Illustration du travail alchimique (2) : le Sable
Le sable est dans la couleur héraldique (l’art du blason) l’image même de la couleur noire. Composé d'une multitude de grains de silice, il est constitutif de
l'argile, matière qui selon les textes sacrés a permis de façonner l'Adam, l'être humain*. Il possède aussi de fortes qualités abrasives, à l'image de la meule, qui, par sa composition majeure de
silice, possède des qualités abrasives lui permettant d’aiguiser les lames métalliques - l’Âme - des couteaux, épées ou faux, conférant ainsi aux métaux des propriétés tranchantes et pénétrantes
propres au feu secret (l'art de "percevoir"), dit feu Philosophique. C'est pourquoi les mines de quartz, qui fait partie des principales
variétés cristallines de la silice au même titre que la cristobalite et la tridymite, étaient utilisées comme dans le Larzac pour fabriquer les meules, comme à Laguiole en Aubrac, avant que les
meules de synthèse ne soient développées aux États-Unis...
Le sable comme la meule sont les symboles majeurs du dissolvant, grâce à la qualité abrasive de la silice que les alchimistes rapprochent du feu réducteur. En
effet, le dissolvant doit permettre de résoudre les métaux pour en extraire le soufre métallique, le seul agent qui pourra pénétrer le sujet minéral pour en faire jaillir le pur mercure. Ce feu
ou soufre métallique est souvent symbolisé par l’épée du chevalier, la pointe d’acier de la lance de Saint-Michel terrassant le dragon, ou encore par le glaive du gladiateur pourfendant une roche
tel le Roi Arthur. L’épée, la lance comme le glaive ne doivent leurs qualités incisives, pénétrantes et tranchantes qu’à la meule qui les a préalablement aiguisés. Nous pouvons ainsi comprendre
le vrai sens de gladiateur, "celui qui combat seul", à savoir lui-même. Il est comme le chevalier combattant le dragon, rien d’autre que l’alchimiste opérant sur sa première pierre avec les
métaux (l’épée) et les minéraux (sujet dissolvant). Là réside le secret du miroir, reflet de notre art à devenir transparent à nous-même*², et à renvoyer au prédateur qui nous asservit son venin
mortel une fois sa surface polie.
L’alchimiste qui ne fait que polir son miroir pour devenir transparent à lui-même applique ainsi la maxime du temple de Delphes "Connais-toi toi-même et tu
connaîtras l’univers".
* Cf. Fonctionnement du corps biologique.
*² Cf. Symbolique du miroir dans le conte alchimique de "Blanche-Neige et les 7 nains", qui voit la Reine toute de noir vêtue (le dragon ou le basilic au venin
mortel) attachée à son paraître et s'autocontempler (Cf. L'idée de sa propre importance). Si les anciens miroirs
étaient du métal poncé ou poli par le sable, les miroirs actuels sont du verre obtenu par le sable fondu, recouverts d’une feuille ou peinture métallique. C’est pourquoi le travail opératif
alchimique est tantôt considéré comme minéral, tantôt comme métallique, la matière qualifiée de miroir - le corps - étant un intermédiaire entre le minéral et le métal.
Illustration du travail alchimique (3) : l'Eau
Comme la vie cellulaire s’est construite sur l’eau - la proportion respective de sodium, de potassium et de chlorates dans les tissus humains est étonnamment
similaire à celle des océans (l’eau de mer est l’environnement vital de base, expliquant que le plasma Quinton a des
propriétés bénéfiques par rapport à une solution saline ordinaire) -, avec les différentes propriétés physico-chimiques dont les propriétés diélectriques* de l’eau, la polarité permet le
mouvement (attraction-répulsion) entre les pôles opposés. Nous pouvons ainsi comprendre aisément que la vie dépend de ces échanges, de cette communication, la plupart des cellules contenant 70% à
80% d'eau. C'est pourquoi l’eau vivante est considérée depuis l'Antiquité comme sacrée en tant que solvant universel, transportant les substances chimiques présentes dans le corps humain et
éliminant les produits toxiques grâce à sa formule H2O, les 2 atomes d'hydrogène, afin de permettre les meilleures conditions à l’éther d'être l’interface
entre l’information et sa manifestation. En quelque sorte, l’eau est le "moteur de recherche Google" de l’univers, capable d'obtenir la juste ou mauvaise
information selon l'intention qui prédomine. Et c'est pourquoi elle a depuis été détournée par le système prédateur de son cours naturel pour servir des
intérêts industriels et polluée aux fins d'en limiter les vertus thérapeutiques, au moyen de :
- l'injonction de fluor entre autres ;
- les autres toxicités chimiques telles que pesticides, fongicides, nitrates, molécules médicamenteuses ... qui se retrouvent dans les nappes phréatiques et pour
lesquelles les stations d'épuration ne sont pas adaptées ;
- les pollutions électromagnétiques.
Une étude parue en février 2022, faisant partie du "Global Monitoring of Pharmaceuticals
Project" dirigé par l’Université de York et publiée dans les Actes de l’Académie nationale des sciences, montre à cet effet que les médicaments et autres produits pharmaceutiques ne sont
pas purifiés à partir des eaux usées par les systèmes d’eau potable, à moins que des systèmes de purification très coûteux ne soient utilisés. Les pays et les régions du monde les plus pollués
sont l’Afrique subsaharienne, l’Amérique du Sud et certaines parties de l’Asie du Sud. Les drogues qui ont été détectées dans les rivières sont notamment la Carbamazépine, un médicament
anti-épileptique, la Metformine, un médicament contre le diabète, la Caféine et les antibiotiques. Ces produits pharmaceutiques et autres composés biologiquement actifs utilisés par les humains
sont connus pour nuire à la faune. Quant aux antibiotiques dans l’environnement, ils augmentent le risque de résistance aux médicaments, l’une des plus grandes menaces pour l’humanité,
constitutifs selon les conclusions de l'étude d'une prochaine pandémie.
C'est la raison pour laquelle, contrairement à la croyance populaire entretenue par nombre de désinformateurs patentés, l'eau du robinet ne participe pas du
fonctionnement harmonieux du corps biologique, loin s'en faut, sauf à être purifiée, notamment grâce aux propriétés de l'argent colloïdal.
L’eau tout au long de son voyage va entrer en contact avec certains terrains, certaines roches, minéraux, fossiles, oxydes, métaux, certaines radioactivités
naturelles (très ténues), courants électromagnétiques, et autres éléments naturellement filtrant qui vont l’enrichir et la traiter naturellement, la chargeant, par échanges moléculaires mais
aussi et surtout de fréquences vibratoires de ces différents terrains … Il en va de même pour les caractéristiques négatives (naturelles ou liées à l’activité humaine) : radioactivité forte,
pollution, champs électromagnétiques négatifs etc. Certains contextes peuvent aller jusqu’à inverser la polarité de l’eau. C’est pourquoi aucune eau n’a les mêmes particularités, les mêmes
capacités. Si le parcours de l’eau change, ses propriétés changent aussi. Nombre d’eaux excellentes perdent beaucoup ou la totalité de leur efficacité dès la sortie de leur domaine de résurgence.
L’eau, ni minérale, ni organique, tout en étant leur élément majeur, est l’interface active et informative entre ces deux mondes. L’eau est médiatrice, extrêmement sensible aux ondes quelles
qu’elles soient. Cet effet est visible même à l’œil nu : une goutte d’eau soumise à l’influence d’ondes vibratoires sonores ou lumineuses prend des formes et structures très différentes selon la
variété d’ondes qu’elle reçoit*². Une même onde produit toujours la même forme. La moindre variation modifie l’arrangement moléculaire des particules d’eau entre elles au sein même d’une goutte
(soit environ 1700 milliards de milliards de molécules).
Les matières organiques étant constituées à plus de 90% de molécules d’eau (en nombre de molécules), rien d’étonnant donc que les multiples ondes qui nous entourent
aient une influence sur les êtres vivants. Une musique qui nous touche, n’est ni plus ni moins qu’un ensemble d’ondes qui entrent en résonance avec l’eau de notre corps. Il en va de même avec les
plantes. C'est la raison pour laquelle les plantes réagissent au son d’une musique adéquate, au son d’une voix, et que cette même plante, ce fruit, ce légume… sont capables de restituer à leur
tour cette fréquence, cette énergie emmagasinée. L’eau, à l’état naturel, crée ses propres mouvements et sonorités (volutes dans une rivière, bruits d’écoulement, de cascades). Elle crée ses
propres ondes, recelant par-là même le secret des origines. N'est-il pas d'ailleurs curieux que seuls quelques États - États-Unis, Chine, Allemagne, France et quelques autres - se soient
réservés, et pas simplement pour des raisons de capacité financière, le droit exclusif d'explorer les abysses, et ce via un permis d'exploration accordé par
l'Autorité internationale des fonds marins (AIFM) apparentée à l'ONU, et ce pour y trouver des gisements miniers contenus dans des nodules polymétalliques, des encroûtements et des sulfures
hydrothermaux (fer, manganèse, cuivre, cobalt, terres rares, or ou platine, souvent dans des concentrations bien plus élevées que celles des gisements terrestres).
Nous pouvons ainsi comprendre beaucoup mieux pourquoi et comment l’eau a cette capacité exceptionnelle d’auto-purification, d’auto-régénération, pour peu qu’elle
ait cette liberté, contrairement à ces mouvements rectilignes imposés par nos réseaux urbains et autres canaux... Les vortex énergétiques, par exemple, sont formés par la nature de façon
permanente. Il a été démontré que les mouvements d’un vortex permettent à l’eau de s’énergiser de manière intense. Il va sans dire que l'eau de source pure - rare dans le commerce - est une
denrée en "or"*³ !
* Ce sont ces propriétés diélectriques qui donnent à la molécule d’eau la faculté (comme d’autres molécules) d’absorber et de ré-émettre un certain nombre de
fréquences électromagnétiques. Ce sont des valeurs discrètes, précises, de l’ordre de la physique quantique. Tout comme le sel est un absorbeur d’humidité, l’eau est l’élément le plus capable de
se charger ou de se "teinter" de tout ce qui l’entoure. Ces propriétés sont valables tant sur le plan chimique (solvant universel), qu’au niveau énergétique : l’eau peut recevoir une augmentation
de sa fréquence vibratoire jusqu’à 150.000 fois supérieure à la vibration qu’elle possède à l’origine dans sa situation inerte.
*² Voir les travaux des chercheurs et photographes allemands Alexander Lauterwasser, qui porte bien son nom ("L'eau forte") et Bernd Bruns.
*³ Le médecin grec Hippocrate (IV° siècle av. J.-C.) guérissait avec de l'eau de Kos, son île natale, dite solaire. Il en est de même avec l'eau de Lourdes, qui
possède les mêmes qualités oscillatoires.
Cf. Fonctionnement de l'architecture du Vivant.
De l'erreur de la théorie matérialiste de la vie
La théorie matérialiste de la vie affirme qu’il n’y a que des atomes, sans aucune conscience ni force "spirituelle" à même de les créer et de les mettre en
mouvement. Autrement dit des atomes créés à partir de rien, le Big bang originel pour les scientifiques, et qui se sont séparés. Certains atomes se touchant par hasard, ils ont formé des
molécules, qui elles-mêmes ont formé par hasard des cellules primordiales à partir desquelles toute vie s'est développée par lutte et sélection.
Or, la substance même de laquelle la vie est constituée, substance élémentaire dont est constituée la membrane, est l'eau (la membrane est dite de tension
superficielle de l’eau). C'est l'eau qui forme, partout où elle est en contact avec d’autres substances, ou avec elle-même en mouvement et en tourbillons. C'est ce qu'Aristote a appelé substance
éther ou substance primaire. Les physiologistes japonais spécialisés dans la botanique ont de leur côté appelé de nos jours cette substance "pi-water".
C'est cette connaissance de la substance éther/primaire qui permet de faire revivre dans le bon sens le principe présocratique qui a été conçu à l'origine
pour répondre à la peur et aux abus de pouvoir des religions (Cf. théorie atomique des philosophes grecs Épicure et
Démocrite), de le rendre concevable et imaginable, car penser selon la théorie atomique matérialiste conduit à faire de fausses hypothèses. Or, le monde universitaire de la
biologie et de la médecine tout entier repose sur une telle fausse supposition, expliquant ses modèles purement matériels qui ont contribué à façonner l’"antibiose" et ses réponses multiples -
antibiotiques, radiations, chimiothérapie, désinfection - jusqu'aux actuels restriction des droits fondamentaux, vaccination, confinement, quarantaine, distanciation sociale, etc.
Cette théorie matérialiste, sans fondement réel et qui repose sur des hypothèses réfutées, est devenue au fil du temps la religion dominante, qui révèle toute son
ampleur à l'occasion de l'actuelle crise sanitaire "covidienne" ou "covidiste" orchestrée par les psychopathes ignorants scientistes et politiques.
Illustration du travail alchimique (4) : l'Arsenic
L'arsenic* est un élément chimique très semblable au phosphore, noté par le symbole As et correspondant au numéro atomique 33*² dans la mesure où il possède 33
isotopes connus ainsi qu'au moins 10 isomères nucléaires (seul un de ces isotopes est stable, faisant de l'arsenic un élément monoisotopique ainsi que mononucléidique). Le corps simple
correspondant est un solide cristallin argenté. Les propriétés de ce métalloïde sont intermédiaires entre celles des métaux et des non-métaux, comme l'antimoine dont il est très proche
(additionné au plomb, il freine l'oxydation). Il a une tendance croissante à former des sulfures stables plutôt que des oxydes. Cette matière, connue depuis la haute Antiquité (le bronze/étain
est souvent composé d'un alliage à base de cuivre et d'arsenic, celui-ci augmentant la dureté et la brillance du métal), est aussi un perturbateur endocrinien, et considérée comme un "ennemi" par
les métallurgistes.
Ses propriétés sont nombreuses. Insoluble dans l'eau, il se ternit à l'air, se couvrant alors de poussières noires. Chauffé dans l'oxygène raréfié sous cloche, il
est phosphorescent. Si la température s'accroît ou la pression partielle d'oxygène s'élève, il brûle avec une flamme verdâtre. Projeté sur des charbons ardents, l'arsenic se volatilise avec une
odeur d'ail forte. Projeté en poudre dans un flacon rempli de gaz dichlore, il brûle avec une flamme blanche, laissant un dépôt.
Il est utilisé également dans les arts (pigments, peinture) et la médecine, Hippocrate l'ayant utilisé au V° siècle av. J.-C. pour soigner les ulcères cutanés.
Depuis lors, la pharmacopée grecque et chinoise s'en sert pour traiter ou freiner la syphilis, le cancer (le scientifique allemand Paul Ehrlich a mis au point en 1908 le Salvarsan, composé
arsenical considéré comme le premier agent anti-infectieux et chimiothérapeutique), la tuberculose ou le paludisme. Au VIIIe siècle, l'alchimiste arabe Jabir Ibn Hayyan a isolé le trioxide
d'arsenic de son composé minéral, conduisant cette poudre blanche sans goût et sans odeur à donner les mêmes symptômes que des intoxications alimentaires. Indécelable jusqu'au XXe siècle, elle
s'est ainsi vu conférer le titre de "poison des rois et roi des poisons" (au XVII° siècle l'arsenic sera utilisé sous le nom de "poudre de succession" par un réseau composé essentiellement de
femmes de la noblesse dans le but d'accélérer certains héritages par des meurtres)... Quant au chimiste Louis Claude Cadet de Gassicourt, il est le premier homme connu à avoir synthétisé ce
liquide fumant en 1760 en composé organométallique.
Si l'arsenic est typiquement représentatif du métal corrupteur de la matière (les arsines sont utilisées comme armes chimiques - ainsi l'Ypérite - ou pesticides) et
de l'esprit vicié de ses concepteurs et utilisateurs - l''intoxication à l'arsenic mesurée chez des dizaines d'enfants de la vallée de l'Orbiel dans le nord
du département de l'Aude en France l'attestant -, il s'avère être, combiné à d'autres agents tels l'antimoine et le plomb, un puissant transformateur, régénérateur et semi-conducteur. C'est
pourquoi par sa puissance intrinsèque il est incontournable de l'art alchimique par excellence, celui de la transmutation !
* Son nom est issu du persan zarnikh signifiant "jaune". Son étymologie grecque arsenikos signifie "qui dompte le mâle" en raison de sa forte toxicité. Le terme
grec est lui-même adopté en latin sous la forme arsenicum.
*² Cf. Symbolique des neufs premiers nombres.
Illustration du travail alchimique (5) : le Soufre
Le soufre (de çulbâri signifiant "ennemi du cuivre" en sanskrit), connu depuis la haute Antiquité, est l'élément chimique de numéro atomique 16, de symbole
S. Il existe sous forme de nombreuses molécules et de composés (oxydes, dioxyde, acide, sulfure, ion thiosulfate, nitrure). Ce non-métal multivalent abondant, insipide et insoluble dans l'eau,
est surtout connu sous la forme de cristaux jaunes, se trouvant dans beaucoup de minéraux comme les sulfures (pyrite par exemple) et les sulfates (vitriols, gypse…). L'essentiel du soufre
exploité est d'origine sédimentaire. Il brûle avec une flamme bleue qui émet une odeur particulièrement suffocante (le dioxyde de soufre SO2). Il est un élément essentiel pour tous les êtres
vivants, présent dans de nombreuses protéines par le biais de certains acides aminés et enzymes des cellules vivantes.
A 90 % il sert à préparer l'acide sulfurique, produit de base de l'industrie chimique, étant notamment employé comme engrais (sulfates) et phytosanitaire fongicide.
Il intervient dans la préparation du Nylon-6, dans des processus d’exploitation minière, pour les détergents, à l'alimentation animale et humaine, à la fabrication de la pâte à papier, à la
fabrication de l'acide fluorhydrique. Il est aussi utilisé pour fabriquer la poudre à canon (aux environs du XIe siècle, les Chinois inventèrent la poudre à canon en le mélangeant avec du
salpêtre et du charbon de bois), les laxatifs, était utilisé dans les allumettes, des insecticides, etc. Il existe combiné avec la totalité des autres éléments chimiques, hormis les gaz nobles.
Ainsi ses combinaisons avec le carbone se trouvent dans le pétrole, les gisements de gaz naturels et dans certains acides aminés, ceux-ci jouant un rôle crucial dans la structure, le métabolisme
et la physiologie des cellules de tous les êtres vivants connus.
C’est un purificateur, Ulysse dans le livre XXII de l’Odyssée ayant allumé à son retour de voyage un grand feu en le brûlant pour purifier sa maison. Il est
mentionné dans la Bible à de nombreuses reprises, comme lorsque Yahweh fit pleuvoir sur Sodome et sur Gomorrhe du soufre et du feu (Genèse, 19, 24).
En alchimie, il est représenté par un triangle au-dessus d'une croix, indiquant que le mercure - l'Esprit - peut être combiné à lui, soit l’Âme (Cf. plus en avant).
Autrement dit, il est utilisé pour solubiliser (dissoudre) des métaux, dont l'or. Ceci entend que si l'or est le métal par excellence porteur des qualités divines - l'Or spirituel -, il est par
la loi de la dualité associé dans sa version terrestre au démiurge, le métal doré vicié, la formation de ses gisements terrestres (au même titre que ceux du platine ou le molybdène) étant due à
cette présence d'ion trisulfure. Et c'est bel et bien cet or sulfureux qui irradie, en cette fin de cyclicité civilisationnelle, le mouvement des gilets jaunes sur la terre de France en en étant
l’expression symbolique*, au même titre que les odeurs de soufre ressenties parfois à quelques endroits spécifiques de la planète, tout particulièrement en France (région parisienne ou
Hauts-de-France en mai 2020), correspondant aux brèches de l'espace-temps - le "rideau entre les mondes" - initiées par l'Onde du changement en cours*²...
Ne dit-on pas que le diable lorsqu'il se manifeste est accompagné d'une puissante odeur de soufre pour celles et ceux qu'il vient chercher !
* Cf. Libération émotionnelle - Le bal vampirique de la soufrière jaune.
*² Cf. Fin de cycle (2) La guidance éclairée de sa
vie.
Illustration du travail alchimique (6) : le Lithium
Élément chimique de numéro atomique 3, le lithium est un métal alcalin mou de couleur gris argenté, nature de métal dont le taux d'acidité est particulièrement
adapté pour décaper et dégraisser. Dans la mesure où les noyaux atomiques de ses deux isotopes stables ont une énergie de liaison par nucléon faible, ils peuvent être utilisés dans des réactions
de fission nucléaire comme de fusion nucléaire (le lithium sert ainsi de combustible à la bombe H). Se ternissant et s'oxydant très rapidement au contact de l'air et de l'eau, cet élément solide
qui est le plus léger de sa catégorie est pour cette raison conservé dans de l'huile minérale pour le préserver de l'air. 70 %
à 80 % des ressources globales en lithium se trouvent en Bolivie, en Argentine et au Chili. Son extraction consomme
beaucoup d’eau, pouvant si elle n’est pas correctement maîtrisée engendrer des risques pour la biodiversité locale.
Compte-tenu de sa haute densité d'énergie, il est utilisé pour produire des piles et batteries rechargeables ou à haute tension (les principaux acteurs et fabricants des batteries ou cellules Li-ion sont des géants asiatiques et américains), des lubrifiants spéciaux,
dans le traitement de l'air vicié par le CO2, par la métallurgie et l'industrie du caoutchouc et des thermoplastiques, la chimie fine, la production d'alliages. Ainsi la batterie lithium-ion*, ou
accumulateur lithium-ion, basée sur l'échange réversible de l'ion lithium entre une électrode positive et une électrode
négative en graphite, est un type d'accumulateur lithium dont les principaux avantages sont de produire une énergie massique élevée ainsi que l'absence d'effet mémoire. Qui plus est, son
auto-décharge est relativement faible par rapport à d'autres accumulateurs (les sondes spatiales Galileo par exemple sont
équipées de batteries Li-ion prévues pour douze ans), et elle ne nécessitent pas de maintenance. Ceci explique qu'elle occupe de nos jours une place prédominante sur le marché de
l'électronique portable et du domaine des systèmes embarqués, la durée de vie étant estimée à 5/6 ans pour des produits "grand-public" (vélos électriques, smartphones, appareils photos) et plus d'une dizaine
d'années pour des produits industriels*². Il est à noter que les composants d’une batterie au lithium-ion
peuvent se révéler nocifs pour l’environnement s’ils ne sont pas récupérés et correctement traités.
Le revers de la "médaille" est le risque de forte décharge ou chute de tension (type court-circuit) en raison d'un maniement peu approprié ou d'une surchauffe,
d'autant s'il entre en contact avec de l'air ou de l'eau ou en raison d'une exposition au soleil, pouvant aller jusqu'à générer une réaction brutale et dangereuse, autrement dit une explosion
(c'est ainsi qu'en 2016 le constructeur de produits mobile Samsung a dû retirer du marché son smartphone Galaxy Note 7).
Appliqué à l'être humain, les propriétés du lithium en font un traitement approprié pour traiter les patients souffrant de trouble bipolaire, ses capacités comme la
densité dendritique contribuant à stabiliser l’humeur en agissant sur les cellules dendritiques (prolongements cytoplasmiques) du système immunitaire (plus exactement système phagocytaire
mononucléaire) au sein du cortex frontal. De même, le lithium en version soluble (lithium Oligosol), sous forme d'ampoules ou de récipient unidose (prescription médicale requise), contribue à
préserver la qualité des télomères et apporter ainsi une protection efficace contre les affres du vieillissement (Alzheimer, Parkinson...).*³
* Les accumulateurs Li-ion ne doivent pas être confondus avec les piles au Lithium qui ne
sont pas rechargeables.
*² Il est d'ores et déjà envisagé une nouvelle génération de cellules lithium-ion très performantes, dotées d'une anode en silicium, qui devraient permettre de charger 75 % de
la capacité d’une batterie en cinq minutes.
*³ Cf. Fonctionnement du corps biologique &
Conscience nutritionnelle.
Illustration du travail alchimique (7) : Le Graphène
Le graphène est un matériau bidimensionnel cristallin, forme allotropique* du carbone dont l'empilement constitue le graphite. Sa nature de nanoparticule bidimensionnelle d’épaisseur atomique présente des propriétés uniques, qu’elles soient mécaniques, électriques ou thermiques. Comme
tout matériau brut, il est toxique, l’oxyde de graphène rigidifiant les matrices polymères, ce qui modifie largement la viscoélasticité du matériau et
constitue sa dangerosité.
Il peut être produit de plusieurs manières, par extraction mécanique ou chauffage d'un cristal de carbure de silicium qui permet la libération des atomes de
silicium. Grâce à sa structure de bande électronique, ce matériau aux propriétés
stables de par ses atomes de carbone très compacts et à une hybridation orbitale est conducteur, possédant le record de
conductivité thermique en raison de son excellente résistance mécanique. Il constitue à ce titre une étape pour la
fabrication d'une nouvelle génération de transistors ultra rapides, de dimension nanométrique. Ainsi, début 2014, des chercheurs britanniques (revue Scientific) ont montré qu'une couche de
graphène pouvait absorber 90 % de l’énergie électromagnétique (certaines bandes de fréquence). Une fine couche pourrait donc bloquer la propagation d'un réseau sans fil, par exemple pour
sécuriser ou confiner la propagation radio du Wi-Fi.
Matériau réputé pour ses propriétés virucides, sa toxicité a conduit dans le cadre de la lutte contre la "pandémie" Covid-19 à
retirer des masques contenant du graphène du marché canadien, tous les masques obligatoires commercialisés pour être portés partout contenant des nanoparticules d'oxyde de graphène. Il en est de
même pour les tests PCR et les tests antigéniques, le test intranasal et le vaccin antigrippal.
Sa toxicité a pour effet de générer des thromboses, d'entraîner la coagulation du sang, d'altérer le système immunitaire, de diminuer la réserve de Glutathion,
voire de générer le syndrome de Guillain-Barré (également appelé polyradiculonévrite démyélinisante aigüe, il se traduit par une
atteinte des nerfs périphériques). Sa présence dans les poumons les endommage gravement, et son inhalation entraîne l’inflammation des muqueuses, la perte de goût, d’odorat…
Cet oxyde de graphène, qui a ainsi la capacité de faire un pont de transfert entre le biologique et le magnétique, est probablement présent dans le SARS-COV2
fabriqué en laboratoire, ce nouveau coronavirus qui a provoqué le Covid-19. Ceci explique que jamais à ce jour n'a été révélée la moindre spécification officielle de séquençage du Sars-Cov-2 ou
Covid-19, comme le reconnaissent généralement des laboratoires de haut niveau dans le monde entier.
Comme tout matériau qui possède une bande d’absorption électronique, signifiant qu’il est animé par une fréquence précise, ce matériel synthétique toxique va
s’oxyder et proliférer dans tout le corps, et ce déclenché par la nouvelle technologie 5G à partir de ses antennes relais déployées tant dans l'espace que sur le plan terrestre. Seule
l'augmentation des niveaux de glutathion, qui est un antioxydant naturel de l’organisme, peut protéger le système immunitaire de ses méfaits, au même titre que la N-acétylcystéine (NAC), tous
deux étant efficaces dans le traitement contre le Covid-19 car essentiels pour lutter contre le stress oxydatif.
* L’allotropie est en chimie, en minéralogie et en science des matériaux, la faculté de certains corps simples d’exister
sous plusieurs formes cristallines ou moléculaires différentes.
De la protection contre les manipulations de la séquence d'ADN
Nous sommes faits de cellules. Chaque cellule contient des millions de protéines. Les instructions pour fabriquer des protéines sont "écrites" dans l’ADN
d’une cellule sous forme de gènes, qui construisent des protéines par transcription ("réécriture" de la séquence d’ADN sous forme d’ARNm) et traduction ("décodage" de l’ARNm
et construction de la protéine).
Il en résulte que si le "vaccin" anti-Covid utilise l’ARNm pour changer notre code génétique, la clé pour prévenir les dommages serait logiquement d’interférer avec
la traduction du message. A ce titre, le système d’interférence ARN (ARNi) est un mécanisme par lequel les cellules contrôlent l’expression des gènes en coupant la traduction de
l’ARNm. L’ARNm peut également être utilisé pour arrêter la traduction des protéines virales lorsqu’une cellule est infectée par un virus. Le système ARNm a également le potentiel
d’être exploité thérapeutiquement et peut empêcher l’ARNm viral de se répliquer.
Alors que la pression pour se faire vacciner contre le Covid augmente, il apparaît essentiel de découvrir des méthodes pour en atténuer les dommages. Comme à
l'accoutumée, l'intelligence de la nature recèle les réponses adéquates. Cinq substances sont ainsi recommandées pour atténuer les dommages causés par les "vaccins" à ARNm (sans ordre
particulier).
1. L'iode.
Minéral essentiel, l’iode est utilisé par la glande thyroïde pour fabriquer des hormones thyroïdiennes qui contrôlent de nombreuses fonctions du corps, notamment la
croissance et le développement, la réparation des cellules endommagées et le soutien d’un métabolisme sain.
Parce que le corps ne produit pas d’iode, il doit être fourni dans l’alimentation. L’iode peut également être utilisé pour détoxifier les composés toxiques et
augmente fortement le taux de dégradation de l’ARNm. A noter que l’ iode alimentaire contrôle également sa propre absorption par la régulation du symporteur sodium/iodure (NIS) qui protège
les fonctions de la glande thyroïde.
2. Le Zinc.
Le zinc est un oligo-élément, c'est-à-dire qu’on ne le trouve qu’à l’état de traces dans l’organisme, soit l'équivalent d'environ 2 g en tout, dont 65 % sont
concentrés dans les muscles et 20 % dans les os. Il est présent dans toutes les cellules, notamment dans les glandes surrénales, la peau, certaines parties du cerveau, le pancréas, les membranes
de l’œil, la prostate et le sperme.Le zinc joue un rôle important dans la croissance, la réponse immunitaire, les fonctions neurologiques et reproductives. Il est nécessaire à plus d’une centaine
de processus enzymatiques vitaux dans l'organisme (des experts les estiment à 300), permettant au corps de fabriquer des protéines et de l’ADN, contribuant à la cicatrisation des plaies et jouant
un rôle dans la croissance et le développement de l’enfant. Il possède également des propriétés antioxydantes et joue un rôle important dans la fonction immunitaire à médiation cellulaire et
module les niveaux d’ARNm de cytokines.
Il a été démontré que le zinc régule la transcription des gènes dans les cellules cancéreuses, tandis que le zinc régule globalement à la baisse l’expression des
microARN et les enzymes et protéines clés nécessaires à la maturation et à la stabilité des microARN. Enfin, la protéine serrate de zinc fait partie des composés végétaux susceptibles de réduire
au silence l’ARNm.
3. La Quercetin.
La quercétine est un flavonoïde aux multiples bienfaits prouvés pour la santé de l’homme et des animaux. Elle présente une pléthore d’activités
biologiques. Les neutrophiles traités à la quercétine ont présenté une suppression remarquable de l’expression de l’ARNm de divers gènes
pro-inflammatoires. L’un des rôles les moins connus et récemment découverts de la quercétine est la modulation de l’expression des microARN (miARN), qui
joue un rôle vital dans la santé et la maladie.
4. Le Carbone 60 suralimenté, ou Charbon activé nano-carbone.
Le carbone 60 (C60) est une molécule naturelle composée de 60 atomes de carbone formant quelque chose qui ressemble à un ballon de football creux. Le
nom scientifique du C60 est "Buckminsterfullerene", seule molécule d’un seul élément à former une cage sphérique. Cela explique que t c’est peut-être l’antioxydant le plus puissant jamais connu,
effectuant l’action antioxydante de la superoxyde dismutase, du glutathion, de la catalase et de la COQ10.
Au cours des 13 dernières années, la molécule de fullerène C60 "suralimentée" a été examinée, testée et caractérisée par pas moins de 15 universités et 5
laboratoires de recherche agréés par le gouvernement fédéral, ce qui a donné lieu à plus de "600 évaluations". De nombreuses recherches positives ont
également été menées concernant les utilisations potentielles du "Supercharged" C60 dans l’absorption des champs électromagnétiques (CEM). La molécule Supercharged C60 est en effet un
matériau nanocarboné qui présente des propriétés antioxydantes incroyablement puissantes qui peuvent augmenter la capacité du corps à gérer le stress oxydatif dans les états sains et
malades.
Des études indiquent que les nanotransporteurs de carbone peuvent fournir de petits ARN interférents et permettre une myriade d’applications d’ARNm en
biotechnologie végétale, s’internaliser dans les cellules et l’efficacité de silençage génique* qui en découle, et sont essentiels pour une suppression efficace des gènes.
5. La PQQ - Pyrroloquinoléine Quinine -.
La pyrroloquinoléine quinone (PQQ) est un puissant antioxydant et un booster d’énergie cellulaire qui agit pour soutenir la santé de vos mitochondries productrices
d’énergie, les protégeant des dommages oxydatifs, vous aidant même à développer de nouvelles mitochondries. La PQQ est en fait le seul nutriment sur terre connu pour être capable
de générer de nouvelles mitochondries.
La PQQ est contenue dans les fruits et légumes et dans le lait maternel humain, et c’est un facteur de croissance des plantes et un cofacteur bactérien. Des
études ont montré que le sel disodique de PQQ (BioPQQ™) a des effets positifs sur la fonction cognitive et peut avoir un effet protecteur sur le vieillissement induit par les rayons
UVA.
En outre, des chercheurs australiens ont examiné deux compléments alimentaires courants – la bromélaïne et l’acétylcystéine (BromAc ou NAC) – qui sont capables de
déplier les structures qui maintiennent les protéines de pointe ensemble, les neutralisant ainsi efficacement (à 50 et 100µ g/20 mg/mL et 50 et 100µ g/mL respectivement)*².
* Le silençage génétique est la régulation de l'expression génique dans une cellule qui
empêche l'expression d'un gène particulier. Ce silençage provoque une extinction de gène avec des silenceurs. La technique scientifique du silençage génique peut entraver ou
arrêter la production d'une protéine.
*² S'il n’existe actuellement aucun traitement thérapeutique approprié pour le SRAS-CoV-2 précoce visant à
prévenir la progression de la maladie, le BromAc en cours de développement clinique pour les cancers mucineux a la capacité de modifier les structures complexes des glycoprotéines et d'avoir un
effet inhibiteur sur le SARS-CoV-2 de type sauvage (et ses mutant de pointe) par l’inactivation de sa capacité de réplication in vitro.
Partout dans le monde, des chercheurs exhument des textes, codex* et papyrus contenant des remèdes naturels restés inexploités par la médecine moderne. Certains datent de plus de 5 500 ans et ont
survécu à l’usure du temps. Au fil des siècles, d’expérience en expérience, les guérisseurs des grandes civilisations ont développé une pharmacopée naturelle, faite de solutions simples et
efficaces contre la plupart des maladies chroniques qui ravagent notre civilisation moderne, et qui aujourd’hui étonne encore les grands spécialistes. Ces solutions étaient composées
d’ingrédients simples, de plantes (elles sont à l'origine de nombreux médicaments majeurs, certains de leurs principes actifs entrant dans la composition de 70% des produits pharmaceutiques
commercialisés dans les pays industrialisés, le tiers restant étant constitué de produits de synthèse), de fruits, qui renforcent les défenses du corps. Les anciens pensaient que pour chaque
maladie la nature créait un remède, et qu'il suffisait de chercher au bon endroit. C’est ce qui a permis aux médecines traditionnelles des civilisations d’Égypte, de Sumer ou Khmères de briller
pendant des millénaires.
Malheureusement, à partir du 19ème siècle, la médecine moderne a fait table rase de ces savoirs pour s’orienter vers des solutions médicamenteuses 100 % chimiques, dévalorisant ces précieux
savoirs et les laissant tomber dans l’oubli*². C'est pourquoi nous sommes persuadés que notre science vaut mieux que les savoirs ancestraux, que la technologie surpasse la sagesse millénaire.
Nous pensons ainsi à tort que l’arthrose, le diabète, le cancer, l’hypertension, la dépression, l'insomnie, le burn-out, les troubles neurodégénératifs comme Alzheimer ou les maladies
cardiovasculaires sont des maladies modernes, alors que les anciens étaient déjà confrontés à ces fléaux bien avant nous. A cause de notre arrogance, nous balayons toutes les connaissances du
passé d'un revers de la main.
* Ainsi le Codex Badianus, le tout premier traité médical d’Amérique qui regroupe plus de 3 500 ans de pratiques médicinales héritées des anciens aztèques,
et répertorie 251 plantes médicinales (https://www.wrf.org/ancient-medicine/badianus-manuscript-americas-earliest-medical-book.php).
*² C'est ainsi que la Commission européenne, via le lobby de l’industrie pharmaceutique, a réussi à faire un sort à la
concurrence "pénible" des produits naturels, interdisant à compter du 1er avril 2011 la vente de tous les produits à base de plantes médicinales sur le territoire de l’Union européenne s'ils ne
sont pas au bénéfice d’une autorisation. Depuis, celui qui veut offrir à la vente des produits à base d’herbes médicinales en leur attribuant des vertus thérapeutiques doit se soumettre aux mêmes
conditions d’examen et de contrôle que pour n’importe quel médicament, l’examen d’un produit ou d’un mélange de produits naturels se facturant jusqu’à 120 000 euros. A défaut, l’entreprise doit
prouver, pour obtenir l’autorisation de mise en vente, la preuve que son produit a été utilisé depuis au moins 30 ans en toute sécurité et avec efficacité, dont 15 ans dans l’Union européenne.
C’est un obstacle de taille, que tous les fabricants artisans ne peuvent pas franchir. Les produits naturels qui ont des propriétés thérapeutiques sont ainsi traités comme des drogues dangereuses
!
''Que ton alimentation soit ton seul médicament''
Hippocrate (460 - 370 av JC), philosophe et médecin grec du siècle de Périclès, considéré traditionnellement comme le "père de la médecine"*
* Le serment d'Hippocrate est un texte sur l'éthique de la pratique médicale qui lui a été attribué dans l'Antiquité. Il s’agit probablement du document le plus
célèbre du Corpus hippocratique.
Le problème est que nous naissons entourés de médecins. Ainsi, dans notre enfance, nous allons d'abord chez le pediatre pour entre autres vaccination*, puis
chez le médecin dès que nous avons un problème. C'est de cette manière que nous construisons notre croyance que notre guérison dépend du médecin, d'une autorité extérieure, et que nous sommes
impuissant face à un quelconque problème de santé. Nous apprenons à voir notre corps comme une machine qui tombe en panne, et que nous réparons en changeant des pièces. Il est une "chose"
fragile, dont la qualité et la durée de vie dépendent d’interventions extérieures. Ces thérapies traditionnelles que sont la médecine ou la chirurgie conventionnelle ne prennent en considération
que le paradigme biochimique et mécanique qui en a complètement contrôlé les initiateurs et promoteurs..
Or, lorsque les patients initiés parlent du "médecin intérieur", ils ne pensent qu’aux pouvoirs d’autoguérison de l’homme. Ce sont, par exemple, le système immunitaire, la cicatrisation, la
consolidation de fractures..., qui se réalisent toutes seules, sans notre consentement. Au même titre que le corps crée une maladie, il est capable de procéder au chemin inverse et de retrouver
la santé. Il possède une intelligence vitale qui lui confère des capacités d’auto-réparation. En occident, on l’appelle souvent Force Vitale. Elle équivaut au "Chi" des Chinois, au "Prana" des
Hindous, ou au "Ki" des Japonais. Le problème est que ces thérapies énergétiques ne représentent sur le plan économique qu'une infime fraction des milliards de milliards de l'industrie ou
business de la santé, ces pratiques n'étant absolument pas rentables pour l'industrie officielle médicale et pharmaceutique. En s'érigeant en de puissants lobbies, elles n'ont de cesse de menacer
sinon persécuter les thérapeutes énergéticiens pour discréditer et essayer de faire interdire leur savoir-faire.
* Les vaccinations contre la diphtérie, le tétanos, la poliomyélite, la coqueluche, l'infection à Haemophilus influenzae
b, l'hépatite B, le méningocoque C, le pneumocoque, la rougeole, les oreillons et la rubéole sont obligatoires depuis 2018.
De la maladie
Le langage des oisons nous enseigne le sens profond de la maladie : c’est "le mal qui dit", tout comme le malade est "pas – scient", alors que le docteur lui est
"scient…''. En prenant la première syllabe du mot maladie - MAL -, il est à comprendre que pour guérir, il faut inverser le processus du mal, ce qui donne à l'envers le mot LAM, c'est-à-dire
L’ÂME. Autrement dit, pour entendre le message de la MAL A DIT (MALADIE), il suffit d'inverser le MAL pour accéder au message de L’ÂME. Et inverser le mal rapporte à l'effet de GUÉRIR, qui
s'entend par GAI-RIRE, ou le fait de retrouver la joie de vivre. Si l'on va plus loin, LAM en hébreux signifie GUIDE, ce qui renforce la correspondance entre le mot ÂME qui GUIDE pour retrouver
la santé et, au final, rester en VIE. Le mot VIE en hébreux est HAÏM, dans lequel on entend le mot AIME. De plus, le mot LAM a une valeur numérique de 30, et en symbolique, 30 c'est 3 qui est le
chiffre de la communication. Il en résulte que LAM = ÂME = GUIDE = COMMUNICATION.
La meilleure manière d'éviter la maladie est la simplicité, dont le mot peut être décomposé de la sorte : "le simple i cité". La lettre "i" symbolise la connexion
spirituelle, pour en faire l’expérience. C'est une invitation à méditer sur notre capacité de reliance, le dessin de la voyelle dont le point figure l’esprit et la barre image le corps nous y
invitant. i, c’est l’esprit qui coule dans le corps, c’est le Ciel qui contacte la Terre, c’est la lettre qui permet le lien entre le haut et le bas. Elle a la capacité de se remplir de la
puissance de l’esprit en sa qualité de "voyelle", à entendre comme "elle voit EL" (le divin…). Sa vocation ne consiste pas à nous "soigner", "nier le soi", mais à nous guérir ("gai rire") en nous
transmettant la joie de vivre ici et maintenant sur terre…
Quant à l’anagramme du mot soigner, il donne "ignores", soulignant un lien de cause à effet entre le fait de prendre soin de quelque chose ou, au contraire, de le
négliger. Comme l’écrivait le mathématicien, physicien, inventeur, philosophe, moraliste et théologien français Blaise Pascal (1623/1662), "s’ignorer c’est ne pas se connaître soi-même", ou du moins ne pas comprendre la Nature du Soi (totalité formé du conscient et de
l’inconscient). De l’ignorance à la négation, il n’y qu’un pas et l’inversion du mot "soigner" nous montre qu’il est facilement franchi par ignorance : soigner = nier soi. En somme, si ignorer
déclenche le besoin de soigner, le fait de soigner résulte d’une ignorance, c’est-à-dire d’une méconnaissance de notre véritable Essence… La maladie est donc là pour nous le rappeler. Elle est à
la fois une façon de prendre conscience de nos besoins et une occasion d’apprendre à nous connaître.
Alchimie thérapeutique occidentale et orientale
L'alchimie occidentale est la pratique médicinale de guérison de la maladie universelle, soit la corruption du Monde de par la lumière amoindrie ou l'absence de
lumière, et qui entraîne la peur de la Mort, le conflit universel, "la maladie des maladies" illustrée par l'arcane Le Diable (XV) du Tarot initiatique. Elle part du principe que toute maladie
peut être guérie par ce(lui) qui en est la cause, soit l'archonte prédateur, le dragon en soi, par les conflits subtils qu'il génère (haine, violence, peur...), ignorés la plupart du temps par
l'être humain inconscient de leurs effets sous-jacents à sa psyché dénaturée. "C'est là vraiment un miracle sans fraude que le dragon venimeux contienne la médecine". Aussi la guérison passe par
la mort des illusions, le venin porté à notre conscience par l'hypnose prédatrice (ne pas oublier que les laboratoires pharmaceutiques élaborent leur sérum à partir du venin des serpents, à
l'image des serpents d'airain que Moïse érigea en porte-étendard protecteur pendant la traversée du désert par les Hébreux lors de la sortie d’Égypte).
L'alchimie thérapeutique occidentale est mise en œuvre dans ce qui se nomme la médecine "orthomoléculaire", inventée par un
double prix Nobel de chimie et de la paix, le chimiste et physicien américain Linus Pauling (1901/1994). Il a décrit les "liaisons chimiques",
c'est-à-dire les échanges d’électrons entre deux atomes qui dans le monde vivant jouent sur le bon fonctionnement des cellules. Ses travaux ont permis, notamment, de mieux comprendre
comment améliorer le fonctionnement du métabolisme humain et de lutter contre le "stress" oxydatif (destruction de protéines, d'enzymes, voire de l'ADN des cellules), comme avec
le Resvératrol, molécule découverte par l'enseignant-chercheur biologiste Eric Sérée à
l’université d’Aix-Marseille au sein d'une unité de recherche Inserm-Inra qui travaille sur les effets des micronutriments sur la santé métabolique et cardiaque. Ses propriétés
anti-oxydante, anti-âge, antibiotique, antitoxique et anti-inflammatoire lui permettent de relancer le métabolisme cellulaire, ayant une incidence favorable sur des pathologies telles que le
cancer, le diabète de type 2 et la santé cardiaque, avec dans certains cas une cure avec des compléments alimentaires adaptés et efficaces. Elle peut par ailleurs allonger l'espérance de
vie.
Son pendant opératif oriental se retrouve dans les pratiques thérapeutiques de maniement de l'énergie, comme l’acupuncture* traditionnelle chinoise (différente de
l’acupuncture symptomatique de la Médecine traditionnelle chinoise), et que l'Organisation Mondiale de la Santé (OMS) a enfin inscrite en 2019 pour la
première fois dans son "compendium" des médecines mondiales (la France a toujours discrètement été l'une des terres d'accueil de cette médecine
plurimillénaire). Trois fois millénaire en effet, elle est holistique, son but étant de rééquilibrer le flux d’énergie déréglé qui traverse le corps, et que décrit avec précision le système des
méridiens. La recherche des origines des maux permet de comprendre les signaux envoyés par le corps traduisant un dérèglement dû aux deux forces pouvant léser l'organisme et dérégler l'énergie :
les phénomènes externes dont le climat et la nourriture, les phénomènes internes que sont les émotions (celles-ci sont en cause pour leurs effets en particulier en Occident, dont le peuple est
très tourné sur l’intellect, le mental, au détriment de son pendant spirituel). La régulation de l'énergie se fait soit par les aiguilles sur les points d’acupuncture - les méridiens -, soit par
du moxa, une poudre d’armoise séchée broyée qu’on consume sur le point d’acupuncture (ou alors avec un bâton pour chauffer une zone ou un point).
Sur le corps, il y a douze principaux méridiens, correspondant aux douze organes, complétés par des "entrailles curieuses" comme par exemple le cerveau, qui est
rattaché avec le système neurologique des intestins (c'est pourquoi l’intestin est notre second cerveau).
Avec le Yin/Yang, les deux polarités énergétiques complémentaires constitutives du Vivant, la loi des "cinq éléments" (ou cinq mouvements) est le concept
fondamental de traitement de l'énergie. Ces cinq éléments fondamentaux sont le bois, le feu, la terre, le métal, l’eau. C’est un cercle nourricier sans fin :
Le Bois engendre le Feu (en se consumant) : il correspond au foie et à la vésicule biliaire ;
Le Feu engendre la Terre (en produisant des cendres) : il correspond au cœur et à l'intestin grêle ;
La Terre engendre le Métal (qui est dans son sein) : il correspond à la rate, à l'estomac, au pancréas ;
Le Métal engendre l’Eau (en se liquéfiant dans la fonte) : il correspond aux poumons et au gros intestin ;
L’Eau engendre le Bois (en le nourrissant) : il correspond à la vessie et aux reins.
Tout peut être classé selon les cinq éléments : les saisons, les couleurs, les métiers, les émotions, les saveurs, les odeurs, etc. C'est dire si c'est un
formidable outil pour comprendre les personnes et solutionner leurs maux (insomnies : problèmes d’endormissement et de réveils nocturnes ; tendinites, douleurs musculaires ; problèmes de transit
: constipation, diarrhées ; accompagnement de personnes en traitement de chimiothérapie). Dans ce dernier cas, il s’agit d’un soutien lié aux effets secondaires de la chimiothérapie, notamment en
permettant la régénération du sang*².
S'il est certain que l’acupuncture traditionnelle ne répond pas à l’urgence et à la chirurgie, elle permet d'agir sur les maladies de fond qui traînent, comme les
maladies de Crohn et de Lyme. Au final, si la médecine chinoise agit lentement et travaille en profondeur, la médecine
occidentale sait apaiser rapidement les crises aiguës et soulager. Il en résulte que ces deux approches, médecine
occidentale et médecine chinoise, forment lorsqu’elles
sont combinées une alliance stratégique efficace à long terme, et qui augmente grandement les chances de rémission, même s'il ne s'agit pas pour autant d’un remède miracle,
beaucoup de facteurs entrant en jeu quand il s’agit de maladies auto-immunes *³.
C'est aussi ce que propose la médecine chamanique, comme avec la pratique du curare, substance psychoactive toxique utilisée depuis plusieurs millénaires par les
chasseurs amazoniens pour tuer sans empoisonner la viande (il existe à travers l'immensité du bassin amazonien une quarantaine de genres de curare, élaborés à partir de quelque soixante-dix
espèces végétales différentes). Il peut en sa qualité de paralysant musculaire faciliter la chirurgie de l'abdomen et des organes vitaux. En effet, il interrompt la transmission des impulsions
nerveuses, provoquant la relaxation complète de tous les muscles, y compris ceux de la respiration. Les chimistes ont ainsi synthétisé des dérivés de la mixture végétale en modifiant légèrement
la structure moléculaire d'un de ses ingrédients actifs. Actuellement, les anesthésistes qui "curarisent" leurs patients emploient exclusivement des produits synthétiques.Il va sans dire que tout
ceci va à l'encontre des axiomes de la science occidentale, constituant un véritable angle mort pour la science. Et pourtant, ça marche !
* L’acupuncture est un terme français inventé par les jésuites au XVI° siècle. Les Chinois disent "Zhen Jui" (technique des aiguilles et de la
moxibution).
*² Pour refaire des plaquettes, des globules blancs, l’acupuncture traditionnelle est très efficace, de nombreux hôpitaux s’en servant. Les méridiens n'étant
que la prolongation d’un organe, on part du principe qu’un certain type d’organes fabrique du sang (le sang est fabriqué au plus profond des moelles
mais aussi par la rate et stocké par le foie). Le foie stockant le sang, le corps qui en a besoin vient puiser dans cette réserve. C'est pourquoi le traitement du sang passe par un travail sur
les méridiens qui vont au plus profond des moelles : les reins, la vésicule biliaire, le foie et la rate.
*³ Selon la médecine chinoise, les maladies
auto-immunes viennent d’un déséquilibre énergétique du trio que forment les reins, le foie et la rate, provoqué notamment par les émotions négatives (culpabilité, colère, sentiment d’injustice,
frustration, rumination mentale…). Selon le Dr Manola Souvanlasy Abhay, auteure du livre Désordres immunitaires et maladies auto-immunes, un pont entre médecine chinoise et médecine occidentale,
"La pensée et les émotions tiennent une place primordiale dans la genèse des maladies immunitaires autant que
dans le pouvoir de guérison". Ainsi, le foie serait principalement attaqué par la colère, la rate par la culpabilité et les reins par la
peur. Évacuer ces émotions négatives et apprendre à les gérer aide à rétablir l’équilibre énergétique.
De la médecine traditionnelle de l’Inde
La médecine ayurvédique est vieille de 5 000 ans, autant que la médecine traditionnelle chinoise, et comme elle est pratiquée aujourd’hui sur tous les continents.
Le mot Ayur vêda en sanskrit, la langue ancienne de l'Inde, signifie "sens de la vie", désignant par là-même un ensemble de croyances philosophiques qui sont à la base de la religion hindouiste.
À la base de cette philosophie, il y a l’affirmation que l’univers est composé de cinq éléments : l’air, le feu, l’eau, la terre et l’éther, lequel symbolise l’espace. L’univers (ou macrocosme)
est en harmonie lorsque tous ces éléments sont en harmonie : ni trop, ni trop peu. Comme le corps humain est considéré comme une reproduction miniature de l’univers (microcosme), son harmonie, la
bonne santé mentale et physique, nécessite que les cinq éléments soient en harmonie en son sein.
Chaque individu les combine à sa façon, ce qui définit son tempérament et sa nature. Ces associations sont réparties en trois grandes catégories appelées dosha ou
"humeurs". Il en découle que les maladies sont interprétées comme des déséquilibres des dosha – par exemple, la fièvre est un excès de feu, l’asthme un manque d’air –, qui peuvent aller
jusqu’au chaos le plus complet avec, à la clé, la mort de l'individu*.
Tout comme la médecine chinoise a le qi, l’énergie vitale, la médecine indienne a le prana, qui circule à travers soixante-douze mille canaux,
parmi lesquels les douze méridiens de l’acupuncture chinoise. L’énergie se concentre dans sept chakras principaux, disques en rotation perpétuelle situés le long de la colonne
vertébrale. C'est ainsi que les massages avec de l’huile coulant le long des canaux énergétiques, permettent de rétablir la circulation des énergies, et de stimuler les marma, points de contact
entre la conscience et le corps. Quant aux nutriments, ils permettent la formation des "tissus" (dhatu) qui composent le corps humain, chacun d'entre eux fournissant les nutriments au
suivant. Ils se transforment en plasma (rasa), le jus nourricier de l’organisme, lui-même se transformant en sang, le fluide vital (rakta) qui fournit les nutriments pour les
muscles (mamsa). Puis se succèdent tissus graisseux (meda), os, ongles, poils et cheveux (asti), la moelle osseuse et enfin les ovules et le sperme (shukra
etartav).
Une bonne alimentation fait en sorte que la chaîne fonctionne et fournisse une bonne forme physique. Idéalement, elle produit l’ojas, la "lumière" qui
procure éclat, sérénité et immunité, que l’on peut comparer à l’aura. Cette alimentation bio, à base de graines germées, de fruits et légumes frais et secs, de laitages, doit être accompagnée
d’un bon sommeil et de temps de contemplation/méditation, pouvant avoir lieu lors d’activités douces comme le jardinage ou la nage.
La médecine ayurvédique*² considère que l’on devient ce que l’on voit, entend et sent. Corps et esprit sont ainsi des éponges qui absorbent les bonnes comme les
mauvaises choses qui nous entourent, d’où l’importance de placer un malade dans un endroit harmonieux. On fera très attention à la beauté et à l’équilibre des couleurs, matières, meubles, objets
d’art et objets qui l’entourent, aux odeurs qu’il respire et aux sons qu’il entend. C'est le feu digestif qui permet de "digérer" les émotions négatives. Il est attisé en adoptant certaines
habitudes, comme ne pas manger la nuit, s’allonger vingt minutes sur le côté gauche après le repas, boire un verre d’eau cuivrée à jeun, consommer des rondelles de gingembre frais assaisonnées de
citron vert et de sel de roche, massage de cinq à trente minutes. Cette médecine consistant à rétablir les équilibres, on utilise le chaud, le froid, le sec, l’humide, la lumière ou l’obscurité,
le souffle ou le calme, toujours pour compenser les excès dans un sens ou dans l’autre.
* C'est ce que pensait également le médecin grec Hippocrate, père de la médecine occidentale, qui recherchait le bon équilibre entre les éléments. Rien
d'étonnant, une partie de l’Inde (l’actuel Pakistan) ayant été conquise par les Grecs d'Alexandre le Grand à l’époque d’Hippocrate.
*² Les quatre grandes étapes du traitement ayurvédique consistent en la désintoxication (shodan), la purification de l’organisme pour le débarrasser des toxines
(les résidus - mala - provenant de notre alimentation doivent pouvoir s’évacuer par l’ensemble des orifices, y compris la bouche, les oreilles et les yeux) ; l’atténuation (shaman), le
rééquilibrage des dosha à l’aide de massages à l’huile de sésame tiède, d’exercices de respiration, du jeûne, de la gymnastique et de la méditation (yoga), des chants et de la musique ; le
rajeunissement (rasayana), la tonification de l’organisme par l’ingestion d’aliments, de plantes, de minéraux, le jeûne, la gymnastique et la méditation (yoga) ; la guérison mentale (satvajaya),
qui consiste à conduire les flux énergétiques dans le corps et libérer la pensée pour produire une élévation spirituelle.
Alchimie organique
Depuis des centaines d'années, est pratiquée par des millions de personnes dans le monde* la thérapie nommée urinothérapie, également appelée Amaroli (nom
indien), qui a montré sans conteste pour ses pratiquants son efficacité et ce sans danger, même si le système institutionnel de la santé lié aux intérêts financiers de l’industrie pharmaceutique
joue sur son aspect repoussoir pour en contester les bienfaits*². Et pourtant, nombre des recherches scientifiques menées prouvent que ce liquide "jaune et plein d'écume", totalement gratuit,
recèle de nombreux trésors en son sein, de la guérison des maladies au développement de l’immunité. Composée d'eau à 85%, de minéraux, d'enzymes et de produits biochimiques importants, l’urine
fraîche contribue à la détoxication, à la détoxination, à la détoxification comme à la régénération, qu’on la boive, l’utilise en rinçage de la bouche, en massage, comme parfum ou sous forme
homéopathique (isopathie). C’est pourquoi elle est nommée "élixir de santé", si bien sûr elle est combinée à une parfaite hygiène de vie (composition nutritionnelle des repas, qualité du sommeil,
activité physique adaptée, détente mentale…).
En fait, Amaroli est une alchimie qui transforme le plomb en or par la confiance conférée à la sagesse de notre propre corps. Ses effets thérapeutiques
exceptionnels s’expliquent par le processus de transmutation biologique des substances vivantes que l’urine contient (enzymes, hormones, neurotransmetteurs, vitamines, anticorps, antibiotiques et
autres médicaments naturels) qui, combinées aux effets nettoyants et régénérateurs des sels minéraux urinaires, participent de la qualité de l’énergie vitale qu’elle recèle. Contrairement à ce
que croient beaucoup de gens, l’urine n’est pas un déchet toxique, mais du sang filtré. C’est pourquoi elle constitue le médicament le plus extraordinaire qui soit, les substances dont le corps
n’a pas besoin restant quant à elles dans le tube digestif et éliminées par les selles (si psychiquement le côlon sort les ordures, il doit le faire aussi
mentalement et émotionnellement).
En comprenant que le corps est intelligent et que l’absorption par les cellules intestinales est un processus subtil, l’alchimiste de sa vie permet à son or
organique de lui procurer l’élixir de vie.
* Médecines ancestrales de la Chine, du Tibet, de l’Inde, de l’Amérique du Nord et du Sud, de l’Europe (tradition celte), de la Polynésie, de la Sibérie, des
pays du bassin amazonien.
*² Soulagement de brûlure et aide à la cicatrisation sans traces ; action sur les problématiques de peau (eczéma, psoriasis …) et piqûres d'insectes ou autres ;
nettes améliorations dans de nombreuses pathologies si elle est pratiquée de façon adéquate ; élimination des effets indésirables des remèdes allopathiques.
Cf. "Testez l’urinothérapie" du docteur suisse Christian Tal Schaller et Johanne Razanamahay, et "L’Élixir de Vie" de l’auteur néerlandais Coen Van der
Kroone.
Alchimie végétale, la plante qui calmait la colère des pharaons...
De tous les sites de l’Égypte ancienne, Karnak est le plus célèbre. Au temps des pharaons, il s’appelait déjà "la place très vénérée". On y trouve un temple
majestueux, d’incroyables lignes de Sphinx, des statues colossales, une cour extraordinaire, des colonnes de calcaire de plus de 20 mètres de haut, des portes aux pierres massives, des murs
d’enceinte d’une hauteur haletante… Le lieu semble avoir été construit par des géants. Partout, sur les murs, les colonnes ou les obélisques, sont sculptées les étonnantes épopées, aventures et
campagnes des guerriers d’antan … ainsi qu'un secret de santé naturelle sous forme de dessins représentant des radis noirs. Ce radis, l’une des racines les plus classiques du potager, est aussi
une plante médicinale, connu également sous les vocables de gros gris, raifort cultivé ou raifort des parisiens. Introduit chez les Grecs et chez les Romains quelques siècles plus tard, il est
une plante pour ceux qui se font de la bile, les atrabilaires et autres colériques*. Il la régule, en stimulant la production et facilitant l’évacuation. Ami de ceux dont la colère s’est logée
dans le système digestif, il est recommandé pour ceux qui ont des troubles du foie, voire de la digestion, aidant à limiter les reflux œsophagiens, les troubles de l’estomac, les ballonnements et
l’intestin irritable.
* Cf. L'expérience émotionnelle.
Le potentiel infini du vinaigre de cidre
Tonique du système nerveux et du cœur, anti-fatigue, nettoyeur et régénérant cellulaire, reminéralisant hors-pair, stimulant digestif, immunostimulant face aux
microbes et virus, anti-cholestérol... le "vrai" vinaigre de cidre (nécessairement artisanal) est bon pour tout (rhume, mal de gorge, troubles circulatoires, intestinaux type diarrhées,
hypertension, diabète car permettant de réguler tant la glycémie que la production d’insuline et de triglycérides, problèmes de pieds ou de peau type acné, douleurs articulaires ou musculaires,
ostéoporose, varices, problèmes de dents et de bouche, coups de soleils et piqûres d'insectes, soins des cheveux...), qu'il soit pris pur, dilué dans une proportion de 1 pour 10, complété par du
miel pour l'adoucir, ou en gélules.
Son secret : une soupe de microbes et trois acides, sa formation étant un phénomène naturel sous l’action de bactéries (notamment l'Acetobacter suboxydans)
et de levures lié à l’exposition du liquide à l’air, ceci favorisant notamment la production d’acide acétique comme pour l'oxydation de l'éthanol propre aux boissons alcoolisées (la
bactérie s'associe avec ses consœurs pour former un biofilm). Le résultat final est une concentration en acides : acétique principalement (5 à 8%), acides tartrique et citrique en quantité
variable. Il en découle des qualités bactéricides et médicinales, expliquant qu'il a constitué le support privilégié de nombreux remèdes médicinaux d’autrefois.
Car le vinaigre de cidre est très riche en potassium*, phosphore, calcium, magnésium, soufre, fluor, fer, bore et silice qui, l'un dans l'autre, contribuent à son
pouvoir énergisant et curatif. De plus, il est très riche en antioxydants. Il en découle une capacité hors-pair à lutter contre des états pathologiques en réhydratant en douceur les cellules
malades et en dispersant les molécules agglutinées sur les cellules, celles-ci retrouvant leurs capacités d'assimilation, de stockage et d'élimination.
Sous forme curative de 3 semaines (le bénéfique 3x7), la dilution à opérer est de 2 cuillères à café (plus 1 de miel si souhaité) dans 100 ml d'eau riche en sodium,
en buvant au minimum 1/2 verre par jour (jusqu'à 3 verres), avec en complément de la vitamine C naturelle.
* Le potassium est à nos tissus mous ce que le calcium est à nos tissus durs. Il joue un
rôle-clé dans le liquide intracellulaire et pour le maintien de l'équilibre acido-basique. C'est donc un excellent antidote de terrain aux différentes pollutions de l'organisme (empoisonnement
médicamenteux, alimentation déséquilibrée, etc.) qui attaquent notre équilibre acido-basique au point d'entraîner de nombreux désordres, des problèmes cardiovasculaires aux
inflammations.
Cf. en complément livre "Ces vieux remèdes qui guérissent" (titre original : Folk Medicine : A
Vermont Doctor’s Guide to Good Health) de l'ophtalmologiste et otorhinolaryngologiste américain
DeForest Clinton Jarvis (1881/1966).
De la "permaculture", alchimie naturelle de la Terre
Tout a commencé quand, dans les années 1970, les premiers "permaculteurs" ont compris qu’il fallait cultiver en coopération, plutôt qu’en opposition, avec la
Nature. Leur démarche s’appuyait sur l’expérience millénaire de nombreux peuples en Amazonie, à Madagascar, en Inde ou ailleurs, qui avaient su éviter de tomber dans une exploitation pure et dure
de la Nature, s’apparentant à une forme de viol et de pillage à courte vue. La permaculture agro-écologique était lancée. En combinant ces techniques anciennes avec les connaissances agronomiques
modernes, ces pionniers, en dépit des moqueries, ont mis au point des systèmes innovants - comme les 7 niveaux aériens où les
plantes se servent de parapluie, parasol et paravent les unes aux autres -, prouvant que l’on peut cultiver et récolter sans retourner les sols (labour), sans désherber, sans arroser, sans
pesticides ni engrais chimiques, et même sans dépenser pour acheter des graines, et ce sous tous les climats et dans toutes les circonstances. Que ce soit dans les campagnes, à la mer ou à la
montagne, dans les banlieues, les centres villes et même dans les zones industrielles, l'être humain éveillé peut contribuer à faire reverdir son monde d'expression, tout en récoltant, pour lui
et sa famille, des légumes et des fruits délicieux. Pour cela, il lui suffit de comprendre que les plantes s’aiment entre elles* ! Dans la Nature, tout en effet se tient, et ce dans le moindre
centimètre carré qui peut être planté densément afin de récolter des légumes et fruits savoureux, fondants, avec un minimum de moyens et de travail, et de générer des récoltes spontanées les
années suivantes par le ré-ensemençage naturel.
La permaculture ne se limite pas au simple potager de légumes, pouvant être appliquée à une exploitation agricole toute entière tel le "verger à la Sobkowiak" du
nom de son inventeur le Québecois Stefan Sobkowiak, verger "épicerie" par la culture sur un même rang non seulement des pommes, poires, prunes et cerises, mais aussi toutes sortes de petits
fruits (groseilles, cassis, amélanches, raisin…) et de légumes vivaces (ail, ciboulette, rhubarbe, oseille, fleurs comestibles…), le tout sans aucun intrant, engrais et pesticides !
Chaque jour, la permaculture se développe, progresse, s’enrichit de nouvelles découvertes, devenant un mode de vie, une façon d’être, une philosophie respectueuse
du vivant, englobant par leur interconnexion tous les aspects de la vie en société libérée de l’industrie chimique et des semenciers qui, par les insecticides, fongicides, engrais et pesticides, contribuent à la vulnérabilité de nos espèces aux maladies et aux
insectes.
* C'est l'exemple des "Trois Sœurs", le maïs + le haricot grimpant + la
courge, qui adorent vivre ensemble. Le maïs sert de tuteur au haricot, qui apporte de l’azote au maïs et à la courge. Avec ses grandes feuilles qui recouvrent le sol, la courge garde
l’humidité et empêche les mauvaises herbes de pousser. C’est une technique héritée des Amérindiens, qui l’appelaient Milpa, et qui présente un intérêt nutritionnel majeur, celui de former une
association (le maïs et le haricot) qui apporte tous les acides aminés essentiels, ceux que le corps ne peut synthétiser lui-même.
Cf. en complément Le Club Saine Abondance de Florence Mont.
De l'agriculture biodynamique
Le concept de l'agriculture biodynamique est le fruit du polygraphe et occultiste autrichien
puis suisse Rudolf Steiner* (1861/1925), considéré par d'aucuns comme un des plus grands hommes du XXe siècle avec Einstein. Marqué par le romancier, dramaturge, poète, scientifique, théoricien de l'art et homme d'État allemand Johann Wolfgang von Goethe, il est le fondateur de l'Anthroposophie,
courant ésotérique, avant que de mourir empoisonné à 64 ans. Il a contribué à la mise en œuvre de "L'école Waldorf"*², l'Unesco déclarant à son sujet que la pédagogie de Rudolf Steiner est la
pédagogie de l'avenir. Il était franc-maçon, créateur de son propre rituel de l'Ordre égyptien de Misraïm (Mystica Aeterna).
L'origine du mot BIODYNAMIE vient du grec bios, "Vie", et de dynamis, "Force", "Énergie". Ses bases ont été posées par Rudolf Steiner
dans une série de conférences données aux agriculteurs en 1924. Selon lui, la biodynamie s'adresse à tous les domaines de l'activité agricole tels que la production de semences, l'élevage,
l'apiculture, la viticulture ou le jardinage, le mystère de la végétation tenant à l’équilibre entre forces cosmiques venues des astres et forces terrestres montant du sous-sol. Comme
elle se base sur une profonde compréhension des lois du vivant, acquise par une vision qualitative et globale de la
nature, l’agriculture biodynamique est présentée comme une agriculture assurant la santé du sol et des plantes pour procurer une alimentation saine aux animaux et aux Hommes. Un jardin, un
verger, une ferme sont ainsi vus comme un organisme vivant, avec des liens entre les plantes, les insectes, la vie animale, la vie souterraine. Le jardinier va influencer les différents facteurs
qui sont là : à la fois ceux du sol (le monde minéral), des plantes qui poussent (le monde végétal), des animaux de toutes sortes qui vivent (le monde animal). Tous ces organes de l’organisme
vont interagir, l’agriculture biodynamique adoptant un point de vue global où la vie se trouve insérée tant dans une polarité cosmique, celle relative au rayonnement solaire et aux autres planètes, qu'à l’influence qui émane de la force d’attraction terrestre. Selon Rudolf Steiner, le
rayonnement des planètes est modifié lorsqu’elles passent devant les constellations d’étoiles fixes, l’activité de ce rayonnement étant rythmée par la mécanique céleste, autrement dit par le
mouvement orbital de tous les éléments du système solaire. C’est parce qu’il adopte cette hypothèse que le bio-dynamiste suit un calendrier astronomique pour la mise en place de ses cultures et
leur entretien.
* Le prénom Rudolf vient du germain hrod, "gloire", et wolf, "loup". Quant au nom Steiner, il est d'origine
alsacienne-lorraine, dérivé de stein, "pierre", désignant un tailleur de pierres, à entendre comme travailleur sur sa propre pierre intérieure...
*² Ces écoles Waldorf sont des écoles associatives autonomes (environ 1 000 sites
dans le monde, principalement en Europe et en Amérique du Nord, dont 200 en Allemagne et une vingtaine en France). Aussi connues sous le nom d'écoles Steiner, elles cherchent à
articuler les enseignements intellectuels et l'exercice d'activités artistiques et manuelles. Selon cette pédagogie, l'enfant et l'adolescent se développeraient selon des cycles de sept années où
les changements physiques vont de pair avec des métamorphoses plus profondes correspondant aux "naissances" successives des constituants de l'être humain (corps éthérique, corps astral, moi), et
qui seraient visibles par clairvoyance.
Alchimie chamanique
Le savoir botanique des chamanes des peuples indigènes de l'Amazonie provient des hallucinations induites par certaines plantes, qui s'ajoutent aux autres
techniques usitées de "défocalisation" de leur esprit : rêves maîtrisés, jeûnes prolongés, isolement dans la nature, hypnose basée sur un battement répétitif de tambour, expériences proches de la
mort. Ils parlent tous un langage secret qu’ils apprennent directement des esprits, par imitation, faisant référence à une échelle – ou une vigne, une corde,
un escalier en spirale, une échelle de corde tordue – qui relie le ciel et la terre, et qu’ils utilisent pour accéder au monde des esprits. C'est ce qu'illustre la composition chimique de
l'ayahuasca (sa traduction française est "vigne de l'âme"), qui est une mixture hallucinogène - au même titre que le Virola - découlant de la combinaison de deux plantes. La première contient une
hormone secrétée naturellement par le cerveau humain, la diméthyltryptamine. Elle est cependant inactive par voie orale, puisque inhibée par une enzyme de l'appareil digestif, le monoamine
oxydase, issue de la seconde plante de la mixture qui contient plusieurs substances ayant pour effet de protéger l'hormone de l'assaut de cette enzyme. Autrement dit, les chamanes ont trouvé une
solution à l'activation d'un alcaloïde* via un inhibiteur de monoamine oxydase*² choisi parmi les feuilles d'un arbuste issu des quelques quatre-vingt mille espèces de plantes amazoniennes, et ce
dans le but de modifier délibérément leur état de conscience.
Quant aux chamanes européens - nommés sorcier(e)s -, ils/elles utilisaient des potions à base de bave de crapaud, sang de fœtus humain et chair de vipère.
Ainsi le "thériaque", potion censée être une panacée (soignant toutes les maladies), qui était composée de plus de cent ingrédients, dont la chair de vipère avec des quantités infinitésimales de venin et l’opium
pour ses vertus soporifiques et analgésique (antidouleur) issues du pavot (Cf. les aventures d’Ulysse chez les lotophages mangeurs de pavots). En effet,
certaines variétés de pavot comme la variété européenne Parvum somniferum produisent un alcaloïde, la morphine, qui sera isolée au début du 19ème
siècle (elle tient son nom de la déesse du sommeil Morphée). De la morphine, des chimistes allemands de la firme Bayer ont synthétisé une molécule
appelée di-acétyl-morphine, qui sera commercialisée avec grand succès à la fin du 19ème siècle sous le nom de "héroïne", avant qu'elle ne soit officiellement interdite en 1905. De son côté, la bave de crapaud tire ses effets des crapauds du genre
"bufo", qui secrètent un mucus riche en bufotoxines dans leurs glandes parotoïdes. Ces toxines provoquent un très grand nombre de réactions cardiaques,
nerveuses, respiratoires, ainsi que des visions, hallucinations auditives, jusqu’à l’épilepsie. Ils sont utilisés aussi en médecine traditionnelle
chinoise, sous forme de poudre obtenue en broyant de la peau de crapaud séchée connue sous le nom de chansu, "Bufonis Venenum".
Ces sorcier(e)s connaissaient également les champignons hallucinogènes, comme les psilocybes qui donnent des visions kaléidoscopiques (elles seront popularisées par les Beatles, experts en "champignons magiques" - magic mushrooms
-). Si les champignons psilocybines ne produisent pas d’expériences spirituelles, ils sont de nos jours étudiés pour leur effet contre la dépression majeure
(ils se lient aux neurorécepteurs, bloquant certaines pensées intenses orientées vers l’ego et rendant de ce fait l’individu
moins en contrôle de sa pensée). Ils connaissaient aussi les "amanites tue-mouche", ces fameux champignons rouges à point blanc. Si beaucoup croient
qu’ils sont mortels, ils peuvent en réalité être mangés, donnant une extraordinaire impression de voler tout comme de terribles maux d’estomac (dans 50 % des cas). Enfin,
ils/elles connaissaient la jusquiame, la belladone et la digitale, des plantes riches en alcaloïdes faisant varier la pression sanguine, la dilatation de la pupille, le rythme cardiaque et
pouvant provoquer des pertes de connaissance (et d’ailleurs la mort), et bien sûr les propriétés bénéfiques de la verveine, la sauge, la camomille, la bardane, l’achillée millefeuille, la
réglisse, la guimauve, l’armoise, la valériane, le millepertuis... que nous prenons en tisanes, en décoctions, en extraits alcooliques ou glycérinés, en
poudre ou entières dans notre cuisine de tous les jours.
Tout l'art ancestral inexpliqué par nos scientifiques contemporains (ethnologues, anthropologues, ethnobotanistes) de combiner les propriétés moléculaires des
plantes pour induire des changements neurologiques (transe, divination, interprétation des rêves, exploration de l’inconscient, philtres
d’amour...) permettant à l'être humain de capter de l'information en provenance de l'ADN*³ par le "coulage" électro-magnétique de la 4ème dimension de
densité en lui...
* L'alcaloïde est une substance organique d'origine végétale qui contient au moins un atome d'azote dans la molécule. Les alcaloïdes ont une puissante action
toxique ou thérapeutique, telles la caféine, la morphine, la quinine.
*² La seule constante dans toutes les différentes recettes d'ayahuasca est l'utilisation de la liane Banisteriopsis caapi, qui contient les trois inhibiteurs de
monoamine oxydase, harmine, harmaline et tetrahydroharmine. Ils sont eux-mêmes hallucinogènes s'ils sont consommés à des doses suffisantes.
*³ Cf. Décryptage de l'Ego. L'ADN est un "cristal apériodique" qui, parce qu'il tend sans
oscillation vers un régime stable, capte et transporte efficacement les électrons, et qui émet, à des fréquences ultra-faibles et à la limite du mesurable, des photons, c'est-à-dire des ondes
électromagnétiques.
Cf. en complément livre de l'historien des religions, mythologue, philosophe et romancier roumain Mircea Eliade (1907/1986), "Le chamanisme et les
techniques archaïques de l'extase" (1950 et 1968).
Le pouvoir ancien des plantes en Europe
L'analyse de mèches de cheveux humains provenant d'un site funéraire de Minorque, en Espagne, indique que les anciennes civilisations humaines utilisaient des
drogues hallucinogènes dérivées de plantes. Selon les chercheurs*, il s'agit de la première preuve directe de l'utilisation de drogues anciennes en Europe, qui pourraient avoir été utilisées dans
le cadre de cérémonies rituelles.
Les chercheurs ont détecté de la scopolamine, de l'éphédrine et de l'atropine dans trois échantillons de cheveux répétés. L'atropine et la scopolamine se trouvent
naturellement dans la famille des morelles et peuvent provoquer des délires, des hallucinations et une altération de la perception sensorielle. L'éphédrine est un stimulant dérivé de certaines
espèces d'arbustes et de pins qui peut accroître l'excitation, la vigilance et l'activité physique.
* Les auteurs de cette découverte ont écrit dans la revue Scientific Reports : "Dès le paléolithique, les humains ont découvert les propriétés non alimentaires
de certaines plantes."
De la suramine
Les aiguilles de pin fraîches provenant d’arbres appropriés sont utilisées depuis des siècles comme sources de vitamine C et d’autres substances phytochimiques.
C'est ainsi que les Amérindiens les utilisaient pour traiter les infections respiratoires et d’autres affections. Elles contiennent en effet de nombreuses autres substances qui semblent réduire
l’agrégation des plaquettes dans le sang, prévenant ainsi potentiellement la formation de caillots sanguins à l’origine des accidents vasculaires cérébraux, des crises cardiaques et des embolies
pulmonaires, tout ceci étant démontré sur le plan scientifique.
C'est pourquoi nombre de chercheurs, parmi lesquels la virologue états-unienne Dr Judy Mikovits, connue par ses détracteurs pour ses théories du "complot" en
matière de vaccination ARN messager, pensent que les aiguilles de pin peuvent offrir comme puissants antioxydants une
protection contre les protéines de pointe du virus covid, armes biologiques artificielles présentes dans les vaccins contre le covid.
Les aiguilles de pin contiennent de la suramine, une grosse molécule à laquelle on attribue divers effets médicinaux sur le cancer, les inflammations, le stress et
la dépression, la douleur et les infections respiratoires. La suramine a en effet des effets inhibiteurs sur les composants provoquant la cascade de coagulation, sur la réplication et sur la
modification inappropriées de l’ARN et de l’ADN. Elles contiennent également de l’acide shikimique*, molécule que l’on trouve dans l’anis étoilé (Illicium
verum), une herbe de la médecine chinoise, qui guérit les pestes comme les maladies respiratoires.
La suramine comme l'acide shikimique peuvent tous deux être extraits des aiguilles de pin blanc, de pin rouge et d’autres
conifères simplement en faisant bouillir les aiguilles dans l’eau après les avoir broyées*². Ceci signifie que le
remède naturel contre le covid est disponible gratuitement, fourni par Mère Nature, et qu'il se développe sur de
nombreux continents, sans avoir à compter sur des produits pharmaceutiques brevetés et contrôlés, ainsi que des vaccins armés
conçus pour répandre la maladie et atteindre une dépopulation mondiale par la mort de masse.
* En 2010, le Boston Herald a publié un article révélant que des chercheurs étudiaient les techniques d’extraction de l’acide shikimique des aiguilles de pin
afin de fournir cette matière première à l’industrie pharmaceutique pour la fabrication de médicaments antiviraux, antigrippaux et antipandémiques.
*² Les précautions à prendre lors de l’utilisation d’aiguilles de pin sont de bien connaitre les plantes
utilisées, tous les pins ne convenant pas (certains conifères comme l’if sont toxiques). De même, toute personne qui prévoit une grossesse ou qui est déjà enceinte devrait éviter de consommer du
thé aux aiguilles de pin, par simple précaution, le pin de l’île de Norfolk et le pin ponderosa étant soupçonnés
de provoquer des avortements spontanés. Aussi est-il nécessaire de travailler avec un
naturopathe qualifié pour élaborer une stratégie à base de plantes compatibles avec sa propre biologie et ses objectifs de santé particuliers.
Cf. en complément site de Philippe Alexandre Jandrok www.cogiito.com