Les publications en ligne font l'objet de constantes mises à jour et nouveaux enrichissements. Il va de soi qu'elles n'engagent que leur auteur dans le choix des sources et le fruit de ses imagination et réflexion.

 

 

Contrôle mental

"Nous saurons que notre programme de désinformation est achevé quand tout ce à quoi le public américain croira sera faux." - William Joseph Casey, directeur de la CIA 1981-1987
"Nous saurons que notre programme de désinformation est achevé quand tout ce à quoi le public américain croira sera faux." - William Joseph Casey, directeur de la CIA 1981-1987

 

Dormez bien, braves gens, il ne se passe rien. Ces traînées blanches laissées par des avions qui pulvérisent sur nos têtes des produits toxiques - les "chemtrails" -, le programme Haarp* officiellement destiné à permettre les communications longue distance, le temps qui se détraque et les catastrophes météorologiques à répétition… Faut-il croire les explications rassurantes quant à leurs finalités des experts dûment agréés, ou s’interroger sur les documents déclassifiés de l’armée, les experts repentis, les scientifiques intègres sur leurs explications allant en sens inverse ?

Si beaucoup de citoyens ont entendu parlé des diverses expériences de la CIA américaine (agence de renseignement), toutes plus horrifiantes les unes que les autres, ont-ils conscience des effets des armes bactériologiques, des implants, des nanoparticules, des mutations génétiques*², des manipulations mentales ? Ont-ils décodé ce qui se cache derrière les discours rassurants sur les bienfaits du transhumanisme ? Ont-ils conscience du pourquoi de l’eugénisme et des effets de ces nouvelles technologies au service des puissants ? Sont-ils toujours et encore résignés à n’être au mieux des pions, au pire des esclaves ?

Plus ou moins tenus secrets, tous ces projets revêtent un alibi humanitaire : la faim dans le monde, le réchauffement climatique, la santé, l’écologie, la sécurité… La réalité est pourtant toute autre ! La multiplicité des scandales qui éclatent au grand jour, particulièrement liés à la santé et à l’environnement (vaccination, pesticides, affaire du sang contaminé…) comme la complicité entre les cartels, les banques et les leaders politiques, ne sont dus ni au hasard ni à la fatalité. Il s’agit de la mise en lumière d’un plan organisé par une poignée d’individus sous contrôle d'entités extraterrestres, plus exactement trans-dimensionnelles, - les "Illuminatis" du Nouvel Ordre Mondial -, contrôlant des réseaux relais puissants (politiques, religieux, économiques, sociétés occultes...) pour contrôler le monde, le structurer et l’organiser dans leur intérêt exclusif*³. Pour y parvenir, ils doivent contrôler les esprits, du plus grand nombre – les dormeurs – comme des résistants – les éveillés -, en créant tant un climat d’incertitude et de peur pour essayer de rétablir leur domination comme lors des précédentes inquisitions ou grandes guerres, qu'une espérance en la venue d'un nouveau Sauveur pour réconcilier, soulager et apaiser tout le monde.

* Le projet High Frequency Active Auroral Research Program (HAARP) est un programme américain à la fois scientifique et militaire de recherche sur l’ionosphère mené sur une plateforme dédiée en Alaska.

Développé dans la publication Nouvelle Génération.

*³ Cf. La nouvelle religion universelle, Prophétie du changement, Compréhension structurelle de la Matrice asservissante & Les acteurs de la Matrice falsifiée.

 

Pourquoi l'explication scientifique cosmogonique est fausse ?

Les nouvelles théories explicatives du fonctionnement de notre univers*, comme celle de l'astrophysicien américain James Mc Canney traité bien entendu de conspirationniste par l'establishment de la pensée scientifique dominante et ses relais officiants, bouleversent considérablement la science contemporaine, remettant en question une grande partie de ses théories acceptées comme factuelles, dont les mythes du "réchauffement planétaire anthropique", de l'effet de serre, du "pic pétrolier", du "mouvement" des plaques tectoniques, du principe à l'origine des systèmes météorologiques, de l'idée stipulant que le Soleil émet toute son énergie sous forme de lumière.

La "réalité" est que pour ces esprits libres du cadenas imposé, nous n'avons pas à faire la guerre au Moyen-Orient pour le pétrole, parce que celui-ci se trouve en abondance partout dans le monde. Il n'est pas le résultat de millions d'éons de vie végétale en décomposition, aucun chimiste ne pouvant montrer comment la saleté se décompose et se transforme en pétrole brut et en gaz naturel. Le pétrole est en fait arrivé sur la planète par le biais de multiples événements de pollution à grande échelle causés par le passage de grandes comètes. Il n'est donc pas une marchandise rare ou limitée, pas plus qu'il n'est une substance rare contrôlée de ce fait par quelques élites gloutonnes et avides. Il existe de meilleures façons d'alimenter nos besoins en énergie, en exploitant notamment le champ électrique solaire et de manière gratuite pour tout le monde. La véritable raison pour laquelle nous devrions cesser d'utiliser le pétrole, c'est parce qu'il pollue l'environnement !

Si la quasi totalité de tout ce que nous "savons" est faux, ceci indique que le système scientifique/universitaire n'est pas fait pour les libres penseurs à même de repenser tout autrement le champ du Vivant, en remettant en question les axiomes de l'astronomie tels que dispensés par les présumés sachants. Ceci explique qu'au moment où ils prennent conscience de la supercherie jusqu'alors enseignée, ils soient au mieux discrédités et marginalisés, au pire éliminés. Ils présentent pour l'establishment le risque inacceptable de mettre fin à la propagande scientifique dispensée en dehors des cénacles habilités qui voient des scientifiques "dissimulés" œuvrer dans le cadre de contrats gouvernementaux stricts et privés (contrats à "budget noir" ou clandestins), et ce à destination du "grand public", ces moutons et autres dindons de la farce indigeste interprétée. Parce que la vérité est destinée à rendre libre l'être humain, de son esclavage au contrôle économique et politique exercé, les politiciens, scientifiques, philosophes et autres religieux psychopathes qui nous gouvernent*² ont besoin d'une psychologie dénaturée pour faire obstacle à tout diagnostic précis des problèmes pathocratiques qu'ils génèrent. Ils sont les "seuls maîtres à bord", ou plutôt le croient pour un grand nombre d'entre eux ignorants de la réalité des mondes multidimensionnels, et ont la ferme intention de le rester. Comment peut-il en être autrement pour espérer conserver positions dominantes et prébendes liées, comme sortir indemnes de la situation si le public connaissait la vérité sur ce qui attend l'humanité ? Aussi font-ils tout pour préserver leurs propres vies en laissant le reste subir le sort des dinosaures. C'est pourquoi la physique, l'astronomie, l'histoire..., et tous les autres domaines scientifiques quels qu'ils soient, procèdent de la même dynamique, la mortification des consciences ! Qui peut en effet gagner de l'argent si l'énergie est gratuite ? Qui peut maintenir sa position privilégiée si les gens sont capables de mener une vie autonome ? Tout l'édifice du contrôle politique de notre époque nécessite de ce fait l'ignorance des populations.

* Cf. Évolution de civilisation (1) Le mécanisme de l'Univers, Fin de cycle (2) La guidance éclairée de sa vie & Vérité climatique.

Cf. Les psychopathes qui nous gouvernent.

 

Le piège de l'enseignement des Églises

Ceux qui mettent en garde le plus bruyamment contre la tromperie des extraterrestres, présentée comme "fake news", ont en fait déjà été trompés. La doctrine de l’Église, quelle qu'elle soit, sert le brouillage de la Vérité établi par nos maîtres généticiens extradimensionnels que les Sumériens nommaient Anunnaki. Il en résulte que tous les dieux qui auraient marché sur Terre étaient des entités de la même nature, non humaines. De la même façon, le brouillage qui égare voit certaines écritures dire que "personne n’a jamais vu Dieu" (Jean 4:12), alors que d’autres Le décrivent marchant parmi les gens et interagissant avec eux. Il ne s’agit tout simplement pas du même Dieu. Qui plus est, les adorateurs de Satan l’appellent "Dieu" et "Seigneur"...

C’est de ce fait en croyant que les livres saints sont parfaits et transmis par quelques relais du Très-Haut que les gens se sont fait piéger. Satan s’est déguisé non seulement en ange de lumière, mais aussi en Dieu.

Comment discerner la différence ? Par leurs actes. Si par exemple Jésus a dit que son Dieu n’est qu’Amour, d’autres versets de la Bible décrivent Dieu ordonnant le meurtre et l’esclavage. Il ne s’agit pas du même Dieu. Jésus ne croyait pas aux sacrifices humains, et pourtant l’Église prétend qu’à l’époque de Jésus, Dieu avait besoin de sang. Ne nous enseigne-t-on pas également que c’est Baal, le nom générique de la divinité suprême chez les Phéniciens et autres peuples sémites désignant les dieux des païens qui avait besoin de sang ? Quant au Psaume 18 qui décrit un Dieu tempête, la divinité suprême grecque Zeus était appelée Dieu Père, tout comme la divinité sumérienne Enlil. Dans la mythologie, le Dieu de la tempête est Satan. Et bien entendu c’est lui que les élites viciées vénèrent depuis lors par-dessus tout.

Toutes ces histoires d'adorateurs qui suivent des entités bonnes ou mauvaises ont été combinées par les élites institutionnelles gouvernantes pour créer un système de contrôle appelé religion.

Cf. Le Judaïsme décodé, L’Église romaine décodée, La nouvelle religion universelle.

 

Cette inquisition moderne qui se déroule de façon insidieuse et sournoise génère une nouvelle peur dans notre matrice répétitive, constitutive de notre karma*. Si tout est là, sous nos yeux, nombreux pourtant sont ceux qui refusent de voir, cela leur apparaissant au regard de leurs croyances sous contrôle et de leurs conditionnements totalement absurde, surréaliste, fantaisiste, incroyable, et de ce fait impossible. En effet, cette inquisition contemporaine ne se fait plus sous forme de guerres armées, mais par la manipulation de la psyché humaine à travers nos croyances spirituelles limitantes. Elles induisent une guerre "d'égos" en touchant essentiellement notre "petit moi", qui rejette ce qu'il ne croit pas ou ne connaît pas*².

Elle se fait aussi par le biais de technologies militaires de mind-control inconnues du grand public (ondes scalaires, micro-ondes, chemtrails, décharges électromagnétiques ou thermiques, ainsi que des impulsions d'ondes à basses fréquences "HAARP"...) qui sont destinés à baisser nos défenses immunitaires et provoquer des états dépressifs qui terrorisent notre "petit moi" d'une façon fourbe et invisible.

Toutefois, de plus en plus d'individus s'éveillent, en raison de l'arrivée de nouvelles énergies qui entraînent la résurgence de l'énergie féminine du "matriarcat" pour rééquilibrer l'actuelle domination du patriarcat. Ils commencent à ressentir que "quelque chose" se trame, ce qui incite de plus en plus de personnes à s'informer de ce qui se passe sur terre et en eux. Cet afflux exponentiel de lumière-énergie signe la fin d'un cycle planétaire correspondant à celui de l'humanité dans la dualité, pour entrer dans un nouveau cycle, basé sur les lois de la causalité (cause à effet) qui vont au-delà de notre corps mental*³.

* Cf. Le cheminement de l’Âme.

Cf. Décryptage de l'égo.

*³ Cf. Fin de cycle (1) : fin du temps ou fin des temps ? & Fin de cycle (2) : la guidance éclairée de sa vie.

 

Chemtrails ("rails de fumée), smartdust*, vaccins géniques, technologie des micro-ondes émises par des tours et des satellites... tous ces produits élaborés par l'ingénierie technologique sont destinés à manipuler ces particules de métal introduites dans notre corps. Lorsque nous les respirons, elles s’assemblent dans nos corps, nous transformant en ordinateurs "trans-humains" sur lesquels peuvent être diffusés des signaux à micro-ondes. Pendant ce temps, les individus éternuent, toussent, accusent les "allergies" et achètent des produits pharmaceutiques... mais l’air ne contient pas de pollen. Qui plus est, le changement du ciel est indéniable, le soleil qui était autrefois une grosse boule de feu orange apparaissant aujourd’hui plus blanc et plus petit. Alors que les nuages prenaient autrefois des formes magnifiques et naturelles, telles que les cirrus, les cumulus et les nimbus, ils apparaissent aujourd’hui sous forme de grille, ressemblant aux barreaux d’une... gigantesque prison planétaire.

* La poussière intelligente est un réseau sans fil de minuscules microsystèmes électromécaniques, de capteurs, de robots ou de dispositifs, qui permet de mesurer par exemple la lumière, la température ou des vibrations.

 

Les chemtrails, "théorie du complot" ?

Les "contrails" (condensation trail en anglais) sont des traînées glacées éphémères de condensation ou de vapeur d'eau (les distrails sont leur dissipation sous forme de goutelettes), soit des nuages en forme de ligne créés par les gaz d’échappement des moteurs d’avion… composés principalement d’eau, sous forme de cristaux de glace, ainsi que de dioxyde de carbone (CO2), d'oxydes d’azote (NOx), de dioxyde de soufre (SO2) et de suie, et qui doublent essentiellement la quantité de chaleur causée. Si les gaz d’échappement contiennent de petites impuretés qui restent en suspens dans l’air et font durer de manière persistante les traînées plus longtemps que d’habitude, et de ce fait sources de pollution, les grosses traînées que l’on peut voir se déverser de l’arrière d’avions volant à basse altitude interpellent. Démarrée à la fin des années 90, la théorie qualifiée comme complotrice ou conspiratrice* énonce que ces traînées durables répandues à haute altitude par les avions, nommées chemtrails en anglais (soit chemistry rails), sont constituées de produits chimiques (aluminium, baryum, polymères chimiques, plomb, arsenic, chrome, cadmium, sélénium, strontium, lithium, argent) ou d’agents biologiques à des fins criminelles :

. altération de l'effet bénéfique énergétique provenant de la lumière solaire ;

. implémentation dans la psyché d'éléments annihilant l'ouverture de conscience afin de maintenir l'être humain dans un état semi-léthargique pour lui fourguer une réalité falsifiée*² ;

. développement d'une foule de problèmes de santé : effets neurologiques, lésions cardiaques, problèmes de vue, échecs de reproduction, dommages au système immunitaire, troubles gastro-intestinaux, reins et foie endommagés, problèmes hormonaux, ...

Ces nanoparticules sont considérées par des scientifiques internationalement reconnus  comme à même d'augmenter leur toxicité de manière exponentielle jusqu’à 10 000 %...

Pour autant, à part sur la pulvérisation des cultures, il n’y a aucune preuve certaine que les avions pulvérisent délibérément des produits chimiques, même si de nombreux indices et témoignages convergent en ce sens. Toutefois un rapport scientifique nommé Case Orange, élaboré par une équipe d’experts dont l'identité n'a pas été révélée et présenté au Symposium International de Gand organisé par le Belfort Group le 29 mai 2010, indique qu’il est temps de dévoiler au public les faits réels concernant ces traînées, qu'officiellement les États nient sauf la Russie et la Chine alors même que l'ONU les a reconnues en 2017.

La réflexion se prolonge ainsi concernant la forme de modification du climat connue sous le nom "d’ensemencement des nuages" (cloudseeding), qui est une tentative d’essayer de modifier la quantité ou le type de précipitations en dispersant des substances dans l’air afin de modifier les processus microphysiques des nuages. Cela s’appelle la géo-ingénierie, à laquelle font appel certains gouvernements de pays frappés par la sécheresse (la Chine contrôle son climat depuis plusieurs années - 1958 - en injectant des substances chimiques, les jeux olympiques d'été à Beijing en 2008 ayant par exemple donné lieu à l’ensemencement des nuages pour que le mauvais temps ne perturbe pas la cérémonie d'ouverture, ou pour éviter les périodes de sécheresse persistante en forçant l’eau contenue dans les nuages à s’agglomérer autour de molécules d’iodure d’argent jusqu’à ce que les nuages deviennent trop lourds). Ils ensemencent délibérément les nuages pour fertiliser leurs sols. Problème, les produits chimiques et les métaux utilisés dans cet ensemencement artificiel sont l’iodure d’argent, l’iodure de potassium, l’oxyde d’aluminium, le baryum, le strontium, le soufre, la glace carbonique, le propane liquide et probablement des produits chimiques qu’on ne connaît pas. Ils ont sans doute un effet sur notre santé physique et psychologique. Sans parler des effets sur la faune et la flore. Cette attitude irresponsable n’est guère relayée par les médias, alors qu'il y a eu à différentes reprises des tentatives de modification climatique réalisées officiellement dans le passé sur le plan militaire : projet WWI (les avions créaient des écrans de fumée comme camouflage ou pour disperser du gaz moutarde), WWII (plaquettes de brouillage en aluminium pour servir de contre-mesure radar), projet Cirrus (programme d’ensemencement de nuages par l'entreprise General Electric effectué en collaboration avec les départements militaires états-uniens US Air Force et US Navy), projets Storm Fury en 1962 et Popeye en 1967 (affaiblissement des cyclones tropiques avec de l’iodure d’argent)... Ces tentatives de modification du climat par manipulation de la couche de nuageuse présentant certains problèmes (coût élevé et succès mitigé), les scientifiques ont en 1974 découvert comment modeler la magnétosphère (la couche au-dessus de l'ionosphère) avec des ondes mégamétriques (ELF – extreme low frequency, ondes inférieures à 300 Hz ou des longueurs d’ondes supérieures à 1 000 000 mètres). Ces ondes génèrent un courant de particules capables de passer l’horizon et de retomber en tant qu’ondes à fréquence extrêmement haute (EHF – extreme high frequency - ondes entre 30 et 300 gigahertz ou de 1 à 10 millimètres), influençant les conditions atmosphériques et pouvant provoquer la pluie ou la sécheresse. C'est ainsi que fut créée en 1995 en Alaska une entreprise commune (militaire, civile) nommée HAARP (High Active Auroral Research Project, "Projet de recherche sur les aurores hautement actives" prolongeant l'expérience Montauk avortée - voir plus en avant dans cette publication), arme puissante et redoutable dont le principe de fonctionnement consiste en un puissant rayonnement de micro-onde à même de mettre hors d'état de nuire une ogive ou un avion tombé dans une zone de haute tension du champ électromagnétique (dans ce cas, des "nuages d'ions" apparaissent dans l'ionosphère, dans lesquels apparaissent des zones de plasma). En effet, en pouvant provoquer ou empêcher la pluie où l'on veut, ceci est un atout géopolitique très important. L’eau étant une ressource rare, chère et essentielle pour la survie, celui qui contrôle l’eau contrôle le monde. Toute cette stratégie est d'ailleurs décrite de manière très spécifique et concrète dans le rapport Owning the Weather in 2025 ("Maîtriser la météo en 2025").

Dans ce sujet des plus controversés, accusateurs et défenseurs s’affrontent, la théorie dite du complot permettant à ces derniers de fermer le ban officiel. Aussi appartient-il à chacun d’y réfléchir en son âme et conscience, et de répondre à la question "Pourquoi le monde est-il pulvérisé ?" Une piste est que ces contrails, distrails et chemtrails pourraient être destinés à égarer l'être humain sur une vraie-fausse piste du complot - la pollution climatique aux fins de nuisance sanitaire -, afin de l'empêcher, en regardant avec ses yeux et son discernement, de découvrir que ces traînées blanches derrière les réacteurs des gros avions sont des poussières cométaires, prémices d'une fin de civilisation, et que le corpus prédateur de la Matrice asservissante veut à tout prix dissimuler à l'humanité*³.

Sous les nuages de ces contrails, distrails et chemtrails est également dissimulé un désastre provoqué par les essais de la NASA, qui a conduit des essais scientifiques à très haute altitude consistant à faire exploser plusieurs bombes nucléaires dans les ceintures dites de Van Allen, aux fins de disperser plusieurs dizaines de tonnes de fines aiguilles de cuivre dans leur champ électromagnétique. Il s'agissait non pas de générer comme annoncé un miroir artificiel à l'usage des satellites, mais de masquer les trous de ver (non reconnus scientifiquement) que certains observateurs pourraient voir, soit des passages interdimensionnels échappatoires à la 3-D. Sachant que la ceinture de Van Allen caractérise la bulle de conscience de l'être humain, ses limites de perception, une telle pollution intentionnelle aurait pour objectif d'empêcher toute prise de conscience autre que la réalité de l'univers assénée par les gardiens de la Matrice entropique...

Enfin, il est nécessaire de comprendre que les méso-cyclones comme les éruptions de super cellules de cumulo-nimbus sont, par leur nature, parfaitement circulaires à cause du courant d’air cyclotronique. Aussi ces chemtrails/contrails découlent avant tout du fait qu'il y a beaucoup d'avions volants au-dessus de nos têtes depuis les dernières années, liés à des "manœuvres d’entraînement" du complexe militaro-industriel bien orientées. Reste à en trouver la raison, une piste à ne pas écarter relevant d'un programme de dépopulation de l’élite mondiale compte-tenu de l'injection par les psychopathes Bill Gates et George Soros de dizaines de millions de dollars dans des projets de pulvérisation d’aérosols dans l’atmosphère afin de protéger la Terre des rayons vitaux du soleil.

* Pour les autorités officielles, les révélations émanant de sphères non agréées par elles où l’on parle de complot, d’OVNIS, de Nouvel Ordre mondial, d’Illuminati, de dépopulation, de contrôle des esprits etc…, font partie de la stupidité ésotérique et conspiratrice ou complotrice, jugée d’office comme non crédible ("circulez braves gens, il n'y a rien à voir !").

Au même titre que les technologies en basses fréquences du projet HAARP, ou la manipulation du champ électromagnétique par la fabrication artificielle de trous de ver (raccourcis à travers l'espace-temps) artificiels soi-disant utiles en médecine diagnostique (IRM).

Cf. Falsification de la réalité en 3-D.

*³ Prophétie du changement.

 

En fait, les projets de géo-ingénierie à grande échelle visant à modifier le climat de la Terre qui étaient autrefois qualifiés de "théorie du complot" ou de "mythe Internet" confiné à la frange de la société sont devenus depuis quelques années une politique officielle visant à empêcher la planète de "se réchauffer" ou de "bouillir", ceux qui les avaient niés ayant fini par admettre finalement qu'il y avait bien des tentatives de modifier le fonctionnement de l’ordre naturel afin d’arrêter le "changement climatique".

Désormais, des concepts tels que "déverser des produits chimiques dans l’océan" et "injecter des particules réfléchissantes dans le ciel" font la une de grands médias qui avaient farouchement nié avec leurs fact-checkers attitrés l’existence de telles choses. C'est entre autres le cas du Wall Street Journal qui, en couvrant certains de ces nouveaux projets, a affirmé qu’ils pourraient "réduire les émissions de gaz à effet de serre" à un rythme beaucoup plus rapide que les technologies existantes. Ainsi un projet nommé Coastal Atmospheric Aerosol Research and Engagement (CAARE), mené depuis le pont d’un porte-avions dans la baie de San Francisco, a envoyé en avril 2024 des trillions de particules d’aérosol dans le ciel pour augmenter la couverture nuageuse, et ce au nom de la prévention du réchauffement climatique, les détails ayant été tenus secrets pour "éviter une réaction négative du public". Il a vu l'utilisation de pulvérisateurs spécialement conçus pour envoyer ces trillions de particules de sel marin dans le ciel afin d’augmenter la densité – et la capacité de réflexion – des nuages marins. De son côté, l’opération Large Area Coverage (LAC) est une opération du corps chimique de l’armée américaine qui a dispersé des particules microscopiques de sulfure de zinc et de cadmium (ZnCdS) sur une grande partie des États-Unis et du Canada afin de tester les schémas de dispersion et la portée géographique des armes chimiques ou biologiques.

 

Les expériences militaires US des années 1950

Six attaques simulées ont été menées dans la région de la baie de San Francisco par l'armée américaine en septembre 1950, lui permettant de conclure qu’il était possible d’attaquer une ville portuaire avec des agents biologiques en aérosol à partir d’un navire au large. Plus tard, en mars-avril 1952, cinq essais ont été menés au large des côtes de Caroline du Sud et de Géorgie dans le cadre de l’opération baptisée Dew ("rosée"). Il a été conclu que les nuages d’aérosols à longue portée pouvaient parcourir des centaines de kilomètres et couvrir de vastes zones lorsqu’ils étaient disséminés à partir du sol dans certaines conditions météorologiques. En 1957, en Mer du Nord sur la côte est de la Grande-Bretagne, il a été démontré qu’il était possible de couvrir de grandes surfaces avec des particules dans la plupart des conditions météorologiques. En outre, l’armée a admis avoir procédé à des pulvérisations dans le Minnesota entre 1953 et le milieu des années 1960, où l’armée a pulvérisé du sulfure de zinc et de cadmium à l’aide de souffleurs motorisés au sommet du grand quartier d'habitat social construit dans les années 1950 à Saint-Louis (Missouri), dans des écoles, à l’arrière de wagons de gare et par avion. L’armée de l’air américaine avait prêté à cet effet à l’armée de terre un C-119, le "Flying Boxcar", qui lui même a été utilisé pour disperser les matériaux par tonnes dans l’atmosphère au-dessus des États-Unis. Le premier essai a eu lieu le 2 décembre 1957, le long d’un trajet allant du Dakota du Sud à International Falls, dans le Minnesota.

 

Chinese géo-ingénierie

La Chine a annoncé en 2019 être en train d’installer un système capable de déclencher artificiellement des pluies sur le plateau tibétain. Pour ce faire, elle mobilise des avions pour le saupoudrage des nuages, ainsi que l'artillerie et les fusées pour améliorer la pluviosité. Qui plus est, elle expérimente la modification du temps pour essayer de créer un ciel bleu à partir d'activateurs chimiques déversés sur différentes tailles de formations nuageuses à différentes altitudes, dans la continuité des tests réalisés au cours de nombreux évènements passés tels l'Exposition Universelle de Yunnan, les Jeux Asiatiques de Shanghai et le Festival des Pandas Géants de Sichuan. Le budget national de la modification du climat dépasse ainsi 50 millions de dollars par an, 30 avions étant alloués aux bureaux de modification météorologiques (1500 personnes y travailleraient). 250 milliards de tonnes de pluie auraient été créées artificiellement entre 1999 et 2007 selon la presse officielle chinoise !
Quant au "Sky River" sur le plateau tibétain, il est le plus grand projet de modification de la météo de tous les temps, des dizaines de milliers de chambres de combustion (elles ressemblent grossièrement à des fusées à l’envers) étant prévues pour couvrir une zone de la taille de l’Espagne, afin de projeter de l’iodure d’argent dans l’atmosphère, stimulant ainsi car transportées dans l'atmosphère par le vent la formation de nuages capables de produire de la pluie acide* et de la neige.

* L'expression "pluie acide" qui désigne toute forme de précipitations anormalement acides date de 1872, à l’initiative du chimiste écossais spécialiste de la pollution atmosphérique Robert Angus Smith. Si des réglementations visent à en contrôler la mise en œuvre, leurs effets sont graves, notamment dans les régions industrialisées d’Asie. L’acidité de la pluie a en effet un impact sur tout ce qu’elle touche, notamment sur la flore, car elle tue de nombreuses espèces, en rend d’autres stériles et affaiblit les dernières. Les pluies acides polluent les eaux dans lesquelles elles retombent, en particulier les lacs et les rivières. Elles les rendent toxiques, déséquilibrant tout l’écosystème alentour, des poissons qui y vivent, aux arbres qui les bordent en passant par les animaux qui y boivent. Certains lacs ont vu disparaître toutes les espèces aquatiques qui les peuplaient. Aux États-Unis, les pluies acides ont provoqué l’érosion de roches calcaires qui, en se dissolvant dans les rivières, ont provoqué l’extrême inverse : le pH de l’eau a augmenté et compliqué sa conversion en eau potable.

 

Géo-ingénierie au Moyen-orient

Les Émirats arabes unis ont eu recours dans le cadre d'un programme gouvernemental à une forme d’ensemencement des nuages pour augmenter les précipitations dans la chaleur torride, des images en provenance de ce pays du Golfe ayant montré les résultats de ce processus qui voit la pluie se déverser sur les gratte-ciel et les autoroutes. En effet, les Émirats arabes unis ont un climat essentiellement aride, avec très peu de précipitations annuelles et des températures caniculaires, qui atteignent fréquemment les 40 degrés et même 50 degrés en 2023. Comme les deux plus grandes villes, Dubaï et Abou Dhabi, sont toutes deux situées sur la côte du golfe Persique, cette technique offre un peu de répit pour les terrains de jeux des super-riches, les ports très fréquentés et les masses de construction. Cet ensemencement des nuages a de ce fait été lancé dans le but de répondre aux préoccupations relatives à la sécurité de l’eau dans le pays, ce programme ayant débuté dans les années 1990 et impliqué des collaborations avec la NASA et le Centre national pour la recherche atmosphérique aux États-Unis.

C'est pourquoi les événements météorologiques extrêmes survenus en avril 2024 (pluies diluviennes) à Dubaï ont contraints les grands médias à admettre que les gouvernements étaient bel et bien engagés dans la modification du climat sous la forme d’ensemencement des nuages.

 

Des morgellons

D'aucuns pensent que la "maladie des Morgellons" est liée aux effets des chemtrails. Il s'agit d'une condition médicale controversée, signalée aux États-Unis en 2002, qui se caractérise par des lésions dermatologiques que le patient perçoit - fibres inertes ou organiques, incluses ou en saillie cutanée sous forme de tâches, boutons, croutes - par des symptômes visibles sur la peau, et qu'il associe parfois à l’apparition de trainées persistantes dans le ciel ayant pu conduire à l’émergence de cette maladie. Le lien de causalité n’est en réalité nullement démontré sur le plan scientifique.

 

Du lithium

Le lithium, minerai rare hautement toxique, est un élément constitutif de produits pharmaceutiques le plus souvent utilisés pour traiter les personnes souffrant de dépression maniaque ou d’un trouble bipolaire. Il contribue à modifier la façon dont nous pensons, en changeant les niveaux de sérotonine et de noradrénaline sécrétées par notre système endocrinien. Ceci signifie que le lithium modifie fortement le système cérébral. C'est la raison les médecins qui prescrivent normalement ce médicament pour les malades mentaux ont dit qu’il était dangereux, parce qu’il est difficile de prendre un dosage correct. Il est certain que la pulvérisation de grandes quantités de lithium dans l’air, sans discernement, par l’intermédiaire d’aérosols, doit être remise impérativement en question !

 

Ce qui est à comprendre est que les symptômes d'une activité cométaire accrue sont systématiquement dissimulés par les élites comme étant des phénomènes dus à l'homme, à ses activités. C'est pourquoi les traînées de condensation des avions dues à des concentrations de poussières cométaires atmosphériques plus élevées sont décrites comme des "chemtrails" vaporisés par des agences gouvernementales, les explosions aériennes cométaires toujours plus fréquentes étant présentées de leur côté comme des tests de missiles. Il en est de même pour les changements climatiques dus à une activité solaire diminuée provoquée par le compagnon du Soleil en approche et l'essaim cométaire qui l'accompagne, qualifiés de "réchauffement planétaire anthropogénique". En attribuant la cause de ces événements d'origine cosmique aux hommes, l'élite maintient l'illusion qu'elle est aux commandes, pouvant imposer par les organisations officielles concernées* aux masses illusionnées diverses mesures restrictives à leur liberté !

* Le directeur général de l’Organisation mondiale de la santé (OMS), Tedros Ghebreyesus, a ainsi déclaré en juillet 2023 que le changement climatique entraînerait une augmentation des "phénomènes météorologiques extrêmes" en 2023. Selon lui, la "crise climatique" figurait désormais parmi les "principaux facteurs déterminant les résultats en matière de santé humaine", avertissant que le réchauffement de la planète pourrait à terme provoquer "une vague de famine, de migration et de maladie."

 

L'autre objectif de cette pulvérisation chimique aérienne est celui du milliardaire philanthrope psychopathe Bill Gates, en l'occurrence de l’ARNm en suspension dans l’air sur les populations urbaines denses et les zones rurales où l’absorption des vaccins est faible (Cf. nombreux témoignages de pilotes de ligne dénonçant les opérations de chemtrails en Amérique du Nord et en Europe). En effet, l’élite mondialiste a de plus en plus de mal à convaincre l’humanité de se soumettre aux injections d’ARNm de Covid et aux rappels incessants. Le nouvel ARNm aéroporté, connu sous le nom d’Air Vax, est en effet conçu pour administrer le vaccin directement dans les poumons, sans qu’il soit nécessaire de procéder à des injections – ni d’obtenir le consentement des personnes concernées. Ceci est masqué par le travail des médias grand public qui depuis plusieurs mois  préparent le public à la révélation d'une pulvérisation chimique liée aux prédictions catastrophistes sur le climat, dans l’espoir que le public sera terrifié et acceptera les chemtrails comme solution au changement climatique.

 

Il découle de tout cet empoisonnement atmosphérique provoqué par les élites psychopathes instigatrices que les systèmes de maintien de la vie sur Terre ont été tellement endommagés que la planète se trouve selon nombre de scientifiques "bien en dehors de l’espace de fonctionnement sûr pour l’humanité", leur évaluation révélant que six des neuf "limites planétaires"* ont été franchies en raison de la pollution et de la destruction du monde naturel causées par l’homme.

Désormais, la planète entière est délibérément plongée en 2024 dans un cauchemar de famine mondiale et d'affaiblissement de la population, généré par les ruptures de plus en plus nombreuses de la chaîne d’approvisionnement alimentaire*² et les atteintes au système immunitaire biologique, réalisées via les méthodes invisibles et insidieuses de programmes de géo-ingénierie menés par des gouvernements mondiaux essayant de parvenir à un dépeuplement mondial par les altérations atmosphériques attaquant la biosphère de la Terre (la pulvérisation atmosphérique modifie le pH du sol et anéantit les forêts et les cultures). C’est notamment l’avertissement de Dane Wigington de GeoengineeringWatch.org, un site dédié à l’investigation scientifique du portefeuille mondial de technologies nommé "kill switch" utilisées pour contrôler le temps et provoquer l’effondrement de la biosphère vitale mondiale. Autant dire qu'elle est qualifiée de conspirationniste par Conspiracy Watch, site web édité par l'Observatoire du conspirationnisme et des théories du complot (fondé en 2007). Pourtant, les sécheresses, les inondations et les événements météorologiques exceptionnels simultanés que nous observons en ce moment à travers le monde ne sont pas des événements météorologiques naturels. Ce sont bel et bien des armes "artificielles" déployées contre l’humanité sous couvert de blâmer le "changement climatique", la violence inhabituelle des ouragans Helene et Milton se déversant dans le sud-est des Etats-Unis (Floride, Caroline du Nord, Géorgie, Virginie) en octobre 2024 le démontrant par l'ampleur des dégâts occasionnés. D'ailleurs, le Pentagone et le ministère de l’Énergie qui sont aux commandes pour leur contrôle confirment bel et bien ce que des documents gouvernementaux prouvent depuis 1967, à savoir le rôle du politique dans leur initiation afin de porter atteinte tant à la santé humaine qu'aux écosystèmes. 

L’époque où les nuages dansaient dans le ciel, formant de belles formes organiques comme les cirrus, les cumulus et les nimbus, est révolue. Au lieu de cela, ils sont devenus austères et quadrillés, ressemblant aux barreaux d’une énorme prison planétaire...

* Les limites planétaires sont les limites des principaux systèmes mondiaux, tels que le climat, l’eau et la diversité de la faune et de la flore, au-delà desquelles leur capacité à maintenir une planète en bonne santé risque de s’effondrer. Les frontières brisées signifient que les systèmes se sont éloignés de l’état sûr et stable qui existait à la fin de la dernière période glaciaire, il y a environ 10 000 ans.

C'est ainsi que selon le rapport publié par CNBC.com, 12,7 % des centres de distribution Amazon ont pris feu à cause des installations de panneaux solaires sur leurs toits.

 

"...Il jette les bases du développement d’un satellite météorologique qui permettra à l’homme de déterminer la couche nuageuse de la planète et, en fin de compte, de contrôler le temps, et celui qui contrôlera le temps contrôlera le monde."

Vice président US Lyndon B. Johnson, déclaration faîte en 1962

 

Bilan de l'ouragan Hélène de septembre 2024 : plus de 200 morts en Floride et Caroline du Nord selon les autorités, soit l'ouragan le plus meurtrier aux États-Unis depuis l'ouragan Katrina qui avait fait plus de 1 800 morts en 2005.

A Acapulco au Mexique, une cinquantaine de morts pour l’ouragan de force maximale 5 Otis qui a dévasté la station balnéaire de près de 780.000 habitants fin octobre.

En Espagne, plus de 200 morts et 1 900 portés disparus dans les régions de Valence, de Castille-La Manche et en Andalousie après les inondations apocalyptiques de début novembre. A noter que les habitants de la ville espagnole d’Almonacid de la Cuba, en Aragon, ont été sauvés des inondations grâce à un barrage construit par les Romains il y a 2 000 ans au début de la période impériale (31 av. J.-C. – 476 apr. J.-C.), dont l’efficacité surpasse celle des défenses modernes contre les inondations...

Ces déluges d'eau en 2024 ont succédé dans l'actualité à des incendies ravageurs et dévastateurs comme celui du comté de Maui dans l’Etat de Hawaï en août 2023, attisés par l'ouragan Dora.

 

Martyrologie de l'agenda climatique 2024

Les naïfs, gavés aux "fake news" des médias dédiés à la propagande de l'agenda mondialiste, n'y verront que du "feu", plus exactement du déluge, leur faisant croire que la cause des catastrophes climatiques aux quatre coins de la planète (ouragans, tornades, incendies...), et son cortège de martyrs (voir ci-contre), est liée au réchauffement de la planète en raison de la pollution découlant des activités humaines. Ils accepteront ainsi, plus ou moins sans broncher, la cascade d'impositions et taxes diverses comme juste pénitence de leur irrespect à dame Nature, et adopteront les mesures restrictives liées aux comportements délirants des édiles escrologiques en charge des villes "15 minutes"*, et le passage progressif imposé au véhicule électrique, sauf pour les véhicules de luxe il va sans dire.

Rien de nouveau sous le "pâle" soleil après l'enfumage de l'opération Coronade  (Covid-19), les délires sanglants millénaristes du Netanyahu show au Proche-Orient, et la spoliation des peuples européens par le Zélinsky circus, le "management" des foules esclaves par la peur étant plus que jamais la marque de fabrique du système prédateur dans les mains des élites gouvernantes psychopathes qui ont fait depuis les années Eisenhower*² une arme de premier plan....

* La ville du quart d'heure est le modèle idéologique d'une ville où tous les services essentiels seraient à une distance d'un quart d'heure à pied ou à vélo.

Dwight D. Eisenhower, militaire et homme d'État américain, 34e président des États-Unis de 1953 à 1961.

 


 

De son côté, le milliardaire philanthrope Bill Gates, fondateur de Microsoft, soutient financièrement le développement d’une technologie d’atténuation du rayonnement solaire qui pourrait refléter la lumière du soleil hors de l’atmosphère terrestre, déclenchant ainsi un effet de refroidissement global. L’expérience de perturbation contrôlée de la stratosphère (SCoPEx), lancée par des scientifiques de l’université de Harvard, vise à examiner cette solution en pulvérisant dans l’atmosphère de la poussière de carbonate de calcium (CaCO3) non toxique – un aérosol réfléchissant la lumière du soleil qui pourrait compenser les effets du réchauffement de la planète.

La recherche à grande échelle sur l’efficacité de la géo-ingénierie solaire est bloquée depuis des années en raison de la controverse. Les opposants estiment que cette science comporte des risques imprévisibles, notamment des changements extrêmes dans les schémas météorologiques qui ne sont pas sans rappeler les tendances au réchauffement dont nous sommes déjà témoins.

 

Drone agricole
Drone agricole

 

Épandage au glyphosate

La société française Delta Drone, spécialisée dans l'analyse de données d'images de drones civils à usage professionnel (agriculture, mines et carrières, inspection industrielle ...) et le management de la société suisse AgroFly International spécialiste en épandages et traitements agricoles ont décidé en septembre 2018 de s’associer pour créer la société de droit français AgroFly France, chargée de distribuer au niveau international le système d’épandage par drone mis au point par la société suisse. Ce système a bénéficié de plus de 3 ans de Recherche & Développement et de tests d’expérimentation sur diverses cultures - vignes, cultures maraîchères (céleris, asperges), abricots, pommes de terre, soja, bananes -, travaux menés en collaboration étroite avec notamment l’Office Fédéral de l’Agriculture (OFAG), l’Office Fédéral de l’Environnement (OFEV), et Agroscope (Centre d’expertise et de recherche fédéral suisse). Le système de drone AgroFly a été dès l’origine conçu comme un outil agricole, simple d’utilisation, robuste et facilement réparable, y compris sur le terrain, capable d’embarquer 20 kg de charge utile, dont un réservoir de 16 litres pour le produit à épandre. Autrement dit, nous allons voir voler des drones qui vont pulvériser, de façon "écologique" par les airs, le glyphosate*, ou son remplaçant tout aussi " comestible ". Or la législation française interdisait jusqu'à présent les épandages aériens, qui sont une calamité pour les êtres humains et accessoirement l’ensemble de tout ce qui est vivant, puisque plus c’est largué de haut, plus il y a de dispersion… Mais l'actuel gouvernement est en train de tenter, sous la pression de nombreux lobbys, de revenir sur cette grande avancée environnementale.

Comme d'habitude, le pire comme le meilleur peut sortir de ces innovations, qu’il ne faut pas rejeter par principe : le meilleur serait des appareils capables de faire chuter de manière importante la quantité d’intrants nécessaires, le pire consistant à laisser développer une nouvelle industrie anarchique et non régulée du drone agricole bombardier massif de pesticides, qui pourrait s'inspirer de la machine développée par l’entreprise  britannique RootWave chargée de repérer les "mauvaises herbes" et de les griller illico d’une décharge électrique. En attendant, le parlement autrichien a décidé en juillet 2019 l'interdiction de l'usage du glyphosate sur son territoire, même si seuls 1% de ses agriculteurs l'utiliseraient dans ce pays où l'agriculture biologique pèse 24% de la production. Reste à savoir si ce vote sera validé par l'Union européenne, celle-ci ayant prolongé la licence d'utilisation du glyphosate jusqu'en 2022 !

* Le glyphosate est un herbicide total, non sélectif, absorbé par les feuilles et à action généralisée. Produit exclusivement à partir de 1974 par le groupe chimique Monsanto sous la marque Roundup, son brevet est passé dans le domaine public en 2000. Il est classé depuis 2015 comme "probablement cancérogène" par le Centre international de recherche sur le cancer (CIRC), agence de l'OMS (Organisation mondiale de la Santé), l'estimation du risque pour la population générale relevant des agences de sécurité sanitaire qui, de leur côté, considèrent - en l'état - qu'il est improbable qu'il soit cancérigène par voie alimentaire, si ce n'est de manière faible. Ses opposants lui prêtent des effets néfastes sur l'environnement (ce que Monsanto conteste), notamment certains insectes (comme les abeilles) et de façon indirecte les oiseaux qui s’en nourrissent, ainsi que sur la santé des personnes exposées aux pulvérisations (agriculteurs et populations rurales).

 

Canaliser les consciences est une clé de domination ici-bas. C'est ainsi que le contrôle mental prend différentes formes, de la plus simple à la plus complexe : méthodes d'apprentissage et programmes scolaires et universitaires comme modelage du futur adulte, information et divertissement médiatique tentant de formater la conscience selon un certain modèle, pression sociale, pollutions alimentaires et environnementales altérant notre capacité de raisonnement et d'analyse, subliminal et psychotronique comme outils pouvant influencer et contrôler la conscience. Par elles, le contrôle mental vise à installer les pensées et les croyances d'autrui selon un étagement multiple.

 

Cette prise de contrôle de l’esprit humain au moyen de diverses techniques remonte à l’origine de l’établissement des grandes civilisations, à l’initiative d'une poignée d'individus investis de l'autorité temporelle comme religieuse, celle-ci étant alors assimilée à des sectes, soit un ensemble d'individus partageant une même doctrine. Elle a toujours combiné des méthodes ritualistes "rudimentaires" employées pour provoquer un traumatisme, comme la torture ou l’utilisation de drogues, jusqu'à d’autres plus sophistiquées comme l’hypnose et la suggestion mentale, ces dernières ayant pris une envergure certaine avec l’émergence des sciences psy à la fin du XIX° siècle. Dans notre société contemporaine, elle se traduit entre autres par l'administration agressive de psychédéliques, des peptides (substance chimique formée d'au moins deux acides aminés), du sucre blanc et du lait, des thérapies reposant sur des caissons hyperbares, des composés chélateurs (processus physico-chimique reposant sur un atome métallique)... et ce au détriment de l’ivermectine, de l’hydroxychloroquine, des vitamines, des aliments propres, du soleil, de l’exercice, des nutraceutiques et de tout ce qui fait progresser la santé humaine, car ne pouvant pas être breveté par les laboratoires pharmaceutiques.

Sur quelque méthode elles se basent, elles ont pour finalité d’engager la rupture de l’esprit par leurs effets sur les mécanismes mentaux y présidant, tout particulièrement ceux agissant sur l’inconscient, et de changer la personnalité par la superposition d’une ou plusieurs autres. Si des plans coercitifs de création d’une société d’individus sous contrôle sont connus depuis longtemps, tout particulièrement dans les sociétés et Nations à dominante idéologique totalitaire, les méthodes, expérimentations et moyens utilisées par celles se revendiquant de pratiques démocratiques animées par l’esprit universel des Droits de l’Homme n’en sont pas moins courantes et tout aussi abjectes. Le quasi silence des grands médias traditionnels apparait d’autant plus suspect, ces derniers en en étant aussi les instigateurs et ordonnateurs pour leurs propres intérêts marchands.

Cf. Esprit global pour une présentation des mécanismes de l’esprit humain.

 

L’histoire de la manipulation mentale étant "vieille comme Hérode" selon l’expression consacrée, la compréhension de ses spécificités contemporaines, et plus particulièrement celles en vigueur au sein de la "démocratie" se voulant de référence, les États-Unis, éclaire sur la nature des pratiques mortifères en vigueur, attentatoires à la libération de la conscience humaine. Tant que la pyramide de gouvernance sera au service d’une minorité d’oppression et non d’une majorité d’expression, l’hydre continuera son œuvre de régression et de destruction.

Cf. Le modèle pyramidal décodé.

 

Du contrôle de la pensée

Plus communément appelé contrôle de l’esprit, le lavage de cerveau est une forme de persuasion coercitive, de contrôle de la pensée, de réforme de la pensée ou de rééducation forcée. Il s’agit d’un concept qui consiste à modifier l’esprit humain pour le diriger et le contrôler par des techniques psychologiques spécifiques, tant chez les individus que chez les groupes, en vue de l’accomplissement de tâches préétablies. Le lavage de cerveau est en effet censé réduire la capacité du sujet à penser de manière critique ou indépendante, en introduisant dans l’esprit de la victime des pensées et des idées nouvelles, mauvaises ou indésirables, afin de modifier ses perceptions, ses attitudes, ses valeurs, ses normes et ses croyances.

Ce terme a été utilisé pour la première fois en anglais par l'écrivain états-unien, journaliste et propagandiste en intelligence Edward Hunter (1902/1978) en 1950 pour décrire la manière dont le gouvernement chinois obtenait la coopération de la population pendant la guerre de Corée.

Les recherches sur ce terme ont également porté sur l’Allemagne nazie, sur certaines affaires criminelles aux États-Unis et sur les actions des trafiquants d’êtres humains.

Le lavage de cerveau, ou psychiatrie sociale, consiste à manipuler la perception du peuple ou de certains individus afin de déformer la société selon le modèle prédéterminé. Il s’agit par là-même de la forme la plus grave de meurtre humain criminel, ceci expliquant que toutes les attaques terroristes sont basées sur des programmes de contrôle mental qui enlèvent une victime et lui implantent une puce dans le cerveau afin qu’elle puisse être activée à distance par des agents dans le cadre d’opérations sous fausse bannière. C’est pourquoi le tireur est souvent tué par les agents, car les cadavres ne parlent plus. Et si le tireur survit, il est hébété ou confus et ne se souvient de rien.

Les adolescents qui prennent des médicaments pour l’humeur présentent également ces symptômes qu’ils essaient d’éliminer, mais on leur prescrit davantage de médicaments pour qu’ils deviennent plus psychotiques. Les drogues, qui interfèrent avec la santé mentale d’un être vivant, sont en effet destinées à tuer ou à rendre d’autres personnes malheureuses car mal dans leur "peau", c'est-à-dire dans leur être intérieur.

La conséquence est que pas à pas, de cette manière, la liberté humaine a été transformée en esclavage par les véritables élites gouvernantes - grandes familles hybrides mérovingiennes ou khazariennes*, Jésuites dirigés par les réseaux de la maison Rothschild -, relayés par les pantins corrompus mis à la tête des gouvernements, banques, entreprises, médias, médecine et pratiquement tous les autres aspects de la société, sans que la plupart des individus ne s’en rendent compte. C'est ce qui est nommé le "syndrome de la grenouille en ébullition".

C'est ainsi  qu'a été transférée la richesse réelle du peuple dans leurs propres mains grâce aux gouvernements institutionnels et aux médias sous contrôle financier, véhicules de leurs objectifs afin d’exploiter les masses, notamment par la création d'un système de fausse monnaie sans aucune valeur  si ce n'est par la croyance accordée. Ces élites à la manœuvre ont également introduit le programme dit "politiquement correct" comme axiome directeur de leur système de contrôle, permettant d’introduire de plus en plus de lois, de taxes et d’exigences financières afin d’attacher les êtres humains comme des mouches dans leur toile, et dans le but tant de les dégrader mentalement que de les soumettre à un contrôle mental plus approfondi. Ce programme repose sur l’utilisation de mots ou de comportements, en stipulant qu’aucun groupe de personnes ne doit être offensé car il est important que tout le monde soit égal, traité équitablement et avec dignité. Les mots inamicaux doivent de ce fait être supprimés du discours, et remplacés par d’autres qui ne sont pas offensants.

Il en découle une programmation des "idiots utiles", à savoir les administrateurs gouvernementaux à tous les niveaux se consacrant par tous moyens à empêcher les minorités d’être "contrariées" par les propos d’autrui. Il s’agit ni plus ni moins que d’une forme intrusive de programmation de l’esprit, source derrière l'apparent bien-fondé de violence psychologique puisque le but dissimulé est de surveiller chaque mot prononcé par les individus dans toutes les situations, même entre partenaires. Il en résulte une forme de surveillance mentale et émotionnelle dans laquelle chacun est surveillé et observé grâce à l'avènement de la société des TIC - Technologies de l'Information et de la Communication - (informatique et numérique) par "Big Brother", référence à ce qu'a décrit l'auteur britannique George Orwell en leur nom (il faisait partie de cette élite dévoyée) dans son livre publié en 1948 "1984".

La finalité du politiquement correct est de démanteler la diversité des langues, des points de vue et des cultures, et ce jusqu’à ce qu’il ne reste plus qu’un bloc vide et terne de banalités figées qui se fait passer pour une "société humaine". Les mots qui signifient quelque chose y seront interdits, tout comme les individus esclaves auront peur de dire quoi que ce soit sans choisir soigneusement leur langage aux fins d'éviter d’être punis parce qu’ils pourraient offenser quelqu’un. Peuvent ainsi se comprendre la création de délits de racisme, le changement constant pour semer la confusion, l'enseignement du sexe comme de l’homosexualité ou autres comportements sexuels pluriels (LGBTQ+) aux enfants, la remise en cause de l’autorité des écoles et des enseignants, l'immigration massive pour détruire l’identité nationale, la promotion de la consommation excessive d’alcool, la perte d'influence des églises comme lieux de rassemblement, un système juridique préjudiciable aux victimes de la criminalité, la dépendance à l’égard de l’État ou des prestations sociales, le contrôle et appauvrissement des médias, l'encouragement à l’éclatement de la famille, l'immigration massive d’étrangers pour détruire l'identité nationale (c’est la véritable raison de l’Union européenne sans frontières ou du retrait par les États-Unis de leur défense de la frontière avec le Mexique). 

Cf. La nouvelle religion universelle.

 

La nouvelle arme de l'OTAN

Le cartel militaire de l’OTAN, l'Organisation politico-militaire du traité de l'Atlantique Nord mise en place en 1949 par les pays signataires afin de pouvoir remplir leurs obligations de sécurité et de défense collectives, a conçu de nouveaux modes de guerre hybride contre ses adversaires déclarés, notamment la guerre économique, la cyberguerre, la guerre de l’information et la guerre psychologique. Ce dernier nouveau type de combat est baptisé "guerre cognitive". Décrite comme la "militarisation des sciences du cerveau", cette nouvelle méthode consiste à "pirater l’individu" en exploitant "les vulnérabilités du cerveau humain" afin de mettre en œuvre une "ingénierie sociale" plus sophistiquée. Elle s'appuie tout particulièrement sur une constellation tentaculaire d’organes de presse publics comme privés organisés avec un financement substantiel et sous la direction du gouvernement étatique, ce champ de bataille cognitif ayant pour but de gagner les cœurs et les esprits.

C'est par exemple le cas dans le cadre du conflit entre l’Ukraine soutenue par les États-Unis et ses relais européens aux ordres, avec des organes de presse mobilisés pour contrer la propagande russe, à quoi se rajoutent des lois de censure strictes et la fermeture d’organes de presse dissidents pour diffuser la désinformation du "camp du bien" et faire taire les critiques de la guerre émises y compris de nombreux citoyens.

 

"Libérez-vous de l'esclavage mental. Personne d'autres que nous-mêmes n'est en mesure de libérer nos âmes."

Bob Marley - Chanteur et compositeur jamaïcain (1945/1981)

 

Conditionnement et conformisme, les menaces du libre arbitre

 

Les différentes expériences menées en la matière au cours du XX° siècle, et se poursuivant sous des formes toujours plus sophistiquées au XXI°, amènent à réfléchir sur la société, sur l’effet de masse, et sur ce qui peut entrainer la renonciation à son intuition, à son libre arbitre, pour se soumettre à l'autorité.

 

Expérience dite Effet Asch

 

L’expérience dite d’Asch, publiée en 1951, est une expérience du psychologue Solomon Asch qui démontre le pouvoir du conformisme sur les décisions d’un individu au sein d’un groupe au sein duquel il montre qu’un sujet répondant après plusieurs compères qui se trompent unanimement peut répondre comme ces derniers en dépit d’une évidence objective.
Solomon Asch invita un groupe d’étudiants de 17 à 25 ans à participer à un prétendu test de vision. Tous les participants étaient complices avec l’expérimentateur, sauf un. L’expérience avait pour objet d’observer comment cet étudiant, le sujet, allait réagir au comportement des autres. Les complices et le sujet furent assis dans une pièce et on leur demanda de juger la longueur de plusieurs lignes tracées sur une série d’affiches (figurait une droite à côté de laquelle se tenaient trois autres, une plus grande, une plus petite et la dernière identique). À chaque fois, il fallait qu’ils désignent laquelle était la plus courte, lesquelles étaient de même longueur, etc. Au début, les complices donnent à l’unanimité la même fausse réponse avant de laisser le sujet répondre en dernier.

Tandis que la plupart des sujets répondirent correctement, beaucoup furent assez perturbés, et un grand nombre (33 %) finissait par se conformer aux mauvaises réponses soutenues à l’unanimité par les complices. Les sujets étaient même amenés à soutenir des réponses allant contre l’évidence et leur propre vue, pour par exemple affirmer que deux lignes avaient la même longueur, alors que l’écart était très visible car de plus de 5 cm (autrement dit, sous la pression du groupe l'être humain peut finir par dire que la pluie est sèche et que le feu lui donne froid…).

Lorsqu’il n’y avait pas unanimité parmi les complices, les sujets s’émancipaient du groupe pour soutenir la réponse vraie, mais dissidente et contrariante pour le groupe. Des sujets témoins qui n’étaient pas soumis à un point de vue majoritaire n’eurent aucun mal à donner toujours la bonne réponse. Après l’annonce des résultats, le sujet attribuait généralement sa piètre performance à sa propre "mauvaise vue". Ceci rejoint dans une certaine mesure l’expérience de Stanley Milgram (Ash a été son directeur de thèse à l’université Harvard) où le sujet accuse l’expérimentateur d’être responsable de son comportement. Dans les deux cas, le sujet se dédouane de la responsabilité de ses décisions sur un élément extérieur à sa volonté.

 

Expérience de l’ascenseur

 

Cette autre expérience de Solomon Asch démontre notre incapacité à imposer l’évidence face à la pression collective. Prenez quelques complices, trois ou quatre, dans un ascenseur. Demandez-leur de tourner le dos à la porte de l’ascenseur. Attendez l’arrivée du cobaye. Observez sa réaction. Bien que conscient de l’attitude incohérente des complices, il va tourner lui aussi le dos à la porte de l’ascenseur…

Le conformisme est l’attitude sociale qui consiste à se soumettre aux opinions, règles, normes, modèles qui représentent la mentalité collective ou le système des valeurs du groupe auquel on a adhéré, et à les faire siens.

 

Expérience dite de Milgram

 

L'expérience de Milgram est une expérience de psychologie réalisée entre 1960 et 1963 par le psychologue états-unien Stanley Milgram (1933/1984). Cette expérience* cherchait à évaluer le degré d'obéissance d'un individu devant une autorité qu'il juge légitime et à analyser le processus de soumission à l'autorité, notamment quand elle induit des actions qui posent des problèmes de conscience au sujet. Ainsi un expérimentateur (E) amène un sujet (S) à infliger des chocs électriques à un autre participant, l’apprenant (A), qui est en fait un acteur. La majorité des participants continuent à infliger les prétendus chocs jusqu'au maximum prévu (450 V) en dépit des plaintes de l'acteur.

Lors des premières expériences, 62,5 % (25 sur 40) des sujets menèrent l'expérience à terme en infligeant à trois reprises les prétendus électrochocs de 450 volts. Tous les participants acceptèrent le principe annoncé et, éventuellement après encouragement, atteignirent les 135 volts prétendus. La moyenne des prétendus chocs maximaux (niveaux auxquels s'arrêtèrent les sujets) fut 360 volts. Toutefois, chaque participant s'était à un moment ou à un autre interrompu pour questionner le professeur. Beaucoup présentaient des signes patents de nervosité extrême et de réticence lors des derniers stades (protestations verbales, rires nerveux, etc.). Milgram a qualifié à l'époque ces résultats "d’inattendus et inquiétants". Des enquêtes préalables menées auprès de 39 médecins-psychiatres avaient établi une prévision d'un taux de sujets envoyant 450 volts de l'ordre de 1 pour 1000 avec une tendance maximale avoisinant les 150 volts.

L'obéissance est un comportement inhérent à la vie en société. Il en découle que l'intégration d'un individu dans une hiérarchie implique que son propre fonctionnement en soit modifié : l'être humain passe alors du mode autonome au mode systématique où il devient l'agent de l'autorité. À partir de ce modèle, il recherche les facteurs intervenant à chacun des trois stades :

1. Les conditions préalables de l'obéissance : elles vont de la famille (l'éducation repose sur une autorité dans la famille) à l'idéologie dominante (la conviction que la cause est juste, c'est-à-dire ici la légitimité de l'expérimentation scientifique).

2. L'état d'obéissance (ou état agentique) : les manifestations les plus importantes sont la syntonisation (réceptivité augmentée face à l'autorité et diminuée pour toute manifestation extérieure) et la perte du sens de la responsabilité. Il constate aussi une redéfinition de la situation en ce sens que l'individu soumis est enclin à accepter les définitions de l'action fournies par l'autorité légitime.

3. Les causes maintenant en obéissance : le phénomène le plus intéressant parmi ceux relevés est l'anxiété, qui joue le rôle de soupape de sécurité ; elle permet à l'individu de se prouver à lui-même par des manifestations émotionnelles qu'il est en désaccord avec l'ordre exécuté.

* Cette expérience de soumission à l’autorité a été reprise dans le film de Henri Verneuil "I comme Icare" (1979), restituée dans l’intégralité de sa séquence avec les commentaires sur l’implication et les conséquences de l’expérience. Une variante mettant le pouvoir de la télévision comme élément de soumission a été réalisée avec le "Jeu de la Mort"  en 2009, documentaire coproduit par France Télévisions et la Radio télévision suisse.

 

Sa mise en oeuvre récente a été réalisée dans l'opération de pseudo prévention sanitaire nommée Covid-19, démarrée en 2020  à l'initiative entre autres de l'Organisation Mondiale de la Santé et du Dr immunologue Anthony Fauci, directeur jusqu'en 2022 de l'Institut national des allergies et maladies infectieuses (NIAID), un centre de recherche du département américain de la Santé. Ce dernier a fini par admettre lors de ses auditions devant les représentants au Congrès américain que la distanciation sociale (entre autres) n’avait aucune base scientifique, bien qu'il ait longtemps soutenu le contraire.

Il n’y avait pas de ligne directrice claire, il n’y avait pas de rigueur scientifique. Pourtant, les citoyens obéissaient, parce que les mesures étaient imposées par une supposée "autorité légitime" comme le Conseil scientifique mis en place à cet effet en France par le Président de la République, et relayée quotidiennement par un Ministre de la Santé hystérique et des médecins comme pseudo experts de plateaux compromis pour certains par leurs conflits d'intérêt avec les laboratoires pharmaceutiques.

 

Le syndrome du larbin

 

Le conformisme est une faiblesse individuelle, une difficulté à s’affirmer en tant qu’individu, à accepter sa différence et à vouloir exprimer sa singularité créative. Il est lié à des peurs enfouies dans son inconscient, fruit d’une éducation contrainte. Lorsque cette faiblesse est poussée à l’extrême, cela débouche sur le "syndrome du larbin", du lèche-bottes, du flagorneur.

Il qualifie une personne dont les capacités d’analyse et de discernement ont disparu, liées à un blocage psychologique l’incitant à agir contre ses propres intérêts au profit de ceux qui l’exploitent. Ce syndrome qualifie un déni de réalité conduisant à une posture absurde, défendre l’indéfendable. C’est un comportement pathologique qui vise à prendre systématiquement la défense des prétendus dominants, des élites représentatives statufiées aveuglément.

Cette adoration fanatique est la marque d’une pathologie irréversible, constitutive d’un acte de foi qui oriente ses pensées et son discours. Le larbin va agir sans vraiment réfléchir à ce qui pourrait être bon pour lui, si ce n'est de manière illusoire, privilégiant la soumission aveugle. En politique, c’est le militant comme le ministre ou secrétaire d’État fanatisé, constitutif du socle des irréductibles, dont la conscience politique est le vote instinctif pour le (la) chef, même s’il est victime de l’exploitation du bonimenteur représentatif d’un système qui ne sert aucunement ses intérêts. En entreprise comme dans les administrations publiques, les larbins pullulent, notamment à haut niveau - les cadres dits "supérieurs" et "hauts" fonctionnaires -, tant la peur de perdre les prébendes (statut, salaire, avantages) est tenace. Peu importe, puisqu’il pense s’attirer indulgence et obligeance. Il va sans broncher approuver les sacrifices, plans d’austérité, baisses des salaires, ou augmentation de l’âge de la retraite…,  défendre les éventuelles turpitudes commises, persuadé qu’elles ne sont que mensonges, calomnies, broutilles, ou nécessaires à la poursuite de son mensonge existentiel, et exceller dans la pratique de la délation...

Ce syndrome apparait très souvent dès le plus jeune âge, ou instillé plus tard par des techniques manipulatoires. Il n’existe aucun traitement ni médicament. Il découle d’une servilité induite par l’autorité (parentale, éducative, institutionnelle, professionnelle, religieuse…), et d’une absence de volonté pour remettre en cause les croyances et les conditionnements distillés. Le larbin va alors développer des stratégies inconscientes visant à restaurer un équilibre cognitif pour justifier l’acceptation de sa subordination et lui permettre de vibrer en résonance avec son ou ses maîtres dominants. Elles débouchent sur l’élaboration d’un argumentaire biaisé, traduisant et renvoyant la peur et les intimidations dont il est lui-même l’objet. Les plus démunis ne sont pas les seuls atteints, loin s'en faut, de ce syndrome du larbin, qui affecte une grande partie de la population sans rapport apparent avec le niveau d’étude, entre autres celles et ceux s'imaginant vouloir changer le système en place, sa rigidité ayant tôt fait de replacer sur le même mode vibratoire ses contestataires.

 

"Si personne n’obéit, nul ne commande."
Jacques Marie Anselme Bellegarigue (présumé décédé vers la fin du XIX° siècle), anarchiste fédéraliste

 

De la relation maître-esclave

La dialectique du maître et de l’esclave est une théorie que le philosophe allemand Georg Wilhelm Friedrich Hegel (1770/1831) développe dans son essai la Phénoménologie de l’Esprit. Elle relate l’aventure de la conscience humaine qui parvient à la conscience d’elle-même, et ce à travers le récit d’un combat entre deux êtres conscients d’eux-mêmes qui s’affrontent pour la première fois. Dès leur rencontre se pose le problème de la reconnaissance, les deux ayant le même désir de reconnaissance. Et celle-ci ne peut alors avoir lieu qu’à l’issue de la lutte de leur conscience respective ! Il distingue 2 grandes phases.

Phase 1 : l’asservissement.

Pour obtenir la reconnaissance de l’autre afin de s’entendre dire que "Tu es", sous-entendu le présumé vainqueur, chacun va risquer sa vie sans que la lutte ne conduise à la mort de l’un des adversaires, le désir de reconnaissance exigeant un "reconnaissant" et un "reconnu" plutôt qu’un mort. Tuer l’adversaire détruit ce témoin, et de ce fait rend impossible la reconnaissance. C'est pour cette raison que la conscience qui vainc ne tue pas le vaincu, le maintenant en vie dans le but de faire travailler la conscience vaincue. Le vaincu, lui, l’a été pour avoir préféré la servitude à la mort. La situation devient alors celle de la relation entre le vainqueur (le maître) et le vaincu (l’esclave).

Phase 2 : le retournement.

Une fois la lutte achevée, la relation maître/esclave va se retourner peu à peu, selon une gradation en en cinq points.

. Le maître de l’esclave ayant besoin de reconnaissance, l’esclave est l’essentiel pour le maître. C’est ce que Hegel appelle la certitude objective. Cette reconnaissance n’est cependant pas réciproque, le maître étant reconnu par quelqu’un qu’il ne reconnaît pas. Aussi la reconnaissance unilatérale n’est pas suffisante. L’esclave en effet ne peut être reconnu par le maître comme un autre être conscient de soi, étant réduit à une chose. Le désir du maître est ainsi orienté vers une volonté objectivée ou un objet, interdisant au maître d'être reconnu par un autre être "conscient de soi". Il ne saura en conséquence jamais obtenir satisfaction en étant reconnu par un esclave ou une chose.

. Il n’y a pas de maître sans esclave. Ceci indique qu'un être conscient de soi devient un maître par la possession des esclaves, dépendant d'eux pour exister en tant que maître. Il faut ainsi distinguer la dépendance formelle de la dépendance matérielle.

. Le maître dépend en effet matériellement de l’esclave, sa supériorité sur la nature du travail étant réalisée à travers l’esclave. Le travail, placé entre le maître et la nature, transforme la nature en objets désirés par le maître, son "paradis" dans lequel il vit étant lié aux produits du travail de l’esclave. Il en découle que tout ce que le maître possède est produit par l’esclave. Il n’est donc pas un être indépendant, mais plutôt dépendant de l’esclavage.

. Le maître est inactif, sa relation à l’Être (ou êtreté) étant médiée par le travail de l’esclave. Le maître reste belliqueux, et l’existence de l’esclave est réduite à travailler pour le maître, son activité ayant une relation directe à l’Être. De ce fait, la relation de l’esclave à l’Être est dialectique, puisque l’être est nié et transformé par le travail de l’esclave en marchandises. L’esclave est la principale force moteur pour la négation de l’Être.

. Les êtres humains deviennent conscients d’eux-mêmes à travers le désir, et les esclaves le deviennent à cause de la peur de la mort. L'appréhension du "néant", de la mort, est une condition nécessaire pour la révélation de sa propre existence. Dans ce cas, c’est l’esclave et non pas le maître qui saisit le sens de l’authenticité, et devient conscient de sa propre individualité. Hegel pense que l’esclave devient l’agent de la révolution historique, en établissant une conception différente de l’individualité et de l’authenticité.

Le philosophe conclue que l’historicité de l’existence humaine en l'état de la conscience soumise à la prédominance de l'ego est impossible sans la violence, un monde entièrement pacifique étant en contradiction avec la nature de cette historicité. L’existence humaine est par conséquent mieux comprise en termes de lutte à mort pour la reconnaissance que de recherche d’harmonie*. Toutefois, comme l’histoire de la guerre entre États aboutit à assimiler les plus faibles, l’État le plus puissant réussit à survivre. Il se développe sur son territoire, se transformant alors en empire. Les citoyens de cet État ne sont plus obsédés par la guerre car la menace extérieure a été éliminée. Il n'y a plus tentation de supériorité sur l’esclave, celle n'étant affirmée dans la lutte à mort. En conséquence, le maître devient épris de paix, acceptant l’idéologie esclave devenue chrétienne. Il en résulte pour lui qu'un maître chrétien est un maître sans esclave, et un esclave chrétien est un esclave sans maître, les deux étant réduits à des rôles inauthentiques et interchangeables.

De son côté, le philosophe et compositeur allemand Friedrich Wilhelm Nietzsche (1844/1900) voit dans cette relation maître-sujet et esclave-objet le premier posséder une énergie vitale qui déborde en création et en jeu, imposant sa façon de voir et posant des actes. Le second a une faiblesse intrinsèque qui le fait se réfugier dans le groupe, obéissant à un chef, à une communauté, un règlement, à une morale extérieure à lui-même, par confort de suivre et de reproduire plutôt que d’inventer. L’esclave jalouse le maître qui déplore l’épuisement de l’esclave. L’idéal est cependant d’être maître de soi, Maître en soi, pleinement homme supérieur. Il faut alors se préoccuper de développer toutes ses qualités cachées, s’informer et penser par soi-même au lieu de suivre le troupeau de la foule. C'est pourquoi Nietzsche dit du maître qu’il est un aigle, solitaire dans l’éther, regard aigu, ailes larges et serres puissantes. L’esclave, par contraste, est mouton bêlant dans un troupeau. Le maître est maître de soi et de son existence, il est heureux ici bas. S’il désire une autre position, il s’emploie à l’obtenir. L’esclave au contraire rêve d’être conforme, conservateur et non pas créateur. Il est simple d’être esclave, dit Nietzsche, beaucoup plus difficile d’être maître.

Quant au philosophe arménien Georges Ivanovitch Gurdjieff (mort en 1949), il avait coutume de dire que l’homme moyen est en prison, et qu’il ne lui est pas possible de s’en échapper sans une aide extérieure. Ceux qui savent, les maîtres, sont cette aide. Pour s’échapper de la prison, la première chose que doit faire l’homme est de réaliser qu’il est prison, sinon aucune libération n’est possible. C'est pourquoi il compara l’éveil à l’évasion d’une prison, celle du sommeil de l’homme inconscient de sa propre captivité. Tant que l’homme apprécie les fers et les chaînes qui l’entravent, tant qu’il tient en haute estime ce qui précisément l’empêche de s’éveiller, il ne pourra jamais s’échapper.

* Ainsi la position des moralistes, à l'instar du philosophe juif d'origine lituanienne naturalisé français Emmanuel Levinas (1906/1995).

 

De la délation

Le langage populaire a produit un lexique fourni pour désigner le délateur : "mouchard", "balance", "donneur", "indic", "poucave", "sycophante", "cafard", et de manière plus étendue "collabo", "traître" ou "Judas". Encouragée notamment par des régimes autoritaires ou dictatoriaux ou par des forces d'occupation (des études semblent démontrer que la délation de proches ou de personnes au sein d'une même famille aurait été une pratique répandue en France lors de la Seconde Guerre mondiale), la délation est généralement occultée et anonyme.

La délation ne doit en aucun cas être confondue avec la dénonciation d'infraction, de crime ou délit, ou encore le lancement d'alerte, activité désintéressée et risquée consistant à informer le public, les médias, les élus de pratiques douteuses ou dangereuses de la part d'entreprises ou d'organisations diverses qui de la sorte menacent l'économie, la santé, la société en général. Cinq siècles avant notre ère, L'Art de la guerre du militaire chinois Sun tzu fait déjà référence à cette notion dans son dernier chapitre, "De la concorde et de la discorde": "Quand ces cinq types d’espion sont au travail, personne ne peut découvrir le système secret d’information. Cela s’appelle la divine manipulation des esprits. C’est la plus précieuse faculté des souverains." (Sun tzu XIII-8). Durant la Seconde Guerre mondiale, elle est rendue obligatoire et encouragée par les services de renseignement du Troisième Reich. Elle devient une arme gouvernementale contre la Résistance, accusée de terrorisme, dans tous les pays alors occupés par l'Allemagne.

Aux États-Unis, le maccarthysme incite à la délation des personnes soupçonnées d'activités communistes. En URSS et dans les pays qu'elle occupe après la Seconde Guerre Mondiale, la délation est une pratique qui sévit dès l'école primaire. Les enfants sont encouragés à dénoncer leurs parents si ceux-ci émettent des idées différentes de celles que la propagande relayée par le système scolaire leur inculque. Le summum est atteint en RDA avec la STASI qui gangrène toute la société, personne n'étant plus à l'abri d'un parent ou d'un voisin malveillant.

Une société dans laquelle la délation est la règle, où chacun est tenu de surveiller son voisin, et où la confiance devient, par conséquent, impossible, semble intolérable. Ce modèle fut porté à son paroxysme par l’URSS qui, dès 1922, prit le parti de punir d’emprisonnement la non-dénonciation des crimes politiques. La délation devenait, dès lors, une obligation légale – présentée comme un devoir moral. Cependant, une société dans laquelle la dénonciation serait totalement prohibée, où le silence préserverait l’impunité des criminels, nous paraît tout aussi intolérable.

"Mon voisin a fait un party en fin de semaine", "ces jeunes au parc ne respectent pas le deux mètres"... le virus Covid-19 a instauré un climat de suspicion. Le gouvernement de différents pays (ainsi le Quebec au Canada) a en effet demandé aux citoyens de signaler à la police les situations qui dérogent aux recommandations sanitaires (entre le 13 mars et le 3 avril 2000, la police de Québec a reçu 900 dénonciations). La confiance envers son voisin n’est plus la même qu’avant la pandémie. Interpellation dans la rue, lynchage sur les réseaux sociaux, dénonciations non fondées : ces actions faites dans le souci de se protéger et de protéger les autres mènent souvent à des dérapages. Elles créent des tensions et endommagent les relations entre citoyens. Elles ont aussi pour effet de cibler des personnes ou des groupes, comme, par exemple, les familles nombreuses. N’oublions pas qu’il est possible d’avoir une mauvaise lecture d’une situation. Quand nous sommes témoins d’un comportement en apparence problématique, nous devons garder à l’esprit que nous ne disposons pas de toutes les données pour comprendre le contexte. Comment atténuer cette peur qui pousse à dénoncer ? Comment se sentir utile dans cet effort collectif pour vaincre la pandémie ? Miser sur la sensibilisation, le partage d’informations, le dialogue, de même qu’accorder le bénéfice du doute sont des avenues à prioriser. Il est très important de protéger les bases de la confiance mutuelle entre concitoyens, surtout en période de crise. Être solidaire, c’est parfois aussi se mêler de ses affaires.

 

Les trois chats hypnotiques

L'enfance est le stade privilégié du système éducatif comme médiatique perverti, par les films, contes, chants..., pour infuser dans la psyché en cours de maturation ses conditionnements délétères. Des harmoniques et ondes sonores sont ainsi utilisées pour manipuler la couche d’ARN des voies neuronales vers le subconscient. Les générateurs d’harmoniques dont le nom de code est "éther-onde" sont capables d’implanter des commandes détaillées qui sont reliées à des déclencheurs audibles. Cela permet aux esclaves d’être contrôlés par des mots déclencheurs qui n’ont aucun sens ou semblent ne porter aucune connotation négative aux auditeurs externes. Qui ne connaît par exemple cette chanson-rébus "Les trois chats" :

"Trois p'tits chats, trois p'tits chats, trois p'tits chats, chats, chats

Chapeau d'paille, chapeau d'paille, chapeau d'paille, paille, paille

Paillasson, paillasson, paillasson, son, son,

Somnambule, somnambule, somnambule, bulle, bulle..."

Cette chanson, que les enfants chantent à répétition dans les cours d'écoles, fait partie d'un programme de formatage mental. Ainsi le sens des premiers mots nous délivre quelques indices :

"Trois p'tits chats" fait référence à l'énergie du félin, le lion* (la lignée d'une force galactique au service de l'évolution nommée Leo), en devenir pour permettre l'élévation spirituelle de l'être humain.

Tout à l'inverse, "Chapeau de paille" renvoie à l'épouvantail, pantin solitaire, immobile et dénué d'âme tel que peut le devenir l'humain au stade le plus sombre de son évolution entropique.

"Paillasson" confirme bien l'idée d' "être carpette", d'une soumission totale à celui (le système élitaire corrompu) qui s'essuie les pieds sur notre identité divine.

Et si le mot "son" se distingue de la phrase, c'est bien par des sons de différentes longueurs d'onde et généralement basés sur un rythme de trois (comme la plupart des musiques accompagnées de leurs flashs de lumière dans les boîtes de nuit) que l'humain de laboratoire que nous sommes est programmé à agir de telle ou telle sorte, tel un somnambule, bulle, bulle. Plus aucun risque alors que le "Leo" en lui par la compréhension de ce que sa bulle de perception lui renvoie se réveille...

Nous pouvons bien sûr compléter cette comptine prédatrice par un long florilège attentatoire à la conscience, comme "Ainsi font font font les petites marionnettes", "Il était un petit homme"...

* Cf. Vérité climatique.

 

La mise sous hypnose par la lumière stroboscopique

Le stroboscope a été inventé en 1836 par le physicien et mathématicien belge Joseph Plateau (1801/1883), invention réclamée également par le mathématicien autrichien Simon Stampfer (1792/1864)*. Il est une source de lumière saccadée, issue d'un dispositif mécanique ou électronique qui fait alterner les phases obscures et les phases lumineuses, les flashs. Le stroboscope et ses dérivés engendreront la cinématographie, notamment dans le secteur de la projection.

Ses caractéristiques sont l'intensité et la durée des flashs ainsi que leur intervalle. Certains phénomènes impossibles à visualiser à l'œil nu à cause d'une fréquence trop grande sont observables grâce à ce dispositif. Il suffit de régler la fréquence du flash sur celle du phénomène. Utilisé dans les boîtes de nuit, le stroboscope se compose principalement d'une lampe xénon ou de diodes électroluminescentes. Dans l'industrie, sa lumière intervient lors des crashs tests d'automobiles.

Les lumières stroboscopiques sont utilisées comme déclencheurs d'hypnose pour mettre les esprits de 3e densité terrestre sous contrôle, par tous supports qui s'y prêtent : télévision, écrans d’ordinateur, ampoules lumineuses, tubes fluorescents, lumières des rues sont de la lumière stroboscopique, tout comme les gyrophares des voitures de police, ambulances, camions des pompiers, bus de ville et bus scolaires… Elles sont des précurseurs de suggestion, qui est de nature auditive, de ce fait plus facile à introduire lorsque l'individu est passif (par exemple assis devant la télévision). Ce processus a pour objectif soit de nous empêcher de voir quelque chose, soit de voir cette chose comme quelque chose d’autre... exactement comme le font les magiciens sur scène*² ! En d'autres termes, elles sont constitutives de scénarios de réalité virtuelle par restructuration d'image mentale. Toutefois, il convient de préciser que les âmes affectées par toutes ces techniques d’"occultation" vibrent à un niveau inférieur, le but étant de bloquer ceux qui sont "blocables".

* D'autres appareils de ce type naissent dans la seconde partie du XIXe siècle : le zootrope de William Horner en 1834, le praxinoscope d'Émile Reynaud en 1877, le tachyscope d'Ottomar Anshütz, le praxinoscope de projection en 1880 de nouveau par Émile Reynaud, ou le kinétoscope, en 1893, de Thomas Edison. Tous reconstituent l'illusion du mouvements à partir de peintures, voire plus tard de photographies.

La clé de compréhension réside dans la maîtrise technologique des propriétés de l'or monoatomique, telle la régénération génétique, et son processus de cristallisation froide. Nul(le) ne sera surpris par la quasi absence de documentation scientifique en la matière... Pour le comprendre, il suffit de relire de nombreux mythes antiques, où il est fait allusion à des "dieux" qui extrayaient de l’or des mines. Ces dieux de l'Astral ne font que puiser inlassablement dans la mine d'or intérieure de l'être humain, l'âme, afin d'y capter le secret du Vivant nécessaire à leur survie !

 

La stratégie de diversion

 

Élément primordial du contrôle social, la stratégie de la diversion consiste à détourner l'attention du public des problèmes importants et des mutations décidées par les élites politiques et économiques, grâce à un déluge continuel de distractions et d'informations insignifiantes. La stratégie de la diversion est également indispensable pour empêcher le public de s'intéresser aux connaissances essentielles, dans les domaines de la science, de l'économie, de la psychologie, de la neurobiologie, et de la cybernétique.

C'est pourquoi la plupart des publicités destinées au grand-public utilisent un discours, des arguments, des personnages, et un ton particulièrement infantilisants, souvent proche du débilitant, comme si le spectateur était un enfant en bas-âge ou un "handicapé" mental. La télévision, par exemple, met clairement en évidence comment des messages négatifs, tels que les informations, les films d'horreur et de violence, influencent le comportement du téléspectateur. La télévision est, cependant, surtout utilisée pour suggérer des opinions. Comment penser, agir et paraître; ce qu'il faut avoir pour être "branché"; quelle orientation politique prendre.

Le système en est arrivé à mieux connaître l'individu moyen que celui-ci ne se connaît lui-même. Cela signifie que dans la majorité des cas, le système détient un plus grand contrôle et un plus grand pouvoir sur les individus que les individus eux-mêmes.

Cf. en complément Prédation manipulatoire.

 

Tyrannie des cartels, la toile du contrôle

 

Notre mode contemporain voit la prégnance d’une matrice de cinq cartels – soit des oligopoles où quelques acteurs concernés obtiennent le contrôle du "marché" qu’ils couvrent par entente formelle -. Ils sont constitutifs dans le cadre institutionnel concerné d’une toile d’araignée structurant de manière totalitaire la relation de l’individu à la vie avec le relais des "mass-médias". Elle est conçue autour d’une idéologie économique libérale, qui voit l’argent statufié roi et les êtres humains esclaves des règles du jeu imposées au détriment de leurs intérêts fondamentaux par la force et la ruse, tout particulièrement publicitaire. Ces cartels se nomment bancaire, politique, religieux, pharmaco-chimique et techno-industriel. Ils utilisent tous le contrôle mental des consciences et des esprits pour la défense de leurs intérêts singuliers et de ce fait totalitaires, attentatoires à l’évolution par le haut de l’espèce humaine.

 

Des oligopoles

Du grec oligos, "petit nombre", et polein, "vendre", l'oligopole désigne en économie une forme de marché caractérisé par un petit nombre de vendeurs (ou offreurs) face à une multitude d'acheteurs (ou demandeurs). Lorsqu'il n'y a que 2 vendeurs, on emploie le terme de duopole.

Dans la théorie économique, l'oligopole est une situation de marché imparfait. En effet, dans le cadre de la concurrence pure et parfaite, les offreurs doivent être indépendants, ce qui n'est pas le cas d'un oligopole où le profit d'un vendeur dépend de l'attitude des autres.

La situation d'oligopole résulte de la tendance à la concentration des producteurs. En effet, dans certains secteurs d'activité, les producteurs ont intérêt à grossir pour réaliser des économies d'échelle qui génèrent des gains de productivité. L'optimum économique n'étant atteint qu'en situation de monopole (un seul vendeur), les institutions politiques s'y opposent pour prendre en compte les intérêts des consommateurs. Elles favorisent l'émergence de nouveaux offreurs ou le maintien d'offreurs existants. Les deux tendances, concentration et lutte contre les monopoles, s'équilibrent avec la situation d'oligopole.

Dans un oligopole, les vendeurs peuvent se livrer à une concurrence féroce ou bien réaliser des ententes. En effet, disposant d'une position dominante, les entreprises en situation oligopolistique sont tentées de s'accorder sur les prix et sur les quantités offertes afin de se partager le marché et d'optimiser leurs profits. De telles ententes (cartel), qui reviennent à créer une situation de pseudo monopole, sont interdites par le droit de la concurrence. Ainsi l'exemple en France de l'entente des opérateurs de téléphonie mobile pour stabiliser leurs parts de marché et facturer les SMS très au-dessus de leurs coûts de revient (elle a été sanctionnée en 2005 par le Conseil de la concurrence, devenu depuis l'Autorité de la concurrence, les trois opérateurs mobiles, Orange France Télécom, SFR et Bouygues Télécom ayant été condamnés à payer une amende record, inégalée à ce jour, de 534 millions d'euros, décision définitivement entérinée par la Cour de cassation en 2012).

 

La bande des cinq

Le cartel bancaire est en charge du triptyque Argent-Taux d’intérêt-Dette. Il est principalement responsable des problèmes actuels dans le monde, la pratique de l’usure (prêts à taux d’intérêt) étant la principale responsable des souffrances (emploi, famille, éducation, santé…). Les usuriers qui contrôlent la fabrication de la monnaie et qui se voient octroyer cette pratique par les soi-disant représentants de l'intérêt collectif sont les premiers "esclavagistes " de nos vies. De tout temps, elle a été considérée comme le premier mal des civilisations. En effet, lorsque de l’argent créé à partir de rien est emprunté, et qu’il doit être remboursé avec des intérêts décidés de manière unilatérale, se pose la question de comment rembourser sans devoir réemprunter à nouveau. Ce mécanisme pervers, masqué un temps par le faux nez de la croissance, finit toujours par enrichir une minorité au détriment d’une majorité. L’économie n’est pas alors au service du développement de l’homme, mais de sa prédation par l’augmentation sans cesse des impôts tant envers les citoyens que les entreprises nationales pour couvrir la dette constituée.

Aussi les Nations qui n’ont absolument pas le contrôle de leur création monétaire (États-Unis, France, Angleterre…), parce que dévolue à des acteurs privés, sont privées de leur souveraineté. Leur fonctionnement repose essentiellement sur la confiance octroyée par des citoyens non informés et manipulés par des politiciens lâches, corrompus et aux ordres, leurs silence et résignation garantissant les prébendes octroyées.

Dans cette société de consommation, riche en biens mais pauvre en conscience, un âge d’or de l’humanité n’est possible qu’en cultivant ce qui est essentiel dans la vie d’un homme ou d’une femme, apprendre à aimer la Création dans toute sa diversité. L’amour est une richesse inépuisable même pour qui est dispendieux, richesse qui ne subit pas l’inflation, non taxable, qui n’a pas besoin de coffre, qui enrichit d’autant celui qui donne, et dont le retour sur investissement perdure au-delà la mort physique. A la base de relations sociales se voulant harmonieuses et heureuses, permettant de cultiver la sagesse et la connaissance, il est la seule alternative à la corruption et à la perversion des intérêts singuliers, qui constituent les prémices de la décadence. Cette vision est irrémédiablement taxée d'idéalisme et d'angélisme, et rejetée comme incompatible avec la réalité humaine. Pourtant, elle n'est que la seule voie d'évolution possible. Elle se fera, tôt ou tard, lorsque l'éveil des consciences en cours sera parvenu à un point pivot de bascule.

 

"Donnez-moi le contrôle de la monnaie et je me passerai de ceux qui font les lois"

Mayer Anschel Bauer puis Rothschild (1744/1812) – Fondateur de la dynastie bancaire éponyme

 

Troublantes similitudes

Les Présidents Abraham Lincoln en 1865 (photo 2) et John Fitzgerald Kennedy en 1963 (photo 3) ont tous deux voulu imprimer l'argent américain pour les personnes américaines, s'opposant au contrôle de la création d’argent par des intérêts privés et une élite étrangère non américaine.

C'est ainsi que pour financer la guerre de Sécession (1861/1865), Lincoln s'adressa au Secrétaire du Trésor, Solomon P. Chase, qui lui proposa des prêts à un intérêt de 36 pour cent. Il refusa, et sollicita les conseils de son ami, le colonel Dick Taylor, qui lui répondit : "Faites voter par le congrès un acte autorisant l'émission légale du trésor, payez vos soldats avec eux et allez gagner la guerre." Peu de temps avant sa mort, Lincoln déclara : "La Puissance Monétaire saccage la nation pendant les temps de la paix et complote contre elle pendant les temps de l'adversité. La Puissance Monétaire est plus despotique qu'une monarchie, plus insolente d'une autocratie et plus égoiste qu'une bureaucratie." Après son assassinat, le Congrès abolit la loi des "Greenbacks", cette monnaie imprimée, et la remplaça par le National Bank Act. Ensuite, les banques américaines émirent de nouveau les billets moyennant un interêt, la loi stipulant que les "Greenbacks" devaient être rétirés de la circulation aussitôt leur retour à la Tresorerie en paiement des impôts.

Quant à JFK, il a signé l’acte exécutif numéro 111 110 le 4 juin 1963, abrogeant l’acte exécutif 10289 afin de remettre la production de billets de banque dans les mains de l’État, privant ainsi en grande partie de son pouvoir le cartel des banques privées. Mais après que quelques 4 milliards de dollars en petites coupures nommées United States Notes eurent été mises en circulation, et alors que l’imprimerie de l’Etat s’apprêtait à livrer des coupures plus importantes, Kennedy a été assassiné le 22 novembre 1963, soit 100 ans après Lincoln, par un tireur isolé abattu lui-même lors de sa fuite. Son successeur, Lyndon B. Johnson, a alors lui aussi suspendu cette impression de billets pour des raisons inexplicables. Les douze banques fédérales de réserve ont retiré immédiatement les billets Kennedy de la circulation, les échangeant contre leurs propres reconnaissances de dette.

Grâce à son monopole de production illimitée d’argent, le cartel bancaire du système fédéral de réserve dispose d’une énorme machine à fabriquer de l’argent, qui lui permet de gagner énormément...

Cf. en complément Le modèle européen décodé (2) L'idéologie mondialiste.

 

Prévarication

Dans la longue liste des prévarications et turpitudes bancaires que l'actualité ne cesse de porter à notre connaissance, une des dernières met en éclairage le rôle de dix-sept banques importantes du Royaume-Uni, dont HSBC, Royal Bank of Scotland, Lloyds, Barclays et Coutts, impliquées dans le blanchiment d’environ 740 millions de dollars (685 millions d’euros) en provenance de Russie, selon les informations du journal britannique The Guardian.

D’après la publication, entre 2010 et 2014, environ 20 milliards de dollars ont été sortis de Russie. Le montant réel pourrait même atteindre 80 milliards de dollars. L’opération baptisée The Laundromat Global (Blanchisserie mondiale) impliquerait au moins 500 personnes, dont des oligarques et des banquiers. Les relevés bancaires de cette opération ont notamment été obtenus par des sources anonymes de l’Organized Crime and Corruption Reporting Project (OCCRP) et du journal russe Novaïa Gazeta. Les documents contiennent des informations détaillées sur environ 70.000 transactions bancaires, dont 1.920 passées par les banques britanniques et 373 par les banques américaines.

L’argent blanchi a été transféré de la Russie d’abord dans des banques de la Moldavie et de la Lettonie d’où il a été redirigé vers le Royaume-Uni et les États-Unis, dont Citibank et Bank of America. Les enquêteurs se demandent notamment pourquoi les 17 grandes banques britanniques en question n’ont pas empêché ces paiements suspects. Ils estiment ainsi que l’argent a de toute évidence été volé ou avait une autre origine criminelle...

 

"Le gouvernement devrait créer, émettre et favoriser la circulation des monnaies et des crédits nécessaires à la satisfaction du besoin de dépense du gouvernement et du besoin d’achat des consommateurs. L’adoption de ces principes doit permettre aux contribuables d’économiser le paiement d’un gros volume d’intérêts. L’argent cessera de gouverner et se mettra au service de l’humanité."

Abraham Lincoln, 16° Président des États-Unis (1809/1865)

 

Quasiment toutes les institutions nationales et supranationales (ONU, OMC, OMS, OTAN…) sont antidémocratiques au sens philosophique absolu du terme, la pyramide de représentation sur laquelle ils s’appuient étant au service d’intérêts minoritaires sous couvert de servir l’intérêt général en faisant croire aux peuples qu’ils jouiraient d’un pouvoir par les élections. Hormis les États totalitaires, il est plus juste de parler de "démocrature", de ploutocratie ou d’oligarchie en l’état de la conscience humaine qui y préside. La démocratie fait partie de ces mots utilisés à tort pour l’ensemble des peuples concernés par des régimes et élites politiques, qui programment leur impuissance politique au cœur même des Constitutions...

En effet, la démocratie est le régime politique dans lequel le peuple est souverain. La formule du président états-unien Abraham Lincoln (1809/1865), à savoir que la démocratie est "le gouvernement du peuple, par le peuple, pour le peuple", est l’une des définitions canoniques couramment reprises, ainsi qu’en témoigne son introduction dans la Constitution de 1958 de la Cinquième République française. Cette définition est proche du sens étymologique du terme démocratie, du grec ancien dēmokratía, "souveraineté du peuple".

Elle entend que ce pouvoir du peuple l’est tous les jours, pas à la date de désignation de ses représentants suprêmes. Or notre pouvoir démocratique moderne se limite à élire des représentants, pour des durées relativement longues et propices au carriérisme politicien. Il consacre la délégation du pouvoir de vote citoyen à des représentants censés le représenter au plus haut de l’État. La réalité est cependant toute autre, l’exemple du référendum français de l’entrée dans l’Union européenne sous la présidence de Nicolas Sarkozy le démontrant. Même s’il a été dit "NON" lors du référendum de 2005, le résultat a été inversé en 2008 après modification de la Constitution elle-même*.

De même, peu de référendums sont proposés au peuple, la décision démocratique qui en résulte étant méprisée. Il en est de même quant à la question de la représentativité réelle d’un élu lors d’élections tronquées par le jeu des partis politiques et l’arbitraire du processus électoral (règles de proportionnalité, non décompte du vote blanc…). Le sens du mot citoyen a perdu au XXI° siècle toute sa substance originelle. Nous sommes en fait devenus après trois siècles de capitalisme consumériste de simples consommateurs/électeurs sans aucun pouvoir politique.

Une véritable démocratie défendue par ses propres citoyens est fondée sur la défiance et non la confiance aveugle, au nom du sain réalisme. Elle repose sur une Assemblée Constituante démocratique, donc tirée au sort. Elle instaure un contrôle à tous les étages pour imposer la vertu comme garant du fonctionnement respectueux de tous. Elle recherche la concorde par une mise en scène des conflits et leur arbitrage transparent dans le cadre de débats publics contradictoires où règne l’égalité politique. C’est bien l’assemblée du peuple qui exerce le pouvoir.

* Le référendum est le maudit de l’euro, l’oligarchie européenne au pouvoir supportant très mal que les peuples donnent leur avis sur les questions de souveraineté. C’est ainsi, au-delà du cas français, qu’on fit revoter deux fois les Irlandais, en 2001 (traité de Nice) et en 2008 et en 2009 (traité de Lisbonne). En 2011, le Premier ministre social-démocrate grec George Papandreou, placé dans une position identique à celle d’Alexis Tsipras en 2015, avait aussi voulu vérifier par un vote qu’il avait bien l’assentiment de ces concitoyens. Il fut débarqué par un quasi coup d’État fomenté par la BCE, Berlin et Paris, qui obtinrent des députés grecs la nomination d’un homme lige, ex-vice-président de la BCE, Loukas Papademos.

Cf. en complément Le modèle européen décodé – L’idéologie mondialiste.

 

"La mise en pratique de décisions politiques et stratégiques cruciales, n’est pas, comme le propage la mythologie publique, le résultat d’un processus parlementaire démocratique qui partirait en fait de l’électeur, du peuple souverain. En réalité, c’est un autre souverain qui décide. Ce sont les groupes qui possèdent le plus grand pouvoir financier".

 Hans-Jürgen Krysmanski - Sociologue allemand (1935/2016)

 

Lui-même venait d’une précédente civilisation. C’est au sud de la Turquie à la frontière de la Syrie que se trouve la région de Nevali Cori, zone connue comme le premier endroit au monde où le blé fut cultivé à grande échelle, soit 8.000 ans avant les pyramides, c'est à dire il y a 12.000 ans. L'image sacrée de l'Arbre de Vie (deuxième image) y est apparue pour la première fois aux archéologues sur le site de Gobekli Tepe, sanctuaire circulaire comportant un observatoire du soleil levant et couchant sur les solstices et les équinoxes. Autour de lui une douzaine de pôles symbolisaient l'année solaire d'une douzaine de mois de 30 jours chacun. Ceci signifie une antériorité significative par rapport à la datation scientifique communément retenue. Elle a nourri le système très complexe d’activités secrètes inventé et graduellement perfectionné dans le but de perpétuer le savoir des anciens par une caste de prêtres égyptiens. Ils ont dirigé en secret l’ascension d’une des civilisations les plus évoluée de l'Antiquité. Mais la prêtrise païenne découvrit bientôt que cette grande connaissance et cette sagesse affaiblissaient son influence sur le peuple. C’est pourquoi elle inventa et établit officiellement ses principes religieux mythologiques qui, graduellement, amenèrent les Égyptiens à des croyances basées sur des idées superstitieuses. Ils finirent par détruire leur foi en leurs propres pouvoirs et capacités, et furent soit des mercenaires soit des esclaves. Les enseignements de cette prêtrise dévoyée furent soigneusement établis de siècle en siècle pour cacher la sagesse originelle et détruire l’œuvre des anciens maîtres. Avec les invasions et les réformes religieuses, les savoirs ont été volés et manipulés, la structure du ciel par les mages astronomes et les cartographes expliquant le monde livré à la conscience chloroformée des êtres humains.

C’est ainsi que le contenu des livres saints hébraïques, référentiels du judaïsme comme du christianisme, ne sont que des plagiats, reposant sur des récits et des personnages faux, empruntés et falsifiés à partir des anciens textes de l’Égypte antique. Alors que toute l’activité de la vie religieuse a pour but selon l’enseignement traditionnel de rendre l’homme digne d’être élevé par sa science, sa foi et sa charité, et appelé à connaître la vie céleste par la lumière éternelle du "Don de Dieu", il en est tout autrement lorsque le sens détourné des écrits veille insidieusement à les maintenir en esclavage, dans la dépendance à un sauveur extérieur.

 

Entre les religions exotériques officielles et la religion ésotérique des réseaux occultes et sectaires, les peuples sont embrigadés depuis trop longtemps dans un rapport au sacré dénaturé de son essence, qui autorise et fait le lit de dérives sectaires autoritaires.

Elles ont toutes pour origine une théologie – science de la divine création – basée sur l’astrologie, les hommes depuis toujours s'inspirant des étoiles pour le culte au divin. Si le Zodiaque et la précession des équinoxes constituent leur socle, ils n’ont jamais été la base des croyances à l'origine. La trace la plus ancienne du Zodiaque est celle de l’ancienne Égypte, son adaptation en Mésopotamie entraînant l’universalité du codage décidé par les autorités à des fins de manipulation des esprits. C’est ainsi que successivement les Grecs, les Sémites, les Babyloniens, les Asiatiques, les Celtes, les Romains et l’islam ont détourné le Zodiaque égyptien originel.

Cf. Le modèle européen décodé – Un ADN impérial païen.

 

Les origines du cartel pharmaco-chimique remontent à la seconde moitié du XIX° siècle, lorsque William Avery "Bill" Rockefeller (1810/1906), dit "Old Bill" (photo 1), marchand forain de spécialité pharmaceutique, vend des flacons de pétrole brut achetés à la firme Standard Oil* aux paysans naïfs, leur faisant croire que c’était un traitement contre le cancer. L’affaire s’avère extrêmement prospère. Lorsque des médecins découvrent que le produit était nocif et provoquait des maladies graves, éliminant les vitamines liposolubles du corps, la Standard Oil ajoute du carotène au pétrole brut pour parer à toute carence. Avec la complicité d’un sénateur de l’État de New York payé pour promouvoir la supercherie, l’Empire Rockefeller est né, posant par ses fondations la raison d’être de cette "médecine" attentatoire au bien-être des individus*².

* Créée par son fils John Davison (1839/1937 - seconde photo) en 1870.

Par exemple le Syndicat "Rockefeller et JP Morgan" a acheté en 1900 l’Encyclopedia Britannica. Toute information et références défavorables aux vaccinations ont depuis été éliminées de l’Encyclopédie.

 

La Fondation Rockefeller

Accusé par la Cour suprême des États-Unis de corruption, de pratiques illégales et de racket, et devant dissoudre le trust constitué avec la Standard Oil, John D. Rockefeller, pour dissiper la pression publique et politique, trouve en 1913 une nouvelle solution appelée " philanthropie ". Il utilise les revenus de ses pratiques illégales sur le marché du pétrole pour créer la Fondation Rockefeller. Grâce à cette entité dont le statut équivaut à un paradis fiscal, il organise le contrôle stratégique du secteur de la santé aux États-Unis. La Fondation Rockefeller est la façade d’une nouvelle entreprise globale gérée par Rockefeller et ses complices : les investissements dans le commerce pharmaceutique. Les dons de la Fondation Rockefeller supportent exclusivement des écoles médicales et des hôpitaux. Ces institutions sont devenues les missionnaires d’une nouvelle race d’entreprises : les fabricants de médicaments synthétiques brevetés.

C’est à cette époque que l’on découvre les vitamines. Il devient vite évident que ces molécules naturelles ont des propriétés curatives remarquables et qu’elles peuvent prévenir de nombreuses maladies chroniques. Les recherches menées sur leurs propriétés permettent de publier divers ouvrages, mais elles sont ensuite abandonnées. Ces nouvelles molécules présentent en effet un inconvénient majeur : elles ne peuvent pas être brevetées.

Par conséquent, dès ses premières années d’existence, le commerce pharmaceutique est déjà confronté à un risque mortel : les vitamines et autres micronutriments promus par des programmes de santé publics rendraient impossible le développement de toute activité commerciale basée sur des médicaments brevetés. L’élimination de la concurrence indésirable des micronutriments naturels devient donc une question de vie ou de mort pour le commerce pharmaceutique.

La Fondation Rockefeller va profiter de l’épidémie de grippe espagnole en 1918 en utilisant les médias pour lancer une chasse aux sorcières contre tous les médicaments qui échappent à ses brevets. Au cours des 15 prochaines années, toutes les écoles médicales des États-Unis, la plupart des hôpitaux et l’American Medical Association deviennent des pions sur l’échiquier stratégique de Rockefeller pour mettre l’ensemble du secteur de la santé sous le monopole de ses entreprises pharmaceutiques.

Déguisée en "Mère Theresa", la Fondation Rockefeller sert également à conquérir des marchés étrangers et des continents, avec les mêmes méthodes que Rockefeller avait lui-même appliquées pour créer son empire pétrochimique au cours des précédentes décennies. L’un de ses principaux rôles méconnus consiste dans le contrôle technique l’agriculture mondiale. Un de ses anciens directeurs et administrateurs, Kenneth Wernimont, a ainsi mis au point des programmes agricoles contrôlés au Mexique et en Amérique latine, l’agriculteur indépendant représentant une sérieuse menace dans la mesure où il produit pour lui-même et que sa production peut être convertie en capitaux, lui donnant de ce fait une indépendance... C'est la caractéristique des pays totalitaires, comme en leur temps le Parti Communiste, le Parti des Paysans et des Ouvriers soviétique et chinois, qui ont exterminé les paysans et mis les ouvriers en esclavage.

 

Le Trust de la pharmaco-chimie tel que nous le connaissons est le résultat d’une association de la compagnie Rockefeller avec la compagnie IG Farben de l’Allemagne nazie, qui voit la Standard Oil détenue alors par John D. Rockefeller prendre une participation de 15 % dans ce nouveau trust germano-américain en 1939. L’industrie IG Farben en Allemagne ne fut pas bombardée pour préserver les intérêts de la Rockefeller Cie. Dès 1932, l’industrie pharmaco-chimique IG Farben finança Adolf Hitler. Sans ce soutien selon le tribunal de Nuremberg, "la deuxième guerre mondiale n’aurait pas pu avoir lieu…".

En 1941, IG Farben établît la plus grande industrie chimique du monde à Auschwitz, tirant profit de la main d’œuvre du camp de concentration fabricant le gaz Zyklon B. Au procès de Nuremberg, 24 responsables de la IG Farben (BASF, BAYER et HOECHST) ont été déclarés coupables de génocide, d’esclavage, de pillages et d’autres crimes. Tous ces anciens responsables furent cependant libérés après leur condamnation en 1952 avec l’aide de Nelson Rockefeller, petit-fils de John D., leur ancien partenaire commercial. Il était alors Ministre des Affaires Étrangères des USA. Une fois libérés, les dirigeants d’IG Farben infiltrèrent les plus hautes fonctions de l’économie allemande. Jusque dans les années 70 les PDG des sociétés BASF, BAYER, et HOECHST étaient des anciens membres du parti nazi. Ils financèrent à partir de 1959 le jeune Helmut Kohl, futur chancelier allemand. Avec le support politique de ce dernier, les trois filiales issues de l’IG Farben sont actuellement 20 fois plus grandes que la maison mère initiale de 1941. L’organisation nazie de mondialisation associée à Rockefeller est une réussite totale, quadrillant, structurant et gérant la planète pour assurer une expansion industrielle mondiale de la pharmaco-chimie.

La "tradition" du cartel de IG Farben s’est poursuivie sous un nouveau nom : Association de l’Industrie Chimique. En 1955, l’industrie chimique pharmaceutique mondiale s’est regroupée sous les auspices de la Chambre de Commerce Internationale des Nations Unies et du gouvernement allemand. Leurs efforts communs furent camouflés sous le nom de code Codex Alimentarius. Un grand nombre de partis politiques européens dits de droite et de gauche furent financés par cette industrie pour assurer des législations favorables à l’industrie pharmaceutique. Il entend mettre hors la loi toute information alternative de santé en rapport avec les vitamines, les thérapies naturelles, les compléments alimentaires et tout ce qui constitue de près ou de loin un concurrent potentiel.

L’état d’esprit qui préside à la mondialisation pharmaco-chimique explique en grande partie la destruction systématique de tous les novateurs scientifiques indépendants depuis 50 ans. Cette industrie emploie tous les moyens pour garder ses parts de marché en matière de cancer, sida, maladies cardio-vasculaires, etc… Alors que "nous" sommes en mesure depuis des décennies de soigner et de guérir dans bien des cas toutes ces maladies, de puissants procédés de désinformation sont en place pour cacher ces vérités au grand public. C'est ainsi que selon les auteurs d'une nouvelle étude publiée en 2023 dans Annals of Global Health ("Annales de la santé mondiale"), une publication soutenue par le programme pour la santé publique mondiale et le bien commun de l'université Boston College située dans l'État du Massachusetts aux États-Unis, les entreprises Dupont de Nemours et 3M (Minnesota Mining & Manufacturing Company dans leur patronyme anglais) ont dissimulé pendant 40 ans des études montrant que les produits chimiques PFAS (alkyls perfluorés et polyfluorés) étaient gravement nocifs pour la santé humaine. Dupont et 3M ont utilisé les mêmes tactiques que l'industrie du tabac pour retarder la prise de conscience par le public de la toxicité des produits chimiques PFAS et retarder la réglementation de leur utilisation.

 

IG Farben la sulfureuse en délicatesse

L'abréviation IG Farben désigne la société fondée le 1er janvier 1925 sous le nom de IG-Farbenindustrie AG.  Jusqu'en 1945 au moins, ce groupement d'intérêt économique produisit de nombreux produits chimiques : ammoniac synthétique (duquel étaient dérivés des engrais azotés, des explosifs) et des biocides ou gaz d'exterminations dont le Zyklon B, ce pesticide à base d'acide cyanhydrique de sinistre mémoire (il fut utilisé durant la Seconde Guerre mondiale par les nazis dans les chambres à gaz des centres d'extermination, notamment sur des prisonniers de guerre soviétiques, les Juifs et les Tziganes d'Europe), de l'essence synthétique, des médicaments, des colorants, des plastiques, du caoutchouc synthétique, des pellicules photographiques et des textiles. Ce groupement fut démantelé en 1952 dans le cadre de la politique de dénazification en raison de sa contibution à des crimes de guerre contre l’humanité.

Ironie de l'histoire*, ce géant allemand contemporain de la chimie devenu BASF (Badische Anilin- & Soda-Fabrik), du nom d'une société qui faisait autrefois partie du conglomérat chimique, menace en 2022 d’arrêter l’exploitation de certaines de ses installations industrielles qui fonctionnent sans interruption depuis les années 1960, compte-tenu des conséquences du conflit entre l'Ukraine et la Russie et des sanctions occidentales prises à l'encontre de cette dernière. Le rationnement du gaz aux usines allemandes de BASF par le producteur distributeur russe a en effet entraîné l'envolée de la facture énergétique (électricité et gaz), et sa raréfaction conduit désormais au projet de fermeture de ses énormes installations chimiques dans la mesure où l'entreprise utilise environ 60 % du gaz qu’elle achète pour produire l’énergie nécessaire à sa production, les 40 % restants l'étant comme matière première pour fabriquer d’importants produits chimiques de base tels que l'amoniac (NH3)*² qui est utilisé pour créer des engrais, du fluide d’échappement diesel et de nombreux autres produits chimiques industriels, notamment des additifs pour huile de moteur. Qui plus est, l’arrêt de la production pourrait être définitif, personne ne sachant si les usines peuvent un jour reprendre leurs activités après un arrêt, puisque le fait même d’arrêter le système peut le briser...

En conséquence, la fermeture des usines BASF signifierait la fermeture de la construction automobile, des produits de consommation, des produits chimiques agricoles, des produits chimiques de stérilisation pour les hôpitaux et bien plus encore. Sans métaux ni produits chimiques, l’Europe occidentale pourrait replonger dans le 18e siècle, avec les pestes, la famine et la misère !

* Les régimes ukrainiens qui se sont succédé au pouvoir depuis 2014 (Petro Oleksiovytch Porochenko puis Volodymyr Oleksandrovytch Zelensky) ont affiché sans réserve leur soutien à l'idéologie nazie, celle-là même qui est combattue viscéralement par le régime de la Fédération de Russie incarné par Vladimir Poutine.

Il n'est pas possible de remplacer le gaz naturel par de l’électricité, puisque l’électricité ne contient pas d’hydrogène. Ainsi, l’énergie éolienne et solaire ne pourra jamais remplacer le gaz naturel dans l’industrie et la fabrication, notamment pour la production d’engrais, de plastiques et autres.

 

Le Codex Alimentarius

La vraie nature de l’industrie pharmaceutique mondiale est de gagner de l’argent avec les maladies chroniques, et non point de s’occuper de la prévention ou de l’éradication des maladies…Elle a un intérêt financier direct à ce que les maladies perdurent afin d’assurer la croissance du marché des médicaments. C’est pour cela que les médicaments sont conçus pour soulager les symptômes et non pour traiter les causes des maladies. Il en découle que les trusts pharmaceutiques sont responsables de la mort de millions de personnes…

Une légion de lobbyistes pharmaceutiques est employée pour influencer les législateurs, pour contrôler les organismes de réglementation, pour manipuler la recherche médicale et l’éducation. Ainsi les dons du Trust de la pharmacie aux Universités Harvard, Yale, John Hopkins, Stanford, Université Colombia de New York, etc.

L’information des médecins est intégralement financée par ces trusts qui cachent soigneusement un grand nombre d’effets secondaires dangereux, voire mortels en les reniant publiquement. Le 13 mars 2002, les euro-députés adoptèrent des lois en faveur de l’industrie pharmaceutique, fixées par des dispositions du Codex Alimentarius visant à élaborer une réglementation coercitive pour toutes les thérapies naturelles et suppléments alimentaires, relayée par la censure opérée par les réseaux sociaux inféodés*. Une manière détournée de détruire des concurrents pour prendre des parts de marché, car la santé se vend et s’achète. Pourtant une fronde citoyenne de 438 millions de pétitions avait inondé leurs messageries. Malgré ce demi-milliard de pétitions, les directives du Codex Alimentarius furent adoptées, constituant un véritable déni de démocratie. La mobilisation citoyenne continue, des centaines de millions de citoyens à travers le monde n’entendant pas laisser des médecines naturelles millénaires être interdites pour les parts de marché de la pseudo-science pharmaco-chimique. Des pays comme l’Afrique du Sud ou l’Inde refusent de souscrire aux injonctions du Codex, et de nombreuses associations anglo-saxonnes se mobilisent en ce sens.

* C'est par exemple le cas du web de médecine alternative Natural News, qui a environ 7 millions de visiteurs uniques par mois, et axé sur des remèdes naturels destinés à éviter les aliments transformés, produits laitiers, sucres, viandes de mammifères ou produits alimentaires contenant des additifs tels que le glutamate monosodique (MSG), ainsi que l'utilisation de médicaments sur ordonnance et les visites à des médecins occidentaux. Le 22 février 2017, Google a supprimé environ 140 000 pages sur Natural News, interdisant de ce fait au site d'apparaître plus sur les résultats de recherche Google pour les sujets qu'il couvre régulièrement. Le 3 mars 2018, YouTube a de son côté supprimé la chaîne vidéo de Natural News pour violation des conditions d'utilisation, supprimant ainsi toute sa bibliothèque de plus de 1 700 vidéos.

Cf. en complément Conscience nutritionnelle

 

En résumé, la stratégie mondiale de l'actuel héritier de la dynastie Rockefeller, David, est celle qu'il a un jour précisée : "Si vous contrôlez le pétrole, vous contrôlez des nations entières ; si vous contrôlez la nourriture, vous contrôlez les gens ; si vous contrôlez l’argent, vous contrôlez le monde entier." Ce à quoi se rajoute le contrôle de la santé ! Ceci explique pourquoi elle est toujours en avance sur les événements mondiaux...

 

Prozac, le "casse du siècle"

Vioxx (ou Rofécoxib, médicament anti-inflammatoire non stéroïdien utilisé dans le traitement de l'ostéoarthrite, des états douloureux aigus, et de la dysménorrhée, comptant plus de 60.000 personnes décédées), Médiator (ou Benfluorex, médicament indiqué dans le traitement du diabète associé à une surcharge pondérale, associé au décès de 1.000 à 2.000 personnes estimées), Diane 35 (médicament indiqué dans le traitement de l'acné et parfois utilisé comme contraceptif oral, associé à un risque accru de survenue d'accidents thrombo-emboliques veineux ou artériels), Dépakine ( ou valproate, pour le traitement pendant la grossesse pour épilepsie ou troubles bipolaires, associé avec ses dérivés à des malformations majeures chez 2.150 à 4.100 enfants depuis le début de leur commercialisation en 1967)… le citoyen sait désormais que les firmes pharmaceutiques sont capables de manipuler les études scientifiques et que beaucoup d’experts des autorités de santé sont en situation de "conflit d’intérêts", rémunérés grassement par les labos.

L’histoire ahurissante du Prozac, médicament antidépresseur vedette des années 1990, rajoute aux méfaits de "Big Pharma". Elle commence en 1972, avec la découverte par le laboratoire pharmaceutique états-unien Eli Lilly & Cie (dixième plus gros mondial) d’une nouvelle molécule chimique, la fluoxétine, qu’il baptisera plus tard Prozac. Les premiers tests menés sur des animaux et des humains sont alarmants : compulsions, agressivité, nausées, vomissements, amaigrissement, akathisie (agitation extrême avec risque de suicide et comportement violent). Face à la difficulté évidente d’obtenir le feu vert des autorités de santé, la firme décide dans le plus grand secret de donner aux patients des tranquillisants pour masquer l’agitation produite par le Prozac et de maquiller les mauvais chiffres de suicides constatés en modifiant quelques mots clés dans les rapports d’essais cliniques. Qui plus est, il achète les autorités de santé suédoises, comme le reconnaitra John Virapen, son ancien responsable en charge de ce pays. En l’occurrence l’expert suédois "indépendant" missionné pour rendre un rapport officiel sur le Prozac. Il parviendra au même résultat pour l’autorisation de mise sur le marché aux Etats-Unis en 1987, deux ans après l’avis pourtant négatif donné par l’autorité de référence (la FDA), ainsi que pour l’Allemagne.

Restera à manipuler les médecins et le grand public en surfant sur la popularité croissante de nouveaux médicaments censés combattre le mal du moment, l’anxiété et la dépression. En le leur présentant comme "efficace", "sans effet secondaire majeur" et "non addictif", le succès ne pouvait qu’être fulgurant, relayé par la complicité de médias complaisants à défaut d’être vigilants.

Cette "pilule du bonheur" censée effacer toutes les misères de l’existence est ainsi devenue le nouvel eldorado business, d’autres laboratoires pharmaceutiques s’empressant de commercialiser leur "équivalent". A partir de là, Big Pharma n’avait plus qu’un seul objectif : élargir la définition de la "dépression" pour permettre la prescription d’antidépresseurs à un public beaucoup plus large qu’auparavant. Des associations de malade ont ainsi été créées et financées par les labos pour faire pression sur les autorités de santé, et de grandes campagnes officielles d’information ont été lancées, financées par l’industrie pharmaceutique. En 1992, les ventes du Prozac atteignirent le milliard de dollars.

Pourtant il était inévitable que les effets indésirables soigneusement "maquillés" dans les études finissent par ressortir, notamment au vu du nombre de victimes prenant ces antidépresseurs d’impulsions violentes et de suicides. Dès 1990, une quarantaine de procès étaient intentés à l’encontre d’Eli Lilly. Malgré les preuves apportées aux autorités sanitaires, Eli Lilly se défendit becs et ongles, ses "experts" expliquant que ces comportements étaient la conséquence de la maladie, pas du médicament. Il a fallu attendre encore 10 ans pour qu’une étude menée par le psychiatre britannique David Healy prouve le contraire, en montrant que ce type de médicament provoquait des pensées suicidaires chez des patients ne souffrant pas de dépression. Au total, il a évalué à plus de 40.000 le nombre de suicides provoqués par le Prozac de 1987 à 2004, sur les 40 millions de personnes qui en avaient pris. Il en était de même pour les antidépresseurs de cette famille des ISRS (Zoloft, Paxil, etc.). Eli Lilly a néanmoins réussi à retourner la situation médiatique. D’abord en trouvant suffisamment de médecins pour dire tout le bien qu’ils pensaient du Prozac sur tous les plateaux de télé. Mais et surtout en présentant les adversaires du Prozac comme de dangereux extrémistes faisant partie de la Scientologie, secte qui s’était prononcée contre le Prozac.

D’un point de vue commercial, le Prozac a été un succès éblouissant pour Eli Lilly. Lorsque le brevet est tombé en 1999 dans le domaine public, le labo a décidé de recycler la même molécule, sous un autre nom et pour une autre maladie, en l’occurrence le Cymbalata, censé lutter contre une maladie inventée pour l’occasion, le "trouble dysphorique prémenstruel". Elle était vendue deux fois plus cher que le Prozac, et quatre fois plus cher que le générique, avec comme cible des dizaines de millions de femmes qui devraient prendre le médicament 8 jours par mois pendant des années. Encore une belle arnaque, qui a fait gagner des milliards à la firme...

 

Des antidouleurs douloureux

Le scandale des médicaments antidouleur à base d’opiacés (comme le Duragesic ou l'Oxycontin), à l’origine d’une vague d’overdoses aux États-Unis, a entraîné en mai 2017 une procédure judiciaire de l’État de l'Ohio contre cinq laboratoires pharmaceutiques (Johnson & Jonhson, Teva, Allergan, Endo et Purdue Pharma) pour dissimulation des risques de dépendance qui peuvent se révéler et conduire à une surconsommation mortelle. La justice leur reproche notamment d’avoir pratiqué un marketing agressif auprès de praticiens qui "pouvaient ne pas être des spécialistes dans ce domaine". La conséquence s'est traduite par une vague d'overdoses, estimée sur l'ensemble du territoire états-unien à plus de 15.000. D'autres États avaient précédemment obtenu en leur faveur le versement d'une amende ou d'une transaction pour mettre fin aux poursuites. Autrement dit, les antidouleurs opiacés légaux et ravageurs illustrent le cynisme mercantile de labos qui inventent d’autres substances pour les combattre alors que ce sont ces même labos qui les développent !

 

Les antidépresseurs servent-ils à maintenir l'ordre établi ?

Les psychotropes de pharmacie - antidépresseurs, anxiolytiques, somnifères - sont-ils les alliés objectifs des puissances qui nous dominent ? C'est la question que le philosophe Laurent de Sutter pose dans son dernier essai, "stupéfiant" il va sans dire. Il semble bel et bien à sa lecture que nous sommes entrés dans "l'âge de l'anesthésie". Et l'idée selon laquelle nous vivons dans des sociétés surexcitées en proie à l'accélération pour le justifier, il n'y croit pas. Il observe plutôt un principe généralisé de dépression et la gestion de celle-ci par une "mise sous contrôle des affects". En 2017, l'homo œconomicus est sous Lexomil. Tout a commencé à l'hiver 1846 quand l'Américain William Morton, dentiste de renom, dépose un brevet pour "l'amélioration des opérations chirurgicales" grâce à l'éther sulfurique. L'insensibilité nerveuse est désormais une option. Au siècle suivant, Rhône-Poulenc invente le premier neuroleptique (chlorpromazine, 1950) et l'Amérique, le répertoire de nos folies (le DSM, 1951). S'ouvre un chantier qui fera bientôt de nos peurs, de nos passages à vide et des violences de chacun, non plus des émois existentiels, mais des dérèglements cérébraux à réguler par la chimie. C'est désormais l'insensibilité psychique qui nous est offert comme un idéal. Quiconque a avalé un Lexomil mesure sa capacité à dissoudre les états d'âme. Ce type de médicament est ingéré par tonnes dans le monde occidental, entraînant d'ailleurs une pollution singulière par les urines. L'objectif poursuivi est le "détachement". Si la prescription d'anxiolytiques est dans certains cas nécessaire, comment ne pas s'étonner que la distribution généralisée des antidépresseurs ne trouble aucun des acteurs du théâtre psychopolitique de la dépression contemporaine. Comme si cette extinction progressive de nos désirs venait opportunément servir l'ordre établi...

 

Des abus de la psychiatrie

La psychiatrie est-elle assise sur un véritable socle scientifique, ou n'est-elle qu'une pseudo-science ? AdderallRitalin,... autant de drogues dites médicaments prescrites car considérées comme adéquates à la problématique du patient, alors que leur caractère dangereux (ce sont des psychostimulants proches de l'amphétamine) ne fait qu'altérer l'esprit. En fait, la médecine conventionnelle de la santé mentale est psychotique, comme ceux qui l’appliquent. Ne faut-il pas être en effet sadique pour prendre plaisir à infliger de la douleur, de l’humiliation, de la souffrance aux autres ?

La prescription de médicaments ISRS (antidépresseurs) altérant l’esprit et l’utilisation de chocs électriques sur des patients souffrant de troubles mentaux ne sont pas seulement des abus, c’est de la torture. Alors que les médicaments prescrits font naître dans la tête des patients des pensées d’homicide et de suicide, aggravant encore la situation si le patient en souffre déjà, le patient-victime est torturé sans relâche, quotidiennement, avec un traitement par électrochocs - cette "thérapie" par électrochocs est aussi appelée électroconvulsivothérapie (ECT) -, qui provoque des lésions graves et permanentes, notamment en endommageant les fonctions respiratoires et cardiaques (elle est utilisée pour les personnes gravement déprimées ou atteintes de troubles bipolaires). Même un choc électrique mineur, à faible voltage, peut provoquer des lésions nerveuses, car le courant traverse le corps et le tissu nerveux ne peut pas résister au courant. Ces dommages peuvent affecter de façon permanente la capacité du patient à marcher et empêcher le cerveau de traiter les signaux de douleur émis par le corps. Le patient peut être paralysé à vie.

Chose terrifiante, la médecine conventionnelle, celle de Big Pharma*, célèbre toujours et encore de nos jours le médecin qui a arraché des dents et prélevé des organes pour traiter les problèmes de santé mentale de ses patients, le Dr Henry Cotton, l’original Dr Frankenstein, considérant qu'il avait inauguré une nouvelle ère dans le traitement des maladies mentales ! L’AMA est allée jusqu’à le qualifier de "l’une des figures les plus stimulantes de notre génération", alors que son taux de mortalité après une "chirurgie" de la santé mentale était supérieur à 30 % lorsqu’il enlevait des parties de l’intestin, le col de l’utérus, les trompes de Fallope et/ou l’utérus à l’hôpital pour aliénés du New Jersey, et ce pendant plus de 25 ans. Il était comme une version américaine du sorcier nazi Joseph Mengele.

* Ainsi aux États-Unis l’AMA (American Medical Association) et l’American Journal of Psychiatry.

Cf. https://www.medicalnewstoday.com/articles/electroshock-therapy

 

Nous assistons depuis des décennies à un bras de fer entre deux conceptions du monde. D’une part l’idéologie monopolistique ou unipolaire, dont l’unique objectif est de vendre sans scrupule, d’asseoir une hégémonie et un pouvoir mondial. Breveter le vivant, tout refaire en molécules synthétiques, nier toute médecine autre que la pharmaco-chimie, c’est l’idée de progrès affiché par tous les trusts qui en font leur raison d’être*. Cette vision du monde n’a rien de démocratique, visant à modeler les masses à son gré en fonction de ses besoins (fondation, éducation, fausses normes scientifiques, propagande, destruction des médecines ancestrales et naturelles). A ce titre, le Codex Alimentarius croit pouvoir nier l’opinion des peuples, modeler les masses à son gré. Il veut penser en lieu et place du citoyen, agir en son nom et le protéger selon des normes qui pourtant causeront sa perte.

D’autre part, il existe les vrais biologistes, les authentiques médecins, les vrais thérapeutes ou chercheurs, éloignés des seuls intérêts marchands dans leur vision du monde. Ils sont souvent violentés par l’arrogance et les méthodes du cartel pharmaco-chimique. Ils ont établi le concept de bio-individualité, fondée sur la liberté du choix thérapeutique des patients. Cette conception suscite chez le patient l’esprit de recherche, offre des alternatives dans la manière de se soigner. Cette approche s’adapte au patient plutôt que d’imposer un protocole thérapeutique de masse non individualisé. La maladie a une connotation spécifique dans la vie d’un individu, ne pas en tenir compte c’est ramener l’homme au rang de machine physico-chimique.

C’est le face à face de deux conceptions de l’homme, d’un côté l’homme robot, rouage au service d’un système, et l’homme holistique reflet microcosmique de l’univers entier, éternel chaman de lui-même afin de lui permettre de redécouvrir Qui Il EST vraiment et d'évoluer.

* Ainsi le black-out de l'industrie pharmaceutique sur l'argent colloïdal, suspension de particules d'argent microscopiques dans l'eau, l'un des meilleurs remèdes naturels qui soit, permettant de tuer la plupart des virus et microbes pathogènes, d'accélérer la cicatrisation des blessures et des brûlures, de soigner la peau et les allergies, de stimuler les défenses naturelles et de purifier l'eau.

 

La prise en otage totalitaire de la santé

Comme en découle du sondage consacré aux théories du complot publié par l’institut de sondage Ifop le 7 janvier 2018, si nous pensons que toute la vérité n’a pas été dite sur la nocivité des vaccins, nous faisons partie des "complotistes", sous-entendu que nous ne sommes pas stable mentalement, sans doute à tendance paranoïde. Et si la théorie du complot n'était rien d'autre que celle qui voit 100 % des ministres de la Santé, des dirigeants de laboratoires pharmaceutiques, et une grosse majorité des journalistes et d'"experts" mandatés officiants dans les médias à l'encontre de la santé naturelle - plantes naturelles, vitamines, compléments alimentaires, médecine énergétique - et ses gourous, charlatans et tueurs d’enfants.

Sous couvert de l'esprit des Lumières dit scientifique, les patients bénéficient d’un système médico-hospitalier-pharmaceutique efficace car rationnel. Tout irait pour le mieux, dans le meilleur des mondes..., s’ils prenaient leurs pilules, leurs vaccins, leurs antibiotiques, leurs antidépresseurs, leurs anticholestérols, sans broncher, comme des citoyens confiants en leurs institutions et représentants irréprochables, qui plus est démocratiquement élus, se doivent de l'être*. Aussi la poignée de charlatans, gourous, escrocs, médecins et autres scientifiques renégats, traîtres au système, doit être sévèrement condamnée pour désordre à l'ordre public. Ils en viendraient presque à regretter le temps "béni" de la sacro-sainte Inquisition et les flammes rédemptrices de l'hérésie de ses bûchers. Et que raconte cette poignée d'irréductibles non acoquinés ou décidés à ne plus l'être au système "vertueux" : que le lait maternel protège mieux les bébés que les vaccins, que la pilule contraceptive augmente le risque de cancer, que les somnifères aggravent l’insomnie, les antidépresseurs aggravent la dépression, les bisphosphanates (contre l’ostéoporose) augmentent le risque de fracture, les anti-cholestérol (statines) sont mauvais pour le cœur, les anti-Alzheimer ne servent qu’à prendre des sous aux malades, les anti-acides (IPP) augmentent le risque de décès…  Ils racontent que la nutrition et les plantes sont plus efficaces que les médicaments contre les maladies cardiovasculaires, le diabète, les problèmes circulatoires, la prévention de l’arthrose, la prostate, la dépression, l’insomnie, les démences séniles … Ils racontent qu’on peut diviser son risque de nombreux cancer avec la vitamine D, la curcumine, les oméga-3, des antioxydants, et de simples mesures de détox et de gestion des émotions.

Et ils racontent tout ceci sur la base d'études scientifiques dûment établies !

Si la liberté d’expression est soi-disant le ferment de la démocratie, tout comme le débat contradictoire, disons simplement que tel n'est pas le cas, les institutions politiques et médiatiques étant (presque) totalement inféodées à son trésorier payeur, non les citoyens mais le cartel pharmaco-chimique ayant mis en coupe réglée la médecine. Celui qui contrôle l’information contrôlant le monde, les élites auto-proclamées comme telles ont ainsi fait main basse du bien le plus précieux de l'humanité, la santé, à des fins non pas seulement financières, mais également d'anesthésie généralisée de la conscience. Il en découle que la "vérité scientifique" sur les traitements est verrouillée au détriment des patients.

Ceux-ci en effet ne sont plus reconnus s’ils ne sont pas validés par des "essais cliniques randomisés", soit par des groupes tirés au sort. Ces essais étant compliqués, ils doivent reposer sur de grands effectifs de patients, seule l’industrie pharmaceutique possédant les fonds pour les réaliser. De plus, pour de nombreuses maladies, il est impossible de réunir assez de patients prêts à participer.

Il en découle logiquement qu'en sélectionnant les études qui l’arrangent, en ne finançant que les experts qui se soumettent à ses intérêts, en rachetant les revues scientifiques ou en les subventionnant, l’industrie pharmaceutique a fini par contrôler seule la "vérité médicale". Aucun chercheur indépendant, isolé, ne pouvant financer de tels essais à échelle suffisante pour que sa découverte soit reconnue par les Autorités de Santé, le débat scientifique libre n’existe plus en médecine. Ouvert en apparence dans les discours, il est réduit à un club très fermé de firmes pharmaceutiques qui choisissent les essais en fonction de leur potentiel financier. Et celui-ci n’est intéressant que si le traitement est brevetable, ce qui bien évidemment n’est pas le cas des produits naturels et traditionnels anciens. Comment s'étonner alors que si peu de traitements alternatifs sont officiellement "reconnus par la Science", alors que nous sommes si nombreux à les utiliser à titre personnel, (acupuncture, nutrition, homéopathie, etc.) ?

Autre manipulation, les études randomisées sont de plus en plus exploitées par les Autorités de Santé pour imposer des protocoles standards aux médecins, sous prétexte qu’ils sont les seuls à être "validés scientifiquement". Et pour cause ! C'est ainsi qu'en France la liberté de soigner les malades atteints de cancer n’existe plus. On peut craindre que ce système ne s’étende rapidement à l’ensemble de la profession médicale. Ainsi les psychiatres, qui ont communiqué à propos des injonctions thérapeutiques en matière d’autisme par exemple. Sans prise de conscience citoyenne à ce système scientiste dictatorial, c’est la fin de toute médecine humaine qui se prépare, celle qui depuis le grand médecin Hippocrate, au Ve siècle avant Jésus-Christ, considérait que chaque patient avait le droit de choisir son médecin… et sa médecine. Celle-ci était considérée comme une relation de confiance bâtie entre le médecin et son patient, sans qu’une autorité extérieure ne soit autorisée à s’en mêler ni à imposer ses vues. Inscrit dans nos lois… en théorie, le serment d'Hippocrate n'est plus qu'un serment d'hypocrite, la Cour de Cassation ayant créé en 1965 la notion de "perte de chance" pour le patient. Si à l’origine elle s’appliquait lorsque le patient "perdait une chance de guérir" à cause d’une faute du médecin, la "faute" du médecin ou thérapeute consiste aujourd'hui dans le fait de proposer une thérapie différente du traitement standard, validé par les fameux essais randomisés financés par l’industrie pharmaceutique, seuls reconnus comme "valables scientifiquement" par les Autorités de Santé, et ouvrant droit à remboursement, alimentant la "pompe à finances" de Big Pharma.

Ainsi, dans le traitement du cancer, c’est une réalité terrible, à laquelle sont confrontés tous les médecins. Face à un cancer du pancréas par exemple, pour lequel les traitements sont inefficaces, les médecins sont obligés de pratiquer des traitements standards qui affaiblissent dramatiquement le patient. Ce n’est qu’une fois entré en phase terminale, lorsqu’il a été constaté qu’il n’y a plus aucune chance de survie, qu’on admettra de le laisser essayer des traitements alternatifs... Ceci explique que pratiquement plus aucun médecin ou thérapeute accepte de nous administrer un traitement alternatif en première intention, lorsque nous avons encore des chances de survie. C’est devenu trop risqué juridiquement. D’où la lenteur des progrès médicaux pour ce type de maladies compliquées, et qui justement nécessiteraient des approches créatives. Quant au Dr états-unien Casey Means, ancien consultant pharmaceutique, écrivain et fondateur du site Truemed dont la mission est de modifier les incitations en matière de soins de santé, il dénonce le fait que les médicaments pour les maladies chroniques n’existaient pas avant 1960, alors qu’aujourd’hui 95 % des dépenses de santé leur sont consacrées. Si la pilule contraceptive fut le premier médicament à être disponible, le constat est qu'elle provoque une défaillance des hormones féminines, brisant les cycles hormonaux féminins et de ce fait la création de la vie. Tout cela pour le profit financier des entreprises pharmaceutiques.

Toutes les institutions qui influencent notre santé: les compagnies d’assurance, les laboratoires pharmaceutiques, les hôpitaux, les écoles de médecine… gagnent de l’argent dans la mesure où il y a plus de gens malades et qu’ils y restent plus longtemps, a-t-il déclaré.

Ce système est tellement aberrant, tellement contraire à toute logique et à l’intérêt des patients, qu’il est normal qu’il mobilise autant sur les forums, les blogs, et dans les quelques revues de santé indépendantes qui existent encore. La réponse du système passe par un matraquage des campagnes de presse, du dénigrement, des menaces, des persécutions administratives. Et même un projet de loi contre les " fausses nouvelles " (fake news), qui comportera forcément un volet santé. Sera-t-il alors prévu de sanctionner comme "fake news" toutes les informations santé non validées par la recherche scientifique, c’est-à-dire par les essais cliniques randomisés de Big Pharma ? Si oui, la boucle sera bouclée.

* Cf. Le contrôle du robot biologique.

 

Mediator, illustration emblématique de la dérive pathologique des laboratoires

Les laboratoires Servier ont réussi le tour de force de maintenir le Mediator* sur le marché pendant plus de trente ans sans jamais évaluer sa dangerosité malgré l’apparition de risques avérés, les autorités en charge de son autorisation comme de son contrôle sanitaire (l’ANSM à l'époque) se montrant incapable par négligence de percer l'opacité savamment entretenue quant à ses effets, jusqu'à mener un combat procédural acharné pour en maintenir coûte que coûte sa commercialisation jusqu'à 2009. Non seulement Servier a berné par tromperie les autorités sanitaires, mais aussi les patients qui en consommaient et les médecins qui le prescrivaient sur ses qualités substantielles, rien de ce qui était essentiel ne leur ayant jamais été communiqué. Le résultat est conséquent sur le plan pénal, entre homicides et blessures involontaires, constitutif  des violations délibérées des obligations du laboratoire, et escroquerie aux caisses d’assurance-maladie et mutuelles qui, entièrement financées par la solidarité nationale, a coûté cher au contribuable (les conséquences économiques du Mediator se chiffrent en centaines de millions d’euros)*².

* Le chlorhydrate de benfluorex autrement nommé Mediator par le laboratoire Servier est apparenté à une famille de produits dérivés des amphétamines qui diminuent, via une action sur le système nerveux, les sensations de fatigue, de faim et/ou le sommeil. C'est son action périphérique sur le métabolisme des sucres qui a été mise en avant pour justifier sa prescription par le corps médical en cas d' hypertriglycéridémie ou de diabète de type 2. Dans les faits, il a beaucoup été utilisé, en dehors de ses indications, comme anorexigène (coupe-faim), développant chez nombre d'individus une valvulopathie cardiaque (rétrécissement d'une valve qui empêche) ou de l'hypertension artérielle pulmonaire (HTAP), conduisant entre autres à nombre de décès estimés à plusieurs centaines voire milliers selon les estimations.

6 500 parties civiles se sont constituées à son procès, le tribunal de Paris ayant dix ans après le démarrage de l'affaire judiciaire condamné les laboratoires Servier à 2,7 millions d’euros d’amende pour "tromperie aggravée" et "homicides et blessures involontaires", et ce sans jamais avoir pris les mesures qui s’imposaient en dépit des risques encourus (ils ont en revanche été relaxés des faits d’"escroquerie"). Quant à l’Agence nationale de Sécurité du Médicament (ANSM), jugée pour avoir tardé à suspendre la commercialisation du Mediator, elle a été condamnée à 303 000 euros d’amende. 

 

Le Lévothyrox tueur, illustration des conflits d'intérêt

Au début des années 2010, le laboratoire Merck (il fait partie de l'entreprise allemande Merck KGaA fondée en 1668), toujours et encore, cherche à se développer sur le marché asiatique et à implanter en Chine une gigantesque usine ultramoderne pour y fabriquer ses médicaments vedettes dont le Levothyrox, forme synthétique de la thyroxine (hormone thyroïdienne), initialement développé par les laboratoires Hoffmann-La Roche à Bâle en Suisse. Problème de taille, 90% des asiatiques sont intolérants au lactose qui est l’excipient de nombreux médicaments dont le Levothyrox. Celui-ci est de ce fait invendable sur ce marché si l’on n’en retire pas le lactose. Il est cependant difficile de modifier, sans autre raison que commerciale, la formule d’un médicament ayant obtenu son AMM (Autorisation de Mise sur le Marché) avec un certain excipient. À moins d’y être contraint par les autorités sanitaires… Et c’est là que se produit un petit miracle pour le laboratoire, l’ANSM (Agence Nationale de Sécurité du Médicament) découvrant brutalement que les comprimés de Levothyrox posent depuis toujours un problème de stabilité dans le temps qui avait échappé à tout le monde, sauf à sa sagacité. Cette Agence ordonne donc en 2012 au laboratoire Merck de changer la formule qui pourtant n’avait jamais posé le moindre problème jusque-là... Surprenante coïncidence, le courrier de l’ANSM est signé par son directeur lequel a travaillé précédemment chez Merck ! Cela ressemble à l’un de ces conflits d’intérêts dont la France s’est fait une spécialité mondiale. Merck trouve immédiatement LA solution, avantageuse et de circonstance : remplacer le lactose par du mannitol, un polyol (combiné "sucre-alcool"). Comme par magie et devant les yeux ébahis de la communauté scientifique, les comprimés de Levothyrox redeviennent stables dans le temps grâce à ce simple tour de passe-passe.

Or, le remplacement du lactose par du mannitol avait déjà été expérimenté dans un générique commercialisé en 2009 par le labo français Biogaran spécialisé dans les génériques. Mais des effets secondaires particulièrement délétères (prise de poids incontrôlée, perte de cheveux par touffes, baisse de moral soudaine, dépression et même idées suicidaires, douleurs musculaires, crampes, épuisement total) n’avaient pas tardé à faire leur apparition, et tous les médecins avaient successivement pris la décision d’inscrire systématiquement la mention non substituable sur leurs ordonnances pour qu’on délivre le princeps, en quelque sorte du médicament "original", c’est-à-dire en l'occurrence le Levothyrox. Au point que, finalement, ce générique a été retiré du marché par Biogaran en 2016.

Comme en médecine les mêmes causes produisent toujours les mêmes effets, il était plus que probable qu’en commercialisant leur "nouveau" Levothyrox selon une formule similaire à celle du générique de Biogaran en 2009, le laboratoire Merck récolte exactement les mêmes effets secondaires et avec la même gravité. Et ce fut évidemment le cas. Mais cette fois, le médicament ayant astucieusement conservé son nom de marque, il était impossible d’écrire non substituable sur les ordonnances ! En outre, le Levothyrox étant en France en situation de monopole, aucune alternative ne pouvait être proposée aux malheureux patients-cobayes dont un grand nombre ont été contraints d’aller se procurer l’ancienne formule distribuée dans le reste de l’Europe sous le nom d’Euthyrox*. Sans surprise, le Ministère de la Santé s’est retranché derrière l’ANSM pour refuser tout retour à l’ancien excipient au nom de cette prétendue instabilité des comprimés dans le temps, alors qu'il aurait suffi de raccourcir la durée de péremption pour que le problème soit réglé.

Nous sommes bel et bien en présence d’un véritable scandale sanitaire du même acabit que celui du Médiator*². Tous les ingrédients y sont : le lobby "Big Pharma", les experts douteux, les politiques complices, les mensonges, les magouilles, le tout représentatif de conflits d’intérêts aux dépends de la santé des patients. Reste à savoir quelles décisions rendra la justice, en toute objectivité et sereinement...

* L'arrêt de mise à disposition de l'EUTHYROX en France, d’abord prévue pour septembre 2020, a été reporté à 2021. Quand ce médicament ne sera plus disponible, tous les malades de la thyroïde devront utiliser la nouvelle formule, qui fait pourtant scandale depuis qu'en 2017 le laboratoire Merck a décidé d’arrêter de fabriquer l’ancienne formule du Levothyrox. Et si le Ministère de la santé se félicite de proposer des alternatives fiables pour les personnes qui ne supportent pas la nouvelle formule du Levothyrox, pour de nombreux malades ces médicaments ne changent rien au problème, bien au contraire : la L-Thyroxine de Serb provoquerait autant, voir plus d’effets secondaires que le Levothyrox (tachycardie, insomnies, transpiration excessive…), la L-Thyroxine de Henning serait très mal supportée par certains malades (maux de tête, nausées, prise de poids…), et le TCAPS, qui n’est pas remboursé par la sécurité sociale, serait lui aussi mal toléré par de nombreux patients.

D'après plusieurs études indépendantes déclenchées à la suite de ce scandale, 85% des prescriptions de Levothyrox sont inutiles, les patients pris en charge par des méthodes non médicamenteuses se portant beaucoup mieux !

 

Les chiffres du business de Big Pharma

Rien qu’en 2020, Pfizer (EU), GlaxoSmithKline (GB), Johnson & Johnson (EU)*, Sanofi (France), Gilead Sciences (EU) et AstraZeneca (GB & Suède) ont généré un flux de revenus combiné de 266 milliards de dollars. Et même si l’industrie regorge d’argent, le gouvernement fédéral américain a remis au monopole de Big Pharma au moins 18 milliards de dollars de fonds publics pour développer des vaccins contre le covid-19. Ce siphonnage de la richesse du peuple américain a été mené sans un seul vote du peuple lui-même.

C'est tout particulièrement le cas pour le laboratoire Pfizer, géant de la "drogue miraculeuse", qui a considérablement augmenté ses projections financières pour les revenus du vaccin COVID, notamment en spéculant sur les injections de rappel, la mise sur le marché d'un vaccin ciblant la variante Delta, et sur l’autorisation anticipée de ses vaccins pour les enfants aussi jeunes que 6 mois ! Son chiffre d’affaires a déjà doublé au deuxième trimestre 2021, voyant ses bénéfices progresser de 59%. Ses revenus attendus devraient désormais se situer entre 78 et 80 milliards de dollars, dont 33,5 milliards de dollars pour son seul "vaccin" (thérapie génique) COVID, le géant pharmaceutique prévoyant de livrer 2,1 milliards de doses en 2021 et ayant la capacité de fabriquer 4 milliards de doses l’année prochaine. Si les États-Unis payaient auparavant 19,50 $ par dose pour le vaccin Pfizer-BioNTech, Pfizer a récemment augmenté le prix pour le gouvernement à 24 $ par dose, indiquant que le prix de cette commande tenait compte de l’investissement supplémentaire nécessaire pour produire, emballer et livrer de nouvelles formulations du vaccin, ainsi que le coût accru associé à la livraison du vaccin dans des conditionnements plus petits pour faciliter la livraison dans les bureaux des fournisseurs individuels, y compris les pédiatres. Or une enquête menée dans le cadre de la People’s Vaccine Alliance (coalition d'organisations sanitaires et humanitaires) a analysé les techniques de production des vaccins à ARN messager des deux géants pharmaceutiques Pfizer et Moderna pour en déterminer le coût réel de production, l'estimant à 1,18 dollar (0,99 euro) la dose pour le Pfizer et 2,85 dollars pour le Moderna (ils sont vendus entre 16,25 et 19,50 dollars pour l’un et entre 19,20 et 24 pour l’autre)...

En parallèle, d’août 2013 à décembre 2018, l’industrie pharmaceutique a versé plus de 12 milliards de dollars (en paiements divulgués) à 1 036 163 médecins, 1 249 hôpitaux universitaires et 2 191 entreprises, sans compter le financement de très nombreuses campagnes électorales qui voit les élus leur être redevables, nul ne pouvant être étonné des législations favorables prises. C'est ce modèle de "médecine" qui encourage la corruption, les commissions occultes et le contrôle institutionnel sur les scientifiques, les médias et les professionnels de la santé. Et c'est ce système dominé par les grandes sociétés pharmaceutiques qui est légalement autorisé à commercialiser directement auprès des consommateurs, permettant un lavage de cerveau perpétuel de la population en général et des professionnels de la santé. Comme Big Pharma est mis en place de manière à générer des rendements élevés pour leurs actionnaires, le système n’est pas incité à promouvoir la meilleure santé d’une population, puisque cette incitation à haut rendement fait ressortir les comportements les plus épouvantables et les décisions commerciales les plus anti-humaines*². C'est pourquoi la denière étude d’Oxfam, confédération de 20 organisations caritatives indépendantes à travers le monde, s’étouffe devant les profits engrangés par les Laboratoires des géants pharmaceutiques qui font passer leur intérêt financier avant l’intérêt général. Les prix des vaccins ayant été gonflés artificiellement par les sociétés pharmaceutiques profitant de leurs monopoles, la France aurait ainsi payé au moins 4,6 milliards d’euros de surcoût et l’Europe 31 depuis le démarrage à grande échelle de la vaccination, cette situation handicapant particulièrement la vaccination dans les pays pauvres, au point qu’Oxfam parle de "pénurie organisée".

* Johnson & Johnson est la société pharmaceutique la plus prospère au monde, avec un chiffre d’affaires d'environ 82 milliards de dollars (2020). Son succès repose entre autres sur des hausses de prix contraires à l’éthique, notamment une hausse sans précédent de 19 % des prix des médicaments contre la leucémie et le cancer de la prostate, et une hausse de 16 % des prix des médicaments contre le VIH. Quant à AstraZeneca, la société a construit son empire en supprimant les médicaments génériques qui pourraient offrir des options plus abordables aux patients (la Cour européenne de justice comme la Commission européenne ont jugé qu’elle avait abusé de sa position sur le marché pour bloquer les médicaments génériques.

Par exemple, lors de l’épidémie de covid-19, certains médecins ont eu le courage d’utiliser des antiviraux sûrs et peu coûteux tels que l’ hydroxychloroquine, le zinc, l’ivermectine, le glutathion, la vitamine D et C. Mais au lieu de promouvoir des traitements antiviraux sûrs et faciles à utiliser, l’establishment Big Pharma s’est battu pour supprimer les traitements et autres approches ayant pour objectif d'aider la population à développer une réponse immunitaire saine.

 

Cf. Peter C. Gøtzsche, médecin et chercheur danois, auteur de "Remèdes mortels et crime organisé - Comment l'industrie pharmaceutique a corrompu les services de santé" (2019).
Cf. Peter C. Gøtzsche, médecin et chercheur danois, auteur de "Remèdes mortels et crime organisé - Comment l'industrie pharmaceutique a corrompu les services de santé" (2019).

La chaîne dévoyée...

... ou comment une chauve-souris morte, vendue dans un marché humide en Chine, a infecté la PLANÈTE ENTIÈRE !

La multinationale britannique Glaxo-Smith-Kline, leader de l'industrie pharmaceutique mondiale, est présente à Wuhan, lieu du laboratoire biologique chinois qui a fabriqué le vaccin contre le virus Covid-19 qui a fuité "accidentellement". Ce même laboratoire a été "accidentellement" financé par l'immunologue américain le Dr Anthony Fauci, directeur de l'Institut national des allergies et maladies infectieuses, un centre de recherche du département américain de la Santé, qui fait également "accidentellement" la promotion des vaccins, plus exactement thérapies géniques !

Glaxo-Smith-Kline est là encore "accidentellement" gérée par la division financière de la société multinationale américaine Black Rock spécialisée dans la gestion d'actifs (elle est le plus important gestionnaire d'actifs au monde), qui gère "accidentellement" les finances de la company Open Foundation, réseau de fondations créé par le milliardaire et philanthrope américain George Soros. Cette société gère tout aussi "accidentellement" la société d’Assurance française AXA, Soros possédant là encore "accidentellement" la société allemande Winterthur, qui a "accidentellement" construit un laboratoire chinois à Wuhan. Elle a été rachetée par l’allemand Allianz, qui a "accidentellement" la société américaine de fonds d'investissement The Vanguard Group comme actionnaire, actionnaire sans doute "accidentellement" de Black Rock, qui "accidentellement" contrôle les banques centrales et gère environ un tiers du capital d’investissement mondial.

Et Black Rock est également par "coïncidence" un actionnaire important de MICROSOFT, propriété du philanthrope Bill Gates, qui par "coïncidence" est un actionnaire de Pfizer, vendeur de vaccins "miraculeux", et "par coïncidence" est le premier sponsor de l’Organisation Mondiale de la Santé !

 

La dernière typologie de cartel, nommée techno-industriel, couvre diverses activités qui ont également une vision hégémonique du monde pour leurs intérêts business, à partir de contenus toxiques et dangereux tant pour la santé et le bien-être de l’homme que pour l’environnement (minéral, végétal et faune).

Il y a d’abord les activités présentant un danger certain pour la santé. Ce sont celles en relation avec l’aluminium, le mercure, le fluorure, les pesticides, les organismes génétiquement modifiés (ogm), et les additifs alimentaires.

L’aluminium envahit discrètement notre vie quotidienne. Pourtant toxique, tout le monde en consomme chaque jour sans s’en rendre compte, dans l’alimentation, dans les produits cosmétiques, dans les vaccins et même dans les laits pour bébés. Le métal multiplierait par deux les risques d’Alzheimer et les chercheurs découvrent peu à peu qu’il provoque d’autres maladies graves. Il y a trois ans, l’Europe a tiré la sonnette d’alarme et conseille à chacun de ne pas absorber plus d’un milligramme d’aluminium par semaine. Mais comment éviter la surdose ? Impossible de le savoir car les fabricants ne signalent pas les quantités utilisées dans leurs produits.

C'est ainsi que près de la moitié (45 %) de l’eau du robinet aux États-Unis contient au moins une substance chimique toxique perturbatrice du système endocrinien, connue sous le nom de substances alkylées polyfluorées (PFAS), selon un rapport de l’US Geological Survey publié en juillet 2023. Appelées "produits chimiques à vie" parce qu’elles mettent très longtemps à se décomposer, ces substances sont encore plus susceptibles d’être trouvées dans les villes et à proximité de celles-ci, 75 % des échantillons urbains contenant au moins une PFAS. Selon l’étude, seulement 25 % des zones rurales étaient également contaminées, tandis que les niveaux de contamination étaient similaires entre les systèmes d’approvisionnement en eau publics et privés. Tous les niveaux mesurés de composés PFAS se sont révélés supérieurs aux niveaux recommandés pour la santé.

 

Le mercure dentaire, utilisé dans 70 % des amalgames de molaire ou de prémolaire en France est quant à lui un poison dénoncé par nombre d’ONG sur la base de centaines d’études scientifiques, considéré comme cancérogène, mutagène et reprotoxique pour les systèmes nerveux, immunitaire et hormonal. La France est le seul pays qui s’est officiellement opposé à l’arrêt des amalgames dans l’Union européenne, la Norvège, la Suède et le Danemark ayant carrément interdit l’amalgame dentaire.

Sur le plan alimentaire, les pesticides sont présents à travers les multiples conservateurs, colorants, antioxydants, résidus de pesticides et autres produits chimiques, et questionnent quant à leur lien avec les maladies qui frappent les pays développés (cancers, diabète, obésité, maladies neurodégénératives,…). Il en est de même avec le glutamate, produit de synthèse additif exhausteur du goût qui s’avère un poison lent pour le tube digestif.

 

Monsanto, reconnue coupable d’atteinte aux droits humains par un Tribunal international

Monsanto Company, généralement appelée simplement Monsanto, était une entreprise états-unienne créée en 1901, spécialisée dans les biotechnologies agricoles (agrochimiques), rachetée depuis par le chimiste allemand Bayer en septembre 2016 pour 62,5 milliards de dollars (54,7 milliards d’euros). Elle constitue une pieuvre, qui possède presque toutes les entreprises alimentaires du marché américain directement ou pas, allant des sodas sucrés, aux barres de chocolats, aux céréales, aux farines animales, aux laits maternisés, aux médicaments.

Longtemps décriée pour ses méthodes considérées comme attentatoires à la santé, elle a été reconnue coupable d'écocide et d'atteinte à de nombreux droits humains selon l'avis pour l'instant simplement consultatif par le Tribunal international de La Haye en avril 2017, suite à un procès citoyen intenté par l’association Générations futures à ce géant de l’agrochimie. L’introduction de la responsabilité d’une entreprise dans un crime contre l’environnement était une première, car jusqu’alors seules les responsabilités individuelles des personnes physiques pouvaient être incriminées dans le statut de la Cour pénale internationale. Ce procès citoyen avait pour enjeu d'alerter l’opinion et de faire avancer le droit, insuffisant en l'état pour interdire de telles pratiques. Son avis devrait inciter les victimes à en utiliser les points juridiques pour poursuivre Monsanto devant les tribunaux nationaux*.

Des taux hors normes de glyphosate avaient été retrouvés dans les urines de personnalités, de même que la présence de perturbateurs endocriniens dans les cheveux de députés écologistes. Le test était sans appel, 100 % des échantillons contenant du glyphosate, la molécule active de l’herbicide Roundup produit par Monsanto. Cette molécule est le pesticide le plus utilisé au monde, surtout en agriculture. On en trouve des traces dans l’eau et dans l’air ou dans l’alimentation. Elle se voit également reprocher la commercialisation de produits toxiques ayant causé la mort de milliers de personnes, comme les polychlorobiphényles (PCB), ou encore l’acide 2,4,5-trichlorophénoxyacétique, constituant le fameux "agent orange", un herbicide pulvérisé par avion par l’armée américaine durant la guerre du Vietnam.

Le tribunal a estimé que la multinationale contrevenait aux réglementations et au respect des droits fondamentaux, soit le droit à un environnement sain, à l’alimentation, à la santé, et à la "liberté indispensable à la recherche scientifique". Les susdites activités affectent selon les membres du tribunal les droits des peuples autochtones et des communautés locales. Quant aux droits à l’alimentation et à la santé, ils sont bafoués par la commercialisation agressive de semences OGM, qui forcent des agriculteurs à adopter des modes de culture ne respectant pas les pratiques des cultures traditionnelles. Les pratiques de Monsanto sont aussi considérées comme nuisant à la liberté de la recherche scientifique, ainsi qu’à "la liberté d’expression et au droit à l’accès à l’information".

L’ultime conclusion est que le crime d’écocide*² doit être reconnu dans le droit pénal international. Il aurait alors permis de caractériser les activités de Monsanto, qui a refusé de "comparaître" et ne reconnaît pas de valeur à ses conclusions. L'entreprise Monsanto a d'ailleurs intenté un procès contre le Bureau Californien de l’Environnement et d'Évaluation des Risques Sanitaires (OEHHA), afin de l'empêcher d'inscrire le Glyphosate comme un cancérigène reconnu, même si cette constatation provient de plus de 1 000 études scientifiques classifiées par l’IARC en Mars 2015 (Monsanto dispose d'un budget minimum de 100 millions de dollars pour ses affaires juridiques annuelles).

* Le jury d’un tribunal de San Francisco a condamné le 10 août 2018 Monsanto à payer 289,2 millions de dollars de dommages pour ne pas avoir informé de la dangerosité du Roundup, son herbicide à base de glyphosate, à l’origine du cancer d’un jardinier américain, les jurés ayant déterminé que Monsanto avait agi avec "malveillance" et que son herbicide, ainsi que sa version professionnelle RangerPro, avaient "considérablement" contribué à la maladie du plaignant. Monsanto est confronté à plus de 5 000 procédures similaires aux États-Unis.

Cette notion avait été évoquée, dès 1972, lors de la conférence des Nations unies sur l’environnement, à Stockholm, à travers l'évocation de la guerre du Vietnam.

 

Du dicamba

Autre herbicide dangereux, le dicamba, que produit également l'entreprise Monsanto devenue Bayer. C'est un désherbant organochloré actif déclaré aux États-Unis en 1967 et depuis communément utilisé aussi bien en agriculture que dans les secteurs industriels et résidentiels. Connu pour sa dérive et ses effets néfastes sur les cultures non ciblées comme les arbres, betteraves sucrières, riz, patates douces, arachides et raisins, il continue de causer d'importants dommages à l'environnement notamment par les cultures voisines à celles pulvérisées, et de nuire potentiellement à la santé humaine*. Pourtant, en 2020, un tribunal fédéral a statué que l'Agence de protection de l'environnement (EPA) états-unienne avait négligé les preuves des effets destructeurs du dicamba sur les cultures, ce qui a conduit à l'invalidation de ses homologations. Mais au lieu de retirer le dicamba du marché, l'EPA l'a réapprouvé en apportant des modifications mineures à l'étiquette. Des rapports ultérieurs ont confirmé que le dicamba causait toujours des dommages importants, ce qui a conduit à une action en justice contre l'EPA pour n'avoir pas pris de mesures contre l'herbicide comme l'avait ordonné le tribunal.

* Les rapports de l'EPA sur les incidents liés au dicamba au cours de la saison de culture 2021 font état de plus de 3 500 cas, avec plus d'un million d'acres de cultures de soja touchées par la dérive.

 

Réalité financière des pesticides mortifères

Les chiffres noirs des ventes de pesticides "extrêmement dangereux" s'établissent en 2018 à 4,8 milliards de dollars pour les cinq géants de l’agrochimie qui ont réalisé plus du tiers de leur chiffre d’affaires mondial avec les substances les plus toxiques, secteur placé sous l'ombrelle de CropLife ("la vie des cultures"), puissante et méconnue fédération internationale qui œuvre sur tous les continents pour défendre les intérêts de ces géants de l’agrochimie. Son conseil d’administration est trusté par les multinationales qui ont fait fortune dans la vente de pesticides comme les plus à risques pour la santé ou l’environnement (25 millions d’intoxications graves par an dont 220 000 morts) : les allemandes Bayer et BASF, les américaines Corteva Agriscience et FMC, la suisse Syngenta. Ces cinq sociétés contrôlent 65 % du marché mondial, estimé en 2018 à la somme de 57,6 milliards de dollars (53,3 milliards d’euros).

Conscients que l’usage des pesticides est de plus en plus critiqué dans la société civile, en particulier en Europe, les producteurs martèlent qu’ils investissent sans compter pour développer des alternatives. Le lobby CropLife assure ainsi que ses membres "innovent pour remplacer les pesticides extrêmement dangereux par de nouveaux produits moins dangereux". Cependant, une enquête menée par l’association suisse Public Eye et la branche britannique de Greenpeace révèle qu’elles continuent à gagner des milliards de dollars avec ce business controversé. Et ces chiffres noirs sont sans doute sous-évalués.

 

L'empoisonnement aux PCB

La mobilisation citoyenne sur la pollution des industries chimiques, comme celles de la vallée du Rhône, démontre les très grandes quantités de polluants jetés dans la nature comme le PCB (polychlorobiphényles), une dioxine particulièrement toxique et cancérigène et surtout insoluble. Elle rejoint à ce titre d'autres scandales sanitaires majeurs, comme l’interdiction très tardive de l’utilisation de l’amiante en métropole ou du chlordécone dans les Antilles françaises, alors que la dangerosité de ces produits était incontestablement établie et reconnue. Les PCB, plus connus sous leur nom commercial de Pyralène, sont interdits à la vente depuis 1987. Ils étaient massivement utilisés depuis les années 30 comme isolant électrique, notamment dans les appareils EDF. Considérés comme des produits toxiques semblables à la dioxine, ils font partie des douze Polluants organiques persistants (POP), molécules complexes redoutables en raison de leur durée de vie extrêmement longue. Leurs effets cancérigènes sur l’homme et l’animal ont été reconnus et répertoriés (retards de croissance, des problèmes de fertilité, cancers), compte-tenu de leurs propriétés :

- la toxicité : elles ont un ou plusieurs impacts prouvés sur la santé humaine ;

- la persistance dans l’environnement : les molécules résistent aux dégradations biologiques naturelles ;

- la bioaccumulation dans les tissus vivants et l’augmentation des concentrations le long de la chaîne alimentaire ;

- le transport sur de longues distances.

S'ils sont insolubles dans l’eau, ils le sont dans la plupart des solvants organiques et dans les huiles végétales, stables et pratiquement non biodégradables. De plus ils sont cumulables dans la chaîne alimentaire (concentration dans les tissus vivants), et dégradables à haute température en conduisant à la formation de furanes et de dioxines (toxiques et cancérogènes). L’ampleur de la pollution et de ses conséquences sur les populations est de ce fait énorme. Et pourtant, force est de constater pendant longtemps l’immobilisme de l’État.

 

L’aluminium, un métal toxique à l’extraction douteuse !

L’aluminium est un métal toxique. C'est ainsi que l'intoxication de l’eau potable au sulfate d’aluminium, dans le village de Camelford (Royaume Uni) en 1988, a créé des troubles neurologiques importants chez certaines personnes. Ces dernières en sont même décédées au fil du temps. L’analyse des tissus du cerveau de certains patients, réalisé par le Pr Christopher Exley de l’Université de Keele (Newcastle UK), a révélé des taux d’aluminium extrêmement élevés. De même, la présence d’aluminium dans les eaux des appareils de dialyse d’insuffisants rénaux a créé de nombreuses démences dans les années 70. En supprimant l’aluminium de l’eau utilisée, les médecins ont supprimé ces effets secondaires. Enfin, l’utilisation à long terme de médicaments contre les maux d’estomac contenant de l’aluminium crée des démences chez les patients. En clair, l’aluminium est un poison qui rend fou. S’il s’aventure dans le cerveau, il peut créer des lésions irréversibles.

L’aluminium est le métal le plus répandu sur terre. C’est l’un des constituants principaux de la croûte terrestre (8%), avec l’oxygène (46%) et le silicium (27%). Mais il est piégé. Il est présent dans les roches qui constituent le plateau continental de la planète comme le granite, le grès ou le schiste. Mais sous cette forme, il est très difficile à extraire et la concentration d’aluminium est faible. C'est pourquoi les industriels préfèrent le prélever à partir d’un minéral très riche en aluminium : la bauxite. Ce minerai contient 30 à 60% d’aluminium selon les mines.

Si ce métal est piégé, ce n’est pas pour rien. Il ne présente en effet aucune utilité pour les organismes vivants, pour lesquels il peut, par ailleurs, être très toxique. C’est l’une des différences majeures entre l’aluminium et d’autres métaux qui sont toxiques en excès mais utiles, voire essentiels à doses adaptées. C’est le cas du cuivre, du fer ou du zinc par exemple.

De ce fait l'industrie de l'aluminium détruit des écosystèmes. C’est d'abord en France que le premier site industriel a été créé, en 1860, à Salindres dans le Gard où pendant 30 ans, il y eut la seule usine de production d’aluminium au monde. Aujourd’hui, les sites se trouvent plutôt en Australie, en Chine, au Brésil ou en Indonésie. La Guinée est, par ailleurs, le pays où se trouve les plus grandes réserves connues de bauxite dans le monde.

50% des sites se trouvent au milieu de la forêt tropicale. Le minerai y est quasiment à la surface de la terre. On défriche la forêt, on creuse la couche d’humus et on trouve la bauxite à quelques mètres de profondeur. De vastes campagnes de déforestation sont entreprises pour assurer l’exploitation de la bauxite. Cela a été le cas par exemple à Porto Trombetas au Brésil où se trouve l’une des plus grandes mines de bauxite au monde. Si les groupes industriels qui exploitent ce site ont replanté des forêts en compensation des espaces déforestés, la réplique humaine de la forêt tropicale est beaucoup moins riche en biodiversité. Aussi, même lorsqu’ils sont de bonne foi et consciencieux, les industriels de l’aluminium causent un préjudice considérable aux écosystèmes sur lesquels ils installent leurs sites d’extraction : déforestation, poussières industrielles etc.

Extraire la bauxite n’est que le début du processus. Il faut ensuite la raffiner pour obtenir l’aluminium. Aujourd’hui, la plupart des raffineries utilisent le procédé Bayer. L’opération se fait en plusieurs étapes. On concasse la bauxite, on la lave dans de la soude caustique (hydroxyde de sodium) dans une température de 270 °C. On filtre. On obtient alors une poudre blanche. C’est de l’hydroxyde d’aluminium (Al(0H)3). C’est lui que l’on utilise comme adjuvant dans les vaccins, ingrédient dans les pâtisseries industrielles ou encore dans les déodorants, les cosmétiques et les médicaments. La poudre blanche est chauffée à plus de 1000 °C dans un four à calcination. On obtient alors de l’oxyde d’aluminium, une autre poudre blanche, plus fine. On la fait fondre par électrolyse pour produire de l’alumine, transformée à son tour, en produits semi-finis : plaques, barres ou lingots d’aluminium. Ces derniers sont expédiés dans le monde entier vers des usines de transformation.

La soude caustique a permis de séparer l’hydroxyde d’aluminium des autres éléments contenus dans la bauxite, qui sont évacués sous la forme d’une boue rouge corrosive. Cette boue contient des oxydes de fer qui lui donnent sa couleur caractéristique, du mercure, de l’arsenic, d'autres métaux toxiques, et évidemment les résidus de soude caustique… La boue rouge est stockée dans des bassins prévus pour accueillir tous ces éléments. On laisse l’eau s’évaporer avant de dépolluer les sites et de les réaménager. C’est en tout cas ce qui se passe lorsque tout est sous contrôle par le groupe industriel exploitant la raffinerie.

Ces boues sont dangereuses. C'est pourquoi des "incidents" sanitaires ou écologiques peuvent arriver. Ainsi en octobre 2010, près de la ville d’Ajka, en Hongrie, une série de villages proches d’un bassin de stockage d’une raffinerie de bauxite a été inondée par 700 000 m3 de boue rouge liquide et caustique. 9 personnes sont mortes, et 120 autres ont été gravement brûlées. Pour tenter de comprendre la vision d’horreur qu'ont eu ces villageois, il faut se représenter une crue dévastatrice de boues rouges chargées de soude caustique. Ceux qui ont été emportés ont été noyés et brûlés en même temps. Ceux qui sont allés aider leur proches et ont mis les pieds dans l’eau ont été sévèrement brûlés aux jambes. A ce moment-là, ils ont compris à quel point ces eaux étaient dangereuses. Mais personne ne les avait réellement mis en garde auparavant. La vigilance des villageois avait été endormie par les promesses d’emplois et d’amélioration économique liés à l’installation du site industriel. Une partie des villages a été rasée après l’inondation, et les populations ont été traumatisées. Un procès est en cours pour évaluer les responsabilités politiques et juridiques dans la catastrophe, tout comme une enquête de l’OMS pour évaluer les dégâts sanitaires chez les habitants.

Au Brésil, la population de Barcarena où est raffinée la bauxite de Porto Trombetas paye au prix fort cette installation industrielle. De la poudre d’aluminium portée par les vents contamine les fleuves d’eau douces, ce qui tue les poissons et rend malades les habitants des villages voisins. Les enfants ont la peau brûlée, les femmes font davantage de fausses couches, les cas de morts prématurées et inexpliquées augmentent. Les salariés de la raffinerie développent des maladies chroniques parce qu’ils sont exposés à de nombreux produits chimiques, à commencer par la soude caustique. Ils ont des brûlures, des troubles du sommeil, des problèmes de peau… Le site lui-même est pollué. L’énorme bassin de stockage des boues rouges demeure une menace permanente pour les habitants et les écosystèmes locaux.

En France, l’affaire des boues rouges rejetées dans les calanques, le fameux ensemble de criques naturelles qui jouxtent Marseille, a fait scandale.

Pendant des décennies les boues toxiques ont été acheminées dans la méditerranée via un canal. 30 millions de tonnes de déchets se sont accumulés dans le fond de la mer. En 2016, les autorités ont réagi à la suite de différents reportages télévisés. Il existe désormais un bassin de stockage près de Gardanne qui recueille les produits toxiques. Le problème n’est pas résolu pour autant : depuis que les populations savent que ces déchets sont dangereux, elles se méfient, d’autant qu’une partie des déchets continue à être déversée dans la mer.

A l’heure actuelle, les institutions scientifiques et les agences sanitaires ne se sont pas ou peu prononcés sur la toxicité de l’aluminium en tant que tel. Le plus souvent ce sont des chercheurs indépendants comme le Pr britannique Christopher Exley ou le Pr français Romain Gherardi* pour l’aluminium dans les vaccins. En revanche, le Centre International de Recherche contre le Cancer a classé la production de l’aluminium comme cancérigène notamment pour les personnes qui travaillent sur les sites industriels.

Les scientifiques débattent encore pour savoir si l’usage au quotidien de l’aluminium et notamment dans l’alimentation a un effet sur la santé. En attendant, il est certain que pour bénéficier de toitures en aluminium, d’enjoliveurs brillants et d’emballages pratiques pour les dosettes de café, nous sacrifions la santé d’une partie de la population mondiale. Ce sacrifice est-il nécessaire ? N’est-il pas temps que les pays où se trouvent ces sites fassent évaluer leur législation pour protéger leurs travailleurs (il n’y a aucun risque de délocalisation puisqu’ils la matière première qui intéresse les industriels se trouve chez eux) ? En tout cas, en Europe, la question d’une législation sur l’utilisation de l’aluminium se pose d’une manière de plus en plus urgente...

Leurs travaux concernant l'aluminium toxique rejoignent ceux du Professeur André Picot concernant le traitement de l'eau, du Professeur Philippe Darbre sur les déodorants et les cosmétiques (validés en France par les autorités de santé), du Pr Yehuda Shoenfeld (Israël) et d'autres sur les médicaments contre les brûlures d’estomac, tout comme ceux d’une équipe taïwanaise publiées en juillet 2018 démontrant la nocivité de l’aluminium dans les vaccins contre le virus grippal H5N1.

Cela n'a pas empêché le rapporteur du Conseil d’État de se faire l’avocat de l’industrie pharmaceutique en avril 2019 en soutenant sa position comme celle du Ministère de la Santé, le Conseil d’État ayant décidé de suivre ses recommandations en mai de la même année. Même s'il reconnaît qu’il existe des travaux sur l’aluminium, il estime que dans la mesure où ces travaux n’ont pas été repris par les Académies de Médecine et de Pharmacie (et pour cause...), ces études scientifiques ne suffisent pas à caractériser le danger de l’aluminium. Cette décision politique découle probablement du fait que les industriels n’ont à l’heure actuelle pas le choix d'une alternative technique à l’aluminium, comme le phosphate de calcium (au minimum 10 ans de travail entre refaire toutes les études avec cet adjuvant et obtenir de nouvelles autorisations sur le marché pour chacun des vaccins). Il en découle que les victimes continueront à s’en plaindre, qu'il y aura des procès, et qu'au fil du temps la chape de plomb finira sans doute par sauter). Toutefois, pour protéger leur "conscience", les Conseillers d’État se sont ménagé une porte de sortie en disant qu' "Il appartient au Ministre de la santé, chargé par la loi d’élaborer la politique de vaccination, de veiller (...) au maintien d’un haut degré d’expertise publique et à la poursuite des recherches et études susceptibles d’améliorer la connaissance de la cinétique et des effets des adjuvants aluminiques ainsi que des possibilités de recours à d’autres adjuvants." En d'autres termes, les conseillers ne sont pas si sûrs d’eux, reconnaissant à mots voilés la nature toxique et dangereuse de ce métal...

* Professeur de neurologie, chef de service du centre expert en pathologie neuromusculaire de l'hôpital Henri-Mondor, qui a tout particulièrement alerté sur les risques potentiels liés aux adjuvants dans les vaccins, en particulier aluminiques (ainsi la myofasciite à macrophages). De son côté, le Professeur biologiste anglais Christopher Exley, expert de la pollution à l’aluminium dont il étudie les effets depuis 40 ans, considère que ce métal est responsable de maladies telles que la maladie d’Alzheimer, les démences, l’autisme, et différents cancers, l'aluminium ayant été retrouvé dans certaines cellules en particulier comme les cellules gliales qui constituent l’environnement des neurones.

 

Aluminium, ce poison qui se cache partout dans notre alimentation

Après le plomb, le mercure, l’amiante, le prochain scandale sanitaire pourrait bien concerner l’omniprésence de l’aluminium dans notre quotidien.

Le docteur français Rose Razafimbelo, grande spécialiste du vieillissement, considère ainsi l’aluminium comme l’un des grands agents pro-oxydants et pro-inflammatoires qui accélèrent le vieillissement de nos cellules et de nos tissus, et pouvant de ce fait avoir des conséquences irréversibles sur votre cerveau. Si normalement le corps humain est conçu pour éliminer les déchets grâce au système digestif et au rôle filtrant des reins qui "nettoient" le sang, une partie de l’aluminium ingéré échappe à cette grande machine de nettoyage, permettant à d'infimes particules d’aluminium de s’accumuler dans l'organisme, en particulier dans le cerveau où il peut tranquillement y commettre des dégâts irréparables*. C’est en effet un dangereux neurotoxique, bio permanent et non biodégradable.

Une intoxication à l’aluminium peut affecter aussi les os et le système immunitaire. C'est pourquoi les déodorants antitranspirants à base d’aluminium sont depuis longtemps suspectés de jouer un rôle dans l’explosion du nombre de cancers du sein. Quant à l'eau du robinet, certains réseaux d'assainissement utilise des sels d’aluminium pour l'assainir et la rendre potable (floculation). Même si les installations respectent les normes (l’eau du robinet ne doit pas en théorie dépasser 200 µg d’aluminium/L), ce seuil est parfois dépassé, se rajoutant à toutes les doses microscopiques ingérées à longueur de journée (poisson cuisiné en papillote avec du "papier d’alu" qui voit avec la chaleur l’aluminium migrer du papier vers les aliments ; aliments industriels comme le pain de mie, les glaces, les plats préparés, etc qui peuvent contenir des additifs alimentaires à base d’aluminium ; la plupart des emballages comme les canettes, capsules de café, conserves, etc.). En dehors du déodorant antitranspirant, l'aluminium est présent dans 1 produit de maquillage sur 2, les géants de cosmétiques ne pouvent s’en passer (il facilite la pénétration des crèmes, durcit le vernis à ongles, blanchit les dents…). On trouve également de l’aluminium dans certains légumes et céréales (plans de thé, cacao...), puisque l’aluminium est naturellement présent dans la croûte terrestre.

Si toutes sources confondues, les autorités sanitaires suggèrent que l’organisme peut tolérer jusqu’à 1 mg d’alu/kg de poids corporel/semaine, pour les industriels de la cosmétique et de l’agroalimentaire, il n’existe AUCUNE obligation de communiquer clairement sur les doses contenues dans leurs produits. Et comme il n’existe pas de norme pour les obliger à limiter la teneur en aluminium dans leurs produits, ils peuvent en mettre autant qu’ils le souhaitent. Ainsi, selon certaines estimations, la limite de 1 mg/kg de poids corporel/semaine serait allègrement franchie par une grande partie des Français, 5 % d’entre eux en ingérant 95 mg d’aluminium PAR JOUR !

* Certains spécialistes considèrent qu’il pourrait déclencher une inflammation chronique responsable de maladies dégénératives du cerveau comme des démences ou la maladie d’Alzheimer, ainsi que jouer un rôle dans d’autres troubles neurologiques comme l’autisme et la myofasciite à macrophages (troubles neurologiques très handicapants, pertes de mémoire, douleurs partout dans les muscles, très grande fatigue).

 

Du fluor

Cet élément est le plus réactif des éléments chimiques, possédant la plus forte électronégativité. Aux conditions normales de température et de pression, le corps simple fluor se présente sous forme de difluor F2, un gaz diatomique jaune pâle, très toxique et extrêmement corrosif. Il provoque de très graves brûlures au contact de la peau, des muqueuses, et des os. Ses nombreux composés chimiques ont une multitude d’applications (ainsi le plastique), dont certaines comme les chlorofluorocarbures (CFC) ont bannies à cause de leur contribution probable au trou de la couche d’ozone et à l'effet de serre. Des fluorures sont ajoutés au sel (42 % du sel vendu aux ménages français est iodé et fluoré) et aux dentifrices, ou parfois dans certaines sources d'eau ou dans certains aliments pour lutter contre les caries dentaires. Cette utilisation est toutefois contestée par différentes associations et groupes de pression de consommateurs dans le monde, notamment chez les enfants. Il contribue à la fabrication d'armes chimiques (ainsi le gaz sarin, classifié comme arme de destruction massive par le Conseil de sécurité des Nations unies) comme à des médicaments, notamment certains antidépresseurs (fluvoxamine, paroxétine, escitalopram, fluoxétine - Prozac).

Il est à savoir que le fluor a été ajouté en quantité infinitésimale dans l’eau par les Nazis et les Russes dans leurs camps de concentration, pour rendre les prisonniers dociles. La raison est qu'il est un poison qui calcifie la Glande Pinéale. C'est ainsi que des doses répétées de petites quantités de fluor suffisent à réduire à terme la volonté d’un individu de résister à une domination, le rendant de ce fait docile à la volonté de ceux qui souhaitent le contrôler (la première expérience de l’eau potable fluorée sur terre a été trouvée dans les camps de concentration et les prisons nazies de l’Allemagne du 3ème Reich). La Gestapo se préoccupait peu de l’effet bénéfique supposé du fluor sur les dents des enfants, son intérêt pour l’eau fluorée étant de stériliser les humains et de forcer les personnes, dans leurs camps de concentration, à la soumission par une médicalisation de masse (ceci est mentionné dans le compte-rendu du procès de Nuremberg).

Les effets de l’intoxication au-delà de certains niveaux aux dérivés fluorés sur le mental, le fluorure étant une neurotoxine, sont l'indifférence envers les êtres aimés, l'insouciance, l'apathie, l'état dépressif, la confusion et les pensées suicidaires, à quoi se rajoutent des effets néfastes chez les enfants réduisant le QI, la déficience cognitive, et le déficit de l’attention en raison de l'hyperactivité et l’augmentation des problèmes neurocomportementaux chez les enfants. Le fluor par le risque neuropsychiatrique qu'il représente conduit à une lobotomie légère et commode ! Qui plus est, l’accumulation de fluorure dans la glande pinéale cause une perturbation du cycle du sommeil.

Finalement, au vu de sa nocivité, une décision d'un juge fédéral américain, qui a rejeté l’argument de l’Agence américaine de protection de l’environnement (EPA) selon lequel le niveau exact auquel le fluorure est dangereux est trop flou pour déterminer si la substance chimique présente un risque déraisonnable, devrait mettre fin à la pratique de la fluoration de l’eau aux États-Unis, d'autant avec le changement d'administration suite à la victoire du candidat républicain Donald Trump aux élections présidentielles de novembre 2024. Plus de 200 millions d’Américains buvant de l’eau traitée au fluor à la concentration "optimale" de 0,7 milligramme par litre (mg/l), il est espéré une meilleure protection de la santé humaine, en particulier celle des femmes enceintes et des jeunes enfants, et sa jurisprudence dans d'autres continents,

plusieurs pays européens, dont l’Autriche, la Belgique, la France, l’Allemagne, l’Italie, la Norvège et la Suède, ayant déjà supprimé la fluoration de l’eau.

 

 

Le perturbateur endocrinien, substance mortifère par excellence (1)

Les perturbateurs endocriniens (PE) sont des substances chimiques d’origine naturelle ou artificielle étrangères à l’organisme, qui peuvent interférer avec le fonctionnement du système endocrinien et induire des effets néfastes sur l’organisme d’un individu ou sur ses descendants. Elles peuvent en effet interférer avec la production, la sécrétion, le transport, le métabolisme, la liaison, l’action ou l’élimination des hormones naturelles, agissant à cette fin de différentes façons (imitation de l’action d’une hormone naturelle, fixation sur les récepteurs des hormones naturelles, gêne ou blocage du mécanisme de production ou de régulation des hormones ou des récepteurs par la modification des concentrations d’hormones présentes dans l’organisme).

Une nouvelle étude, publiée dans le Journal of Clinical Endocrinology & Metabolism, a révélé en 2023 qu’un produit chimique perturbateur endocrinien (PCE) commun qui est utilisé dans les produits de soins personnels comme le savon et le shampoing augmente considérablement le risque de 30 à 63 % pour une femme de développer une maladie métabolique comme le diabète, surtout si elle est caucasienne (blanche), et ce par les phtalates (catégorie de produits chimiques utilisés pour améliorer la durabilité des plastiques et faire durer plus longtemps les parfums sur la peau). C'est parce qu’ils imitent l’activité des œstrogènes dans l’organisme que les phtalates sont liés à toutes sortes de problèmes de santé, notamment le cancer du sein et des ovaires et la ménopause précoce.

Une stratégie pour éviter les phtalates consiste à limiter son exposition aux matières plastiques, qu’il s’agisse de bouteilles d’eau en plastique, de planches en vinyle ou même de vêtements en polyester, les produits en plastique contenant presque toujours des phtalates, tout comme la plupart des produits de soins personnels classiques fabriqués à partir d’ingrédients dérivés du pétrole (vernis à ongles et certains produits d’hygiène féminine comme les tampons, les solvants et les fixatifs).

 

Des perturbateurs endocriniens (2)

La prévalence de l’obésité, du diabète, de l’autisme et de la maladie d’Alzheimer, du cancer, des maladies auto-immunes, de l’infertilité* et des problèmes de reproduction, ainsi que des maladies neurodégénératives telles que la maladie d’Alzheimer et la maladie de Parkinson, explose dans le monde occidental, notamment aux États-Unis qui sont en tête du classement mondial (Plus de 40 % des adultes américains sont aujourd’hui considérés comme obèses, et un enfant américain sur 36 souffre d’un trouble du spectre autistique). Deux facteurs majeurs y contribuent : les aliments ultra-transformés et les produits chimiques toxiques perturbateurs du système endocrinien.

Les inquiétudes concernant les perturbateurs endocriniens sont relativement récentes, la première utilisation du terme remontant à 1991 (l’une des premières utilisations dans la littérature scientifique se trouve dans un article publié dans la revue Environmental Health Perspectives en 1993), conduisant l’Organisation mondiale de la santé et les Nations unies à publier en 2013 un rapport détaillé sur leurs effets et à appeler à une intensification des recherches sur leurs effets.

Ces perturbateurs endocriniens sont des substances qui peuvent interférer avec le système hormonal (endocrinien) de l’organisme, et ce de différentes manières : en imitant les hormones de l’organisme, en les empêchant de fonctionner correctement ou même en les désactivant. Ils 

peuvent ainsi affecter plus ou moins tous les processus du corps humain. C'est le cas en matière de santé sexuelle (baisse de la fertilité,  déformations génitales, démasculinisation) et dans l'altération de la fonction immunitaire (cancers, diabète, obésité, problèmes respiratoires, handicaps neurologiques).

Les perturbateurs endocriniens existent depuis que l’homme existe, puisque de nombreuses substances naturelles, principalement des substances végétales, peuvent interférer avec les hormones corporelles ou les imiter. C'est par exemple le cas du houblon ou encore du soja, les moines bouddhistes consommant par exemple depuis des milliers d’années en Extrême-Orient du soja non fermenté parce qu’il atténue leur libido et les aide à éteindre leurs désirs mondains, condition préalable pour atteindre l’illumination et le Nirvana... Le soja agit ainsi parce qu’il contient des phytoestrogènes – littéralement, des versions végétales de l’hormone sexuelle œstrogène – qui modifient le rapport naturel entre la testostérone et l’œstrogène, qui régit la différenciation sexuelle. Les hommes ayant plus de testostérone que d’œstrogènes, et les femmes l’inverse, l’altération de ce rapport spécifique au sexe peut avoir des effets sur tout, de l’humeur et de la libido à la croissance des organes sexuels (niveaux de testostérone et qualité et de la quantité des spermatozoïdes), en fonction du moment et de l’ampleur de l’altération. Quant à l’exposition aux perturbateurs endocriniens pendant la grossesse, elle peut être absolument dévastatrice pour le développement du fœtus et provoquer des changements à vie. Comme le développement sexuel est régi par les hormones, cela inclut le développement du cerveau et le sentiment de soi qui est au cœur de l’identité de genre*².

La présence de grandes quantités d’œstrogènes naturels dans des aliments comme le soja est l’une des nombreuses raisons pour lesquelles les régimes à base de plantes, en particulier les régimes végétaliens, sont une mauvaise idée. Mais ce sont surtout les substances chimiques artificielles comme les microplastiques qui sont les plus dangereuses. Elles sont liées à l’ère industrielle moderne, et sont devenues omniprésentes. On les trouve dans les pesticides et les herbicides (glyphosate et atrazine), dans les aliments (additifs alimentaires comme le colorant Red 40), l’eau, l’air, le sol, les produits de consommation (bisphénol A), les parfums, les savons, les crèmes solaires, les vêtements... sous forme entre autres de bisphénol A (BPA) et des phtalates. Pour en limiter la nocivité (prise de poids, perte du muscle, de la motivation et de la libido), il convient notamment de réduire l'utilisation du plastique sous toutes ses formes, comme en mangeant des aliments biologiques et en filtrant l'eau de boisson.

* Une étude récente menée à Singapour montre que les femmes présentant les niveaux les plus élevés de substances per- et polyfluoroalkyles (PFAS) dans leur organisme ont 40 % de chances en moins de concevoir un enfant vivant et de le mener à terme. Les PFAS sont aujourd’hui omniprésents en raison de leur utilisation dans la fabrication de plastiques, d’agents ignifuges, de revêtements anti-graisse, d’ustensiles de cuisine antiadhésifs, de revêtements antitaches et de produits d’hygiène personnelle.

Une étude a été publiée pour la première fois a établi un lien entre l’exposition à un produit chimique perturbateur du système endocrinien, le diéthylstilbestrol (DES), et la dysphorie de genre comme le transgendérisme. Les auteurs de l’étude ont découvert que les garçons exposés au DES in utero étaient au moins 100 fois plus susceptibles de devenir des transgenres homme-femme que le taux de base le plus élevé rapporté en Europe.

CF. en complément la base de données Plastic Health Map qui contient les résultats de 3 500 études sur les substances chimiques contenues dans les plastiques, publiées entre 1961 et 2022. Les experts estiment qu’il pourrait y avoir jusqu’à 13 000 produits chimiques impliqués dans la fabrication des plastiques.

 

Dans le cadre des conflits militaires, l'utilisation des sinistres agents chimiques fait bien entendu partie de l'attirail des psychopathes, tel le redoutable agent orange (surnom donné à l'un des herbicides arc-en-ciel, plus précisément un défoliant) aux effets ravageurs employé par l'armée des États-Unis lors de la guerre du Viêt Nam entre 1961 et octobre 1971.

En 2024, le Service fédéral de sécurité russe (FSB) a révélé que les services spéciaux ukrainiens avaient préparé un attentat terroriste dans la région russe de Zaporozhye en utilisant un analogue de l’agent de guerre chimique BZ fabriqué aux États-Unis, également connu sous le nom de 3-Quinuclidinyl benzilate (QNB). Il s'agit d'un agent de guerre chimique utilisé par les États-Unis depuis la fin des années 1950, qui bien que considéré comme une arme non létale, a la proriété de handicaper une personne pendant une période assez longue. Celle-ci perd son orientation spatiale et souffre d’hallucinations sonores, auditives et lumineuses. Même si l’on ne consomme qu’un milligramme de la substance, on est frappé d’incapacité pendant 70 à 80 heures...

 

Il y a ensuite le pétrole (petroleum, du mot grec petra, roche, et du latin oleum, huile), liquide d'origine naturelle composée d'une multitude de composés organiques, essentiellement des hydrocarbures, piégé dans des formations géologiques particulières. L'exploitation de cette source d'énergie fossile et d'hydrocarbures est l’un des piliers de l’économie industrielle contemporaine, car le pétrole fournit la quasi-totalité des carburants liquides — fioul, gazole, kérosène, essence, GPL — tandis que le naphta produit par le raffinage est à la base de la pétrochimie, dont sont issus un très grand nombre de matériaux usuels — plastiques, textiles synthétiques, caoutchoucs synthétiques (élastomères), détergents, adhésifs, engrais, cosmétiques, etc. — et que les fractions les plus lourdes conduisent aux bitumes, paraffines et lubrifiants. Des premiers forages en 1860 de John Davison Rockefeller (1839/1937), créateur de l’empire éponyme via la Standard Oil (Esso puis ExxonMobil), à la récente guerre en Irak, le pétrole aura été le véritable moteur de l’histoire tragique du XX° siècle. Matière première vitale, stratégique, il a été au cœur de tous les calculs politiques et des tractations secrètes au Proche-Orient entre les États-Unis, la CIA et les grandes monarchies du Golfe. Ainsi le choc pétrolier de 1973, qui fut une gigantesque manipulation orchestrée par les compagnies pétrolières américaines qui souhaitaient, en favorisant la hausse des prix du baril, dégager d’importants bénéfices pour favoriser leurs investissements en mer du Nord et en Alaska ; ou encore l’utilisation par l’administration Reagan de l’arme du pétrole saoudien pour faire chuter les cours mondiaux et provoquer l’effondrement de l’Union soviétique... L’univers du pétrole est dominé depuis toujours par l’opacité et la désinformation.

 

Aussi, nul ne sera surpris de la découverte en 2023 de scientifiques japonais, à savoir que les microplastiques sont désormais présents dans les nuages (Cf. étude publiée dans la revue Environmental Chemistry Letters). Pour ce faire, ils ont escaladé les sommets du mont Oyama et du mont Fuji, recueillant de l’eau dans les brumes autour des pics montagneux qui mesuraient entre 1 300 et 3 776 mètres. À l’aide de techniques d’imagerie avancées, l’équipe a trouvé au moins neuf types de polymères différents et un type de caoutchouc dans ses échantillons, la taille des plastiques variant de 7,1 à 94,6 micromètres et leur concentration de 6,7 à 13,9 pièces par litre.

Les microplastiques découverts comprenaient : le polyéthylène, le polypropylène, le polyéthylène téréphtalate, le polyméthacrylate de méthyle, la résine époxy, le polyamide 6, le copolymère éthylène-propylène ou l’alliage polyéthylène-propylène, et le polyuréthane.

 

Le complexe ou cartel militaro-industriel, les marchands de mort, est trusté quant à lui par cinq groupes américains – Lockheed Martin, Boeing, Northrop Grumman, Raytheon and General Dynamics –, qui dominent le classement mondial des industriels de l’armement (les douze fleurons de l’armada américaine représentent 61 % de part de marché). En données de 2019, les ventes d’armes et autres équipements militaires des 25 premiers acteurs du secteur ont ainsi atteint 361 milliards de dollars (298 milliards d’euros), soit 8,5 % de plus que le top 25 en 2018.

Il est à noter que quatre représentants de l’Empire du Milieu - la Chine - raflent 16 % des ventes du club des 25 leaders mondiaux, formant le deuxième bataillon national derrière les leaders états-uniens (dont notamment Aviation Industry Corporation of China - AVIC -). 

Autre ensemble important, les six Européens de l’Ouest (BAE Systems, Leonardo, Airbus, Thales, Dassault*, Rolls Royce) comptent pour 18 %. Quant aux deux Russes, Almaz-Antey et United Shipbuilding Corp, ils pèsent pour 3,9 %. A noter la création de EDGE, un acteur des Émirats arabes unis né en 2019 de la fusion de vingt-cinq entreprises locales, qui se place au 22e rang.

Il est à se souvenir du célèbre discours de fin de second mandat du président Dwight David Eisenhower surnommé Ike (1890/1969) en janvier 1961 mettant en garde les États-Unis contre les dangers de ce complexe : "Cette conjonction entre un immense establishment militaire et une importante industrie privée de l’armement est une nouveauté dans l’histoire américaine. (...) Nous ne pouvons ni ignorer, ni omettre de comprendre la gravité des conséquences d’un tel développement. (...) nous devons nous prémunir contre l’influence illégitime que le complexe militaro-industriel tente d’acquérir, ouvertement ou de manière cachée. La possibilité existe, et elle persistera, que cette influence connaisse un accroissement injustifié, dans des proportions désastreuses et échappant au contrôle des citoyens. Nous ne devons jamais permettre au poids de cette conjonction d’intérêts de mettre en danger nos libertés ou nos méthodes démocratiques. Rien, en vérité, n’est définitivement garanti. Seuls des citoyens alertes et informés peuvent prendre conscience de la toile d’influence tissée par la gigantesque machinerie militaro-industrielle et la confronter avec nos méthodes et objectifs démocratiques et pacifiques, afin que la sécurité et les libertés puissent fleurir côte à côte." Tout était déjà dit...

* Du côté des industriels français, une forte hausse des livraisons de l’avion de combat Rafale a propulsé Dassault Aviation dans le top 25 pour la première fois, les ventes de l’avionneur tricolore ayant en un an augmenté de 105 %, soit la croissance la plus élevée en pourcentage dans le secteur. En parallèle, Naval Group qui figurait en 2018 au vingt et unième rang a perdu sa place dans le club. Airbus arrive à la 13e place (10e en 2018) et Thales à la 14e (13e).

 

Il y a enfin le concept d’obsolescence programmée et de consommation débridée de nombre de producteurs d’équipements dits bruns et blancs, ayant pour objectif de fabriquer des produits dégradés pour entretenir un cycle de consommation perpétuel … Dans la société de consommation moderne, le neuf et le beau ne suffisent plus. Il faut posséder, parfois en plusieurs exemplaires, les produits dernier cri les plus performants. Les achats ne sont plus destinés à répondre à des besoins fondamentaux, mais à satisfaire des désirs, à être envié, à épater. La conséquence est que le bonheur que procure l’acquisition d’un nouvel objet est toujours plus éphémère, ce qui amène l’individu à être en proie à un sentiment d’insatisfaction permanente. Qui plus est, la durée de vie des produits ne cessant de diminuer conduit à l’épuisement des ressources et à l’accumulation des déchets. Derrière l’attitude de ces acheteurs boulimiques se profile un véritable scénario catastrophe, celui d’un individu privé définitivement de son essence première, la pensée au service de sa réalisation épanouie à la vie.

 

Le viol de conscience des masses

Le physiologiste russe Ivan Pavlov (1849/1936 - photo 1) a démontré l’existence d’un type de réflexes conditionnés pouvant déterminer l’apparition d’un certain comportement, en absence du stimulus original qui avait créé le conditionnement et qui a été associé aux autres stimuli. En extrapolant à l’être humain les expériences réalisées par Pavlov sur les chiens, l’étude des états névrotiques démontre que ces états sont souvent conditionnés par des déséquilibres qui s’installent au niveau du système nerveux suite à une autre sollicitation à laquelle le sujet est soumis. La psychologie de la publicité est basée sur ce principe, tout comme la vie citoyenne.

Par la publicité, on recherche à influencer l’homme commun – dénommé consommateur - par le déclenchement de certains réflexes conditionnés dans le sens donné par celui qui réalise la publicité, à travers la suggestion. La publicité essaye ainsi de créer chez celui auquel elle s'adresse une nécessité, par l’utilisation de certains schémas de réflexes conditionnés habilement cachés. Sous le masque d’un caractère informatif, la publicité envisage plus de frapper que de convaincre, de suggestionner plus que d’expliquer. Alors apparaît l’obsession et le besoin impérieux d’avoir l’objet présenté dans la publicité, même si celui qui est manipulé n’en est pas conscient et, surtout, s’il s’avère qu’il n’a pas besoin de l’objet en question.

La publicité, à l’image de la propagande politique, spécule intensément sur le fait que le niveau intellectuel de la masse des individus est assez bas. Aussi sont utilisés deux principes importants. D'abord une répétition continue des mêmes slogans, par des images et des sonorités rythmiques obsédantes permettant d'adresser au subconscient des messages subliminaux et d'aboutir par cette invasion à un état de fatigue mentale propice à la soumission. Ensuite la crédulité, la plupart des gens étant enclins à croire les choses qu’ils voudraient voir réalisées, non par motivation réelle mais par réaction émotionnelle. Nous nous trouvons ainsi devant une vraie imposture psychique, un vrai viol psychique exercé sur l’individu et sur la masse des gens.

Dans l'exercice de la vie citoyenne, lorsqu’un journaliste écrit un article politique, lorsqu’un homme d’État signe un décret, lorsqu’un citoyen dépose un bulletin de vote dans l’urne, lorsque les adversaires politiques se disputent et s’écharpent réciproquement... tous ces actes, sans exception, ne sont pas autre chose que des réflexes conditionnés à des degrés divers.

 

DARPA, ou le laboratoire militaire états-unien du contrôle des masses

La DARPA (Defense Advanced Research Projects Agency) est une succursale du Pentagone qui a été créée en 1958. Elle est l'agence attitrée du ministère américain de la Défense (DOD) de mise au point de projets à la pointe sur un plan technologique destinés au monde militaire, avant que d'être mis en oeuvre dans l'univers civil. C'est ainsi qu'un de ses projets appelé LifeLog a été lancé, avant de prendre fin officiellement en 2004. Et c'est cette même année qu'est apparue par "magie" Facebook, rebaptisé en 2021 Meta ! LifeLog était en fait l'outil du gouvernement pour la collecte de renseignements. Et comme cette collecte ne peut fonctionner si dans le monde réel les gens savent qu'ils sont directement reliés à la base de données de la CIA ou de la NSA, quelle meilleure occasion que la manne d'informations issue des sites de médias sociaux à même de donner toutes les données sur soi, sa famille, ses amis et relations ! C'est pourquoi cette collecte secrète s'est poursuivie par l'entremise du secteur privé, et ce sans être obligé de respecter des droits constitutionnels comme la liberté d'expression ou la protection contre les fouilles, les perquisitions et les saisies. Est ainsi entré en scène Mark Zuckerberg et ses copains, celui-ci devenant rapidement la figure de proue de Facebook. Le gouvernement US a financé le capital de démarrage de Facebook (et d'autres) par l'intermédiaire de la société de capital-risque In-Q-Tel, puis, dans le cadre d'une sorte de programme d'embauche à porte tournante, il a embauché les dirigeants de la DARPA pour travailler pour ces mêmes entreprises qu'ils avaient aidé à créer ces projets dès leur lancement. La DARPA rêve en fait de fusionner l’homme et la machine. Pour elle, les soldats n’ayant aucune limitation physique, physiologique ou cognitive. Ils sont appelés à être la clé de la survie et de la domination opérationnelle à l’avenir selon ses dirigeants.

Transformer les soldats en véritables machines de guerres à la récupération physique et à la forme décuplées sont en effet depuis longtemps dans les projets de ce département, des travaux publiés en 2015 décrivant un projet consistant à créer un super-soldat éveillé 24 heures sur 24, 7 jours sur 7. Pour parvenir à ses fins, la DARPA envisage par exemple d’implanter des neuroprothèses dans le cerveau des soldats pour lutter contre les lésions cérébrales traumatiques. Et certaines recherches vont plus loin encore, des scientifiques avançant l’idée d’un transfert de la mémoire entre hommes. C'est ainsi que l'armée américaine travaille sur une puce implantable qui pourrait transformer les soldats en cyborgs en connectant leur cerveau directement à des ordinateurs dans le cadre de son programme NESD (Neural Engineering System Design). L'objectif est d'augmenter l'interaction neuronale cérébrale de dizaines de milliers à des millions à la fois ! De son côté, la France n'est pas en reste, le Ministère de la Défense ayant donné son feu vert en décembre 2020 pour le déploiement de ces "soldats augmentés".

L'économiste, écrivain et journaliste américain F. William Engdahl a de son côté révélé en 2018 que le Pentagone prévoyait d’armer les insectes par l’intermédiaire de son agence de recherche et de développement DARPA, et ce afin de développer des insectes génétiquement modifiés capables de détruire les cultures agricoles d’un ennemi potentiel. Si bien sûr la DARPA a démenti cette affirmation, d’éminents biologistes ont toutefois tiré la sonnette d’alarme sur ce qui se passe en utilisant la nouvelle technologie CRISPR d'"édition de gènes" pour armer les insectes (sauterelles, aleurodes, pucerons). C’est comme une mise à jour au XXIe siècle de l’invasion biblique de sauterelles, mais potentiellement bien pire. C'est ainsi que le World Mosquito Program a prévu de lâcher cinq milliards de moustiques au Brésil dans l’espoir qu’ils contribuent à sauver des vies. En parallèle, le Brésil a approuvé un vaccin contre la dengue en mars 2023. Ces deux initiatives sont financées par la Fondation Gates, le philanthrope psychopathe par excellence, grand amateur de films d’horreur en version réelle...

 

L’époque présente est en effet caractérisée par une mécanisation de la vie citoyenne, avec des acteurs robotisés à leur insu, instruments dociles dans les mains d'un système qui se sert d’une connaissance des lois de la psychologie et des moyens techniques de l’État moderne. Il exerce sur les individus formant un peuple une action qui n'est rien d'autre qu'un viol psychique. De temps en temps, le recours à des manifestations tapageuses permet de desserrer les nœuds de la soupape, afin de permettre au réflexe conditionné de ne pas perdre de son efficacité. Ces "explosions sociales" permettent la réapparition du sentiment de peur, d’exaltation ou même de désorientation, pour que la chaîne qui attache les esclaves psychiques se resserre encore plus.

Là encore, comme en publicité, la prémisse sur laquelle sont basées les techniques de manipulation est que seule une petite partie des gens a la capacité d'observer avec discernement et de comprendre ce qui se passe, contrairement à la majorité, qui forme seulement des opinions superficielles et passagères. Il en résulte que l’irrationalité est prédominante au niveau de la conscience publique. Aussi saper et distraire l'attention de la masse est l'exercice des manipulateurs de conscience. Plus les problèmes de la société industrielle moderne deviennent complexes, plus il est facile d’introduire des diversions de plus en plus grandes, en arrivant ainsi à la situation absurde que les opinions absolument infondées des masses, créées par des manipulateurs habiles, acquièrent l'apparence des réalités scientifiques...

 

L'exemple du jeu video

Secteur clé du divertissement contemporain des masses, le poids du jeu video représente plus de 155 milliards de dollars américains dans le monde, ne cessant de progresser. Ce développement du secteur s'explique tant par l'augmentation du nombre de plateformes que du type de jeux proposés aux consommateurs, toujours plus réalistes. Il touche quasiment 2 milliards d'individus à travers le monde, l'augmentation du nombre de gamers affirmant sa dimension sociale. Il a par ailleurs permis l'émergence de nouveaux secteurs d'activité business tels que le streaming gaming ou l'e-sport.

De l’enfance au début de l’âge adulte, le consommateur occidental moyen passe plus de temps sur les jeux vidéo que sur tous les autres divertissements combinés, ce qui fait du jeu un lieu propice au toilettage idéologique. Son succès à grande échelle notamment auprès de la jeunesse explique ainsi qu'il soit devenu un support prisé de manipulation des foules par les ONG et les gouvernements de gauche faussement libertaire* pour la diffusion de leur propagande progressiste, afin d'assurer la propagande des virus et autres parasites contribuant à la dénaturation de la psyché comme le wokisme, autrement dit le communautarisme bien pensant des minorités comme celles des LGBTQ+. C'est le rôle des jeux activistes queer tels que Dustborn, un jeu solo d'action-aventure axé sur l'histoire et abordant des thèmes tels que l'espoir, l'amour, l'amitié, les robots... et le pouvoir des mots, même si désormais les échecs épiques des "woke" ne cessent de s’accumuler, la majorité des consommateurs continuant à rejeter les directives de bienpensance institutionnelles dans les films, le streaming, le marketing et les jeux vidéo.

* Le gouvernement américain et l’Union européenne ont activement influencé les jeux par le biais de subventions de type ESG, offrant aux développeurs des millions de dollars s’ils intègrent des contenus "woke" dans leurs projets.

 

Restriction de la liberté d'expression

Les soi-disant démocraties occidentales mettent de plus en plus en oeuvre un panel de restrictions à la liberté d'expression, moyen de contrôle explicite des citoyens assimilable à la technique du crédit social érigé dans la société chinoise (le respect strict des lois en vigueur est valorisé, ou sanctionné dans le cas contraire). Le point de départ explicite a été le USA PATRIOT Act (Uniting and Strengthening America by Providing Appropriate Tools Required to Intercept and Obstruct Terrorism Act, traduisible en français par "Loi pour unir et renforcer l'Amérique en fournissant les outils appropriés pour déceler et contrer le terrorisme"), loi antiterroriste votée par le Congrès des États-Unis et signée par le Président républicain George W. Bush le 26 octobre 2001. L'un des axes centraux de ce texte est d'effacer la distinction juridique entre les enquêtes effectuées par les services de renseignement extérieur et les agences fédérales responsables des enquêtes criminelles (FBI) dès lors qu'elles impliquent des terroristes étrangers. Il crée aussi les statuts de combattant ennemi et combattant illégal, qui permettent au gouvernement des États-Unis de détenir sans limite et sans inculpation toute personne soupçonnée de projet terroriste. Enfin, sa pratique autorise les services de sécurité à accéder aux données informatiques détenues par les particuliers et les entreprises, sans autorisation préalable et sans en informer les utilisateurs.

Autre exemple en Grande-Bretagne, où les autorités répriment un éventail de plus en plus large d’opinions, voyant certains actes pouvoir être qualifiés d'incidents haineux non criminels (NCHI) justifiant l'intervention des forces de l’ordre. C'est par exemple le cas d'enfants dans les cours d’école, affublant d'autres de noms tels que "retardé" ou pour avoir dit que d’autres enfants sentaient "le poisson". Cette notion de "haine non criminelle" a été introduite en 2014 dans le cadre des lignes directrices opérationnelles sur les crimes de haine. Son ambiguïté et sa portée font froid dans le dos, car il suffit pour sa mise en oeuvre que la victime ou un tiers ait l’impression qu’une déclaration est motivée par une hostilité ou des préjugés fondés sur la race, la religion, l’orientation sexuelle, le handicap ou l’identité transgenre d’une personne. Et la victime n’a pas à justifier ou à fournir des preuves de ses croyances, tout comme les officiers de police ou le personnel ne doivent pas contester directement cette perception. Autrement dit, il n’est pas nécessaire de prouver l’hostilité de la victime...

 

Ces diversions s'appuient sur la propagande, dont le maître théoricien est le publicitaire austro-américain Edward Louis Bernays (1891/1995 - photo 4), neveu de Sigmund Freud (photo 5), chef de file de la démarche suivie depuis le début de la psychiatrie moderne dans le but de manipuler les populations du monde entier afin de leur faire faire ce que les autorités ont décidé entre elles, das la mesure où elle a compris que l'inconscient domine l'être humain et que l'on peut s'en servir pour lui faire faire ce qu'on veut. Il crée en juin 1919, alors âgé de 28 ans, sa propre agence de relations publiques à New York, dénommée "Direction de publicité". Jugeant le mot propagande trop péjorativement connoté, il rebaptise son cabinet "conseiller en relations publiques", se référant déjà explicitement à la propagande apprise lors de son passage à la commission Creel* pendant la Première Guerre mondiale, expression dont il revendique la paternité. Il sera le conseiller de chefs de la Propagande allemande sous Hitler, de nombreux présidents américains, pour finalement se mettre au service des grandes corporations multinationales dont nous sommes tous par les techniques de marketing usitées les prisonniers en tant que CON-sommateurs. En automne 1990, le magazine Life le classera parmi les cent Américains les plus importants du XXe siècle !

Les relations publiques consistent à façonner l'opinion par tous les moyens possibles. Pas seulement via la publicité, mais aussi en s'appuyant sur les médias, sur les journalistes pour faire passer son message. Transformer de la communication en information. Edward Bernays appelait cela "LA FABRIQUE DU CONSENTEMENT". C'est le gouvernement invisible de toute démocratie, marque du véritable pouvoir sur les masses aveugles et crédules.

* Le Committee on Public Information est une commission mise en place en 1917 au plus haut niveau de l'État américain afin de convaincre l'opinion publique américaine de soutenir l'effort de guerre. Elle est également appelée commission Creel du nom du journaliste qui l'a dirigée (George Creel), ayant été installée par le président des États-Unis Thomas Woodrow Wilson. Elle comptait dans ses rangs des journalistes, des illustrateurs et des professionnels des relations publiques.

 

Sa dernière illustration, après la farce du Covid-19*, est le conflit entre la Russie et l'Ukraine, qui ne se limite pas loin s'en faut à l'affrontement de forces armées sur le champ de bataille. Il est en effet marqué par des niveaux de confrontation sans précédent dans les domaines de l'information et de la psychologie, de la cognition et de la sémantique. On peut dire que Kiev par l'apport des experts es-manipulation otanesques a obtenu en l'état plus de succès sur le front de l'information que sur le terrain. Les "combattants" n'étant pas seulement des journalistes et des spécialistes de l'information et de la guerre psychologique, mais aussi des créateurs de contenu et des experts en relations publiques.

Influencer l'opinion publique occidentale est bel et bien vital pour le régime du président Volodymyr Zelensky, et qui relève de l'hypocrisie crasse lorsque l’Union européenne socialiste au nom des soi-disant valeurs occidentales dont elle se gorge a qualifié d’inacceptable l’interdiction de France24 et de Radio France International par la junte nigérienne en août 2023 alors même qu'elle n'a eu de cesse de faire l’éloge de la censure des médias russes comme Russia Today depuis le démarrage de l'intervention militaire russe en Ukraine. De leur côté, YouTube et Facebook ont immédiatement censuré une vidéo de l’ancien procureur ukrainien Viktor Shokin décrivant les crimes commis contre lui par le chef suprême états-unien Joe Biden pour que les Américains ne puissent pas la voir...

* Cf. Compréhension structurelle de la Matrice asservissante.

 

Le Strategic Communication Laboratories (SCL)

Le groupe SCL (Strategic Communication Laboratories) est une société britannique privée de recherche comportementale et de communication stratégique, connue sous le nom de Cambridge Analytica aux États-Unis*. Elle effectue l'exploration de données et l'analyse de données de l'auditoire déterminé afin de modifier les comportements conformément à l'objectif du client. La société se décrit comme une "agence globale de gestion des élections". Basée à Londres, elle a été fondée par Nigel Oakes, qui avait des antécédents en production télévisuelle et en publicité, et fondateur du Behavioral Dynamics Institute (BDI) comme centre de recherche pour la communication stratégique. BDI est devenu une filiale à but non lucratif de SCL.

SCL s'est développé dans les arènes militaires et politiques, et a également commencé depuis 2009 à appliquer ses opérations pour la gestion des catastrophes et la prévention des maladies.

La société est ainsi utilisée par les militaires et les politiciens pour étudier et manipuler l'opinion publique et la volonté politique. Selon son site Internet, SCL a influencé les élections en Italie, en Lettonie, en Ukraine, en Albanie, en Roumanie, en Afrique du Sud, au Nigeria, au Kenya, à Maurice, en Inde, en Indonésie, en Thaïlande, à Taïwan, en Colombie, à Antigua et à Saint-Vincent-et-Grenadines, Saint-Kitts-et-Nevis, Trinité-et-Tobago. SCL affirme que sa méthodologie a été approuvée ou approuvée par des organismes du gouvernement du Royaume-Uni et le gouvernement fédéral des États-Unis, entre autres.

* Cette entreprise de services et d'édition logicielle spécialisée dans l'analyse et la science des données, communément appelé Big data ou mégadonnées, est basée à Palo Alto en Californie. Elle travaille pour la communauté du renseignement des États-Unis, notamment pour la NSA, la CIA. Cf. Le jeu de (fausses) pistes de la Matrice.

 

C'est ainsi que les États par leurs services secrets utilisent des agents d’influence et de déstabilisation. C'est notamment le cas en Europe avec les velléités hégémoniques de l'OTAN par le biais des appareils d’État dédiés. Par exemple, des agents italiens ont été découverts "déguisés" en manifestants pro-européens dans la capitale géorgienne Tbilissi le 1er novembre 2024, ces fausses barbes (anti)nationales transalpines étant occupées à provoquer la Russie (accusation de trucage des élections), à déstabiliser des États souverains et à nuire aux intérêts nationaux dans le cadre du référendum proposé au peuple pour adhérer à l'Union européenne. Ce terrorisme d’État a en l'occurrence été couvert par le silence honteux du gouvernement Meloni dans sa connivence avec l’atlantisme tout comme avec les gouvernements terroristes et nazis d’Ukraine et d’Israël, à l'instar des autres fidèles "suiveurs" que sont notamment ceux des États-Unis, du Canada, du Royaume-Uni et de France.

 

Conditionnement du peuple à la guerre

Avant que les USA entrent dans la deuxième guerre mondiale, les américains ont été conditionnés pour regarder l’Allemagne ou le Japon comme des ennemis dangereux, qui devaient être arrêtés à tout prix. Plus récemment, le peuple américain a été à nouveau conditionné pour percevoir l’Irak comme une menace et Saddam Hussein comme l’ennemi personnel des États-Unis. En deux semaines, à l’aide des mass médias, non seulement les États-Unis mais presque toute l’opinion publique mondiale se sont dressés contre l’Irak. Il en va de même à présent avec l’excitation du monde entier contre l’Iran. L’événement catalyseur a toujours été un de type "choc du futur". Ainsi la démolition délibérée des deux tours du World Trade Center a contribué à créer le prétexte de l’invasion de l’Irak, similaire à la mise en scène de Pearl Harbor offrant le prétexte d’attaquer le Japon. Nous voyons ici comment l’histoire se répète, et les gens aveuglés par manipulation et programmation semblent n’en rien apprendre.

 

Conditionnement du peuple à la vaccination

Le gouvernement des États-Unis a injecté en juin 2022 par le biais de la National Science Foundation, une entité du gouvernement fédéral, une vingtaine de millions de dollars dans un nouveau programme de sciences du comportement du Social Science Research Council (SSRC) qui vise à laver le cerveau d’un plus grand nombre d’Américains pour qu’ils prennent des vaccins contre le covid. Ce programme mondial d’adoption des vaccins est appelé Mercury Project.

Le SSRC est en effet un groupe à but non lucratif qui reçoit de l’argent des gouvernements et des organisations mondialistes pour étudier la psychologie comportementale et influencer le comportement des gens en masse. Il a déjà reçu deux cents propositions d’organisations du monde entier, qui toutes espèrent exploiter la population et changer le comportement humain par la propagande et la coercition. Pour la réalisation du projet Mercure vont être déployés des groupes de spécialistes du comportement dans plusieurs régions du monde afin d'étudier les raisons pour lesquelles les gens refusent les "vaccins" (injections) COVID, et de cibler les informations et les messages qui conduisent les gens à prendre cette décision. Leur mission est de créer en partenariat avec les autorités locales et des membres de la communauté concernée influents de nouveaux récits sur les vaccins qui peuvent être adaptés à des publics spécifiques dans le monde entier. Ces programmes d’adoption et d’acceptation du vaccin cherchent également des moyens d’infiltrer les programmes scolaires et les systèmes d’éducation publique afin de laver le cerveau des enfants pour en faire des perroquets obéissants aux vaccins.

 

Cf. en complément l'ouvrage "Le manuel classique des relations publiques" du linguiste américain Noam Chomsky (photo 6), qui y démontre que la propagande est née au coeur même de la démocratie américaine.

 

Comme la programmation des consciences passe par la suggestion subliminale du subconscient, l'enjeu est devenu au vingtième siècle la maîtrise de la fabrication des images - anagramme de magie - distribuées sur les écrans, contribuant à l'avènement des empires audiovisuels. C'est ce que s'est appropriée en premier lieu l'industrie d'Hollywood*, la Mecque du cinéma mondial, qui maîtrise parfaitement depuis ses débuts les principes régissant l'électromagnétisme (images 1 à 3). Son pouvoir d'influence des consciences par ses mages officiants est ainsi très puissant, découlant de la fabrication des mythes antiques*² par la prêtrise païenne et leur représentation artistique (peinture, gravure, sculpture...) ayant permis de les graver dans l'inconscient collectif.

L’hollywoodisme occidental est à ce titre une idéologie, reposant sur un système complet de valeurs, de modèles de comportement et de pensée, de la manière dont il faut s’habiller, de ce qu’il faut manger, etc. Tout un modèle de réalité auquel on finit par croire. Comme Hollywood représente l’imaginaire occidental dans ses produits cinématographiques, ce faisant il le construit, l’homogénéise, en établit les normes. Les hiérarques d’Hollywood et leurs maîtres ténébreux veulent posséder et contrôler l’esprit de chacun.

* Hollywood signifie le bois de houx, et non le bois saint (holy). Le houx est une plante, au même titre que le gui, toutes deux prisées par les druides (ou mages) anciens. L'une, la forêt de gui, célèbre la lumière par les mages blancs ; l'autre, la forêt de houx, célèbre les ténèbres par ses mages noirs. Entre magie blanche et magie noire, le système a choisi où il mettait son curseur... Reste à l'individu à changer sa vibration intérieure pour recevoir l'information juste ! Cf. Le cinéma de la Matrice (1) et Le cinéma de la Matrice (2) La science-réalité.

Cf. Le modèle européen décodé (1) Un ADN impérial païen & Le Judaïsme décodé.

 

De la propension au suicide

En 1774, le poète, romancier, dramaturge, théoricien de l’art et homme d’État allemand Johann Wolfgang von Goethe (1749/1832) a publié le roman Die Leiden des jungen Werthers (" Les souffrances du jeune Werther") qui se termine par le suicide d’un jeune homme. De nombreux jeunes lecteurs ont alors imité Werther, le héros du livre, à tel point que l’augmentation du nombre de suicides a été la cause directe de l’interdiction de ce livre dans de nombreux pays. Goethe a fait le commentaire suivant : "Il est évident qu’il s’agit de jeunes imbéciles". 

Deux cents ans plus tard, en 1974, le sociologue américain David Philipps a confirmé le phénomène de "l’effet Werther", qui se manifeste régulièrement après le suicide de personnalités. Ce même phénomène a ainsi été constaté par exemple après les décès de l’ancien Premier ministre français Pierre Bérégovoy (1992) ou du musicien, chanteur et auteur-compositeur américain Kurt Cobain (1994). Dans les semaines qui ont suivi chaque événement, de nombreuses personnes de la même tranche d’âge, et souvent du même sexe, ont mis fin à leurs jours, ce qui a corroboré le lien de causalité entre le suicide de la célébrité et leur acte.

C’est comme si l’acte de la célébrité avait rompu le fil de la vie qui retenait ces personnes à la vie, leur donnant le "courage" ou l’impulsion de passer à l’acte. En revanche, si le suicide est rapporté de manière négative, l’effet d’imitation est atténué ou inexistant. C’est pourquoi les spécialistes de la prévention du suicide insistent sur le fait que le suicide ne doit jamais être présenté de manière positive, ni comme une solution à la souffrance et au désespoir, et encore moins comme un acte courageux.

 

Nul ne s'étonnera alors de la collusion de Hollywood avec The Pentagon, l'explicite par son symbolisme architectural bâtiment abritant le commandement militaire des armées des États-Unis basé à Arlington en Virginie (image 4), plus de quatre cent films ayant été réalisés sous son influence et sa supervision directe afin d'assurer l'indispensable propagande de guerre nourricière de la prédation*. Tout comme l'architecture de la Maison-Blanche (image 5), demeure du Président étoilé, présente des similitudes avec le temple de Salomon d'antan à Jérusalem et ses deux colonnes Jakin et Boaz (image 6), le temple référence des Loges maçonniques...

* Cf. Livre "Hollywood, le Pentagone et Washington: les trois acteurs d'une stratégie globale" de Jean-Michel Valantin (2003) & l'article paru le 14 Novembre 2008 dans The Guardian des chercheurs Matthew Alford et Robbie Graham avec comme titre original "Les Espions et l'Ecran argenté". Cf. Voir sens profond du pentagone dans Symbolisme des figures.

 

La nouvelle Babylone

Hollywood Babylone est un livre du cinéaste états-unien Kenneth Anger (Kenneth Wilbur Anglemyer) qui a été publié dans une version embryonnaire en 1959. Sa publication dans sa version définitive en 1975 aux États-Unis fut entourée de scandale, le livre étant rapidement interdit. Il révèle en effet la face cachée des célébrités de Hollywood : mort par ingestion de mercure ; addictions à la drogue ; accusations de viol avéré et procès ; morts mystérieuses ; liaisons adultérines ; déclin des carrières ; difficultés de tournage ; morts liées à la drogue ; mariages forcés ; meurtre ; suicides ; accusations d'échangisme et d'instabilité mentale ; gloire et déchéance... La grande Prostituée, grande prêtresse de l'esclavage sexuel comme psychique, est bel et bien toujours la marque de fabrique de la Matrice dévoyée !

 

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La  programmation prédictive

Ce principe de manipulation "psycho-sociologique" fait des grands outils destinés à assurer la mise en place de la nouvelle gouvernance mondiale. Il consiste à insérer dans l'esprit ou égrégore collectif des possibilités a priori inconcevables pour qu'elles deviennent, éventuellement, une réalité acceptable. Selon ses théoriciens, le predictive programming est une forme subtile de conditionnement psychologique provenant des médias pour initier le grand public aux changements sociétaux voulus par nos dirigeants. Au moment où et si ces changements adviennent, l’audience y sera déjà familiarisée et les acceptera comme une "évolution naturelle" réduisant ainsi toute résistance éventuelle du public.

Lorsque le spectateur voit ces films et séries lui parvenant sous des formes inoffensives diverses (dessins animés, émissions de télévision, films populaires, musique, bandes dessinées, publicités), son esprit s’ouvre à la suggestion et le processus de conditionnement commence. Ces mêmes films, destinés au spectateur "moyen", peuvent donner au spectateur éclairé, initié, une meilleure compréhension du fonctionnement et du "plan" à l’ordre du jour au niveau mondial. Ils impliquent souvent des tragédies horribles, avec les preuves les plus répétées concernant les événements du 11 septembre 2001. Toute la question est de savoir si les médias sont manipulés pour nous hypnotiser en acceptant une réalité fabriquée, ou si certains des créateurs de contenus ont un peu de clairvoyance en eux...

 

Conditionnement par la suggestion subliminale

Il existe une foultitude d'exemples de publicités et messages à caractère subliminal, que cinq pour cent seulement des individus peuvent repérer au premier coup d’œil. Leur présence peut être anodine, comme dans des dessins animés ou des images à première vue innocentes. L'image de ces plantes l'illustre parfaitement (image 1). A première vue, le regard se concentrant sur les formes, rien n'apparaît suspect. Pourtant, en le concentrant sur la seconde moitié vers le bas des trois interstices blancs séparant les quatre plantes, apparaît trois lettres explicites quant à la perversion adressée au public enfantin. Il en est de même avec la fiction animée des Studios Disney Le Roi Lion (images 2 & 3), l'affiche recélant en guise de museau un fessier féminin.

Si nous les considérons comme sans danger compte-tenu de la fraction de seconde de leur apparition à l'écran, le subconscient les a bel et bien enregistrés... La simple prise de conscience de leur existence permet toutefois d'induire une barrière psychique qui en limite les effets, leur recherche systématique traduisant par effet miroir une pathologie (névrose) obsessionnelle. A partir du moment où nous avons nettoyé dans nos profondeurs intime le jeu pervers de la prédation, nous devenons inattaquable*... Ainsi, quand l'affiche derrière l'Oncle Picsou (image 4) exprime Ask about Illuminati ("Informe toi au sujet des Illuminati"), nous comprenons que nous avons à être conscient de leur domination prédatrice sans la fuir ou la dénoncer, notre changement d'état d'esprit permettant la sortie de la Matrice entropique !

* Cf. Libération émotionnelle.

 


Autre exemple, l'utilisation de l'onde de forme ou émission de forme, soit des influences se faisant sentir autour d'objets voire d'êtres vivants. Elle a pour objectif d'incruster dans le subconscient un message attentatoire à la psyché par son sens profond. L'exemple ci-contre le démontre, à travers l'affiche de la tournée musicale "This is it" (non réalisée pour cause de décès) de l'artiste musical Michael Jackson (1958/2009). D'abord figure, dissimulée dans le nom de sa tournée ISIS (image 1), la déesse païenne/désacralisée de la trinité égyptienne de laquelle découle la dénaturation religieuse constitutive des croyances inculquées aux êtres humains à travers les millénaires*. Ensuite, en regardant la posture adoptée par l'artiste, se dessine insidieusement deux figures suggestives présentes dans l'inconscient collectif. D'abord la tête du Baphomet (image 2), figure de bouc à laquelle une partie du mouvement occulte sectaire voue un culte bestial et sexuel, le détournant de son sens profond, l'alliance du christianisme et de l'islam*². Ensuite, celle de Jésus-Christ sur la croix de souffrance (image 3). Quant à la ligne de vêtements lancée par Céline Dion (photos 3 à 5), les références qui sont imprimées sont explicites. De leur côté, nombre de personnalités (politiques, religieux, artistes, sportifs) ont recours au cornuto (photos 7 et 8), le signe de la "corne" - celles de Satan - attesté dès l’Antiquité grecque, et marque de son infidélité à son origine divine, lumineuse*³.

Dans tous ces cas, il peut bien sûr être rétorqué l'aspect fécond sinon fiévreux de l'imagination, voire une tendance paranoïaque/complotiste. Ce serait simplement sous-estimer le professionnalisme des communicants dans la connaissance des codes et symboles qu'ils mettent en œuvre.

* Cf. Le modèle européen décodé (1) Un ADN impérial païen.

Le "Ba" évoque Saint-Jean Baptiste et "Phomet" le prophète musulman Mahomet (Muhammad).

*³ Cf. Le modèle pyramidal décodé & Symbolisme et artifices de la Matrice.

 


Les messages subliminaux satanistes

Ils constituent une arme très efficace d'aliénation des êtres humains aux fins d'empêcher leur éveil de conscience, et ce en logeant dans leur subconscient une symbolique d'involution. Ils sont utilisés en commençant par les enfants, à travers les bandes dessinées et plusieurs chaines de TV spécialisées comme "Disney Chanel, Mangas" et autres. Conçus pour être perçus au-dessous du niveau de conscience (en latin sub-liminen), ces messages touchent l’esprit à son insu et l’induisent à un comportement sans résistance.  Le message subliminal peut être sonore ou visuel, les procédés de camouflages étant sophistiqués grâce à la technologie sans cesse perfectionnée des propriétés du son (subliminal audio) et de la vitesse de l’image (subliminal vidéo).

C'est ainsi qu'un grand nombre de messages subliminaux satanistes se trouvent dans les chansons de certains groupes de rock*, avec l'emploi d'une technique dite Backmasking consistant à insérer un message enregistré à l’envers (beaucoup de groupes et d'artistes l'utilisent cependant avec une optique plus mercantile que sataniste). Ainsi par exemple le groupe Eagles avec son célèbre Hotel California (1976) :

. à l’endroit : In the middle of the night, just to hear them say ("Au milieu de la nuit, juste pour les entendre dire")

. à l’envers : Satan he hears this. He had me believe in him ("Satan écoute cela. Il m’a fait croire en lui").

Parce que la puissance de la télévision, de la musique, des jeux et d'Internet est plus puissante qu’une éducation, et que les sons, les images font appel à divers sens et influent sur nos émotions, l'être humain inconscient est une proie facile pour le système prédateur, l'image et le son distillés dans son subconscient sans être réinterrogés s'avérant des poisons mortifères pour son âme. 

* Cf. Symbolisme et artifices de la Matrice.

Dans son film Eyes Wild Shut* ("Les Yeux grand fermés") sorti en 1999 qui dénonce le dévoiement de certaines élites aux forces des ténèbres, le réalisateur états-unien Stanley Kubrick (1928/1999) a choisi comme thème musical de sa célèbre scène "Le Bal Masqué" - un chant sacré roumain joué à l’envers pour signifier l'emprise du démon (démon = monde à l'envers). Il ne s'agit cependant pas d'un chant à caractère satanique, Kubrick ayant choisi d'alerter de manière subtile son auditoire sur la réalité de ce monde, ce qui lui coûta probablement la vie (il est décédé la même année...).

Paroles de la version inversée :

Auov uad auon acnurop ias iicinecu ertac iulunmod asiz… Aiutseca iulusacal iulutnafs ia irotacafenib is irotiulim irotanihcni.

Uezenmud iul rolibor roletacap aeratrei is aerasal aeratecrec aeriutnam aetatanas aecap ataiv alim urtnep magur en as iulunmod. Auov uad auon acnurop ias iicinecu ertac iulunmod asiz…

Paroles de la version originale :

Zisa Domnului catre ucenicii sai…Porunca noua dau voua…Domnului sa ne rugam pentru mila, viata, pacea, sanatatea, mantuirea, cercetarea, lasarea si iertarea pacatelor robilor lui Dumnezeu. Inchinatori, miluitori si binefacatori ai sfantului lacasului acestuia.

("Et Dieu appela ses apprentis… Je vous ai donné un nouveau commandement… de prier pour la miséricorde, la vie, la paix, la santé, le salut, la recherche, le congé et le pardon des pêchés des fils de Dieu. Adorateurs, ils ont pitié et sont les bienfaiteurs de ce lieu saint").

A noter l'entrée en scène des acteurs, également à l'envers...

* Le scénario est fondé sur la nouvelle "Traumnovelle" de l'écrivain et médecin autrichien Arthur Schnitzler (1862/1931) publiée en 1926.

 


L'animal de compagnie au service du contrôle mental

Le Forum économique mondial (WEF) a exhorté les gouvernements du monde à commencer à euthanasier les animaux de compagnie appartenant à des citoyens dont le "crédit social" (ou système de confiance en la société) est jugé faible, sous prétexte de lutter contre le changement climatique. La raison officielle est de réduire l’"empreinte carbone" à mesure que les villes s’orientent vers des zones de vie de 15 minutes étroitement contrôlées, et où les animaux de compagnie ne sont pas autorisés.

Mais selon un lanceur d'alerte, ou dénonciateur, au sein de cette organisation, cet agenda va bien au-delà des objectifs environnementaux. Il s’agit d’une étape calculée d’une conspiration visant à priver l’humanité de tout ce qui lui apporte de la joie, de la compagnie ou du confort, ce que certains médias puissants ont commencé à relayer comme la chaîne d'information télévisuelle états-unienne CNN (Cable News Network), toujours à l’avant-garde de la promotion de l’agenda mondialiste, qui a exhorté son public à faire mourir de faim leurs animaux de compagnie dans le but de lutter contre le changement climatique. Ce projet pourrait-il faire partie d’une tentative encore plus sombre de contrôler l’esprit humain par le bouleversement émotionnel provoqué pour un grand nombre d'individus sensibles* ?

C'est tout particulièrement ce qu'illustre la sauvage euthanasie en novembre 2024 de Peanut (Cf. photo), un écureuil star des réseaux sociaux (500000 abonnés sur Instagram) à l'initiative de ses propriétaires engagés dans une association dédiée au bien-être animal (il en était le compagnon depuis 7 ans), qui a été impitoyablement euthanasié au même titre qu'un raton-laveur par les autorités new-yorkaises intervenues sur dénonciation, qui ont défoncé leur porte de domicile comme s’ils étaient des trafiquants de drogue, avec au passage le consentement de la candidate de la bien-pensance démocrate Kamala Harris ("Calamity Harris") ayant expliqué à ce sujet que la propriété privée  n’était pas un sanctuaire à l’abri des autorités*²…

Ce n'est ni plus ni moins qu'un manque de respect élémentaire envers la vie que d'éliminer au prétexte d'arguments sanitaires fallacieux un animal non dangereux et sans défense, qui en dit long sur l'état mental des psychopathes officiants et propagateurs de l'abject cauchemar mondialiste gauchiste, la volonté de taxer les propriétaires d'animaux de compagnie ayant été par exemple mise en avant par d'abjects députés de La France Insoumise (LFI) lors de la préparation budgétaire 2025.

De source gouvernementale, "Tout animal domestique ayant mordu ou griffé une personne, même s’il n’est pas suspect de rage, doit être soumis par son propriétaire ou détenteur à la surveillance d’un vétérinaire sanitaire." Si ce couple de citoyens n’avait bien évidemment pas le droit d’avoir ces deux animaux sauvages, il n'était pour autant pas nécessaire de les tuer sans certitude qu'ils présentaient les symptômes de la rage. Après les tests, ils auraient dû être relâchés dans la Nature, ou plutôt placés dans un espace dédié pour éviter que d'autres prédateurs, flingueurs congénitaux humains, ne leur fassent la peau.

 

Qui est Baphomet ?

Ce personnage énigmatique à tête de bouc est présent dans l’Histoire de l’occultisme (sociétés secrètes et cercles occultes), des chevaliers Templiers du Moyen-Age en passant par les Francs-Maçons du XIX° siècle aux courants modernes de l’occultisme, associé aux rituels de magie, à la sorcellerie, au satanisme et à l’ésotérique. Il découle de la figure antique égyptienne du bouc hermaphrodite de Mendès. Il est la continuation de l’archétype du dieu païen cornu présent universellement dans le psychisme de l’individu, sous différentes divinités (Cernunnos, Pan, Hathor, le Diable…), exprimant le rapport à la nature, à la matière - la Materia prima de l'alchimie -, à la fertilité. Ainsi ses attributs animaux sont une incarnation des instincts charnels et procréatifs de l’homme (le phallus de Baphomet est le caducée d’Hermès, qui entrelace par les deux serpents les énergies masculine et féminine). Figure androgyne, dualiste, il signifie que l’équilibre source de Lumière (l’illumination de l’homme endormi) est à trouver entre les opposés, soit les forces séparées. Elle permet la maîtrise de la force vitale. C'est pourquoi il porte dans son patronyme l'alliance des deux religions issues du judaïsme, le christianisme et l'islam.

Le Baphomet est de ce fait une figure de pratique cérémonielle, rituélique, de la magie. Il est alors ce qu’en font les hommes : magie blanche, bénéfique, ou magie noire, destructrice. Seuls les adeptes initiés comprennent la portée du symbole, et par leur libre arbitre décident de son usage. C’est pourquoi dans l’esprit populaire ignorant il est devenu le "bouc-émissaire", le visage de la sorcellerie, de la magie noire et du satanisme. Le fait que ce symbole soit plutôt monstrueux et grotesque a indéniablement aidé par la propagande et la désinformation à le propulser à son niveau d’infamie, ne manquant de choquer les religions officielles tout en attirant ceux qui se rebellent contre elles. Symbole manipulé par les programmateurs des mass-médias, il est souvent destiné à une audience trop jeune pour comprendre la référence occulte, et facilement impressionnable.

Cf. Le chemin alchimique.

 

Le contrôle social par les mass-médias

 

Il va sans dire que la télévision par la nature même de son taux vibratoire (TV) toxique participe de l'hypnose et de l'addiction abrutissantes des individus et des masses* par ses programmes - la programmation des âmes -, de nombreuses études à caractère scientifique ayant démontré ses dommages irréversibles sur le cerveau par les troubles cognitifs provoqués (défaut d'attention, apathie...). C'est le legs de l'inventeur du tube cathodique et de ses rayons*², le chimiste et physicien britannique William Crookes (1832/1919) au XIX° siècle, qui était président de la Society for Psychical Research consacrée à l'étude et à la recherche des phénomènes paranormaux... Elle était jusqu'à la révolution Internet et des réseaux sociaux le pivot du contrôle des consciences - le téléguidage - par les maîtres artificiers de l'économie des médias officiants, complétée par la radio et la presse écrite. Elle a révélé en cette fin de cyclicité ce qu'est le mode de fonctionnement de la matrice terrestre, un programme cyber, autrement dit un programme d'Intelligence Artificielle ! Reste à en découvrir qui en sont les concepteurs et maîtres d’œuvre*³...

* Cf. Le contrôle du robot biologique. L'ancien président-directeur général du groupe TF1 Patrick Le Lay (1942/2020) en avait formulé en 2004 sa véritable nature en parlant de "temps de cerveau humain disponible", soit ce que la télévision vendait à ses annonceurs...

Lorsqu'une forte tension électrique est appliquée entre les électrodes, des milliards d'électrons traversent le tube en ligne droite depuis la cathode vers l'anode.

*³ Cf. Compréhension structurelle de la Matrice asservissante & Les acteurs de la Matrice falsifiée.

 

Brevet (Patente) US6506148 B2, ou la manipulation du système nerveux par les moniteurs

Des effets physiologiques ont été observés chez un sujet humain en réponse à une stimulation de la peau avec des champs électromagnétiques faibles, pulsés à certaines fréquences proches de 1/2 Hz ou 2,4 Hz, afin d'exciter une résonance sensorielle. Lors de l’affichage d’images pulsées, de nombreux moniteurs d’ordinateurs et de téléviseurs émettent des champs électromagnétiques pulsés d’amplitudes suffisantes pour provoquer une telle excitation. Il est donc possible de manipuler le système nerveux d'un sujet en pulsant des images affichées sur un écran d'ordinateur ou un téléviseur à proximité. Pour ce dernier, l’image puisée peut être intégrée au programme ou être superposée en modulant un flux vidéo, sous forme de signal RF ou de signal vidéo. L'image affichée sur un écran d'ordinateur peut être efficacement pulsée par un simple programme d'ordinateur. Pour certains moniteurs, des champs électromagnétiques pulsés capables d'exciter les résonances sensorielles chez les sujets proches peuvent être générés même lorsque les images affichées sont pulsées avec une intensité subliminale.

Cf. Travaux de Hendricus G. Loos (pseudonyme) qui a déposé ce brevet chez Google en 2001.

 

L'usage du mot en tant que stimulus dans la formation des réflexes conditionnés est d'une importance primordiale. C'est pourquoi l’influence propagandiste est réalisée avec un succès évident en utilisant la puissance des mass média, le "quatrième pouvoir". À travers les supports que sont la télévision, les journaux d'information papier, les magazines et revues, l'internet, la mobilité..., les idées désirées entrent dans les foyers et le mental des gens, se logeant dans leur subconscient (inconscient). Et si l'esprit public n’a pas complètement été convaincu d’accepter, un processus répétitif et diversifié est enclenché jusqu’à ce que la résistance du public soit vaincue sur tous les plans. Le programmateur éditorial, comme le journaliste relais, est avant tout un musicien des âmes, s'attachant à la maîtrise du clavier des pulsions et des instincts de l’instrument avec lequel il joue, pour atteindre leurs tréfonds et leurs sublimations. Il doit être capable de provoquer de façon délibérée dans les masses des réflexes conditionnés, d’inhiber les uns et de désinhiber les autres, de créer de nouvelles inhibitions, de déclencher de nouvelles actions. Par une information distillée de manière plus ou moins tendancieuse, plus ou moins orientée, est ainsi créé un état émotionnel touchant des cordes sensibles, bases des réflexes conditionnés recherchés.

C'est ainsi que sont conçus les "talk-show" de télévision en direct, où un groupe d’experts promeuvent le produit ou/et l’idée sous le prétexte de débats. Les participants, choisis selon le critère binaire pour et contre, discutent en point et en contrepoint, exprimant soutien ou opposition. Peu importe la conclusion, le sujet promu ayant été imprimé dans le mental des téléspectateurs. Cette pratique, inédite jusqu’aux années soixante, est devenu à présent une méthode standard.

Cf. Noam Chomsky, linguiste états-unien et Edward Herman, économiste des médias états-unien, "La fabrique du consentement" (1988).

 

De la fabrication de la (fausse) réalité par les médias

Les médias grand public et les plateformes de médias sociaux s'appuient sur des "experts" déclarés, habilités, proclamés, leur opinion étant de ce fait considérée instinctivement par les individus qui les consomment comme élevée au-dessus de choses, ceci expliquant que la plupart considéreront comme justifié que les informations sur l’internet soient censurées si elles contredisent l’opinion de ces mêmes experts. C'est de cette manière qu'est consentie la fabrication de l'information, de ce fait du réel, par les médias traditionnels et plateformes de médias sociaux.

L'exemple emblématique est la soi-disant pandémie Covid-19 présentée comme incroyablement mortelle, ce qui justifiait que les gouvernements n’avaient pas d’autre objectif que de sauver des vies, et ce par quelque moyen que ce soit. Il a été à l’envi qu’il fallait écouter les experts, seuls ceux que sélectionnés et promus par les médias pouvant passer le message souhaité, au détriment des véritables experts, scientifiques et médecins qui contredisaient le message souhaité. Les médias ont ainsi créé l’illusion que 99,99 % des experts étaient d’accord avec le discours, alors qu’en réalité ce pourcentage était nettement inférieur, d'autant que nombre d'experts avaient été menacés de perdre leur emploi ou leur financement s’ils contredisaient le discours officiel. Et bien sûr, si 99,99 % des experts sont d’accord sur quelque chose (ce qui n’était pas le cas), il est juste de censurer la désinformation qui relève de dangereux et sectaires complotistes !

Lorsque les médias laissent entendre ou affirment qu’il existe un consensus d’experts, ils ne prouvent presque jamais l’existence de ce prétendu consensus puisque ce dernier a souvent été fabriqué de toutes pièces. Il en est de même avec les sondages, moyen de mesurer l’opinion publique, alors qu’en réalité les sondages sont souvent un moyen de fabriquer l’opinion publique. On peut en effet faire dire aux sondages ce que l’on veut, simplement en sur-échantillonnant les personnes qui sont d’accord avec l’opinion que l’on souhaite avoir*. Il en résulte que du point de vue des sombres contrôleurs que sont les médias, la réalité est malléable, laissant entendre que le troupeau de moutons est facile à mener à l’abattoir.

Ce schéma de fabrication de fausses réalités se répète à l’infini, comme celle laissant entendre que l’inflation serait transitoire, que la Russie perdrait la guerre en Ukraine, que l’invasion de l’Irak était une réponse appropriée au 11 septembre.

Et si cela continue de marcher, c'est que la plupart des individus sont épuisés, surchargés, effrayés, expliquant qu’il est plus facile de croire ce que dit la boîte de lavage de cerveau que de penser par soi-même. Les contrôleurs de l’ombre s’appuient ainsi sur ce fait pour imposer leur stratégie : "n’observez pas, ne pensez pas, n’écoutez que les experts et ne vous référez qu’à eux", avec au final comme conséquence que la valeur de la liberté d’expression ne peut être préservée. Et si la censure telle qu'envisagée par les autorités institutionnelles est autorisée au détriment de la liberté d’expression, les médias fabriqueront la réalité comme ils l’entendent, alors qu'ils sont des organes non élus, de ce fait non démocratiques. C'est ainsi à titre d'exemple qu'un commentateur politique de CNN (Scott Jennings, commentateur politique principal) a admis, lors d’une séquence morose qui a suivi la victoire triomphale au collège électoral et au vote populaire du candidat républicain Donald Trump à l'élection présidentielle états-unienne du 5 novembre 2024, que la chaîne avait trompé le public américain "nuit après nuit" lors de la couverture des élections, et qu’elle s’était concentrée sur des "trucs" pour faire élire sa rivale démocrate Kamala Harris au lieu d’écouter les véritables préoccupations des Américains qui travaillent dur. En d'autres termes, il s’est ouvert sur les "fake news" et les échecs moraux de CNN, constituant en quelque sorte une mise en accusation du "complexe de l’information politique", avant de lâcher le marteau : "Je veux dire que nous avons été assis ici ces deux dernières semaines, et l’histoire que nous avons dépeinte n’était pas vraie"...

Il est indispensable de se rappeler que la sagesse des foules existe, souvent, dans certains cas l’opinion moyenne des masses étant plus proche de la vérité que l’opinion des experts. Il est d'autant plus effrayant de constater que de nombreuses personnes se croient libres, alors qu’elles sont piégées dans une cage mentale dont elles n’ont même pas conscience.

* Si cinq personnes sont d’accord avec nous et cinq personnes ne sont pas d’accord, il suffit de faire un sondage auprès de quatre personnes qui sont d’accord et d’une personne qui n’est pas d’accord pour faire dire au sondage que 80 % des gens sont d’accord avec nous...

 

La fabrique médiatique du réel

Le traitement aux fins de diffusion de l’information est une question délicate, entre la recherche de neutralité et d’objectivité et la défense d’une vision ou d’un point de vue lié à une idéologie. Les limites entre ces différentes utilisations sont inévitablement subtiles sinon floues lorsque le média s’adresse à des masses d’individus, créant la réalité dans laquelle ils sont censés vivre. Il ne peut qu’en découler un monde "préfabriqué", une manière de voir le monde. Comment alors le propriétaire d’un média "dominant" ne proposerait-t-il pas sa vision du monde pour défendre ses intérêts, sinon par pure philanthropie ? Aussi il ne peut y avoir d’objectivité au sens strict, seulement une "réalité" partielle qui masque la majeure partie de l’existence, l’inconnu, soit la frontière de la connaissance.

Quant à l’objectivité journalistique, ce positionnement théorique ne peut s’extraire des contraintes économiques comme du conditionnement psychologique, culturel, social et moral de ses acteurs. Une démarche réellement objective demanderait un travail d’analyse en dehors de tout référentiel subjectif, c’est à dire en dehors de tout référentiel propre à l’individu. Ce qui, en dehors de robots biologiques, est impossible. Aussi parle-t-on plutôt d’objectivisme, doctrine philosophique* qui suggère que les individus sont en contact direct avec la réalité par le biais de leurs perceptions, ce qui leur permet de créer des concepts en fonction de cette réalité et donc de la comprendre. Chose étonnante, cette doctrine stipule que le seul système social compatible avec cet objectif moral est le laisser-faire capitaliste. Elle est de ce fait assez proche de la doctrine libertarienne. Aussi est-il logique de considérer que derrière ce qui se nomme le réel se trouvent les impératifs de l’argent comme levier d’orientation de l’opinion publique. Le seul antidote de rééquilibrage réside dans les médias alternatifs, voix dissonantes qui proposent une autre lecture du monde.

* Elle a été théorisée par Ayn Rand (1905/1982), de son vrai nom Alissa Zinovievna Rosenbaum, philosophe et romancière états-unienne d'origine russe.

 

Parlant de l’influence de la télévision, l'universitaire et juriste américain Daniel Joseph Boorstin (1914/2004), connu en France par son essai historique intitulé "Les Découvreurs", a écrit : "Voici enfin un supermarché d’expériences subrogées. Une adroite programmation offre du divertissement ayant l’apparence d’instruction ; de l’instruction ayant l’apparence de divertissement ; de la persuasion politique ayant l’ attrait de la publicité ; et de la publicité ayant l’attrait du spectacle […]

La télévision programmée, tout comme les autres canaux usités, ne sert pas seulement à répandre l’acquiescement et le conformisme. Ils représentent aussi une approche délibérément industrielle" qui repose sur des méthodes de présentation de l’information pour tenir les gens "en laisse" et guider leur conscience de la manière qui est nécessaire. 

La première est la manière agressive de présenter l’information sur les canaux auditifs. Ainsi la poussée et les voix fortes avec lesquelles presque tous les présentateurs des chaînes d’information "jouent à l’oracle" dans tous les pays du monde. Bien sûr, ce n’est pas un hasard, car c’est ainsi que se produit la suppression énergétique d’une personne, celle-ci étant littéralement pressée au sol. Ses corps subtils sont ainsi comprimés au maximum, les vibrations étant réduites autant que possible. Dans un tel état, une personne est incapable de penser de manière indépendante et, fascinée, elle écoute ce que lui dit un présentateur confiant sur l’écran de télévision, sa volonté étant directement paralysée par cette pression. La personne devient alors semblable à un zombie dont la conscience est contrôlée de l’extérieur.

La seconde méthode consiste à présenter les informations essentiellement de manière négative, ce qui a pour objectif de semer la panique et la peur dans la société. Les nouvelles qui apportent de la joie aux gens sont réduites au profit de celles qui suscitent la peur (catastrophes naturelles, actes de terreur de toutes sortes, affrontements entre individus et pays, meurtres, guerres, problèmes économiques...). Le résultat est de rendre les gens déprimés et désespérés et de les habituer à ne pas avoir d’espoir en un avenir meilleur, à les habituer à penser que la situation ne fera qu’empirer.

En conséquence, après avoir regardé les informations, ce qui est devenu une habitude pour l’écrasante majorité de la population de la planète, les gens sont absolument dévastés en termes d’énergie, ce qui affecte leur santé et leur psychisme.

C’est exactement l’objectif de ceux qui ont créé et financent les médias "officiels" (mainstream).

 

Contrôle des médias : l'exemple français

La figure ci-dessous représente les médias d’information qui "façonnent" l’opinion, autrement qualifié de mainstream (la presse de grand chemin, qui devient de plus en plus petit au regard de sa décadence). Ils dépendent d’intérêts industriels et financiers, les utilisant comme des vecteurs d'influence comme d'affaires* de groupes de presse ou de l’État. Ce sont des publications généralistes nationales, quotidiens régionaux, audiovisuel national (et quelques chaînes de télévision locales). Les journaux départementaux, les titres indépendants (comme Le Canard enchaîné) ainsi que la presse dite alternative ne sont pas représentés dans ce qui est devenu la doxa informationnelle, la pensée unique mondialiste.

Si naturellement ces propriétaires s'en défendent la main sur le coeur, d'airain il va de soit, cette dépendance pose la question de la censure des informations pouvant leur nuire, de la liberté des journalistes qui y officient - autrement dit leur servilité -, des moyens de propagande éhontée mise à leur disposition, et de la pression de par leur puissance sur les témoins du terrain ou des coulisses comme des journalistes encore désireux de servir dignement leur profession. Un exemple caractéristique est la chaîne propagandiste pro ukrainienne au-delà de toute objectivité et rationalité LCI, filiale du groupe audiovisuel TF1, lui-même partie prenante de sa maison-mère le groupe Bouygues dont l'épicentre est l'activité BTP pour des raisons historiques. Elle a mis son dispositif rédactionnel et ses "grandes" voix ridicules au service de l'espérance de celui-ci d'obtention de juteux marchés de reconstruction à l'issue du conflit d'un pays détruit dans de larges mesures, plutôt que d'analyser les raisons véritables de cette guerre qui, une fois encore, n'a comme moteur que l'argent. Business as usual ! Ce qui est fascinant est de voir à quel point l'imposture dure depuis le début, alors qu'une analyse froide aurait du mettre depuis longtemps fin à cette mauvaise cour de récréation. Déni de réalité pour les hauts dirigeants pour ne pas reconnaitre qu'ils ont les mains plein du sang du peuple ukrainien sacrifié, ou sont-ils tenus en laisse par ailleurs par d'autres poubelles guère reluisantes par-delà le discours d'apparence éthique tenu pour les gogos ? Sans doute un peu des deux...

* Ainsi l'homme d'affaires français Vincent Bolloré, instrumentalisant le groupe Canal + pour servir ses intérêts tant en France qu'en Afrique, ce que l'actualité d'avril 2018 a éclairé sans contestation à l'occasion de sa mise en examen, sa filiale pourtant chaîne d'information continue CNews faisant un quasi black-out sur cette information largement commentée dans tous les autres médias (Cf. le documentaire "Vincent Bolloré, un ami qui vous veut du bien", 33° prix Albert Londres en 2017 dans la catégorie audiovisuelle, par les journalistes Tristan Waleckx et Mathieu Rénier & l'enquête en 2015 de Théophile Kouamouo, journaliste au Média, sur le développement de Canal + Afrique).

 

Etat des lieux à fin décembre 2023 - Cliquer pour agrandir
Etat des lieux à fin décembre 2023 - Cliquer pour agrandir

 

L'affaire Brigitte Trogneux/Macron, ou le silence d'obligés

La télévision russe fait des gorges chaudes à propos du dossier secret "President of France" que le FBI s’est vanté d’avoir saisi au domicile de Donald Trump lors de sa descente en août 2022 dans sa résidence privée au sein du complexe Mar-a-Lago à Palm Beach, en Floride. Selon le reportage diffusé à Moscou, le FBI détiendrait des preuves concernant l’identité réelle de Brigitte Macron, révélée en 2021 par la journaliste indépendante Natacha Rey dans la lettre confidentielle mensuelle française Faits et Documents appartenant à la société Édition et Documentation Parisienne. Si cette ténébreuse et détestable rumeur n’est pas à ce stade vérifiée, il est étonnant que le couple Macron ne l'ait fait taire par des procès en diffamation.

Pourtant, le couple Macron avait initialement déposé plainte pour diffamation contre Faits et Documents ainsi que contre Natacha Rey, mais celle-ci a été requalifiée par le procureur de la République en injure à caractère transphobe. Quant à Natacha Rey, elle ferait l’objet d’une procédure pour atteinte à la vie privée, Faits et Documents ne faisant l’objet d’aucune procédure pénale. Autrement dit, près d’un an après les premières interrogations sur son identité, Brigitte Macron n’a accusé personne de la diffamer, tout juste accusé Natacha Rey de s’être immiscée dans sa vie privée.

S’il se confirmait que Brigitte Macron ne considère pas comme diffamatoires les affirmations selon lesquelles son identité féminine ne serait pas "native", pas plus celles selon lesquelles elle aurait commencé sa relation intime avec Emmanuel Macron lorsque celui-ci avait 14 ans, on ne peux que s’étonner du silence religieux observé par le cartel des médias subventionnés sur un questionnement fondamental relatif à l’identité de la première dame de la Répubique française, et à la légalité de ses pratiques. En effet, alors que les féministes obtiennent de pleines pages sur de prétendus viols commis il y a quarante ou cinquante ans par Roman Polanski ou autres, le tabou sur le couple qui dirige la France rappelle une fois de plus les dangers des subventions , et de la connivence entre les milliardaires propriétaires des journaux et le pouvoir en place, pour une information équitable et loyale.

On s’étonnera également de la façon dont l’opposition est contrôlée en France, les réseaux sociaux regorgeant de trolls diffusant les éléments de langage du pouvoir, à commencer par des trolls plus ou moins journalistes. Pourquoi certains médias qui se présentent comme les champions de l’opposition dissidente observent-ils un silence aussi étrange sur un dossier qui passionne pourtant beaucoup de Français ?

Enfin, on s'étonnera que cette affaire devenue une arme diplomatique utilisée tant par les USA que la Russie dans le jeu des puissances, relevant de ce fait de la sécurité nationale, voit le premier personnage de l’État mettre le pays en danger en ne tordant pas définitivement le cou à la rumeur. Cette inaction du couple Macron se transforme progressivement en problème diplomatique essentiel. Le silence des medias subventionnés comme de prétendue opposition est inquiétante, alors qu'une clarification apparait indispensable pour rassurer les Français sur l’indépendance de notre diplomatie.

 

"Seuls les petits secrets ont besoin d’être protégés, les plus gros sont gardés par l’incrédulité publique".

Marshall Mc Luhan (1911/1980), philosophe, sociologue et théoricien de la communication de nationalité canadienne

 

La théorie du complot, de la conspiration, est l’argument se voulant imparable, adossé à l'explication psychosociologique du "mille-feuille" argumentatif, utilisé par nombre de journalistes du "mainstream", soit les grands médias d’influence quels que soient leurs supports, tous adossés à des États (service public) et de ce fait sous contrôle, ou à de grands groupes privés de nature industrielle ou financière ayant naturellement prise avec la structuration mondiale de la vie des affaires. La sacro-sainte indépendance éditoriale fait office de paravent pour laisser à penser qu’ils sont exempts de tout parti-pris, même s’ils n’hésitent pas à récuser celles et ceux qui défendent des opinions autres que le consensus toléré.

 

Du complotisme

Si la notion de complotisme trouve son origine bien avant la deuxième guerre mondiale, elle a été mise en avant par le nazisme qui attaquait notamment les juifs sur la base du Protocole des Sages de Sion et les francs-maçons, accusés de fomenter un complot contre les gouvernements établis (Allemagne, Italie, Espagne, Japon) constitutifs de l'idéologie des puissances dites de l'Axe - l'homme parfait, l'Aryen -, et d’être responsables de tous les maux que subissaient les peuples. Il en découla que les handicapés mentaux, les juifs, les francs-maçons et quelques communistes furent les premiers à être "hébergés" dans les camps de concentration allemands dès 1933. L’extrême-droite a continué à se servir de cette théorie jusque dans les années 70-80, en suggérant que si ces deux "suppôts de Satan" (les juifs et les francs-maçons) n’étaient pas éliminés, ils continueraient à être la source de tous les maux de la terre.

De ce fait, ceux qui étaient traités de complotistes étaient au départ ceux qui s’opposaient à l’idéologie nazie, les partisans de l’idéologie nazie considérant qu'ils agissaient au titre d’un complot contre l’État (nazi, fasciste, franquiste, pétainiste, empire japonais, …)

A partir des années 80, ce discours ne faisant plus recette compte-tenu de la perte de terrain de ces idéologies, le terme complotisme a pris une connotation péjorative, commençant à être utilisé pour désigner des gens qui voient un complot, une collusion (qui n’existerait pas) au niveau des dirigeants des grandes entreprises et des États pour asservir les populations, relayés par les "think tanks" ou cercles de réflexion faiseurs d'opinion. L'exemple emblématique est la guerre contre l’Irak, que les néoconservateurs états-uniens dans le sillage de la famille Bush ont favorisé grâce au mensonge sur les stocks d’armes chimiques et biologiques, au moment de la première crise du coronavirus (SRAS) en 2003. Les lanceurs d'alerte d'alors, tel le dentiste américain Leonard Horowitz qui fut l’un des premiers à dénoncer les travaux sur la guerre bactériologique ou les perturbations électro-magnétiques (projet HAARP), ont été accusés d’être des complotistes, et ce pour les dévaloriser et les faire passer pour de dangereux paranoïaques. Avec le recul, la véracité de leurs alertes s'est révélée juste. Rien n'a pourtant changé depuis, les lanceurs d’alertes d'aujourd'hui continuant à être accusés par des médias nationaux et leurs représentants bien-pensants (type Patrick Cohen, Yves Calvi et consorts) d’être des complotistes lorsqu’ils critiquent le mode de gestion de la pandémie de la Covid 19.

 

Subversion des médias par la CIA

Dès 1948, l’ancien avocat de Wall Street Frank Wisner a établi l’opération Mockingbird ("oiseau moqueur") quand il était directeur de l’OSP (Office of Special Projects), qui allait devenir par la suite un département de la CIA. Cette opération avait pour but de convertir les médias en outil de propagande pour l’élite financière. Wisner engagea Philip Graham du Washington Post pour diriger l’opération et recruter des journalistes. Beaucoup d’entre eux avaient travaillé pour le renseignement militaire durant la seconde guerre mondiale. Ainsi, vers la fin des années 1950, Wisner contrôlait des membres respectés du New York Times, de Newsweek, de CBS et autres véhicules de communication*. De 1953, l’opération fut dirigée par le directeur de la CIA, Allen Dulles, et balayait virtuellement toutes les grosses entreprises médiatiques incluant le New York Times, les magazines Time et Life, les équipes de journaux télévisés, particulièrement CBS News*². En plus des journaux et chaînes de télévision d’information, la CIA contrôlait aussi Hollywood et la production des films.

Un rapport du comité du Congrès en 1976 donne les preuves de l’existence du réseau de la propagande de la CIA. Il établit que la CIA entretient couramment un réseau de plusieurs centaines d’individus étrangers à travers le monde, qui lui fournissent des renseignements et, parfois, essaient d’influencer les opinions publiques au travers de l’utilisation de propagande cachée.

Cette opération Mockingbird est toujours opérationnelle aujourd’hui, sous une grande variété de déguisements. Le journaliste Udo Ulfkotte (1960/2017), ancien rédacteur en chef du Frankfurter Allgemeine Zeitung, a écrit un livre en 2014 sur le sujet, révélant qu’il avait travaillé pour la CIA et que tous les médias les plus importants étaient sous son contrôle.

* Cf. Deborah Davis, "Katharine the Great : Katharine Graham and the Washington Post".

Les fichiers de la CIA documentent les arrangements de couverture additionnels avec des organisations de presse, parmi lesquelles Le New York Herald Tribune, Saturday Evening Post, Scripps-Howard Newspapers, Hearst Newspapers, Associated Press (AP), United Press International (UPI), the Mutual Broadcasting System (MBS), Reuters, the Miami Herald (Source : Carl Bernstein, le célèbre journaliste de l’affaire du Watergate dans un article paru dans la revue Rolling Stone en 1977).

Dans son livre Die wahre Macht der Geheimdienst ("La guerre de l'ombre, la vraie puissance des services secrets"), il donne également les détails des opérations de deux unités du Mossad israélien, le Metsada, spécialisé dans le sabotage, incluant attaques terroristes et assassinats commis sous de "fausses bannières", et le LAP (Lohamah Psichlogit) qui œuvrerait dans la guerre psychologique. Il y soutient que l'empreinte du renseignement israélien serait retrouvée dans certains événements, parmi lesquels les émeutes de 2005 dans les banlieues françaises, y voyant un lien avec la candidature de Nicolas Sarkozy à l'élection présidentielle française de 2007 et une possible manipulation de l'opinion publique durant la campagne présidentielle française de 2007.

 

"Twitter Files", ou comment Twitter a discrètement aidé la campagne secrète en ligne de PsyOp du Pentagone

Les PsyOp sont les opérations psychologiques, autrement dit les opérations d'influence et de manipulation mentale, qui sont secrètement menées en ligne par le Pentagone, centre décisionnel de l’armée américaine, et ce malgré son affirmation depuis des années d'efforts pour les détecter et les contrecarrer. 

Twitter (l'entreprise a été rebaptisée X en 2023) définit les opérations d’information soutenues par l’État comme des efforts coordonnés de manipulation de plateforme coordonnées qui peuvent être attribuées avec un haut degré de confiance à des acteurs affiliés à l’État. Les opérations d’information soutenues par l’État sont généralement associées à un comportement trompeur, mensonger et comportement de spammeur. Ces comportements différencient le comportement manipulateur coordonné de discours légitime au nom d’individus et de partis politiques. Selon ses dires, chaque fois qu'est identifiée une activité inauthentique, des données complètes sur cette activité sont partagées.

Toutefois, il est désormais établi qu'en coulisses la société a donné son approbation et une protection spéciale à ces opérations d’influence psychologique en ligne de l’armée américaine par l'utilisation d'un outil accordant une étiquette spéciale "liste blanche" qui fournit essentiellement un statut de vérification aux comptes sans la vérification bleue, ce qui signifie que ces comptes sont exempts de drapeaux de spam/abus, plus visibles/probables de suivre les tendances sur les hashtags. Or ces comptes sont une fabrication du CENTCOM - le United States Central Command -, l'un des onze Unified Combatant Commands ("Commandements unifiés de combat") dépendant depuis le 1ᵉʳ janvier 1983 du département de la Défense des États-Unis. Ils ont notamment servi sur les questions militaires du Moyen-Orient par la promotion de messages anti-iraniens, la promotion de la guerre au Yémen soutenue par l’Arabie saoudite et les frappes "précises" de drones américains qui prétendaient ne toucher que des terroristes.

De nombreux courriels envoyés tout au long de 2020 montrent que les cadres supérieurs de Twitter étaient bien conscients du vaste réseau de faux comptes et de propagande secrète du Département, et qu'ils n’ont pas suspendu pour autant les comptes.

En août 2022, un rapport de l’Observatoire de l’Internet de Stanford a exposé un réseau de propagande secrète de l’armée américaine sur Facebook, Telegram, Twitter et d’autres applications utilisant des portails de fausses nouvelles et des images et mèmes profondément faux contre les adversaires étrangers des États-Unis, le réseau de propagande américain poussant sans relâche des récits contre la Russie, la Chine, la Thaïlande, le Venezuela et d’autres pays étrangers comme l’Iran, ce pays étant accusé de "menacer la sécurité de l’eau en Irak et d’inonder le pays de méthamphétamine en cristaux"  et de prélever les organes des réfugiés afghans... Et lorsque le Washington Post a fait état du scandale, les responsables de Twitter se sont congratulés parce que l’article ne mentionnait aucun employé de Twitter et se concentrait largement sur le Pentagone.

 

Médias du système propagandistes : l'exemple états-unien 2024

La large victoire du candidat républicain Donald Trump dans le vote populaire, avec en sus la prise de contrôle des deux chambres du Congrès, a constitué pour beaucoup une bien amère sinon indigeste surprise à l'annonce des résultats, qui constituent un net tournant prédictif d'un bouleversement de l'échiquier politique mondial tel que mis en place depuis des décennies dans une grande partie du monde occidental à l'initiative d'élites gouvernantes, masquées par leur habile et hyprocrite rhétorique gauchiste soi-disant protectrice des citoyens gogos électeurs.

Ce fut pourtant la campagne présidentielle de tous les superlatifs, avec un total de 16 Mds$ dépensés par les deux candidats, mais également la plus déséquilibrée, avec 7 Mds$ de budget pour les républicains et un total, jamais égalé, de 9 Mds$ pour les démocrates. Le déséquilibre le plus spectaculaire s'est situé au niveau des dons des entreprises du S&P 500 (Standard&Poors), classement des grandes entreprises cotées à la bourse US par cette société de notation financière, avec un écart de 1 à 3 en faveur de Kamala Harris. Celle-ci a également battu tous les records d’invitations par les "networks" pro-démocrates (CNN, NBC, CBS...), en mode "tapis rouge", avec des questions bienveillantes préparées à l’avance par des équipes rédactionnelles sirupeuses et mielleuses, et une présence à l’écran continue via les reportages complaisants sur ses meetings, alors même que son programme était d'un flou abyssal hors la question du droit à l'avortement (captation du vote féminin) et celle de la défense des minorités ethniques comme sexuelles, le fond de commerce à la sauce wokiste privilégié de son parti. En parallèle, elle a passé le moins de temps sur scène devant ses supporters - souvent pas plus de 15 minutes de discours et un maximum de temps de parole accordé à ses supporters énamourés, le plus souvent issus du "tout Hollywood" cinématographique comme musical* -, alors que son rival a tenu le micro parfois plus de 2 heures, ses prises de paroles étant très peu relayées par les médias du système à 80% pro-démocrates si ce n'est pour mettre en avant les coutumières provocations verbales de ce maître en communication cash mode "western".

Aussi Donald Trump a également battu, à son corps défendant, le record de reportages et de commentaires les plus négatifs de la part des médias de l’histoire des campagnes électorales, tous bords politiques confondus. Si cela n’a pas atteint le niveau consternant de "propagande noire et inquisitoriale" qui lui a été infligée en Europe, tout particulièrement en France (France Inter et France Info, France 2, France 4, BFM, LCI, Le Monde, Le Figaro, Libération, Le Point, L'Express...) au mépris de la sacro-sainte règle déontologique censée caractériser l'honnêteté journalistique et le respect du métier d'information objective, tout comme d’équité dans la couverture du temps de parole accordé aux deux candidats, les électeurs américains ont tout de même assisté au duel des arguments les plus outranciers jamais propagés par des médias s’assumant comme soutiens de l’un ou l’autre candidat… avec au bout du compte 80% de contenus favorables à Kamala et ce même quota de contenus négatifs infligés à Trump. C'est ainsi qu'au cours des 15 derniers jours de campagne, ce dernier a été comparé par la clique journalistique atteinte de TDS - Trump Derangement Syndrome - jusqu’à l’obsession aux fascistes Hitler, Staline, Goebbels (pour les "fake news"), en réponse aux qualificatifs du candidat républicain adressés à Kamala Harris - incapable, "foldingue" (passionaria jusqu'à l'extrême) -, et coupable à ses yeux d’appels au meurtre... Ces derniers ont d'ailleurs été entendus par la frange extrême et de ce fait dérangée, avec deux attentats à l’arme à feu, dont l’un déjoué à Mar-a-Lago, lieu de résidence du candidat républicain.

Au final, à l’image de ce qui s'était produit lors du référendum français pour ou contre la Constitution européenne de 2006 avec des médias unanimement favorables à un seul camp, cela s’est avéré totalement contre-productif. En d’autres termes, caricaturer jusqu’à un certain point, ça passe (c’est la règle du jeu que tout le monde accepte), calomnier en meute et de façon systématique pour "faire peur" finit par paraître suspect, et produit l’effet inverse de celui recherché. L’opinion finit par prendre fait et cause pour le "seul contre tous", surtout quand le favori chouchou des médias ne propose pas réellement de programme qui améliore le quotidien des électeurs, au-delà de les conforter dans la conviction d’appartenir au soi-disant "camp du Bien".

Il en résulte que cette élection fut celle qui a le plus cruellement démenti le concept que la favorite des médias "ne pouvait pas perdre", reléguant ces piteux médias comparses à leur travail de propagandistes d'une cause contraire à la volonté souveraine d'une majorité de citoyens, faisant preuve qui plus est d'une crasse incompétence dans leur capacité à évaluer le bénéfice de la personnalité des principaux soutiens de Trump - Elon Musk (Twitter et Starship), Robert Kennedy Junior (défenseur de la santé et pourfendeur de Big Pharma pour corruption) -, qui furent également diabolisés comme conspirationnistes car climatosceptique ou covidosceptique -, et à surcoter stupidement le bénéfice des stars d’Hollywood pourtant mêlées pour nombre d'entre elles à la face sombre du système (pédophilie, drogue, sexe débridé) telle que les affaires Epstein ou Puff Daddy le révèlent progressivement.

Le clou de cette sinistre et pathétique pantalonnade est revenu à la journaliste de télévision et de radio américaine Rachel Maddow, animatrice de la chaîne MCNBC, qui a appelé l’armée et les citoyens américains à unir leurs forces et à lancer un coup d’État contre la nouvelle administration Trump afin d’empêcher ce dernier d’exercer un second mandat. En d'autres termes, elle a exhorté les citoyens, les chefs de l’armée américaine et les célébrités à enfreindre la loi et à faire tout ce qui est en leur pouvoir pour résister à l’"autoritaire" Donald Trump, soit un coup d’État démocratique pour les aficionados d'un parti se revendiquant de l'idéal des Lumières, bien éteintes il va sans dire...

* La défaite de Kamala Harris est entre autres le symbole de la répudiation nationale d’un système élitiste qui a longtemps prospéré grâce à l’adoration publique de fausses idoles. Son discours de campagne était que les démocrates sont le "parti de la joie", pour tenter de vendre cette illusion en utilisant une horde de célébrités et de têtes parlantes des médias traditionnels comme faire-valoir. Si les acteurs et les stars de la pop ont été au cœur de sa campagne, ils n'ont été qu'une note secondaire pour Trump, qui n’a pas eu besoin d’Hollywood pour se rallier à lui.

 

Cette emprise des grands médias sur l’agenda démocratique, tout comme le dépistage des événements avant qu’ils ne naissent comme information, constituent bel et bien un "eugénisme médiatique". En effet, ne naissent que les informations sélectionnées, les autres étant écartées, supprimées, passées sous silence. C’est l'ontologie même de la radiographie : tout événement est transformé en fonction de l’éclairage ou de l’obscurité qu’on lui donne.

On ne peut pas de ce fait comprendre le contexte général des "Fake news" sans parler des "Ghost news", les nouvelles fantômes, soit ces événements ou ces propositions délaissés par les médias nationaux, passées sous les lumières médiatiques, devenues par-là fantomatiques. Cela explique que la télévision parle de moins en moins du monde extérieur, parlant avant tout d’elle-même et du contact qu’elle est en train d’établir avec son public. Elel voit les journalistes inviter des… journalistes pour discuter des thèmes choisis par des… journalistes ! Nulle part n’intervient le monde extérieur, nulle part un micro est tendu en-dehors de la sphère médiatique.

L’un des signes de la radicalisation des médias est cet enfermement sur soi-même, cet entre-soi, qui contredit l’essence même du média, celui d'être un médiateur. Car lorsque les médias tournent en boucle sur un sujet, salissant un tel ou tel, adorant tel ou tel, la puissance est phénoménale. Quand les médias, à l’inverse, passent volontairement sous silence un événement, une initiative ou une démarche, il est quasiment mort-né. Les médias ont le pouvoir de rendre visible un événement, mais aussi de l’invisibiliser. C’est cela la Ghost-news !

Il nous manque en tant que citoyen une rigueur personnelle, qui permettrait de nous libérer de ces grands récits médiatiques. Qui nous transformerait définitivement, non plus spectateur, mais en acteur du monde.

 

La nouvelle donne médiatique mondiale

En quelques mois, le contenu des médias nationaux et internationaux a profondément changé en Occident, s’inscrivant dans un mouvement progressif d’entente qui pose question. Les symptômes se trouvent dans l’orientation de leurs contenus, moins enclins à la logique et à l’objectivité mêmes contradictoires. Ils privilégient désormais les émotions et l’agressivité.

Depuis une quarantaine d’années, on assiste à un regroupement progressif de médias au sein de trusts internationaux au détriment de médias locaux et indépendants qui disparaissent en masse. Actuellement, 14 groupes se partagent plus des deux tiers de la presse occidentale (21st Century Fox, Bertelsmann, CBS Corporation, Comcast, Hearst Corporation, Lagardère Group, News Corp, Organizações Globo, Sony, Televisa, The Walt Disney Company, Time Warner, Viacom, Vivendi)*, ceci conduisant à "l’illusion du choix", soit l’impression de disposer d’un éventail infini d’options pour obtenir nos informations. Tout économiste sachant que les monopoles sont excellents pour les fournisseurs, mais mauvais pour les consommateurs, la conséquence directe des réductions de personnel causées par cette consolidation est que les journalistes deviennent souvent de plus en plus dépendants des relations publiques pour leurs reportages, d'autant plus qu'une grande partie des nouvelles sont désormais pré-écrites par des professionnels des relations publiques qui travaillent pour une bureaucratie publique ou privée. Cela signifie que les histoires sont tournées pour répondre aux besoins des entreprises ou du gouvernement en avance ! Cerise sur le gâteau, le trafic Internet est contrôlé par cinq ou six sociétés qui privilégient ces sociétés sous les auspices de la lutte contre les "fausses nouvelles".

Désormais, l’alliance opérée par Google Media Lab et First Draft tisse des liens entre ces groupes qui détenaient déjà une position dominante, avec la présence des trois principales agences de presse de la planète (Associated Press, Agence France-Presse, Reuters). Comment ne pas penser que ce rapprochement participe non d’un objectif de fixation de prix, mais de fixation des esprits par une pensée dominante*², tout particulièrement sur la couverture des terrains d’opérations militaires (Moyen-Orient, Ukraine…). Dans la mesure où la propriété et le financement de ces sociétés sont criblés de conflits d’intérêts, que les histoires cruciales continuent d’être enterrées de façon suspecte, et que les grandes entreprises technologiques censurent et démonétisent carrément les médias indépendants qui tentent de percer le mur "du çon", il en résulte que près de 90 % des personnes sondées évaluent leur confiance dans les médias grand public comme étant "très faible" ou "faible". La consolidation sans cesse croissante des médias réduit inévitablement les perspectives auxquelles le public a accès.

 

Cette démarche ne vise pas à mieux comprendre le monde, mais à mettre à terre les gens, à abattre tel dirigeant politique considéré comme un obstacle, ou à empêcher tel ou tel réseau de distiller une information dérangeante, les affaires Telegram en 2024 (arrestation en France de son dirigeant Pavel Durov pour des prétextes fallacieux et ubuesques) et X, anciennement Twitter, avec l'interdiction de sa diffusion au Brésil la même année par un juge de la Cour suprême, ou précédemment par le groupement des annonceurs publicitaires Media Matters visant à provoquer l’exode des annonceurs de cette plateforme par la publication d'un article trompeur qui prétendait que X permettait à de grandes marques d’afficher des publicités à côté de contenus antisémites et pro-nazis (le procès se tiendra en avril 2025).

Les membres partenaires s’interdisant de faire preuve d’esprit critique entre eux, l’idée que le monde se divise en deux entre ceux qui disent la vérité et les "autres" peut se propager insidieusement. Cette démarche porte indiscutablement atteinte au principe du pluralisme comme de la présomption d’innocence, préalables de toute démocratie, et ouvre la voie à une société totalitaire par la manipulation permanente, notamment des élections. A noter que le tentaculaire Google, sentant peut-être le vent commencer à tourner, a décidé en 2024 dans la perspective des élections présidentielles américaines 2024 la mise en oeuvre de restrictions incluant l’absence de réponses à un large éventail de requêtes liées aux élections, y compris les candidats, les processus de vote et les résultats des élections. Les produits concernés sont les superpositions Search AI, les résumés générés par YouTube AI pour Live Chat, Gems et la génération d’images de Gemini. L'entreprise a habilement justifié  avoir procédé à ce changement en raison de "problèmes de désinformation", notamment dans le cadre des élections...

* Aux Etats-Unis, Comcast, Disney, AT&T, Sony, Fox et Paramount Global (anciennement connu sous le nom de ViacomCBS) – contrôlent 90 % de ce que le citoyen regarde, lit ou écoute. 

Des études ont montré que la couverture médiatique a parfois un fort impact sur les décisions des tribunaux pénaux, en particulier pour les crimes violents. Et en influençant les consommateurs et les investisseurs, notre cycle actuel d’informations en temps réel, 24 heures sur 24, peut avoir un impact sur notre climat économique, en influençant la valeur marchande de certaines industries et entreprises.

  

Désinformation étatique : la bien nommée loi RESTRICT Act

La loi RESTRICT, relative à la limitation de l’émergence de menaces pour la sécurité des technologies de l’information et de la communication, a pour objectif de confirmer l'emprise tyrannique de l’État quant aux informations mises à la disposition de l’ensemble de la population à l'heure d'internet et de la décentralisation des médias et autres canaux d’information qui en a résulté. Soumise en 2023 à l’examen du Congrès après la loi USA PATRIOT établie après les attentats du World Trade Center en 2001, privative de nombre de libertés jusqu'alors en vigueur, son entrée en application constituera une étape supplémentaire dans le contrôle de gouvernements autocratiques et illibéraux se sentant menacés par la chaîne d’approvisionnement mondiale en TIC dont nombre de fournisseurs (plateformes comme Facebook ou YouTube) sont déjà soumis au contrôle, quelle qu'en soit la nature (infrastructures internet, communications en ligne, marchés de logiciels en réseau...).

Cette loi donne en effet au ministère du commerce les moyens d’examiner, de prévenir et d’atténuer les transactions TIC qui présentent un risque excessif, protégeant ainsi la chaîne d’approvisionnement des États-Unis aujourd’hui et à l’avenir. Pour en permettre l'adoption, elle a été présentée publiquement comme une action préventive contre la menace dite existentielle de la populaire plateforme de médias sociaux TikTok qui, comme d'autres, appartient à des États étrangers, la Chine en l'occurrence, ces États étrangers pouvant distribuer ou faciliter la diffusion d’informations qui vont à l’encontre des récits véhiculés par l'État national. Le fait que des États rivaux présentent des récits alternatifs à la population nuit en effet à sa légitimité, nécessaire à l’existence de l’État, à sa survie. Ceci explique pourquoi, depuis quelques années, le gouvernement américain est sur la défensive et utilise des moyens clandestins pour influencer les canaux d’information (comme on peut le voir avec les dossiers Twitter).

Il en découle que si l’État se sent menacé c'est qu'il a peur ! Aussi, en cas d'adoption, les États-Unis auront leur propre censeur sous lequel aucun rayon de lumière, d’où qu’il vienne, ne pourra à l’avenir passer inaperçu et ne pas être reconnu par l’État, voire être privé de son éventuel effet utile. Combien de temps faudra-t-il attendre avant que cette loi ne s’applique à tous les médias considérés comme des adversaires en les  réprimant comme "adversaires nationaux" au titre de théoriciens du complot et diffuseurs de "désinformation" amenant le public à douter de sa pourtant propagande idéologique ? L'État doit aussi contrôler l'information, car si l’information est libre et que les gens peuvent faire des recherches et discuter librement, la légitimité de l’État, et donc son existence même, est menacée.

 

"Nous n’avons aucune obligation d’écrire l’histoire. Nous n’avons aucune obligation de faire de l’art. Nous n’avons aucune obligation de faire une déclaration. Gagner de l’argent est notre seul objectif."

Michael Eisner, ancien directeur général de Walt Disney dans un tristement célèbre mémo interne qui a fait l’objet d’une fuite

 

"Celui qui contrôle les médias contrôle l’esprit".

James Douglas dit Jim Morrison (1943/1971) chanteur et poète américain, cofondateur du groupe de rock américain The Doors

 

 

Fabrication d'une bulle

A l'image de l'ex Président états-unien Barack Obama, le système médiatico-financier a réussi à fabriquer une bulle destinée à la défense de ses intérêts à l'occasion de la présidentielle française de 2017. Elle se nomme Emmanuel Macron et son mouvement d'alors "En marche" établi pour son ascension politique, pur concept marketing à la substance creuse à l'image des formats de télé-réalité prisés par les décervelés et autres illusionnés de notre société désacralisée. En l'espace de quelques mois, bénéficiant du soutien de parrains prestigieux et de leurs relais institutionnels aux ordres, une légende destinée à bousculer le vieil establishment en place à bout de souffle et discrédité est sortie de nulle part. L'homme est incontestablement talentueux, et qui plus est cultivé, avec des racines littéraires indéniables. Mais aux éditorialistes serviles parlant de vent nouveau, de dame Chance et d'alignement favorable des planètes, le réalisme du "système" dominant établi amène à reconsidérer cette fable grotesque qui, si elle illusionne pour partie les idolâtres infantilisés, ne dupe guère les observateurs attentifs de cette énième valse des pantins. Il n'était qu'un produit fabriqué pour faire en sorte que tout change sans que rien ne change, produit fabriqué par l'oligarchie financière*. Ce pur produit de l'excellence française, de la verticalité jupitérienne comme il se présentait lui-même, était en effet fait pour plaire au "bloc central", pour lui donner l'illusion d'être dans le bon camp, celui du progrès et de l'avenir, en contradiction entre le jupitérisme et l'horizontalité de la nouvelle société devant s'ouvrir aux attentes des citoyens.

L'enjeu n'est ni plus ni moins la survie de l'Europe dans sa raison d'être actuelle, soit la spoliation d'une majorité au bénéfice d'une minorité de prédateurs sans scrupules, tout l'argumentaire sur les bénéfices avérés du modèle européen n'étant que l'écume de surface, aussi judicieuse soit-elle*². La stratégie du système bien-pensant et européiste-mondialiste ne peut en effet qu'axer la promotion de l’Europe sur sa promesse de la paix et de la force à plusieurs face à la menace d'autres blocs, ainsi que sur la menace de misère qui résulterait d'une volonté de sortie. Le problème est que l'Europe est parvenue à une quadruple impasse - économique, sociale, culturelle, gouvernance -, qui ne sera jamais réglée tant que les règles du jeu en vigueur ne sont pas redéfinies en toute connaissance de cause. Le cœur du problème de l’avenir de l’Europe est un choix entre le saut fédéral ou le retour aux nations souveraines. S’il n’y a pas de possibilité d’aller vers plus d’Europe pour rendre fonctionnel et techniquement viable le fonctionnement actuel des institutions européennes, alors nous serons contraints, par la force des choses, d’aller vers de moins en moins d’Europe et de privilégier évidemment l’échelon national qui, d’ailleurs, reste le seul susceptible d’assurer réellement un fonctionnement démocratique. Or ce débat, pour permettre un choix politique clair, à partir d'un débat démocratique exemplaire, a été enlevé pour laisser place à une tartufferie démocratique.

Il en résulte que si, quelques années de tromperie plus tard ayant entraîné une dégringolade continue tant de l'économie que de la crédibilité d'un fonctionnement institutionnel - notamment judiciaire - respectueux de la souveraineté nationale et de l'intérêt du peuple au regard des exigences proclamées d'une démocratie, d'aucuns se demandent benoîtement comment ils ont pu autant se tromper dans leur soutien à ce "Mozarillon du Palais" présenté initialement comme un génie de la finance par ses maîtres artificiers. La réponse est l'arrogance et la suffisance de tous ces grognards de la macronie de la première heure comme de la seconde, à quoi se sont rajoutés l'opportunisme pour l'obtention de prébendes confortables ainsi que le déni de la décomposition de la France qui s’inscrit dans un mouvement général d’affaiblissement de l’Occident, et même de crise de l’Occident.

Il résulte de ce vulgaire ballon de baudruche et pur produit marketing, détesté par le peuple pour sa violence autant verbale que physique, marques emblématiques de sa psychopathie aigue, un champ de ruines fumantes.

* Il a travaillé comme banquier d’affaires chez Rothschild & Cie Banque entre 2008 et 2012, où recruté fin 2008, il avait été promu associé de la banque en 2010. Selon le Financial Times, M. Macron y a gagné environ 2,9 millions d’euros. Qualifié lors de sa campagne présidentielle de 2017 de "candidat de la finance", il le justifia pleinement en réussissant comme candidat indépendant avec un parti nouvellement créé à lever rapidement 13 millions d’euros. Les fonds provenaient principalement d’un puissant réseau de banquiers, de financiers et d’hommes d’affaires, la législation française lui ayant opportunément permis de garder secrète la liste de ses rutilants donateurs...

Cf. Le modèle européen décodé (2) - L'idéologie mondialiste.

 

Ascension "providentielle"

Le Bilderberg et ses sections telles que la "French-American-Connection" placent leurs pions aux plus hauts niveaux des hiérarchies gouvernementales et européennes. Ainsi Emmanuel Macron, ancien inspecteur des finances sorti de l'ENA en 2004, a été repéré très tôt par les "chasseurs de têtes" du Bilderberg. Il est nommé rapporteur de la Commission Attali (Commission pour la libération de la croissance française) sur recommandation de son dirigeant Jaques Attali, se mettant en 2008 "en disponibilité" de la fonction publique. Il devient "banquier d'affaires" au sein de la banque De Rothschild, l'une des antichambres du pouvoir et au cœur du système Bilderberg. Sa "docilité" lui rapporte la décoration suprême, Associé-gérant. Il pilote ainsi une fusion acquisition pour le compte de Nestlé, de plus de 11 milliards de francs suisses, les royalties offertes le rendant millionnaire en €uros... Il est dans la foulée nommé Secrétaire Général-adjoint de la Présidence de la République, le voyant par le biais du "pacte de responsabilité" et du "crédit d'impôts pour la compétitivité et l'emploi" offrir deux beaux cadeaux à ses comparses du Medef, le syndicat patronal du capitalisme français. Il quitte en juin 2014 le cabinet de François Hollande, Chef d'Etat d'alors, où il cumulait les postes de "Conseiller Economique et Financier" et de "Secrétaire Général Adjoint de l’Élysée", officiellement pour des projets personnels... Ceux-ci, très vite menés, le voient nommé ministre de l’Économie, de l'Industrie et du Numérique du gouvernement Valls II, avant que de s'émanciper pour réaliser le coup de Jarnac* parfait en captant à son profit l'élection présidentielle de 2017 en bénéficiant d'une couverture médiatique de l’intelligentsia industrielle mise exclusivement à son service. Le tout sans qu'à ce jour il n'ait jamais été élu où que ce soit, pour quelque mandat que ce soit. Une belle usurpation de la soi-disant démocratie !

* En référence au coup violent, habile et imprévu porté de manière déloyale ou pernicieuse à l’arrière du genou ou de la cuisse de son adversaire par Guy Chabot de Jarnac lors d'un duel judiciaire en 1547.

 

L'illustration emblématique de cette radicalisation médiatique est le traitement de la crise sanitaire des variantes du coronavirus, les Covid-19 et Covid-21. La technique employée consiste à décrédibiliser toute personne qui pose des questions dérangeantes, en la traitant de "corona-sceptique", "d’antivax", de "complotiste" ou de "conspirationniste". Ce qui est sous-entendu, c’est leur absence de crédibilité par leurs croyances farfelues, ineptes et dangereuses, niant la nécessité de préserver de garder un nécessaire et salutaire esprit critique sur ce que nous vivons et sur ce qu’on nous impose. Cela ne signifie pas s’opposer coûte que coûte aux autorités, simplement de se questionner, d’autant quand c’est notre santé qui est en jeu.

La liberté d’expression et la pluralité de voix, pourtant fondements de ce qui est revendiqué comme un fonctionnement démocratique, est balayé, les médias ne jouant plus leur rôle critique. Il n'est qu'à voir les grandes chaînes de télévision, qui n’invitent pratiquement que des experts entretenant la peur, la panique, et prônant des mesures coercitives fortes. Les journaux de leur côté font plus du sensationnalisme qu’un vrai travail journalistique d’enquête et d’information. Quant aux réseaux sociaux, ils censurent sans vergogne les avis divergents, à l'instar de Facebook qui a annoncé en février 2021 qu’il supprimerait dorénavant toutes les publications allant à l’encontre du discours officiel, et qu’il mettrait en avant tous les messages qui incitent à se faire vacciner. De quel côté vraiment est le complot ?

 

Contre-culture, ou la guerre de l'information

Une des parades privilégiées du système institutionnel aux commandes est de pointer du doigt avec véhémence au nom du complotisme pathologique ce qui va à l'encontre de ses intérêts, et ce avec l'appui des organismes médiatiques relais, traditionnels ou numériques avec ses trolls "débunkers" soi-disant démystificateurs tel le youtubeur "Defakator", l’homme qui défèque sur les fake et qui à cause de la "complosphère" est obligé de cacher son visage derrière un masque, et qu'il contrôle, directement ou indirectement.

Ainsi par exemple le phénomène des "cercles de récolte" (crop circles en anglais, mot inventé par l'ingénieur britannique Colin Andrews à la fin des années 1970), peut-être lié aux OVNIs, a fait l'objet d'une remarquable campagne de désinformation en 1991. Tandis que le phénomène prenait de l'ampleur, les médias britanniques et internationaux délivrèrent subitement, et de concert, l'information selon laquelle deux retraité britanniques, Doug Bower et Dave Chorley, étaient les auteurs des figures depuis 1976. La nouvelle fut dabord lancée par le journal "Today", le 9 septembre 1991, puis fit le tour du monde des rédactions. Elle se révéla vite mensongère, mais ne fut jamais corrigée par les médias qui l'avaient véhiculée (seuls 10% des cercles dans le monde sont l’œuvre des hommes).

C'est aussi le cas de la dénonciation du mouvement QAnon, une mouvance présentée comme regroupant les promoteurs d'une théorie du complot d'extrême droite selon laquelle l'ex président des États-Unis Donald Trump livrait une guerre secrète contre des élites implantées dans le gouvernement (l'État profond ou Deep State), les milieux financiers et les médias, afin de mettre fin à des crimes pédophiles et sataniques. Elle a commencé le 28 octobre 2017 avec le premier message publié par Q sur le forum anonyme 4chan3. Cette communauté, constituée selon les pourfendeurs accusateurs de partisans de Donald Trump, aurait ainsi répandu des fabulations contre des vedettes de Hollywood et des personnalités du Parti démocrate soupçonnées de participer à un réseau pédophile et satanique afin d'extraire de leur sang l’adrénochrome. En mai 2019, une note interne du FBI a même appelé à surveiller la mouvance comme source potentielle de terrorisme intérieur. Autrement dit, c'est l'hôpital qui se moque de la charité, cette organisation étant bien sûr exemplaire dans son mode de fonctionnement depuis sa création*² ! Seul l'appel à son intuition profonde, corroboré à une sérieuse et indépendante recherche d'informations, permet de savoir où se situe la "vérité".

* Cf. Les psychopathes qui nous gouvernent.

Le mot "hôpital" désigne un établissement médical depuis le XVIIe siècle, géré à l'époque par un donneur d'ordres qui se nommait "charité". L'hôpital, n'ayant rien à envier à la charité, n'a donc aucune raison valable de s'en moquer, celle-ci ayant le même défaut que lui.

 

 

Les expériences de la programmation mentale au service de la politique publique passent par les sondages d’opinion, consubstantiels aux mass médias. Les campagnes de sondage de l’opinion publique ont, en fait, pour objectif de modeler et de manipuler l’opinion publique de la façon qui convient à leurs promoteurs, favorisant par exemple en politique tel candidat par rapport à tel autre. Une grande partie de ce que nous lisons dans les journaux ou que nous voyons à la télévision a d’abord été validée par des campagnes de sondage de l’opinion publique. Cette procédure est dénommée "façonnage de l’opinion publique". A l’aide de milliers de spécialistes dans les nouvelles sciences sociales qui se trouvent à leur disposition, et en contrôlant tous les médias, spécialement les agences d’information, "ils" peuvent créer de nouvelles opinions publiques presque sur tout sujet, qui seront ensuite disséminées dans le monde entier en moins de deux semaines.

L’idée simple se trouvant à la base de cette méthode de conditionnement social repose sur la compréhension de la façon dont l'opinion publique est réceptive envers les directives politiques adressées par les organismes pluridisciplinaires contrôlant directement ou indirectement la "bande des cinq" (Cf. précédemment). Les individus sont nommés "groupes cible de la population", les sondages d’opinion mesurant en fait leur résistance envers l'information qui leur est présentée, tout particulièrement à la télévision. Selon les résultats obtenus par ces baromètres d’opinion, des décisions et mesures sont prises, en s'attachant à corriger par des méthodes de programmation et de manipulation adéquates les déviations des groupes cible dans la direction souhaitée. Les citoyens vivent avec l’impression qu’ils sont bien informés par leur État de droit et la pluridisciplinarité médiatique, sans se rendre compte que l’opinion acquise a été entièrement créée dans les institutions de recherche dédiée par des groupes de pensée qui pensent à leur place... Ils ne sont donc pas libres de former leur opinion, et ceux qui osent le faire sont immédiatement sanctionnés du point de vue social, en étant marginalisés, mis à l'index, déconsidérés.

Il existe indéniablement un microcosme entre les instituts de sondage, la politique, le monde des médias et celui des affaires, aux "conflits d’intérêts" en cascade.

Cf. John Naisbitt, auteur états-unien, livre "Trend Report" décrivant toutes les techniques construites par les façonneurs de l'opinion publique.

 

Qui se "cache/cash" derrière les Instituts de sondage ?

Les sociétés ou instituts de sondages sont des sociétés à but lucratif. Parmi les plus importantes se trouvent :

OpinionWay est un Institut d’Études fondé en 2000 entre autres par Hugues Cazenave, aux accointances non dissimulées avec l'ex parti RPR rebaptisé UMP puis Les Républicains. Parmi ses clients naturels se trouvent des organes de presse comme Le Figaro ou Valeurs actuelles.

Kantar TNS (ex SOFRES) a pour actionnaire le groupe média britannique WPP.

L'Institut CSA est contrôlé par l'homme d'affaires Vincent Bolloré, également propriétaire du Groupe Havas, d’une télé, de plusieurs quotidiens gratuits et, par son contrôle du groupe Vivendi, détient le groupe de télévision Canal +.

IPSOS est contrôlé par ses deux fondateurs (l'un est décédé). Il a été de 1981 à 2007 le prestataire attitré de la présidence de la République française, payé avec les fonds secrets (supprimés depuis).

BVA est une société indépendante détenu principalement par son directoire, ayant pour actionnaire complémentaire Capzanine, société de gestion de FCPI (fonds d’investissement).

IFOP a pour propriétaire depuis sa cession en 2016 la famille Dentressangle, qui a fait notamment fortune dans le transport logistique.

Il convient de mentionner la société Publifact (sondages) et le cabinet GiacomettiPeron rebaptisé No Com (études d'opinion), toutes deux en instruction judiciaire pour des faits présumés délictueux dans leur relation avec la présidence de la République sous la mandature de Nicolas Sarkozy.

 

Dévaluation de la parole, ou l'art de la désinformation

Il en va de la parole comme de la monnaie, elle se dévalue. Elle est un signe, un symbole, qui tire sa valeur de sa capacité à représenter le réel. Or, qui peut prétendre à connaître le Réel, le "petit" réel caractérisant simplement une dimension de réalité limitée, la "3-D"*. Celle-ci voit la loi de la dualité s'appliquer, c'est-à-dire l'alternance mensonges et vérités et tout son dégradé de nuances suivant l'état d'éveil des individus. Les Forces de l'Ombre et des Ténèbres présidant la gouvernance des affaires terrestres, il en découle d'inévitables tricheries et duperies, fruits gâtés de l'ingénierie sociale, qui escamotent en permanence le Réel à l'échelle nationale ou mondiale, le remplaçant par un faux, ce qui a été théorisé par d'éminents philosophes tel le français Michel Foucault (1226-1984) affirmant que la vérité n'existait pas (en ce bas-monde s'entend), et que seules comptaient la loi du plus fort, la répétition et la manipulation. Tels sont les êtres humains asservis à ces Forces entropiques, des faux-monnayeurs, de la monnaie comme de la parole. Nul besoin pour l'initié de comprendre ce que les philosophes comme les psychanalystes ont démontré concernant les possibilités de disjonction qui existent entre d'un côté le langage, la parole, le discours, et de l'autre côté le réel, la vérité, le monde. La relativité de ce qui est nommé la vérité*² est consubstantielle à ce monde vicié dans sa nature première, soit l'expérimentation de la matière, le monde des formes illusoires, avant que de retourner, peut-être, une fois la leçon apprise à la Vraie Lumière. Car tel est le Jeu du Vivant!

Si la désinformation est un art ancien, elle voit de nos jours le courant relativiste et pragmatique basé sur l'axiome "la fin justifie les moyens" accélérer la prise de contrôle du monde à son profit. En cette fin de cyclicité civilisationnelle, la modernité est en effet basée sur les incessants progrès des techniques, notamment la digitalisation. Elle conduit, par le pouvoir hypnotique des images combinées aux sons martelés par les supports médias diffuseurs et la diversité des réseaux sociaux relais qui favorisent l'immédiateté, à l'érection d'une tyrannie, le transhumanisme du Nouvel Ordre Mondial*³. Sa légitimité se construit dans la répétition, dans la convergence des avis des pseudos-experts invités des plateaux médias ou revues spécialisées, et l'usage immodéré de fake news sinon de deepnews, le tout conduisant à la destruction systématique d'une démocratie (même si très relative) mise au pas sous le joug de majorités de circonstance bâties sur le clientélisme et l'hypnose de foules crédules. Son idéologie de contrôle pyramidal, globaliste, mondialiste et géopolitique*, consiste à définitivement asservir tous les êtres humains décérébrés par l'appauvrissement continu de l'instruction, de l'absence de la pensée critique au profit du politiquement correct, et de non-propagation de la Sagesse éternelle, débarrassée des faux-semblants des philosophies existentielles désacralisées. Il en résulte soumission et obéissance par la peur (le mécanisme sanction/récompense tel que démontré en neurosciences) à des voies réglementaires et législatives qui constituent des impasses, car sacralisant simplement la vérité officielle, autrement dit celle de la nomenklatura gouvernante. Or le Vrai n'a jamais dépendu du nombre ou de la force. Il est en soi, trésor suprême de sa libération !

Cf. La falsification de la réalité en 3-D.

Cf. Qu'est-ce que la Vérité ?

*³ Cf. Conscience du XXI° siècle.

*Cf. Le modèle pyramidal décodé & Le modèle européen décodé (2) L'idéologie mondialiste.

 

Le danger des GAFAM

Google, Apple, Facebook et autres géants des technologies se servent des informations personnelles fournies gratuitement par les utilisateurs, telles que anniversaires, taille du foyer, résidence, intérêts, hobbies, amis, préférences d'achat, etc. Cette collecte leur permet de développer des profils approfondis de chaque utilisateur, qui sont groupés par habitudes et centres d'intérêt communs, les données étant exploitées à l'aide de l'intelligence artificielle. Cette base de données interconnectée est ensuite vendue aux publicitaires et développeurs d'applications, qui ciblent le public à l'aide d'argumentaires conçus sur mesure, vantant toujours plus d'applications, jeux, biens de consommation, services de transport et autres produits "gratuits".

Le premier résultat obtenu est un bombardement sensoriel, conçu pour être addictif, via lequel les consommateurs ne cessent de cliquer ou de tapoter sur des écrans, au détriment d'interactions humaines équilibrées. Le second, beaucoup plus grave, est que les profils sont vendus à des gouvernements étrangers, qui les associent à la reconnaissance faciale et autres outils de surveillance*, en vue d'arrêter des dissidents politiques et de réprimer l'opposition. Dans certains cas encore plus extrêmes, les profils personnels détenus par les grandes entreprises technologiques sont reliés à des informations volées via le piratage de dossiers administratifs de certains États, afin d'identifier des agents du renseignement qui sont ensuite arrêtés, torturés et tués. Tout ceci relève bel et bien de comportements totalitaires, le consommateur n'en étant pas le bénéficiaire mais la victime !

Tous ces "Goliath de l’Internet" commencent de ce fait à poser problème dans une conception "démocratique" de la société. Condamnés à diverses reprises pour pratiques abusives et mépris de l'égalité fiscale, ils sont désormais accusés de manipuler le marché comme de faire le jeu de puissances étrangères. C'est ainsi qu'à l'issue des élections présidentielles américaines de novembre 2020, marquées par de multiples fraudes même non considérées comme telles par les différents tribunaux saisis, dix États américains ont décidé d'engager des poursuites contre Google, menées par le procureur général du Texas. Elles portent sur le "comportement anti-compétitif" et les "pratiques d’exclusion" de la société.

Incontestablement, les GAFAM représentent désormais une menace existentielle, par leur taille, pour la démocratie, mais aussi pour le développement économique. Amazon est une superbe réussite, mais aucune société ne peut être laissée en position de domination sans partage. C’est à ces fins que les lois anti-trust avaient été écrites aux États-Unis. Un marché doit rester libre, et lorsqu’il y a monopole, ce n’est plus un marché, c’est une dictature. C’est ce que l’on appelle la régulation, et la régulation est indispensable. Les GAFAM vont se faire inévitablement réguler, et il va leur arriver la même chose qu’à Microsoft il y a quelques années, les grandes entreprises technologiques étant désormais attaquées par des gouvernements, partout dans le monde, pour toutes sortes d'abus émanant essentiellement de l'intrusion dans la vie privée des utilisateurs et du détournement de données-clients.

* Les bases de données sont constituées à partir de photos provenant des réseaux sociaux, de sites de photos, de sites de rencontre et de caméras disposées dans des restaurants et sur des sites universitaires. C'est ainsi que les défenseurs de la vie privée ont mis le doigt sur des bases créées par Microsoft, l'université de Stanford et autres, l'une d'entre elles contenant plus de 10 millions de photos, et une autre deux millions... Si les géants tels que Facebook et Google ont très probablement amassé de vastes ensembles de "données faciales", d'autres entreprises et universités partagent largement leurs précieuses collections d'images avec des chercheurs, gouvernements et entreprises privées en Australie, Chine, Inde, à Singapour et en Suisse pour alimenter l'intelligence artificielle, d'après des universitaires, activistes et certains journaux.

Cf. Conscience du XXI° siècle.

 

L'ère du capitalisme de surveillance

L'universitaire professeure émérite à la Harvard Business School, sociologue et femme de lettres américaine Shoshana Zuboff a dans son livre intitulé The Age of Surveillance Capitalism ("L'ère du capitalisme de surveillance") révélé comment les plus grandes entreprises technologiques du monde (Facebook, Google...) ont détourné les données personnelles des citoyens, ce qui est appelé les "flux de données comportementales excédentaires", et ce à leur insu et sans leur consentement, pour les utiliser tant contre eux que pour générer des profits. En compilant ces données résiduelles, elles peuvent prédire le comportement d’un internaute donné et garantir ainsi aux annonceurs une audience plus ciblée.

Elles ciblent pour ce faire la nature des pulsions intérieures pour les déclencher afin d'en profiter commercialement comme politiquement, et ce au moment où les individus sont les plus vulnérables. L'existence entière, notamment les humeurs changeantes, sont ainsi déchiffrées par leurs logiciels de reconnaissance faciale, le but étant de conduire les individus à faire (généralement acheter) ou penser quelque chose qu'ils n’auraient sans doute pas fait, acheté ou pensé.

Les expériences massives de Facebook, dans lesquelles l’entreprise a utilisé des signaux subliminaux pour voir si elle pouvait rendre les gens plus heureux ou plus tristes et affecter le comportement réel hors ligne, ont prouvé qu’en manipulant le langage et en insérant des signaux subliminaux dans le contexte en ligne, elle pouvait modifier le comportement et les émotions du monde réel, et que ces méthodes et pouvoirs pouvaient être exercés "sans que l’utilisateur en ait conscience".

De son côté, le système de sécurité Nest de Google intègre un microphone caché qui ne figure dans aucun des schémas de l’appareil. Les données vocales, et toutes les informations fournies par les conversations quotidiennes, sont extrêmement précieuses pour le Big Data, venant s’ajouter à ses capacités de modélisation prédictive en constante expansion. Il en est de même avec les voitures modernes qui sont également équipées de multiples caméras destinées à alimenter le Big Data. Et en ayant accès aux données d’à peine 1 % de toutes les voitures, ses promoteurs cachés ont "connaissance de tout ce qui se passe dans le monde" !

Le jeu en ligne Pokemon Go, créé par Google, a quant à lui été conçu pour manipuler le comportement et l’activité du monde réel à des fins lucratives. Bien entendu, les joueurs du jeu ne savaient pas qu’ils étaient des pions dans un véritable jeu de modification du comportement à des fins lucratives, car les récompenses et les punitions liées à la chasse à des créatures imaginaires étaient utilisées pour attirer les gens vers les McDonald’s, les Starbucks et les pizzerias locales qui payaient l’entreprise pour les "passages", exactement de la même manière que les annonceurs en ligne payent pour les "clics" vers leurs sites web.”

Sans oublier le scandale de Cambridge Analytica, entreprise de marketing politique, qui en 2018 a utilisé les données Facebook de 80 millions d’Américains pour déterminer les meilleures stratégies de manipulation des électeurs américains. Son ancien directeur de la recherche, Christopher Wylie, a dénoncé les méthodes de l’entreprise, les données récoltées sur les gens permettant de savoir comment déclencher la peur, la rage et la paranoïa chez un individu donné. En déclenchant ces émotions, l'entreprise pouvaient les manipuler pour qu’ils consultent un certain site web, rejoignent un certain groupe et votent pour un certain candidat...

Tout ceci entend que l'individu est devenu le produit, la matière première, le véritable flux de revenus de l'économie numérique, et ce au moyen d’opérations conçues pour être indétectables, indéchiffrables, enveloppées dans une rhétorique qui vise à le tromper, l'obscurcir et l'embobiner tout le temps.

Enfin, la crise sanitaire du coronavirus utilise également la "sécurité" comme moyen de démanteler la vie privée. En Corée du Sud, les agences gouvernementales exploitent les images des caméras de surveillance, les données de localisation des smartphones et les relevés d’achats par carte de crédit pour aider à retracer les mouvements récents des patients atteints de coronavirus et établir les chaînes de transmission du virus. En Lombardie, en Italie, les autorités analysent les données de localisation transmises par les téléphones portables des citoyens pour déterminer combien de personnes obéissent à un ordre de confinement gouvernemental et les distances types qu’elles parcourent chaque jour (environ 40 % d’entre eux sont considérés comme se déplaçant "trop"). En Israël, l’agence de sécurité intérieure du pays a commencé à utiliser une base de données de localisation des téléphones portables – initialement destinée aux opérations de lutte contre le terrorisme – pour tenter de localiser les citoyens qui ont pu être exposés au virus. L’armée israélienne de son côté utilise bien sûr l’intelligence artificielle pour identifier les militants palestiniens présumés à assassiner, avec un système connu sous le nom de "Lavender". Il est conçu pour passer au peigne fin les données personnelles des deux millions d’habitants de Gaza afin de dresser des listes de personnes soupçonnées de servir dans les ailes militaires du Hamas et du Jihad islamique palestinien (PIJ). De même, son service de renseignement le Mossad, en charge du renseignement extérieur et des opérations spéciales, a fait sauter en septembre 2024 des centaines d'appareils émetteur-récepteur radio mobile de radiomessagerie (bipeurs -pagers en anglais - et talkie-walkie en anglais) des appareils de fabrication taïwanaise, japonaise, américaine et européenne de membres présumés du Hebzollah ("Parti de Dieu"), le parti politique et groupe paramilitaire islamiste chiite qu'il considère comme terroriste, basé au Liban à Beyrouth. Cette opération consistant à faire sauter à distance simultanément des mobiles, bipeurs et autres produits connectés, a conduit à saturer les hôpitaux libanais. Cette action terroriste coutumière des méthodes de Tsahal, l'armée israélienne, démontre les capacités de guerre secrète et asymétrique de l’État d'Israël, notamment en matière de surveillance électronique, les 5 000 pagers puis les 3 000 talkies-walkies ayant été fabriqués ou modifiés un par un par des spécialistes des dispositifs électroniques contrôlables à distance (smartphones, baladeurs, écouteurs, batteries de véhicules hybrides ou électriques…) et des artificiers fournis par des chimistes spécialisés dans la fabrication d’explosifs de très forte puissance. Une chose est sûre, jamais de tels succès n’ont été observés en 5 000 ans d’Histoire sans qu’un traître au plus haut niveau d’une organisation ou d’un Etat n’ait permis une éradication quasi intégrale, Israël ayant démontré en l'occurrence sa redoutable efficacité. En effet, ce traître ne peut qu’être issu du Hezbollah, voire des rangs des plus hauts responsables iraniens...

Si les informations communiquées librement sont les moins importantes des informations personnelles recueillies, celles-ci étant  avant tout utilisées pour améliorer les services, elles sont cependant utilisées pour modéliser le comportement humain en analysant les modèles de comportement de centaines de millions de personnes. Une fois que le modèle d’entraînement est suffisamment important, il est possible de commencer à prédire avec précision le comportement de différents types d’individus au fil du temps. Les données recueillies sont également utilisées pour prédire toute une série d’attributs individuels, tels que des traits de personnalité, l’orientation sexuelle, l’orientation politique, soit autant de choses que les citoyens n'ont jamais eu l’intention de divulguer. C'est tout particulièrement le cas avec la transmission des photos  téléchargées sur les médias sociaux, le visage étant utilisé à notre insu et sans notre consentement afin de former un logiciel de reconnaissance faciale*. À titre d’exemple, le gouvernement chinois utilise un logiciel de reconnaissance faciale pour suivre et surveiller les groupes minoritaires et les défenseurs de la démocratie. En outre, les pratiques de collecte et d’utilisation des données des principaux médias sociaux et services de streaming vidéo, montrent qu’ils se sont engagés dans une vaste surveillance des consommateurs afin de monétiser leurs informations personnelles, tout en ne protégeant pas de manière adéquate les utilisateurs en ligne, en particulier les enfants et les adolescents. C'est tout particulièrement le cas de Amazon.com, Inc. qui possède la plateforme de jeux Twitch ; Facebook, Inc. (maintenant Meta Platforms, Inc.) ; YouTube LLC ; Twitter, Inc. (maintenant X Corp.) ; Snap Inc. ; ByteDance Ltd, qui possède la plateforme de partage de vidéos TikTok ; Discord Inc. ; Reddit, Inc. et WhatsApp Inc.

La question bien sûr est que les citoyens du 21e siècle ne devraient pas avoir à choisir entre passer à l’analogique ou vivre dans un monde où leur autodétermination et leur vie privée sont détruites au nom de cette logique de marché. Si cela est inacceptable, c'est qu'ils sont dirigés par de mauvaises personnes au sein de leurs gouvernements, celles-ci étant tentées d’annexer leurs capacités pour contrôler de leur existence et s'assurer de leur maintien en esclavage. Nous sommes bel et bien entrés dans une décennie marquée par une nouvelle forme d’inégalité sociale que l’on peut qualifier d'"inégalité épistémique", en raison d'asymétries extrêmes de la connaissance et du pouvoir qui en découle. Les capitalistes de la surveillance (Google, Facebook, Amazon et Microsoft) exploitent l’inégalité croissante de la connaissance au nom du profit, manipulant sans vergogne l’économie, la société et nos vies en toute impunité. Ils mettent de ce fait en danger non seulement la vie privée des individus mais aussi la démocratie elle-même… Motif d'espoir, si les capitalistes de la surveillance sont riches et puissants, ils ne sont pas invulnérables. Ils ont un talon d’Achille : la peur. Ils craignent les législateurs qui ne les craignent pas, ils craignent les citoyens qui exigent une nouvelle voie à suivre. Aussi la question finale est : Qui écrira la musique, et qui dansera ?

* La photo téléchargée lors d’une fête fournit toute une série d’informations précieuses, qu’il s’agisse du type de personnes avec lesquelles nous sommes le plus susceptible de passer du temps, des endroits où nous sommes susceptible d’aller pour nous amuser ou des informations sur la façon dont les muscles de notre visage bougent et modifient la forme de nos traits lorsque nous sommes de bonne humeur.

 

Management sectaire

 

Peu mentionné dans les publications et autres couvertures médiatiques dédiées au monde de l'entreprise, le management à caractère "sectaire" est pourtant une pratique largement répandue. Il est la forme typiquement privilégiée au sein de la matrice pyramidale*, exacerbant le sentiment d'appartenance par l'usage de l'affect dans les relations interindividuelles. L'enjeu consiste à installer chez les individus un système de valeurs calé sur le culte d'une personne morale sublimée à travers l'incarnation de son dirigeant emblématique, passé ou présent, jusqu'au total dévouement. Cette fidélité idéologique combinant engagement, loyauté et esprit de sacrifice, est considérée comme la clé d'une productivité accrue comme d'une garantie de sécurité dans la défense des intérêts de l'entreprise, entre autres lorsque ses pratiques pourraient présenter un risque d'image et commercial. Ce management est assimilable à celui d'une secte dirigée par un "gourou" ou "illuminé", défendu corps et âme par une tribu de collaborateurs conditionnés. Les repères identitaires sont brouillés, les collègues proches devenant des amis voire une famille de substitut, et les patrons des pères. Ainsi fonctionne toute organisation (para) militaire, galvanisée par le drapeau, le port de l'uniforme et l'adhésion aux valeurs sacrificielles.

* Cf. Le modèle pyramidal décodé.

 

Culture d'entreprise délétère car sectaire

Axon Enterprise Inc. est une société américaine basée en Arizona, spécialisée dans les appareils de sécurité individuels non létaux. Elle est particulièrement connue car son précédent nom, Taser International, est confondu avec les pistolets à impulsion électrique qui immobilisent les suspects, et dont elle est un fabricant reconnu.

Chez le fabricant de Taser Axon, d’anciens employés affirment désormais que la loyauté signifiait se faire taser ou tatouer. Ils décrivent ces pratiques comme une culture de l’intégration, dans laquelle certains se sont sentis poussés à se faire taser devant des spectateurs, à se faire tatouer de manière permanente par l’entreprise, ou à adhérer à un plan d’action qui en a laissé certains dans l’embarras.

Bien entendu, Axon se défend, affirmant qu’elle ne fait jamais pression sur ses employés pour qu’ils fassent l’une de ces choses.

 

La recherche de la performance économique est bien sûr la raison d'être première de cette pratique managériale, découlant de cerveaux froids, dominés par la sphère rationnelle du mental propre au culte du chiffré. On la retrouve en vigueur dans nombre d'entreprises à caractère familial, de start-up, de cabinets de conseil et d'expertise, et dans de grandes entreprises pour lesquelles la réactivité au marché est cruciale. La servitude des employés, tout particulièrement des cadres dirigeants gardes-chiourmes, repose d'abord sur un système d'intégration destiné à écrémer rapidement les profils non adéquats parvenus à passer au travers des mailles du filet du recrutement, ainsi que par la prise en charge du nouvel entrant pour le fondre et le formater à la culture maison. Le rituel d'adoubement comme de mode de fonctionnement est sophistiqué, associé à une pression hiérarchique constante. Généralement, la société recrute des jeunes diplômés représentatifs du moule élitiste des grandes écoles, plus facilement perméables à l'endoctrinement, motivés et prêts à ne pas compter leurs heures. Il leur est fait miroiter des salaires conséquents et une évolution rapide en cas de succès, les contributeurs les moins performants étant éjectés ou servant de boucs-émissaires victimaires aux prédateurs assoiffés.

 

Ensuite, le système s'appuie sur un management par objectifs qualifiés et quantifiés, constant et séquencé en autant de jalons (hebdomadaire, mensuel, trimestriel, annuel), permettant de réguler la pression mise sur le collaborateur à chaque instant. La contrepartie se traduit par des conditions de travail agréables (équipement des locaux, voitures de fonctions luxueuses, souplesse sur les notes de frais) ou divers avantages (séminaires luxueux, cadeaux, invitations à des événements privés, nombreuses soirées dans des restaurants ou clubs de luxe). Tout est fait afin de créer un privilège à travailler pour l'entreprise au sein d'un cercle fermé, et de valoriser l'ego-mental exacerbé par les récompenses extrinsèques. Petit à petit, cette emprise sur la psyché et l'émotionnel est renforcée par la diffusion sous forme plus ou moins suggestive de la peur, celle sous-jacente du risque d'exclusion et de la perte des bénéfices octroyés. Elle passe par une forte pression, des encouragements quasi-inexistants, des humiliations et vexations, et des doutes affichés quant à la compétence et aux qualités du salarié. La communication est également contrôlée, les managers créant différents circuits de messages incluant ou excluant certains salariés. Cette segmentation, source de division aux fins de plus grand contrôle, aboutit à différents groupes se distinguant par la nature des avantages octroyés. Elle permet insidieusement de créer une comparaison entre chaque individu, en fonction des résultats ou des affinités. Il va sans dire que le système fonctionne avec la caution relais des acteurs en charge des relations humaines et sociales, soit complices actifs ou passifs dans l'orchestration managériale, soit confinés à des tâches de "simple" gestion et administration. Les sous-traitants intervenants - formateurs, coachs, conseils - sont également des alibis mis en avant pour justifier l'importance et la qualité des pratiques sociales de l'entreprise, quand ils ne s'en font pas les chantres zélés pour assurer la pérennité de leur business.

Les employés sont ainsi inscrits dans un modèle malsain, aliénant et destructeur de leur capacité à penser et à être dans leur authenticité profonde en dehors de l'accomplissement de leurs tâches. Devenus de parfaits robots biologiques formatés, dévoués à l'extrême et d'une totale disponibilité, ils peuvent servir quasiment sans état d'âme la quête boulimique incessante de performance de la société sur son marché, et servir d'exutoire aux pathologies comportementales de leurs donneurs d'ordre. Si l'exaltation est au rendez-vous dans les premiers temps, les conséquences sont désastreuses tant pour l'équilibre de l'individu que celui de son cercle familial ou amical.

 

Il est indéniable que les sociétés ayant adopté ce type de management affichent un taux de croissance conséquent, tant qu'elles trouvent à alimenter les besoins de leur mécanique infernale. De même, ce modèle offre une satisfaction et un épanouissement incomparable tant que le salarié illusionné est en situation de succès. Galvanisant lors des premières années de travail pour un jeune diplômé, il l'emprisonne toutefois lorsque celui-ci cherchera une vie sociale plus équilibrée, et prendra conscience des limites d'un engagement sacrificiel. Ceci explique l'importance du turnover (taux de remplacement), qui voit les plus fragiles et les plus lucides partir, les autres trouvant la plupart du temps le supplément d'énergie dans des addictions de toutes sortes (alcool, tabac, drogues, médicaments). Le lien qui unit les membres restant est bien sûr renforcé, mais au détriment de la diversité des profils susceptibles d'amener inventivité et innovation.

 

Nourrices du contrôle mental

 

Toute institution de par sa nature structurée a la volonté plus ou moins consciente d’induire des comportements dits normés. Certaines le sont par leur essence disciplinaire même - prison, armée -, d’autres par simple nécessité de fonctionnement - entreprise, hôpital, éducatif -… Les études sur le comportement, discipline nommée éthologie, sont développées tout particulièment avec la naissance de la psychologie et de la sociologie au tournant des XIX° et XX° siècles. De son côté, le développement de la chimie au XIX° siècle permet les débuts des études sur les psychotropes, médicaments généralement utilisés pour soulager l'anxiété, les troubles anxieux, mais aussi les troubles du sommeil.

L'une des premières apparitions du mind control - "contrôle mental" - ou Mind Kontrolle (MK) dans la culture grand public est la publication d'un roman intitulé The Manchurian candidate ("Le Candidat mandchou"), écrit par le romancier américain Richard Condon (1915/1996), et publié en 1959*. Dans l'éventail des méthodes de contrôle social scientifique contemporaines, il s'agit probablement de la plus radicale, rajoutant aux techniques d'hypnose des phénomènes de choc et de traumatisme afin d'obtenir la modification comportementale escomptée.

Ainsi le contrôle mental consiste à détruire autrui, de façon méthodique et rationnelle. Il permet l'emprise totale sur autrui et sa transformation à volonté, tout particulièrement à travers les rituels occultes et de magie noire. Quand cette modification planifiée et agissant sur l'infra-conscient du comportement est mise en œuvre au niveau des groupes, on parle d'ingénierie sociale, un contrôle mental de masse. Le principe illuministe Ordo ab chao de la démolition contrôlée des structures préexistantes au bénéfice d'un nouvel ordre à venir est bel et bien au cœur de cette méthodologie.

* Il fut adapté deux fois au cinéma avec le même titre : en 1962, avec Frank Sinatra dans le rôle principal ; en 2004, avec Denzel Washington et Meryl Streep, sorti en France sous le titre "Un crime dans la tête".

 

Le mystère des pratiques religieuses de l’Égypte ancienne, de la Grèce, de l’Inde et de Babylone, a aidé à jeter les bases de l’occultisme, de l'ésotérisme et de la "connaissance cachée". L’un des premiers écrits en référence à l’occultisme est le livre égyptien des morts, une compilation de rituels qui décrivent explicitement les méthodes de la torture et de l’intimidation (pour créer un traumatisme), l’utilisation de potions (la drogue) et la jetée de sorts (hypnose), aboutissant finalement à l’asservissement total de l’initié. Celles-ci ont été les principaux ingrédients pour une pratique dévoyée de l’occultisme, connue sous l’appellation de satanisme à travers les âges, les hommes ayant toujours le choix par leur libre arbitre de servir les forces énergétiques du courant de la vie ou celles de la mort ... Ainsi le satanisme a été bel et bien "vivant" depuis lors jusqu'à nos jours, restant non exposé derrière ses façades et cautions religieuses. Beaucoup de Rois européens - la lignée des "Mérovingiens" - étaient des satanistes qui avaient des troubles de la personnalité multiple (TPM)*, les familles royales du Danemark, des Pays-Bas, de l’Espagne et de l’Angleterre étant toutes impliquées dans l’occultisme et le satanisme. La famille Romanov qui avait des ramifications en Prusse et en Russie était aussi profondément immergée dans l’occulte.

* À moins qu’un sataniste ait un trouble de la personnalité multiple, il deviendra "fou" à cause des choses horribles vécues dans la pratique. Aussi seuls des satanistes avec un TPM peuvent survivre, la dissociation de leur personnalité leur permettant de rejeter dans l'inconscient la face sombre de leur personnalité. Il va sans dire que tous les individus impliqués, tout particulièrement dans les niveaux supérieurs de ces hiérarchies occultes, sont porteurs de TPM.

 

Au cours du XIII° siècle, l’Église catholique romaine a augmenté et consolidé sa domination dans toute l’Europe avec, entre autres, la tristement célèbre Inquisition*, revenant à vouloir soigner le mal par le mal. C'est pourquoi le satanisme occulte a survécu à cette période de persécutions sous le voile de divers groupes à caractère ésotérique. De son côté, l’expérimentation d'un contrôle mental à des fins de domination hors pratique coercitive extérieure est initiée avec la fondation de la Compagnie de Jésus au XVI° siècle au sein de l’Église romaine, par la personnalité hors du commun d’Ignace-de-Loyola (1491/1556), canonisé en 1622. Il va déployer ses talents manœuvriers dans la mission d’évangélisation confiée, et acquiert le nom de "pape noir", celui qui dirige le Vatican dans l'ombre. Il exige des jeunes candidats désireux de rejoindre l’Ordre des qualités remarquables : vigueur spirituelle, bonne mémoire, capacité oratoire. Leur éducation est sévère, combiné de jeûnes et de flagellation, confinant à la totale obéissance à partir d’une stricte hiérarchie, à l’instar d’un commando militaire. C’est ainsi que Ignace-de-Loyola théorise ses exercices spirituels et la contemplatio ad amorem (méditation sur la vie du Christ) pour modeler les esprits et purifier les âmes dans la compréhension du "message divin", soit la conversion. Par ces "illuminés" (Alumbrados) constitutifs d'une véritable force spéciale, la Compagnie sera de ce fait dénommée l’armée du pape, devant au souverain pontife qui trône à son sommet une obéissance perinde ac cadaver (semblable à un cadavre). Sa devise était Credo quod videam album nigrum, si hoc ita sit, quam Ecclesia vocat ("Je croirai qu’est noir ce que je vois blanc, si c’est ainsi que l’Église le qualifie").

Ces méthodes de concentration et de visualisation, par lesquelles les initiés seraient transformés, sont similaires à d’autres apprentissages occultes, comme ceux des cultes chamanes et du bouddhisme tibétain par les lamas, de l’apprentissage Zen de la société japonaise ainsi que de la Confrérie du Dragon Vert*². Elles se retrouveront dans la préparation de la prise du pouvoir en Allemagne par les Nazis, qui croyaient que cette connaissance secrète leur permettrait de changer leur race et devenir l’égal des hommes qui vivent sous Terre (les "Géants") ...

* Cf. L’Église romaine décodée.

Cf. La nouvelle religion universelle.

 

Cette emprise sur les esprits par la dissolution de leurs formes psycho-comportementales est qualifiée d'"effet gourou", soit la combinaison d'une capacité orale galvanisante et de l'utilisation orientée de l'émotivité* et de la suggestibilité des adeptes pour les assujettir et satisfaire ses intérêts particuliers, ceux-ci ayant été amenés à un nouvel agencement de leur psyché par un pilotage cette fois-ci extérieur. Il ne s'agit rien d'autre que d'une manipulation des croyances pour orienter l'émotion comme pour réorganiser les pensées et l'imagination, avec l'effet amplificateur du groupe d'appartenance. Elle a pour vocation de tromper la vigilance afin de contourner les mécanismes d'autodéfense psychologiques et atteindre l'inconscient plus directement. Ce phénomène s'apparente à une réduction du libre arbitre par le contrôle des pulsions primaires, d'où l'importance de faire basculer l'individu alternativement dans l'espoir et le désespoir afin de le maintenir dans un état permanent de crise.

Il convient simplement de distinguer les individus que l'on peut manipuler sans les faire entrer en transe, et ceux que l'on fait entrer en transe pour les manipuler. Ce phénomène d'emprise émotionnelle est apprécié par les gouvernances modernes comme par les régimes autoritaires, ainsi que toutes les oligarchies constituées en réseau d'influence et de contrôle social.

* Cf. L'expérience émotionnelle.

 

L'effet gourou, ou la dérive sectaire en neuf étapes

1) Établissement du lien de confiance par une approche se présentant comme désintéressée, à partir des mêmes intérêts "transcendants" réciproques.

2) Révélation de la "transcendance" maîtrisée par le faux prophète qui maintient habilement le flou sur le sujet.

3) Formation d'un embryon sectaire, l'enthousiasme des plus naïfs atteignant les autres par contagion. La conviction se fortifie et les défenses intellectuelles vacillent sous l'emprise émotionnelle.

4) Introduction de la peur par la révélation de forces du mal et menaces.

5) Consolidation de la peur par la révélation d'une "apocalypse" imminente nécessitant de se préparer à se retirer du monde et à vivre en autarcie.

6) Révélation de la méthode de salut.

7) Coupure des visions du monde concurrentes.

8) Désignation d'une "garde" rapprochée, messagers privilégiés parmi les adeptes les plus naïfs ou ayant un faible esprit critique et/ou d'autocritique.

9) La date de l'"apocalypse" est au besoin reportée et toutes les incohérences sont acceptées tant l'emprise est complète. Les embrigadés vont découvrir bientôt ce que l'on attend d'eux ...

Cette dérive vaut aussi bien en église qu'en entreprise, association ou tout autre groupement, sous différentes formes cela va sans dire...

 

L'ingénierie sociale

 

Le vocable "ingénierie sociale" résume à lui seul l’objectif, la démolition contrôlée de la subjectivité de la pensée, soit l’art de manipuler les personnes. En génie génétique ou ingénierie génétique, cela consiste tant à décrire le génome qu’à le recombiner. Il en est de même dans le champ psycho-social, où l’on n’hésite pas à faire référence à l’ADN de telle ou telle chose, de telle ou telle entreprise. C’est ce qui définit finalement l’essence d’une identité. Aussi il existe des techniques inspirées de la psychanalyse, qui consistent non pas seulement à décrire cet ADN psychologique ou ce code source d’identité, mais à le recomposer.

Les scientifiques engagés dans le processus du conditionnement mental sont dénommés avec pompe "ingénieurs sociaux" ou "experts des nouvelles sciences sociales", et jouent un rôle majeur et souvent insoupçonné dans tout ce que nous voyons, entendons et lisons. L’ancienne école, celle de l’avant seconde guerre mondiale, a par ses figures tutélaires - Kurt K. Lewin, Hadley Cantril, Margaret Meade, Derwin Cartwright, Lewis Lipssitt, John Rawlings Reese - formé la colonne vertébrale des spécialistes de la nouvelle science au sein d’un Institut anglo-saxon nommé Tavistock. Puis, pendant la deuxième Guerre Mondiale, plus d’une centaine de chercheurs se sont attachés à copier consciencieusement les méthodes adoptées par Reinhard Heydrich patron de la S.S. La troisième vague, celle de l’après-guerre, a porté à un haut niveau de perfectionnement les méthodes et outils, en s’appuyant sur les progrès techniques, tout particulièrement en informatique.

Sous couvert de contribuer à la cohésion, l’ingénierie sociale morcèle le corps social, démultipliant les langages de sorte que la communication devienne impossible. Elle vise à ce que nous ayons chacun notre propre langue pour contribuer à la "guerre cognitive" de tous contre tous. Le but est vraiment d’atomiser le corps social en poussant l’individualisation au maximum, afin de le contrôler plus aisément. Tout le lourd ressenti actuel d'une grande majorité d'individus vient du désordre toxique instillé dans les esprits comme dans les mœurs et l'économie.

 

Dans le management des entreprises, l’ingénierie sociale est appelée conduite du changement ou de la transformation, souvent sous-traitée à des cabinets experts issus des grandes firmes anglo-saxonnes du conseil (Accenture - Deloitte - Ernst & Young - KPMG – Mc Kinsey - PriceWaterhouseCoopers), qui puisent dans le réseau des grandes écoles les cerveaux sans état d'âme formatés à l’exercice.

Elle consiste à observer la culture de tel ou tel groupe socio-professionnel, puis en la reformulant de l’adapter à une demande de la direction générale ou de la gouvernance actionnariale. Par exemple, comment licencier 50 % des effectifs d’une entreprise sans que cela provoque des remous, des conflits, des grèves, etc… Pour réussir, il convient de fabriquer le consentement du groupe socio-professionnel concerné par différentes techniques de transition, dont la communication et l’ingénierie sociale sont les porte-étendards. Cette discipline s’appelle la "transitologie", autrement nommée "doctrine du colonialisme", qui permet de transformer par étapes un pays souverain en un État aliéné, c’est-à-dire sous contrôle colonial ou impérial. C’est là qu’entrent en jeu de multiples techniques de manipulations socio-psychologiques pour fabriquer le consentement, toutes issues de l’ingénierie sociale. Il existe bien sûr une nuance entre l’ingénierie sociale négative qui vise à aliéner un sujet souverain (groupe socio-professionnel, pays, identité quelconque) et l’ingénierie sociale positive, qui consiste à en reconstituer la souveraineté. Il faut cependant considérer que même dans ce cas le sujet est traité comme un objet. On ne peut pas faire l’impasse là-dessus. Toute subjectivité humaine n’est, du point de vue de l’ingénierie sociale, qu’un objet à traiter, à remodeler, à réorienter.

 

La cybernétique, soit la science des mécanismes autogouvernés et du contrôle, est fondatrice de l’ingénierie sociale, permettant de niveler la différence entre les systèmes vivants et les systèmes non vivants. Tout est alors objet et, par une formalisation très précise d’une subjectivité, on peut de proche en proche prendre le contrôle du faisceau de l’attention d’une personne et la mener où l’on veut, lui faire adopter des opinions totalement contraires à ce qu’elle pensait avant sa prise en charge, ou encore lui faire les poches sans qu’elle ne bronche… C’est l’art de la manipulation, avec un niveau de précision scientifique. Elle va au-delà de la manipulation, le but ultime étant de transformer jusqu’à la nature humaine même pour l’adapter à la volonté des "commandeurs". L’ingénierie sociale est une méthode de modification planifiée du comportement humain, le transhumanisme sous couvert de progrès s'en révélant le chantre.

Cf. Conscience du XXI° siècle.

 

Le Tavistock Institute

 

Cf. Livre du Dr John Coleman, un officier de renseignement britannique qui a eu accès à un musée britannique privé à Londres et y a découvert les documents hautement confidentiels du Tavistock. Il a écrit le livre "The Tavistock Institution of Human Relations" (L’institution Tavistock des relations humaines).

 

Les premiers travaux de recherche en sciences du comportement ont été créés en Angleterre en 1882, alors que les premiers travaux médicaux et psychiatriques techniques sur le contrôle de l’esprit ont été mis au point à l’Institut Kaiser Wilhem en Allemagne. En 1920 est créé à Londres le Tavistock Institute of Human Relations (rebaptisé en 1947 Tavistock Institute), financé par la monarchie britannique, le groupe Milner, les Rockefeller et les Rothschild. Ses fondateurs sont Cyril Burt (1883-1971), expert en recherches sur le para-normal, et Hugh Crichton-Miller (1877-1959), vice-président de l’Institut "C.G. Jung " de Zürich. Il s'agit d'une organisation indépendante à but non lucratif cherchant à associer les recherches en sciences sociales avec les pratiques professionnelles, dans quelque domaine que ce soit. Ainsi les problèmes de création et de conception d’institutions comme de changements structurels et d’organisation sont abordés dans tous les secteurs – gouvernement, industrie et commerce, santé et bien-être, éducation, etc. – au sein de Nations ou sur le plan international (le premier objectif de Tavistock était de créer de la propagande pour déclencher une guerre entre la Grande-Bretagne et l’Allemagne dans la mesure où les progrès rapides de l’Allemagne dépassaient la Grande-Bretagne en termes de puissance économique). Ses clients vont des multinationales à de petits groupes communautaires.

L'Institut va notamment engager Edward Louis Bernays (1891/1995), un publicitaire austro-américain neveu de Sigmund Freud et considéré comme le père des relations publiques. Il pensait que les gens étaient tellement irrationnels et ignorants qu’il pouvait facilement appliquer la psychologie des foules pour convaincre des masses de gens de presque n’importe quoi.

 

Sa mission consiste de ce fait à étudier selon les directives freudiennes du "contrôle" des humains le "point de rupture" de l’homme soumis à des sollicitations limites, sous forme de psychologie sociale et de comportementalisme*. Kurt Zadek Lewin (1890-1947), un psychologue états-unien d’origine allemande spécialiste en "dynamique de groupe", en devient le directeur en 1932, au moment où l’Allemagne nazie augmente ses activités de recherche en neuropsychologie et parapsychologie… Ses travaux ont notamment porté sur la "recherche-action", sur la "théorie du champ", et sur le concept de "dynamique de groupe", concept majeur de la "psychologie industrielle" qui devait devenir plus tard la psychologie du travail. Il est aussi connu pour être un des premiers à considérer la psychologie comme une "science dure" notamment dans ses recherches béhavioristes. Il est également le fondateur du célèbre NTL (National Training Lab), la Clinique psychologique de Harvard, qui devait jouer un rôle essentiel en matière de propagande pour convaincre les Américains à entrer en guerre contre les Allemands.

Son orientation en actions de recherche le place à cheval sur les domaines de l’université et du cabinet-conseil.

* Toutes les techniques étudiées ont un but unique, à savoir briser la force psychologique de l’individu et le rendre impuissant dans sa volonté de s’opposer. Ainsi les techniques qui aident à briser l’unité de la famille, les principes religieux familiaux inculqués, l’honneur, le patriotisme et le comportement sexuel.

 

Les travaux spécifiques de Kurt Lewin

Psychologue américain d'origine allemande spécialisé dans la psychologie sociale et le comportementalisme (1890/1947), il

a notamment défini la dynamique de groupe comme un système d’interdépendance entre les membres d’un groupe dont la cohésion est assurée par un sentiment d’appartenance, des solidarités, des échanges et des décisions communes. Le rôle du leader est essentiel à cette dynamique. Il est également connu pour ses travaux en matière de manipulation et de comportement des masses et de lavage de cerveau à large échelle obtenus par des tortures et des traumatismes répétés. C’est lui qui est à l’origine de la théorie de la table rase, selon laquelle lorsque la terreur est induite dans toute une société donnée, la société se réfère alors à une sorte d’état d’hébétude, situation où le contrôle peut facilement être obtenu à partir d’un point extérieur. Kurt Lewin affirme que la société pourra être contrôlée, et mieux, pourra être menée progressivement vers un état d’esprit infantile, immature. Il a labellisé cette sorte de chaos social sous le nom étrange de "fluidité".

 

Le "profilage" des cerveaux, arme de la guerre psychologique

Dans le jargon, les techniques d’influence et de manipulation sont dénommées profilage. Cette technique a été élaborée en 1922 par l'Institut Tavistock, sur commande de l’Institut Royal pour des Affaires Internationales (RIIA). Les résultats des recherches menées ont prouvé leur applicabilité par le fait qu’ils ont été vérifiés sur 80.000 cobayes humains (des soldats prisonniers de l’armée britannique) soumis à plusieurs sortes d’expériences. L’Institut est à l’origine des raids massifs de bombardement sur les civils menés par le président états-unien Roosevelt et le premier Ministre britannique Churchill, et ce dans un but de pure expérimentation clinique de la terreur sur les masses, avec archivage des résultats après observation de la réaction des "cobayes" dans " des conditions de laboratoire contrôlées ".  Kurt Lewin, devenu Directeur du Bureau d’Étude des Bombardements Stratégiques, a planifié le fait que la Royal Air Force se concentre sur le bombardement des quartiers ouvriers en Allemagne, en laissant intactes les cibles militaires, comme les fabriques de munitions (qui appartenaient aux banquiers internationaux, ceux-ci n’ayant aucun intérêt à voir leurs biens détruits...).  L’idée qui s’est trouvée à la base des bombardements jusqu’à saturation des quartiers civils ouvriers était la destruction du moral des travailleurs allemands. Lewin et son équipe ont établi un chiffre cible, à savoir que si les bombardements nocturnes de la Royal Air Force détruisaient 65% des maisons des ouvriers allemands le moral de la population civile s’écroulerait. Le document proprement dit a été rédigé par la Prudential Assurance Company. La Royal Air Force a accompli les plans de Lewin, culminant avec la terreur du bombardement de la ville de Dresde, pendant lequel ont été massacrés plus de 125.000 êtres humains, pour la plupart des vieux, des femmes et des enfants. La vérité quant aux raids de l’horreur déclenchés sur les civils allemands est resté un secret bien gardé, n'ayant été révélé que bon nombre d’années après la fin de la Deuxième Guerre Mondiale.

 

L'étude des chocs du futur

Plus tard, après la fin de la guerre, l’OTAN a ordonné à l’Université de Sussex de fonder un deuxième centre de "lavage de cerveau", institution qui a été intégrée dans le Bureau de Guerre Psychologique de la Grande Bretagne. Le but principal de ce centre a été l’orientation des recherches plutôt vers des applications civiles que militaires. C’est ainsi que le Science Policy Research Unit (SPRU) est apparu, institut dédié à l'étude des "chocs du futur". Il concerne la soi-disant psychologie destinée à manipuler des groupes de gens par l’exposition aux événements choquants et aux changements très rapides de situation, destinés à provoquer la panique, la déroute et l’insécurité parmi la population.

La science a ainsi montré qu’il existe des limites clairement marquées quant au nombre et à la nature des changements auxquels le mental humain peut résister. Ainsi, après un fil continu de chocs, le groupe visé ne veut plus choisir entre les variantes existantes qui lui semblent incertaines. Suite à la confrontation avec trop de possibilités ambiguës, la population est ainsi déroutée et démoralisée, emportée par une violence irréfléchie, déterminant l’apparition de criminels en série, des violeurs et de kidnappeurs, générant ainsi des sentiments de peur, d’angoisse et de terreur. Ultérieurement, cela conduit à l’installation d’un état d’apathie générale, d’inertie et d’indifférence envers tout autre changement. Un tel groupe devient facile à contrôler et il suivra docilement les ordres, sans s’y opposer.

Le SPRU et les manuels de l’Institut de Tavistock disent que les chocs du futur sont définis comme des "troubles physiques et psychiques causés par la charge excessive imposée au mécanisme de prise de décision du mental humain". De même qu’un circuit électrique ultra sollicité fera certainement fondre un fusible, les "fusibles" des gens commencent à fondre.

Par l’intermédiaire de ces crises artificielles suivies par leur administration nationale de référence, on envisage que les gens deviennent incapables de prendre des décisions justes, de décider seuls de leur destin et ainsi d’être plus faciles à manipuler. Dans le cas des USA il existe déjà une agence d’administration des crises – l’Agence Fédérale de l’Administration des Urgences (Federal Emergency Management Agency - FEMA). La FEMA a joué un rôle important dans la manipulation de l’opinion publique pendant la crise créée par la démolition délibérée des Tours du World Trade Center le 11 septembre 2001.

 

Après-guerre, il se développe comme le centre par excellence des recherches psychiatriques, fort de ses succès obtenus dans les deux guerres mondiales, grâce aux financements de la Rockefeller Foundation, de l’OMS, du Ministère des Affaires Étrangères britannique, de la fondation Ford, ainsi qu'à des présences américaines qualifiantes et à sa gouvernance, composition de membres des services secrets britanniques et américains tels John Rawlings Rees (1890/1969), psychiatre militaire britannique et homme clé de l’OSS, l’ancêtre de la CIA. Son but depuis est d’"appliquer les idées et les méthodes des sciences sociales à des problèmes de politique et de pratique", en développant des projets pour l’organisation des institutions, de l’industrie, du commerce, de la santé publique et de l’instruction. Un champ d’action multidisciplinaire qui va de l’anthropologie à l’économie, à la conduite organisationnelle, aux sciences politiques, à la psychanalyse, à la psychologie et à la sociologie, qui vise à comprendre comment détruire toute résistance psychologique dans l’individu et le soumettre.

L’institut a également mis au point d’imposantes techniques de lavage de cerveau qui ont été au départ utilisées expérimentalement sur les prisonniers américains de la guerre de Corée.

L’un des plus étroits collaborateurs à l’époque du Tavistock Institute fut Max Horkheimer, l’un des pères de l’" École de Francfort ", fondée par la Fabian Society, et qui traitait de sociologie et de psychologie marxiste. C’est de cette école que sortit le philosophe et sociologue marxiste états-unien d'origine allemande (1898/1979) Herbert Marcuse, qui joua un rôle de premier rang pour préparer la révolution culturelle de 1968. Pendant la Seconde Guerre Mondiale, l’École se transféra aux États-Unis, où elle poursuivit ses travaux sous la direction du Comité Juif Américain (A.J.C.). La guerre étant finie, Max Horkheimer contribua à réintroduire en Allemagne le B’nai B’rith, la haute maçonnerie réservée aux seuls Juifs.

 

Les travaux de Fred Emery

L'australien Frederick "Fred" Edmund Emery (1925/1997), dit "Fred" Emery, autre chercheur renommé à l’Institut Tavistock, a décrit les effets induits par le chaos social, un chaos lui-même engendré par des traumatismes sociaux, c’est-à-dire des crises économiques et politiques, des conflits sociaux, etc. La société se segmente alors en groupes hostiles pendant que les institutions s’effondrent. Des groupes extrémistes voient le jour. Pour Fred Emery, la forme de chaos social la plus achevée correspond à la dissociation, un état dans lequel la personne individuelle s’identifie à la société en elle-même et se dissocie de sa personnalité de base. À cause de la peur, elle s’isole des autres membres du groupe social. Les individus devenus méfiants et paranoïaques se replient sur eux-mêmes. La culture dominante se fonde alors sur les superstitions et les fantasmes, tandis que les seuls moyens de communication entre les êtres sont les médias électroniques, agissant comme des leurres et accentuant la séparation et la dissociation. Ceci explique pourquoi le réseau Internet a en grande partie été créé et surtout rendu accessible au grand public.

 

Dans les années 60 ce fut l’Institut Tavistock qui, en collaboration avec les services secrets anglais (Secret Intelligence Service - SIS), pilota l’expérience de la diffusion et de l’emploi de la drogue, surtout de la drogue produite artificiellement par la société chimique suisse Sandoz AG, propriété de S.G. Warburg Co* de Londres, qui créa l’acide lysergique - le LSD -. Il s'agissait de développer un phénomène socialement déstabilisant pour conduire à un changement, qui fut appelé "contre-culture", et ce grâce aux larges subventions de la Fondation Ford, du Centre Britannique d’Étude sur l’Environnement, du Ministère de la Défense britannique, de l’Université de Harvard, du Conseil des Recherches en Sciences Sociales de Grande Bretagne et de la CIA (pour vingt-cinq millions de dollars), ainsi que le relai complaisant de la presse, des médias électroniques et des artistes, avec la création notamment du "miracle Beatles" par exemple. Une publicité absolument gratuite pour le LSD, déguisé dans l'art et la culture ! L’un des personnages les plus en vue de contre-culture de la drogue était l'anthropologue et psychologue états-unien Gregory Bateson (1904/1980 - photo), le père des hippies californiens, l’un des cinq savants de pointe du Tavistock qui effectuaient des expériences d’"ingénierie sociale" avec usage de la drogue. Si le gouvernement dut payer des millions d’indemnités aux familles des victimes*², les coupables ne furent jamais inculpés, et le torrent de drogues continue à inonder le monde...

En 1967, le psychiatre écossais Ronald David Laing (1927/1989), formé au sein du Tavistock, publia un livre intitulé The Politics of Experience, qui faisait l’apologie de la schizophrénie et de la drogue, dans lequel il affirmait que "la démence est l’unique forme de santé" ...

* Le conseiller de Roosevelt, James Paul Warburg (1896/1969), fils de Paul Warburg qui rédigea la Loi sur la Réserve Fédérale et neveu de Max Warburg qui avait financé Hitler, fonda l’Institut pour les Études Politiques pour promouvoir la drogue.

Il en est de même pour le Military Intelligence section 6 - MI6 - britannique (Service de renseignement extérieur) relevant du Ministère de la Défense, condamné à verser des dommages-intérêts aux victimes de ses programmes de manipulation psychique à l'aide du LSD réalisés à Solihull dans les Midlands de l'Ouest et à Gosport dans le Hampshire.

 

Aux origines contemporaines

Les expérimentations modernes sur le pouvoir psychédélique des drogues, connu depuis les temps antiques*, découlent de la découverte par les scientifiques des propriétés de certaines variétés de pavot comme la variété européenne Parvum somniferum, qui produisent un alcaloïde, la morphine. Elle sera isolée au début du 19ème siècle, tirant son nom de la déesse du sommeil Morphée. Les chimistes allemands de la firme Bayer ont ainsi synthétisé une molécule appelée di-acétyl-morphine, qui sera commercialisée avec grand succès à la fin du 19ème siècle sous le nom de "héroïne", avant qu'elle ne soit officiellement interdite en 1905 compte-tenu des ravages causés.

De son côté, l'étude des propriétés des champignons hallucinogènes comme les psilocybes sera popularisée par les Beatles, experts en "champignons magiques" (magic mushrooms) qui donnent des visions kaléidoscopiques...  

Depuis, l'ingénierie destructrice n'a cessé de se répandre, l'exemple emblématique de ses ravages étant de nos jours le fentanyl dont la surdose chez les consommateurs se traduit aux Etats-Unis par un nombre record de décès pour les Américains âgés de 18 à 45 ans. Cette drogue addictive est ainsi responsable de près de 70 % des plus de 107000 décès par overdose survenus aux États-Unis en 2022. Elle est 50 fois plus puissante que l’héroïne et 100 fois plus puissante que la morphine !

Cf. Le chemin alchimique.

 


La recherche de nouvelles drogues pour le contrôle mental

Le cofondateur de Google, Sergey Brin, finance par Catalyst4 le développement d’un hallucinogène dérivé d’un arbuste de la forêt tropicale et destiné à être utilisé comme traitement de la santé mentale. Cela marque ainsi le dernier accord de la Silicon Valley dans le secteur naissant des psychédéliques.

Catalyst4 est un véhicule d’investissement à but non lucratif, qui a été créé grâce au produit de la vente de la participation de Brin dans Tesla en 2021, celui-ci s’étant engagé à couvrir environ 15 millions de dollars sur un cycle de financement de 25 millions de dollars pour la start-up psychédélique Soneira. Cette biotech lance des essais cliniques sur l’ibogaïne, un arbuste originaire d’Afrique de l’Ouest, en tant que traitement des lésions cérébrales traumatiques (TBI). L’ibogaïne a en effet toujours été utilisée dans le cadre de rituels spirituels par les tribus forestières du Gabon en raison de ses effets psychotropes, et a récemment gagné en popularité auprès des défenseurs occidentaux des psychédéliques et des chercheurs en santé mentale.

 

Les dérives sexuelles de l'univers musical (1)

L'univers du divertissement est propice aux dérives sexuelles de ses protagonistes, entre autres compte-tenu de l'absorption de nombre de substances destinées à doper l'intensité du désir sexuel. C'est ainsi qu'en mars 2024 a été emprisonné le réalisateur et producteur américain Marion Hugh Knight Jr alias "Suge Knight", l'une des plus importantes figures fondatrices du gangsta rap propre à la culture des Noirs américains au même titre que le rap et le hip-hop (il est le cofondateur de la maison de production Death Row Records). Son rival, le rappeur, acteur, danseur, homme d'affaires et producteur de musique américain fondateur du label Bad Boy Records Sean 'Diddy' Combs, également connu sous les noms de Puff Daddy, Puffy, Diddy ou encore P. Diddy, a également été impliqué, ses maisons à Miami et Los Angeles ayant été perquisitionnées par la sécurité intérieure dans le cadre d’une enquête fédérale sur le trafic sexuel, les agressions sexuelles, la sollicitation et la distribution de stupéfiants illégaux et d’armes à feu. Des disques durs, des téléphones et d’autres éléments de preuve ont été saisis. Dans un procès intenté devant le tribunal fédéral de New York par un producteur de musique contre Sean 'Diddy' Combs, plusieurs célébrités ont d'ailleurs été citées par Rodney 'Lil Rod' Jones, dont le Prince de la Couronne royale britannique Harry. Le plaignant affirme que Combs l’a harcelé sexuellement, drogué et menacé pendant plus d’un an alors qu’il travaillait sur l’album 2023 de Combs. Il affirme également que Combs a utilisé son accès connu à des célébrités – telles que le Prince Harry – pour donner une légitimité à ses soirées de trafic sexuel. Parmi ces célébrités se trouvent des athlètes célèbres, des personnalités politiques comme le 1er ministre canadien Justin Trudeau, des artistes, des acteurs (ainsi Tom Hanks), des musiciens, des dirigeants d'entreprise et des dignitaires internationaux...

Puff Daddy/Sean "Diddy" Comb le rappeur a fini par être incarcéré le septembre à New York, mis en détention provisoire au Metropolitan Detention Center en s'étant vu refuser à deux reprises la liberté sous caution après avoir plaidé non coupable des accusations portées contre lui pour trafic sexuel (il est associé aux proxénètes d’enfants de Jeffrey Epstein et son réseau caché de trafic de tunnels) et usage de stupéfiants, l’étendue de l’enquête du FBI étant tenue secrète dans la mesure où les autorités veulent à tout prix protéger les noms puissants impliqués dans l’opération de chantage de Diddy qui a menacé de les balancer. Le FBI fait ainsi des pieds et des mains pour dissimuler des images "préjudiciables" montrant des VIP de haut niveau - le Who’s Who d’Hollywood et de Washington D.C. - se livrant à des actes sexuels avec des mineurs, y compris des popstars mineures, selon des témoins qui ont assisté à certains de leurs pires excès lors de ces fameuses soirées Freak Off auxquelles assistait. De son côté, cette pseudo élite dévoyée fait des pieds et des mains pour dissimuler les preuves et brouiller les pistes en effaçant ses empreintes numériques et en prenant ses distances, lorsqu'elle ne prend pas les devants piteuse*, à l'image de l'actrice Megan Fox qui a supprimé ses comptes de médias sociaux (elle s'était notamment ouvertement vantée de boire du sang à des fins rituelles). Au centre de cette tempête se rajoute le décès à Buenos Aires de l'artiste musical Liam Payne, star des One Direction, qui était prêt selon ses proches à dénoncer certains des plus grands noms de l’industrie du divertissement qui a longtemps été gardé caché, un réseau pédophile d’élite qui opère au cœur d’Hollywood et de l’industrie musicale. Les témoignages explicites se multiplient, comme celui de l’artiste pour adultes Adria Sheri English, qui a déclaré avoir été engagée puis forcée comme danseuse lors des extravagantes "White Parties" de Diddy au début des années 2000, fêtes à caractère exclusif dont le code vestimentaire était entièrement blanc et organisées par le rappeur dans les Hamptons, un quartier aisé de New York situé au bord de la mer et fréquenté par les riches et les célébrités. Elle a affirmé qu’au-delà de l’aspect extérieur de ces événements somptueux se cachait une réalité plus sombre, marquée par des rencontres sexuelles forcées avec une consommation de drogues et d’alcool contenant des substances illicites pour réduire les inhibitions de tous les participants, qu’ils soient consentants ou non. De son côté, Suge Knight, l’ancien PDG du label de hip-hop Death Row Records, incarcéré, associé et rival de longue date de Combs, a indiqué lors de l'émission News Nation que Sean "Diddy" Combs avait collaboré avec le FBI tout au long de sa carrière, et qu'il possédait des documents/cassettes de chantage sur certaines des personnes les plus puissantes d’Amérique (politiciens et princes), y compris l’ancien président Barack Obama... ce que son ancien garde du corps Gene Deal a confirmé en indiquant que le rappeur possédait des images d’hommes politiques d’élite comme le maire de New York Eric Adams se livrant à des activités compromettantes, images filmées lors des diverses soirées pendant lesquelles Combs se masturbait en enregistrant les événements.

Enfin, les "chapeaux blancs" ou agents non corrompus du FBI ont accusé Diddy d’avoir orchestré un réseau d’intimidation et de chantage depuis sa cellule de prison, ciblant des politiciens et des célébrités compromises, une descente dans sa cellule ayant permis de découvrir des preuves accablantes, notamment la complicité de l'ancienne animatrice de TV Ellen Lee DeGeneres. Les agents s'étant rendus directement au domicile de cette dernière, ils y ont saisi une foule de preuves incriminantes, qui impliqueraient encore davantage le duo dans des crimes graves. Depuis, Ellen a fui les États-Unis avec sa compagne Portia de Rossia pour l’Angleterre rurale, déclarant qu’elle ne reviendrait jamais. Mais comme le ministère de la Justice de Trump a fait part de ses projets d’extradition lorsqu’il reprendra la Maison Blanche, le cauchemar juridique d’Ellen ne fait probablement que commencer.

Toutefois, comme dans l'affaire Epstein, la présumée arrestation du rappeur ne serait qu'un leurre, celui-ci ayant été opportunément exfiltré en Polynésie pour éviter les révélations trop embarrassantes pour un système corrompu jusqu'à la moelle...

* Au moins 18 PDG, cadres de l’industrie musicale et hommes politiques (ainsi le président-directeur général de Warner’s Elektra Music) ont démissionné dans les 24 heures qui ont suivi l’annonce de l’arrestation de Sean "Diddy" Combs, accusé notamment de racket et de trafic sexuel impliquant des mineurs. D'autres, comme l'acteur, humoriste, producteur et animateur de télévision James Christian Kimmel, dit Jimmy Kimmel, soutien inconditionnel de Kamela Harris pendant la présidentielle 2024, se retrouve sur la sellette comme auteur d'actes répréhensibles.

 

Les dérives sexuelles de l'univers musical (2)

Il en est de même en Corée du Sud avec de célèbres stars de la K-pop, la journaliste Park Hyo-sil ayant découvert un chat de groupe sur KakaoTalk, une application de messagerie instantanée coréenne très populaire, contenant une foule de vidéos sexuellement explicites et d’images de femmes inconscientes partagées par un groupe auquel participaient des stars masculines de la K-pop comme le groupe de rock FT Island et le supergroupe BigBang. Cela révèle que les célébrités en question mènent une double vie, droguant et agressant sexuellement des clientes d'une boîte de nuit (le Burning Sun) par l'intermédiaire du gamma hydroxybutyrate (GHB), un dépresseur souvent utilisé comme drogue du viol, qui est couramment utilisé dans les salons privés de ces boîtes.

Autre affaire, l’un des plus proches collaborateurs de la chanteuse, rappeuse, productrice, actrice et femme d’affaire américaine Beyonce née Knowles a été accusé en juin 2024 d’être à la tête d’un réseau de trafic sexuel impliquant de grandes stars et de puissants hommes d’affaires. Il s'agit de son producteur chanteur et parolier américain Terius Youngdell Nash Gesteelde-Diamant, plus connu sous le nom The-Dream, qui a été accusé par un ancien protégé d’avoir violé et torturé psychologiquement des victimes, y compris des enfants. Outre Gesteelde-Diamant, la maison de disques Epic Records et la société Contra Paris du producteur figurent parmi les accusés.

 

Dérives sexuelles, drogues et dépendance

Nombre d'affaires impliquant des élites politiques et du show-biz comme en France - parmi les plus récentes les affaires "Palmade", "Guerriau", "Pellerin", "Bigorgne" - mettent en avant leur prise de substances illégales (hors accompagnement thérapeutique dûment contrôlé) couplée à une sexualité exacerbée sous diverses formes (partouzes, exhibitionnisme dans les réseaux sociaux, pédophilie, chemsex*...). Les supports usités sont nombreux, allant de la cocaïne (poudre blanche - le chlorhydrate de cocaïne - inhalée, plus rarement fumée ou injectée)  à la kétamine (un anesthésique couramment utilisé pour euthanasier les animaux domestiques), l’ecstasy (molécule psychostimulante de la classe des amphétamines vendue sous forme de cristaux ou de pilules), le LSD (drogue hallucinogène puissante fabriquée à partir d'une substance provenant d'un champignon qui pousse sur le seigle et d'autres céréales), le captagon (pilule de type amphétamine principalement produite et commercialisée par des individus et des groupes liés à la Syrie et au Liban et appelée "la cocaïne du pauvre", qui déclenche des bouffées d’énergie et de productivité, l’éveil, l’euphorie ainsi que des délires et un sentiment d’invincibilité), y compris des psychotropes comme le GHB, l'acide 4-hydroxybutanoïque connu sous le nom abrégé de gamma-OH ayant pour objet d'être un dépresseur...

Leur point commun est d'être de très puissants stimulants du système nerveux central, conduisant inévitablement à l'addiction puisque la quête de sensations fortes doit être impérativement comblée une fois les effets euphorisants retombés. Les conséquences sont inévitablement la dérégulation tant du sommeil que  de la libido pouvant déboucher sur l'obsession sexuelle et le brouillage des repères. Autrement dit, ces substances conduisent invariablement au dérèglement mental. Ceci explique que cette logique de dépendance à leurs effets est recherchée par les promoteurs de ces drogues, s'attachant à les répandre auprès de celles et ceux qu'ils repèrent pour conduire leur agenda satanique de destruction de la conscience humaine, et ce à travers des rituels collectifs visant à nouer le pacte maléfique lié. Rompre le pacte expose l'impétrant au chantage de révélation de ses turpitudes filmées et enregistrées à son insu, expliquant la quasi impossibilité de s'en défaire une fois piégé.

Le chemsex correspond à une prise de drogues lors de rapports sexuels à plusieurs. Il est pratiqué par les hommes ayant des relations avec les hommes, mais aussi dans les milieux libertins hétérosexuels.

 

Devenu le temple du behaviorisme, c’est-à-dire de la psychologie comportementaliste, le Tavistock Institute constitue de ce fait depuis près d’un siècle le laboratoire d’ingénierie sociale de référence, le centre mondial de fondement d’idéologies aux fins de manipulation et de formatage des opinions publiques occidentales, s’inscrivant à ce titre dans les cercles constitutifs de l’exercice du pouvoir*. En effet, au-delà du cercle constitué par les organisations mondialistes - groupe Bilderberg, la Trilatérale, le CFR, etc… - se trouve le cercle constitué par les fondations et les associations philanthropiques, comme la Rockefeller Foundation, la fondation Ford ou l’institut Tavistock, chargées de concevoir les programmes de manipulation des masses en fonction des objectifs définis par ces organisations mondialistes dont les individus qui y centralisent le pouvoir transcendent le traditionnel clivage gauche/droite (siégent côte à côte dans ces structures des économistes d’obédience marxiste à côté d’ultralibéraux, des démocrates comme des républicains, des socialistes et des conservateurs...). L’appartenance à un parti politique est uniquement pertinente au niveau de la population qui est hypnotisée par ce clivage apparent gauche/droite, conservateur/progressiste, tandis que l’élite s’accorde à déployer un moyen de conserver le pouvoir en traversant les crises et les divisions.

Cette sorte de laboratoire sophistiqué, sorte de voie du milieu entre un centre d’études psychiatriques et un centre de recherches militaires, a pour objectif la recherche des modalités pour provoquer "des mutations des paradigmes cultures" dans les sociétés humaines, par l’instauration de "climats sociaux perturbés" ou la manipulation des "dynamiques occultes de groupes". Il s’appuie pour ce faire notamment sur des sociétés de pensée comme le Club de Rome et les Cercles Bilderberg, des sociétés discrètes comme la Mont Pelerin Society, la Commission Trilatérale et la Fondation Ditchley avec lesquelles il collabore étroitement, l’université du Sussex, et d’un réseau états-unien qui comprend le Stanford Research Institute, fondé en 1946, consultant de multinationales du calibre de la Wells Fargo des Rothschild, de la Bank of America ou de la Betchel Corporation. Il exerce en outre une influence déterminante sur l’Association Nationale pour l’Instruction des États-Unis. Font partie de ce même réseau l’Esalen Institute, centre d’irradiation du mouvement New Age, le Center for Strategic Studies de la Georgetown University de Washington*² (le C.S.I.S., auquel appartiennent les figures emblématiques de Henry Kissinger et Zbigniew Brzezinski), l’Hudson Institute, spécialisé dans la politique de défense et assimilées, le MIT (Massachusetts Institute of Technology). Sa véritable tête de pont aux États-Unis est représentée par la Rand Corporation, rempart pour le contrôle de la politique américaine à tous les niveaux, relations internationales, armements, programmes spatiaux, politique intérieure, etc… Il possède et édite le journal mensuel Relations Humaines et le journal Évaluation.

Il est la clé du réseau de contrôle de la pensée de l’individu et des comportements collectifs visant à créer, avec le soutien des grandes Fondations*³ et le relais des mass médias, la pensée unique à partir d’une échelle de valeurs "politically correct". Elle s’est irradiée en quelques décennies dans tout l’Occident en s’imposant de façon inaperçue dans les politiques des États, dans le système d’éducation, dans le monde bancaire et des affaires, dans les habitudes, suscitant les états d’esprit indispensables pour tous les niveaux. Elle est la flûte enchantée de l’autorité qui conduit les peuples vers l’homologation de l’idéologie de la connaissance désacralisée, l'implantation généralisée de micro-puces dans le corps humain devenant désormais sa priorité.

* Cf. Le modèle européen décodé - L'idéologie mondialiste. L'Institut compte environ 400 relais d'influence.

Le C.S.I.S. forme le personnel du département d’état, les services secrets de l’US Air Force. 

*³ L’idéologie des fondations américaines a été créée à Londres par l’Institut Tavistock.

 

Faillite morale, spirituelle, raciale, économique et culturelle... ou le calendrier de dégénérescence du Tavistock

Première action de relation de cause à effet directement issue de la publicité et de la musique contrôlées par le Tavistock, on assiste dans les années 1920, connues sous le nom de "décennie de la décadence", à l’émergence de la "Flapper", signifiant la jeune fille ou garçonne délurée. Les femmes juraient, fumaient, buvaient, portaient des vêtements révélateurs, le terme "loose" (fait de perdre et non de gagner) entrant dans l’air du temps. Puis, dans les années 1930, l’homosexualité et le lesbianisme se sont répandus, non pas fondamentalement en raison de désirs intérieurs ou latents, mais pour choquer le vieil establishment pendant la Grande Dépression.

Sont fondés progressivement les centres universitaires d'excellence - MIT, National Institute of Mental Health, Stanford Research Centre,  Wharton School of Economics - par le Dr Kurt Lewin, John Rawlings-Reese et Margaret Mead, sans doute les meilleurs ingénieurs sociaux de Tavistock de tous les temps. Ils vont également contribuer au lavage de cerveau et à la propagande pour la Seconde Guerre mondiale, le Viêt Nam, la guerre de Corée, les deux guerres du Golfe et toutes les guerres qui ont suivi depuis.

Le Tavistock a également orchestré la crise des missiles de Cuba pour tenter de vendre le programme FEMA à JFK en 1963 (la Federal Emergency Management Agency - Agence fédérale des situations d'urgence - est l'organisme gouvernemental américain voué à assurer l'arrivée des secours en situation d'urgence lors de grandes catastrophes). Ce fut un nouveau refus de la part d’un président, et Kennedy mourut la même année, assassiné. Dans la foulée, le Tavistock a immédiatement signé un contrat avec la NASA pour sensibiliser l’opinion publique à l’espace.

La méthode, secret le mieux gardé découlant des recherches menées par le Tavistock, est la réponse à trois systèmes qui traduit la manière dont la population réagit au stress résultant d’une situation artificielle. Cette situation est un exercice de gestion de crise pour les dirigeants du monde entier.

Pendant une crise, la première réponse est la superficialité, qui se manifeste lorsqu’un groupe réagit à une menace en adoptant des publicités et des slogans superficiels, qu’il tente de faire passer pour des idéaux, parce que la cause de la crise n’est pas identifiée. La population est désorientée et cette phase peut durer aussi longtemps que le contrôleur le souhaite.

La deuxième phase est celle de la fragmentation, au cours de laquelle la panique s’installe et la cohésion sociale s’effrite. La société se divise alors en petits groupes qui adoptent des attitudes et des croyances différentes, soutenues par la manipulation des médias. Personne n’est sur la même longueur d’onde. Personne ne reçoit la vérité et les gens se divisent et s’éloignent les uns des autres. Cela provoque des troubles civils, des protestations, des bagarres verbales et physiques, tous dus au fait que les humains ne parviennent pas à identifier la cause de la crise.

La troisième phase s’appelle le voyage imaginaire, ou appelé la "dissociation". Dans cette dernière phase de la psyop, les gens ont été tellement traumatisés par les événements sous fausse bannière* qu’ils les bloquent ou perdent tout intérêt et tout espoir en l’humanité. Cette dissociation pousse les gens à accepter que leurs libertés leur soient retirées, ce qui permet d’introduire la législation communiste sans combat

Si les gens individus pensent que toutes ces opérations - fusillades dans les écoles, les bureaux de poste, les églises, les concerts et les centres commerciaux - ne sont que des coïncidences, ils se trompent. Ces opérations ont été menées par des sujets dont l’esprit était contrôlé - mindkontrol -, entendant qu'ils étaient soigneusement profilés, recherchés et mis sous l’emprise de drogues dangereuses altérant l’humeur, comme la Ritaline, et contrôlés par des programmeurs informatiques de la DARPA *².

Au final, le programme de divertissement proposé (politique, cinéma, musique, sport...) est tellement bon que si on essaie d'expliquer ses mécanismes à quelqu’un, il nous prendrait pour un fou. C’est dire la qualité de la programmation ! Or, lorsque nous renonçons à notre esprit et à notre responsabilité, nous renonçons également à notre liberté et, par essence, à notre vie.

 * Depuis la nuit des temps, les puissances utilisent des situations inventées et des événements sous fausse bannière pour choquer et traumatiser le monde. C'est l'application de la maxime de Jules César "Diviser pour mieux régner". Ainsi l’assassinat de John Fitzgerald Kennedy à Dallas en 1963; le siège en 1993 de la résidence du groupe religieux les "Davidiens" à Elk, près de Waco au Texas; la poursuite en voiture en 1994 par la police de la voiture de  l'ancienne gloire du football américain O.J. Simpson, principal suspect dans le meurtre de son ex-épouse; la fusillade de 1999 à l'école secondaire Columbine (Columbine High School) de Columbine, ayant conduit à un massacre; les attentats meurtriers du 11 septembre 2001; la tuerie en 2012 au sein de l'école primaire Sandy Hook dans l'État du Connecticut ayant causé 26 morts dont 20 enfants; la fusillade de Las Vegas ayant débouché sur une tuerie de masse en octobre 2017 pendant un festival de musique country en plein-air...

Voir livre "Programmed to Kill" de l'auteur David McGowan.

 

Les personnalités relais et caution

Nombre de personnalités emblématiques dans leur domaine respectif ont travaillé pour relayer les concepts manipulatoires du Tavistock Institute consistant à énoncer et dénoncer les préceptes du programme de contrôle des humains, comme la philosophe Iéléna Pétrovna Blavatskaïa dite Helena Blavatsky (photo 1), inspiratrice et conseillère ésotérique de la plupart des sociétés secrètes contemporaines*, l'occultiste autrichien puis suisse Rudolf Steiner (photo 2), le romancier et professeur de mathématiques britannique Lewis Caroll (photo 3) auteur d'"Alice Au Pays Des Merveilles" avec le fameux lapin blanc (il était membre de la Société de Recherche Psychique), l'écrivain romancier et philosophe britannique Aldous Huxley (photo 4) auteur du "Meilleur Des Mondes", le producteur et réalisateur américain Walter Elias Disney dit Walt Disney (photo 5), père des dessins animés Disney, les artistes musicaux David Bowie et le groupe de rock Led Zepellin fondé par Jimmy Page (photos 6 et 7) s'inspirant dans leurs œuvres du sataniste Aleister Crowley (photo 8)... ou encore l'écrivain et économiste français Jacques Attali (photo 9).

Point commun, elles sont souvent mises en avant sinon portées au pinacle pour leur contribution humaniste et leur rôle de "sauveur" de l'humanité, alors qu'elles ne font que raconter sa finalité entropique aux masses illusionnées, en bénéficiant de toute la considération matérialiste du système établi (succès, notoriété, fortune, considération...) les utilisant comme relais caution, avec parfois leur pleine complicité. Les authentiques lançeurs d'alerte, à l'instar de Serge Monast, Claire Séverac ou Edgar Snowden (photos 10 à 12), ne bénéficient pas de la même clémence du système, y laissant parfois étrangement la vie*²...

* Cf. La nouvelle religion universelle.

Ainsi le journaliste d'enquêtes et membre de l'Agence Internationale de Presse Libre (AIPL) Serge Monast, mort le 5 décembre 1996 d'une "crise cardiaque" dans les bras de son épouse russe. Victime d'armes psychotroniques ? Serge Monast se disait traqué par les forces policières et militaires nord-américaines pour avoir trempé dans des dossiers interdits qu'il avait décidé de publier à son corps défendant.

 


La carte manipulatrice des Fondations

Les Fondations constituent l’héritage des Warburg et de la CIA. Leur agence principale, l’Institut pour les études politiques, a été financée par James Paul Warburg. Son co-fondateur, l'écrivain Marcus Raskin, était le protégé de McGeorge Bundy, président de la Fondation Ford, qui l'avait nommé au poste de représentant personnel du président Kennedy au Conseil de Sécurité Nationale. Il finança en 1963 les Étudiants pour la Société Démocratique, qui permit à la CIA de faire fonctionner la culture de la drogue, programme de déstabilisation sociale.

L’Institut Tavistock fait ainsi fonctionner un réseau de Fondations représentant un poids de plusieurs milliards de dollars aux États-Unis, toutes financées par l’argent des contribuables américains. Dix institutions majeures sont sous son contrôle direct, avec 400 filiales et 3.000 autres groupes d’études et de groupes de réflexion (think tanks) qui créent de nombreux types de programmes. Le Stanford Research Institute, en lien avec l’Institution Hoover, fonctionne avec un budget d'environ 150 millions de dollars annuel et 3.300 employés. Il réalise un programme de surveillance pour des multinationales comme le groupe de construction Bechtel et plus de 400 autres sociétés, ainsi que de vastes opérations de renseignement pour la CIA. C’est la plus grande institution de la Côte Ouest, encourageant le contrôle de l’esprit et les sciences du comportement. L’une des agences-clé dans le guidage d’instructions secrètes provenant du Tavistock est la Ditchley Foundation*, fondée en 1957. La branche américaine de la Ditchley était dirigée par Cyrus Vance (1917/2002), ancien secrétaire d’état dans l'Administration Carter et directeur de la Fondation Rockefeller, et le diplomate Winston Lord, président du Council of Foreign Relations.

Dès que le citoyen prend conscience du vrai rôle des fondations, il peut comprendre les taux d’intérêt élevés, les fortes taxes, la destruction de la famille, la dégradation des églises pour en faire des forums pour la révolution, la subversion des universités transformées en cloaques d’addiction à la drogue par la CIA, et les couloirs du gouvernement changés en égouts d’espionnage international et d’intrigues. Il peut comprendre comment toutes les agences du gouvernement fédéral sont contre lui (New Deal, FBI, IRS - Internal Revenue Service, collecteur des impôts -, CIA, BATF - Bureau of Alcohol, Tobacco, Firearms and Explosives -), qui doivent faire la guerre aux citoyens pour réaliser les programmes des fondations. Les fondations sont en violation directe de leurs statuts qui les engagent à accomplir des œuvres de "charité" puisqu’elles font des dotations qui participent à leur but politique. C’est non seulement de la fraude fiscale, compte-tenu de l'exonération d’impôts accordée seulement dans le cas d’œuvres de bienfaisance, mais également du syndicalisme criminel, une conspiration pour commettre des infractions contre les lois constitutionnelles des États-Unis d’Amérique... C'est le cas tout particulièrement de la Fondation Clinton (elle date de 2001 après le départ de l’ancien président américain Bill Clinton), un ancien enquêteur spécialisé dans les fraudes aux œuvres caritatives du nom de Charles Ortel ayant déclaré en septembre 2023 que son dernier projet nommé la Clinton Global Initiative (CGI), qui consiste à solliciter des dons censés servir à la reconstruction de l’Ukraine, n’est en fait que le dernier volet d’une vaste opération visant à escroquer le public bien intentionné. Est-il utile de rappeler qu'au fil des ans elle a fait l’objet de nombreuses allégations de corruption, de pots-de-vin et d’autres pratiques, bien qu’aucune accusation n’ait jamais été portée contre elle dans le cadre d’enquêtes judiciaires fédérales.

* Cf. Le modèle européen décodé - L'idéologie mondialiste.

 

La RAND Corporation

Basée à Santa Monica en Californie, la RAND Corporation (acronyme des termes anglais Research ANd Development), fondée en 1945 par l'US Air Force, est une institution américaine à but non lucratif qui a pour objectif d'améliorer la politique et le processus décisionnel par la recherche et l'analyse. Elle est considérée comme un laboratoire d'idées américain. Elle publie le RAND Journal of Economics, une revue à comité de lecture faisant partie des revues les mieux considérées dans le domaine de l'économie industrielle.

Avec un budget de 230 millions de dollars en 2008 issus de fonds publics comme privés, des bureaux à Bruxelles et Doha, elle emploie 1 500 personnes dont moitié d'analystes et de chercheurs dans de nombreux domaines : recherche spatiale, informatique et intelligence artificielle, jeunesse, éducation, énergie et environnement, transport et infrastructure, science et technologie, santé et services médicaux, toxicomanie, population et vieillissement, justice, sécurité publique, terrorisme et sécurité intérieure, affaires internationales, économie industrielle.

Parmi ses membres ou collaborateurs notables :

Jean-Louis Bruguière, juge anti-terroriste français; Frank Carlucci (ancien directeur adjoint de la CIA 1978-1981, ancien président du groupe Carlyle); Samuel Cohen, concepteur du missile W70; Jean-Louis Gergorin, ancien vice-président EADS; Pascal Lamy (RAND Europe) (ancien commissaire européen, ancien directeur de l'OMC); Constantin Melnik, ancien conseiller de Michel Debré pour la sécurité et l'espionnage; Paul O'Neill (ancien président, ancien secrétaire au trésor de GW Bush); Condoleezza Rice (1991-1997, Ex-secrétaire d'État); Donald Rumsfeld (ancien président 1981-1986, ancien secrétaire à la défense de GW Bush); Francis Fukuyama (économiste); Zalmay Khalilzad (ambassadeur des États-Unis en Irak); John von Neumann (mathématicien hongrois, père de la bombe atomique); Richard Bellman (mathématicien américain, inventeur de la programmation dynamique); John Forbes Nash (économiste et mathématicien américain, "Prix Nobel" d'économie en 1994).

 

L’exemple Obama

Comme tous les (ex)présidents états-uniens, Barack Obama est lié au groupe Bilderberg. Il était au départ soutenu par Zbigniew Brzezinski (1928/2017), mentor de nombre élites dont le milliardaire anti-russe Georges Soros. Le phénomène Obama est une opération de contrôle d’esprit des masses, probablement la plus réussie à cette ampleur. Le plan orchestré a consisté à faire d’Obama le centre de tous les espoirs, de toutes les croyances et de toutes les volontés de changement*. C’est pourquoi il fut crucial pour lui et ses conseillers de ne jamais donner de détails précis sur ce que signifiaient vraiment les termes "espoir, changement, croyance". Dans le contexte du jeu de manipulation de l’esprit collectif mis en place, ils signifient tout ce chacun a décidé d’y voir. L’idée stratégique centrale a été de projeter sur Barack Obama tout ce en quoi un individu croit, de façon à ce qu’il incarne le symbole sa propre volonté et de sa propre conception du monde : "Je serai ce que vous voudrez que je sois". Certains veulent le voir incarner un messie, Abraham Lincoln, John Kennedy ou Buddha. Il n’est en fait qu’une page blanche, un écran, une coquille vide. Il n’y a pas de technique plus puissante de manipulation de la population que de lui dire ce qu’elle veut entendre et de ne rien lui dire à propos de tout ce qu’elle ne veut pas entendre. Barack vient du monde particulier de la persuasion médiatique. Il a travaillé avec des maîtres de l’art de la manipulation des consciences. Ses discours étaient fondés sur des techniques de masse, de contrôle d’esprit et de programmation neurolinguistique, soigneusement conçus pour implanter des croyances et des perceptions dans l’esprit du public.

L’élection de Barack Obama a obéi complètement aux théories déployées par l’Institut Tavistok pour permettre aux élites institutionnelles gouvernantes de garder le contrôle. Elle a permis une fois encore de faire varier le style de gouvernance politique pour maintenir le contrôle social effectif sur la base du système thèse/antithèse. Il fallait proposer une alternative sans risque au rejet de George W. Bush et des néo-conservateurs, enrobée de vagues slogans de gauche sociale. Aux USA, il y a toujours eu une période dominée par un pouvoir réactionnaire, celle de Nixon, Reagan ou Bush, entrecoupée de période plus soft en apparence type Carter ou Clinton. En fait, tous ces régimes et leur changement sont gérés par des individus de la classe dirigeante qui ne sont pas mariés avec des idéologies. Leur idéologie est simple : c’est l’oligarchie, l'oligarchisme !

* Bis repetita en France avec Emmanuel Macron...

 

L’Institut Tavistock a acquis un tel pouvoir aux États-Unis* que personne ne peut accéder à la notoriété dans un quelconque domaine s’il n’a pas été formé à la science du comportement au Tavistock ou dans l’une de ses filiales. Parmi les ascensions fulgurantes qu'il permit figure celle d'Henry Kissinger, étudiant SHAEF (Supreme Headquarters Allied Expeditionary Force, État-major suprême des Forces expéditionnaires alliées). De même, le Dr Peter Bourne, psychologue de l’Institut Tavistock, sélectionna Jimmy Carter pour être président des États-Unis, après avoir suivi un programme intensif administré par l’amiral Hyman Rickover à Annapolis.

Il a piloté "l’expérience" d’intégration raciale obligatoire aux US, organisée par Ronald Lippert membre de l’OSS et du Congrès juif américain, basée sur un programme conçu pour démonter le sens individuel de connaissance de son identité et de son héritage racial.

Par l’entremise du Stanford Research Institute, le Tavistock contrôle l’Association de l’Éducation Nationale, et son Institut de Recherche Sociale du Laboratoire National de Formation intervient sur les cadres des entreprises et du gouvernement.

Son pouvoir est tel que la totalité du programme spatial a été mis de côté afin que les soviétiques puissent rattraper leur retard. Cette interruption fut demandée dans un article écrit par le Dr Anatol Rapoport (1911/2007), et fut aussitôt accordée par le gouvernement en mystifiant complètement tous ceux qui étaient en lien avec la NASA. Une autre opération célèbre du Tavistock est la création de la Wharton School of Finance, école de management de l’université de Pennsylvanie.

Et bien entendu les pratiques attentatoires à l'enfance ne sont pas en reste, un psychologue qui traitait de jeunes patients à la clinique controversée de Tavistock a plaidé coupable en 2024 d’avoir tenté de rencontrer un enfant qu’il avait préparé sexuellement en ligne. Le Dr Ross Canade, qui était le psychologue en chef du Tavistock and Portman NHS Foundation Trust, fournissait en effet des services aux enfants souffrant de confusion sexuelle. S'il a plaidé coupable en juillet de cette année, il n’a pas pour autant été suspendu par l’organisme de réglementation qui supervise sa profession. Cela signifie qu’il est toujours libre d’exercer... (Cf. voir l'enquête menée par le Daily Mail).

* Son budget annuel est de l'ordre de 6 milliards de dollars. Autrement dit, ce sont les citoyens qui financent leurs propre manipulation et maintien en léthargie.

 

Les pilotes opérationnels : Central Intelligence Group (C.I.A.), Federal Bureau of Investigation (F.B.I.) & consorts

Pour comprendre les racines de l'emblématique agence sulfureuse CIA, il faut remonter à l’avant-guerre, lorsqu’un programme d’échange des idées scientifiques a lieu entre l’Angleterre et l’Allemagne, notamment dans le domaine de l’eugénisme, soit le mouvement consacré à "améliorer" l’espèce humaine par le contrôle des facteurs héréditaires dans l’accouplement. L’énigmatique union entre les deux pays se fait en partie grâce aux résurgences de l’Ordre de la Golden Dawn*, société secrète composée de hauts fonctionnaires du parti nazi et de l’aristocratie britannique (image 1). Le haut dirigeant nazi SS Heinrich Himmler (photo 1) y était en charge d’un projet scientifique appelé "Lebensborn", impliquant la reproduction sélective et l’adoption d’enfants, particulièrement un grand nombre de jumeaux. Le but du programme était de créer une super-race (Aryens) qui aurait une allégeance à la cause du Troisième Reich.

Une grande partie de la première expérimentation concernant le génie génétique et de modification du comportement a été réalisée par le Dr Josef Mengele (photo 2) à Auschwitz en Pologne, où il a froidement analysé les effets du trauma-collage (clivage fonctionnel suite à un traumatisme), de la coloration des yeux, de la lobotomie, et le "jumelage" sur ses victimes, dont beaucoup de femmes et d'enfants. A côté de l’expérimentation chirurgicale effectuée au camp de concentration, certains enfants ont été soumis à des quantités massives d’électrochocs. Beaucoup d’entre eux n’ont pas survécu à la brutalité. Parallèlement, "le lavage de cerveau" a été menée sur les détenus au camp de Dachau en Bavière, qui ont été placés sous hypnose avec la drogue hallucinogène mescaline*².

* L’Hermetic Order of the Golden Dawn in the Outer (Ordre Hermétique de l'Aube Dorée à l'extérieur) était une société secrète anglaise, fondée à Londres par William Wynn Westcott en 1888 avant de se disloquer, de 1900 à 1905, à la suite de conflits internes. Elle s’inscrivait dans la mouvance occultiste propre au dernier tiers du XIXe siècle, se présentant comme une école consacrée à l’étude des sciences occultes, à leur systématisation, leur organisation et à leur enseignement.

Le professeur physiologiste allemand Otto Friedrich Ranke (1899/1959) réalise la première expérimentation systématique de drogue de l'histoire militaire à l'Institut de physiologie de l'Académie de médecine militaire à Berlin en 1938.

 

Pendant la guerre, des recherches côté américain sont dirigées par le Dr George Hoben Estabrooks (1885/1973) de Colgate University. Sa participation au sein de l’Armée de terre, du FBI et d’autres organismes demeure dans le secret. Toutefois, il a occasionnellement parlé de son travail impliquant la création d’hypno-courriers et programmes hypnotiques sur les personnalités.

Puis, à l'issue de cette seconde guerre mondiale, environ cinq mille nazis de haut rang ont été secrètement transférés vers les États-Unis et en Amérique du Sud, dans une opération d’exfiltration désignée sous le code de "Projet Trombone" (Paperclip operation). Après la défaite des nazis, il y avait eu en effet toute une série de marchandages entre les Allemands et les alliés ainsi qu’une compétition entre Russes et Américains pour déterminer celui qui mettrait le premier la main sur les usines, les richesses technologiques et les personnalités scientifiques allemandes qui avaient travaillé dans divers domaines, allant de l’aéronautique à la psychiatrie, de la chimie aux renseignements. L’exfiltration de ces personnalités scientifiques et militaires, qui reçurent une forme d’impunité quasi complète s’il y avait lieu de les poursuivre pour crimes de guerre, a de ce fait permis aux Etats-Unis de mettre la main sur divers prototypes, engins en pièces détachés qui représentaient bien souvent des solutions très originales en matière d’aéronautique ou d’aérospatiale.

C'est pourquoi ces nazis devenus fréquentables, placés pour nombre d'entre eux à la tête des organisations dédiées, ont poursuivi leurs travaux sur le contrôle de l’esprit, les fusées et les réalités extra-terrestres dans les bases militaires souterraines secrètes, ainsi qu'en matière de santé à travers la conduite de deux programmes, l’un pour les armes biologiques et l’autre pour l’eugénisme, en relation avec la Fondation Rockefeller et la famille Carnegie qui contrôlaient  la médecine aux Etats-Unis.

La seule chose que nous savons à propos des fusées a été le travail avec d’anciens nazis comme Wernher von Braun (1912/1977 - photo 3), naturalisé états-unien en 1955. Qui plus est, la connaissance par les Nazis d'une réalité civilisationnelle bien différente de l'histoire racontée avait commencé à établir des ponts avec des races galactiques, extra-dimensionnelles, afin de bénéficier de leur connaissances technologiques très avancées*. Par exemple, sur l'explication du comment les villes de Sodome et de Gomorrhe mentionnées dans la Genèse avaient pu être détruites instantanément par le soufre et le feu de la soi-disant colère divine*². En comprenant qu'il s'agissait d'une PEM - Pulsation Electro-Magnétique -, technologie jusqu'alors inconnue des scientifiques contemporains et décrite par le lieutenant-colonel de l'armée américaine Philip J. Corso (1915/1998) dans son livre The Day After Roswell ("Le Jour après Roswell"), une nouvelle page de la domination terrestre allait pouvoir s'ouvrir, dans l'ombre il va sans dire...

* Cf. Vérité civilisationnelle.

Cf. Le Judaïsme décodé.

 

Aux racines de la Robolution transhumaniste du XXI° siècle

La Robotique et l'Intelligence Artificielle doivent tout à l’informatique et à l’électronique. Les guerres faisant progresser rapidement la technologie, c’est au cours de la seconde guerre mondiale que les progrès les plus notables ont été apportés, la guerre demandant une suprématie dans certains domaines fondamentaux comme la transmission d’informations, la cartographie, le repérage de l’ennemi, le brouillage des appareils et le guidage des bombes… Les premiers ordinateurs font leur apparition au cours de la seconde guerre mondiale, le premier étant allemand, le "Zuse Z3" qui fait son apparition en 1941. Pour les moyens de communication, il y a la radio, mais aussi d’autres systèmes comme le Hellschreiber du nom de son inventeur, l'ingénieur allemand Rodolf Hell (1901/2002), sorte de mélange de fax et de transmission morse. Les  allemands disposent aussi des premiers radars et brouilleurs qui vont avec, et même de bombes guidées par un joystick. Cette électronique balbutiante faisant appel à des tubes radio d’une fiabilité aléatoire, ce n’est qu’après la guerre qu’ils seront remplacés par des circuits imprimés plus fiables. Internet est bel et bien né dans le domaine militaire, avant de se développer dans le civil...

Cf. Conscience du XXI° siècle.

 

Enigma, l'ancêtre de l'informatique

Les fondements de l'hydre informatique, qui a tissé sa toile destinée à y enserrer l'homme-robot à ses fins mortifères*, est une énorme machine nommée Enigma (photo 1 ci-dessous), créée par les allemands dès 1919 et destinée au chiffrement de l’information. Mise au point par l'ingénieur en électricité Arthur Scherbius (1878/1929 - photo 2), elle était basée sur des rotors désynchronisés, et sévira essentiellement pendant la seconde guerre mondiale. Elle aura de nombreuses variantes dans de nombreux pays. C’est une coopération franco-polonaise et britannique qui viendra à bout de cet engin redoutable avec le célèbre mathématicien et cryptologue britannique Alan Mathison Turing (1912/1954 - photo 3), dont les travaux ont fondé scientifiquement l'informatique. Pour certains historiens et spécialistes, ce décryptage des messages allemands aurait permis de réduire le conflit de deux années.

* Cf. Conscience du XXI° siècle.

 

De Marcel Bloch, plus connu sous le patronyme Dassault

Marcel Ferdinand Bloch (1892/1986) "rebaptisé" Dassault (photo 5) est un ingénieur, homme politique et entrepreneur français, connu comme une personnalité de l'aéronautique et PDG du Groupe Dassault qu'il a créé. Il est le concepteur des "Cercueils volants" de l’armée Française, les Bloch 210. Il a travaillé pour l’armée allemande à la fabrication des moteurs d’avions à Strasbourg Meinau dans l’ancienne usine Matis pour l'ingénieur allemand, concepteur d'avions et aviateur Robert Lusser (1899/1969), ce dernier l'ayant fait transférer à Buchenwald* à la fabrication des réacteurs des bombes volantes V1 et V2 et même sur le Messerchmitt ME 262, avion à réaction construit juste avant la fin de la guerre qui devait-être l’arme secrète de Adolf Hitler.

Il est possible de reconnaître Marcel Bloch dans une photo prise par l’armée américaine des scientifiques ayant travaillé dans ce camp, et qui par la suite ont été récupérés par les Américains, les Soviétiques et les Français dans le cadre des recherches en balistique et pour l’exploration aéronautique et spatiale.

Si les Américains ont récupéré des ingénieurs allemands comme Von Braun, c’est la France du Général De Gaule qui a récupéré Marcel Bloch pour éviter des questions embarrassantes avec les Anglais qui voulaient l’envoyer en Allemagne à Spandau Nuremberg pour se consacrer aux V1 Vergeltungswaffe et V2 missiles balistiques (avions qui ont causé des milliers de morts entre autres à Londres). C’est après l’avoir mis au secret le temps que les esprits se calment que le gouvernement Français de l’époque lui a donné un nouveau nom...

* Il s'agissait précisément du camp de concentration de Dora, également appelé Nordhausen-Dora, créé en août 1943 comme dépendance du camp de Buchenwald et destiné à la fabrication des missiles V2. Il devient un camp de concentration autonome en octobre 1944 sous le nom de Dora-Mittelbau.

 

Le travail secret sur la technologie extraterrestre

Ce sont les découvertes majeures sur l'énergie libre du scientifique autrichien Viktor Schauberger (1885/1957 - photo 4 ci-contre) qui ont été utilisées, celui-ci se référant à l’enseignement de l’astronome allemand Johannes Kepler (1571/1630) en possession de la doctrine secrète des pythagoriciens*, reprise et tenue secrète par les Templiers. En 1943, malgré ses blessures de guerre et ses 58 ans, celui-ci a été déclaré apte pour le service actif et, sous la contrainte, a été dirigé par les Waffen-SS.

Placé sous le contrôle de Heinrich Himmler, Schauberger est forcé à développer une nouvelle arme secrète basée sur un principe autre que l’explosion ou la combustion, l’implosion, dont l’objectif mystique est la construction d’objets volants (vaisseaux spaciaux) destinés au voyage interplanétaire pour rejoindre le royaume de "SUMERAN" dans le système solaire d’Aldébaran, peuplé d’"hommes-Dieu blancs" (Aryens) et présumés colonisateurs de la Mésopotamie et de son royaume de Sumer. Il est alors déplacé à Schloss Schonbrunn, près du camp de concentration de Mauthausen, qui fournit la main-d’œuvre d'ingénieurs et de prisonniers. Il exige des SS le droit absolu de choisir les ingénieurs, qu'ils soient retirés du camp, alimentés correctement, habillés de vêtements civils normaux et cantonnés dans des logements civils, les individus qui vivent dans la crainte de la mort et sous le stress émotionnel ne pouvant pas travailler. Deux machines ont été finalement construites sur la base de ses connaissances, l'une appelée le "Repulsator" et l'autre la "Repulsine" (images 5 à 7), toutes deux destinées à engendrer un champ extrêmement fort autour d'elles et dans leur proche voisinage, y compris celui de la machine et des occupants, soit un microcosme tout à fait indépendant de notre cosmos. A sa puissance maximale, ce champ était censé être totalement indépendant de toutes les forces et influences de notre Univers, telles que la gravitation, l'électromagnétisme, le rayonnement ou n'importe quelle matière. Il pourrait se mouvoir à volonté dans tous les champs gravitationnels sans qu'on y détecte ou qu'on y sente des forces d'accélération.

L'information précise est difficile à obtenir, parce qu'après la fin de la Guerre toute l'information ultra-secrète a été confisquée par les Alliés - Russes, Français, Anglais, Américains - et n'est plus disponible au grand public.

* doctrine de l’oscillation ou principe de la série des harmoniques (la résonance de Schumann) propres à la maîtrise de l’antimatière par la dissolution de la pesanteur.

Cf. "Le génie de Viktor Schauberger" de Alick Bartholomew. Éditions Le courrier du livre.

 


Si après la seconde guerre mondiale le département américain de la Défense a secrètement importé aux États-Unis, via l’Amérique du Sud et le Vatican, avec l'aide des services secrets britanniques, du réseau jésuite et des chevaliers de Malte, et suite à la signature d’un traité en février 1945 en violation flagrante et précoce des accords de Yalta les considérant comme criminels de guerre, un grand nombre de cerveaux allemands nazi, il en fut de même pour des fascistes italiens, scientifiques comme espions. L’un des plus éminents membres de ce projet était le général allemand Reinhard Gehlen (photo 1), le chef du renseignement contre la Russie dans l’Allemagne nazie. À son arrivée à Washington DC en 1945, Gehlen a rencontré longuement le Président Truman, le général William Bill Donovan, directeur de l’Office of Strategic Services* (OSS - image 2) et Allen Dulles, qui allait plus tard devenir le fidèle directeur de la CIA.

L’objectif de leurs séances de remue-méninges a été de réorganiser le fonctionnement nominal des renseignements américains, la transformant en une très efficace organisation clandestine. L’aboutissement de leurs efforts a produit le Central Intelligence Group en 1946, le nom de la Central Intelligence Agency (CIA - image 3) en 1947, qui succède à l’Office of Strategic Services (OSS) qui avait joué comme rôles pendant la Seconde Guerre mondiale le renseignement et la subversion. Reinhard Gehlen eut aussi une profonde influence en aidant à créer le Conseil de sécurité nationale, dont la loi sur la sécurité nationale de 1947. Ce projet de loi a été mis en œuvre pour protéger les activités du gouvernement, y compris le contrôle de l’esprit et des programmes clandestins. Il va conduire au développement du projet nommé MK-Ultra (voir plus en avant).

* Le général Donovan avait été précédemment envoyé à Londres par Roosevelt en 1938 pour mettre sur pied l’OSS sous l’égide de la Direction des Opérations Spéciales et du service de renseignement britannique. La totalité du programme de l’OSS, ainsi que celui de la CIA, a toujours fonctionné sous les directives établies par l’Institut Tavistock.

 

Il est cependant à noter que le Président Harry Truman, s'il a bien autorisé le projet Paperclip, avait expressément décidé d’exclure quiconque avait été membre du parti Nazi et participé en son nom propre aux activités de celui-ci, ou avait activement soutenu le nazisme ou le militarisme, conduisant le War Department’s Joint Intelligence Objectives Agency ("Agence pour les Objectifs Communs des Renseignements du Ministère de la Guerre") à mener des enquêtes de fond sur les scientifiques. Les résultats étaient accablants. C'est alors que Reinhard Gehlen eut une entrevue avec Allen Dulles, ce dernier l'assurant que son Unité de Renseignement était en sécurité à la CIA dont il était devenu le patron. Puis Dulles fit discrètement ré-écrire les dossiers des scientifiques pour supprimer toutes les preuves susceptibles de les incriminer. Ainsi, en 1955, plus de 760 scientifiques allemands avaient reçu la nationalité américaine et occupaient des postes éminents au sein de la communauté scientifique américaine, alors même que nombre d’entre eux avaient procédé à des expériences sur des êtres humains dans les camps de concentration, et commis d’autres crimes de guerre. Le Président S. Truman (1884/1972), 33° Président des Etats-Unis, n'a ainsi jamais été informé que sa directive n’avait pas été respectée.

 

La CIA reprend ainsi en 1947 les deux rôles de l'OSS. Au-delà de fournir des renseignements au gouvernement américain, elle s'attache à subvertir "l’ennemi", c’est-à-dire toute personne définie comme telle par le président ou la CIA, et ce en recourant à un large éventail de mesures : assassinats, coups d’État, troubles organisés, armement d’insurgés et autres moyens comme la torture et les "expériences" médicales à la Mengele, le sinistre Nazi des camps de la mort. Cela va s'avérer dévastateur pour la stabilité mondiale et l’État de droit américain, cette armée secrète étant capable de semer la pagaille dans le monde entier sans avoir à rendre de comptes. Parmi ses méfaits figure l'assassinat en 1961 de Patrice Lumumba, élu démocratiquement au Zaïre (aujourd’hui République démocratique du Congo), qui était "l'ennemi" du président Dwight Eisenhower. Il ne sera pas le dernier président africain abattu par la CIA. Malgré de louables tentatives de reprise en mains par certains de ses directeurs comme

William Colby (1920/1996), d'autres comme le directeur du FBI John Edgar Hoover (1895/1972) couvriront ses illégalités généralisées qui seront révélées tant par la commission (Church Committee) du sénateur démocrate Frank Church en 1975 que par le journaliste d’investigation Seymour Hersh en 1974, qui était à l’époque comme aujourd’hui un grand reporter disposant de sources à l’intérieur de la CIA. Malheureusement, la CIA a toujours eu le dernier mot, parvenant à préserver son rôle prééminent dans la politique étrangère des États-Unis.

Depuis 1975, l'agence a ainsi mené des opérations secrètes pour soutenir les djihadistes islamiques en Afghanistan, qui ont complètement détruit l’Afghanistan tout en donnant naissance à Al-Qaïda, des opérations secrètes dans les Balkans contre la Serbie, dans le Caucase contre la Russie et en Asie centrale contre la Chine, toutes ces opérations déployant des djihadistes soutenus car financés par la CIA. Tout ceci a été confirmé par le politologue américain d'origine polonaise et conseiller à la sécurité nationale du président des États-Unis Jimmy Carter de 1977 à 1981 Zbigniew Brzeziński (1928/2017), qui a révélé qu’il avait incité Jimmy Carter à charger la CIA de former des djihadistes islamiques pour déstabiliser le gouvernement afghan, dans le but d’inciter l’Union soviétique à envahir ce pays.

Dans les années 2010, elle a mené sur ordre du président Barack Obama des opérations meurtrières (2016 et 2017) pour  tenter de renverser le président syrien Bachir el-Assad, toujours avec des djihadistes islamiques. Elle se trouve également profondément impliquée dans la fomentation de la catastrophe croissante en Ukraine, y compris le renversement violent du président ukrainien Viktor Yanukovych en février 2014 qui a déclenché une décennie d’effusion de sang et la guerre dévastatrice qui engloutit depuis février 2022 et l'opération spéciale militaire russe l’Ukraine. La Russie a d'ailleurs offert au monde une fenêtre sur le coup d’État de 2014 en interceptant et en publiant un appel entre Victoria Nuland, alors secrétaire d’État adjointe des États-Unis (aujourd’hui sous-secrétaire d’État), et l’ambassadeur des États-Unis en Ukraine Geoffrey Pyatt (aujourd’hui secrétaire d’État adjoint), dans lequel ils décrivent le gouvernement de l’après-coup d’État. Après le coup d’État, la CIA a secrètement formé les forces d’opérations spéciales du régime post-coup d’État que les États-Unis avaient aidé à mettre au pouvoir. Le gouvernement américain est resté muet sur les opérations secrètes de la CIA en Ukraine.

 

Une trouble histoire

Si la connaissance au sens maîtrise de l'information est synonyme de pouvoir, la connaissance secrète est synonyme de contrôle total. Elle explique la raison d'être de cette agence, non élue par le peuple, et qui échappe depuis des décennies au contrôle et à la responsabilité publique en se plaçant au-dessus de la Constitution et du présumé État de droit. Elle impose ainsi un verrouillage total de l’Amérique et même du monde, le tout sous un faux prétexte. Son atout, argument des incrédules, est qu'il s'agit d'une théorie du complot ne reposant sur aucune preuve avérée. Pourtant, si la communauté du renseignement dirigée par la CIA n’est pas l'”État profond”, de quoi s'agit-il véritablement ? L'observation scrupuleuse de son histoire conduit à constater que la CIA gère depuis très longtemps des changements de régime dans le monde entier qu'elle organise, et qu’elle est directement impliquée dans la politique américaine au niveau le plus intime, n'hésitant pas à se débarrasser des gêneurs lorsqu'elle se trouve défiée. L'assassinat improbable sans son intervention du président John F. Kennedy en 1963 à Dallas l'atteste, malgré le continuel déni de certains. Ce coup d’État se voulait un message clair adressé en guise de leçon à tous ceux qui seraient amenés à lui succéder à ce poste. Quant au "scandale" du Watergate ayant conduit à piéger et chasser de son poste le président Nixon en 1974, il n’était pas ce qu’il semblait être, à savoir un média intrépide qui demandait des comptes au gouvernement. Il n'était là encore qu’une attaque de l’État profond contre un président qui avait perdu patience et s'était lui aussi opposé à cette hydre.

Grâce à de nombreuses preuves et à des témoignages personnels, la CIA manipule des personnalités, des récits et des résultats politiques depuis très longtemps. C'est incontestable. Et son coup de génie est d'avoir pris le contrôle de grands médias apparaissant irréprochables aux yeux du grand public dans leur lutte pour la préservation de la démocratie garante de liberté. C'est tout particulièrement le cas pour le New York Times,

Mother Jones, Rolling Stone, Slate, Salon et de nombreuses autres publications grand public, y compris de grandes entreprises technologiques comme Google et Microsoft. Les tentacules sont partout, l’opération Mockingbird* n’étant qu’un début. Le réseau est partout et la pratique de la manipulation de l’information est totalement normalisée.

* Cette opération baptisée Mockingbird ("Oiseau moqueur") était une opération de la CIA destinée à influencer les médias des États-Unis et de pays étrangers, comme le Royaume-Uni. Commencées à la fin des années 1940, ces activités ont été rendues publiques par les investigations de la commission Church en 1975, puis publiées en 1976.

 

Les confessions d'un agent tueur de la CIA

Un officier retraité de la CIA, Bill Oxley, âgé de 79 ans, a fait en avril 2024 une série d’aveux stupéfiants depuis qu’il a été admis à l’hôpital Mercy dans le Maine, sachant qu’il ne lui restait que quelques semaines à vivre. Il a ainsi affirmé avoir commis 17 assassinats pour le compte du gouvernement américain entre 1974 et 1985, dont celui de l’icône de la musique Bob Marley en 1981 décédé d'un cancer. M. Oxley, qui a travaillé pour la CIA pendant 29 ans en tant qu’agent bénéficiant d’habilitations de sécurité de haut niveau, a confessé avoir souvent été utilisé comme tueur à gages par l’organisation pour assassiner des personnes susceptibles de représenter une menace pour les objectifs de l’agence.

 

La forteresse de l’État profond

L’État profond états-unien abrite les forces de police de l’Agence fédérale de gestion des urgences - FEMA - dans son quartier général de Virginie, niché dans les vastes montagnes appelées Blue Ridge ou montagnes bleues qui forment la partie orientale des Appalaches, et situé à moins de cinquante miles (80 km) de Washington (Cf. photo 8). Il a servi de principal refuge d’urgence à ce gouvernement fantôme, de l'ombre, depuis les années 1950. 

Sous la montagne se trouve un labyrinthe tentaculaire de tunnels, de couloirs et de chambres d’où l’État profond complote pour asservir les citoyens américains. Il comprend toutes les commodités et les systèmes de survie d’un bunker haut de gamme. A l'extérieur se trouvent des aires d’atterrissage pour hélicoptères et une usine de traitement des eaux usées, et en dessous se trouve la véritable installation avec des réservoirs souterrains pour l’eau potable et les besoins de refroidissement, des générateurs diesel, un hôpital, des installations de diffusion de radio et de télévision, des cafétérias et son propre système de chauffage, ainsi qu’un département et un corps de police. Quelques 800 hamacs en maille bleue sont prêts pour le personnel évacué, qui dort par roulement 24/24h. Derrière des portes anti-souffle de 13 tonnes, un labyrinthe de couloirs sinueux descend jusqu’aux profondeurs de la Terre. En effet, le bunker a été conçu pour abriter des centaines de fonctionnaires durant cinq ans. Les cuisines de l’établissement sont préparées pour servir 3 000 repas par jour, leurs congélateurs-chambres faisant office également de morgue...

Mount Weather ("Mont météo"), nom du QG, abrite également le principal système de diffusion d’urgence ou EBS (Emergency Broadcast System ou "Système d’Émission d'Urgence") du pays, soit un réseau informatique capable d’interrompre tout type de communication, des téléphones cellulaires à la télévision par câble en passant par les réseaux Internet. Par principe, l’EBS national est une version plus puissante et sophistiquée des émetteurs d’urgence tels que le système d’alerte Amber et le système de messagerie d’urgence utilisé par le National Weather Service ("Service national de la météo"), se trouvant dans une pièce derrière des portes qui nécessitent à la fois des empreintes digitales et des scans rétiniens pour entrer.

 

Les "bijoux de famille" de la CIA

L’agence a violé sa charte pendant au moins 25 ans, notamment en mettant sur écoute des journalistes et des dissidents. C'est ce que le journaliste américain d'investigation Seymour Hersh a révélé en publiant un article en première page du New York Times le 22 décembre 1974, la CIA ayant annoncé dans la foulée la déclassification du dossier de ses "squelettes" des années 1970. C'est ainsi que les dix "bijoux de famille" les plus intéressants ont été communiqués aux Archives de la sécurité nationale en juin 2007 :

1) Surveillance des journalistes – opération CELOTEX I-II

2) Ouverture secrète du courrier, nom de code SRPOINTER / HTLINGUAL à l’aéroport JFK

3) Le cambrioleur du Watergate et ancien agent de la CIA E. Howard Hunt demande un crocheteur de serrures

4) Carl Duckett, chef de la direction de la science et de la technologie de la CIA, "pense que le directeur serait mal avisé de dire qu’il est au courant de ce programme" (expériences de Sidney Gottlieb sur les drogues)

5) Documents du MHCHAOS (enquête sur le soutien étranger à la dissidence intérieure américaine) reflétant le ressentiment des employés de l’Agence à l’égard de leur participation

6) Plan d’empoisonnement du leader congolais Patrice Lumumba assassiné en janvier 1961 au Katanga

7) Rapport sur la détention du transfuge soviétique Yuriy Nosenko

8) Document décrivant John Lennon finançant des activistes anti-guerre

9) Documents du MHCHAOS (enquête sur le soutien étranger à la dissidence intérieure américaine)

10) James J. Angleton, responsable du contre-espionnage à la CIA, et la question de la formation de la police étrangère à la fabrication de bombes, au sabotage.

Peut s'y rajouter depuis nombre d'autres sales bijoux de famille comme l’enquête bidon sur le Russiagate au début du mandat de Donald Trump en 2016, sa nouvelle administration ayant été harcelée  pendant des années avec un scénario complètement faux selon lequel la Russie l'aurait d’une manière ou d’une autre fait élire. Cette opération de renseignement était directement conçue pour renverser une élection, autrement dit réaliser une "révolution de couleur" sur le propre sol des Etats-Unis.

Autre révélation, Rick Doty, un ancien agent de l’Office of Special Investigations (OSI) de l’armée de l’air, agence chargée de veiller à l'application des lois et des règlements de l’United States Air Force, a partagé des informations remarquables sur son implication dans des opérations de contre-espionnage et de désinformation liées aux OVNIs, entre autres un faux enlèvement par des extraterrestres orchestré par l’armée dans le but de protéger des informations classifiées...

 

Des budgets secrets ("black budgets")

La National Security Agency (Agence nationale de sécurité américaine - NSA - image 4) est un organisme gouvernemental du département de la Défense des États-Unis, responsable du renseignement d'origine électromagnétique et de la sécurité des systèmes d'information du gouvernement américain. S'il a été fondé en 1952, son existence a toutefois été cachée jusqu'au milieu des années 1960. Même plus secret est le National Reconnaissance Office, l'une des 17 agences de renseignements des États-Unis qui crée, construit, et met en opération les nombreux satellites espions du gouvernement américain (image 5) qui a été fondée en 1960, mais est restée complètement secrète pendant 30 ans.

Ces programmes qui n'existent pas publiquement tout en existant bel et bien sont mieux connus comme "programmes noirs profonds", décrits par un rapport du Sénat américain en 1997 de la manière suivante : "si sensibles qu'ils sont exemptés de l'obligation de déclaration standard au Congrès." Le Washington Post a ainsi révélé en août 2013 un document divulgué par Edward Snowden (photo 6), qui était un ancien entrepreneur accrédité National Security Agency,  que pour les opérations de cet exercice annuel, les documents "black budget" montraient une stupéfiante somme de 52,6 milliards de dollars (environ 25% du produit national brut des États-Unis) mise de côté à destination du Ministère de la Défense ! Et vraisemblablement, tous ces milliards de dollars ne sont pas utilisés aux fins prévues, celles du financement des services secrets et d'espionnage, les programmes d'armes, les nouvelles technologies militaires, la construction et la maintenance de bases militaires souterraines (au nombre d'environ cent-trente, ce sont essentiellement de grandes villes souterraines reliées par le train à grande vitesse de déplacement conduisant à une lévitation magnétique compte-tenu de la vitesse Mach 2 atteinte), et les opérations clandestines*...

* Près de 110.000 employés bénéficient du "Budget Noir", couvrant l'ensemble de la communauté américaine du renseignement.

 

Les armées secrètes de l’OTAN (Organisation du traité de l'Atlantique nord - image 7)

Dans le cadre de ce traité signé en avril 1949, la CIA et le MI6 britannique ont établis progressivement en Europe au sortir de la seconde guerre mondiale des armées secrètes en Italie, Belgique, France, Allemagne*, Suisse, Pologne, Norvège, Suède, Danemark, Finlande, Islande, Autriche, Espagne, Luxembourg, Grèce, Roumanie, Ukraine et Turquie sans que les populations concernées soient au courant. Ces réseaux clandestins étaient nommés stay-behind, soit "restez derrière" en français. Se couvrant comme paravent de la mission de combattre le nazisme, ils étaient destinés à combattre le communisme mondial comme à contrôler l’Europe en ripostant rapidement à une éventuelle invasion soviétique en Europe de l’Ouest, et ce dans le cadre d'une stratégie dite défensive. De ce fait, ils étaient liés aux opérations de terrorisme, comme en Italie où le stay-behind italien a pris le nom de Gladio - le "glaive" -, symbole choisi par les derniers combattants mussoliniens de la République de Salo. Si finalement l’URSS n’a pas envahi l’Italie, une "stratégie de la tension" fut déployée dès 1969 face au danger que représentait le parti communiste italien, 2ème force politique du pays, avec pour résultat un lot conséquent d’attentats pendant les "années de plomb" (12 000, soit 362 morts) constitutif d'un cercle infernal de terrorisme d’extrême-gauche et d’extrême-droite. Le but était de favoriser l’émergence d’un État plus autoritaire face au péril communiste. Le premier ministre d’alors, Giulio Andreotti (1919/2013), l’a reconnu en 1990, tout comme au final l’OTAN...

Ces armées, constituées de membres des forces spéciales états-unienne et britannique (y compris d’anciens membres de l’ex SS allemande et de fascistes italiens), étaient intégrées dans les services secrets des ministères de la Défense respectifs, hors tout contrôle parlementaire et connaissance médiatique. Ces armées ont également contribué à des opérations de déstabilisation politique intérieure (ainsi le Général de Gaulle pendant les événements d’Algérie), même si cela n’a jamais été reconnu officiellement. Les opérations terroristes consistaient à choquer l’opinion, et par-là même à conduire l’acceptation progressive de réduction des libertés.

Sous couvert de géopolitique, ces armées et guerres secrètes n'ont eu cesse de participer de la tentative de l’Empire US de préserver son hégémonie idéologique comme économique, utilisant tout particulièrement l’évolution technologique (Cf. chasseurs de porte-avions, drones) pour y parvenir. Elle a été progressivement étendue depuis 1999, selon une nouvelle doctrine à vocation beaucoup plus offensive, à des terrains d'intervention en Afrique, en Libye et au Moyen-Orient - enlèvements, assassinats, bombardements... -, et à des opérations d'espionnage aux frontières de la Fédération de Russie ayant fini par déboucher sur le conflit en Ukraine avec la Fédération de Russie depuis 2022.

Cf. Travaux de Daniele Ganser, historien suisse, professeur d’histoire contemporaine à l'université de Bâle.

* La base militaire états-unienne de Ramstein, située au sud-ouest de l’Allemagne dans le district de Rhénanie-Palatinat, est l’un des centres de coordination important des activités militaires états-uniennes en Europe occidentale. Les activités militaires de cette base contre des pays d’Europe ou d’autres régions, ont été déployées sans l’accord du gouvernement allemand. Il en va de même pour l’Italie.

 

Surveillance globale

Big Brother est un personnage de fiction du roman 1984 (Nineteen Eighty-Four) de l'écrivain anglais George Orwell, nom de plume d’Eric Arthur Blair (1903/1950). Cette expression est depuis utilisée pour qualifier toutes les institutions ou pratiques portant atteinte aux libertés fondamentales et à la vie privée des populations ou des individus, autrement dit la Surveillance Globale. Déjà mise en œuvre en Chine, elle est pratiquée dans de très nombreux pays, France comprise. Une maîtrise du peuple par la surveillance a pour objectif que chacun(e) se sente "épié" avec plus ou moins de pression, ceci en fonction du degré d’acceptation des peuples selon les pays.

C'est ainsi que par toutes les traces informatiques - Internet et réseaux sociaux, cartes bancaires, images de caméras de surveillance ... -, il est presque impossible de passer à travers les mailles du filet, seules les bonnes vieilles méthodes artisanales échappant facilement à la surveillance. Si cette "surveillance" peut venir d'entreprises privées ayant un but commercial, avec un risque de piratage des données bancaires également, elle vient également et en priorité des autorités institutionnelles, favorisée par la technologie. L’origine en remonte au milieu du XXème siècle avec l’adoption conjointe par les États-Unis et le Royaume-Uni de l’accord secret UKUSA (fin 1940), qui a abouti à la mise en place d’un premier réseau de surveillance mondial connu sous le nom de code "Échelon" (1971). Tout comme les "black budgets", cela a été également révélé par le lanceur d'alerte Edward Snowden (photo 6), ce qui a provoqué un débat politique mondial en 2013 sur le droit à la vie privée à l’ère du numérique, débouchant sur la fameuse RGPD européenne (Règlement général sur la Protection des Données). Toutefois, l’Intelligence Artificielle couplée à la multitude de moyens de saisie des données donne un outil redoutable de profilage et de surveillance. Si tout ceci peut s’avérer rassurant lorsqu’il s’agit de lutter contre le crime, la délinquance ou encore le terrorisme, les finalités sont un peu plus larges, tel que le démontre la pratique en vigueur aux États-Unis. Cette surveillance permet de réaliser des "cartes de la vie sociale" des individus à partir de leurs connexions personnelles, professionnelles, religieuses et politiques. Et si le "Big Brother" chinois surveille ses citoyens, les agences américaines n’ont pas de frontières !

Le 9 mars 2022, le président soit-disant démocrate Joe Biden a signé l’arrêt de mort de la liberté américaine lors d’une cérémonie feutrée à la Maison Blanche, sans l’approbation du Congrès, des États et du peuple américain, en promulguant le décret 14067. Celui-ci ne contient que quelques paragraphes, intitulés Section 4, qui ouvre la voie à une surveillance gouvernementale légale de tous les citoyens américains, à un contrôle total des comptes bancaires et des achats, ainsi qu’à la possibilité de faire taire définitivement toutes les voix dissidentes.

 

Des "cinq yeux", ou l’alliance contrôlante

Five Eyes (littéralement "Cinq yeux"), traduit comme Groupe des cinq par la Défense canadienne, désigne l'alliance des services de renseignement de l'Australie, du Canada, de la Nouvelle-Zélande, du Royaume-Uni et des États-Unis. Ces pays sont reliés entre eux par l'accord UKUSA, un traité qui prévoit la coopération entre les différents services assurant la collecte de renseignements électromagnétiques.

Les origines de cette alliance remontent à la Seconde Guerre mondiale, qui voit La Charte de l'Atlantique, signée en 1941 par les Alliés, établir les lignes stratégiques du monde de l'Après-guerre. Pendant la Guerre froide, le système d'interception baptisé ECHELON* est ainsi mis sur pied pour surveiller les communications de l'URSS et des pays du Bloc de l'Est. Il est désormais aujourd'hui utilisé pour la collecte de milliards de renseignements électromagnétiques partout dans le monde dans la foulée de la Guerre contre le terrorisme depuis 2001 qui a vu les Five Eyes élargir leurs capacités de surveillance en mettant l’emphase sur la surveillance d’Internet.

En plus des cinq pays principaux de l’Alliance, l’existence de deux autres accords internationaux de partage de renseignements a été mise en place.

Cinq yeux : USA, Royaume-Uni, Canada, Australie, Nouvelle Zélande

Neuf yeux : Cinq yeux + Danemark, France, Hollande, Norvège

Quatorze yeux : Neuf yeux + Allemagne, Belgique, Italie, Suède, Espagne

Les Alliances aux Neuf et Quatorze yeux sont des extensions de l’Alliance des Cinq yeux. Si ces pays ne partagent pas autant d’informations les uns avec les autres que ceux de l’Alliance aux Cinq yeux, ils participent quand même activement et de façon volontaire à un partage de renseignements international.

* Il sera divulgué à la fin des années 1990 par le journaliste néo-zélandais Nicky Hager.

 

Autre acteur majeur de la désinformation, le Federal Bureau of Investigation - FBI - (photo 1) qui, à l'instar de la CIA, est utilisé sans vergogne par le gouvernement états-unien otanesque aux fins de manipulation. Son bilan délétère est conséquent, ayant notamment conduit en mai 2023 le candidat démocrate à la présidence des États-Unis, Robert F. Kennedy Jr., à rompre les rangs avec son parti en affirmant que le FBI avait été politisé par les plus hauts responsables de son parti (Barack Obama, Bill & Hillary Clinton, Joe Biden) pour faire tomber Donald Trump - avant et après son élection à la présidence en 2016* -, tournant ainsi en "dérision" le processus politique américain qui à ses yeux relève d'une matrice de mensonges si élaborée qu'elle tourne en dérision l'idéal démocratique d'une citoyenneté informée.

* Cf. entre autres le prétendu "Russiagate", démonté de toutes pièces par l'enquête suivi d'un rapport explicite du procureur spécial du Département de la Justice des États-Unis John Durham chargé par Donald Trump en 2019 d’enquêter sur les raisons qui ont poussé le FBI à lancer des investigations sur l’éventuelle collusion entre le président et la Russie.

 

Cointelpro, la Manipulation totale

C'est en août 1956 que le FBI (Federal Bureau of Investigation) a mis en place son opération COINTELPRO, destiné à aller au-delà de ses méthodes traditionnelles de répression (dénonciations, harcèlement caractérisé, persécution pour crimes politiques) qui commençaient à montrer leurs limites à contrer l’insurrection croissante contre la "vérité" dispensée par les autorités officielles. Ses méthodes sont ainsi allées bien au-delà de la surveillance, devenant une version domestique des actions en sous-main pour lesquelles la CIA (Central Intelligence Agency) a gagné sa réputation exécrable dans le monde entier.

Cette stratégie COINTELPRO consiste à aveugler le citoyen chercheur de vérité avec de pseudo-conspirations, des enseignements spirituels/nouvel âge corrompus, et une désinformation mêlée à la vérité, afin de le maintenir dans les paramètres de la réalité matricielle sans trop de difficultés. Ses recettes : envoi de lettres anonymes ou fictives destinées à susciter et répandre des rumeurs, publication de fausses informations diffamatoires ou menaçantes, imitation de signatures sur de faux documents, infiltration par des membres perturbateurs et subversifs au sein d’organisations afin de détruire celles-ci de l’intérieur, chantage auprès des membres de certains groupes afin de les forcer à répandre de fausses rumeurs ou pour fomenter des factions, etc.

Le COINTELPRO s’est également livré à la création d’organisations bidon, pouvant servir à beaucoup de choses, comme des attaques lancées contre des groupes de bonne foi ou la désintégration de ceux-ci., ou pouvant servir à simplement créer une diversion grâce à une propagande savamment orchestrée afin de forcer les membres à gaspiller leur temps en activités ineptes, ce qui les empêchait de rien entreprendre d’utile.

Ces programmes du FBI avaient pour caractéristique remarquable qu’ils étaient estampillés "ne pas classer", ceci signifiant qu’ils n’étaient jamais archivés dans le système et n’avaient donc jamais existé en aucune manière. Cette couverture a été "brûlée" quand, en 1971, des activistes sont entrés par effraction dans un bureau du FBI à Media, en Pennsylvanie. La possibilité de trouver aucune preuve de tout cela a été réduite à néant après cet événement.

CF. en complément le livre The Secret Team : The CIA and Its Allies in Control of the United States and the World ("L'équipe secrète : La CIA et ses alliés au contrôle des États-Unis et du monde") - image 9 du bandeau ci-dessus - de L. Fletcher Prouty, ancien colonel de l'US Air Force, publié en 1973, avec des anecdotes sur les sales tours de la CIA.

 

Espionnage sans frontières

Pegasus est un puissant logiciel espion mis au point par l’entreprise israélienne de sécurité informatique NSO Group créée en 2011 (elle a été rachetée en 2014 par la société américaine de capital-investissement américaine Francisco Partners, axée exclusivement sur les investissements dans la technologie et les entreprises de services technologiques). Très sophistiqué et modulaire, Pegasus permet une personnalisation selon le pays d'utilisation ou les propriétés achetées par l'utilisateur final. Il s’insère dans les applications de messagerie sécurisées les plus courantes pour en copier des données en clair avant que l’application de l’utilisateur ne les chiffre pour envoi (enregistrement de toutes les positions GPS du téléphone ainsi que les communications, notamment les communications iMessage, Gmail, Viber, Facebook, WhatsApp, Telegram et Skype). Il peut aussi collecter la liste des contacts, les photos et les mots de passe Wi-fi. Il utilise un cryptage pour se protéger de la détection des outils de sécurité traditionnels et dispose d'un mécanisme de surveillance et d'autodestruction. Le dispositif d'autodestruction intégré permet aussi à l'attaquant d'effacer ses traces une fois qu'il a récupéré les informations dont il avait besoin.

Il a permis à une dizaine d'Etats commanditaires (Maroc, Mexique, Panama...) d'avoir eu accès à plus de 50 000 numéros de téléphone potentiellement ciblés (journalistes, avocats, militants, responsables politiques de nombreux pays dont la France, princes et princesses, chefs d’entreprise, milliardaires, ambassadeurs, généraux). Révélée en 2021 par les organisations Forbidden Stories* et Amnesty International (ONG) grâce à des analyses techniques extrêmement poussées sur leurs téléphones mobiles, cette traque numérique de cibles potentielles constitue une violation des droits de l’homme. Si l’entreprise israélienne vend son logiciel comme un outil décisif, destiné uniquement à la lutte contre le terrorisme et le crime organisé, la réalité est que pour une grande partie de ses clients terrorisme et grand banditisme ne constituent qu’une infime partie des utilisations, le "sale" boulot étant fait par les services secrets "amis" afin de ne pas se faire avoir par ses propres lois ou législations. Et comme d'habitude en matière de complotisme, ce sont les apparents respectables qui sont les maîtres illusionnistes !

* Site internet et plateforme de l'association de journalistes Freedom Voices Network créée en 2017, et soutenue par l'ONG Reporters sans frontières.

 

Si les directeurs du FBI qui se sont succédé sont des figures caractéristiques de l’establishment, autrement dit de l’État profond, se pliant en quatre pour protéger l’élite institutionnelle gouvernante et étouffer la vérité à l'instar de James Comey (photo 2), qui s’est fait des nœuds pour protéger Hillary Clinton des nombreuses poursuites judiciaires la concernant, ou à Robert Mueller (photo 3) à la manoeuvre lors du canular de la "collusion russe" soit-disant au profit du candidat républicain Donald Trump lors des élections présidentielles de 2016, il ressort une exception. Cet homme qui a passé sa vie à découvrir les secrets les plus sombres de l’élite mondiale et à partager cette vérité avec le peuple, ce chef du FBI qui a dénoncé le satanisme au sein de la CIA, les Illuminati, les réseaux pédophiles de l’élite, les chemtrails et bien d’autres choses encore, est Ted Gunderson (photo 4), agent spécial en charge du FBI qu'il avait rejoint en décembre 1951 sous la direction de J. Edgar Hoover, et ancien chef de son bureau de Los Angeles. Il s’était rapidement forgé une réputation d’agent perspicace* et incorruptible, de ce fait respecté par ses troupes, jusqu'à ce qu’il soit tragiquement et mystérieusement réduit au silence en 2011 après avoir pris sa retraite du FBI. Il avait commencé à donner des conférences dans tout le pays, s’adressant directement au public, partageant les informations que l’élite cherchait désespérément à garder secrètes. Il est mort de façon soudaine et inattendue, suscitant des soupçons parmi ses proches.

* Il s'est notamment occupé des affaires Marilyn Monroe et Kennedy. Il est aussi l'auteur du livre à succès How to Locate Anyone Anywhere ("Comment localiser n'importe qui, n'importe où").

 

Russiagate, ou l'investigation intérieure orientée à charge

Pendant la campagne électorale américaine de 2016 opposant Donald Trump à Hillary Clinton, la presse avait abondamment relayé les affirmations selon lesquelles Trump aurait bénéficié d’appuis du Kremlin constitutifs d'ingérence intérieure, mâtinées de prétendues galipettes salaces avec des prostituées russes. La presse américaine prétendait étayer ces allégations grâce aux éléments fournis par Hillary Clinton et l’équipe de sa campagne électorale, transmis au FBI pour lui permettre de faire une enquête approfondie qui continuera d’alimenter la chronique pendant les quatre années de présidence Trump. À l’époque, personne n’avait voulu faire le lien entre l’apparition de ces allégations de collusion et le fait qu’Hillary Clinton était elle-même empêtrée dans des affaires de divulgation d’e-mails classifiés à partir d’un serveur informatique non sécurisé. L’un et l’autre candidats semblaient ainsi mouillés dans différentes magouilles.

Il ne s'agissait toutefois que d'un impressionnant travail de camouflage, de mensonge par omission, et de pure propagande de toute la presse mainstream, tant américaine que dans le reste du monde, pour tenter à la fois de discréditer Donald Trump et notamment de blanchir Hillary Clinton alors qu’il apparaissait de plus en plus évident qu'elle avait bel et bien fait fuiter volontairement des secrets d’État sur son serveur d’e-mails personnel. Pendant ce temps, même si les allégations concernant Trump peinaient de plus en plus à trouver de la substance compte-tenu de l’absence marquée de toute preuve solide, les médias continuèrent de plus belle à donner du grain à moudre à la thèse d’une collusion entre Trump et la Russie, utilisant même cet angle pour complètement passer sous silence dès 2019 les révélations contenues dans le portable du fils du président successeur Hunter Biden, qu’on fit alors passer pour une pure intoxication des services russes*.

Si dès 2016, juste avant les élections, l'agence d'investigation avait mis sous l'éteignoir quatre actions judiciaires à des fins criminelles car dénonçant de graves malversations (versement de fonds par des Etats étrangers à des fins de "retour sur investissement" ultérieurs) dans la gestion de la Fondation Clinton (Organisation Non Gouvernementale créée en 2001), c'est en matière de propagande et de manipulation du public par les grands médias que les élections américaines de 2020 furent une véritable apothéose. Malgré des soupçons de fraudes graves dès le lendemain de la présidentielle en Novembre et les rebondissements qui émaillèrent les mois suivants, le public fut pour ainsi dire forcé de croire à la thèse officielle selon laquelle Joe Biden aurait été élu dans une élection aussi propre et sécurisée que possible. Bien que peinant à rassembler quelques centaines de supporters dans une grande ville pour ses meetings politiques, celui-ci aurait donc gagné contre son adversaire républicain qui n’avait eu aucun mal de son côté à en rassembler plusieurs dizaines de milliers dans des champs au milieu de nulle part. Parallèlement, les enquêtes citoyennes notamment menées sur la qualité des votes enregistrés pendant les élections de 2020 ont permis d'étayer significativement le doute quant à la sécurité des machines de vote et de tabulation des fournisseurs en équipements Dominion ou Konnech, ayant pu constituer un vecteur d’attaques pour du bourrage d’urnes électroniques. Pire, le documentaire "2000 Mules" réalisé en 2022 par Dinesh D'Souzaa a amplement détaillé l’utilisation du vote par correspondance pour des bourrages d’urne dans les comtés les plus à même de faire basculer des États entiers en faveur de Biden, comme celui de Maricopa dans l'Arizona. Sans oublier que le changement de majorité à la Chambre des représentants américains fin 2022 a constitué l’occasion de revenir en détail sur les événements du 6 janvier 2021 qui furent à l’époque présentés comme un envahissement violent du Congrès américain par des partisans pro-Trump, une véritable tentative de coup d’État que seules les courageuses forces de l’ordre locales purent repousser héroïquement. L’analyse des bandes vidéos des caméras de sécurité disponibles sur tout le périmètre a en effet largement permis de remettre en cause cette thèse officielle, qui ne tient que par le silence compact des médias quant à ce grossier bobard.

Au final, le rapport du procureur spécial du Département de la Justice des États-Unis John Durham, ouvert en juillet 2016 sous le nom d'enquête Crossfire Hurricane sur le Président Trump par le directeur adjoint adjoint de la division de contre-espionnage du FBI d'alors Peter Strzok, a apporté en mai 2023 lors de sa publication la preuve définitive de la collusion des administrations et des agences de renseignement à son détriment, montrant que le FBI a lancé ses enquêtes, largement médiatisées, en ne se basant sur aucun élément de preuve ou de soupçons raisonnables (pas plus que pour l'enquête de l'avocat spécial Mueller en 2017*²). Il montre aussi que les éléments fournis par Hillary Clinton étaient totalement fabriqués (le plan d'Hillary Clinton visant à lier la campagne de Trump à la Russie a été présenté par l'ancien directeur de la CIA, John Brennan, à Barack Obama et Joe Biden en août 2016), que le FBI le savait, et que ce sont les fonds de campagne pour l’élection de Clinton qui servirent à financer ces fabrications. Le même rapport démontre que ce FBI a commodément abandonné toutes poursuites contre Clinton en pariant sur son élection en 2016, ce qui, au passage, met sur le tapis la soi disant indépendance de la justice - en fait un système à deux vitesses fondé sur des croyances politiques et la corruption des élites politiques - et démontre une nouvelle forme de capture du Département de la Justice par le gouvernement démocrate actuel. 

Tout ceci constitue bel et bien à la fois une interférence claire dans l’administration Trump de 2016 à 2020, au frais du contribuable américain, une source d’interférence pour la campagne 2020, ainsi qu'une trahison de ces agences vis-à-vis des fonctions qu’elles sont censées servir, sans compter les mensonges pourtant sous serment de représentants officiels comme l'élu démocrate de Californie à la Chambre des représentants Adam Schiff. Ces interférences s’ajoutent à celles de plusieurs personnels des agences de renseignement qui ont menti en toute connaissance de cause sur la provenance du portable du fils Biden. La vérité est que ce qui a été présenté comme le Russiagate n'est autre que les Obamagate, Clintongate et Bidengate ! Ils sont de ce fait impardonnables et indéfendables.

Les "Twitter files" ont permis en 2023 de comprendre comment l'opinion citoyenne avait été enfumée au sujet de l’ordinateur de Hunter Biden. Il s'agissait bien du sien, contenant largement de quoi faire sauter la présidence...  

 En 2019, le procureur spécial Robert Mueller a fait état d’une ingérence russe dans l'élection présidentielle américaine de 2016, tout en indiquant que son enquête n’avait pas recueilli de preuves suffisantes pour établir une "collusion" entre la Russie et l'équipe de Donald Trump.

 

Quant au stockage et l’utilisation croissante des données biométriques des citoyens, ils doivent permettre la création d’une "dictature de la surveillance" totale, l’être humain étant appelé à l'ère transhumaniste* à devenir un produit biotechnologique contrôlable et maîtrisable pour l’élite du pouvoir mondialiste criminel, ces psychopathes aigus qui nous gouvernent.

* Cf. Conscience du XXI° siècle.

 

Le bio-pouvoir, la biologie de contrôle

L’humanité vit au milieu d’un régime de guerre perpétuelle depuis l’histoire connue. Rien qu’au cours des 100 dernières années, nous avons assisté (entre autres) à deux grandes guerres mondiales européennes, à la guerre de Corée, à la guerre du Vietnam, à la guerre froide, à la guerre contre le terrorisme. Désormais, c'est la guerre des virus. Conformément à l’évolution de la technologie, les "guerres" se déplacent de l’inter-corps (entre les corps) vers l’intra-corps (à l’intérieur des corps), voyant la mise en œuvre de tentatives de colonisation du terrain dans notre espace le plus sacré – le corps biologique humain. C'est ce qui se nomme le bio-pouvoir.

Son modèle fonctionne pour taxer plutôt que pour organiser la production, et pour régir la mort plutôt que pour administrer la vie. Si les anciens modèles de bio-pouvoir se concentraient sur les modes d’enfermement extérieurs – école, usine, hôpital, prison, etc. –, le nouveau règne du bio-pouvoir consiste à accéder à nos espaces intérieurs, le corps humain présentant la caractéristique d'être permanent et continu, et disponible pour un contrôle générationnel. Aussi s'agit-il de se préoccuper de la modulation continue, en s’adaptant aux événements en cours plus comme une longueur d’onde que comme une émission fixe.

Pour prendre le contrôle, il s'agit d'assurer une domination propriétaire sur le corps d’un individu, à l’extérieur et à l’intérieur. Il suffit de constater l’essor du génie moléculaire, des manipulations génétiques et des interventions pharmaceutiques pour voir comment les systèmes externes gagnent de plus en plus de terrain intérieur. C'est ainsi que s'explique l'augmentation rapide du nombre de stations de test Covid-19 dans les villes, ce qui donne l’impression d’une société ouverte autorisant les libertés mobiles mais qui ne sont que les façades de systèmes de contrôle envahissants (Liverpool au Royaume-Uni a lancé un programme de "test de masse" à l’échelle de la ville, avec des stations de test accessibles à pied et en voiture installées un peu partout dans la ville, qui fait appel à l’armée pour effectuer les tests, qui teste les enfants sans le consentement des parents, qui identifie chaque individu avec un "code-barres unique", et qui isole et sécurise toute personne dont le test est positif).

Autrement dit, ces nouveaux régimes de bio-pouvoir ont pour objectif d'établir des variations continues de "tests" avec des itérations continues d'"être en danger", faisant que si nous devons être continuellement "à risque", nous devons être perpétuellement surveillés. Le contrôle se fait lutôt par le biais des flux fluides d’un suivi/traçage permanent (les gouvernements australiens obligent de leur côté les entreprises et les organisations à collecter des données sur "chaque personne, y compris le personnel, les clients et les sous-traitants, qui pénètre dans les locaux", tous les documents collectés sur papier devant selon la loi être numérisés dans les 24 heures).

Ces tests et ce suivi de la biosécurité presque en temps réel seront bientôt nécessaires pour la plupart des activités quotidiennes, comme aller à un concert de musique en direct.

La revue médicale The Lancet a consacré un article quant aux sept priorités clés et neuf recommandations "pour les données et la santé numérique qui doivent être adoptées par la communauté sanitaire mondiale pour relever les défis de la pandémie de Covid-19 et des futures pandémies". La première priorité à adopter par les secteurs de la santé et des soins est l’intelligence sanitaire appliquée (IH), utilisée pour la surveillance, le suivi et l’amélioration des résultats pour la population et les patients. La deuxième priorité concerne la "technologie numérique interopérable" et la mise à l’échelle et la durabilité de cette technologie. La troisième priorité consiste à soutenir l’adoption de l’intelligence artificielle. Parmi les neuf recommandations, les suivantes présentent un intérêt particulier : 2) Travailler avec les parties prenantes mondiales pour faire face à la propagation de la désinformation ou de la mésinformation par le biais des plateformes de médias sociaux et des médias de masse ; 3) Mettre en œuvre un ensemble minimal de données mondiales standard pour la communication des données de santé publique ; 7) Veiller à ce que les systèmes de surveillance combinent une réponse de santé publique efficace ; et 9) Maintenir, continuer à financer et innover les systèmes de surveillance en tant que composante essentielle du système de santé mondial connecté pour une préparation rapide et des réponses mondiales optimales.

Ces recommandations ressemblent bel et bien au cadre de mise en place d’un appareil de biosécurité d’un consortium d’entreprises de soins de santé, de sociétés de santé numérique et de gouvernements. Et la réalité est que de nombreuses personnes n’auront pas le choix. C'est pourquoi cette réglementation et cette intrusion accrues entre et dans les corps humains constituent une réduction directe de la souveraineté humaine, le corps humain individuel étant en train d’être pleinement incorporé dans la politique globale du corps. L’être humain est transformé en un lieu de suspicion et de risque, puisque le corps est reclassé comme un "site de faiblesse", ce qui constitue les ferments d'un programme de transhumanisme destiné à réorganiser la citoyenneté humaine de manière à créer une obéissance maximale aux institutions de gouvernance et de sécurité. Autrement dit, le bio-pouvoir est un système de contrôle de la conscience humaine, avec pour finalité la création d'un schisme dans la psyché humaine et de divisions sociales et polarisations au sein des groupements familiaux et culturels.

Voir les travaux de l'auteur Kingsley L. Dennis.

 

Des bio-laboratoires anglosaxons

Ces laboratoires dits Bio-labs répondent à un programme de réduction des menaces biologiques du ministère de la défense des États-Unis, qui pour ce faire collabore avec des pays partenaires afin de contrer la menace d’épidémies, délibérées, accidentelles ou naturelles des maladies infectieuses et leurs agents pathogènes et toxines (variole, anthrax, diphtérie...), considérées comme les plus dangereuses au monde. Ils sont co-gérés de nos jours par l’Alliance EcoHealth du docteur Anthony Stephen Fauci, immunologue américain qui depuis 1984 est le directeur de l'Institut national des allergies et maladies infectieuses (NIH - National Institutes of Health), une institution gouvernementale s'occupant de la recherche médicale et biomédicale, rattaché au département américain de la Santé (HHS -Department of Health and Human Services), et plus particulièrement du National Institute of Allergy and Infectious Diseases (NIAID - "Institut national des allergies et des maladies infectieuses"). 

Les États-Unis ne se contentent pas de soutenir la création de ces laboratoires à travers le monde, mais financent également des projets de recherche via le Département américain de la Défense (DOD)*, où les scientifiques nationaux et américains travaillent ensemble, comme pour la recherche sur le gain de fonction pour "améliorer" les virus transmis par aérosol semblables à celui du SRAS qui a été menée au laboratoire de virologie de Wuhan en Chine, et d'où s'est "échappé" en 2019 le virus nommé Covid-19 qui a généré une épidémie mondiale. Cette recherche au laboratoire de Wuhan s'est appuyée sur l'organisation EcoHealth Alliance du scientifique américain Peter Daszak, qui avait reçu une subvention du NIH. Tout ceci a été révélé en octobre 2021 suite à des fuites de courriels provenant d’Anthony Fauci.

De quoi interroger une des raisons de l'envahissement de l’Ukraine par la Russie en février 2022, les Bio-labs s'y trouvant constituant une menace de sa sécurité dans la mesure où ils ont la capacité de générer des agents pathogènes à potentiel pandémique qui exploitent le système immunitaire humain*², ceci étant à l’origine de la fraude médicale et des conséquences induites par les vaccins tels des décès. Deux d'entre eux ont en effet été créés en 2019 avec un niveau de biosécurité 2 à Kiev et à Odessa. Il en a été de même en Géorgie. Ils ne sont pas sans rappeler le laboratoire de Fort Detrick dans le Maryland aux Etats-Unis, où les Américains travaillent dans le domaine de la biologie militaire depuis des décennies...

Pour s'en défendre, le gouvernement américain utilise le "wordsmithing" (la capacité à manier le verbe) pour danser autour des faits. Il refuse de les appeler des laboratoires de guerre biologique, alors même que le génome est essentiellement la conception d'une arme de destruction massive, telle la souche H1N1 de la pandémie de 1918... Le gouvernement américain sait que ces virus sont des armes, mais refuse de les appeler ainsi, alors qu'il est établi que les États-Unis ont financé des recherches dans ces laboratoires. La sémantique sur ce qui est une guerre biologique et ce qui ne l'est pas n'est rien d'autre que leur façon de contourner la vérité.

De leur côté, les scientifiques britanniques ont expérimenté des moyens de propager la fièvre aphteuse et des infections mortelles telles que la dysenterie, le choléra et la typhoïde lors d’essais secrets de guerre biologique pendant la Seconde Guerre mondiale. C'est ce qu'a révélé un rapport gouvernemental publié en avril 2024, fournissant ainsi pour la première fois une histoire officielle complète des essais d’armes biologiques en Grande-Bretagne entre 1940 et 1979. Il en ressort que le ministère de la défense a transformé une grande partie du pays en un gigantesque laboratoire pour mener une série d’essais secrets de guerre bactériologique sur le public !

* Chaque installation coûte aux contribuables américains entre 1,8 et plus de 3 millions de dollars.

Bon nombre de ces laboratoires ont en effet atteint le niveau de sécurité biologique 2, permettant aux scientifiques d’expérimenter des virus et des bactéries. 

 

La compromission révélée du Dr. Charles Lieber

Scientifique renommé de Harvard (il en était président du département de chimie et de biologie chimique), spécialisé dans la technologie des nanofils exotiques et dans leur interaction avec la neurologie et la biologie humaines, le Dr états-unien Charles Lieber (photo 5), scientifique de Harvard, a été reconnu coupable fin décembre 2021 de six chefs d’accusation pour avoir menti aux autorités sur le fait qu’il avait reçu des millions de dollars de la Chine alors qu’il partageait sa technologie révolutionnaire avec un institut technologique de Wuhan.

Selon les documents judiciaires ayant justifié l'arrestation, le Dr Lieber a depuis 2008 a reçu plus de 15 000 000 $ (millions de dollars) en subventions des National Institutes of Health (NIH) et du Department of Defense (DOD). Ces subventions exigeaient la divulgation de conflits d’intérêts financiers étrangers importants, notamment le soutien financier de gouvernements étrangers ou d’entités étrangères. Or, à l’insu de l’Université de Harvard, Lieber est devenu à partir de 2011 un "scientifique stratégique" à l’Université de technologie de Wuhan (WUT) en Chine, et a été un participant contractuel du plan chinois des Mille talents* de 2012 à 2017 environ.

Ceci signifie que ses connaissances et son savoir-faire dans la capacité de systèmes d'Intelligence Artificielle (IA) intégrés de contrôler des treillis de nanofils qui s'interfacent avec la neurologie humaine pour surveiller et contrôler les êtres humains, ont été transférés à la Chine, pays totalitaire par excellence et désormais première puissance économique mondiale (l'Europe lui mange dans la main...).

Selon les spéculations, des treillis de nanofils pourraient être insérés dans des vaccins et, une fois injectés à l’aide d’aiguilles hypodermiques en raison de leur taille nanométrique, s’assembleraient d’eux-mêmes pour former des systèmes d’interface informatique semblables à des neurones, capables de lire et de contrôler la neurologie humaine*². Et cette technologie permettrait essentiellement à Mark Zuckerberg de projeter son univers "Meta" (anciennement Facebook) dans le cerveau sans utiliser de lunettes. Il s’agit d’un scénario à matrice complète, dans lequel ces nanofils/systèmes informatiques intégrés pourraient éventuellement lire nos propres pensées privées (dialogue intérieur), de surveiller ce que nous avons de plus intime ! Autrement dit, cela constitue le jeu final de l’asservissement total et du contrôle de l’esprit au niveau neurologique.

Toutefois, l'armée américaine est en cours de développement de vaccins dits "universels" nommés SpFN (ils sont à base de nanoparticules de ferritine de Spike) mis au point par les chercheurs du Walter Reed Army Institute of Research (WRAIR)*³. Ils ont pour bénéfice de susciter non seulement une puissante réponse immunitaire, mais également d'offrir une large protection contre les variantes préoccupantes du SRAS-CoV-2 ainsi que d’autres coronavirus. Si cette technologie est bien sûr décrite comme une technologie de sauvetage, il convient de ne pas oublier que l’armée US procède à des assassinats massifs de soldats depuis plus d’un siècle (il suffit d’examiner l’histoire de l’expérimentation médicale sur les soldats noirs pour voir la vérité choquante, ou encore de se référer à la prétendue "grippe espagnole" de 1918 organisée par l'armée américaine qui était en fait causée par des vaccins administrés aux soldats à Fort Riley au Kansas, et qui causa à l'échelle mondiale des millions de morts)...

* Le Plan des Mille Talents de la Chine est l’un des plans de recrutement de talents chinois les plus importants qui sont conçus pour attirer, recruter et cultiver des talents scientifiques de haut niveau afin de favoriser le développement scientifique, la prospérité économique et la sécurité nationale de la Chine.

Le système de libération des "charges utiles" de ces vaccins, sous forme de nanotubes de carbone (leur découverte remonte à 1952), est activé par la technologie sans fil 5G à même de cibler des individus spécifiques.

*³ Ceci s'inscrit dans l'opération Warp Speed ("Vitesse de distorsion") lancée par Donald Trump à la fin de son mandat consistant à déployer des vaccins anti-covid à une vitesse record. Pour y parvenir, il a simplement ordonné aux entreprises pharmaceutiques et à l'autorité des denrées alimentaires et des médicaments (FDA) de sauter toutes les études de sécurité et de produire une véritable expérience médicale qui serait injectée en masse à des milliards de personnes...

 

La mise en œuvre généralisée envisagée par le WEF

Le Forum économique mondial (WEF), relayé par des transhumanistes illuminés tel le scientifique et essayiste Laurent Alexandre (photo 6), a appelé en 2022 par la voix de son président nazi Klaus Schwab les gouvernements, les responsables de la santé et les "humains" du monde entier à examiner leurs arguments "rationnels" pour implanter des puces dans le cerveau des enfants. L’organisation mondialiste dégénérée insiste sur le fait que l’idée d’implanter une "puce de suivi dans votre enfant" n’est pas "effrayante", arguant qu'"ils font partie d’une évolution naturelle que les wearables* ont subie". Elle affirme que les enfants grandiront même pour voir les puces implantées comme des "accessoires" qui seront éventuellement "considérés comme un article de mode". Les parents devraient également apprendre à adopter cette technologie selon le WEF, car "de nombreux enfants s’attendent à développer des super pouvoirs" après avoir regardé des "super-héros" dans des films. Le WEF plaide également en faveur des implants de puces de suivi dans le corps humain pour aider la société à inaugurer un "meilleur nouveau monde".

A ses yeux, l’implantation de puces chez les enfants devrait être considérée par les parents comme un pas "solide et rationnel" vers l’avenir de la réalité augmentée (RA), afin de mettre l’humanité sur la voie d’une "société augmentée". Elle promeut ainsi l’utilité prétendument large des implants à puce dans des domaines tels que la santé (l’idée de remplacer les médicaments par des implants cérébraux qui manipuleront le corps avec des impulsions électriques existe depuis un certain temps), l’éducation et les milieux professionnels, décrivant la technologie comme transformatrice.

Tout en louant la manière dont une telle technologie pourrait transformer la société, le WEF soutient l’idée de fournir des lignes directrices sur la manière de réglementer "éthiquement" ce vaste pouvoir potentiel et, par conséquent, de le contrôler inévitablement. Et pour ce faire, elle avertit qu’elle a besoin "du bon soutien, de la vision et de l’audace", qui sont vraisemblablement fournies par les gouvernements mondiaux sont les élites du pouvoir des entreprises. Et si pour la plupart des individus il existe de sérieuses préoccupations concernant les droits civils, la vie privée et le concept même d’autonomie humaine, le WEF considère ces craintes comme non fondées, l’implantation de puces de suivi sur des enfants concernant simplement "une technologie qui vous soutient et améliore votre qualité de vie globale"...

* L'expression wearable entend une technologie portable ou technologie mettable, à savoir un vêtement ou un accessoire comportant des éléments informatiques et électroniques avancés. Les technologies portables incluent notamment des textiles, des lunettes, des montres connectées et des bijoux.

 

De la mise en place du contrôle biométrique

Le Koweït a décidé en septembre 2024 de suspendre l'accès aux services publics et geler les comptes bancaires des résidents, citoyens comme expatriés (le Koweït abrite une importante population étrangère, dont beaucoup possèdent une double nationalité ou des visas de travail temporaires), qui résistent au prélèvement de leurs empreintes digitales biométriques dans les délais impartis. Si les raisons invoquées pour imposer cet enregistrement des données biométriques numériques sont le renforcement de la sécurité et la résolution des problèmes liés à la double nationalité, cette initiative s’aligne en fait sur les tendances mondiales en matière de biométrie et de partage de nos données avec des agences sélectionnées. Au même moment, les Nations unies faisaient pression pour qu’un "Pacte mondial pour le numérique" qui sera géré à l’aide d’une intelligence artificielle "fiable" soit adopté par 193 pays afin qu’il puisse jouer un rôle important dans la gouvernance mondiale de l’intelligence artificielle, de l’internet, des biens publics numériques et de l’infrastructure numérique. C'est notamment cet enjeu qui a été adopté lors de son "Sommet de l’avenir" de New York du 22 septembre, car son "Agenda 2030", son plan mondial pour la paix et la prospérité sur une planète saine, se trouvait en grande difficulté*.

La Banque centrale du Koweït a ainsi demandé aux banques de mettre en œuvre des mesures telles que la suspension des canaux électroniques, le blocage des cartes bancaires, et éventuellement le gel des comptes pour ceux qui ne se conforment pas aux exigences d’enregistrement. Ces mesures affecteront également les actifs financiers tels que les actions, les fonds et les portefeuilles d’investissement. Les prélèvements pour les prêts et les hypothèques seront maintenus. Si les droits de circulation ne seront pas affectés, les personnes en situation irrégulière qui franchissent la frontière seront tenues d’enregistrer leurs empreintes digitales. Le pays a également l’intention de partager des données biométriques dans le cadre d’un réseau de sécurité régional, prévoyant à cet effet de collaborer avec Interpol et les pays du Conseil de coopération du Golfe pour mettre en place un solide réseau de sécurité. Ce partenariat vise à résoudre les problèmes posés par les doubles nationaux qui utilisent des identités multiples lorsqu’ils voyagent d’un pays à l’autre.

En sa qualité de bon élève se voulant exemplaire, l’Union européenne met en place un système informatique automatisé d’enregistrement aux frontières pour enregistrer les voyageurs en provenance de pays extérieurs à l’UE. C'est le cas de l'Allemagne, pourtant leader en matière de protection de la vie privée et des données en raison de l’histoire totalitaire du pays et du rôle de la surveillance dans l’Allemagne nazie et l’Allemagne de l’Est, qui s’empresse désormais d’étendre la surveillance biométrique en tentant de faire passer au Parlement, à une vitesse record, un "paquet sécurité" qui renforcerait la surveillance biométrique à une échelle sans précédent, et dont les mesures proposées portent atteinte au droit européen et à la constitution allemande. Ce "paquet sécurité" est en effet composé d’un ensemble de mesures visant à renforcer les règles en matière d’asile et à conférer de nouveaux pouvoirs aux autorités chargées de l’application de la loi, dont certaines se distinguent par leur effet potentiellement désastreux sur les droits fondamentaux en ligne, comme le droit conféré aux autorités répressives d’identifier les suspects en comparant leurs données biométriques (données audio, vidéo et images) à toutes les données accessibles au public sur l’internet. Cela signifierait que toute photo ou vidéo téléchargée sur l’internet ferait partie de l’infrastructure de surveillance du gouvernement, comme les photos prises lors de manifestations politiques ou dans d’autres contextes directement liés à l’exercice des droits fondamentaux. Ce matériel pourrait ainsi être utilisé de manière abusive pour suivre les individus et créer des profils nuancés de leurs activités quotidiennes. Cette proposition est contraire à la loi européenne sur l’Intelligence Artificielle récemment adoptée, qui interdit l’utilisation de systèmes d’IA qui créent ou développent des bases de données de reconnaissance faciale. Qui plus est, ces nouveaux pouvoirs seraient également accordésà l’Office fédéral des migrations et de l’asile, autorisé à identifier les demandeurs d’asile qui ne portent pas de carte d’identité en comparant leurs données biométriques à des "données Internet". Au-delà de la disproportion évidente de ces pouvoirs, il est bien connu que les logiciels de reconnaissance faciale sont entachés de préjugés raciaux et que leurs performances sont nettement moins bonnes sur les images de personnes de couleur, alors que le projet de loi ne prévoit aucune mesure significative de protection contre les résultats discriminatoires et ne reconnaît pas non plus les limites de la reconnaissance faciale.

L’Allemagne souhaite également introduire l’exploration par l’IA de toutes les données détenues par les autorités chargées de l’application de la loi, qui sont souvent utilisées à des fins de police prédictive. Cela inclurait les données de toute personne ayant déposé une plainte, ayant servi de témoin ou s’étant retrouvée dans une base de données de la police parce qu’elle a été victime d’un délit. Au-delà de ce dépassement évident, l’extraction de données à des fins de police prédictive menace des droits fondamentaux tels que le droit à la vie privée et il a été démontré qu’elle exacerbe la discrimination raciale.

Quant au gouvernement britannique, il a également annoncé fin 2024 son intention de mettre en place un système d’identification numérique obligatoire pour tous les citoyens qui "souhaitent participer à la vie de la société", le Premier ministre travailliste Starmer ayant récemment rencontré Bill Gates pour discuter du projet. Il a lancé à cet effet l’Office for Digital Identities and Attribute (OfDIA) – un organisme de surveillance de l’identité numérique au sein du ministère de la science, de l’innovation et de la technologie, chargé de mettre en place l’identité numérique obligatoire sous la direction de Hannah Rutter. En dépit des critiques de ce déploiement comme un précurseur de la mise en œuvre d’un système d’identification numérique plus large et controversé pour tous les citoyens, le gouvernement travailliste a mis en place un programme d’identification numérique destiné à 250 000 vétérans de l’armée dans le cadre de l’initiative "Veteran Card", présenté comme un moyen de simplifier l’accès aux services, tels que les soins de santé du NHS, l’aide au logement via le programme Op Fortitude, les opportunités d’emploi, les transports publics à prix réduit et d’autres avantages.

Le signal de l'ordre totalitaire à venir par ces projets du gouvernement est clair : saper les droits fondamentaux et violer le droit européen. 

* L’IA pourrait contribuer à inverser la tendance, destinée à donner un coup de fouet à l’action climatique et aux efforts déployés pour atteindre les 17 objectifs de développement durable.

 

Tous ces organismes, la CIA en tête de liste, posent trois problèmes fondamentaux : la nature de leurs véritables objectifs, leurs méthodes pour y parvenir, leur absence de responsabilité. En fait, leurs objectifs opérationnels sont ceux qu'ils définissent plus ou moins avec le président des États-Unis comme étant dans l’intérêt des États-Unis à un moment donné, indépendamment du droit international ou du droit américain. Ceci signifie que leur absence de responsabilité, si ce n'est en apparence, les conduit à diriger la politique, notamment étrangère, sans aucun contrôle public. Le Congrès n’est qu’un paillasson, un spectacle secondaire, tel que la crise sanitaire Covid l'a démontré ou la soi disant ingérence russe. Comme l’a dit un récent directeur de la CIA, Mike Pompeo (photo 7), à propos de son passage à la CIA :  "J’étais le directeur de la CIA. Nous avons menti, nous avons triché, nous avons volé. Nous avions des cours de formation complets. Cela vous rappelle la gloire de l’expérience américaine." !

 

Méthode du contrôle : le projet MK-ULTRA

"La manipulation consciente, intelligente, des opinions et des habitudes organisées des masses joue un rôle important dans une société démocratique. Ceux qui manipulent ce mécanisme social imperceptible forment un gouvernement invisible qui dirige véritablement le pays."

Edward Bernays (1895/1995), publicitaire états-unien et père de la propagande politique institutionnelle et de l'industrie des relations publiques, neveu de Sigmund Freud, Propaganda (1928)

 

Les techniques de contrôle mental basées sur le traumatisme et le fractionnement de personnalité sont utilisées par de nombreuses organisations dans le monde entier, ses origines remontant à l'époque de l'Égypte ancienne*, de Babylone et des Religions des Mystères à travers des rituels et des pratiques comme les tortures, les drogues, la magie, l'hypnose, la démonologie. Le "satanisme" a ainsi toujours fait appel à ces pratiques de transe et de dissociation, qui sont encore aujourd'hui très étudiés par certaines sociétés secrètes. La manipulation, la programmation et le contrôle mental sont des connaissances initiatiques qui, mises entre certaines mains, deviennent un puissant outil politique et social.

C'est au cours du XXème siècle que le contrôle mental s'est "modernisé" pour devenir une science à part entière. Des milliers de sujets ont été soumis à des expériences, testés et observés dans un cadre scientifique. Le programme MK-Ultra est un de ces projets visant à expérimenter le contrôle mental sur des cobayes humains.

Il a été scientifiquement établi en 1992, lors de la Quatrième Conférence Annuelle de la Région Est des Etats-Unis, en Virginie, portant sur l'Abus et la Personnalité Multiple (intitulée Hypnosis in MPD : Ritual Abuse). Y était décrit un ensemble étrange de symptômes que nombre de docteurs avaient découverts, souvent de façon indépendante, chez des patients, et qui révélait un programme national de grande envergure, bien coordonné, d'abus systématique et de contrôle du mental. Ce programme se retrouvait souvent chez les membres de familles de la NASA, de la CIA et de personnel militaire, et ce souvent depuis l'enfance, via de l'abus répété (tout à fait comparable à de la torture), de la privation sensorielle, de la désorientation, de l'hypnose, des hallucinogènes et autres drogues. Plusieurs couches distinctes de programmation ont été trouvées, chacune avec un dessein différent : des programmes sexuels ou suicidaires (c'est-à-dire autodestructeurs), des rituels et de "meurtre psychique", ainsi que des codes intégrés de verrouillage. Les victimes étaient aussi programmées avec des pièges (appelés la "bombe verte", greenbomb), de façon à ce qu'elles deviennent folles si jamais elles commençaient à se ressaisir.

Le but de ce programme semblait bel et bien la création d'une armée de candidats "mandchous", sous commande, appelés à s'engager dans la prostitution, la pornographie avec des enfants, le trafic de drogue, le trafic d'armes international, et d'autres entreprises lucratives illégales...

* Le "Livre des Morts" égyptien est l'un des premiers écrits faisant référence à l'utilisation de l'occultisme pour de la manipulation mentale.

 

De la souffrance infligée subtilement

Le Système matriciel de 3D assis sur la Pyramide du Pouvoir a pour objectif l'exploitation esclavagiste de la ferme humaine et de son bétail attitré, autrement dit tous les Terriens… Les entités/élites transdimensionnelles gouvernantes par le biais de leurs laquais institutionnels aux commandes, manipulés sinon corrompus, ont pour objectif principal de provoquer et d'infliger de la douleur, psychique comme physique. Il s'agit de leur principal outil pour siphonner l’énergie vitale dont elles ont besoin pour assurer leur survie. Il va sans dire que la douleur doit être énorme. Et comme la détresse physique ne peut être trop forte, limitée par la protection biologique du corps humain, la souffrance produite par l'esprit et l'âme en tant qu’énergie subtile est beaucoup plus riche et peut être infinie*. C’est en effet un produit unique d’une personne sensible qui peut la produire en quantités infinies.

Au cours des millénaires, les technologies de traite ont été constamment améliorées : guerres, épidémies, catastrophes artificielles, usure rapide des hommes, etc. Tout cela a causé d’énormes souffrances. Aujourd’hui, grâce à l'innovation découlant des sciences sociales et à l'essor continu du progrès technologique, un vaste éventail de savoir-faire sophistiqués aggrave à chaque instant la peine et la mauvaise humeur de la plupart des êtres humains non préparés car inconscients de cette réalité prédatrice dissimulée, et de ce fait inconcevable en l'état d'une conscience atrophiée.

Ce siphonnage permanent des forces vitales constitue l’essence même des réalisations du système 3D et de sa pyramide du pouvoir, qui a mené à ce titre des centaines d’expériences psychologiques, politiques et sociales. Si les sociétés totalitaires les plus brutales ont été construites pour produire plus de souffrance, cette option s’est également révélée globalement inefficace dans la durée, remplacée subtilement par l'apparente liberté démocratique mais assise sur une haute technologie plus avancée, le contrôle mental (Mind Kontrol)*² et sa gestion manipulée des émotions. Comme le cerveau humain passe très rapidement par des cycles de joie et de souffrance, l'être humain peut être "découpé" plusieurs fois par minute, réduisant ainsi au maximum le dialogue intérieur inhérent à l'être humain éveillé. C'est notamment la raison d'être de l’industrie du divertissement - cinéma, musique, sport et pornographie -, qui permet de faire passer l’esprit de l’homme par des cycles de joie et de souffrance aussi souvent que possible en faisant appel à toute la force et à toute la profondeur de se émotions. Jeux vidéo, films, Internet, réseaux sociaux, actualités, centres pornographiques – la liste de ses supports toujours plus perfectionnés ne cesse de s’allonger permettant à chacune de ces fausse réalités d'être comme un rêve, où la joie et la souffrance alternent à la vitesse la plus rapide. Le personnage de film ou de jeu dans lequel il se trouve assimilé à ne pas se préoccuper des problèmes quotidiens et mondiaux. Le contenu principal est la frustration, puisqu'il est illusoire de rester dans la joie permanente de situations jouées sans interruption. Le joueur qu'est l'être humain jouit de son invulnérabilité, en voyant le danger auquel son ou ses héros virtuels sont exposés dans ce monde totalement artificiel. Son cerveau au niveau conscient est devenu assimilable à un jeu de tir sur console où une partie très importante de lui-même est prête cette fois-ci inconsciemment à mourir pour de bon.

La réalité de ce jeu sinistre est de lisser et masquer la souffrance qui se cache sous une fine couche de plaisir. Les émotions désagréables sont ainsi l'ingrédient nécessaire au jeu, la satisfaction ressentie étant liée au fait de les surmonter. Plus que le combat fratricide réel où l’homme mourra comme jadis sur le champ de bataille à cent pour cent, le Système lui fait dorénavant subir cent combats virtuels dans lesquels à chaque fois son esprit meurt, le montant total de la souffrance libérée étant ainsi démultipliée. Qui plus est, la plupart des jeux pratiqués notamment sur console n’ont pas de sauvegarde instantanée, cela obligeant à refaire plusieurs fois le même trajet jusqu’au point de contrôle. Ceci est fait précisément pour maximiser la nourriture vitale des parasites, nos maîtres prédateurs.

Tel est désormais en ce vingt-et-unième siècle le fourrage informationnel qui crée l'environnement nutritif dans lequel le système pyramidal de la matrice 3D nous immerge dès la naissance. Et si une personne intelligente se rend compte que le scénario d’un film n’est qu’une stimulation mécanique de ses émotions par une machine à traire légère parce qu'invisible, dissimulée, elle éprouvera la plupart du temps une souffrance inexprimable face à l’inhumanité de ce bas monde. Et c’est de cette manière que le Système diabolique siphonne les plus intelligents de manière encore beaucoup plus intense que les gens du commun, d'autant qu'il en va de même pour les informations, l'ensemble des médias nationaux et internationaux (le mainstream) se nourrissant de l’agitation, de l’instabilité et de l’insécurité, toutes sources de confortables revenus publicitaires.

Quant à la toile numérique, Internet, elle est un cosmos de jeux, de films et d’informations. Autrement dit un ciel noir, parsemé de kinescopes, la psychologie du surf sur Internet n'étant que de la masturbation électronique qui très vite tourne en rond dans son espace personnel.

Au final, le Système gagne toujours, son flux d’informations étant dans son homogénéité profonde parfaitement fractal, dissimulé sous l'apparence confortable de la liberté de choix. En réalité, cette liberté n’existe pas, les milliards d’utilisateurs compulsifs passant leur temps à tromper leur cerveau en faisant pleuvoir la chaleur de cette luxure enivrante sur les récepteurs électroniques et les antennes dédiés. Ils pompent les vibrations de leur propre vie dans un trou noir sans fond, sans voir les parasites qui les traitent sur le lit de la passion pervertie.

Pour le Système pervers, nous ne sommes que des statistiques, fabriquées par des générateurs de nombres aléatoires. Des statistiques qui vivent dans la peur et l’espoir de ne pas être remarquées par le système. Nous naissons comme une clé USB propre, et le Système enregistre instantanément sur nous des fragments de son code culturel, les éclaboussures de prurit de l’éventail mondial étant constitutives de notre programme de contrôle qui détermine toutes nos pensées, nos sentiments et nos actions. Le système nous considère comme de simples opérateurs exécutables, et rien de plus. Il est persuadé que nous sommes zombifiés jusqu’à la mort. Mais le sommes-nous vraiment ?

* Cf. Qu'est-ce que l'Homme ? & Fonctionnement du corps biologique.

 

Les prémices

 

Outre le "bénéfice" de l’expérience des scientifiques nazis sur des êtres humains in vivo et en matière de psychotropes acquise par les pratiques testées dans certains camps concentrationnaires, les Américains étudient de 1932 à 1972, à Tuskegee en Alabama, les effets sur des êtres vivants (des afro-américains pauvres) du non-traitement de la syphilis, en dehors de toute règle éthique et d’approbation des autorités sanitaires. À partir de 1946, des enfants malades mentaux sont quant à eux nourris avec des céréales radioactives dans une école du Massachusetts. Toujours la même année, l'armée américaine fait des essais nucléaires sur l'atoll de Bikini et envoie des soldats sur place sans protection afin d'observer les effets de la radioactivité sur les soldats. À cette occasion, on remarque notamment que certains effets de l'irradiation peuvent être héréditaires.

La première d’une série de programmes de lavage de cerveau est initiée par la Marine US, à l’automne de 1947, à travers le projet Chatter sur la "vérité des drogues", développé en réponse à la menace soviétique. La recherche a porté sur l’identification et la mise à l’essai des médicaments destinés à des interrogatoires et le recrutement d’agents. Le projet a été officiellement mis fin en 1953.

Sans oublier qu’à partir de 1945, un programme de "ré-éducation" psychologique et mentale avait été mis en place à l'échelle d'un pays entier, l'Allemagne de l'Ouest, dans le cadre de la dénazification.

 

Du camp expérimental d'Auschwitz

Situé en Pologne à Oświęcim et de sinistre mémoire, Auschwitz était le plus grand complexe concentrationnaire du Troisième Reich pendant la Seconde Guerre mondiale, à la fois camp de concentration et centre d'extermination. Il se composait de trois camps :

. Auschwitz I ("Auschwitz Stammlager"), camp de concentration situé à Oswiecim;

. Auschwitz II ("Auschwitz-Birkenau"), camp d’extermination situé à Brzezinka, où étaient pratiquées les pires expériences médicales* sur le vivant par, entre autres, le "fameux" Dr Joseph Mengele, protégé par les alliés après la guerre;

. Auschwitz III ("Auschwitz-Monowitz"), camp de concentration sur le travail forcé situé à Monowitz à quelques km d’Oswiecim. 

Auschwitz – Birkenau était ainsi le centre d’expérimentation des "cobayes" humains (Juifs, homosexuels, intellectuels, communistes, Tsiganes, opposants nazis, enfants) pour tester les nouveaux médicaments et les vaccins pharmaceutiques dangereux, travaillant en corrélation avec l'entreprise industrielle IG Farben, qui était un cartel pharmaceutique puissant composé d’entreprises chimiques allemandes et de sociétés pharmaceutiques telles que BASF, Bayer et Hoechst. Après la guerre, IG Farben deviendra BAYER. Grâce à ces expériences interdites sur les humains qui leur ont permis de concevoir de nouveaux médicaments, ces groupes pharmaceutiques se sont enrichis à milliards pendant et après la guerre...

A noter que les survivants des camps n’ont pu poursuivre sur un plan judiciaire le gouvernement nazi inhumain pour les odieuses expériences médicales menées sur eux sans consentement éclairé et en toute impunité, ce qui n'est pas sans poser un troublant parralèle avec l'opération Covid de nos jours !

* Actes chirurgicaux sans la moindre anesthésie réalisés dans les conditions les plus sordides et épouvantables.

 

Parmi toutes les méthodes gouvernementales déployées et naturellement tenues secrètes, c’est le projet MK-Ultra (MK pour Mind Kontrolle, en hommage à ses initiateurs nazis), dévoilé en 1975, qui est emblématique du contenu expérimental mis en œuvre aux fins de domination servile des esprits. Il est le nom de code d'un projet secret para légal pour ne pas dire illégal de la CIA des années 1950 à 1970, visant à développer diverses techniques de manipulation mentale. Afin de le maintenir secret, ce projet a connu plusieurs évolutions, sous des noms de code différents (Artichoke, Bluebird), et a conduit au développement de sous-projets et de projets parallèles (MK-Monarch, MK-Naomi, Mk-Search, MK-Often, MK-Chickwit…). Cette segmentation en sous-domaines spécialisés de recherche et de développement s’est faite à travers des universités, prisons, hôpitaux et laboratoires privés, généreusement récompensés avec des subventions gouvernementales et divers fonds.

Le dénominateur commun est l’étude comme l’expérimentation des mécanismes de dissociation psychologique des sujets, que celle-ci soit induite volontairement ou déjà présente, l’utilisation de cette dissociation pouvant provoquer des comportements spécifiques. Autrement dit ce projet désigne l'ensemble des techniques de conditionnements psychologiques - de l'usage de drogue en passant par la torture, les électrochocs, le viol ou les armes psychotroniques* (Cf. images) - destinées à créer de toutes pièces à partir d'un individu lambda, y compris un enfant, un futur "petit soldat" qui répondra à tous les ordres, même les plus pervers. Il s’agit de s’emparer de l’inconscient de l’individu, lieu le plus secret de sa personnalité, en d’autres termes de son âme.

Le nom Monarque ne découle pas de son héritage royal, mais se réfère plutôt au papillon Monarque. Les enfants qui sont traumatisés ont leurs jambes attachées, reçoivent des électrochocs et sont torturés de manière que des alters (personnalités dissociées) se forment. Ils pensent de cette manière qu’ils sont des papillons. C’était la raison initiale de ce nom Monarque, attaché à cette manipulation mentale basée sur les traumatismes.

* La psychotronique est l’intersection entre la conscience, les champs d’énergie et la matière. Les "armes" qui en relèvent peuvent être utilisées contre des individus ou des populations spécifiques pour exercer un pouvoir sur le comportement et l’humeur, constituant une forme de contrôle de l’esprit.

 

La dissociation psychologique

Portant le nom de syndrome de la personnalité multiple (Multiple Personality Disorder, MPD) ou de l'identité dissociée (Dissociative Identity Disorder, DID) autrement appelée "alter", elle conduit au contrôle de l’esprit, plus exactement du subconscient, qui exige de la victime d’être exposée à de massifs traumatismes psychologiques et physiques, en général dès l’enfance*, afin de provoquer la psyché et de la briser en mille morceaux, en autant de personnalités autonomes, la frontière d'amnésie (mécanisme naturel de protection) les délimitant encapsulant le souvenir nous évitant de le revivre consciemment. Le libre arbitre ayant été quasiment supprimé, celles-ci peuvent ensuite être programmées séparément pour exécuter une fonction (ou un emploi) que le programmeur souhaite "installer". Chaque création - nommée alter -, stockée dans le subconscient et qui possède sa propre existence astrale autonome, va modifier la personnalité distincte de la personnalité globale, en laissant croire qu'elle constitue le mental entier. Les personnalités peuvent être ramenées à la surface par des programmeurs ou des gestionnaires en utilisant des codes spéciaux, généralement stockées dans un ordinateur. La victime peut également être influencée par des sons, des mots, des actions, comme des éléments déclencheurs. C'est une technique particulièrement prisée en matière d'esclavage sexuel, notamment pédophile.
Si le travail thérapeutique de guérison permet aux murs amnésiques traumatiques de disparaitre en faisant émerger et fusionner les personnalités alter, et que les mémoires dissociées qui y sont reliées sont petit à petit conscientisées et intégrées, il requiert beaucoup d'attention tant les mémoires contiennent des émotions et des sensations traumatiques extrêmement douloureuses. Comme faisant un voyage dans le temps, la personne revit véritablement la/les scène(s) avec les images, les sons, les odeurs, ainsi que la douleur physique et la terreur psychologique. 

* L'enfant est comme un morceau d'argile façonnable. Lors des 6 premières années, son cerveau est en plein développement, en mode "enregistrement" car non capable de critiquer les informations qu'il reçoit. Il emmagasine donc les données et construit ainsi les fondations de son subconscient qui dirigera 95 à 99 % de sa vie d'adulte… C'est pourquoi les structures internes d'une programmation sont installées durant la petite enfance, entre 2 et 6 ans. Il s'agit d'une véritable chirurgie psychique.

 

L'exposé Greenbaum

D’abord intitulé Hypnosis in MPD : Ritual Abuse ("Hypnose dans le trouble de la personnalité multiple : sévices rituels"), cet exposé du Dr notamment psychologue états-unien D. Corydon Hammond fut prononcé lors d'un congrès annuel sur les sévices et les personnalités multiples en 1992 dans l'état américain de Virginie. Il est relatif tout particulièrement aux techniques/méthodes de conditionnement d'individus par manipulation mentale (suggestion hypnotique et sévices rituels) et lavage de cerveau, les conduisant à souffrir du trouble dissociatif de l’identité (TDI) ou trouble de la personnalité multiple (TPM), ainsi qu'aux stratégies hypnotiques de prévention des rechutes et de la thérapie post-intégration utilisée pour y remédier. On trouve ce type de programmation mentale aussi bien chez les hommes que chez les femmes. Selon le Dr Hammond, c'est une organisation internationale occulte qu'il nomme The Cult (La Secte) qui pilote ces sinistres activités. Elle serait divisée en plusieurs branches servant toutes le même but...

Les origines apparentes de ce phénomène remontent à la fin de la Deuxième Guerre mondiale – avant même la fin du conflit –, lorsque plusieurs membres du renseignement étasunien se trouvaient en Suisse pour prendre les contacts nécessaires à l’exfiltration de savants nazis, dont des médecins nazis qui avaient dans les camps de concentration mené des recherches sur la programmation mentale. Parmi eux, se trouvait un jeune garçon, nommé Greenbaum (arbre vert) qui avait été élevé dans la tradition juive hassidique, sur fond de mysticisme kabbalistique*. Ayant survécu en collaborant, il avait assisté les nazis dans leurs expériences. Ils entreprirent des recherches sur la manipulation mentale pour le renseignement militaire étasunien, en commençant dans des hôpitaux militaires. Entretemps, le jeune garçon avait changer de nom, l’américanisant - le docteur Green -, avant que d'obtenir un diplôme de médecine et d'exercer en tant que médecin... Pour ce faire, ils prirent des enfants, commençant la programmation à l’âge de deux ans et demi environ, après avoir été rendus dissociatifs par des sévices (comme des abus sexuels) ou par certaines pratiques (comme un piège à souris placé au bout des doigts et seulement retiré lorsque les enfants ont cessé de pleurer). Au fil du temps, le rituel de programmation se renforce, l'enfant étant placé sur un brancard, sanglé et généralement nu, avec un goutte-à-goutte posé dans une main ou un bras et des fils électriques placés sur sa tête afin de suivre son électroencéphalogramme. Il est soumis à des lumières stroboscopiques, le plus souvent rouges, parfois blanches ou bleues. On lui administre du Demerol*², parfois d’autres drogues selon le type de programmation, le protocole spécifiant de lui donner telle dose toutes les vingt-cinq minutes, jusqu’à ce que la programmation soit achevée. Les patients ont décris une douleur à l’oreille – généralement la droite – dans laquelle une aiguille avait été placée, entendant des bruits étranges et confus, tout en se voyant projeter devant les yeux des lumières pulsant à une certaine fréquence, afin d'induire dans le cerveau un certain type d’ondes cérébrales. Une fois que le cerveau émet le type d’ondes requis, la programmation commence, orientée vers l’autodestruction et l’avilissement de la personne.

Une patiente soumise à cette programmation a indiqué que lorsqu'elle atteignait l’état souhaité d’altération de la conscience, il n’était plus nécessaire de la surveiller au moyen d’électroencéphalogrammes. Elle plaçait alors elle-même ses électrodes, une dans le vagin, par exemple, et quatre sur la tête, et parfois sur d’autres parties du corps. Ses programmateurs commençaient alors en lui disant : "Tu ressens de la colère envers un membre du groupe." Elle répondait : "Non, je ne suis pas en colère" ; ils lui envoyaient alors un violent électrochoc. Ils répétaient la même chose jusqu’à ce qu’elle obéisse et ne donne plus de réponses négatives. Puis ils poursuivaient : "Et quand tu en voudras à quelqu’un du groupe", ou " Si tu en veux à quelqu’un du groupe, tu te feras du mal à toi-même. Comprends-tu ?" Elle répondait "Non" et ils lui envoyaient un

électrochoc. Ils répétaient encore "Comprends-tu ?" "Oui, mais je ne veux pas." Électrochocs à nouveau, jusqu’à ce qu’ils obtiennent

obéissance. Puis ils ajoutaient "Et tu te feras du mal en t’infligeant des coupures. Comprends-tu ?" Même si elle répondait "Oui", ils pouvaient