser que nous n'allons vraiment nulle part en terme de croissance spirituelle, même si nous parvenons tant bien que mal à « maintenir la tête hors de l'eau » à l'aide de nos « portes de sortie » habituelles ou d'autres mécanismes de compensation que nous développons dans nos relations.
Nous sommes très heureux de travailler dans le but de laisser la planète Terre de 3e densité SDS à ses habitants d'origine. Cela doit être aussi difficile pour eux que pour nous de continuer à cohabiter dans le même monde en ayant de tels points de vue diamétralement opposés sur la manière dont fonctionne l'univers et sur la direction dans laquelle nous devrions travailler.
Nous leur souhaitons de réussir dans le prochain Cycle.
Check-list d’objets à posséder qui ne viennent pas immédiatement à l’esprit (spécial petit budget) :
Autour de l’eau :
En cas de coupure de courant, il n’y aura plus d’eau et lors de son rétablissement, elle ne sera pas forcement très claire.
Jerrican Compactable pour eau en matière plastique alimentaire ( ex : à Gifi etc). Compacté, il ne prend pas de place dans son placard mais déployé il pourra stocker 5 ou 10 L
Pastilles purification de l’eau. En vente en pharmacie (souvent utilisé par les campeurs).
Charbon Actif alimentaire pour usage humain (sur internet) Une poignée dans une pochette en tissu synthétique micro-perforé pour assainir l’eau (rincer une fois le ballot réalisé avant utilisation)
Pochettes micro-perforées nylon (vendue souvent par paquet de 3 à CentraKor … attention, il fat prendre les tissu synthétique à mailles très serrées pour y placer le charbon actif)
Médicaments :
(à compléter … car je ne suis pas compétent dans ce domaine)
Autour de l’énergie :
Bouteilles de gaz de différents modèles (puisqu’il faudra rendre l’ancienne bouteille pour en obtenir une nouvelle… si votre seul modèle de bouteille est en rupture, vous n’aurez rien !) … En tournant près des stations services, on s’aperçoit que des gens abandonnent leur bouteilles vides dont le modèle n’est pas vendus par ce revendeur… En les récupérant vous évitez de payer une consigne et vous pourrez acquérir ce modèle de bouteille de gaz)
Attention indispensable : Tuyaux de gaz et détendeurs adéquats … C’est le plus difficile à acquérir (beaucoup de ruptures lors des confinements antérieurs)
Chauffage gaz sur roulettes (c’est une sorte de cube métallique avec le bruleur en façade et la bouteille de gaz à l’intérieur (Casto, Mano Mano env. 100 €) vérifier que le détendeur et le tuyau sont fournis sinon les prévoir)
Sac de charbon de bois type barbecue … pour cuire des aliments ou chauffer de l’eau (ou la faire bouillir) sur son petit barbecue de terrasse.
Bougies avec supports adaptés (surtout si on a des enfants)
Petit réchaud gaz de camping (pour se faire rapidement un petit café …attention à l’incendie car certains modèles sont instables )
Boulets d’Anthracite défumés (sac de 25kg env. 30€) : On les stocke dans de gros sacs poubelle et on les oublie… Ils ne présentent aucun risque contrairement aux bouteilles de gaz et la quantité d’énergie est énorme) … Cela complète le charbon de bois qui se consume trop vite. On peut faire chauffer/bouillir de l’eau ou des pierres dehors et ramener cette source de chaleur, ensuite, à l’intérieur.
Déplacement :
Vélo basic en sale état (ce qui évitera les convoitises et les vols !) idéalement avec porte-bagages (le Bon Coin).
Chambres à air, rustines (kit anti-crevaison) … introuvable en cas de crise.
Pompe à vélo avec l’embout valable pour les valves de son vélo !!
Bidon d’AdBlue, si vous avez une voiture Diesel récente … Sans cet additif, l’ordinateur du véhicule vous empêchera totalement de démarrer. A priori, impossible de remplir son bidon à la pompe ce qui serait moins cher (il y a un système d’aimant autour de l’ouverture du réservoir de la voiture ) (prendre des gants plastiques pour le manipuler car c’est un produit très corrosif) il existe des prises OBD à placer dans l’habitacle de la voiture et qui trompe l’ordinateur de bord (plus facile à trouver pour les camion que les voitures …) (enfin certains disent que l’on peut mettre que de l’eau distillée à la place de l’adBlue … risqué??)
Alimentation :
Un stock ne coute rien car c’est juste une dépense différée dans le temps… MAIS faut-il le gérer ! Il faut emballer individuellement les sachets comme la farine, le riz … (avec des sacs congélation) pour éviter que de petites bêtes ne s’y installent ! Il faut aussi en faire la liste en notant toutes les dates de limite de consommation… Puis surtout faire tourner son stock. Je ne dresse que la liste des produits que l’on peut oublier :
Levures chimiques et boulangères
Gros sel (pour conserver la viande à l’ancienne, si le frigo ne fonctionne plus)
Oeufs entiers en poudre c’est à dire avec le blanc et le jaune. Pour faire des omelettes, des gâteaux, etc … (Sur Internet le sachet d’équivalent de 10 œufs de poules plein air vendu sur les sites allemands a une durée de conservation de 2/3 ans ….Produit pour les campeurs)
Chocolat pâtissier (… ainsi, il ne sera pas mangé en 2 jours…mais il sera apprécié dans le lait ou le gâteau des enfants)
Il existe éventuellement du beurre en conserve
Lait en poudre (et oui le bon vieux Régilait entier ! Pour 300g, on a l’équivalent de 2,7 L de lait avec une date de péremption très longue )
Graines à germer (pour avoir des légumes frais tous les jours)(NB : On peut réutiliser des pots en verre des compotes de pommes (pot de 720g et le refermer avec un tissu synthétique micro-perforé (très serré) par un élastique )– Attention : Ne pas faire de trous dans le couvercle métallique qui finira par rouiller !
Nourriture pour votre animal de compagnie (si l’essence devait être limitée, ce serait un peu dommage de faire des kms pour pouvoir le nourrir !)
Thon, sardine, maquereau … c’est de la protéine qui se conserve longtemps…mais si c’est pour jeter car on n’en mange pas autant garder son argent pour autre chose.
Fournitures diverses :
Sacs poubelle (pour, par ex, faire ses besoins s’il n’y a plus d’eau dans la chasse-d’eau. NB : L’odeur passera à travers le plastique !… donc à jeter au plus vite)
Sacs congélation de 3 et 6 L (pour stocker des aliments ou autres)
Galets d’eau de Javel (ne prend pas de place ni de poids … la désinfection étant très importante en cas de confinement)
Briquets/allumettes
Un Jerrican pour le carburant (Cabesto,Castorama) mais stocker l’essence est très risqué (c’est un tout petit peu moins vrai pour le gazole)… mais posséder un récipient est un plus, bien qu’il soit interdit de le remplir à la pompe… !
Batterie externe de téléphone solaire (Ali Express ou Wish)
Couvertures et plaids (ces derniers ne sont pas chers chez Action). Astuce : acquérir les grosses couvertures marron de l’armée française dans les déstockages militaires (à laver à froid avec beaucoup de désinfectant pour le linge dans une laverie automatique) Elles grattent mais c’est de la laine et elles sont incroyablement chaudes. (lavage avec assouplissant ce qui permet à la laine de ne pas rétrécir au lavage)
Douche solaire de camping ou Tapis de chauffage solaire pour piscine hors-sol (Gifi, Décathlon, etc) Si le soleil, sur votre terrasse, peut déjà préchauffer votre eau de douche, c’est autant de charbon/gaz économisé.
Livres, manuels, guides pratiques, cartes routières papier (pour voir les mille manières d’accéder à un lieu précis en faisant des détours et en passant par de petites routes)
Un peu d’argent en Espèces/billets
Passeport à jour. NB : Certains pays demandent que le passeport soit valable encore 3 ou 6 mois après la date de sortie de chez eux !
Envoyez à vous-même les scannes de vos papiers d’identités. En cas de perte/vol vous en aurez une copie en accédant à votre boîte mail sur n’importe quel ordinateur du monde. ATTENTION : une boîte mail est piratable, si vous y mettez vos codes soyez malin : insérer-le dans un faux n° de téléphone de votre répertoire, écrire vos codes sous forme de devinettes que vous seul avez les réponses, etc…(c’est plus sûr que les logiciels dit « coffre-fort numérique » qui présentent tous des portes dérobées)
Un panier à roulettes (celui des papys et mamies !!) … Et cela si la voiture est interdite ou qu’il n’y a plus d’essence ou qu’elle soit trop chère ou vraisemblablement rationnée et qu’il faille faire les courses de la semaine pour toute la famille ! Pour une longue distance, on a prévu, plus haut dans la liste, le vélo avec son porte bagage ( on peut même accrocher tous ses sacs sur le vélo et avancer avec à pied)
Piles, Piles rechargeables et son chargeur
Petite radio FM/ Ondes Courtes… (Ali express 20€) si la connexion internet est en panne on pourra encore écouter les nouvelles et de la musique.