Les "clés libératrices" en ligne font l'objet de constantes mises à jour et nouveaux enrichissements. Leur formulation n'engage que leur auteur, qui puise tant dans ses recherches et sources d'information que dans son imaginaire leurs révélation et libre mise à disposition suivant la forme et la rédaction retenues.

Il n'y a de ce fait rien à prendre pour argent comptant, seulement à laisser faire en soi le processus d'ouverture de conscience par le discernement, soit le juste équilibre entre cœur et raison. Celui-ci conduira à les invalider, à les valider, à les compléter par d'autres ajouts et compléments. Il est ainsi conseillé de se référer à des relais ou officines de la doxa scientifique officielle tel Psiram.com, le Wikipédia des croyances irrationnelles, dont l'objectif est de discréditer tout ce qui ne correspond pas à sa ligne de pensée académique, et de prendre le contre-pied sur des sites comme la chaîne web Odysee.com ou la plateforme de vidéo en ligne canadienne basée à Toronto Rumble, ou encore le site d'hébergement de vidéos "alternatif" Crowdbunker. Sans prendre parti pour une croyance contre l'autre, il s'agit de prendre de la hauteur et de se forger sa propre opinion, par son propre travail de recherche, libre et indépendant.

C'est ainsi que procède le chercheur de vérité.

 

 

Fonctionnement du corps biologique

 

Décharge de responsabilité.

Cette publication n'est qu'une simple information, qui n'a aucune valeur médicale, aucune valeur de diagnostic. Les informations données sont purement à vocation récréative. De ce fait, elle ne dispense nullement la consultation de son praticien médecin. Chaque lecteur demeure, en fonction de son propre discernement, personnellement et intégralement responsable de l'usage qu'il en fera ou n'en fera pas.

Toutes les informations relatives aux moyens et produits naturels de santé se trouvant sur cette publication sont données gracieusement à titre d'information, dans une optique de prévention et d'invitation à la prise en charge de sa santé individuelle par soi-même par respect du corps en bonne santé. Ne prétendant pas avoir de valeur probante dans le domaine scientifique ou médical, elles sont données de bonne foi, dans un but d'être utiles aux individus capables d'autonomie, en quête de santé naturelle. Elles sont mises à jour en fonction des expérimentations individuelles progressivement disponibles.

 

 

Principalement utilisée dans différents enseignements spirituels, la notion de corps épouse diverses variantes qui rendent difficile la compréhension de son fonctionnement : corps de désir, de souffrance, de l’Âme, d’êtreté, physique, énergétique, mental, spirituel, atmique, bouddhique, etc. Il s'agit d'un corps de nature psychique, organisme conçu pour jouer un rôle déterminé, mais qui n'est généralement pas utilisé à cette fin. La raison en est que l'être humain s'en sert la plupart du temps sans le connaître, sans l'avoir étudié et compris...

C'est pourquoi sa compréhension passe par les trois moteurs clés du corps biologique* - Terre, Humain et Ciel - et leurs interactions. Les conséquences qui en découlent permettent de mettre en place les actions correctives nécessaires. Il s'agit également d'en assurer le bon fonctionnement dans l'espace-temps par le processus d'individuation, permettant l'accès à la conscience de Qui Nous Sommes vraiment.

* Cf. présentation complète dans Le moteur biologique de la co-création & Clé de débridage de notre codeur interne. Voir également présentation des centres de conscience (chakras) dans L'état de cohérence, voie de sa liberté.

 

Le miracle de la Vie

Pour nous, humains (et autres mammifères), elle commence par la rencontre de deux organismes infimes, pourtant déjà bien vivants, que sont le spermatozoïde et l’ovule. Leur rencontre culminera en leur union, fusion complète de ces deux corpuscules pour n’en former qu’un seul. Un seul nouveau corps, mais ô combien plus grand, car entité organique qui leur n'est rien de moins que plus ou moins 500 billions (500 000 000 000 000) de fois supérieure en taille et en volume. La complexité d’un système informatique n’est rien en comparaison de toute la logistique et la mécanique sous-jacentes au corps humain. Ainsi le système digestif, qui à lui seul possède une bibliothèque d’informations tout simplement gigantesque : le simple fait de transformer un aliment, de le décomposer chimiquement en molécules et d’en répartir les constituants au bon endroit et de la bonne façon, tient d’une aberrante complexité et d’un "savoir-faire" qui dépasse notre entendement. Tout le système tient à l’intérieur de deux cellules microscopiques qui possèdent un incroyable nombre d’informations et d’instructions. 

Et pourtant nous ne réfléchissons jamais à ces choses, qui font partie du domaine de la banalité. Nous n’occupons pas nos pensées avec ce genre de merveilleux mystères, alors que nous devrions embrasser ce vertige de toute notre attention et questionner le paradoxe qui s’offre à nous : deux êtres microscopiques créent un être humain qui, lui, crée des êtres microscopiques qui créent un être humain... "Heureusement" il y a Darwin et sa fameuse berceuse pour nous endormir, réponse "ultime" à ce paradoxe qui consiste à savoir ce qui est venu en premier : la poule ou l’œuf, le spermatozoïde ou l’ovule, l’homme ou la femme. Pour Darwin, ce n'est ni l’un, ni l’autre, mais une succession hasardeuse de collisions entre atomes jusqu’à ce que "accidentellement", par pur "hasard", se forme une première molécule vivante qui, elle-même, toujours par hasard, se divise en deux et ainsi de suite. La vie serait donc née de hasard en hasard. Et tout ceci, bien sûr, en déclarant qu’un atome et un soleil ne sont pas, dès le départ, "vivants".

De ce fait, rien de miraculeux, rien de merveilleux, rien de divin, rien de vivant en soi. Le hasard est roi, suite de pures coïncidences et de fortuits accidents. Voilà ce qu’est la vie pour ce monde autoproclamé des "Lumières" ! Pas étonnant alors que notre "réussite" dans la "vie" ne soit établie qu’en fonction de nos richesses et nos biens matériels puisque, suivant cette logique, la vie n’a intrinsèquement pas de but. C’est tout l’art de l’insipide que cette vision dogmatique et matérialiste auxquels pourtant se réfèrent tant de prétendues consciences. Celles que précisément nous institutionnalisons comme nos guides et référents...

 

De l'erreur de la théorie matérialiste de la vie

La théorie matérialiste de la vie affirme qu’il n’y a que des atomes, sans aucune conscience ni force "spirituelle" à même de les créer et de les mettre en mouvement. Autrement dit des atomes créés à partir de rien, le Big bang originel pour les scientifiques, et qui se sont séparés. Certains atomes se touchant par hasard, ils ont formé des molécules, qui elles-mêmes ont formé par hasard des cellules primordiales à partir desquelles toute vie s'est développée par lutte et sélection.

Or, la substance même de laquelle la vie est constituée, substance élémentaire dont est constituée la membrane, est l'eau (la membrane est dite de tension superficielle de l’eau). C'est l'eau qui forme, partout où elle est en contact avec d’autres substances, ou avec elle-même en mouvement et en tourbillons. C'est ce qu'Aristote a appelé substance éther ou substance primaire. Les physiologistes japonais spécialisés dans la botanique ont de leur côté appelé de nos jours cette substance "pi-water".

C'est cette connaissance de la substance éther/primaire qui permet de faire revivre le principe présocratique qui a été conçu pour répondre à la peur et aux abus de pouvoir des religions, de le rendre concevable et imaginable, car penser selon la théorie atomique matérialiste conduit à faire de fausses hypothèses. Or, le monde universitaire de la biologie et de la médecine tout entier repose sur une telle fausse supposition, expliquant ses modèles purement matériels qui ont contribué à façonner l’"antibiose" et ses réponses multiples : antibiotiques, radiations, chimiothérapie, désinfection, restriction des droits fondamentaux, vaccination, confinement, quarantaine, distanciation sociale, etc.

Cette théorie matérialiste, sans fondement réel et qui repose sur des hypothèses réfutées, est devenue au fil du temps la religion dominante, qui révèle toute son ampleur à l'occasion de l'actuelle crise sanitaire "covidienne".

 

De l'épigénétique

L'épigénétique, mot-valise de épigenèse et génétique, est la discipline de la biologie qui étudie la nature des mécanismes modifiant de manière réversible, transmissible (lors des divisions cellulaires) et adaptative l'expression des gènes sans en changer la séquence nucléotidique (ADN). Le mot épigenèse remonte au philosophe grec de l'Antiquité Aristote (384/322 avant notre ère), qui nommait ainsi le développement d'un œuf informe de façon graduelle aboutissant à un organisme aux tissus différenciés. C'est de ce fait un concept qui dément en partie la "fatalité" des gènes*, ayant entraîné une révolution en biologie, montrant que notre comportement quotidien – ce que nous mangeons, l’exercice que nous pratiquons, notre résistance au stress, le style de vie adopté… – va inhiber ou activer certains de nos gènes. Vous sommes tel le chef d’orchestre d’une symphonie, co-auteur de notre vie, de notre santé, de notre équilibre*². Bien que doté d'un cerveau propre et distinct (esprit local), l'individu participe d'un esprit universel commun (esprit non local). Ainsi, la pensée de chacun participe-t-elle à la transformation de tous. Car ce qui a été fait, peut être aussi défait, tel que l'indique l’étude GEMINAL (Gene Expression Modulation by Intervention with Nutrition And Lifestyle), qui a ainsi montré qu’un changement salutaire dans le mode de vie était capable en quelques mois de modifier l’expression de gènes cancéreux chez des hommes atteints de cancer de la prostate et ne suivant aucun traitement… Ceci indique que rien n’est jamais définitivement écrit, l'être humain tenant son destin dans ses mains. Pour cela, il lui suffit de faire attention à son alimentation, de faire de l’exercice, de se détendre, de faire de la relaxation ou de la méditation… de prendre l’habitude d’exprimer ses problèmes et ressentiments, de rechercher le sens de sa vie. Alors des changements bénéfiques s’opéreront dans ses gènes, et peut-être, ses troubles voire maladies disparaitront… Tout ceci ressemble "étrangement" à ce qu’affirmaient les médecines traditionnelles : "changez le terrain et la maladie disparaîtra" !

* Avec moins de 30.000 gènes, le génome humain est moins important que celui de certaines plantes. Ces seuls chiffres démontrent bien que les gènes ne suffisent pas à eux seuls à expliquer toute la complexité de l’être humain. L’hérédité est donc plus que les gènes… Elle dépendrait en fait, de l’inhibition ou de l’activation (avec tous les intermédiaires possibles entre ces deux extrêmes) de certains gènes. L’épigénétique correspond à un interrupteur des gènes qui serait ouvert ou fermé à des degrés divers..

Cette notion qu’est l’épigénétique est d'autant plus importante si on tient compte de tous les stress, polluants, drogues, tabac et alcool, consommés notamment par les jeunes et les femmes en âge de procréer. Les modifications alors engendrées mettraient en cause non seulement leurs enfants mais aussi toute leur descendance, les répercussions étant difficilement calculables (l’épigénétique serait à rapprocher de la psychogénéalogie, pouvant expliquer pourquoi certains phénomènes se retrouvent de génération en génération au sein d’une même famille).

 

De la transformation de l'ADN

Le 7 octobre 2020, le prix Nobel de chimie a récompensé la Française Emmanuelle Charpentier et l’Américaine Jennifer Doudna de l'université de Californie à Berkeley pour avoir développé et mis au point depuis 2012 un outil simple, rapide et peu coûteux, capable de modifier les gènes. Son nom, CRISPR-Cas9, aux allures de code secret. Ce sont des "ciseaux moléculaires", capables de repérer et de couper une séquence d’ADN dans une longue chaîne et de la remplacer par une autre (c’est l’équivalent des fonctions "couper" et "coller" d’un traitement de texte). Le mécanisme a été découvert dans des bactéries dans un laboratoire de l’Université Laval, ayant été rapidement été repris par les généticiens pour manipuler le vivant avec une précision inégalée. Cette protéine d'origine bactérienne aux propriétés anti-virales a ainsi la capacité à couper l'ADN au niveau de séquences spécifiques. Il s'agit plus précisément d'une endonucléase d'ADN guidée par ARN, c'est-à-dire une enzyme spécialisée pour couper l'ADN avec deux zones de coupe actives, une pour chaque brin de la double hélice.

Depuis sa découverte, la protéine Cas9 a été largement utilisée comme outil d'ingénierie du génome pour produire des ruptures du double brin d’ADN ciblé (les premières applications avaient été réalisées sur des animaux et notamment des primates, permettant par exemple la création de vaches sans cornes pour éviter qu'elles ne se blessent). Le 18 avril 2015, des chercheurs de Canton ont publié un article dans la revue scientifique Protein & Cell,  annonçant avoir utilisé la technique CRISPR/Cas9 pour modifier génétiquement des embryons humains. Puis en juillet 2017, une équipe de chercheurs de Portland dans l'Oregon a annoncé elle-aussi avoir modifié avec succès des embryons humains défectueux à l'origine de maladies héréditaires. Plus inquiétant, l'industriel Monsanto, filiale du groupe chimique allemand Bayer, a acquis fin 2016 les droits d’exploitation de Crispr-Cas9, d'autant qu'en novembre 2018, He Jiankui, un chercheur chinois, a annoncé dans une vidéo diffusée sur YouTube la naissance des premiers bébés génétiquement modifiés, deux jumelles, affirmant avoir utilisé à cet effet la technique CRISPR-Cas9 sur les embryons (conçus par FIV) afin de les protéger d'une infection par le VIH.

Tout comme une équipe américaine a réussi à rendre un moustique résistant au paludisme grâce à CRISPR-Cas9, prévoyant de le libérer dans la nature pour transmettre ce gène de résistance à l'ensemble de l'espèce afin d'éviter les 500 000 victimes humaines annuelles liées à cette maladie, CRISPR-Cas9 ouvre également la voie à de nombreuses solutions de thérapie génique telles que la guérison du cancer, de la mucoviscidose, de l'hémophilie, Alzheimer ou du SIDA*. En somme, "rendre les humains plus résistants" et rallonger notre espérance de vie ! 

* A noter qu'une jeune entreprise américaine spécialisée sur Crispr et financée par Bill Gates souhaite également réaliser ses premiers essais sur un être humain pour venir à bout d'une maladie rare touchant les yeux.

 

Le bio-pouvoir, la biologie de contrôle

L’humanité vit au milieu d’un régime de guerre perpétuelle depuis l’histoire connue. Rien qu’au cours des 100 dernières années, nous avons assisté (entre autres) à deux grandes guerres mondiales européennes, à la guerre de Corée, à la guerre du Vietnam, à la guerre froide, à la guerre contre le terrorisme. Désormais, c'est la guerre des virus. Conformément à l’évolution de la technologie, les "guerres" se déplacent de l’inter-corps (entre les corps) vers l’intra-corps (à l’intérieur des corps), voyant la mise en œuvre de tentatives de colonisation du terrain dans notre espace le plus sacré – le corps biologique humain. C'est ce qui se nomme le bio-pouvoir.

Son modèle fonctionne pour taxer plutôt que pour organiser la production, et pour régir la mort plutôt que pour administrer la vie. Si les anciens modèles de bio-pouvoir se concentraient sur les modes d’enfermement extérieurs – école, usine, hôpital, prison, etc. –, le nouveau règne du bio-pouvoir consiste à accéder à nos espaces intérieurs, le corps humain présentant la caractéristique d'être permanent et continu, et disponible pour un contrôle générationnel. Aussi s'agit-il de se préoccuper de la modulation continue, en s’adaptant aux événements en cours plus comme une longueur d’onde que comme une émission fixe.

Pour prendre le contrôle, il s'agit d'assurer une domination propriétaire sur le corps d’un individu, à l’extérieur et à l’intérieur. Il suffit de constater l’essor du génie moléculaire, des manipulations génétiques et des interventions pharmaceutiques pour voir comment les systèmes externes gagnent de plus en plus de terrain intérieur. C'est ainsi que s'explique l'augmentation rapide du nombre de stations de test Covid-19 dans les villes, ce qui donne l’impression d’une société ouverte autorisant les libertés mobiles mais qui ne sont que les façades de systèmes de contrôle envahissants (Liverpool au Royaume-Uni a lancé un programme de "test de masse" à l’échelle de la ville, avec des stations de test accessibles à pied et en voiture installées un peu partout dans la ville, qui fait appel à l’armée pour effectuer les tests, qui teste les enfants sans le consentement des parents, qui identifie chaque individu avec un "code-barres unique", et qui isole et sécurise toute personne dont le test est positif).

Autrement dit, ces nouveaux régimes de bio-pouvoir ont pour objectif d'établir des variations continues de "tests" avec des itérations continues d'"être en danger", faisant que si nous devons être continuellement "à risque", nous devons être perpétuellement surveillés. Le contrôle se fait lutôt par le biais des flux fluides d’un suivi/traçage permanent (les gouvernements australiens obligent de leur côté les entreprises et les organisations à collecter des données sur "chaque personne, y compris le personnel, les clients et les sous-traitants, qui pénètre dans les locaux", tous les documents collectés sur papier devant selon la loi être numérisés dans les 24 heures).

Ces tests et ce suivi de la biosécurité presque en temps réel seront bientôt nécessaires pour la plupart des activités quotidiennes, comme aller à un concert de musique en direct.

La revue médicale The Lancet a consacré un article quant aux sept priorités clés et neuf recommandations "pour les données et la santé numérique qui doivent être adoptées par la communauté sanitaire mondiale pour relever les défis de la pandémie de Covid-19 et des futures pandémies". La première priorité à adopter par les secteurs de la santé et des soins est l’intelligence sanitaire appliquée (IH), utilisée pour la surveillance, le suivi et l’amélioration des résultats pour la population et les patients. La deuxième priorité concerne la "technologie numérique interopérable" et la mise à l’échelle et la durabilité de cette technologie. La troisième priorité consiste à soutenir l’adoption de l’intelligence artificielle. Parmi les neuf recommandations, les suivantes présentent un intérêt particulier : 2) Travailler avec les parties prenantes mondiales pour faire face à la propagation de la désinformation ou de la mésinformation par le biais des plateformes de médias sociaux et des médias de masse ; 3) Mettre en œuvre un ensemble minimal de données mondiales standard pour la communication des données de santé publique ; 7) Veiller à ce que les systèmes de surveillance combinent une réponse de santé publique efficace ; et 9) Maintenir, continuer à financer et innover les systèmes de surveillance en tant que composante essentielle du système de santé mondial connecté pour une préparation rapide et des réponses mondiales optimales.

Ces recommandations ressemblent bel et bien au cadre de mise en place d’un appareil de biosécurité d’un consortium d’entreprises de soins de santé, de sociétés de santé numérique et de gouvernements. Et la réalité est que de nombreuses personnes n’auront pas le choix. C'est pourquoi cette réglementation et cette intrusion accrues entre et dans les corps humains constituent une réduction directe de la souveraineté humaine, le corps humain individuel étant en train d’être pleinement incorporé dans la politique globale du corps. L’être humain est transformé en un lieu de suspicion et de risque, puisque le corps est reclassé comme un "site de faiblesse", ce qui constitue les ferments d'un programme de transhumanisme destiné à réorganiser la citoyenneté humaine de manière à créer une obéissance maximale aux institutions de gouvernance et de sécurité. Autrement dit, le bio-pouvoir est un système de contrôle de la conscience humaine, avec pour finalité la création d'un schisme dans la psyché humaine et de divisions sociales et polarisations au sein des groupements familiaux et culturels.

Voir les travaux de l'auteur Kingsley L. Dennis.

 

Du déni du réel

Pour une raison très étrange, les êtres humains n’appliquent pas leur intelligence et leur raisonnement aux questions les plus fondamentales de la vie. Cette étrange raison semble être liée au fait que la plupart des gens n’ont pas peur de voir grand lorsqu’il s’agit des plans d’affaires matérialistes, publiques comme privées, mais sont terrifiés à l’idée de voir grand lorsqu’il s’agit des questions plus importantes de la conscience et de l’éveil, deux sujets plus importants qui poussent beaucoup de gens dans le déni. C'est par exemple le cas du thème de la cause et de l’effet de l’origine de la vie, qui voit les scientifiques intelligents comme il se doit s'échiner à chercher les origines de la vie en étudiant des unités de plus en plus petites de ce qu’ils appellent la matière pour connaître la chimie exacte de l’apparition de la vie, alors même qu'aucun scientifique n’a été en mesure de prouver que la matière existe réellement ! intelligents. Il en va de même avec les aspects de la vie que les scientifiques considèrent comme impermanents, pensant ainsi par exemple que la conscience doit trouver son origine dans la chimie du cerveau humain alors même que celui-ci est  très impermanent puisqu'il finit par se transformer en vers ou à être frit lors de la crémation. Or, il existe de nombreuses preuves que, même si le cerveau est mort, la conscience continue de vivre dans l’expérience de la personne. C'est le cas des déclarations de nombreuses personnes qui après avoir été en état de mort cérébrale, reviennent à la vie et racontent de belles histoires sur la façon dont elles ont assisté à toutes les procédures et interventions médicales qui ont tenté de les réanimer, ou décrivant parfois exactement ce que des membres de leur famille faisaient au moment de leur mort supposée même si ces événements se déroulaient à des kilomètres de là. Ces anomalies sont ignorées ou rejetées avec des explications peu plausibles, la doxa considérant que si la vie existe peut-être dans l’univers, elle est sans doute générée par un mélange d’éclairs et de produits chimiques... passant pudiquement sur le fait que ces derniers sont également très impermanents.

La réalité scientifique est que personne n’a réellement fait l’expérience d’un corps humain dans son intégralité, la conscience que nous avons de notre corps étant un conglomérat de sensations, de pensées, d’idées, de sentiments, de perceptions, de souvenirs, etc. Aucune de ces choses, cet amas de fragments qui semblent constituer un corps, n’est suffisante pour déclarer que le corps est entier, complet et réel. Par éducation, croyance et conviction, nous le prenons tellement pour acquis que nous oublions de le remettre en question et d’examiner l’expérience de près.

Il s’agit en fait d’une expérience de réalité virtuelle, ce que certains bouddhistes tibétains et maîtres éclairés ont théorisé, appelant le corps "rien".

La conscience et l’éveil ne dépendent donc pas et ne peuvent pas dépendre de quelque chose d’aussi impermanent qu’un corps et un cerveau. La conscience est indestructible, ininterrompue, permanente et éternelle, et pourtant elle n’est rien. Nous ne pouvons la mesurer avec aucun appareil connu. C’est un mystère complet. Nous ne savons pas comment elle fonctionne. Si ce fait flagrant est nié, ignoré et rejeté par certaines des personnes les plus intelligentes de la planète, il n’est jamais nié par les plus grands enseignants spirituels, avatars et maîtres éclairés actuels ou passés.

En cette fin de cyclicité civilisationnelle, passage pour certains de la 3-D à la 5-D par l'ouverture de conscience réalisée, l'être humain commence à perdre son emprise sur ce qu'il pense à être réel ou non. Cela libère son esprit, et lui permet d’envisager des choses qu'il ne pouvait pas admettre auparavant. Ce qui apparaît vraiment important, c’est quelque chose d’indescriptible et d’indéfinissable appelé conscience, éveil, présence, la seule chose que les êtres humains partagent tous, la conscience n'étant pas divisible en tant que siège de l’Esprit, la Source, le Créateur que beaucoup appellent Dieu.

 

Les moteurs du corps biologique

 

Le corps biologique se compose de trois moteurs différents qui sont concomitamment à l’œuvre : le moteur du Corps (symbolisé par le sacrum) en relation à la Terre, le moteur de l’Âme (le feu du cœur) en relation avec l'Humain, et le moteur de l'Esprit (la couronne radiante) en relation avec le Ciel. Ce sont les trois grands courants de notre vie psychique : instinctif, émotif et intellectuel, ce qui correspond
approximativement à nos sensations, sentiments et pensées. Ces trois centres, qui représentent les trois courants dont notre vie psychique est composée, ont chacun une fonction double : de réception et de manifestation. De ce fait, chaque centre, dans son domaine, répond parfaitement aux besoins de la vie intérieure et extérieure de l'homme.

Le centre de gravité de chacun de ces trois modes de notre vie psychique se situe dans les lombes (régions postérieures de l'abdomen, situées symétriquement à droite et à gauche de la colonne vertébrale), le cœur et le cerveau. Au moment où une impulsion est reçue ou émane de l'un de ces trois centres, les deux autres, quoiqu'ils y prennent part, adoptent généralement une attitude passive. De sorte que celui qui à ce moment-là commande, parle au nom de la Personnalité dans son ensemble et par là représente l'homme tout entier*.
Tant que le feu du cœur est en route, le moteur tourne, mû consciemment ou inconsciemment par le centre magnétique qui assure la coordination de l'ensemble, permettant la conscience Unitaire. La dextérité du conducteur passe par sa capacité à ne plus penser, observer ou à réfléchir, mais seulement à suivre la vibration qui l'anime. Cela s’appelle ÊTRE. C’est le technicien qui par son mental veut savoir. Une fois le moteur en route, le technicien n’a plus rien à faire, sinon obéir à ce que lui dit de faire le moteur en action.

* Nous pensons principalement par la tête, mais pas exclusivement. Il en est de même en ce qui concerne notre cœur, le centre émotif, et les lombes, le centre instinctif et moteur (motricité). 

 

La protection du corps se fait par une membrane nommée l'égo*, qui caractérise son individualité spécifique. Elle comprend un aimant de polarité masculine + (en bleu), et un aimant de polarité féminine - (en rouge). Ils permettent le fonctionnement électromagnétique du corps énergétique. Nous sommes ainsi naturellement, par le simple jeu d’être incarné, dans un moteur mu par deux aimants à l’intérieur d’une boîte appelée égo. Le masculin, l'électrique, n’arrête pas de s'agiter parce qu’il est dans un environnement en interaction permanente. Il entraîne à son tour le féminin, le magnétique, dans des émotions tout aussi tourbillonnantes, voire plus. Tout cela se fait sous le couvert d’un égo en mode survie pour garder l’intégrité du tout.

* Cf. Décryptage de l'égo.

 

Vu dans sa verticalité à l'instar d'une fusée, le corps est conçu sur le principe d’une colonne de direction (Cf. figure) en trois étages (les moteurs), composée d’engrenages énergétiques - les propulseurs - ayant chacun leur propre spécificité et leur propre polarité, masculine (cerclé bleu) ou féminine (cerclé rouge).

Ces propulseurs se nomment "disques", communément appelés chakras (terme sanskrit), dont la fonction est une production énergétique obéissant à une certaine densité/vitesse, variable suivant leur position et leur diamètre. Chaque moteur en possède deux qui correspondent à des fonctionnalités bien précises et

qui se rapportent à des dimensions vibratoires de différente densité, tout n'étant qu'énergie*...

* Cf. Fonctionnement de l'architecture du Vivant.

 

Le premier étage, associé au Corps (plus exactement les lombes ou l'abdomen sur le plan anatomique), permet l’ancrage/l'arrimage terrestre, pour une navigation cohérente avec la densité de la matière et la dualité des polarités qui la caractérise. Il comprend deux propulseurs : le chakra "racine" (1), situé à l'entrejambe, est l'expression de la substance matérielle dans ses différentes formes, et siège de l'instinct ; le chakra "sacral" (2) est l'expression du ressenti de vie par l'énergie sexuelle, siège des émotions inférieures (liées à l'estomac). Il est de température chaude, et associé à l'élément terre, celui du monde solide. Ce centre moteur est le mieux organisé des trois, le plus ordonné, le plus "sage". Fonctionnant déjà dès la conception, il dirige les cinq sens, accumule l'énergie dans l'organisme par ses fonctions instinctives, et préside, par ses fonctions motrices, à la consommation de cette énergie. Incontournable dans l'ancrage terrestre, il en découle que tous les exercices psychiques liés au développement de la Personnalité exigent en parallèle un entraînement physique*.

Le second étage, associé à l’Âme (à la poitrine sur le plan anatomique), tient compte des spécificités du conducteur, en termes d’intention et de désir de navigation émise. Il comprend deux propulseurs. Le premier est le chakra "solaire ou du plexus solaire" (3), expression du mental. Il est le centre du pouvoir du corps. C’est là que nous obtenons notre pouvoir, pour en quelque sorte nous aider avec nos capacités psychiques à créer un bouclier psychique. Le second est le chakra "cardiaque ou du cœur" (4), expression des émotions. Ce sont les plus importants en diamètre. Cet étage est le régulateur de température, associé à l'élément eau, celui du monde liquide. Il est déterminant pour la création de ses intentions. Ce centre émotif a pour domaine les sentiments ainsi que les sensations et passions raffinées.

Le troisième étage, associé à l’Esprit (la tête ou le cerveau sur le plan anatomique), relie le véhicule à la dimension céleste, celle-ci étant le pendant naturel de la dimension terrestre. Il comprend deux propulseurs : le chakra "laryngé" (5 ), assurant la connexion à l’esprit, et le chakra "frontal ou du 3° œil" (6), expression de l'intuition. Il est de température froide, et associé à l'élément air, celui du monde gazeux. Le centre intellectuel enregistre, pense, calcule, combine, recherche, etc... Remarque d'importance, les centres supérieurs ne sont "établis" qu’en étant "magnétisés", autrement dit par une ouverture de conscience appropriée, qui est loin de portée de l'être humain "ordinaire" tant elle repose sur une démarche initiatique spécifique ! 

Les premier et troisième étages ne sont pas modifiables dans leur fonctionnalité, seul le second pouvant varier à l’initiative du conducteur. Le septième chakra traditionnel, dit "coronal" (7), est hors moteur. Il traduit le lien entre le Moi (l’égo personnalité) et le Soi inférieur (l’Âme) de nature astrale, le Soi supérieur divin de nature cosmique lorsque celle-ci est unifiée. Autrement dit, lorsque le Moi séparé (égotique) est réintégré à l’Esprit universel, La Source, le Grand Soi. Il est associé à l'élément feu, celui de la Création, du Grand Esprit de Ce Qui Est.

* L'expérience millénaire montre qu'une seule posture répond à cette exigence, consistant à placer la tête, le cou et la colonne vertébrale sur une même ligne droite verticale jusqu'à l'obtention éprouvée de la sensation de repos, nommée la "nébuleuse", symboliquement caractérisée par le fameux "Eurêka" du scientifique Archimède de Syracuse...

 

Des chakras

Le chakra racine est situé à la base de la colonne vertébrale et est représenté par la couleur rouge. Lorsqu’il n’est pas activé, il peut en résulter un comportement imprudent ou une dépression. L’énergie sexuelle s’exprime ici et les projets créatifs sont explorés avec joie lorsque ce centre est activé par le choix de l’âme ou les conseils des amis qui ont été choisis.

Le chakra sacré ou sacral est représenté par la couleur orange. Il est en corrélation et se mélange avec l’énergie du chakra racine et est également concerné par l’énergie sexuelle et le pouvoir. La confiance peut être ressentie lorsqu’il est activé et l’ennui et l’apathie peuvent s’exprimer lorsque la zone se ferme.

Le chakra solaire ou naval s’associe également aux émotions d’attachement, de satisfaction et de créativité. La couleur jaune représente cette expression énergétique lorsque les amis sont proches.

Le chakra du cœur ou cardiaque représente l’amour pur pour la famille, les animaux, la nature et tous les amis qui nous entourent et nous encouragent dans nos efforts de croissance. S’il n’est pas activé, il peut entraîner du chagrin, un sentiment de non-appartenance et de la dépression. La couleur est le vert dans les expressions d’attachement.

Le chakra laryngé ou de la gorge est bleu clair lorsqu’il est activé par les amis ou notre moi supérieur. La télépathie est facilitée par la communication vocale qui favorise la prise de conscience des messages transmis par l’Esprit. Tout dans la création est lié à la conscience et à l’esprit. Nous sommes ainsi la création elle-même dans sa forme.

Le chakra frontal (Troisième Œil) ou des sourcils s’exprime en bleu foncé et se préoccupe de l’esprit et d’une compréhension plus profonde. Les amis restent à proximité lors de cette activation qui est suivie par l’ouverture du chakra de la couronne.

Le chakra de la couronne ou coronal est largement connu et compris comme une porte d’accès à l’intuition et à la spiritualité au niveau le plus profond. La vision intérieure est activée et la glande pinéale fonctionne à plein régime. Une personne peut ainsi voyager dans l’astral, avoir des visions et faire l’expérience d’une clairvoyance totale lorsque ce portail d’énergie est activé et qu’elle se connecte dans une conscience élargie à d’autres formes de vie avec l’intention de le faire. La couleur exprimée est la lavande, dans des tons allant du clair au foncé.

Le chakra universel est celui qui relie toutes les galaxies. On y accède par la méditation, qui permet à la télépathie de circuler dans notre esprit pendant que les forces de la lumière adressent des paroles de sagesse à notre être. Sa couleur est or, expression du pouvoir et de la lumière !

Le chakra de la prophétie et de l’illumination spirituelle complète a pour couleur le blanc, ressenti par des êtres supérieurs à même de faire  l’expérience de la communication divine. Autant dire peu d'individus en l'état de la conscience humaine...

 

Ce sont les deux centres moteurs émotionnel et intellectuel qui placent l'être humain ignorant devant de graves difficultés, de par leur nature première "brute" anarchique*, car empiétant souvent l'un sur le domaine de l'autre, et sur celui du centre moteur de telle sorte que celui-ci se dérègle. Qui plus est, les conditions de la vie moderne, fiévreuse et passablement déséquilibrée, conduisent tous ces liens à être plus ou moins relâchés, parfois jusqu'à leur rupture. Celle-ci entraîne inévitablement pour l'individu la perte de la notion et du sens de la morale. L'altération de ces liens, depuis leur relâchement jusqu'à leur disparition, produisant toute une série de phénomènes psychologiques, ce processus se caractérise essentiellement par une hypocrisie de plus en plus prononcée, faisant de l'homme à la rupture complète des liens une personne amorale !

* Tant que les pensées et sentiments ne sont purs, transparents, les actions ne peuvent l'être. Ce sont les considérations qui entraînent l'anarchie intérieure, venant tantôt du centre intellectuel qui, de ses calculs, entache la pureté du sentiment, tantôt du centre émotif qui brouille les calculs du centre intellectuel. Aussi il est impossible de mettre de l'ordre dans notre vie psychique, de la faire sortir de son état de perpétuelle anarchie et de son profond non-sens, tant que nous n'avons étudié à fond la structure de notre Personnalité. Et c'est grâce à cette étude que le chercheur pourra procéder au réglage et à la mise au point de cet organisme. Il n'y a d'autre moyen d'y parvenir que le travail sur soi-même, l'observation intérieure.

 

Chacun des propulseurs, par-delà sa polarité dominante, contient également en son sein l'autre polarité, masculine ou féminine. Le tourbillon d’énergie qu'il produit tourne toujours dans le même sens, se trouvant en opposition aux disques/roues qui l’entourent. Ceci correspondant à une zone de retournement, il tourne donc en sens contraire, tout en sachant qu’il travaille comme un pignon assemblé avec un autre, c’est-à-dire en parfaite harmonie puisqu’ils s’épaulent dans leur effort. Sa qualité découle de la conscience du conducteur quant à ses spécificités et raison d’être. Reflet de la polarisation universelle, cette division des trois centres comme de leurs propulseurs respectifs permet à l'être humain son bon fonctionnement. 

Pour le centre-moteur instinctif, il lui permet d'établir des comparaisons, d'envisager les deux faces des problèmes qui se posent à lui, la partie positive considérant pour ainsi dire l'endroit et la partie négative l'envers de ces problèmes, le centre-moteur tout entier opérant une synthèse et tirant des conclusions qui s'inspirent des constatations faites par chacune des parties. Il est le gérant de notre corps, devant équilibrer les énergies qu'accumule sa partie positive et celles que consomme sa partie négative. Si son abus source de déséquilibre présente un danger, l'épuisement physique qui en découle agit comme contrôle, venant arrêter les excès de consommation d'énergie.

Dans le centre émotif, la partie négative s'oppose à l'action de la partie positive en même temps qu'elle la complète. Elles permettent ainsi au centre de distinguer, par exemple, l'agréable du désagréable. Le risque de sollicitation de la partie
négative du centre émotif qui reçoit toutes les impressions désagréables est de nourrir excessivement les émotions négatives, dont la palette très large va de la mélancolie à la haine.

De leur côté, les idées constructives, créatrices, naissent dans la partie positive du centre intellectuel, la partie négative les jaugeant pour en prendre la mesure. C'est sur la base de cette polarité fonctionnelle que le centre, dans sa totalité, juge. Le risque est que l'excès de sollicitation de la partie négative du centre intellectuel finisse par nourrir la jalousie, les arrière-pensées, l'hypocrisie, les soupçons, la trahison, etc...

Si dans chaque centre (physique, émotionnel, intellectuel) il y a, tant du côté positif que du côté négatif, un secteur qui
possède à l'état pur les caractéristiques du centre, se trouvent également des secteurs composés qui sont les représentants
des deux autres centres. Grâce à ce système, aucun des trois centres — cas pathologiques mis à part — ne peut agir d'une manière purement autonome, tout le système étant mis simultanément en mouvement*. Ceci répond parfaitement aux
besoins, car permettant de percevoir tous les éléments psycho-physiques de l'Univers, de réagir aux impressions ainsi reçues, de parvenir à des conceptions et de procéder à des opérations complexes.

* La participation des deux autres centres dans le travail du premier est toujours nuancée par le caractère de celui-ci.

 

L'électricité du moteur permettant le fonctionnement des propulseurs est l'énergie (le prana hindouiste). Elle circule à travers un tube pranique vertical, qui connecte le corps de la terre (le tellurique) jusqu’au ciel (le céleste) et irrigue les propulseurs (centres énergétiques ou chakras). Un autre canal de circulation très important est le tube pranique horizontal, canal d’énergie qui part du plexus et qui va tout droit devant soi comme tout droit dans le dos, telle une ligne qui nous traverse de part en part du plexus. Pour imager cette activation nous pouvons nous référer à la clé de vie égyptienne, la croix de Ankh*, symbole de la vie éternelle comparé à un utérus. Comme en haut, comme en bas (Cf. 1ère photo de droite).

Si on la regarde de profil on peut voir que le trait du bas représente les jambes, le trait du milieu représente le tube pranique horizontal et la boucle est une boucle d’énergie qui part du plexus et qui remonte jusque dans le dos et une autre boucle d’énergie part de derrière et revient devant au niveau du plexus. C’est ce que l’on appelle l’énergie contrarotative (ça tourne dans un sens et aussi dans l’autre). Ce canal très puissant décuple notre puissance dans la matière. Il permet de co-créer notre réalité en projetant nos intentions à la vie*².

A noter que ce signe égyptien Ankh correspond au dispositif de type bobine Tesla (Cf. seconde photo ci-contre) avec un inducteur plat et un inducteur monté sur le dessus. De ce point de vue, les Égyptiens n’ont pas dessiné des symboles abstraits de vie ou de pouvoir pour les dieux, mais ils ont mis entre leurs mains des dispositifs techniques très réels.

* Elle est le symbole féminin d'Ankhiar, planète aux alentours de la constellation du Scorpion et désormais disparue, qui représentait jadis la planète mère (c'est la planète d'origine de la race humaine).

Le processus création décodé & La pensée création.

 

 


La pile énergétique

Lorsqu'une pile destinée à assurer le bon fonctionnement de l'appareil auquel elle est dédiée s'est vidée, nous la jetons, ou devons la recharger. Il en est de même pour l'être humain. A notre naissance, notre pile est pleine. Puis elle ne va pas s'arrêter de se décharger, de se vider jusqu'à devenir hors d'usage lorsque nous oublions par non conscience de préserver par notre attention seulement intérieure notre précieux capital.


Tant que nous luttons avec l'extérieur - les autres, le système -, nous sommes par énervement électrique dépossédé de notre carburant, de notre substance première. Nous avons alors une baisse de luminosité soudaine de notre éclairage, à l'image des baisses de tension qui ont des conséquences pour notre équipement électrique domestique à court, moyen et long terme, les équipements sensibles pouvant se verrouiller ou cesser de répondre, causant la perte de données et une réinitialisation du système.

Or une alimentation électrique constante est vitale pour nos équipements. C'est le rôle de l'onduleur, qui protège nos installations des problèmes et des aléas de courant. Il fonctionne grâce à une batterie, chargée en permanence, qui prend le relais en cas de coupure électrique. Elle fournit une onde électrique sûre à notre équipement.

Lorsque nous sommes conscient de Qui Nous Sommes, l'énergie universelle, nous veillons à ne plus gaspiller notre bien précieux par l'emballement de nos émotions. Notre attention devient alors inconditionnelle*.

* Cf. La dualité décodée & Libération émotionnelle.

 

C'est le coccyx, os situé à l'extrémité de la colonne vertébrale, qui permet le "branchement" énergétique à la terre, à l'instar du branchement d'une prise électrique. En haut de la colonne vertébrale, le branchement énergétique au céleste se fait par l'atlas, dernier os. Entre les deux se trouve le sternum, et tout particulièrement le xiphoïde, os situé à son bout. Leur alignement comme leur état sont déterminants pour le bon fonctionnement des tubes praniques horizontal et vertical. Alors, comme le dit le principe alchimique, "c'est quand l’esprit atteint un certain état de conscience qu'il vient s’asseoir dans le corps"...

 

Vue d'ensemble du fonctionnement du corps biologique

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Chaque civilisation des "étoiles" est liée à notre humanité selon une couleur, un son, un chiffre,un chakra, les êtres de l'étoile Sirius* étant directement liés à l’esprit de la couleur Orange et au centre sacré.

* Cette étoile est majeure dans le référentiel civilisationnel, présente dans toutes les cosmogonies, considérée comme le double évolutif du Soleil de la galaxie solaire de La Voie lactée (elle est cachée par celui-ci, cosntituant sa vraie source d'énergie). Étant la plus brillante dans la voûte étoilée, observée avec intérêt par tout astronome pratiquant, c'est l'étoile de l'Initiation par excellence, dite du Chien, présente depuis l’Égypte antique dans tous les rituels s'y rapportant compte-tenu de son puissant pouvoir ésotérique (elle atteint sa plus haute ascendance le 25 décembre, jour de la résurrection des corps spirituels, et apparaît dans le milieu du ciel à minuit exactement le jour du nouvel an). C'est celle que prie Gepetto dans le dessin animé Pinocchio (allégorie de l'initiation par la fée bleue donnant vie à la marionnette de bois), que Truman rencontre dans le film The Truman show, qui est figurée par l'arcane Étoile dans le Tarot, et "incarnée" par la déesse Isis chez les Égyptiens ou la Vierge Marie chez les chrétiens.

 

Des types humains

Si chaque être humain de par sa singularité, sa personnalité, représente en quelque sorte un univers à part, il n'en est pas moins vrai que les types humains se répètent. En fait, il n'existe en tout que trois types fondamentaux, se distinguant par la prépondérance dans la Personnalité de tel ou tel des trois centres psychiques : l'humain surtout intellectuel qui pense, calcule, cherche, dont le centre de gravité réside dans le centre intellectuel; l'humain par excellence émotif, sentimental, artiste, romantique, dont le centre de gravité réside dans le centre émotif; l'humain d'action dont le centre de gravité psychique réside dans le centre moteur.
L'humain, tel qu'il naît de la femme, appartient obligatoirement à l'un des trois types fondamentaux dans lesquels entre toute l'humanité, quelles que soient la race, la caste ou la classe. C'est là une loi de la Nature, et il n'est pas donné aux êtres humains de s'y soustraire en passant, selon leur convenance, d'un type à l'autre.
Il existe cependant d'autres types, supérieurs à ces trois types fondamentaux. Sauf dans des cas tout à fait exceptionnels, on n'appartient pas à ces types supérieurs par droit de naissance, leur création résultant d'un long processus de gestation. C'est ce que Jésus, parlant à Nicodème, disait : "l'homme doit naître de nouveau". Pour s'élever à ces niveaux, il lui faut faire des efforts conscients, poursuivis selon les règles posées depuis des millénaires par la Tradition...

 

Les interactions

 

Les trois moteurs du corps biologique entraînent par les interactions de leurs propulseurs, chacun relié à un centre de conscience (chakra), des conséquences bénéfiques ou non pour l'être humain.

Tel est le spectre d’énergie avec lequel nous nous sommes engagés dans la dimension de la vie humaine. Il est vain d’y résister si nous voulons rester incarnés. C’est la nature même de cet aspect de la réalité. Il devient réel pour nous par la création de la peur, et il nous permet de le maîtriser par la réalisation de l’amour inconditionnel. En effet, si la peur nous permet de nous engager dans une énergie négative, cela nous serait impossible si nous suivions les conseils de notre conscience du cœur.

Nous pouvons transformer une perspective et une fréquence vibratoire négatives en un royaume au-delà de la polarité, en alignement avec les expressions créatives de l’amélioration de la vie. En ouvrant notre conscience à la gratitude et à la joie, nous pouvons créer une résonance avec notre conscience du cœur. Il en découle que lorsque nous pouvons maintenir cette conscience tout en menant notre vie, nous devenons des centres d’énergie transformateurs pour nous-mêmes et pour tous ceux qui nous entourent. Nous nous alignons sur la conscience qui crée tout et qui nous offre en permanence une guidance intérieure. Nous sommes conscients de cette guidance lorsque nous y prêtons attention avec gratitude et joie dans une perspective d’amélioration de la vie. Nous ne faisons pas l’expérience de la négativité à moins que nous ne le choisissions intentionnellement. C’est une question de résonance vibratoire. Nous ajustons notre signature énergétique d’un moment à l’autre par notre attention, notre intention et nos émotions.

 

Entre le spectre vibratoire de la peur et l’énergie vitale de l’amour, nous faisons l’expérience d’un changement de conscience.

Lorsque nous choisissons l’amour, nous n’avons plus besoin de résister à la négativité. Le fait d’avoir une perspective uniquement positive transforme notre présence énergétique en une octave d’expérience plus élevée.

Lorsque nous choisissons de nous aligner sur l’énergie vitale de notre cœur, nous changeons l’énergie de l’humanité. Nous ne pouvons pas participer pleinement à l’expérience humaine sans connaître la peur, mais nous n’avons plus à nous y soumettre.

Nous jouons un jeu de conscience dans lequel nous dirigeons les qualités de nos expériences par nos propres vibrations. Nous pouvons apprendre à être intentionnels à chaque instant, en créant tout ce dont nous avons besoin, tout en créant l’énergie de transformation pour la Terre et toute l’humanité.

Par les qualités vibratoires de nos pensées et de nos émotions, nous exprimons notre état d’être, formant notre signature énergétique, qui détermine notre présence dans le spectre énergétique de l’amour ou de la peur.

Tout dans notre expérience change en fonction de celle que nous choisissons.

 

De la respiration

Des scientifiques de l’Université du Wyss Institute de Harvard ont découvert que l’un des moyens les plus simples de protéger le corps contre une infection virale est de simplement respirer*, sans masque, bien sûr. En effet, l’acte de respirer, qui est totalement involontaire et naturel au départ, génère des réponses immunitaires qui détruisent les agents pathogènes envahissants. Des expériences utilisant une “puce pulmonaire” qui imite les forces mécaniques de la respiration ont permis de tuer le virus de la grippe, par exemple.

Il s’avère que les poumons contiennent des alvéoles, c’est-à-dire qu’ils aspirent l’oxygène et l’échangent avec le dioxyde de carbone à l’expiration. En respirant simplement, le corps s’oxygène tout en expulsant les déchets de CO2, ce qui renforce l’immunité et protège contre les maladies. De son côté, le port d’un masque empêche l’organisme d’être correctement oxygéné puisque entravant la respiration, l'équilibre étant transformé rapidement en déséquilibre qui rend le corps plus vulnérable aux infections. Avec le temps, cela peut conduire à l’hypoxie, un état dans lequel le corps manque d’oxygène. Si cette situation se prolonge, elle peut entraîner d’autres problèmes de santé, souvent chroniques et parfois même mortels. Cela explique pourquoi les régions du pays où le respect du port du masque est le plus élevé enregistrent un plus grand nombre de décès par rapport aux régions qui le respectent moins.

* Tout au long de sa vie, l'être humain prend plus de 600 millions de respirations. À chaque fois, ses poumons s’étirent, puis se détendent, ce qui maintient le corps dans un équilibre oxygéné correct.

 

De la corrélation rythme cardiaque-oxygène

Plus on monte haut, moins il y a d’oxygène, d'où des difficultés à respirer et une accélération du rythme cardiaque. Ainsi, à plus de 4000 mètres, on ne dispose que de la moitié de l’oxygène disponible au niveau de la mer. Cette raréfaction de l’oxygène entraîne une cascade de réactions physiologiques pouvant, si on y est mal préparé, provoquer des maladies, voire la mort. Si le corps est une magnifique machine fonctionnant à l’oxygène, il compense le manque d’oxygène quand il se retrouve dans un environnement où l’air devient plus rare en fabriquant plus de globules rouges et en augmentant le taux d’hémoglobine dans le sang. C'est pourquoi le rythme cardiaque et la respiration s’accélèrent, afin que les organes soient autant fournis en "carburant" qu'à basse altitude. A des altitudes modérées, cette réaction de l'organisme suffit à l'acclimatation. Au-delà de 4000 mètres, cela devient plus difficile, le manque chronique d’oxygène – qu’on appelle l’hypoxie – incitant la moelle osseuse à produire toujours plus de globules rouges. Résultat : le taux d’hémoglobine monte, conduisant le sang à s’épaissir tellement qu’il devient visqueux… et circule donc de moins en moins bien. C’est le mal des montagnes, également nommé maladie de Monge, caractérisé par un ressenti de fatigue et de mal à la tête, le moindre effort donnant au visage une couleur violacée. L'hypertension artérielle pulmonaire se développe, pouvant même aller jusqu’à l’insuffisance cardiaque, avec à la clé un risque accru d’infarctus ou de maladie cardiaque chronique.

Toutefois, certaines personnes ne connaissent pas ces problèmes. Ce sont les Tibétains, qui vivent depuis des milliers d’années à des altitudes extrêmes sans développer de maladie de Monge (même les populations andines, qui n’évoluent dans la Cordillère des Andes "que" depuis quelques milliers d’années, souffrent de la maladie de Monge). C'est également le cas des habitants des hauts plateaux abyssins, en Éthiopie, le plus ancien peuple de haute montagne de l’humanité, ainsi que les peuplades historiques de l’Himalaya comme les Sherpas du Népal, mais qui vivent à des altitudes moindres (le haut plateau tibétain est le plus élevé du monde, avec une moyenne de 4900 mètres d’altitude).

Cette adaptation exceptionnelle des Tibétains s'explique par le volume de globules rouges dans leur sang, qui a le même nombre de globules rouges que les habitants qui vivent au niveau de la mer. Cette particularité des Tibétains vivant à plus de 4200 mètres d’altitude qui s’observe dès leur venue au monde* repose en fait sur leur patrimoine génétique, lequel diffère des Tibétains vivant entre 3000 et 3500 mètres et tous les autres peuples himalayens. Elle serait survenue il y a au moins 8000 ans, ne s'étant retrouvée que dans un seul autre exemple du passé, celui d’une espèce humaine dite archaïque car aujourd’hui éteinte : "l’homme de Denisova" (cette branche éteinte de l’humanité a été découverte en 2010 dans l’Altaï sibérien). Elle vivait dans des conditions d’altitude et de froid extrême… comme les Tibétains d’aujourd’hui. Une autre analyse, plus large et poussée de cet ADN effectuée en 2016, indique de son côté que 6% du patrimoine génétique tibétain se compose de séquences ADN archaïques, dont celui de l’homme de Denisova déjà identifié. C’est un pourcentage bien supérieur à celui, par exemple, de l’homme de Néandertal chez les populations européennes modernes. Elle a aussi permis de "rapprocher" les Tibétains modernes d’une autre branche d’homo sapiens également disparue, "l’homme d’Ust-Ishim", qui vivait en Sibérie orientale il y a 45 000 ans, et dont le matériel génétique ne se retrouve ni dans les populations asiatiques modernes, ni dans les populations européennes modernes.

Cette singularité ethnique du peuple tibétain, au-delà des questions culturelles et religieuses, explique à l’heure actuelle la résistance démographique de ce peuple face aux colons chinois qui ont investi le haut plateau du Tibet depuis l’invasion de 1950 (environ un tiers du Tibet est habité par des "Chinois de souche", c’est-à-dire de l’ethnie Han). En dépit de leur avantage économique et technologique, les Chinois habitant le Tibet connaissent une mortalité infantile trois fois supérieure à celles des Tibétains, avec comme conséquence leur incapacité à compenser l’avantage génétique des Tibétains, fruit de milliers d’années d’adaptation à la haute montagne, et d’un héritage biologique absolument sans équivalent dans l’humanité.

* Une étude réalisée en 2014 a permis de déterminer que cette adaptation génétique unique, sans équivalent, est située sur le chromosome 1, EGLN1.

 

Le moteur de la Terre

 

Le premier propulseur (1) correspond au corps "physique", le second (2) au corps "énergétique". Ce moteur est le siège du plaisir, de la satisfaction.

Son impulsion vers le haut passe par la nourriture ingurgitée et par le désir de reproduction.

Il est sujet aux douleurs physiques, à la maladie et à son inéluctable dégradation, la vieillesse, en l'état de notre conscience polluée par l'idéologie politico-religieuse distillée, soit le concept de Mort, non du Vivant.

Le soin en conscience à apporter aux corps physique et énergétique passe par la qualité de leur entretien quotidien : type et dosage de nourriture ingurgitée, évitement des toxicités (tabac industriel, sucres, alcool, drogues, médicaments chimiques, eau fluorisée, OGM...), hygiène et esthétique, entretien (marche, massage), repos et relaxation (sommeil, détente au calme), ancrage à la nature (jardinage, artisanat...), sexualité épanouie/apaisée, loisirs partagés, paternité/maternité...

 

De la télomérase

Les avancées scientifiques ont permis d'établir le lien entre la longueur des télomères et l'état de santé comme du vieillissement des êtres humains, tout particulièrement à travers les effets du stress. En leur qualité d'extrémités protectrices des chromosomes, plus les télomères sont longs, et plus l’ADN est protégé, permettant à la cellule issue de la division cellulaire de se reproduire facilement. A l'inverse, plus ceux-ci sont courts, plus la cellule devient sénescente, ce qui engendre de grandes perturbations dans le corps qui est conduit à vieillir prématurément. Pour l'illustrer, il suffit d'établir le parallèle avec un lacet de chaussure. Celui-ci comporte à chacune de ses extrémités une petite protection en plastique pour qu’il ne s’effiloche pas. Lorsque cette protection est partie, le lacet s’abime, s’effiloche et raccourcit. De la même façon, les télomères sont des capuchons constitués d’une chaîne entourée de protéine, qui protège chaque extrémité du chromosome pour que l’ADN le constituant ne s’abime pas lors de la division cellulaire.

Toutefois, le raccourcissement des télomères n’est pas inéluctable, d'autant si l'être humain se préserve du stress qui y contribue largement. Non le "bon" stress, à même de stimuler l’activité de la personne et de renforcer sa santé, sa vitalité et ses performances. Mais si la personne a tendance à ruminer et à s'attendre au pire, alors le vieillissement s’accélère, ses télomères étant raccourcis. De la même manière, le manque d’activités physiques, une alimentation non naturelle ou en carence de protéines et de vitamines, le sucre et en conséquence le surpoids, réduisent les télomères et affectent la santé*. Tout comme la dépression, l’ingérence de substances toxiques et chimiques - pesticides, aluminium, métaux lourds (plomb, cadmium), tabagisme et alcoolisme… -, un entourage ou un environnement difficiles (violence), la solitude sans compagnie et soutien, raccourcissent les télomères, générant maladies et vieillissement prématuré. Ces éléments découlent très souvent d'une enfance difficile sans sécurité affective et sujette à violences directes comme indirectes, qui, parce que non conscientisées et déprogrammées, ont entraîné à l’âge adulte une vie difficile pleine d’addictions et de souffrances.

Il en découle la nécessité de mener une vie saine, sur les plans nutritionnel, qualité de son environnement et de ses pratiques comportementales (pratique d'exercices physiques, relaxation et méditation, auto-observation et prise de recul, soutien de groupe, appartenance à un réseau de solidarité). C'est la pleine conscience de Qui Nous Sommes vraiment, non des automates programmés sur le plan génétique pour manifester violence, peur, insécurité, émotions exacerbées, égoïsme… mais des êtres humains décidés (enfin) à évoluer pour récupérer leurs véritables pouvoirs de créateurs inspirés afin de sublimer la matière et non plus la pervertir !

* Cf. Conscience nutritionnelle.

Cf. Travaux du Dr Elizabeth Blackburn, biologiste moléculaire américaine et prix Nobel 2009 de médecine et du Dr Elissa Epel, professeure de psychologie et directrice de l'UCSF (centre d'études sur l'obésité et le stress) à l'Université de Californie.

 

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Du principe de circulation

Il repose sur deux modes de circulation complémentaires (Cf. schéma ci-contre).

La petite circulation voit le sang, qui venant de l'oreillette droite, passe dans le ventricule du même coté. Les contractions du ventricule droit envoient le sang dans l'artère pulmonaire qui pénètre dans les poumons et s'y ramifie en capillaires pulmonaires. Ces derniers se rassemblent en veines pulmonaires qui aboutissent à l'oreillette gauche.

La grande circulation voit l'aorte partir du ventricule gauche. S'en détachent des artères qui se rendent dans toutes les parties du corps, devenant de plus en plus petites et se ramifiant en capillaires. Celles-ci se réunissent en vaisseaux de plus en plus gros : les veines. Ces dernières se rassemblent finalement en deux grosses veines : les veines caves (supérieure et inférieure) qui se jettent dans l'oreillette droite. Les veines provenant des viscères abdominaux (estomac, intestin,...) aboutissent à une grosse veine, la veine porte, qui traverse le foie d'où elle ressort pour rejoindre la veine cave inférieure.)

Le cycle est ainsi bouclé, la différence existant entre le sang artériel et veineux de la grande et de la petite circulation. Il est oxygéné dans les artères de la grande et les veines de la petite circulation, et contient du gaz carbonique dans les artères de la petite et les veines de la grande circulation.

 

Le moteur de l'humain

 

Il est de loin le plus important, par la taille de ses deux propulseurs dans la constitution biologique et de ce qui en découle sur le plan de l'intensité énergétique. Il est le moteur de l'harmonie, au service de ce qui en permet la manifestation par le combiné mental/émotionnel.

 

Le premier propulseur (3) qui le compose correspond au corps "mental", de polarité masculine (impulsion électrique).

Dans son interaction vers le bas avec le propulseur énergétique (2), il caractérise le corps de "désirs" et les sollicitations que l'énergie sexuelle adresse au mental pour les satisfaire de différentes manières (possessions, pouvoir, domination, consommation...).

Dans son interaction vers le haut avec le propulseur émotionnel (4), il caractérise le corps "spirituel" par le besoin de s'élever en esprit.

Il est sujet à l'agitation, par la montée en pression du mental/intellect, surchauffe conduisant à de la souffrance psychique.

Le soin en conscience à apporter au corps mental est la maîtrise de l'agitation intellectuelle, des pensées, par la détente et la remise en perspective des suggestions binaires faites. Elle nécessite un désengagement des croyances mémorisées et des conditionnements assénés (ainsi les référentiels religieux et politique), et le traitement adéquat des traumatismes psychiques subis logés dans le subconscient (inconscient) : sentiment de dévalorisation, manque de reconnaissance et de considération, sentiment d'échec...

 

Le second propulseur (4) qui le compose correspond au corps "émotionnel", de polarité féminine (réceptivité magnétique).

Dans son interaction vers le haut avec les propulseurs du moteur du Ciel (5 et 6), il caractérise le corps de "l’Âme" et les sollicitations que le Soi supérieur (la petite voix intérieure) adresse au cœur pour permettre à l'enfant/guide/maître intérieur de s'exprimer en toute l'authenticité de sa spécificité biologique et de son programme de vie, autrement dit son divin dessein.

Il est également sujet à l'agitation, surchauffe conduisant aux bulles de l'affect, à l'activation ou au renforcement de blessures, et à des blocages.

Le soin en conscience à apporter au corps émotionnel est sa maîtrise par la thérapie de l'amour : amour de soi, amour des autres. Elle nécessite le traitement adéquat des traumatismes émotionnels en cours ou subis et logés dans le subconscient (inconscient) : estime et respect de soi, confiance, respect de l'autre, affection, qualité de la relation, amitié, soutien, don, offrande, bonheur, quiétude, paix, sérénité, harmonie, joie, pardon, compassion...

 

Dynamique du métabolisme (1) : la fréquence dynamique de l'eau

Le dynamisme du fonctionnement cellulaire (les êtres humains possèdent environ 100 000 milliards de cellules) se décèle par ses effets sur tous les êtres vivants. La quantité moyenne d'eau contenue dans un organisme adulte est de 65 %, ce qui correspond à environ 45 litres d'eau pour une personne de 70 kilogrammes. C'est pourquoi dynamiser l'eau est indispensable, car c’est lui donner les propriétés vitales qui animent les eaux de pluie, de rivière, de torrent, hors toxicités chimiques provenant des activités humaines.

Ce composite formé de matière et d’énergie - le carbone - est calé sur la fréquence de 528 Hz, mesuré par un diapason thérapeutique ou à l'aide d'un fréquencemètre réglé à 528 Hz. C'est la découverte de l'ingénieur Marcel Violet (1886/1973), personne ne doutant plus de son action extraordinaire sur les hommes, les animaux, les végétaux.

Le carbone est transporté de l’appareil producteur à l’eau par une électrode neutre de carbone pur, rien de chimique n’étant ajouté à l’eau qui doit être aussi pure que possible. L’eau ainsi traitée* porte l’énergie et ses propriétés informationnelles dans toutes les cellules de notre organisme (ou celles des animaux et des plantes)*². Si les cellules sont en état de déficience énergétique, elles retiendront les quantités adéquates. De même, les barrages qui provoquent des accumulations de toute nature et de toute origine sont levés. Ainsi la circulation normale de l’énergie est rétablie. Nous nous défendrons alors beaucoup mieux contre les agressions qui nous menacent. Notre santé sera meilleure.

La fréquence 528 Hz, autrement dite diapason, est bel et bien le "MI" du solfège sacré : "Mi" comme "Miracles" ! Elle est aussi la réparation de l'ADN (acide désoxyribonucléique), fréquence exacte utilisée par les généticiens du monde entier pour étudier et réparer le plan de la vie*³. Elle pourrait être bénéfique pour retarder le vieillissement, recommandée en cas de nervosité ou d’agitation interne. Par la suite, la personne traitée se sent apaisée, tout en étant agréablement plus réceptive.

* C'est le cas de l'argent ou or ou cuivre ou zinc colloïdal, avec leurs propriétés respectives.

Cf. Fonctionnement de l'architecture du Vivant.

*³ Cf. travaux parus en 1999 du Dr Leonard Horowitz et du Dr Joseph Puleo, à partir d'une ancienne méthode pythagoricienne permettant de réduire les versets bibliques en de simples chiffres, inévitablement controversés et traités de conspirationnistes. A chacun de se forger sa propre opinion par sa propre expérimentation et l'observation de ce qui en découle.

 

Le mécanisme de l'homéopathie humaine

Le mécanisme à l’œuvre  derrière l'homéopathie est la résonance de fréquence vibratoire. Il suffit de penser à soi-même comme un "médicament homéopathique" pour la planète pour en comprendre les effets. Car l'homéopathie à une échelle macroscopique, ce sont quelques êtres humains en tant que petite dose de traitement qui peuvent résonner avec d'autres êtres s'ils sont calés sur la fréquence vibratoire de vérité. Ils ont ainsi  une influence positive sur le macroorganisme qu'est la Planète Terre. Et ils deviennent encore plus efficaces lorsqu'on ne les dilue plus, la  résonance se répandant plus largement dans la solution amenant le tout à la bonne fréquence dans l'intégrité de la substance.

 

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Dynamique du métabolisme (2) : la dynamique de résonance de la silice organique

Base de la chimie organique, le carbone est l’élément après l'eau le plus important de la constitution de l’être humain, au même titre que le silicium, l'élément chimique de la silice présente dans la nature sous forme minérale (quartz, sable, améthyste, opale...) non assimilable par l'organisme, et sous forme végétale (ortie, prêle, bambou, micro-algues des fonds marins ...) assimilable par l'organisme. Il se classe deuxième dans la liste des éléments les plus abondants sur la planète, l'oxygène étant le premier d'entre eux. Carbone et silice, celle-ci vibrant à 44.000 Hz, créent tous deux par leur composition un nombre incalculable d’assemblages géométriques et réagissent chimiquement à presque tout ce qui les approche. Qui dit vivant dit propriétés de circulation et d'interrelation énergétique au sein de son environnement, soit des propriétés électromagnétiques. C'est pourquoi le processeur d’un ordinateur est fabriqué à partir du sable de silice, dont les composés en cristaux de silicium réagissent par résonance.

C'est en 1957 que Norbert Duffaut (1923/1993), chimiste et chercheur au CNRS, s'intéresse aux "silanols" et étudie les formes de "silicium organique" facilement assimilable par l'organisme humain. Après son décès, Loïc le Ribault (1947/2007), son associé, continue ses recherches et obtient des résultats stupéfiants tangibles… Malheureusement ce dernier n’a pu poursuivre librement suite à une condamnation par la justice française à 6 mois de prison ferme, condamnation fondée exclusivement sur l’exercice illégal de la médecine, alors qu’aucune plainte de patient n’avait été déposée, et que le mandat international de recherche délivré via Interpol était libellé de manière pour le moins farfelue …

Même si la proportion de silicium organique (SiO2) est faible dans l'organisme humain, il est l’un des oligoéléments les plus répandus dans le corps (les os, les tissus conjonctifs comme le cartilage et le tendon, la peau, les cheveux et les ongles, les vaisseaux sanguins), soit environ 7 grammes (le double du fer), s'amenuisant avec l'âge. Comme son effet de résonance agit sur notre état émotionnel, il se révèle une clé déterminante en sa qualité d'amplificateur solaire de notre ADN, car en tant que semi-conducteur, les molécules d’eau qui le transportent pénètrent l’ADN pour véhiculer, classer et trier les programmes/mémoires inscrits dans notre génome*. Il est bel et bien l’élément clé qui accorde en toute cohérence tout le vivant et permet l’évolution et l’adaptation, captant au sein des cellules l’information et la retransmettant dans les fréquences adéquates aux organes qui ont besoin de cette information. Il  leur permet de vibrer en correspondance avec les fréquences terrestres et de recevoir l’information venant du cosmos, tout particulièrement l’information retranscrite par le Soleil et exprimée par les vents solaires.

Cette compréhension est déterminante pour assurer la qualité du silicium liquide organique à travers l’eau la plus pure possible, afin d’amplifier notre résonance vibratoire intra-génétique et d'assurer la reconfiguration du génome*². Nous pouvons d'autant mieux comprendre la dénaturation de l'eau par le système prédateur - fluor et autres toxicités*³ -, tout comme la controverse quant à l’usage du silicium organique pour l’organisme, afin de museler l’élévation de la conscience humaine.

Sa fabrication artisanale comme complément nutritionnel de qualité est soit minérale (sable associé à un acide - vinaigre, citron - ou à une base comme la chaux, et couplé avec de l'eau pure pour obtenir du silicium liquide organique), soit d'origine végétale, sous forme organique ou colloïdale, en sachant que l’assimilation du silicium organique dans le sang est estimée à plus de 50 %, contre 5 % pour le silicium colloïdal, et est utilisé par les cellules et les tissus conjonctifs quasiment en totalité, contre 50 % seulement pour le silicium colloïdal. Une cure active apportant environ 2 mg de silicium organique par jour permet de reconstituer les réserves, de redémarrer la production des tissus conjonctifs, autrement dit la cohésion des fibres collagènes entre elles, et de renforcer les défenses immunitaires de l'organisme en favorisant la formation, au niveau de la moelle osseuse, des phagocytes et des lymphocytes.

* Grâce à sa structure à double polarité, le silicium organique, à la fois hydrophile (solubilité dans l’eau indispensable au passage dans le sang) et hydrophobe (affinité particulière pour les graisses) est capable de passer directement dans le sang en traversant la muqueuse intestinale, voire de forcer le passage du film protecteur de la peau.

Le silicium possède en pénétrant le système cellulaire, la génétique et le complexe hormonal pinéale-pituitaire, la propriété de trier les programmes génétiques stockés dans l’ADN, ou de réactiver, réveiller un programme génétique dormant ou défaillant.

*³ C'est ainsi que le carbone de la fumée de cigarette se fixe sur la membrane cellulaire, déformant la longueur d'onde des particules électroluminescentes (photoniques) qui parviennent dans les cellules. De même, le mercure et le cyanure présents dans la cigarette sont des neurotoxiques qui freinent l'influx nerveux et altèrent la structure atomique du silicium intracellulaire.

 

Dynamique du métabolisme (3) : la dynamique de résonance de l'ADN

Le code génétique constitutif de la spécificité biologique de l'être humain s'établit à partir d'éléments organiques que sont le carbone et la silice qui, avec l'hydrogène, l'oxygène, l'azote, le phosphore et le soufre, se retrouvent dans l'argile, organisme vivant à la chimie complexe. Quoi que ceci hérisse le poil des scientifiques rationalistes, ce n'est pas par hasard que des textes sacrés comme la Bible ou le Coran disent que l'être humain a été fait d'argile. Il est en fait une structure de tétraèdres et d'octaèdres (les solides définis par Platon), ceux-ci contribuant par leurs propriétés au fonctionnement énergétique du Vivant*. Autrement dit, l'argile constituerait l'ADN minérale ayant servi d'information et de moule et de précurseur à l'ADN organique*². 

* Cf. Fonctionnement de l'architecture du Vivant.

Cf. Travaux d'Alexander Graham Cairns-Smith (1931-2016), chimiste et biologiste moléculaire écossais, connu principalement pour son livre controversé "L’énigme de la vie" (1985) qui a popularisé son hypothèse qu’un simple développement intermédiaire entre la matière inerte et la vie organique pourrait être fourni par l’autoréplication des cristaux d’argile en solution. Voir également son livre Evolving the Mind ("Évolution de l'esprit") paru en 1996 qui favorise le rôle de la mécanique quantique dans la pensée humaine.

 

Du nominatif Adam

Le nom Adam en sumérien et en égyptien figure "un être qui tremble et qui peut être dévoré" (comme un animal de bétail), mais également "une créature coupée (démembrée) et inconsciente". Voilà qui est conforme aux manipulations génétiques relatées sur les tablettes mésopotamiennes*.

Ce nom générique se retrouve dans plusieurs langues sémitiques, signifiant "humanité". Ainsi, des tablettes d'Ougarit (région comprise entre la rive orientale de la mer Méditerranée et la ligne tracée par la frontière entre l'Iran d'une part et le Pakistan d'autre part) révèlent qu'en langue ougaritique l'humanité se dit "adm", ce qui a donné en hébreu Adam, le premier homme. Dans la Bible (Gn 2:72), "Elohim forma ha-adam ("l'homme", "le terreux", "le glaiseux"), poussière de ha-adama ("la terre", "la glaise"), de couleur rouge s'entend. Et le véritable sens d'Elohim (EL-Ù-HI-IM) est en sumérien "les puissants élevés (nos maîtres généticiens extra-dimensionnels) qui ont mélangé l'argile (ou l'argileux : l'homme)", tel que décodé par l'auteur Anton Parks dans son livre "Le secret des étoiles sombres, Tome 1"*². Adam a bel et bien engendré la cinquième race humanoïde sur Terre.

Par la présence de silice dans l'argile, notre chair constitutive est en résonance avec la "chair" de la planète Terre, sa composante minérale (des chercheurs américains ont découvert que l’argile aurait constitué les premiers acides aminés qui se trouvent dans certaines protéines permettant ainsi l’enchaînement d’acides ribonucléiques -ARN- avec ceux de l’ADN). Si la technologie de lumière qui agit sur la grille cristalline de la Terre a pour effet une silice tronquée, elle conduit par cette polarité "Service de Soi" de l'ADN à maintenir l'être humain, le "glaiseux", en captivité par une clôture invisible à ses sens*³.

Si l’argile est également un symbole de l’insignifiance et du caractère passager, c’est-à-dire de quelque chose qui n’a pas de durée, l'arrivée de nouvelles énergies - l'Onde de changement - en cette fin de cyclicité civilisationnelle  lui offre cependant la possibilité de s'affranchir de la limitation gravitationnelle en choisissant, par son libre arbitre, la nature de la lumière-information sur laquelle il règlera sa fréquence, et constitutive d'une nouvelle dimension de réalité*. La Nouvelle Terre ! 

* Cf. Vérité civilisationnelle.

Cf. Le Judaïsme décodé.

*³ Cf. Compréhension structurelle de la Matrice asservissante.

*Cf. Fin de cycle (2) La guidance éclairée de sa vie.

 

Des bienfaits de l'argile verte

L’argile est un remède ancestral aussi puissant que doux pour le corps et dont les vertus sont multiples. Si elle est réputée pour ses propriétés apaisantes et cicatrisantes en usage externe, elle présente nombre de vertus pour le corps de l’intérieur, que ce soit sous forme de détox en profondeur comme en douceur. Il suffit pour ce faire de faire appel à une argile verte, de type surfine ou ventilée, adaptée à une consommation interne. Chaque soir, une cuillère à café est à mélanger dans un verre d’eau de source (surtout pas du robinet) avec une cuillère de préférence en bois pour empêcher les ions de l’argile de s’échapper. En couvrant le verre, le mélange opère toute la nuit, avant d'être consommé au matin, à jeun, pendant deux semaines. Si l'organisme supporte bien les effets de l’argile sur le transit intestinal, la troisième semaine peut être consacrée à boire le dépôt de poudre au fond du verre avec l’eau.

Ses vertus sont nombreuses, son fort pouvoir absorbant et adsorbant attirant les poisons, toxiques et impuretés du conduit digestif pour le nettoyer, et ce sans détruire la flore intestinale (à l'inverse des antibiotiques). Grâce à ses vertus cicatrisantes et régénérantes, l’argile agit avec efficacité contre les ulcères, les inflammations et la porosité intestinale, rétablissant la capacité à filtrer correctement les molécules assimilées par la reconstitution cellulaire des tissus endommagés. Également anti-inflammatoire, elle agit bénéfiquement contre les inflammations des os, des muscles et des articulations, permettant en cas de sciatique de désengorger les toxines sur le nerf ciblé. Enfin, elle reminéralise le corps de par sa richesse en minéraux* (fer, silice, calcium, potassium, magnésium), contribuant à refaire le plein de vitalité.

* Elle est à ce titre indiquée en cas de pratique sportive régulière, de consommation de tabac ou d’alcool et toute autre pratique qui favorise la perte de minéraux.

 

Des bienfaits de la vitamine D

Selon plusieurs travaux de recherche, la prise de compléments à base de vitamine D s’avère bel et bien utile pour prévenir de nombreuses pathologies, notamment chez les plus de 50 ans. C'est la raison pour laquelle l’Académie de médecine a recommandé fin 2021 de prescrire systématiquement de la vitamine D aux personnes de plus de 60 ans souffrant du Covid-19. 

De son côté, le scientifique Michel Dogna, ingénieur chimiste, a démontré que la vitamine D (notamment associé à la vitamine K2) contribue au bon fonctionnement de pratiquement tous les tissus et organes, dont le cerveau, le cœur, les muscles, les glandes endocrines et le système immunitaire. De plus, elle agit de concert avec l’hormone parathyroïde afin de réguler le taux de calcium dans le corps. Elle prévient l’ostéoporose, réduit le risque de fractures par chutes, améliore la douleur musculo-squelettique chronique ainsi que les symptômes de fatigue associé à la fibromyalgie. Elle aide en particulier à réguler la tension artérielle, réduire l’inflammation, diminuer le risque d’athérosclérose (formation de plaques), améliorer les fonctions cardiaques chez les personnes souffrant d’insuffisance cardiaque, améliorer la sensibilité à l’insuline dans les cellules. Certains aliments, tels que le poisson, les œufs et les champignons, contiennent de la vitamine D, mais ce n’est pas suffisant. A défaut d’un ensoleillement intelligent, un supplément de vitamine D3 de haute qualité est la meilleure solution pour renverser la carence.

 

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Dynamique du métabolisme (4) : la dynamique de résonance de l'iode

Le système endocrinien est composé par l'ensemble des organes (glandes endocrines) qui possèdent une fonction de sécrétion d'hormones, ainsi que d'autres cellules endocrines dispersées en dehors de ces organes endocrines. Il repose sur le complexe hypothalamo-hypophysaire, qui voit l'hypothalamus contenir des neurones sécréteurs, ces neurohormones étant transportées jusqu'à la neurohypophyse où elles sont emmagasinées avant d’être déversées dans les capillaires sanguins le moment venu. L'hypothalamus possède également certains neurones qui déversent des facteurs d'inhibition comme de libération (ainsi par exemple hormone de croissance) dans les capillaires du système porte hypothalamo-hypophysaire qui rejoint l'adénohypophyse.

Étant donné le fort état d'intoxication dans lequel se trouve la plupart des gens (toxines environnementales comme le bromure, les pesticides et les additifs alimentaires), l'évolution rapide de l'environnement dans lequel nous vivons (sols appauvris), les modes nutritionnels (produits boulangers contenant des quantités élevées de brome ou absence de produits de la mer ou du sel), l’exposition à de nombreux produits chimiques (bromure, fluorure, chlorure…), et sans oublier la contamination par la radioactivité nucléaire (explosions et catastrophes) des algues, le système glandulaire endocrinien est sujet à perturbations et dysfonctionnements, se traduisant par nombre de cancers, de l'hypertension, de la fatigue chronique, de l'obésité, de la dépression… nécessitant pour y remédier une supplémentation en iode. En effet, l'iode est un micronutriment essentiel, chaque cellule de chaque individu en ayant besoin. Elle possède également d'excellentes propriétés antibactériennes, anticancéreuses, antiparasitaires, antifongiques et antivirales. C'est la raison qui conduit l'initié à entendre dans la langue des oiseaux - le langage phonétique - le lien avec la déesse Isis, représentée en Égypte par Io, la belle génisse blanche qui s'accouple au taureau Osiris (Zeus dans la mythologie grecque), son pendant au masculin. Ou le kabbaliste à entendre "Yod" qui, signifiant "la main de Dieu", serait la main de Dieu qui répare... L'iode est un halogène, qui donne son aura à notre génétique - l’épi-génome (interface entre l'ADN et l'environnement) - en réactivant par les membranes les parties qui ne viennent pas de notre dimension de réalité d'appartenance, la 3-D. Autrement dit, elle permet de reconstituer grâce aux champs morphogénétiques* une partie des codes de l'ADN manquant (réveil de séquences), amputé par nos maîtres généticiens asservisseurs, et ce aux fins de sortir de la matrice entropique en mode "Service de Soi"...

La réalité est que toutes les glandes du corps dépendent de taux d'iode adéquats pour fonctionner de manière optimale, un état de carence en iode*² entraînant un déséquilibre du système hormonal générant fatigue, prise de poids inexpliquée, peau sèche, perte de cheveux, perte de quotient intellectuel (l’expression "crétin des Alpes" vient du fait que c’était surtout dans les montagnes que l’on trouvaient ses victimes qui n'avaient pas accès au sel, au poisson, aux algues et aux fruits de mer). Aussi est-il impossible d'avoir un système hormonal équilibré sans un apport adéquat en iode. S’il est vrai que la thérapie par l'iode peut provoquer une hyperthyroïdie, ce n’est que le cas d’une minorité de patients, en l’occurrence ceux souffrant d'un nodule thyroïdien autonome de la glande thyroïde. Quant aux rares personnes qui sont allergiques à l'iode, elles sont en réalité allergiques à certains composants de l'iode radioactif.

Étant donné l'étendue des idées fausses quant à une substance extrêmement bénéfique comme l'iode, on peut se demander si une meilleure connaissance et un meilleur usage de l'iode n'ont pas été intentionnellement étouffés.

* Ces champs énergétiques comparables à des vortex ont été mis en évidence par le biochimiste anglais Rupert Sheldrake, leurs champs de torsion (ou friction) permettant l'apport d'informations nouvelles aux atomes constitutifs de notre génétique, contribuant ainsi à sa reprogrammation. Ici se situe la clé de compréhension du fonctionnement de notre supraconscience.

Des millions d’Européens n’ont plus assez d’iode, en raison de la hausse du prix du poisson et des fruits de mer et du recul du sel enrichi en iode. Les apports recommandés sont de 100 à 150 microgrammes par jour pour les adolescents et adultes, de 100 mcg pour les enfants.

Cf. en complément les livres "Iodine : Why You Need It, Why You Can't Live Without It ("L'iode : pourquoi vous en avez besoin et pourquoi vous ne pouvez vivre sans") du Dr David Brownstein, et The Iodine Crisis ("La crise de l'iode") de la lanceuse d'alerte Lynne Farrow, ainsi que les travaux du biologiste états-unien Bruce Lipton sur le fonctionnement de l'ADN, qui démontrent que l’iode peut tuer les champignons, les bactéries, les virus, éliminer les métaux lourds de notre corps, même ceux que les autres méthodes de détoxication n’arrivent pas à éliminer, enlever le sale fluorure, et fondamentalement n’a que des effets miraculeux sur tous les systèmes du corps. Cela peut prendre cependant des mois voire des années pour nettoyer l’organisme selon le niveau de toxines de chaque personne.

 

Le moteur du Ciel

 

Le premier propulseur (5) correspond au corps "bouddhique", le second (6) au corps "âtmique". Ce moteur est le siège des sentiments et des intentions.

Son impulsion vers le bas passe par la connexion et la cocréation.

Il est sujet au déni de Ce Que Nous sommes vraiment, un fragment de la conscience Unitaire (La Source, l'UN, le Tout, le Grand Soi) qui vivons une expérience de cocréateur de l'univers dans la matière de la planète Terre, au sein d'une galaxie (Voie lactée) et de son système solaire.

Le soin en conscience à apporter au corps bouddhique est la réponse aux besoins liés à "la vérité et la communication" : authenticité, vérité, honnêteté, transparence, clarté, cohérence, découverte, connaissance, échange, apprentissage, culture, transmission... qui se traduisent par les symptômes de la peur d'en manquer (intrigué, soupçonneux, indécis, indifférent, nerveux, agité, morose, apathique...) lorsqu'ils ne sont pas satisfaits.

Pour le corps âtmique, la réponse à apporter porte sur les besoins liés à "la perception" : inspiration, intuition, vision, compréhension, pouvoir, commandement, facultés spirituelles, transcendance, multidimensionnalité ... Lorsqu'ils ne sont pas satisfaits, ils se traduisent par les symptômes de la peur d'en manquer (dépassé, incrédulité, léthargie, scepticisme, tiraillement...).

 

Mécanisme de la supra-conscience

La force de l'Esprit, substance de l'univers, dépasse de très loin notre conscience humaine. C'est elle qui nous pousse toujours à expérimenter les choses ou les situations afin d'accroître notre potentiel de réflexion. Par ce procédé, nous sommes amené à stimuler et à réveiller les capacités constitutives de l'humain, soit l'intellect (le mental) et l'intuition, en l'état bridées et leurrées par le corpus prédateur de 4ème dimension, autrement nommé la Force des Ténèbres. C'est leur fusion, leur union qui conduit à la Connaissance de Ce Qui Est - l'Univers dans toute sa complétude (autrement nommé "Loi de l'Un") - par la guidance de Son Esprit.

Cette intense recherche – la quête de la Connaissance – induit un véritable court-circuit dans les connexions neuronales du cerveau reptilien, constitutif de l'ego* (Cf. image), qui jusqu'alors déterminaient notre système de croyance établi et notre comportement. C'est en allant à l'exploration de la Connaissance, et en appliquant cette Connaissance dans notre quotidien, que nous parvenons à nous dégager de l'emprise de notre conscience prédatrice*², limitative, située dans le subconscient, et à laquelle nous étions soumis de façon inconsciente jusqu'alors. En stimulant l'hémisphère droit de notre cerveau (féminin-intuitif) et conjointement en rééduquant son pendant gauche (masculin-intellectuel), nous nous autorisons à apprendre progressivement à penser par nous-même. Nous développons alors notre véritable cerveau "supra-humain ".

C'est par l'apprentissage de cette mise en pratique que nous pouvons parvenir à la guidance par notre Soi supérieur, expression de notre Âme réunifiée, et cesser de réfléchir comme nous sommes habitué à le faire en 3ème dimension, en mode "Service de Soi". Un nouveau réseau neuronal apte à décrypter la supra-conscience se constitue peu à peu, se traduisant par une nouvelle façon d'être, de penser, d'agir.

Nous tendons alors vers le mode "Service d'Autrui", le mode de la supra-conscience. Ce cerveau supra-humain recouvre ainsi le néo-cortex homo-sapiens, fonctionnant dans une nouvelle fréquence de conscience.

Cf. Décryptage de l'Ego.

*² Cf. Comprendre et apprivoiser la prédation.

 

De la voix

"Au commencement était le Verbe et le Verbe était tourné vers Dieu, et le Verbe était Dieu."

Apôtre Jean 1,1

Voix, du latin vox, est un nom féminin qui désigne d’abord l’ensemble des sons produits par les cordes vocales. On emploie ce mot aussi pour désigner les sons émis par un animal ou un objet. La voix correspond aussi à un appel intérieur. En grammaire, la voix exprime, dans le verbe, l’activité ou la passivité du sujet de la phrase : on parle de voix active et de voix passive. Il apparaît des liens de la voix avec le cri, le chant, la vocalisation et les voyelles*. Son rôle est le lien entre la chose et le mot, l'émotion et son explicitation. Les grandes caractéristiques de la voix sont l'intensité, la mélodie, le rythme, les harmoniques, le registre et les inflexions des graves comme des aigus, qui tous peuvent beaucoup nous dire. Non seulement à ce premier degré conventionnel il ne nous est pas permis de ne point entendre, mais ses mystères, insinuations et son indicible nous parlent de ce que nous pouvons vouloir ignorer, comme l'évocation poétique, la vocation mystique, l'invocation religieuse. Tels le symbole et la religion, la voix assure le lien entre le haut et le bas et vice-versa, entre le proche et le lointain, entre l'explicite et l'implicite, entre les êtres humains auxquels la parole a été donnée. 

* La voyelle est le liant des mots, ce qui relie les lettres. Une lettre est considérée comme une voyelle lorsqu'elle s'écrit comme elle se prononce : A = a, E = e, I = i, O = o... Alors que les consonnes sont des lettres qui ne s'écrivent pas comme elles se prononcent : M = èm, T = té, S = èss...

 

Maîtrise du langage, ou comment agir sur la voix par l'oreille

Alfred, Angelo Tomatis (1920/2001) est un oto-rhino-laryngologiste a consacré l'essentiel de sa vie professionnelle à étudier les processus liant l'écoute au langage, en France comme au Canada et en Afrique du Sud notamment. Il a donné le jour à une méthode de rééducation de l'ouïe et la voix controversée (ses différents travaux sont connus sous le nom des "Lois Tomatis"*), mise en œuvre par un réseau d'instituts et d'écoles privés et publiques dans les domaines de la communication, de l'éducation et de l'apprentissage des langues, qui lui valut d'être radié de l'Ordre des Médecins.

Ses travaux ont établi d’une part que lorsque l’écoute est modifiée, la voix l’est aussi, et d’autre part, qu’il est possible de transformer la voix grâce à une stimulation sonore soutenue, et ce pendant un temps donné (loi de rémanence). Ses différentes recherches l'ont amené à démontrer l'existence d'une oreille dominante. Il s'est intéressé par ailleurs au développement de l'appareil auditif d'un fœtus, étant l’un des premiers à affirmer que le fœtus peut entendre la voix de sa mère, dès la 18ème semaine de grossesse.

Ces recherches et expérimentations cliniques décisives l'ont poussé à étendre les champs d’application de sa Méthode : l’attention, l’apprentissage, la voix et le langage, le contrôle des émotions, la coordination et la motricité, les troubles du spectre autistique… Au fil de ses recherches, il a mis au point sa propre méthode ainsi qu'un appareil de traitement pour une thérapie douce, naturelle aux effets puissants.

Ainsi, en se passionnant pour les rapports entre l’oreille, la voix et le cerveau et en postulant sur la plasticité de ce dernier, il fut l’un des premiers à investiguer le champ des neurosciences. Aujourd'hui encore, la méthode Tomatis est utilisée dans de nombreux centres, plus de 20 ans après la disparition d'une figure scientifique emblématique.

* En 1958, Alfred Tomatis a reçu la médaille d'or de la recherche scientifique en présentant sa première "oreille électronique".  

 

Du signe guttural en Maçonnerie

"Vous préfèreriez avoir la gorge tranchée que de révéler les secrets qui vous ont été confiés" !*

Cette parole pénale vient du latin penas, qui signifie "tourments du martyre". C’est le sens de la main droite placée sous la gorge que l'adepte franc-maçon utilise dans sa position d’ordre prise pour prendre la parole en loge, le pouce en équerre, afin symboliquement de contenir le bouillonnement des passions "terrestres" constitutives de la plus grande partie de l'être de chair animé qu'est l'être humain non individué, et ce pour la rendre immobile et inactive, ne laissant que les sens en action afin de voir, d’entendre et de parler de manière juste et appropriée.

Ainsi placée juste au niveau du cinquième chakra de la gorge - la pomme dite d'Adam -, la main peut sentir le souffle du Vivant coulant en lui. "Je préfèrerai avoir la gorge coupée" et non "J’aurai la gorge coupée", nuance qui marque toute la différence entre le monde profane et le monde Maçonnique, la justice profane disant jadis "Tout condamné à mort aura la gorge tranchée!". "Je préfèrerai" constitue l'alternative, le choix d’avoir la gorge tranchée ou pas, de trahir ou ne pas trahir le serment donné aux maîtres occultes à défaut de l'avoir conscientisé pour soi-même...

La pomme (symbole de la connaissance) d’Adam, par sa forme sphérique, signifie les désirs terrestres, la complaisance en ces désirs, l’interdit prononcé par Yahvé au Jardin de l’Éden dans le conte biblique mettant l’être humain en garde contre la prédominance de ces désirs qui l’entraînent vers une vie matérialiste à l’opposé de la vie spirituelle. Et comme le cou est le passage anatomique par excellence vers le haut, on y trouve le larynx, siège de la voix et organe du Verbe, le Logos, appelé "la porte des dieux" ou "la porte qui garde l’entrée". Ce signe rappelle de ce fait le silence, vertu essentielle et indispensable de l’apprenti en voie d'initiation, mais qui trop souvent sert à préserver les intérêts de la caste élitaire dans cette voie viciée de la soi-disant libération intérieure*².

* Le serment maçonnique est apparu très tôt dans les loges opératives, se rattachant au "mot du maçon" qui est dévoilé lors de l’initiation, après avoir prononcé le serment d’en garder le secret. C’est ce mot qui permettra au nouvel apprenti de pénétrer dans la loge. Posséder le mot, c’est donc être initié, le serment étant le ciment de l'initiation. Aussi celui qui rompt son serment en révélant le mot s’expose à "avoir la langue coupée sous le menton", c'est-à-dire à la racine, le parjure étant puni par l’objet même qui a permis de dévoiler le secret par la parole.

Cf. La nouvelle religion universelle & Prédation spirituelle & voie de sortie.

 

De l'intuition

L'intuition est la compréhension transparente, authentique, non pervertie de la "Loi de l'UN", l'atome originel créateur explicatif de l'univers ("uni vers"). Elle découle du subconscient, relié au champ morphogénétique cosmique*, capable de percevoir par les informations vibratoires ou ondulatoires transmises le stade pré-plasmatique de notre réalité avant qu'elle ne se densifie de par les lois physiques (gravité et électromagnétisme) pour se réaliser. Ce stade correspond alors aux probabilités réalisables ou réalisées sur d'autres lignes potentielles de notre existence, l'être humain étant multidimensionnel. Lorsque ces probabilités se réalisent, l'intuition devient alors prémonition, qui se définit comme l'avertissement inexplicable de nature parapsychique faisant connaître un évènement à l'avance ou à distance.

Parvenant d'abord au "Soi intérieur", la supraconscience, ces informations sont ensuite reflétées par leur densification dans notre réalité, et ce sous l'effet de l'augmentation de leur masse découlant de l'énergie de notre attention -"a-tension" -. Grâce aux lois de gravitation, elles peuvent se réaliser, puisque ayant été décryptées lorsque nous les "lisons", observons ou voyons par notre conscience de 3ème densité de réalité.

C'est bel et bien lorsque la conscience observe ou décrypte son environnement de "3-D" que la matière s'y trouvant devient énergie psychique, celle-ci devenant alors perceptible comme réalité post-plasmatique constitutive du rideau dimensionnel matérialisant le contour ou la limite de notre bulle de perception. Et, de l'autre côté de ce rideau dimensionnel (la "4-D"), la perception se reconvertit en énergie psychique, elle-même se figeant sous forme de matière, soit la réalité pré-plasmatique.

Si dans notre réalité tri-dimensionnelle la perception est limitée, c'est que la puissance du champ magnétique est limitée par le génome humain, amputé de nombres de ses brins ADN originels afin de pouvoir expérimenter la matière placée sous la coupe des "Forces involutives". Cette programmation génétique détermine ainsi ce que l'individu a le droit de voir, en règle générale un environnement qu'il s'attend à voir. Seuls certains rêves déclenchés ou guidés par les entités des densités supérieures permettent d'élargir le champ de perception.

* Le champ morphogénétique ou "champ morphique", "champ de forme", définit un champ hypothétique (en l'état de la science physique) qui contiendrait de l'énergie ou de l'information sans être constitué de matière (atome, électrons, etc.). Celle-ci est transmise par résonance au canal du subconscient, avant que de parvenir (ou non) au conscient de l'être humain selon son état d'éveil. Sa racine constitutive vient de Morphée, qui est, dans la mythologie grecque, une divinité des rêves prophétiques...

 

Des effets du tabac sur la conscience

Support privilégié des pratiques chamaniques, l'usage du tabac constitue-t-il un remède* et un canal d'accès privilégié à la supraconscience ? Chaque cellule nerveuse du cerveau humain, ou neurone, possède à sa surface des milliards de récepteurs, qui sont des protéines spécialisées reconnaissant et captant des neurotransmetteurs spécifiques ou des substances leur ressemblant. C'est pourquoi la molécule de nicotine, qui possède des points communs avec celle du neurotransmetteur acétylcholine, se lie au récepteur prévu pour ce dernier dans certaines classes de neurones. Ce récepteur, qui traverse la membrane de la cellule, est en effet une grande protéine, constitutive d'un point d'ancrage pour les molécules venues de l'extérieur, d'autant plus qu'elle est un canal restant normalement fermé. Ainsi, lorsqu'une molécule de nicotine s'attache au sommet du récepteur, le canal s'ouvre et laisse entrer de façon sélective des ions, soit des atomes électriquement chargés de calcium et de sodium. Ceux-ci déclenchent une cascade de réactions à l'intérieur de la cellule, qui débouche sur une stimulation de l'ADN. Ce dernier, contenu dans le noyau du neurone, active la transcription de toute une gamme de gènes, notamment ceux correspondant aux protéines constitutives des récepteurs nicotiniques.

Il en découle que plus nous donnons de la nicotine aux neurones, plus l'ADN contenu à l'intérieur de ceux-ci active la construction de récepteurs pour cette substance, dans certaines limites. Ceci explique l'appétit quasi insatiable de l'esprit pour le tabac : plus nous lui en fournissons, plus il en redemande ! Nous pouvons ainsi comprendre les effets de la nicotine sur la conscience des chamanes qui ingèrent des quantités hallucinantes de tabac.

Toutefois, il convient de souligner les différences fondamentales entre l'utilisation chamanique du tabac et la consommation de cigarettes industrielles. La variété botanique utilisée en Amazonie par exemple contient jusqu'à dix-huit fois plus de nicotine que les plantes employées dans les cigarettes blondes. De même, le tabac amazonien est cultivé sans engrais chimiques ni pesticides, et ne contient aucun des ingrédients qui sont ajoutés aux cigarettes, tels que l'oxyde d'aluminium, le nitrate de potassium, les phosphates d'ammonium, l'acétate de polyvinyle et une centaine d'autres, qui constituent environ dix pour cent de leur matière fumable. Ainsi, à la combustion, une cigarette industrielle dégage quelque quatre mille substances, pour la plupart toxiques. Certaines d'entre elles sont même radioactives, faisant des cigarettes la principale source de radiation dans la vie quotidienne du fumeur moyen. En fumant un à deux paquets par jour, on absorberait selon une estimation l'équivalent en radioactivité de quelque deux cent cinquante radiographies des poumons par an. La fumée de cigarette est directement impliquée dans plus de vingt-cinq maladies graves, dont dix-sept formes de cancer de par la pénétration de goudrons cancérigènes (poumons, œsophage, estomac, pancréas, rectum, reins, vessie). Nous sommes très loin de l'Amazonie, où le tabac est considéré comme un remède à la prédation qui gouverne l'être humain, avec tous les effets délétères en découlant pour sa santé tant psychique que physique.

* Chez les Ashaninca d'Amazonie, le mot pour "guérisseur" ou "chamane" est sheripidri, littéralement "celui qui utilise le tabac".

 

L'importance des Rythmes en biologie

C’est le mathématicien Émile Pinel (1907/1985 - photo 1) qui constata tout d’abord que le rythme des températures d’un organisme évolue et raccourcit notablement chez certains malades, et que le fait de les relever à heures fixes est un non-sens scientifique. Dans une étude de longue haleine baptisée "Biométrie leucocytaire", il étude les oscillations dans le sang des divers types de leucocytes (globules blancs). Grâce à la conception et à l’utilisation d’un appareil approprié, il effectue des mesures suivant des rythmes parfaitement identifiables dont les périodes se comptent en minutes. Les diagrammes des sujets sains sont tous analogues et, comme pour les températures, différents de ceux des sujets malades. C’est à partir de cette découverte qu’il définit la méthode des "instants favorables" en thérapeutique pour l’absorption des médicaments, fixant les instants d’application par rapport à un rythme interne très précis. Rappelons que, cinq à six mille ans avant J.-C., les médecins chinois administraient les médicaments dans des tranches de deux heures qui chacune correspondait à un organe. Psychiquement, l’homme peut souffrir d’un esclavage à des rythmes inconscients et confus qui, traduisant un manque de structure vibratoire, le conduisent à souffrir en même temps de son "infidélité" à des rythmes spirituels plus élevés. En s'écoutant, l’être humain sait qu’il peut se dépasser, ressentant l’appel de cet indispensable dépassement pour son harmonie. C'est pourquoi, plus systématiquement que la psychanalyse, la "rythmanalyse" trouve, dans la dualité des tendances inconscientes et des interventions de la Conscience, une ondulation psychique qui favorisera la créativité.

Cf. La Méthode statistique en médecine : Les variations de la formule leucocytaire et leurs conséquences, la méthode thérapeutique des instants favorables (1945).

 

Biologie du vivant

Nous vivons dans un hologramme cosmique, tout étant intriqué au-delà des apparentes singularités. Ainsi, en observant la nature et le cycle des saisons, l'être humain trouve par l'effet miroir la corrélation entre ses organes et les végétaux qui lui apportent la qualité énergétique appropriée dont il a besoin, s'ils ne sont pas dénaturés par les toxicités diverses des relais terrestres du système prédateur.

Cf. Livre La chimie de la jeunesse du philosophe hongrois Edmond Bordeaux Szekely (1905/1979) par les aliments biogéniques (qui engendrent la vie), les graines germées et les jeunes pousses, les aliments bioactifs (qui activent la vie) naturels, les aliments biostatiques (qui maintiennent la vie), aliments non frais et cuits, et les aliments biocidiques (qui détruisent la vie), aliments préparés industriellement, aliments dénaturés et complétés ou maintenus chimiquement.

 

La noix* et le chou-fleur sont bons pour le cerveau, auquel ils ressemblent. Tout comme les haricots blancs pour les reins, ou la tomate pour le cœur... Ils nous renvoient l'information dont nous avons besoin pour nous harmoniser naturellement.

* Une technique prisée de magie noire consiste à couper en deux une noix représentant le cerveau de l'individu ciblé sur lequel le magicien opère, soit pour déstabiliser son fonctionnement cérébral, soit pour s'emparer et manipuler ses hémisphères au moyen de techniques de contrôle mental à distance.

 


Le ventre, porteur de nos origines

Nul ne peut certifier précisément la création de la planète Terre au sein de l'Univers dans une galaxie qui s’appelle la Voie Lactée, l'hypothèse scientifique étant il y a 4,54 milliards d'années par un immense halo de poussières et de gaz tourbillonnant, ces particules s’agglomérant créant le soleil avec autour de lui un disque de poussières qui gravitent*. De là se forment des masses rocheuses, les collisions, explosions et fusions faisant émerger de ce chaos quatre planètes, Mercure, Vénus, Mars et... la Terre. Celle-ci est un torrent de feu, l’activité sismique et volcanique y étant permanente. Puis la planète se refroidit, et devient une vaste lande minérale, sans vie. Et soudain, l’eau arrive, sans que l'on ne sache comment. Les cristaux de zircon découverts à l’ouest de l’Australie contenant de l’oxygène, ils constituent pour les scientifiques la datation de la vie, il y a 4,37 milliards d’années, l'eau formant de grands nuages dans l’atmosphère entraînant la chute de la température de la terre, avant qu'une pluie diluvienne ne s’abatte pour entraîner l'apparition des océans.

Mais si l’eau est indispensable à la vie, elle n’est pas la vie, qui est apparue voici 2,2 milliards d’années, sans doute sous la forme de micro-organismes. C'est l'explication de départ de la théorie de l’évolution, notre "ancêtre universel commun", de plus en plus de scientifiques pensant qu’il est venu par voie spatiale déposé par des comètes ou des astéroïdes. Il est ainsi un "extra-terrestre"*², composé d'un ensemble de protéines et de gènes ayant donné naissance à trois grands types de micro-organismes : les bactéries, qui n’ont pas de noyau et se développent en se scindant en deux ; les archées, qui elles-aussi n’ont pas de noyau, et dont l'information génétique ressemble à celle des eucaryotes ; les eucaryotes, qui, disposant d’un noyau et d’un patrimoine génétique proche de celui des archées, ont donné les plantes, les algues, les champignons, les animaux ...

Toutes sont dans votre ventre, formant le microbiote, en quelque sorte nos lointains cousins. Nous avons ainsi en nous une parcelle de l'univers, expression unique de sa beauté et de son mystère. Les 100 000 milliards de bactéries dans notre intestin ont un génome qui comporte 5 millions de gènes, notre propre génome n’en comptant "que" 23 000… Il y a ainsi dans notre ventre une intelligence archaïque, celle qui crée notre énergie. Et si notre cerveau permet de réfléchir et de prendre des décisions, c’est par nos tripes (estomac, pancréas, foie, intestin grêle, côlon) que nous sommes en relation avec le monde et avec la nature. D'où la nécessité d'adopter une alimentation parfaitement ciblée pour nourrir ses bactéries et renforcer sa santé, en d'autres termes pour nourrir sa "Terre intérieure", celle qui immunise, régule les hormones, contrôle le système nerveux*³ et ralentit le vieillissement cellulaire. 

* Cf. Évolution de civilisation (1) Le mécanisme de l'Univers.

Cf. Vérité civilisationnelle.

*³ Ainsi les troubles de l'attention, l'hyperactivité, la dyslexie, la dyspraxie, l'apprentissage, le comportement, les tocs et obsessions, la dépression, l'anxiété chronique, les troubles du comportements alimentaires, l’épilepsie, l’autisme, la démence, la maladie d'Alzheimer, la maladie de Parkinson, la sclérose Latérale Amyotrophique, la sclérose en plaques, le cancer du côlon, les problèmes de peau, dermatites, candidoses, eczéma, psoriasis, les maladies auto-immunes comme la maladie de Crohn, l’arthrose, la polyarthrite rhumatoïde, les rhumatismes, le mal de dos, la fibromyalgie, la régulation hormonale (notamment l’hyper ou l’hypothyroïdie), les problématiques de poids.

 

Le microbiote, passager clandestin de l'organisme

Il pèse 1,5 à 2 kg, vivant au creux du ventre. Il se nourrit de tout ce que nous mangeons, pouvant provoquer une multitude de symptômes et maladies tels que fatigue et insomnies, maladies digestives chroniques (diarrhée et constipation), affections cutanées (eczéma, psoriasis), allergies et asthme, diabète, prise de poids et obésité, hyper tension, stress et dépression, maladies infectieuses comme la grippe, le rhume, la gastro-entérite, certains cancers comme celui du côlon, voire certaines maladies neuro-dégénératives comme Alzheimer ou Parkinson ou encore l'autisme.

Pourtant, il ne faut surtout pas le détruire, car il peut devenir notre meilleur allié sur le plan de la santé. Le microbiote, plus communément désigné par "flore intestinale", est un organe à part entière. S'il n’est pas composé de cellules humaines, mais uniquement de corps étrangers - bactéries, levures, et même virus -, il produit 24h/24 des myriades de bienfaits pour la santé, s'attachant à transformer notre vie en dégradant les aliments consommés que le système digestif n’a pas été capable de décomposer. Et c’est grâce à son intervention que les cellules intestinales sont capables d’assimiler certains nutriments. Il synthétise ainsi les vitamines en produisant par ses bactéries des vitamines K, B12, thiamine (vitamine B1) et riboflavine (vitamine B2). Il protège le tube digestif de la colonisation par des bactéries nocives, et sait dégrader des toxines. Il  assure l’équilibre du système immunitaire, dont 80% des cellules sont logées dans notre intestin. Il fournit également le carburant nécessaire au bon fonctionnement du côlon.

Qui plus est, il a un rôle clé de messager pour notre système cognitif, l’intestin étant le siège de nos émotions*. A travers le nerf pneumogastrique qui le relie au cerveau, il peut lui envoyer des informations quant à notre environnement, puisqu'il sait tout de ce que nous avons mangé en sondant les hormones qui se promènent dans le sang. Il connaît ainsi parfaitement l’état de nos cellules immunitaires qui se retrouvent dans la production de la sérotonine (hormone dite de la bonne humeur), de  l’acétylcholine (le messager chimique de la mémoire), la noradrénaline (impliquée dans l'attention, l’apprentissage, les émotions et le sommeil), le GABA (l’acide gamma-aminobutyrique qui favorise le calme et la relaxation). Les bactéries de notre microbiote sont capables de stimuler tous ces neuro-transmetteurs. Il en découle qu'une mauvaise flore intestinale peut agir directement sur notre moral, notre capacité à résister au stress ou la qualité de notre sommeil.

Le rôle du microbiote intervient dans l’apparition de certaines maladies. Si nos microbes vont mal, c’est tout notre corps qui va mal. Et bien entendu, le déséquilibre de la flore intestinale découle de la consommation d'aliments favorables aux mauvaises bactéries (trop forte consommation de sucres, d'aliments transformés, d'eau chlorée), sans oublier le stress, la pollution, les  métaux lourds (cuivre ou le zinc), les médicaments tels que les médicaments anti-reflux ou les anti-inflammatoires non stéroïdiens (ibuprofène, aspirine) qui abîment le revêtement muqueux de l’intestin et donc le microbiote, les antibiotiques. Autant de poisons qu'il convient d'éliminer !

* Bon nombre d’expressions relatives à nos émotions ont un rapport avec le ventre : "Se faire de la bile", "Être pris aux tripes", "Mal digérer une déception", "Avoir la peur au ventre".

 

Des globules blancs et autres lymphocites

Ce sont les globules blancs qui se mobilisent en premier lieu pour défendre l’organisme des invasions pathogènes, une fois que l’alerte a été donnée par les interférons*, les messagers du corps. Certains ont pour mission d’attaquer l’intrus tandis que d’autres produisent une réaction inflammatoire pour que tout l’organisme entre en défense, avec de la fièvre notamment. C'est pourquoi il est important de leur apporter les nutriments dont ils ont besoin pour bien fonctionner, sous forme d'oligo-élément (sauf pendant une infection, ce qui pourrait favoriser la croissance des agents pathogènes) ou d'acide-aminé. Ils sont suivis des lymphocytes, des cellules spécialisées pour détruire les virus en produisant des anticorps pour protéger l’organisme. Et pour qu'elles tiennent sur le long terme, il est nécessaire de les ménager par la détente et sa capacité à apaiser l’angoisse lorsqu’elle survient.

* Substances fabriquées par les globules blancs de l'organisme, dont le rôle est de transmettre à d'autres cellules une résistance contre des infections virales.

 

Des virus

L’étymologie du mot "virus" provient du latin "virus", signifiant à l’origine "venin de serpent", puis par extension "sécrétion de poison" ou toxique. En effet, les virus sont des toxiques sécrétés au niveau des cellules et/ou organes, agressés par des agents pathogènes (organismes vivants, parasites variés aux nuisances diverses, bactéries produisant des toxines nocives). Ce postulat positionne l’existence des virus au sein de la phase des "conséquences" d’une pathologie.

C'est en réaction aux agressions que le corps humain libère des toxiques (par exemple après un effort physique intense l’acide urique, c’est-à-dire de grosses protéines, qui s’accumule dans les articulations et provoque des courbatures). De ce fait, il est autant de virus que d’agressions des agents pathogènes. Aussi, dans la mesure où le virus devient le signal, s'il permet de détecter la perturbation, il ne constitue pas la cause de la maladie, expliquant que de nombreux agents pathogènes sont non seulement identifiables, mais aussi évitables. Ainsi, la direction vers le préventif permet d’assurer la parfaite santé plutôt qu’une lutte contre la maladie qui ne se manifeste que dans l’optique de retrouver l’équilibre.

En dépit de sa taille minuscule, un agent pathogène comme un virus (au même titre que certaines bactéries) est un être vivant, même si tout un pan scientifique le conteste. Il est en effet un brin d’ARN emballé dans un vecteur qui lui permet de se fixer aux cellules hôtes et d’injecter son ARN dans les cellules. Lorsqu’il y parvient, le virus détourne l’ADN des cellules hôtes pour fabriquer d’autres copies de son ARN. Ceci explique que pour se répliquer, un virus doit interagir avec des cellules vivantes, car sans cette interaction, le virus lui-même est inerte. Il n’a en effet pas de métabolisme, ne pouvant se déplacer. Il ne se nourrit pas. Il ne peut pas se reproduire avec d’autres virus. En d’autres termes, sans hôte, il ne possède aucune des caractéristiques des organismes vivants. Aussi la meilleure façon de comprendre un virus est de le considérer comme un épiphénomène de la vie, quelque chose qui est apparu en même temps que la vie et qui interagit avec elle sans être lui-même vivant au sens classique.

Au nom de la loi fondamentale du Vivant - "tout faire pour vivre" -, il a de ce fait besoin d'énergie, pour lutter contre la force d'attraction qui l'attire irrésistiblement comme tous les éléments vers le centre de la terre - le retour au "point zéro" - en raison de la loi physique P=m.g. (P : poids, m : masse en kg, g : intensité de la pesanteur). C'est pourquoi, si le virus attaque notre organisme, c'est pour en contrôler l'énergie des cellules saines (plus de 10 000 milliards) qui nous maintiennent en vie par le biais des protéines de surface et l'acheminement par le sang des nutriments qui les ravitaillent. Dans la mesure où l’ADN, en raison de sa forme spiralée, agit comme un amplificateur et une antenne universelle, tandis que les protéines agissent comme un spécificateur de l’information reçue en raison de leur structure géométrique, il en résulte par les réactions chimiques provoquées (métabolisme) la maladie, celles-ci étant incompatibles avec les cellules saines. Par déficience immunitaire (manque de globules blancs), ceci se traduit souvent par la mort.

Toutefois, de par la loi de réciprocité, la chaleur que nous partageons avec les virus organisée autour des atomes de carbone, d'hydrogène... et que nous recevons par les rayons solaires et leurs photons, élimine la plupart des virus à structure très simple présents dans l'air, ce qui n'est pas le cas des virus in vivo (type HIV, Ebola, Sras, Covid-19...), ceux-ci puisant dans des pratiques alimentaires (animaux contaminés crus par exemple) à haut risque. Seul le respect de strictes règles d'hygiène peut nous en prémunir. Telle le veut la loi de l'homéostasie* !

Les virus jouent le rôle d'accélérateur de génome, contribuant à l'évolution de l'espèce humaine, même si un nouveau virus peut être très dangereux pour son hôte dans la mesure où son système immunitaire n’est pas préparé à y faire face rapidement et efficacement (incapacité à fabriquer des anticorps), le virus se propageant alors dans le système de l’hôte sans être contrôlé, provoquant une maladie grave ou la mort. Même si la vaccination peut être judicieuse pour un organisme déprimé, elle n’est en aucune façon aussi efficace que l’immunité naturelle.

Hors fabrication "artificielle" par la main de l'homme, ils sont des formes pensées d'origine cométaire (à ce titre, ils ne sont pas polarisés, c'est-à-dire qu'ils ne sont ni de nature "Service de Soi" ni de nature "Service d'Autrui"). Ils constituent ainsi une aide "naturelle" au passage de certains humains vers la 4ème densité de réalité lorsque ceux-ci ont opéré leur transformation de conscience*². Aussi celui qui accepte d'en être "infecté" sera à même de le modifier par lui-même, en fonction de l'orientation de sa conscience. C'est ainsi que les individus sous l'influence d'un virus provenant des mondes du Service d'Autrui développent toujours un réel intérêt pour les pensées humaines libres et autonomes, poursuivant à tout prix la fréquence inhérente à la vérité. Alors que la Covid-19*³, un virus existant modifié par l'ingénierie génétique humaine, de ce fait élaboré par un centre de pensée Service du Soi, se révélera pathogène pour ses inventeurs, leurs complices et les foules qui s'opposent à cette transition.

* L'homéostasie est un phénomène par lequel un facteur clé est maintenu autour d'une valeur bénéfique pour le système considéré, grâce à un processus de régulation.

Cf. Processus de transformation de conscience.

*³ Son traitement par les médecines naturelles est basé sur la prise de vitamine C (1000 mg le matin, puis 4 x 250 mg toutes les 3 heures), de vitamine D3 (2000 UI par jour) et de zinc (20 mg/jour), auxquels nous pouvons rajouter de la vitamine E, Omèga 3, quercétine, Co Q10, curcuma, lapacho, nigelle, reishi et propolis, sans oublier une bonne tisane d’Artémisia Annua (interdite en France, mais on en trouve dans les boutiques asiatiques ou africaines…). De même, il est recommandé l'utilisation prophylactique d’antiseptiques oraux comme le peroxyde d’hydrogène, courants dans la pratique dentaire, pour protéger contre le COVID-19 (2 à 3 gouttes de la solution d’hydrogène à 0,5 % par jour sont nécessaires, et ce pendant une minute sous forme de gargarisme sans ingérer).

 

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Mutations génétiques et dégénérescence humaine

Les zoonoses sont des maladies ou infections qui se transmettent des animaux vertébrés (dromadaire, chauve-souris, civette...) à l'homme, et vice versa (voir tableau ci-contre). Les pathogènes en cause peuvent être des bactéries, des virus ou des parasites. Selon l'OMS, elles représentent 60% des maladies infectieuses. Un exemple parmi beaucoup d'autres de la dégénérescence humaine programmée est celui des mutations génétiques. Elles ont commencé chez l’humain suite aux vaccins, avant d'être recueillies par les moustiques, qui subissent de nouvelles mutations en combinant les nouvelles modifications des insectes. Ensuite, les moustiques piquent les humains et sucent leur sang. Le sang avec les modifications génétiques se mélange au sein des moustiques. Enfin, les moustiques piquent quelqu’un d’autre en leur injectant ce nouvel amalgame. Cette combinaison des modifications génétiques des moustiques et des mutations des humains vaccinés constitue un cocktail mortifère, expliquant l'émergence de virus tel Zika* (ce nom fait référence à une forêt en Ouganda où il a été isolé en 1947, en sachant qu'il existe une deuxième lignée en Asie) qui induit des malformations, des défauts (difformités du crâne et du cerveau) de naissance... Après les H1N1 (virus de la grippe A contenant des gènes de plusieurs virus connus d'origines porcine, aviaire et humaine), SRAS (syndrome respiratoire aigu sévère des poumons du à un virus de la famille des coronavirus*²), Ebola (agent infectieux provoquant des fièvres souvent hémorragiques), MERS (coronavirus du syndrome respiratoire du Moyen-Orient hautement pathogène provoquant en particulier un symptôme de pneumonie aiguë)... la dernière arrivée en 2020 est l’épidémie du nouveau coronavirus à ARN simple brin à sens positif (le  Covid-19*³) dans la ville chinoise de Wuhan, dit virus de la pneumonie du marché aux fruits de mer, générant une ambiance de "fin du monde", alors même que "l’affaire" ne se révélera pas si grave que ça (le taux de létalité mondial pourrait avoisiner entre 0,1 et 0,2 %), ses raisons occultes étant toutes autres ! Est-il nécessaire de rappeler que dans notre "belle civilisation" des pseudo Lumières, 8 500 enfants meurent chaque jour de dénutrition, 14 000 individus meurent tous les jours du paludisme, 15 000 par EBOLA, 16 000 en raison d'une hypertension artérielle, 19 000 à cause du tabac et de l'alcool, 8 500 à cause du Sida et des maladies sexuellement transmissibles, la grippe fait chaque année 290 000 à 650 000 décès selon l’OMS, un nombre incalculable en raison des guerres et des attentats, et qu'en 2019 il y a eu 800 000 suicides dans le monde, soit un toutes les 40 secondes ! En France, avec moins de 30 000 morts (moyenne d’âge 81 ans), le bilan est très loin derrière le cancer (170 000 décès par an), les maladies cardiovasculaires (140 000 décès par an), et loin derrière les démences séniles (40 000 morts par an). Qui plus est, malgré les diverses alarmes, la Covid-19 n’a que très peu tué de jeunes.

L'être humain subissant des mutations rapides quand il s’agit d’un virus à ARN, c'est de cette manière que, selon les marqueurs génétiques présents dans les codons de son ADN, il peut attraper par ces sortes de parasites - l'infestation parasitaire - des maladies infectieuses qui provoquent l'athérosclérose, les maladies cardiaques, le cancer, l'arthrite rhumatoïde, la sclérose en plaques, le lupus, ou l'une de ces maladies dites auto-immunes (l’ADN, en raison de sa forme spiralée, agit en effet comme un amplificateur et une antenne universelle, tandis que les protéines agissent comme un spécificateur de l’information reçue en raison de leur structure géométrique). De la même manière, les êtres humains deviennent des individus qui "acceptent" (inconsciemment) les mauvaises ondes, la maltraitance, la torture sous ses différentes formes (psychiques comme physiques), et ainsi de suite... Autrement dit, ces maladies ne sont pas génétiquement causées, mais conçues pour ces personnes comme instructions génétiques viralement implantées, et ensuite étiquetées comme le gène responsable. Dans la mesure où lorsque différentes personnes attrapent le même virus, celui-ci a la possibilité d’être nocif ou bénéfique suivant la fréquence vibratoire électromagnétique de la personne, loi de dualité oblige, la protection immunitaire passe par la forte résistance en conscience de leur nocivité (ce qui suppose la connaissance, passant par le renforcement de la puissance du cerveau, le récepteur), sinon chez certain(e)s par la présence de codons compensatoires qui neutralisent la réaction, sans oublier l'indispensable régulation du métabolisme par la prise quotidienne d'eau salée et d'iode, celle-ci étant nécessaire à son chef d'orchestre, la glande thyroïde (elle a besoin d’iode pour permettre à l’énergie d’être utilisée par les cellules). Ainsi se fortifie le système immunitaire, à même d'affronter la bouffe industrielle ultra transformée, les pesticides, la nourriture de plus en plus pauvre et carencée, les perturbateurs endocriniens, la pollution électromagnétique, le stress…

* Ce fut le même mode opératoire que pour le virus Simien 40 ou SV40, ou virus vacuolant, trouvé chez le macaque rhésus. Ce virus à ADN peut induire potentiellement des tumeurs. Plutôt que de s'interroger sur son lien avec les vaccins, les scientifiques ont commencé à blâmer la cigarette pour le cancer...

*² Nul ne sera surpris(e) de la constante diffusion de virus carnivores nommés "Corona", signifiant en latin couronne, soit le 7ème centre énergétique (chakra) dit solaire, afin d'empêcher par tous moyens l'accès des êtres humains à leur Soi divin, la conscience de Qui Nous Sommes vraiment ! Et c’est aussi pourquoi, pour détecter le Sras-Covid-2, la procédure consiste à enfoncer une sorte de coton-tige de 15 cm dans le nez, afin d’atteindre la "plaque piriforme, une structure étudiée comme étant un lieu qui permettrait de passer des nanoparticules directement au niveau du cerveau", tel que l'a rapporté la généticienne française Alexandra Henrion-Caude.

*³ Il découle d'une simulation de pandémie nommée Event 201 à l'initiative du Johns Hopkins Center for Health Security, en partenariat avec le Forum économique mondial et la Fondation Bill & Melinda Gates, destinée sur stricte invitation à des dirigeants leaders pour les préparer à ses conséquences, celle-ci ayant eu en octobre 2019 au Pierre, un hôtel de luxe de Manhattan à New York. Elle était construite autour d’un virus fictif dénommé CAPS, un coronavirus naturel (semblable au SRAS ou au MERS) provenant de chauves-souris, et apparaissant dans la simulation chez les porcs. A noter la participation de médias tels que Bloomberg, une sélection de vidéos et d’audio de haute qualité ayant été mise à la disposition de la presse présente. Trente jours après l’exercice de simulation, le 17 novembre 2019, le premier cas documenté du coronavirus COVID-19 serait apparu, selon des rapports des médias sur des données du gouvernement chinois.

 

Virus menaçants - Cliquer pour agrandir
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De l'immunité (1)

Notre corps biologique est un être unique, que nous devons aimer et protéger. Mais comment, dans la mesure où l’immunité, cet ensemble de mécanismes complexes (lymphocytes T qui s’attaquent aux cellules infectées, macrophages qui "mangent" les pathogènes et débris de cellules mortes - la phagocytose -, anticorps fabriqués par les lymphocytes B après une infection pour neutraliser les microbes, bonnes bactéries - microbiote - qui tapissent nos intestins, notre peau, notre bouche, etc) qui permettent de nous défendre contre les maladies, demeure un mystère, voyant les scientifiques rester prudents et souvent divisés sur son fonctionnement. Apparaissant dès la 14ème semaine de vie du fœtus et ne cessant d’évoluer avec les années et le milieu, cet ensemble est caractérisé par le système HLA (abrégé de l'anglais human leukocyte antigen), soit les antigènes des leucocytes humains qui constituent le complexe majeur d'histocompatibilité (CMH) chez l'humain. Ces molécules à la surface des cellules permettent l'identification par ce qui est nommé système immunitaire, constituant notre carte d’identité immunitaire. Le HLA, inscrit sur une petite partie de notre chromosome 6, a ainsi une incidence considérable sur notre vie.

Il fait partie de l’immunité innée, celle que nos parents biologiques nous transmettent. Non spécifique, non médiée par les anticorps, elle est la première réponse à une infection, détruisant l'agent infectieux en étant capable de nous défendre contre un virus sans faire appel à l'immunité spécifique, à condition d'être en bonne santé à travers la qualité de notre alimentation, de notre activité physique et surtout de notre état d'esprit (la relation entre la psychologie et les systèmes endocriniens - hormones -, nerveux et immunitaire est avérée depuis longtemps). Elle persiste tout au long de la vie, au contraire de l'immunité spécifique humorale (à mémoire) qui décline avec l'âge. Cette identité est liée à une histoire, celle du groupe humain auquel notre famille appartient, autrement dit de notre "tribu" ou ethnie. Si cette immunité nous a été transmise, elle n’est pas pour autant figée, pouvant muter de génération en génération. Ces mutations peuvent être négatives, pouvant créer alors des maladies appelées à devenir auto-immunes ou positives : il y a un enrichissement de la "culture immunitaire" qui est transmise, permettant aux descendants d'être protégés contre de nouvelles formes de maladies. C'est la raison pour laquelle cette immunité est collective, racontant la géographie et l’histoire biologique d’un groupe humain, comme  dans certaines parties d’Afrique où il existe des groupes de populations immunisées contre le paludisme.

Ce système qui permet de préserver l’espèce humaine signifie qu'une seule maladie ne peut pas venir à bout de l’humanité, les pires épidémies étant vouées à s’estomper. Il y aura toujours des groupes humains capables de résister à ces "attaques de la nature". Si en un sens c’est rassurant, cela veut aussi dire que l’équilibre immunitaire mondial est complexe et sans cesse renouvelé. Nous ne sommes pas en effet tous égaux en immunité : certains ont un système inné qui les protège largement, pour d’autres leur système est plus restreint.

A chaque fois que notre corps rencontre un "agent pathogène", il fait deux choses : il l’identifie et garde en mémoire son identité ; il l’attaque pour le détruire. L’identification de l’ennemi est de ce fait cruciale, permettant au corps de créer des cellules spéciales pour lutter contre cet agent pathogène en particulier. Ainsi le corps se défend avec des "armes généralistes", c’est-à-dire des cellules immunitaires qui défendent contre tout type d’invasion, et des cellules spécialisées. Et la prochaine fois que ce virus ou cette bactérie vient nous rendre visite, le corps sait qui est cet intrus. Il peut donc fabriquer des cellules spécialisées plus vite et se défendre beaucoup plus efficacement. C'est ce jeu de défense reposant sur de nombreuses cellules et tout un réseau de communications qui permet de développer l’immunité acquise, autrement dit par croisement avec d'autres maladies. Cette immunité cellulaire naturelle, qui fait appel à un type de cellules (les lymphocytes T), persiste beaucoup plus longtemps (> 10 ans) que l'immunité humorale médiée par anticorps (< 3 ans).

Notre immunité est la somme de ces deux immunités : innée et acquise. Cet ensemble, qui constitue notre "système immunitaire", est totalement unique. Il garde en mémoire tant nos expériences que se sert de celles acquises par nos aïeux. Racontant notre histoire, celle de nos parents et des leurs, il nous permet d'en comprendre le cheminement si nous savons les faire remonter à notre champ conscient. C'est pourquoi il y a deux grandes manières de tenter d’améliorer notre immunité :

- La première, par les vaccins, travaille sur l’immunité acquise. On présente au corps une bactérie, un virus, voire une protéine annonçant la présence d’une bactérie ou d’un virus et il se défend. On soigne le mal par le mal. Dans l'idéal, il s'agirait d’avoir une politique de vaccination personnalisée, prenant en compte notre identité immunitaire, ainsi que de faire le test HLA afin de connaître notre identité immunitaire et les risques encourus le cas échéant.

- La seconde consiste à renforcer nos systèmes de défenses (peau, intestin, muqueuses) par nos propres forces - type d'alimentation, complémentation, huiles essentielles, qualité du sommeil*, quiétude intérieure, état d'esprit -, celles que la nature nous a dotées (la raison et l'intuition) et qui nous ont permis, de générations en générations, d’être présent sur cette terre. En interrogeant notre moi profond logé dans notre subconscient, nous pouvons identifier les pollutions attentatoires à notre immunité, et en les conscientisant, les libérer de leur contenu vicié*² ...

* Selon des chercheurs de l’Université de Hong Kong qui ont observé pendant 4 mois 49 médecins en bonne santé répartis en deux groupes (le premier avait trois nuit de travail par mois, et le second n’avait pas d’obligation de travailler la nuit), le manque de sommeil abîme l'ADN, ses   cassures se réparant plus difficilement. Il est désormais acquis que le sommeil a une incidence directe sur la baisse de la concentration, les troubles de l’humeur, la prise de décision, la capacité à faire face aux défis de la vie, l’affaiblissement du système immunitaire, la dépression,    l’hypertension artérielle, les problèmes cardiovasculaires, le surpoids, l’apparition des cancers.

Cf. Le chemin alchimique.

Cf. en complément les travaux et livres de l'ingénieur et naturopathe Georges Scudeller et du Dr Jean-Pierre Willem (médecin, chirurgien et anthropologue).

 

De l'interféron

L'interféron est une substance fabriquée par l'organisme à l'état naturel, dont le rôle est de transmettre à d'autres cellules une résistance contre des infections virales. Il "interfère" de cette manière en transmettant un message aux autres cellules. Cette substance est fabriquée par les globules blancs. Son rôle n'est pas de détruire les virus , mais d'entraîner une réaction de défense de toutes les cellules de l'organisme chargée de l'immunité

Le phénomène d’interférence viral est connu depuis 1935, quand des chercheurs ont constaté qu’un animal, infecté par un virus, développait une résistance à l’infection par d’autres virus. Cependant, l’explication n’est survenu qu’en 1957, quand les virologistes et immunologistes l'écossais Alick Isaacs (1921/1967) et le suisse Jean Lindenmann (1924/2015) ont démontré que les cellules en contact avec un virus inactivé libéraient une substance soluble qui protégeait les cellules saines d’une infection ultérieure.

 

De l'immunité (2)

Dans toutes les médecines traditionnelles du monde, il existe la notion d’énergie vitale, qui est au cœur de leurs pratiques (chinoise, indienne, amazonienne...). C'est en effet le souffle de vie (chi, ki...) qui met en mouvement les cellules, soutient la production d’énergie et les défenses du corps, et ce par l'intermédiaire de l'Adénosine Triphosphate (ATP), une molécule fabriquée au cœur des cellules, dans les mitochondries. Son rôle est essentiel, vital, fournissant l’énergie nécessaire à toutes les opérations de base de l'organisme : réactions chimiques du métabolisme, division cellulaire, transport d’éléments et d’espèces chimiques vitales. C'est donc en produisant plus d’ATP que le  corps fonctionne mieux et plus vite, notamment dans la production d’anticorps et le renforcement immunitaire. Les éléments qui y contribuent sont les exercices de cohérence cardiaque et respiratoires*, la consommation d'acides gras insaturés type huile d’olive ou colza, la prise de  magnésium.

De la même façon, les nutriments qui jouent un rôle capital dans le fonctionnement du système immunitaire sont à renforcer : prise de Zinc qui est impliqué dans toutes les étapes de fabrication des anticorps et des globules blancs permettant d’opérer les divisions cellulaires qui servent au renforcement de l'organisme (ainsi du citrate de zinc); vitamine C sous formes issues de préférence du végétal (type acérola); vitamine D (plus exactement D3) qui intervient dans la différenciation des globules blancs (ainsi le Zyma-D sous forme de gouttes); glutamine, l'acide aminé préféré des globules blancs; curcumine sous forme de gélule, qui au-delà de l'immunité prend soin de la sphère respiratoire (poumons et voies respiratoires supérieures) et du système nerveux (essentiel pour la gestion du stress)

Il va sans dire que leur dosage doit faire l'objet d'une prescription par un professionnel de la santé.

* À cause de respirations trop rapides et peu profondes, la plupart des tissus sont mal oxygénés. De ce fait, les mitochondries qui ont besoin de beaucoup de dioxygène pour produire de l’ATP évacuent mal le dioxyde de carbone, conduisant le milieu intérieur à s’acidifier.

 

De l'immunité (3)

Une forte croyance tant des praticiens que des patients ou citoyens est celle de l'efficacité de la politique vaccinale supposée protéger l'organisme contre les parasites attentatoires que sont les virus. Elle repose sur les travaux du chimiste français Louis Pasteur (1822/1895), pionnier de la microbiologie, inventeur de la vaccination (découverte du vaccin contre la rage), qui s'est aussi penché sur la fermentation, les maladies infectieuses, épidémies et contagions, et la conservation des aliments (pasteurisation).

Or, un autre praticien tombé dans l'oubli car volontairement occulté par le système de santé mercantile, le médecin, chimiste et pharmacien français Pierre Jacques Antoine Béchamp (1816/1908), a conçu une théorie découlant de travaux extrêmement précis sur les "microzymas", des petites particules capables, sous certaines conditions, d'évoluer pour former des bactéries pathogènes et autres virus qui continueraient à vivre après la mort de la cellule animale ou végétale dont elles proviendraient. Si cette thèse est considérée comme minoritaire par la plupart des scientifiques, voire qualifiée de pseudo-scientifique, l'existence de bactéries intracellulaires et de nanobactéries est cependant admise. Pour Béchamp, ces bactéries ne peuvent en aucune façon apparaitre de manière spontanée, comme découlant de la fermentation, mais en raison de leur constante présence dans l'air environnant. Contenant en leur sein un cristal de silicium* tout en baignant dans un milieu aqueux, elles se trouvent ainsi à la base même du vivant, de ce qui permet la vie à tout organisme, signifiant que les microzymas sont nécessaires aussi bien aux bactéries qu'à tout ce qui est nécessaire pour obtenir une guérison, puisqu'elles ne sont pas destinées à être attentatoires à l'organisme humain. Les êtres humains partagent ainsi depuis toujours dans le cadre de leur évolution naturelle des bactéries, des staphylocoques, des streptocoques, des virus, développant une réponse immunitaire quotidienne à ces choses. Et si nous leur retirons cette possibilité naturelle, leur système immunitaire s'affaiblit.

Il en découle que le développement des pathologies ne serait aucunement lié à ces bactéries extérieures, mais repose sur les émotions éprouvées par l'être humain, tout particulièrement la peur, autrement dit par les agressions de nature psychosomatiques qu'il s'inflige à lui-même, celles-ci étant amplifiées par l'effet de résonance des particules nocives de métaux répandues dans l'atmosphère (aluminium, baryum...) décuplées par le système d'ondes électro-magnétiques artificielles, tel le wifi (sans fil) de la 5-G  ! Il n'est qu'à voir l'état délétère de l'information distillée par le système médiatique à l'occasion de la crise sanitaire "Coronavirus" pour en comprendre les conséquences sur le plan santé, le cerveau non correctement irrigué par de l'information de qualité étant conduit à déverser à haute dose sur les organes du corps (foie, estomac, pancréas, poumons...) ses effets mortifères.

* Il s'agit d'un puissant combiné alchimique qui donne par l'eau cristalline - "Christ à l'Un" ou "Christ all in" en anglais - accès aux mémoires génétiques. Cf. Le chemin alchimique.

 

Réalité vaccinale

L'Association italienne Corvelva (Coordination Régionale de la Vénétie pour la Liberté de Vaccination), créée en 1993 aux côtés des parents pour la liberté de choix en matière de vaccination, a publié sur son site la déposition sous serment de décembre 2019 du Dr. américain Stanley Plotkin qui a  travaillé comme consultant tant pour les fabricants de vaccins tels que Sanofi Pasteur, que pour des entreprises de biotechnologie, des organismes à but non lucratif et différents gouvernements. D'une durée de 9 heures, les révélations sont nombreuses, notamment sur leur composition, entre autre de sérum fœtal bovin, albumine de sang humain, cellules embryonnaires de poulet, cellules rénales de chien et du sérum de veau. Ainsi la lignée cellulaire WI-38, contenue dans au moins 6 vaccins dont celui contre la rougeole, la rubéole et les oreillons, qui est largement connue pour être un "dérivé du tissu pulmonaire d'un fœtus femelle (caucasien) avorté". Quant à la  lignée cellulaire MRC-5, contenue dans une dizaine de vaccins, elle a été développée en septembre 1966 à partir d'un tissu pulmonaire prélevé sur un fœtus de 14 semaines avorté sur une femme de 27 ans en bonne santé physique, pour des raisons psychiatriques précise la recherche.

Y sont abordés les conflits d'intérêts et les bénéfices des fabricants de vaccins, les redevances et bénéfices des producteurs de vaccins notamment par la vente et l'acquisition de droits intellectuels et de redevances, l'organisation de la coalition pour la vaccination, les niveaux d'immunité vaccinale, les associations non divulguées avec les développeurs de vaccins (Sanofi, Merck, Glaxo, Pfizer...), le manque d'efficacité du vaccin contre la coqueluche, la loi sur les dommages aux vaccins pédiatriques avec les fraudes permettant de s'en exonérer et l'absence de responsabilité pour les fabricants de vaccins, les effets nocifs des vaccins (type DTaP, ROR* ou vaccin antigrippal) comme l'autisme, la paralysie, la narcolepsie, l'épilepsie... , les absences de groupe témoin, les effets indésirables (dans les trois ans suivant la vaccination tous les enfants auront eu un effet indésirable grave), le manque d'études de sécurité, les relations de causalité avec l'autisme, la (non) faisabilité d'études comparatives entre les enfants vaccinés et non vaccinés, le concept d'essais randomisés et l'utilisation d'adjuvants aluminium dans les vaccins pouvant notamment atteindre le cerveau, et l'utilisation de personnes handicapées mentales, d'orphelins, de bébés en prison, de tissus cellulaires fœtaux pour étudier un vaccin expérimental, ainsi qu'environ un million de personnes sous domination coloniale au Congo belge et au Rwanda...

De son côté, le docteur en physiologie moléculaire et cellulaire au département de physiologie moléculaire et cellulaire de l’Université de Stanford Theresa Deisher, fondatrice et présidente du Sound Choice Pharmaceutical Institute, a révélé depuis plusieurs années que des fragments d'ADN humain se trouvent dans les vaccins, et que des tissus fœtaux humains sont cultivés dans le cadre de la recherche de vaccins (la plupart des vaccins Covid en cours de développement utilisent des tissus de fœtus humains pour cultiver le coronavirus). Ceci est du au fait que l'industrie pharmaceutique subissait de fortes pressions de la part du mouvement de défense des droits des animaux pour qu'elle cesse d'utiliser les animaux à des fins d'expérimentation, et à l'absence de protestation à propos de ces bébés humains nés vivants à l'âge de cinq ou six mois afin de s'assurer que leur cœur batte (pour que ces bébés soient utilisés dans les recherches qui sont menées, leurs cœurs doivent battre)*² !

* Cf. Film Vaxxed, From Cover-Up to Catastrophe ("Vaccination, de la dissimulation à la catastrophe") réalisé par le Dr Andrew Wakefield, qui révèle comment le risque associant le vaccin ROR à l’incidence d’autisme a été dissimulé par le CDC (Centers for Disease Control and Prevention), l’organisme scientifique le plus écouté de la planète, ce qui constitue l’un des plus grands scandales de l’histoire de la médecine.

Source : Children's Health Defense.

 

Covid 19, ou la fraude scientifique révélée

La science et la démarche scientifique sont des instruments importants qui aident à identifier et à résoudre des problèmes, en se basant sur une règle très claire : quiconque fait des affirmations doit les prouver de manière claire, compréhensible et vérifiable. Si tel n'est pas le cas, les affirmations non vérifiables relèvent du domaine de la foi, et de ce fait, ne peuvent influencer ou justifier des mesures gouvernementales.

Pourtant, il est établi, quoi que s'en défendent leurs représentants sur les plateaux médiatiques, que la plupart des virologistes d'influence des "Comités scientifiques" d'aide à la prise de décision politique ont d'une part violé les règles contraignantes de la science, d'autre part réfuté les affirmations sur l’existence des virus pathogènes eux-mêmes, interprétant mal les séquences normales de gènes comme des composants vitaux dans leurs affirmations de l’existence du prétendu virus SARS-CoV-2. Ils peuvent être à ce titre qualifiés de fraudeurs scientifiques, ce qui malheureusement ne se retrouve pas dans le droit pénal. 

La raison de cette approche frauduleuse se trouve dans leur approche matérialiste de l'analyse de la vie biologique, passant par des modèles purement matériels. Ceux-ci, qui découlent de l’antiquité "post-socratique" comme réponses à la peur et aux abus de pouvoir des religions (Cf. théorie atomique des philosophes grecs Épicure et Démocrite), ont contribué à façonner l’"antibiose" et ses réponses multiples : antibiotiques, radiations, chimiothérapie, désinfection, restriction des droits fondamentaux, vaccination, confinement, quarantaine, distanciation sociale, etc. Cette théorie matérialiste*, bien que sans fondement réel car reposant sur des hypothèses réfutées, est devenue au fil du temps la religion dominante, qui révèle toute son ampleur à l'occasion de cette crise sanitaire covidienne. Elle a pour axiome que toute vie provient d’une cellule, la plus petite unité indivisible de la vie, qui, en même temps, provoquerait toutes les maladies par la formation de prétendues toxines (virus en latin) à même de causer des maladies par leur diffusion à l’intérieur et à l’extérieur du corps. C’est sur cette base que les théories des gènes, des infections, de l’immunité et du cancer se sont développées afin d'expliquer les processus de la vie, de la maladie et de la guérison. En conséquence, tous ces processus ne seraient causés que par des interactions matérielles, les adeptes de cette vision étant contraints d’adopter un plan de construction et de fonctionnement de la vie, c’est-à-dire une substance héréditaire, et d’affirmer qu’elle existe. Il en résulte une logique coercitive, qui ne cherche les causes que dans les catégories des défauts matériels ou de la malveillance matérielle, oubliant pourtant de mentionner que l’idée du virus en tant que toxique (les toxines protéiques bactériennes sont considérées comme dangereuses) a été scientifiquement réfutée et abandonnée en 1951. Mais elle a fait place à une autre idée, tout aussi contestable, à savoir que les virus sont une collection de gènes dangereux. Là encore, est dissimulée l'absence de preuve scientifique solide pour l’hypothèse de telles accumulations de gènes appelés virus*². Nouveau virage de ce fait, le passage de la virologie toxinique à la virologie génétique, reposant sur la croyance que les bactéries en forme de tire-bouchon seraient dangereuses, se propageant à partir du point d’entrée présumé par les nerfs dans le cerveau.

Alors que les virus ont été perdus comme justification de la vaccination, les campagnes de vaccination n’ont pourtant jamais été interrompues. Comment expliquer ce silence des autorités sanitaires et de la "science", si ce n'est par le fait que la virologie, la biologie et la médecine n’ont pu trouver aucune autre explication dans la théorie de la cellule purement matérielle pour les maladies et les phénomènes d’apparition simultanée ou accrue de maladies définies comme virales. C'est pourquoi ses représentants se sont orientés vers les "phages", structures formées par les bactéries lorsqu’elles sont retirées de leur environnement et que l’échange avec d’autres bactéries et microbes est empêché. Elles sont des mangeuses de bactéries que les êtres vivants simplement organisés forment lorsque leurs conditions de vie changent de telle manière qu’ils ne peuvent plus se reproduire ou survivre idéalement. Selon les espèces, ces structures utiles sont toujours constituées d’un brin de la substance dite héréditaire qu’est l’ADN, de longueur et de composition exactement identiques. Ce type d’ADN est toujours entouré d’une enveloppe de la substance dense d’où provient la vie biologique. C’est la raison pour laquelle les "phages" et les "virus géants" sont faciles à isoler et à séparer de tous les autres composants de la vie.

En fait, les phages ont été la seule source d’acide nucléique (ADN) pur dans les études biochimiques, le processus d’absorption et de libération de l’ADN dans et hors des bactéries (documenté au microscope électronique) étant interprété comme une infection. Il a été affirmé, là encore sans aucune preuve, que les phages attaquent les bactéries, les violent, leur imposent leurs acides nucléiques et que les bactéries meurent pour cette raison. Seules les bactéries qui sont extrêmement consanguines, c’est-à-dire qui se reproduisent constamment sans avoir de contact avec d’autres bactéries ou microbes, se transforment en phages dans un acte de métamorphose. Cette transformation est interprétée à tort comme la mort des bactéries par les phages.

Qu'en retenir ? Qu'avec la découverte du phage, qui n’est jamais créé que par la transformation de cultures bactériennes extrêmement consanguines (inceste), et des virus géants, qui se maintiennent, s’agrandissent et se métabolisent activement, la théorie cellulaire selon laquelle la vie biologique n’existe que sous forme de cellules et ne provient que de cellules a été réfutée. De même, que l'affirmation selon laquelle la vie biologique a pris naissance dans les "temps primitifs brumeux" a été réfutée, puisqu'il est prouvé que la vie biologique telle que nous la connaissons aujourd’hui peut naître partout où il y a de l’eau et peut-être aussi dans des conditions identiques ou similaires à celles de notre planète mère, la Terre. Enfin, que l'interprétation négative selon laquelle l’absorption d’acides nucléiques provenant de "phages" et de "virus géants" à même de provoquer des maladies est réfutée puisqu'aucun virus à ce jour n’a été observé ou isolé chez les humains, les animaux, les plantes ou leurs fluides. Les virologistes se sont bel et bien complètement perdus depuis 1952 dans une approche anti-scientifique, complètement éloignée de la réalité et dangereuse, qui n'a pas empêché le couronnement du biologiste américain John Franklin Enders (1897/1985) le 10 décembre 1954 par l'attribution du prix Nobel. 

Ainsi, la crise du covid comme d’autres catastrophes "virales" aux conséquences mortelles ("SIDA", "Ebola") ou autres pandémies "virales" sont non fondées, étant le fruit de "simples" constructions mentales. Elle a simplement contribué à la mise en place d'une hystérie mondiale propice à des relations commerciales engraissant ses protagonistes par la vente de tests et de vaccins, ainsi que l'établissement de lois sécuritaires à même de garantir la pérennité d'un système politico-financier oligarchique à bout de souffle, contesté par l'éveil de conscience d'un nombre croissant d'être humains jusqu'alors anesthésiés, même si une majorité d'individus croient encore à l’existence et aux effets des virus pathogènes ainsi qu'aux effets positifs des vaccins sous l'effet de la promotion de la souffrance comme viatique du Vivant (c'est par exemple le cas du cancer, la souffrance vécue directement et indirectement par presque chaque être humain ayant des conséquences négatives sur son métabolisme).

Motif d'espoir, cette crise constitue une occasion unique à la défense de la vie et des trois idéaux humains universels que sont la liberté, l'égalité et la fraternité...

* La théorie matérialiste de la vie affirme qu’il n’y a que des atomes, sans aucune conscience ni force "spirituelle" à même de les créer et de les mettre en mouvement. Autrement dit des atomes créés à partir de rien, le Big bang originel, et qui se sont séparés. Certains atomes se touchant par hasard, ils forment des molécules, qui elles-mêmes forment par hasard des cellule primordiales à partir desquelles toute vie se développe par lutte et sélection.

L’hypothèse protéine-toxine-virus a été notamment réfutée par le fait que le microscope électronique ne permettait jamais de trouver et de photographier quoi que ce soit d’autre que ce qui était observé chez les humains sains des humains, des animaux et de leurs fluides “infectés par un virus” . Et c’est toujours le cas aujourd’hui.

Cf. Livre des auteurs germaniques Ursula Stoll et le Dr Stefan Lanka "Corona - Weiter ins Chaos oder Chance für Alle" ("Continuer vers le chaos ou une chance pour tous").

 

La fraude de Louis Pasteur et la corruption de la virologie

La plupart des amateurs de santé naturelle le savent : "Le but premier de la recherche clinique financée par des fonds commerciaux est de maximiser le retour sur investissement financier, et non la santé !". Cette citation est tirée de l’avant-propos d’un livre dénonciateur intitulé Virus Mania : How Big Pharma, Media Invent Epidemics ("Virus Mania : Comment Big Pharma et les médias inventent les épidémies")*. Ce modèle corrompu de la médecine moderne est une épidémie fondée sur la peur, et non sur les virus ou les bactéries. Il s'agit pour l'esprit non informé d'une croyance qui n’est pas ancrée dans la (vraie) science, celle de la peur des microbes. Elle découle de la propagande et de recherches falsifiées écrites et promues par le complexe médical industriel.

Coronavirus, rougeole, grippe porcine, cancer du col de l’utérus, grippe aviaire, hépatite C, SIDA, polio, grippe espagnole... le complexe médico-industriel crée une hystérie de masse à propos d’une "théorie des germes" totalement erronée qui remonte à plus d’un siècle, et qui depuis a été utilisée pour exploiter la peur, en fait le virus le plus contagieux et le plus mortel de tous ! Sous prétexte de combattre les germes, le régime allopathique a créé des médicaments pharmaceutiques toxiques et des vaccins pathogènes dont la majorité des citoyens pensent pourtant qu’ils les aident à se protéger ou à atténuer l’impact des virus, bactéries, germes, agents pathogènes et parasites. Rien n’est plus éloigné de la vérité.

Le protocole médical, tel qu’il est décrit dans le livre Virus Mania, consiste à rendre les patients littéralement malades et à les tuer, car la plupart des médecins pensent que s’ils n'en font pas la promotion et ne prescrivent pas selon ce modèle, ils seront légalement blâmés pour la maladie et la mort de leurs patients.

Et le chimiste et microbiologiste français Louis Pasteur (1822/1895), connu et presque unanimement salué comme le "père de la bactériologie" et de la "théorie des germes", qui a "découvert" les principes de la vaccination, a tout fondé sur un modèle défectueux de cette théorie. Au fil du temps, sa théorie des germes est devenue le fondement d’un discours alarmiste visant à vendre au monde des "vaccins" dont l’innocuité et l’efficacité n’ont jamais été prouvées, et ce en raison d'expériences erronées et d'essais cliniques truqués/manipulés. Des épidémies de toutes sortes ont ensuite été inventées, mises au point en laboratoire, pour promouvoir des modèles de profit de millions et de milliards de dollars qui n’ont fait que rendre les patients de plus en plus malades et mortellement malades. D'où le terme de “virus mania”.

Aujourd’hui, la médecine moderne, alias la médecine occidentale, utilise des outils de laboratoire indirects, notamment des tests de réaction en chaîne par polymérase (PCR) et des tests d’anticorps, qui sont sans valeur pour détecter les virus. C’est ainsi que s’est propagée toute la "pandémie" de coronavirus, identifiant la grippe, la tuberculose (TB) et d’autres infections comme étant du COVID-19, alors qu’elles ne le sont certainement pas. La grippe saisonnière et la tuberculose présentent des symptômes similaires à ceux de cette grippe "chinoise", notamment des difficultés respiratoires, de la fièvre, de la congestion, etc. Des infections bactériennes sont également identifiées au moyen de tests défectueux, considérées comme étant le virus pandémique.

Il en découle beaucoup de peur, ce qui est le principal objectif du complexe médical industriel, dans la mesure où cela incite la majorité de la population à se faire "vacciner" avec des injections expérimentales, dangereuses, inefficaces et défectueuses. La responsabilité en incombe bel et bien aux essais cliniques truqués et falsifiés des laboratoires tel Pfizer - Big Pharma - et aux médias de masse vivant de leurs subsides publicitaires*², qui découlent du mouvement amorcé il y a maintenant plus d’un siècle par les autorités de santé approuvant sans discussion tous les médicaments pharmaceutiques dangereux fabriqués en laboratoire (brevetables), et qualifiant de "charlatans" tous les remèdes naturels largement disponibles et abordables. Le grand public ne peut qu'être entièrement trompé sur les maladies, les médicaments sur ordonnance, les modes de vie stressants et la malnutrition, la médecine occidentale citant de fausses études, des études modifiées et des études scénarisées qui correspondent à son programme, tout en continuant à appeler les scientifiques ratés du passé des héros et des sauveurs. Et comme les scientifiques qui soutiennent ce modèle de médecine ratée reçoivent des prix Nobel et des prix Pulitzer pour avoir soutenu un faux récit et prétendu avoir inventé des vaccins et des médicaments qui sauvent la société des germes, des épidémies et des pandémies "mortelles", il ne peut qu'être le dindon de cette mauvaise farce.

* Son auteur est le sociologue états-unien Wayne Lusvardi, qui a publié ce livre avant même le début de la "pandémie" de coronavirus. Il est très complet, basé sur des faits, avec plus de 800 notes de bas de page et des recherches scientifiques fondées sur des preuves pour étayer toutes les déclarations y figurant.

 

De la réalité Covid

Le vaccin originel, c’est-à-dire le SARS-CoV-2 d’origine, était un vaccin qui est devenu un virus qui a été lâché en Chine (ou autre pays avant que d'y parvenir). Il était déjà modifié par une protéine de pointe destinée à avoir cet effet vicié sur le corps. Les scientifiques ont poursuivi le travail d'expérimentation en laboratoire pour aboutir à un vaccin - une injection à ARNm - qui multiplie cette protéine de pointe par l'ordre donné au corps et à un tas de ses cellules qui sont un antigène (c’est comme des envahisseurs pour toutes les cellules du corps). Autrement dit, quand on attrape le Covid, les protéines de pointe entrent en jeu, expliquant que l'individu non vacciné peut avoir les mêmes effets que chez celui qui a été vacciné. La différence est que les conséquences sont moins graves si c’est juste la maladie et non le vaccin qui entraîne la maladie, le système immunitaire ayant eu le temps de se préparer pour amoindrir le choc global. Dans le cas contraire, l'individu se retrouve immédiatement avec des problèmes auto-immunes de par la manipulation génétique des cellules qui a donné l’ordre au corps d’attaquer ses propres cellules !

Si la plupart des individus infectés, vaccinés ou non, sont tombés malades, c'est qu'ils manquaient de bifidobactéries (famille des bactéries lactiques), le Covid les ayant en quelque sorte tuées dans leurs intestins, provoquant une carence en acide folique (vitamine B₉) à cause de la disparition des bonnes bactéries qui aident à produire cet acide folique (elles sont difficiles à remplacer avec des probiotiques ordinaires). C'est pourquoi la récupération nécessitent de bonnes bactéries intestinales, l’équilibre étant très important pour la fonction immunitaire, ce que permet notamment la prise d'aliments fermentés.

 

Le fonctionnement du cerveau

 

Le cerveau au sens classique, car l'être humain a également deux autres cerveaux, le cœur et les intestins, n'est pas le siège de l'esprit, contrairement à la position de la science académique*, l'Esprit supérieur (le Soi divin ou supraconscience) se situant en dehors de l'espace-temps. C'est lui qui conçoit les choses, notre guidance de vie, lorsque nous avons réalisé le processus d'individuation, soit notre libération du Moi égocentré, séparé du Tout unifié, l'UN, La Source*². Ceci entend que si notre éveil de conscience ne change pas les grandes lignes du scénario de notre incarnation, il en modifie la qualité d'expérimentation.

* Cf. Esprit global.

Cf. Le chemin alchimique & Processus de transformation de conscience (1).

 

Aluminium, ce poison qui se cache partout dans notre alimentation

Après le plomb, le mercure, l’amiante, le prochain scandale sanitaire pourrait bien concerner l’omniprésence de l’aluminium* dans notre quotidien. Le docteur français Rose Razafimbelo, grande spécialiste du vieillissement, considère ainsi l’aluminium comme l’un des grands agents pro-oxydants et pro-inflammatoires qui accélèrent le vieillissement de nos cellules et de nos tissus, et pouvant de ce fait avoir des conséquences irréversibles sur votre cerveau. Si normalement le corps humain est conçu pour éliminer les déchets grâce au système digestif et au rôle filtrant des reins qui "nettoient" le sang, une partie de l’aluminium ingéré échappe à cette grande machine de nettoyage, permettant à d'infimes  particules d’aluminium de s’accumuler dans l'organisme, en particulier dans le cerveau où il peut tranquillement y commettre des dégâts irréparables*². C’est en effet un dangereux neurotoxique, bio permanent et non biodégradable.

Une intoxication à l’aluminium peut affecter aussi les os et le système immunitaire. C'est pourquoi les déodorants antitranspirants à base d’aluminium sont depuis longtemps suspectés de jouer un rôle dans l’explosion du nombre de cancers du sein. Quant à l'eau du robinet, certains réseaux d'assainissement utilise des sels d’aluminium pour l'assainir et la rendre potable (floculation). Même si les installations respectent les normes (l’eau du robinet ne doit pas en théorie dépasser 200 µg d’aluminium/L), ce seuil est parfois dépassé, se rajoutant à toutes les doses microscopiques ingérées à longueur de journée (poisson cuisiné en papillote avec du "papier d’alu" qui voit avec la chaleur l’aluminium migrer du papier vers les aliments ; aliments industriels comme le pain de mie, les glaces, les plats préparés, etc qui peuvent contenir des additifs alimentaires à base d’aluminium ; la plupart des emballages comme les canettes, capsules de café, conserves, etc.). En dehors du déodorant anti-transpirant, l'aluminium est présent dans 1 produit de maquillage sur 2, les géants de cosmétiques ne pouvant s’en passer (il facilite la pénétration des crèmes, durcit le vernis à ongles, blanchit les dents…). On trouve également de l’aluminium dans certains légumes et céréales (plans de thé, cacao ...), puisque l’aluminium est naturellement présent dans la croûte terrestre.

Si toutes sources confondues, les autorités sanitaires suggèrent que l’organisme peut tolérer jusqu’à 1 mg d’alu/kg de poids corporel/semaine, pour les industriels de la cosmétique et de l’agroalimentaire, il n’existe aucune obligation de communiquer clairement sur les doses contenues dans leurs produits. Et comme il n’existe pas de norme pour les obliger à limiter la teneur en aluminium dans leurs produits, ils peuvent en mettre autant qu’ils le souhaitent. Ainsi, selon certaines estimations, la limite de 1 mg/kg de poids corporel/semaine serait allègrement franchie par une grande partie des Français, 5 % d’entre eux en ingérant 95 mg d’aluminium par jour !

* Cf. Contrôle mental.

Certains spécialistes considèrent qu’il pourrait déclencher une inflammation chronique responsable de maladies dégénératives du cerveau comme des démences ou la maladie d’Alzheimer, ainsi que jouer un rôle dans d’autres troubles neurologiques comme l’autisme et la myofasciite à macrophages (troubles neurologiques très handicapants, pertes de mémoire, douleurs partout dans les muscles, très grande fatigue).

 

En tant que "moteur du Ciel" (Cf. précédemment), notre cerveau, centre des trois chakras du haut - laryngé, 3° œil et couronne -, est un ÉMETTEUR RÉCEPTEUR*, recevant de l’information du corps physique et de son environnement, laquelle est interprétée par l'égo-mental, celui-ci la renvoyant par les canaux de transmission du cerveau aux autres parties du corps physique au moyen du système nerveux, composé des systèmes nerveux sympathique et parasympathique.

Le Mental est ainsi le PROJECTEUR de notre film - notre interprétation en tant que personnage principal - qui le projette dans notre Matrice d'appartenance avec tout son contenu*². Si dans une salle de cinéma il y a une distance entre l'écran et le spectateur du film, faisant que le mental ne s'identifie pas au film qu'il voit projeté sur l'écran, c'est oublier que nous sommes gouverné à 95 % par l'inconscient, tous les miasmes et toxicités non nettoyés qui s'y trouvent se déversant et, par là-même, occasionnant nos souffrances par l'effet miroir (ce que nous projetons nous revient par effet boomerang de par l'unité de l'ensemble, la division n'étant qu'une illusion). D'où l'opération de manipulation de l'inconscient par les acteurs de la Matrice afin d'assurer tant notre prédation que notre servage*³. Ceci explique la nécessité de nous dé-identifier en tant que personnage du film de la Vie, en réalisant la fusion du triptyque corps-âme-esprit au service de l'Esprit supérieur, afin que notre conscience incarnée ne soit plus dans la tête mais dans le cœur. C'est le centrage, permettant de changer le reflet que nous adressons sur le miroir de nos illusions ...

* Cf. Le moteur biologique de la co-création.

Cf. Le cinéma de la Matrice (1).

*³ Cf. Les acteurs de la Matrice falsifiée, Prédation manipulatoire & Symbolisme et artifices de la Matrice.

 

De l'influx nerveux

L'impulsion nerveuse est transportée par une fibre à une vitesse au plus égale à 100 mètres par seconde, sa résistance au passage du courant électrique d'une fibre nerveuse étant 100 millions de fois supérieure à celle d'un fil de cuivre alors qu'elle est bien mal isolée de son environnement puisque la membrane qui la renferme est un million de fois plus perméable au courant électrique que la gaine d'un bon câble électrique. On peut considérer le corps humain comme un appareil électrique dont l’ordinateur de commande se trouve dans notre cerveau. Sans courant, notre corps ne fonctionnerait pas. L’électricité est d’une importance vitale pour notre survie, pour notre habilité à parler, bouger nos muscles, et sentir le monde autour de nous. En l’absence du courant électrique, les fonctions vitales s’arrêtent. Même lorsque notre corps est au repos, le flux de signaux électriques se maintient en activité à des intervalles d’un millième de seconde. Tous nos organes et toutes nos fonctions physiologiques sont parfaitement orchestrés par notre cerveau au moyen de pulsions électriques, et ceci tout au long de notre vie.

 

Le neuropsychologue Michael Gazzaniga, professeur de psychologie à l'Université de Californie à Santa Barbara où il dirige le Centre SAGE pour l'étude de l'esprit, est l'un des chercheurs les plus éminents en neurosciences cognitives, l'étude des bases neurales de l'esprit. Il a travaillé au début de sa carrière avec le célèbre neuropsychologue et neurophysiologiste américain Roger Wolcott Sperry (1913/1994 ), qui a mis au point plusieurs dispositifs permettant d'étudier les différences fonctionnelles des deux hémisphères chez ces patients. L'idée était de faire en sorte que des stimuli ne parviennent qu'à un seul hémisphère pour voir comment cet hémisphère réussit seul à traiter tel stimulus.

Pour étudier le langage, Gazzaniga demandait au sujet de fixer un point central sur un écran, et projetait à droite ou à gauche de ce point des images, des mots ou des phrases. En projetant l'image assez brièvement pour que les yeux n'aient pas le temps de bouger, on peut ainsi "parler" à l'un où l'autre des deux hémisphères : le droit reçoit l'information projeté dans le champ visuel gauche, et le gauche celle projetée dans le champ visuel droit. Les sujets peuvent ainsi répéter sans difficulté les chiffres, les mots ou les images projetées dans champ visuel droit puisque l'hémisphère gauche qui les traite est dominant pour le langage. De même, si on lui demande de fermer les yeux et de palper des objets avec sa main droite, il peut les décrire sans problème. Il en va cependant tout autrement pour les stimulus présentés dans le champ visuel gauche ou les objets manipulés par la main gauche : le sujet est incapable de les décrire. Pour les stimuli visuels, il dit même qu'il n'a rien vu ! Bien que l'hémisphère droit démontre des lacunes dramatiques dans le traitement du langage, il n'est pas dénué pour autant de toute capacité langagière. Il peut lire et comprendre des chiffres, des lettres et des énoncés courts, à condition que la preuve de cette compréhension ne soit pas donnée verbalement. Le cerveau est bel et bien coupé en deux !

 

Du cerveau

La structure du cerveau est basée sur des zones ou couches inconscientes dont nous sommes totalement dépendant dans l’ignorance, en pensant avoir la maîtrise de notre zone de conscience au cœur de laquelle nous structurons toutes nos considérations personnelles, justifications de nos choix et actes, interprétations de ce à quoi nous sommes confronté… Elles constituent le sens que nous donnons à la vie, au seul service ignoré de notre égo défensif et offensif…

Trois grandes couches sont à distinguer :

. Le cerveau reptilien, constitué du tronc cérébral et du cervelet, est axé sur les fonctions vitales et la survie, dont la fréquence cardiaque, la respiration, l’équilibre, la température du corps. Il est la clef intérieure du système défensif ou/et offensif rattaché à la survie. Son mode opératoire est dominateur, très rigide et impulsif, fonction des situations auxquelles nous sommes confronté. Il coupe tous nos liens avec notre système de conscience réfléchie et décisionnelle, pouvant conduire à une solution salvatrice comme une solution contraire à la dynamique interne de survie. Y est intégrée une synthèse globale et systémique du sens évolutif de la Vie cosmique dont nous sommes né, avec des divergences de situations vécues conduisant à des divergences de perceptions, de réactions et finalement de mode de pensée, rendant tous les humains différents les uns des autres. 

. Le cerveau limbique, composé de l’Hippocampe, de l’Hypothalamus et de l’amygdale, a pour fonction de mémoriser profondément les situations désagréables et agréables vécues depuis notre naissance et au sein de la période de gestation. Il traduit l’ancrage des traumatismes subis comme des temps de bonheurs vécus, la plupart du temps mémorisés après en avoir été douloureusement déliés, instaurant un mode d’émotion nostalgique très puissant. Cette mémorisation est le siège de nos comportements, attitudes, choix, jugements, dans un mode inconscient exerçant une très grande influence sur nos comportements de vie. Il est de ce fait le conducteur de nos émotions, interprétations, pensées et jugements, de nos réactions verbales ou/et corporelles, de nos choix… avec des conséquences souvent néfastes à notre vie et notre bien-être.

. Le cortex intègre 3 zones : lobe frontale, lobe (hémisphère) droit et lobe gauche. Le lobe frontal est considéré comme le siège de la pensée, de la volonté, de la planification. Lorsqu'il est en dégénérescence, il désintègre totalement la mémoire des mots, le raisonnement logique et déstructure plusieurs zones corporelles de façon aléatoire. Il synthétise des assemblages de pensées et les analyses des lobes droit et gauche, ces deux sections étant totalement distinctes. Le lobe droit est intuitif, émotif, créatif, imaginatif, percevant les choses d’une façon globale et ne passant pas par l’analyse pour confirmer le ressenti éprouvé. Le lobe gauche est le cœur de la concrétisation de notre volonté de maîtrise de tout ce qui nous entoure par l’interprétation, l’analyse, la justification argumentée, la description la plus poussée, la théorisation, le langage, le calcul, le déploiement de la logique, du rationnel, du concret. Il planifie les choses dans l’organisation de notre travail et notre vie… Ces deux sections constituent la conscience de l’Homme, en opposition avec le soubassement de ces zones constituant l’inconscient de l’homme.

 

Codex des biais cognitifs
Codex des biais cognitifs

Des biais cognitifs

En règle générale, l'être humain sous-estime l'imprévisibilité d'une situation, surestime ses propres qualités lorsqu'il réussit, et sous-évalue ses manquements lorsqu'il échoue. Ce sont des raccourcis, dits biais cognitifs*, que le cerveau prend automatiquement afin d'analyser plus rapidement le flot d'informations qui s'offre à lui.

Le biais cognitif constitue ainsi une distorsion dans le traitement cognitif d'une information. Le terme biais fait référence à une déviation systématique de la pensée logique et rationnelle par rapport à la réalité. Les biais cognitifs conduisent le sujet à accorder des importances différentes à des faits de même nature et peuvent être repérés lorsque des paradoxes ou des erreurs apparaissent dans un raisonnement ou un jugement.

Ils peuvent être organisés en quatre catégories : les biais qui découlent de trop d'informations, pas assez de sens, la nécessité d'agir rapidement et les limites de la mémoire (Cf. codex ci-joint). 

* Le terme de biais cognitif a été introduit au début des années 1970 par les psychologues et économistes américano-israélien pour Daniel Kahneman et israélien pour Amos Tversky (prix Nobel en économie en 2002), pour expliquer certaines tendances vers des décisions irrationnelles dans le domaine économique. Depuis, une multitude de biais intervenant dans plusieurs domaines ont été identifiés par la recherche en psychologie cognitive et sociale.

 

De la dissonance cognitive, ou l'effet Festinger

C'est le psychologue états-unien Leon Festinger (1919/1989), professeur en psychologie sociale à l’Université Stanford (Palo Alto, Californie), qui développa dans son ouvrage A theory of cognitive dissonance le concept de la dissonance cognitive en 1957, après avoir étudié le cas d’une secte dirigée par une certaine Marian Keech*. Il le définit comme "un état de tension désagréable dû à la présence simultanée de deux cognitions (idées, opinons, comportements) psychologiquement contradictoires". C'est l’une des théories les plus connues de la psychologie sociale, continuant de générer des recherches innovantes. Lorsque nos croyances sur le monde entrent en contradiction avec les faits, ou quand la vision que nous avons de nous-mêmes est en décalage avec nos actes, nous éprouvons une tension mentale qu’il nous faut réduire à tout prix, quitte à réinterpréter la réalité.

* Marian Keech prétendait recevoir des messages d’extraterrestres, qui lui annoncèrent la fin du monde pour le 21 décembre 1954, seuls les adeptes de la secte étant amenés à être secourus à bord de soucoupes volantes. Le jour de la prophétie arriva, aucune soucoupe ne manifestant le bout de ses hublots. Marian ne se démonta pas : elle expliqua à ses adeptes que grâce à leur ferveur, l’apocalypse avait été reportée. Fait surprenant, seules deux personnes quittèrent le mouvement suite à ce flop cosmique, les autres voyant leur foi redoublée. Ils préférèrent "adapter" la réalité à travers le filtre de leur croyance plutôt que de remettre cette dernière en question. C'est cette façon de sélectionner les informations qui confirment notre vision du monde, faisant partie de notre arsenal de défense face aux dissonances…

 

L'amygdale, fabrique de la peur

L'amygdale (du latin amygdala, "amande"*) ou complexe amygdalien, noyau pair situé dans la région du lobe temporal, fait partie du système limbique. Elle est impliquée dans la reconnaissance et l'évaluation de la valence émotionnelle des stimuli sensoriels, dans l'apprentissage associatif et dans les réponses comportementales et végétatives associées en particulier dans la peur et l'anxiété. Elle  fonctionnerait comme un système d'alerte et serait également impliquée dans la détection du plaisir. Ces informations analysées comme dangereuses pour l'organisme donnent lieu à l'activation de voies de sortie en direction de l'hypothalamus et du tronc cérébral, appropriées pour générer des réponses du système endocrinien, du système nerveux autonome et des voies somatomotrices associées aux émotions.

Les deux amygdales dans le cerveau jouent un rôle clé dans la réaction à la peur, réponse réflexe à une situation extérieure de crise d’urgence. En effet, trop sollicitées, les amygdales libèrent des substances pour atténuer l’anxiété, la peur, afin d’atténuer l’excitabilité neuronale… C’est ainsi que les neurones s’épuisent et que notre cerveau vieillit plus vite en se consumant en réactions chimiques (cf. les tumeurs, les AVC, Alzheimer). 

C'est pourquoi la conscience s’entretient, résultant d’un recul par rapport aux évènements, à une interprétation non réactive. Elle est basée sur la détente, le recul, l’observation, le calme et la lecture des évènements à un autre niveau (symbolique) créateur de sens.

* Le physiologiste allemand Karl Friedrich Burdach (1776-1847) est considéré comme le premier à avoir employé le terme d'amygdala pour décrire une formation de matière grise en forme d'amande dans la position antérieure du lobe temporal.

 

Méduse (image 4) est, dans la mythologie grecque, l'une des trois Gorgones (avec ses sœurs Euryale et Sthéno), la seule à être mortelle. Elle appartient aux divinités primordiales, tout comme ses cousines, la Chimère et l'Hydre de Lerne, qui, elles aussi, avaient des traits associés à l'image du serpent*.

La forme de la méduse, animal gélatineux, est comparable à un conduit d'énergie. Ses yeux ont le pouvoir de pétrifier par effet miroir tout mortel qui les regarde. Ils sont en effet ceux de l'être humain esclave de la Matrice asservissante, composés d'Hypnos et de Thanatos, les fils de Nyx, la nuit de la conscience... Elle constitue à la base le conte d'initiation à la compréhension de la peur que tout Héros de sa vie doit terrasser par la quête de transparence en lui*². Sa représentation ne fait que traduire sur le plan anatomique l'amygdale, lieu de fabrique de la peur (images 1 à 3) lorsque s'accumulent en nous nos "petits arrangements" avec la Vérité (mensonges, tricheries, malhonnêteté, déni, culpabilité, colère, frustration, jugement et accusation...).

* Cf. Décryptage de l'égo.

Cf. Le Jeu de la Vie et Le chemin alchimique.


La peur retourne l'ADN dans le cerveau

L'équipe scientifique du Dr Timothy Bredy de l'Université du Queensland en Australie vient d'établir en 2020 que la peur modifie la forme de la double hélice d’ADN du cortex préfrontal. En effet, ce mécanisme de survie crucial qu'est la peur pour l'espèce, tout comme la capacité à inhiber celle-ci lorsque le danger est passé, viendrait de la capacité du cerveau à modifier la structure de l'ADN de ses neurones !

Pour le comprendre, il faut rappeler que les molécules d’ADN (acide désoxyribonucléique) qui portent l’information génétique au sein de nos cellules, et donc de nos neurones, ont généralement une forme de double hélice qui tourne vers la droite et qu’on appelle ADN-B. Mais, occasionnellement, cette double hélice peut également, tout ou partie, tourner vers la gauche. C’est alors de l’ADN-Z. Les scientifiques ont ainsi constaté que les changements de formes d’ADN dans le cerveau (celles de souris soumises à la peur) découlent d'un stress répété (des sons forts suivis de chocs sur la patte) qui voit l’ADN-Z augmenter dans son cortex préfrontal (région impliquée dans la réflexion, le jugement…etc).

Les scientifiques se sont également intéressés à une enzyme particulière appelée ADAR1, connue entre autres pour sa capacité à changer l’ADN-Z en ADN-B. Ils ont trouvé que l’extinction de la peur menait à une augmentation rapide et transitoire d’ADAR1 dans le cortex préfrontal adulte. Il semblerait donc que l’ADN-B se déforme en ADN-Z quand les neurones sont stressés par un événement. Puis, une fois l’événement stressant passé, ADAR1 ramène l’ADN-Z à son état normal d’ADN-B. Et plus nous pouvons facilement passer d’une structure d’ADN à l’autre, plus notre mémoire est plastique. C'est cette capacité qui explique le syndrome de stress post-traumatique (PTSD) ou des phobies, ceux-ci étant dans l'incapacité à réinitialiser l'état de la structure de l'ADN. Il en découle que les gènes impliqués dans la peur d'origine peuvent être plus susceptibles d'être réactivés encore et encore, rendant ainsi la peur d'origine plus forte et moins susceptible d'être contrôlée. Cette situation de rétroaction conduirait alors à une réaction de peur exagérée.

Ces scientifiques pensent que leur découverte pourrait permettre ainsi de cibler des régions spécifiques du génome du cerveau. C'est ce qu'il nomme le "commutateur médié par ADAR1" dans la structure de l'ADN, celui-ci semblant être essentiel pour la capacité de modifier les souvenirs de peur. Ce commutateur et d'autres commutateurs de structure d'ADN pourraient être essentiels pour la capacité de récupérer rapidement des événements émotionnellement importants et de conférer de la résilience. Une sorte de bouton de mise à jour, en quelque sorte.

 

Les ruminations mentales peuvent endommager le cerveau.

7 signes montrent que le cerveau est beaucoup trop fatigué, peut-être au bord de la rupture : faire par dépit et sans aucun plaisir les choses mécaniquement, courir dans tous les sens du matin au soir en en subissant la routine, avoir des difficultés à s'endormir, passer des heures à ruminer dans son lit, être fatigué dès le réveil, n'être plus motivé à faire des activités (sociales ou sportives) pendant son temps libre, subir des pertes de mémoire passagères (oublier ses affaires, relire plusieurs fois les mêmes passages d’un livre pour bien comprendre, etc…). Et face à la quantité d’informations qu’il doit gérer en même temps, le cerveau est obligé de faire des choix, priorisant certaines fonctions et mettant les autres de côté. C’est la raison pour laquelle nous pouvons nous sentir triste, fatigué, stressé, voire avoir l’impression de perdre "la boule". Le cerveau est en surchauffe !

En situation de stress, le corps libère une hormone appelée le cortisol. C’est une bonne chose, car il donne l’alerte générale dans l'organisme, permettant d’être plus attentif au danger. Toutefois, lorsque nous sollicitons trop l'organisme – physiquement ou psychiquement –, le corps ordonne la production de grandes quantités de cortisol conduisant le cerveau à en faire les frais, la matière grise diminuant de façon spectaculaire dans les régions de l’hippocampe et l’amygdale, zones cérébrales importantes pour la mémoire, l’apprentissage et la gestion des émotions. Et des situations de stress répétées pourraient même être associées au développement de certaines démences, telles que la maladie d’Alzheimer. Nul ne s'étonnera de l’explosion du nombre de "burnouts" dans les entreprises, l’isolement des personnes âgées, et des ventes record d’antidépresseurs en 2018 …

C'est la raison pour laquelle il est indispensable de reprendre le contrôle de son cerveau afin qu'il permette une influence réelle sur son bien-être par la transformation de la quantité de matière grise dans certaines de ses zones, tout particulièrement sur l’amygdale, petite région impliquée dans les troubles de l’humeur, du stress et de l’anxiété, et sur l’hippocampe gauche du cerveau, zone associée à l’apprentissage et à la mémoire.

 

Du port du masque

Les gens qui portent des masques toute la journée ne font rien d’autre qu’augmenter leur charge virale, réduire leur niveau d’oxygène (déficit) parce qu’ils inspirent de nouveau le dioxyde de carbone, ce qui entraîne une saturation. Ils amplifient simplement leur propre charge microbienne, et diminuent le système immunitaire de leur corps voire réactivent des infections latentes ou discrètes. Et si le virus est déjà en train d’attaquer la capacité de transport de l’oxygène, il va juste les rendre encore plus malades. Qui plus est, outre l’état de santé général, les masques présentent l’"avantage" supplémentaire d’induire des lésions cérébrales (destruction conséquente de neurones, notamment dans l'hippocampe) de par la faible oxygénation, et de diminuer singulièrement l’intelligence (déjà très peu élevée chez nombre) de leurs porteurs inconscients, dont nombre de médecins qui en sont continuellement porteurs, ceci expliquant cela lorsque certains s'expriment de manière doctrinaire, hystérique sinon haineuse dans les tribunes médiatiques accordées, se comportant à l'instar des névrosés et autres hypocondriaques - ceux qui ont peur de tout - qui s’en donnent à cœur joie pour tyranniser leur entourage, même familial. Les symptômes d’alerte aigus sont les maux de tête, la somnolence, les vertiges, les problèmes de concentration, le ralentissement du temps de réaction, autant de réactions du système cognitif. S'ils disparaissent car l'organisme s'y habitue, le fonctionnement du cerveau demeure altéré, la sous-alimentation en oxygène du cerveau continuant de progresser, et conduisant aux inévitables maladies neurodégénératives qui mettent des années, voire des décennies, à se développer.

De son côté, la recherche américaine menée au sein des centres nationaux en charge de la santé (National Institute of Health - NIH) a révélé que l’utilisation prolongée de masques Covid, qu'ils soient faits maison ou en norme N95, peut provoquer une perte d’oxygène allant de 5% à 20%, celle-ci conduisant à divers symptômes : une hypercapnie (un excès de dioxyde de carbone dans la circulation sanguine généralement causé par une respiration inadéquate), une crise de panique, des vertiges, une vision double, des acouphènes, des problèmes de concentration, des maux de tête, des réactions ralenties, des convulsions, des altérations de la chimie du sang débouchant sur de la suffocation due au déplacement d’air .

Quant à la neurologue allemande le Dr Margarite Griesz-Brisson, diplômée en pharmacologie et spécialisée en neurotoxicologie et médecine environnementale, elle a prévenu que la privation d’oxygène due au port prolongé d’un masque Covid pouvait provoquer des dommages neurologiques permanents. Les symptômes d'avertissement aigu sont des maux de tête, de la somnolence, un ralentissement du temps de réaction du système cognitif. 

Aux Etats-Unis encore, le Dr Simone Gold, fondatrice de l’association américaine Frontline Doctors, a révélé en 2022 que les masques faciaux ont contribué au taux élevé de mortalité lié au coronavirus de Wuhan (COVID-19) en citant le rapport intitulé The Foegen Effect : A Mechanism by Which Facemasks Contribute to the COVID-19 Case Fatality Rate* ("L'effet Foegen : un mécanisme par lequel les masques faciaux contribuent au taux de mortalité des cas COVID-19") rédigé par le médecin allemand Zacharias Fögen et publié en février 2022 dans la revue internationale de référence dans le domaine de la recherche biologique, médicale et en santé. Les résultats suggèrent en effet fortement que les masques obligatoires ont causé environ environ 1,5 fois le nombre de décès, ou environ 50 % de décès supplémentaires par rapport à l’absence de masque obligatoire ! 

En Europe, un article intitulé Correlation Between Mask Compliance and COVID-19 Outcomes in Europe ("Corrélation entre le respect du masque et les résultats de l'étude COVID-19 en Europe") rédigé par le professeur associé à l’Université de Sao Paulo Beny Spira, dont les recherches portent sur la génétique moléculaire des micro-organismes, et publié dans le Cureus Journal of Medical Science en avril 2022, montre que les données de 35 pays européens sur la morbidité, la mortalité et l’utilisation de masques pendant une période de six mois, portant sur un total de 602 millions de personnes suggèrent que les pays ayant des niveaux élevés de respect du masque n’ont pas obtenu de meilleurs résultats que ceux ayant une faible utilisation du masque au cours de la période de six mois qui englobe la deuxième vague européenne de COVID-19. Il montre également l’absence de corrélations négatives entre l’utilisation des masques et les cas et les décès liés au COVID-19, l’utilisation généralisée des masques comme pendant le fort pic automne-hiver 2020-2021 n’a pas réduit la transmission du virus COVID-19.

Si tant de porteurs de masques n’ont aucune idée de la venue de ces dommages chroniques, c’est parce qu’une fois qu’une personne souffre d’une privation chronique d’oxygène, tous ces symptômes disparaissent, la personne s’habituant à l’état de privation. Son efficacité est altérée, et le manque d’apport d’oxygène approprié au cerveau continue de progresser dangereusement.

Il est à savoir que les maladies neurodégénératives mettent des années à se développer, ayant pour conséquence que les cellules nerveuses du cerveau sont incapables de se diviser normalement. Or, plus le cerveau est métaboliquement actif, plus il a besoin d’oxygène. Et c’est pourquoi il est absolument ridicule que des enfants portent des masques toute la journée, leur système immunitaire étant adaptatif de par l'interaction constante avec le microbiome de la Terre. Cette  privation constante d’oxygène est comme une torture lente, non seulement dangereuse pour la santé des enfants et des adolescents, mais pour ses conséquences d'inhibition du développement du cerveau qui crée des dommages irréversibles. Bien entendu, un argumentaire qualifié de lutte salutaire contre les "fake news" ou la propagande comploteuse*² vient contrebalancer ce point de vue pourtant débattu sur le plan médical. A chacun de se forger de manière libre et responsable sa vérité...

C'est au final tout ce qu'une recherche complète parue début 2023*³, évaluée par des pairs et portant sur plus de 75 études sur les masques dans le cadre d’une méta-analyse, avec des essais contrôlés randomisés, prouve : les masques ont toujours été pratiquement inutiles !

* Le rapport est issu d'une étude qui a examiné "si le port obligatoire du masque a influencé le taux de mortalité des cas au Kansas" du 1er août au 15 octobre 2020. Le Kansas a été utilisé pour la comparaison, l’État ayant permis à chacun de ses 105 comtés de décider de mettre en œuvre ou non le port obligatoire du masque. Quatre-vingt-un comtés ont décidé de ne pas appliquer cette mesure.

https://www.letelegramme.fr/france/gare-a-l-intox-non-le-port-du-masque-ne-provoque-pas-des-dommages-neurologiques-irreversibles-31-10-2020-12649307.php Là encore, un contre-argumentaire peut être rétorqué : dans la mesure où tout le CO2 s’échappe du masque, celui-ci certes n'est pas nocif ; mais alors, le virus s’échappe également, et de ce fait les masques ne servent à rien, et il ne sert à rien de les porter...

*³ https://www.health.news/2023-02-17-doctors-nurses-admitting-covid-masks-dont-work.html

 

Cf. en complément Travaux de Margarita Griesz-Brisson, docteur en médecine, neurologue consultante et neurophysiologiste.

 

 

La Médecine de la Méduse

Si dans sa polarité négative la Méduse* exprime le symbole de la castration - ce qui pétrifie - où le féminin lunaire (planète Neptune négative) use du pouvoir de la sexualité pour piéger le masculin électrique (planète Pluton négatif), autrement dit le Moi non réalisé se consumant dans une quête de jouissance sous l'emprise de la prédation archontique, cette "mante religieuse" ou "sorcière noire" permet dans sa polarité positive la libération du Masculin Sacré par le Féminin Sacré. Et une fois le Féminin sacré libéré à son tour par son pendant Masculin (Cf. les histoires de princes qui libèrent leur princesse), la flamme sacrée - la venue de l'Esprit (le Soi supra-mental) - par l'humilité de la rédemption annihile la monstruosité prédatrice, soit l'instinct bestial et dominant. La suprématie du Masculin sur la Féminin se dissout, conduisant tous les jeux de pouvoirs "domination-soumission" à se dissoudre. Le mur de pierre érigé par le "mal" étant effondré, il en résulte la fusion de la dualité dans l'Unité des polarités yin et yang. C’est alors l’équilibre, l’Être Sacré dans le Cœur.

En d'autres termes, les tentacules de la Méduse, telles des serpents qui avaient pétrifié l’être humain illusionné, lui envoient des décharges électriques capables de "réveiller un mort", exorcisant la peur du Féminin en soi et libérant toutes ses connexions au monde visible et invisible, ses ressentis et perceptions extrasensorielles (libération des traumas violents ancrés dans la psyché depuis la nuit des temps). Par la renaissance de ses alter inconscients jusqu'alors pétrifiés, de façon adaptée et proportionnelle à son état d’esprit, Son Être Sacré se dote de magies psychiques extrêmement puissantes, capables de libérer l’Être emprisonné. De l’Homme mort il devient l’Homme vivant ; de l’Homme esclave il devient l’Homme Libre ; de l'Homme enfermé dans la noirceur de la Caverne (la Matrice astrale), il devient l'Homme lumineux, être esprit multi-dimensionnel (la Matrice cosmique). C'est pourquoi la Méduse est une guérisseuse des profondeurs de notre psyché. Elle est le "troisième Œil" qui éveille et réveille le Sacré en nous, ouvrant la porte à l’Être Réalisé.  

* Animal venu des fonds marins, la méduse est constituée de 95% d’eau, étant en ce sens "mémoire des mémoires". Fille de la Lune et des Océans, elle est le symbole du Féminin Sacré (le charme, la beauté, la douceur, la sensualité, la vie et l’amour), unissant à la fois Vénus, Neptune et Lune. Ses tentacules urticantes et paralysantes servent à piéger ses proies dans ce qu’il y a de plus vil : la haine, la vengeance, la destruction, la folie, la fureur, la castration. C'est la raison pour laquelle la méduse défend le Féminin Sacré, notre partie hyper-sensible, en faisant mourir le Masculin électrique désacralisé. Telle une Déesse des Océans, elle est la gardienne de l'hyper-sensibilité Féminine de l'être humain.

Cf. Le chemin alchimique.

 

L'indispensable rééducation du cerveau

 

Notre paresse mentale et la tendance à la somnolence, cette inertie de la matière, constituent le grand obstacle aux conceptions de Ce Qui Est, de Qui Nous sommes vraiment. Elles nous poussent à des conclusions hâtives et à des généralisations injustifiées. Si nous étudions le mécanisme de l'Univers, autrement dit le "Système des cosmos"*, nous entrons de plus en plus dans le domaine des notions nouvelles. Or ce caractère de nouveauté de notions exige de l'homme un effort conscient qui, sous un certain aspect, est un effort créateur. Et c'est la matière relativement lourde de notre cerveau
qui oppose toujours une résistance à cet effort.

C'est la raison pour laquelle on peut dire symboliquement que chaque conception nouvelle laisse une trace, une gravure mnésique à la surface du cerveau. Et plus la pensée qui formule cette conception est nouvelle et frappante, plus le sillon qu'elle imprime sur le cerveau est profond. La fixation de ce sillon exige une concentration de l'attention et de la pensée, celle-ci devant devenir fine et aiguë comme la pointe d'une épingle pour produire ses effets. Alors peut-elle tracer des sillons
suffisamment profonds pour qu'ils ne se comblent pas immédiatement et pour que la matière cérébrale ait ainsi la possibilité de faire son travail de fixation.

* Cf. Évolution de civilisation (1) Le mécanisme de l'Univers & Symbolisme des neuf premiers nombres.


Cependant, ce processus se heurte à un double obstacle. Le premier est la fatigue mentale, résultat de l'épuisement des réserves de forces nécessaires à la concentration voulue. Cette réserve énergétique est minime chez l'homme extérieur à lui-même, qui vit généralement à la limite de ses forces nerveuses, l'absorption d'énergie étant presque immédiatement compensée par une dépense du même ordre de grandeur. C'est pourquoi cet épuisement quasi permanent des énergies
nécessaires pousse l'homme à abandonner le chemin qui le conduit vers le nouveau, donc vers l'inconnu, pour faire glisser sa pensée le long des voies déjà tracées, selon un processus qui n'exige ni efforts conscients ni concentration.

Le second obstacle provient de ce que la matière cérébrale elle-même oppose une résistance à cette pensée aiguë qui, toujours comme la pointe d'une épingle, la blesse. Il en découle des conclusions hâtives, des généralisations gratuites, des slogans, qui sont les moyens techniques courants par lesquels la partie sombre et inerte de la nature humaine cherche en toute
circonstance à faire abandonner les recherches dans le domaine du nouveau, de l'inconnu.

Pour lutter contre ce double obstacle qui offre des difficultés variables selon les personnes, la technique recommandée consiste d'une part à faire des exercices tendant à accumuler des forces en vue de constituer des réserves d'énergie et, d'autre part, des exercices ayant pour but le raffinement du travail des cellules cérébrales*, qui sont dotées de la plus grande permanence dans les limites de la vie du corps. A même d'être éduquées car raffinées, leur sensibilité peut atteindre une puissante acuité. 

* Ainsi l'activité des dendrites, favorisant la puissance de traitement du cerveau. En effet, à l'extrémité d'un neurone de forme pyramidale, des appendices en forme d'arbre, appelés "dendrites", envoient et reçoivent des signaux électrochimiques. Ces dentrites jouent un rôle essentiel dans la façon dont le cerveau compile l'information pour déterminer ses prochaines actions. Cf. Travaux de Matthew Larkum, neuroscientifique de l'Université Humboldt de Berlin.


Il en découle que l'évolution est en principe possible pour tous les humains-âmes*. Mais y parvenir exige des efforts permanents, conscients et créateurs, à défaut desquels le raffinement des cellules s'arrête. Et généralement, cet arrêt se produit lorsque la formation initiale de l'individu, parentale comme éducative, est achevée. Ensuite commence la vie matérielle, c'est-à-dire l'exploitation de la formation reçue, qui mène trop souvent à une sorte de sclérose mentale, à un "durcissement" du
cerveau faisant perdre de plus en plus à l'homme sa capacité d'adaptation et, à plus forte raison de pénétration, dans le domaine de l'inconnu.
* Cf. Les acteurs de la Matrice falsifiée.

 

Tout changement est d'abord intérieur, afin de nous permettre de percevoir, soit percer le voile de l'illusion, autrement dit l'image mentale créée par le cerveau qui met en relation les circonstances extérieures avec le ressenti intérieur par l'effet de résonance*. Pour ce faire, nous avons à contrebalancer ce que l'hémisphère gauche du cerveau permet - mesure, interprétation, calcul, établissement de probabilités, projection... - et qu'il prend pour la réalité (c'est le rêve de la perception), par l'utilisation à part égale de l'hémisphère droit, le ressenti intuitif en provenance du cœur, source de guidance éclairée dans les pièges et artifices de la matière.

Voilà pourquoi le cœur est également notre second cerveau, le "moteur de l'humain", et qui associé au troisième cerveau lié au système glandulaire - les intestins (gros intestin, rectum, intestin grêle) -, va agir sur le "moteur terrestre", les centres énergétiques du bas. Ainsi la plupart des émotions dites "primaires", comme la colère ou la peur, sont corrélées à une augmentation de l’activité au niveau de la poitrine, se caractérisant par une accélération des rythmes respiratoires ou cardiaques. À l’inverse, la tristesse se distingue par un affaiblissement de l’activité des membres supérieurs. Les sensations gastro-intestinales et de la gorge sont quant à elles propres au dégoût. Le bonheur est la seule émotion à se traduire par une élévation de l’activité de l’ensemble du corps. Quelle que soit l’émotion que l’on ressent, elle n’est pas anodine pour le corps, les émotions étant une véritable interface entre le cerveau et le corps induisant des réactions musculaires, hormonales, neurologiques et immunitaires. Les émotions répétées peuvent donc avoir, en frappant de façon répétée sur le même organe chez certains individus prédisposés, un impact positif (guérison plus rapide d’un cancer) ou négatif (vulnérabilité cardio-vasculaire, asthme...) sur la santé*².

Encore faut-il maîtriser les emballements et turbulences émotionnelles que les agitations du mental entraînent et qui, se répercutant sur l'ensemble de notre système glandulaire comme nerveux, occasionnent des dommages parfois irréparables. Ceci nécessite le contrôle des sentiments, fruit des perceptions du Mental et des émotions des Intestins. Et tout comme la conscience de notre esprit supérieur, notre conscience physique détient la clé de notre relation harmonieuse (ou non) à la Vie. Comme nous ne pouvons servir deux maîtres à la fois, il nous appartient - principe du libre arbitre - de décider celui que nous honorons : l'égo-mental, le petit Moi, ou le cœur, l'esprit supérieur, le Soi réalisé. Pour ce faire, il est nécessaire de bien prendre garde à nos pensées, celles-ci n'étant peut-être pas les nôtres dans notre version la plus élevée...

* Cf. Fabrication de l'illusion et voie de sortie.

Cf. L'expérience émotionnelle.

 

Des trois cerveaux

La réalité est que 3 cerveaux communiquent et échangent constamment des informations, tout en étant autonomes. Ces trois zones possèdent toutes des neurones !

Il y a d'abord le cerveau au sens courant, celui qui dirige les idées et la connaissance. Il est le fruit de la culture intellectuelle, qui se répartit grâce à ses trois zones : cortex, limbique et reptilien. Il contient 100 milliards de neurones. Concernant la mémorisation génératrice des souvenirs, c'est l’activité cérébrale nocturne et le comportement diurne de l’hippocampe, la partie du cerveau impliquée dans les émotions, l’apprentissage et la mémoire à court et à long terme, qui la favorise. Les neuroscientifiques ont ainsi constaté que le fait de réfléchir aux événements de la vie peu de temps après leur survenue augmente la probabilité de les graver dans la mémoire à long terme, et ce même si ce sont les bouffées inconscientes d’activité électrique du cerveau qui sont à l’origine de ce processus.

Ensuite, il y a le cerveau dans notre cœur, qui digère les émotions. Son rôle est de gérer au plus près le rythme cardiaque, le fonctionnement du cœur. Il contient 40.000 neurones. Le cœur est donc un réseau de nerfs et de neurones réagissant aux émotions positives et négatives, et qui, tout comme le cerveau, est à même de mémoriser les pensées et les émotions. Il en découle que chaque seconde, l’équilibre de notre cœur influence notre cerveau. De ce fait, si nous arrivons à maitriser nos battements cardiaques, nous pourrions contrôler notre cerveau.

Enfin, il y a le cerveau dans notre ventre, localisé dans le tube digestif (de l’œsophage au rectum), dit cerveau viscéral*. Son rôle est de digérer les aliments et de contrôler les fonctions digestives (le mot "intestin" vient du latin et signifie "intérieur", au même titre que le mot "entrailles", de la même famille, signifie aussi "intérieur"). Il contient 200 millions de neurones, étant en communication avec le cerveau de l'esprit par l’intermédiaire du nerf vague. D'ailleurs, l’anagramme de "tripes" c'est "esprit" !

* Cet autre cerveau est appelé le système nerveux entérique (SNE). Le tube digestif est en fait le second organe neurologique de notre corps, produisant via l'intestin de 70 à 85 % des cellules immunitaires de l’organisme. Sur 10 communications entre le cerveau et l’intestin, 9 sont émises par le tube digestif.

 

Du transit intestinal, ou le parcours initiatique du Vivant

Dans la tradition orientale, le ventre joue un rôle majeur, ce qu'illustre la pratique des arts martiaux ou du ventre proéminent dans le bouddhisme. Il est considéré au centre de l'être, ce que l'on sait. En effet, chez les humains, la Vie prend son départ dans le ventre, entendant que le plexus solaire, au creux de l'estomac (le 3ème centre énergétique ou chakra en sanskrit), est lui-même un cerveau, mais inversé, la face miroir du cerveau de l'esprit. Si dans le cerveau la matière grise est à l’extérieur de la matière blanche à l’intérieur, c’est l’inverse dans le plexus solaire. La matière grise, constituée par les cellules nerveuses, permet de penser, tandis que la matière blanche, constituée par les fibres nerveuses, permet de sentir. Aussi c'est grâce à sa matière blanche située à l’extérieur que le plexus solaire sent tout ce qui se passe dans l’organisme, dans toutes les cellules. Et c’est pourquoi il peut sans cesse s’occuper de rétablir l’équilibre.

La vie de l'humain a en un premier temps son siège au fond de nos entrailles, lieu de tous les désirs et de toutes les peurs viscérales, centre de toutes nos voracités. Qui n'a jamais eu "la peur au ventre" ? Au contraire, avoir du courage, n'est-ce pas vulgairement "avoir des tripes" ou bien encore "avoir du cœur au ventre" ?

Et pour ceux qui ont la "FOI(E)", il est dit dans la Prière de la vierge-Marie "le fruit de vos entrailles est béni". Est associé de cette manière le labyrinthe intestinal (Cf. image) à la constellation de la Vierge, image du ventre qui opère une gestation. C’est par l’intestin, lieu de transit intestinal, que la Vierge accède au mystère. Il nous indique de cette manière le parcours initiatique qui s'en vient, puisque nous passons notre vie intra-utérine lové dans les intestins de notre mère avant que de venir au "monde", terrestre il va sans dire...

 

La glande pinéale, l’œil du cerveau

Cette glande petite et grise se situe à l'endroit où la moelle épinière vient se rattacher à l'encéphale, partie du système nerveux contenue dans la boîte crânienne, comprenant le cerveau, le cervelet et le tronc cérébral. Elle est le transmetteur de pensées, nommée en anatomie épiphyse. Elle est essentielle au rythme du sommeil et du réveil, et à la préservation du système immunitaire. Elle est en relation avec la glande dite Pituitaire, ou corps pituitaire, nommée en anatomie hypophyse, autrement dit le récepteur de pensées, point de contact à l’intérieur du cerveau, qui active tant la capacité de recevoir des formes-pensées d’autrui, quelle que soit la distance, que de construire des formes dans l’éther (le champ de Conscience universel).

Ce couple récepteur-émetteur constitue ainsi notre "Système de TV intégré", conduit énergétique relais entre le corps physique et l'Univers, constitutif du "corps astral", l'âme, comparable à un câble de fibre optique. C'est pourquoi dans le cortex encéphalique la glande Pinéale est le relais de l'âme, qui transmet la lumière telle le Soleil, d'où sa nature électrique (+), masculine (l'impulsion). La glande Pituitaire est quant à elle l'expression de la personnalité humaine, qui peut en modifier ou réfléchir les visions, telle la Lune, d'où sa nature magnétique (6), féminine (l'intuition). Ceci signifie que pour que la réflexion humaine soit possible, elles ont toutes deux nécessité d'être au bon endroit, en bon alignement, donc en parfait état harmonieux de marche, tout particulièrement par l'évitement du mercure (au moyen de l'iode) et des glucides... le bon fonctionnement du système endocrinien passant par un travail approprié pour leur éveil *, leur connexion avec le système nerveux cérébrospinal, et l'établissement d'une relation avec le monde intérieur dit subtil. Ceci explique que la stimulation des centres énergétiques (les chakras par les orientaux) porte en priorité sur les trois chakras majeurs de la tête : le chakra couronne (Épiphyse) pour la glande Pinéale, le chakra frontal ou du 3° Œil pour la glande Pituitaire (Hypophyse), et le chakra laryngé (Thyroïde) pour agir efficacement sur le chakra mineur dit alta-major (moelle épinière), synthèse de l'énergie nerveuse.

* Cf. L'état de cohérence, voie de sa liberté.

Présentation complémentaire dans Le processus création décodé.

 

Quel regard portons-nous ?

Un million de nerfs optiques relient l'œil au cerveau, réseau établi tout au long de la croissance intra-utérine jusqu'à l'ajustement parfait de leurs fonctions respectives. Cette complexité, supérieure à la technologie de nos appareils de photo et caméras les plus sophistiqués, télescope et microscope électronique compris, et la structure parfaite de l'œil par lui-même excluent toute théorie évolutionniste et de hasard. Cette spécificité perfectionnée complexe explique que le symbole de l'Œil est un des plus prisés et utilisés dans les rituels et cérémonies de la Tradition initiatique (ainsi l’Œil d’Horus chez les Égyptiens - image 4), ou les confréries initiatiques à caractère occulte comme la Franc-Maçonnerie (le troisième Œil du modèle pyramidal - image 5)*.

La rétine et ses quelques 137 millions de cellules sensitives est capable d'analyser les photons qui traversent la cornée en une fraction de temps et chacune de ces cellules individuellement connectées au nerf optique transmet son information à 450 000 km/h au cerveau à partir de l'analyse du flux de ces signaux traités par millions à la seconde. Celui-ci redresse l'image de 180° et la traite à raison de 10 milliards de calculs par seconde. Un ordinateur de type Super Cray nécessiterait plusieurs minutes pour traiter ce qu'analyse en 10 millisecondes un seul de ces nerfs optiques rattachés à une cellule de la rétine, et un siècle pour la totalité de ce que traite simultanément les 137 millions de connections du réseau optique humain. L'iris, qui joue le rôle de diaphragme, est contrôlé automatiquement. La cornée possède juste la bonne courbure. La lentille est focalisée par des muscles miniatures qui sont eux aussi contrôlés automatiquement grâce à un processus de feed-back. Le résultat final de ce système visuel, encore imparfaitement compris dans son ensemble, est une image nette, tridimensionnelle et en couleurs à l'intérieur du cerveau, image que nous percevons pourtant comme étant extérieure : nous ne voyons jamais la vraie réalité, mais seulement une image interne de celle-ci que notre cerveau nous concocte continuellement.

En regardant un autre être humain droit dans les yeux, nous pouvons remarquer son état intérieur. Cette mesure repose sur des milliers de calculs, cette complexité pouvant se réduire à remarquer simplement ce qu'il y a à remarquer sans pour autant perdre de sa finesse. Encore faut-il être éveillé pour en percevoir la justesse, tout comme celle de la réalité de notre univers ...

* Cf. La nouvelle religion universelle & Le modèle pyramidal décodé.

L'Oeil Moaï (image 2) évoque l'utilisation du symbole de l’œil dans les anciennes civilisations (Inde, Yucatan, îles du Pacifique, Égypte...), faisant le lien avec la précédente engloutie, l'Atlantide. Les yeux des Moaïs que l'on a retrouvés sur l'Île de Pâques possédaient des yeux blancs fait de coraux, l'iris rouge étant en tuf volcanique ou noir obsidienne. Ils indiquent la provenance du pouvoir spirituel, le "mana"*. Il est le symbole de l'union des qualités solaire et lunaire, faisant référence à l'état édénique, "monde parallèle" à un niveau bien plus subtil que notre troisième densité terrestre.

Dans la mythologie grecque, Hypnos (en grec ancien Húpnos - image 3) est le dieu du sommeil, connu chez les Romains sous le nom de Somnus*². Il est également considéré comme le gardien de la nuit, qui reste éveillé quand le monde est endormi (le prédateur asservisseur nous maintenant dans l'hypnose). Il est en effet le fils de Nyx, la Nuit, et le frère jumeau de Thanatos, la personnification de la Mort, soit la binarité limitante de nos deux yeux non "ouverts" à la vraie Réalité. Sur les tombeaux, il désigne l'éternel Sommeil. Il est aussi le père de Morphée, dieu des rêves. Il peut endormir aussi bien les hommes que les (faux) dieux, y compris Zeus, le dieu des dieux de la Matrice astrale...

Le message est clair. Tant que l'être humain est endormi à Qui Il Est, il regarde le monde de manière hypnotique par la prédation archontique qui le manipule et l'asservit, ce qui le conduit dans la cyclicité entropique de la Matrice asservissante entropique car mortifère. Ce n'est qu'en sortant de sa léthargie, par l'ouverture de son œil spirituel - l'appel du Soi supérieur par l'âme réunifiée - qu'il peut regarder Qui Il Est et Ce Qui Est à l'endroit et s'extirper du piège de la Matrice de 3ème dimension de réalité.

* Les Hawaïens disent que leur maison est là où est leur mana, c'est-à-dire leur force, leur pouvoir. Ils se sentent en meilleure santé et plus heureux dans leur pays d’origine. La physiologie humaine est en effet conçue et réglée sur un certain niveau de gravité et d’électromagnétisme et les éléments chimiques utilisent ces facteurs pour un fonctionnement optimal. En l’absence d’influences gravitationnelles et électromagnétiques, les systèmes ne sont pas optimisés. L'être humain est génétiquement conçu pour cet endroit qui tient compte des différences de gravité, différences dans l’atmosphère, l’électromagnétisme... C'est pourquoi certaines personnes qui se sentent très mal dans un nouveau pays où elles vivent, se sentent mieux quand elles rentrent chez elles.

Selon Hésiode, il vit dans les terres inconnues de l'Ouest ; chez Homère, il habite Lemnos.

 


Le message d'Alice

Alice in Wonderland ("Alice au pays des merveilles") est le 17e long-métrage d'animation. Sorti en 1951, il est l'adaptation du roman de Lewis Carroll "Les Aventures d'Alice au pays des merveilles" (1865) et de sa suite "De l'autre côté du miroir" (1871). Une nouvelle version mélangeant prises de vues réelles et images de synthèse sera réalisée par Tim Burton en 2010.

Ce riche conte initiatique voit une jeune fille découvrir la puissance de sa personnalité intérieure, établissant le parallèle avec notre propre éveil de conscience à travers la compréhension du fonctionnement de notre corps biologique et l'information dont nous le nourrissons (nourriture et pensées). Le lapin blanc* est la glande pinéale, oppressée dans le rapport au temps dans notre réalité tri-dimensionnelle, libérée lorsque nous franchissons les barrières de l'espace-temps et passons d'un monde à l'autre. C'est pourquoi transcender nos peurs et privilégier la qualité de notre sommeil hors substances toxiques (psychotropes, médicaments anesthésiants) est déterminant pour rencontrer par les songes le merveilleux - l'Esprit - et y puiser la guidance éclairée de notre âme.

* Nous le retrouvons également dans les films "Qui veut la peau de Roger Rabbit" de Robert Zemeckis (1988) et "Matrix" des sœurs Wachowsky (1999).

 


La conscience

 

De la manipulation génétique par nos maîtres prédateurs généticiens

La nature de conscience actuelle de l'être humain est sujette à désorientation et métamorphose des réalités "d’ailleurs", en raison de sa croyance dans le temps chronologique/linéaire et dans l'uni-dimensionnalité. Elle découle de la manipulation effectuée de son ADN originel par de l'ingénierie biogénétique, technologie maîtrisée par ses maîtres généticiens situés dans la 4ème dimension de réalité, le corpus prédateur des Forces involutives. C'est en insérant délibérément à l'intérieur des gènes un segment de code d'ADN non traduit en protéines, autrement dit non codant, qu'a été tronqué le flux de liquide émetteur chimique (les neuropeptides), ayant pour conséquence une combinaison liante à même de déverrouiller des portions importantes de l'ADN pour assurer la réceptivité des ondes de basses fréquences. Celles-ci contiennent inévitablement des virus, entraînant des maladies et dégénérescences sous différentes formes. Ces manipulations génétiques ont aussi servi à générer la non-confiance, la méfiance, la suspicion, autant de fréquences de résonance de la peur destinées à submerger l'être humain pour qu'il ne puisse pas percevoir ni chercher à comprendre la nature de la réalité qui constitue son environnement quotidien. Il en découle que la plupart des humains sont devenus très facilement manipulables par leurs croyances dans les idéologies distillées, les élites institutionnelles gouvernantes profitant de cette faiblesse. L'objet de cette manipulation est bel et bien de susciter un démantèlement psychologique et social de masse, qui conduit une frange largement majoritaire de la population dans l'insécurité, la non-confiance en soi, la suspicion envers l'autre, et la peur paralysante. Ces individus inconscients de Ce qu'Ils Sont vraiment sont ainsi conduits à toujours remettre leur avenir personnel entre les mains d'une "autorité extérieure", qu'elle soit religieuse, politique, et toute autre nature institutionnelle. C'est de cette manière que sont contrôlées toutes les strates de la société humaine dans le monde, expliquant leur inévitable corruption.

 

Dans le langage courant, ainsi que dans la littérature philosophique, on attribue au mot conscience des significations différentes. Il est suivi parfois de qualificatifs, telles que des expressions comme "super-conscience" ou "conscience cosmique" sinon "divine". C'est ainsi que l'évêque russe Théophane dit l'Ermite ou le Reclus (1815/1894), connu pour ses ouvrages de vie spirituelle, a dit que "la voie vers la perfection est la voie vers la Conscience".
L'être humain ne possède pas en fait la Conscience, ce que nous appelons conscience n'étant que l'une de ses dérivées qui lui est accessible en son état limité par la densité physique de sa dimension de densité d'appartenance, la "3-D". Par là-même, il y a dans la Tradition en tout quatre niveaux de conscience : la Conscience dite absolue, la Conscience du Moi réel, la Conscience de veille et la Subconscience.
Cette dernière est la conscience "crépusculaire" - ainsi celle résidant dans le sommeil ou à l'état de veille -, qui contrôle l'organisme sans interruption aucune. Il en résulte les réflexes, et d'une manière générale les fonctions de la vie instinctive. Sa force ne dépend pas du niveau culturel de l'individu, expliquant que les êtres "primitifs" ou élémentaires ont souvent une conscience de leur corps plus forte que les "intellectuels".

Au niveau supérieur, la Subconscience est la conscience de soi, autrement dit conscience du Moi réel. Éveillée ou non, elle est la  conscience diurne de la Personnalité. Les cas pathologiques mis à part, son ampleur et sa force se développent avec le
développement culturel de l'individu. C'est la conscience subjective du Moi, la conscience du Moi réel étant la conscience de l'Individualité, autrement dit la conscience objective du Moi individuel. Au plus haut niveau, la conscience est la conscience de l'Absolu.

 

Du Moi

L'homme extérieur a trois Moi : le Moi du corps (nature physique), le Moi de la Personnalité (nature psychique) et, en puissance, le Moi réel (nature spirituelle).  Si c'est le Moi réel qui devrait assumer la responsabilité du commandement de tout le système, depuis la "chute d'Adam"* il a été relégué à l'arrière-plan de la conscience de veille, dominé par le Moi psychique de la Personnalité. Or, celui-ci, qui commande pour ainsi dire par intérim, manque singulièrement d'unité.  Changeant, flottant, multiple, transgressif, il ne peut agir que de manière désordonnée.  Si bien que le Moi du corps, qui, normalement, devrait obéir au Moi psychique, lui impose fréquemment ses propres mobiles, expliquant le manque de suite logique dans les idées comme dans les actes, l'être humain passant ainsi sa vie d'actions en réactions et de réactions en actions. C'est ce décousu qui sert fréquemment de trame aux productions des romanciers et dramaturges...

* Cf. Le Judaïsme décodé & Vérité civilisationnelle.


La conscience du Moi réel est ainsi le seul point permanent qui existe en l'être humain. De nature passive, elle se cache derrière notre Personnalité - le "non moi" - toujours changeante, toujours entraînée par le torrent de pensées, de sentiments, de passions ou de sensations qui passe par elle et qui engage l'homme tout entier dans des actes souvent irréfléchis qu'il réprouve, parfois, par la suite. Ce point permanent est l'Arbitre impartial qui juge en nous nos propres actes, dont la voix faible, susurrée, est souvent couverte par le vacarme intérieur, les événements et le déni. Cette forme évanescente de la conscience du Moi réel est toujours juste et objective, à même d'avertir l'être humain d'une tentation des forces prédatrices du champ astral qui agissent en lui source de danger. C'est sa présence en nous qui rend possible l'évolution de conscience vers la Conscience. Mais tant que l'homme demeure sûr de lui-même et tant qu'il est encore satisfait de lui, il continue à vivre dans l'absurde et l'inconséquent, prenant ses désirs et ses illusions pour des réalités. Son Moi réel est instable, changeant, factice, sans suite dans les idées et dans les actes, car la conscience de sa véritable nature est fractionnaire.

C'est pourquoi il lui faut passer par la faillite, par un écroulement moral, pour se réveiller et sortir de son rêve chimérique et de ce fait chaotique. C'est seulement lorsqu'il commence à chercher dans ses noires profondeurs la corruption qui s'y trouve qu'il peut découvrir les raisons de l'indispensable travail de transmutation* sur lui-même et acquérir les forces nécessaires pour le faire. Sinon, il tend vers le zéro, le néant qu'est la mort : "car tu es poussière et tu retourneras dans la poussière" - Genèse, III, 19...

* Cf. Le chemin alchimique & Processus de transformation de conscience (1). Il n'y a pas de possibilité de passer directement du savoir au savoir-faire de ce travail, et ce quelle que soit l'intensité du désir ou de la volonté émise. Car si l'acquisition du savoir est relativement facile, l'acquisition de l'être est sensiblement plus difficile. La formule qui en permet la réalisation est un enchaînement qui, sur la durée, permet de passer d'une forme passive à une forme active : savoir — être — comprendre être — comprendre — savoir-faire.

De l'indispensable travail sur les parasitages du Moi

L'état chaotique du Moi de la Personnalité est fonction de trois éléments : le nom attribué ; l'expérience fixée par la mémoire ; la faculté de se mentir et de mentir aux autres. Depuis l'enfance et l'adolescence, le nom (et prénom) correspond à la représentation que l'homme se fait de lui-même, y attachant parfois une image idéale de soi, de ce qu'il aspire à être ou à devenir. C'est pourquoi il s'accroche à son nom comme à une planche de salut. La mémoire quant à elle est directement fonction de l'être de l'individu. Plus le niveau de l'être est élevé, plus la mémoire est forte et plus sa capacité de contenir est grande. C'est pourquoi la perte de la mémoire, qui entraîne la perte de la notion du nom et de tout l'ensemble qui s'y rattache, fait de l'homme "normal" un fou. Enfin, la faculté de mentir aide de manière substantielle à donner à sa vie l'apparence de la continuité, afin de l'empêcher de devenir impossible en raison des chocs et des conflits auxquels il nous faudrait faire face. Les mensonges servent ainsi de tampons pour adoucir les chocs, tels les mécanismes de rationalisation ou de justification constitutifs d'agents du "replâtrage", d'auto-tranquilisateurs, maintenant l'individu en situation d'anesthésie mentale, d'hypocrisie vis-à-vis de lui-même*.

Pourtant, pour devenir vraiment véridique, l'être humain n'a pas d'autre choix que d'entreprendre un travail assidu sur lui-même pour éradiquer les parasites ingérés par ses maîtres généticiens prédateurs pour le maintenir dans les sables mouvants ou dans une tente ouverte aux vents et aux tempêtes, asservi à sa geôle-prison contre-existentielle, la Matrice involutive*². Il doit devenir Qui Il Est vraiment, en regardant en face la Vérité !

* Si nous vivons dans un monde plongé dans le mensonge et mû par le mensonge, il est nécessaire de distinguer ceux qui sont indispensables, inévitables ou simplement utiles, et ceux qui ne le sont pas. L'entraînement consiste à lutter énergiquement contre les mensonges inutiles pour parvenir progressivement à maîtriser en soi la tendance enracinée à mentir. Il est à remarquer que le Décalogue (les Dix Paroles pour le judaïsme ou les Dix Commandements pour le christianisme), qui impose à l'homme des commandements observables, ne lui interdit de mentir que dans un petit secteur des relations humaines, celui du faux témoignage, et encore lorsqu'il est porté contre son prochain.

Cf. Compréhension structurelle de la Matrice asservissante.

 

Du dialogue intérieur

Le Dr Marius Romme, psychiatre néerlandais, chercheur à l’Université de Limburg à Maastricht aux Pays-Bas, ainsi que le Dr Dirk Corstens psychiatre, sont parmi les rares chercheurs qui considèrent comme Carl Gustav Jung que le dialogue intérieur est une des propriétés de l’inconscient, dès lors parfaitement naturel. En 1987, Marius Romme et la psychiatre Alexandre Dorothée Marie Adriaan Charlotte dite Sandra Escher, décidés à s’écarter de la psychiatrie traditionnelle qui considère que d’entendre des voix est une maladie, ont fondé le mouvement des "entendeurs de voix", nommé Intervoice, avec pour objectif d'aider les individus à accepter les voix intérieurement entendues et à leur donner un sens, contribuant ainsi depuis 50 ans à un grand changement dans la façon dont on considère et aide les personnes qui vivent ce phénomène humain.

Entendre des voix ne doit pas être pensé en tant que pathologie que l’on se doit d’éradiquer, mais comme une expérience riche de sens à interpréter, intimement liée à l’histoire singulière de l’entendeur de voix. Et c'est pourquoi Intervoice a adopté la même position que le médecin psychiatre suisse Carl Gustav Jung, celui-ci considérant qu'entendre des voix n’est pas en soi une maladie.

Toutefois, l’expérience de Rosenhan* est là pour nous le rappeler, sa conclusion étant qu’il n’est pas aisé de distinguer les personnes saines des personnes atteintes d’aliénation mentale dans les hôpitaux psychiatriques. Elle a également illustré les dangers de la dépersonnalisation et de l’étiquetage dans ces établissements. Entendre des voix que les autres n'entendent pas est une expérience significative. De la même façon que les rêves, ces voix font partie intégrante de l’histoire personnelle des personnes concernées. Pourtant, dans les services de santé mentale, le modèle dominant veut que les soignants ne se préoccupent que de la présence ou de l'absence des voix, et pas du tout de leur sens. Aussi les "entendeurs de voix" sont des précurseurs dans l’entraide en psychiatrie. Il s’agit non plus d’être dans une relation de fuite avec les voix, mais au contraire d’en faire des alliés bienveillants.

* Cette expérience, quoique controversée, fut menée par le psychologue David Rosenhan en 1973, portant sur la validité du diagnostic psychiatrique. Son étude, publiée dans la revue Science sous le titre On Being Sane in Insane Places ("Être sain dans des lieux qui ne le sont pas"), est considérée comme une critique importante et influente des diagnostics psychiatriques. D'où sa renommée.

 

Le calage spatio-temporel

 

L'être humain évolue dans une structure combinant l'espace (la réalité tri-dimensionnelle ou 3-D) et le temps (4-D), limitée au champ astral et de ce fait inaccessible au champ divin hors transcendance. Cette structure étant tronquée*, il doit pour exploiter tout son potentiel de co-créateur en dépasser les limites. Cela s'appelle la transcendance intérieure, ou l'ascension de conscience*².

* Cf. La falsification de la réalité en 3-D & Compréhension structurelle de la Matrice asservissante.

Cf. Le chemin de l'Ascension.

 

Fonctionnement général de l'Espace-Temps

 

Le temps linéaire de notre monde tridimensionnel est la partie temporelle rivée à l’espace (monde quadridimensionnel) où tout n’est que réaction. Une réaction en entrainant une autre, un historique se crée, permettant ainsi de parler de passé, de présent et de futur. De son côté, le temps intérieur, celui qui se passe en nous, en notre cœur, n’est rattaché à aucune matière directement. Il permet les voyages dans le temps car seul le présent existe. C'est pourquoi la vision mentale de la quasi-totalité des scientifiques concerne la pyramide masculine de l’Espace-Temps (figure bleue avec pointe vers le haut) où on cherche à transporter de la matière dans un temps linéaire qui n’est qu’action et réaction.  A la différence de la pyramide temporelle qui, typiquement féminine (figure rouge avec pointe vers le bas), voit le règne total de l’éternel présent, appelé temps fractal*.

* Une figure fractale est un objet mathématique, telle une courbe ou une surface, dont la structure est invariante par changement d'échelle.

 

Ainsi la figure géométrique de l’Espace-Temps (octaèdre) se décompose de la façon suivante :

. Pyramide du Temps (grand cône rouge avec la pointe vers le bas dans l’Espace) : le Temps dit fractal, soit l’éternel présent, et le Temps extérieur, linéaire, que nous ressentons de manière objective avec les notions de passé et de futur ;

. Pyramide de l’Espace (grand cône bleu avec la pointe vers le haut dans le Temps) : la matière visible, mesurable car objective, et le Temps intérieur non linéaire, ressenti dans la matière de manière subjective.

La raison d'être de ce couple indissociable est que le Temps, par l’information qu'il transporte*, permet de transformer l'Espace, la matière. Aussi nécessite-t-il de comprendre comment allier les forces du cœur (l’intelligence du cœur, l’intelligence intuitive) afin de modeler la matérialisation selon son gré*².

* Cf. Univers en partage.

Cf. Le processus création décodé.

 

Fonctionnement optimal de l'Espace-Temps

 

Relié au grand champ de conscience universel, le Temps est la dimension intemporelle au sein de laquelle se trouve toute l'information disponible sous forme de particules élémentaires (atomes) nécessaire à la réalisation de nos créations. Nous y accédons de façon optimale lorsque nous avons réussi à équilibrer en nous nos polarités masculine (impulsion électrique) et féminine (réceptivité magnétique), ce qui passe par le calme du mental/intellect comme de l'émotionnel.

Relié à la Terre, l'Espace est la dimension de notre expression identitaire par la pensée, la parole et l'action. Ce sont les impulsions de notre corps (énergie sexuelle et sanguine), de notre Moi spécifique (l'égo), et de notre esprit (mental nourri par nos émotions).

Le point d'équilibre, dit point zéro, est atteint par la paix du cœur, autrement dit de notre Âme réunifiée libérant l'Esprit, notre Soi supérieur.

 

De la non-séparabilité

La non-séparabilité quantique, ou la non-localité, est la théorie physique qui repose sur la notion d’enchevêtrement ou intrication quantique. Elle établit que des particules atomiques restent liées entre elles, et ce quel que soit leur éloignement. Par exemple, deux électrons qui ont interagi dans le passé se comportent ensuite de façon concertée, c'est-à-dire donnant des résultats corrélés si l’on mesure l’un d’eux..., même s’ils sont aux deux extrémités de l’univers à cet instant ! C’est comme si ces électrons "jumeaux" gardaient de leur passé commun un lien invisible et non affecté par la distance. Ce lien est une sorte de trace mémorielle du passé.

Pour les physiciens qui ont découvert et vérifié son existence, ce phénomène est totalement mystérieux en raison de sa nature non physique. C'est pourquoi la non-séparabilité n’a jusqu’ici reçu aucune explication autre que suppositoire. Mais comment peut-il en être autrement si elle est une "supralité" qui vient d’un "psi" (l'esprit éthérique) dont la science académique ignore ou nie l’existence ? Pour celle-ci, on ne peut comprendre un phénomène sans avoir accès à ses causes.

La supralité soude ou rattache le 'psi' de la particule élémentaire à un 'psi' collectif, c'est-à-dire à un champ non-local. Ce champ de "supra-conscience" est à rapprocher de notions telles que les annales akashiques* des Hindous, l’inconscient collectif du psychiatre Carl Gustav Jung et les champs morphogéniques du chercheur en biochimie, physiologie et parapsychologie anglais Rupert Sheldrake. La psychomatière est par son 'psi' reliée au tout de l’univers. Elle est comme le champignon qui, par son mycélium discret étalé dans le sol nourricier, est relié à plus vaste que lui-même. En conclusion, toute particule de psychomatière s’apparente à l’œuf dur et au champignon. A l’œuf dur, parce que son 'psi' est, comme le jaune, masqué. Au champignon, parce que les liens suprals, tels les filaments du mycélium, le prolongent de façon inapparente.

* Cf. Le cheminement de l’Âme.

Voir en complément les travaux du polytechnicien chercheur indépendant Emmanuel Ransford, épistémologue et spécialiste de physique quantique.

 

De l'interface entre l'information cosmique et notre réalité terrestre

L’interface entre l’information du champ cosmique et notre réalité terrestre repose sur la structure mathématique des molécules du corps biologique, que l'on nomme chiralité. Ce concept chimique exprime leur latéralité dans les deux sens opposés, lévogyre (le plan de polarisation de la lumière tourne vers la gauche d'un observateur qui reçoit la lumière) ou dextrogyre (ce plan tourne vers la droite). Ce sont les mêmes composants, les mêmes atomes, qui si chimiquement sont identiques, géométriquement sont différents. Ils sont du fait de cette propriété comme des images miroirs les uns des autres. Ces deux parties des molécules sont presque exactement les mêmes, seule la chiralité étant différente. Il en découle que leurs propriétés sont totalement différentes : l’une peut être un poison, et l’autre peut être très bénéfique. Elles sont l'une et l'autre miroir réciproquement. 

L'univers a une chiralité préférée, celle permettant d'exprimer le Vivant et non la Mort. C'est pourquoi notre ADN a une chiralité préférée. Mais comme les propriétés du symbole géométrique ne sont pas absolues, mais relatives à notre environnement, seule la conscience permet d'en assurer la bonne fréquence de résonance dans la captation des informations (structures géométriques à la base) en provenance du champ cosmique, celles-ci étant par nature relatives de par la dualité actionnée par des forces énergétiques positives, bénéfiques, et leur indispensable pendant négatives, maléfiques. Ceci entend que les informations qui nourrissent et constituent un chemin vers la voie évolutive dite "Service d'Autrui" sont perçues, comprises ou reçues différemment par quelqu’un sur la voie involutive dite "Service de Soi". Certains en effet aiment l’obscurité, d'autres aiment la lumière... La 3ème dimension de densité terrestre est bel et bien la plus difficile en raison de la présence d’un équilibre potentiel de la conscience et de la matière, et donc de la dualité*.

* C'est ainsi par exemple que la montée continue d'individus "trans", d'hommes qui s’identifient comme femmes et de femmes qui s’identifient comme hommes, est un reflet du chaos et de l’entropie en cette fin de cyclicité civilisationnelle. Elle contribue par là-même à une augmentation de la désintégration et la destruction de l’âme.

 

Du décodage des informations

La manifestation de la conscience est une fonction de la nature algébrique du champ cosmique entre ses différentes dimensions de densité, régissant les propriétés géométriques des particules élémentaires porteuses d'informations, qui sont des codes (les codes, stockés en tant qu’information, s'expriment comme énergie sous forme de vagues). Elle en permet le décodage, de manière inconsciente ou consciente lorsqu'elle est éveillée. Cette théorie de l’information repose sur l'envoi de l’information. L’exemple le plus simple est le téléphone, qui voit l'émetteur comme le récepteur se parler, échanger, leurs mots étant transformés ou encodés en signaux électroniques qui voyagent à travers la ligne. Ils sont décodés par le téléphone à chaque extrémité. Si le téléphone est la partie mécanique, ce décodage est lié également à l’information qui existe dans la tête de chaque personne qui parle, exprime des mots, ceux-ci étant codés comme décodés par la machine en sons et qui font des mots. S’il y a de l’information dans une autre dimension et que cette dimension est potentiellement quelque chose à laquelle notre subconscient profond est connecté, alors nous pouvons accéder à cette information. Nous pouvons la décoder, même si c’est inconsciemment.

La gravité, soit la conscience, est comme le code ultime ou l’information ultime, l’électromagnétisme étant son expression d’information. Seuls les divers traumatismes reçus* empêchent l'être humain la pleine maîtrise de ce processus.

* Cf. livre de Laurence Heller et Aline LaPierre "Guérir les traumatismes du développement" complété par les travaux du psychologue et écrivain américain Stanton E. Samenow pour atteindre la capacité de recevoir par la connaissance de son style de survie et de ses erreurs de pensée afin de pouvoir les surveiller.

 

Contrairement à l'enseignement religieux ou spirituel (New Age bouddhiste ou hindouiste) dispensé, l'objectif n'est pas de "monter au Ciel ", mais de nous élever en conscience pour mettre en œuvre notre pouvoir créateur dans la matière. Il s'agit de démarrer le moteur central, celui de l’Humain et de ses deux propulseurs. Pour ce faire, nous avons à dépasser le jeu de la dualité, source de séparation, de division, et d’être en équilibre permanent entre ses deux forces opposées - le masculin et le féminin - toutefois complémentaires*. Le parfait équilibre et l'harmonie entre Terre et Ciel qui en découlent apportent sans coup férir ce pouvoir de création. Nous restons bien dans le système spatio-temporel, mais qui sera d’autant plus flexible que nous nous sommes allégé de tout ce qui nous alourdissait (turbulences psychiques et émotionnelles). Il y a ainsi une corrélation totale entre la gravitation et la vitesse à laquelle nous tournons, que l’on appelle tout simplement notre fréquence ou taux vibratoire.

Dit autrement, quand nous sommes dans le moteur de la dualité, dans le moteur de l’Humain au sein de la pyramide de l'Espace, notre corps physique comme énergétique nous envoie des impulsions de reproduction, de sexe, d’alimentation, de pouvoir, de survie... que doit gérer l’égo-mental. Nous sommes constamment soumis à des demandes que l’on ne peut ignorer, ce qui entraîne des problèmes d’équilibre. Il en découle de la fatigue mentale et des turbulences émotionnelles. En passant dans la partie vibratoire du moteur de l’humain, celle de la 4-D (dimension Temps), des informations nous parviennent via les ressentis, la petite voix ou l’intuition. Cela peut nous apparaitre au début vaporeux, inconsistant, mais après un temps certain nous pouvons nous sentir guidé au point qu’un jour, nous y obéissons aveuglément tant ce qui en découle nous est bénéfique.

Il n'en demeure pas moins que nous avons à gérer les impulsions qui nous arrivent : celles liées à nos interactions avec autrui, celles qui remontent des mémoires de notre subconscient suite à des faits générateurs, celles qui découlent de notre vécu sociétal et qui déboulent à tout moment. Ce sont autant de turbulences atmosphériques (pluie, soleil, vent, nuages…) que nous devons contrôler et dominer avec doigté et douceur. Notre état de fluidité nous y aide, sinon c'est le chaos... C'est pourquoi prendre de l'altitude et rechercher les hautes fréquences en s'extrayant de la nasse poudrière est incontournable de l'état de paix. Nous ne pouvons en effet être à la fois dans les hautes fréquences en altitude et dans la volière où règnent des coqs forts en gueule, entourés de tas de poules ignorant qu’elles n’ont d’autres choix que de se faire déposséder (par les ordres reçus), de se faire plumer (par les institutions), et de se faire bouffer (par les religions).

C'est uniquement en écoutant notre Soi supérieur que nous pouvons être ce que nous sommes réellement.

* Cf. La dualité décodée.

 

L'égo, cœur et piège de l'individuation

 

Cf. en complément Décryptage de l'égo.

 

Avoir conscience du "UN", de l'Unité, entraîne obligatoirement la séparation d'avec l'"UN". Là réside l’égo, le "JE" qui perçoit des informations, les traite et les exprime. Il est le "Moi" identitaire qui représente l'épicentre de la réalité d'un individu, lorsque celui-ci n'est pas conscient de la guidance de son Soi supérieur, de son Âme unifiée*, c'est à dire lorsqu'il est coupé de la Conscience individualisée de la Source originelle.

L'égo n'est ni bon ni mauvais. Il est simplement la représentation qu'un individu se fait de lui-même et qui modèle sa personnalité (caractère, tempérament). Cette représentation n'est ni vraie, ni fausse. Elle définit simplement intrinsèquement l'individu dans sa dimension d'existence, fonction de son état de conscience du moment, et par là-même en détermine sa réalité. L'individu ne peut pas réellement se libérer de son égo, puisque les fonctions et la structure de l'ego changent de forme au fur et à mesure de ses acquis et selon les caractéristiques des dimensions d'existence dans lesquelles il évolue (la 3ème dimension n'a rien à voir avec la 5ème par exemple).

Toutefois, l'individu en 3ème dimension de réalité, le champ d'expression de l'humanité, est amené à devoir se libérer de l'emprise déstructurante de son égo, contraint par la dualité, s'il est appelé à expérimenter un changement dimensionnel dans le cadre de son évolution. C'est tout l'enjeu de la prise de conscience.

* Cf. Qu'est-ce que l'Homme ?

 

Le rôle de l'ego est donc de permettre à l'Âme dont il est le relais de se croire séparée du "UN", c'est à dire de se différencier de l'Univers qui nous entoure. Sinon cet Univers ne pourrait pas exister, puisqu'il n'y aurait personne pour en avoir conscience. Cela sous-entend que c'est notre conscience qui crée notre Univers, et c'est l'ensemble des consciences humaines qui créent la 3ème dimension. Il n'y a donc que la 3ème dimension – celle de l'illusion holographique créée par l'ensemble des consciences humaines – qui peut sembler "s'effacer partiellement" de la psyché lorsque notre conscience individuelle sort de son véhicule et se projette dans l'Univers (par le rêve par exemple). Ce qui implique que lorsque la conscience sort du corps, elle ne voit plus les corps physiques comme un véhicule matériel, mais les perçoit plutôt comme des formes énergétiques possédant des contours humains.

L'Univers lui-même, dans lequel l'ego existe simultanément sur de multiples plans d'incarnation*, ne peut donc jamais disparaître.

* L'illusion du temps linéaire crée les concepts de passé et de futur. Il n'y a qu'un éternel présent, qui explique par exemple que le cycle des incarnations terrestres est dans la même simultanéité, simplement sous forme de réalités parallèles. Ceci permet par la prise de conscience de réparer en temps réel des mémoires liées au "passé" comme au "futur" par le mécanisme de la rétro-causalité (Cf. Fin de cycle : la guidance éclairée de sa vie).

 

Le jeu de l'égo permet de concentrer et polariser la Conscience de l'Univers dans une dimension d'existence bien définie. Aussi l'ego peut à travers ses propres illusions mentales se laisser prendre à son propre jeu/Je. Cela peut aller jusqu'à persuader l'individu que le "Je" de son "Je suis" est la Source, puisque l'ego est obligé de par sa nature de s'identifier à ce qu'il perçoit. La confusion est ainsi magistralement organisée par tous ceux ayant intérêt à maintenir l'être humain dans l'illusion, soit en esclavage. Cette "méprise" se glisse implicitement dans la psyché des individus qui n'ont pas encore leur discernement assez aiguisé. Certains d'entre eux sont tellement imprégnés de l'idée qu'il ne faut pas donner de la force à des choses négatives ou que l'humanité est sur la voie de l'Unité*, de l'Amour, de la Fraternité... que ces individus souffrant du manque d'amour et hypnotisés par ces "philosophies magiques" du New Age deviennent des proies de choix pour ses pseudos enseignants spirituels, rien qu'en se laissant "dévorer" par l'illusion élaborée par leur propre ego.

Lorsque l'individu ignore tout de quelque chose, il lui devient impossible d'avoir du discernement ou même de se défendre contre ce quelque chose. La continuelle falsification de la vérité, les quantités de textes canalisés, les stages organisés par ces "philosophes spirituels" oubliant ou travestissant la réalité quant à la situation dans les mondes supérieurs, prouvent l'existence d'un programme de désinformation qui ne vient pas de ce monde, mais provient des dimensions de prédation supérieures, notre monde de réalité étant toujours lié à un état de conscience lié à une dimension supérieure (sinon nous tournerions en boucle).

* L'Unité est une "philosophie" dérivée de la théorie du champ Unifié, qui la détourne très ingénieusement de sa signification première. Le concept New Age a complètement transformé le mot Unité de son sens premier et l'a érigé en fer de lance de la manipulation mentale à l'échelon mondial.

 

La dénaturation sociétale de l'égo
La structuration pyramidale* de nos sociétés, plus encore depuis une bonne trentaine d’années, a développé un mode psychologique néfaste, en pleine expansion chez l’humain, qui conduit au développement de l’individualisme, des conflits, des colères, des haines, des combats, de la survalorisation personnelle, du dénigrement de tous ceux qui nous entourent et font opposition à nos projets, donc blessent notre Ego démesuré. Ancré au cœur de notre cerveau limbique totalement dominateur de notre conscience réfléchie, les modalités de ces ancrages psychologiques sont en effet traduites par le lobe gauche du cerveau en justifications argumentées de nos actes et pensées, comme en stratégies détournées et manipulatrices visant à dissimuler ces ancrages psychologiques personnels tout en veillant cependant à bien obtenir ce que nous voulons et en formulant des valeurs coercitives comme l’entraide, l’humanisme, le travail d’équipe, respect, etc.… Ceci constitue une image hautement officielle du moi, afin que personne ne puisse percevoir la vraie image intérieure de notre personnalité cloisonnée et ancrée au cœur de notre forteresse défensive et offensive, qui déstructure et désintègre le sens vrai de la vie.
S'il semble évident que la clef de l’entente cordiale et de respect passe par la reconnaissance de ses propres faiblesses et de ses points forts, de leur partage réciproque dans une communication ouverte par laquelle chacun doit s’impliquer à appliquer un principe clef "Que fais-je à d’autres autour de ma famille, mes amis, camarades… que je n’aimerai pas qu’on me fasse à moi-même ?", cette auto voire co-analyse source de véritable remise en question ouverte et partagée n'est pourtant pas mise en œuvre dans le fonctionnement sociétal, et en premier lieu au sein de l’éducation nationale. Celle-ci demeure arc-boutée sur son principe éducatif fondé sur la logique de la concurrence et du profit personnel (donc le principe perverti de l’économie en place), centrant son projet éducatif sur la simple progression de chaque élève, selon son rythme, avec une validation clairement affichée des objectifs atteints sans réelle valorisation ou sanction des comportements les permettant, par des notes plaçant les personnes concernées dans un esprit de compétition et de rivalité sans issue bénéfique à l’humanisme. Cette même logique qui devrait s’instaurer dans le monde du travail et de l’économie n'est pourtant pas celle retenue. Pour quelles raisons, quels intérêts ?

Cf. Le modèle pyramidal décodé.

 

L'ego étant très habile pour s'identifier à ce qu'il croit, l'individu doit d'abord expérimenter et vivre ses croyances pour apprendre et trouver les solutions de son évolution. Seule la connexion à son Soi supérieur le permet, base de la compréhension de ce que signifie véritablement la Conscience de l'Unité. Celle-ci est un état d'Être, un état de conscience qui n'est pas réalisable à une entité sous forme incarnée quelle qu'elle soit, tout simplement parce qu'il s'agit de l'état vibratoire intrinsèque de La Source originelle. Lorsque l'humain tente de se persuader lui-même qu'il est pur Amour, pure Lumière, Unité, Paix...  il s'agit-là de pure vanité et fausse modestie de l'ego...

 

Guérison de l'égo-mental par les synchronicités

Le recours à l'identification des synchronicités qui se présentent dans notre vie sous diverses formes symboliques permet de contrecarrer le mécanisme de l'esprit rationnel, basé sur un système de croyances qui se réfère uniquement à ce qui est visible dans la matière. Ainsi l'attention portée à des détails qui nous paraissaient autrefois totalement insignifiants sont d'une importance capitale, puisqu'ils sont toujours porteurs d'une information qui détermine un "conditionnement-programme" sous-jacent. Lorsque notre ego, rationnel et cartésien, refuse de voir le message, il se met en lutte contre la problématique, négligeant complètement son origine, qui pourrait être révélée par la symbolique. Cette opposition entre l'ego et la guidance de notre Soi supérieur prolonge automatiquement la problématique, puisque l'ego contrôleur l'amplifie alors de son énergie.

À partir du moment où notre ego, l'esprit rationnel, s'efface au profit de la guidance, nous n'avons plus à résoudre de situations conflictuelles ou difficiles de ce genre, puisque tout simplement, elles n'apparaissent plus jamais dans notre vie. Là est le secret du bonheur et de l'Ascension.

Cf. en complément Le processus création décodé.

 

L'émotionnel, le Graal de l'humain

 

L'émotionnel* représente la spécificité de l'être humain, propre à sa physicalité dans l'expérience de la matière, l’émotionnel étant lui-même en grande partie physique à travers les hormones et les neurotransmetteurs. La quête de ce trésor a entre autres été appelée "la quête du Graal" par la Tradition*², représenté par une coupe ayant soit-disant contenu le sang du Christ crucifié. Symboliquement, il contient les liquides humoraux de l'intérieur du corps (sang, lymphe et hormones provenant de la plaie du Christ et recueillis au moment de sa mort).

La crucifixion du "Christ" est tout simplement une métaphore de la mort de la résistance de l'égo, lorsque celui-ci s'est véritablement abandonné au Père Créateur, au Tout. Il entend que l'égo a compris qu'il n'était pas qu'un corps physique, et que la conscience humaine se prolongeait également sur des plans supérieurs de densité. Au moment de sa prétendue mort, la conscience du "Christ" a été propulsée dans une dimension supérieure, la 4ème dimension, lui permettant ainsi d'ascensionner*³. Par conséquent, "le Christ" avait compris qu'il n'avait pas encore rejoint Son Père, sa conscience devant d'abord transiter par des dimensions supérieures.

Autant dire que tout son enseignement initiatique a été détourné pour ne pas dire dévoyé par l'enseignement religieux, celui-ci laissant entendre l'accès direct au Très-Haut, contrairement aux lois physiques universelles.

* Cf. L'expérience émotionnelle.

Cf. Le Jeu de la Vie.

*³ Cf. Le chemin de l'Ascension.

 

La théorie du "Loosh", explicative de l'émotionnel nourricier de la prédation

Cette théorie est extraite de l’ouvrage de l'états-unien Robert Allan Monroe (1915/1995 - photo 1), créateur de l’Institut Monroe, intitulé Far Journeys (traduit par "Fantastiques expériences de voyage astral"). Elle donnerait la clé explicative de l'émotionnel humain, permettant à ce dernier d'exprimer sa singularité biologique créatrice tout en nourrissant, quand il ne la contrôle pas par la pleine conscience supra-mentale ou supra-astrale (le Soi supérieur), le système prédateur pour sa survie dans la 4ème dimension de réalité où il loge. Bien que partant d'un texte romancé, se cachent souvent derrière l'extraordinaire fantastique des clés majeures de compréhension volontairement cachées.

Le Loosh peut être défini comme une substance* rare en "Quelque Part", en l'occurrence l'énergie humaine produite sous forme émotionnelle et humaine. En d'autres termes, elle est initiée Quelque part par Quelqu’un ou par dizaines, centaines, milliers, millions... innombrables individus -autrement dit par les égrégores collectifs -, et ce à partir de la conscience sociale leurrée découlant des systèmes politiques, religieux, spirituels (sociétés secrètes, New Age...), scientifiques (le scientisme, ou la dictature de la pensée rationnelle), philosophiques (l'humanisme naïf des Lumières, "Je pense donc je suis"), économiques et culturels (sport, musique, littérature, danse...) en vigueur, et leurs croyances et conditionnements associés générateurs d'hystérie à différents stades d'intensité. Cette substance se conjugue, individuellement et/ou collectivement, de diverses manières : "exige, apprécie, aime, a besoin, évalue, juge, condamne, récolte, boit, mange, fornique, consomme une drogue (sic), manipule, trahit, ment, vole, asservit, torture, tue...". Rapportée à la matérialité de notre dimension, cette substance est électricité, pétrole, oxygène, or, blé, eau, terre, argent, uranium, etc, pour laquelle sont indissociablement liés et dépendants (addiction) les êtres humains.

Aussi celles/ceux qui possèdent et/ou contrôlent le Loosh - les entités inter-dimensionnelles non physiques - considèrent qu’il est d’une importance vitale à tous égards, pour leurs intérêts comme pour leur survie.

Le Loosh fait ainsi partie des Lois de l'Univers, de son fonctionnement, que nous pourrions nommer la Loi de l'offre et de la demande. La connaissance des Lois physiques de l'Univers est donc déterminante. Aussi seuls les initiés peuvent les utiliser selon leur libre arbitre : "Service de Soi", involution; "Service d'Autrui", évolution. Le système prédateur généticien de l'humain*² les connaissant parfaitement, il a doté l'humain dans sa génétique constitutive des éléments nécessaires à sa survie, soit les émotions nourries tout particulièrement de peurs et de souffrances en sus de celles caractérisées par l'amour, la joie, la paix... Toute la manipulation tant génétique (amputation des brins d'ADN) que psychique par l'égo-mental*³ consiste, hors mode d'emploi approprié, à assurer la production de cette nourriture par les mélodrames parfaitement scénarisés et synchronisés du jeu du Vivant (la programmation du calendrier astral)*, en empêchant par tous les moyens l'éveil de conscience par l'accès à ses mémoires logées dans son subconscient et le travail de reconstitution cellulaire de son épigénétique bridée...

* A l’état naturel, le Loosh est issu d’une série de mouvements vibratoires dans le cycle carbone-oxygène, et ce à des degrés divers de pureté. Il n’est produit que pendant ce mouvement et pendant le processus réactif. 

Cf. Les acteurs de la Matrice falsifiée.

*³ Cf. Décryptage de l'égo.

* Cf. Le sens caché du jeu d'échecs.

 

Vampirisme émotionnel

Les deuils à caractère national (photos 1 à 3) et planétaire (photos 4 à 8) de personnalités icônes par la puissance de leur électro-magnétisme, auxquelles s'attachent voire s'identifient nombre d'individus, constituent des occasions de festin énergétique psycho-émotionnel tout particulièrement prisées par le système prédateur, d'où le battage médiatique hystérisé et ses déclinaisons mercantiles les célébrant. S'il ne s'agit pas de juger la nature de la vibration émotionnelle ressentie en soi suivant l'état de l'attache (peine, douleur, sentiment d'abandon, dépression, envie suicidaire...), il est indispensable par la conscience de ce lien de le délier avec compassion envers soi-même pour préserver son capital énergétique et ne pas s'affaiblir, conduisant à rester prisonnier du fonctionnement dévoyé de la Matrice asservissante.

Il en est de même avec la récupération de l'énergie émotionnelle de leurs fans par les idoles/méga-stars du divertissement à l'occasion de leurs concerts, la signature de la prédation étant affichée de manière explicite (photos 9 à 17). Lorsque celles-ci ne veulent plus jouer le jeu, elles connaissent au mieux une destruction médiatique (révélation d'un scandale), au pire une mort brutale ...

Cf. Prédation manipulatoire.

 

La dissolution des épouvantards

La véritable apparence d'un épouvantard serait inconnue, car il s'agit d'une créature capable de changer d'aspect en un instant et qui privilégiera toujours la forme la plus terrifiante possible pour la personne qui lui fait face en puisant dans ses peurs les plus profondes.

L'épouvantard est un non-être. C'est une créature qui n'a jamais été vivante à proprement parler, et qui prend racine dans les émotions humaines. Il s'en nourrit, tout particulièrement de la peur, étant capable de devenir plus grand et plus fort s'il parvient à en absorber suffisamment. Les proies favorites des épouvantards sont les personnes craintives ou angoissées.  Les formes prises peuvent être particulièrement dangereuses, étant donné que l'épouvantard ne se contente pas de prendre les caractéristiques physiques de la peur qu'il choisit mais également ses capacités. Ainsi par exemple un épouvantard choisissant de devenir un "détraqueur" sera capable de produire les mêmes sensations que cette créature, bien qu'elles apparaissent toujours plus faibles que celles provoquées par un véritable Détraqueur (photo 3).

Les épouvantards peuvent être vaincus à l'aide d'un enchantement, "Riddikulus", qui exige une grande concentration mentale car le lanceur doit pouvoir trouver la forme la plus ridicule possible pour l'épouvantard et ainsi vaincre sa peur. Une fois vaincu, l'épouvantard disparaît en une volute de fumée...

 

Expression émotionnelle

Toute personne raisonne et résonne. Ainsi les émotions sont l'énergie de nos pensées en mouvement, comme l'énervement qui en manifeste le trop plein. Porter attention à quelque chose ou quelqu'un, c'est mettre en tension l'énergie que nous portons en nous. Il en découle les émotions qui nous élèvent ou nous abaissent. Aussi nous appartient-il de transformer les informations "plomb-antes" que nous recevons ou émettons en or. Par cette transmutation alchimique*, nous devenons magicien de notre vie, comme nous l'enseigne dans Harry Potter le professeur Remus Lupin (photo 2) avec sa formule de dissolution de nos "épouvantards " alimentant le prédateur qui nous asservit : Riddikulus !

* Cf. Le chemin alchimique.


Extraverti / Introverti

Chaque individu se trouve, quelque part, entre les deux extrêmes de l’axe introverti-extraverti selon la polarité qui caractérise son moi-personnalité. Il est coutumier de les caractériser de la façon suivante : l’introverti est timide, renfermé, silencieux ; l’extraverti est ouvert, tourné vers les autres, social, etc. Formulé de cette façon, on en déduit de manière simpliste qu’il est hyper-positif et valorisant d’être extraverti, et plutôt pénalisant d’être introverti, surtout dans une société comme la nôtre qui valorise les activités de groupe, les sports collectifs, le travail en équipe, etc.

Toutefois, le psychanalyste suisse Carl Gustav Jung, dans son ouvrage "Types Psychologiques" paru en 1921, a proposé une compréhension plus profonde de ces modes d'expression de sa relation au Vivant, à soi comme aux autres. Les introvertis tirent leur énergie de l’intérieur d’eux-mêmes, les extravertis de l’extérieur. Autrement dit, certaines personnes tirent principalement leur énergie des stimulations extérieures (un bruit dans la rue, une personne qui passe, un écran de télévision, une histoire qu’on leur raconte), tandis que d’autres semblent avoir, en eux-mêmes, une source mystérieuse d’énergie leur fournissant de riches sensations, des images, des pensées, des rêves de toutes sortes, venant de l’intérieur.

C'est ainsi qu'il avait observé qu'en demandant à quelqu’un de dessiner quelque chose, certaines personnes allaient immédiatement chercher un modèle à copier dans leur environnement, tandis que d’autres allaient au contraire se concentrer, fermer les yeux, et puiser dans une source de créativité se situant manifestement, et tout aussi mystérieusement, en elles-mêmes. Il en est de même pour la musique, certains interprètes ayant besoin d’entendre les autres, d’aller au spectacle, et se servir de ce qu’ils ont vu et entendu pour produire à leur tour ; tandis que d’autres semblent posséder une source inspirante jaillissante de leur intérieur. C'est cette observation auprès de centaines sinon milliers de patients qui avait conduit Jung à appeler les personnes tirant leur énergie du monde extérieur les personnes "extraverties" et les personnes tirant leur énergie de l’intérieur les personnes "introverties".

Cet intérieur qui nourrit la personne introvertie et qui lui procure des intuitions est ce qu'il nomma "l’inconscient collectif", un ensemble d’images (archétypes) qui existent en nous sans que nous ayons eu besoin de les apprendre, et que nous partageons avec les membres de notre civilisation et de notre époque.

Si l’introverti dispose ainsi d’une très grande force, bien souvent il ne comprend pas ce qui lui arrive. Il se croit un peu bizarre, décalé, "pas comme les autres", et il en a honte !  Il imagine que ce sont des "fantasmes", des "rêveries" gratuites et sans intérêt. Qui plus est, il a peur de parler de toutes ces choses qui se passent en lui. Pourtant, tout ce qui se passe dans notre "monde intérieur" peut être considéré comme réel, même si cela ne peut pas être vu ni touché par quelqu’un d’autre. Ce qui se passe en nous a une énorme importance pour nous, et c’est cela qui, au bout du compte, détermine nos actions. Les introvertis généralement ne sont pas plus timides que les autres, simplement plus pudiques, moins "bling-bling" ou "show off", plus matures et plus sages. Le fait que l’énergie d’une personne vienne de l’intérieur n’implique absolument pas que la personne ait des difficultés relationnelles, même si réciproquement, il se peut tout à fait qu’une personne extravertie soit timide. Les personnes introverties vont avoir tendance à créer des liens plus profonds, des amitiés plus solides et durables avec les autres. L’introverti sait écouter, car la moindre parole provoque en lui des résonances avec son monde intérieur. Il a moins tendance à faire des erreurs d’interprétation. Personnalité riche et complexe, il a aussi plus à offrir aux personnes qui font l’effort de le connaître. En public, les introvertis ont moins tendance à laisser exploser leurs émotions, à parler à tort et à travers. Ils savent écouter, parler à bon escient, et mûrir leurs décisions avant d’agir.

Aussi convient-il de s'interroger pourquoi dans nos sociétés les extravertis sont plus valorisés, en récoltant distinctions, honneurs et avantages. Pourquoi lorsqu'une entreprise cherche un directeur, elle va en général chercher des personnes charismatiques, disposant d’un grand réseau social qui n'est en aucune façon caractérisé par des relations profondes et authentiques, mais opportunes...

Si chaque caractère a ses avantages et ses inconvénients, il n’y a au fond aucune bonne raison de vouloir absolument être différent de ce qu’on est. Il s'agit d’Être, en toute conscience de ce que nous servons...

 

Dans cette mythologie, le Graal contient aussi les larmes provenant des pleurs de Marie et de Marie-Madeleine qui, au terme de leur vie terrestre, ont réalisé l'Assomption. C'est à dire qu'elles ont ascensionné corps et Âme contrairement au Christ, sans connaître la douleur physique de la mort. L'un des secrets des "Madeleines pleureuses" qui accompagnaient Yeshua était ce grand mystère qui met en œuvre l'énergie de transformation permettant la guérison*. Les pleurs peuvent en effet avoir des vertus insoupçonnées dans la structuration de l'Univers. Ils traduisent la force de la véritable prière, celle qui résulte de l'effondrement de toute résistance de l'ego. Le Graal, censé procurer la vie éternelle, contient donc le mélange des liquides humoraux provenant de l'émotionnel masculin et féminin, soit l'alchimie des émotions entre le masculin et le féminin.

C'est pourquoi la quête du Graal, une fois dépouillé de toute la fantasmagorie religieuse moyenâgeuse comme encore contemporaine, était un enseignement de toute première importance pour les chercheurs ou détenteurs de vérité, et que de tous temps ils ont été réprimés (exemple les Templiers ou les Cathares) par les institutions prédatrices*².

* Nous pouvons d'autant mieux comprendre l’aberration de notre société de nature patriarcale visant à réprimer l'expression des émotions tout particulièrement chez les hommes (exemple "Un homme ne pleure pas") et qui se moque de la sensibilité "féminine", moyen de priver ou de déconsidérer les femmes ou les hommes sensibles dans l'exercice de "hautes" responsabilités. C'est une conséquence du prédateur égo-mental (polarité masculine) enfoui dans les croyances et conditionnements, et qui conduit à la robotisation des consciences. Seule l'énergie de la compassion peut en contrebalancer ses effets destructeurs.

Cf. Compréhension et dépassement de la Matrice sexuelle.

 

Nous pouvons imager le système corps-esprit comme d'un cavalier sur un éléphant : les émotions sont l’éléphant, et l’esprit "conscient " est le cavalier. En sachant que cet esprit du moi-personnalité (l'ego) est contrôlé par la Force entropique, involutive, cela donne une représentation plutôt sombre, comme si aucun cavalier ne pouvait jamais vraiment être capable de contrôler l’éléphant. Mais si l'être humain est conscient de ce double parasite et applique une méthode draconienne de conduite de son éléphant, il peut se développer comme cavalier au point pour devenir plus grand et plus fort.

 

Thérapie émotionnelle contemporaine

Les mécanismes enclenchés dans le cerveau par les pensées conduisent de manière électrique à une traduction émotionnelle, autrement dit à une réaction. Si ces mécanismes du cerveau archaïque sont indispensables à la survie de l'être humain, ils se traduisent très souvent par des réactions excessives ou inappropriées, qui le poussent à agir de manière directe, brutale, sans réflexion adéquate (par exemple par un courriel de réponse en colère parti trop vite sans avoir lu ce qui nous était adressé, ou la colère manifestée au volant lorsqu’un conducteur nous colle de trop près ; etc). Toutes ces réactions sont en fait le fruit de la peur induite par le stress, actionnée par notre double involutif, ténébreux.

Les travaux du médecin chirurgien et neurobiologiste français Henri Laborit (1914/1995) menés sur des rats dans les années 70 ont démontré qu’il y avait chez ces animaux trois types de réactions face au stress : la fuite ; l’agressivité ; la résignation. Les psychologues se sont aperçus que les êtres humains avaient des réactions semblables à celles des rats : la peur qui fait fuir; la colère qui fait attaquer ou lutter; la tristesse qui empêche la personne d’agir, qui la rend prostrée. C'est un système éprouvé depuis fort longtemps (depuis le Pléistocène, ce moment de la Préhistoire qui a vu pour les scientifiques académiques la naissance des homos sapiens*). C'est pourquoi la question qui se pose traditionnellement est de savoir si ce serait mieux de maîtriser ses émotions. La réponse en l'état est oui et non, partant du principe que ce système est plus fort que nous, c'est-à-dire de notre raison, puisque gage de la survie de notre espèce au sein de la réalité terrestre, dans l'ignorance de sa gouvernance par les Forces de l'Ombre et des Ténèbres.

S'il est un " bon " système, fait pour nous éviter des dangers réels, il présente un inconvénient majeur, celui que le corps ne fait pas nécessairement la différence entre vraie menace et fausse alerte. Et à chaque fois que notre corps mobilise des énergies inadaptées contre ces menaces, il s’épuise inutilement, jusqu'à ne plus pouvant y faire face. C’est alors la dépression, le burn-out ou épuisement. Aussi pour les scientifiques et thérapeutes il convient en l'état d'apprendre à apprivoiser ses émotions et à en limiter les effets délétères sur notre organisme (erreurs, maladresses, perte de sang-froid, fatigue chronique, flot émotionnel, incapacité à prendre des décisions rationnelles à tout moment...). Les solutions "anti-stress" et de traitement ou régulation de la dépression et de l'épuisement sont ainsi devenues à la mode, mettant en avant l'empathie, l'alimentation, la capacité à déjouer le piège des organisations sociales modernes en redonnant du sens à son travail et à son existence. Regroupées sous le vocable "d'intelligence émotionnelle"*², elles ont pour objectif de donner à l'être humain les moyens de parler à son corps afin de rétablir le lien avec l'esprit, et de l'empêcher de prendre le contrôle total des émotions. Pour ce faire, il s'agit de "retrouver" les mémoires enfouies, oubliées, liées à des traumatismes subis à l’occasion de la naissance, ou à des peurs vécues lors de la petite enfance sources de traumas. Au système archaïque de défense se sont ajoutées la mémoire des émotions, ce que démontre depuis les années 90 l’imagerie cérébrale par la mise en relation de certaines zones du cerveau avec nos différentes capacités cognitives, émotionnelles et comportementales (ce que l'on appelle l'amygdale du cerveau ou système amygdalien, soit deux noyaux à la forme d’amande situés au cœur du cerveau) par le nerf vague.

* Cf. Vérité civilisationnelle.

Cf. L'expérience émotionnelle.

Cf. en complément Catherine Aimelet Périssol, "Apprivoiser son crocodile" (1996) et "Émotions quand c’est plus fort que moi" (2017) ; Antonio Rosa Damasio "L’erreur de Descartes" (2010) ; Anne Everard, "Guide du Burn-out" (2017).

 

Le nerf vague

Le neurochirurgien américain Kevin Tracey a découvert qu’il existait une connexion entre la communication qui relie le cerveau à différents organes et l’inflammation. Elle est assurée par le nerf vague, qui relie le cerveau à différents organes vitaux : cœur, poumons, rate, glandes surrénales, foie, intestin. Son importance est telle que sa stimulation s'est depuis longtemps imposée pour soigner les patients épileptiques réfractaires aux autres traitements, les dépressions sévères, l’insuffisance cardiaque, la lutte contre l’inflammation chronique des maladies auto-immunes comme la maladie de Crohn ou l’arthrite rhumatoïde. Ce nerf agit sur de multiples fonctions biologiques, permettant de ralentir le rythme cardiaque, de favoriser la digestion, d'améliorer le sommeil, de reconstituer les réserves d’énergie, d'assurer la communication entre le ventre et le cerveau.

L’une de ses fonctions principales est d’activer le système nerveux parasympathique, qui agit comme un frein, permettant de calmer l’activation du système sympathique qui se met en marche en cas de stress, entraînant selon la réaction du cerveau archaïque - fuite,  lutte, stupéfaction - les émotions ressenties comme la peur, la colère, la tristesse.

Le nerf vague aide aussi le ventre à dialoguer avec le cerveau. Il capte ainsi les informations essentielles adressées, telles que celles en provenance du microbiote, des cellules endocrines et des cellules immunitaires, avant que d'en informer le cerveau.

 

Les émotions créent-elles les cancers ?

Si la question du lien entre le cancer et les émotions suscite encore de nombreux débats au sein de la profession médicale, cette idée longtemps taboue chez les médecins a toutefois fait son chemin dans les esprits, la plupart des praticiens acceptant aujourd'hui l’idée que le stress et notre manière de le vivre ont un effet sur le cancer. Ainsi certains cancérologues et médecins hospitaliers comme le Dr David Servan Schreiber (1961/2011), dans son livre "Anticancer" (2008), le Pr Henri Joyeux dans son ouvrage "Lutter contre le stress, un remède anti-cancer" (2017), et l'oncologue David Khayat dans "L’enquête vérité" (2018). Différentes études ont ainsi montré qu’il existait une association entre cancer et stress perçu, notamment pour le cancer du sein et celui de la prostate (Michael 2009, et Metcalfe 2007), et les cancers colorectaux (Kikuchi 2017).

Par ailleurs, une équipe de chercheurs finlandais a déterminé que certains stress étaient associés à l’incidence du cancer du sein, tels que le décès d’une personne aimée, un changement inattendu dans le mode de vie, un comportement négatif du mari, des conflits permanents dans la famille, des problèmes financiers, une vie sexuelle insatisfaisante, des allergies. Parallèlement, d’autres études ont montré qu’un accompagnement psychologique du cancer avait un effet positif sur l’évolution et la sortie éventuelle de la maladie. Il est donc logique de s’occuper de ce que l’on ressent lorsque l’on est malade. C'est pourquoi le médecin interniste allemand Ryke Geerd Hamer (1935/2017)* avait fait de la psychosomatique l’élément déterminant de ses thérapies pour accompagner le cancer, entraînant tout "naturellement" nombre de controverses du corps médical à son encontre (il a été poursuivi puis condamné, pour ses idées. En Allemagne, il lui a été interdit d’exercer la médecine. En France, il a même fait de la prison à Fleury-Mérogis) . Un autre médecin, Michel Moirot, chirurgien et chef de clinique de l’Hôtel-Dieu de Paris, a de son côté étudié toute sa vie durant, le lien entre émotions et cancer, considéré comme l’un des précurseurs en la matière. Mais ses travaux n’ont jamais été pris au sérieux par ses collègues (son livre de 1985 "Origine des cancers - traitement et prévention" n’est même plus publié). Pour lui, le cancer se déclarait chez ceux qui ne parvenait pas à résoudre un conflit intérieur, notamment lié à l’enfance ou par rapport à leurs parents. 

S'il est évident que la maladie marque une rupture nette dans la vie d’un patient - la fatigue, le traumatisme du diagnostic, la lourdeur des soins*² lorsque l’on est hospitalisé et que l’on subit des séances de chimio, nécessitent une réorganisation de la vie, le patient arrêtant le travail ou continuant au ralenti -, c’est l’occasion pour certains de se recentrer et de reconstruire sa vie. Cette épreuve peut donc aussi avoir un effet positif si elle permet au patient de redonner ou d’ajouter du sens à sa vie. Nos traumatismes jouant un rôle dans l’éclosion de la maladie, les soigner, les prendre en compte c’est prévenir la maladie ou mieux l’accompagner. Le fait d’écouter ses émotions, de chercher à les comprendre a un effet sur la traversée de la maladie et sa rémission, même si malheureusement elle n'est que temporaire dans nombre de cas.

Les temps ont changé, le médecin n’étant plus cet être omniscient qui sait tout et qui sauve tout. C’est un être humain, confronté à un problème à résoudre. L'idéal est d'y parvenir ensemble, l'acteur principal de sa santé étant toujours soi-même ! Si victoire il doit y avoir, ce sera d’abord la sienne. 

Ses travaux ont été initiés peu de temps après avoir développé un cancer testiculaire et sa femme un cancer de l’ovaire. Il y avait vu un lien direct entre ces maladies et la perte de leur enfant. Il pense que conflits, peurs, frustrations et stress divers s’inscrivent biologiquement dans les cellules, et que lorsque le corps ne parvient pas à trouver une solution à un déséquilibre émotionnel trop violent, il développe une maladie, notamment les cancers. Pour lui, il paraît logique que, pour résoudre cette maladie, il faut parvenir à résoudre ou dépasser le conflit. 

*² Les quatre traitements officiels, conventionnels, sont la chirurgie, la radiothérapie, la chimiothérapie et l’immunothérapie. Tout ce qui sort de ce cadre est farouchement combattu, non reconnu. 

 

De la maladie

Lorsque nous n’exprimons pas une émotion, nous la stockons, l'imprimons à l’intérieur du corps. C'est pourquoi la maladie nous montre que ce qui n’est pas présent à la Conscience s’exprime dans l’expérience. Plutôt que de rechercher des causes extérieures pour comprendre ce que "le mal a dit", nous sommes invité à nous tourner en nous-même, la maladie nous contraignant à faire une pause par rapport à nos activités ou nos pensées habituelles. Nous sommes au final tous égaux ("égo") face à nos douleurs, nos "doux leurres". Et si lorsque nous consultons un médecin, nous devenons son "patient", il nous faudrait plutôt être "présent" (dans le sens cadeau) à nous-même. Car pour retrouver la santé, il nous appartient de revenir à la simplicité, à ce qui est élémentaire ("élément Terre").

 

Médecins et patients, la vérité et le mensonge

Le conseil dispensé aux médecins par le philosophe et musicologue français Vladimir Jankélévitch (1903/1985) était le suivant : " Quand vous dites à quelqu’un qu’il a une maladie mortelle, vous mentez, car vous n’en savez rien. Un homme n’a pas le droit de condamner un autre homme… Ce qu’il y a de plus important pour vous, médecins, c’est la prolongation de l’être, vous n’existez que pour cela ; il n’y a pour vous qu’un seul impératif, c’est d’entretenir l’espérance. " Ainsi justifiait-il le fait de " mentir " aux malades, c’est-à-dire de ne jamais dire à un patient qu’il est " condamné ",  sûr de mourir. Cette leçon existentielle découle de l’expérience de la relation du patient à sa maladie, montrant qu’il existe toujours une incertitude, et par là-même une probabilité, aussi infime soit-elle, d’une rémission, d’une guérison, qui remette en cause les pronostics les mieux établis, et donne tort au médecin qui avait cru dire " la vérité ". Pour Jankélévitch, la " vérité médicale " est la tromperie par excellence : elle fait croire aux patients que la médecine est une science exacte, un savoir objectif permettant de prévoir l’avenir avec certitude, alors que ce n’est pas le cas. On fait alors du tort au malade, en le trompant. Dire ce qui est considéré comme la " vérité " risque bien au contraire d’aggraver la situation, comme le suicide après l'annonce d'un diagnostic très grave. Ceci rejoint l’expérience du personnel soignant au contact de personnes gravement malades, dire la " vérité " au malade risquant de gâcher les derniers moments de sa vie en provoquant une démission prématurée. Or, " Un pronostic grave peut légitimement être dissimulé au malade ", dit le Code de déontologie français publié en 1955. Il découle d'une tradition très ancienne, remontant au philosophe grec Platon qui, dans son ouvrage Perì politeías (" La République "), voyait le mensonge comme un "médicament " utile aux malades, dont l’emploi devait toutefois être réservé aux médecins (à Rome on évoquait le concept de " mensonge thérapeutique ").

Pour les médecins, non sans raison, refuser la vérité au malade, c’est prendre le risque de lui voler ce qui lui reste de vie. Ne sachant pas ce qui lui arrive, trompée sur son avenir le plus probable, la personne ne peut pas employer son temps et son énergie comme elle l’aurait fait si elle avait su ce qui l’attendait, selon toute probabilité. Or, informé de la vérité médicale, le malade peut affronter son propre destin. Il peut se préparer à la mort, mettre de l’ordre dans ses affaires privées et familiales, convoquer un notaire quand il est encore temps, décider en toute connaissance de cause de l’usage du temps qui lui reste. Sans cela, les rapports avec son entourage sont empoisonnés. La vérité libère du doute, de l’incertitude, de l’angoisse de ne pas savoir. Qui plus est, stimulés par la connaissance de leur mal, certains y trouveront un motif de coopérer activement avec leur médecin, voire de s’ouvrir à des thérapies alternatives dont ils n’auraient pas vu l’intérêt s’ils étaient restés dans la vision étriquée d’une médecine scientifique et toute-puissante à les sauver. Et à l’inverse, un climat de mensonge et de faux-fuyants peut les conduire à exagérer la gravité du mal et à souffrir d’une angoisse extrême.

Comment alors concilier deux positions aussi contradictoires ? Tout simplement en trouvant le ton juste, le bon équilibre, celui de ne pas cacher l'état actuel de la maladie tout en disant que le savoir scientifique est par nature incertain, que personne ne peut dire avec certitude quand la mort va survenir, de tenir compte de l’histoire du patient et de sa capacité à accepter cette vérité. Une chose que l’on n’a pas humainement le droit de retirer, c’est l’espoir, ce que rappelle au moins en théorie le Code de la santé publique, en particulier par son article 35 :  " Le médecin doit à la personne qu’il examine, qu’il soigne ou qu’il conseille, une information loyale, claire et appropriée sur son état, les investigations et les soins qu’il lui propose. […] Toutefois, lorsqu’une personne demande à être tenue dans l’ignorance d’un diagnostic ou d’un pronostic, sa volonté doit être respectée, sauf si des tiers sont exposés à un risque de contamination. Un pronostic fatal ne doit être révélé qu’avec circonspection, mais les proches doivent en être prévenus, sauf exception ou si le malade a préalablement interdit cette révélation […]. "

Et bien sûr, il en est de même pour les patients, car mentir à son médecin (médicaments pris, régime alimentaire, fréquence des exercices physiques…) par peur d’être un " mauvais patient " ou de faire de la peine à son médecin en lui donnant l’impression qu’il perd son temps à essayer de le soigner, est la pire chose qu’un malade puisse faire. Induire volontairement son médecin en erreur en lui donnant de fausses informations, autrement dit tromper la personne qui cherche à vous sauver, en dit long sur les méandres de nos cœurs, cette capacité d’agir ainsi contre nous-mêmes…

 

C'est dans notre relation à autrui que se manifeste la prise de conscience de nos fréquences de résonance vibratoires, sources ou non d'affinités. Elles font appel à nos mémoires, enfouies au plus profond de notre psyché, et déclenchant lors de nos retrouvailles une réactivation de certaines séquences de notre ADN commun. Elles traduisent notre nature multidimensionnelle, mettant en exergue nos jeux karmiques basés sur des séquences génétiques communes, et se jouant au même moment sur d'autres plans représentatifs de notre "passé" comme de notre "futur". Ils constituent des indicateurs précieux de cette dramaturgie qui nous plombe et leste lorsque nous ne savons pas en dénouer les scénarios mortifères.

 

Libération émotionnelle sur le plan physiologique

Les pleurs et spasmes participent de cette libération. Ils sont liés à des petits chocs électrochimiques qui, lors d'épisodes émotionnellement intenses dus à certaines hormones libérées dans la circulation sanguine, se retrouvent dans le " liquide interstitiel " qui remplit l'espace entre les capillaires sanguins et les cellules. Ces hormones déclenchent l'excrétion du Na + et Cl - hors des cellules.

C'est certainement à ce moment-là que des mémoires cellulaires obsolètes contenues dans l'ADN sont évacuées du milieu cellulaire, permettant leur "déprogrammation".

Cf. en complément Libération émotionnelle.

 

Les dysfonctionnements psycho-émotionnels

Notre matrice structurelle d'espace-temps étant tronquée volontairement de manière artificielle, elle empêche ou rend très difficile par les croyances et les conditionnements politico-religieux dispensés notre processus d'individuation à même de permettre la connexion au Soi supérieur, à l'espace divin. Aussi nous fonctionnons principalement dans le modèle binaire, dual, de la 3-D, illusionné par les artifices qui nous sont distillés*. L'information qui y est dispensée par les experts officiants auxquels nous avons de manière non-consciente délégué notre pouvoir de création entretient la séparation par les choix qu'ils imposent, entre l'île aux plaisirs de Pinocchio (image 1) et guerre et terreur (image 2) *². Il en découle tensions, oppositions, compétition, individualisme, matérialisme, hédonisme, perversion et dénaturation existentielle à travers l'exacerbation des instincts et de leurs pulsions. Les imposteurs manipulateurs participent de ce fait par les toxicités et poisons instillés, au sens propre comme figuré, à l’inflammation de notre corps biologique par le biais de notre psyché. Il en découle la maladie sous ses différentes formes, tant de l'esprit que celle du corps physique. Tout ce mécanisme a pour seul objectif d'empêcher sinon de retarder notre individuation.

* Cf. Symbolisme et artifices de la Matrice & Prédation manipulatoire.

Cf. Le modèle pyramidal décodé & Contrôle mental.

 

De la science du comportement

Le débat autour de la question "Qu'est-ce qui permet à un être humain d'être ce qu'il est ?", sa nature (l'inné) ou sa culture (l'acquis), n'est pas tranché. Deux scientifiques ont joué un rôle clé dans cette énigme. Pour le médecin et physiologiste russe Ivan Petrovitch Pavlov (1849/1936 - photo 1), lauréat du prix Nobel de physiologie ou médecine de 1904, le comportement d'un individu est entièrement conditionné par son environnement et son éducation. C'est la théorie sur l'influence du milieu, théorie selon laquelle tout dans l'être humain est construit de l'extérieur par voie de conditionnement. De son côté, le biologiste ethnologue et zoologiste autrichien Konrad Lorenz (1903/1989 - photo 2), prix Nobel de physiologie ou médecine en 1973, arriva à une conclusion différente. Il démontra que les comportements des animaux sont pour l'essentiel innés, c'est-à-dire déterminés ou plutôt orchestrés par les gènes. Le phénomène de l'empreinte, décrit pour la première fois par Lorenz, illustre bien la part de l'inné et de l'acquis dans le comportement animal. A un stade précis de sa vie, le petit animal s'identifie à un autre être vivant, quel qu'il soit, et il a ensuite tendance à le suivre tout le temps. C'est, précise Lorenz, la nature (l'inné) qui lui dit suis, et c'est la culture (l'acquis) qui lui dit qui suivre.

 

Binaire ou Ternaire, les deux modes d’expression de la psyché humaine

Ces concepts établis par les travaux du psychiatre français Jacques Lacan (1901/1981), du neurologue autrichien Sigmund Freud (1856/1939) et du médecin psychiatre suisse Carl Gustav Jung (1875/1961), permettent de comprendre la façon dont un individu établit sa relation à la vie.

Modèle binaire : le Moi infantile

Le modèle Binaire est basé sur les oppositions, la division, la duplication, la confrontation, les antagonismes (Cf. images). Il crée des caricatures, exclusives de leur opposé. Il correspond à une vision mécaniste, se voulant logique, rationnelle. Il découle des conditionnements mis en place par l’institutionnel sociétal de nature politico-religieuse, soit le référentiel judéo-chrétien en Occident. On l’appelle le tronc commun, base de notre constitution psychique. Il est encore le modèle dominant pour une large majorité d'individus.

Modèle ternaire : le Soi maturité

Le modèle Ternaire est la réunification du binaire, soit du tronc commun, pour donner toute sa puissance à sa sève constitutive, notre véritable identité. Il participe de l'individuation, conduisant à se détacher de mécanismes auto-limitants (croyances limitantes, conditionnements et manipulations) pour devenir un créateur de (sa) Vie à part entière. Il est le modèle en croissance, amené à supplanter inéluctablement le modèle binaire.

Il s'exprime par l'amour, la créativité, le lien avec autrui, l'ouverture.

 


En restant figé dans le mode binaire*, dual, nous restons figé toute notre vie, à tourner en rond, limité à l’imitation des modèles collectifs qui nous sont imposés ou suggérés*². Il en découle que notre moteur biologique fonctionne contre-nature. Il est comme une cuve ou chaudière, mis sous pression, et sans soupape et régulation thermique adéquate, il génère par les manèges mentaux et émotionnels constitués deux déviances pulsionnelles : des névroses et des perversions, non exclusives les unes des autres. Constitutives de nos enfermements ("l'enfer me ment"), elles nous alourdissent et nous empêchent d'aller vers le haut, le Soi libérateur. Elles nécessitent en permanence des compensations, soit des addictions, pour ne pas nous conduire à la dépression comme à l'implosion, inévitables si nous ne les guérissons pas.

* Cf. La dualité décodée.

Cf. Contrôle mental.

Le processus d'individuation

La physiologie analytique permet de comprendre comment se structure la psyché de l'être humain dans son processus d'individuation, selon trois phases (ou états) distinctes établies par les travaux en psychanalyse de Freud, Lacan et Jung :

Sigmund Freud : çà - moi - surmoi / préconscient - inconscient - conscient

Jacques Lacan : imaginaire - réel - symbolique

Carl Gustav Jung : persona (ou anima/animus) - moi - Soi

Phase 1 : c'est une phase dite d'identification au miroir, tout particulièrement des modèles masculin/féminin. Elle est régie par la modalité binaire qui structure le tronc commun de l'espèce humaine. La qualité de vie découle de sa réalisation dans l'équilibre masculin/féminin, anima/animus. Si tel n'est pas le cas, il en découle des comportements névrotiques ou pervers.

Phase 2 : c'est une phase de différenciation de l'objet, qui permet de sortir de la logique duelle pour entrer dans une logique plurielle constitutive de son identité spécifique.

Phase 3 : c'est la phase de parfaite harmonisation de la psyché entre son intérieur et son extérieur, permettant le dépassement de la logique duelle/manichéenne à laquelle pousse la société. Elle pousse à l'affranchissement de ses peurs pour trouver au fond de soi-même Sa véritable identité divine, sacrée.

C'est au cours de ce processus d'individuation que s'établissent les bases de nos dérives psychiques sous l'effet de nos pulsions intérieures, soit l'expression de notre énergie de vie.

Cf. Travaux du Docteur François Chabaud. Présentation complète du processus dans Qu'est-ce que l'Homme ?

 

Les pulsions

Structure énergétique de nature électrique (polarité masculine) caractéristique de l'intensité émotionnelle, la pulsion fait partie intégrante de la physiologie* analytique de l'être humain. Elle a été mise en évidence par Sigmund Freud en 1895. Elle est à la source de la "gravure" de notre psyché, le traçage mnésique, au cœur de sa structuration, non seulement lors de notre construction initiale (Cf. phase 1 de l'individuation), mais également de toutes nos structures psychiques lorsqu'elle surgit à nouveau dans notre existence. Toutes les structures psychiques sont ainsi conditionnées par l'intensité de la pulsion, qui détermine la qualité de la gravure, sa spécificité. Lorsqu'elle n'est pas maîtrisée à son stade "normal", les symptômes sont la névrose, la perversion ordinaire et la perversion narcissique.

* La physiologie (du grec phusis, la nature, et logos, l'étude) étudie le rôle, le fonctionnement et l'organisation mécanique, physique et biochimique des organismes vivants et de leurs composants.

 

La méthode du comparatisme permet d'établir un lien entre la psychanalyse et la neuroscience, soit l'étude du cerveau et de ses composantes, tout particulièrement les neurones et les synapses. C'est ainsi qu'en comprenant la physiologie du neurone, nous mesurons la construction de la trace mnésique sous la force électrique de la pulsion. Grâce à cet éclairage, il est plus aisé de comprendre que le cerveau ne stocke aucune information, ces dernières étant créées et recréées artificiellement sous forme neuronale, à la demande, notamment sous l'influx pulsionnel. Comme est gravée l'information dans le disque ou la disquette d'un ordinateur, l'information psychique l'est aussi au travers des neurones...

 

La constitution des croyances du Moi

 

L'être humain est un robot biologique*. Par les savoirs acquis et fruits des expériences réalisées qui sont portés à son champ cervical conscient - transmission parentale, familiale, éducatif institutionnel, relationnel, professionnel, médiatique -, se déversent dans son inconscient (subconscient en l'occurrence) des informations constitutives des croyances qui établissent sa relation à l'univers, à lui-même et aux autres, en sus des mémoires de ses autres expérimentations de la densité terrestre qui se font au même moment sur d'autres plans (l'univers multidimensionnel est un éternel présent, contrairement à la croyance du temps linéaire)*².

* Cf. Conscience du XXI° siècle.

Cf. Fin de cycle (1) Fin du temps ou fin des temps ?

 

Par cette programmation de l'inconscient s'établissent ainsi les mécanismes déterminant son mode de fonctionnement : type de pensées constitutives de ressentis, d'émotions, d'expression et d'action. Ces mécanismes sont porteurs des germes idéologiques politiques, religieux, philosophiques, culturels instillés, qui vont colorer de manière partielle sa vision du monde et sa manière de l'exprimer. S'il n'en réinterroge pas la pertinence quant à leur alignement avec son Soi supérieur - la supraconscience -, il demeure alors prisonnier des illusions fabriquées par la "fausse lumière" de la Matrice sociétale*. Il peut réussir en apparence sa vie sociale, professionnelle, amoureuse, relationnelle ... tout en demeurant prisonnier des artifices de la 3ème densité de réalité en mode "Service de Soi", limitée car manipulée. Il ne pourra s'en extirper pour évoluer dans une dimension de réalité supérieure, en mode "Service d'Autrui". Il devra recommencer l'expérience du Jeu de la Vie*², son bagage karmique s'étant alourdi de nouveaux alter (les fractales de l’Âme) qu'il lui faudra, peut-être si enfin il se réveille, solutionner, l'expérience étant à chaque fois de plus en plus "douloureuse" pour le conduire au réveil. C'est l'appel de l’Âme, du cœur, et c'est pourquoi "l’Épreuve" - la crucifixion de l'égo - est à traverser pour renaître et ascensionner.

* Cf. Fabrication de l'illusion et voie de sortie.

Cf.  Le Jeu de la Vie.

 

Mécanisme de fabrication des croyances

Informations reçues et portées à la conscience présente

Validation ou non par le conscient

Si validation, passage dans l'inconscient (subconscient)

Transformation en mémoires-programmes (automaticité)


Se rajoutent les informations portées directement dans le subconscient par conditionnement subliminal, soit une manipulation de type hypnotique qui contourne le conscient non éveillé à son repérage, et celles qui découlent des égrégores collectifs constitués, quelle qu'en soit l'échelle (familial, local, national, mondial).

 

Les jeux de rôle du Moi infantile

 

L'observation en conscience de nos rôles et jeux envers autrui dans notre vie quotidienne, en famille, au travail, en communauté, avec toute personne qui entre dans notre environnement, enseigne sur l'état de notre Moi égo.

Ainsi, en présence de quelqu'un, nous pouvons nous interroger à chaque instant sur le rôle que nous choisissons d'endosser vis à vis de celui-ci par le ressenti que nous éprouvons : en avons-nous peur ? Avons-nous envie de l'éviter ? Nous donne-t-il mal au ventre ? Ressentons-nous de la colère ? Nous sentons-nous rejeté, incompris, à sa merci ? Arrivons-nous à lui dire non ? Sommes-nous souvent en quête d'une approbation ou d'un aval pour prendre une décision ? Nous pouvons alors envisager que nous générons nous-même cette énergie de victime ou de soumission par rapport à cette personne. 

De même, nous pouvons être confronté à des personnes qui nous évitent, qui ont peur de nous, qui s'opposent à nos idées, qui nous renvoient leur colère. Sommes-nous alors de ceux qui ont pour habitude de contrôler et surveiller les agissements d'autrui ? De se mêler de leurs affaires ? Sommes-nous de ceux à qui on fait toujours référence, à qui on sollicite des requêtes, des permissions, des autorisations en tout genre ? Nous pouvons alors envisager que nous projetons le rôle de bourreau, de persécuteur, de celui qui contrôle l'autre, du dominant.

Peut-être aussi faisons-nous partie de ceux qui ressentent toujours la nécessité de protéger, de soulager les souffrances ou d'aider l'autre... De se porter à son secours ou de rester à son service. Nous pouvons alors envisager que nous transportons l'énergie du sauveur, dans le but de nous faire aimer, de ne pas déplaire, d'éviter le rejet ou l'affrontement. Il s'agit là d'un comportement de fuite, de déni de soi afin d'éviter de contacter nos propres souffrances. Le rôle du sauveur, si nous l'observons bien, intègre toujours l'une des deux polarités. Ainsi, nous pouvons nous retrouver dans le rôle de victime-sauveur ou de bourreau-sauveur.

 

Le triangle de Karpman
Le triangle de Karpman

Le fonctionnement de cette triade "victime-bourreau-sauveur" est très bien illustré par les écoles de psychologie conventionnelle.

Dans les deux cas, les rôles de victime-sauveur ou de bourreau-sauveur sont engendrés par de la pitié ou de la culpabilité refoulée. Ce sont ce genre de schémas qui nous poussent inconsciemment à agir, afin de nous soulager par un acte inconscient de la responsabilité karmique générée par notre comportement dominant ou soumis. Ces sentiments profondément refoulés nous incitent à nous substituer ou à nous immiscer dans la problématique de l'autre.

Contrairement aux dogmes judéo-chrétiens, ces comportements ne relèvent en rien de l'amour envers autrui, puisqu'ils empêchent de contacter sa propre responsabilité dans la situation que nous avons nous-même générée ou créée. Par exemple, il est indispensable d'avoir à l'esprit que lorsque nous nous mêlons du "plan de leçon de vie présente" d'un autre (conjoint, enfant, ami...), en essayant de le sauver, nous prenons la plupart du temps son karma ou des leçons sur nous-même. Ceci entend que lorsque nous essayons d'arrêter les "balles" d'expérience pour quelqu'un d'autre, c'est nous-même qui les tirons !

Dans les dimensions de conscience plus évoluées, l'ingérence dans la vie d'autrui n'a plus lieu de se produire. Ce n'est que lorsque nous nous libérons de ces sentiments "détournés" par la matrice de dualité que peut naître en nous la compassion du vrai "maître ascensionné en conscience". Celle-ci étant une énergie d'amour réelle et équilibrée, elle nous autorise à nous retirer complètement du jeu karmique de l'autre. Il s'agit donc simplement d'accompagner son prochain uniquement en ayant conscience que cette fréquence de neutralité qui émane de nos champs énergétiques *, liés à la vibration au point zéro de notre ADN, procurera à l'autre la liberté de sa propre évolution.

* Cf. Le chemin vibratoire.

 

La difficile compréhension du "Double", l’Âme fusionnée à l'Esprit

 

En ce début de XXI° siècle l'homme apparaît tanguant comme un bateau ivre*. Privé de toute transcendance dans ce crépuscule des idées, l’homme s’est enfermé dans la caverne du pragmatisme et de la science, lui interdisant de percevoir les reflets du monde véritable. Nous ne sommes plus l’Un dans le Tout, mais l’Un sans le Tout, vivant notre existence terrestre sans pouvoir apporter de réponse à une question que ne se posaient pas nos aïeux, protégés qu’ils étaient par un ensemble de croyances réconfortantes : qu’y a-t-il après ?

La raison est qu'en perdant notre "Double", appelé souvent en psychologie "l'enfant intérieur", le "maître ou le guide intérieur", nous avons perdu notre âme, notre relation au cosmos. Aussi notre place dans l’univers ne nous est plus connue. Le divertissement remplace tristement les croyances et les rites à caractère sacré qui structuraient l’existence humaine. Il ne reste que le silence éternel des espaces infinis.

* Cf. Conscience du XXI° siècle.

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De l'enfant intérieur

Il s’agit de l’enfant à caractère sacré qui vit en chacun de nous. Il symbolise notre version la plus élevée, mais cachée dans notre intérieur profond tant que nous ne l'avons pas portée à notre conscience. Il est la clé d'entrée pour la réussite de notre processus d'évolution, afin de permettre notre extraction libératrice du Monde astral, le monde des morts-vivants. Autrement dit, la réussite du processus d'ascension dans le grand Jeu du Vivant * !

Il est tout d'abord symbolisé par le "dieu faucon", assimilé à Horus sous le Nouvel Empire de l’Égypte ancienne *². Une effigie retrouvée à Tanis le représente. Le dieu faucon entoure Ramsès II (Cf. photo ci-contre), alors enfant, de sa protection. Ce dieu faucon, guerrier et solaire, symbolisait chez les Égyptiens la Clairvoyance. L'Enfant quant à lui est le Secret.

Ce dieu "Double" représente la dualité fondamentale, entre ce qui se développe à l'Extérieur, l'Enfant intérieur en en étant le témoin. Ainsi cet Enfant est l'être fondamental, l'essence. Toute la question existentielle est de savoir quelle harmonie va-t-il y avoir entre cet Enfant intérieur et le Guerrier extérieur, pour le Meilleur ou pour le Pire... Car plus cette forme extérieure s'est adaptée au consensus social, au conditionnement, à l'éducation, à la programmation dont elle a fait l'objet, et plus elle risque de s'être éloignée de l'Enfant intérieur, générant ainsi dissonance et confusion.

Il est également symbolisé dans l’Égypte ancienne par le "Ka", l'énergie spirituelle, soit la conscience qui sans cesse veille à notre côté (c'est notre Ange gardien dans le christianisme). KA est le double de lumière, l’interface nécessaire entre notre corps physique et les mondes spirituels. Il est le Témoin neutre de nos actes, de nos pensées, de nos sentiments. Il ne juge pas et vit les événements de notre vie avec nous. Il enregistre ce que nous faisons afin que lorsque nous mourrons une trace soit conservée de tout ce qui a existé.

* Cf. Le Jeu de la Vie & Le chemin de l'Ascension.

Période la plus connue de l'histoire égyptienne, le Nouvel Empire est la période la plus prospère de toute l'histoire égyptienne après l'âge d'or connu dans l'Ancien Empire qui s'étale sur un peu plus de cinq siècles, allant d'environ -1500 à -1000 av. J-C et formé de trois dynasties. L'initiateur en fut Ahmôsis Ier, l'époque comptant de nombreux personnages illustres tels Thoutmôsis, Hatchepsout, Akhenaton, Toutânkhamon, Ramsès, Séthi... C'est de cette époque que viennent les plus beaux témoignages architecturaux et temples édifiés pour rendre un culte aux rois défunts (temple de Louxor, tombe de Séthi Ier, Ramesséum, Abou Simbel, etc.).

 

Le Génie démon/daïmon de Socrate

Sous divers noms, et dans la plupart des traditions anciennes, un génie accompagne tout homme, comme son double, son démon ou ange-gardien, son conseiller, son intuition. Il est la voix d'une conscience supra-rationnelle, symbolisant le trait de lumière qui échappe à tout contrôle et qui engendre la conviction la plus intime et la plus forte. Immanent en chaque personne, physique ou moral, le génie symbolise l'être spirituel.

A l'origine, le daimon grec est un génie (quand il est franchement mauvais, on le nomme cacodémon, mauvais démon), tel que le genius des latins, le Géant Vert des traditions celtes (dangereux mais positif quand on arrive à le maîtriser) ou le djinn (génie) islamique. Il désigna plus tard un dieu inférieur, puis un esprit malfaisant.

Pour beaucoup de populations primitives, les démons sont les âmes des défunts, génies tutélaires ou redoutables, intermédiaires entre les dieux immortels et les hommes vivants, mais mortels. Un génie est attaché à chaque homme et joue le rôle de conseiller secret. Il y a un démon intérieur qui joue parfois à l’ange gardien, et une foule des démons, êtres innombrables, tourbillonnant partout pour le meilleur et pour le pire. Les génies, dont le culte se trouve répandu chez tous les peuples de l'Antiquité, étaient regardés comme des divinités intermédiaires entre les hommes et les dieux. Les philosophes grecs représentèrent les démons comme des esprits tutélaires attachés aux hommes dès l'instant de leur naissance, et leur servant d'intermédiaires dans leurs rapports avec les dieux. Espèces d'anges gardiens du paganisme, ils inspiraient et conseillaient celui qu'ils protégeaient, et c'est ainsi que Socrate rapportait toutes ses inspirations à son génie.

Le bon génie, démon ou daïmon, de Socrate apparaît comme la voix qui lui disait ce qu’il ne devait pas faire. Il a la même fonction vis-à-vis de Socrate que Socrate lui-même vis-à-vis de ses interlocuteurs. Bien que censément extérieur à notre personne, il peut être assimilé à une "conscience", et même à "notre" conscience tant "il s'immisce à l'intérieur de l'âme et l'examine sous tous ses angles", débusquant ses intentions les plus enfouies. C'est de cette manière que l'écrivain, orateur et philosophe médio-platonicien Apulée (125/170) fait le lien avec son sujet central qu'il n'aborde qu'à la fin de son seizième chapitre : "Ce démon dont je parle, gardien privé, préfet personnel, garde du corps familier, curateur particulier, garant intime, observateur infatigable, juge inséparable, témoin inévitable, réprobateur quand nous agissons mal, approbateur quand nous agissons bien, si nous lui accordons l'attention qu'il requiert, si nous cherchons de tout cœur à le connaître et si nous l'honorons pieusement comme Socrate l'a honoré avec un esprit de justice et d'innocence, nous offre sa prévoyance dans les situations incertaines, ses conseils dans les situations difficiles, sa protection dans le danger, son assistance dans la détresse et il peut, par des songes, par des signes ou même par sa présence quand le besoin s'en fait sentir, détourner le mal, faire triompher le bien, relever ce qui est à terre, soutenir ce qui chancelle, éclairer ce qui est obscur, diriger la bonne Fortune, corriger la mauvaise''.

 

La constellation des croyances - Cliquer pour agrandir
La constellation des croyances - Cliquer pour agrandir

L’importance du Double dans l’univers mental de nos lointains ancêtres leur permettait d'établir les rapports avec l’autre monde, aussi bien supérieur qu’infernal. C'est la raison pour laquelle l’impression d’hétérogénéité, qui se dégage des mille faits consignés dans les textes, s’efface dès que l’on admet les conceptions anciennes de l’âme. Elles voyaient l’homme posséder des Doubles, le plus souvent deux : l’un matériel et physique, possédant le pouvoir de prendre l’aspect d’un animal ou de conserver sa forme humaine ; l’autre, spirituel et psychique, aussi capable de métamorphose, mais apparaissant surtout dans les rêves *.

Ces Doubles avaient la faculté de se rendre dans l’au-delà ou en un lieu quelconque de l’ici-bas, sous l’une ou l’autre de leurs formes, dès que le corps est endormi, plongé en transe ou tombé en catalepsie. Si chaque ethnie, chaque civilisation a pensé son Double à sa manière, tout semble indiquer que le fond commun à toutes les formes de la croyance (Cf. schéma ci-contre) est le chamanisme. Nous en retrouvons la trace aussi bien chez les Grecs et les Romains que chez les Celtes et les Germains.

* Cf. Le Pouvoir de Métamorphose.

 

Le Double en physique

Le Double se retrouve dans ce qui est appelé Trou Noir, puisque rien, même la lumière, ne peut échapper à la puissance de sa gravité. En étudiant les équations mathématiques qui décrivent les Trous noirs, il semble qu'une copie de toutes les informations contenues de ce qui s'y engouffre soit étalée et stockée à sa surface, un peu comme les données enregistrées dans un ordinateur. Le contenu en question existe ainsi en deux endroits : il y a une version tri-dimensionnelle qui est perdue à jamais à l'intérieur du Trou noir, et une autre, bi-dimensionnelle (le contenu informationnel s'y trouvant), qui reste à la surface, sous forme d'informations.

Il en découle que ce que l'on peut savoir de ce qui se passe à l'intérieur peut être connu rien qu'en se référant à l'extérieur. En théorie, on pourrait utiliser les informations qui sont à l'extérieur du Trou noir pour reconstituer le contenu de ce qui a été absorbé, l'espace à l'intérieur d'un Trou noir obéissant aux mêmes règles de l'espace à son extérieur, ou partout ailleurs. De ce fait, si on peut décrire les informations situées à l'intérieur d'un Trou noir grâce aux informations stockées à sa surface, il se pourrait que tout, dans l'univers - les galaxies, l'univers, nous-même et même l'espace - ne soit qu'une projection d'informations stockées sur une lointaine surface bi-dimensionnelle qui nous entoure. Autrement dit, ce que nous prenons pour la réalité pourrait être une sorte d'hologramme ! 

 

La mort libère les Doubles : l’alter ego physique donne un revenant, l’autre moi psychique se transforme en fantôme. Tous deux conservent leur capacité de métamorphose animale, mais l’un se manifeste en rêve et peut agir comme cauchemar, tandis que l’autre apparaît dans la réalité comme un être matériel. C'est ainsi que cauchemar et changement de forme relèvent aussi de la sphère des vivants, et lorsqu'ils ne sont pas transcendés par la conscience du Soi supérieur, ils sont attribués aux démons, en l'occurrence le système prédateur qui nous asservit *. Comme le Double ne meurt pas avec le corps, voilà l’explication des fantômes et des revenants, l’origine des histoires de loups-garous et des métamorphoses en bêtes, de soi-même et d’autrui. Voici la racine de la nécromancie comme des possessions *² !

Le Double est indépendant dès que le corps se repose, et il part vaquer à ses occupations ou réaliser les désirs de son possesseur : voilà l’explication des pérégrinations nocturnes et diurnes des sorcières et des magiciens, des voyages extatiques des saints et des mystiques.

La croyance au Double possède une force mémorable, survivant par-delà les siècles et les siècles. La victoire du christianisme est essentiellement lexicale : le vocable "âme" a effacé et éliminé toutes les autres dénominations, et tout le monde a été victime de ce diktat lexical. C'est ainsi que les Anglo-Saxons utilisent une locution comme external soul, les Allemands Freiseele, quand les Français parlent d'âme libre. C’est le manque de terme adéquat qui a entraîné l’emploi abusif, voire erroné, du mot "âme", alors qu’il faudrait parler, au risque de n’être pas compris, d’alter ego, de second moi, de Double.

* Cf. Compréhension structurelle de la Matrice asservissante & Les acteurs de la Matrice falsifiée.

Cf. Compréhension et dépassement de la Matrice sexuelle.

 

Si la croyance au Double jouit d’une telle vitalité, c’est qu’elle répond à un besoin humain. Elle est porteuse d’un message d’espoir : l’homme n’est pas seul. Les "dieux" se penchent sur sa destinée et il peut communiquer avec eux. Il reste en contact avec ses ancêtres défunts, et, grâce à eux, sait que la mort n’est pas une fin mais une retraite temporaire. La transmigration des âmes relève bel et bien du même monde mental.
Pour la majorité des alchimistes, cet effort de travail sur le Double est la porte pour un autre royaume de la conscience. Il leur permettra, au moment approprié, d’avoir l’intention du pas définitif dans la "tierce attention". En conférant autonomie et consistance à leur double, ils se préparent à rester conscients après la mort. Lorsque ce double est complet et que le moment arrive, leur conscience abandonne la coquille humaine pour de bon, le corps physique se flétrit et meurt, mais la faculté d’être continue *.

* Cf. Le chemin alchimique.

 

Le Double, comment ça marche ?

Découverte en 1988, la théorie scientifique de Jean-Pierre Garnier Malet concernant le dédoublement de l'espace et du temps permet d'affirmer que nous avons tous un double*. Imperceptible mais pourtant bien réel, cet autre nous-même peut nous guider à chaque instant, pourvu que l'on sache établir avec lui une relation constructive*². En connaissant quelques principes élémentaires du fonctionnement de la loi du dédoublement, il est en effet possible d'entrer en contact avec lui pour bénéficier de ses conseils. Cela se fait par le biais du sommeil, des intuitions, des prémonitions et de divers signes qui sont autant d'échanges d'informations entre lui, notre futur et nous-même.

L'explication de ce "phénomène" s'explique sur le plan de la science physique par la notion d'intrication quantique, qui entend que la modification de l’état quantique d’une particule a des répercussions sur l’état quantique d’une seconde particule, bien que celles-ci semblent être spatialement séparées. Il en résulte que l'état quantique de deux objets ne peut être décrit séparément, alors même qu'ils peuvent eux-mêmes être séparés par une grande distance. La corrélation entre leurs propriétés physiques s'explique parce qu'ils forment le même système. S'ils sont séparés dans notre réalité terrestre tridimensionnelle, liée à la loi de la relativité générale, ils le sont par un espace-temps qui n'implique pas qu'une simple notion de distance. Ceci entend que le double est comme notre jumeau cosmique, la particule, la matière manifestée de notre être incarné, étant  intriqué avec l'onde, l'essence non-localisée de notre être de lumière (notre jumeau).

Le Double est associé à un circuit informationnel anticipatif, c’est-à-dire susceptible de délivrer des informations nous concernant car appartenant à des futurs potentiels. Mais si tout semble écrit, tout n’est pas déterminé absolument… Ce circuit est lui-même connecté, dans un autre espace-temps, sur ce que des chercheurs actuels appellent des champs mémoriels, en fait les banques de données sur lesquelles nous fonctionnons. Il est la conscience atomique, le composé minéral, végétal, animal, mental, supra-mental de l'être humain futur, celui de la sixième civilisation humaine en cours d'émergence, l'être multidimensionnel qui peut par sa volonté automatiquement être en syntonisation vibratoire avec les plans cosmiques, les plans éthérés, libres de la forme.

Souvent le rétablissement de la connexion se produit à la suite d'un événement choc, qui vient ébranler les fondations matérialistes sur lesquelles notre vie est construire. Ces événements sont comme un réveil brutal à la Réalité, car la science de notre époque est une science "matérialisante" qui non seulement maintient le fossé avec le monde de l'Esprit, mais contribue à l'élargir d'avantage. Heureusement, le monde de l'Esprit cherche toujours à nous rejoindre pour nous donner une chance de sortir du jeu. Et pour nous rejoindre, Il passe seulement par notre double. C'est pourquoi, sans connexion avec le double, il n'est pas possible de rejoindre le monde de l'Esprit, notre Unité première.

* Cf. Livre de Jean-Pierre & Lucile Garnier "Le double, comment ça marche ?" (Éditions Le Temps présent).

La qualité de la connexion varie selon la manière dont l'incarnation a été vécue. Toutefois, l'éducation et l'ivresse de la matière nous font vite oublier cette connexion, ce qui nous fait errer dans la matière réincarnation après réincarnation.

 

C'est mon ami et c'est mon maître

Dédiée à son ami et parolier Marcel Gobineau (décédé en 1994), cette chanson de Serge Lama sortie en 1989 (album A La Vie, A L'amour) évoque la relation profonde, subtile, tout en amour et respect, que l'être humain éveillé établit avec sa plus haute version lumineuse, le Soi divin, autrement dit l'Esprit manifesté par son Âme unifiée.

Cf. Qu'est-ce que l'homme ?

 


Les dérives psychiques

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Les troubles de la personnalité constituent une dérive à la norme qui caractérise la personnalité en termes de relative stabilité dans la pensée et le comportement, soit des états suffisamment constants et cohérents, ainsi qu'à ce qui dévie notablement de ce qui est attendu dans la culture de l'individu. Ils entraînent une gêne et une souffrance tant pour l'individu que son entourage.

Ces troubles, qui ne sont pas tout à fait des maladies au sens conventionnel, peuvent être associés à une pathologie psychiatrique, comme l'hystérie, les Troubles Obsessionnels Compulsifs (TOC), la paranoïa, la psychopathie (ou personnalité dyssociale), l'état-limite (borderline), l'état bipolaire. Toutefois, tout ce qui est " anormal " n'est pas forcément le signe d'une pathologie.

L'altération psycho-émotionnelle se produit lors du processus d'individuation du sujet, en raison d'un déséquilibre des images que nous puisons en relation avec le féminin et avec le masculin, peu importe qui l'exprime (le père ou la mère). C'est ce que Carl Gustav Jung a traduit dans son concept anima/animus. Nous construisons nos repères en faisant la distinction entre deux genres, le masculin (anima) et le féminin (animus), qui se traduisent dans le caractère affiché et non l'appartenance à un genre sexuel *. Si cet équilibre n'est pas assuré, il est constitutif de la prégnance d'une image pour l'enfant (mère castratrice, père autoritaire...) qui constitue une trace mnésique. La future personnalité est ainsi en partie déterminée entre un Monde imaginaire où tout est permis (la jouissance du don maternel qu'est le sein) et la castration émanant du père qui y met fin. Les dérives psychiques trouvent leurs principales causes dans cette problématique.

* Ceci valide la question de l'adoption d'un enfant par un couple d'homosexuels, l'équilibre anima/animus étant respecté. L'enfant peut ainsi s'identifier aux deux caractères. Plus problématique est la représentation politique confiée à des représentant(e)s qui, par-delà le genre sexuel, sont des personnalités à la seule tendance masculine, électrique ...

 

Figures féminines de l'anima (l'homme)

. La femme primitive : l'image, fortement sexualisée, représente les relations purement instinctives et biologiques.

. La femme romantique : l'érotisme s'étend à toute l'image féminine ; l'image est chargée esthétiquement ; caresses et contemplation sont préférées aux enlacements orgasmiques.

. La femme vénérée : la sexualité est exclue, l'érotisme est sublimé jusqu'à la dévotion.

. Sapientia, la sagesse de l'éternel féminin (Déesse de la sagesse, Athéna).

Figures masculines de l'animus (la femme)

. L'homme sauvage : l'image est fortement sexualisée ; personnification du pouvoir physique.

. L'homme romantique, l'aventurier : la sexualité diminue et laisse la place à l'admiration devant la sensibilité ou la prouesse.

. Celui qui a la parole : la lumière éclairante de l'existence ; le professeur, le leader politique ou religieux.

. Logos, le savoir masculin : l'anima est symbolisé par le sens ultime de l'existence et du cosmos, par un dépassement de ses propres limites ; les grands philosophes ou les gurus enseignant les sentiers secrets.

 


Les pathologies qui caractérisent cette modalité binaire masculin/féminin sont toutes liées au "meurtre symbolique de l'enfant", passant par deux situations :

. L'enfant est relégué au simple rang d'un objet, les parents étant trop préoccupés par la construction de leur moi et leur désir narcissique. L'enfant reste alors sans possibilité identificatoire, sinon celle de se construire par l'imaginaire le personnage de "super-héros". L'orgueil est alors sa marque d'expression, ouvrant le portail des névroses qui peuvent évoluer dans leur densification de vécu en psychoses.

. L'enfant est rejeté ou non reconnu dans ce qu'il est. Il ne correspond ni aux désirs du père ou ni à ceux de la mère, parfois des deux. Ne se reconnaissant pas en lui, les parents lui envoient des messages de non-amour. C'est alors la porte ouverte aux différentes formes de perversion.

 

En observant tout le travail de détricotage des référentiels famille/masculin sacré/féminin sacré entrepris depuis plusieurs décennies dans une société prônant le matérialisme, l'individualisme et l'hédonisme, nous comprenons bien mieux par cette "épidémie psychique", due à l'effondrement des "garde-fous névrotiques", le type de personnalités aux commandes institutionnelles, leur avidité de pouvoir, de reconnaissance et d'honneurs n'étant que l'expression de la dénaturation de leur construction psychologique*. Bien naturellement, ils font payer au plus grand nombre le prix conséquent de leur pathologie...

* Cf. Le modèle pyramidal décodé & Les psychopathes qui nous gouvernent.

 

Les névroses et psychoses

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Les névroses découlent de notre polarité féminine magnétique. Elles sont de nature émotionnelle, en relation avec l'archétype la Lune, dissimulées et enfouies dans l'inconscient. Elles résultent d'une intensité plus ou moins régulée de leur source, issue de l'identification initiale au père-mère / masculin-féminin relativement équilibrée, d'où leur qualificatif de névroses ordinaires. C'est notre Âme en souffrance à travers les blessures de l'enfant intérieur, qui ne peut exprimer totalement son authenticité profonde, nourrie d'amour, de paix et de joie. Elles sont une altération de nos "vertus", qui se répercute sur nos comportements par ces états d'âme, comme si c'était un autre que notre moi qui prenait le relais.

Il y a sept grandes névroses ordinaires, que l'on peut illustrer à travers les 7 péchés ou vices capitaux* propres à la religion catholique et orthodoxe, celle-ci les qualifiant de "possessions" (Cf. image). Elles sont d'intensité variable, et propices à enflammer les canaux de la gravure psychique correspondante lorsqu'elles ne sont pas régulées en conscience :

. Envie : impatience / jalousie / convoitise.

. Gourmandise : plaisir des sens / accumulation / délicatesse autocentrée (narcissisme).

. Paresse : facilité / lenteur / négligence.

. Colère : effervescence / fougue / vengeance.

. Avarice : économie / usure / perte-casse.

. Orgueil : amour-propre / gloire / succès.

. Luxure : excès / sensualité / vice.

L'imagerie judéo-chrétienne les a rassemblées sous les archétypes de Lucifer, Mammon, Satan, Belphégor, Léviathan, Belzébuth, Asmodée, les sept diables. Ces images allégoriques préfiguraient à leur manière les concepts et archétypes de la psychanalyse moderne.

* Nous pouvons ainsi mesurer de quelle façon le vocabulaire religieux (péché, vice) peut être source de culpabilité concernant le fonctionnement physiologique de l'être humain.

 

Exacerbées quand il y a une surexcitation au niveau des capteurs sensoriels, leurs fréquences peuvent alors devenir pathologiques, qualifiées alors sur le plan thérapeutique de psychoses. Toute la difficulté d'analyse comme de traitement repose sur la compréhension du chemin spécifique qu'elles empruntent dans la psyché de l'individu, correspondant à son histoire personnelle.

La plus connue est la dépression, soit un trouble de l'humeur empêchant de percevoir le vécu d'une façon "normale" et de ressentir du bien-être, le patient restant figé, maussade et triste avec des troubles du sommeil, de l'appétit, un manque d'envie d'agir et parfois même des envies suicidaires. Elle peut survenir à tous les âges, deux fois plus souvent chez les femmes que chez les hommes, concernant environ 20 % d'une population au moins une fois dans la vie. La cause est le déséquilibre de certains neurotransmetteurs du cerveau, les monoamines (sérotonine, noradrénaline, dopamine), tout comme des facteurs environnementaux (enfance perturbée, stress, précarité affective et matérielle ...). Si nombre d'antidépresseurs (AD)* ont été élaborés, voire complétés par des séances d'électrochocs sous anesthésie générale (sismothérapie), leurs bienfaits sont contestés voire remis en question, conduisant à rechercher toujours et encore de nouvelles molécules considérées comme supérieures en termes d'efficacité à l'effet placebo. Pourtant, l'être humain n'est-il pas le premier guérisseur de lui-même une fois la connaissance de Qui Il Est acquise ?

* Il en existe une quarantaine (amitriptyline, clomipramine, inhibiteurs sélectifs de la recapture de la sérotonine ...).

 

Borderline, l'état-limite

Il est un trouble plus récent issu tant de la psychopathologie (maladie) que de la psychanalyse, qui initialement pour certains de ses représentants désignait les patients qui développaient des psychoses pendant la cure analytique et s'en protégeaient par un mécanisme de défense particulier appelé le "clivage du moi", consistant à isoler la partie saine du "moi" de la partie défaillante pour éviter une généralisation du processus morbide à l'ensemble du Moi. Cette protection ou mécanisme de défense entraîne une perte de l'unité du moi et un déni.

Cet état d'instabilité émotionnelle pouvant devenir dangereux de par son caractère impulsif et incontrôlable caractérise la situation d'individus se trouvant à la limite de la névrose et de la psychose, cette division classique des pathologies de la psychiatrie faisant l'objet de nombreuses controverses. C'est pourquoi son diagnostic est discuté et, parfois, est source de polémiques, les points de vues de différents cliniciens étant loin dʼêtre consensuels. De ce fait, certains ne l'utilisent pas. Il est également présent dans les classifications internationales des maladies.

La description simplifiée et plus facilement repérable des traits de personnalité de l'individu dit borderline est la suivante :

. Sentiment chronique de vide : ennui, malaise, tristesse, anhédonie (déficit dans la capacité à éprouver du plaisir), insatisfaction.

. Crainte des abandons, des ruptures (angoisses d'abandon), relation de dépendance avec fond de passivité mais relation tumultueuse et avide 

(relation anaclitique). Aggravation importante de l'état psychique après une rupture (dépression grave, auto agressivité, signes psychotiques).

. Relations affectives instables et intenses avec une idéalisation excessive du partenaire ou une dévalorisation de soi extrême.

. Perturbation de l'identité : absence ou instabilité de l'image de soi qui peut varier d'un extrême à l'autre, désinhibition.

. Addiction aux substances toxiques et aux excès : abus d'alcool, de drogue, absorption médicamenteuse, dépenses excessives, boulimie, rapports sexuels sans lendemain, troubles alimentaires.

. Impulsivité, colères intenses : violence, auto agressivité, tentatives de suicides, conduite automobile dangereuse, destruction de bien, vol, automutilation, scarifications plus ou moins profondes.

L'individu borderline évolue - plus exactement involue - par l'aspect chronique ou récurrent de ses troubles (pas ou très peu de phases de répit) vers l'isolement, la précarité sociale, la surmortalité (suicide, consommation toxique, conséquence des conduites à risque). Son traitement est complexe, difficile, expliquant le recours fréquent aux psychotropes : antidépresseurs, anxiolytiques, antipsychotiques (ou neuroleptiques), normothymiques (stabilisants de l'humeur).

 

Du burn-out

Le burn-out, "l'énergie disparue", est un état de fatigue tel que l’on ne peut plus se lever le matin. Le corps a dit "stop", refusant de continuer. Les batteries sont totalement à plat. Il est impossible de se lever, d'écouter son interlocuteur. Le "ras le bol" étant physique et moral, tout est devenu insurmontable, alors même que l'individu était jusqu'alors hyperactif, enthousiaste, battant. La durée de cet état est variable, pouvant aller de quelques semaines à plus d’un an. Mais si la chute est rude, elle est souvent salutaire, car obligeant à une remise en cause radicale de son mode de vie et de ses priorités.

Certaines douleurs peuvent annoncer un risque de burn-out, comme le dos, la nuque, les épaules, les bras, la tête ou encore les problèmes dentaires. Autant de signes qui indiquent que l'individu en a trop sur les épaules, trop dans la tête. Et certaines fonctions du corps peuvent alors être touchées, sur les plans cardiaque (hypertension, trouble du rythme du cœur), digestif (ulcères, constipation, douleurs), nerveux (trouble de la mémoire et de la concentration, dépression), hormonal (perturbation du cycle menstruel, cholestérol), immunitaire (infections à répétition, allergies). Et tout cela s’accompagne d’une souffrance émotionnelle : manque d’enthousiasme, mal-être, irritabilité, angoisse, insomnies...

Il convient de faire des examens médicaux pour voir ce qui se passe, et le repos sera bien sûr nécessaire.

Sa prévention comme son traitement passe par le fait de s'écouter, de prendre soin du corps, de faire des choix équilibrés dans la gestion de son temps sur le plan familial comme professionnel (priorités et organisation), de prendre en compte ses besoins réels, et de sortir de relations sociales toxiques quelle qu'en soit la cause (supérieur hiérarchique, parents, conjoint...). La rupture ou la distanciation sont alors impératives. Il s'agit de retrouver sens à sa façon de vivre, non pour les autres, mais pour soi. Autrement dit, de se remettre sur son vrai chemin de vie !

 

Bipolaire, l'état alternatif

La bipolarité est une pathologie psychique qui se caractérise par une alternance d’épisodes maniaques et dépressifs, entrecoupés de phases calmes où le sujet ne présente aucun trouble. Les périodes maniaques se traduisent par un état particulièrement euphorique et exalté. L’individu dort très peu et semble souvent irrité. Durant les phases dépressives, il est au contraire extrêmement triste et mélancolique. Il semble totalement abattu, il ne ressent plus aucun désir et peine à assumer les tâches habituelles du quotidien. Il dort beaucoup, n’a plus d’appétit et éprouve fréquemment des envies suicidaires.

Il est plus ou moins facile de distinguer entre bipolarité et état borderline, ce qui nécessite d'observer avec précision les aspects relatifs à lʼinstabilité émotionnelle, lʼimpulsivité et lʼhyperactivité hypomaniaque.

. Si l'impulsivité est une dimension commune aux deux troubles, elle sʼavère être plus intense et constante du trouble Borderline, se manifestant plus fréquemment par des gestes suicidaires et dʼautomutilation. Chez les bipolaires lʼimpulsivité serait plus volontiers épisodique.

. Lʼinstabilité émotionnelle se manifeste dans la bipolarité par des changements qui se font entre les pôles dépressif ou tristesse et (hypo)maniaque ou exaltation, alors que chez les borderline les oscillations se font plutôt entre lʼeuthymie (humeur normale) et la colère. Les changements dʼhumeur chez les bipolaires apparaissent moins liés aux facteurs extérieurs alors que chez les borderline on constate un aspect  réactionnel aux événements.

. La dimension hypomaniaque (trouble de l'humeur) sʼavère être dʼune durée moyenne plus brève chez les borderline (inférieure au seuil de 4 jours).

Toute la question de l'état du trouble constaté va porter sur la notion d'aggravation constatée du sujet bipolaire, autrement dit l'observation de la   cyclothymie * (oscillations des niveaux émotionnels, cognitifs et psychomoteurs). D'autre part, les "schémas de vie précoces inadaptés" *² permettent une approche originale des troubles de la personnalité (spécialement du trouble borderline), cette approche combinant les tempéraments, les besoins de lʼindividu, les expériences précoces et lʼadaptation à lʼenvironnement (cinq "domaines" correspondant aux besoins affectifs fondamentaux sont définis avec un total de 18 schémas). C'est ainsi que dans le trouble borderline dominent les domaines "séparation / rejet" et "manque dʼautonomie et performance", voire accessoirement le domaine "manque de limites". Concernant le trouble bipolaire, le domaine "manque de limites" et lʼabsence de "schéma de contrôle émotionnel" ressortent selon de récentes études.En s'extrayant de l'analyse scientifique classique, le fait que tout être humain doté d'une âme soit généralement piloté dans son incarnation terrestre par ses deux polarités constitutives, les modes "Service de Soi" et "Service d'Autrui", permet de comprendre comment les entités trans-dimensionnelles qui le gouvernent tentent par tous les moyens d'empêcher sa libération psycho-émotionnelle par l'accès aux mémoires de l'âme fracturée. Il en découle la bipolarité, dont l'intensité varie suivant l'état de son parcours d'individuation.

* Le tempérament est la base psychobiologique de la personnalité qui détermine la façon endogène de réagir à lʼenvironnement. On distingue cinq types de tempéraments : cyclothymique, hyperthymique, dysthymique, irritable et anxieux. Ces tempéraments affectifs sont définis par des critères "sub-syndromiques" des troubles majeurs en termes dʼintensité, de stabilité, de réactivité, de modes interpersonnels et de sommeil. En quelque sorte, les tempéraments affectifs sont en continuité avec les troubles de lʼhumeur (par exemple dysthymie et dépression ; cyclothymie et bipolarité ; hyperthymie et manie chronique).

Ils ont été établis par les psychologues états-uniens Jeffrey E.Young, Janet S. Klosko et Marjorie E. Weishaar dans leur ouvrage "Les Schémas Précoces Inadaptés. La thérapie des schémas : Approche cognitive des troubles de la personnalité" (2006). Les cinq schémas sont "abandon/ instabilité", "dépendance / incompétence", "contrôle de soi / autodiscipline insuffisants", "abnégation", "idéaux exigeants / critique excessive".

 

Toutefois, si la profondeur de la blessure initiale dans la relation au père et/ou la mère est profonde, les névroses laissent alors place à la perversion. C'est le complexe d’Œdipe défini par Freud lorsque l'enfant veut prendre la place du père, ou celle de la mère dans le mythe d'Électre utilisé par Jung, qui se traduit alors par le mélange de l'orgueil et du narcissisme.

 

Les perversions

 

Au sens général, la perversion désigne une inclination à des conduites considérées comme "déviantes" par rapport aux règles et croyances morales d'une société, son étymologie latine pervertere signifiant "mettre sens dessus dessous", "action de détourner quelque chose de sa vraie nature". Son sens moral - "conversion au vice" - date du XVIIe siècle, ayant eu longtemps une connotation religieuse. Dans le vocabulaire courant, le terme est utilisé pour désigner soit une déviation des instincts conduisant à des comportements immoraux et antisociaux, soit la transformation de sens subie par un discours (par exemple un message politique), soit la manipulation, l'abus et la cruauté.

En matière de mœurs, le mot fait souvent allusion à la sexualité, sa notion ayant beaucoup évolué en fonction des époques et des normes, religieuses et pénales.

En psychiatrie, le terme se réfère la plupart du temps à des conduites immorales ou amorales considérées comme déviantes, dont la liste elle-aussi a évolué dans l'histoire de cette discipline selon des critères relevant avant tout des normes sociales en vigueur. 

En psychanalyse, Sigmund Freud a d'abord inclus la perversion dans le cadre de la sexualité, pour l'étudier ensuite dans une perspective psychogénétique de fixations et de régressions. D'une certaine façon, s'il suppose l'existence de ce processus chez l'enfant, c'est surtout l'adulte qui, dans son développement, est l'enjeu de la dynamique des fixations et des régressions, pouvant développer une perversion dans le sens psychopathologique en cas de pulsion d'emprise se manifestant dans la relation à l'objet. La perversion sexuelle n'est que l'une des manifestations de la perversion, tout comme la perversion narcissique.

 

La perversion désigne classiquement la perversion sexuelle *, étant une sexualité avec un objet de satisfaction "anormal". Ainsi la pédophilie - pédocriminalité lors du passage à l'acte -, l'objet de satisfaction étant l'enfant. L'influence de la psychopathologie et de la psychanalyse ayant favorisé une prise de distance avec une clinique se contentant de décrire les comportements, le pervers n'est plus repéré par son comportement (sexualité déviante) mais par les particularités de son psychisme, autrement dit par sa structure psychique. C'est pourquoi des individus peuvent être des pervers - voyeurisme, fétichisme, exhibitionnisme -, sans pour autant avoir un comportement sexuel déviant générateur d'angoisse et de stress pour le/la "partenaire". Pour autant, les classifications internationales des maladies (CIM) et dépressions (DIM) établies restent centrées sur le comportement sexuel déviant, avec le risque d'une clinique moralisante dans cette approche de la sexualité pathologique versus la sexualité "normale". Il n'est qu'à se souvenir de la condamnation médicale de la masturbation jusqu'au XIX° siècle, et de l'homosexualité considérée comme une pathologie jusqu'aux années 80 du XX° siècle.

Parce que l'énergie sexuelle est constitutive de son fonctionnement, la manipulation psycho-émotionnelle de l'être humain par la sexualité est tout particulièrement prisée par la prédation extra-dimensionnelle *².

* Elle tend à disparaître des classifications internationales, remplacée par le terme de paraphilie, déviation sexuelle ou trouble de la préférence sexuelle.

Cf. Conscience et dépassement de la matrice sexuelle.

 

Perversion sexuelle

Un comportement pervers devient pathologique si l'impulsion sexuelle déviante est intense et répétée, qu'elle n'est pas occasionnelle, et qu'il y a une notion de contrainte pour obtenir une satisfaction. Les déviations sexuelles sont très nombreuses, concernant essentiellement les hommes. Sous l'influence de la justice, les approches criminologiques décrivent les violences sexuelles.

. Le fétichisme : satisfaction sexuelle dirigée vers un objet le plus souvent associé au corps humain (chaussure, bas, gant, sous-vêtements, etc.), et utilisé soit seul avec masturbation, soit avec un partenaire sexuel.

. La pédophilie (désir) / pédocriminalité (acte) : le pédophile est un adulte qui a l'enfant pré-pubère comme objet de satisfaction sexuelle. Le désir est souvent hétérosexuel, et le plus souvent l'acte pédophilique est réalisé sans pénétration sexuelle.

. Le masochisme : la jouissance est possible si elle est associée à une souffrance physique (importance des scénarios et des ustensiles).

. Le sadisme : le plaisir sexuel est associé à des souffrances ou des humiliations associées à l'autre.

. Le voyeurisme : le plaisir associé ou non à une masturbation est obtenu en épiant à son insu une personne dans son intimité.

. L'exhibitionnisme : plaisir à montrer son sexe en érection avec la réaction de dégoût ou de peur chez la victime, souvent avec un scénario ou un décor.

. Les déviations contemporaines sont le plaisir par relais technique (téléphonique, internet, smartphone, consoles " virtual sex "), le " frotteurisme " (se frotter contre la victime dans des lieux à forte concentration humaine comme métro, bus, etc.), et le " robotoïde sex " (nouvelle génération de poupées gonflables).

Le traitement de la perversion sexuelle est assuré par des psychothérapies classiques ou spécialisées (en particulier des psychothérapies de groupe), et des traitements hormonaux permettent une diminution de la libido sans action sur l'objet déviant du désir. Ils sont souvent dispensés avec un lien avec la justice après un jugement, sous forme d'une obligation de soin ou d'une injonction de soin.

Le viol quant à lui n'est pas une perversion au sens classique, puisqu'il n'est pas obligatoirement associé à un objet sexuel déviant sauf dans les cas de viol avec sadisme (plutôt rare).

 

De la paraphilie

Une paraphilie (du grec para-, "auprès de, à côté de" et -philia, "amour") est une attirance ou pratique sexuelle qui diffère des actes traditionnellement considérés comme "normaux", mais que la loi peut proscrire en tant que délit ou crime sexuel dans différents pays, notamment lorsque le/la partenaire est sous contrainte. Ce terme, établi par le sexologue autrichien Friedrich Salomon Krauss (1859/1938) et popularisé par le sexologue néo-zélandais John Money dans les années 1970, est utilisé par certains milieux psychiatriques aux États-Unis à la place du mot perversion considéré comme trop péjoratif des déviances sexuelles. Il classifie ainsi les intérêts sexuels inhabituels alternatifs à la norme officielle idéologique. Le "véritable" paraphile doit a fortiori, en tant que psychopathe/sociopathe (la déviation sexuelle en tant que trouble de personnalité est de sous-type psychopathe), satisfaire l'objet de sa déviance pour s’exciter sexuellement, la pulsion sexuelle ressentie nécessitant un passage à l’acte pour faire disparaître une tension ...

Les paraphilies en tant que "fantaisie, désir ou comportement sexuellement intense" (qualifiés de "troubles psychosexuels" ou "troubles de l'identité sexuelle et des genres") incluent généralement des anomalies relevant d'un côté pathologique avéré telles que l'exhibitionnisme (besoin ou comportement consistant à exposer ses parties génitales à d'autres personnes ou d'agir sexuellement en public) ; l'utilisation d'objets inanimés pour gagner une excitation sexuelle ; le non-consentement d'une personne et, en découlant, le viol ; le fétichisme ; le frotteurisme (besoin ou comportement consistant à toucher ou se frotter contre une personne non consentante) ; la pédophilie ; le masochisme (besoin ou comportement consistant à rechercher l'humiliation, à être tapé, soumis ou à souffrir en tant que plaisir sexuel) ; le sadisme sexuel (besoin ou comportement consistant à rechercher de la souffrance sur une autre personne en tant que plaisir sexuel) ; le transvestisme fétichiste (attirance dans le port des vêtements du sexe opposé) ; le voyeurisme (besoin ou comportement consistant à observer un individu non suspicieux nu, dénudé ou engageant des rapports sexuels). D'autres paraphilies incluent la scatologie téléphonique (appel téléphonique obscène), la nécrophilie (attirance sexuelle pour les cadavres), le partialisme (une seule partie spécifique du corps humain est intéressante pour l'individu), la zoophilie (un animal est l'objet du désir), la coprophilie (celui/celle qui aime les matières fécales), la clystérophilie ou klysmaphilie (pratique sexuelle consistant à administrer ou à se faire administrer un liquide dans l'anus et le colon), l'ondinisme ou urophilie (forte excitation érotique liée à l'urine), l'émétophilie (individu sexuellement excité par la pratique ou la vue du vomi).

Les paraphilies doivent être distinguées notamment des problèmes psychiques et comportementaux associés au développement sexuel et à l'orientation sexuelle, ou des dysfonctionnements sexuels.

D'après de nombreuses études, le fétichisme du pied* (Cf. photo) est considéré comme le fétichisme sexuel et préférence sexuelle les plus répandus au monde. Se manifestant généralement chez les hommes attirés vers les pieds féminins ou masculins, il survient possiblement à un très jeune âge et généralement dès la petite enfance ou au début de l'adolescence, rarement à l'âge adulte. Il se caractérise par un désir et une excitation sexuelle pour les pieds parfois à l'exclusion de tout le reste. Plusieurs éléments tels que l'odorat, le toucher et la vue du pied peuvent provoquer l'excitation. Pour un fétichiste du pied, les points d'attirance incluent la forme et la taille du pied et des orteils (longs/courts orteils, ongles d'orteils, vernis ou sans, petits ou longs pieds, talons, etc.). La présence d'objets tels que la bague d'orteil et la chaîne de cheville et d'habillements (collants, chaussettes, tongs ou chaussures) est également incluse et varie selon les envies du fétichiste. Les formes d'excitation sexuelle incluent le léchage, les baisers, les chatouilles et reniflements. Le "footjob" (forme de caresse sensuelle et sexuelle qui voit le partenaire utiliser ses pieds pour stimuler son partenaire en frottant, caressant ou masturbant ses parties génitales, et qui peut être effectuée lors d'un jeu de rôle ou jusqu'à ce que le partenaire receveur obtienne un orgasme) et autres types de jeux sensuels peuvent être inclus. L'écrasement ou le piétinement sont considérés comme une partie plus controversée du fétichisme du pied.

Dans certaines sociétés, l'attirance sexuelle pour le pied est considérée anormale (qu'elle soit prononcée ou non), tandis que dans d'autres pays, elle paraît normale voire répandue (ainsi dans le sud de la République populaire de Chine).

* Le fétichisme du pied remonterait au-delà du XVI° siècle, répandu durant les épidémies de gonorrhée et de syphilis survenues en Europe durant les XVI° et XIX° siècles.

 

Les perversions, soit des troubles de la personnalité psychique relevant de la psychopathie, découlent de notre polarité masculine électrique exacerbée. Elles sont de ce fait de nature mentale, intellectuelle, en relation avec l'archétype Soleil. Celui-ci renvoie au Père, d'où "père version". Cela vaut également quoique non usitée pour la merversion, la "mère version". Par le moi qui a été blessé à travers les cinq blessures possibles de l'âme (trahison, abandon, rejet, humiliation, injustice), elles constituent la voie choisie par l'être humain, d'abord l'enfant puis l'adulte, pour échapper à la psychose. Elles conduisent à la rébellion*, à la révolution contre l'autorité, soit le "meurtre" symbolique du père et/ou mère par procuration. L'autre, les autres, deviennent alors les victimes toutes désignées de ce désir enflammé.

Cette expression typiquement "psycho logique ment binaire" est source de division, de coupure radicale avec l'Âme. C'est le diabole, soit Satan pour le religieux, l'enfermement ("l'enfer me ment"). Sans nouveau "re Père" ou "re Mère", nous restons alors sous leur emprise. Le pervers narcissique si destructeur comme le terroriste kamikaze*² dans une société fonctionnant selon le modèle binaire l'illustrent.

* Cette rébellion est soit directe, soit indirecte par soumission ou par manipulation. Elle n'est jamais basée sur le désir d'union et de partage respectueux.

Le "syndrome" du terroriste kamikaze, outre la blessure initiale de l’Âme ayant conduit à la psychopathie, est renforcé par les techniques de contrôle mental le conduisant à l'acte destructeur ultime, le meurtre. Si bien sûr nombre de pervers narcissiques ne vont pas jusqu'à cette extrémité, ils n'en demeurent pas moins des "meurtriers" de l’Âme d'autrui, en commençant par la leur. Un bourreau est toujours une victime, celle de ses propres ténèbres et du prédateur qui l'y précipite.

 

Le complexe d'Œdipe

L'enfant n'ayant pu s'identifier au père, objet de toutes les jouissances, veut se substituer à lui pour obtenir le pouvoir absolu. C'est pour cela qu'inconsciemment il "couchera" avec la mère*. Être le père et récupérer son pouvoir phallique est la préoccupation de tous ceux qui n'ont pas reçu de lui la garantie d'exister. A défaut de transmission de filiation et de pouvoir réellement tuer le père, l'enfant (et l'adulte qu'il est devenu) va se chercher un nouveau père auprès duquel il va pouvoir nourrir son identité. Et faute de le trouver, il va en trouver un d'imaginaire, un héros puisé aux sources de l'actualité présente ou passé. Il n'est qu'à observer un certain nombre d'acteurs politiques ou dirigeants d'entreprise pour comprendre l'origine de leur pathologie orgueilleuse au pouvoir (Cf. leur référence à De Gaulle, Kennedy, Napoléon, Jupiter...).

* Cf. Perversité du trio Nemrod / Sémiramis / Tammuz dans Le modèle européen décodé (1) Un ADN impérial païen.

 

Le mythe d'Électre

L'enfant n'a pu s'identifier à la mère, et s'est construit des masques, la "persona" selon Jung. Tant qu'une personne reste prisonnière de parents combinés, elle est prise dans leur programme de vie, dans leur couple-prison. Ce n'est que lorsqu'elle les a "tués", c'est-à-dire qu'elle assume d'être seule et mortelle, qu'elle peut extraire l'anima (représentation masculine) de la mère et l'animus (représentation féminine) du père, et être consciente qu'elle est hermaphrodite, soit les deux à la fois. Alors elle peut opérer l'union du conscient et de l'inconscient, et accéder au Soi.


Ainsi le pervers narcissique est d'abord une victime d'une gravure mnésique relative au "non père" et/ou à "la non mère". Même si le logiciel pervers, une fois structuré, n'est pas mis en branle, il reste lové, tel un virus, en attente du moment favorable qui le fera s'activer. Durant toute cette période, le pervers narcissique est comparable à un porteur sain, rien en lui ne laissant imaginer la blessure initiale contenue. Cela explique sa capacité à leurrer son entourage*, y compris thérapeutique, par une séduction de façade tout particulièrement dans le langage employé. Aussi tant le repérage des symptômes prédictifs qu'un travail sur l'affirmation de soi-même (maturité du moi) s'avèrent nécessaire pour ne pas tomber dans ses filets. Tout n'étant qu'énergie, celle que nous dégageons est susceptible d'activer ou non le logiciel du pervers narcissique.

* Au-delà de l'entourage, le leurre du pervers narcissique touche tout particulièrement les soi-disant professionnels du recrutement, dits "chasseurs de tête" (ils devraient plutôt s'appeler "chasseurs du cœur" s'ils honoraient l'humain...). Sortant du même moule éducatif - "Grandes" écoles notamment -, fréquentant souvent les mêmes cénacles institutionnels, utilisant les mêmes outils d'évaluation à la personnalité formatée et normée, ils vont privilégier quoi qu'ils en disent les apparences extérieures rassurantes pour leur client alimentaire. La relation au pouvoir étant hormis de rares exceptions une pathologie de l'égo-mental enflammé, nul(le) ne s'étonnera que la proportion de pervers narcissiques est particulièrement conséquente dans le "top management".

 

Construction cognitive

De la même façon que notre respiration est contrôlée par les zones archaïques du cerveau, notre vie psychique est principalement inconsciente *, basée sur deux systèmes de fonctionnement.

* Cf. Esprit global.

Système 1 - Pensée rapide

Le psychopathe opère à partir de ce que le lauréat du Prix Nobel d'économie Daniel Kahneman a surnommé le "système 1" ou pensée rapide. C'est un modèle cognitif mis en place dans la petite enfance, dont les processus se situent essentiellement au sein du système limbique, se fondant sur les souvenirs et sont contrôlés par les émotions. Amplifié par essais et erreurs, ce type de pensée primitive "rapide et grossière", intuitive et incontrôlable, est idéal pour opérer dans des environnements chaotiques et conflictuels, tels sur un champ de bataille ou dans des jeux vidéo.

Ce système qualifié d'inconscient adaptatif par le psychologue états-unien Timothy Wilson peut être qualifié d'étranger au sein de nous-même. Autrement dit il est constitué de formes-psychiques porteuses de programmes-mémoires constitutifs de la prédation extra-dimensionnelle qui nous gouverne depuis la 4° dimension de réalité, et que seule la résonance morphique de champs supérieurs (le champ de l'Esprit universel) est à même de modifier, si éveil de conscience il va sans dire.

 

Système 2 - Pensée lente

A contrario, le "système 2", ou pensée lente, est rationnel, prévenant et logique. Étant donc à la fois analytique et constructif, il nécessite du temps. Les processus cognitifs du "système 2" ont lieu essentiellement dans le cortex, dans les régions des fonctions cérébrales supérieures et, lorsqu'il est pleinement évolué, l'individu utilise ces dernières qui ne sont acquises que par la recherche de relations mutuellement bénéfiques avec les autres et l'environnement. Ce type de pensée supérieure lente et empathique est idéal pour gérer les relations, la créativité et la complexité.


Le "système 1", ou pensée "intuitive" (plutôt présomptueuse), utilise des formules, des recettes, des scénarios, des schémas d'actions mémorisés et remémorés en partie à partir d'expériences passées, ou imitées à partir de l'observation d'actions "réussies" accomplies par d'autres dans des circonstances similaires. Ce type de pensée est bourré d'impulsions, de suppositions et d'erreurs. Ses seuls avantages réels concernent les réactions réflexes rapides dans des environnements de survie conflictuels et concurrentiels où l'immédiateté est le facteur critique.

On ne reconnaît pas les psychopathes uniquement à leur manque d'empathie, de conscience et à leurs façons d'agir impitoyables, manipulatrices, résolues, narcissiques et opportunistes, mais aussi à leur manque d'application quasi total de la pensée du "système 2". Cela signifie qu'ils souffrent d'une sévère incapacité à gérer la complexité, le bien-être d'autrui ou tout autre effet ultérieur de leurs actes au-delà de leur objectif intéressé immédiat, basé sur la dynamique du désir qui donne la possibilité au fantasme de se transformer en délire. Il en découle des formes de violence extrêmes, destinées à détruire radicalement tout ce qui fait obstacle à l’emprise paranoïaque du pouvoir. C’est une démarche de prédation, qui suppose un déséquilibre interne, une peur sous-jacente envers la "vie" qui doit donc être contrôlée, captée, divisée, et surtout homogénéisée.

 

(Note complémentaire : les liens de domination et de manipulation sont développés dans la publication Le lien, expression de la conscience collective).

 

De la psychopathie

La psychopathie n'est pas une maladie mentale, mais un trouble de personnalité, une déviance par rapport à la "norme". Si le terme est né dans les années 1930, le trouble est plutôt qualifié aujourd'hui par les spécialistes d'"organisation de la personnalité à expression psychopathique" (acronyme OPEP). La psychopathie toucherait 3 à 5 % de la population, surtout des hommes, plutôt entre 20 et 30 ans. Le porteur de ce trouble est sur le fond un "dyssocial", éprouvant des difficultés à maintenir des relations avec les autres. On distingue également dans les psychopathies les personnalités borderline*.

Six points caractérisent la personnalité psychopathe tels qu’identifiés par les experts :

. L’'indifférence froide, les individus n’étant pas sensibles à l’expression relationnelle par les sentiments.

. L'irresponsabilité, souvent revendiquée, avec un mépris des règles et des contraintes sociales.

. Difficulté de maintenir une relation avec autrui tout en ayant des facilités à nouer des relations en jouant sur la séduction, tout particulièrement le brio intellectuel. Simplement, elles ne durent pas.

. Intolérance à la frustration, la personnalité psychopathe ne supportant de ne pas obtenir ce qu'elle veut. Son seuil d'agressivité étant très bas, elle va très vite s'énerver.

. Absence de culpabilité, aucune remise en question après un passage à l'acte ne prévalant. Même les sanctions ne remettent pas le psychopathe en question.

. Tendance à blâmer autrui. Sa personnalité psychopathe va expliquer de manière très rationnelle ses difficultés avec la société, elle accuse les autres d'en être responsable, et de manière très convaincante.

Si nous pouvons tous exprimer à minima l'un de ces symptômes, leur intensité et fréquence vont caractériser la gravité du trouble. Ces symptômes ne sont jamais isolés, s'accompagnant d'une forte irritabilité et de passages à l'acte fréquents (actions violentes et impulsives). Ces passages à l'acte peuvent être dirigés contre soi-même (tentatives de suicide, automutilation…) ou contre les autres.

L'une des caractéristiques de la personnalité psychopathe ce sont les changements émotionnels en rapport avec l’intolérance à la frustration et l’anxiété qui y est liée. Il en découle des explosions émotionnelles fréquentes, une personnalité très impulsive, des personnes borderline.

En matière de relations amoureuses, les personnalités psychopathiques s'engagent dans des relations fortes et intenses, mais qui ne durent pas et explosent en vol.

A l’excès, la personnalité psychopathique va connaître des troubles psychiatriques brutaux, notamment des phases dépressionnaires arrivant soudainement, sans aucun signe avant-coureur. C’est pourquoi il est difficile de les différencier d'un trouble bipolaire.

Compte-tenu de tous ces éléments, un fort risque d'addiction existe chez ces personnes, l'alcool, l’usage de drogues et de médicaments pouvant être utilisés, souvent de manière aberrante.

* Selon certaines écoles de pensée en psychiatrie, l’état "borderline" (état limite) se situe à la limite de la névrose et de la psychose (cette ligne jaune des pathologies de la psychiatrie est controversée), et de ce fait moins facilement observable qu'une psychopathie tout en présentant nombre de symptômes communs. La grande majorité des individus "borderline" relèvent cependant plus de pathologies classiquement névrotiques ou psychotiques, sans entraîner des conséquences à caractère judiciaire tels les "vrais" psychopathes.

 

De la manipulation.

La relation d’emprise, véritable main basse sur l’esprit, permet de prendre le pouvoir sur quelqu’un par le " décervelage ". Son processus consiste en une perte progressive des capacités psychiques d’une personne soumise à des manipulations quotidiennes qui agissent comme des micros agressions. Le poison est instillé à dose homéopathique. Le manipulé devient peu à peu inapte à opérer la distinction entre ce qui est bon ou mauvais pour lui, et n’a pas conscience de ce " décervelage ". Incapable de discernement, privé de ses capacités d’analyse, de son esprit critique et de son libre arbitre, il obéit aux injonctions du manipulateur sans résistance. D’où la passivité qui caractérise une personne assujettie.

L'erreur souvent commise est de penser que les personnes manipulées sont " faibles ", ce qu’elles ne sont pas. Ce sont même souvent les personnes les plus " intelligentes ", dans le sens de " brillantes ", qui sont paradoxalement le plus " sensibles " ou les plus exposées aux techniques de manipulation. La manipulation instaure une relation d’emprise totalement asymétrique, d’autant plus forte qu’elle s’inscrit sur le long terme. Il n’y a aucune égalité entre un manipulateur et sa cible. Dans sa version la plus féroce, il s’agit d’une prédation à caractère intentionnel.

Le mécanisme de disjonction est identique à celui qui opère chez une personne traumatisée. Ce qui agit n’est pas l’intensité du vécu traumatique mais sa répétitivité, qui produit un effet sur les circuits neuronaux d’auto-inhibition. Cette auto inhibition se traduit par un phénomène d’autodestruction dont les conséquences physiologiques peuvent être très graves. Le décervelage ne représente que la phase préalable d’une dévitalisation dont les effets se répercutent sur la santé mentale et physique du manipulé.

Du fait de l’action du "décervelage", le manipulateur peut "imprimer" son mode de pensée chez le manipulé exactement comme on grave un nouveau fichier sur un disque CD vierge. De nouveaux comportements vont alors apparaître, qui agissent tels des cliquets antiretours dans l’évolution de la personne manipulée. Selon la théorie de l’engagement empruntée à la psychosociologie, l’individu réajuste son système de pensée pour le rendre cohérent avec ses agissements. Cette réorganisation psychique provoque des dissonances cognitives chez la personne manipulée qui se trouve alors en conflit de loyauté entre ce que la manipulation lui "impose" de faire et les valeurs morales que ces nouveaux comportements transgressent.

Or, le conflit de loyauté est, selon Ariane Bilheran, psychologue clinicienne auteur de nombreux ouvrages sur la question des violences psychologiques, le mode opératoire le plus fondamental de la torture. Toutefois, pour que le manipulé ne puisse pas retrouver ses capacités psychiques, l’état de confusion mentale doit être soigneusement entretenu. Un des meilleurs moyens pour y parvenir réside dans l’utilisation du discours paradoxal formulé ainsi : "Faites ce que je dis, mais pas ce que je fais et surtout puissiez-vous ne rien comprendre à ce que je vous raconte de manière à ce que, quoi que vous pensiez, quoi que vous disiez ou quoi que vous fassiez, je puisse toujours avoir raison". Ce type de communication, qui tend à faire agir les unes contre les autres différentes aires de la personnalité du manipulé, génère des conflits de loyauté et est "schizophrénogène". Autrement dit ce genre de communication rend "fou".

 

La "gravité spirituelle" des traumas

Dans la mesure où le corps humain détient une constellation de modules ou mécanismes de mémoires-programmes (ces "petits-moi" seraient au nombre de 987 selon l'historien russe Boris Mouravieff dans son ouvrage Gnôsis tome 2) qui déterminent notre perception, notre forme physique et notre personnalité, ceux-ci déterminent tout naturellement notre "monde" et par-là même notre destinée. C'est pourquoi cette dissociation psychologique que constitue un trauma, autrement dit une disharmonie (blessure), est constitutive par la répercussion psychique de l'onde de choc d'alter, soit la création d'un vide dans la mémoire occupé par l'esprit du trauma, celui-ci attirant les entités du corpus prédateur en raison du principe de sympathie *, et qui peuvent ainsi résonner avec nos problèmes sous forme de dépression ou d'angoisses. Renforçant notre monde subjectif afin de se nourrir, elles amplifient notre propension apparemment innée à nous illusionner nous-même, ces influences mutuelles s'inscrivant ainsi dans un espace-temps se confondant alors qu'il est différent (3-D pour les humains, 4-D pour les entités involutives). De ce fait, les traumas figent une dimension de temps dans le Temps du Rêve (le temps fractal du "kairos") qui n'est pas linéaire*². Cette vulnérabilité aux esprits/entités prédatrices et à leurs forces psychiques découle de l'affaiblissement de la barrière éthérique protectrice constituée par les spirilles, ces conduits vibratoires sous forme de filaments spiralés reliant le corps au champ éthérique. C'est ainsi qu'un être blessé par un trauma psycho-émotionnel, ouvre une porte, comme par exemple la culpabilité d'un animal tué voyant l'esprit de ce dernier venir se loger en compensation de la perte de son corps... A l'inverse, il ne peut y avoir d'intrusion si l'Unité originelle n'est pas brisée.

Comme certaines fonctions sont liées à ces fragments dissociés, chaque fragment perdu voit la fonction effacée (capacité à faire confiance, à aimer, à s'amuser...). Seule la réintégration de ces fragments fait réapparaître les capacités qui leur sont associées, tout en éliminant les symptômes pathologiques tel que le symptôme de stress post-traumatique. Nul ne s'étonnera alors que la répétition de traumas fragmente littéralement la personnalité et par-là même la réalité perçue, l'individu alternant entre différents mécanismes d'adaptation à la réalité. Elle est constitutive du trouble de personnalité multiple, tout commençant par une première scission de la volonté (la dissociation).

* Il est constitutif de ligands sur le plan anatomique, soit des molécules qui agissent de manière chimique sur les récepteurs cellulaires. Les traumas entraînent de ce fait des ligands semi-physiques de substitution venant combler une partie manquante de l'être, obscurcie en raison de la souffrance qui lui est associée.

Cf. Fin de cycle (1) Fin du temps ou fin des temps ?

 

C'est bien l'équilibre de nos polarités Masculin Féminin dans la conscience de Qui Nous Sommes vraiment qui conduit à la quête du Graal, l'accès au Soi mature et la récupération de son pouvoir de cocréateur divin puissant. Il passe par le chemin ou la voie du milieu, qui par la synthèse et l'union, permet le dépassement, l'élévation et l'ouverture à la dimension supérieure. Nous pouvons quitter alors la Caverne mortifère de la pré-humanité. "Trois est la formule des mondes créés", le signe spirituel de la création accomplie, sacrée*.

* Cf. Symbolisme mathématique.

 

Le corps comme reflet de l'âme, voie de guérison

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Les traumas liés aux dysfonctionnements psycho-émotionnels créent un clivage interne qui corrompt l'interface "psychique" de l'individu, permettant ainsi à des formes psychiques (relais des entités prédatrices) de s'associer à un terrain avec lequel elles sont en résonance. De ce fait, moins la conscience perçoit, plus les choix sont réduits et plus le libre arbitre diminue. Notre capacité de manifestation diminue aussi et notre "forme" se fige dans l'espace-temps, nous conduisant à penser ne plus pouvoir être autre chose que cette forme donnée avec toutes ses limitations. Or la caractéristique de ces formes psychiques est leur nature protéiforme, signifiant qu'elles changent en permanence. En effet, bien que notre corps reste relativement similaire dans le temps, notre atmosphère psychique change selon notre état général.

Ceci veut dire que notre corps est le reflet de notre âme - l'image de notre propre corps est celui que nous formons dans notre esprit, nous apparaissant comme tel -, les points de tension s'y manifestant constituant d'excellents révélateurs de notre disharmonie avec Ce Qui Est, l'Unité primordiale. Ils signalent la répercussion des formes psychiques sur la matière animée par le biais de l'expression génétique*. En questionnant nos tensions, en en personnifiant l'image ou la sensation, nous pouvons comprendre la signification de l'entité, de la sous-personnalité (le fragment d'âme ou alter), ou de la mémoire traumatique qui y sont attachées. Si les souvenirs qui émergent peuvent surprendre comme sortis de "nulle part", ils renvoient à l'origine du trauma, permettant alors le travail thérapeutique qui, par l'énergie de compassion et de pardon, s'attache à sa libération de notre épigénétique par le "kiristos", la conscience christique. Ceci entend fort logiquement que nous collaborions avec notre prédateur, et non que nous le fuyions tel que nous l'enseigne le faux religieux ("Arrière Satan..."). Alors seulement pouvons-nous nous engager sur le chemin évolutif du mode "Service d'Autrui", puisque nous intégrons la loi d'Unité (effacement de nos mémoires cellulaires des alter constitutifs de traumas) qui nous amène à offrir à notre "bourreau" prédateur la clé lui permettant à son tour de s'engager sur un chemin d'évolution ...

* Il convient de garder à l'esprit que nous nous incarnons en 3ème dimension de réalité avec un ADN amputé de nombre de ses brins constitutifs, ce que les scientifiques nomment l'ADN poubelle (junk DNA). Cette amputation à l'initiative de nos maîtres prédateurs asservisseurs leur permet la manipulation psycho-émotionnelle source de traumas, constitutive de leur nourriture de survie. Seul l'appel à nos mémoires par le canal de l'âme permet de se reconnecter au grand champ de l'Esprit universel, et de recevoir les informations nécessaires à la reconstruction de nos brins d'ADN manquants, soit la récupération de notre véritable pouvoir de co-création.

 

Chemin de guérison du mal être

Il trouve sa clé dans le concept de Jacques Lacan des trois "A" : l’Autre (relation à soi comme aux autres), l’Art (création) et l’Amour... Ils permettent non seulement de construire "la personnalité psychique", mais également d’y trouver des remèdes quand celle-ci se retrouve confrontée au néant. Véritable thérapeutique offerte à tous ceux ou à toutes celles qui sont en proie au mal être, c’est un mode de vie - celui de l'unité - qui nous invite à rester et demeurer en harmonie avec les autres, avec nous-même et avec tout ce qui nous entoure.

Pour ce faire, nous avons à réintégrer les trois corps constitutifs de notre dissociation :

- Le corps perçu, source de répétition et de renforcement de l'image dénaturée le caractérisant par l'égo-mental (le petit moi) ;

- Le corps libidinal, qui correspond aux mouvements de l'affect découlant de l'interaction sociale (parentèle, conjoint, ami, quidam...) ;

- Le corps social, qui correspond aux pensées culturelles induites par les égrégores nourriciers de l'inconscient collectif (idéologie politique, dogme religieux, dogme scientifique, concept philosophique...)

 

Ainsi cette dissociation est toujours le fruit de chocs ou pressions extérieures, renforcée par l'héritage biologique partagé par les membres d'une même espèce, nommé "champ morphogénétique" par le biologiste anglais Rupert Sheldrake, et constitutif de sa continuité évolutive dans le temps. En s'attachant à le détecter et à le percevoir à travers ses formes (molécules, cristaux, cellules, tissus, organismes), nous contribuons à réintégrer le macrocosme en nous, et quittons progressivement la vision limitée de Qui Nous Sommes vraiment.

 

Guérison du syndrome de Dépression Saisonnière (SDS)

Comme chaque année, à l’approche de Noël, des articles et autres conseils en bien-être fleurissent dans les magazines et pastilles sur le web pour  expliquer que Noël n’est pas une fête joyeuse pour tout le monde, qu’un tiers des gens redoutent Noël, dépriment à Noël, etc. Ce phénomène a même reçu une étiquette médicale, celle de SDSAN, le Syndrome de Dépression Saisonnière à l’Approche de Noël ! Il existe bien sûr tout un tas de psys prêts à bondir sur la bonne affaire, pour moyennant finance consulter la patientèle et lui fourguer une gamme complète d’antidépresseurs remboursés par la Sécu.

La "dépression saisonnière", qui touche 10 % de la population, a cependant une cause précise : elle est provoquée par le manque de lumière et par le manque d’exposition de la peau au soleil, qui entraîne une baisse du taux de vitamine D dans le sang. En effet, lorsque le soleil est intense, tout particulièrement en été, ses rayons pénètrent par la rétine, envoyant un signal au cerveau pour lui commander de stopper la production de mélatonine, une des hormones qui détermine les cycles du sommeil. A l'inverse, lorsque l’hiver arrive, ce signal devient trop faible et la production de mélatonine reste élevée, même en journée, expliquant que l’on puisse ressentir plus facilement de la fatigue, de la léthargie et de la déprime en hiver.

Aussi la solution évidente est simplement de prendre un complément de vitamine D durant tout l’hiver, idéalement après un dosage sanguin pour vérifier l’existence d’un déficit (le taux sérique optimal à viser est de 45 à 70 ng/mL). Et, contre le manque de lumière dans la rétine, la luminothérapie se révèle judicieuse comme traitement scientifiquement reconnu et approuvé comme étant le traitement de choix pour traiter la dépression saisonnière (elle consiste dès le début des symptômes, vers septembre ou octobre, et jusqu’au printemps à s’exposer de façon quotidienne à une source artificielle de lumière reproduisant la lumière naturelle, à une intensité supérieure à 2 000 lux, au niveau des yeux, pendant 30 minutes, à une distance d’environ 50 cm).

Il est indéniable toutefois que la dépression saisonnière à la fin de l’année peut être fortement accrue par la solitude ou les mauvaises relations avec l’entourage*, qui rendent peu réjouissantes les fêtes de Noël. D'où l'importance de cultiver les cinq réseaux de sociabilité permettant de  fréquenter d’autres personnes : la famille ; les amis ; l’activité professionnelle (ou universitaire ou scolaire pour les jeunes) ; les loisirs (clubs sportifs, culturels, associations, voyages, paroisse…) ; les voisins. A chaque étape de l’existence, il convient de veiller à ce que notre vie reste la plus équilibrée possible sur le plan social, et nous préoccuper avec discernement de ces cinq réseaux à même de procurer le sentiment d’assurance qui permet de se tourner davantage vers les autres, d'aller vers les inconnus et de faire de nouvelles rencontres. Il en découle la loi de la réciprocité, qui par ses bénéfices engendrés (esprit de service, écoute, patience, compréhension, pardon) et l'application des maximes de sagesse "Ne fais pas aux autres ce que tu ne voudrais pas qu’ils te fassent" et son corollaire "Fais aux autres ce que tu aimerais qu’ils te fassent ", est gage de saine et profonde réjouissance !

* Selon une étude réalisée par la Fondation de France, 39 % des Français (5 millions de gens) n’ont aucun lien suivi avec leur famille, 37 % n’ont aucun lien avec leurs voisins, 25 % n’ont aucun ami. De plus, 53 % des Français n’ont pas d’activité professionnelle (retraite, formation, chômage, inactivité) et donc pas de collègues de travail. Ce phénomène connaît une dramatique augmentation, puisque le nombre de personnes de moins de 40 ans frappées de totale solitude a doublé depuis 2010, le nombre de personnes de plus de 75 ans touchées par l’isolement ayant de son côté augmenté de 50 %.

 

De la démence

La démence est un état psychique qui comporte de nombreuses variables et se traduit par nombre de changements tout au long de son apparition comme de son développement. Si le fait d’être atteint de démence peut affecter considérablement la personne concernée, la douleur et la perte ressenties par les proches les conduisent à devoir faire face à leur propre perte.

La démence est une maladie qui peut toucher de nombreux adultes et même des enfants, et non seulement les personnes âgées. C'est ainsi que de jeunes adultes en bonne santé peuvent évoluer vers un syndrome de déclin tel qu’ils se perdent dans leur identité. Ses types sont nombreux, le plus courant étant la maladie d’Alzheimer, du nom du psychiatre et neuropathologiste allemand (Alois Alzheimer - 1864/1915) qui la diagnostiqua en premier en 1907, et dont la durée est terminale pour la personne qui en est atteinte. Elle voit les organes se durcir tandis que le cerveau change rapidement, conduisant au déclin des fonctions cognitives et du bon fonctionnement du corps. Les premiers signes de développement sont l’oubli des noms, des événements récents, une mauvaise hygiène, des changements d’humeur et des accès de colère. La dépression et la confusion sont fréquentes chez les personnes souffrant de ces symptômes. Comme les cellules cérébrales meurent, la personne a des difficultés à marcher et à parler. La fin de vie progresse au point qu’il est difficile de faire face à la situation et que la perte est profondément ressentie par la famille et les amis.

Si les personnes atteintes de démence commencent par avoir une vie normale et des sentiments ordinaires, il est très probable qu’elles le cachent aux autres lorsqu’elles commencent à présenter des symptômes. Aussi, au moment où l’assistance est nécessaire, la progression de la maladie est profonde, la personne ayant du mal à cacher ses hallucinations, ses pertes de mémoire ou sa confusion dans les tâches quotidiennes.

La démence infantile peut également se développer chez le bébé, le jeune enfant ou l’adolescent. Les symptômes se manifestent par des pertes de mémoire, des confusions ou des difficultés d’apprentissage. Les parents sont effrayés lorsque ce diagnostic est posé et beaucoup d’entre eux ne cherchent pas de réponses pendant longtemps, comme dans le cas de maladies génétiques et d’anomalies rares. 

Les principales autres catégories de démence outre la maladie d’Alzheimer sont la maladie vasculaire, la maladie à corps de Lewy, la maladie frontotemporale, la maladie mixte. Chaque type révèle des changements qui affectent la parole, la personnalité, la démarche, la compréhension, les mouvements du corps et même la capacité d’avaler, les stades ultimes de la démence nécessitant souvent l’installation d’une sonde d’alimentation pour assurer une bonne nutrition.

Si les aidants et les membres de la famille peuvent bénéficier de l’assistance de groupes de soutien, il est essentiel de se reposer et de passer du temps seul, l’autothérapie et la méditation ayant la capacité d'aider les personnes épuisées à reprendre les soins de la personne qui s’éloigne. Le bénéfice qui en découle est le temps précieux pour s’interroger sur la fragilité de la vie et sur le but de la souffrance. Dans ce questionnement, beaucoup peuvent ainsi s’éveiller pour comprendre qu’ils sont des êtres infinis, dotés d’une âme parfaite et complète. Le Soi supérieur étant conscient de tout ce qui se passe, l’âme ne ressent ni douleur ni discorde dans l’observation silencieuse. En paix, l’âme attend son départ avec les leçons apprises et sa famille d’origine. Rien n’est jamais perdu, car quoi que l'être humain affronte, seul l’Amour est réel. L’expansion de la conscience est un cadeau sacré que chacun peut s'offrez à lui-même. 

 

  "L’homme est un animal social"

Aristote, philosophe grec au Ve siècle avant Jésus-Christ.

 

"Il n’est pas bon que l’Homme soit seul"

Livre de la Genèse

 

Fonctionnement bioénergétique de l'humain

Le corps, sur le plan de l’électromagnétisme qui traduit sa physicalité et son interaction avec les champs constitutifs d'un univers multidimensionnel, fonctionne avec la piezzo-électricité, l’information nécessaire à son expression se trouvant dans l’onde photonique, celle-ci étant la mémoire de l’ADN. La lumière, dit plan divin, spirituel ou causal, est le support de l'information. Ainsi, par sa nature bioénergétique, le corps capte des informations sous forme de neutrinos (l’onde du neutrino est le support de l’information, soit une onde de forme), l’ADN et l’eau intracellulaire (champ de la mémoire) faisant le pont entre le subtil - le champ énergétique éthérique - et le physique (l’eau capte les ondes de forme et les amplifie pour que l’ADN en résonateur entre en interaction et envoie les informations au cerveau pour analyse et traitement). Son enveloppe, le corps éthérique (l’âme est sur les plans mental/astral/éthérique), voit tout autant ou même plus que le corps physique, des tests faits à l’aveugle sur des objets le démontrant.

Si les phénomènes positifs dilatent le champ vital (les trois premiers chakras en partant du bas sur l'image), les phénomènes négatifs le compriment. C'est pourquoi un champ vital dilaté est plus sensible à l’environnement, d'où l'indispensable maîtrise psycho-émotionnelle. Elle permet à une personne d'être " ancrée", ce qui la rend peu perméable. A l'inverse, quand une personne n’est pas ancrée *, elle a des haut et bas énergétiques, car le mental supérieur (6e chakra) accomplit une fonction de protection qui devrait plutôt revenir au mental inférieur du corps (3e chakra). Non nettoyés et libérés, les blocages émotionnels sur les chakras du moteur terrestre (1 et 2) et du chakra du plexus solaire (siège de l'intellect, du mental égotique - 3) augmentent le risque de maladie. Ainsi moins l’eau intracellulaire est saturée de mémoire négative, plus on est sensible, plus on capte d’informations, plus on est conscient.

Le champ vital est ainsi composé de trois axes principaux qui se croisent au nombril. S’il y a un décalage de ce centre (cause mentale, émotionnelle ou physique) *², cela pose un problème, trop de déséquilibre provoquant des troubles d’équilibre, de vue, de cœur, jusqu’à la perte de conscience. C'est pourquoi la compréhension des entités parasites, autrement dit la manipulation psycho-émotionnelle du prédateur, est déterminante. Et plus l’empreinte du passé est forte, plus le futur est conditionné ... C'est l’hypothalamus qui maintient l’équilibre du corps, géré par le cerveau. Le système nerveux sympathique est lié au mental/émotionnel et à la dépense d’énergie, tandis que le système nerveux parasympathique est lié à l’énergétique/physique et à la récupération d’énergie. Il faut un équilibre entre les deux. Comme les pensées négatives, tensions, … constituent une entrave dans le système nerveux, l’alignement énergétique par leur nettoyage résout toutes les tensions sur tous les plans, permettant la bonne circulation de l’information.

La fluidité se manifestant dans l’acceptation de la vie, le but pour y parvenir est d’avoir un esprit sain, une âme saine, et un corps sain.

* Il est estimé que 80% de la population n’est pas ancrée, c'est-à-dire en lien avec le tellurisme. Cela est lié au manque de confiance et à la honte, généralement inconsciente. Or le 1er chakra est important, garantissant la survie.

Un décalage se produit soit en réaction à des perturbations du sous-sol, soit en réaction à des émotions négatives (les siennes ou celles de personnes autour de soi).

 

Les tensions du corps correspondent de ce fait à des émotions, elles-mêmes liées à des pensées. Et si ces dernières ne sont pas le produit de l'unité corps-âme-esprit*, dont la guidance par le Soi supérieur - la supraconscience - assure l'harmonie, elles sont nécessairement viciées, corrompues par la manipulation du corpus prédateur "archontique" situé à un autre niveau de fréquence, la 4-D. C'est en les corrigeant que nous pouvons retrouver notre intégralité "divine", ce qui suppose de franchir obligatoirement les barrières de l'espace-temps limité, falsifié*, autrement dit les grilles de notre matrice asservissante, la prison des âmes nourritures de nos maîtres asservisseurs entropiques de 4ème dimension.

L'importance de notre "Double" est ainsi affirmée, seul à même de nous conduire sur le chemin de notre guérison, c'est-à-dire de notre libération de ces forces obscures qui nous dominent tout en nous offrant en permanence les clés de la vraie Lumière, pour peu que nous réussissions à regarder ce faux monde à l'envers afin de le remettre à l'endroit*². Autrement dit, quitter la voie du paraître pour épouser celle de l’Être. La voie de l'Artiste de sa vie !

* Cf. La falsification de la réalité en 3-D.

Cf. Le chemin alchimique.

 

La voie ou posture de l'Artiste
La voie ou posture de l'Artiste

 

 

 

La vraie thérapie, c'est à tout moment, en toutes conditions, et certainement pas guidée par quelqu'un que nous payons, mais par sa propre guidance supérieure qui place les expériences dont nous avons précisément besoin sur notre chemin.

 

 

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