Les publications en ligne font l'objet de constantes mises à jour et nouveaux enrichissements. Il va de soi qu'elles n'engagent que leur auteur dans le choix des sources et le fruit de ses imagination et réflexion.

Aujourd’hui, les adolescents représentent plus de 16 % de la population mondiale, composant un groupe démographique souvent négligé ou mal compris. Cette "jeune" génération grandit dans un monde bouleversé confronté à des crises multiformes, qualifié de VICA - volatil, incertain, complexe et ambiguë -, en proie à des changements profonds qui s'apparentent à la fin d'une civilisation pour l'émergence d'une nouvelle*. Ainsi la situation des enfants dans l’Union européenne où en 2024 un enfant sur quatre, soit 20 millions d’enfants, est menacé de pauvreté ou d’exclusion sociale. C'est par exemple le cas au Royaume-Uni, les chiffres officiels parus en mars 2025 et qualifiés de "source de honte nationale" ayant révélé qu’un nombre record de 4,5 millions d’enfants vivent aujourd’hui dans la pauvreté au Royaume-Uni, soit 31 % des enfants (72 % d’entre eux vivent dans des ménages où les parents travaillent)*². Qui plus est, plus de 11 millions d’enfants et de jeunes dans l’UE souffrent de troubles mentaux, notamment d’anxiété et de dépression, qui touchent un cinquième des 15-19 ans.

Cette augmentation des problèmes de santé mentale est tout particulièrement constatée depuis la pandémie de COVID-19. Les enfants en bonne santé n’ont en effet pas besoin de prendre des médicaments, et si une majorité d'entre eux souffrent de nos jours d’une maladie chronique à vie, et que presque toutes les maladies infantiles sans exception ont augmenté en flèche, c'est que le système de santé est inadéquat, avec l'emprise de "Big Pharma" - l'industrie pharmaceutique allopathique - qui subventionne sans compter les pédiatres et médecins, contrôle les écoles de médecine et le système éducatif via son influence auprès des décideurs politiques gouvernementaux et l'endoctrinement à grande échelle dispensé par les relais médiatiques, sans oublier les effets de la malbouffe et du manque d'exercice.

Les défis particuliers auxquels ces adolescents sont confrontés portent de ce fait principalement en matière de bien-être, les retombées économiques et sociales d’un large éventail d’investissements en faveur du bien-être pouvant indéniablement réduire les inégalités et contribuer à protéger les droits de l’homme des adolescents. La réalité de la société au sein de laquelle ils grandissent est que les gens se sentent de plus en plus déconnectés, leur vie manquant de but, de sens de l’utilité ou de connexion avec la communauté. C'est le signe d'une crise spirituelle majeure, traduisant la perte de ce qu'est le bonheur, soit le fait de faire de bonnes choses et de servir en priorité les autres et non soi-même. Nous pouvons certes débattre et nous critiquer les uns les autres, mais en même temps il est indispensable de nous aimer. Mais comment y parvenir lorsque le discours politique qui est sans cesse martelé est que "nous sommes en guerre"...

* Cf. Fin de cycle (1) Fin du temps ou fin des temps ? & Fin de cycle (2) La guidance éclairée de sa vie.

*² Un enfant est considéré comme vivant dans la pauvreté si son foyer gagne moins de 60 % du revenu médian britannique après déduction des frais de logement, soit 22 500 £.

De l'inégalité

Le dictionnaire indique qu’"une inégalité est ce qui n’est pas égal", l'égalité (aequalis en latin) étant ce qui est uni, de même niveau, "semblable en nature, en quantité, en qualité, en valeurs pour le dictionnaire Larousse. En philosophie réaliste (Aristote, Saint Thomas d’Aquin), l’égalité est de deux ordres, une "égalité des accidents" (même propriété physique, même poids, même nombre, même forme, même localisation, etc), autrement dit un rapport de quantité qui convient aux égalités arithmétiques, et une "égalité de substance", autrement dit un même rapport d'être, d'êtreté dans son humanité qui seul permet d’atteindre un ordre de justice plus grand car vecteur de charité, d’humilité et d'autres vertus. En somme, le vecteur de vie !

L'observatoire des inégalités de son côté définit le concept d'inégalités "lorsque une personne ou un groupe détient des ressources, exerce des pratiques ou a accès à des biens et services socialement hiérarchisés", sous-entendu "qu’une partie des autres ne détient pas". Il en découle l'injustice, ce "Qui n’est pas conforme à la justice, à l’équité", la justice visant dans sa fonction à rendre à chacun ce qui lui est dû. L'injustice est de ce fait un concept politique, soit une mise en comparaison de deux ou plusieurs états de droit appliqués de façon différentes à des situations considérées comme identiques. Il s'agit d'une erreur d’appréciation de la règle de droit, volontaire ou non.

Dans notre matrice terrestre gouvernée par les forces prédatrices de quatrième dimension de densité*, les inégalités sont des faits, des constats objectifs, conformément à une nature qui depuis sa création n’est faite que de diversité, de différences, la génétique le démontrant par excellence. Entre les loups qui s’imposent par la force dans la meute (loi naturelle) et ceux qui possèdent le plus (loi des hommes) autorisant la corruption, il en découle que l’inégalité est un  concept avant tout idéologique (ainsi le triptyque "Liberté, égalité, fraternité" du concept socialiste révolutionnaire), une élucubration de l’esprit source de bourrage de crâne et parfaitement contre productive comme dans la ferme des animaux d’Orwell* pour l'individu anesthésié destiné à la servitude volontaire parce qu'il n'a pas compris le pouvoir divin qu'il recèle comme créateur multidimensionnel. Définie par des individus en nombre restreint qui, en haut de la pyramide, décident pour les autres par des lois faites au nom de l’espèce, l’idéologie qui considère que des individus de même nature n’ont pas égale dignité s’appelle le racisme, dont découle le nazisme. En cherchant à gommer, à effacer les inégalités  d’accident que l'idéologie considère comme une inégalité de substance, elle veut modifier l’individu pour qu’il corresponde à l’image voulue. C’est par exemple le fond du combat LGBTQ+ : permettre à chacun une liberté de devenir ce qu’il veut, sans chercher à savoir si sa nature tend à une certaine perfection. Gommer la différence homme-femme permet ensuite de justifier qu’on choisit indépendamment de la réalité d’être ce qu’on veut.

Si deux êtres humains sont toujours égaux dans l’ordre de la dignité, ils présentent nécessairement des traits différents et ont leur propre personnalité dans l’ordre matériel. Ainsi par exemple les différences entre les hommes et les femmes, avec pour ces dernières la capacité d’enfanter. Ils sont égaux en dignité, entendant qu’ils ont des droits et des devoirs conformément à la morale et à la justice. Le comprendre repose sur la conscience, véritable cause de l'inégalité dans le vécu terrestre dans la capacité ou non d’agir par soi-même afin que chacun s’accomplisse selon les dispositions qu’il a pour atteindre la même dignité qui lui est dû. Alors que le vécu terrestre dans la nature concerne la survie de l’espèce, non de l'individu, simple unité biologique élémentaire destinée à la finitude, son évolution passe par la conscience de sa nature multidimensionnelle gage de son éternité.

* La Ferme des animaux (titre original Animal Farm. A Fairy Story) est un roman de l'écrivain britannique Eric Arthur Blair plus connu sous son nom de plume George Orwell, publié en 1945.

La question des inégalités est par exemple un sujet emblématique de la société française, qui voit un rejet quasi génétique de l’argent, de la réussite ou des "grands patrons" perçus comme forcément très méchants. Cette aigreur trouve sa source dans la Révolution française d’une part, et dans la religion d’autre part. La mauvaise interprétation de l’égalitarisme révolutionnaire de 1789, qui reposait au départ sur le concept d'égalité devant la Loi, a ainsi posé les fondements du marxisme et du communisme, quand la religion catholique a toujours de son côté proposé une ligne de crête entre libéralisme et marxisme, défendant pour le bien commun le droit à la propriété privée tout comme le principe de destination universelle des biens (le protestantisme valorisant la réussite personnelle pour sa part). Cette question a nourri l'approche du capitalisme, moteur économique de la société libérale contemporaine depuis la seconde partie du XIX° siècle, qui de par sa nature protéiforme, peut se définir simplement comme la propriété privée des biens et des moyens de production. D'où l’éternel débat depuis sur le juste partage de la richesse entre travail et capital, les nécessaires incitations positives par essence inégalitaires n'ayant jamais réellement été tranchées.

Il en résulte plusieurs biais cognitifs ou contournements de la pensée qui ont perverti le rapport à la richesse et au succès. La réalité est que "Dieu", la Nature ou la Vie au sens divin, offre un monde d’abondance et d’opportunités illimitées. Et c'est à l'être humain de savoir ce qu'il en fait. Dieu n’a jamais exigé de nous d’être dans la pauvreté, mais moralement pour les religions s'en prévalant, de ne jamais oublier les pauvres, ce qui est une immense nuance, à l'instar de la parabole biblique du riche et de Lazare qui voit le Christ apparaître au riche, non pour lui reprocher d’être riche, mais pour le mettre en garde sur la mauvaise utilisation des richesses. Quant à l’argent, s'il mesure d’une certaine manière la réussite, qu'elle soit le fruit de l'intelligence, du talent, de la force de travail ou du sens des opportunités (sinon de leur combinaison), il n’est qu’un instrument, celui de la réalisation de son ambition, matérialiste ou autre comme celle de vouloir changer le monde.

C'est pourquoi l'égalitarisme devient une pathologie quasi médicale lorsqu'il entraîne la destruction de toute ambition. Les bons font apparaître les cancres pour ce qu’ils sont… des cancres et des paresseux. Or c'est la réussite - sociale, financière, professionnelle - qui est le moteur de toute société, et non un égalitarisme, appelé socialisme, qui pousse à protéger certes les faibles, mais bien trop souvent les paresseux.

"On demandera beaucoup à qui l’on a beaucoup donné, et on exigera davantage de celui à qui l’on a beaucoup confié."

Luc l'évangéliste ou St Luc, 12:48

"Car enfin le trait le plus visible dans l’homme juste est de ne point vouloir du tout gouverner les autres, et de se gouverner seulement lui-même. Cela décide tout. Autant dire que les pires gouverneront."

 Émile-Auguste Chartier, dit Alain, philosophe, journaliste, essayiste et professeur de philosophie français (1868/1951)

"Toute différence n’est pas une inégalité. Toute inégalité n’est pas une injustice"

Lionel Stoléru (1937/2016), haut fonctionnaire et homme politique français

A l'image d'une planète qui change, ses représentants changent aussi. S'il y a les "victimes", nombreuses, des aberrations de notre monde contemporain désacralisé par les affres du matérialisme et du communautarisme à la sauce "woke", il y a également les mutants - les "cyber natives" - d'un monde qui voit les technologies de l'information et de la communication se substituer aux modes d'échanges culturels jusqu'alors en cours.

A l'instar des grandes ruptures culturelles passées - le passage de l’oral à l’écrit, puis de l’écrit à l’imprimé -, la mutation s'applique à tout le champ sociétal. Politique, éducatif, économique, social, religieux... les institutions dominantes paraissent ébranlées dans leurs fondations, et amenées à se redéfinir par l'apport de celles et ceux qui construisent le monde de demain.

Le désastre du bilan environnemental

Le rapport Planète vivante 2024 fourni par la Zoological Society of London (ZSL) du Fonds mondial pour la nature (WWF) a établi que la taille moyenne des populations d’espèces sauvages surveillées, soit près de 35 000 populations de vertébrés dont 5 495 espèces, a connu un déclin catastrophique de 73 % en seulement 50 ans (1970-2020).

Le déclin le plus marqué concerne les populations d’eau douce (85 %), suivies des populations terrestres (69 %) et marines (56 %). La perte et la dégradation des habitats ainsi que la surexploitation sont les principales menaces qui pèsent sur les populations d’espèces sauvages dans le monde, suivies par les espèces envahissantes et les maladies.

Il découle de ce déclin significatif des populations d’espèces sauvages un impact négatif tant sur la santé de l'espèce humaine qu'en matière de résilience de notre environnement, rapprochant la nature de points de basculement désastreux dans la mesure où les seuils critiques atteints entraînent des changements substantiels et potentiellement irréversibles.

C'est ainsi que les points de basculement régionaux, tels que la décimation des forêts de pins d’Amérique du Nord, la destruction de la forêt amazonienne et la disparition massive des récifs coralliens, peuvent créer des ondes de choc bien au-delà de la région immédiate, et avoir des répercussions sur la sécurité alimentaire, les moyens de subsistance et les économies.

L'amorce de ce changement s'est établie dans les "sixties" du vingtième siècle, qui voient une accélération économique comme culturelle significative portée par la dynamique de l'après-guerre, et tout particulièrement par les balises programmatiques érigées tout au long de l'année 1947 (voir ci-dessous). Le "vieux" monde traditionnel s'estompe alors progressivement dans l'appétence moderniste libératrice, tout particulièrement dans son rapport à la nature. L'espace vital comme les mentalités changent en permanence, et les nouveaux arrivants se construisent avec des repères totalement différents des repères quasi immuables de leurs aînés. Le plus symptomatique est l'identité d'appartenance, encore résistant même s'il ne cesse de décliner malgré les ruades désespérées de ses ardents défenseurs. Régionalisme, nationalisme, communautarisme religieux ou sportif, classe et élitisme social, genre sexuel... quels que soient les relents nostalgiques qui les glorifient et magnifient, ils appartiennent pour la nouvelle génération déjà aux limbes de l'histoire, tant ils corsètent et musèlent la transformation de conscience en cours*. A leurs yeux, ces fondamentalistes de l'immobilisme n'ont pas compris l'illusion de ce monde d'apparence, s'accrochant désespérément à une réalité qui ne cesse de se dérober tellement ils l'ont dévitalisée de sa substance première.

L'autre repère de cette mutation est celui de la montée en puissance de l'usage de drogues sous ses différentes formes, et générateur d'un trafic conséquent, et par-là même de délinquance génératrice de violences et d'insécurité, posant la question, par l'apparence de ses gains faciles, l’avenir de la jeunesse comme de la population en général. Les chiffres sont conséquents pour ne pas dire effrayants, plus de la moitié des gens ayant essayé telle ou telle substance. En France, plus de 5 millions de Français selon les données en consomment régulièrement, expliquant la multiplication des points de deal et d’approvisionnement aux quatre coins du territoire, les permissifs proposant qu’il n’y a qu’a dépénaliser la vente de cannabis pour les circonscrire*². Si aux États-Unis la consommation quotidienne de cannabis est passée devant la consommation quotidienne d’alcool, le cannabis même consommé à titre récréatif n'est pas moins dangereux, grillant pas à pas les neurones et engendrant la décompensation de maladies psychiatriques.

* Cf. Conscience du XXI° siècle.

*² Les drogues vendues par l’État comme l'alcool, le café, le sucre..., aux conséquences variables sur la santé des individus selon leur usage et leur constitution biologique, n'engendrent que peu de délinquance. Compte-tenu des nuisances liées aux points de deal de drogue, des violences entre dealers en découlant et du temps comme de l'argent perdu à lutter contre, il apparaît selon eux que le meilleur moyen pour neutraliser les conséquences de l'interdiction de vente du cannabis est d’en déléguer la gestion à l’État pour couper l’herbe sous le pieds des trafiquants.

Sous le regard accusateur des rétrogrades bienpensants, prisonniers de facultés cognitives acquises et non réinterrogées, les "mutants" révèlent des capacités nouvelles qui se veulent dégagées de plus en plus de la souffrance institutionnalisée comme viatique de l'homme dans son existence terrestre. Dur labeur, sacrifice, résignation à sa condition... tels avaient-ils été décidés par la morale judéo-chrétienne, et institutionnalisés par le politique gouvernant depuis deux millénaires, consentant par ci par là à jeter quelques miettes d'évasion pour contenir le risque d'insurrection des consciences. Toute cette pudeur contenue était par ailleurs un vernis bien confortable pour permettre à ses ordonnateurs de la transgresser sans état d'âme tout en punissant sévèrement le vulgaire contrevenant.

1947-2017 : soixante-dix ans de découvertes et d'une emprise technologique irrépressible

Puisant ses racines scientifiques profondes dans la période de l'entre-deux guerres mondiales, l’année 1947 a révolutionné et initié une nouvelle vision "standard" de notre monde qui allait progressivement enserrer l'être humain dans la nasse technologique du robotoïde. En écho avec l’année 2017 qui a clos ce cycle préparatoire à la fin des temps, la Matrice involutive a conçu le piège constitutif du black-out (perte de mémoire) civilisationnel à venir, puis du game-over final (fin de partie).

C'est Willard Frank Libby, physicien et chimiste états-unien (1908/1980 - photo 1), qui l'inaugure en révolutionnant l'archéologie avec sa méthode de datation par le carbone 14 d'éléments archéologiques, géologiques et géophysiques, norme toujours en vigueur de nos jours en dépit de ses limites, comme la présence de contaminants naturels pouvant fausser les résultats sur plusieurs milliers d'années. De leur côté, les équipes d'ingénieur de la Bell Telephone Company fondée en 1877 conçoivent la miniaturisation en radio avec le transistor, ouvrant la voie à celle des appareils électroniques. Sur le plan sanitaire, le vaccin contre la poliomyélite, développé par le biologiste Jonas Edward Salk (1914/1995), est mis au point et déchaîne l'enthousiasme des Américains traumatisés par les épidémies qui chaque été menacent leurs enfants, même si ses résultats ne seront pas, loin s'en faut, à la hauteur tant des promesses que du discours martelé quant à son efficacité (il en est de même pour le vaccin contre le tétanos mis au point en 1923). Tous deux font écho avec l'obligation vaccinale de 11 vaccins recommandée en 2017 par le Ministère de la Santé en France, applicable dès 2018, et ce en dépit de la nocivité des 8.000 effets secondaires différents pointés par le VAERS, système officiel de comptage des États-Unis, certains se révélant mortels ou générateurs de graves handicaps (l'autisme par exemple) !

Les premières piles comme horloges atomiques sont créées, signifiant l'emprise à venir de la puissance atomique et de sa précision dans l'ordonnancement des affaires terrestres. Toujours en 1947, le projet des fusées gigognes (étages superposés) aux États-Unis préfigure les premiers lanceurs, et inaugure l'ère interplanétaire. On découvre également les toutes premières photos de la Terre grâce à un satellite de l'agence spatiale américaine NASA, qui devient le fournisseur quasi-exclusif de ce que les masses doivent voir de leur globe d'appartenance. Quant à l'aviateur américain Charles Elwood "Chuck" Yeager (photo 6), il est le premier à franchir le mur du son, à bord du Bell X-1, le 14 octobre 1947.

Sur les mers, l'anthropologue et archéologue norvégien Thor Heyerdahl (1914/2002) réalise une traversée de l'océan Pacifique d'avril à août 1947 sur le radeau Kon-Tiki, dans sa tentative de rallier les îles polynésiennes. Quelques mois plus tôt, en 1945, avaient été trouvés au nord-ouest de Louxor à Nag Hammadi par des paysans égyptiens un ensemble de treize codex de papyrus reliés en cuir (900 documents), du milieu du IV siècle, parmi lesquels tous les livres du Nouveau Testament excepté le livre d'Esther. Pourtant un voile intégral sera jeté dessus par l’Église, seuls quelques chercheurs parvenant à en percer l'enseignement, souvent bien différent de celui dispensé par le dogme officiel, entre autres la relation entre Jésus et Marie Madeleine*...

1947 lance aussi la course aux normes de standardisation : accords du General Agreement on Tariffs and Trade - Gatt - (tarifs douaniers et commerce), normalisation agricole, norme ISO, fréquences de télécommunications avec attribution de licences pour diffusion de contenus audiovisuels, Plan Comptable Général. Depuis, plus de 22.000 normes ont été créées, couvrant tous les domaines techniques et économiques.

En parallèle de ce cadrage du monde réel, la technologie ouvre le cadrage du monde virtuel : informatique, jeu vidéo, l'hologramme (son inventeur est le physicien hongrois Dennis Gabor). Quant à l'incident ufologique de Maury island le 21 juin 1947, le crash de Roswell dans l’État du Nouveau-Mexique aux États-Unis le 8 juillet (dont la réalité sera corroborée par le général Nathan Farragut Twining dans un mémo), et la vague d'OVNIs du 15 juin au 15 juillet de cette même année avec le célèbre témoignage de l'aviateur Kenneth Arnold (1915/1984), ils ouvrent le temps des rencontres de "3ème type", des soucoupes volantes (flying saucers) et de la réalité extraterrestre, et surtout de la préparation des consciences à d'autres formes et entités du Vivant*² tout en maniant la désinformation et la manipulation (projet Sign lancé en décembre 1947 par l'US Air Force sur l'étude des OVNIs)...

Sur le plan sociologique démarrent cette année-là la société de consommation de masse (la population mondiale va doubler en 70 ans), le productivisme (progressivement à bas coût avec toutes ses conséquences sur le travail et les salaires), le business du luxe (Ferrari est créée à Maranello, lancement des parfums Christian Dior), la spirale de l'argent et du crédit donc de la dette (l'Europe dont la France est enchaînée au système financier des États-Unis à travers le plan Marshall lié à la lutte contre le communisme, autrement dit accompagné en arrière-plan par la CIA, qui fut créée le 18 septembre... 1947), l'accroissement des inégalités (Emmaüs est créée en 1949), le culte des loisirs avec par exemple la photo instantanée (polaroïd), la sacralisation à tous les niveaux de l'entreprise comme personne "morale" (la République française Présidence a été inscrite au registre du commerce le 16 janvier 1947 pour une tranche d'effectifs déclarée de 800 à 899... Et les autres ?), l'alimentaire dénaturé (Percy LeBaron Spencer invente le four à micro-ondes, qui a révélé avec la substance chimique de synthèse le Bisphénol A toute sa dangerosité pour le cerveau), la prolifération des armes (comme la plus vendue, l'AK 47, ou l'arbalète de chasse sous-marine)...

Sur la scène internationale, l'américanisation des esprits passe d'abord par une chasse aux sorcières de tout ce qui ne cadre pas avec sa vision étoilée du monde, tels les communistes (Walt Disney inaugure le "Maccarthysme" en dénonçant à l'HUAC certains de ses employés le 24 octobre 1947...). Elle se poursuit par le "management" de l'Organisation des Nations Unies - ONU -, les États-Unis s'étant autoproclamés le "gendarme du monde", et la (re)configuration d’États appelés à jouer un rôle spécifique sur le terrain de la géopolitique (Inde, Pakistan, Israël). Le 11 octobre 1947 se tient à Washington la convention de l'Organisation Météorologique Mondiale - OMM -, annonciatrice des défis climatiques à venir par les mobilisations de façade sur la préservation de l'environnement. D'ailleurs le 13 octobre 1947 sont effectuées par l'armée américaine les premières modifications du climat - le Sirius Project -, celle-ci jetant 35 kilos de dioxyde de carbone dans une tornade qui va dévaster la ville de Savannah en Géorgie ! Ceci renvoie inévitablement à 2017, et les théories dites complotistes concernant les véritables raisons des chemtrails, les cyclones Franklin, Harvey, Irma, José..., et autres projets de géo-ingénierie en cours. En attendant, la factice confrontation entre les deux blocs Ouest et Est continue à illusionner les citoyens gogos qui prennent position pour l'un ou l'autre, en attendant que l'étau du Nouvel Ordre Mondial appelé par nombre de chefs d’État dans leurs discours ne prenne place. Quant à la CIA, elle multiplie dans l'ombre du secret défense ses sinistres projets attentatoires à l'humanité, tels Phoenix (expérimentations sur le voyage spatio-temporel), MK-ultra & Monark (contrôle de l'esprit),...*³, le code de Nuremberg ayant de son côté défini tous les critères nécessaires aux expérimentations considérées comme acceptables sur l'être humain. Sans parler de la création de l'Institute for Sex Research à l'Université de l'Indiana financé par la fondation Rockefeller par le professeur d'entomologie et de zoologie Alfred Charles Kinsley (1894/1956 - photo 20), ouvrant une voie royale aux dérives de la pédocriminalité au service du totalitarisme mondial, et que dénoncera en 2017 la philosophe et psychologue Anne Bilheran dans son ouvrage L'Imposture des droits sexuels, notamment dans l'application de standards pour l'éducation sexuelle en Europe à l'initiative de l'Organisation Mondiale de la Santé - OMS -, rendant obligatoire dès la maternelle cette vision idéologique dévoyée de la sexualité sans consultation préalable des citoyens...

Enfin, 1947 voit le lancement d'un réseau d'écoutes planétaire, mettant en relation les agences de sécurité de chaque État partenaire (CIA, NASA, DGSE...), l'information récoltée étant traitée à Fort Meade dans le Maryland, siège de la l'Agence Nationale de Sécurité - NSA - états-unienne, qui de nos jours permet via l'alliance avec Google d'écouter quasiment 100 % des conversations tenues sur le réseau Internet.

Incontestablement, le cru hors pair de cette année 1947 va façonner la trajectoire de notre vision de la réalité pour notre vécu d'humanité, laissant à penser de manière indubitable que notre "futur" était déjà programmé. Ces technologies n'existaient-elles pas depuis bien longtemps que nous le pensons ? Pour quelle finalité alors ? Peut-être que les clés se trouvent quelque part en Antarctique, lieu d'expédition début 1947 de l'amiral Richard Harold Cruzen (1897/1970) et de l'aviateur et contre-amiral Richard Evelyn Byrd (1888/1957) dans le cadre de l'opération Highjump, le "grand saut". D'ailleurs, en regardant le logo de l'ONU (image 18) adopté le 20 octobre 1947, qui reproduit la cartographie dite de Gleason*⁴, le pôle Nord n'a-t-il pas été mis au centre de ce qui figure une cible ?... Cible dont la balle finale destinée à la percer est sans doute indiquée par la Doomsday Clock (l’horloge de la fin du monde ou horloge de l'Apocalypse), horloge conceptuelle créée peu de temps après le début de la guerre froide et régulièrement mise à jour depuis 1947 par les directeurs du Bulletin of the Atomic Scientists de l'université de Chicago, sur laquelle minuit représente la fin du monde. Depuis le 1er janvier 2020, l'horloge affiche minuit moins 100 secondes (23 h 58) - elle avait été initialement réglée sur 23 h 53 - en raison de l'"incapacité des dirigeants mondiaux à faire face aux menaces imminentes d'une guerre nucléaire et du changement climatique"...

* Cf. Le féminin séquestré.

*² Cf. Vérité civilisationnelle.

*³ Cf. Contrôle mental.

*⁴ Elle est la carte de référence pour les adeptes de la terre plane, qui considèrent que la carte de la terre ronde comporte de son côté 33 degrés, comme pour les degrés de progression en Franc-Maçonnerie...

Le monde sera ainsi confronté à des changements sociaux stupéfiants au cours du XXIème siècle, ce qui correspond exactement aux avertissements lancés depuis des années par des personnalités comme Elon Musk qui qualifient le déclin démographique de "menace civilisationnelle" et affirment que l’humanité va littéralement disparaître si rien n’est fait pour inverser la tendance. D'ailleurs, le mouvement pronataliste a trouvé un point d’ancrage dans le monde de la technologie, voyant un nombre de plus en plus important de magnats comme Sam Altman, PDG d’OpenAI, Balaji Srinivasan, co-fondateur de Counsyl (crytomonnaies), ou Andreessen Horowitz (fonds éponyme américain de capital risque), exprimer ouvertement ou discrètement leur soutien lors de conférences privées et de réunions d’investisseurs.
Alors que les écolos, plus exactement les "escrolos", et autres groupements à coloration de bienpensance à la sauce woke se déchaînent sur les "problèmes moraux" liés au fait d’avoir des enfants, les causes potentielles du déclin de la fertilité, telles que les plastiques et les produits chimiques qui réduisent la taille des pénis et le nombre de spermatozoïdes, demeurent relativement ignorées ou volontairement mises sous l'éteignoir.

Autre facteur selon de nouvelles recherches scientifiques réalisées en 2024, les spermatozoïdes des individus qui ont été vaccinés/injectés suite à la fausse pandémie Covid-19 refusent de nager et se nouent eux-mêmes en s’auto-assemblant en structures bizarres ressemblant à des rubans en trois dimensions. C'est la raison pour laquelle nombre de  médecins recommandent désormais aux personnes non vaccinées d’éviter tout rapport sexuel avec les hommes vaccinés,  quelles que soient les circonstances. Pendant et depuis la "pandémie", la demande de sperme non vacciné a commencé à augmenter, des millions de femmes dans le monde entier cherchant des hommes non vaccinés pour tomber enceintes. Elles sont bien entendu qualifiées de "théoriciennes du complot" par les grands médias, en réalité de plus en plus petits au regard de la chute continue de leur audience.

L’incidence du cancer en hausse continue montre de son côté qu’il est en passe de devenir la cause de décès la plus fréquente, avec une explosion des turbo-cancers caractérisés par des stades avancés (3 ou 4), très agressifs aux États-Unis, au Royaume-Uni et au Japon chez les personnes âgées de 14 à 44 ans. Il semble là encore qu’il existe un lien entre la vaccination, en particulier les doses de rappel, et le développement du turbo-cancer, ce que les investigations scientifiques en cours devraient confirmer à l'avenir. Sans oublier qu'une étude de Flo Health et de l’université de Virginie sortie début 2025 établit que des dizaines de millions de femmes de la tranche d’âge 30-35 ans à travers les États-Unis, qui ont pris les injections d’ARNm, souffrent d’une ménopause* précoce (ou périménopause). 

Enfin, le taux de mortalité infantile est en hausse dans l’Hexagone à l’heure des fermetures des petites maternités, la situation étant jugée alarmante avec 2 800 bébés qui ont perdu la vie avant leur premier anniversaire en 2024 en France. La mortalité infantile en France est en progression constante depuis 5 ans en France, atteignant 4,1 pour 1000 naissances, posant la question de la qualité des soins et des politiques de santé publique dans l’Hexagone.

* Elle survient généralement entre 45 et 55 ans ; il y a dix ans, l’âge moyen aux États-Unis était de 51 ans. Il s’agit d’un changement naturel qui marque la fin de la capacité de la femme à concevoir.

Nonobstant ce problème de dénatalité, quelques pays sont décidés à mener une véritable politique incitative. C'est le cas en Europe de la Hongrie, qui a annoncé début 2025 une exonération à vie de l’impôt sur le revenu pour les mères de deux enfants ou plus, réduisant ainsi le nombre requis jusqu'alors de quatre. Si la dépense pour le budget étatique semble considérable, le pari réside dans une économie en plein essor, des programmes de soutien aux entreprises et le plein emploi, le tout pouvant générer les revenus nécessaires tout en réduisant le déficit budgétaire et la dette publique.

Du désengagement militaire

La société occidentale, d'autant plus au moment de l'appel par les Chefs d’État européens au réarmement de la société face à la soi disant menace russe, est confrontée à l'absence de milliers de candidats au métier des armes comme soldats, notamment dans l’armée de Terre. C'est ainsi que pour la première fois en dix ans, en 2023, il a manqué en France environ 2 500 soldats au plus gros recruteur français. L’armée de Terre, en gros 120 000 personnes, doit en effet recruter chaque année entre 15 000 et 16 000 soldats. Mais elle manque de volontaires, peu de citoyens ayant envie de s'engager au regard d'un idéal guerrier en passe de devenir obsolète. Ceci pose la question du rapport au sacrifice, à la mort, au regard de fondamentaux de moins en moins partagés, désirés. Dans un monde mondialiste marchand, plus personne n’a vraiment envie d’aller se faire tuer pour une patrie dépourvue de consistance, perte progressive de souveraineté oblige. La réalité est que les armées se sont transformées en "milices", dont la raison cachée est de veiller avant tout aux intérêts de quelques grandes multinationales comme l'exemple africain - la "Françafrique" - l'a démontré (Congo, Niger, Côte d'Ivoire, Sénégal...). Le militaire étant devenu mercenaire, le salaire de la peur en moins, le sens de l'engagement patriote confine à l'absurde. Il en est de même avec le consentement à l’impôt, les citoyens découragés finissant par aller se faire taxer ailleurs. Reste pour l’État la force de coercition, la conscription et le service obligatoire, qui finira par creuser le fossé avec les citoyens, les nantis et les sans grades...

La crise sociale est la résultante d'une crise économique sous l'impulsion de politiques économiques inconséquentes depuis 50 ans, qui a vu en 2021 le taux d’endettement atteindre un niveau record à 350% du PIB mondial. Elle a abouti en France à une crise de la dette budgétaire, établie à plus de 3 200 milliards en 2024 (la dette a augmenté de 850 milliards sous l'ère des "gouvernements Macron"). La raison est celle d'un déficit public annuel récurrent*, celui-ci s'étant élevé à 154,8 milliards d'euros soit 5,5 % du produit intérieur brut (PIB), après 4,7 % en 2022 et 6,6 % en 2021. Au total, le déficit public global s'établit à 1 696 milliards d'euros en 2024, soit 5,8 % du produit intérieur brut pour un déficit maximum autorisé de 3 % selon les règles de l'Union européenne. La dépense sociale (les 900 milliards d’euros des différentes branches de la sécurité sociale) représentent le gros de la dépense.

L'alimentation de cette crise continue depuis la sortie de la crise sanitaire Covid-19, les conséquences des politiques de confinement prises alors, et les sanctions prises à l'encontre de la Russie, est le fruit de trois facteurs :

. les taux élevés de la politique monétaire décidés par la banque centrale européenne, censés certes agir sur l'inflation, mais qui fonctionnent comme une ponction du pouvoir d’achat dans l’économie tant pour les ménages que pour les entreprises;

. les prix de l’énergie (gaz, électricité, pétrole) devenus pour beaucoup "hors de prix" dans leur incontournable combinaison;

. les impôts et les ponctions fiscales particulièrement élevés.

En résumé, cette ponction de taux d'intérêt combinée à la ponction fiscale et à celle des prix de l’énergie aboutit à une croissance faible, voire une récession. Et si en parallèle le "train de vie" de la Nation dans sa partie non directement productive (coût du régalien et des services publics) ne baisse pas drastiquement, il ne peut en résulter qu'un trou croissant au détriment de ses contributeurs productifs.

* Le déficit du budget de l’État français s’est établi à 40,3 milliards d’euros fin février 2025, contre 44,03 milliards un an auparavant.

Cette dette conséquente rend la nation dépendante de ses prêteurs, en majorité des investisseurs étrangers comme des banques, des institutionnels ou encore des fonds de pensions à hauteur de 55%, et de la Banque centrale européenne (BCE) à hauteur de 25 %, et ce dans un contexte de faible croissance, l’Insee tablant sur une prévision de croissance pour 2024 à 1,1 %, qui pourrait masquer une situation de récession comme en Allemagne. Quant aux locomotives internationales comme la Chine ou les États-Unis, elles sont sans être à l’arrêt dans une croissance atone.

Pour comprendre la situation française, divers indicateurs l'expliquent, comme l'incapacité du tissu économique français à maintenir sa part de marché dans le commerce mondial, avec les revenus de l'excédent de la balance commerciale (différence entre exportations et importations) qui vont avec, la France étant passée de la 5e à la 7e place, au contraire par exemple de l'Italie qui occupe désormais en 2024 la 4e place avec 5 % des exportations mondiales, devant la Corée du Sud et le Japon. Ce résultat consacre le succès de l'investissement transalpin dans son outil de production, au contraire de son voisin gaulois.

Par ailleurs, nombreux sont les citoyens qui dépendent de la dépense publique, et ce au détriment de la valeur travail comme créateur des richesses collectives*, les salariés pouvant également en percevoir (Aide Personnalisée au Logement, prime pour l’emploi, allocation rentrée, etc), alors que dans le même temps 75 % de l’impôt est payé par seulement 10 % des ménages, les plus riches d'entre eux y échappant par "l’optimisation fiscale" ou la relocalisation vers des terres plus accueillantes.

Ce système d’État d'apparence providence a ainsi entraîné l’émergence d’une classe de citoyens en situation de dépendance, l’assistanat étant devenu la règle au lieu de la juste solidarité*². Autrement dit, l’inactivité peut  rémunérer autant et parfois même mieux que l’activité, ce qui joue au détriment de la notion de responsabilité individuelle et personnelle. Elle explique notamment les régimes de retraite et de santé en déséquilibre, tout comme le chômage de masse avec une offre d’emploi très dégradée par des jobs précaires, "ubérisés", et mal rémunérés. Elle permet également de masquer et repousser quelque peu l’inévitable explosion de la misère et de la délinquance. En somme, la France a montré que les promesses socialistes de redistribution des richesses n’aboutissent qu’à la stagnation économique. Sans oublier que le premier impôt est la TVA, sur les produits et services à la consommation, et tout le monde la payant sans distinction de tranches de revenu, elle aboutit à être un impôt sur la pauvreté, les ménages à faible revenu dépensant (presque) tout ce qu’ils gagnent pour vivre sinon survivre...

Il en résulte une perte de tout bon sens, celui de la conscience du juste, de l’effort, de l’engagement, et c’est sans doute cette perte de la raison et du bon sens qui est le problème le plus grave pour la nation puisqu'il rend le redressement sans doute impossible en l'état.

* La politique "immigratoire" conduit à importer depuis des années 500.000 allocataires multi-guichets biberonnés aux aides sociales, soit 5 millions d'individus ces 10 dernières années qui s’ajoutent aux millions d’importés déjà présents sur le sol national.

*² Deux exemples de "cadeaux" qui relèvent de la responsabilité individuelle, en aucun cas de la juste solidarité, de la nécessaire solidarité  : la prime de rentrée scolaire (2 milliards d’euros); la prime de Noël pour se faire des cadeaux soit plus de 150 € pour une personne seule et sans enfant (500 millions). Au total 2.5 milliards d’euros. Toutefois, cet argent est dépensé par les bénéficiaires et, in fine, retourne dans les poches des actionnaires des entreprises, souvent d'origine étrangère (Chine notamment pour les jouets), l’État prenant au passage sa part (TVA). 

En réalité la société française n’a pas eu le choix de ce recours à la dette, celle-ci étant inéluctable en raison du traitement social massif et démagogique de la politique mondialiste et européiste menée ces 30 dernières années. Pourtant, la promesse était que l’Europe serait la paix et la prospérité. La réalité factuelle s'est traduite par des délocalisations, une monnaie bien trop forte pour l'état de notre économie, accentué par une désindustrialisation massive, un chômage de masse (jusqu'à 12.5 millions de gens privés de travail), et une immigration de masse qui avant d’être une chance est un coût. Sans oublier des multinationales qui ne payent plus d’impôts ici pour les payer aux Bahamas ou sur l’île de Man.

Il en a résulté trois déficits - commercial, balance des paiements, budgétaire - qui, s’accumulant année après année, ont formé une dette abyssale que personne n’arrive à ralentir. Et tout cela s’accompagne d’une explosion des normes, règles, règlements, qui augmentent les coûts de tout y compris pour l’État. La France ne peut que s’effondrer sous le poids de sa dette, choix fait par des hommes politiques incapables mais toujours aux manettes depuis 30 ans, qui veulent encore plus de mondialisation, d’immigration, de délocalisations, de désindustrialisation, et désormais de pseudo confinement sanitaire ou de guerre, évènements extraordinaires qui permettent de justifier les "quoi qu'il en coûte" et de leur sauver la mise...
Et quand ce n'est pas le cas, nous sommes protégés par la signature de l'Allemagne et le bouclier de la zone euro. Tous ces "crétins" idéologisés refusent de comprendre, ou font semblant de ne pas comprendre, que réduire les dépenses n’est pas possible sans la reprise de notre souveraineté, générateur de travail à partir des entreprises et des usines protégées par des droits de douane dans le cadre d’une concurrence libre et non faussée (entre pays ayant des pratiques sociales similaires).

Même si la France a le potentiel de redevenir un leader économique mondial, car son peuple est talentueux et qu'il a l’esprit d’entreprise comme l’expertise pour créer des leaders mondiaux, la situation en 2024 est que ses meilleurs éléments ont été purement et simplement dissuadés pour ne pas dire expulsés du pays par le système étatique socialiste aux commandes, nombre des esprits français les plus brillants ayant préféré émigrer vers d’autres pays où ils peuvent espérer prospérer librement. Car l’élite politique nourrie au quant à soi des cénacles et autres coteries fermées type loges franc-maçonnes au vulgum pecus, profite de son contrôle sur les entreprises d’État, les soi-disant champions nationaux, pour attribuer les meilleurs postes aux membres de la caste politique et favoriser un petit groupe d’industries avec lesquelles elle est en connivence. Ces industries évitent également de s’élever contre l’État omnipotent par peur de s’attirer les foudres du gouvernement.

Si une poignée d’intellectuels à contre-courant et chefs d’entreprise courageux essaient de changer le système de l’intérieur, malheureusement ils ont échoué jusqu’à présent, un indicateur extrêmement parlant l'attestant : à la mort du président Georges Pompidou en 1974, la France et la Suisse avaient le même PIB par tête; aujourd’hui, le PIB par tête en Suisse s'élève à 92.000 € tandis que celui de la France est à 42.000… Il en découle que parce que la dette de la France est majoritairement détenue par des non-résidents, elle est particulièrement sensible aux influences extérieures, au premier chef la finance anglo-saxonne qui a la faculté d'étrangler l’État et ses dépenses pléthoriques dans notre pays.

Le cache-misère de l’auto-entrepreneuriat 

Si la France arrive en tête des pays les plus propices pour entreprendre dans l’UE (34%), suivie de l’Allemagne (29%), elle n'est pas exempte de "risque", le taux de faillite des PME étant par exemple le plus élevé depuis la crise de 2008. La fameuse "dynamique entrepreneuriale" a connu un vrai décollage à partir de 2016 (+10% par an de 2016 à 2022). Mais en réalité il s’agit surtout d’auto-entrepreneuriat, une issue socialement "honorable" pour les chômeurs en fin de droit, largement encouragée par Pôle Emploi (France Travail), trop heureux de faire sortir les exclus du monde du travail – et qui risquent de le demeurer – des "stats" du chômage.

Il traduit la montée en flèche de la précarité, l'auto-entrepreneuriat débouchant souvent sur du salariat déguisé. Il voit nombre de chefs d’entreprises de la catégorie "PME" ou "TPE", submergés par les charges sociales et la "paperasserie" et sans échappatoire fiscal (filiales en Irlande ou aux Pays-Bas), avoir recours à des "indépendants" en contrat commercial pour éviter les charges patronales. Ils encouragent même certains de leurs salariés à créer une micro-entreprise pour pouvoir percevoir des revenus décents, avec un petit bonus de rémunération qui améliore leur ancien "net", mais au prix d’une précarité totale (plus de droit au chômage notamment).

Mais avec le nouveau budget étatique 2025 passé par 49.3, son article 10 du Projet de Loi de Finances (PLF) prévoyait d’abaisser le seuil du déclenchement de la TVA désormais à 25 000 euros de CA, signifiant la "smicardisation" à venir de tous les autoentrepreneurs. En effet, pour ne pas avoir à payer la TVA, il faut rester sous les 25 K€. Une fois déduites les 25 % de cotisations sociales, cela entend 18 500 € par an de revenus, soit 1 541 euros mensuels si aucune charge autre déductible (vêtements de travail, carburant, fournitures etc). Cela entend au mieux un smic à 1480 €/net par mois ! Si finalement cette mesure a été abandonnée, elle montre la déconnexion des décideurs politiques avec la réalité entrepeneuriale, source de création de richesses et de réalisation individuelle comme collective.

En effet, le statut d’auto-entrepreneur est le "statut de la dignité", permettant à chacun de pouvoir travailler, devenir indépendant, bénéficier d’une couverture minimale de santé et de retraite sans rien demander à l’État. Il permet de choisir librement la manière dont on souhaite travailler à un moment où le salariat peut être vécu comme une prison. Cette décision fiscale n'aurait pu que pousser un certain nombre d’auto entrepreneurs à tout simplement cesser de travailler. Au lieu de rapporter de l’argent à l’État, cela en aurait coûté en “désincitation” économique...

Depuis 50 ans et le mouvement révolutionnaire sociétal de Mai 68, les Français donnent le désolant spectacle d'un peuple avachi, toujours à l'affût de nouveaux droits protecteurs, de nouvelles aides, voire en quête d'une moindre responsabilité et d'un moindre effort. Si au sortir de la guerre, la solidarité supposait une contribution de chacun pour pouvoir recevoir un jour à l'instar du système de retraite par répartition, la solidarité est devenue au fil du temps une simple assistance, cédant la place à une confusion de sens : tout le monde a des droits sans payer pour y accéder, telle est devenue la croyance collective. Et tout le le monde en porte sa part de responsabilité, la caste élitaire aux commandes (elle croit naïvement qu'elle peut sans fin acheter la paix sociale en vivant à crédit et en neutralisant l'instinct vital des Français), aux citoyens ordinaires toujours prêts à croire le premier bonimenteur leur promettant un enrichissement sans effort. Il semble bel et bien que la servitude volontaire leur convient bien dès lors qu'elle "protège" avec force allocations, prestations en tous genres et services prétendument gratuits...

C'est pourquoi l’assistanat est devenu le dévoiement de la juste et nécessaire solidarité à l’égard des plus fragiles afin de maintenir un équilibre dans la population et éviter la pauvreté destructrice de vie*, non de ceux qui pourraient travailler. Seule cette vision de la solidarité acceptée par tous permettrait un demain désirable, alors que l’austérité sans projet et sans vision d’avenir pour cause de faible croissance et de déficit budgétaire n’a aucun sens, la léthargie des citoyens étant entretenue volontairement par les élites gouvernantes à travers notamment du mainstream médiatique (les "merdias"), la propagande gouvernementale, les aides (848,9 milliards d'euros de prestations sociales ont ainsi été versés en 2022) et les subventions publiques généreusement octroyées à des fossoyeurs productifs comme nombre d'acteurs du secteur associatif. C'est un programme de soumission volontaire, ni plus ni moins ! Un modèle social digne de ce nom ne peut en effet que se financer sur la richesse économique créée chaque année, et si tel n’est pas le cas, ce n’est pas un "modèle", mais un mensonge, une illusion, une fable… et cela se termine toujours dans les larmes pour ceux qui y ont naïvement sinon sottement cru.

* Sur le front des inégalités, il convient d’observer que le taux de pauvreté en France diminue considérablement avec l’âge. Il s’élève à 22,7 % chez les 18-24 ans, ce qui correspond à la moyenne des pays de l’Union européenne, contre 8,6 % chez les 65 ans ou plus, l’un des taux les plus bas d’Europe.

Ce constat pose la question de la qualité de l'enseignement, de l'instruction à même de donner aux individus tous les atouts de leur réussite individuelle comme collective. Mais là encore, le constat de sa profonde détérioration, véritable course à la médiocrité, est implacable. C'est ainsi par exemple que les résultats TIMSS*, classement mesurant le niveau des élèves en mathématiques et en sciences tous les quatre ans, sont tombés fin 2024. Et le bonnet d’âne est attribué pour la France en mathématiques avec une dernière place en Europe, et son avant-dernière dans ce classement international. L’explication tient dans la méthode, une catastrophe selon les parents d'élèves...

* TIMSS est une étude comparative qui mesure le niveau des connaissances scolaires des élèves de CM1 et de 4e en mathématiques et en sciences, avec pour objectif d'interpréter les différences entre les systèmes éducatifs pour améliorer l’enseignement et l’apprentissage. Organisée tous les quatre ans par l'IEA (organisation internationale indépendante pour l'évaluation scolaire), elle est en France placée sous la responsabilité de la DEPP (Direction statistique du Ministère de l'éducation nationale), pilote ce dispositif.

De la démonétisation des diplômes

Dans un monde occidental gouverné par l'idéologie libérale socialiste à la sauce woke, le gloubi-boulga immangeable, la théorie est reine, source de fantasmes grotesques sinon effrayants. Ce monde imaginaire conduit aux délires, dont les conséquences sont malheureusement bien réelles pour les naïfs illusionnés car manipulés. Parmi eux se tient aux premières places la croyance quasi sacralisée qu'il faut envoyer tout le monde au Bac, puis dans la foulée à Bac+5 au mieux grâce au sésame magique de Parcours Sup. La réalité est pourtant tout autre, de nombreux cursus supérieurs étant plus ou moins légers sinon minables pour enseigner à des jeunes déjà intellectuellement plus ou moins miteux dans les disciplines de base, la langue nationale et les mathématiques, et à qui l’on fait croire qu'en étant titulaires d’un Bac+++, ils deviendraient des cadres supérieurs avec une carrière fantastique.

La réalité est cependant assez simple. Hier comme aujourd’hui, dans toute organisation pyramidale, il y un chef et 10 travailleurs. Et le problème c’est qu'il n'y a plus de travailleurs, cette catégorie étant en voie de disparition par substitution du capital technique (automatisation et robotisation) ou d'une main d'œuvre issue de l'immigration par défaut, c'est-à-dire aux compétences sommaires pour l'exécution de tâches basiques.

A l'image de l'effondrement cognitif d'une majorité d'individus sous dépendance de l'Intelligence Artificielle animant leurs joujoux électroniques, le smartphone en tête, quand ils ne rajoutent pas la dépendance à la poudre blanche source d'évasion et d'oubli de la triste réalité de leur quotidien, il ne demeure plus que des "cadres" dont la plupart ne savent même pas écrire une phrase sans deux ou trois fautes, qui ne savent plus se concentrer, qui n’ont plus aucun sens de l’engagement, de l’effort et du travail de mise en valeur de leur prétendue dextérité intellectuelle.

C'est oublier que dans la vraie vie, dans le vrai monde, il n'est nul besoin d’autant de cadres, car tout ce qui est abondant n’est pas cher, et inversement tout ce qui est rare est cher. C'est pourquoi de nos jours un couvreur, un plombier, un électricien et nombre d'autres artisans gagnent plus qu’un Bac+++, qui sait souvent à peine se servir d’Excel, le sacro saint tableur des rats du conseil, d'autant plus confronté à la montée en puissance des logiciels à tout faire type Chat GPT les conduisant progressivement à disparaître dans la poussière de leur inutilité.

Il en résulte l'accentuation de leur précarité professionnelle, de la baisse de leur niveau de salaire et de leur contenu de responsabilité, conduisant de plus en plus à la frustration, à la déception, à la rancœur.

"96 % de réussite au bac, 95 % d’échec à l’examen pour devenir diagnostiqueur immobilier et faire un DPE", une corrélation inquiétante

Le réel est l’ennemi mortel de tous les idéologues du monde à travers les âges. Ils peuvent tout imaginer, tout fantasmer jusqu'à l'absurde, mais il finit toujours par les rattraper, les reléguant dans les oubliettes de l'Histoire. Le cas du système éducatif choisi depuis des décennies en France, est emblématique de cette douloureuse réalité, que traduit l'effondrement des résultats de la France dans le classement Pisa*. Les résultats du bac général 2024 mettent en avant fièrement par son tuteur l'Éducation nationale un taux de réussite de 96,1 %, en hausse de 0,4 point par rapport à la session de juin 2023. De son côté, le taux d’échec aux examens pour devenir diagnostiqueur immobilier et faire un DPE (diagnostic de performance énergétique et climatique) s'établit à 95%, se traduisant par une forte chute depuis l’entrée en vigueur des nouvelles modalités d’examen au 1er juillet 2024 (augmentation de la durée de formation initiale, évolution des modalités d’examen...). 96 % de réussite au Bac, pour un taux d’échec de 95 % aux DPE, le réel revient en pleine figure des démagogues de classe "inclusive" et fortement hétérogène, source de médiocrité institutionnalisée. Elle conduit à l'inévitable destruction des capacités intellectuelles et cognitives du plus grand nombre, et la non valorisation des dons et talents individuels.

Le bac ne vaut strictement plus rien, hormis pour quelques privilégiés, les enfants "de", mis en couveuse chèrement dans les instituts privés "hors contrat" d'excellence ad'hoc. A l'heure où une grande majorité de jeunes utilisent massivement l'Intelligence Artificielle (Chat GPT et consorts), privilégient le surf sur les réseaux sociaux, ne lisent plus, ne travaillent plus en continu les fondamentaux (la connaissance, le savoir, le langage, les mots, la pensée) par-delà les cours dispensés, n’apprennent plus par manque d'envie et de concentration, le niveau intellectuel ne peut que s’effondrer, alors que la réalité économique appelle entre autres à faire tourner les usines et les centrales nucléaires, l’éducation, l’hôpital et autres services publics, l’armée, l’agriculture, à innover... et à réaliser techniquement les DPE conformément à l'indispensable bonne maîtrise de nos ressources énergétiques par-delà l'idéologie de l'"escrologie" sous-jacente. C'est le résultat du poids de la médiocrité généralisée, du manque d’ambition, des mensonges, de l’idéologie et de la démagogie par-delà les discours tenus par nos bonimenteurs institutionnels, droite et gauche confondus, accrochés à leurs petits voire grands privilèges... "ripoublicains" !

La réalité est qu'une société ne peut bien tourner que quand les gens sont bien formés. Et en l'état actuel de cette crétinisation volontaire de la masse, autrement nommée l'"idiocratie"*² institutionnalisée, qui confine à la médiocrité, à la bêtise, au matérialisme et à l'exacerbation des instincts primaires de l’individu (boire, copuler, faire la bringue, se camer, casser et agresser), la probabilité est que les gens bien formés avec des cerveaux bien faits partent vers d'autres rivages (140000 français diplômés qui émigrent vs 600000 immigrés tous les ans pour les 2/3 absolument non qualifiés) plutôt que de rester au pays pour contribuer à sa pleine puissance…

* PISA est le programme international pour le suivi des acquis des élèves, constituant la plus grande étude internationale auprès d'élèves dans le domaine de l'éducation. Son objectif est de comparer les performances des élèves issus de différents environnements d'apprentissage pour comprendre ce qui les prépare le mieux à leur vie d'adulte. Il est pilotée par l'Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE).

*² L"Idiocratie" est une civilisation d’idiots, qui est dirigée par des idiots parce qu’il n’y a plus que des idiots.

Bâtiment-Immobilier, rien ne va plus

Tout le monde connaît l’adage "Quand le bâtiment va, tout va". Et pour cause ! Le bâtiment ce sont des gars qui travaillent et montent les parpaings, ce sont d’autres gars qui peignent, qui posent, qui clouent et qui vissent, ce sont des livreurs qui livrent, des notaires qui notariotent, des agents immobiliers qui ouvrent des portes, des banquiers qui financent, des magasins de meubles qui vendent des nouveaux canapés, ce sont aussi des jardineries qui vendent des fleurs ou des robots tondeuses, des jardiniers qui jardinent. Le bâtiment, c’est là où on vit, là où on travaille, là où on apprend où l’on étudie, c’est aussi là où l’on prie. Il n’y a pas de vie sans bâtiment dans notre économie contemporaine.

En août 2021, à la libération du Covid et des confinements, nous avions en France 1 207000 transactions. En 2024, année critique, seulement 780000, même si les perspectives 2025 s'annoncent légèrement meilleures avec un objectif de 800000 ventes assombries cependant par les marchés de la location et du neuf. Ce fut en 2024 une chute considérable de 35 %, de 17 % sur un an. La production de crédit étant en chute de 60 % avec des taux à plus de 4 % assurance comprise, il en a découlé une baisse des prix de l’immobilier partout, y compris et surtout dans les grandes villes comme Nantes ou Lyon. De son côté, le nombre de logements mis en chantier a reculé en 2024 de grosso modo -20 % par rapport à la même période de 2023.

Les raisons sont multiples : difficultés pour obtenir un permis de construire; taux d’intérêt élevés qui dissuadent les ménages qui le peuvent; inflation du coût des matériaux (+30 % pour les prix du ciment ; +25 % pour l’acier); réglementation foncière qui organise la raréfaction des terrains constructibles; certaines contraintes environnementales comme la loi ZAN (Zéro Artificialisation Nette des sols), règle législative imposée aux communes qui réduit le nombre de terrains disponibles; la rénovation énergétique exigée des bâtiments (DPE) qui place très haut les normes tout en se heurtant au manque de moyens des ménages pour engager les travaux et qui va accroître la pénurie (le gouvernement a interdit à la location 600 000 logements devenus indécents du jour au lendemain et par simple décret); le cadre juridique contraignant des relations bailleur-locataire de la location nue (plafonnement des loyers, loi Climat de 2022 qui interdit d’augmenter le loyer des logements classés F et G, loi Alur qui favorise le maintien dans les lieux à l’issue du bail et protège contre l’expulsion même en cas d’impayés, etc.), avec un régime fiscal confiscatoire entraînant une faible voire nulle rentabilité bénéficiant aux locations meublées et singulièrement celles de courte durée; fiscalité du patrimoine (impôt sur la fortune immobilière, taxe d’habitation, taxes foncières, droits d’enregistrement, droits sur les successions et donations, impôt sur les plus-values…) qui rend l’investissement immobilier encore moins rentable; un taux d'impayés de loyers qui se situe aux alentours de 3,50% pour les grandes métropoles régionales et qui demeure au-dessus de 4% sur le reste du territoire, ne faisant qu'augmenter depuis la crise sanitaire d'il y a quatre ans et demi (en mars 2020, le taux d'impayés était inférieur à 1% à Paris et en Île-de-France comme dans les dix plus grandes villes en régions), près de 20% des locataires se trouvant en situation d'impayé dans le parc social.

Le constat est sans appel : aujourd’hui on peut clairement mieux faire que l’immobilier avec nettement moins de contraintes, et un rendement net d’ennui plus important.

L'actuelle situation correspond en fait à l'éclatement d'une bulle immobilière, dont la nature spéculative reposait sur la fabrication de logements initiée sans toujours répondre à une demande particulière, mais alimentée par la prolifération de projets immobiliers en raison des taux d’intérêt maintenus bas très longtemps par la banque centrale, ayant de ce fait permis une hausse du pouvoir d'achat des investisseurs (ménages et professionnels). Le résultat de cette chute de l’activité de l’immobilier en France suit l’exemple de l’Espagne, après la crise de 2008, ayant vu avec la chute des prix et de la demande de logements les constructeurs faire faillite et abandonné des bâtiments encore en chantier.

De son côté, l'immobilier d'entreprise est en berne, balayé notamment par la généralisation du télétravail, à l'image du secteur emblématique de La Défense, le quartier des affaires de la capitale, avec un taux de vacances de 15 %. Autant dire que pour nombre d'épargnants qui ont investi dans des parts de SCPI (société civile de placement immobilier), notamment dans leur contrats d’assurance-vie pour "booster" la rentabilité du contrat alors que les fonds en euros ne rapportaient presque plus rien, la soupe est amère.

L’immobilier étant un secteur clef, bien plus que de la spéculation car basé sur des lieux de vie, l’aménagement du territoire, notre manière de vivre, le nid de chaque famille de ce pays, le résultat est que lorsque les gens ne peuvent plus se loger, nous avons un immense problème collectif, économique comme social. Il se nomme le déclassement, soit davantage de personnes logées de façon précaire, de mutualisation d’appartements pour les jeunes et les vieux, des gens en "mobile home" sur des campings à l’année. La seule et véritable solution pour résoudre le problème du logement en France, en particulier la pénurie de logements locatifs de longue durée, c’est bien d’encourager les Français qui le peuvent à devenir propriétaires bailleurs. C’est aussi la meilleure façon de faire baisser le prix des loyers. Et pour cela, il convient, par exemple, de supprimer l’impôt sur la fortune immobilière*, de réduire les droits sur les transmissions, d’interdire au législateur d’encadrer les loyers, de respecter le principe de l’égalité en droit des propriétaires et des locataires dans le contrat de bail, afin de relancer tout un écosystème bénéfique à l’État et les collectivités locales (équilibre des comptes grâce à la perception des droits de mutation), aux artisans et aux entreprises de matériaux de construction comme de produits d’ameublement, et aux banques (les transactions sont une formidable source d’impression monétaire se répercutant dans l'économie réelle).

* 186.000 foyers paient l’impôt sur la fortune immobilière, prélèvement créé par Emmanuel Macron en 2018 pour remplacer l’impôt sur la fortune (ISF). Il a rapporté 2,2 milliards d’euros dans les caisses de l’État l’an dernier, en nette hausse par rapport à 2023 (+11 %), mais une goutte d’eau dans l’océan de recettes fiscales dont il ne représente que 0,5%, contre 38 % pour la TVA par exemple ou 16 % pour l’impôt sur le revenu. La question du bénéfice/risque est ainsi posée.

De la "cabanisation" et "miniaturisation" en cours

Marque emblématique de la tiers-mondisation de la France en cours, un fléau se propage, celui des yourtes, chalets, cabanons, camionnettes,  caravanes et autres mobil-homes, installés dans des champs, au milieu des bois voire de sites naturels protégés, la grande majorité étant illicites. Y prennent place les étudiants, travailleurs pauvres, saisonniers, retraités sans ressources, néoruraux, gens du voyage et marginaux libertariens… constituant un casse-tête pour les préfectures et maires qui tentent de freiner le phénomène. Et les habitants de ces logements de fortune n’ont pas tous le souci de se cacher. La raison se trouve tant dans la paupérisation croissante des classes sociales du bas de l'échelle des revenus comme du patrimoine, que dans l'augmentation incessante de normes, de qualité, de contraintes. La crise du logement étant sans précédent compte-tenu de l'inflation des prix, notamment de l'énergie, et de l'augmentation des taux d'intérêt bancaires, de plus en plus de citoyens sont exclus du logement.

Autre pratique en vogue compte-tenu des normes délirantes et d'un coût de la construction prohibitif, la "tiny house", joli mot pour parler de caravanes bobo plus charmantes que celle accolée au Français des classes populaires. C'est ainsi que les collectivités et les bailleurs sociaux expérimentent des villages de mini-maisons pour les salariés et les étudiants, notamment sur des territoires où les prix de l’immobilier s’envolent, même si le phénomène reste pour l'instant marginal. Seule condition d’implantation : être un actif travaillant dans le bassin d’emploi à moins de 100 km en général, ce qui écarte de fait les retraités et les résidences secondaires.

La transition écologique, aussi légitime soit-elle, n’implique pas de faire n’importe quoi et n’importe comment. C'est pourtant le cas, voyant l'offre de biens immobiliers à louer en chute libre et entraîner une flambée des loyers qui, particulièrement forte dans les dix plus grandes villes, est désormais supérieure à l’inflation. Le contexte est en effet celui d'une demande, qui même si elle s'est réduite légèrement, reste extrêmement forte (+ 45 % depuis le mois d’octobre 2021). Il en découle que, bloqués dans leur projet d’achat, nombreux sont les locataires qui ont été contraints de rester en location, ne permettant pas le roulement des biens. Le stock ne peut ainsi se reconstituer, alors qu’il est au plus bas. Il en découle un effet domino, la chute de l’offre de biens se généralisant sur tout le territoire et touchant désormais des villes qui y avaient échappé, telles que Lyon et Rennes. Elle s’accélère dans d’autres métropoles, comme à Lille, Montpellier, Strasbourg, Toulouse et Nice. Et le niveau très bas de l’offre entraîne mécaniquement une hausse des loyers (après une progression de 3,6 % en 2023, elle a atteint 4 % sur un an), soit une hausse supérieure à l’inflation.

Résultat : entre les gens qui ne peuvent plus acheter à cause de la hausse des taux, l’absence de construction et la disparition des investisseurs immobiliers du marché, c’est un désastre pour le nombre de biens disponibles à la location. Qui plus est, comme les logements doivent être "parfaits", les individus seront de plus en plus logés en caravanes, personne n’étant plus capable de construire de tels logements en nombre suffisants.

Pourtant, cet idéal "amour et lumière" de la Nouvelle Génération, prôné et relayé par les experts sociologiques aveuglés ou inféodés, est le résultat d'un programme du contre-espionnage du FBI états-unien nommé "Cointelpro" (Counter Intelligence Program), qui s'est déroulé de 1956 à 1971, destiné à enquêter sur les organisations politiques dissidentes et à les perturber. Il est le préalable à l'instauration d'une Nouvelle Gouvernance Mondiale, une fois effondré l'ancien système vicié, et ce par ses mêmes maîtres artificiers.

Ainsi cet idéal est issu du mouvement du potentiel humain et du New Age amorcé à la fin du XIX° siècle avec la consécration de la psychologie, qui a engendré le "mythe" d'une nouvelle race d'enfants soi-disant éveillés, même si effectivement les nouvelles énergies planétaires y contribuent pour certains d'entre eux. Ils ne sont en réalité pour une grande partie que des enfants psychiquement préparés à ce genre de programmations par leurs spécificités génétiques, telles qu'annoncées par les dix commandements des Georgia Guidestones* (à noter le parallèle avec les dix commandements des tables de la Loi brandies par Moïse), élément d'importance dans l'agenda occulte de nos maîtres asservisseurs puisque balisant le chemin de cette fin de cyclicité civilisationnelle. Ils indiquent que ces enfants apparemment très intelligents, parfois surdoués et très rebelles à la société actuelle, incarnés depuis les années 1980, sont destinés à développer certains caractères génétiques spécifiques, classifiés par la science comme étant des gènes psychopathes, fruits de leur nature hybride*².

Ce programme scientiste, transhumaniste, fait partie du plan global de désacralisation du Vivant et des Lois universelles, celui qui conduit à la "Fin des Temps" telle qu'annoncée par les prophéties*³. Ces enfants sont en réalité préparés à étrenner le gouvernement "amour et lumière" de la future humanité après sa transition. Celui de l'Antéchrist !*⁴

* Cf. La nouvelle religion universelle.

*² Cf. Les acteurs de la Matrice falsifiée & Les psychopathes qui nous gouvernent.

*³ Cf. Prophétie du changement.

*⁴ Cf. Contrôle mental.

Génération sacrifiée

Le taux de participation à la population active des États-Unis est passé de 66 à 63 % entre 2008 et aujourd’hui. Certaines des raisons derrière ce déclin sont compréhensibles et ne sont pas trop inquiétantes, par exemple le vieillissement de la population. Mais en regardant de plus près les chiffres, le segment clé du taux de participation à la population active des hommes âgés de 25 à 54 ans montre qu’aux États-Unis ce taux est passé de 96 % en 1968 à un peu plus de 88 % aujourd’hui. Soit un niveau bien en dessous du taux de participation de presque tous les autres pays développés.

Si le taux de participation à la population active de ce groupe remontait jusqu’à seulement 93 %, c’est-à-dire la moyenne des autres pays développés, il y aurait environ 10 millions de travailleurs supplémentaires aux États-Unis. Parmi les autres faits inquiétants, citons :

57 % de ces hommes qui ne travaillent pas sont en état d’invalidité ;

71 % de l’ensemble des jeunes (de 17 à 24 ans) ne peuvent rentrer dans l’armée en raison d’une alphabétisation insuffisante (capacités de base pour lire et écrire) ou de problèmes de santé (souvent l’obésité et le diabète).

La société forgeant pour beaucoup ce que l’on devient il n'est pas surprenant d'aboutir aux conséquences d'une éducation visant à devenir de bon "con-sommateurs"...

De son côté, la profondeur des conséquences de la crise du Covid est sans équivoque : plus de 1,6 million de jeunes entre 15 et 29 ans n'ont été en France en capacité d'être en emploi, en études ou en formation en 2020. On les appelait autrefois les "décrocheurs". Ils sont devenus les "invisibles", confrontés à un marché du travail en plein marasme, même si nombre de mesures d'aides prises tentent d'en limiter les effets, notamment pour les apprentis.

Quant au système scolaire déployé depuis la fin des années soixante, sous prétexte de progressisme pédagogique, il a pour objet de forcer les esprits à rentrer dans sa manière idéologique de voir, de faire, de penser, de travailler, autrement dit la doxa de la bien-pensance. Il broie et prépare les jeunes enfants, adolescents et jeunes adultes à devenir des serviteurs zélés car soumis du système par leurs esprits identiques, formatés et conventionnels. Les prétendues "grandes écoles" en sont les pathétiques exemples par les pantins qui en sortent, qui prétendent de manière infatuée gouverner de manière éclairée le peuple alors qu'ils ne sont que des crétins voyous et corrompus ayant vocation à anesthésier et à tondre les citoyens moutons pour protéger leurs misérables prébendes crottées.

C'est la médiocratie des "élites" d'une République désacralisée de sa prétendue vitalité civilisationnelle, indigne descendante d'une soi disant Révolution des Lumières, en réalité des ténèbres de la conscience. Il en découle tristesse, ennui, médiocrité et stigmatisation des prétendus cancres dont nombre sont des rebelles incompris et de ce fait maltraités par ce système scolaire très conformiste.

Enfin, la confrontation aux écrans "tueurs" dès le plus jeune âge a conduit à une véritable épidémie psychique conduisant non seulement à l'abrutissement mental mais aussi à des conséquences mortelles. Dans son récent ouvrage intitulé The Anxious Generation, le psychologue social et auteur Jonathan Haidt a établi qu'au tournant du nouveau millénaire, les entreprises technologiques ont créé un ensemble de produits qui ont transformé la vie non seulement des adultes, mais aussi des enfants.

Ces entreprises qui les ont développés n’ont pas ou peu étudié leurs effets sur la santé mentale, et lorsqu’elles ont été confrontées à des preuves de plus en plus nombreuses que leurs produits étaient nocifs pour les jeunes, elles se sont surtout engagées dans le déni, l’obscurcissement et les campagnes de relations publiques. Le résultat a placé les enfants et adolescents dans une cage virtuelle qui les a isolés physiquement, socialement et émotionnellement, avec peu d’espoir de s’en sortir !

La civilisation en cours du poisson rouge

Dans son dernier ouvrage "La civilisation du poisson rouge" (Éditions Grasset), le directeur éditorial d’Arte France, Bruno Patino, cherche à comprendre comment on est quasiment tous devenus accrocs aux écrans, et quelles sont les séquelles sur notre cerveau et notre comportement… Les écrans et les réseaux sociaux sont comme l’argent ou les prophètes gourous, politiciens ou religieux. De remarquables serviteurs mais de bien mauvais maîtres. Ils ont été intrinsèquement conçus pour rendre l'être humain dépendant, soumis car anesthésié de sa souveraineté existentielle. Lorsque sa capacité cognitive est réduite à une moyenne de 9 secondes, soit une seconde de mieux que celle du poisson rouge, les problèmes posés sont considérables ! L'addiction aux écrans et réseaux sociaux portent en eux les germes d’une terrible inégalité à travers la constitution de castes, celles des attentifs, et celles des zombies à la mémoire de poissons rouge, à qui ont été enlevés les capacités de base de réflexion et de pensée. Tous les enfants soumis massivement aux écrans sont condamnés à cette médiocrité intellectuelle, et à la castration de leurs possibilités, de leur potentiel intellectuel qui ne sera jamais réalisé. Il en découle des citoyens chloroformés, livrés uniquement à leurs pulsions émotionnelles, dirigés par la caste supérieure, les "maîtres magiciens", qui sait encore lire des livres.

De l'arrivée du FALC, ou le symptôme de l'Idiocracie mondiale.

Le mouvement est mondial. Si l’ajustement des salaires et autres normes sociales se fait bien vers le bas, il en va aussi de la langue, des langues, de l’ambition intellectuelle pour le plus grand nombre. Ce n’est plus à l’individu de fournir l’effort pour se hisser au niveau de la langue, mais à la langue de se simplifier pour s’adapter à la paresse devenue valeur, la paresse devenue normalité. Jusqu'alors, c'était l’ambition d'une nation que de permettre à chacun d’atteindre son plus haut niveau. C’est ainsi qu’était conçue en France l’école de Jules Ferry. Et il y avait autant d’imbéciles en 1905 qu’aujourd’hui, et de forts en math… Mais en Grande-Bretagne , les défenseurs de l’apostrophe ont fini par baisser les bras après deux décennies de combat pour défendre un usage correct de l’apostrophe (signe de ponctuation) dans la langue anglaise, découragés par la paresse et l’ignorance. La Société britannique pour la protection de l’apostrophe, fondée en 2001, va ainsi cesser ses activités. En France au même moment, la mode qui se développe est celle du FALC, le "facile à lire et à comprendre" ! Comme toujours, cela part d’un bon sentiment, celui de rendre accessible les textes, y compris à ceux qui souffrent d’un handicap mental. Mais la réalité est que le FALC n’est guère éloigné des règles dites de SEO, celles que l’on demande aux sites internet de respecter pour être bien référencés par Google et autres moteurs de recherche. Autrement dit, aucune phrase ne peut avoir plus de 17 mots, aucun texte ne doit dépasser 1 500 caractères (un caractère étant une lettre et pas un mot), ce qui fait très court. Twitter a poussé le bouchon encore plus loin avec ses sms à 140 caractères. Il en résulte une pensée pauvre, sans nuance, la durée moyenne d’attention tournant désormais autour de 10 minutes. Dire qu’Apostrophes était le nom d’une émission littéraire*...

* Émission de télévision littéraire française créée et animée par Bernard Pivot sur Antenne 2 entre le 10 janvier 1975 et le 22 juin 1990.

De l'automutilation numérique

Une étude américaine met en avant qu'un nombre croissant d’adolescents pratiquent l’automutilation numérique, qui consiste à s’envoyer soi-même, anonymement, des messages haineux. Cette démarche, contrairement au cyberharcèlement où l’abus est dirigé vers autrui, est comparable à l’automutilation physique, découlant de l'absorption incessante de la drogue chimique qu'est la consommation quasi ininterrompue des réseaux sociaux par les différents supports utilisés, en premier lieu le smartphone. Elle affecte particulièrement les filles, les jeunes non hétérosexuels et ceux issus de minorités raciales.

Cette forme de violence autodirigée, facilitée par l’anonymat en ligne, ne cesse de croître. Ce phénomène, apparu en 2010, touche en effet de plus en plus de jeunes : entre 2019 et 2021, 9 à 12 % des adolescents américains s’y sont livrés, contre 6,3 % en 2016, soit une augmentation de plus de 88 %. Cette trajectoire ascendante, en particulier au sein de groupes démographiques spécifiques, souligne selon les chercheurs la nécessité d’interventions ciblées et de systèmes de soutien d'aide à développer des mécanismes d’adaptation plus sains, d’autant plus que la recherche a montré une forte association entre l’automutilation numérique et l’automutilation traditionnelle, ainsi qu’entre l’automutilation numérique et la suicidalité. Il apparait essentiel que les parents, les éducateurs et les professionnels de la santé mentale qui travaillent avec les jeunes apportent leur soutien à toutes les cibles d’abus en ligne, que ce soit dans un cadre informel et conversationnel ou dans un cadre formel et clinique.

Ce nouveau phénomène, qui va sans doute prendre de l’ampleur et rendre parfois complexe et difficile la recherche de la vérité dans certaines affaires, montre que la jeunesse va mal, découlant d'une société qui, plutôt que d'aider à stabiliser et à ancrer les cerveaux dans leur relation saine à l'équilibre de vie, fait tout l’inverse en détruisant l’équilibre du plus grand nombre avec ses politiques dites inclusives faisant plus de mal que de bien ainsi que par son conditionnement permanent - changement climatique, guerre, épidémies,.. - source de stress, d'angoisse, de peur de l'avenir. Il en résulte un inévitable décalage entre le ressenti, la perception, et le réel. Si l’objectif de départ est tout à fait louable, la manière de procéder est un échec complet dans les stratégies utilisées, qui ont un bénéfice/risque négatif puisque favorisant plus l'animalité que l'indispensable élévation de conscience.

La génération Y telle que baptisée avec ses inévitables controverses sur un plan sociologique regroupe, en Occident, l'ensemble des personnes nées entre 1980 et l'an 2000*. Si l'origine de ce nom a plusieurs attributions - pour les uns il vient de la génération précédente, nommée génération X ; pour d'autres, il pourrait venir de la phonétique anglaise de l'expression Y signifiant Why ("pourquoi") -, il convient de noter que le Y traduit la composante chromosomique masculine du génome, soit XY liée aux propriétés du nombre 3*². Il s'agit là bien évidemment de la signature explicite du système prédateur asservisseur dans l'orchestration de son calendrier occulte de la fin des temps.

Quant à la génération Z, aussi appelée génération C pour Communication, Collaboration, Connexion et Créativité, elle succède à la génération Y, représentant ceux qui sont nés autour de l'an 2.000 jusqu'à aujourd'hui, plus spécifiquement entre 1997 et 2010. Elle précède la génération Alpha, en cours d'émergence. Elle est définie comme une génération née alors que le numérique était déjà bien installé dans la société. Ses représentants ont toujours connu un monde avec une grande présence de l'informatique et de l'Internet. Ils forment la génération digitale - la "e-génération" -, celle nécessaire à la consécration du transhumanisme !

* D'autres noms sont utilisés pour la définir : "The Generation We" , œuvre éponyme des auteurs anglais Eric H. Greenberg et Karl Weber dans leur ouvrage de 2008 Generation We : How Millennial Youth Are Taking over America and Changing Our World Forever ("Génération Nous : Comment les jeunes du millénaire s'emparent de l'Amérique et changent notre monde pour toujours"); les "Millennials", d’après William Strauss et Neil Howe, sociologues américains pères des études sur les générations; "Mutants et semi-mutants" selon le psychanalyste Jean-Paul Gaillard, auteur de "Enfants et adolescents en mutation : Mode d’emploi pour les parents, éducateurs, enseignants et thérapeutes".

*² Cf. Symbolisme des nombres.

Caractéristiques

Essentiellement valable pour les pays occidentaux, la catégorisation de la génération Y et de son extension Z (nés à la fin des années 1990 et au début des années 2010) repose sur différents postulats :

. Ils n'ont pas eu à subir la menace d'apocalypse de la guerre froide qui a suivi les deux grands conflits destructeurs du XX° siècle.

. Ils n'ont pas connu le monde sans le SIDA et ses conséquences dans les pratiques sexuelles.

. Ils ont acquis une maîtrise quasi intuitive des pratiques technologiques qui ont découlé de l'introduction massive de l'informatique grand public et de l'usage d'Internet.

. Ils sont nés avec les débuts de l'intérêt du grand public pour l'environnement sous l'angle écologique.

. L'interactivité comme le divertissement en ligne constituent une pratique "naturelle".

Cette génération représente environ 15 % de la population européenne (40 % des actifs en France), ne cessant de monter en puissance dans la composition de la main-d'œuvre, avec toutes les conséquences inter-générationnelles qui en découlent.

Autre caractéristique, les membres de la génération Z n’ont pratiquement jamais connu un monde sans médias sociaux. À l’âge adulte, ils découvrent les effets de la documentation de leur enfance en ligne, leurs parents ayant publié occasionnellement des photos de leurs enfants, tout comme les "vloggers"* familiaux et autres influenceurs à la recherche d’adeptes et de revenus sur des plates-formes telles que YouTube et TikTok. Ces derniers ont documenté en ligne les moments les plus personnels de leur famille, transformant leur vie familiale en émission de téléréalité.

* Un vlog, vlogue, blog vidéo, blogue vidéo ou vidéoblogue est un type de blog dont le principal média est la vidéo, pouvant être commentée ou non par ses visiteurs. Les expressions podcast vidéo, vidéopodcasts, vidéocast, vodcast, balado vidéo sont également utilisées.

Des Geeks et Nerds

La définition qui ressort le plus souvent de ce mot d'initié tech est qu'un "geek" (guic en phonétique) est une personne passionnée par un ou plusieurs domaines précis, plus souvent utilisé pour les domaines liés aux "cultures de l'imaginaire" (certains genres du cinéma, de la bande dessinée, des jeux vidéo et jeux de rôles, etc.), ou encore aux sciences, à la technologie, dont bien sûr l'informatique et le numérique.

Du fait de ses connaissances pointues, le geek est souvent perçu comme très sinon trop cérébral. L’origine du mot se trouve dans le moyen bas-allemand geck, qui désigne un fou, un espiègle, et du néerlandais gek qui désigne quelque chose de fou (ik ben gek, littéralement "je suis fou"). Dans le Nord et l’Est de la France, il existe le mot patois gicque, qui désigne un fou de carnaval. Le mot a été peu à peu utilisé au niveau international sur Internet de manière revendicative par les personnes s'identifiant comme tel. C'est ainsi qu'il a acquis une connotation méliorative et communautaire plutôt que péjorative.

De son côté, les nerd s'intéresse davantage à des choses comme les mathématiques, la physique, les musiciens de groupe, etc. Comparé à un geek, un nerd est asocial, obsessionnel, tout en étant lui aussi excessivement porté sur l'intellect. Il peut favoriser le développement personnel d'un monde fermé et obscur. On le décrit timide, étrange et repoussant.

De la perte de sens de la valeur travail

La Génération Z, c'est-à-dire les individus nés entre 1997 et 2012, qui succèdent aux Millennials (Génération Y) et précèdent la génération Alpha, est pointée du doigt, qualifiée de génération de sales gosses pourris gâtés, enfants rois qui ne supportent en réalité pas la moindre contrainte ni la moindre remarque, ce qui est la définition de la maturité. C’est bien entendu une généralité, et comme toutes les généralités et autres "tendances" sociologiques, il y a de très nombreuses exceptions.

Toutefois, le constat économique oblige de regarder la réalité en face. Lorsque cette génération "Z" veut prendre des mini-retraites, autrement dit des périodes sans travailler, ce qui est de plus en plus courant, c’est généralement fait aux frais de Pôle Emploi (France travail) et d’autres minimas ou aides sociales. Si les aides sont coupées, ils n’auront plus envie de mini-retraites. De même, lorsque la génération "Z" comme d'autres demandent du "sens" au travail, la réalité est qu'il n’y en a jamais eu. Cette histoire de perte de sens est une arnaque intellectuelle, au même titre que l'idéologie climatiste et autres impostures justifiant d'être en permanence en guerre (Covid, Russie...), destinées à masquer que le pays est endetté début 2025 à plus de 3 400 milliards d’euros de dettes et dans lequel ceux qui veulent bien travailler sont tous surtaxés ! Les "privilégiés", qui peuvent travailler et vivre de leur passion ne se posent pas la question. Pas plus qu’un pompier qui éteint un feu ou une infirmière qui soigne.

La question du sens porte en fait sur les "bullshit" job, qui ne servent évidemment à rien ou à pas grand-chose pour une éventuelle quête de sens existentielle. Mais ils n’ont pas pour autant plus ou moins de sens que de tourner des boulons toute la journée, ou de préparer des commandes dans un entrepôt sans âme d’Amazon ou de La Poste.

La réalité est bien plus simple que tout cela. Soit les gens ont besoin de travailler, soit les gens peuvent se payer le luxe de ne pas travailler. Dans ce cas, soit ils se payent ce luxe avec leurs propres deniers et c’est la liberté de chacun, soit ils se payent ce luxe aux frais de la collectivité et de ceux qui travaillent. La solution est alors évidente. Dans un monde sans RMI ou RSA, les gens trouvent naturellement le chemin du travail et le sens de celui-ci… à savoir un salaire à la fin du mois, sans pour autant ne pas accompagner les plus fragiles pour les y aider. Et quand il n’y aura plus personne pour payer les "mini-retraites", les quêtes de "sens" et autres états d’âmes de tous les plaintifs, le sens des réalités, des obligations et des responsabilités sera réhabilité à sa juste mesure.

La génération Z est confrontée à un fort affaiblissement de sa protection immunitaire, en raison des nombreuses injections de vaccins et thérapies géniques à base d'ARN-m reçues, de la prise de produits de comblement esthétiques et des vapes diverses inhalées, voire de recours à des opérations chirurgicales de transformation physique comme le remplissement des lèvres, du front, des sourcils, des joues ou du cou à base notamment de Botox. Selon nombre de praticiens de la santé, commencer les injections trop tôt peut affecter le développement naturel des traits du visage. Or, une fois que l'on commence à suivre cette voie, il est très difficile de revenir à une apparence entièrement naturelle, d'autant lorsque ces nouvelles "affirmations" commencent à apparaître sur les médias sociaux dont elle est tant friande.

La méthode déployée à grande échelle consiste en deux grandes lignes d'action, chacune ayant une répercussion génétique.

La première est de créer les circonstances permettant de séparer les représentants de cette nouvelle génération prématurément de l'un de leurs deux parents, ce qui a pour effet d'agir nuisiblement sur leur processus d'individuation dans la relation aux masculin et au féminin sacrés*. Elle explique le long processus de désagrégation de la famille établi à partir des années "libertaires", les sixties, et ses "valeurs" revendiquées d'hédonisme, d'individualisme, de pédophilie... De leurs côtés, nombre de gourous – instructeurs, formateurs, guides spirituels, mentors, thérapeutes... – du mouvement New Age promulguent l'amour libre et popularisent le tantrisme sexuel dévoyé *². Il n'est qu'à regarder les statistiques des services sociaux quant à l'augmentation des mères célibataires, rejoignant celles des pays en guerre. Ces guerres, au-delà des répercussions psycho-émotionnelles propres à nourrir la prédation vampirique qui s'en nourrit pour sa survie, ne sont-elles pas "proprement" provoquées et entretenues pour servir aussi de "pouponnière" à la prochaine humanité qui se dessine ? 

La seconde voit le déploiement à grande échelle de nouveaux virus (SIDA, Ebola, Coronavirus...). Ils correspondent d'une part à un plan d'éradication d'une grande partie de l'humanité (Cf. les dix commandements des Georgia Guidestone), d'autre part à l'adaptation du génome de la génération actuelle appelée à être aux commandes de la Nouvelle Gouvernance Mondiale en cours d'instauration.

C'est la raison pour laquelle une grande majorité de ces nouveaux enfants, dit enfants Indigos, Arc en ciel ou Cristal/Diamant et idéalisés par la communauté New Age, ne sont que le résultat d'une manipulation génétique issue d'un état de conscience logé dans une autre dimension, qui influence les mœurs humaines afin de promouvoir ses gènes psychopathes.

* Cf. Fonctionnement du corps biologique.

*² Cf. Conscience et dépassement de la Matrice sexuelle.

Indigo

La référence à la couleur indigo vient de la palette des sept couleurs dites primaires de l’arc-en-ciel - violet, indigo, bleu, vert, jaune, orange, rouge – perçues par l’œil humain. Ces couleurs sont liées à des longueurs d’onde propres au rayonnement électromagnétique, mesurées en angström, qui sont comprises dans une bande d’impulsions très courtes et très rapides entre 7.700 et 3.900 angströms, unité de mesure que l’on doit au physicien suédois Anders Jonas Ångström, un des inventeurs de la spectroscopie (le système international retient le nanomètre comme mesure). Sur cette échelle, l’indigo à la différence du rouge est une couleur éminemment plus subtile, car liée à une longueur d’onde de rayonnement plus élevée.

Une polémique existe quant à l'attribut indigo, d'autres se voulant faire référence (arc-en-ciel, étoiles, cristal...). Quoi qu'il en soit, et bien que peu de personnes contestent les capacités nouvelles de cette génération, le scepticisme de la communauté scientifique prévaut compte-tenu des connotations utilisées peu "orthodoxes" à ses yeux.

Cf. Fonctionnement de l'Architecture du Vivant.

 "L'indigo inversé"

Son énergie est puissante, mais investie dans les basses fréquences, celles du consortium prédateur involutif*. C'est en général un être intuitif, qui va utiliser cette intelligence pour blesser autrui. La détestation qu'il a de lui-même est extrême, générant une immense colère. N'étant pas en capacité de percevoir qu'il est à l'origine de sa propre douleur, il n'aura de cesse d'attaquer l'autre. Il devient un outil de destruction extrêmement puissant, incapable de mettre en œuvre un espace de paix en son sein. Étant assujetti à la loi d'attraction de troisième dimension, sa fréquence va côtoyer ce qu'il y a de plus difficile en ce monde. La vengeance, la colère, la peur, l'angoisse, la haine, la violence seront son pain quotidien. Il ne percevra pas que ce cercle vicieux ne peut être brisé que par un mouvement qui viendra de lui et non pas de ceux qu'il considère comme responsables de sa douleur.

* Cf. Compréhension structurelle de la Matrice asservissante & Les acteurs de la Matrice falsifiée.

Nous pouvons raisonnablement penser que ce renforcement immunitaire donne la possibilité à d’autres personnes, en l’occurrence des adultes, de renforcer également leur système immunitaire, conformément à la théorie scientifique du "centième singe" que le biologiste britannique Rupert Sheldrake a mis en avant dans sa théorie des champs morphiques comme causalité formative de la nature des choses. Ces champs seraient ainsi déterminants dans le comportement des êtres vivants qui hériteraient d’habitudes de l’espèce par "résonance morphique", ce que l’expérience observée en 1952 sur l’île japonaise de Koshima a démontré lorsqu’un macaque a un beau jour transmis à ses congénères la pratique de laver sa patate dans l’eau du ruisseau… À partir d’un certain nombre, par exemple 99, quand la pratique s’est étendue au centième singe, c’est toute la communauté qui s’est mise à laver ses patates. Et, plus incroyable encore, les singes des îles avoisinantes eux aussi se sont mis à laver leur patates…

Tout naturellement, l’industrie de l’entertainment entre autres n’a eu de cesse de les ouvrir à notre champ de conscience*, en logeant d'abord dans notre subconscient par ses techniques manipulatoires les informations nécessaires au déroulé de la programmation entropique de notre destinée*².

* Cf. Le cinéma de la Matrice (2) La science réalité.

*² Cf. Le cinéma de la Matrice (1) & Prédation manipulatoire.

Les enfants diamant fuient le rôle de leader, le concept de "groupe" étant agressif pour eux. Un groupe signifie en effet qu'il existe en son sein une mentalité de "nous contre eux", ainsi qu'une réalité sur laquelle on s'est entendu et qui exclut toutes les autres. Le mieux qui est à faire est de limiter ses domaines d'intérêts et de l'encourager à ne s'en tenir qu'à un seul, voire à deux. Un domaine créatif, comme celui de l'art ou de la musique, et un domaine intellectuel tel que dans les sciences ou les lettres. De même, leur alimentation est à surveiller, en privilégiant les produits purs et frais.

En réalité, ces enfants ne sont pour la plupart que des enfants "spécialement préparés sur le plan génétique" à devenir les leaders de la prochaine humanité, celle qui prévaudra à l'instauration d'un Nouvel Ordre Mondial*. Ils en sont les poussins. Les gourous et formateurs du New Age – instrumentés à leur insu par le corpus prédateur de la 4ème dimension, laissent croire que ces nouveaux enfants sont des enfants éveillés, plein de compassion, plein d'amour. La plupart ne sont majoritairement qu'une pâle réplique reformatée, grâce à la génétique du psychopathe, d'où leur acuité et leur intelligence prétendument supérieure. Ils ne le sont pas plus que les autres enfants. La différence réside dans le fait que, déjà au moment de leur conception ou dans leur petite enfance, leur psychisme été programmé pour répondre "machinalement" à la technologie de 4ème dimension.

Lorsqu'ils sont séparés prématurément de l'un des deux parents, ces présumés "nouveaux enfants" perdent leurs repères sécurisants du noyau familial, restent souvent gravement perturbés et handicapés dans leur émotionnel, ce qui favorise le développement de la psychopathie. Certains d'entre-eux peuvent alors développer ce gène spécifique qui les conduiront à se déconnecter de leur ressenti. Ils seront alors incapables de s'adapter "naturellement" à leur environnement et, en conséquence, ils apprendront à mimer toute la gamme des émotions afin de se faire accepter par leurs pairs.

Il est inutile de vouloir se mesurer à eux, et encore moins s'ils incarnent un rôle politique. Cela ne sert strictement à rien, nul ne pouvant se dresser contre les psychopathes, quels qu'ils soient. Ceux-ci possèdent en effet une intelligence et une éloquence hors du commun, des capacités télépathiques et des ressources de mimétisme émotionnel que l'humain ignore. Pour tirer leur épingle du jeu, ils sont toujours capables de "briller" en toutes circonstances, de justifier leurs actes dans n'importe quelle situation. L'humanité entière est en train de se laisser endormir par cette confédération d'individus émotionnellement déséquilibrés, présente dans toutes les instances de la société. 

S'il est bien sûr essentiel de les reconnaître pour ce qu'ils sont véritablement, et comprendre qu'ils ont un rôle à jouer dans la transition en cours vers le monde scientiste qui nous attend, il ne sert à rien d'agir contre eux. Il nous appartient d'agir uniquement dans l'intérêt de notre propre destinée, et cela ne peut se faire que de façon individuelle, ou avec des personnes parfaitement en résonance avec notre façon d'être et de penser*².

* Cf. La nouvelle religion universelle & Prophétie du changement.

*² Cf. L'état de cohérence, voie de sa liberté & Processus de transformation de conscience.

Toutes les grandes institutions corporate sont endoctrinées, nous disant ce qu'il faut penser et ne pas penser, ainsi que la manière de penser. Notre esprit est continuellement mis en forme par la culture dominante, notre civilisation étant devenue le porte-parole de l'organe de propagande de cette maladie qu'est le narcissisme. Cette culture qui refuse la vie ne peut que nous submerger progressivement en elle-même, nous enrôlant comme ses agents qui font involontairement son affaire. C'est ainsi que fonctionne l'empire psychique de la psychose collective, qui ne cesse de s'étendre et de s'auto-générer. Nous sommes vraiment en guerre. C'est une guerre contre la conscience, une guerre contre nos propres esprits !
En fait, une grande partie de ce que nous appelons les problèmes psychologiques ou les défauts émotionnels constituent simplement le symptôme, la manifestation d'un attachement spirituel ou d'une interférence "étrangère". Les cultures chamaniques étaient très conscientes de l'interférence hyperdimensionnelle et de la présence d'esprits malveillants qui s'attachaient aux gens (leur corps énergétique et leur aura) afin de créer des maladies et des troubles physiques et psychologiques.

Les enfants de cristal, les enfants arc-en-ciel et les enfants des étoiles sont tous des manifestations différentes ou des variations du concept d’indigo. Ces êtres de plus en plus nombreux constituent une race qui, bien que visuellement et physiquement impossible à distinguer des citoyens ordinaires, en font des "porteurs de lumière" venus pour guider l’éveil de la conscience de la Terre.

L'indigo, du latin indicum "de l'Inde", est une nuance de bleu foncé qui se situe entre le bleu et le violet dans l'arc-en-ciel. Elle est souvent qualifiée de "septième couleur" de l'arc-en-ciel*. En pratique, l'indigo est difficile à distinguer par l'œil humain des autres tons de bleu et de violet.

* Cette couleur aurait été ajoutée et inventée par le mathématicien et physicien anglais Isaac Newton après qu'il ait décomposé avec un prisme la lumière visible. Celle-ci est en réalité un continuum de fréquences et l'on n'y décèle en principe que 6 couleurs dominantes : trois couleurs primaires et leurs couleurs complémentaires. Newton aurait consciemment déterminé sept couleurs pour les faire coïncider avec le nombre 7, porteur d'une grande charge symbolique (les sept planètes connues alors, les sept jours de la semaine, les sept notes de musique, etc.).

Si nombres d'enfants indigo et cristallin ont été conçus pour accompagner la mise en œuvre du nouveau calendrier du Gouvernement mondial occulte, d'autres sont à même de recevoir les nouvelles énergies préalables à un changement de conscience et à l'émergence d'une Nouvelle Terre*.

A cet effet, l'indigo est un travailleur spirituel qui, ayant en général une enfance décalée, douloureuse, va travailler énormément pour chercher la paix. Ce labeur qui le ramène à son centre est par effet de résonance à la disposition de ceux qui prennent à leur tour le chemin de l'éveil.

Quant aux cristallins, ils sont déjà amour, paix, pardon, se posant beaucoup moins de questions. Ils SONT, c'est tout. Leurs cellules sont déjà paramétrées pour exprimer le nouveau monde.

* Cf. Fin de cycle (2) La guidance éclairée de sa vie.

Des enfants Cristal

Ces nouveaux enfants naissent dans un monde terrestre quelque peu chaotique. S'ils ne sont pas préparés de manière adéquate par les parents,  ils peineront pour accomplir leur mission, la raison pour laquelle ils sont nés durant ce millénaire.

Certains parents savent qu’ils ont un enfant Cristal, un enfant pur et différent de la masse. Ils savent que ces enfants sont venus au monde pour apporter un changement, pour aider à l’émergence d’une nouvelle Humanité. C'est pourquoi ils ont besoin d’appui, d’être guidés vers des gens éveillés qui ont comme mission de leur enseigner comment suivre leur guidance, comment accéder à la Source de leur Être. Aussi les parents doivent donner l’exemple en suivant eux- mêmes leur guidance intérieure pour être inspirés à éclairer leurs enfants. Les parents sont des phares pour eux. Ils ont un rôle à jouer. Pour ce faire, ils doivent s’éveiller et les écouter, la Source parlant à travers eux. Il convient que les parents les laissent prendre leur envol et être ce pour quoi ils sont venus sur cette planète, ainsi qu'ils cessent de contrôler parce qu'ils sont un parent.

Ces enfants sont conscients d’être beaucoup plus multidimensionnels que ce qui est considéré comme la "norme" de nos jours, pouvant également avoir connaissance de contacts avec des intelligences extraterrestres non humaines.

Indigo et cristallin sont deux fréquences différentes, caractérisées par un halo de lumière spécifique diffusé par l'aura*. Les rôles attribués ne sont donc pas les mêmes, correspondant au cheminement de l'âme spécifique*².

Si le cristallin est déjà sur la fréquence de l'énergie d'amour, l'indigo s'en souvient et va travailler pour cultiver cet état. Une fois leur contrat rempli au service de la mutation de conscience en cours, ils changent tous deux de fréquence pour ne plus incarner qu'un seul état d'être, celui de l'unité.

L'indigo commence d'abord par être un technicien spirituel, et en général, ce côté méthodique et procédurier par la force de l'égo déployée devient un handicap. C'est pour cette raison qu’après avoir compris la "technique", il va rechercher à exprimer l'amour divin à travers chaque acte de sa vie. Il veut vivre ce qu'il a compris, alors que le cristallin, ayant beaucoup moins besoin de l'égo, profite d'un programme allégé.

L’indigo connait de façon innée la vibration de l’amour détaché. Mais, n’étant pas encore dans l’équilibre divin puisque son travail n’est pas effectué, ce détachement peut basculer vers ce que l’on perçoit comme un "défaut" chez l’humain : froideur, dureté, égoïsme… symptômes disparaissant une fois le travail sur le sens du détachement achevé*³. 

C'est à chacun, engagé sur son chemin d'évolution, de ressentir la fréquence lui indiquant s'il est un indigo ou un cristallin. En se faisant confiance et en se posant cette question - suis-je un indigo ou un cristallin -, nous connaissons intuitivement la réponse, qui fuse de notre âme avec précision et justesse.

* Cf. Fonctionnement de l'architecture du Vivant.

*² Cf. Le cheminement de l’Âme.

*³ Cf. L'état de cohérence, voie de sa liberté.

Certains sont qualifiés de dysfonctionnels parce qu’ils ont du mal à se socialiser ou à faire face aux pressions et aux exigences de la société moderne. Ces étiquettes comprennent le TDA (trouble déficitaire de l’attention), le syndrome d’Asperger, les formes d’autisme et la dyslexie. Cependant, ces étiquettes peuvent provenir de notre manque de compréhension de la manière dont ces générations fonctionnent ou perçoivent la réalité.

Il semble toutefois bel et bien que nombre d’entre eux aient du mal à s’acclimater à la réalité en trois dimensions en raison de leurs cellules sensorielles supérieures à la normale sur leur peau ainsi que de niveaux d’acétylcholine et de dopamine dans le cerveau plus élevés. Ils entendent ainsi mieux que la normale, et sont plus conscients des différences subtiles de couleur que la normale. Leur goût et leur odorat sont accrus, et ils sont sensibles à toutes les fréquences, pouvant de ce fait être submergés par une surcharge sensorielle. Ils sont sensibles aux radiations radioactives, aux champs d’énergie et aux rayons d’énergie émis par des personnes ou des animaux en colère.

Ils ont souvent besoin d’une aide supplémentaire en matière d’alimentation, ainsi que de suppléments de multivitamines et de minéraux.

Comme ces nouveaux humains doivent constamment lutter pour fonctionner lorsque leur conscience et leur compréhension ne sont pas comprises ou reconnues, cela peut se manifester par de l’arrogance ou de la frustration, et plus souvent par du chagrin ou de la confusion. Ils peuvent également avoir l’impression que leur famille stellaire les a abandonnés. Alors qu'ils doivent lutter pour rester sur terre, tout ce qu’ils veulent est de rentrer chez eux. Comme cette situation peut être très accablante, cela peut les conduire à un désir conscient ou inconscient de s’engourdir dans l’alcool, la drogue ou de s’échapper par le suicide.

Les surdoués sont avant tout des êtres spirituels, à l'intelligence métaphysique. Qu'on les disent surdoués, enfants précoces, jeunes sortant du système scolaire ... ils ne sont pas en phase avec le formatage des "cases" de l’Éducation nationale. Leur aptitude naturelle à "travailler" leurs espaces quantiques, multi-dimensionnels, nécessite une école... intelligente d'un tout autre genre.

S'ils ne sont pas forcément performants selon les critères académiques en vigueur, c'est qu'ils sont venus s'incarner en ce monde de densité terrestre pour finaliser leur processus karmique, désirant atteindre l'Être en eux*. De ce fait, leur moteur de recherche évacue la plupart des centres d'intérêt qui ne correspondent pas à leurs aspirations profondes. Leurs préoccupations étant d'un autre ordre, leurs sujets de prédilection vont à l'encontre de ce qu'on attend d'un enfant "normal". Ils viennent au monde pour transcender la vie, pas pour en jouir de façon illusoire. Ils portent en leur sein la mémoire de l'absolu, s'intéressant à l'univers dans sa globalité plutôt qu'à son environnement immédiat, limité et contingenté. C'est pourquoi ils ont souvent la tête dans les étoiles, posant dès leur jeune âge les questions auxquelles ils cherchent impitoyablement des réponses : que sont la vie, la mort, l'amour ? Et c'est pourquoi nombre d'entre eux sont souvent considérés comme cancres, incapables de se concentrer sur un apprentissage classique.

* Cf. Le cheminement de l’Âme.

Si un surdoué apparait comme compliqué, c'est que son Esprit n'est jamais au repos. Intuitivement, il sait qu'au cœur même de son existence se trouvent les lois universelles qu'il cherche à se réapproprier. Aussi devient-il un observateur fasciné par le fonctionnement du Vivant* et de tous ses éléments. C'est pourquoi il utilise une plus grande partie de son cerveau, l'Esprit puissamment présent en lui en décuplant le potentiel. Mais les neurones ne sont qu'un outil évolutif de l'Être. Un surdoué est avant tout connecté à l'intelligence du cœur. Et c'est grâce à ce câblage inné qu'il analyse en temps réel, via son cerveau physique, les informations qui lui parviennent d'ailleurs*². Aucun temps mort n'est alors envisageable, le surdoué étant l'information en mouvement. Aussi il apparait aux yeux des autres comme abstrait, décalé sinon survolté. Là où personne ne se pose de questions, le surdoué va trouver par son intuition aiguisée des réponses, sans chercher à les réprimer. Cette ébullition cérébrale n'a rien à voir avec un mental agité qu'il s'agirait de calmer à coup de méditations ou de chimie médicamenteuse. Ces cogitations perpétuelles sont le feu de la Connaissance*³. Il s'agit d'apprendre à les utiliser, pas à les combattre.

* Cf. Évolution de civilisation (1) Le mécanisme de l'Univers & Fonctionnement de l'architecture du Vivant.

*² Cf. Le moteur biologique de la co-création.

*³ Cf. Qu'est-ce que la Connaissance ?

Une autre fréquence vibratoire

Si un surdoué semble plus fragile que ses alter-ego, c'est que son appareillage biologique capte des fréquences plus subtiles, lui permettant d'accéder à la pensée vibratoire non seulement de ceux qui passent à sa portée, mais au-delà. Il est comme une éponge sensorielle, ressentant émotionnellement l'état psycho-émotionnel qui l'environne. De ce fait, il est rarement apaisé et heureux, compte-tenu du champ de basses fréquences de la dimension terrestre sous couvert de la prédation extra-dimensionnelle qui l'entretient. S'il n'en est pas conscient et ne parvient pas à s'en détacher, sa joie de vivre initiale se dégrade avec le temps, et sa douleur s'amplifie. Comme il porte en lui le monde extérieur et qu'il ne sait qu'en faire, ce poids devenu trop lourd amène dépression et souffrance. Tant qu'il ne reprend pas le pouvoir sur ses propres fréquences, il est débordé par celles des autres.

Un surdoué est naturellement contemplatif, dans la mesure où il développe un puissant monde intérieur et qu'il s'ancre dans le silence. Donnant l'impression de ne rien faire, il effectue pourtant un puissant travail d'introspection. Aussi ce calme apparent n'est qu'illusion, puisqu'en réalité il ingurgite un monceau de données informationnelles en provenance du grand champ de conscience. Parfois, cette hyperactivité de l'âme peut se traduire par une hyperactivité du corps. D'autre part, une agitation incontrôlable peut découler de l'apprentissage scolaire, la concentration sur une approche excessivement mentale/intellectuelle du monde pouvant faire de lui un lion en cage, incapable de rester en place.

Dans la mesure où le Soi supérieur a pris les commandes, il utilise toutes ses facultés cérébrales avec la plus grande acuité, les deux hémisphères étant énormément sollicités. C'est cette arborescence neuronale qui offre au surdoué la capacité de créer des liens entre les événements et de leur donner du sens. La vie devient alors pour lui un livre ouvert et pertinent.

Étant en perpétuel ballotage entre son mental et son Être profond, l'Esprit le conduit à une maturité hors du commun, qui rend difficile sinon interdit de jouir de la compagnie de ceux de son âge, qu'il trouve trop insipides. Dans le même temps, il peut aussi chercher refuge dans des enfantillages, qui le disqualifient aux yeux de ses pairs. C'est pourquoi son comportement n'est jamais adéquat, ou trop raisonnable ou trop immature. Cette précocité devient un handicap plutôt qu'un bienfait, même si, dans la plupart des cas, l'équilibre vient naturellement à l'âge adulte. Avec le temps, le surdoué apprend à gérer sa différence et l'harmonie reprend sa juste place.

Son rapport au temps lui confère une forte aptitude à vivre le moment présent lors de ces méditations intériorisées, avec comme caractéristique la vitesse subliminale de traitement de l'information qu'il capte par ses facultés réceptrices exacerbées. Tout va très vite en lui, alors que tout semble s'arrêter autour de lui. Et c'est cet écart entre la réalité et l'illusion lui est préjudiciable, car il est souvent perçu comme un dilettante sinon un je-m’en-foutiste, alors même qu'il œuvre concrètement à l'émergence du nouveau cycle.

Si un indigo est un surdoué, dans la mesure où il est un travailleur spirituel dans sa configuration "évolutive", un surdoué n'est pas obligatoirement un indigo. Il fait partie de ces êtres venus s'incarner pour clore leur processus karmique*, et favoriser le passage à une dimension de conscience et par là-même de réalité. Soit la Nouvelle Terre*².

* Cf. Le cheminement de l’Âme.

*² Cf. Fin de cycle (2) La guidance éclairée de sa vie.

Les surdoués sont en passe de devenir une norme en cette fin de cycle civilisationnel, puisqu'ils sont avant tout des Esprits à la mémoire intacte. Ils contribuent à l'ébauche du nouvel humain en cours d'éveil à Ce Qu'Il Est véritablement, intelligent tout simplement. C'est le temps pour ces "élus" du mariage entre la matière grise et l'intelligence du cœur, de leur complétude harmonieuse.

Des super-enfants

Le chercheur, psychologue, obstétricien et psychothérapeute russe Igor Borisovich Charkovsky* a lancé le mouvement de l'accouchement dans l'eau en 1963, permettant de mettre au monde des enfants russes au bord de la Mer noire en présence de dauphins. Son activité d'accoucheur se conjugue à une sorte de yoga spécifique au nouveau né et à une interaction avec des cétacés. Sa longue pratique (plus de 40 ans) avec environ 20 000 accouchements réalisés, lui a permis en outre de développer des thèses pour améliorer le système nerveux et le cerveau d'un nouveau-né humain en partant des possibilités encore inexplorées de l'homme. Sa méthode basée sur une méditation pré-natale, un accouchement sous-marin puis l'apprentissage de la plongée et de la natation aux nouveaux-nés, a produit des enfants aux capacités physiques ou mentales améliorées.

Pour une raison ou une autre, les dauphins sont attirés par les femmes enceintes et les jeunes enfants. C’est ainsi qu’est née la nouvelle pratique de la "sage-femme dauphin", qui peut sembler étrange, mais qui correspond à la nouvelle race de "super-enfants" qui voit le jour actuellement.

Comme beaucoup le savent, les dauphins peuvent également aider à soigner les personnes souffrant de problèmes mentaux et psychologiques. Les enfants qui naissent avec l’aide des dauphins, du moins dans les cas documentés en Russie, sont des enfants extraordinaires.

* Il a travaillé avec l'appui et sous la direction d'éminents spécialistes russes ou étrangers (Anokhin, Arshavsky, Ivanitsky, Korzhueva, Korobkova, Ratov, John Cunningham Lilly, Jacques Mayol...), donnant de nombreuses conférences internationales pour l'étude des dauphins et des humains.

La situation générale de la relation à la santé n'a jamais semblé aussi grave qu’actuellement, le corpus prédateur asservisseur s'attachant à accélérer la dénaturation sinon l'éradication des êtres humains dans le cadre du passage à une Nouvelle Gouvernance des affaires terrestres, et ce conformément à l'agenda occulte de la Matrice entropique. Et le moins que l'on puisse dire est que l'état des lieux est particulièrement toxique !

Les quantités de pesticides utilisées en agriculture augmentent régulièrement depuis des décennies. En ville comme à la campagne, nous sommes tous exposés à de faibles niveaux de pesticides. Leurs effets à long terme, mal connus, suscitent de sérieuses inquiétudes. En effet, lorsque les polluants entrent dans les cellules du corps, ces dernières enclenchent un mécanisme de défense en activant une protéine, le récepteur AhR. Cette protéine est aussi un important régulateur de l’expression des gènes et, lorsqu'elle est activée, entraîne l’expression des deux enzymes qui procèdent à la détoxification. Or ces mêmes enzymes peuvent également métaboliser les œstrogènes, qui sont depuis longtemps reconnus comme un facteur impliqué dans le développement du cancer du sein. En effet, la présence de polluants dans le corps rompt l'équilibre des mécanismes qui régissent les actions de l’œstrogène. Même si les pesticides n’entraînent pas le cancer à court terme, le mécanisme peut s’enclencher à moyen et long termes.

Cf. Travaux du biologiste canadien Luc Gaudreau.

De leur côté, les enfants naissent avec en moyenne 163 produits chimiques* dans leurs tissus : des PCBs, des PFC, des phénols, des phtalates, des pesticides organochlorés, des retardateurs de flamme, des Hydrocarbures Aromatiques Polycycliques (HAP)etc. C'est ce qu'une étude menée aux États-Unis sur 268 femmes enceintes révèle, que ce soit du fait de la pollution domestique dans les différentes pièces de la maison, de la pollution atmosphérique, de la pollution alimentaire, de la pollution de l’eau, etc. Le placenta contient quant à lui en moyenne 8 substances polluantes chimiques différentes. La présence de résidus de pesticides dans l’organisme, à tous les âges de la vie, sont des facteurs de troubles de la santé. Selon une étude publiée dans Environmental Health Perspectives le 21 avril 2011, et menée par des chercheurs de l’Université de Californie et de l’école de santé publique de Berkeley, une exposition prénatale aux pesticides peut entraîner jusqu’à 7 points de perte de Q.I. chez l’Enfant.  En dépit des recommandations du Grenelle de l’environnement (qui prévoit de réduire de 50 % l’usage des pesticides, de retirer du marché les pesticides les plus dangereux, d’augmenter la Surface Agricole Utile en bio), la France est encore aujourd’hui le premier pays européen utilisateur de pesticides (selon l’association Générations Futures).

* Ainsi le PCB est un véritable désastre écologique, pourtant interdit depuis les années 70, mais que l’on trouve encore dans le poisson par exemple. Les PCBs ont été classés "cancérogènes probables" par le Circ, Centre de recherche sur le cancer, car ils font partie des perturbateurs endocriniens. Les pesticides, et notamment les pesticides organochlorés, sont utilisés de leur côté à la maison et sur les denrées alimentaires, y compris du DDT pourtant interdit depuis longtemps. Les agriculteurs, eux, ont un risque de contracter la maladie de Parkinson accru de 1,9 du fait de leur exposition longue de plus de 15 ans aux pesticides, selon la Mutualité sociale agricole. Les COV, composés organiques volatils, sont inhalés ou absorbés au contact d’objets du quotidien.  Les PFC se trouvent dans les produits anti-taches ou anti-adhésifs, comme les emballages alimentaires. Le bisphénol A est largement utilisé dans des matériaux qui rentrent en contact avec des aliments : biberons, vaisselle et récipients plastiques, ou revêtement intérieur de boîtes de conserve ou encore les emballages. Les phtalates sont utilisés dans les parfums, certains plastiques et de nombreux autres produits de consommation courante. Les hydrocarbures aromatiques polycycliques (HAP) sont un groupe de composants chimiques très cancérigènes, toxiques issus de la combustion de certains encens ou du charbon, du diesel, de l’essence ou du gaz. Les HAP sont accusés d’altérer le QI des nouveaux nés.

Ils sont partout : le bisphénol A, les phtalates, les pyréthrinoïdes (famille d’insecticides), les dioxines, les furanes, les PCBs, les retardateurs de flamme et les composés perfluorés. Ce sont les perturbateurs endocriniens, soit des molécules qui interfèrent avec le système hormonal et qui se retrouvent actuellement au cœur d’une bataille européenne pour déterminer exactement leur risque sur la santé. Ces substances présentes dans de nombreux produits du quotidien (cosmétiques, jouets, peintures, contenants alimentaires…) peuvent générer maladies et anomalies. La dernière étude en date de Santé publique France, l’ancienne Agence nationale de santé (ANS), publiée fin 2016, révélait déjà que des traces de perturbateurs endocriniens avaient été retrouvées chez quasiment toutes les femmes enceintes testées. Quant au magazine 60 millions de consommateurs, il a détecté des substances nocives (Bisphénol A, phtalates, pesticides…) dans les cheveux de tous les enfants de 10 à 15 ans ayant participé à une étude, soit 254 substances répertoriées comme des perturbateurs endocriniens potentiels ou avérés.

L’Organisme Génétiquement Modifié (OGM) l'est au moyen d'une extrême violence sur la nature. Le but de l'opération consiste à faire rentrer de l’ADN étranger dans une cellule. Ainsi, pour le blé, le maïs, le riz ou les tomates, la technique utilisée est la biolistique, soit un "canon à gènes" qui bombarde leurs cellules de projectiles constitués de billes d’or ou de tungstène recouvertes des molécules de l’ADN étranger (ADN insecticide par exemple). La nature voulant se protéger naturellement, la plupart des cellules tentent de se défaire de ces billes, tout comme nous luttons parfois contre les maladies. Cependant environ 1 cellule sur 1000 finit par accepter cet ADN étranger et peut ainsi au final générer une plante transgénique. L’homme utilise ainsi des technologies violentes pour forcer des cellules à accepter des gènes d’autres espèces, conduisant à des aliments dénaturés ayant d'indéniables conséquences sur le métabolisme humain.

D'autre part, l'OGM a été également mis au point pour stopper chez l'être humain le développement de brins d'ADN* jusqu'alors "endormis", qui lui permettent de nouvelles potentialités dans l'administration de sa vie, et qui sont autant de menaces pour nombre d'autorités institutionnelles peu soucieuses de partage du pouvoir. Ainsi des particules présentes dans les OGM vont se fixer aux spirales d'ADN pour les affaiblir et les empêcher de se développer correctement.

* Cf. Évolution de civilisation 1.

Les vaccins sont la pierre d’angle des profits de la future industrie pharmaceutique du XXI° siècle, se chiffrant en centaines de milliards. En effet les vaccinologues modernes s’intéressent à toutes les pathologies : les cancers, les maladies cardiovasculaires, et même... le cholestérol, en tout cas  contre des molécules participant au métabolisme du cholestérol. Ceci explique que des centaines de vaccins sont aujourd’hui en préparation ou en phase d’essai dans le monde, car le business est roi ...

L'International Medical Council on Vaccination a conclu en 2013 sur l'existence de 8.000 effets secondaires différents de vaccins, répertoriés dans les données de base du système officiel américain qui rassemble les dossiers d’effets secondaires des vaccins, ainsi que des centres de contrôle et de prévention des maladies.  La majorité de ces effets secondaires sont ceux auxquels nous pouvons nous attendre : nausées, gonflements au site d’injection, pleurs, fièvre etc. Bien que ces réactions soient universellement considérées comme normales par la communauté médicale, elles ne le sont pas. Elles peuvent être des réactions vaccinales typiques, mais elles sont, en fait, les réponses du corps à des ingrédients nocifs ; elles ne sont pas normales. Chez la plupart des gens, la température d’environ 37° est normale ; la fièvre ne l’est pas. Un bras souple est normal ; un bras douloureux, chaud avec une grosseur, résultat d’un agrégat d’aluminium provenant d’un adjuvant de vaccin ne l’est pas.  En outre, bien que les réactions vaccinales varient en gravité, une réaction à n’importe quel niveau est souvent le signe avant-coureur de réactions plus graves aux vaccinations.

Si l’industrie affirme que les réactions vaccinales graves sont rares, les statistiques prouvent que les vaccins ne sont pas sûrs, les complications graves et parfois catastrophiques n'étant pas rares du tout (convulsions, infections virales, autisme, etc).  On trouve aussi des convulsions, herpes, perte de conscience, grippe, syndrome de Guillain-Barré, pneumonie, otite moyenne, asthme, varicelle, troubles de la parole, décès, paralysies, syndrome de la mort subite du nourrisson, infections bactériennes, méningites, coma, arthrite, encéphalite, bronchite, troubles respiratoires, sclérose en plaques, troubles gastro-intestinaux, troubles pulmonaires, avortement spontané, arrêt cardiaque, troubles de la fonction hépatique, hémorragies, arrêt respiratoire, jaunisse, problèmes de peau, troubles du système immunitaire, hépatite, épilepsie, arthrite rhumatoïde). N'en jetez plus ! Qui plus est, après une enquête approfondie sur les décès constatés, il a été estimé que seuls 9% des rapports n’avaient pas de relation causale avec les médicaments...

Le problème de confiance est énorme. On ne peut bien sûr pas éliminer tous les risques de décès, mais le risque de dommages graves dus aux vaccins dépasse de loin les risques de dommages causés par la maladie quand celle-ci est bien gérée par les parents et les médecins qui ont une bonne connaissance des exigences d’une bonne alimentation, de la thérapie par les vitamines ou autres traitements naturels.

Vaccins aux nanoparticules

Une étude menée par le Professeur Stefano Montanari parue dans la revue médicale International Journal of Vaccines and Vaccination a révélé la présence de nombreux métaux lourds sous la forme de nanoparticules dans les vaccins. Sur les 44 vaccins achetés en pharmacie et étudiés par les scientifiques, un seul ne contenait pas de contaminant dangereux, étant à usage vétérinaire. Les fabricants concernés sont les entreprises GSK (vaccins Infanrix Hexa, Typhérix, Priorix), Novartis (vaccin Menjugate), Baxter, Sanofi Pasteur, Pfizer (vaccins Prevenar et Meningitec), Wyeth Pharmaceutical, Allergopharma et Virbac. Les vaccins sont composés, le plus souvent d’une fiole, d’une seringue et d’une aiguille, comme le fameux Infanrix hexa qui couvre la diphtérie, le tétanos, la poliomyélite, la coqueluche, l’influenza B et l’hépatite B.

Les chercheurs de l’étude ont extrait avec un matériel de haute technologie la substance du vaccin avec la seringue avant de l’analyser, se servant de l’aiguille fournie par le fabricant. Ce détail n’est pas anodin, une part des métaux présents dans le vaccin pouvant venir de résidus de métaux qui resteraient sur l’aiguille après son aiguisage (avec des machines au tungstène). 

La finesse des résultats obtenus par cette étude est liée à l’utilisation d’un microscope électronique à balayage qui permet de grossir considérablement la résolution de l’image et de voir des détails minuscules, invisibles à l’œil nu (ou par un microscope optique).

Les chercheurs ont ainsi constaté que dans tous les vaccins (sauf un) se trouvaient des débris de métaux ni biodégradables ni biocompatibles, souvent sous la forme d’agrégats nichés dans des organismes vivants (protéines, ADN, bactéries etc).  Les métaux retrouvés sont du tungstène (8/44), du chrome seul ou allié au nickel (25/44), ainsi que les métaux suivants : Zirconium, Hafnium, Strontium, Aluminium, Nickel, Fer, Antimoine, Or, Zinc, Argent, Platine, Bismuth, Plomb, Cerium, Titane, Cuivre, Étain, Baryum, Vanadium, Magnésium, Soufre, Silicium, Calcium, Sodium, Manganèse…. Ces minuscules particules peuvent avoir un effet bien pire que des molécules beaucoup plus grosses en raison des interactions qui existent entre les tissus ou les cellules vivantes et les métaux. Contrairement à elles, ils ne sont pas évacués. Cette bio-persistance est ainsi très inquiétante, les métaux risquant de se promener partout dans le corps sans que nous sachions précisément ce qu’ils deviennent et s’ils ont des effets sur la santé. Ils entraînent une corrosion des organismes vivants, ce qui peut entraîner une inflammation une fois le vaccin injecté.

Ils pourraient ainsi expliquer la part d’effets secondaires qui sont associés aux vaccins, effets reconnu et acceptés des scientifiques et des fabricants de vaccins. Ceux-ci sont en constante augmentation, et sont plus graves qu’auparavant d’après l’Académie de Pédiatrie Américaine (American Academy of Pediatrics).

Nul doute que ce rapport soit utilisé dans les actions en justice telles l’affaire du Méningitec que doit trancher le Tribunal de Clermont-Ferrand.

Danger Vaccination

Il y a des problèmes avec les vaccins. Les faits suivants sont peu connus, mais réels.

. En 1957 The New York Times a signalé que près de 50% des cas de polio chez des enfants âgés de 5 à 14 ans se produisaient chez des enfants qui avaient été vaccinés contre la polio.

. En 1972, au cours d’une audition devant le Sous Comité du Sénat américain, l’inventeur du vaccin anti polio, Jonas Salk, devait témoigner que presque toutes les poussées de polio depuis 1961 étaient le résultat ou avaient été provoquées par le vaccin polio oral.

. The Lancet, revue scientifique médicale britannique, a signalé en 1976 que les vaccins ne protégeaient pas efficacement contre la coqueluche et que près d’un tiers des personnes qui avaient fait une coqueluche avaient bel et bien été complètement vaccinées.

. The Lancet a rapporté en 1977 qu’aucune protection contre la coqueluche n’avait été démontrée chez les nourrissons.

. La revue Science a signalé en 1977 que 26% des enfants qui recevaient la vaccination contre la rubéole développaient de l’arthrite.

. Dans le journal médical Archives of Disease in Childhood de 1984 (Vol.59, n°2, pp.162-65) on peut lire : "Depuis la diminution du nombre de vaccinations contre la coqueluche, les admissions à l’hôpital et les taux de décès faisant suite à la coqueluche ont décliné d’une manière inattendue… La gravité des attaques et des taux de complications des enfants admis à l’hôpital n’a virtuellement pas été modifiée."

. En 1994 The Lancet a signalé que l’asthme était cinq fois plus fréquent chez les enfants vaccinés que chez les enfants non vaccinés.

. Le "Manuel" de 1996 du laboratoire Merck a publié : "Des maladies auto-immunes peuvent être provoquées par les encéphalites qui peuvent faire suite à la vaccination contre la rage. Des réactions auto-immunes croisées pourraient probablement être provoquées par du tissu cérébral animal qui se trouve dans le vaccin."

. En 1999 The Lancet publie un article qui fait état de 15.229 cas de diphtérie en Russie, alors que la plupart des enfants étaient complètement vaccinés.

. Selon le NIH (Institut National de Santé), une étude japonaise de 2002, "Développement de la politique Vaccinale au Japon", explique que le nombre des enfants qui sont devenus autistes varie en proportion directe du nombre d’enfants qui ont été vaccinés chaque année.

. En 2006 le Nigeria a enregistré une augmentation des cas de polio en dépit d’un taux de vaccinations quasi universel dans ce pays.

Les cas d’autisme sont en croissance fulgurante : entre 1975 et 2012, le taux a été multiplié par 25 aux États-Unis selon des chercheurs dont l’étude a été publiée le 22 juillet 2015 dans l’American Journal of Medical Genetics. Cette forte progression aurait résulté d’un reclassement d’un grand nombre d’enfants dans le spectre autistique, initialement diagnostiqués sous d’autres formes de déficiences intellectuelles et de troubles du développement. Les troubles du spectre autistique sont très complexes, avec de nombreux degrés de gravité, et peuvent coexister avec d’autres problèmes neurologiques et du développement.

Les cancers explosent et devraient augmenter de 70 % dans les 20 prochaines années, avec près de 22 millions de nouveaux cas annuels attendus à l'horizon 2030, contre 14 millions en 2012, selon un rapport mondial publié en février 2014 par l'Organisation Mondiale de la Santé dans son rapport " World Cancer Report 2014 ". Malgré des progrès majeurs dans les traitements proposés, les décès devraient eux aussi augmenter, passant de 8,2 millions en 2012 à 13 millions en 2030, alors même que plus de la moitié de ces cancers pourraient être évités "si les connaissances actuelles étaient correctement appliquées".

Le cancer du poumon est le plus meurtrier, arrivant en tête des cancers les plus fréquemment diagnostiqués (1,8 million de cas, soit 13% de l'ensemble des cancers), devant le cancer du sein (1,7 million, soit 11,9%) et le cancer du côlon (1,4 million, soit 9,7%).  Il est également de loin le plus meurtrier avec 1,6 million de décès en 2012 (19,4% de tous les décès par cancer) devant le cancer du foie (800.000, soit 9,1%) et le cancer de l'estomac (700.000, soit 8,8%).

Les hommes sont globalement un peu plus touchés que les femmes (53 % des cas de cancers et 57% des décès).

Davantage de cancers sont liés au mode de vie, compte-tenu de la croissance et du vieillissement de la population, ainsi que du développement de facteurs de risques comme le tabagisme. Aux cancers traditionnellement liés à des infections (cancers du foie, de l’estomac et du col de l'utérus), sont venus s'ajouter des cancers du poumon, du sein et du côlon, associés à des facteurs de risques comme le tabagisme, l'alcoolisme, l'obésité, le manque d'exercice ou la consommation de produits alimentaires industrialisés, plus répandus dans les pays riches.

Près la moitié des 14 millions de nouveaux cas observés en 2012 ont été répertoriés en Asie - principalement en Chine - alors que l'Europe représentait environ un quart des nouveaux cas, les États-Unis un cinquième et l'Afrique et le Moyen-Orient seulement 8%.

Chimiothérapie mortifère

Suite à toute opération de chimiothérapie, les tumeurs cancéreuses se développent de plus en plus rapidement. C'est ce qu'accidentellement des chercheurs aux États-Unis ont découvert récemment, en cherchant pourquoi les cellules cancéreuses de la prostate sont assez dures à éradiquer par les méthodes conventionnelles de traitement. Selon cette étude publiée dans le journal Nature Medicine, la chimiothérapie tend à induire la libération d’une protéine (WNT16B) dans les cellules saines qui aide à favoriser la survie et la croissance des cellules cancéreuses. Elle confirme que les traitements à base d’une chimio ne seraient qu’une vaste escroquerie, constitutive d'un scandale tel que déjà dénoncé depuis des décennies par Le Dr. André Gernez (1923/2014), adepte de pratiques non conventionnelles*. Sans surprise, cette étude a été ignorée de la communauté scientifique dominante.

Qui plus est, la chimio endommage également l’ADN des cellules saines de façon irréversible, préjudice à long terme qui persiste longtemps après la fin du traitement. Ainsi l’action combinée de la destruction de cellules saines par la secrétion du WNT16B (la protéine) et la promotion de cellules cancéreuses fait techniquement de la chimiothérapie plus un protocole de création de cancer qu’un protocole de traitement cancéreux. Le Dr états-unien Glenn Warner, décédé en 2000, un des plus grands spécialistes du cancer aux États-Unis disait : "Nous avons une industrie à plusieurs milliards de dollars qui tue les gens juste pour un gain financier. Leur idée de recherche est de voir si deux doses de ce poison valent mieux que trois doses de ce poison".

* La voie alternative peut comprendre les traitements alternatifs du Dr allemand Max Gerson (1881/1959), la cure de Breuss, les aliments et nutriments anti-cancer comme le curcuma, ou encore des traitements à base de fortes doses de vitamine C et la vitamine D….

Depuis les 30 dernières années, on a observé une augmentation marquée des cas d’allergies dans les pays industrialisés, que ce soit l’asthme, la rhinite allergique, l’eczéma ou les allergies alimentaires. Deux hypothèses servent d'explication.

L’hypothèse hygiéniste, lancée en 1989 par le chercheur londonien David Strachan, explique que le nombre de cas de rhinite allergique est moins élevé dans les familles nombreuses. D’après cette hypothèse, le contact, en bas âge, avec des virus et des bactéries permet une saine maturation du système immunitaire qui, autrement, aurait tendance à la réaction allergique. Les familles étant plus petites et le milieu de vie plus aseptisé, les enfants sont moins exposés à des agents infectieux, laissant plus de place au système immunitaire pour développer des allergies. Cela expliquerait pourquoi les enfants qui contractent 4 ou 5 rhumes par année seraient moins à risque d'allergies. Cette hypothèse ne fait pas consensus, l’augmentation de la pollution de l’air apparaissant comme le facteur principal. Plus les villes sont polluées, plus on compte de gens atteints d’allergies respiratoires, les particules de polluants (notamment de diesel) pouvant rendre les muqueuses des voies respiratoires plus fragiles et sensibles, tout comme développer des allergies alimentaires et cutanées.

L'autre hypothèse est l’allergie alimentaire à retardement. En naturopathie, on considère en effet que certaines réactions allergiques à des aliments impliquent des anticorps différents de ceux qui entrent en action dans les réactions allergiques immédiates. Lorsque l’organisme réagit à un aliment, des symptômes dits allergènes apparaissent (fatigue, migraine, sinusite, maux de gorge, bronchite, hyperactivité, otite, pelade, psoriasis, diarrhée, intestin irritable, gastrite, rougeurs, éruptions cutanées, rhinite, asthme, eczéma, etc), mais plus tardivement après la consommation de l’aliment. L’allergie à retardement est une forme de sensibilité alimentaire, d'autant plus en raison d'une variété beaucoup plus grande de substances, qu’elles soient naturelles ou chimiques, qu’il y a 2 ou 3 générations. Il est possible de mieux connaître les aliments (arachides par exemple) qui peuvent entraîner ces réactions en suivant une diète. D'autre part, de plus en plus de gens ont des muqueuses digestives trop perméables qui favorisent la circulation des allergènes, notamment en raison de l’utilisation excessive d’antibiotiques et d’anti-inflammatoires, au stress, et à la consommation d’aliments raffinés, peu nutritifs.

Les cas de maladie d'Alzheimer et d'autres formes de démence sénile devraient augmenter de 75% entre 2010 et 2030 a révélé en 2011 une étude de l'Observatoire Suisse de la Santé (Obsan). La progression de l'espérance de vie à un âge avancé est responsable de cette hausse, même si   l'amélioration des traitements et des mesures de réadaptation pourrait toutefois permettre de retarder le moment où la personne se retrouve limitée dans sa vie quotidienne.  Dans le même laps de temps, le nombre d'individus dépendants de soins va augmenter de 46%, voire doubler, selon les prévisions les plus pessimistes, entraînant une augmentation des soins à domicile.

Le nombre d'individus atteints du diabète ne cesse d'augmenter selon le rapport de l'Organisation Mondiale de la Santé présenté en avril en 2016. Ainsi ces 35 dernières années le nombre d'adultes souffrant de la maladie chronique est passé de 108 millions en 1980 à 422 millions en 2014, soit 8,5% de la population. Le diabète est étroitement lié au surpoids et à l'obésité*, qui progressent également : en 2014, plus d'un adulte sur trois était en surpoids et plus d'un sur dix était obèse (51,6% des Européens sont en situation de surpoids et 15,9% souffrent d'obésité). 1 personne meurt du diabète toutes les 6 secondes dans le monde. En 2012, la maladie a tué 1,5 million de personnes dans le monde, auxquels il faut ajouter 2,2 millions de décès causés par des maladies liées au diabète, ce qui fait un total de 3,7 millions de décès. Sur ces 3,7 millions de décès, 43% surviennent avant l'âge de 70 ans. Cette progression fulgurante s'explique par les habitudes alimentaires des gens et leur mode de vie.

* L'Institut de veille sanitaire (INVS) indique dans son Bulletin épidémiologique en octobre 2016 qu'un Français sur deux de plus de 30 ans est en surpoids ou obèse. Au total, 56,8% des hommes et 40,9% des femmes de 30 à 60 ans souffrent de surcharge pondérale, selon une étude de la cohorte Constances, un dispositif de recherche de l'Institut national de la santé et de la recherche médicale (Inserm) et la Caisse nationale de l’assurance-maladie des travailleurs salariés (Cnamts). Entre 1997 et 2012, le nombre de cas a progressé de 76%, entraînant une augmentation de nombreuses pathologies : maladies cardiovasculaires, diabète, problèmes articulaires, troubles respiratoires, dépression ou cancers de plusieurs types (notamment du foie, de l'utérus ou du sein après la ménopause), surtout chez les seniors. L'étude pointe la difficulté d'accès des plus pauvres à une alimentation saine et diversifiée (généralement plus coûteuse), ainsi qu'à des équipements sportifs favorisant l'activité physique. Des paramètres à conjuguer avec l'exposition aux polluants, dont les terribles perturbateurs endocriniens.

Enfin, la dépression en 2016 est un trouble mental courant qui touche mondialement plus de 350 millions de personnes, constituant la première cause d’incapacité dans le monde. Les femmes sont plus atteintes que les hommes et, dans le pire des cas, la dépression peut conduire au suicide (chaque année, plus de 800.000 personnes meurent en se suicidant, le suicide étant la deuxième cause de mortalité chez les 15-29 ans).  Bien qu’il existe des traitements connus et efficaces pour combattre la dépression, moins de la moitié des personnes affectées dans le monde (dans certains pays, moins de 10%) bénéficient de tels traitements. Le manque de ressources, la pénurie de soignants qualifiés, l'erreur d'appréciation et la stigmatisation sociale liée aux troubles mentaux sont autant d’obstacles à l’administration de soins efficaces.

La dépression se caractérise de différentes façons, soit de manière ponctuelle pour une durée de quelques jours, soit comme trouble dépressif récurrent avec des épisodes dépressifs répétés où le patient est d’humeur morose, ressentant une perte d’intérêt et de plaisir, ainsi qu’une baisse d’énergie entraînant une diminution de son activité pendant au moins deux semaines.  Parmi les personnes atteintes de dépression, un grand nombre souffrent aussi d’anxiété, de perturbations du sommeil et de l’appétit, et peuvent éprouver un sentiment de culpabilité ou de dévalorisation, avoir du mal à se concentrer, voire présenter des symptômes médicalement inexpliqués.

Selon le nombre et la gravité des symptômes, un épisode dépressif peut être considéré comme léger, modéré ou sévère. Dans le premier cas, la personne éprouvera quelques difficultés à poursuivre ses activités professionnelles et sociales courantes, mais ne cessera probablement pas de fonctionner complètement. Lors d’un épisode dépressif sévère, il est très improbable que le malade soit en mesure de poursuivre ses activités sociales, professionnelles ou privées, sauf de façon très limitée.

En nette augmentation se trouve le trouble affectif bipolaire, caractérisé par des épisodes maniaco-dépressifs entrecoupés de périodes d’humeur normale. Les épisodes maniaques correspondent à une période où l’humeur est élevée, irritable, à une hyperactivité, un important débit de paroles, une estime de soi exagérée et une diminution des besoins de sommeil.

La dépression résulte d’une interaction complexe entre des facteurs sociaux, psychologiques et biologiques. Les personnes exposées à des événements malheureux dans leur vie (chômage, deuil, traumatisme psychologique) sont plus susceptibles de développer une dépression. Celle-ci peut, à son tour, générer un surcroît de stress et de dysfonctionnement et aggraver la situation de la personne touchée, ainsi que la dépression elle-même.

Les traitements psychosociaux sont performants et devraient être prescrits en première intention pour soigner la dépression légère. Les médicaments et les traitements psychologiques sont efficaces en cas de dépression modérée ou sévère. Les antidépresseurs peuvent être appropriés pour traiter une dépression modérée ou sévère, mais ne s’imposent pas comme le traitement de première intention pour les cas de dépression légère. Ils ne devraient pas servir à traiter la dépression chez l’enfant et ne constituent pas le traitement de première intention pour les adolescents, auxquels ils devraient être prescrits avec prudence.